Seule la connaissance de soi aide à poursuivre la vérité (Partie 3)
Est-ce une bonne ou une mauvaise chose quand quelqu’un est à même de découvrir la gravité de sa corruption ? C’est une bonne chose. Plus tu peux déceler ta corruption et la comprendre avec exactitude et plus tu peux reconnaître ta propre essence. Tu as alors plus de chance d’être sauvé et tu es plus proche du salut. Moins tu décèles tes problèmes, en croyant toujours que tu es bon et que tu vas bien, plus tu t’éloignes alors du chemin du salut – tu es toujours en grand danger. Si tu vois quelqu’un qui se vante sans cesse de la façon dont il fait bien son devoir, et de sa capacité à échanger sur la vérité et à pratiquer la vérité, cela prouve que la stature de cette personne est infime. Il est puéril et sa vie est immature. Quel type de personne a le plus d’espoir de recevoir le salut et peut s’engager sur le chemin du salut ? C’est quelqu’un qui reconnaît réellement son propre tempérament corrompu. Plus il le comprend profondément, plus proche il est du salut. En comprenant que ses tempéraments corrompus ont tous leur origine dans la nature satanique, en voyant qu’il n’a ni conscience ni raison, qu’il ne peut mettre aucune vérité en pratique, qu’il vit seulement à travers son tempérament corrompu et qu’il manque de quelque humanité que ce soit, qu’il est un démon vivant et un Satan vivant, c’est vraiment reconnaître l’essence de sa propre corruption. Cette compréhension semble accentuer la gravité du problème, mais est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? (Une bonne chose.) Bien que ce soit une bonne chose, certaines personnes deviennent négatives quand elles voient leur côté diabolique et satanique, et pensent : « Il en est fait de moi maintenant. Dieu ne veut pas de moi. Je serai certainement envoyé en enfer. Il n’y a aucune chance que je sois sauvé par Dieu. » Est-ce quelque chose qui arrive ? Dis-Moi, existe-t-il des gens qui, à se connaître davantage, deviennent plus négatifs ? Ils pensent : « Je suis complètement anéanti. Le jugement et le châtiment de Dieu sont sur moi. C’est une punition, une rétribution. Dieu ne veut pas de moi. Je n’ai aucun espoir d’être sauvé. » Les gens ont-ils ces idées fausses ? (Oui.) En réalité, plus quelqu’un reconnaît le caractère désespéré de sa situation, plus l’espoir existe pour cette personne. Ne soyez pas négatifs, ne laissez pas tomber. Se connaître est une bonne chose, c’est un chemin indispensable pour recevoir le salut. Si quelqu’un est totalement inconscient de son tempérament corrompu et de l’essence de sa résistance à Dieu dans différents aspects, et que cette personne n’a même pas l’intention de changer, alors c’est un problème. Ce genre de personne est insensible, elle est morte. Une fois qu’elle est déjà morte, la ramener à la vie n’est pas facile.
À quel type de personne Dieu accorde-t-Il encore des occasions de repentance ? Quel type de personne a encore l’espoir d’être sauvé ? Quelles manifestations ces personnes devraient-elles exhiber ? Tout d’abord, elles doivent savoir ce qu’est la conscience. Peu importe ce qui leur arrive, elles sont en mesure de l’accepter comme venant de Dieu, elles comprennent dans leur cœur que c’est Dieu qui œuvre dans le but de les sauver. Elles diront : « Je ne comprends pas les intentions de Dieu, pas plus que je ne comprends pourquoi ce genre de choses m’arrive, mais j’ai confiance : c’est pour me sauver que Dieu agit ainsi. Je ne peux me rebeller contre Lui ou blesser Son cœur. Je dois me soumettre et me rebeller contre moi-même. » Elles ont cette conscience. En outre, en termes de raison, elles pensent : « Dieu est le Créateur. Je suis un être créé. Tout ce que fait Dieu est juste. Dieu me juge et me châtie afin de purifier mon tempérament corrompu. Quelle que soit la façon dont le Créateur traite les êtres qu’Il a créés, elle est raisonnable et appropriée. » N’est-ce pas la raison dont les gens devraient faire preuve ? Les gens ne devraient rien exiger de Dieu en disant : « Je suis un être humain et j’ai de la personnalité et de la dignité. Je ne Te permettrai pas de me traiter ainsi. » Est-ce raisonnable ? Ceci est un tempérament