Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (27) Section 5

J. Être hésitant

« Être hésitant » constitue la dixième manifestation. Quelles sont les manifestations spécifiques des individus qui sont hésitants ? Tout d’abord, les doutes les plus importants que ces individus ont à propos du fait de croire en Dieu sont : « Dieu existe-t-il vraiment ? Y a-t-il un domaine spirituel ? L’enfer existe-t-il ? Ces paroles prononcées par dieu sont-elles la vérité ? Les gens disent que cette personne est dieu incarné, mais je n’ai vu aucun aspect qui le fasse ressembler à dieu incarné ! Alors, où se trouve l’esprit de dieu, exactement ? Est-ce que dieu existe vraiment, ou pas ? » Ils ne sont jamais à même de résoudre clairement ces questions. Ils voient qu’il y a beaucoup de gens qui croient en Dieu et se disent : « Dieu doit exister. Il existe probablement. J’espère qu’il existe. En tout cas, je n’ai rien perdu à croire en dieu ; personne ne m’a maltraité. J’ai entendu dire que faire son devoir peut apporter des bénédictions et une bonne destination, et que, grâce à cela, j’échapperai à la mort dans le futur. Alors j’imagine que je vais simplement suivre le mouvement et croire. » Après avoir cru pendant un certain temps, ils voient que certaines personnes font face à des épreuves et à de l’adversité, et ils commencent à se demander : « Croire en dieu n’est-il pas supposé apporter des bénédictions ? Certaines personnes sont tombées gravement malades et sont mortes, certaines ont été arrêtées et persécutées à mort par le grand dragon rouge, et d’autres sont tombées malades et ont vu des désastres s’abattre sur leur famille pendant qu’elles faisaient leur devoir. Pourquoi dieu ne les a-t-elles pas protégées ? Alors, dieu existe-t-il vraiment, oui ou non ? S’il existe, ces choses n’auraient jamais dû se produire ! » Certaines personnes bien intentionnées échangent sur la vérité avec ces individus en disant : « Dieu est souverain sur toutes choses et les destins des gens sont orchestrés par la main de Dieu. Les gens devraient accepter ces choses comme venant de Dieu et s’offrir à l’orchestration de Dieu. Tout ce que Dieu fait est bon. » Ce à quoi ces individus hésitants répondent : « Je ne vois pas ce qu’il y a de bon à cela ! Subir des catastrophes, est-ce une bonne chose ? Tomber gravement malade ou attraper une maladie incurable, est-ce une bonne chose ? Mourir est encore pire. Dieu existe-t-il oui ou non ? Je ne le sais pas. » Ils sont toujours pleins de doutes à propos de Dieu. Lorsqu’ils voient de nombreuses personnes faire leur devoir, qu’ils voient le travail de la maison de Dieu prendre de plus en plus d’ampleur et l’Église prospérer jour après jour, ils ont le sentiment que Dieu doit exister. À fortiori, lorsqu’ils entendent les frères et sœurs porter témoignage des signes et des miracles que Dieu a accomplis et de la grâce qu’ils ont reçue de Lui, ces individus hésitants ont encore plus intensément le sentiment que : « Dieu existe assurément ! Même si les gens ne peuvent pas voir l’esprit de dieu, les paroles prononcées par dieu incarné ont été entendues par les gens et j’ai aussi entendu de nombreuses personnes échanger sur les paroles de dieu et d’en faire l’expérience. Alors dieu doit assurément exister ! » Lorsque l’Église est florissante, que tout se passe bien pour elle, qu’elle prospère et que son travail prend de plus en plus d’ampleur, et surtout lorsque les frères et sœurs font l’expérience de quelques circonstances et affaires spéciales et perçoivent la protection, la souveraineté et la direction de Dieu à travers ces choses, ces individus ont le sentiment que Dieu existe et qu’Il est réellement bon. Toutefois, après un certain temps, ils peuvent connaître des frustrations et des périodes difficiles, certains peuvent connaître des échecs et des revers, ou bien la maison de Dieu peut éliminer une partie des gens ; ces choses-là, en particulier la dernière, sont en forte contradiction avec leurs notions et sont au-delà de leurs attentes. Ils ont le sentiment que : « Si dieu existe, comment ces choses ont-elles pu se produire ? Elles ne devraient pas se produire ! Il est normal que ces choses