Annexe 2 : Comment Noé et Abraham ont écouté les paroles de Dieu et se sont soumis à Lui (Partie I) Section 4
Les personnes dont Je viens juste de parler à propos des poules et des œufs ont-elles fait preuve d’obéissance et de soumission ? (Non.) Comment considéraient-elles les paroles de Dieu ? Comme une brise soufflant à leurs oreilles, et dans leurs esprits, elles avaient un certain point de vue : « Tu dis ce que tu as à dire, et je ferai ce que j’ai à faire. Je me fiche de tes exigences ! Il suffit que je te fournisse des œufs à manger – qui se préoccupe de savoir quels œufs tu manges ? Tu veux manger des œufs biologiques ? Aucune chance. Continue à rêver ! Tu m’as demandé d’élever des poules, et c’est ainsi que je les élève, mais tu rajoutes tes propres exigences à cela – as-tu le droit d’en parler ? » Ces personnes pratiquent-elles l’obéissance et la soumission ? (Non.) Qu’essaient-elles de faire ? Elles essaient de se révolter ! La maison de Dieu est l’endroit où Dieu parle et œuvre, et c’est un lieu où la vérité règne ; si, lorsque Dieu leur a dit quelque chose en face, ces gens n’ont pas obéi et ne se sont pas soumis, peuvent-ils pratiquer la parole de Dieu derrière Son dos ? C’est encore plus improbable ! De peu probable à encore moins probable : au vu de ces deux choses, Dieu est-Il leur Dieu ? (Non.) Alors qui est leur dieu ? (Eux-mêmes.) C’est vrai, ils se considèrent comme un dieu, ils croient en eux-mêmes. Dans ce cas, que font-ils encore ici ? Puisqu’ils sont leur propre dieu, que font-ils en brandissant la bannière de la croyance en Dieu ? Ne s’agit-il pas d’une tromperie à l’égard des autres ? Ne se trompent-ils pas eux-mêmes ? Si ces personnes adoptent cette attitude à l’égard de Dieu, sont-elles capables d’obéir ? (Absolument pas.) Même pour une chose aussi mineure, elles sont incapables d’obéir à la parole de Dieu ou de se soumettre à Dieu, les paroles de Dieu n’ont pas d’effet sur elles, elles ne les acceptent pas et ne peuvent pas s’y soumettre. De telles personnes peuvent-elles être sauvées ? (Non.) Alors à quelle distance sont-elles du salut ? Trop loin, même pas à côté ! Intérieurement, Dieu veut-Il sauver ceux qui n’obéissent pas à Ses paroles, qui se dressent contre Lui ? Certainement pas. Même les gens, qui évaluent cela selon leurs propres pensées, ne seraient pas disposés à le faire. Si des diables et des Satans de ce genre prenaient position contre toi, se dressaient contre toi à tous égards, les sauverais-tu ? Impossible. Personne ne veut sauver de tels individus. Personne ne veut se lier d’amitié avec des gens pareils. Dans cette histoire d’élevage de poules – tout insignifiante qu’elle est – la nature des gens a été exposée ; dans une affaire aussi insignifiante, les gens ont été incapables d’obéir à ce que Je disais. N’est-ce pas un problème grave ?
