IX. La différence entre l’œuvre de Dieu et celle de l’homme
1. L’œuvre de Dieu Lui-même implique le travail de toute l’humanité et elle représente aussi l’œuvre de toute l’ère, ce qui signifie que la propre œuvre de Dieu représente chaque dynamique et chaque tendance de l’œuvre du Saint-Esprit, alors que le travail des apôtres vient après la propre œuvre de Dieu, la suit et ne dirige pas l’ère ni ne représente des tendances de l’œuvre du Saint-Esprit durant toute une ère. Ils ne font que le travail que l’homme devrait faire, ce qui n’a absolument rien à voir avec l’œuvre de gestion. L’œuvre que Dieu accomplit Lui-même est un projet à l’intérieur de l’œuvre de gestion. Le travail de l’homme est seulement le devoir que les hommes qui sont utilisés accomplissent et n’a aucun rapport avec l’œuvre de gestion. En dépit du fait que tous les deux sont l’œuvre du Saint-Esprit et en raison des différentes identités et représentations de l’œuvre, il existe des différences claires et substantielles entre l’œuvre propre de Dieu et le travail de l’homme.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
2. L’œuvre de Dieu incarné inaugure une nouvelle ère, et ceux qui continuent Son œuvre sont ceux qu’Il utilise. Tout le travail accompli par l’homme est inclus dans le ministère de Dieu dans la chair et ne peut pas dépasser ce cadre. Si Dieu incarné n’était pas venu faire Son œuvre, l’homme ne pourrait pas mener l’ancienne ère à sa fin et ne pourrait pas inaugurer une nouvelle ère. Le travail accompli par l’homme reste dans le champ de son devoir qu’il est humainement possible d’accomplir et ne représente pas l’œuvre de Dieu. Seul le Dieu incarné peut venir effectuer l’œuvre qu’Il doit faire, et en dehors de Lui, personne ne peut faire cette œuvre à Sa place. Bien sûr, ce dont Je parle concerne l’œuvre de l’incarnation.
Extrait de « L’humanité corrompue a davantage besoin du salut du Dieu incarné », dans La Parole apparaît dans la chair
3. Le Dieu incarné est substantiellement différent des personnes utilisées par Dieu. Le Dieu incarné peut accomplir l’œuvre de divinité, pas les personnes utilisées par Dieu. Au début de chaque ère, l’Esprit de Dieu parle personnellement et inaugure la nouvelle ère pour mener l’homme à un nouveau commencement. Quand Il a fini de parler, cela signifie que l’œuvre de Dieu dans Sa divinité est accomplie. Par la suite, les gens suivent tous la direction donnée par les personnes utilisées par Dieu pour entrer dans leur expérience de vie.
Extrait de « La différence essentielle entre le Dieu incarné et les personnes utilisées par Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair
4. L’œuvre de Dieu est faite par Dieu Lui-même. C’est Lui qui met Son œuvre en mouvement et Lui aussi qui la conclut. C’est Lui qui planifie l’œuvre, qui la gère, et, même plus, c’est Lui qui la mène à son terme. Comme le dit la Bible : « Je suis le Commencement et la Fin ; Je suis le Semeur et le Moissonneur. » Tout ce qui est lié à l’œuvre de Sa gestion est fait par Dieu Lui-même. Il est le Souverain du plan de gestion de six mille ans ; nul ne peut faire Son œuvre à Sa place ou conclure Son œuvre, car c’est Lui qui tient tout dans Sa main. Puisqu’Il a créé le monde, Il conduira le monde entier à vivre dans Sa lumière, et Il conclura aussi l’ensemble de l’ère et ainsi mènera tout Son plan à terme !
Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair
5. Toute l’œuvre que Dieu fait Lui-même est l’œuvre qu’Il a l’intention de faire dans Son propre plan de gestion et elle a un lien avec la grande gestion. Le travail accompli par l’homme approvisionne son expérience individuelle. Il découvre une nouvelle voie d’expérience différente de celle qu’ont empruntée ceux qui sont venus avant lui, et il conduit ses frères et sœurs sous la direction du Saint-Esprit. Ce que ces gens apportent, c’est leur expérience individuelle ou les écrits spirituels des personnes spirituelles. Bien que ces personnes soient utilisées par le Saint-Esprit, leur travail est sans rapport avec la grande œuvre de gestion dans le plan de six mille ans. Le Saint-Esprit les appelle simplement à différentes époques pour conduire les gens dans le courant du Saint-Esprit jusqu’à ce qu’ils aient rempli leur fonction ou que leur vie se termine. Le travail qu’ils font est seulement de préparer une voie appropriée pour Dieu Lui-même ou de continuer une partie de la gestion de Dieu Lui-même sur la terre. Par eux-mêmes, ces gens sont incapables de faire l’œuvre plus grande de Sa gestion, et ils ne peuvent pas ouvrir de nouvelles voies de sortie, encore moins conclure toute l’œuvre que Dieu a faite dans l’ère précédente. Par conséquent, le travail qu’ils font ne représente qu’un être créé accomplissant sa fonction et ne peut pas représenter Dieu Lui-même exerçant Son ministère. En effet, le travail qu’ils font est différent de l’œuvre que Dieu fait Lui-même. L’œuvre d’inauguration d’une nouvelle ère ne peut pas être faite par l’homme à la place de Dieu. Elle ne peut pas être faite par aucun autre que Dieu Lui-même. Tout le travail effectué par l’homme est l’accomplissement de son devoir en tant que créature et se fait quand il est inspiré ou éclairé par le Saint-Esprit. La direction que ces personnes offrent consiste entièrement à montrer à l’homme la voie de la pratique dans la vie quotidienne et la manière dont l’homme doit agir pour être en harmonie avec la volonté de Dieu. Le travail de l’homme n’implique pas la gestion de Dieu et ne représente pas l’œuvre de l’Esprit. […] Par conséquent, puisque le travail des personnes utilisées par le Saint-Esprit est différent de l’œuvre accomplie par Dieu Lui-même, leur identité et les sujets qu’ils représentent