L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme (Partie 2)

Quelle part du travail de l’homme est l’œuvre du Saint-Esprit et quelle part est l’expérience de l’homme ? On peut dire que les gens ne comprennent toujours pas ces questions, et la raison en est que les gens ne comprennent pas les principes de l’œuvre du Saint-Esprit. Quand Je parle du « travail de l’homme », bien sûr, Je Me réfère au travail de ceux qui ont l’œuvre du Saint-Esprit ou ceux qui sont utilisés par le Saint-Esprit. Je ne me réfère pas à un travail qui provient de la volonté de l’homme, mais au travail des apôtres, des ouvriers ou des frères et sœurs ordinaires, un travail qui tombe dans le cadre de l’œuvre du Saint-Esprit. Ici, « le travail de l’homme » ne fait pas référence à l’œuvre de Dieu incarné, mais au cadre et aux principes de l’œuvre que le Saint-Esprit accomplit dans les gens. Bien que ces principes soient les principes et le cadre de l’œuvre du Saint-Esprit, ils ne sont pas les mêmes que les principes et le cadre de l’œuvre de Dieu incarné. Le travail de l’homme a l’essence et les principes de l’homme et l’œuvre de Dieu a l’essence et les principes de Dieu.

L’œuvre dans le courant du Saint-Esprit, peu importe qu’elle soit la propre œuvre de Dieu ou le travail des gens qui sont utilisés, est l’œuvre du Saint-Esprit. L’essence de Dieu Lui-même est l’Esprit qui peut être appelé le Saint-Esprit ou l’Esprit sept fois intensifié. Somme toute, Ils sont l’Esprit de Dieu, même si l’Esprit de Dieu a été appelé par des noms divers dans les différentes ères. Leur essence reste toujours la même. Par conséquent, l’œuvre de Dieu Lui-même est l’œuvre du Saint-Esprit, tandis que l’œuvre de Dieu incarné n’est rien de moins que le Saint-Esprit à l’œuvre. Le travail des gens qui sont utilisés est aussi l’œuvre du Saint-Esprit. Mais l’œuvre de Dieu est l’expression complète du Saint-Esprit, ce qui est absolument vrai, alors que le travail des gens utilisés est mélangé avec beaucoup de choses humaines et n’est pas l’expression directe du Saint-Esprit, encore moins Son expression complète. L’œuvre du Saint-Esprit est variée et n’est limitée par aucune condition. L’œuvre du Saint-Esprit varie selon les personnes différentes, manifeste différentes essences et varie selon les différentes époques, ainsi que selon les pays. Bien sûr, bien que le Saint-Esprit œuvre de nombreuses manières différentes et selon de nombreux principes, peu importe la manière dont l’œuvre est faite ou en quel genre de personnes, son essence est toujours différente ; toute l’œuvre accomplie en différentes personnes a ses principes et tout ce qu’elle est peut représenter l’essence de ses objets. Ceci est parce que l’œuvre du Saint-Esprit est très précise quant à sa portée et bien mesurée. L’œuvre accomplie dans la chair incarnée n’est pas la même que l’œuvre effectuée dans les personnes, et l’œuvre varie aussi selon le calibre des personnes dans lesquelles elle est effectuée. L’œuvre faite dans la chair incarnée n’est pas faite dans les gens et n’est pas la même œuvre que celle qui est faite dans les gens. En bref, peu importe la façon dont elle est faite, l’œuvre opérée en différents objets n’est jamais la même, et les principes sur lesquels Il fonde Son œuvre diffèrent en fonction de l’état et de la nature des différentes personnes dans lesquelles Il œuvre. Le Saint-Esprit œuvre en différentes gens en fonction de leur essence intrinsèque et n’exige d’eux rien qui dépasse leur essence inhérente ni n’accomplit en eux une œuvre qui dépasse leur calibre intrinsèque. Ainsi, l’œuvre du Saint-Esprit en l’homme permet aux gens de voir l’essence de l’objet de cette œuvre. L’essence inhérente de l’homme ne change pas ; son calibre inhérent est limité. Le Saint-Esprit utilise les gens ou œuvre en eux selon les limites de leur calibre afin qu’ils puissent en bénéficier. Quand le Saint-Esprit œuvre dans les gens qu’Il utilise, les talents et le calibre inhérent de ces gens sont libérés, non retenus. Leur calibre inhérent est complètement mis au service de l’œuvre. On peut dire qu’Il utilise les aspects des hommes qui peuvent être utilisés dans Son œuvre en vue d’obtenir des résultats de cette œuvre. Par contre, l’œuvre effectuée dans la chair incarnée exprime directement l’œuvre de l’Esprit et n’est pas altérée par l’esprit humain et les pensées humaines ; ni les