En quoi consiste la poursuite de la vérité (14) Partie 4
L’affirmation morale « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » comporte un autre aspect qu’il convient de discerner. Si la tâche qui t’est confiée ne te prend pas trop de temps et d’énergie et qu’elle est à la portée de ton calibre, ou si tu disposes d’un environnement adéquat et de conditions adéquates, alors, par conscience et raison humaines, tu peux faire certaines choses pour les autres au mieux de tes capacités et répondre aux demandes raisonnables et appropriées qu’ils formulent. À l’inverse, si la tâche qui t’est confiée te prend beaucoup de temps et d’énergie et te prive de la majeure partie de ton temps, au point de te faire sacrifier ta vie, et que tes responsabilités et tes obligations dans cette vie et tes devoirs en tant qu’être créé vont être réduits à néant et remplacés, alors que feras-tu ? Tu devrais refuser parce que cela ne relève pas de ta responsabilité ou d’une obligation. En ce qui concerne les responsabilités et les obligations de la vie d’une personne, outre le fait de s’occuper de ses parents, d’élever ses enfants et de remplir ses responsabilités sociales dans la société et dans le cadre de la loi, la chose la plus importante, c’est que l’énergie, le temps et la vie d’une personne doivent être consacrés à faire son devoir d’être créé, plutôt que de se voir confier une tâche par quelqu’un d’autre, ce qui lui prendrait son temps et son énergie. En effet, Dieu crée une personne, lui donne la vie et la fait venir dans ce monde, et ce n’est pas pour qu’elle fasse des choses et assume des responsabilités pour les autres. Ce que les gens devraient accepter le plus, c’est ce que Dieu leur confie. Seul ce que Dieu leur confie est authentique : accepter ce que l’homme leur confie revient à ne pas s’occuper de leurs propres devoirs. Nul n’est qualifié pour te demander de consacrer ta loyauté, ton énergie, ton temps, ni même ta jeunesse et ta vie entière aux tâches qu’ils te confient. Seul Dieu est qualifié pour demander aux gens de faire leur devoir en tant qu’êtres créés. Pourquoi en est-il ainsi ? Si une tâche qui t’est confiée exige beaucoup de ton temps et de ton énergie, elle t’empêchera de faire ton devoir d’être créé et même de suivre le bon chemin dans la vie. Elle modifiera l’orientation et les objectifs de ta vie. Ce n’est pas une bonne chose, c’est une malédiction. Si elle consomme une grande partie de ton temps et de ton énergie et te vole même de ta jeunesse, te privant d’occasions de gagner la vérité et la vie, alors toute tâche de cette nature vient de Satan, et non simplement d’un individu. Voici une autre façon de comprendre la question. Si quelqu’un te confie une tâche qui consomme et gaspille beaucoup de ton temps et de ton énergie et t’amène même à sacrifier ta jeunesse et ta vie tout entière, accaparant le temps que tu devrais consacrer à faire ton devoir d’être créé, alors non seulement cette personne n’est pas ton ami, mais elle peut même être considérée comme ton ennemi et ton adversaire. Dans ta vie, en plus d’assumer tes responsabilités et de remplir tes obligations envers tes parents, tes enfants et ta famille, que Dieu t’a confiés, tout ton temps et toute ton énergie devraient être consacrés et dépensés à faire ton devoir d’être créé. Nul n’est qualifié pour occuper ou accaparer ton temps et ton énergie sous prétexte de te confier telle ou telle tâche. Si tu ne tiens pas compte de ce conseil et que tu acceptes ce que l’on te confie et qui occupe une grande partie de ton temps et de ton énergie, alors, le temps dont tu disposes pour faire ton devoir d’être créé sera relativement diminué, voire réduit à néant et accaparé. Qu’est-ce que cela signifie si tu es privé du temps et de l’énergie nécessaires pour faire ton devoir ? Cela signifie que l’occasion que tu as de poursuivre la vérité est réduite. Quand l’occasion de poursuivre la vérité est réduite, cela ne signifie-t-il pas aussi que tes chances d’être sauvé sont moindres ? (Si.) Est-ce pour toi une bénédiction ou une malédiction ? (Une malédiction.) C’est sans aucun doute une malédiction. C’est comme une jeune fille qui aurait un petit ami qui lui dirait : « Crois en Dieu si tu veux, mais tu vas devoir m’attendre jusqu’à ce que je réussisse, que je devienne riche et influent, et que je puisse t’acheter une voiture, une maison et une alliance sertie d’un gros diamant, après quoi je t’épouserai. » La jeune fille répondrait : « Alors, pendant ces quelques années, je ne croirai pas en Dieu et je