Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité (Partie 2)
Avec le développement des ères, avec le développement de l’humanité, avec les opérations de toutes choses, et avec les arrangements des mains de Dieu et Sa souveraineté, Son orientation et Sa direction, l’humanité, toutes choses et l’univers lui-même vont toujours de l’avant. L’humanité sous la loi, après avoir été contrainte par la loi pendant des milliers d’années, n’a plus été capable de défendre celle-ci, et l’humanité a suivi l’œuvre de Dieu dans l’ère suivante, que Dieu a initié : l’ère de la Grâce. Avec l’arrivée de l’ère de la Grâce, Dieu a débuté Son œuvre, basée sur le fait qu’Il avait envoyé des prophètes prédire cette ère. Cette phase de l’œuvre n’a pas été aussi douce ou aussi désirée que l’homme avait imaginé qu’elle le serait dans ses notions, et elle n’a pas non plus semblé aussi bonne qu’ils l’avaient pensé. Au contraire, en apparence, tout semblait aller à l’encontre de la prophétie. De ces conditions, un fait que l’homme n’aurait jamais deviné a émergé : le fait que la chair dans laquelle Dieu S’était incarné – le Seigneur Jésus – soit clouée sur la croix. Tout cela était au-delà de ce que l’homme avait prévu. En apparence, tout cela semblait être un événement cruel et sanglant, horrible à contempler, néanmoins, Dieu commençait à mettre un terme à l’ère de la Loi et initiait une nouvelle ère. Cette nouvelle ère est l’ère de la Grâce, que vous connaissez tous, à présent. L’ère de la Grâce semblait être venue au mépris des prophéties de Dieu à l’ère de la Loi. Assurément, elle est venue également dans la forme de la chair incarnée de Dieu se faisant clouer sur la croix. Tous ces événements ont eu lieu très soudainement et très naturellement, dans des conditions qui leur était propices. Tels ont été les moyens que Dieu a employé pour mettre fin à l’ancienne ère et en inaugurer une nouvelle, pour en provoquer une nouvelle. Même si tout ce qui est survenu au début même de cette ère était vraiment cruel et sanglant, inimaginable, voire soudain dans son arrivée, et rien n’était aussi merveilleux ou tendre que l’homme l’avait imaginé, même si la scène d’ouverture de l’ère de la Grâce était horrible à contempler et fendait le cœur, quelle était la seule chose dans cette scène qui valait la peine d’être célébrée ? La fin de l’ère de la Loi signifiait que Dieu n’avait plus à tolérer les divers comportements de l’humanité sous la loi. Cela signifiait que l’humanité avait fait un grand pas en avant, conforme à l’œuvre de Dieu et à Son plan, pour entrer dans une nouvelle ère. Bien entendu, cela signifiait aussi que les jours d’attente de Dieu avaient été raccourcis. L’humanité entrait dans une nouvelle ère, une nouvelle époque, ce qui signifiait que l’œuvre de Dieu avait fait un grand pas en avant, et que Son désir allait progressivement se réaliser, au fur et à mesure que Son œuvre allait de l’avant. L’arrivée de l’ère de la Grâce n’était pas très agréable à ses débuts, mais de la façon dont Dieu voyait les choses, l’humanité qui allait bientôt émerger, qui était l’humanité qu’Il voulait, s’approchait de plus en plus de Ses exigences et de Ses objectifs. Il s’agissait là de quelque chose de merveilleux et de louable, quelque chose qui valait la peine d’être célébré. Même si l’humanité avait cloué Dieu sur la croix, ce qui, pour l’homme, était triste à voir, l’instant même où Christ a été cloué sur la croix signifiait que l’ère suivante de Dieu, l’ère de la Grâce, était arrivée et, bien entendu, que l’œuvre de Dieu dans cette ère était sur le point de débuter. De plus, cela signifiait que la grande œuvre de cette occurrence de l’incarnation de Dieu avait été accomplie. Dieu allait faire face aux gens en tant que vainqueur, avec un nouveau nom et une nouvelle image, et le contenu de Sa nouvelle œuvre allait être ouvert et révélé à l’humanité. Et pendant ce temps, pour ce qui était de l’humanité, celle-ci n’allait plus être continuellement contrariée par de fréquentes violations de la loi, et en outre, elle n’allait plus être punie par la loi pour l’avoir violée. L’arrivée de l’ère de la Grâce a permis à l’humanité d’émerger de l’œuvre précédente de Dieu et d’entrer dans un environnement de travail tout nouveau, avec de nouvelles étapes pour l’œuvre et une nouvelle méthode de travail. Cela offrait à l’humanité une nouvelle entrée et une nouvelle vie, et, bien entendu, cela a permis l’émergence d’une nouvelle relation entre Dieu et l’homme, relation qui devenait un peu plus proche. En raison de l’incarnation de Dieu, l’homme a pu se confronter à Lui. L’homme entendait la voix et les paroles véritables et réelles de Dieu. L’homme a vu la manière dont Il a œuvré, ainsi que Son tempérament, et ainsi de suite. L’homme a entendu cela de ses propres oreilles et il l’a vu de ses propres yeux, dans tous les domaines. Il a fait l’expérience saisissante que Dieu était vraiment et effectivement venu parmi les hommes, que Dieu avait vraiment et effectivement été face à face avec l’homme, que Dieu était vraiment et effectivement venu vivre parmi l’humanité. Même si l’œuvre de Dieu dans cette incarnation n’a pas duré très longtemps, elle a permis à l’humanité de l’époque de faire l’expérience ferme et solide de ce que l’homme ressent vraiment quand il vit avec Dieu. Et même si ceux qui ont fait l’expérience de telles choses ne l’ont pas faite longtemps, Dieu a prononcé de nombreuses paroles dans cette occurrence de Son incarnation et ces paroles étaient tout à fait spécifiques. Il a beaucoup œuvré également et beaucoup de gens L’ont suivi. L’humanité a définitivement mis un terme à sa vie sous la loi de l’ancienne ère et elle est arrivée dans une ère complètement nouvelle : l’ère de la Grâce.