Parlons à présent d’une affaire qui concerne des moutons. Bien sûr, elle concerne encore des personnes. Le printemps était arrivé. Il faisait chaud et les fleurs étaient écloses. La verdure était florissante, l’herbe verdoyait. Tout commençait à respirer la vie. Les moutons avaient mangé du foin tout l’hiver, et ne voulaient plus en manger, ainsi attendaient-ils avec impatience que le gazon reverdisse et qu’ils puissent manger de l’herbe fraîche. Il se trouve que c’était aussi le moment où les brebis donnaient naissance aux agneaux, ce qui signifie qu’il était encore plus nécessaire qu’ils mangent de l’herbe verte. Plus l’herbe était de bonne qualité et était abondante, plus les brebis produiraient de lait et plus les agneaux grandiraient vite. Les gens s’en réjouiraient également, car c’était quelque chose que l’on attendait avec impatience : avoir un bel agneau bien gras à manger à l’arrivée de l’automne. Et puisque les gens avaient quelque chose à attendre avec impatience, auraient-ils dû trouver des moyens de donner aux agneaux plus de bonne herbe à manger, de les nourrir pour qu’ils soient robustes et gras ? N’auraient-ils pas dû se dire : « L’herbe du pré n’est pas bonne en ce moment. Les agneaux vont grandir lentement s’ils la broutent. Où y a-t-il de la bonne herbe ? » N’auraient-ils pas dû faire un petit effort dans ce sens ? Or qui sait ce que pensait celui qui s’occupait des moutons ? Un jour, Je suis allé les voir. J’ai vu que les agneaux se portaient bien et qu’ils sautaient en voyant des gens, posant leurs pattes avant sur les tibias des gens pour les atteindre et leur parler. Certains agneaux avaient des cornes, alors Je Me suis accroché à ces petites cornes et J’ai joué avec eux. Ces agneaux se portaient bien, mais étaient très maigres et secs. J’ai pensé que les moutons étaient doux et que leur laine n’était pas épaisse, tout en étant chaude, et Je Me suis dit qu’il serait préférable de les engraisser un peu. En pensant à cela, J’ai demandé à celui qui élevait les moutons : « Cette herbe est-elle de mauvaise qualité ? N’y en a-t-il pas assez dans le pré pour que les moutons puissent paître ? Faudrait-il retourner la terre et planter de nouveaux pâturages pour qu’ils aient assez à manger ? » Il a dit : « Il n’y a pas assez d’herbe verte à manger. Pour l’instant, les moutons mangent encore du foin. » En entendant cela, J’ai dit : « Ne sais-tu pas quelle saison nous sommes ? Pourquoi les fais-tu encore manger du foin ? Les brebis ont mis bas aux agneaux, elles devraient manger de la bonne herbe verte. Pourquoi leur fais-tu encore manger du foin ? Avez-vous songé à une solution pour cela ? » Il a avancé un tas d’excuses. Quand Je lui ai dit de labourer le pré, il a répondu qu’il ne pouvait pas le faire, sinon les moutons n’auraient rien à manger pour l’instant. Que pensez-vous après avoir entendu tout cela ? Éprouvez-vous un quelconque sentiment de fardeau ? (J’aurais pensé à des moyens de trouver un bon pâturage, ou j’aurais fauché de l’herbe ailleurs.) C’est une façon de résoudre le problème. Tu dois réfléchir à une solution. Ne te contente pas de te remplir le ventre et d’oublier tout le reste : les moutons doivent aussi manger à leur faim. Plus tard, J’ai dit à quelques autres : « Ce pré peut-il être labouré ? Même si vous plantez en automne, les moutons pourront manger de l’herbe verte l’année prochaine. De plus, à d’autres endroits, il y a deux prés : peut-on y amener les moutons tous les jours pour qu’ils mangent de l’herbe fraîche ? Si on effectue une rotation des deux prés, les moutons ne pourront-ils pas manger de l’herbe fraîche ? » Ce que J’ai dit était-il facile à faire ? (Oui.) Certains ont dit : « C’est plus facile à dire qu’à faire. Tu dis toujours que les choses sont faciles à faire : comment cela peut-il être si facile ? Il y a tant de moutons, et quand ils courent partout, ils ne sont pas faciles du tout à garder. » Le simple fait de garder les moutons était très pénible pour eux, ils avaient tant d’excuses et de difficultés, mais ils