diffèrent également. La raison en est que l’œuvre que le Saint-Esprit a l’intention de faire est différente ; Il donne donc une identité différente et un statut différent à tous ceux qui travaillent. Les personnes utilisées par le Saint-Esprit peuvent aussi faire un travail qui est nouveau et peuvent également éliminer une partie du travail effectué dans l’ère précédente, mais leur travail ne peut pas exprimer le tempérament et la volonté de Dieu dans la nouvelle ère. Ils ne travaillent que pour se débarrasser du travail de l’ère précédente, non pour faire un nouveau travail dans le but de représenter directement le tempérament de Dieu Lui-même. Ainsi, peu importe le nombre de pratiques dépassées qu’ils abolissent ou de nouvelles pratiques qu’ils introduisent, ils représentent toujours l’homme et les êtres créés. Cependant, lorsque Dieu Lui-même réalise une œuvre, Il ne déclare pas ouvertement l’abolition des pratiques de l’ère ancienne ni ne déclare directement le début d’une nouvelle ère. Il est direct et franc dans Son œuvre. Il est honnête dans l’exécution de l’œuvre qu’Il entend accomplir, c’est-à-dire qu’Il exprime directement l’œuvre qu’Il a apportée, qu’Il fait directement Son œuvre comme prévu à l’origine, exprimant Son être et Son tempérament. Selon l’homme, Son tempérament et aussi Son œuvre sont différents des ères passées. Toutefois, du point de vue de Dieu Lui-même, cela est simplement une continuation et un développement de Son œuvre. Lorsque Dieu Lui-même œuvre, Il exprime Sa parole et produit directement la nouvelle œuvre. Par contre, quand l’homme travaille, c’est par la délibération et l’étude, ou c’est le développement de la connaissance et de la systématisation de la pratique édifiée sur le fondement du travail des autres. Autrement dit, l’essence du travail accompli par l’homme est d’en rester à ce qui est conventionnel et « de fouler de vieux chemins dans de nouvelles chaussures ». Cela signifie que même le chemin emprunté par les personnes utilisées par le Saint-Esprit est construit sur celui que Dieu Lui-même a lancé. Ainsi, après tout, l’homme est l’homme et Dieu est Dieu.
Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair
6. Lorsque les prophètes et ceux qui étaient utilisés par le Saint-Esprit travaillaient, c’était pour accomplir les devoirs de l’homme, pour remplir la fonction d’un être créé, et c’était quelque chose que l’homme devait faire. Cependant, les paroles et l’œuvre de Dieu incarné consistaient à accomplir Son ministère. Bien que Sa forme extérieure soit celle d’un être créé, Son œuvre ne consistait pas à exercer Sa fonction, mais Son ministère. Le terme « devoir » est utilisé en relation avec des êtres créés, alors que le terme « ministère » est utilisé en relation avec la chair de Dieu incarné. Il y a une différence essentielle entre les deux ; ils ne sont pas interchangeables. Le travail de l’homme est seulement de faire son devoir, alors que l’œuvre de Dieu est de gérer et d’accomplir Son ministère. Par conséquent, bien que de nombreux apôtres aient été utilisés par le Saint-Esprit et que de nombreux prophètes aient été remplis de Lui, leur travail et leurs paroles consistaient simplement à faire leur devoir en tant qu’êtres créés. Leurs prophéties dépassaient peut-être le chemin de la vie dont parlait Dieu incarné, et leur humanité transcendait peut-être celle de Dieu incarné, mais quand même, ils faisaient leur devoir et n’accomplissaient pas un ministère. Le devoir de l’homme renvoie à la fonction de l’homme ; c’est accessible à l’homme. Cependant, le ministère accompli par Dieu incarné est lié à Sa gestion, et c’est inaccessible à l’homme. Que Dieu incarné parle, œuvre ou fasse des merveilles, Il fait une grande œuvre dans Sa gestion, et une œuvre pareille ne peut pas être faite par l’homme à Sa place. Le travail de l’homme consiste seulement à faire son devoir en tant qu’être créé à un stade donné de l’œuvre de gestion de Dieu. Sans la gestion de Dieu, c’est-à-dire, si le ministère de Dieu incarné venait à être perdu, le devoir d’un être créé serait perdu. L’œuvre de Dieu dans la conduite de Son ministère consiste à gérer l’homme, tandis que pour l’homme, remplir son devoir, c’est de remplir ses propres obligations afin de répondre aux exigences du Créateur, et ça ne saurait en aucun cas être considéré faire son ministère. Considérant l’essence propre de Dieu, considérant Son Esprit, l’œuvre de Dieu, c’est Sa gestion, mais considérant Dieu incarné qui revêt la forme extérieure d’un être créé, Son œuvre, c’est de faire Son ministère. Quelle que soit l’œuvre qu’Il fasse, elle consiste à faire Son ministère ; l’homme ne peut que faire de son mieux dans le cadre de la gestion de Dieu et sous Sa direction.
Extrait de « La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
7. Jésus représentait l’Esprit de Dieu. Il était l’Esprit de Dieu œuvrant directement. Il a fait l’œuvre de la nouvelle ère, l’œuvre que personne n’avait faite auparavant. Il a ouvert une nouvelle voie, Il représentait l’Éternel et Il représentait Dieu Lui-même, alors que Pierre, Paul et David, indépendamment de ce qu’ils ont été appelés, ne représentaient que l’identité d’une créature de Dieu et avaient été envoyés par Jésus ou l’Éternel. Donc, peu importe la quantité de travail qu’ils ont fait, peu importe les merveilleux miracles qu’ils ont accomplis, ils étaient encore seulement des créatures de Dieu et incapables de représenter l’Esprit de Dieu. Ils ont travaillé au nom de Dieu ou après avoir été envoyés par Dieu ; en outre, ils ont travaillé dans les ères commencées par Jésus ou par l’Éternel et n’ont fait aucun autre travail. Après tout, ils étaient seulement des créatures de Dieu.
