Comment poursuivre la vérité (17) Partie 3
Dans ce monde, qui sont les personnes les plus dignes de respect ? Ne s’agit-il pas de celles qui suivent le bon chemin ? À quoi renvoie « le bon chemin » ? Cela ne signifie-t-il pas poursuivre la vérité et accepter le salut de Dieu ? Les gens qui empruntent le bon chemin ne sont-ils pas ceux qui suivent Dieu et qui se soumettent à Lui ? (Si.) Si tu es une telle personne, ou si tu t’efforces de l’être, et que tes parents ne te comprennent pas, et même qu’ils te maudissent sans cesse ; si, quand tu es faible, déprimé et perdu, non seulement ils ne te soutiennent pas, ne te réconfortent pas et ne t’encouragent pas, mais exigent souvent que tu reviennes leur témoigner ta piété filiale, que tu gagnes beaucoup d’argent et que tu t’occupes d’eux, que tu ne les déçoives pas, que tu leur permettes de se réjouir de ton succès avec toi et d’avoir une bonne vie avec toi, de tels parents ne devraient-ils pas être rejetés ? (Si.) De tels parents sont-ils dignes de ton respect ? Sont-ils dignes de ta piété filiale ? Sont-ils dignes que tu t’acquittes de tes responsabilités envers eux ? (Non.) Pourquoi ? Parce qu’ils ont de l’aversion pour les choses positives. N’est-ce pas un fait ? (Si.) C’est parce qu’ils détestent Dieu. N’est-ce pas un fait ? (Si.) C’est parce qu’ils te méprisent, toi qui suis le bon chemin. N’est-ce pas un fait ? (Si.) Ils méprisent les gens qui défendent de justes causes. Ils te méprisent et te prennent de haut parce que tu suis Dieu et parce que tu accomplis ton devoir. Quel genre de parents sont-ils ? Ne sont-ils pas des parents méprisables et vils ? Ne sont-ils pas des parents égoïstes ? Ne sont-ils pas des parents malveillants ? (Si.) Tu as été pourchassé et traqué par le grand dragon rouge du fait de ta croyance en Dieu, tu as dû prendre la fuite, tu as été dans l’impossibilité de rentrer chez toi, et certains croyants ont même dû partir à l’étranger. Ta famille, tes amis et tes camarades de classe disent tous que tu es devenu un fugitif, et à cause de ces rumeurs et de ces ragots venus de l’extérieur, tes parents pensent que tu les as fait souffrir injustement et que tu les as mis dans l’embarras. Non seulement tes parents ne te comprennent pas, ne te soutiennent pas et ne compatissent pas avec toi, non seulement ils ne font aucun reproche à ceux qui répandent ces rumeurs et à ceux qui te méprisent et te discriminent, mais ils te haïssent, et ils disent les mêmes choses sur toi que ces gens qui ne croient pas en Dieu et qui sont au pouvoir. Que penses-tu de tels parents ? Sont-ils bons ? (Non.) Alors, penses-tu encore que tu leur es redevable ? (Non.) Si de temps à autre, tu appelles ta famille, ils penseront que c’est comme s’ils recevaient l’appel d’un fugitif. Ils auront le sentiment que c’est une grande humiliation et que tu n’oses même pas rentrer chez toi, comme un rat traqué. Ils se diront qu’il est embarrassant de t’avoir pour enfant. De tels parents sont-ils dignes de respect ? (Non.) Ils ne sont pas dignes de respect. Alors, quelle est la nature de leurs attentes vis-à-vis de toi ? Ces attentes valent-elles la peine que tu les gardes à l’esprit ? (Non.) Quel est l’objectif principal des attentes de tes parents vis-à-vis de toi ? Tes parents veulent-ils vraiment que tu suives le bon chemin et que tu finisses par atteindre le salut ? Ils espèrent que tu suivras les tendances de la société et que tu atteindras un meilleur statut social, que tu seras un bon point pour eux, que tu leur permettras de faire face au monde avec dignité, que tu feras leur fierté et leur joie. Quoi d'autre ? Ils veulent pouvoir profiter de ton succès avec toi, bien manger et bien boire, porter de beaux vêtements et être couverts d’or et d’argent. Ils veulent partir sur des bateaux de croisière de luxe et voyager dans le monde entier. Si tu avais un meilleur statut social, obtenant gloire et argent dans ce monde, et qu’ainsi tu leur permettais de profiter de tes succès avec toi, ils parleraient de toi partout où ils iraient, et diraient : « Mon fils, ma fille est untel ou unetelle. » Parlent-ils de toi, à l’heure actuelle ? (Non.) Tu suis le bon chemin, mais ils ne parlent pas de toi. Ils pensent que tu es sans le sous et