Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2) Section 2

V. Problèmes liés au fait de convoiter le confort de la chair

Convoiter le confort de la chair est également un problème grave. Quelles sont, selon vous, certaines manifestations qui montrent que l’on convoite le confort de la chair ? Quels exemples pouvez-vous en donner, d’après ce que vous avez constaté en faisant vos propres expériences ? Profiter des avantages du statut compte-t-il ? (Oui.) Quoi d’autre ? (Préférer les tâches faciles à celles qui sont difficiles quand on fait ses devoirs, et vouloir sans cesse choisir des travaux peu éprouvants.) Quand les gens font un devoir, ils choisissent toujours des travaux peu éprouvants, des travaux qui ne sont pas fatigants, et qui n’impliquent pas de braver les éléments à l’extérieur. C’est là choisir les tâches faciles et esquiver celles qui sont difficiles, et c’est une manifestation qui montre que l’on convoite le confort de la chair. Quoi d’autre ? (Se plaindre sans cesse quand son devoir est un peu difficile, un peu fatigant, quand il implique de payer un prix.) (Être préoccupé par la nourriture et les vêtements, et les plaisirs de la chair.) Tout cela relève de manifestations qui montrent que l’on convoite le confort de la chair. Quand un individu de ce genre voit qu’une tâche est trop laborieuse ou risquée, il l’impose à quelqu’un d’autre. Lui-même ne fait qu’un travail facile, et il se trouve des excuses, en disant qu’il est de calibre médiocre, qu’il manque de capacités de travail et ne peut pas assumer cette tâche, alors qu’en réalité, c’est parce qu’il convoite le confort de la chair. Il ne souhaite pas souffrir, peu importe le travail qu’il fait ou le devoir qu’il accomplit. Si on lui dit qu’une fois qu’il aura terminé son travail, il y aura du porc braisé au repas, il fait ce travail très vite et très efficacement, et tu n’auras pas à le presser, à le pousser ou à le surveiller, mais s’il n’y a pas de porc braisé pour lui au repas, et qu’il doit accomplir son devoir en faisant des heures supplémentaires, il temporise, et trouve toutes sortes de raisons et d’excuses pour le remettre à plus tard, et après avoir fait ce devoir un moment, il dit : « J’ai la tête qui tourne, ma jambe est engourdie, je suis épuisé ! Tout mon corps me fait mal, puis-je me reposer un peu ? » Quel est le problème, ici ? Cette personne convoite le confort de la chair. Il y a également des moments où les gens se plaignent constamment de leurs difficultés quand ils font leur devoir, des moments où ils ne veulent faire aucun effort, des moments où, dès qu’ils ont un peu de temps libre, ils se reposent, bavardent oisivement ou s’adonnent à des loisirs et des divertissements. Et quand le travail reprend et que cela casse le rythme et la routine de leur vie, ils en sont mécontents et insatisfaits. Ils râlent et se plaignent, et se mettent à faire leur devoir de façon superficielle. C’est là convoiter le confort de la chair, n’est-ce pas ? Par exemple, afin de garder la ligne, certaines femmes font de l’exercice physique et récupèrent en dormant chaque jour à heure fixe. Cependant, dès qu’il y a beaucoup de travail à faire et que leur routine quotidienne se trouve mise en péril, elles sont mécontentes et disent : « Ça ne va pas. Faire ce travail me retarde trop. Je ne peux pas le laisser affecter mes affaires personnelles. Je vais ignorer quiconque essaie de me bousculer. Je vais suivre mon propre rythme. Quand ce sera le moment de faire du yoga, j’en ferai. Quand ce sera le moment de dormir pour récupérer, je le ferai. Je vais continuer à faire cela comme je le faisais auparavant. Je ne suis pas aussi stupide et travailleuse que vous toutes. Dans quelques années, vous deviendrez toutes des vieilles femmes ordinaires, votre corps se détériorera, et vous ne serez plus minces. Personne n’aura envie de vous regarder et vous n’aurez aucune confiance en vous dans la vie. » Pour satisfaire leur plaisir charnel, par souci de leur beauté, pour être aimées des autres et pour avoir davantage confiance en elles, ces femmes refusent de renoncer aux plaisirs et aux préférences de leur chair, peu importe à quel point elles sont occupées par l’exécution de leurs devoirs. C’est là céder au confort de la chair. Certains disent : « Dieu est angoissé, et nous devrions tenir compte des intentions de Dieu. » Mais