En quoi consiste la poursuite de la vérité (6) Partie 1

Vous souvenez-vous du contenu sur lequel nous avons échangé lors de notre dernière réunion ? (Dieu a d’abord échangé sur les différences entre ce que les gens considèrent comme de bons comportements et vivre une humanité normale comme Il l’exige, puis Il a échangé sur la conduite morale de l’homme dans la culture traditionnelle et a résumé vingt et une affirmations sur la conduite morale de l’homme.) Au cours de notre dernière réunion, J’ai échangé sur deux sujets. Tout d’abord, J’ai prolongé l’échange sur le sujet de la bonne conduite, puis J’ai fait une brève et simple introduction sur le caractère, la conduite et la vertu de l’homme, sans entrer dans les détails. Nous avons déjà échangé plusieurs fois sur ce que signifie poursuivre la vérité, et J’ai fini d’échanger sur tous les bons comportements liés à la recherche de la vérité qui devaient être exposés et analysés. La dernière fois, J’ai également échangé un peu sur certains sujets fondamentaux concernant la conduite morale de l’homme. Bien que nous n’ayons pas fourni de révélation ni de dissection détaillée concernant ces déclarations sur la conduite morale, nous avons énuméré un certain nombre d’exemples d’affirmations diverses sur la conduite morale de l’homme, vingt et un pour être exact. Ces vingt et un exemples sont essentiellement les diverses déclarations que la culture traditionnelle chinoise inculque aux gens, qui sont dominées par les idées de bienveillance, de justice, de bienséance, de sagesse et de fiabilité. Par exemple, nous avons mentionné divers dictons sur la conduite morale de l’homme qui se rapportent à la loyauté, à la justice, à la bienséance et à la confiance, ainsi qu’à la façon dont doivent agir les hommes, les femmes, les autorités et les enfants, etc. Indépendamment du fait que ces vingt et un dictons soient complets ou universels, toujours est-il qu’ils peuvent représenter fondamentalement l’essence des diverses exigences que la culture traditionnelle chinoise met en avant concernant la conduite morale de l’homme, d’un point de vue à la fois idéologique et substantiel. Après que nous avons énuméré ces exemples, y avez-vous réfléchi et avez-vous échangé à leur sujet ? (Nous avons échangé un peu à leur sujet lors de nos réunions et nous avons constaté qu’il était facile de confondre certaines de ces déclarations avec la vérité. Par exemple, « Les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible », « Je prendrais une balle pour un ami », ainsi que « Faites de votre mieux pour gérer fidèlement tout ce que les autres vous ont confié », entre autres.) Il y a d’autres dictons comme : « La gentillesse d’une goutte d’eau doit être récompensée par une source jaillissante », « Un gentleman tient parole », « Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts », « Sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres », « Quand on boit l’eau d’un puits, il ne faut jamais oublier qui l’a creusé », et ainsi de suite. Après une inspection minutieuse, vous verrez que la plupart des gens fondent essentiellement leur comportement et leur évaluation de la conduite morale d’eux-mêmes et des autres sur ces déclarations sur la conduite morale. Ces choses existent dans le cœur de chaque personne, à un certain degré. L’une des principales raisons à cela est l’environnement sociétal dans lequel les gens vivent et l’éducation qu’ils reçoivent de leurs gouvernements, une autre est liée à l’éducation qu’ils reçoivent de leurs familles et aux traditions transmises par leurs ancêtres. Certaines familles enseignent à leurs enfants à ne jamais empocher l’argent qu’ils ramassent, d’autres familles enseignent à leurs enfants qu’ils doivent être patriotes et que « Tout individu a sa part de responsabilité dans le sort de son pays », car chaque famille dépend de son pays. Certaines familles enseignent à leurs enfants qu’« On ne doit jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force », et qu’ils ne doivent jamais oublier leurs racines. Certains parents utilisent des déclarations claires pour enseigner à leurs enfants la conduite morale, tandis que d’autres ne peuvent pas exprimer clairement leurs idées sur la conduite morale, mais servent de modèle à leurs enfants et enseignent par l’exemple, influençant et éduquant la prochaine génération par leurs paroles et leurs actes. Ces paroles et ces actes peuvent inclure : « La gentillesse d’une goutte d’eau doit être récompensée par une source jaillissante », « Trouve du plaisir à aider les autres », « Un acte de bonté reçu doit être rendu avec gratitude » ainsi que des déclarations plus retentissantes comme « Poussez comme un nénuphar, qui sort immaculé de la vase », et ainsi de suite. Les thèmes et l’essence de ce que les parents enseignent à leurs enfants entrent généralement tous dans le cadre de la conduite morale exigée par la culture traditionnelle chinoise. La première chose que les enseignants disent aux élèves lorsqu’ils