Étant entrée dans la nouvelle ère, l’humanité n’a plus vécu sous les contraintes de la loi, mais sous de nouvelles exigences et de nouvelles paroles de Dieu. Du fait de ces nouvelles paroles et exigences de Dieu, l’humanité a développé une nouvelle vie, dont la forme était différente, une vie de croyance en Dieu dont a forme et le contenu étaient différents. Cette vie était plus près de satisfaire aux normes des exigences de Dieu vis-à-vis de l’homme que la vie précédente sous la loi. Dieu a présenté des nouveaux commandements à l’humanité et Il a présenté à l’humanité de nouvelles normes comportementales qui étaient plus précises et plus adaptées à l’humanité qu’elles ne l’étaient alors, ainsi que des critères et des principes concernant les opinions de l’homme sur les gens et les choses, et son comportement et ses actes. Les paroles que Dieu avait prononcées alors n’étaient pas aussi spécifiques que celles de maintenant, et elles n’étaient pas non plus en aussi grand nombre que maintenant, néanmoins, pour l’homme, à ce moment-là, qui venait à peine de s’extraire de sous la loi, ces paroles et ces exigences étaient suffisantes. Étant donné la stature des gens de l’époque, et ce dont ils étaient équipés, c’étaient les seules choses qu’ils pouvaient accomplir et atteindre. Par exemple, Dieu avait dit aux gens d’être humbles, d’être patients, d’être tolérants, de prendre la croix, et ainsi de suite. Il s’agissait là d’exigences qui étaient toutes très spécifiques, d’exigences que Dieu avait, vis-à-vis de l’homme, dans le sillage de la loi. Il s’agissait d’exigences qui touchaient à la façon dont l’humanité devait être vécue. En outre, l’homme, qui avait vécu sous la loi, profitait d’un flot abondant et régulier de grâces, de bénédictions et d’autres choses du même genre émanant de Dieu, du fait de l’arrivée de l’ère de la Grâce. Durant cette ère, l’humanité vivait une véritable partie de plaisir. Les gens étaient tous heureux et tous étaient la prunelle des yeux de Dieu, des bébés dans la paume de Sa main. Les gens devaient respecter les commandements et avoir en plus quelques bons comportements, des comportements alignés avec les notions et l’imagination de l’homme, mais pour l’humanité, la jouissance de la grâce de Dieu était là dans une plus grande mesure. Les gens étaient guéris de maladies provoquées par la possession démoniaque, par exemple, et les infâmes démons et les esprits malfaisants qui se trouvaient en eux étaient chassés. Quand les gens avaient des difficultés ou des besoins, Dieu faisait des exceptions pour eux et Il montrait des signes et des miracles, pour qu’ils soient guéris de leurs diverses maladies, que leur chair soit rassasiée et qu’ils soient nourris et vêtus. Il y avait tant de grâce et tant de bénédictions dont l’homme pouvait profiter durant cette ère. Outre simplement adhérer aux commandements, l’humanité devait, tout au plus, être patiente, tolérante, aimante, et ainsi de suite. L’homme n’avait aucune idée de quoi que ce soit d’autre qui impliquait la vérité ou les exigences de Dieu vis-à-vis de lui. Comme l’homme était complètement résolu à profiter de la grâce et des bénédictions de Dieu, et du fait de la promesse de l’époque faite à l’homme par le Seigneur Jésus, l’homme a commencé à profiter de la grâce de Dieu de façon habituelle, sans en entrevoir la fin. Les membres de l’humanité pensaient que s’ils croyaient en Dieu, ils devraient profiter de la grâce de Dieu, que c’était là la part qui leur revenait de droit. Cependant, ils ne savaient pas adorer le Seigneur de la création, ni assumer le statut d’êtres créés, ni mener à bien le devoir d’êtres créés, ni être de bons êtres créés. Ils ne savaient pas non plus comment se soumettre à Dieu, ni comment Lui être loyaux, ni comment accepter Ses paroles et les utiliser comme base de leurs opinions sur les gens et les choses, et de leur comportement et de leurs actes. L’homme était tout à fait ignorant de telles choses. Et en plus de profiter de la grâce de Dieu automatiquement, l’homme voulait aller au ciel après la mort, automatiquement, et y profiter des bonnes bénédictions en compagnie du Seigneur. De plus, l’humanité qui vivait à l’ère de la Grâce, qui vivait au milieu de la grâce et des bénédictions, croyait à tort que Dieu était uniquement un Dieu miséricordieux et aimant, que Son essence était la compassion et l’affection, et rien d’autre. Pour l’humanité, la compassion et l’affection étaient