ont fini par accepter. Quelques jours plus tard, Je suis retourné voir. L’herbe avait tellement poussé qu’elle était presque à hauteur de la taille. Je Me suis demandé comment elle avait pu atteindre une telle hauteur alors que les moutons la broutaient. Après avoir posé quelques questions, J’ai compris : les moutons n’avaient pas du tout été mis au pâturage ici. Les gens avaient aussi une excuse : « Il n’y a pas d’abri dans ce pré, les moutons avaient trop chaud. » J’ai dit : « Alors pourquoi ne pas simplement leur construire un abri ? Il n’y a que quelques moutons. Qu’est-ce que vous faites ici ? N’êtes-vous pas censés gérer ces affaires simples ? » Ils ont répondu : « Nous ne trouvons personne pour le construire. » J’ai dit : « Il y a des gens pour faire d’autres choses, pourquoi n’y a-t-il personne pour faire cela ? As-tu cherché quelqu’un ? Tout ce qui t’intéresse, c’est de manger les moutons, pas de les élever. Comment peux-tu être aussi égoïste ? Tu veux manger de l’agneau, mais tu ne leur permets pas de manger de l’herbe verte : comment peux-tu être aussi immoral ? » Une fois qu’ils y ont été contraints, l’abri a été construit et les moutons ont pu manger de l’herbe verte. Était-ce facile pour eux de manger un peu d’herbe fraîche ? Quelque chose d’aussi simple était si difficile à réaliser pour ces gens. À chaque étape, ils avançaient des excuses. Quand ils avaient une excuse, quand il y avait une difficulté quelconque, ils abandonnaient et attendaient que Je vienne régler la situation. Je devais toujours suivre ce qui se passait, Je devais toujours garder un œil sur cela, Je devais toujours leur mettre la pression : Je ne pouvais pas ne pas leur mettre la pression. Pourquoi aurais-Je dû M’inquiéter pour quelque chose d’aussi insignifiant que de nourrir les moutons ? Je prépare tout pour vous, alors pourquoi faut-il faire tant d’efforts pour que vous obéissiez à quelques-unes de Mes paroles ? Est-ce que Je te demande d’escalader une montagne de couteaux ou de nager dans une mer de feu ? Ou est-ce trop difficile à mettre en œuvre ? Cela ne relève-t-il pas de ta responsabilité ? Tu as le pouvoir de réaliser tout cela, c’est à la portée de tes capacités. Ce n’est pas trop demander. Comment se fait-il que tu ne sois pas en mesure de le faire ? Où se situe le problème ? T’ai-Je demandé de construire une arche ? (Non.) Alors quelle est l’ampleur de la différence entre ce qu’on t’a demandé de faire et la construction d’une arche ? Elle est énorme. La tâche qu’on t’a demandé de faire ne prendrait qu’un ou deux jours. Il suffirait de quelques mots. C’était réalisable. Construire l’arche était une entreprise d’envergure, un projet sur 100 ans. J’ose dire que si vous étiez nés à la même époque que Noé, pas un seul d’entre vous n’aurait été capable d’obéir aux paroles de Dieu. Quand Noé a obéi aux paroles de Dieu, quand il a construit l’arche, petit à petit, comme Dieu l’avait ordonné, vous auriez été les gens qui se tenaient sur le côté, ralentissaient Noé, le raillaient, se moquaient de lui et riaient de lui. Vous êtes absolument ce genre de personne. Tu es totalement dépourvu d’une attitude obéissante et soumise. Au contraire, tu demandes à Dieu de te montrer une grâce particulière, et de te bénir et t’éclairer particulièrement. Comment peux-tu être aussi éhonté ? D’après vous, laquelle des choses dont Je viens de parler relève de Ma responsabilité ? Laquelle dois-Je faire ? (Aucune d’entre elles.) Toutes ces choses sont des affaires humaines. Ce ne sont pas Mes affaires. Je devrais pouvoir vous laisser seuls. Alors pourquoi dois-Je M’en mêler ? Je ne le fais pas parce que c’est Mon obligation, mais pour votre propre bien. Aucun d’entre vous ne se préoccupe de cela, aucun d’entre vous n’a pris cette responsabilité, aucun d’entre vous n’a ces bonnes intentions, alors Je dois M’en préoccuper davantage. Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’obéir et de coopérer, c’est très simple ; or vous n’êtes même pas capables de faire ça. Êtes-vous seulement humains ?
