Point 7 : Ils sont malveillants, insidieux et fourbes (Partie III) Section 2

Certaines personnes croient en Dieu, et en façade, elles semblent Le suivre. Mais au fond de leur cœur, ont-elles déjà réfléchi au chemin qu’elles ont pris et au prix qu’elles ont payé ? Ont-elles examiné et cherché à savoir si elles ont mené à bien les devoirs que Dieu leur a confiés ? Quelle est exactement l’attitude des gens dans leur manière de traiter Dieu ? À en juger par les diverses choses que les gens montrent et révèlent, et même leurs stratagèmes les plus profonds, sans parler de tous les tempéraments révélés dans les choses qu’ils font lorsqu’ils traitent Dieu, qu’ont-ils fait pour Lui ? Mis à part payer un prix et réfléchir soigneusement à ce qui leur est bénéfique, quelles sont leurs attitudes envers Dieu, et que Lui offrent-ils ? Rien d’autre que des stratagèmes, des calculs, des réserves et une attitude de mépris. Le mépris est une attitude, et quel est le comportement qui découle de cette attitude, si on l’exprime sous la forme d’un verbe ? « Ridiculiser. » Avez-vous déjà entendu ce mot ? (Oui.) « Ridiculiser » est un terme plutôt formel. Comment dirions-nous cela dans le langage courant ? Nous dirions « taquiner », « jouer des tours à quelqu’un », « s’amuser de quelqu’un ». Tu parais insignifiant aux yeux de cette personne, tu as l’air candide ; à ses yeux, tu n’es rien et elle ose ouvertement te ridiculiser ; quel genre de tempérament est-ce là ? Pour quelqu’un ayant un tel tempérament, son cœur est-il habité par un ange, ou un démon ? (Un démon.) C’est un démon. S’il peut traiter Dieu de cette manière, alors qu’est-il réellement ? Peut-il pratiquer les paroles de Dieu ? Peut-il se soumettre aux paroles de Dieu ? Prenons par exemple l’homme qui M’a envoyé des cadeaux : il ne cherche pas la vérité, et il ne comprend pas les intentions de Dieu. Il n’a pas la moindre idée de ce que Dieu exige de l’homme, de ce que Dieu veut voir, ou de ce que Dieu veut obtenir de l’homme. Il ressemble à quelqu’un qui interagit avec son patron, se concentrant sur la manière d’être servile envers lui et de le tromper, en le traitant de manière à atteindre ses objectifs ; sur quoi un tel individu base-t-il réellement sa vie ? Il vit d’obséquiosité, menant une petite vie méprisable en faisant preuve de servilité à l’égard de ses dirigeants. Pourquoi M’a-t-il offert une telle « sollicitude » et une telle « gentillesse » ? Il ne pouvait pas s’en empêcher, n’est-ce pas ? Aurait-il pu prédire ce que J’allais ressentir à ce sujet ? (Non.) C’est exact ; il ne comprenait pas. Il est entièrement dépourvu d’un esprit humain normal. Il ne savait pas, comment Je pourrais le percevoir, le définir ou évaluer son comportement et son tempérament, et ne s’y intéressait pas. Qu’est-ce qui l’intéresse ? Se montrer servile envers Moi afin de réaliser ses objectifs et Me laisser une bonne impression de lui. Telle est l’intention de ses actes. Quel genre d’humanité est-ce là ? Est-ce ce qu’une personne réellement douée de conscience et de raison ferait ? Tu as vécu tant d’années, donc tu devrais comprendre : premièrement, Je n’ai pas besoin de ta servilité. Deuxièmement, Je n’ai pas besoin que tu M’offres quoi que ce soit. Troisièmement, et surtout, tu dois comprendre que peu importe ce que tu fais, quelles que soient tes intentions et tes objectifs, et la nature de ce que tu fais, Je définis tout cela et en tire des conclusions. La question n’est pas de faire quelque chose puis que cela soit terminé ; au contraire, Je dois voir clairement quelles sont tes intentions et tes motivations. Je ne regarde que ton tempérament. Certains diront probablement : « Tu es tellement sévère avec les gens ! » Le suis-Je vraiment ? Je ne le pense pas du tout. C’est parce que Je ne suis pas du tout sévère que certaines personnes essaient de tirer parti de la situation. Les choses ne sont-elles pas ainsi ? Dès que certaines personnes entrent en contact avec Moi, elles réfléchissent : « Je te vois simplement comme une personne ordinaire. Il n’est pas nécessaire de te prêter trop d’attention. Tu es pratiquement comme moi : tu manges aussi trois repas par jour, et je ne vois pas que tu aies une quelconque autorité ou un quelconque pouvoir. Peu importe comment je te traite, tu n’auras rien à dire. Que peux-tu faire contre moi ? » Quelle sorte de réflexion est-ce là ? D’où vient-elle ? Elle vient du tempérament de la personne. Pourquoi les gens ont-ils un tel tempérament ? C’est parce qu’il y a des démons qui habitent dans leur cœur. Avec des démons habitant dans leur cœur, peu importe à quel point ils pensent que Dieu est grand, peu importe à quel point ils croient que le statut de Dieu est noble, peu importe comment ils croient que Dieu exprime la vérité pour sauver les gens, peu importe combien ils affirment verbalement leur gratitude, et peu importe combien ils expriment leur volonté de souffrir et de payer le prix, lorsque vient le moment de faire leur devoir, ce sont les démons qui sont en charge dans leur cœur, et ce sont les démons qui se mettent à l’œuvre. Quel genre de personne, selon vous, ose tromper et ridiculiser même Dieu ? (Un démon.) C’est un démon, c’est certain.