arrivent chez les non-croyants, mais comment pourraient-elles arriver aussi dans la maison de dieu ? Si dieu existe, il devrait régler ces questions et empêcher ces choses de se produire, parce qu’il est tout-puissant, qu’il a l’autorité et le pouvoir ! Est-ce que dieu existe vraiment ou pas ? Les gens sont incapables de voir l’esprit de dieu. Quant aux paroles prononcées par dieu incarné, les gens disent tous qu’elles sont la vérité, le chemin, et qu’elles peuvent être la vie des gens. Mais pourquoi n’ai-je pas le sentiment qu’elles sont la vérité ? J’ai écouté des sermons pendant si longtemps, mais ma vie ne s’est pas transformée du tout ! J’ai tant souffert, qu’est-ce que j’y ai gagné ? » Ils commencent à avoir des doutes à propos de Dieu et leur enthousiasme pour faire leur devoir diminue et se refroidit. Ils songent même à quitter la maison de Dieu pour aller travailler et gagner de l’argent afin de vivre décemment ; ces pensées actives commencent à émerger. Ils se disent : « Si le dieu auquel je crois n’est pas le vrai dieu, alors le fait que je n’ai pas travaillé ni gagné d’argent toutes ces années en croyant en lui aura été une grande perte ! Non, il est incorrect de penser comme ça. Il faut quand même que je croie convenablement. J’ai entendu des gens dire que lire davantage des paroles de dieu permet à chacun de comprendre la vérité, de résoudre tous les problèmes et de ne plus être faible. Mais j’ai lu les paroles de dieu et je n’ai toujours pas compris la vérité. Pourquoi est-ce que je me sens encore négatif ? Pourquoi ai-je toujours l’impression que je n’ai pas l’énergie de faire mon devoir. Dieu n’œuvre pas en moi ! J’ai beaucoup de difficultés, mais dieu ne m’a pas ouvert de porte de sortie. Alors, dieu existe-t-il vraiment ou pas ? Si c’est ça le vrai chemin, dieu devrait accorder aux gens qui font leur devoir une bénédiction de paix, de fluidité et de normalité. Alors pourquoi y a-t-il encore des difficultés si énormes pour prêcher l’Évangile et faire ses devoirs ? Même si je sais que le monde religieux a pris du retard et que croire en dieu tout puissant revient à entrer dans l’ère du Règne, pourquoi n’ai-je pas vu la façon dont le saint-esprit œuvre ? » De quel genre de personnes s’agit-il ? Ce sont des gens qui n’ont aucune compréhension spirituelle. Ils lisent les paroles de Dieu mais ne comprennent pas la vérité. Peu importe à quel point on échange sur la vérité, ils sont incapables d’en saisir le sens. Ils voient toujours les choses à partir de leurs notions et de leur imagination, et ils sont constamment emplis de doutes au sujet de Dieu. Comment une personne de ce genre pourrait-elle comprendre la vérité ? Certains voient que prêcher l’Évangile est assez difficile, alors ils se disent : « Si c’était le vrai chemin, le saint-esprit travaillerait énormément. Partout où les frères et sœurs iraient prêcher l’Évangile, les choses se passeraient sans heurts et sans obstacles. Plus encore, les officiels du gouvernement commenceraient également à croire et à donner le feu vert à tout cela. Ce serait réellement l’œuvre du vrai dieu. Mais à présent, si l’on regarde les faits, ce n’est pas du tout le cas. Non seulement les présidents et les officiels dans divers pays ne croient pas en dieu, mais en plus, ils ne soutiennent pas la croyance en dieu. Dans certains pays, les gouvernements vont jusqu’à persécuter les croyants et empêcher les gens de croire en dieu. Alors, le dieu en lequel nous croyons est-il réellement le vrai dieu ? Je ne sais pas ; c’est difficile à dire. » Il y a toujours un immense point d’interrogation dans leur cœur. Chaque fois qu’ils entendent une quelconque nouvelle, ils la ressentent comme un « tremblement de terre » dont l’impact n’est ni immense ni imperceptible et qui les rend hésitants. Certaines personnes disent : « Est-ce parce qu’ils ne croient en Dieu que depuis peu de temps qu’ils sont sans cesse hésitants ? » Ce n’est pas le cas ; certains croient depuis trois ans, cinq ans, voire plus de dix ans. Doit-on qualifier cette période de courte ? Si quelqu’un a cru pendant trois ou cinq ans pendant l’œuvre de l’ère de Grâce, cela ne serait pas considéré comme