Il s’est également produit un incident encore plus grave. Il y avait un endroit où l’on construisait un bâtiment. Le bâtiment était plutôt haut et couvrait une surface assez grande. Un assez grand nombre de meubles étaient disposés à l’intérieur, et pour que cela soit plus pratique de les déplacer, il fallait au moins une double porte de 240 centimètres de haut minimum. Des gens normaux auraient pensé à tout cela. Or quelqu’un a insisté pour installer une porte simple d’environ 180 centimètres de haut. Il a ignoré les suggestions de tout le monde, peu importe de qui elles venaient. Cette personne était-elle distraite ? C’était un parfait vaurien. Plus tard, quand quelqu’un M’a raconté cela, J’ai dit à cette personne : « Tu dois installer une porte double, et elle doit être plus haute. » Il a accepté à contrecœur. Enfin, en apparence, il a accepté, mais qu’a-t-il dit en privé ? « Quel est l’intérêt qu’elle soit si haute ? Qu’y a-t-il de mal à ce qu’elle soit plus basse ? » Plus tard, Je suis retourné voir. Une seule porte supplémentaire avait été ajoutée, mais la hauteur était la même. Et pourquoi la hauteur était-elle la même ? Était-il impossible de construire une porte plus haute ? Ou bien la porte aurait-elle fini par toucher le plafond ? Quel était le problème ? Le problème était qu’il ne voulait pas obéir. Ce qu’il pensait vraiment, c’était : « Est-ce à toi d’en décider ? C’est moi le patron ici, c’est moi qui décide. Les autres font ce que je dis, et non l’inverse. Qu’est-ce que tu en sais ? T’y connais-tu en construction ? » Le fait de ne pas M’y connaître en construction signifie-t-il que Je ne pouvais pas voir à quoi ressemblaient les proportions ? Avec une porte aussi basse dans un bâtiment aussi haut, quand quelqu’un de plus d’un mètre quatre-vingt-dix entrera, s’il ne se baisse pas, il se cognera la tête contre le linteau. Quel genre de porte était-ce ? Je n’avais pas besoin de M’y connaître en construction. À ton avis, Mon point de vue sur cette affaire était-il raisonnable ? Était-il concret ? Pourtant, ce côté concret était incompréhensible pour cet individu. Tout ce qu’il savait, c’était suivre les règlements en disant : « Les portes d’où je viens sont toutes comme ça. Pourquoi aurais-je dû en installer une de la hauteur que tu as dite ? Tu m’as demandé de le faire, et voilà comment je m’y suis pris. Si tu ne m’es d’aucune utilité, oublie cela ! C’est comme ça que je fais les choses, et je ne vais pas T’obéir ! » Quel genre de chose était cet individu ? Pensez-vous qu’il pourrait encore être utilisé par la maison de Dieu ? (Non.) Alors que faire dans la mesure où il ne peut pas être utilisé ? Bien que ces gens-là fassent quelques efforts symboliques dans la maison de Dieu, et ne soient pas mis à la porte tout de suite, et bien que les frères et sœurs soient capables de les tolérer, et que Je sois capable de les tolérer, quand il s’agit de leur humanité – oublions le fait qu’ils comprennent ou non la vérité –, en travaillant et en vivant dans un environnement tel que la maison de Dieu, sont-ils susceptibles de rester dans les parages ? (Non.) Devons-nous les mettre dehors ? (Non.) Sont-ils susceptibles de rester dans l’Église sur le long terme ? (Non.) Pourquoi pas ? Mettons de côté la question de savoir s’ils peuvent comprendre ce qu’on leur dit. Leur tempérament étant ce qu’il est, après avoir fait quelques efforts symboliques, ils commencent à prendre de grands airs, essayant de décider de tout. Cela peut-il fonctionner dans la maison de Dieu ? Ils ne sont rien, pourtant, ils pensent qu’ils sont plutôt bons, qu’ils sont un pilier, et un soutien essentiel dans la maison de Dieu, où ils accomplissent des méfaits avec insouciance et essaient de décider de tout. Ils rencontreront forcément des problèmes et ne resteront pas longtemps. Avec des gens pareils, même si la maison de Dieu ne les met pas à la porte, une fois qu’ils auront passé un certain temps ici, ils remarqueront que, dans la maison de Dieu, les gens parlent toujours de la vérité, des principes ; cela ne les intéresse pas, leur mode opératoire n’a aucune utilité ici. Peu importe où ils vont et ce qu’ils font, ils sont incapables de coopérer avec les autres, et ils veulent toujours décider de tout. Mais cela ne fonctionne pas, et ils se retrouvent limités à tous égards. À mesure que le temps passe, la plupart des frères et sœurs en viennent à comprendre la vérité et les principes ; alors que ces personnes essaient de faire ce qu’elles veulent, d’être le patron et de prendre toutes les décisions, et qu’elles n’agissent pas selon les principes, beaucoup de gens leur jettent des regards dédaigneux : sont-elles capables de supporter cela ? Le moment venu, elles sentiront qu’elles sont incompatibles avec ces gens-là, qu’elles n’ont naturellement pas leur place ici, qu’elles sont au mauvais endroit : « Comment ai-je pu me retrouver accidentellement dans la maison de dieu ? Mon raisonnement était trop simpliste. Je pensais que si je faisais un petit effort, je pourrais éviter le désastre et serais béni. Il ne m’est jamais venu à l’esprit que ce ne serait pas le cas ! » Elles n’appartiennent naturellement pas à la maison de Dieu ; après être restées un certain temps, elles perdent tout intérêt, elles deviennent indifférentes et il n’est pas nécessaire de les mettre dehors : elles s’éclipsent d’elles-mêmes.