Dans notre échange précédent, quel dialogue entre Satan et Dieu nous révèle le tempérament de Satan ? Dieu dit : « Satan, d’où viens-tu ? » Que répondit Satan ? (« De parcourir la terre et de m’y promener » [Job 1:7].) Quel genre de discours est-ce là ? (Un discours démoniaque.) C’est un discours démoniaque ! Si Satan traitait Dieu comme Dieu, il dirait : « Dieu m’a posé la question, alors je vais dire d’où je viens de manière convenable. » N’est-ce pas un discours sensé ? (C’en est un.) C’est une phrase conforme à la pensée humaine normale : une phrase complète, grammaticale et immédiatement compréhensible. Est-ce ce que Satan a dit ? (Non.) Qu’a-t-il dit ? « De parcourir la terre et de m’y promener. » Comprenez-vous cette phrase ? (Non.) Aujourd’hui encore, personne ne comprend ce qu’elle signifie. Alors, d’où venait Satan ? Quel trajet parcourait-il ? D’où venait-il, et dans quelle direction allait-il ? Y a-t-il des réponses concluantes à ces questions ? À ce jour, ceux qui interprètent la Bible n’ont pas pu déterminer d’où Satan venait réellement, ni combien de temps il lui avait fallu pour arriver devant Dieu et Lui parler ; aucune de ces choses n’est connue. Alors, comment Satan a-t-il pu répondre à l’interrogation de Dieu avec un tel ton et un tel langage ? Dieu lui a-t-Il posé la question avec sérieux ? (Oui.) Et Satan a-t-il répondu de la même manière ? (Non.) Quelle attitude a-t-il adoptée en répondant à Dieu ? Une attitude qui consistait à Le ridiculiser. C’est comme lorsque tu demandes à quelqu’un : « D’où viens-tu ? » et qu’il te répond : « Devine. » « Je ne peux pas deviner. » Il sait que tu ne peux pas deviner, mais il te fait deviner quand même. Il s’amuse simplement de toi. C’est cette attitude que l’on appelle « jouer avec quelqu’un » ou « le ridiculiser ». Il n’est pas sincère, et il ne veut pas que tu saches ; il veut juste te jouer des tours et s’amuser de toi. Satan a précisément ce genre de tempérament. J’ai dit que certains ont des démons qui habitent dans leur cœur ; n’est-ce pas ainsi qu’ils traitent Dieu ? À en juger par leur apparence extérieure, qui consiste à courir en tous sens, à faire des choses et, parfois, à supporter quelques difficultés et payer un petit prix, ils ne semblent pas être de telles personnes ; ils semblent avoir Dieu dans leur cœur. Mais à en juger par leurs attitudes dans leur manière de traiter Dieu et la vérité, on voit que ce qui habite dans leur cœur est un démon, et c’est tout ce qu’il y a à dire. Ils ne peuvent même pas répondre directement aux questions de Dieu ; ce sont des personnes qui tournent en rond comme des serpents, jusqu’à ce que tu ne puisses pas trouver la réponse et que tu ne saches plus comment prendre ce qu’elles disent. Quel genre de personnes sont-elles exactement ? Peuvent-elles être sincères dans leur manière de traiter Dieu ? Avec l’attitude de mépris et de dédain avec laquelle elles traitent Dieu, ces personnes peuvent-elles pratiquer les paroles de Dieu comme étant la vérité ? (Non.) Pourquoi ? Parce que des démons habitent dans leur cœur. N’est-ce pas le cas ? (Si, elles ne traitent pas du tout Dieu comme Dieu.) C’est là la malveillance de ces personnes. Leur malveillance réside dans le fait qu’elles pensent que l’intégrité, l’humilité, la normalité et l’aspect concret de Dieu qu’elles voient ne sont pas ce qui rend Dieu aimable. Mais alors de quoi s’agit-il ? Elles pensent que ce sont des défauts de Dieu ; que ce sont des aspects qui rendent les gens enclins à engendrer des notions ; que ce sont les plus grandes imperfections du Dieu auquel elles croient ; que ce sont des faiblesses, des problèmes et des défauts. Comment doit-on considérer ces personnes ? Voilà la manière et l’attitude avec laquelle elles traitent Dieu ; c’est un déshonneur pour Dieu, mais qu’en