emblématiques de l’identité, du statut et de l’essence de Dieu. Ce que signifiaient pour elle la vérité, le chemin et la vie, c’étaient la grâce et les bénédictions de Dieu, ou peut-être une façon de simplement prendre la croix et de suivre le chemin de la croix. Il n’y avait rien d’autre, à l’ère de la Grâce, dans la connaissance que les gens avaient de Dieu et dans leur orientation vers Lui, de même que dans leur orientation vers l’humanité et les gens eux-mêmes et dans leur connaissance de l’humanité et des gens. Alors, pour se tourner vers les causes et s’attaquer à la racine du problème : qu’est-ce qui a mené à ces circonstances, exactement ? Personne n’est à blâmer. On ne peut pas reprocher à Dieu de ne pas avoir œuvré ou de n’avoir pas parlé de façon plus concrète ou plus approfondie, et on ne peut pas non plus rejeter la responsabilité sur l’homme. Pourquoi ? Parce que l’homme est l’humanité créée, un être créé. Il a émergé de la loi et est arrivé à l’ère de la Grâce. Quel que soit le nombre d’années d’expérience que l’homme ait pu avoir de l’œuvre de Dieu tandis que celle-ci progressait, ce que Dieu avait accordé à l’homme, ce qu’Il avait fait, c’était ce que l’homme pouvait obtenir et ce qu’il pouvait savoir. Mais en dehors de cela, étant donné ce qui n’avait pas été fait par Dieu, ce qu’Il n’avait pas dit, et ce qu’Il n’avait pas révélé, l’humanité n’avait pas la capacité de comprendre ou de savoir de quoi il retournait. Mais pour examiner les circonstances objectives et prendre du recul, quand l’humanité, qui avait progressé pendant des milliers d’années, était arrivée à l’ère de la Grâce, sa compréhension ne pouvait pas aller plus loin, et Dieu ne pouvait faire que l’œuvre qu’Il faisait. La raison en est que ce dont avait besoin l’humanité, qui avait émergé de l’ère de la Loi, n’était pas d’être châtiée ou jugée, ni d’être conquise et encore moins d’être rendue parfaite. Il n’y avait qu’une seule chose dont l’humanité avait besoin à ce moment-là. De quoi s’agissait-il ? D’un sacrifice d’expiation, du précieux sang de Dieu. Le précieux sang de Dieu : ce sacrifice d’expiation était la seule chose dont l’humanité avait besoin, tandis qu’elle émergeait de l’ère de la Loi. Donc, à cette époque, du fait des besoins et des circonstance réelles de l’humanité, l’œuvre que Dieu devait alors faire était d’offrir en sacrifice le précieux sang de Sa propre incarnation comme sacrifice d’expiation. C’était la seule façon de racheter l’humanité de l’ère de la Loi. Avec Son précieux sang comme prix et comme sacrifice d’expiation, Dieu a expurgé le péché de l’humanité. Et ce n’est que lorsque le péché de l’homme a été expurgé que l’homme a eu le statut nécessaire pour venir sans péché devant Dieu, et accepter Sa grâce et Sa direction continuelle. Le précieux sang de Dieu a été offert à l’humanité et, comme ce sang était offert en sacrifice pour l’humanité, l’humanité a pu être rachetée. Qu’aurait pu comprendre l’humanité qui venait tout juste d’être rachetée ? De quoi avait besoin l’humanité qui venait tout juste d’être rachetée ? L’humanité, si elle avait été immédiatement conquise, jugée et châtiée, n’aurait pas eu la capacité de l’accepter. Elle n’avait pas une telle capacité d’acceptation et sa condition n’était pas non plus telle qu’elle aurait pu comprendre tout cela. Alors, outre le sacrifice d’expiation de Dieu, ainsi que Sa grâce, Ses bénédictions, Sa tolérance, Sa patience, Sa miséricorde et Son affection, l’humanité, telle qu’elle l’était à ce moment-là, ne pouvait accepter davantage que quelques exigences simples que Dieu avait concernant le comportement de l’homme. Ces exigences, mais pas plus. Quant à toutes les vérités qui touchent plus profondément au salut de l’homme – quelles idées et opinions erronées l’humanité a, quels tempéraments corrompus elle a, quelles essences de rébellion contre Dieu elle a, quelle essence de la culture traditionnelle l’humanité défend (sujet sur lequel nous avons récemment échangé), comment Satan corrompt l’humanité, et ainsi de suite – l’humanité, à ce moment-là, n’aurait absolument pas pu comprendre quoi que ce soit à tout cela. Dans de telles circonstances, Dieu ne pouvait qu’admonester l’humanité et avoir des exigences vis-à-vis d’elle de la façon la plus simple et la plus directe qui soit, avec des exigences particulièrement rudimentaires concernant le comportement. Par conséquent, l’humanité à l’ère de la Grâce pouvait seulement profiter de la grâce et profiter sans limite du précieux sang de Dieu en tant que sacrifice d’expiation. Cependant, à l’ère de la Grâce, la plus chose la plus formidable avait déjà été accomplie. De quoi s’agissait-il ? C’était que l’humanité, que Dieu devait sauver, avait vu ses péchés pardonnés par le précieux sang de Dieu. C’est quelque chose qui mérite d’être célébré. C’était la chose la plus formidable que Dieu ait faite à l’ère de la Grâce. Même si le péché de l’homme était pardonné, et que l’homme n’allait plus venir devant Dieu dans la ressemblance de la chair pécheresse ou en tant que pécheur, ayant au contraire été pardonné pour ses péchés