arrivent à l’école est qu’ils doivent être gentils avec les autres et trouver du plaisir à aider les autres, qu’ils ne doivent pas empocher l’argent qu’ils ramassent et qu’ils doivent honorer leurs enseignants et vénérer leur enseignement. Lorsque les élèves apprennent la prose chinoise ancienne ou les biographies de héros de l’Antiquité, on leur enseigne : « Je prendrais une balle pour un ami », « Un sujet loyal ne peut servir deux rois, une honnête femme ne peut épouser deux maris », « Pliez-vous à une tâche et faites tout votre possible jusqu’à votre mort », « Tout individu a sa part de responsabilité dans le sort de son pays », « Personne ne devrait s’approprier les objets perdus trouvés dans la rue », etc. Toutes ces choses dérivent de la culture traditionnelle. Les nations défendent et propagent également ces idées. En réalité, l’éducation nationale promeut plus ou moins les mêmes choses que l’éducation familiale : l’une et l’autre tournent toutes autour de ces idées issues de la culture traditionnelle. Les idées issues de la culture traditionnelle imprègnent fondamentalement toutes les exigences relatives au caractère humain, à la vertu, au comportement, etc. D’une part, elles exigent que les gens affichent extérieurement l’étiquette et les bonnes manières, qu’ils agissent et se comportent d’une manière que les autres approuvent et qu’ils manifestent de bons comportements et de bonnes actions pour que les autres les voient, tout en cachant les aspects sombres des profondeurs de leurs cœurs. À un autre égard, elles élèvent les attitudes, les comportements et les actions qui se rapportent à la façon dont on se conduit, dont on aborde les gens et dont on gère les choses, dont on traite ses amis et sa famille et dont on aborde divers types de personnes et de choses, au niveau de la conduite morale, obtenant ainsi les éloges et le respect des autres. Les exigences que la culture traditionnelle impose aux gens tournent essentiellement autour de ces choses. Qu’il s’agisse des idées que les gens défendent à une plus grande échelle sociétale ou, à plus petite échelle, des réflexions sur la conduite morale que les gens promeuvent et défendent au sein des familles, et des exigences qui sont présentées aux gens en ce qui concerne leur comportement, elles relèvent toutes essentiellement de ce champ d’application. Ainsi, parmi les gens, qu’il s’agisse de la culture traditionnelle chinoise ou des cultures traditionnelles d’autres pays, y compris les cultures occidentales, ces idées sur la conduite morale correspondent toutes à des choses que les gens peuvent réaliser et imaginer ; ce sont des choses que les gens peuvent faire sur la base de leur conscience et de leur raison. À tout le moins, certaines personnes peuvent se conformer en partie à la conduite morale qui leur est demandée. Ces exigences sont simplement limitées à la portée du caractère moral, de la personnalité et des préférences des gens. Si vous ne Me croyez pas, Je vous encourage à y regarder de plus près et à voir lesquelles de ces exigences relatives à la conduite morale des gens s’adressent à leurs tempéraments corrompus. Lesquelles ont trait au fait que les gens sont dégoûtés de la vérité, n’aiment pas la vérité et résistent à Dieu dans leur essence même ? Laquelle de ces exigences a quelque chose à voir avec la vérité ? Laquelle de ces exigences peut s’élever au niveau de la vérité ? (Aucune d’entre elles.) Quelle que soit la manière dont on considère ces demandes, aucune d’entre elles ne peut s’élever au niveau de la vérité. Aucune n’a quoi que ce soit à voir avec la vérité, aucune n’a le moindre rapport avec elle. Jusqu’à présent, ceux qui croient en Dieu depuis longtemps, qui ont une certaine expérience et qui comprennent un peu la vérité n’ont qu’un minimum de compréhension véritable de cette question ; mais la plupart des gens ne comprennent encore que les doctrines et sont d’accord avec cette idée en théorie, tout en ne parvenant pas à atteindre le niveau de compréhension véritable de la vérité. Pourquoi cela ? C’est parce que la plupart des gens ne comprennent que ces aspects de la culture traditionnelle ne s’accordent pas avec la vérité et ne sont pas liés à la vérité qu’en comparant ces règles de la culture traditionnelle aux paroles et aux exigences de Dieu. Verbalement, ils pourraient reconnaître entièrement que ces choses n’ont rien à voir avec la vérité, mais au fond de leur cœur, ce à quoi ils aspirent, ce qu’ils approuvent, préfèrent et acceptent facilement, ce sont essentiellement ces idées issues de la culture traditionnelle de l’humanité, dont certaines sont des choses que leur pays prône et promeut. Les gens les considèrent comme des choses positives ou les traitent comme la vérité. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Comme vous pouvez le voir, ces aspects de la culture traditionnelle se sont profondément enracinés dans le cœur de l’homme et ils ne peuvent être éradiqués et déracinés en peu de temps.