satanique, il lui manque la raison d’un humain normal et Dieu ne sauve pas les gens qui sont ainsi ; Il ne les reconnaît pas en tant qu’êtres créés. Supposons que tu dises : « J’ai été créé par Dieu. Peu importe comment Il veut me traiter, c’est bien. Il peut me traiter comme un âne, comme un cheval ou n’importe quoi d’autre. Je ne fais pas mes propres choix et je n’ai pas d’exigences propres. » Si tu disais cela, voudrais-tu quand même avoir le choix si l’accomplissement de ton devoir était plutôt difficile et fatigant ? (Non.) C’est exact. Tu dois te soumettre. Comment te soumets-tu ? Au début, la soumission est rude et difficile à supporter. Tu veux sans arrêt t’enfuir et refuser. Alors, que devrais-tu faire ? Tu dois te présenter devant Dieu et prier, chercher la vérité, voir clairement l’essence du problème, et ensuite trouver le chemin de la pratique. Tu devrais simplement, avec ton cœur, diriger ton effort dans la pratique de la vérité, et te soumettre peu à peu. C’est ainsi que tu fais preuve de raison. Tu dois d’abord posséder ce type de raison. Une fois que quelqu’un a la conscience et la raison, de quoi d’autre a-t-il besoin ? D’un sentiment de honte. Dans quelles situations quelqu’un doit-il avoir un sentiment de honte ? Quand il fait quelque chose de mal, quand il révèle sa rébellion, sa malhonnêteté et sa fourberie, quand il ment et qu’il fraude – c’est alors qu’il doit avoir une prise de conscience et un sentiment de honte. Il doit savoir qu’agir de cette façon n’est pas conforme à la vérité, que c’est indigne et qu’il doit éprouver du remords. Quelqu’un qui n’a aucun sentiment de honte est impudent, éhonté et indigne d’être appelé humain. C’en est fini de celui qui n’accepte pas la vérité. Peu importe comment la vérité est échangée avec lui, il ne l’accepte pas, et peu importe ce qui est dit, il n’en prend toujours pas conscience. C’est ce qu’on appelle ne pas avoir de sentiment de honte. Les gens qui n’éprouvent pas de sentiment de honte peuvent-ils ressentir du remords ? Si quelqu’un n’a pas de sentiment de honte, il n’a pas de dignité et quelqu’un comme ça ne ressent pas de remords. Quelqu’un qui ne ressent pas de remords peut-il faire demi-tour ? (Non.) Ceux qui ne peuvent pas faire demi-tour ne pourront pas renoncer au mal dont leurs mains sont coupables. « Qu’ils reviennent tous de leur mauvaise voie et des actes de violence dont leurs mains sont coupables ! » (Jonas 3:8). Que doit-on posséder pour être capable de faire cela ? Il faut avoir un sentiment de honte et le sens de la conscience. Quand on fait une erreur, on se le reproche, on ressent du remords et on abandonne sa mauvaise voie. Ce type de personne peut faire demi-tour. C’est le strict minimum d’humanité que quelqu’un devrait posséder. Mis à part la conscience, la raison et un sentiment de honte, de quoi d’autre a-t-on besoin ? (De l’amour des choses positives.) C’est exact. L’amour des choses positives signifie que l’on aime la vérité. Seuls les gens qui aiment la vérité sont bienveillants. Les gens malfaisants aiment-ils les choses positives ? Les gens malfaisants aiment les choses malveillantes, vicieuses et venimeuses ; ils aiment tout ce qui est associé aux choses négatives. Quand vous leur parlez de choses positives, ou de la manière dont quelque chose est bénéfique pour les gens et qu’elle vient de Dieu, ils ne sont pas contents et en entendre parler ne les intéresse pas – ils n’ont aucun espoir d’être sauvés. Même si quelqu’un échange brillamment sur la vérité avec eux ou qu’il leur parle concrètement, ils ne sont tout simplement pas intéressés et ils peuvent même exprimer de l’hostilité ou de l’antagonisme. Mais leur regard s’allume quand ils entendent quelqu’un parler de plaisirs charnels et ils sont alors pleins d’énergie. Ceci est un tempérament vicieux et malveillant et ils ne sont pas bienveillants. Par conséquent, ils ne peuvent certainement pas aimer les choses positives. Comment considèrent-ils les choses positives dans leur cœur ? Ils les méprisent et les regardent de haut, ils ridiculisent ces choses. Concernant le fait d’être une personne honnête, ils se disent : « Être une personne honnête