par le sacrifice d’expiation, et étant désormais qualifié pour venir devant Dieu, la relation entre l’homme et Dieu n’avait pas encore atteint le niveau de celle d’un être créé avec le Créateur. Cette relation n’était pas encore celle de l’humanité créée avec le Créateur. L’humanité sous la grâce était encore loin, très loin de jouer le rôle que Dieu exigeait d’elle, celui de maître et d’intendant de toutes choses. Dieu a donc dû attendre. Il a dû se montrer patient. Qu’est-ce que cela signifiait, que Dieu attende ? Cela signifiait que l’humanité devait alors continuer à vivre au milieu de la grâce de Dieu, au milieu des diverses façons dont Dieu œuvre à l’ère de la Grâce. Dieu veut sauver bien davantage qu’une poignée de membres de l’humanité, ou une seule race. Son salut est loin de se limiter à une seule race ou à ceux d’une seule confession. L’ère de la Grâce devait donc être subie pendant des milliers d’années, exactement comme l’ère de la Loi l’avait été. L’humanité devait continuer à vivre dans la nouvelle ère dirigée par Dieu, année après année, génération après génération. Combien d’époques l’homme doit subir de cette façon, combien de changements dans les étoiles, combien de mers qui s’assèchent et de rochers qui disparaissent, combien d’océans qui cèdent la place à des terres fertiles ? Et l’homme doit subir les différents changements de l’humanité à diverses périodes et les différents changements qui ont lieu dans les myriades de choses de la terre. Et tandis que l’homme faisait l’expérience de tout cela, les paroles de Dieu, Son œuvre, et le fait de la rédemption de l’humanité par le Seigneur Jésus à l’ère de la Grâce se sont répandus jusqu’aux confins de la terre, dans toutes les rues et les ruelles, dans chaque recoin, jusqu’à ce que tout cela soit connu de chaque maisonnée. Et c’est à ce moment-là que cette ère, l’ère de la Grâce, qui a suivi l’ère de la Loi, était censée arriver à son terme. L’œuvre que Dieu a faite durant cette période ne consistait pas simplement à attendre en silence. Alors que Dieu attendait, Il a œuvré sur l’humanité de l’ère de la Grâce de différentes façons. Il a continué Son œuvre basée sur la grâce, accordant grâce et bénédictions à l’humanité de cette ère, de sorte que Ses actes, Son œuvre, Son discours, les faits qu’Il mettait en œuvre et Sa volonté à l’ère de la Grâce parviennent aux oreilles de toutes les personnes qu’Il choisissait. Il a permis à tous les individus qu’Il choisissait de profiter de Son sacrifice d’expiation, pour qu’ils ne viennent plus devant Lui dans la ressemblance de la chair pécheresse, en tant que pécheurs. Et même si la relation entre l’homme et Dieu n’était plus celle qui consistait à ne L’avoir jamais vu, comme à l’ère de la Loi, mais qu’elle avait fait un pas au-delà de ça, en tant que relation entre les croyants et le Seigneur, entre les chrétiens et Christ, malgré tout, une telle relation n’était pas la relation que Dieu voulait, en fin de compte, entre l’humanité et Dieu, entre les êtres créés et le Créateur. Leur relation était donc clairement encore assez éloignée de la relation entre les êtres créés et le Créateur mais, comparée à la relation entre l’humanité et Dieu à l’ère de la Loi, cette relation représentait une grande avancée. C’était un motif de joie et de célébration. Quoi qu’il en soit, Dieu devait encore guider l’humanité. Il devait guider l’humanité, dont le cœur, dans ses profondeurs, était plein de notions sur Dieu et plein de choses imaginées, de requêtes, d’exigences, de rébellion et de résistance, pour que l’humanité aille de l’avant. Pourquoi ? Parce qu’une telle humanité savait peut-être profiter de la grâce de Dieu et qu’elle savait peut-être que Dieu était miséricordieux et aimant, mais qu’à part cela, elle ne savait rien de la véritable identité, du véritable statut et de la véritable essence de Dieu. Comme une telle humanité a subi la corruption de Satan, même si elle profitait de la grâce de Dieu, son essence et les diverses notions et pensées au fond de son cœur restaient contraires à Dieu et s’opposaient à Lui. L’homme ne savait pas comment se soumettre à Dieu ni comment mener à bien le devoir d’un être créé, et encore moins comment être un être créé satisfaisant. Bien entendu, il y avait encore moins de gens qui savaient comment adorer le Seigneur de la création. Si les myriades de choses du monde avaient été confiées à l’humanité corrompue, corrompue comme elle l’était, cela serait revenu à confier ces choses à Satan. Les conséquences auraient été entièrement les mêmes, sans rien pour les distinguer. Dieu devait donc continuer Son œuvre, Il devait continuer à guider l’humanité jusqu’à l’étape suivante de l’œuvre qu’Il allait faire. Cette étape était quelque chose que Dieu attendait depuis longtemps, quelque chose qu’Il attendait avec impatience depuis longtemps, et quelque chose qu’Il a payé avec Sa patience antérieure pendant longtemps.