Alors que les vingt et une exigences concernant la conduite morale de l’homme que nous avons énumérées ne sont qu’une partie de la culture traditionnelle chinoise, dans une certaine mesure, elles peuvent être considérées comme représentatives de toutes les exigences que la culture traditionnelle chinoise a mises en avant concernant la conduite morale de l’homme. Chacune de ces vingt et une déclarations est considérée par les hommes comme une chose positive, noble et correcte, et les gens croient que ces déclarations leur permettent de vivre dignement et qu’elles constituent une sorte de conduite morale digne d’admiration et estime. Nous laisserons de côté pour l’instant les dictons relativement superficiels comme ne pas empocher l’argent que l’on ramasse, ou trouver du plaisir à aider les autres, et nous parlerons plutôt de la conduite morale que l’homme tient particulièrement en haute estime et qu’il croit noble. Par exemple, prenons ce dicton : « On ne doit jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force ». La façon la plus simple de résumer le sens de cette déclaration est qu’il ne faut pas oublier ses racines. Si une personne possède cette conduite morale, alors tout le monde pensera qu’elle a une très noble personnalité et qu’elle a vraiment « poussé comme un nénuphar, qui sort immaculé de la vase ». Les gens tiennent cela en très haute estime. Le fait que les gens tiennent cela en haute estime signifie qu’ils approuvent et sont vraiment d’accord avec ce genre de déclaration. Et bien sûr, ils admirent aussi beaucoup ceux qui peuvent mener à bien cette conduite morale. Il y a beaucoup de gens qui croient en Dieu, mais qui approuvent toujours véritablement ces choses qui sont promues par la culture traditionnelle, et ils sont disposés à mettre ces bons comportements en pratique. Ces gens ne comprennent pas la vérité : ils pensent que croire en Dieu signifie être une bonne personne, aider les autres, trouver du plaisir à aider les autres, ne jamais tromper les autres, ni leur nuire, ne pas poursuivre les choses du monde et ne pas être avide de richesse, ni de plaisir. Dans leur cœur, ils sont tous d’accord pour trouver juste l’affirmation « On ne doit jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force ». Certains diront : « Si, avant d’arriver à croire en Dieu, quelqu’un respecte déjà une conduite morale du genre “On ne doit jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force”, s’il s’agit d’une personne grande et bonne qui n’oublie pas ses racines, alors après avoir rejoint la foi, il pourra rapidement atteindre la joie de Dieu. Pour ce genre de personne, il est facile d’entrer dans le royaume de Dieu : elle peut gagner Ses bénédictions. » Lorsque beaucoup de gens évaluent et observent les autres, ils ne regardent pas leur essence en se basant sur les paroles de Dieu et la vérité. Au lieu de cela, ils les évaluent et les considèrent selon les exigences de la culture traditionnelle concernant la conduite morale des gens. De ce point de vue, n’est-il pas probable que les gens qui ne comprennent pas la vérité prendront les choses que l’homme croit être bonnes et justes pour la vérité ? Ne sont-ils pas susceptibles de considérer les gens que les hommes croient bons comme ceux que Dieu croit bons ? Les gens veulent toujours imposer à Dieu leurs propres idées : ce faisant, ne commettent-ils pas une erreur de principe ? Cela n’offense-t-il pas le tempérament de Dieu ? (Si.) C’est un problème très grave. Si les gens possèdent vraiment la raison, ils doivent rechercher la vérité dans les domaines qu’ils ne peuvent pas saisir, ils doivent arriver à comprendre la volonté de Dieu et ils ne doivent pas débiter négligemment un tas d’absurdités. Dans les normes et principes de Dieu pour évaluer l’homme, y a-t-il une phrase qui dit : « Ceux qui n’oublient pas leurs racines sont de bonnes personnes et possèdent les caractéristiques d’une bonne personne » ? Dieu a-t-Il déjà dit quelque chose de ce genre ? (Non.) Dans les exigences spécifiques qu’Il a mises en avant pour l’homme, Dieu a-t-Il déjà dit : « Si tu es pauvre, tu ne dois pas voler. Si tu es riche, tu ne dois pas avoir de promiscuité sexuelle. Lorsque tu es confronté à des intimidations ou à des menaces, tu ne dois jamais te soumettre » ? Les paroles de Dieu contiennent-elles de telles exigences ? (Non.) En effet, elles n’en contiennent pas. Il est tout à fait évident que la déclaration « On ne doit jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force » est prononcée par l’homme : elle n’est pas conforme aux exigences de Dieu envers l’homme, elle est incompatible avec la vérité et ce n’est fondamentalement pas la même chose que la vérité. Dieu n’a jamais exigé que les êtres créés n’oublient pas leurs racines. Que signifie ne pas oublier ses racines ? Je vais te donner un exemple : si tes ancêtres étaient agriculteurs, tu dois toujours chérir leur mémoire. Si tes ancêtres pratiquaient un métier, tu dois poursuivre la pratique de ce métier et le transmettre de génération en génération. Même après avoir commencé à croire en Dieu, tu ne peux pas oublier ces choses : tu ne peux pas oublier les enseignements, ni les métiers, ni tout ce qui a été transmis par tes ancêtres. Si tes ancêtres étaient des mendiants, alors tu dois garder les bâtons