indigent, que tu es une source d’embarras, et que parler de toi reviendrait à se couvrir de honte, alors ils ne parlent pas de toi. Par conséquent, quel est le but des attentes de tes parents ? Le but est que tes parents puissent profiter de tes succès avec toi, ce n’est pas uniquement dans ton propre intérêt. Ils ne seront contents que lorsqu’ils pourront profiter de tes succès. Maintenant que tu es revenu devant le Créateur et que tu as accepté Dieu, Son salut et Ses paroles, maintenant que tu as assumé le devoir d’un être créé, et que tu t’es engagé sur le bon chemin dans la vie, ils ne tirent aucun bénéfice ou avantage de toi, et ils se disent qu’ils ont perdu au change en t’élevant. C’est comme s’ils faisaient du commerce et qu’ils avaient subi des pertes. Par conséquent, ils sont pleins de regrets. Certains parents disent souvent : « T’élever est pire qu’élever un chien. Quand on élève un chien, celui-ci se montre très amical et remue la queue quand il voit son maître. À quoi puis-je m’attendre en t’élevant ? Tu passes tes journées à croire en Dieu et à accomplir ton devoir, tu ne fais pas d’affaires, tu ne vas pas travailler, tu ne veux même pas d’un gagne-pain stable, et au bout du compte, tous nos voisins ont commencé à se moquer de nous. Qu’ai-je gagné grâce à toi ? Je n’ai rien tiré de bon de toi, je n’ai pas profité du moindre de tes succès. » Si tu suivais les tendances malveillantes du monde séculier et que tu t’efforçais d’y réussir, il est probable que tes parents te soutiendraient, t’encourageraient et te réconforteraient si tu devais souffrir, tomber malade ou te sentir triste. Et pourtant, ils ne sont pas contents et ne se réjouissent pas du fait que tu croies en Dieu et que tu aies une chance d’être sauvé. Au contraire, ils te haïssent et te maudissent. Si l’on se base sur leur essence, ces parents sont tes adversaires et tes ennemis jurés, ce ne sont pas des gens du même genre que toi, et ils ne suivent pas le même chemin que toi. Même si, en apparence, vous formez une famille, si l’on se base sur votre essence, vos poursuites, vos préférences, les chemins que vous suivez et les diverses attitudes que vous adoptez vis-à-vis des choses positives, de Dieu et de la vérité, on voit que tes parents ne sont pas des gens du même genre que toi. Par conséquent, tu auras beau dire : « J’ai l’espoir d’être sauvé, je me suis engagé sur le bon chemin dans la vie, » tes parents resteront de marbre, ils ne seront pas contents pour toi et ne se réjouiront pas pour toi. Au contraire, ils auront honte. Sur le plan émotionnel, ces parents constituent ta famille, mais si l’on se base sur vos natures-essences, ils ne sont pas ta famille, ce sont tes ennemis. Réfléchis-y, si les enfants apportent cadeaux et argent quand ils rentrent chez eux et qu’ils permettent à leurs parents de bien manger et de vivre dans de beaux endroits, leurs parents seront fous de joie, ils seront si heureux qu’ils ne sauront quoi dire. Dans leur cœur, ils se diront sans cesse : « Mon fils est tellement formidable, ma fille est tellement formidable. Je ne les ai pas élevés et aimés pour rien. Ils sont sensés, ils savent faire preuve de piété filiale, et nous occupons une place dans leur cœur. Ce sont de bons enfants. » Mais disons que tu rentres chez toi les mains vides, sans rien acheter, parce que tu crois en Dieu et que tu accomplis ton devoir. Supposons que tu échanges sur la vérité avec tes parents, que tu leur parles de la parole de Dieu et que tu leur dises que tu t’es engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité, alors tes parents penseront aussitôt : « Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne te comprends pas. Je t’ai élevé pendant toutes ces années et tu n’as répondu à aucune de mes attentes. Tu es finalement revenu nous rendre visite, tu aurais au moins pu nous acheter une paire de chaussettes ou des fruits. Tu n’as rien apporté, tu es venu les mains vides. » Tes parents ne diront pas : « En t’entendant dire ces choses, je vois que tu as beaucoup changé. Autrefois, tu étais jeune et arrogant, mais maintenant, tu as vraiment changé. Il est clair que toutes les choses dont tu parles sont de vraies questions. Tu as fait des progrès. Tu es prometteur