Extrait de « Concernant les appellations et l’identité », dans La Parole apparaît dans la chair
8. Jean ne fit que l’œuvre de commencement ; la grande partie de la nouvelle œuvre a été faite par Jésus. Jean a fait également un nouveau travail, mais il n’est pas celui qui a inauguré une nouvelle ère. […] Bien que Jean ait aussi proclamé : « Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche », bien qu’il ait aussi prêché l’Évangile du royaume des cieux, son travail n’était pas approfondi et constituait simplement un début. Par contre, Jésus a inauguré une nouvelle ère et a mené l’ancienne à sa fin, mais Il a aussi accompli la loi de l’Ancien Testament. L’œuvre qu’Il a faite était plus grande que le travail de Jean et Il est venu pour racheter toute l’humanité ; Il a accompli cette étape de l’œuvre. Quant à Jean, il a seulement préparé la voie. Bien que son travail ait été grand, ses paroles abondantes et ses disciples nombreux, son travail ne fit que mener l’homme à un nouveau commencement. Jamais les hommes n’ont reçu la vie, le chemin ou des vérités plus profondes de lui, et ils n’acquirent pas non plus une compréhension de la volonté de Dieu par lui. Jean était un grand prophète (Élie) qui a ouvert de nouveaux horizons pour l’œuvre de Jésus et qui a préparé l’élu ; il a été le précurseur de l’ère de la Grâce. Ces choses ne peuvent pas être perçues simplement en observant leurs apparences humaines normales. C’est d’autant plus vrai que Jean a fait un assez grand travail, et en outre, il est né de la promesse du Saint-Esprit et son travail a été confirmé par le Saint-Esprit. À ce titre, la distinction entre leurs identités respectives ne peut se faire que par leur travail, car l’apparence d’un homme ne révèle rien de son essence, et l’homme est incapable de déterminer le véritable témoignage du Saint-Esprit. Le travail réalisé par Jean et l’œuvre réalisée par Jésus étaient dissimilaires et étaient de natures différentes. C’est sur cette base que l’on peut déterminer si oui ou non Jean était Dieu. L’œuvre de Jésus était de commencer, continuer, conclure et accomplir. Chacun de ces pas a été réalisé par Jésus, alors que le travail de Jean était seulement celui du commencement. Au commencement, Jésus a répandu l’Évangile et a prêché la voie de la repentance, puis a continué en baptisant les hommes, guérissant les malades et chassant les démons. À la fin, Il a racheté l’humanité du péché et a terminé Son œuvre pour toute l’ère. Il a prêché aux gens et répandu l’Évangile du royaume des cieux dans tous les lieux. Jean a fait la même chose, la différence étant que Jésus a inauguré une nouvelle ère et a ouvert l’ère de la Grâce pour l’homme. De Sa bouche sortaient les paroles au sujet de ce que l’homme devrait pratiquer et de la voie que l’homme devrait emprunter dans l’ère de la Grâce, et à la fin, Il a complété l’œuvre de la rédemption. Une telle œuvre ne pourrait jamais être réalisée par Jean. Et donc, c’est Jésus qui a fait l’œuvre de Dieu Lui-même, et c’est Lui qui est Dieu Lui-même et qui représente directement Dieu.
Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair
9. Les paroles de Dieu incarné inaugurent une nouvelle ère, guident l’humanité tout entière, révèlent des mystères et montrent à l’homme la voie à suivre vers la nouvelle ère. L’éclairage reçu par l’homme n’est constitué que de simples instructions pour la pratique ou la connaissance. Il ne peut pas conduire l’humanité tout entière dans une nouvelle ère ou révéler les mystères de Dieu Lui-même. Au bout du compte, Dieu est Dieu et l’homme est l’homme. Dieu a l’essence de Dieu et l’homme a l’essence de l’homme.
Extrait de la préface de La Parole apparaît dans la chair
10. Ce que les gens disent, c’est ce qu’ils ont expérimenté. C’est ce qu’ils ont vu, ce que leur esprit peut atteindre et ce que leurs sens peuvent percevoir. Voilà ce sur quoi ils peuvent échanger. Les paroles prononcées par la chair incarnée de Dieu sont l’expression directe de l’Esprit et elles expriment l’œuvre qui a été faite par l’Esprit, que la chair n’a pas connue ou vue, pourtant Il exprime quand même Son être, car l’essence de la chair est l’Esprit, et Il exprime l’œuvre de l’Esprit. Même si c’est hors de portée pour la chair, c’est une œuvre déjà accomplie par l’Esprit. Après l’incarnation, par l’expression de la chair, Il permet aux gens de connaître l’être de Dieu et permet aux gens de voir le tempérament de Dieu et l’œuvre qu’Il a faite. Le travail de l’homme donne plus de clarté aux gens au sujet de leur entrée et de ce qu’ils doivent comprendre ; il implique la direction des gens vers la compréhension et l’expérience de la vérité. Le travail de l’homme est de soutenir les gens ; l’œuvre de Dieu est d’ouvrir de nouvelles voies et de nouvelles ères pour l’humanité, et de révéler aux gens ce qui n’est pas connu par les mortels, leur permettant de connaître Son tempérament. L’œuvre de Dieu est de diriger l’humanité tout entière.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
11. Les prophètes de l’Ancien Testament ont fait des prophéties et, de la même façon, Jésus l’a fait aussi. Pourquoi en est-il ainsi ? La distinction ici repose sur la nature du travail. Afin de discerner cette différence, tu ne dois pas considérer la nature de la chair et tu ne devrais pas considérer non plus la profondeur ou la superficialité de leurs paroles. Tu dois toujours d’abord considérer leur travail et les effets que leur travail produit en l’homme. Les prophéties faites par les prophètes à l’époque n’ont pas soutenu la vie de l’homme, et les inspirations reçues par des messagers comme Ésaïe et Daniel n’étaient que des prophéties et non le chemin de la vie. Sans la révélation directe de l’Éternel, personne n’aurait pu accomplir ce travail impossible pour les mortels. Jésus aussi a prononcé beaucoup de paroles, mais de telles paroles étaient le chemin de la vie à partir duquel l’homme pouvait trouver un sentier à pratiquer. Autrement dit, premièrement, Il pouvait soutenir la vie de l’homme, car Jésus est la vie ; deuxièmement, Il pouvait inverser les écarts de l’homme ; troisièmement, Son œuvre pouvait succéder à celle de