Maintenant que, finalement, l’humanité a profité de la grâce suffisante et abondante de Dieu, ce monde et cette humanité, quel que soit l’angle sous lequel on les considère, ont atteint un niveau suffisant pour que Dieu fasse Sa véritable œuvre de salut de l’humanité. L’humanité est arrivée au point où Dieu va la conquérir, la châtier et la juger, où Il va exprimer de nombreuses vérités pour perfectionner l’humanité et pour gagner un groupe de personnes issues de l’humanité, qui pourront être les intendants de toutes choses parmi ces choses. Ce moment étant venu, Dieu n’a plus besoin d’être patient, ni de continuer à guider l’humanité de l’ère de la Grâce pour qu’elle vive dans la grâce. Dieu n’a plus besoin de continuer à approvisionner l’humanité de l’ère de la Grâce, ni de la guider, de veiller sur elle ou de la préserver. Il n’a plus besoin d’approvisionner de grâce et de bénédictions l’humanité, sans relâche et de manière inconditionnelle. Il n’a plus besoin de Se montrer inconditionnellement patient avec l’humanité dans la grâce, tandis qu’elle sollicite Sa grâce, avec avidité et sans honte, sans L’adorer du tout. Ce que Dieu fera, à la place, c’est exprimer Sa volonté, Son tempérament, la véritable voix de Son cœur et Son essence. Durant cette période, Dieu, tout en approvisionnant l’humanité des vérités et des paroles variées dont elle a besoin, déverse et exprime Son véritable tempérament, un tempérament juste. Et en exprimant Son tempérament juste, ce n’est pas comme s’Il offrait, d’un air absent, quelques formules de jugement et de condamnation, sans plus s’y intéresser. Au contraire, Il Se sert de faits pour exposer la corruption de l’humanité, son essence et sa hideur satanique. Il expose la rébellion, la résistance et le rejet de l’humanité à Son encontre, ainsi que les diverses notions de l’humanité à Son sujet et ses trahisons à Son égard. Durant cette période, une plus grande partie de ce qu’Il exprime est au-delà de la miséricorde et de l’affection dont Il fait preuve vis-à-vis de l’humanité : il s’agit de la haine, de la répulsion, de l’aversion qu’Il éprouve à l’égard de l’humanité, et de Sa condamnation de l’humanité. Ce tournant ou ce changement abrupt, à cent-quatre-vingts degrés, dans le tempérament et la position de Dieu prend l’humanité au dépourvu et la rend incapable d’acceptation. Dieu exprime Son tempérament et Ses paroles avec toute la force subite de l’éclair. Bien entendu, Il fournit également à l’humanité tout ce dont elle a besoin, avec une patience et une tolérance immenses. De différentes manières et à partir de différents points de vue, Dieu parle et exprime Son tempérament à l’intention de l’humanité des façons les plus appropriées, convenables, concrètes et directes pour ce qui est de traiter les êtres créés, du point de vue de Sa position en tant que Créateur. Voilà les façons, en paroles comme en œuvre, que Dieu attend ardemment depuis six mille ans. Six mille ans à désirer ardemment. Six mille ans d’attente : ces années témoignent des six mille ans de patience de Dieu, elles renferment Ses six mille ans d’anticipation. L’humanité reste l’humanité créée par Dieu, mais, ayant traversé six mille ans de changements incessants, qui redistribuent les étoiles et engloutissent les mers, elle n’est plus l’humanité telle que créée par Dieu au commencement, avec cette même essence. Par conséquent, alors que Dieu commence à œuvrer en ce jour, l’humanité qu’Il voit maintenant, même si elle est ce à quoi Il S’attendait, est également exécrée par Lui, et elle est, bien entendu, trop tragique pour que Dieu la contemple. J’ai parlé de trois choses : vous en souvenez-vous ? Une telle humanité, même si elle est ce à quoi Dieu S’attendait, est également exécrée par Lui. Quelle était l’autre chose dont J’ai parlé ? (L’humanité est trop tragique pour que Dieu la contemple.) Elle est également trop tragique pour que Dieu la contemple. Ces trois choses sont toutes présentes en l’homme, en même temps. À quoi Dieu S’attendait-Il ? Il S’attendait à ce qu’une telle humanité, après avoir fait l’expérience de la loi, puis de la rédemption, marche finalement jusqu’à aujourd’hui sur un fondement de compréhension de certaines lois fondamentales et de certains commandements fondamentaux – lois et commandements que l’homme doit respecter – et qu’elle ne soit plus une simple humanité avec un vide au fond du cœur, comme c’était le cas d’Adam et d’Ève. Au contraire, l’humanité aurait une dose de nouvelles choses dans le cœur. Ces choses sont ce que Dieu S’attendait à voir l’humanité posséder. Pourtant, en même temps, l’humanité est une humanité que Dieu exècre également. Alors, qu’est-ce donc que Dieu exècre ? Ne le savez-vous pas tous ? (La rébellion et la résistance de l’homme.) Les membres de l’humanité sont pleins du tempérament corrompu de Satan, ils vivent une vie épouvantable, ni tout à fait hommes ni tout à fait démons. L’humanité n’est plus simple au point d’être incapable de résister aux sollicitations du serpent. Même si l’humanité a ses propres pensées et points de vue, ses propres opinions précises et ses propres façons de considérer les myriades d’évènements et de choses, il n’y a absolument rien de ce que Dieu veut dans les points de vue de l’humanité sur les gens