talents de l’homme, ni l’expérience de l’homme, ni la condition innée de l’homme ne peuvent l’atteindre. La totalité de l’œuvre du Saint-Esprit est destinée à bénéficier à l’homme et à édifier l’homme. Cependant, certaines gens peuvent être perfectionnés tandis que d’autres n’ont pas les conditions requises pour être perfectionnés, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas être perfectionnés et peuvent difficilement être sauvés, et même s’ils ont fait l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit, ils sont finalement éliminés. Cela revient à dire que, bien que l’œuvre du Saint-Esprit soit d’édifier les gens, on ne peut pas dire que tous ceux qui ont fait l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit seront complètement perfectionnés, car le chemin que beaucoup de gens empruntent dans leur recherche n’est pas le chemin du perfectionnement. Ils sont seulement l’objet de l’œuvre unilatérale du Saint-Esprit, et ne fournissent pas la coopération humaine subjective ni la recherche humaine correcte. Ainsi, l’œuvre du Saint-Esprit en ces gens sert à ceux qui sont perfectionnés. L’œuvre du Saint-Esprit ne peut pas être vue directement par les gens ni touchée directement par les gens eux-mêmes. Elle peut seulement être exprimée par ceux qui ont le don du travail, ce qui signifie que l’œuvre du Saint-Esprit est fournie aux disciples par les expressions des hommes.

L’œuvre du Saint-Esprit est accomplie et achevée par de nombreux types de personnes et sous de nombreuses conditions différentes. Bien que l’œuvre de Dieu incarné puisse représenter l’œuvre de toute une ère et puisse représenter l’entrée des gens dans toute une ère, le travail sur les détails de l’entrée des gens doit quand même être fait par des hommes utilisés par le Saint-Esprit, non par Dieu incarné. Ainsi, l’œuvre de Dieu, ou le ministère propre de Dieu, est l’œuvre de Dieu incarné dans la chair et ne peut pas être faite par l’homme à Sa place. L’œuvre du Saint-Esprit est achevée par de nombreux différents types de gens ; elle ne peut pas être totalement réalisée par une seule personne et ne peut pas être exprimée complètement par une seule personne. Ceux qui dirigent les Églises ne peuvent pas non plus représenter complètement l’œuvre du Saint-Esprit ; ils ne peuvent que faire un travail de direction. L’œuvre du Saint-Esprit peut ainsi être divisée en trois parties : l’œuvre propre de Dieu, le travail des gens qui sont utilisés et l’œuvre de tous ceux qui sont dans le courant du Saint-Esprit. L’œuvre propre de Dieu est de diriger l’ère entière ; le travail des hommes qui sont utilisés est de diriger tous les disciples de Dieu en étant envoyés ou en recevant la commission après que Dieu a accompli Sa propre œuvre ; ces hommes sont ceux qui coopèrent avec l’œuvre de Dieu. L’œuvre accomplie par le Saint-Esprit en ceux qui sont dans le courant est de soutenir toute Sa propre œuvre, c’est-à-dire de soutenir toute Sa gestion et Son témoignage, perfectionnant dans le même temps ceux qui peuvent être perfectionnés. Ces trois parties ensemble sont l’œuvre complète du Saint-Esprit, mais sans l’œuvre de Dieu Lui-même, l’œuvre de gestion stagnerait dans sa totalité. L’œuvre de Dieu Lui-même implique le travail de toute l’humanité et elle représente aussi l’œuvre de toute l’ère, ce qui signifie que la propre œuvre de Dieu représente chaque dynamique et chaque tendance de l’œuvre du Saint-Esprit, alors que le travail des apôtres vient après la propre œuvre de Dieu, la suit et ne dirige pas l’ère ni ne représente des tendances de l’œuvre du Saint-Esprit durant toute une ère. Ils ne font que le travail que l’homme devrait faire, ce qui n’a absolument rien à voir avec l’œuvre de gestion. L’œuvre que Dieu accomplit Lui-même est un projet à l’intérieur de l’œuvre de gestion. Le travail de l’homme est seulement le devoir que les hommes qui sont utilisés accomplissent et n’a aucun rapport avec l’œuvre de gestion. En dépit du fait que tous les deux sont l’œuvre du Saint-Esprit et en raison des différentes identités et représentations de l’œuvre, il existe des différences claires et substantielles entre l’œuvre propre de Dieu et le travail de l’homme. En outre, la quantité de l’œuvre accomplie par le Saint-Esprit sur des objets qui ont différentes identités varie. Tels sont les principes et le cadre de l’œuvre du Saint-Esprit.