l’Éternel, afin de poursuivre l’ère ; quatrièmement, Il pouvait comprendre les besoins de l’homme et se rendre compte de ce qui manque à l’homme ; cinquièmement, Il pouvait inaugurer une nouvelle ère et mettre un terme à l’ancienne. C’est la raison pour laquelle Il est appelé Dieu et Christ ; non seulement Il est différent d’Ésaïe, mais aussi de tous les autres prophètes. Prenons le cas d’Ésaïe pour comparer avec le travail des prophètes. Premièrement, il ne pouvait soutenir la vie de l’homme ; deuxièmement, il ne pouvait inaugurer une nouvelle ère. Il travaillait sous la direction de l’Éternel et non pas pour inaugurer une nouvelle ère. Troisièmement, ses mots le dépassaient. Il recevait des révélations directement de l’Esprit de Dieu, et les autres ne comprenaient pas même après les avoir écoutées. Ces choses seules suffisent pour prouver que ses paroles n’étaient rien d’autre que des prophéties, rien de plus qu’un aspect du travail effectué à la place de l’Éternel. Il ne pouvait pas, toutefois, représenter totalement l’Éternel. Il était un serviteur de l’Éternel, un instrument dans l’œuvre de l’Éternel. Il a accompli le travail seulement au cours de l’ère de la Loi dans le cadre de l’œuvre de l’Éternel ; son travail n’a pas continué au-delà de l’ère de la Loi. Par opposition, l’œuvre de Jésus était différente. Il a dépassé le cadre de l’œuvre de l’Éternel ; Il a travaillé comme Dieu incarné et a été crucifié dans le but de racheter toute l’humanité. Autrement dit, Il a réalisé une nouvelle œuvre en dehors de l’œuvre accomplie par l’Éternel. Il a inauguré une nouvelle ère. De surcroît, il était capable de parler de ce qui était impossible à l’homme d’acquérir. Son œuvre était une œuvre au sein de la gestion de Dieu et impliquait l’ensemble de l’humanité. Il ne travaillait pas seulement en quelques hommes, et Son œuvre n’avait pas non plus pour objectif de conduire un nombre limité d’hommes. […] À partir de Son œuvre, on peut voir que, premièrement, Il est capable d’ouvrir une nouvelle ère ; deuxièmement, Il est capable de soutenir la vie de l’homme et de montrer à l’homme le chemin à suivre. C’est suffisant pour établir qu’Il est Dieu Lui-même. Tout au moins, l’œuvre qu’Il fait peut représenter pleinement l’Esprit de Dieu et, à partir d’une telle œuvre, on peut voir que l’Esprit de Dieu est en Lui. Étant donné que l’œuvre accomplie par Dieu incarné visait principalement à inaugurer une nouvelle ère, à conduire une nouvelle œuvre et à créer un nouveau royaume, déjà tout cela suffit pour établir qu’Il est Dieu Lui-même. C’est donc ce qui Le distingue d’Ésaïe, de Daniel et des autres grands prophètes.
Extrait de « La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
12. Vous devez savoir comment différencier l’œuvre de Dieu du travail de l’homme. Que voyez-vous dans le travail de l’homme ? Il y a beaucoup d’éléments de l’expérience de l’homme dans son travail ; l’homme exprime ce qu’il est. L’œuvre propre de Dieu exprime aussi ce qu’Il est, mais Son être diffère de celui de l’homme. L’être de l’homme représente l’expérience et la vie de l’homme (ce que l’homme expérimente ou rencontre dans sa vie ou ses philosophies de vie) et les gens qui vivent dans des environnements différents expriment des êtres différents. On peut voir dans ce que vous exprimez si vous avez des expériences sociales ou non et votre manière de vivre réellement et d’expérimenter dans vos familles ; par contre, vous ne pouvez pas voir dans l’œuvre de Dieu incarné si, oui ou non, Il a des expériences sociales. Il est bien conscient de l’essence de l’homme et Il peut exposer toutes sortes de pratiques se rapportant à toutes sortes de gens. Il est encore plus habile à exposer le tempérament corrompu et le comportement rebelle des êtres humains. Il ne vit pas parmi les gens mondains, mais Il est au courant de la nature des mortels et de toutes les corruptions des gens mondains. Tel est Son être. Bien qu’Il ne transige pas avec le monde, Il connaît les règles de négociation du monde, car Il comprend parfaitement la nature humaine. Il connaît l’œuvre de l’Esprit que les yeux de l’homme ne peuvent pas voir et que les oreilles de l’homme ne peuvent pas entendre, l’œuvre aussi bien d’aujourd’hui que du passé. Cela inclut la sagesse qui ne constitue pas une philosophie de vie ni un émerveillement qui est difficile à comprendre pour les gens. C’est ce qu’Il est, ouvert aux gens et aussi caché aux gens. Il n’exprime pas l’être d’une personne extraordinaire, mais les attributs inhérents et l’être de l’Esprit. Il ne voyage pas dans le monde entier, mais connaît tout du monde. Il contacte les « anthropoïdes » qui n’ont aucune connaissance ou aucune intuition, mais Il exprime des paroles qui sont plus élevées que la connaissance et qui dépassent les grands hommes. Il vit parmi des gens obtus et engourdis qui n’ont pas d’humanité et qui ne comprennent pas les conventions et la vie de l’humanité, mais Il peut demander à l’humanité de vivre une humanité normale, tout en exposant la vile et faible condition humaine de l’humanité. Tout cela, c’est Son être, plus élevé que l’être de tout individu de chair et de sang. Pour Lui, il n’est pas nécessaire d’expérimenter une vie sociale compliquée, lourde et sordide pour faire l’œuvre qu’Il doit faire et pour bien exposer l’essence de l’humanité corrompue. Une vie sociale sordide n’édifie pas Sa chair. Son œuvre et Ses paroles n’exposent que la désobéissance de l’homme et ne fournissent pas à l’homme l’expérience et les enseignements requis pour traiter avec le monde. Il n’a pas besoin d’enquêter sur la société ou sur la famille de l’homme quand Il donne la vie à l’homme. Exposer et juger l’homme n’est pas une expression des expériences de Sa chair, mais une révélation de l’injustice de l’homme après avoir longtemps connu la désobéissance de l’homme et avoir abhorré la corruption de l’humanité. Toute Son œuvre consiste à exposer Son tempérament à l’homme et à exprimer Son être. Lui seul peut faire cette œuvre ; un individu de chair et de sang ne pourrait pas la réaliser. À partir de Son œuvre, l’homme ne peut pas dire quel genre d’individu Il est. Sur la base de Son œuvre, l’homme est également incapable de Le classer comme un individu créé. Son être l’empêche aussi d’être classé comme un être créé. L’homme ne peut que Le considérer comme un non humain, mais ne sait pas dans quelle catégorie Le placer, alors l’homme est forcé de Le mettre dans la catégorie de Dieu. Ce n’est pas déraisonnable que l’homme fasse cela, car Dieu a fait parmi les gens une grande œuvre que l’homme est incapable de faire.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