ces femmes disent : « Je n’ai pas constaté que Dieu était angoissé. Tout va bien pour moi tant que je ne suis pas angoissée. Si je tiens compte des intentions de Dieu, qui tiendra compte des miennes ? » De telles femmes ont-elles la moindre humanité ? Ne sont-elles pas des démons ? Il y a également certaines personnes qui, même si elles ont beaucoup de travail et que ce travail est pressant, ne laissent pas cela affecter leur façon de s’habiller et ce qu’elles portent. Elles passent des heures à se maquiller chaque jour et se souviennent, aussi clairement que leur propre adresse, quels vêtements porter chaque jour pour que leur tenue soit assortie à certaines paires de chaussures, et quand recevoir des soins de beauté et des massages, sans être désorientées du tout par ces choses. Cependant, quant à la part de la vérité qu’elles comprennent, quant aux vérités qu’elles ne comprennent toujours pas ou dans lesquelles elles ne sont toujours pas entrées, quant aux choses qu’elles gèrent encore avec négligence et sans loyauté, quant aux tempéraments corrompus qu’elles ont révélés, et quant aux autres problèmes de ce genre en rapport avec la vérité qui concernent l’entrée dans la vie, elles n’en savent absolument rien. Quand on leur pose des questions à ce sujet, elles en ignorent absolument tout. En revanche, quand il s’agit de questions liées aux plaisirs de la chair – comme manger, boire et s’amuser – elles peuvent en parler indéfiniment, il est impossible de les arrêter. Même si le travail de l’Église est abondant ou si leurs devoirs sont chargés, leur routine quotidienne et les conditions habituelles de leur vie ne sont jamais perturbées. Elles ne sont jamais négligentes face aux moindres détails de la vie de la chair et elles les contrôlent parfaitement, en se montrant très strictes et très sérieuses. Mais quand elles s’occupent du travail de la maison de Dieu, même quand la question est importante et même si celle-ci concerne la sécurité des frères et sœurs, elles s’en occupent négligemment. Elles ne se soucient même pas des choses qui concernent la commission de Dieu ou le devoir qu’elles devraient faire. Elles ne prennent aucune responsabilité. C’est là s’adonner au confort de la chair, n’est-ce pas ? Les gens qui s’adonnent au confort de la chair conviennent-ils pour faire un devoir ? Dès que quelqu’un parle de faire son devoir, ou de payer un prix et d’endurer des souffrances, ces gens ne cessent de secouer la tête. Ils ont de trop nombreux problèmes, ils sont pleins de récriminations et sont emplis de négativité. Les personnes de ce genre ne servent à rien, elles ne sont pas qualifiées pour faire leur devoir et elles devraient être éliminées. En ce qui concerne le fait de convoiter le confort de la chair, nous nous arrêterons là.

VI. Difficultés liées au fait de se connaître soi-même

Se connaître soi-même est l’aspect le plus essentiel de l’entrée dans la vie. Mais pour la plupart des gens, parce qu’ils n’aiment pas la vérité ou qu’ils ne la poursuivent pas, se connaître devient leur plus grande difficulté. Par conséquent, il est certain que ceux qui n’aiment pas la vérité ne peuvent pas réellement se connaître. Quels sont les aspects de la connaissance de soi ? Le premier consiste à savoir quels sont les tempéraments corrompus qui se révèlent dans ses paroles et ses actes. Parfois, il s’agira d’arrogance, d’autres fois de fourberie, ou peut-être de malveillance, d’intransigeance ou de trahison, et ainsi de suite. En outre, lorsque quelque chose arrive à une personne, elle doit s’examiner elle-même pour voir si elle a des intentions ou des motivations qui ne sont pas conformes à la vérité. Elle doit également examiner si, dans ses paroles ou ses actes, il y a quelque chose qui résiste ou se rebelle contre Dieu. En particulier, elle doit examiner si elle a le sens du fardeau à porter et si elle est loyale dans son devoir, si elle se dépense sincèrement pour Dieu, ou bien si elle se montre transactionnelle ou superficielle. La connaissance de soi, c’est aussi savoir si l’on nourrit des notions et des produits de l’imagination, des exigences extravagantes, des malentendus et des griefs à l’égard de Dieu, ou si l’on a l’intention de se soumettre. C’est savoir si l’on peut chercher la vérité, accepter comme venant de Dieu et avoir un cœur soumis à Dieu lorsqu’on aborde les