Le travail de l’homme signifie son expérience et son humanité. Ce que l’homme apporte et le travail qu’il accomplit le représentent. L’idée de l’homme, le raisonnement de l’homme, la logique de l’homme et sa riche imagination sont tous inclus dans son travail. L’expérience de l’homme est particulièrement apte à signifier son travail, et les expériences d’une personne deviennent les composantes de son travail. Le travail de l’homme peut exprimer son expérience. Quand certaines gens font une expérience d’une manière négative, la majeure partie du langage de leur échange se composera d’éléments négatifs. Si leur expérience, sur une période donnée, est positive et qu’ils empruntent particulièrement un chemin en étant positifs, leur échange est très encourageant et les gens sont en mesure d’en tirer des éléments positifs. Si un ouvrier devient négatif pendant un certain temps, son échange comportera toujours des éléments négatifs. Ce genre d’échange est déprimant et les autres seront inconsciemment déprimés après son échange. L’état des disciples change en fonction de l’état du guide. Un ouvrier exprime ce qui l’habite à l’intérieur, et l’œuvre du Saint-Esprit change souvent avec l’état de l’homme. Il œuvre en accord avec l’expérience des gens et ne les force pas, mais impose des exigences aux gens selon le cours normal de leur expérience. Ce qui revient à dire que l’échange de l’homme diffère de la parole de Dieu. Ce sur quoi les gens échangent transmet les idées et l’expérience de chacun, exprimant leurs idées et leur expérience en fonction de l’œuvre de Dieu. Leur responsabilité est de découvrir, après que Dieu a œuvré ou parlé, ce qu’ils devraient pratiquer de Son œuvre et de Ses paroles, dans quelles parties ils devraient entrer, puis de le livrer aux disciples. Par conséquent, le travail de l’homme représente son entrée et sa pratique. Bien sûr, un tel travail est mélangé avec des leçons humaines et avec l’expérience ou certaines pensées humaines. Quelle que soit la façon dont le Saint-Esprit œuvre, en l’homme ou en Dieu incarné, les ouvriers expriment toujours ce qu’ils sont. Bien que ce soit le Saint-Esprit qui œuvre, l’œuvre est fondée sur ce que l’homme est par nature, parce que le Saint-Esprit ne travaille pas sans fondement. En d’autres termes, l’œuvre ne vient pas de rien, mais est toujours faite conformément à des circonstances véritables et à des conditions réelles. C’est seulement de cette manière que le tempérament de l’homme peut être transformé, que ses vieilles notions et ses vieilles pensées peuvent être changées. Ce que l’homme exprime est ce qu’il voit, ce qu’il expérimente et ce qu’il peut imaginer, et c’est atteignable par la pensée de l’homme même si ce sont des doctrines et des notions. Le travail de l’homme ne peut pas dépasser la portée de l’expérience de l’homme, ni ce que l’homme voit, ni ce qu’il peut imaginer ou concevoir, peu importe la quantité de ce travail. Ce que Dieu exprime est ce qu’Il est Lui-même, et c’est inatteignable par l’homme, c’est-à-dire que c’est au-delà de la portée de la pensée de l’homme. Il exprime Son œuvre de direction de toute l’humanité, et cela n’a aucun rapport avec les détails de l’expérience humaine, mais concerne plutôt Sa propre gestion. Ce que l’homme exprime, c’est son expérience, alors que ce que Dieu exprime, c’est Son être qui est Son tempérament inhérent et est inaccessible à l’homme. L’expérience de l’homme se compose de ses idées et de ses connaissances acquises à partir de l’expression par Dieu de Son être. De telles idées et de telles connaissances sont appelées l’être de l’homme et leur expression est basée sur le tempérament et le calibre inhérents de l’homme ; c’est pourquoi elles sont aussi appelées l’être de l’homme. L’homme peut échanger sur ce qu’il expérimente et ce qu’il voit. Personne ne peut échanger sur ce qu’il n’a pas expérimenté, n’a pas vu ou sur ce qui est inaccessible à son esprit, ces choses n’étant