est-il pour elles-mêmes ? Tirent-elles quelque avantage de cela ? C’est une insulte à elles-mêmes aussi. Pourquoi dis-Je cela ? En tant que personne ordinaire, si quelqu’un te donnait quelque chose à manger de manière désinvolte, et que tu le prenais et le mangeais comme un imbécile, sans te soucier des faits et sans même poser de questions, cela ne suggérerait-il pas que quelque chose manque à ton humanité ? Une personne à laquelle il manque quelque chose dans son humanité est-elle une personne normale ? Non. Si Christ incarné ne possédait même pas cette humanité normale, serait-Il encore digne de la croyance de quiconque ? Il ne le serait pas. Quels sont les signes de l’humanité de Dieu incarné ? Sa rationalité, sa pensée et sa conscience sont les plus normales. Possède-t-Il la capacité de juger ? (Oui.) Si Je n’avais pas cela, si J’étais simplement un étourdi sans bon sens ni perspicacité, incapable de penser face aux événements, pourrais-Je encore être considéré comme un être humain normal ? Ce serait une humanité défectueuse, pas une humanité normale. Une telle personne pourrait-elle être appelée Christ ? Quand Dieu S’est incarné, aurait-Il choisi une telle chair ? (Non.) Certainement pas. Si J’agissais de cette manière inconsidérée, ce Dieu, Celui que l’on appelle Dieu incarné, vaudrait-il la peine d’être suivi ? Non, et vous seriez sur le mauvais chemin. C’est un aspect, de Mon point de vue. D’un autre côté, de votre point de vue, si tu Le considères comme Dieu, comme l’objet que tu suis, et qu’en tant que disciple, tu Le traites de cette manière, alors où te places-tu ? Cela ne te déshonore-t-il pas ? (Si.) Si le Dieu en qui tu crois est si indigne de respect à tes yeux, mais que tu continues tout de même à croire en Lui, qu’est-ce que cela fait de toi ? Es-tu confus ? Es-tu un disciple désorienté ? Cela ne te déshonore-t-il pas ? (Si.) Mais si tu penses qu’Il possède tous ces aspects de l’humanité normale, qu’Il est Dieu incarné, et que tu agis de cette manière malgré tout, ne déshonores-tu pas aussi Dieu ? Les deux perspectives sont valables. On peut voir le problème en adoptant le point de vue de Dieu ou celui de l’homme, et le problème ici est grave ! N’est-ce pas vrai ? (Si.) Du point de vue humain, si tu considères qu’Il est Dieu et que tu Le traites ainsi, alors tu déshonores Dieu ouvertement. Si tu penses qu’Il n’est pas Dieu, mais un être humain, et que tu Le suis tout de même, cela ne serait-il pas contradictoire ? Ne te déshonorerais-tu pas toi-même ? Réfléchis à ces deux aspects ; ai-Je raison ? N’est-ce pas vrai ? Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à ces choses ? Pourquoi continuent-ils d’agir de cette manière ? Est-ce simplement parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Ne nous attardons pas trop sur ce point ; simplement en observant cela du point de vue du calibre, ce sont des crétins dépourvus d’esprit. Pourquoi est-ce que Je dis qu’ils sont dépourvus d’esprit ? À quel esprit est-ce que Je fais référence ? Il s’agit du raisonnement. Agir sans réfléchir, sans savoir peser le pour et le contre, sans savoir considérer la nature de ce que l’on fait ou si on devrait le faire ou pas, c’est être dépourvu d’esprit. Quel genre de créature n’ont pas d’esprit ? Les animaux et les bêtes n’ont pas d’esprit, mais les êtres humains réfléchiraient à ces choses. Les gens peuvent faire des choses stupides sur un coup de tête, mais s’ils refont les mêmes bêtises encore et encore, alors on peut dire qu’ils sont dépourvus d’esprit. Une personne dépourvue d’esprit est quelqu’un dont la raison est altérée ou, en termes familiers, quelqu’un à qui il manque une case. Mais son égoïsme est prononcé, et elle ne manque pas du tout d’astuces rusées, c’est pourquoi Je dis que des démons habitent dans le cœur des gens.