n’accomplirai pas mes devoirs. Je vais d’abord travailler dur à tes côtés et j’attendrai que tu deviennes riche, que tu deviennes chef d’entreprise, que tes souhaits soient exaucés, et ensuite j’accomplirai mes devoirs. » Cette jeune fille est-elle intelligente ou insensée ? (Insensée.) Elle est tellement insensée ! Tu as aidé ton petit ami à réussir, à devenir riche et puissant, à connaître la gloire et la fortune, mais qui rattrapera le temps perdu ? Tu n’as pas rempli ton devoir d’être créé, alors qui compensera cette perte, qui s’en acquittera ? Pendant ces quelques années où tu as cru en Dieu, tu n’as pas gagné la vérité que tu aurais dû et tu n’as pas gagné la vie que tu aurais dû. Qui compensera cette vérité et cette vie ? Certains croient en Dieu, mais ne poursuivent pas la vérité. Au lieu de cela, ils consacrent plusieurs années du temps qui leur est imparti à réaliser une tâche, un souhait ou une demande que d’autres personnes leur ont confiés. Au bout du compte, non seulement ils n’ont rien gagné, mais ils sont aussi passés à côté de l’occasion de faire leur devoir visant à obtenir la vérité. Ils ne reçoivent pas l’approbation de Dieu. La perte est trop grande et le coût, trop élevé ! N’est-il pas insensé de renoncer à croire en Dieu et à faire le devoir d’un être créé simplement pour éviter de briser la confiance des autres, pour permettre aux gens de dire du bien de soi, pour être considéré comme une personne de caractère moral élevé, de bonne réputation et digne de confiance qui réussit à « faire de son mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres lui ont confié » ? Il y a aussi ceux qui essaient de jouer sur les deux tableaux, d’une part en satisfaisant les gens tout en consacrant un peu d’énergie à l’accomplissement d’un devoir, et en plaisant aux autres tout en voulant plaire à Dieu. Que se passe-t-il à la fin ? Tu satisfais peut-être les gens, mais ton devoir d’être créé n’est pas rempli, tu ne comprends pas du tout la vérité et tu y perds tellement ! Tu as beau avoir fait de ton mieux pour gérer fidèlement les choses pour les gens et avoir reçu des éloges de leur part disant que tu tiens parole et que tu es une personne de caractère moral élevé, tu n’as pas gagné la vérité de Dieu ni reçu l’approbation ou l’acceptation de Dieu. En effet, faire de son mieux pour gérer fidèlement les choses pour les gens n’est pas ce que Dieu exige de l’humanité ni une tâche qui t’a été confiée par Dieu. Faire de ton mieux pour gérer fidèlement les choses pour les gens, c’est faire fausse route, c’est ne pas t’acquitter de tes propres devoirs, et cela n’a aucune valeur ni aucune signification. Ce n’est pas du tout une bonne action qui mérite d’être commémorée. Tu as investi beaucoup de ton énergie et de ton temps pour les autres, et ce faisant, non seulement Dieu ne Se souvient pas de toi, mais tu as perdu une occasion en or de poursuivre la vérité et le précieux temps nécessaire pour faire ton devoir d’être créé. Quand tu fais demi-tour et que tu veux poursuivre la vérité et bien faire tes devoirs, te voilà déjà vieux, sans énergie, sans force physique et en proie à des maladies. Cela en vaut-il la peine ? Comment peux-tu te dépenser pour Dieu ? Utiliser le temps qu’il te reste pour poursuivre la vérité et faire ton devoir d’être créé est épuisant. Ta force physique ne peut pas suivre, ta mémoire se détériore et ton énergie n’est pas bonne. Tu t’endors souvent pendant les réunions et ton corps a toujours des difficultés et des malaises quand tu essaies de faire tes devoirs. À ce moment-là, tu éprouves du regret. En « faisant de ton mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres t’ont confié », qu’as-tu gagné ? Tout au plus, tu peux soudoyer les autres et recevoir leurs compliments. Mais à quoi servent les louanges des autres ? Peuvent-elles représenter l’approbation de Dieu ? Elles ne la représentent pas du tout. Dans ce cas, cette phrase d’éloge venant d’une personne n’a aucune valeur. Cela vaut-il la peine d’endurer une si grande douleur pour recevoir des louanges tout en perdant l’occasion d’être sauvé ? Alors, qu’est-ce que les gens doivent comprendre maintenant ? Si quelqu’un te confie une tâche, quelle qu’elle soit, à partir du moment où il ne s’agit pas de faire ton devoir d’être créé ou quelque chose qui t’a été confié par Dieu, tu as le droit de refuser parce que ce n’est pas une obligation pour toi, et encore moins une responsabilité. Certains diront peut-être : « Si je refuse, les autres laisseront entendre que je n’ai pas une