qu’ils utilisaient pour battre les chiens. Si tes ancêtres devaient autrefois manger de la paille et des plantes sauvages pour survivre, alors leurs descendants doivent aussi essayer de manger de la paille et des plantes sauvages, c’est-à-dire se remémorer les peines du passé pour savourer les joies du présent, c’est-à-dire ne pas oublier leurs racines. Quoi que tes ancêtres aient fait, tu dois le reprendre à ton compte. Tu ne peux pas oublier tes ancêtres simplement parce que tu es bien éduqué et que tu as un statut. Les Chinois sont très attentifs à ces choses. Dans leur cœur, il semble que seuls ceux qui n’oublient pas leurs racines aient une conscience et une raison et que seuls ces gens puissent se comporter de manière droite et vivre dans la dignité. Cette vision est-elle correcte ? Y a-t-il quelque chose de ce genre dans les paroles de Dieu ? (Non.) Dieu n’a jamais rien dit de tel. À partir de cet exemple, nous pouvons voir que bien qu’un domaine de la vertu puisse être tenu en haute estime et que l’homme y aspire, et bien qu’il puisse ressembler à une chose positive, quelque chose qui peut réguler la conduite morale de l’homme et empêcher les gens de suivre le chemin du mal et de la dépravation, et bien qu’il soit diffusé parmi les gens et accepté par tous comme une chose positive, si tu le compares aux paroles de Dieu et à la vérité, tu verras que ces affirmations et pensées issues de la culture traditionnelle sont tout à fait absurdes. Tu verras qu’elles ne valent tout simplement pas la peine d’être mentionnées, qu’elles n’ont même pas le moindre rapport avec la vérité et qu’elles sont encore plus éloignées des exigences et de la volonté de Dieu. En défendant ces idées et points de vue et en proposant diverses déclarations concernant la conduite morale de l’homme, les gens ne font rien de plus que d’utiliser certaines choses qui transcendent le domaine de la pensée humaine pour faire semblant d’être originaux et nouveaux, pour afficher leur grandeur et leur justesse et pour qu’on les vénère. Que ce soit en Orient ou en Occident, les gens pensent fondamentalement tous la même chose. Les idées et les points de départ des exigences que les gens défendent et mettent en avant concernant la conduite morale de l’homme, et les buts qu’ils souhaitent atteindre à travers elles, sont essentiellement tous les mêmes. Bien que les Occidentaux n’aient pas les idées et les points de vue spécifiques comme « Rendre le mal par le bien » et « La gentillesse d’une goutte d’eau doit être récompensée par une source jaillissante » sur lesquels les Orientaux mettent l’accent, et bien qu’ils ne possèdent pas de dictons explicites comme ceux de la culture traditionnelle chinoise, leur propre culture traditionnelle n’est remplie que de ces idées. Bien que les choses sur lesquelles nous échangeons et dont nous parlons appartiennent à la culture traditionnelle chinoise, dans une certaine mesure et fondamentalement, ces affirmations et exigences sur la conduite morale représentent les idées dominantes de toute l’humanité corrompue.

Aujourd’hui, nous avons principalement échangé sur le type d’influence négative que la culture traditionnelle exerce sur les gens à travers ses affirmations et ses exigences relatives à la conduite morale de l’homme. Après avoir compris cela, la chose la plus importante que les gens doivent comprendre est en fait quelles exigences Dieu, le Seigneur de la création, a envers le comportement moral de l’humanité, ce qu’Il a spécifiquement dit et quelles exigences Il a mises en avant. C’est ce que l’humanité doit comprendre. Maintenant, nous avons clairement vu que la culture traditionnelle ne porte même pas le moindre témoignage sur ce que sont les exigences de Dieu envers l’homme ni sur les paroles qu’Il a prononcées et que les gens n’ont pas cherché la vérité à ce sujet. Ainsi, la culture traditionnelle a été ce que les gens ont appris en premier et elle les a dominés, elle est entrée dans le cœur des gens et a guidé la façon dont l’humanité a vécu pendant des milliers d’années. C’est la principale manière dont Satan a corrompu l’humanité. Ayant clairement reconnu ce fait, la chose la plus importante que les gens comprennent maintenant est ce que le Seigneur de la création a comme exigences pour les humains créés, concernant leur humanité et leur moralité : ou, en d’autres termes, quelles sont les normes en ce qui concerne cet aspect de la vérité. En même temps, les gens doivent arriver à comprendre ce qui est la vérité dans ce qui suit : les exigences mises en avant par la culture traditionnelle ou ce que Dieu exige de l’humanité. Ils doivent comprendre laquelle de ces deux choses peut les purifier et les sauver, et les guider sur le bon chemin de la vie, et laquelle est une fausseté qui peut les induire en erreur, leur nuire et leur faire suivre mauvais chemin, dans une vie de péché. Une fois que les gens ont ce discernement, ils peuvent reconnaître que les exigences du Seigneur de la création envers l’humanité sont ordonnées par le ciel et reconnues par la terre et qu’elles sont les principes de la vérité que les gens devraient mettre en pratique. Quant aux affirmations sur la conduite morale et aux normes d’évaluation de la culture traditionnelle qui influencent leur poursuite de la vérité, ainsi que leurs opinions