Pensez-vous que Je fais une montagne d’un rien en soulevant la question des cadeaux dans cet échange ? Si Je n’avais pas échangé sur ce sujet et l’avais simplement mentionné de façon désinvolte, aurait-il eu un tel impact sur vous après que vous l’avez écouté ? (Non.) Au mieux, après l’avoir entendu, vous auriez réfléchi : « Comment cet homme a-t-il pu faire une telle chose ? Moi, je ne fais pas de telles choses ; vraiment, il y a toutes sortes de personnes dans ce monde ! » Au mieux, c’est ce que vous auriez pensé. Vous en auriez peut-être parlé un peu, et c’est tout, mais auriez-vous eu une compréhension aussi profonde de cette question ? (Non.) Vous n’auriez pas eu une compréhension aussi profonde. Alors, quels avantages vous apportent Mes paroles ? Quelle vérité avez-vous gagnée ? Tout d’abord, Je dois vous rappeler ceci : entre l’homme et Dieu, quel est le meilleur type de relation à établir ? Lorsque quelqu’un s’approche de Dieu, comment devrait-il interagir avec Dieu lorsqu’il est en contact rapproché avec Lui ? N’est-il pas nécessaire de rechercher des principes à cet égard ? (Si.) De plus, croyant en Dieu depuis tant d’années, quels incidents sont survenus dans la vie quotidienne des gens et qui sont de la même nature que ce qu’a fait cet homme dans l’histoire ? Ces questions ne valent-elles pas la peine d’être méditées ? Quelqu’un pourrait-il en tirer une leçon et dire : « Dieu ne tolère même pas les petites erreurs, donc c’est extrêmement grave. Mieux vaut ne pas L’approcher, ne pas avoir de contact rapproché avec Lui, ni avoir affaire à Lui ; Il n’est pas quelqu’un avec qui on plaisante ! Si tu fais une bêtise, Il amplifiera l’affaire et tu te retrouveras dans de graves ennuis. Je ne Lui offrirai certainement rien ! » Est-il acceptable de penser ainsi ? (Non.) En fait, vous n’avez pas besoin de vous inquiéter : nous n’avons pas beaucoup d’occasions de contact rapproché, et nous avons encore moins de moments d’interaction l’un avec l’autre, donc ce n’est pas une chose dont vous devez vous soucier. Si un jour J’interagis avec vous, ne vous inquiétez pas ; Je te dirai un secret. Que tu sois en relation avec Moi ou que tu pries et cherches en privé, quel est le secret numéro un ? Peu importe ce que tu fais, ne joue pas au plus malin avec Moi ; si tu as un penchant pour la confrontation, garde tes distances avec Moi. Il y a des gens qui parlent avec grande ruse, concoctant plusieurs stratagèmes en un clin d’œil, et chaque phrase qu’ils prononcent est imprégnée d’impureté ; s’ils parlent davantage, tu ne sauras pas quelles paroles sont vraies et lesquelles sont fausses. De telles personnes ne doivent jamais s’approcher de Moi. Quand tu entres en contact avec Dieu et que tu interagis avec Lui, quelle est la chose numéro un à faire et le principe numéro un à respecter ? Avoir un cœur honnête dans ta manière de traiter Dieu. Il faut également apprendre la déférence. La déférence n’est pas de la politesse ; ce n’est pas se montrer obséquieux ni chercher à obtenir des faveurs, et ce n’est pas non plus de la flatterie ou faire preuve d’obséquiosité. Alors, qu’est-ce exactement que la déférence ? (C’est traiter Dieu comme Dieu.) Traiter Dieu comme Dieu est un principe majeur. Et les détails ? (Apprendre à écouter Dieu.) C’est un aspect de la pratique. Certaines personnes entrent en contact avec Moi, et elles commencent à Me couper la parole, donc Je les laisse terminer avant de continuer. Et comment Me traitent-elles lorsque Je parle ? Elles écoutent les yeux fermés. Qu’est-ce que cela implique ? Cela revient à dire : « Ce que Tu dis est absurde. Que sais-Tu ? » C’est leur attitude. Je ne prétends pas tout savoir, mais J’ai des principes, et Je te dis ce que J’ai appris, vu et ce que je peux comprendre, ainsi que