bonne morale, que je ne suis pas un ami assez bien ou que je ne suis pas assez loyal. » Si cela te préoccupe, alors vas-y, fais-le, et vois ensuite quelles sont les conséquences. Il y a aussi des gens qui n’ont pas fini de faire des choses pour les autres et qui ne peuvent pas continuer à les faire parce qu’ils accomplissent leurs devoirs. Ils se disent : « Il n’est pas bon que je laisse cette tâche à moitié accomplie. En tant que personne, je me dois d’avoir de la crédibilité. Il faut faire les choses du début à la fin et ne pas commencer fort pour finir avec faiblesse. Si les tâches que je promets d’accomplir pour les autres sont à moitié accomplies et que je ne fais pas le reste, je ne peux pas le justifier auprès des autres, cela manque d’intégrité ! » Si tu as de telles pensées à l’esprit et que tu n’arrives pas à te défaire de ton orgueil, tu peux te lancer et accomplir des tâches pour les autres, et quand tu auras terminé, tu verras ce que tu auras gagné et si le fait de tenir ta parole et d’avoir ce genre d’intégrité a vraiment de la valeur. Ne s’agit-il pas de retarder une chose importante ? Si cela peut te retarder dans l’accomplissement de tes devoirs et t’empêcher de gagner la vérité, alors cela équivaut à risquer ta vie, n’est-ce pas ? Si tu considères que ces déclarations et ces exigences en matière de conduite morale sont plus importantes que faire ton devoir d’être créé et la poursuite de la vérité, alors tu ne peux pas te libérer de l’emprise et de la contrainte de ces affirmations. Si tu arrives à les discerner et à voir clairement leur véritable essence, à décider de les abandonner et à ne pas vivre en fonction de ces choses, alors tu peux espérer te libérer de l’emprise et de la contrainte de ces déclarations de conduite morale. Tu peux aussi espérer accomplir ton devoir d’être créé et gagner la vérité.
Après tant d’échanges, avez-vous maintenant un peu de discernement concernant cette déclaration et cette norme pour juger de la moralité d’une personne : « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » ? (Oui.) Alors, pour résumer, selon combien d’aspects devrions-nous discerner si cette phrase est bonne ou mauvaise ? Premièrement, il est clair que cette déclaration n’est pas conforme à la vérité ou aux paroles de Dieu et que ce n’est pas une vérité-principe à laquelle les gens doivent obéir. Comment convient-il donc de traiter cette question ? Quelle que soit la personne qui te confie une tâche, tu as le droit de refuser et de dire : « Je ne veux pas t’aider. Je ne suis pas obligé d’être fidèle envers toi. » Si, sur le coup, tu as accepté ce qu’elle t’a confié, mais que maintenant que tu maîtrises la question, tu ne veux plus aider et estimes que ce n’est pas une nécessité ou une obligation, l’affaire s’arrête là. S’agit-il d’un principe de pratique ? (Oui.) Tu peux dire non et refuser. Deuxièmement, qu’est-ce qui ne va pas dans la déclaration : « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » ? Si quelqu’un te confie une tâche simple et facile à faire, il s’agit d’une chose normale dans l’interaction et les relations entre les gens. On ne peut pas dire si tu es fidèle ou si tu as un caractère moral élevé, on ne peut pas l’utiliser comme une norme pour mesurer la moralité d’une personne. Le fait d’aider quelqu’un à accomplir une tâche qui ne demande qu’un effort minime indique-t-il qu’une personne a de la morale et de la crédibilité ? Pas nécessairement, car cette personne peut avoir fait beaucoup de mauvaises choses dans l’ombre. Si elle a fait beaucoup de mauvaises choses, mais qu’elle a fait quelque chose pour aider les autres au prix d’un effort minime, est-ce considéré comme un caractère moral élevé ? (Non.) Cet exemple annule donc l’affirmation « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié ». Elle n’est pas correcte et ne peut être utilisée comme norme pour mesurer le caractère moral d’une personne. C’est ainsi qu’il faut traiter certaines choses ordinaires. Alors, comment traiter certaines affaires particulières ? Si quelqu’un te confie une tâche importante et particulière dépassant tes capacités, que tu la trouves épuisante et pénible et que tu n’es pas en mesure de l’accomplir, tu peux refuser sans te sentir gêné. De plus, si quelqu’un te confie quelque chose de déraisonnable, d’illégal ou de préjudiciable aux intérêts d’autrui, tu ne dois surtout pas le faire à sa place. Ainsi, quand quelqu’un te confie une tâche, quelle est la principale chose à discerner ? D’une part, il faut discerner si la tâche qui t’est