sur les gens et les choses, leur comportement et leurs actions, si les gens peuvent les discerner quelque peu, les percer à jour et reconnaître qu’elles sont absurdes par essence et y renoncer de tout leur cœur, alors certaines de leurs confusions et certains de leurs problèmes concernant la conduite morale peuvent être résolus. Résoudre ces problèmes ne réduirait-il pas un bon nombre des obstacles et des difficultés auxquels les gens sont confrontés sur le chemin de la poursuite de la vérité ? (Si.) Lorsque les gens ne comprennent pas la vérité, ils sont susceptibles de confondre les idées généralement admises sur la conduite morale avec la vérité, de les poursuivre et de s’y conformer comme si elles étaient la vérité. Cela a un impact considérable sur la capacité des gens à comprendre et à pratiquer la vérité, ainsi que sur les résultats qu’ils obtiennent tout en poursuivant la vérité pour réaliser une transformation de leurs tempéraments. C’est quelque chose qu’aucun d’entre vous ne voudrait voir ; bien sûr, c’est quelque chose que Dieu non plus ne veut pas voir. Ainsi, en ce qui concerne ces déclarations, idées et points de vue supposément positifs sur la conduite morale que les hommes soutiennent, les gens doivent d’abord les connaître et les discerner clairement sur la base des paroles de Dieu et de la vérité, et voir jusqu’à leur essence même, et ainsi former une évaluation et une position précises de ces choses dans les profondeurs de leur cœur, après quoi ils peuvent les déterrer, petit à petit, les éliminer et les abandonner. À l’avenir, chaque fois que les gens verront ces déclarations supposées positives entrer en conflit avec la vérité, ils devraient d’abord choisir la vérité, et non les déclarations considérées comme positives selon les notions humaines, car ces déclarations supposées positives ne sont que les opinions de l’homme et ne sont pas en accord avec la vérité. Quel que soit l’angle sous lequel nous parlons, notre objectif principal dans l’échange sur ces sujets aujourd’hui est d’éliminer divers obstacles qui surgissent dans le processus de poursuite de la vérité, en particulier les incertitudes qui surgissent dans l’esprit des gens en ce qui concerne les paroles de Dieu et les critères de la vérité. Ces incertitudes signifient que lorsque tu acceptes et pratiques la vérité, tu ne peux pas dire quelles choses sont les paroles sur la conduite morale que l’humanité préconise, quelles sont les exigences de Dieu envers l’humanité et lesquelles sont les vrais principes et critères. Les gens ne sont pas clairs sur ces choses. Pourquoi donc ? (Parce qu’ils ne comprennent pas la vérité.) D’une part, c’est parce qu’ils ne comprennent pas la vérité. D’autre part, c’est parce qu’ils manquent de discernement quant aux affirmations sur la conduite morale faites par la culture traditionnelle de l’humanité et qu’ils ne peuvent toujours pas voir l’essence de ces affirmations. En fin de compte, dans un état d’esprit confus, tu détermineras que les choses que tu as apprises en premier et qui sont ancrées dans ton esprit sont correctes. Tu détermineras que les choses que tout le monde reconnaît généralement comme étant justes sont correctes. Et puis tu choisiras ces choses que tu aimes, que tu peux réaliser et qui correspondent à tes goûts et à tes notions. Et puis, tu aborderas ces choses, tu t’y accrocheras et tu y adhéreras comme si elles étaient la vérité. Et en conséquence, le comportement et la conduite des gens, ainsi que ce qu’ils poursuivent, ce qu’ils choisissent et ce à quoi ils s’accrochent, tout cela sera totalement sans lien avec la vérité : tout cela fait partie de comportements humains et de démonstrations humaines de moralité qui sortent du cadre de la vérité. Les gens abordent ces aspects de la culture traditionnelle et s’y accrochent comme s’ils étaient la vérité, tout en écartant et en ignorant les vérités sur les exigences de Dieu concernant le comportement de l’homme. Indépendamment du nombre de comportements perçus par l’homme comme étant bons qu’une personne possède, elle n’obtiendra jamais l’approbation de Dieu. C’est ainsi que les gens gaspillent beaucoup d’efforts sur des choses qui sortent du champ de la vérité. De plus, en traitant comme la vérité ces choses qui dérivent de l’homme et qui ne s’accordent pas avec la vérité, les gens se sont déjà égarés. Ils ont d’abord appris ces aspects de la culture traditionnelle et ils sont donc dominés par eux : ces choses donnent lieu à toutes sortes d’idées fallacieuses en eux, et elles causent de grandes difficultés et de grandes perturbations aux gens lorsqu’ils tentent de comprendre et de pratiquer la vérité. Les gens croient tous que s’ils possèdent des comportements vertueux, Dieu les approuvera et qu’ils seront qualifiés pour recevoir Ses bénédictions et Sa promesse, mais peuvent-ils accepter le jugement et le châtiment de Dieu lorsqu’ils nourrissent cette vision et cet état d’esprit ? Quel obstacle une telle mentalité pose-t-elle à la purification et au salut des gens ? Ces imaginations et ces notions ne conduiront-elles pas les gens à mal comprendre Dieu, à se rebeller contre Lui et à Lui résister ? N’en seront-ce pas les conséquences ? (Si.) J’ai plus ou moins exprimé la signification de l’échange sur ce sujet, c’est l’idée générale.