situations, les personnes, les événements et les choses qu’Il orchestre. C’est savoir si l’on a une conscience et une raison et si l’on chérit la vérité. C’est savoir si l’on se soumet ou si l’on essaie d’argumenter quand les choses nous arrivent, et si l’on s’appuie sur des notions et des produits de l’imagination ou sur la recherche de la vérité dans son approche de ces questions. Tout cela relève de la connaissance de soi. Il faut se demander si l’on aime la vérité et si l’on a véritablement la foi en Dieu, à la lumière de l’attitude que l’on adopte face aux différentes situations et personnes, aux événements et aux choses. Si l’on parvient à connaître son tempérament corrompu et à voir à quel point sa rébellion contre Dieu est grande, alors on aura grandi. Mais encore, lorsqu’il s’agit d’affaires qui impliquent la façon dont on traite Dieu, il faut réfléchir pour savoir si l’on a des notions, de la crainte ou de la soumission dans son rapport au nom et à l’incarnation de Dieu, et surtout se demander quelle est son attitude à l’égard de la vérité. Chacun doit également connaître ses déficiences, sa stature, et savoir s’il possède la vérité-réalité, ainsi que si sa poursuite et le chemin qu’il suit sont corrects et conformes aux intentions de Dieu. Ce sont là autant de choses que les gens doivent savoir. En somme, les différents aspects de la connaissance de soi sont essentiellement les suivants : savoir si son calibre est élevé ou faible, connaître son caractère, connaître les intentions et les motivations de ses actes, connaître le tempérament corrompu et la nature-essence qu’il révèle, connaître ses préférences et sa poursuite, connaître le chemin que l’on suit, connaître sa vision des choses, connaître ses perspectives sur la vie et les valeurs, et connaître son attitude à l’égard de Dieu et de la vérité. Tels sont les principaux aspects de la connaissance de soi.

VII. Les diverses manifestations des gens dans leur façon de traiter Dieu

Les bribes de contenu suivantes sur l’entrée dans la vie concernent les diverses manifestations des gens dans leurs façons de traiter Dieu. Par exemple, il y a le fait d’avoir des notions sur Dieu, le fait de mal Le comprendre et de se méfier de Lui, d’avoir des exigences déraisonnables à Son égard, de vouloir sans cesse L’éviter, de ne pas aimer les paroles qu’Il prononce et de chercher constamment à Le scruter. Il y a également le fait d’être incapable de percer à jour ou de reconnaître la toute-puissance de Dieu, ainsi que le fait de toujours avoir une attitude dubitative envers la souveraineté, les arrangements et l’autorité de Dieu, et de n’avoir absolument aucune connaissance de ces choses. En outre, il y a le fait de ne pas arriver à éviter ou à refuser les calomnies et les blasphèmes que les non-croyants et le monde lancent contre Dieu et, au contraire, de vouloir demander si ces calomnies et blasphèmes sont vrais ou factuels. N’est-ce pas là douter de Dieu ? Outre ces manifestations, y en a-t-il d’autres ? (Le fait de se méfier de Dieu et de Le tester.) (Le fait d’essayer de se faire bien voir de Dieu.) (Le fait de refuser d’accepter l’examen de Dieu.) Il y a le fait de refuser d’accepter l’examen de Dieu tout en doutant que Dieu puisse scruter le cœur le plus intime des gens. (Il y a aussi le fait de s’opposer à Dieu.) Ceci est également une manifestation : le fait de s’opposer à Dieu et de vociférer contre Lui. Il y a le fait d’avoir une attitude dédaigneuse et méprisante quand on aborde Dieu, qu’on Lui parle et qu’on Le fréquente. Y a-t-il quoi que ce soit d’autre ? (Le fait de se montrer superficiel vis-à-vis de Dieu et de Le duper.) (Le fait de se plaindre de Dieu.) Il y a le fait de ne jamais se soumettre ou de ne jamais chercher la vérité quand on est confronté à des problèmes, de toujours argumenter pour son propre compte et de se plaindre. (Il y a aussi le fait de porter un jugement sur Dieu et de Le blasphémer.) (Le fait de rivaliser avec Dieu pour le statut.) (Le fait de marchander avec Dieu et de L’exploiter.) (Le fait de renier Dieu, de rejeter Dieu et de trahir Dieu.) Toutes ces choses constituent des problèmes essentiels. Ce sont les divers états et tempéraments corrompus qui émergent dans la façon dont les gens traitent Dieu. Voilà, pour l’essentiel, les diverses manifestations de la façon dont les gens traitent Dieu.