confiée relève de ta responsabilité ou d’une obligation et s’il convient pour toi de l’accepter. D’autre part, après l’avoir acceptée, que tu l’accomplisses ou non et que tu la gères bien ou mal, cela engage-t-il la fidélité et la moralité d’une personne ? Tel est l’objet du discernement. Autre aspect à discerner : la nature de la tâche qui t’est confiée, qu’elle soit raisonnable, légale, positive ou négative. C’est à travers ces trois aspects que tu la discernes. À présent, réfléchissez, résumez ce qui vient d’être échangé et discutez de vos opinions et de vos points de vue. (En ce qui concerne l’affirmation morale « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié », premièrement, les gens ne sont pas obligés de faire des choses pour les autres, ils peuvent refuser, c’est le droit de chacun. Deuxièmement, même s’ils acceptent une tâche que d’autres leur ont confiée, qu’ils la fassent ou non et qu’ils la fassent bien ou mal n’engage pas leur moralité, et cela ne peut pas être utilisé comme une norme pour mesurer le caractère moral d’une personne. En plus, si la tâche qui leur est confiée est illégale et constitue un crime, il ne faut vraiment pas qu’ils l’exécutent. S’ils l’exécutent, c’est faire le mal et ils risquent une peine. Grâce à ces arguments, nous pouvons en effet renverser le point de vue selon lequel il faut « faire de notre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres nous ont confié ».) Le point le plus crucial, c’est que cette affirmation est erronée. En quoi est-elle erronée ? Tout d’abord, le principe qu’elle impose pour traiter et gérer ces questions est erroné. Ajoutons à cela que l’utilisation de cette déclaration pour juger du caractère moral d’une personne est également erronée. En plus, avoir recours à cette déclaration pour mesurer le caractère moral de quelqu’un, le contraindre et le contrôler, lui faire faire des choses, lui prendre de son temps et de son énergie et lui faire payer un prix pour assumer des responsabilités qu’il ne devrait pas avoir à assumer ou qu’il n’est pas disposé à assumer est une sorte de coercition et c’est également une erreur. Ces quelques erreurs suffisent à remettre en cause la valeur et la justesse de la déclaration « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié ». Résumons-nous brièvement. Premièrement, l’affirmation « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » indique aux gens comment gérer les tâches qui leur sont confiées. Elle implique que quand quelqu’un te confie une tâche, qu’elle soit raisonnable ou non, bonne ou mauvaise, positive ou négative, à partir du moment où la tâche t’est confiée, tu dois tenir parole. Tu es tenu d’exécuter la tâche correctement et jusqu’au bout afin de satisfaire celui qui te l’a confiée. Seul ce genre de personne peut avoir de la crédibilité. Cela pousse les gens à exécuter la tâche sans discernement, ce qui est avant tout une erreur, une erreur qui va à l’encontre des principes. Deuxièmement, la norme selon laquelle les gens peuvent « faire de leur mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres leur ont confié » est utilisée comme base pour mesurer leur caractère moral. Ce critère de mesure ne commet-il pas une autre erreur ? Si chacun faisait de son mieux pour gérer fidèlement des tâches mauvaises ou malfaisantes qui lui étaient confiées, la société ne serait-elle pas sens dessus dessous ? En plus, si cette déclaration est toujours utilisée comme norme pour mesurer le caractère moral des gens, elle créera naturellement une atmosphère sociale, une opinion publique et une pression sociale pour lier et restreindre les pensées des gens. Quelles en seront les conséquences ? En raison de l’existence de la déclaration « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » et de la présence d’une telle opinion publique dans la société, tu es soumis à une pression sociale et tu es obligé d’agir de cette manière dans de telles situations. La façon dont tu agis n’est pas volontaire, elle est hors de portée de tes propres capacités et elle ne remplit pas tes obligations. Tu y es forcé, et ce n’est pas une demande née au fond de ton cœur ni une demande issue de l’humanité normale, et ce n’est pas une demande pour maintenir tes relations affectives. Elle découle d’une pression sociale, ce qui équivaut à une coercition morale. Si tu n’accomplis pas les tâches que tu as accepté de faire pour les autres, tes parents, ta famille, tes collègues et tes amis te critiqueront en disant : « Mais que crois-tu faire ? Comme dit le proverbe : “fais de ton mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres t’ont confié”. Puisque tu étais d’accord, pourquoi n’es-tu pas allé jusqu’au bout ? Si tu étais d’accord, il fallait faire les choses correctement ! » Après avoir entendu cela, tu as le sentiment d’être dans l’erreur : tu exécutes donc docilement la tâche en question. Tout en l’accomplissant, tu ne veux toujours pas la faire, tu n’en as pas la capacité et tu ne peux pas la gérer, mais tu dois quand même serrer les dents et l’accomplir. À la fin, toute ta famille t’aide à la réaliser, et cela demande beaucoup d’argent, d’énergie et de souffrance, et c’est tout juste si vous en venez à bout. La personne qui t’a confié la tâche est heureuse, mais tu as beaucoup souffert dans ton cœur et tu es épuisé. Bien que tu le fasses avec un cœur non disposé à le faire et un sentiment de réticence, tu n’abandonneras pas, et la prochaine fois que tu rencontreras ce genre de situation, tu referas la même chose. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que tu veux de l’estime de soi, tu aimes la vanité, et en même temps, tu ne supportes pas la pression de l’opinion publique. Même si personne ne trouve à redire, tu vas t’autocritiquer en disant : « Je n’ai pas fait ce que j’avais accepté de faire pour les autres. Mais qu’est-ce que je fabrique ? J’en arrive même à me mépriser. N’est-ce pas immoral ? » Tu opères même sur toi une coercition. Ton esprit est-il déjà emprisonné ? (Oui.) En fait, cette tâche n’a absolument rien à voir avec toi. Tu n’en tires aucun bénéfice ni aucune édification. Il est tout à fait normal que tu ne la fasses pas, et seuls quelques individus te critiqueront. Mais quelle différence cela fait-il ? Cela ne modifiera en rien ta destinée. Peu importe ce que les gens te demandent, à partir du moment où ce n’est pas conforme aux exigences de Dieu, tu peux refuser. En décortiquant l’affirmation « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » à partir de ces trois points, comprenez-vous l’essence de cette affirmation ? (Oui.)
Quand quelqu’un te confie une tâche, quels principes dois-tu suivre ? Ne devrait-il pas y avoir des principes pour la mener à bien ? Quel en est le fondement en ce qui concerne la vérité ? Je viens de mentionner le point le plus important, à savoir qu’au cours de sa vie, à part aider ses parents, élever ses enfants et remplir ses responsabilités sociales dans le cadre de la loi, nul n’est tenu d’accepter une commission ou un travail confié par quelqu’un ni de vivre pour les affaires ou les commissions de quiconque. La valeur et le sens de la vie humaine ne peuvent être trouvés que dans l’accomplissement du devoir d’un être créé. En dehors de cela, faire des choses pour quelqu’un, qui que ce soit, n’a pas le moindre sens : c’est une besogne inutile. Par conséquent, l’affirmation « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » est quelque chose d’imposé aux gens par les gens et n’a aucun lien avec Dieu. Cette affirmation n’est absolument pas une exigence de Dieu à l’égard des êtres humains. Elle découle d’autres personnes qui t’exploitent, opèrent sur toi une coercition morale, te contrôlent et te lient. Elle n’a pas le moindre rapport avec ce que Dieu te confie ou l’accomplissement de ton devoir d’être créé. Comprends-tu ? (Oui.) Dans ce monde, dans l’univers entier, en tant qu’être créé, en dehors de Dieu, des tâches confiées par Dieu et de ton devoir d’être humain, auxquels il faut être fidèle, il n’y a rien ni personne qui soit digne de ta fidélité. Il est clair que « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » n’est pas un principe de conduite. C’est quelque chose d’erroné et qui viole les principes. Si quelqu’un te confie une tâche, que convient-il de faire ? Si la tâche qui t’est confiée est quelque chose qui ne demande qu’un très léger effort, où il te suffit de parler ou d’accomplir une petite action, et que tu es suffisamment qualifié, tu peux aider par humanité et par compassion : ce n’est pas considéré comme une erreur. Il s’agit d’un principe. En revanche, si la tâche qui t’est confiée te prendra beaucoup de temps et d’énergie, voire te fera gaspiller une part considérable de ton temps, tu as le droit de refuser. Même s’il s’agit de tes parents, tu as le droit de refuser. Tu n’es pas obligé de leur être fidèle ou d’accepter ce qu’ils te confient, c’est ton droit. D’où vient ce droit ? Il t’est accordé par Dieu. C’est le deuxième principe. Le troisième principe, c’est que si quelqu’un te confie une tâche, même si elle ne prend