Ensuite, nous allons disséquer et analyser un par un les différents dictons de la culture traditionnelle chinoise sur la conduite morale, puis nous tirerons une conclusion à leur sujet. De cette façon, tout le monde aura une confirmation et une réponse de base à leur sujet et tout le monde aura, à tout le moins, une compréhension et une vision relativement précises de ces dictons. Commençons par le premier dicton : « N’empoche pas l’argent que tu ramasses. » Quelle serait une explication exacte de cette maxime ? (Si tu ramasses quelque chose, tu ne dois pas le prendre et le revendiquer comme t’appartenant. Cela fait référence à une sorte de bonne moralité et de coutume sociale.) Est-ce facile à réaliser ? (C’est relativement facile.) Pour la plupart des gens, c’est facile à réaliser : si tu ramasses quelque chose, alors de quoi qu’il s’agisse, tu ne dois pas le garder pour toi, car cela appartient à quelqu’un d’autre. Tu ne mérites pas de l’avoir et tu dois le rendre à son propriétaire légitime. Si tu ne trouves pas son propriétaire légitime, tu dois le remettre aux autorités : en aucun cas, tu ne dois le prendre pour toi. Tout cela dans l’esprit de ne pas convoiter les biens des autres et de ne pas profiter des autres. C’est une exigence imposée au comportement moral de l’homme. Dans quel but ce genre d’exigence est-elle placée sur le comportement moral des gens ? Lorsque les gens possèdent ce genre de conduite morale, cela a un impact favorable et positif sur le climat social. Le but, en imprégnant les gens de telles idées, est de les empêcher de profiter des autres, et qu’ainsi leur propre bonne conduite morale soit maintenue. Si chaque personne possède ce genre de bonne conduite morale, le climat social s’améliorera et il atteindra un stade où personne ne s’approprie les objets perdus trouvés dans la rue et personne n’a plus besoin de verrouiller ses portes la nuit. Avec ce genre de climat social, l’ordre public s’améliorera et les gens pourront vivre plus sereinement. Il y aura moins de vols et moins de cambriolages, et moins de bagarres et de meurtres par vengeance. Les personnes vivant dans ce type de société éprouveront un sentiment de sécurité et un plus grand bien-être général. « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » est une exigence mise en avant concernant la conduite morale des personnes au sein de la société et des environnements de vie. Cette assertion a pour but de protéger le climat social et le cadre de vie des personnes. Est-ce facile à réaliser ? Indépendamment du fait que les gens puissent y parvenir ou non, ceux qui ont avancé cette idée et cette exigence concernant la conduite morale de l’homme visaient à réaliser l’environnement social et de vie idéal auquel les gens aspirent. « N’empoche pas l’argent que tu ramasses », cela n’a rien à voir avec les critères du comportement de l’homme : c’est simplement une exigence placée sur la conduite morale des gens chaque fois qu’ils ramassent quelque chose. Cela a peu de rapport avec l’essence de l’homme. L’humanité formule cette exigence concernant la conduite morale de l’homme depuis des milliers d’années déjà. Bien sûr, lorsque les gens respectent cette exigence, un pays ou une société peut connaître une période où il y a moins de criminalité, et cela peut même atteindre le point où les gens n’ont plus besoin de verrouiller leurs portes la nuit, où personne ne s’approprie les objets perdus trouvés dans la rue et où la majorité des gens n’empochent pas l’argent qu’ils ramassent. Durant cette période, le climat social, l’ordre public et le cadre de vie seront relativement stables et harmonieux, mais ce climat et cet environnement sociétal ne pourront être maintenus que temporairement, sur une certaine période ou pour un temps donné. C’est-à-dire que les gens ne peuvent atteindre ou maintenir ce type de conduite morale que dans certains environnements sociétaux. Dès que leur cadre de vie change et que l’ancien climat social s’effondre, il est probable que des mœurs telles que « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » changent, parallèlement aux transformations de l’environnement sociétal, du climat social et des tendances sociales. Regardez comment le grand dragon rouge, après son arrivée au pouvoir, a séduit les gens en promouvant toutes sortes de dictons afin d’assurer la stabilité de la société. Dans les années 80, il y avait même une chanson populaire avec les paroles suivantes : « Sur le bord de la route, j’ai ramassé un centime par terre et je l’ai remis à un policier. L’officier a pris le centime et m’a fait un signe de tête. Je lui ai dit joyeusement : "À plus tard, monsieur !" » Même une toute petite affaire comme de remettre un centime valait apparemment la peine d’être mentionnée et chantée : c’étaient une morale et un comportement sociaux si « nobles » ! L’étaient-ils vraiment, cependant ? Les gens peuvent remettre à un policier un centime qu’ils ont trouvé, mais lui remettraient-ils cent yuans, ou mille yuans ? C’est difficile à dire. Si une personne repérait de l’or, de l’argent, des choses précieuses ou quelque chose d’encore plus précieux, elle ne pourrait pas contrôler sa cupidité, son monstre intérieur se déchaînerait et elle serait capable de blesser des gens et de leur nuire, et d’en attraper et piéger d’autres : elle serait capable de voler activement l’argent de quelqu’un et même, de le tuer. À ce moment, que resterait-il de la belle culture traditionnelle et de la morale traditionnelle de l’homme ? Où serait alors le critère moral « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » ? Qu’est-ce que cela nous montre ? Indépendamment du fait que les gens possèdent ou non cet esprit et cette conduite morale, cette exigence et ce dicton sont simplement quelque chose que les gens imaginent, désirent et souhaitent pouvoir réaliser et atteindre. Dans des contextes sociaux spécifiques et au sein d’environnements adaptés, les personnes qui possèdent une certaine conscience et une certaine raison peuvent s’abstenir d’empocher l’argent qu’elles ramassent, mais ce n’est qu’un bon comportement passager, cela ne peut pas devenir le critère de leur comportement, ni leur vie. Dès que l’environnement sociétal et le contexte dans lequel ces personnes vivent changent, ce principe et cette conduite morale idéale selon les notions de l’homme seront très éloignés des gens. Ils ne pourront pas satisfaire leurs désirs et ambitions et, bien sûr, ils pourront encore moins limiter leurs mauvaises actions. Ce n’est qu’un bon comportement passager et une qualité morale relativement noble selon les idéaux de l’homme. Lorsqu’elle entre en conflit avec la réalité, l’intérêt personnel et les idéaux des gens, ce type de morale ne peut pas restreindre le comportement des gens, ni guider leur comportement et leurs pensées. En fin de compte, les gens décideront de s’y opposer, ils rompront avec cette notion traditionnelle de moralité et choisiront leurs propres intérêts. Ainsi, en ce qui concerne la morale du dicton « N’empoche pas l’argent que tu ramasses », les gens peuvent remettre à la police un centime qu’ils ramassent, mais s’ils trouvent mille yuans, dix mille yuans ou une pièce d’or, donneront-ils quand même cela à un policier ? Ils ne le pourront pas. Lorsque le bénéfice qu’il y a à prendre cet argent dépasse la portée de ce que la moralité de l’homme peut réaliser, ils ne peuvent pas le remettre à la police. Ils ne peuvent pas réaliser la morale du dicton « N’empoche pas l’argent que tu ramasses ». Alors, est-ce que « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » représente l’essence de l’humanité d’une personne ? Cela ne peut pas du tout représenter l’essence de son humanité. Il est tout à fait évident que cette exigence relative à la conduite morale de l’homme ne peut pas être utilisée comme base pour évaluer si quelqu’un possède l’humanité et qu’elle ne peut pas servir de critère pour le comportement de l’homme.