VIII. Les attitudes et diverses manifestations des gens dans leur façon de traiter la vérité

Un autre aspect du contenu qui porte sur l’entrée dans la vie concerne la façon dont les gens traitent la vérité. Quelles sont les manifestations liées à cet aspect ? Il y a le fait de traiter la vérité comme s’il s’agissait d’une théorie ou d’un slogan, d’un règlement, ou d’un capital permettant de vivre aux dépens de l’Église et de profiter des avantages du statut. Donnez d’autres exemples, s’il vous plaît. (Traiter la vérité comme une nourriture spirituelle.) Il y a le fait de traiter la vérité comme une nourriture spirituelle pour satisfaire ses besoins spirituels. (Ne pas accepter la vérité et avoir de l’aversion pour elle.) Il s’agit là d’une attitude vis-à-vis de la vérité. (Penser que les paroles de Dieu servent à exposer les autres, qu’elles n’ont aucun lien avec soi-même, et se considérer comme le maître de la vérité.) Vous avez décrit cette manifestation de façon tout à fait appropriée. Les gens qui affichent cette manifestation croient comprendre toutes les vérités dites par Dieu, et ils croient que les tempéraments et essences corrompus de l’homme exposés par Dieu font référence aux autres, et pas à eux. Ils se voient comme les maîtres de la vérité, et utilisent souvent les paroles de Dieu pour faire la leçon aux autres, comme si eux-mêmes n’avaient pas de tempéraments corrompus, comme s’ils étaient déjà l’incarnation de la vérité et des porte-parole de la vérité. Quel genre d’ordures sont-ils ? Ils veulent être l’incarnation de la vérité, mais ne sont-ils pas exactement comme Paul ? Paul niait que le Seigneur Jésus était Christ et Dieu. Lui-même voulait être Christ et le Fils de Dieu. Ces gens sont comme Paul, ils sont de la même engeance que lui, ce sont des antéchrists. Y a-t-il quoi que ce soit d’autre ? (Traiter les paroles de Dieu comme celles d’une personne ordinaire, et non comme la vérité qui doit être mise en pratique, et avoir une attitude dédaigneuse et négligente vis-à-vis des paroles de Dieu.) Le fait de ne pas traiter les paroles de Dieu comme la vérité qui doit être acceptée et mise en pratique, mais de les traiter comme des paroles humaines constitue un autre exemple. (Il y a le fait de relier les paroles de Dieu aux philosophies et aux théories des non-croyants.) Il y a le fait de relier les paroles de Dieu à des philosophies, de traiter les paroles de Dieu comme des ornements ou des paroles vides de sens, tout en considérant les dictons connus des célébrités et des personnages éminents comme la vérité, le fait de traiter la connaissance, la culture traditionnelle et les coutumes comme la vérité, et de remplacer les paroles de Dieu par tout cela. Les gens qui affichent cette manifestation disent constamment vouloir pratiquer la vérité, rendre témoignage aux paroles de Dieu et les diffuser quand ils sont confrontés à des situations, mais dans leur cœur, ils admirent ces gens célèbres et éminents du monde séculier, et ils idolâtrent même Bao Gong, de l’ancienne dynastie des Song, disant : « C’était vraiment un juge strict et impartial. Il n’a jamais rendu un verdict injuste, il n’y a jamais eu la moindre erreur judiciaire de son fait, ni aucune âme victime de la lame de son bourreau ! » N’est-ce pas là idolâtrer et admirer une personne célèbre et un sage ? Essayer de faire passer les mots et les actes de gens célèbres pour la vérité, c’est calomnier et blasphémer la vérité ! Dans l’Église, les gens de ce genre parlent beaucoup de leur volonté de pratiquer la vérité et de diffuser les paroles de Dieu, mais ce qu’ils pensent intérieurement et ce qu’ils disent en général, ce ne sont que des dictons et des proverbes populaires, qu’ils expriment de façon très rôdée et avec aisance. Ils ont constamment ces choses sur les lèvres et elles leur viennent facilement. Ils n’ont jamais dit un mot de leur expérience et de leur compréhension des paroles de Dieu, et encore moins ont-ils