pas beaucoup de temps et d’énergie, mais qu’elle peut perturber ou affecter l’accomplissement de ton devoir, ou détruire ta volonté d’accomplir ton devoir ainsi que ta fidélité à Dieu, tu dois également la refuser. Si quelqu’un te confie une mission susceptible d’affecter ta poursuite de la vérité, de perturber et de déranger ta volonté de poursuivre la vérité et ton rythme dans la poursuite de la vérité et de te faire abandonner à mi-chemin, alors tu dois la refuser d’autant plus. Tu dois refuser tout ce qui affecte l’accomplissement de ton devoir ou ta poursuite de la vérité. C’est ton droit : tu as le droit de dire non. Tu n’es pas obligé d’investir ton temps et ton énergie. Tu peux refuser tout ce qui n’a pas de sens ou de valeur ou qui n’apporte pas d’édification, d’aide ou de bénéfice à l’accomplissement de ton devoir, à la poursuite de la vérité ou à ton salut. Peut-on considérer cela comme un principe ? Oui, c’est un principe. Donc si vos mesures s’appuient sur ces principes, d’où peuvent venir les tâches que les gens doivent accepter de se voir confier dans leur vie ? (De Dieu.) C’est exact, elles ne peuvent venir que de Dieu. Les mots « de Dieu » sont relativement creux et distants, alors que devrait être en réalité cette mission ? (Accomplir notre devoir.) C’est exact, il s’agit d’accomplir ton devoir dans l’Église. Il est impossible que Dieu te dise personnellement : « va répandre l’Évangile », « dirige l’Église » ou « tu accompliras un travail textuel ». Il est impossible que Dieu te le dise personnellement, mais Dieu t’a confié ton devoir par le biais de l’arrangement de la maison de Dieu. Tous les arrangements de la maison de Dieu émergent de Dieu et proviennent de Dieu, alors as-tu besoin que Dieu te les fasse savoir personnellement ? Tu as déjà fait l’expérience de toutes les personnes, de tous les évènements et de toutes les choses de la souveraineté et de l’orchestration de Dieu et tu as des sentiments réels. Ce dont tu as fait l’expérience est lié à l’œuvre de Dieu, à la vérité et à Son plan de gestion. N’est-ce pas là accomplir le devoir d’un être créé ? C’est l’aspect de l’acceptation d’une mission. Par ailleurs, en dehors de ce qui est confié par Dieu, il n’y a pas d’autre chose à laquelle les gens doivent être fidèles. Seul Dieu mérite une fidélité inébranlable. Les hommes n’en sont pas dignes. Personne, y compris tes ancêtres, tes parents ou tes supérieurs, n’en est digne. Pourquoi ? La vérité suprême, c’est qu’il est parfaitement naturel et justifié que les êtres créés soient fidèles au Créateur. Faut-il analyser cette vérité ? Non, parce que tout ce qui concerne les gens vient de Dieu, il est parfaitement naturel et justifié que les êtres créés soient fidèles au Créateur. C’est une vérité suprême que les gens devraient toujours garder à l’esprit ! La deuxième vérité que les gens devraient comprendre, c’est qu’en étant fidèles à Dieu, tout ce que les gens obtiennent de Dieu est la vérité, le chemin et la vie. Leurs gains sont riches et abondants, particulièrement opulents et débordants. Quand les hommes gagnent la vérité, le chemin et la vie, leur vie devient précieuse. Par conséquent, lorsque tu es fidèle à Dieu, ton temps, ton énergie et les coûts sacrifiés seront récompensés positivement, et tu n’auras jamais de regrets. À ce jour, certains suivent Dieu depuis vingt ou trente ans, et d’autres depuis trois à cinq ans, ou depuis dix ans. Je crois que la plupart d’entre eux n’ont pas de regrets et y ont gagné dans une certaine mesure. Pour ceux qui aiment la vérité, plus ils suivent Dieu, plus ils sentent qu’ils ont trop de lacunes et que la vérité est précieuse. Leur désir de poursuivre la vérité grandit et ils sentent qu’ils ont accepté Dieu trop tard et que s’ils L’avaient accepté trois à cinq ans ou dix ans plus tôt, combien de vérité ils auraient comprise ! Aujourd’hui, certains regrettent d’avoir accepté Dieu trop tard, regrettent d’avoir cru en Dieu pendant plusieurs années sans avoir poursuivi la vérité, et d’avoir perdu leur temps, et regrettent d’avoir cru en Dieu pendant plusieurs années sans avoir bien accompli leur devoir. En somme, quel que soit le nombre d’années qu’une personne croit en Dieu, tous y gagnent quelque chose et sentent que la poursuite de la vérité est incroyablement importante. Voici la deuxième vérité : en étant fidèles à Dieu, tout ce que les gens obtiennent de Dieu, c’est la vérité, le chemin et la vie, et ils peuvent être sauvés, ne vivant plus sous le pouvoir de Satan. La troisième vérité, c’est que