pas à l’intérieur de lui. Si ce que l’homme exprime ne vient pas de son expérience, c’est alors son imagination ou de la doctrine. En termes simples, il n’y a aucune réalité dans ses paroles. Si tu n’entrais jamais en contact avec les choses de la société, tu ne seras pas en mesure de bien échanger sur les relations complexes dans la société. Si tu n’avais pas de famille et que d’autres personnes parlaient de problèmes familiaux, tu ne comprendrais pas la majorité de ce qu’ils disent. Alors, ce sur quoi l’homme échange et le travail qu’il fait représentent son être intérieur. Si quelqu’un échangeait sur sa compréhension du châtiment et du jugement, mais que tu n’en avais aucune expérience, tu n’oserais pas nier sa connaissance, encore moins oserais-tu y accorder ta confiance à cent pour cent. Cela s’explique par le fait que tu n’as jamais expérimenté, n’as jamais connu et ne peux pas imaginer le sujet de son échange. De sa connaissance, tu ne peux que retenir pour l’avenir une manière de subir le châtiment et le jugement. Mais cela ne peut être qu’une compréhension doctrinale et ne peut pas remplacer ta propre compréhension, encore moins ton expérience. Peut-être penses-tu que ce qu’il dit est tout à fait correct, mais selon ta propre expérience, tu découvres que c’est impraticable de nombreuses façons. Peut-être sens-tu que quelque chose de ce que tu entends est complètement impraticable ; tu en tires des notions au moment de l’écoute, et même si tu les acceptes, tu le fais seulement avec réticence. Mais dans ta propre expérience, la connaissance de laquelle tu as tiré des notions devient ton mode de pratique et plus tu pratiques, plus tu comprends la valeur réelle et le sens réel des paroles que tu as entendues. Après avoir vécu ta propre expérience, tu peux alors parler de la connaissance que tu devrais avoir sur les choses que tu as expérimentées. En outre, tu peux également faire la distinction entre ceux dont la connaissance est réelle et pratique et ceux dont la connaissance est basée sur la doctrine et sans valeur. Donc, que les connaissances que tu professes s’accordent avec la vérité ou non dépend en grande partie de l’expérience pratique que tu en as. Lorsqu’il y a de la vérité dans ton expérience, ta connaissance sera pratique et précieuse. Par ton expérience, tu peux aussi acquérir un discernement et une perspicacité, approfondir tes connaissances, et augmenter ta sagesse et ton bon sens au sujet de la manière dont tu devrais te comporter. La connaissance exprimée par des gens qui ne possèdent pas la vérité est de la doctrine, aussi élevée soit-elle. Des gens de ce genre peuvent être très intelligents quand il est question de la chair, mais sont incapables de distinction quand il est question de sujets spirituels. Ces gens en effet n’ont aucune expérience des sujets spirituels. Ces gens ne sont pas éclairés en ce qui concerne les sujets spirituels et ne comprennent pas les sujets spirituels. Peu importe le genre de connaissance que tu exprimes, aussi longtemps qu’il s’agisse de ton être, alors c’est de ton expérience personnelle et de ta connaissance réelle qu’il s’agit. Quant aux gens qui ne parlent que de la doctrine, c’est-à-dire ceux qui ne possèdent ni la vérité ni la réalité, on peut dire que ce dont ils discutent peut aussi être appelé leur être, car leur doctrine est le fruit de leur contemplation profonde et est le résultat de leur profonde rumination. Mais ce n’est que de la doctrine, rien de plus que l’imagination ! Les expériences de tous les types de gens représentent les choses en eux. Quiconque n’a aucune expérience spirituelle ne peut parler de la connaissance de la vérité ni de la connaissance sur diverses choses spirituelles. Ce que l’homme exprime est son être intérieur, c’est certain. Si quelqu’un désire avoir une connaissance des choses spirituelles et une connaissance de la vérité, il doit avoir une expérience réelle. Si tu ne peux pas parler clairement