long, parce qu’ils n’ont pas entendu les déclarations et les paroles de Dieu des derniers jours ; ils ont seulement acquis quelques connaissances bibliques et quelques théories spirituelles issues de la Bible et des sermons des gens. C’est avoir gagné bien trop peu. Il en va différemment lorsque quelqu’un accepte l’œuvre de cette étape actuelle ; du moment qu’il fait son devoir et suit Dieu pendant trois ans, ce dont il fait l’expérience, qu’il comprend et qu’il gagne surpasse ce que quelqu’un aurait pu gagner en croyant au Seigneur pendant vingt ou trente ans, ou même toute une vie, durant l’ère de Grâce. Mais même après avoir cru pendant trois, cinq ou même plus de dix ans, ces personnes hésitantes demeurent incapables de déterminer si cette étape de l’œuvre est réalisée par Dieu ou non et elles ont même des doutes quant à l’existence de Dieu. Dirais-tu que les personnes de ce genre sont très problématiques ? Ont-elles la capacité de comprendre la vérité ? (Non.) Ont-elles la façon de penser de l’humanité normale ? (Non.) Elles sont incapables de comprendre la vérité. Peu importe la situation qui se présente dans l’Église, cela pourra toujours les rendre hésitantes ; le point d’interrogation dans leur cœur déclenche sans cesse des « tremblements de terre » chez elles. Si des antéchrists provoquent des perturbations dans l’Église et que certaines personnes sont induites en erreur, ou si quelqu’un qu’elles idolâtrent fait une chose à laquelle elles ne s’attendaient pas – comme voler des offrandes ou se livrer à des activités licencieuses – et se fait exclure, cela les rend hésitantes dans leur cœur et elles se mettent à douter de Dieu : « N’est-ce pas là le courant de l’œuvre de dieu ? Alors comment des choses aussi immorales ont-elles pu se produire dans l’Église ? Comment dieu a-t-il pu permettre l’apparition d’antéchrists et de personnes malfaisantes ? Est-ce réellement le vrai chemin ? » Tout ce qui se passe dans l’Église et qui contredit leurs notions les amène à douter et à se demander s’il s’agit là du vrai chemin, si c’est l’œuvre de Dieu et si Dieu existe vraiment. Elles ne cherchent tout simplement pas la vérité pour avoir une vision correcte de la question. Cela seul suffit à prouver que, du début à la fin, elles n’ont fondamentalement jamais cru que cette étape de l’œuvre était faite par Dieu. Du début à la fin, elles n’ont jamais su ce qu’est la vérité ni pourquoi Dieu exprime la vérité. Dieu a prononcé tant de paroles et a tant œuvré ; tout cela est de Son fait. Tant de gens l’ont vérifié et en ont acquis la certitude, mais elles refusent de considérer les choses sur la base de ces éléments. Elles utilisent toujours des perspectives et des pensées humaines pour porter des jugements : elles ont trop confiance en elles-mêmes. Lorsqu’il y a quelques failles ou écarts dans le travail de l’Église ou dans la vie d’Église, ou lorsque l’Église est réprimée et persécutée par le gouvernement, elles recommencent à douter : « Est-ce réellement le vrai chemin ? » Lorsque des antéchrists et de faux dirigeants apparaissent dans l’Église, elles se mettent aussi à s’interroger. Elles disent : « Regardez ces pasteurs et ces anciens dans les églises religieuses ; ils aiment réellement le seigneur et il n’y a pas d’incidents liés aux antéchrists dans leurs églises. C’est ça, le vrai chemin. Si ce que vous avez ici est le vrai chemin, pourquoi ces choses-là se produisent-elles encore ? » C’est ainsi qu’elles font des comparaisons. Et de quelle façon certains autres crétins font-ils des comparaisons ? Ils disent : « Regardez ces gens qui croient en dieu dans l’Église des Trois-Autonomies ; ils sont approuvés par l’État, qui leur délivre même des certificats et leur accorde des terrains pour construire des églises. Tout cela est légitime et légal. Avez-vous une église publique ? Vos églises sont-elles déclarées ? L’État affecte même des pasteurs aux églises des Trois-Autonomies, et ces pasteurs ont des licences. Vos dirigeants et vos ouvriers ont-ils des licences ? L’État ne vous autorise pas à croire en dieu ; il vous arrête et vous persécute. Vous n’avez même pas de lieu fixe pour vos réunions ; vous vous