Certains disent : « Y a-t-il une chose dans laquelle Tu ne fourres pas Ton nez ? Tu es un fouineur, n’est-ce pas ? Tu ne fais qu’asseoir Ton prestige, manifester Ta présence et faire savoir aux gens Ta toute-puissance en Te mêlant des affaires des autres, n’est-ce pas ? » Dis-Moi, serait-ce normal si Je ne Me préoccupais pas de ces choses ? En réalité, Je ne veux pas prêter attention à ces choses, elles relèvent de la responsabilité des dirigeants et des ouvriers, mais si Je ne le faisais pas, cela créerait des désordres et affecterait le reste du travail. Aurais-Je à M’intéresser à ces problèmes si vous étiez capables de les résoudre, si vous faisiez ce que Je vous demande ? Si Je ne Me préoccupais pas de vous, vous ne vivriez aucune ressemblance humaine, et vous ne vivriez pas bien. Vous seriez incapables de faire quoi que ce soit par vous-mêmes. Or, malgré cela, vous ne M’obéissez toujours pas. Je vais vous parler de quelque chose d’extrêmement simple : le sujet incroyablement trivial qu’est l’hygiène et l’entretien de votre milieu de vie. Comment agissez-vous en la matière ? Si Je vais quelque part sans vous en informer à l’avance, ce sera extraordinairement désordonné, et vous devrez tout nettoyer sur-le-champ, ce qui vous contrariera et vous rendra mal à l’aise. Si Je prévenais de Ma venue, la situation ne serait alors pas si grave, mais pensez-vous que Je ne sais pas ce qui se passe dans les coulisses ? Ce ne sont là que des questions mineures, quelques-uns des points les plus simples et les plus fondamentaux de l’humanité normale. Mais vous, vous êtes paresseux à ce point. Êtes-vous vraiment capables de bien faire votre devoir ? Pendant dix ans, J’ai séjourné dans certains endroits de la Chine continentale, où J’ai enseigné aux gens à plier des couettes et à les faire sécher au soleil, à nettoyer leurs maisons et à y allumer des poêles. Mais après dix années d’enseignement, Je n’ai pas été capable de leur enseigner. Serait-ce parce que Je suis incapable d’enseigner ? Non, ces gens sont tout simplement trop minables. Plus tard, J’ai cessé d’enseigner. Lorsque Je Me rendais quelque part et que Je voyais une couette non pliée, Je faisais simplement demi-tour et Je M’en allais. Pourquoi faisais-Je cela ? Parce que Je trouvais ça malodorant et dégoûtant. Pourquoi devrais-Je rester dans un endroit pire qu’une porcherie ? Je refuse de le faire. Même ces petits problèmes sont très difficiles à changer. Si Je montais d’un cran pour suivre la voie de Dieu, et la volonté de Dieu, franchement, vous en seriez encore loin. Quel est le point principal que J’aborde aujourd’hui ? Obéir aux paroles de Dieu est très important et tu ne dois pas ignorer cela. Obéir aux paroles de Dieu ne signifie pas que tu dois analyser, étudier les paroles de Dieu, en discuter, ou les sonder, ou que tu dois en chercher le pourquoi ; au contraire, tu devrais mettre en œuvre Ses paroles et les mettre en œuvre. Quand Dieu te parle, quand Il t’ordonne d’accomplir une tâche ou te confie quelque chose, ce que Dieu souhaite voir ensuite, c’est que tu agisses, et comment tu mets cela en œuvre, étape par étape. Dieu ne Se soucie pas de savoir si tu comprends ou non cette question, ni si, dans ton cœur, tu es curieux ou as des doutes à ce sujet. Ce que Dieu regarde, c’est si tu le fais, si tu as une attitude d’obéissance et de soumission.