du bon sens dans la vie humaine, encore moins pourras-tu parler de choses spirituelles, ne crois-tu pas ? Ceux qui peuvent diriger des Églises, qui peuvent donner la vie aux gens et être des apôtres pour les gens doivent avoir une expérience réelle ; ils doivent avoir une bonne compréhension des choses spirituelles, ainsi qu’une appréciation et une expérience justes de la vérité. Seuls de tels hommes sont qualifiés pour être des ouvriers ou des apôtres qui dirigent les Églises. Autrement, ils ne peuvent que suivre comme les plus petits et ne peuvent pas diriger, encore moins être des apôtres qui sont capables de donner la vie aux gens. En effet, la fonction d’apôtre n’est pas de courir à droite à gauche ou de se battre ; c’est de faire le travail de servir la vie et de diriger les autres vers la transformation de leurs tempéraments. Ceux qui exercent cette fonction sont chargés d’assumer une lourde responsabilité qui ne peut pas être assumée par n’importe qui. Ce genre de travail ne peut être entrepris que par ceux qui ont ce qu’est la vie, c’est-à-dire ceux qui ont une expérience de la vérité. Il ne peut pas être entrepris simplement par quiconque peut renoncer, peut courir à gauche à droite ou est prêt à se dépenser lui-même ; les gens qui n’ont aucune expérience de la vérité, qui n’ont pas été émondés ou jugés, sont incapables de faire ce type de travail. Les gens sans expérience, qui sont des gens sans la réalité, sont incapables de voir clairement la réalité parce qu’ils n’ont pas eux-mêmes ce genre d’être. Donc, les gens de ce genre non seulement sont incapables de faire le travail de direction, mais seront éliminés s’ils n’ont pas la vérité pendant une longue période. L’idée que tu exprimes peut servir de preuve pour les difficultés que tu as vécues dans la vie, les choses pour lesquelles tu es châtié et les questions pour lesquelles tu as été jugé. C’est également vrai au sujet des épreuves : là où l’on est épuré, là où l’on est faible, c’est là que l’on a de l’expérience, là que l’on trouve son chemin. Par exemple, si quelqu’un souffre de frustrations dans son mariage, dans son échange, souvent il dira : « Merci, Dieu ! Dieu soit loué ! Je dois satisfaire le désir du cœur de Dieu et offrir toute ma vie, et je dois placer mon mariage entièrement entre les mains de Dieu. Je suis prêt à livrer toute ma vie à Dieu. » Par les échanges, tout dans l’homme peut démontrer ce qu’il est. Le rythme du discours d’un individu, s’il parle à voix haute ou à voix basse, de tels aspects ne sont pas des aspects d’expérience et ne peuvent pas représenter ce qu’il a et ce qu’il est. Ils peuvent seulement révéler si son caractère est bon ou mauvais, ou si sa nature est bonne ou mauvaise, mais ne peuvent pas déterminer s’il a des expériences ou non. Le talent de l’expression de soi par la parole ou l’habileté ou la vitesse du discours ne sont qu’une question de pratique et ne peuvent pas remplacer l’expérience. Quand tu parles de tes expériences individuelles, tu échanges sur ce que tu considères comme important et sur toutes les choses en toi. Mon discours représente Mon être, mais ce que Je dis est hors de la portée de l’homme. Ce que Je dis n’est pas ce que l’homme expérimente, ce n’est pas quelque chose que l’homme peut voir, ce n’est également pas quelque chose que l’homme peut toucher, mais c’est ce que Je suis. Certaines personnes reconnaissent seulement que le contenu de Mon échange est ce que J’ai expérimenté, mais elles ne reconnaissent pas que c’est l’expression directe de l’Esprit. Bien sûr, ce que Je dis, c’est ce que J’ai expérimenté. C’est Moi qui ai fait le travail de gestion pendant six mille ans. J’ai fait l’expérience de tout depuis le début de la création de l’humanité jusqu’à présent. Comment ne serais-Je pas en mesure d’en discuter ? En ce qui a rapport à la nature de l’homme, Je l’ai vue clairement, et Je l’ai longuement observée. Comment ne serais-Je pas en mesure d’en parler