13. Quand Dieu vient sur terre, Il accomplit seulement Son œuvre dans la divinité. C’est ce dont l’Esprit céleste a chargé le Dieu incarné. Quand Il vient, Il parle seulement en tous lieux pour donner voix à Ses déclarations selon différents moyens et différents points de vue. Pour l’essentiel, Il fait de l’apport aux hommes et de l’enseignement aux hommes Ses objectifs et Son principe de travail, et ne Se préoccupe pas des relations interpersonnelles ni des détails de la vie des gens. Son ministère principal consiste à parler au nom de l’Esprit. Autrement dit, quand l’Esprit de Dieu apparaît concrètement dans la chair, Il ne fait que subvenir à la vie de l’homme et que diffuser la vérité. Il ne Se mêle pas du travail de l’homme, dans le sens où Il ne participe pas au travail de l’humanité. Les humains ne peuvent pas accomplir une œuvre divine et Dieu ne participe pas au travail des humains.
Extrait de « La différence essentielle entre le Dieu incarné et les personnes utilisées par Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair
14. Satan ne peut être vaincu complètement que si Dieu dans la chair juge la corruption de l’humanité. Étant pareil à l’homme dans une humanité normale, Dieu dans la chair peut directement juger l’injustice de l’homme ; c’est le signe de Sa sainteté innée et de Son être extraordinaire. Seul Dieu est qualifié pour juger l’homme, est en mesure de juger l’homme, car Il détient la vérité et la justice, et donc, Il est capable de juger l’homme. Ceux qui n’ont pas la vérité et la justice ne sont pas aptes à juger les autres.
Extrait de « L’humanité corrompue a davantage besoin du salut du Dieu incarné », dans La Parole apparaît dans la chair
15. Le travail effectué par l’homme ne représente qu’un cadre limité, et quand Dieu fait Son œuvre, Il ne parle pas à une certaine personne, mais parle à l’ensemble de l’humanité et à tous ceux qui acceptent Ses paroles. La fin qu’Il proclame est la fin de toute l’humanité et pas seulement la fin d’une certaine personne. Il ne traite personne de manière spéciale ni ne rend aucune personne victime, et Il œuvre pour toute l’humanité et parle à toute l’humanité.
Extrait de « L’humanité corrompue a davantage besoin du salut du Dieu incarné », dans La Parole apparaît dans la chair
16. L’œuvre de Dieu n’a pas de règlements et n’est pas soumise à des contraintes temporelles ou géographiques. Il peut exprimer ce qu’Il est à tout moment, partout. Il œuvre comme bon Lui plaît. Le travail de l’homme a des conditions et un contexte ; sinon, il serait incapable de travailler et incapable d’exprimer sa connaissance de Dieu ou son expérience de la vérité. Il suffit de comparer les différences entre les deux pour dire si c’est l’œuvre de Dieu ou le travail de l’homme.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
17. Le travail de l’homme reste à l’intérieur d’un cadre et est limité. Un individu ne peut que faire le travail d’une certaine phase et ne peut pas faire le travail de toute l’ère, autrement il dirigerait les gens au milieu de règlements. Le travail de l’homme ne peut s’appliquer qu’à un moment particulier ou à une phase particulière. Cela est dû au fait que l’expérience de l’homme a sa portée. On ne peut pas comparer le travail de l’homme avec l’œuvre de Dieu. Les voies de pratique de l’homme et sa connaissance de la vérité s’appliquent toutes à une portée particulière. Tu ne peux pas dire que le chemin de l’homme est complètement la volonté du Saint-Esprit, car l’homme peut seulement être éclairé par le Saint-Esprit et ne peut pas être complètement rempli du Saint-Esprit. Les choses que l’homme peut expérimenter sont toutes dans le cadre de l’humanité normale et ne peuvent pas dépasser la gamme de pensées de l’esprit humain normal. Tous ceux qui peuvent manifester la réalité de la vérité font l’expérience dans cette gamme.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
18. L’étendue de la vérité expérimentée par l’homme diffère d’une personne à l’autre conformément aux conditions de chaque personne. De cette façon, la connaissance de la même vérité, telle qu’exprimée par des gens différents, n’est pas la même. Autrement dit, l’expérience de l’homme a toujours des limites et ne peut pas représenter complètement la volonté du Saint-Esprit, et le travail de l’homme ne peut pas non plus être perçu comme l’œuvre de Dieu, même si ce qui est exprimé par l’homme correspond étroitement à la volonté de Dieu, même si l’expérience de l’homme est très près de l’œuvre du perfectionnement accomplie par le Saint-Esprit. L’homme ne peut être que le serviteur de Dieu, faisant le travail que Dieu lui confie. L’homme peut seulement exprimer la connaissance qu’il acquiert de l’éclairage du Saint-Esprit et les vérités tirées de ses expériences personnelles. L’homme n’est pas qualifié et ne remplit pas les conditions pour servir d’exutoire au Saint-Esprit. Il n’est pas autorisé à dire que son travail est l’œuvre de Dieu. L’homme a des principes de travail qui viennent de l’homme, et tous les hommes ont des expériences différentes et possèdent des conditions variables. Le travail de l’homme inclut toutes ses expériences sous l’éclairage du Saint-Esprit. Ces expériences peuvent seulement représenter l’être de l’homme et ne représentent pas l’être de Dieu ni la volonté du Saint-Esprit. Par conséquent, on ne peut pas dire que le chemin emprunté par l’homme est le chemin emprunté par le Saint-Esprit, parce que le travail de l’homme ne peut pas représenter l’œuvre de Dieu et le travail et l’expérience de l’homme ne sont pas la volonté complète du Saint-Esprit.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