et les choses, ou dans son comportement et ses actes. L’humanité peut penser et exprimer des points de vue, et elle a ses raisons, ses méthodes et ses attitudes pour agir, mais tout ce qu’elle possède trouve ses origines dans la corruption de Satan. Tout cela est basé sur les points de vue et les philosophies de Satan. Quand l’homme vient devant Dieu, il n’y a aucune trace de soumission envers Dieu dans son cœur, ni aucune sincérité. L’homme est saturé des toxines de Satan, rempli de son éducation et de ses pensées, ainsi que de son tempérament corrompu. Qu’est-ce que cela montre ? Cela montre que Dieu doit prononcer de nombreuses paroles et qu’Il doit beaucoup œuvrer pour l’homme afin de changer le mode d’existence et l’attitude de celui-ci envers Dieu, et plus spécifiquement, bien entendu, afin de changer ses façons de faire et ses critères en ce qui concerne ses points de vue sur les gens et les choses, et son comportement et ses actes. Avant que tout cela n’ait pris effet, l’humanité est un objet d’exécration aux yeux de Dieu. De quoi Dieu a-t-Il besoin quand Il sauve un objet de Son exécration ? Y a-t-il de la joie dans Son cœur ? Y a-t-il du bonheur ? Y a-t-il du réconfort ? (Non.) Il n’y a absolument aucun réconfort, ni aucun bonheur. Son cœur est rempli de dégoût. La seule chose que Dieu fera dans de telles circonstances, excepté parler, parler infatigablement, c’est faire preuve de patience. Voilà le deuxième élément de ce que Dieu éprouve vis-à-vis d’une telle humanité, telle qu’Il la voit : l’exécration. Le troisième élément, c’est que l’humanité est trop tragique pour être contemplée. À la lumière de l’intention originelle de Dieu en créant l’humanité, la relation entre Dieu et l’homme est celle d’un parent avec son enfant, un rapport familial. Cette dimension de la relation n’est peut-être pas comme les liens du sang au sein de l’humanité, mais pour Dieu, cette relation dépasse celle des liens du sang charnels de l’humanité. L’humanité que Dieu a créée initialement est entièrement différente, du point de vue de la ressemblance, de l’humanité qu’Il voit dans les derniers jours. Au commencement, l’homme avait une ressemblance simple et juvénile, et même s’il était ignorant, son cœur était pur et propre. On pouvait voir dans ses yeux la clarté et la transparence au fond de son cœur. L’homme n’avait pas les tempéraments corrompus de toutes sortes qu’il a aujourd’hui. Il n’avait aucune intransigeance, aucune arrogance, aucune méchanceté ou malhonnêteté, et il n’avait assurément pas un tempérament d’aversion pour la vérité. En regardant le discours et les actes, les yeux, le visage de l’homme, on pouvait voir que cette humanité était celle que Dieu avait créée au commencement et celle qu’Il préférait. Mais en fin de compte, tandis que Dieu considère de nouveau l’humanité, le cœur de l’homme n’est plus aussi clair dans ses profondeurs, et ses yeux ne sont plus aussi clairs. Le cœur de l’homme est plein du tempérament corrompu de Satan, et quand l’homme rencontre Dieu, son visage, son discours et ses actes Lui sont détestables. Cependant, il y a un fait que personne ne peut nier, et c’est en raison de ce fait que Dieu dit qu’à Ses yeux une telle humanité est trop tragique pour être contemplée. De quel fait s’agit-il ? De celui-ci, que personne ne peut nier : Dieu a créé de Ses propres mains cette humanité, qui est venue une fois de plus devant Lui, mais elle n’est plus l’humanité qu’elle était au commencement. De ses yeux à ses pensées, et jusqu’aux profondeurs de son cœur, l’homme est rempli de résistance et de trahison vis-à-vis de Dieu. De ses yeux à ses pensées, et jusqu’aux profondeurs de son cœur, ce n’est rien de moins que le tempérament de Satan qui jaillit de l’homme. Les tempéraments sataniques de l’homme – des tempéraments d’intransigeance, d’arrogance, de malhonnêteté, de méchanceté et d’aversion pour la vérité – jaillissent du regard de l’homme comme de ses expressions, sans déguisements et naturellement. Même confronté aux paroles de Dieu ou face à face avec Dieu, le tempérament satanique corrompu de l’homme, ainsi que son essence, qui est corrompue par Satan, jaillissent de cette façon, sans déguisements. Il n’y a qu’une expression qui peut saisir ce que fait ressentir à Dieu l’émergence de ce fait, cette expression c’est : « trop tragique pour être contemplée. » L’humanité qui est parvenue jusqu’à aujourd’hui et jusqu’à cette époque a atteint le niveau des exigences de Dieu pour la troisième et dernière étape de Son œuvre, celle du salut de l’humanité, autant pour ce qui est de l’environnement de l’homme en général que pour ce qui est de chaque aspect particulier des situations et des conditions dans lesquelles les gens se trouvent. Pourtant, alors même que Dieu est plein d’attentes vis-à-vis de cette humanité, Il est aussi plein de haine pour elle. Dieu, bien entendu, Se dit encore que l’humanité est trop tragique pour être contemplée quand Il voit un exemple après l’autre de sa corruption. Pourtant, ce qui mérite d’être célébré, c’est que Dieu n’a plus besoin de faire preuve de patience inutile