clairement ? Depuis que J’ai clairement vu l’essence de l’homme, Je suis qualifié pour châtier l’homme et pour le juger, parce que tout l’homme est venu de Moi, mais a été corrompu par Satan. Bien sûr, Je suis également qualifié pour évaluer l’œuvre que J’ai faite. Bien que cette œuvre ne soit pas faite par Ma chair, elle est l’expression directe de l’Esprit, et c’est ce que J’ai et ce que Je suis. Par conséquent, Je suis qualifié pour l’exprimer et pour faire l’œuvre que Je dois faire. Ce que les gens disent, c’est ce qu’ils ont expérimenté. C’est ce qu’ils ont vu, ce que leur esprit peut atteindre et ce que leurs sens peuvent percevoir. Voilà ce sur quoi ils peuvent échanger. Les paroles prononcées par la chair incarnée de Dieu sont l’expression directe de l’Esprit et elles expriment l’œuvre qui a été faite par l’Esprit, que la chair n’a pas connue ou vue, pourtant Il exprime quand même Son être, car l’essence de la chair est l’Esprit, et Il exprime l’œuvre de l’Esprit. Même si c’est hors de portée pour la chair, c’est une œuvre déjà accomplie par l’Esprit. Après l’incarnation, par l’expression de la chair, Il permet aux gens de connaître l’être de Dieu et permet aux gens de voir le tempérament de Dieu et l’œuvre qu’Il a faite. Le travail de l’homme donne plus de clarté aux gens au sujet de leur entrée et de ce qu’ils doivent comprendre ; il implique la direction des gens vers la compréhension et l’expérience de la vérité. Le travail de l’homme est de soutenir les gens ; l’œuvre de Dieu est d’ouvrir de nouvelles voies et de nouvelles ères pour l’humanité, et de révéler aux gens ce qui n’est pas connu par les mortels, leur permettant de connaître Son tempérament. L’œuvre de Dieu est de diriger l’humanité tout entière.

Toute l’œuvre du Saint-Esprit est accomplie pour bénéficier aux gens. Elle a le seul but d’édifier les gens ; aucune œuvre ne procure pas de bénéfices aux gens. Peu importe que la vérité soit profonde ou superficielle, peu importe le calibre de ceux qui acceptent la vérité, que le Saint-Esprit fasse quoi que ce soit, tout cela est bénéfique pour les gens. Mais l’œuvre du Saint-Esprit ne peut pas être faite directement ; elle doit être exprimée par les hommes qui coopèrent avec Lui. Ce n’est que de cette façon que les résultats de l’œuvre du Saint-Esprit peuvent être obtenus. Bien sûr, quand le Saint-Esprit œuvre directement, il n’y a aucune adultération, mais quand le Saint-Esprit œuvre par l’homme, elle devient très entachée et n’est pas l’œuvre originale du Saint-Esprit. Cela étant, la vérité change à des degrés divers. Les disciples ne reçoivent pas l’intention originale du Saint-Esprit, mais une combinaison de l’œuvre du Saint-Esprit et de l’expérience et de la connaissance de l’homme. De ce qui est reçu par les disciples, la partie qui est l’œuvre du Saint-Esprit est correcte alors que l’expérience et la connaissance de l’homme qui sont reçues varient parce que les ouvriers sont différents. Les ouvriers sous l’éclairage et la direction du Saint-Esprit auront des expériences basées sur cet éclairage et cette direction. L’esprit et l’expérience de l’homme, ainsi que l’être de l’humanité, sont combinés dans ces expériences, et ensuite ils acquièrent la connaissance ou la perspicacité qu’ils devraient avoir. Telle est la voie de la pratique pour l’homme après avoir expérimenté la vérité. Cette voie de la pratique n’est pas toujours la même parce que les gens expérimentent différemment et que les choses que les gens expérimentent sont différentes. De cette façon, le même éclairage du Saint-Esprit conduit à une connaissance et une pratique différentes parce que ceux qui reçoivent l’éclairage sont différents. Certains font des erreurs mineures lors de la pratique alors que d’autres font des erreurs majeures, et d’autres ne font que des erreurs. En effet, la capacité de compréhension des gens diffère et que leur calibre inhérent diffère également. Après avoir entendu un