les principes que Je connais, et tu peux en retirer beaucoup de choses. Mais si tu Me jettes toujours un coup d’œil, pensant que Je ne sais rien, et que tu ne M’écoutes pas attentivement, alors tu ne gagneras rien ; tu devras simplement découvrir les choses par toi-même. N’est-ce pas le cas ? Alors, vous devez apprendre à écouter les paroles de Dieu. Quand vous écoutez, est-ce que Je vous restreins dans l’expression de vos points de vue ? Non. Une fois que J’ai fini de parler, Je vous demande si vous avez des questions, et si quelqu’un en a, J’y réponds immédiatement et Je vous explique les principes qui sont en jeu dans ces questions. Parfois, Je ne Me contente pas de vous énoncer les principes, mais Je vous dis directement ce que vous devriez faire, en détaillant chaque aspect. Bien qu’il y ait des domaines que Je ne comprends pas, J’ai Mes propres principes, et J’ai Mes propres opinions et méthodes pour gérer ces affaires, alors Je vous dispense un enseignement en fonction de ce que Je pense être des opinions et des principes sensés. Pourquoi suis-Je capable de vous dispenser un enseignement ? C’est parce que vous ne comprenez même pas ces choses. Une fois que ces questions auront été clarifiées, Je vous demanderai à nouveau s’il y a d’autres questions ; s’il y en a, alors Je répondrai à nouveau immédiatement. Je ne veux pas juste que tu M’écoutes ; Je te donne l’occasion de parler, mais ce que tu dis doit être raisonnable : pas de bêtises, et pas de perte de temps. Parfois, J’interromps certaines personnes par impatience. Dans quelles circonstances ? C’est lorsqu’elles sont prolixes, utilisant dix phrases là où cinq suffiraient. En fait, Je comprends dès que Je les entends ; Je sais ce qui va suivre, donc elles n’ont pas besoin d’en dire plus. Il faut être concis et aller droit au but, sans gaspiller le temps des autres. Une fois que tu as fini de parler, Je te donnerai une réponse, Je te dirai ce que tu dois faire et selon quels principes le faire. Cela devrait clore la question, n’est-ce pas ? Mais certaines personnes ne le comprennent pas, et disent : « Non, Tu dois me respecter ; notre respect est réciproque. Tu as fini de parler, mais je n’ai pas fini d’exprimer mon point de vue. Mon point de vue est le suivant ; je dois recommencer depuis le début. » Elles veulent toujours exprimer leurs opinions, croyant que Je ne les connais pas, alors qu’en réalité, dès qu’elles commencent à parler, Je sais ce qu’elles vont dire, alors est-il nécessaire qu’elles continuent ? Non, il n’y en a pas besoin. Certaines personnes ont un QI si bas qu’elles utilisent dix phrases pour quelque chose qui en nécessite deux, et à moins que je ne les interrompe, elles continueront à parler. Tout le monde a compris ; est-ce que Je ne comprends toujours pas ? Mais elles insistent encore pour s’exprimer, alors ce n’est pas juste leur QI qui est bas ; leur raison est faible aussi ! Avez-vous déjà rencontré de telles personnes ? (Oui.) Elles pensent être intelligentes alors qu’elles manquent de raison et ont un faible QI. N’est-ce pas écœurant ? C’est écœurant et dégoûtant. Quand les gens entrent en contact avec Dieu, la première chose à faire est de Le traiter avec un cœur honnête ; la deuxième est d’apprendre la déférence ; et la troisième chose, qui est la plus importante, est d’apprendre à chercher la vérité. N’est-ce pas le plus important ? (Si.) Quel est l’intérêt de croire en Dieu si tu ne cherches pas la vérité ? Quelle est la valeur de la croyance en Lui ? Quel en est le sens ? C’est un sujet dans lequel la plupart des gens peuvent ne pas être à la hauteur, alors pourquoi l’évoquer ? C’est une préparation pour l’avenir ; vous devez apprendre à pratiquer ainsi lorsque vous vous retrouvez dans ce genre de situations à l’avenir.