et d’attendre inutilement au nom de l’homme. Ce qu’Il doit faire, c’est l’œuvre pour laquelle Il a attendu pendant six mille ans et qu’Il attend avec impatience depuis six mille ans : celle qui consiste à exprimer Ses paroles, Son tempérament et toutes les vérités. Bien sûr, cela signifie également que, parmi cette humanité que Dieu a choisie, émergera le groupe d’individus que Dieu attend depuis longtemps, ceux qui seront les intendants de toutes choses et deviendront les maîtres de toutes choses. Pour examiner la situation dans son ensemble, tout s’est tellement éloigné de ce qui était prévu, tout a été si douloureux et triste. Mais ce qui justifie le plus le bonheur de Dieu, c’est que, du fait du passage du temps et des différentes ères, les jours de sujétion de l’humanité à la corruption de Satan sont déjà terminés. L’humanité a traversé le baptême de la loi et la rédemption de Dieu. Finalement, elle en est arrivée à l’étape finale de l’œuvre que Dieu va faire : l’étape durant laquelle l’humanité est sauvée, en résultat final de son acceptation du châtiment et du jugement de Dieu, et de Sa conquête. Pour l’humanité, c’est une grande nouvelle, sans aucun doute, et pour Dieu, c’est assurément quelque chose qui s’est fait attendre pendant longtemps. Quel que soit l’angle sous lequel on regarde les choses, c’est là l’avènement de la plus grande ère de toute l’humanité. Quel que soit l’angle sous lequel on regarde les choses, que ce soit sous l’angle de la corruption de l’humanité, des tendances du monde, des structures sociales, des opinions politiques de l’humanité, des ressources du monde entier ou sous l’angle des désastres actuels, la fin de l’humanité est proche, cette humanité est arrivée au bout de la ligne. Néanmoins, c’est là le moment le plus paroxystique de l’œuvre de Dieu, le moment qui mérite le plus d’être commémoré et célébré par l’homme, et bien entendu, c’est également l’avènement du moment le plus important et le plus essentiel, le moment où le sort de l’humanité est décidé, lors des six mille ans de l’œuvre de Dieu sur Son plan de gestion. Par conséquent, quoi qu’il soit arrivé à l’humanité et quel que soit le temps que Dieu a passé à attendre et à faire preuve de patience, tout cela en a valu la peine.
Revenons au sujet que nous avons entrepris de traiter : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité. » Le plan de gestion de Dieu est divisé en trois étapes de travail parmi l’humanité. Dieu a déjà terminé les deux étapes précédentes. Examinons ces étapes jusqu’au moment présent, qu’il s’agisse de la loi ou des commandements : elles n’avaient d’autre utilité pour l’homme que de permettre de faire respecter la loi, les commandements, le nom de Dieu, la foi dans les recoins du cœur de l’homme, quelques bons comportements et quelques bons principes. Fondamentalement, l’homme ne parvient pas à être à la hauteur de la norme de l’exigence de Dieu, celle qui lui demande d’être l’intendant de toutes choses et de devenir le maître de toutes choses. N’en est-il pas ainsi ? Fondamentalement, l’homme ne parvient pas à être à la hauteur de cela. Si on forçait l’homme, qui a traversé la loi et l’ère de la Grâce, à faire ce que Dieu lui demande de faire, l’homme serait seulement capable de s’investir dans toutes choses par le biais de la loi, ou de la grâce et des bénédictions qui lui ont été accordées à l’ère de la Grâce. C’est très en deçà des exigences de Dieu, selon laquelle l’homme devrait être l’intendant de toutes choses, et l’humanité n’est vraiment pas à la hauteur pour ce qui est d’accomplir les choses que Dieu lui demande de faire et de la responsabilité et du devoir qu’Il lui demande d’assumer. L’homme ne peut tout simplement pas satisfaire à la norme de l’exigence de Dieu, ni être à sa hauteur, norme selon laquelle il devrait être le maître de toutes choses et le maître de la prochaine ère. Par conséquent, à l’étape finale de Son œuvre, Dieu exprime, à l’intention de l’homme, et lui dit toutes les vérités dont l’humanité a besoin et tous les principes de pratique dont elle a besoin, dans tous leurs aspects, pour que l’homme puisse savoir ce que sont les normes des exigences de Dieu, comment il doit s’investir dans toutes choses, comment il doit considérer toutes choses, comment il doit être l’intendant de toutes choses, quel devrait être son mode d’existence, et de quelle manière il devrait vivre devant Dieu, comme un véritable être créé sous le règne du Créateur. Quand l’homme aura compris ces choses, il saura également ce que sont les exigences de Dieu à son égard. Quand il aura accompli ces choses, il aura aussi satisfait aux normes des exigences de Dieu vis-à-vis de lui. Étant donné que la loi, les commandements et les critères simples de comportement ne remplacent pas la vérité, Dieu exprime un grand nombre de paroles et de vérités dans les derniers jours, qui ont à voir avec la pratique de l’homme, son comportement et ses actes, ainsi que ses opinions sur les gens et les choses. Dieu dit à l’homme comment considérer les gens et les choses, et comment se comporter et agir. Que Dieu