si les gens peuvent atteindre une fidélité éternelle à Dieu, quelle sera leur destination ultime ? (Ils seront sauvés et resteront pour entrer dans le royaume de Dieu.) Quand les gens suivent Dieu et sont finalement sauvés, la destination qu’ils obtiennent n’est pas d’être jetés dans la perdition et détruits, mais de rester en tant que nouvel être humain et de pouvoir continuer à vivre. Si les gens continuent à vivre, ils peuvent alors espérer voir Dieu. Quelle bénédiction ! En ce qui concerne la fidélité à Dieu, suffit-il de comprendre ces trois vérités ? (Oui.) Quels avantages y a-t-il à suivre les autres et à leur être fidèle ? Si tu es fidèle aux autres, les gens disent que tu as une bonne moralité. Tu as une bonne réputation et tu ne gagnes que ce petit avantage. As-tu gagné la vérité et la vie ? Tu ne les gagnes pas du tout. Qu’est-ce qu’une personne peut te donner quand tu lui es fidèle ? Tout au plus, tu peux bénéficier d’une association avec elle pendant la période de succès rapide de sa carrière, c’est tout. Quelle est la valeur de cela ? N’est-ce pas creux ? Les choses qui ne sont pas liées à la vérité sont inutiles, quelle que soit la quantité que tu acquiers. De plus, si tu suis des gens et que tu leur es fidèle, il peut y avoir une conséquence. Tu peux devenir une victime, une offrande. Si la personne envers laquelle tu es fidèle n’emprunte pas le bon chemin, que se passera-t-il si tu la suis ? Emprunteras-tu le bon chemin ? (Non.) Si tu la suis, toi non plus, tu n’emprunteras pas le bon chemin. Tu te conformeras même à elle pour faire le mal et tu iras en enfer pour être puni, et alors il en sera fait de toi. Si tu es fidèle à une personne, même si tu fais beaucoup de bonnes actions, tu n’obtiendras pas l’approbation de Dieu. Si tu es fidèle aux rois diables, à Satan ou aux antéchrists, tu deviens complice et partisan de Satan. Cela ne peut avoir comme issue que d’être enterré avec Satan, d’être une offrande pour Satan. Les incroyants disent : « être proche d’un roi est aussi dangereux que s’allonger aux côtés d’un tigre ». Quelle que soit ta fidélité aux rois diables, à la fin, une fois qu’ils t’auront épuisé, ils te dévoreront et feront de toi une victime. Ta vie sera toujours en danger. Voilà le sort réservé à ceux qui sont fidèles aux rois diables et à Satan. Jamais les rois diables ni Satan ne t’indiqueront la bonne direction et le bon but pour ta vie, et ils ne te guideront pas sur le bon chemin de la vie. Tu ne gagneras jamais d’eux la vérité ou la vie. L’aboutissement de ta fidélité à leur égard sera soit de périr avec eux et d’être leur offrande, soit d’être piégé, mutilé et dévoré par eux. Tout cela est le résultat final du fait d’aller en enfer. C’est un fait indéniable. Par conséquent, aucune personne, aussi célèbre et éminente ou grand ponte soit-elle, ne mérite que tu lui sois fidèle et que tu lui sacrifies toute ta vie. Elle n’en est pas digne et n’a pas le pouvoir d’arranger ou de manipuler ta destinée. Comprendre cette vérités-principe suffit-il pour résoudre des problèmes tels que le fait de suivre les gens et d’être fidèle aux gens ? (Oui.) Il y a trois principes à suivre en ce qui a trait aux tâches qui te sont confiées par d’autres, et trois principes ont fait l’objet d’un échange à propos de la valeur et de la signification de la fidélité des gens à Dieu. Comprenez-vous clairement tous ces principes ? (Oui.) Pour résumer, le but de l’analyse de l’affirmation « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » est de vous aider à voir clairement son absurdité et sa fausseté afin que vous puissiez l’abandonner. Cependant, l’abandonner ne suffit pas : il faut aussi comprendre et saisir les principes de pratique que les gens doivent avoir, ainsi que la volonté de Dieu en la matière. En ce qui concerne la déclaration morale « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié », le contenu principal se résume essentiellement à cela. Je viens d’analyser, à partir de différents aspects et points de vue, les principes de pratique que Dieu a révélés aux hommes, ce qu’est la volonté de Dieu et quelles vérités les gens doivent comprendre, puis J’ai échangé à leur sujet. Après avoir saisi ces différents points, les gens devraient fondamentalement comprendre comment discerner la déclaration morale « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié ».