À l’Église, Je suis entré en contact avec beaucoup de gens, dont certains à qui J’ai confié quelques tâches. Quelques jours plus tard, ils M’ont donné un retour, Me montrant qu’ils avaient noté tous les éléments que je leur avais assignés et qu’ils étaient maintenant en train de tous les mettre en œuvre. Lorsqu’ils Me rencontraient, ils Me faisaient un compte rendu de l’avancement de la mise en œuvre, des problèmes nécessitant une recherche, et de ceux en attente de résultats, Me donnant une mise à jour complète. Ils expliquaient les détails très clairement, et bien que parfois ils aient été un peu insignifiants, leur attitude montrait qu’ils prenaient les paroles de Dieu au sérieux et avec responsabilité, et qu’ils savaient quels étaient leurs devoirs, responsabilités, et obligations. D’autres personnes étaient différentes : Je leur confiais deux tâches, et elles les notaient dans leur carnet, mais une semaine plus tard, quand elles n’avaient toujours rien mis en œuvre, elles ne s’en souvenaient que lorsque Je les interrogeais à ce sujet, et puis elles les notaient à nouveau dans leur carnet. Une autre semaine passait, et quand Je leur demandais pourquoi le sujet n’était toujours pas clos, elles trouvaient des excuses, invoquant telle ou telle difficulté, avant de consigner tout cela à nouveau dans leur carnet avec diligence. Où avaient-elles consigné toutes ces choses ? (Dans leur carnet.) Mais elles ne les avaient pas consignées dans leur esprit. N’est-ce pas confier une tâche à la mauvaise personne ? Ces gens ne sont pas humains. Tout ce que Je leur confiais entrait par une oreille et ressortait par l’autre ; ils ne prenaient rien de tout cela au sérieux. Toutes les tâches relevant d’une certaine profession ou des affaires générales, ainsi que certaines affaires relatives au travail de l’Église, que J’assigne aux gens rentrent dans leur champ de compétences ; aucune de ces tâches n’était destinée à leur compliquer la vie. Cependant, souvent, lorsque Je confiais des choses à faire aux dirigeants et aux ouvriers, la plupart ne Me faisaient pas de compte rendu après avoir pris la charge de leurs missions, et Je ne savais rien de l’état du travail. Que les choses soient arrangées ou non, la manière dont elles se déroulaient, les erreurs qui avaient été commises, les résultats actuels : ils ne Me faisaient jamais de compte rendu de tout cela ni ne procédaient à des recherches. Ils laissaient simplement de côté leurs missions, et Je n’entendais jamais parler des issues quelles qu’elles soient. Certaines personnes avaient un problème encore plus grave : en plus de ne pas mettre en œuvre ce que Je leur avais assigné, elles venaient aussi faire preuve de servilité et de tromperie à Mon égard, Me disant où elles étaient allées et ce qu’elles avaient fait la veille, ce qu’elles avaient fait l’avant-veille, et ce qu’elles faisaient à présent. Regardez à quel point elles étaient douées pour les faux-semblants et les sophismes – elles n’avaient fait aucune des choses que Je leur avais spécifiquement assignées, préférant se consacrer à des tâches inutiles tandis que le travail crucial restait dans un état de désordre complet. Quel genre de comportement est-ce là ? Elles négligeaient complètement leurs propres tâches, et elles étaient pleines de mensonges et de tromperie !