et il y a de l’espoir pour toi, tu es capable de suivre le bon chemin, de suivre Dieu et de gagner le salut. Tu es un bon garçon. Tu as souffert là-bas, je vais te faire quelque chose de bon à manger. Nous avons quelques poules et, habituellement, nous ne voulons pas les tuer, nous préférons attendre de manger leurs œufs, mais maintenant que tu es rentré à la maison, je vais tuer une poule et te faire de la soupe. Tu as eu raison de choisir ce chemin, tu pourras atteindre le salut. Je suis si content pour toi ! Tu m’as beaucoup manqué ces dernières années. Même si nous n’avons pas été en contact, tu es revenu nous rendre visite et je me sens serein. Tu as grandi. Tu es plus mûr et plus sensé que tu ne l’étais. Toutes les choses que tu dis et que tu fais sont appropriées. » En voyant leur enfant suivre le bon chemin et avoir des pensées et opinions correctes, ces parents peuvent eux aussi en tirer profit et développer leurs connaissances. Puisque leur enfant est capable d’accomplir un devoir et de poursuivre la vérité, ces parents devraient soutenir leur enfant. Si, à l’avenir, leur enfant atteignait le salut et entrait dans le royaume, et s’il n’était plus meurtri par leurs tempéraments sataniques et corrompus, ce serait une chose merveilleuse. Même si ces parents sont âgés et lents à comprendre la vérité, et même s’ils ne comprennent pas vraiment ces questions, ils se disent : « Mon enfant peut suivre le bon chemin, c’est formidable. C’est un bon gamin. Il n’y a pas de poste gouvernemental de haut rang ou de richesses qui soient aussi positifs ou précieux que cela ! » Dis-Moi, ces parents sont-ils de bons parents ? (Oui.) Sont-ils dignes de respect ? (Oui.) Ils sont dignes de ton respect. Alors, comment devrais-tu leur témoigner du respect ? Tu dois prier pour eux, dans ton cœur. S’ils croient en Dieu, tu dois prier Dieu pour qu’Il les guide et qu’Il les protège, afin qu’ils puissent rester fermes dans leur témoignage face aux épreuves et aux tentations. S’ils ne croient pas en Dieu, tu dois respecter leur décision, malgré tout, et espérer qu’ils auront une vie stable, qu’ils ne feront rien de mal, et qu’ils commettront moins d’actes malfaisants, afin qu’au mieux ils subissent moins de punitions après leur mort. De plus, tu dois faire tout ton possible pour échanger avec eux sur certaines choses, pensées et opinions positives. C’est ce que l’on appelle le respect et on peut également dire que c’est la meilleure forme de piété filiale et la meilleure façon d’assumer tes responsabilités. Peux-tu y parvenir ? (Oui.) Encourage-les sur le plan spirituel et psychologique, et soutiens-les. Sur le plan physique, quand tu leur tiens compagnie à la maison, fais tout ton possible pour les aider à accomplir certaines tâches, et échange avec eux sur certaines choses que tu comprends et que tes parents peuvent saisir. Aide-les à se ménager, à ne pas se fatiguer autant, à ne pas faire toute une histoire de leurs finances et de toutes autres choses, et à laisser les choses suivre leur cours. C’est ce que l’on appelle le respect. Traite tes parents comme des personnes bonnes et respectables, assume une partie des responsabilités que tu as envers eux, fais preuve d’un peu de piété filiale à leur égard et remplis certaines de tes obligations envers eux. C’est ce que l’on appelle le respect. Seuls les parents qui comprennent et soutiennent ta croyance en Dieu de cette façon sont dignes de respect. À part eux, aucun autre parent n’est digne de respect. Outre t’amener à gagner de l’argent, ces autres parents veulent que tu atteignes un meilleur statut social, que tu te fasses un nom et que tu fasses ceci ou cela. Ces parents-là ne s’occupent pas de leurs propres affaires et ils ne sont pas dignes d’être respectés.