Je discutais par hasard avec quelques personnes des costumes pour les spectacles. Le principe de base était que la couleur et le style des costumes devaient être décents, dignes, de bon goût et élégants. Ils ne devaient pas avoir l’air de tenues étranges. De plus, il n’était pas nécessaire de dépenser trop d’argent. Ils ne devaient pas nécessairement provenir d’un couturier particulier, et encore moins était-il nécessaire de se rendre dans des magasins de marque haut de gamme pour les acheter. Mon opinion était que les costumes devaient donner aux comédiens un air élégant, décent et digne, et qu’ils devaient être présentables. Il n’y avait aucune restriction en matière de couleur, si ce n’est qu’il fallait éviter tout ce qui paraissait trop terne ou trop sombre sur scène. La plupart des autres couleurs convenaient : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet – il n’y avait aucune règle à ce sujet. Pourquoi ce principe ? La création de Dieu contient toutes les couleurs. Les fleurs sont en couleur, tout comme les arbres, les plantes et les oiseaux. Nous ne devons donc pas avoir de notions ou de règles concernant la couleur. Après avoir dit cela, J’ai eu peur qu’ils ne comprennent pas. Je les ai interrogés à nouveau, et Je n’ai été rassuré que lorsque ceux qui M’avaient entendu ont tous dit qu’ils avaient compris. Le reste pouvait être mis en œuvre selon le principe dont J’avais parlé. S’agissait-il d’une affaire simple ? Était-ce quelque chose d’important ? S’agissait-il d’une entreprise plus grande ou plus petite que la construction d’une arche ? (Plus petite.) En comparaison avec l’offrande d’Isaac par Abraham, était-ce difficile ? (Non.) Il n’y avait absolument aucune difficulté, et c’était simple, juste une question d’habillement. Les gens sont exposés à l’habillement dès leur naissance ; ce n’était pas une question difficile. Les choses étaient encore plus faciles à réaliser pour les gens quand Je définissais un certain principe. L’essentiel était de savoir s’ils obéissaient et s’ils étaient prêts à le faire. Au bout d’un certain temps, alors que quelques spectacles et films avaient été produits, J’ai constaté que tous les costumes des personnages principaux étaient bleus. J’y ai réfléchi : « Y a-t-il un problème dans l’esprit de ceux qui produisent ces spectacles ? J’ai été très clair dans Mes propos. Je n’ai pas établi de règle selon laquelle les costumes devaient être bleus et quiconque ne porterait pas de bleu ne serait pas autorisé à monter sur scène. Qu’est-ce qui ne va pas chez ces gens-là ? Qu’est-ce qui les poussait et les dominait ? Les tendances du monde extérieur ont-elles changé de sorte que les gens ne portent plus que du bleu ? Non. Le monde extérieur n’a pas de règles concernant la couleur et le style, les gens portent toutes sortes de couleurs. Il est donc étrange qu’une telle situation se produise dans notre Église. Qui fait la vérification finale des costumes ? Qui contrôle cette affaire ? Y a-t-il quelqu’un qui tire les ficelles ? » Il y avait effectivement quelqu’un qui tirait les ficelles ; en conséquence, quel que soit le style, tous les costumes, sans exception, étaient bleus. Ce que J’avais dit n’avait rien changé. Ils avaient déjà déterminé que tous les vêtements devaient être bleus : les gens ne porteraient que du bleu. Le bleu représentait la spiritualité et la sainteté, c’était la couleur de la maison de Dieu. Si leurs costumes n’étaient pas bleus, alors ils ne laisseraient pas le spectacle avoir lieu et ils n’oseraient pas le faire. J’ai dit que c’en était fini pour ces gens. C’était une chose tellement simple, J’avais expliqué chaque point très clairement et Je M’étais ensuite assuré qu’ils avaient compris ; ce n’était qu’une fois que nous avions tous été d’accord que J’avais clos le sujet. Et quel a été le résultat final ? Ce que J’ai dit aurait tout aussi bien pu être du vent. Personne n’a considéré Mes propos comme étant importants. Ils ont continué à agir et à pratiquer comme ils le voulaient ; personne n’a mis en œuvre ce que J’ai dit, personne ne l’a réalisé. Que voulaient-ils vraiment dire quand ils prétendaient avoir compris ? Ces gens disaient ça pour Me faire plaisir. Ils cancanaient à longueur de journée comme ces dames d’âge mûr dans la rue. C’était également ainsi qu’ils Me parlaient et l’attitude qu’ils avaient. Alors, voilà ce que J’ai éprouvé dans Mon cœur : l’attitude que ces gens-là avaient envers Christ était leur attitude envers Dieu, et c’était une attitude très inquiétante, un signe dangereux, un mauvais signal. Voulez-vous savoir ce que cela indique ? Vous devez le savoir. Je dois vous le dire, et vous devez écouter attentivement : à en juger par ce qui se manifeste en vous, par votre attitude à l’égard des paroles de Dieu, beaucoup d’entre vous seront plongés dans le désastre ; certains d’entre vous seront plongés dans le désastre pour être punis, et d’autres pour être épurés, et le désastre ne peut être évité. Ceux qui seront punis mourront immédiatement, ils périront. En revanche, pour ceux qui seront épurés dans le désastre, si cela les rend capables d’obéir et de se soumettre, et capables de tenir bon, et qu’ils en viennent à avoir un témoignage, alors le test le plus difficile sera passé ; sinon, il n’y a pas d’espoir pour eux à l’avenir, ils seront en danger et ils n’auront pas de chances supplémentaires. M’entendez-vous clairement ? (Oui.) Cela vous semble-t-il être quelque chose de bon pour vous ? En bref, pour Moi, cela ne présage rien de bon. J’ai le sentiment que c’est mauvais signe. Je vous ai donné les faits ; le choix que vous ferez vous appartient. Je n’en dirai pas plus à ce sujet, Je ne Me répéterai pas, Je n’en parlerai plus.