19. Le travail de l’homme est enclin à tomber dans les règlements, et la méthode de son travail est facilement réduite à une portée limitée et est incapable de conduire les gens vers une voie libre. La plupart des disciples vivent dans un cadre limité, et leur expérimentation est également limitée dans sa portée. L’expérience de l’homme est toujours limitée ; la méthode de son travail est également limitée à quelques types et ne peut être comparée à l’œuvre du Saint-Esprit ou à l’œuvre de Dieu Lui-même, car l’expérience de l’homme, à la fin, est limitée. Quelle que soit la manière dont Dieu fait Son œuvre, elle n’est pas limitée par des règles ; de quelque manière qu’elle soit faite, elle n’est pas limitée à une seule méthode. Il n’y a aucune règle dans l’œuvre de Dieu ; toute Son œuvre est relâchée et libre. Peu importe pendant combien de temps les gens Le suivent, ils ne peuvent distiller aucune loi qui gouverne Sa manière de travailler. Bien que Son œuvre ait des principes, elle est toujours faite de nouvelles façons et a toujours de nouveaux développements, et elle est au-delà de la portée de l’homme. Au cours d’une seule période, Dieu peut avoir plusieurs différentes manières d’œuvrer et des façons différentes de diriger les gens, faisant en sorte que les gens ont toujours de nouvelles entrées et de nouveaux changements. Tu ne peux pas discerner les lois de Son œuvre parce qu’Il œuvre toujours de nouvelles façons, et ce n’est que de cette manière que les disciples de Dieu ne deviennent pas limités par les règlements. L’œuvre de Dieu Lui-même évite toujours les notions des gens et s’y oppose. Seuls ceux qui Le suivent et Le cherchent avec un cœur sincère peuvent voir leur tempérament transformé et vivre librement sans être soumis à aucune règle ou retenus par des notions religieuses. Les exigences que le travail de l’homme impose aux gens sont basées sur sa propre expérience et sur ce qu’il peut lui-même réaliser. La norme de ces exigences est limitée à un certain champ d’application et les méthodes de pratique sont également très limitées. Les disciples ainsi vivent inconsciemment dans ce cadre limité ; à mesure que le temps passe, ces choses deviennent des règlements et des rituels.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
20. Quand les gens travaillent, ils cherchent et tâtonnent, imitant et délibérant toujours sur une base posée par d’autres pour en arriver à une entrée plus profonde. L’œuvre de Dieu, c’est le don de ce qu’Il est, et Il fait l’œuvre qu’Il doit faire Lui-même. Il ne soutient pas l’Église en utilisant des connaissances qui proviennent du travail de n’importe quel homme. Au lieu de cela, Il accomplit l’œuvre actuelle en Se basant sur les états des gens. Ainsi, œuvrer de cette façon est des milliers de fois plus libre que le travail des gens. Pour les gens, il peut même sembler que Dieu ne Se conforme pas à Son devoir et œuvre cependant à Sa guise, mais toute Son œuvre est nouvelle. Néanmoins, tu dois savoir que l’œuvre de Dieu incarné n’est jamais basée sur des sentiments.
Extrait de « Pratique (5) », dans La Parole apparaît dans la chair
21. Le travail de l’homme signifie son expérience et son humanité. Ce que l’homme apporte et le travail qu’il accomplit le représentent. L’idée de l’homme, le raisonnement de l’homme, la logique de l’homme et sa riche imagination sont tous inclus dans son travail. L’expérience de l’homme est particulièrement apte à signifier son travail, et les expériences d’une personne deviennent les composantes de son travail. Le travail de l’homme peut exprimer son expérience. […] et l’œuvre du Saint-Esprit change souvent avec l’état de l’homme. Il œuvre en accord avec l’expérience des gens et ne les force pas, mais impose des exigences aux gens selon le cours normal de leur expérience. Ce qui revient à dire que l’échange de l’homme diffère de la parole de Dieu. Ce sur quoi les gens échangent transmet les idées et l’expérience de chacun, exprimant leurs idées et leur expérience en fonction de l’œuvre de Dieu. Leur responsabilité est de découvrir, après que Dieu a œuvré ou parlé, ce qu’ils devraient pratiquer de Son œuvre et de Ses paroles, dans quelles parties ils devraient entrer, puis de le livrer aux disciples. Par conséquent, le travail de l’homme représente son entrée et sa pratique. Bien sûr, un tel travail est mélangé avec des leçons humaines et avec l’expérience ou certaines pensées humaines. […] Ce que l’homme exprime est ce qu’il voit, ce qu’il expérimente et ce qu’il peut imaginer, et c’est atteignable par la pensée de l’homme même si ce sont des doctrines et des notions. Le travail de l’homme ne peut pas dépasser la portée de l’expérience de l’homme, ni ce que l’homme voit, ni ce qu’il peut imaginer ou concevoir, peu importe la quantité de ce travail. Ce que Dieu exprime est ce qu’Il est Lui-même, et c’est inatteignable par l’homme, c’est-à-dire que c’est au-delà de la portée de la pensée de l’homme. Il exprime Son œuvre de direction de toute l’humanité, et cela n’a aucun rapport avec les détails de l’expérience humaine, mais concerne plutôt Sa propre gestion. Ce que l’homme exprime, c’est son expérience, alors que ce que Dieu exprime, c’est Son être qui est Son tempérament inhérent et est inaccessible à l’homme. L’expérience de l’homme se compose de ses idées et de ses connaissances acquises à partir de l’expression par Dieu de Son être. De telles idées et de telles connaissances sont appelées l’être de l’homme et leur expression est basée sur le tempérament et le calibre inhérents de l’homme ; c’est pourquoi elles sont aussi appelées l’être de l’homme.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