jamais dit quelles paroles de Dieu leur servaient de critère ou étaient à la base de leurs actes et de leur conduite. Tout ce qu’ils disent, ce sont des idées fausses comme : « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », « Les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes », « Les gens pitoyables ont toujours quelque chose de méprisable », « Laisse-toi toujours une marge de manœuvre », « Je n’ai peut-être pas gagné le moindre crédit, mais j’ai essayé et j’ai quand même travaillé dur », « Ne brûle pas le pont après avoir traversé le fleuve. Ne tue pas l’âne après avoir déchargé la meule », « Punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres, faire en sorte que la punition de cette personne serve d’avertissement aux autres » et « Les nouveaux responsables sont désireux d’impressionner », entre autres. Rien de ce qu’ils disent n’est la vérité. Certains mémorisent les vers de poètes contemporains et ils les publient même dans la section « Commentaires » des vidéos de la maison de Dieu. N’est-ce pas la manifestation d’un manque de compréhension spirituelle ? Ces paroles sont-elles la vérité ? Ont-elles un lien avec la vérité ? Certaines personnes disent souvent des choses comme : « Il y a un dieu trois pieds au-dessus de toi » et « Le bien et le mal seront récompensés au bout du compte, c’est juste une question de temps. » Ces affirmations sont-elles la vérité ? (Non.) D’où viennent-elles ? Les trouve-t-on dans les paroles de Dieu ? Elles viennent de la culture bouddhiste et n’ont rien à voir avec la croyance en Dieu. Malgré cela, les gens essaient souvent de hisser ces affirmations au niveau de la vérité. C’est la manifestation d’un manque de compréhension spirituelle. Certains individus font preuve d’un peu de détermination afin de se dépenser pour Dieu, et ils disent : « La maison de Dieu m’a promu, Dieu m’a élevé, je dois donc être à la hauteur du dicton : “Un gentleman sacrifie sa vie pour ceux qui le comprennent.” » Tu n’es pas un gentleman, et Dieu ne t’a pas demandé de sacrifier ta vie. Est-il nécessaire d’avoir un sens du courage aussi élevé quand on fait des devoirs ? Tu ne peux même pas mener à bien tes devoirs alors que tu es en vie, y a-t-il le moindre espoir que tu le fasses dans la mort ? Comment feras-tu tes devoirs à ce moment-là ? D’autres disent : « Je suis naturellement loyal, je suis quelqu’un de courageux et passionné. J’aime tout risquer pour mes amis. C’est la même chose avec Dieu : puisqu’Il m’a choisi, promu et élevé, je dois rendre la pareille à Dieu pour Sa grâce. Je vais assurément tout risquer pour Dieu, même jusqu’à ma mort ! » Est-ce la vérité ? (Non.) Dieu a prononcé tant de paroles, pourquoi ces gens ne se souviennent-ils pas d’une seule d’entre elles ? Constamment, ce sur quoi ils échangent revient simplement à déclarer : « Il n’y a rien d’autre à dire. Un gentleman sacrifie sa vie pour ceux qui le comprennent, et on doit tout risquer pour ses amis et être loyal. » Ils ne peuvent même pas prononcer l’expression : « rendre à Dieu Son amour. » Après avoir écouté des sermons et lu les paroles de Dieu pendant tant d’années, ils ne connaissent pas une seule vérité, et ils ne peuvent même pas dire deux ou trois termes spirituels, voilà leur compréhension intime et leur définition de la vérité. Dites-Moi, n’est-ce pas pitoyable ? N’est-ce pas risible ? N’est-ce pas la manifestation d’un manque de compréhension spirituelle ? Après avoir écouté tant de sermons, ils ne comprennent pas la vérité et ne savent pas ce qu’est la vérité, pourtant, ils utilisent effrontément ces paroles démoniaques, ridicules, absurdes et totalement risibles pour remplacer la vérité. Non seulement leur pensée et leur compréhension intimes sont comme ça, mais aussi, constamment, ils diffusent cela et l’enseignent aux autres, ce qui amène les gens à avoir la même compréhension qu’eux. Cela ne s’accompagne-t-il pas quelque peu d’une nature qui consiste à provoquer interruptions