réunissez toujours en secret. Est-ce réellement le vrai chemin ? Si c’était le vrai chemin, pourquoi vous réuniriez-vous toujours et feriez toujours votre devoir de manière aussi secrète ? » Ils ne peuvent même pas voir clair dans cette affaire. N’importe quelle situation peut les rendre hésitants et leur faire développer des doutes à propos de Dieu. Dites-Moi, est-ce qu’une personne comme celle-ci peut rester ferme ? (Non.) Bien qu’en apparence elle n’ait pas quitté l’Église, elle est à la lisière du danger dans son cœur. Elle ne parvient jamais à être certaine de l’œuvre de Dieu et des vérités qu’Il exprime, et elle est toujours partagée entre croyance et doute, de sorte qu’il lui est impossible d’avoir une foi véritable. Ces personnes ne peuvent pas voir que toutes les persécutions, répressions et arrestations qui ont eu lieu au cours de ces années de l’œuvre de Dieu ont toutes été régies par Sa souveraineté, et qu’elles relèvent toutes de Ses orchestrations et de Ses arrangements. Elles ont donc des notions et sont capables de douter du fait que Dieu puisse être souverain sur toutes choses. Elles croient toujours que tout le travail de la maison de Dieu est fait par des humains, en étant incapables de voir même le moindre signe des actes de Dieu. Ne sont-elles pas des incrédules ? Si une personne de ce genre n’a cru que pendant six mois ou un an et n’a pas clairement saisi diverses vérités, il est compréhensible qu’elle ait des doutes et qu’elle soit hésitante lorsqu’elle voit des choses qui vont à l’encontre de ses notions. Mais certaines personnes ont cru en Dieu pendant plusieurs années, entendu de nombreux sermons, et des gens ont échangé avec elles sur la vérité lorsqu’elles faisaient face à des difficultés. À l’époque, elles ont compris ce qu’elles ont entendu de manière doctrinale. Par la suite, toutefois, lorsqu’elles font à nouveau face à des soucis, elles doutent encore de Dieu et de Son œuvre. Cela montre que les personnes de ce genre n’ont pas de capacité à comprendre la vérité, que la pensée de l’humanité normale leur fait défaut et qu’elles ne sont pas à la hauteur en tant qu’humaines.

De quelle manière faut-il gérer les personnes qui sont hésitantes ? En termes d’humanité, ces personnes ne sont pas comparables à des gens malfaisants, mais elles sont effectivement un type de personnes problématique car elles n’ont pas la capacité de comprendre la vérité et n’ont pas la pensée de l’humanité normale. Plus important encore, elles ne sont même pas capables de confirmer les nombreuses vérités que Dieu a exprimées et elles ne savent pas non plus si ces paroles sont la vérité, ou si elles sont l’expression et l’œuvre de Dieu. À en juger par leur capacité de compréhension, de quel genre de personnes s’agit-il ? Il est juste de dire que ce sont des incrédules et il l’est tout autant de dire que ce sont des gens confus. Même si les individus de ce type n’ont commis aucun mal évident et ne peuvent pas être considérés comme des personnes malfaisantes, comme ils sont confus à ce point et peuvent faire de nombreuses choses qui causent des interruptions et des perturbations, ne sont-ils pas des bons à rien ? (Si.) Peu importe pendant combien de temps ils ont cru en Dieu ou le nombre de sermons qu’ils ont écoutés, ils ne sont jamais en mesure de comprendre la vérité. Ils ne sont même pas capables de confirmer l’existence ou la souveraineté de Dieu. Quel genre de calibre est-ce là ? Ces personnes n’ont absolument aucune capacité à comprendre la vérité. Ce sont des gens de très piètre calibre ; ou l’on pourrait dire qu’ils n’ont aucun calibre : ce sont des bons à rien sans cervelle. Dites-Moi, quel devoir les bons à rien sans cervelle peuvent-ils faire ? (Ils ne peuvent faire aucun devoir.) Ils ne peuvent faire aucun devoir et sont toujours dans le doute et hésitants. Alors, de quelle façon convient-il de traiter et gérer les personnes de ce genre ? La façon la plus appropriée de les gérer est de ne les laisser faire aucun devoir. Même si elles demandent à faire un devoir, il ne faut pas les y autoriser. Pourquoi ? Parce qu’une fois que des individus de ce genre commencent à faire un devoir, a fortiori