message, certains comprennent d’une manière et d’autres comprennent d’une autre manière après avoir entendu une vérité. Certains dévient légèrement alors que d’autres ne comprennent pas du tout le sens réel de la vérité. Par conséquent, la compréhension que l’on a dicte sa manière de diriger les autres ; cela est tout à fait vrai parce que le travail de quelqu’un est tout simplement l’expression de son être. Les gens dirigés par ceux qui ont une bonne compréhension de la vérité auront une bonne compréhension de la vérité. Même si des gens font des erreurs de compréhension, quelques-uns seulement, tous ne font pas des erreurs. Si quelqu’un se trompe dans sa compréhension de la vérité, ceux qui le suivent seront sans aucun doute aussi dans l’erreur et ils seront dans l’erreur dans tous les sens du mot. Le degré de compréhension de la vérité chez les disciples dépend en grande partie des ouvriers. Bien sûr, la vérité de Dieu est correcte et sans erreur, et est absolument certaine. Les ouvriers cependant ne sont pas complètement corrects et ne peuvent pas être considérés comme totalement fiables. Si les ouvriers ont un moyen concret de mettre la vérité en pratique, alors les disciples auront également un moyen de pratiquer. Si les ouvriers n’ont pas un moyen de pratiquer la vérité, mais ont seulement la doctrine, les disciples n’auront aucune réalité. Le calibre et la nature des disciples sont déterminés par la naissance et ne sont pas associés aux ouvriers, mais le degré de compréhension de la vérité et de la connaissance de Dieu qu’ont les disciples dépend des ouvriers. (Cela n’est vrai que pour certaines personnes.) Tel ouvrier, tels disciples. Un ouvrier exprime son être propre, sans réserve. Les exigences qu’il place sur ses disciples sont ce qu’il est lui-même prêt à réaliser ou capable de réaliser. La plupart des ouvriers imposent des exigences à leurs disciples en fonction de ce qu’ils font eux-mêmes, même si leurs disciples ne peuvent pas du tout réaliser une grande partie de ces exigences, et ce qui ne peut pas être réalisé devient un obstacle à leur entrée.

La déviation est bien moindre dans le travail de ceux qui ont été émondés, traités, jugés et châtiés, et l’expression de leur travail est beaucoup plus claire. Ceux qui comptent sur leur naturalité pour travailler font des erreurs plutôt majeures. Le travail des gens non perfectionnés exprime trop de leur propre naturalité, ce qui constitue un obstacle majeur à l’œuvre du Saint-Esprit. Quelle que soit la qualité du calibre des gens, ils doivent quand même être émondés, traités et jugés avant de pouvoir faire le travail du mandat de Dieu. S’ils ne subissent pas un tel jugement, peu importe leur succès, leur travail ne peut pas être en accord avec les principes de la vérité et est toujours le fruit de leur propre naturalité et bonté humaine. Le travail de ceux qui ont été émondés, traités et jugés est bien plus clair que le travail de ceux qui n’ont pas été émondés, traités et jugés. Ceux qui n’ont pas subi le jugement n’expriment rien de plus que la chair humaine et les pensées humaines mélangées avec beaucoup d’intelligence humaine et des talents innés. Ce n’est pas l’expression exacte de l’œuvre de Dieu par les hommes. Leurs disciples sont attirés à eux par leur calibre inné. Parce qu’ils expriment trop de la perspicacité et de l’expérience de l’homme, qui sont presque déconnectées de l’intention originelle de Dieu et s’éloignent trop de Dieu, le travail de ce type de gens ne peut amener les hommes devant Dieu, les amène plutôt devant l’homme. Alors, ceux qui n’ont pas subi le jugement et le châtiment ne sont pas qualifiés pour mener à bien l’œuvre du mandat de Dieu. Le travail d’un ouvrier qualifié peut amener les gens sur la bonne voie et leur accorder une meilleure entrée dans la vérité. Son travail peut amener les gens devant Dieu. En outre, le travail qu’il fait peut varier d’un individu à l’autre et n’est pas limité par des