Désormais, vous comprenez tous ce qu’est l’abandon des attentes parentales et vous êtes capables d’abandonner les attentes de vos parents. Quelles sont les autres choses que vous êtes incapables d’abandonner ? En ce qui concerne la vie de tes parents, ou tes parents eux-mêmes, à quoi tiens-tu le plus ? Autrement dit, de quoi as-tu le plus de mal à te séparer, ou qu’est-ce qui t’est le plus difficile à abandonner sur le plan émotionnel ? « Tes parents ne sont pas tes créanciers ; tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin » : n’avons-nous pas fini d’échanger sur ce sujet, pour l’essentiel ? Comprenez-vous ce sujet ? (Oui.) Tes parents ne sont pas tes créanciers : autrement dit, tu ne dois pas sans cesse te demander comment leur rendre la pareille, simplement parce qu’ils ont passé beaucoup de temps à t’élever. Si tu n’es pas à même de leur rendre la pareille, si tu n’as pas l’occasion, ou si les circonstances ne conviennent pas pour le faire, alors tu te sentiras constamment triste et coupable, jusqu’à te sentir même triste quand tu vois quelqu’un avec ses parents, prenant soin d’eux ou leur témoignant sa piété filiale. Dieu a ordonné que tes parents t’élèveraient, ce qui t’a permis de devenir adulte, mais ce n’était pas pour que tu passes ta vie à leur rendre la pareille. Tu as des responsabilités et des obligations à assumer dans cette vie, un chemin à prendre, tu as ta propre vie. Dans cette vie, tu ne devrais pas consacrer toute ton énergie à rendre leur bonté à tes parents. C’est simplement quelque chose qui t’accompagne dans ta vie et sur ton chemin de vie. En termes d’humanité et de relations émotionnelles, c’est quelque chose d’inévitable. Mais quant au type de relation que toi et tes parents êtes destinés à avoir, que vous puissiez vivre ensemble pendant le reste de ta vie ou que vous soyez séparés, et que vous ne soyez pas liés par le destin, tout cela dépend des orchestrations et des arrangements de Dieu. Si Dieu a orchestré et arrangé que tu te trouves dans un lieu différent de tes parents durant cette vie, que tu sois très éloigné d’eux, et que vous soyez souvent dans l’impossibilité de vivre ensemble, alors assumer tes responsabilités envers eux n’est pour toi qu’une sorte d’aspiration. Si Dieu a arrangé pour toi que tu vives à proximité de tes parents dans cette vie, et que tu puisses rester à leurs côtés, alors assumer un peu de tes responsabilités envers eux, et leur témoigner une certaine piété filiale, sont des choses que tu devrais faire dans cette vie, ce n’est en rien critiquable. Mais si tu te trouves dans un endroit différent de tes parents, et que tu n’as pas la possibilité de leur témoigner ta piété filiale, ou que les circonstances ne s’y prêtent pas, alors tu n’as pas à considérer cela comme honteux. Tu ne dois pas avoir honte de faire face à tes parents parce que tu n’es pas à même de leur témoigner ta piété filiale. Simplement, les circonstances dans lesquelles tu te trouves ne le permettent pas. En tant qu’enfant, tu dois comprendre que tes parents ne sont pas tes créanciers. Tu dois faire de nombreuses choses dans cette vie, et toutes ces choses sont celles qu’un être créé devrait faire, ce sont des choses qui t’ont été confiées par le Créateur et qui n’ont aucun rapport avec le fait que tu rendes leur bonté à tes parents. Faire preuve de piété filiale à l’égard de tes parents, leur rendre la pareille, leur rendre leur bonté, tout cela n’a aucun rapport avec ta mission dans la vie. On peut également dire que tu n’es pas obligé de faire preuve de piété filiale vis-à-vis de tes parents, de leur rendre la pareille ni d’assumer les moindres responsabilités envers eux. Pour dire les choses simplement, tu peux le faire en partie, et assumer un peu de tes responsabilités quand les circonstances le permettent, mais quand ce n’est pas possible, tu n’as pas à t’évertuer à le faire. Si tu ne peux pas assumer ta responsabilité qui consiste à faire preuve de piété filiale, ce n’est pas grave, cela va simplement un peu à l’encontre de ta conscience, de ta moralité humaine et des notions humaines. Mais à tout le moins, cela ne s’oppose pas à la vérité, et Dieu ne te condamnera pas pour cela. Quand tu comprendras la vérité, ta conscience ne se sentira pas fautive à cause de cela. Votre cœur ne s’est-il pas calmé, maintenant que vous avez compris cet aspect de la vérité ? (Si.) Certaines personnes disent : « Même si Dieu ne me condamne pas, dans ma conscience, je ne peux toujours pas surmonter tout cela, et je ne suis pas sûr de moi. » Si c’est le cas, alors ta stature est trop faible et tu n’as pas compris ou percé à jour l’essence de cette question. Tu ne comprends pas la destinée de l’homme, tu