quand ils ont enduré des difficultés et payé un prix, ils voudront tôt ou tard régler leurs comptes avec la maison de Dieu. S’ils se font arrêter ou sont confrontés à des catastrophes naturelles ou à des désastres engendrés par l’homme, ils regretteront de s’être dépensés pour Dieu ; ils se plaindront âprement et iront répandre des remarques comme : « J’ai tant souffert pour le travail de l’Église et pour faire mon devoir. J’ai mangé tellement moins de nourriture, j’ai tellement moins dormi et gagné tellement moins d’argent. Si je n’avais pas fait mon devoir, j’aurais pu placer l’argent que j’aurais gagné à la banque et cela aurait rapporté des intérêts ! J’ai pris tant de risques ; combien vaut chaque heure passée à prendre des risques ? À combien s’élève le coût des services rendus ? » Ils essayeront de régler leurs comptes financiers avec la maison de Dieu et menaceront même de la dénoncer si elle ne les dédommage pas. Laisser de telles personnes faire un devoir n’engendrerait-il pas des problèmes à n’en plus finir ? Traiter avec des individus aussi inférieurs conduira à un imbroglio qu’il sera impossible de résoudre. Peu importe le nombre de choses qu’ils gèrent pour l’Église, ils conservent dans leur cœur un petit livre de comptes dans lequel ils consignent précisément chaque chose. Quoi qu’ils fassent pour l’Église, ils ne le font jamais de bon gré. Comme ils sont réfractaires, ils veulent régler leurs comptes. Pourquoi en est-il ainsi ? C’est parce que, dans leur cœur, ils ne reconnaissent pas l’existence de Dieu et n’y croient pas. Ils ne reconnaissent pas que les paroles de Dieu sont la vérité ou que l’œuvre de Dieu peut sauver les gens. Alors, quel genre de récompense leur faudrait-il pour qu’ils se sentent satisfaits d’avoir payé un petit prix, souffert quelque peu, fait quelque devoir et dépensé quelques ressources humaines et matérielles pour le soi-disant dieu qu’ils imaginent dans leur esprit ? Seraient-ils satisfaits s’ils ne recevaient rien en retour ? S’ils se rendent compte un jour qu’ils ont été éliminés pour n’avoir pas poursuivi la vérité, quelles en seront les conséquences ? Ils se diront que la maison de Dieu les a trompés, que les dirigeants et les ouvriers les ont trompés, qu’ils ont été maintenus dans l’ignorance et ont été victimes d’une escroquerie. Ils auront alors un compte à régler avec la maison de Dieu et exigeront un dédommagement, en faisant traîner les choses indéfiniment. Penses-tu que la maison de Dieu voudrait se retrouver empêtrée avec une telle personne ? La maison de Dieu ne fera en aucun cas quelque chose d’aussi stupide ! Le peuple élu de Dieu fait son devoir pour remplir la responsabilité des êtres créés ; c’est un choix qui lui appartient entièrement, quelque chose qu’il est disposé à faire. La maison de Dieu ne force ni ne contraint jamais personne. Mais une fois que les incrédules se mettent à faire leur devoir, ce n’est qu’une question de temps avant que les problèmes ne surgissent. Lorsqu’ils seront de mauvaise humeur, ils se mettront invariablement à maugréer et à se plaindre, en disant aux autres : « Vous avez tous parlé si gentiment et vous m’avez piégé, en disant que croire en dieu me permettrait de gagner la vérité et la vie éternelle. Mais aucun d’entre vous n’a mentionné qu’il y aurait dans l’Église des antéchrists qui induiraient les gens en erreur, des personnes malfaisantes qui interrompraient et perturberaient le travail de l’Église, ou que l’Église exclurait ou expulserait des gens. Vous ne m’avez jamais dit que quoi que ce soit de tout cela arriverait dans l’Église ! » Ils peuvent même se retourner contre toi et t’accuser, en disant : « Tu ne m’as jamais expliqué clairement ces choses. Je me suis contenté de vous suivre en croyant en dieu et en faisant mon devoir. Résultat, je n’ai maintenant plus de perspectives dans le monde ; vous m’avez empêché de gagner beaucoup d’argent. Il faut que vous me dédommagiez pour mes pertes ! » Ne trouves-tu pas cela révoltant lorsque ces gens commencent à régler leurs comptes avec toi ? Serais-tu disposé à te retrouver empêtré avec eux ? (Non.) Qui pourrait bien clarifier les choses pour des gens comme