règles, accordant aux gens la libération et la liberté et la capacité de progresser graduellement dans la vie et d’avoir une entrée plus profonde dans la vérité. Le travail d’un ouvrier non qualifié est loin d’être suffisant ; son travail est stupide. Il n’a que des règlements à donner aux gens et ce qu’il exige des gens ne varie pas d’un individu à l’autre ; il ne travaille pas en fonction des besoins réels des gens. Dans ce type de travail, il y a trop de règlements et trop de doctrines, et cela ne peut pas amener les gens dans la réalité ni dans la pratique normale de la croissance dans la vie. Il ne peut que permettre aux gens d’adhérer à quelques règles sans valeur. Une telle direction ne peut qu’égarer les gens. Il te guide afin que tu deviennes comme lui ; il peut t’amener dans ce qu’il a et ce qu’il est. Les disciples peuvent discerner si les guides sont qualifiés en regardant la voie qu’ils empruntent et les résultats de leur travail, en considérant si leurs principes sont en accord avec la vérité et si eux-mêmes, les disciples, reçoivent des moyens de pratique appropriés à leur transformation. Tu devrais faire la distinction entre le travail différent de différents types de gens ; tu ne devrais pas être un disciple stupide. Cela a un rapport avec la question de l’entrée des gens. Si tu es incapable de faire la distinction entre un guide qui a une voie et un autre qui n’en a pas, tu seras facilement trompé. Tout cela a une incidence directe sur ta propre vie. Il y a trop de naturalité dans le travail de gens non perfectionnés ; il y a trop de volonté humaine dans le mélange. Leur être est la naturalité, ce qu’ils avaient à la naissance. Ce n’est pas la vie après avoir été traité ni la réalité après avoir été transformé. Comment une telle personne peut-elle soutenir ceux qui cherchent la vie ? La vie originelle de l’homme est son intelligence innée ou son talent inné. Ce genre d’intelligence ou de talent sont plutôt éloignés des exigences exactes de Dieu envers l’homme. Si un homme n’a pas été perfectionné et son tempérament corrompu n’a pas été émondé et traité, il y aura un grand écart entre ce qu’il exprime et la vérité ; ce qu’il exprime sera mélangé avec des choses vagues comme son imagination et son expérience unilatérale, etc. En outre, indépendamment de la façon dont il travaille, les gens sentent qu’il n’y a pas d’objectif global et pas de vérité qui convienne à l’entrée de tous les gens. La majorité des exigences placées sur les gens dépassent leur capacité, autant leur demander de chercher la quadrature du cercle. C’est le travail de la volonté humaine. Le tempérament corrompu de l’homme, ses pensées et ses notions imprègnent toutes les parties de son corps. L’homme ne naît pas avec l’instinct de pratiquer la vérité ni n’a l’instinct de comprendre directement la vérité. Ajoutez à cela le tempérament corrompu de l’homme, et alors quand ce genre d’individu naturel travaille, ne provoque-t-il pas des interruptions ? Mais un homme qui a été perfectionné a l’expérience de la vérité que les gens devraient comprendre et la connaissance de leurs tempéraments corrompus, de sorte que les choses vagues et irréelles dans son travail diminuent graduellement, les falsifications humaines deviennent moins nombreuses et son travail et son service se rapprochent de plus en plus des normes requises par Dieu. Ainsi, son travail est entré dans la réalité-vérité et est aussi devenu réaliste. Les pensées dans l’esprit de l’homme en particulier bloquent l’œuvre du Saint-Esprit. L’homme a une riche imagination, une logique raisonnable et une longue expérience de la gestion des affaires. Si ces aspects de l’homme ne subissent pas l’émondage et la correction, ils sont tous des obstacles à l’œuvre. Par conséquent, le travail de l’homme ne peut pas atteindre le plus haut degré de précision, en particulier le travail des gens non perfectionnés.

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