Le fait de disséquer le thème « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié » est en fait assez simple, et les gens peuvent facilement le discerner et le comprendre. Cette phrase est également une déclaration avancée par les moralistes pour paralyser les gens, les induire en erreur et perturber un raisonnement normal. Elle ne repose pas sur la conscience humaine normale, la raison ou les besoins humains normaux. De telles idées sont concoctées par de soi-disant penseurs et moralistes, qui les font passer pour vertueuses. Non seulement elles sont sans fondement et absurdes, mais elles sont aussi immorales. Pourquoi sont-elles considérées comme immorales ? Parce qu’elles ne découlent pas des besoins de l’humanité normale, ne peuvent être réalisées dans le cadre des capacités humaines et ne sont pas une obligation ou un devoir que les hommes doivent accomplir. Ces soi-disant moralistes prennent cette phrase, « faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié », comme la norme de comportement qu’ils exigent strictement des gens, formant ainsi une sorte d’atmosphère sociale et d’opinion publique. Les gens sont alors opprimés par cette opinion publique et contraints de vivre de cette manière. Leurs pensées deviennent ainsi imperceptiblement liées à ce genre de raisonnement satanique. Une fois que les pensées d’une personne sont liées, ses actions aussi sont évidemment liées à cette déclaration et à l’opinion publique. Que signifie être lié ? Cela signifie que les gens ne sont pas en mesure de choisir ce qu’ils font, qu’ils ne peuvent pas suivre librement les désirs et les exigences de la nature humaine et qu’il leur est impossible de suivre les exigences de leur conscience et de leur raison pour faire ce qu’ils veulent. Au lieu de cela, ils sont contraints et liés par un raisonnement faussé, par une sorte de théorie idéologique et d’opinion sociale que les gens ne peuvent pas distinguer ou dont ils ne peuvent pas se libérer. Les gens vivent inconsciemment dans ce genre d’environnement et d’atmosphère sociaux et n’arrivent pas à s’en libérer. Si les gens ne comprennent pas la vérité, s’ils ne peuvent pas comprendre clairement les distorsions et les erreurs de ces déclarations, et s’ils ne sont pas en mesure de prendre conscience des dommages et des conséquences causés par ces déclarations qui lient leurs pensées, jamais ils ne seront capables de se libérer des contraintes, des liens et des pressions imposés par la culture traditionnelle et l’opinion sociale. Ils ne pourront vivre qu’en s’appuyant sur ces choses-là. La raison pour laquelle les gens vivent en s’appuyant sur ces choses-là, c’est qu’ils ne savent pas quel est le bon chemin, quelle est la direction et quel est le but de leur comportement ni les principes de la façon de se comporter. Ils sont naturellement et passivement induits en erreur par les diverses déclarations morales de la culture traditionnelle, égarés et contrôlés par ces théories erronées. Quand les gens comprennent la vérité, il devient facile pour eux de discerner et de rejeter ces hérésies et ces idées fausses. Ils ne sont plus liés, soumis à une coercition ou exploités par l’opinion publique, l’atmosphère et l’environnement de la société créés par Satan. Ainsi, l’orientation et le but de leur vie sont complètement transformés, et ils peuvent vivre et exister selon les exigences et les paroles de Dieu. Ils ne sont plus induits en erreur ou liés par les diverses théories sataniques et les diverses idées fausses de la culture traditionnelle. Au moment où les gens abandonnent complètement les diverses déclarations de la culture traditionnelle sur la conduite morale, ils se libèrent complètement de la corruption, du fourvoiement et de la servitude de Satan. Sur cette base, quand tu comprends la vérité et les principes de pratique que Dieu exige et donne aux hommes, ton but dans la vie est complètement transformé et tu as une nouvelle vie. Dès lors que tu as une nouvelle vie, tu es un être humain nouveau-né et une nouvelle personne. Parce que les pensées stockées dans ton esprit ne sont plus remplies des diverses hérésies et idées fausses qui t’ont été inculquées par Satan et que, au contraire, la vérité a remplacé ces choses sataniques, suite à cela, sous la direction des paroles de Dieu, la vérité devient la vie à l’intérieur des gens, guidant et gouvernant la façon dont ils voient les gens et les choses et se comportent et agissent. Ils empruntent le bon chemin de la vie humaine et peuvent vivre dans la lumière. N’est-ce pas exactement comme renaître grâce aux paroles de Dieu ? Bon, concluons là-dessus l’échange d’aujourd’hui.
Le 2 juillet 2022
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