ne fait que me pénaliser. Je vais m’en passer ! Si tu es honnête, tu es un idiot. Regarde-toi, tu souffres, tu travailles dur pour accomplir ton devoir sans même considérer ton propre avenir ou ta propre santé. Qui va se soucier de toi si tu t’effondres d’épuisement ? Je n’ai pas envie de m’épuiser. » Quelqu’un d’autre pourrait dire : « Il faut qu’on se laisse une porte de sortie. On ne peut pas travailler dur comme des idiots. Il faut qu’on trouve une échappatoire et ensuite on fournira simplement quelques efforts. » Ces personnes malfaisantes seront contentes d’entendre cela ; ça leur convient tout à fait ! Mais quand il s’agit de se soumettre absolument à Dieu et de se dépenser loyalement pour son devoir, elles éprouvent de la répulsion et de l’aversion, et elles ne l’acceptent pas. Quelqu’un comme ça n’est-il pas vicieux ? Tous les gens comme ça ont un tempérament vicieux. Tant que tu échanges avec eux sur la vérité et que tu leur parles des principes de pratique, ils ont de l’aversion et ne veulent plus rien entendre. Ils pensent que c’est une insulte à leur amour-propre, que ça blesse leur dignité et qu’ils ne peuvent pas en bénéficier. Intérieurement ils se disent : « Il faut toujours parler de la vérité et des principes de pratique, encore et encore, toujours parler d’être quelqu’un d’honnête – est-ce que l’honnêteté te donne de quoi manger ? Est-ce que parler honnêtement te rapporte de l’argent ? C’est en trichant que je ferai du profit ! » Quelle est cette logique ? C’est la logique d’un brigand. N’est-ce pas un tempérament vicieux ? Cette personne est-elle bienveillante ? (Non.) Ce type de personne ne peut pas atteindre la vérité. Les moindres engagements, efforts ou renoncements sont tous dédiés à un but qu’elle a calculé longtemps à l’avance. Elle considère qu’offrir quelque chose est une bonne affaire uniquement quand elle reçoit davantage en retour. Quel est ce tempérament ? C’est un tempérament malveillant et vicieux.
La plupart de ceux qui croient en Dieu ne cherchent pas la vérité. Ils aiment élaborer sans arrêt leurs propres plans et arrangements. Il en résultera qu’ainsi pendant des années, ils n’auront pas acquis grand-chose : ils ne comprendront aucune vérité et ils ne pourront partager aucun témoignage d’expérience. À ce moment-là, ils éprouveront des regrets et penseront qu’il vaut mieux se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu et croire en Dieu selon Ses exigences. Ils se sont sentis très malins sur le moment, faisant des projets selon leur propre volonté, mais n’ayant pas atteint la vérité, ce sont eux qui ont finalement perdu. Les gens commencent seulement à comprendre la vérité et à s’éveiller à travers ces échecs. Ce n’est qu’une fois que leur vie a subi un certain niveau de perte qu’ils prennent le bon chemin, et qu’ils commencent à prendre des raccourcis. S’ils avaient cru en Dieu selon Ses exigences, ils auraient évité de nombreux détours le long du chemin. Certaines personnes, après avoir fait l’expérience de beaucoup de choses et été confrontées à quelques échecs et revers, arrivent à comprendre la vérité. Elles comprennent ces questions et peuvent tout confier à Dieu, se soumettant de leur plein gré à Ses orchestrations et arrangements. À ce moment-là, elles sont sur le bon chemin. Mais les gens qui ont des tempéraments malveillants et vicieux ne se donnent pas à Dieu. Ils veulent toujours compter sur leurs propres efforts et se demandent en permanence : « Le destin est-il vraiment contrôlé par Dieu ? Dieu règne-t-Il vraiment sur toutes choses ? » Certaines personnes, qui écoutent les mêmes sermons et échanges dans la maison de Dieu, se sentent de plus en plus stimulées à mesure qu’elles écoutent. Plus elles écoutent, plus leur état s’améliore et elles connaissent une transformation. Mais d’autres personnes pensent seulement que ça semble de plus en plus compliqué, plus inaccessible. Ce sont des gens qui manquent de compréhension spirituelle. Et d’autres encore, écoutent les sermons et échanges et éprouvent de l’aversion et sont totalement désintéressées. Cela révèle les différences de nature chez les gens, séparant les brebis des boucs, ceux qui