dise tout cela à l’homme, qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire que Dieu te demande de considérer les gens et les choses, de te comporter et d’agir conformément à toutes ces vérités, et ainsi, de vivre dans le monde. Quelle que soit la sorte de devoir que tu accomplis et quelle que soit la sorte de mandat que tu acceptes de Dieu, Ses exigences vis-à-vis de toi ne changent pas. Une fois que tu as compris les exigences de Dieu, tu dois pratiquer, faire ton devoir et accomplir le mandat que Dieu t’a confié, conformément à Ses exigences telles que tu les comprends, qu’Il soit à tes côtés ou non et qu’Il te scrute ou non. C’est seulement de cette façon que tu pourras vraiment devenir un maître de toutes choses auquel Dieu fait confiance, qui est qualifié et qui est digne de Son mandat. Tout ceci ne concerne-t-il pas la question de savoir pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? (Si.) Comprenez-vous, maintenant ? Voilà les faits que Dieu fera apparaître. Donc, poursuivre la vérité ne concerne pas simplement le fait de se débarrasser de son tempérament corrompu et de ne pas résister à Dieu. Il y a une plus grande signification et une plus grande valeur dans la poursuite de la vérité dont nous parlons. Véritablement, cela concerne la destination et le destin de l’homme. Comprenez-vous ? (Oui.) Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? Dans un sens restreint, cette question est abordée par ces doctrines les plus élémentaires que l’homme comprend. Dans un sens plus important, la raison principale est que, pour Dieu, poursuivre la vérité implique Sa gestion, les attentes qu’Il a vis-à-vis de l’humanité et les espoirs qu’Il met en l’humanité. C’est là une partie du plan de gestion de Dieu. On peut voir là que, qui que tu sois et quelle que soit la durée de ta croyance en Dieu, si tu ne poursuis pas la vérité ou si tu ne l’aimes pas, tu finiras inévitablement par être celui qui doit être éliminé. C’est évident. Il y a trois étapes dans l’œuvre que Dieu accomplit. Dieu a eu un plan de gestion depuis qu’Il a créé l’humanité et Il a mis en place chacune des étapes de ce plan, l’une après l’autre, dans l’humanité, et Il a guidé l’humanité, pas à pas, jusqu’au moment présent. Comme Ses efforts minutieux et le prix qu’Il a payé sont formidables, et comme Il a enduré pendant longtemps, en vue de l’objectif ultime d’œuvrer sur l’homme les vérités qu’Il exprime et chaque facette des critères de Ses exigences, qu’Il dit à l’humanité, transformant tout cela en la vie et la réalité de l’homme. Tel que Dieu voit les choses, c’est une question tellement importante. Dieu y accorde une telle importance. Dieu a exprimé tant de paroles, et avant cela, Il a fait beaucoup de travail préparatoire. Si, en fin de compte, tu ne poursuis pas ces paroles ou si tu n’entres pas dans ces paroles, maintenant qu’Il les a exprimées, comment Dieu te considérera-t-Il ? Quel genre de titre Dieu te donnera-t-Il ? C’est clair comme de l’eau de roche. Donc, comme toute personne, quel que soit ton calibre, quel que soit ton âge ou la durée de ta croyance en Dieu, tu dois t’efforcer de te diriger vers le chemin de la poursuite de la vérité. Tu ne devrais pas mettre l’accent sur la moindre logique objective, tu devrais poursuivre la vérité de manière inconditionnelle. Ne perds pas ton temps. Si tu cherches la vérité et consacres tes efforts à la poursuite de la vérité en tant que grande affaire de ta vie, il se peut que la vérité que tu gagneras et que tu pourras atteindre dans ta poursuite ne soit pas ce que tu as souhaité. Mais si Dieu dit qu’Il te donnera une destination appropriée en fonction de ton attitude dans ta poursuite et de ta sincérité, alors comme ce sera merveilleux ! Pour l’instant, ne te concentre pas sur ce que seront ta destination ou ta fin, ou sur ce qui se passera et sur ce que l’avenir te réserve, ou sur le fait de savoir si tu seras ou non capable d’éviter le désastre et de ne pas mourir. Ne pense pas à ces choses et ne les recherche pas. Concentre-toi seulement sur la poursuite de la vérité dans les paroles de Dieu et dans Ses exigences, sur le fait de bien accomplir ton devoir, et de satisfaire la volonté de Dieu, pour ne pas t’avérer indigne des six mille ans d’attente de Dieu, de Ses six mille ans d’anticipation. Apporte un certain réconfort à Dieu. Laisse-Le voir qu’il y a un certain espoir pour toi, et laisse Ses souhaits se réaliser en toi. Dis-Moi, Dieu te maltraiterait-Il si tu faisais cela ? Bien sûr que non ! Et même si, en fin de compte, le résultat final n’est pas ce que l’on aurait souhaité, comment les gens devraient-ils traiter ce fait, en tant qu’êtres créés ? Ils devraient se soumettre en toutes choses aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, sans aucune arrière-pensée personnelle. N’est-ce pas le point de vue que les êtres créés devraient adopter ? (Si.) Il s’agit là du bon état d’esprit. Nous allons conclure ainsi notre échange sur l’idée principale de la raison pour laquelle l’homme doit poursuivre la vérité.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.