et perturbations ? Il semble que ces gens qui ne comprennent pas la vérité et qui manquent de compréhension spirituelle soient dangereux, qu’ils soient capables de provoquer interruptions et perturbations, et de faire des choses ridicules et absurdes à tout moment et en tout lieu. Quelles sont certaines des autres manifestations de la façon dont les gens traitent la vérité ? (Mépriser la vérité, accepter uniquement ce qui s’aligne sur ses propres notions, rejeter ce qui ne s’aligne pas sur ses propres notions et refuser de le pratiquer.) Accepter et pratiquer uniquement ce qui s’aligne sur ses propres notions et résister et condamner systématiquement ce qui ne s’aligne pas sur ses notions : il s’agit là d’une attitude. (Ne pas croire que la vérité peut résoudre ses tempéraments corrompus ou les changer.) Ne pas reconnaître la vérité ou ne pas croire à la vérité constitue également une attitude. Une autre manifestation est que l’attitude et le point de vue vis-à-vis de la vérité changent en fonction de l’humeur, de l’environnement et des émotions. Ces gens, quand ils se sentent bien et qu’ils sont de bonne humeur, pensent : « La vérité est formidable ! La vérité est la réalité de toutes les choses positives. Pour les êtres humains, c’est la chose la plus digne d’être pratiquée et diffusée. » Quand ils sont de mauvaise humeur, ils pensent : « Qu’est-ce que la vérité ? Quels avantages y a-t-il à pratiquer la vérité ? Peut-elle te faire gagner de l’argent ? Que peut changer la vérité ? Que peut-il se passer si tu pratiques la vérité ? Je refuse de la pratiquer, quelle différence cela fait-il ? » La nature démoniaque de ces gens apparaît. Ces manifestations sont les tempéraments et les divers états qu’ils révèlent dans leur façon de traiter la vérité. Quelles sont certaines des autres manifestations spécifiques ? (Ne pas traiter les paroles de Dieu comme la vérité ou la vie, mais les analyser et les scruter.) Il y a le fait d’aborder les paroles de Dieu en ayant une attitude académique, en analysant et en scrutant sans cesse la vérité sur la base de leurs connaissances, sans aucune attitude d’acceptation et de soumission. Voilà, peu ou prou, les difficultés que l’on rencontre dans la façon dont les gens traitent la vérité, difficultés qui peuvent être définies et résumées sous forme de rubriques.

Il y a huit aspects au total dans notre contenu sur les difficultés de l’entrée dans la vie et il s’agit des principales difficultés associées à l’entrée dans la vie et au fait d’atteindre le salut. Les états et tempéraments révélés par les gens dans le cadre de ces huit aspects sont tous exposés dans les paroles de Dieu. Dieu a établi des exigences pour les gens et Il leur a indiqué le chemin de pratique. Si les gens peuvent faire porter leurs efforts sur les paroles de Dieu, adopter une attitude sérieuse, une attitude de désir ardent, et s’ils peuvent endosser un fardeau pour leur propre entrée dans la vie, alors ils peuvent trouver dans les paroles de Dieu les vérités pertinentes pour résoudre ces huit types de problèmes, et il y a des chemins de pratique pour chacun d’entre eux. Aucun d’entre eux ne constitue un défi insoluble ou un quelconque mystère. Cependant, si tu ne portes absolument aucun fardeau pour ta propre entrée dans la vie, et que tu ne t’intéresses pas du tout à la vérité ou au fait de changer ton tempérament, alors les paroles de Dieu auront beau être claires et précises, elles resteront de simples textes et de simples doctrines pour toi. Si tu ne poursuis pas la vérité ou que tu ne la pratiques pas, alors quels que soient tes problèmes, tu ne pourras pas trouver de solution, et il te sera très difficile d’atteindre le salut. Tu resteras peut-être à jamais à un stade où tu seras un exécutant, tu resteras peut-être à jamais à un stade où tu seras incapable d’atteindre le salut et où tu seras détesté et abandonné, et éliminé par Dieu.

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