aiment la vérité de ceux qui n’aiment pas la vérité. Un groupe accepte les paroles de Dieu, la vérité et le jugement et le châtiment de Dieu. L’autre groupe n’accepte pas la vérité, en dépit de la façon dont ils écoutent les sermons. Il pense que c’est juste du jargon et même s’il le comprend bien, il ne veut pas le pratiquer parce qu’il ne peut abandonner ses propres projets, ses désirs égoïstes et ses intérêts. Il ne change donc pas, même après des années de croyance. Les différences entre ces deux groupes au sein de l’Église ne sont-elles pas évidentes ? Ceux qui désirent vraiment Dieu ne sont pas influencés, malgré tout ce que disent les autres ; ils persévèrent en se dépensant pour Dieu, ils croient que les paroles de Dieu sont correctes et que pratiquer selon les paroles de Dieu est le principe suprême. Ceux qui sont malveillants et qui n’aiment pas la vérité ont sans cesse des pensées actives. Si aujourd’hui ils perçoivent une lueur d’espoir de recevoir des bénédictions, ils se donneront à fond et feront de bonnes actions aux yeux de tous, en espérant les convaincre. Après un certain temps, cependant, quand Dieu ne les a pas bénis, ils sont pleins de regrets et se plaignent et ils tirent la conclusion suivante : « Dieu règne sur tout ; Il ne montre aucune partialité : je ne suis pas sûr que ces paroles soient justes. » Ils ne peuvent voir au-delà de leurs intérêts immédiats ; s’ils n’en tirent aucun bénéfice, ils ne lèveront pas le petit doigt. Cela n’est-il pas vicieux ? Peu importe avec qui ils communiquent, ils essaient de conclure des marchés et ils osent même tenter de conclure des marchés avec Dieu. Ils se disent : « J’ai besoin de faire du profit et tout de suite. Je dois faire un bénéfice maintenant ! » Tant de violence – serait-ce aller trop loin que de dire qu’ils ont un tempérament vicieux ? (Non.) Alors comment leur méchanceté peut-elle être démontrée ? Quand ils seront confrontés à une petite épreuve ou à un désastre, ils ne seront pas capables de les surmonter et n’accompliront pas leur devoir. Ils auront l’impression d’avoir subi une perte : « J’ai tant investi et Dieu ne m’a toujours pas béni. Y a-t-il même un Dieu ? Est-ce ou non le bon chemin ? » Leur cœur est agité par le doute. Ils veulent faire du profit, et cela prouve qu’ils ne font pas de sacrifices de leur plein gré ni sincèrement ; en cela, ils sont révélés. Qu’a dit la femme de Job quand il faisait l’expérience de ses épreuves ? (« Tu demeures ferme dans ton intégrité ! Maudis Dieu, et meurs ! » [Job 2:9].) C’était une incrédule, reniant Dieu et L’abandonnant quand le désastre frappe. Quand Dieu lui a accordé des bénédictions, elle a dit : « Éternel Dieu, Tu es le grand Sauveur ! Tu m’as donné tant de biens et Tu m’as bénie. Je vais Te suivre. Tu es mon Dieu ! » Et quand Dieu lui a retiré son bien, elle a dit : « Tu n’es pas mon Dieu. » Elle a même dit à Job : « Ne crois pas. Il n’y a pas de Dieu ! S’Il existait, comment pourrait-Il permettre que notre bien soit pris par des bandits ? Pourquoi ne nous a-t-Il pas protégés ? » Quel est ce tempérament ? C’est un tempérament vicieux. Dès que leurs intérêts sont compromis, et que leurs objectifs et désirs ne sont pas satisfaits, ils deviennent enragés, rebelles, ils deviennent Judas, trahissant et abandonnant Dieu. Existe-t-il beaucoup de gens comme cela ? De telles personnes à l’évidence plutôt malfaisantes et incrédules peuvent, dans une certaine mesure, encore exister au sein de l’Église. Mais certaines personnes ont seulement ce type d’état ; c’est-à-dire qu’elles ont ce tempérament, mais qu’elles ne sont pas forcément de ce type. Cependant, si tu as ce type de tempérament, doit-il changer ? (Oui.) Si tu as ce type de tempérament, cela signifie que ta nature aussi est vicieuse. Avec ce type de tempérament vicieux, tu es capable de t’opposer à Dieu, de trahir Dieu et d’agir de façon hostile envers Lui à tout instant. Chaque jour où tu ne changes pas ces tempéraments corrompus est un jour où tu n’es pas compatible avec Dieu. Quand tu es incompatible avec Dieu, tu ne peux pas venir devant Lui et faire l’expérience de Son œuvre, tu n’as aucun moyen de recevoir le salut.