Il y avait un homme chargé de la plantation. Je lui ai demandé : « Il y a des légumes qui ont l’air bons cette année. As-tu gardé des graines ? » Il a répondu : « Oui, j’en ai gardé. » J’ai dit : « J’ai entendu dire qu’on avait récolté tous les légumes il y a quelque temps et qu’on n’avait gardé aucune graine. » Il a dit : « On n’a pas encore fini la récolte. Il en reste encore ! » Je lui ai ensuite demandé : « Où sont les légumes restants ? Laisse-Moi les voir. » Il a dit : « Oh ? Eh bien… Laisse-moi vérifier d’abord. » Avait-il vraiment gardé des graines ou non ? Il ne l’avait pas fait. Parmi ces quelques phrases qu’il a prononcées, sa première affirmation : « Oui, j’en ai gardé » était-elle un mensonge ? (Oui.) Et sa deuxième affirmation : « On n’a pas encore fini la récolte. Il en reste encore ! » n’était-elle pas aussi un mensonge ? Il ne savait pas si on avait gardé des graines ou non, et il a dit : « Laisse-moi vérifier d’abord. » Donc, la troisième affirmation était encore un autre mensonge. Les mensonges devenaient de plus en plus graves d’une phrase à l’autre ; il enchaînait mensonge après mensonge, s’enfonçant de plus en plus profondément ; une bouche pleine de mensonges ! Seriez-vous disposés à interagir avec quelqu’un dont la bouche est pleine de mensonges ? (Non.) Comment te sens-tu lorsque tu parles ou travailles avec des gens qui mentent constamment ? Est-ce que cela te met en colère ? Il avait le culot de tromper n’importe qui ; il avait tort de penser que Je ne savais pas ! Est-ce que cela vaut la peine de se livrer à la tromperie à ce sujet ? Qu’avait-il à gagner en étant aussi trompeur ? Si vous voyiez cette attitude dans sa manière d’agir, s’il vous traitait ainsi, comment vous sentiriez-vous ? Si, fondamentalement, 99 % de ce qu’une personne dit est un mensonge, qu’il s’agisse de bavardages ou de travail, de sujets sérieux ou d’échanges sur la vérité, alors cette personne est au-delà de tout espoir. Elle peut tromper n’importe qui ; alors qu’est-ce que cela fait d’elle ? Depuis combien de temps croit-elle en Dieu ? Certains non-croyants disent toujours : « D’après ce que je sais », ou « En parlant sincèrement », et avec cette introduction, ils disent quelque chose de véridique. Cet homme croyait en Dieu depuis tant d’années, et il avait écouté tant de sermons, mais il ne pouvait même pas dire un mot de vérité ; tout ce qu’il disait était un mensonge. Quel genre de créature est-il donc ? N’est-ce pas écœurant et détestable ? Y a-t-il beaucoup de gens comme lui ? Êtes-vous comme lui ? Quand vous interagissez avec Moi, dans quelles circonstances Me mentiriez-vous ? Si vous avez causé une catastrophe, et que vous savez que les conséquences sont graves et que vous pouvez être expulsés, alors dès que les autres mentionnent ce sujet, vous mentez pour le dissimuler. N’importe qui peut mentir sur ce genre de sujets. Sur quoi d’autre les gens peuvent-ils mentir ? Ils mentent pour améliorer leur image et être tenus en haute estime par les autres. Il y a aussi ceux qui se savent incompétents dans leur travail, mais qui ne le disent pas explicitement au Supérieur, de peur d’être renvoyés. Lorsqu’ils font part de leur travail au Supérieur, ils font semblant de chercher des moyens de résoudre le problème, donnant ainsi aux autres une fausse impression. Tout ce qu’ils disent est un mensonge, et ils sont fondamentalement incapables de travailler. S’ils ne posent pas quelques questions, ils craignent que le Supérieur ne découvre les incohérences et ne les remplace, alors ils se dépêchent de trouver des prétextes. Telle est la mentalité des faux dirigeants et des antéchrists.

Réfléchissez aux trois principes d’interaction avec Dieu sur lesquels Je viens d’échanger. Lequel ne pouvez-vous pas accomplir, et lequel est facile à atteindre pour vous ? En fait, il n’est pas facile de réellement mettre en pratique aucun d’eux, car des démons habitent dans le cœur des gens. Tu ne seras pas en mesure de les atteindre avant d’avoir banni le démon de ton cœur. Tu dois combattre le démon dans ton cœur, et si tu parviens à le vaincre à chaque fois, alors tu pourras accomplir ces principes. Si, à chaque fois, tu échoues et es capturé par lui, alors tu ne pourras pas les accomplir ; tu ne pourras mettre en pratique aucun de ces principes. Si vous pouvez accomplir ces trois principes, non seulement en interagissant ou en étant en contact avec Moi, mais aussi dans vos interactions régulières avec les frères et sœurs, en suivant ces principes, tout le monde n’en bénéficiera-t-il pas ? (Si.) Maintenant que l’histoire est terminée, passons au sujet principal.

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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