eux ? Ils n’acceptent pas la vérité, ils ne peuvent pas voir l’existence de Dieu et ils sont incapables de ressentir l’existence de Dieu à travers leurs expériences. Dis-Moi, qui pourrait bien leur faire entrer ce fait dans le crâne ? Personne. Ils n’ont pas les facultés pour accepter la vérité, alors leur demander de poursuivre la vérité leur rendrait les choses très difficiles, cela les placerait dans une posture délicate ; le faire est tout simplement irréaliste. Ils croient en Dieu uniquement pour recevoir des bénédictions. Dès lors qu’ils font un petit devoir, ils exigent une récompense. S’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, ils se mettent à proférer des injures : « On m’a trompé et on m’a escroqué ! Vous êtes tous des escrocs ! » Dites-Moi, est-ce que vous voudriez supporter ces insultes ? (Non.) Qui les a trompés ? N’est-ce pas qu’ils ont eux-mêmes des ambitions et des désirs et qu’ils veulent recevoir des bénédictions ? N’ont-ils pas cru en Dieu précisément pour recevoir des bénédictions ? Ils n’ont pas reçu de bénédictions jusqu’à présent, mais n’est-ce pas parce qu’ils ne poursuivent pas la vérité ? N’est-ce pas là leur propre problème ? Ils ne croient même pas en Dieu, et ils veulent pourtant recevoir des bénédictions de Dieu ; comment recevoir des bénédictions pourrait-il être si facile ? Ces questions ne leur ont-elles pas été clairement expliquées bien avant qu’ils ne commencent à faire un devoir ? (Si.) Mais peux-tu raisonner avec eux ? Tu ne le peux pas, ils diront simplement que tu les as trompés. Dites-Moi, dans la maison de Dieu, quelle que soit la durée pendant laquelle les frères et sœurs ont cru en Dieu, qui parmi eux ne fait pas des devoirs de son plein gré ? Même s’il existe de rares cas où des enfants ne croient pas en Dieu et sont poussés à croire et à faire leurs devoirs par leurs parents ou leurs proches, ils sont tout de même très peu nombreux. Même si tes parents t’y poussent, c’est pour ton bien, tu devrais comprendre cela. Mais c’est ta famille qui t’y pousse ; les frères et sœurs de la maison de Dieu ne te poussent et ne te forcent à rien. Croire en Dieu et faire un devoir sont des actes totalement volontaires. Actuellement, quiconque veut partir peut le faire ; les portes de la maison de Dieu sont toujours ouvertes. Une fois que l’on est parti, il n’est toutefois pas si facile de revenir. Ceux qui font un devoir à plein temps dans la maison de Dieu sont soigneusement sélectionnés ; on n’y accepte pas n’importe qui. Il y a des normes requises ainsi que des principes, et seuls ceux qui remplissent les qualifications peuvent rester dans l’Église du devoir à plein temps. Les gens hésitants se disent : « C’est un aspect très important et vous ne me l’avez pas clairement expliqué. À l’époque, je n’ai fait des devoirs que parce que j’étais perdu. » Qu’est-ce qui n’a pas été expliqué clairement ? Les frères et sœurs échangent tous les jours sur la vérité en faisant leur devoir ; si ces gens ne le comprennent pas, c’est parce qu’ils sont confus et aveugles. Ils ne peuvent blâmer quiconque pour cela. Mais ils ne raisonneront pas avec toi à ce sujet ; ils estiment simplement avoir subi une immense perte et veulent régler leurs comptes et se quereller avec la maison de Dieu. De telles personnes ne sont-elles pas déraisonnables et extrêmement répugnantes ? Alors, une fois que vous connaissez le vrai visage de ces gens et que vous voyez clairement qu’ils sont confus, complètement inutiles, qu’ils ne peuvent faire aucun devoir et qu’ils sont constamment focalisés sur le fait de recevoir des bénédictions, avec le cœur rongé par la pensée de gagner des bénédictions et que tout ce qu’ils savent, c’est que faire leur devoir peut leur apporter des bénédictions, le salut, l’entrée dans le royaume et l’immortalité, et qu’ils ne connaissent que ces quelques expressions sans rien comprendre d’autre, sans savoir ce qu’est la vérité, de quelle manière la pratiquer ou comment se soumettre à Dieu, alors, même s’ils veulent faire un devoir ou en font la demande, peut-on prendre des dispositions pour qu’ils le fassent ? (Non.)

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