Job était un homme de vraie foi. Quand Dieu l’a béni, il Lui a rendu grâce. Quand Dieu l’a discipliné et l’a dépossédé, il Lui a aussi rendu grâce. À la fin de son expérience, quand il était devenu vieux et que Dieu lui avait pris tout ce qu’il avait, comment Job a-t-il réagi ? Non seulement il ne s’est pas plaint, mais il a loué Dieu et Lui a porté témoignage. Y a-t-il un tempérament malveillant à l’œuvre ici ? Un tempérament vicieux ? (Non.) Job s’est-il rebellé après avoir perdu autant de biens ? S’est-il plaint ? (Non.) Il ne s’est pas plaint, il a loué Dieu. Quel est ce tempérament ? Il inclut plusieurs choses qu’une humanité normale devrait posséder : la conscience, la raison et un amour des choses positives. Tout d’abord, Job avait une conscience. Il savait dans son cœur que tout ce qu’il avait, était donné par Dieu, et il Lui rendait grâce pour cela. En outre, il faisait preuve de raison. Laquelle de ses déclarations prouve qu’il faisait preuve de raison ? (Il disait : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » [Job 1:21].) Cette déclaration témoigne de l’expérience véritable de Job et de sa compréhension des épreuves venant de Dieu ; elle transmet sa stature et son humanité véritables. Qu’est-ce que Job possédait d’autre ? (Un amour de la vérité.) Comment cela se mesure-t-il ? Comment peut-on voir son amour de la vérité quand Dieu l’a dépossédé ? (Quand quelque chose lui est arrivé, il a pu chercher la vérité.) Chercher la vérité est une manifestation de l’amour de la vérité. Quand ces choses arrivaient autour de lui, peu importe à quel point Job se sentait mal à l’aise ou en souffrance, il ne s’est pas plaint : cela n’est-il pas une manifestation de l’amour de la vérité ? Et quelle est l’autre manifestation importante de l’amour de la vérité ? (La capacité de se soumettre.) Comment sait-on s’il s’agit d’une manifestation juste et concrète de l’amour de la vérité ? Les gens disent souvent : « Tout ce que fait Dieu pour les gens est bénéfique et vient de Sa bonne volonté. » Est-ce la vérité ? (Oui.) Mais peux-tu l’accepter ? Tu peux l’accepter quand Dieu te bénit, mais peux-tu l’accepter quand Il ôte ? Tu ne le peux pas, mais Job a pu l’accepter. Il a considéré cette déclaration comme étant la vérité – n’aimait-il pas la vérité ? Quand Dieu a ôté tout ce qu’il avait, lui causant de graves pertes, et quand Job souffrait d’une si grave maladie, grâce à cette déclaration – « tout ce que fait Dieu est juste et vient de Sa bonne volonté », et parce que Job avait compris dans son cœur que c’était la vérité, indépendamment du fait qu’il souffrait beaucoup, il a pu quand même affirmer que cette déclaration était correcte. C’est pour cela que l’on dit que Job aimait la vérité. De plus, peu importe les moyens que Dieu a utilisés pour tester Job, celui-ci les a acceptés. Que ce soit en ôtant des choses ou en faisant que des brigands les prennent, ou même en affligeant Job de plaies, toutes ces choses vont à l’encontre des notions humaines, mais comment Job les a-t-il abordées ? S’est-il plaint de Dieu ? Il n’a pas exprimé la moindre parole de blâme envers Dieu. Ceci est l’amour de la vérité, l’amour de la justice, et l’amour de la droiture. Il se disait en son cœur : « Dieu est si juste envers nous, les hommes, et si droit ! Tout ce que fait Dieu est juste ! » Il pouvait donc louer Dieu en disant : « Peu importe ce que Dieu fait, je ne me plaindrais pas. Aux yeux de Dieu, les êtres créés ne sont que des vers. Peu importe la façon dont Dieu les traite, c’est bien et c’est fondé. » Il croyait que tout ce que faisait Dieu était juste, que c’était quelque chose de positif. Malgré sa souffrance intense et son inconfort, il ne s’est pas plaint. Ceci est un authentique amour de la vérité qui doit susciter l’admiration de tous ; et tout cela a été démontré concrètement. Peu importe