22. Le travail selon l’esprit de l’homme est trop facilement réalisé par l’homme. Les pasteurs et les dirigeants du monde religieux, par exemple, comptent sur leurs dons et leurs positions pour faire leur travail. Les gens qui les suivent depuis longtemps seront infectés par leurs dons et influencés d’une certaine manière par leur être. Ils se concentrent sur les dons, les capacités et la connaissance des gens, et ils prêtent attention à des choses surnaturelles et à de nombreuses doctrines irréalistes et profondes (bien sûr, ces doctrines profondes sont inaccessibles). Ils ne se concentrent pas sur les changements dans le tempérament des gens, mais plutôt sur leur formation à la prédication et au travail, sur l’amélioration de la connaissance des gens et de leurs abondantes doctrines religieuses. Ils ne se concentrent pas sur la façon dont le tempérament des gens change ni sur leur compréhension de la vérité. Ils ne se préoccupent pas de l’essence des gens, encore moins d’essayer de connaître les états normaux et anormaux des gens. Ils ne s’opposent pas aux notions des gens ni ne révèlent leurs notions, encore moins émondent-ils les gens pour leurs déficiences ou leurs corruptions. La plupart de ceux qui les suivent servent avec leurs dons et tout ce qu’ils énoncent, ce sont des notions religieuses et des théories théologiques qui sont dépassées par la réalité et complètement inutiles pour donner la vie aux gens. En fait, l’essence de leur travail est de nourrir le talent, d’encourager des gens qui n’ont rien à devenir des diplômés talentueux de séminaire et ensuite aller travailler et diriger. Peux-tu discerner des lois dans l’œuvre de six mille ans de Dieu ? Il y a beaucoup de règlements et de restrictions dans le travail que fait l’homme et le cerveau humain est trop dogmatique. Ce que l’homme exprime alors est une connaissance et des prises de conscience dans le cadre de son expérience. L’homme est incapable d’exprimer quoi que ce soit de plus. Les expériences ou la connaissance de l’homme ne découlent pas de ses dons innés ou de son instinct ; elles découlent de la direction de Dieu et de la conduite directe de Dieu. L’homme n’a que la faculté d’accepter cette conduite, et aucune faculté qui puisse exprimer directement ce qu’est la divinité. L’homme est incapable d’être la source ; il ne peut être qu’un vaisseau qui reçoit l’eau de la source ; c’est l’instinct humain, la faculté que l’on devrait avoir comme être humain. Si un individu perd la faculté d’accepter la parole de Dieu et perd l’instinct humain, cet individu perd aussi ce qui est le plus précieux et perd le devoir d’un homme créé. Si un individu n’a aucune connaissance ou expérience de la parole ou de l’œuvre de Dieu, il perd son devoir, le devoir qu’il devrait accomplir comme être créé, et perd la dignité d’un être créé.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
23. Après tout, l’œuvre de Dieu est différente du travail de l’homme et, en outre, comment Ses expressions pourraient-elles être les mêmes que les siennes ? Dieu a Son propre tempérament particulier, tandis que l’homme a des devoirs qu’il devrait accomplir. Le tempérament de Dieu est exprimé dans Son œuvre, tandis que le devoir de l’homme est incarné dans ses expériences et exprimé dans ses recherches. Que quelque chose soit l’expression de Dieu ou de l’homme devient donc évident par le travail qui est accompli. Nul besoin que cela soit expliqué par Dieu Lui-même ni que l’homme s’efforce d’en porter un témoignage. Nul besoin non plus que Dieu Lui-même anéantisse quelqu’un. Tout cela est une révélation naturelle ; ce n’est pas forcé ni quelque chose dans lequel l’homme peut s’ingérer. Le devoir de l’homme peut être connu par ses expériences et n’exige pas que les gens fassent un travail supplémentaire basé sur l’expérience. Toute l’essence de l’homme peut être révélée quand il accomplit son devoir, tandis que Dieu peut exprimer Son tempérament inhérent en accomplissant Son œuvre. Si c’est le travail de l’homme, on ne peut alors pas le cacher. Si c’est l’œuvre de Dieu, alors il est encore plus impossible que le tempérament de Dieu soit dissimulé par qui que ce soit, et encore moins contrôlé par l’homme. Aucun homme ne peut être considéré comme Dieu. Ni son travail ni ses mots ne peuvent être considérés comme saints ou immuables. On peut dire que Dieu est humain parce qu’Il S’est revêtu de chair, mais Son œuvre ne peut pas être considérée comme le travail ou le devoir de l’homme. De plus, on ne peut égaler les déclarations de Dieu et les lettres de Paul. On ne peut non plus parler du jugement et du châtiment de Dieu et des enseignements de l’homme dans les mêmes termes. Il y a donc des principes qui distinguent l’œuvre de Dieu du travail de l’homme. La différence entre les deux est faite en fonction de leur essence, non par leur portée ou leur efficacité temporaire. À ce sujet, la plupart des gens se trompent sur les principes.
Extrait de « Que dis-tu des treize épîtres ? », dans La Parole apparaît dans la chair
24. Parce que les êtres humains sont, après tout, humains et parce qu’ils ne peuvent voir toutes les choses que depuis la perspective et la hauteur d’un être humain. Toutefois, Dieu incarné est totalement différent d’un individu corrompu. Peu importe à quel point Dieu incarné dans la chair est ordinaire, normal et humble, ou même dans quelle mesure les gens Le méprisent, Ses pensées et Son attitude envers les hommes sont les aspects qu’aucun homme ne pouvait posséder et ne pouvait imiter. Il observera toujours l’humanité depuis un point de vue divin, depuis le haut de Sa position comme Créateur. Il regardera toujours les hommes depuis l’essence et l’état d’esprit de Dieu. Il ne peut absolument pas voir l’humanité depuis la basse hauteur d’une personne ordinaire ou depuis la perspective d’un individu corrompu. Quand les gens regardent l’humanité, ils regardent avec une vision humaine et ils utilisent des choses comme la connaissance humaine, les règles et les théories humaines comme mesure. Cela est dans le cadre de ce que les gens peuvent voir de leurs yeux et dans le cadre de ce qui est accessible aux gens corrompus. Quand Dieu regarde l’humanité, Il regarde avec une vision divine et Il utilise Son essence et ce qu’Il a et est comme mesure. Ce cadre comprend des choses que les gens ne peuvent pas voir et c’est en cela que Dieu incarné et les humains corrompus sont entièrement différents. Cela provient de la différence entre l’essence de Dieu et celle des humains et c’est cette essence qui définit leur identité et leur position ainsi que le point de vue et la hauteur depuis lesquels ils voient les choses.
Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », dans La Parole apparaît dans la chair
25. Peut-être que l’expérience de travail d’une personne est particulièrement développée, ou que son imagination et son raisonnement sont particulièrement développés et que son humanité est particulièrement bonne ; de tels attributs ne peuvent que gagner l’admiration des gens, mais non éveiller leur révérence et leur crainte. Tous les gens admirent ceux qui ont la capacité de bien travailler, qui ont une expérience particulièrement profonde et qui peuvent pratiquer la vérité, mais ces gens ne peuvent jamais susciter la révérence, seulement l’admiration et l’envie. Mais les gens qui ont expérimenté l’œuvre de Dieu n’admirent pas Dieu, ils ont plutôt le sentiment que Son œuvre est hors de portée pour les humains, qu’elle est insondable pour l’homme et qu’elle est fraîche et merveilleuse. Quand les gens expérimentent l’œuvre de Dieu, leur première connaissance à Son sujet est qu’Il est insondable, sage et merveilleux, et, inconsciemment, ils Le vénèrent et sentent le mystère de l’œuvre qu’Il accomplit, qui est au-delà de la portée de l’esprit de l’homme. Les gens veulent seulement être en mesure de répondre à Ses exigences, de satisfaire Ses désirs ; ils ne souhaitent pas Le dépasser, parce que l’œuvre qu’Il fait est au-delà de la pensée et de l’imagination de l’homme, et l’homme ne peut pas s’y substituer. Même l’homme lui-même ne connaît pas ses propres inaptitudes, tandis que Dieu a tracé un nouveau chemin et est venu pour amener l’homme dans un monde plus nouveau et plus beau, de sorte que l’humanité a fait de nouveaux progrès et a connu un nouveau départ. Ce que les gens ressentent pour Dieu n’est pas de l’admiration, ou plutôt, n’est pas seulement de l’admiration. Leur expérience la plus profonde est la révérence et l’amour ; leur sentiment est que Dieu est vraiment merveilleux. Il fait une œuvre que l’homme est incapable de faire et dit des choses que l’homme est incapable de dire. Les gens qui ont fait l’expérience de l’œuvre de Dieu ont toujours un sentiment indescriptible. Les gens dont l’expérience est assez profonde peuvent comprendre l’amour de Dieu ; ils peuvent percevoir Sa beauté, percevoir que Son œuvre est si sage, si merveilleuse, et cela génère ainsi une puissance infinie parmi eux. Ce n’est pas une peur, ou un amour et un respect d’occasion, mais un sentiment profond de la compassion de Dieu pour l’homme et de Sa tolérance de l’homme. Cependant, les personnes qui ont expérimenté Son châtiment et Son jugement sentent qu’Il est majestueux et qu’Il ne tolère aucune offense. Même les gens qui ont fait l’expérience d’une grande partie de Son œuvre sont incapables de Le sonder ; tous les gens qui Le vénèrent vraiment savent que Son œuvre n’est pas conforme aux notions des gens, mais va toujours à l’encontre de leurs notions. Il n’a pas besoin que les gens L’admirent sans réserve ou qu’ils projettent l’apparence de Lui être soumis, mais plutôt qu’ils aient une vraie vénération et une vraie soumission. Dans une si grande partie de Son œuvre, tout individu faisant une véritable expérience sent une vénération pour Lui, ce qui est plus élevé que l’admiration. Les gens ont vu Son tempérament à cause de Son œuvre de châtiment et de jugement, et donc ils Le vénèrent dans leur cœur. Dieu doit être vénéré et obéi, parce que Son être et Son tempérament ne sont pas les mêmes que ceux d’un être créé et sont supérieurs à ceux d’un être créé. Dieu existe en Lui-même et pour l’éternité et Il est un être incréé, et Lui seul est digne de vénération et d’obéissance ; l’homme n’est pas qualifié pour cela. Ainsi, tous ceux qui ont expérimenté Son œuvre, et L’ont vraiment connu, ont un sentiment de vénération à Son égard. Cependant, ceux qui n’abandonnent pas leurs notions à Son sujet, ceux qui tout simplement ne Le considèrent pas comme Dieu, n’ont pas de vénération pour Lui, et même s’ils Le suivent, ils ne sont pas conquis ; ce sont des gens désobéissants par nature. Il œuvre de cette façon pour que tous les êtres créés aient un cœur de révérence envers le Créateur, L’adorent et se soumettent à Sa domination sans condition. Tel est le résultat final que toute Son œuvre vise à atteindre.
Extrait de « L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair
26. S’il revenait à l’homme de faire ce travail, alors ce travail serait trop limité : il pourrait emmener l’homme jusqu’à un certain niveau, mais il ne serait pas en mesure de le conduire jusqu’à la destination éternelle. L’homme ne peut pas décider du destin de l’homme et, en plus, l’homme n’est pas en mesure de garantir les perspectives et la destination future de l’homme. Cependant, l’œuvre accomplie par Dieu est différente. Étant donné qu’Il a créé l’homme, Il le conduit ; étant donné qu’Il sauve l’homme, Il le sauvera entièrement et le gagnera complètement ; étant donné qu’Il conduit l’homme, Il l’emmènera à la bonne destination ; et étant donné qu’Il a créé l’homme et qu’Il le gère, Il doit assumer la responsabilité de son destin et de ses perspectives. Telle est l’œuvre accomplie par le Créateur.
Extrait de « Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination », dans La Parole apparaît dans la chair