Est-ce que regarder d’abord si une personne empoche l’argent qu’elle ramasse serait un moyen précis d’évaluer sa moralité et son caractère ? (Non.) Pourquoi pas ? (Les gens sont incapables de vraiment respecter cette exigence. S’ils trouvent une petite somme d’argent ou quelque chose de peu de valeur, ils pourront le remettre, mais si c’est quelque chose de précieux, ils seront moins susceptibles de le faire. Si c’est un objet très précieux, ils seront encore moins enclins à le donner : ils pourraient même le garder à tout prix.) Tu veux dire que « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » ne peut pas servir de critère pour évaluer l’humanité des gens parce que les gens sont incapables réussir cela. Donc, si les gens pouvaient respecter cette exigence, cela compterait-il comme un critère d’évaluation de leur humanité ? (Non, ce ne serait pas le cas.) Pourquoi cela ne compterait-il pas comme critère d’évaluation de l’humanité des gens, même si les gens pouvaient s’y conformer ? (La capacité ou l’absence de capacité de quelqu’un à respecter l’exigence « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » ne reflète pas vraiment la qualité de son humanité. Cela n’a rien à voir avec la qualité de son humanité et ce n’est pas un critère pour évaluer l’humanité des gens.) C’est une façon de comprendre la question. Il y a peu de rapport entre le fait qu’une personne n’empoche pas l’argent qu’elle ramasse et la qualité de son humanité. Donc, si vous rencontrez quelqu’un qui est vraiment capable de ne pas empocher l’argent qu’il ramasse, comment allez-vous le voir ? Pouvez-vous le considérer comme une personne qui possède de l’humanité, une personne honnête et quelqu’un qui se soumet à Dieu ? Pouvez-vous classer le fait de ne pas empocher l’argent que l’on ramasse comme une norme pour posséder de l’humanité ? Nous devons échanger sur cette question. Qui en parlera ? (La capacité de quelqu’un à ne pas empocher l’argent qu’il ramasse n’est pas pertinente pour définir l’essence de l’humanité de cette personne. Son essence est évaluée selon la vérité.) Quoi d’autre ? (Certaines personnes sont capables de ne pas empocher l’argent qu’elles ramassent, même lorsqu’il s’agit d’une grosse somme d’argent, ou bien elles font beaucoup d’autres bonnes actions, mais elles ont leurs propres objectifs et intentions. Elles veulent être récompensées pour leurs actions méritoires et acquérir une bonne réputation, ainsi leurs bons comportements extérieurs ne peuvent pas déterminer la qualité de leur humanité.) Autre chose ? (Supposons que quelqu’un soit capable de ne pas empocher l’argent qu’il ramasse, mais qu’il aborde la vérité avec une attitude résistante, avec une attitude de dégoût de la vérité. Si nous l’évaluons sur la base des paroles de Dieu, il ne possède pas d’humanité. Il est donc inapproprié d’utiliser ce critère pour juger si quelqu’un possède ou non de l’humanité.) Certains d’entre vous ont déjà compris que c’est un tort d’utiliser le dicton « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » pour évaluer si quelqu’un possède de l’humanité : vous n’êtes pas d’accord pour qu’il soit utilisé comme norme pour évaluer si quelqu’un a de l’humanité. Ce point de vue est correct. Que quelqu’un soit ou non capable de ne pas empocher l’argent qu’il ramasse, cela n’a pas grand-chose à voir avec les principes de son comportement et la voie qu’il choisit. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Tout d’abord, lorsqu’une personne n’empoche pas l’argent qu’elle ramasse, cela ne représente qu’un comportement momentané. Il est difficile de dire si elle l’a fait parce que la chose qu’elle a ramassée était sans valeur ou parce que d’autres personnes la regardaient et qu’elle voulait gagner leurs louanges et leur estime. Même si leur action était pure, ce n’est qu’une sorte de bon comportement et cela n’a que peu de rapport avec leur poursuite et leur conduite. Tout au plus, on peut seulement dire que cette personne a un peu de bon comportement et un caractère noble. Bien que ce comportement ne puisse pas être qualifié de chose négative, il ne peut pas non plus être classé comme une chose positive, et une personne ne peut certainement pas être définie comme positive simplement parce qu’elle n’empoche pas l’argent qu’elle ramasse. C’est parce que cela n’a aucun rapport avec la vérité, et cela n’a rien à voir avec les exigences de Dieu envers l’homme. Certaines personnes disent : « Comment cela pourrait-il ne pas être une chose positive ? Comment un comportement aussi noble pourrait-il ne pas être considéré comme positif ? Si quelqu’un était immoral et manquait d’humanité, serait-il capable de ne pas empocher l’argent qu’il ramasse ? » Ce n’est pas nécessairement une façon exacte de le dire. Le diable est capable de faire quelques bonnes choses : alors, dirais-tu que ce n’est pas le