combien il a perdu, ou combien les circonstances dans lesquelles il se trouvait étaient difficiles, Job ne s’est pas plaint de Dieu. Il s’est soumis. C’est une manifestation de l’amour de la vérité. Il a été capable de surmonter ses propres difficultés ; il ne s’est pas plaint de Dieu à cause d’elles et il n’a formulé aucune exigence à Dieu. Ceci est l’amour de la vérité, c’est de la soumission authentique. Seuls les gens qui se soumettent véritablement sont des gens qui aiment la vérité. Certaines personnes excellent à proférer la doctrine et à crier des slogans en temps normal, mais quand quelque chose de grave leur arrive, ils ont toujours des exigences envers Dieu et ils L’implorent avec persistance : « Oh Dieu, s’il Te plaît, délivre-moi de ma maladie ! S’il Te plaît, rends-moi ma fortune ! » Est-ce de la soumission ? Ce ne sont pas des gens qui aiment la vérité. Ils aiment mentir et fourvoyer les autres et ils ont dans le cœur le goût de la richesse et du gain. Job considérait les bénéfices matériels et toutes ses possessions comme sans importance, ayant une pure compréhension de chacune d’entre elles, il était donc capable de se soumettre. Job parvenait à percer à jour toutes ces choses dans son cœur. Il disait : « Peu importe combien d’argent quelqu’un gagne dans sa vie, tout vient de Dieu. Si Dieu ne te permet pas de gagner de l’argent, tu ne gagneras pas un centime. S’Il le permet, alors tu auras autant qu’Il te donne. » Il voyait clairement que la souveraineté de Dieu était sur toutes choses, cette vérité s’est enracinée dans son cœur. « Dieu règne sur toutes choses » : cette phrase pour Job ne comportait pas de point d’interrogation, mais un point d’exclamation. Cette phrase est devenue sa vie et s’est installée dans son cœur. Quoi d’autre était inhérent à l’humanité de Job ? Pourquoi maudissait-il le jour de sa propre naissance ? Il aurait préféré mourir plutôt que Dieu le voie en souffrance ou s’apitoie sur son sort. Quelle est cette qualité, quelle est cette essence ? (La bonté.) Quelles sont les manifestations principales de la bonté de Job ? Il était respectueux de Dieu et Le comprenait, et il pouvait aimer et satisfaire Dieu. Si quelqu’un possède ces qualités, alors il a du caractère. Comment se forge le caractère ? Seul celui qui comprend la vérité, qui reste ferme dans son témoignage durant les épreuves venant de Dieu et les tentations de Satan, qui peut vivre comme un humain, qui peut atteindre le niveau d’être humain, et qui possède une certaine quantité de vérité, a du caractère. En termes d’humanité-essence, c’est uniquement parce que Job avait un cœur bienveillant qu’il était capable de maudire le jour de sa propre naissance et qu’il aurait préféré mourir plutôt que de permettre que Dieu le voie souffrir, Lui causant du chagrin et de l’inquiétude. C’était l’humanité de Job. Quelqu’un aimera Dieu et prendra soin de Dieu seulement s’il a une humanité et une essence bienveillantes. S’il n’a ni l’une ni l’autre, alors il sera insensible et cruel. Comparez cela à Paul, qui était totalement à l’inverse de Job. Paul pensait toujours d’abord à lui et voulait même conclure des marchés avec Dieu. Il voulait obtenir une couronne, il voulait être Christ et Le remplacer. Et quand il n’a pas obtenu sa couronne, il a tenté de discuter avec Dieu et de Le contester. Quelle absence de raison ! Cela montre que Paul n’avait pas de sentiment de honte. Les gens qui ont le tempérament corrompu de Satan doivent changer. Si quelqu’un comprend la vérité et peut accepter et pratiquer la vérité, alors il sera en mesure de se soumettre à Dieu. Il ne s’opposera plus à Dieu et deviendra compatible avec Lui. Une telle personne est celle qui obtient la vérité et la vie. C’est ce type d’êtres créés que Dieu désire.
Le 13 juillet 2018
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