ne comprends pas la souveraineté de Dieu et tu n’es pas disposé à accepter la souveraineté et les arrangements de Dieu. Tu es constamment possédé par la volonté humaine et tes propres sentiments, et ces choses te dirigent et te dominent. Elles sont devenues ta vie. Si tu choisis la volonté humaine et tes sentiments, alors tu n’as pas choisi la vérité et tu ne pratiques pas la vérité, ou tu ne t’y soumets pas. Si tu choisis la volonté humaine et tes sentiments, alors tu trahis la vérité. Ta situation et ton environnement ne te permettent clairement pas de faire preuve de piété filiale, mais tu penses sans cesse : « J’ai une dette vis-à-vis de mes parents. Je n’ai pas fait preuve de piété filiale. Cela fait tant d’années qu’ils ne m’ont pas vu. Ils m’ont élevé en vain. » Au fond de ton cœur, tu n’es jamais capable d’abandonner tout cela. Cela prouve une chose : tu n’acceptes pas la vérité. Du point de vue de la doctrine, tu reconnais que les paroles de Dieu sont correctes, mais tu ne les acceptes pas comme étant la vérité, ou tu ne les prends pas comme principes de tes actes. Donc, à tout le moins, pour ce qui est de la question de savoir comment tu traites tes parents, tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité. C’est parce qu’en la matière, tu n’agis pas en te basant sur la vérité, tu ne pratiques pas conformément aux paroles de Dieu, tu satisfais plutôt tes besoins émotionnels et ceux de ta conscience, en voulant faire preuve de piété filiale à l’égard de tes parents et leur rendre leur bonté. Même si Dieu ne te condamne pas pour ce choix, et même s’il s’agit de ton choix, en fin de compte, c’est toi qui seras perdant, surtout en ce qui concerne la vie. Tu es constamment soumis à cette question, tu penses constamment que tu as trop honte de faire face à tes parents, que tu ne leur as pas rendu leur bonté. Un jour, quand Dieu verra que ton désir de rendre à tes parents leur bonté est trop puissant, Il n’hésitera pas à orchestrer un environnement pour toi, et tu pourras alors simplement rentrer chez toi. Ne penses-tu pas que tes parents sont au-dessus de tout, au-dessus de la vérité ? Afin de faire preuve de piété filiale et de satisfaire les besoins de ta conscience, et tes sentiments, tu préférerais perdre Dieu, abandonner la vérité et renoncer à la possibilité d’atteindre le salut. Eh bien, ce n’est pas grave, c’est ton choix. Dieu ne te condamnera pas pour cela. Dieu orchestrera un environnement pour toi, Il te rayera de Sa liste et Il renoncera à toi. Si tu choisis de rentrer chez toi pour faire preuve de piété filiale, et que tu choisis de ne pas accomplir ton devoir, alors tu fuis et tu t’écartes du devoir que Dieu t’a confié, tu renonces à la commission de Dieu et aux attentes qu’Il a vis-à-vis de toi, tu renonces au devoir que Dieu t’a donné et tu renonces à la possibilité d’accomplir un devoir. Si tu rentres chez toi pour retrouver tes parents, afin de satisfaire les besoins de ta conscience et les attentes de tes parents, c’est acceptable, tu peux choisir de rentrer chez toi. Si tu ne peux vraiment pas abandonner tes parents, tu peux prendre l’initiative de lever la main et de dire : « Mes parents me manquent trop. Ma conscience me fait constamment des reproches, je suis incapable de satisfaire mes sentiments, et mon cœur souffre. J’ai hâte de voir mes parents et je ne cesse de penser à eux. Si je ne rentre pas pour faire preuve de piété dans cette vie, je crains de ne plus jamais en avoir l’occasion, j’ai peur de le regretter. » Alors tu peux entrer chez toi. Si tes parents sont le ciel et la terre pour toi, s’ils sont plus importants pour toi que ta propre vie, s’ils sont tout pour toi, alors tu peux choisir de ne pas les abandonner. Personne ne te forcera à le faire. Tu peux choisir de rentrer chez toi pour faire preuve de piété filiale et leur tenir compagnie, pour leur permettre d’avoir une vie agréable et leur rendre leur bonté. Mais il faut que tu y réfléchisses soigneusement. Si tu fais ce choix aujourd’hui et que, au bout du compte, tu rates l’occasion d’atteindre le salut, alors tu seras le seul à assumer ce résultat. Personne d’autre ne peut supporter ce genre de conséquence à ta place, tu dois le faire toi-même. Comprends-tu ? (Oui.) Si tu préfères renoncer à l’occasion d’accomplir un devoir et d’atteindre le salut, juste pour que tes parents puissent être tes créanciers, et pour que tu puisses rembourser tes dettes envers eux, c’est ton choix. Personne ne t’y oblige. Supposons que quelqu’un au sein de l’Église soumette une demande, en disant : « C’est trop dur, de vivre loin de chez moi. Mes parents me manquent trop. Je suis incapable de les abandonner dans mon cœur. Je rêve souvent d’eux. Dans mon esprit et dans mon cœur, je ne pense qu’à leur ombre, et je me sens de plus en plus coupable à cause de tout ce qu’ils ont fait pour moi. Maintenant qu’ils vieillissent, je me dis encore plus qu’il est vraiment difficile pour des parents d’élever un enfant, et que je devrais leur rendre la pareille, leur apporter un peu de joie et les réconforter par ma présence pendant le restant de leurs jours. Je préfère renoncer à la chance d’être sauvé pour pouvoir rentrer chez moi et faire preuve de piété filiale à leur égard. » Dans ce cas, cette personne peut soumettre une demande, en disant : « Je viens me présenter ! Je veux rentrer chez moi pour pouvoir faire preuve de piété filiale, je ne veux pas accomplir mon devoir. » L’Église doit alors approuver cette demande et personne ne doit essayer de convaincre cette personne ou échanger avec elle. Il serait stupide de lui dire quoi que ce soit de plus. Quand les gens ne comprennent vraiment rien, tu peux leur parler un peu plus, et échanger sur la vérité jusqu’à ce que celle-ci soit claire pour eux. Si tu n’as pas échangé clairement à ce sujet, et que la personne fait le mauvais choix en conséquence, alors tu en es responsable. Cependant, si la personne comprend tout en termes de doctrine, alors personne n’a à essayer de la convaincre. Ainsi, certaines personnes disent : « Je comprends tout, tu n’as pas à me dire quoi que ce soit. » C’est parfait, tu n’auras pas à gaspiller ta salive pour elles, tu t’épargneras quelques difficultés. Tu dois laisser de telles personnes rentrer chez elles immédiatement. Tout d’abord, ne les en empêche pas. Ensuite, soutiens-les. Et finalement, apporte-leur un peu de réconfort et encourage-les, en leur disant : « Rentre chez toi et fais preuve d’une véritable piété filiale. Ne les mets pas en colère, ne contrarie pas tes parents. Si tu veux faire preuve de piété filiale et leur rendre la pareille, alors tu dois être un enfant qui fait preuve d’amour filial. Mais ne sois pas rempli de regrets quand, au bout du compte, tu ne pourras pas atteindre le salut. Bon voyage, j’espère que tout ira bien ! » D’accord ? (Oui.) Si une personne veut rentrer chez elle pour faire preuve de piété filiale, très bien, cette personne ne doit pas refouler ce désir. Accomplir un devoir est quelque chose de volontaire et personne n’insistera pour que tu le fasses. Tu ne seras pas condamné parce que tu n’accomplis pas un devoir. Si tu accomplis un devoir, parviendras-tu forcément au salut ? Pas nécessairement. Tout dépend de l’attitude que tu as envers l’accomplissement d’un devoir. Alors, seras-tu détruit, si tu n’accomplis pas un devoir ? Personne n’a dit cela. Dans tous les cas, ton espoir de salut aura probablement disparu. Certaines personnes disent : « Est-ce une bonne ou une mauvaise chose de faire preuve de piété filiale ? » Je ne sais pas. Si tu veux faire preuve de piété filiale, alors fais-le. Nous n’évaluerons pas cela, le faire n’aurait aucun sens. Il s’agit là d’une question qui concerne l’humanité et les sentiments. Le tout est de choisir ta méthode d’existence. Cela n’a rien à voir avec la vérité. Toute personne qui veut rentrer chez elle et faire preuve de piété filiale peut librement choisir de le faire. La maison de Dieu n’insistera pas pour que cette personne reste, et la maison de Dieu ne s’en mêlera pas. Les dirigeants de l’Église et ceux qui les entourent ne doivent pas empêcher cette personne de rentrer chez elle. Ils ne doivent pas essayer de convaincre ce genre de personne, ou échanger sur la vérité avec elle. Si tu veux rentrer chez toi, alors pars. Tout le monde te fera ses adieux, on mangera des raviolis chinois avec toi et on te souhaitera bon voyage.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.