Le sujet sur lequel J’ai échangé aujourd’hui concerne la manière de considérer les paroles de Dieu. Obéir aux paroles de Dieu et s’y soumettre est très important. Être capable de les exécuter, de les mettre en œuvre et en pratique est très important. Certains disent : « Même aujourd’hui, nous ne savons toujours pas comment traiter Christ, au juste. » La façon de traiter Christ est très simple : ton attitude envers Christ est ton attitude envers Dieu. Aux yeux de Dieu, ton attitude envers Dieu est ton attitude envers Christ. Bien sûr, l’attitude que tu as envers Christ est l’attitude que tu as envers Dieu au ciel. Ton attitude envers Christ est la plus réelle de toutes : elle est visible et elle est exactement ce que Dieu scrute. Les gens veulent comprendre comment traiter Dieu de la manière que Dieu souhaite, et c’est simple. Il y a trois points : le premier est la sincérité ; le deuxième est le respect, le fait d’apprendre à respecter Christ ; et le troisième – et c’est le point le plus important – est l’obéissance à Ses paroles. Obéir à Ses paroles : cela signifie-t-il écouter avec les oreilles, ou avec autre chose ? (Avec notre cœur.) Est-ce que tu as un cœur ? Si tu as un cœur, alors sers-t’en pour écouter. Ce n’est que si tu écoutes avec ton cœur que tu comprendras et que tu pourras mettre en pratique ce que tu entends. Chacun de ces trois points est très simple. Leur sens littéral devrait être facile à comprendre et, pour parler en toute logique, ils devraient être faciles à mettre en œuvre, mais la façon dont vous les mettez en œuvre et la question de savoir si vous en êtes capables dépendent de vous ; Je n’en dirai pas plus. Certains disent : « Tu n’es qu’une personne ordinaire. Pourquoi devrions-nous être sincères avec toi ? Pourquoi devrions-nous te respecter ? Pourquoi devrions-nous obéir à tes paroles ? » J’ai Mes raisons. Il y en a trois aussi. Écoutez attentivement et voyez si ce que Je dis a du sens. Si c’est le cas, vous devriez être l’accepter ; si tu sens que ce n’est pas le cas, tu peux ne pas l’accepter et chercher un autre chemin. La raison numéro un, c’est que depuis que tu as accepté cette étape de l’œuvre de Dieu, tu as mangé, bu, apprécié et lu en priant chaque parole que J’ai dite. La deuxième raison, c’est que tu reconnais toi-même que tu suis Dieu Tout-Puissant, que tu es l’un de Ses croyants. Alors peut-on dire que tu reconnais que tu suis la chair ordinaire dans laquelle Dieu est incarné ? Oui. En résumé, la raison numéro deux, c’est que tu reconnais que tu suis Dieu Tout-Puissant. La raison numéro trois est la plus importante de toutes : au sein de toute l’humanité, Moi seul vous considère comme des personnes. Ce point est-il important ? (Oui.) Lequel de ces trois points êtes-vous incapables d’accepter ? Qu’en dites-vous, est-ce que l’un de ces points dont Je viens de parler est faux, non objectif, non factuel ? (Non.) En tout, il y a donc six points. Je n’entrerai pas dans le détail de chacun d’entre eux ; méditez-les par vous-mêmes. J’ai déjà parlé longuement de ces sujets, vous devriez donc être en mesure de comprendre.
Le 4 juillet 2020
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