diable ? Certains rois démons font une ou deux bonnes actions afin de se faire un nom et de consolider leur place dans l’histoire : alors, les appellerais-tu de bonnes personnes ? Tu ne peux pas déterminer si quelqu’un possède ou non de l’humanité, ou si son caractère est bon ou mauvais, simplement sur la base d’une bonne ou d’une mauvaise chose qu’il a faite. Pour qu’une évaluation soit précise, tu dois la baser sur sa conduite générale et sur le fait qu’il a ou non les bonnes idées et opinions. Si quelqu’un est capable de rendre un objet de grande valeur qu’il a trouvé à son propriétaire légitime, cela montre seulement qu’il n’est pas cupide et qu’il ne convoite pas les biens d’autrui. Il possède cet aspect de bonne conduite morale, mais cela a-t-il quelque chose à voir avec son comportement et son attitude envers les choses positives ? (Non.) Il est probable que certaines personnes ne seront pas d’accord avec cela, elles jugeront cette affirmation un peu subjective et inexacte. Cependant, en considérant cela d’un point de vue différent, si quelqu’un perd quelque chose d’utile, ne sera-t-il pas très inquiet à ce sujet ? Ainsi, pour la personne qui trouve l’objet, peu importe ce qu’elle trouve, ce n’est pas le sien, donc elle ne doit pas le garder. Qu’il s’agisse d’un objet matériel ou d’argent, qu’il soit précieux ou sans valeur, il ne lui appartient pas : n’est-il donc pas de son devoir de rendre l’objet à son propriétaire légitime ? N’est-ce pas ce que les gens devraient faire ? Quelle valeur y a-t-il à promouvoir cela ? N’est-ce pas faire tout un plat pour rien ? N’est-il pas exagéré de traiter le fait de ne pas empocher l’argent que l’on ramasse comme une sorte de noble qualité morale et de l’élever à un haut niveau spirituel ? Ce bon comportement mérite-t-il même d’être mentionné au milieu de bonnes personnes ? Il y a tellement de comportements meilleurs et plus nobles que celui-ci, donc ne pas empocher l’argent que l’on ramasse ne vaut pas la peine d’être mentionné. Cependant, si vous deviez vigoureusement propager et promouvoir ce bon comportement parmi les mendiants et les voleurs, ce serait approprié, et cela pourrait être d’une certaine utilité. Si un pays promeut vigoureusement « N’empoche pas l’argent que tu ramasses », cela montre que les gens là-bas sont déjà très méchants, que le pays est envahi par des bandits et des voleurs et qu’il est incapable de se prémunir contre eux. Ainsi, le seul recours des gens est de promouvoir et de propager ce genre de comportement pour résoudre le problème. En fait, ce comportement a toujours été le devoir des gens. Par exemple, si quelqu’un trouve cinquante yuans dans la rue et les rend facilement à son propriétaire légitime, n’est-ce pas si insignifiant que cela ne vaut même pas la peine d’être mentionné ? Y a-t-il vraiment lieu de le louer ? Est-il nécessaire de faire une si grande chose avec rien, de chanter les louanges de cette personne et même, de la féliciter pour sa conduite morale noble et honorable, simplement parce qu’elle a rendu de l’argent à la personne qui l’a perdu ? Est-ce que rendre l’argent perdu à son propriétaire légitime n’est pas simplement la chose normale et naturelle à faire ? N’est-ce pas quelque chose qu’une personne qui possède une raison normale devrait faire ? Même un petit enfant qui ne comprend pas la morale sociale serait capable de faire cela, alors est-il vraiment nécessaire d’en faire tout un plat ? Ce comportement est-il vraiment digne d’être élevé au niveau de la moralité de l’homme ? À Mon avis, il ne peut pas être élevé à ce niveau et il n’est pas digne d’éloges. C’est juste un bon comportement transitoire et cela n’a aucun rapport avec le fait d’être vraiment une bonne personne à un niveau fondamental. Ne pas empocher l’argent que l’on ramasse est une affaire très insignifiante. C’est quelque chose que toute personne normale et toute personne qui se revêt d’une peau humaine ou qui parle un langage humain devraient être capables de faire. C’est quelque chose que les gens peuvent faire s’ils s’en donnent les moyens, ils n’ont pas besoin d’un éducateur ou d’un penseur pour leur apprendre à le faire. Un enfant de trois ans est capable de faire cela et pourtant, les penseurs et les éducateurs l’ont traité comme une exigence cruciale de la conduite morale de l’homme et ce faisant, ils ont fait pas mal de bruit à partir de rien. Bien que « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » soit une déclaration qui évalue la conduite morale de l’homme, elle ne s’élève fondamentalement pas jusqu’à pouvoir évaluer si quelqu’un possède de l’humanité ou une noble moralité. Par conséquent, il est à la fois inexact et inadapté d’utiliser « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » pour évaluer la qualité de l’humanité de quelqu’un.

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