Paroles de Dieu quotidiennes : L'entrée dans la vie | Extrait 480

24 octobre 2023

Certains disent : « Paul a accompli un travail immense et il a assumé une lourde charge pour les Églises et a tellement contribué pour elles. Les treize épîtres de Paul ont soutenu les 2 000 ans de l'ère de la Grâce, et arrivent seulement en seconde position après les quatre Évangiles. Qui peut se comparer à lui ? Personne ne peut déchiffrer l'Apocalypse de Jean, alors que les épîtres de Paul donnent la vie et le travail qu'il a fait était bénéfique pour les Églises. Qui d'autre aurait pu réaliser de telles choses ? Quel travail Pierre a-t-il accompli ? » Quand l'homme évalue les autres, c'est en fonction de leur contribution. Lorsque Dieu évalue l'homme, Il le fait suivant la nature de l'homme. Parmi ceux qui cherchent la vie, Paul était quelqu'un qui ne connaissait pas sa propre essence. Il était loin d'être humble ou obéissant, il ne connaissait pas non plus son essence qui s'opposait à Dieu. Et donc, il était quelqu'un qui n'avait pas subi d'expériences précises et quelqu'un qui n'avait pas mis la vérité en pratique. Pierre était différent. Il connaissait ses imperfections, ses faiblesses et son tempérament corrompu en tant que créature de Dieu, et donc il avait un chemin à pratiquer par lequel changer son tempérament ; il n'était pas de ceux qui ne parlaient que de doctrine, mais ne possédaient pas la réalité. Ceux qui changent sont de nouvelles personnes qui ont été sauvées, ce sont des personnes qui sont qualifiées pour poursuivre la vérité. Ceux qui ne changent pas sont naturellement dépassés ; ce sont ceux qui n'ont pas été sauvés, c'est-à-dire ceux que Dieu déteste et rejette. Dieu ne Se souviendra pas d'eux, peu importe la qualité de leur travail. En comparant cela à ta propre quête, que tu sois, en fin de compte, du genre de Pierre ou de Paul devrait être évident. S'il n'y a toujours pas de vérité dans ce que tu cherches, et si même aujourd'hui, tu restes toujours aussi arrogant et insolent que Paul, et es toujours aussi désinvolte et prétentieux que lui, alors tu es sans aucun doute un dégénéré qui échoue. Si tu cherches comme Pierre, si tu cherches des pratiques et des changements véritables et n'es ni arrogant ni entêté, mais cherches à accomplir ton devoir, alors tu es une créature de Dieu qui peut remporter la victoire. Paul ne connaissait pas sa propre essence ou corruption, il connaissait encore moins sa propre désobéissance. Il n'a jamais fait mention de son ignoble méfiance envers Christ, il n'avait pas non plus trop de regrets. Il a seulement offert une brève explication et, au fond de son cœur, il n'était pas totalement soumis à Dieu. Bien qu'il soit tombé sur le chemin de Damas, il ne s'est pas profondément examiné. Il se contentait de travailler et ne considérait pas la connaissance de lui-même et le changement de son ancien tempérament comme les questions les plus cruciales. Il était satisfait simplement de dire la vérité, de soutenir les autres pour soulager sa propre conscience et de ne plus persécuter les disciples de Jésus pour se consoler et se pardonner à lui-même ses vieux péchés. L'objectif qu'il poursuivait n'était rien de plus qu'une future couronne et un travail temporaire, une grâce abondante. Il n'a pas cherché à connaître suffisamment la vérité, de même qu'il n'a pas cherché à aller plus en profondeur dans la vérité qu'il n'avait pas comprise précédemment. La connaissance qu'il avait de lui-même peut donc être qualifiée d'erronée, et il n'acceptait pas le châtiment ou le jugement. Qu'il ait été capable de travailler ne signifie pas qu'il possédait une connaissance de sa propre nature ou essence ; il se concentrait seulement sur les pratiques externes. Ses efforts étaient déployés, en outre, non pas vers le changement, mais vers la connaissance. Son travail était totalement la conséquence de l'apparition de Jésus sur le chemin de Damas. Ce n'était pas quelque chose qu'il avait décidé de faire au départ, non plus le travail qui s'était présenté après qu'il eut accepté l'émondage de son ancien tempérament. Peu importe la façon dont il a travaillé, son ancien tempérament n'a pas changé, et ainsi, son travail n'a pas expié ses vieux péchés, mais a simplement joué un certain rôle au sein des Églises de l'époque. Pour un tel homme, dont l'ancien tempérament n'a pas changé – c'est-à-dire, qui n'a pas reçu le salut et avait encore moins la vérité –, il a été absolument impossible qu'il soit accepté par le Seigneur Jésus. Ce n'était pas quelqu'un rempli d'amour et de révérence pour Jésus-Christ ni enclin à chercher la vérité, encore moins quelqu'un qui cherchait à comprendre le mystère de l'incarnation. C'était simplement quelqu'un doué en sophisme et qui ne voulait se rabaisser devant quiconque qui aurait été plus grand que lui ou qui aurait possédé la vérité. Il jalousait les gens ou les vérités qui étaient en contradiction avec lui ou qui lui étaient hostiles, préférant ces personnes douées qui étaient de grandes figures et détenaient des connaissances approfondies. Il n'aimait pas interagir avec les pauvres qui cherchaient le vrai chemin et ne se souciaient que de la vérité, et à la place s'intéressait aux grandes figures des organisations religieuses qui ne parlaient que de doctrines et qui débordaient de connaissances. Il n'avait aucun amour pour la nouvelle œuvre du Saint-Esprit et ne se souciait pas du mouvement de la nouvelle œuvre du Saint-Esprit. Au contraire, il était favorable à ces règles et doctrines qui étaient supérieures aux vérités absolues. Dans son essence propre et l'intégralité de ce qu'il cherchait, il ne mérite pas d'être appelé un chrétien à la recherche de la vérité, encore moins un serviteur fidèle dans la maison de Dieu, car son hypocrisie dépassait les bornes et sa désobéissance était trop grande. Bien qu'il soit connu comme un serviteur du Seigneur Jésus, il n'était absolument pas apte à franchir la porte du royaume des cieux, car ses actions, du début à la fin, ne peuvent être qualifiées de justes. Il peut simplement être considéré comme quelqu'un d'hypocrite, et qui a causé de l'injustice, mais qui a également travaillé pour Christ. Bien qu'on ne puisse le qualifier de mauvais, il peut convenablement être qualifié de quelqu'un qui a causé de l'injustice. Il a accompli beaucoup de travail, mais il ne doit pas être jugé sur la quantité de travail qu'il a accompli, mais seulement sur sa qualité et son essence. C'est seulement de cette manière qu'il est possible d'aller au fond de cette question. Il a toujours pensé : « Je suis capable de travailler, je suis meilleur que la plupart des gens ; le fardeau du Seigneur m'importe plus qu'à quiconque, et personne ne se repent aussi profondément que moi, car la grande lumière a brillé sur moi, et je l'ai vue, et ainsi mon repentir est plus profond que tout autre. » À l'époque, c'est ce qu'il pensait dans son for intérieur. Au terme de son travail, Paul a dit : « J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, et la couronne de justice m'est réservée. » Son combat, son travail et sa course visaient totalement la couronne de justice, et il n'allait pas activement de l'avant. Bien qu'il ne fût pas superficiel dans son travail, on peut dire que son travail consistait tout simplement à se rattraper de ses erreurs, des accusations de sa conscience. Il espérait seulement achever son travail, terminer son parcours et mener son combat le plus tôt possible afin de pouvoir recevoir au plus tôt sa couronne de justice tant désirée. Ce qu'il souhaitait ardemment, ce n'était pas de rencontrer le Seigneur Jésus avec ses expériences et sa vraie connaissance, mais de terminer son travail le plus tôt possible afin de pouvoir recevoir les récompenses que lui avait values son travail quand il rencontrerait le Seigneur Jésus. Il utilisait son travail pour se consoler et pour conclure un accord en échange d'une future couronne. Ce qu'il cherchait, ce n'était pas la vérité ni Dieu, mais seulement la couronne. Comment une telle quête peut-elle satisfaire la norme ? Sa motivation, son travail, le prix qu'il a payé et tous ses efforts, tout ceci était rempli de ses rêves merveilleux et il a travaillé entièrement selon ses propres désirs. Dans tout son travail, il n'y avait pas la moindre volonté dans le prix qu'il a payé ; il concluait simplement un accord. Ses efforts n'étaient pas faits de son plein gré afin d'accomplir son devoir, mais ils étaient faits volontiers pour atteindre l'objectif de l'accord. Ces efforts ont-ils aucune valeur ? Qui pourrait faire l'éloge de ses efforts impurs ? Qui a un intérêt dans ces efforts ? Son travail était plein de rêves d'avenir, plein de plans merveilleux, et n'offrait aucun chemin par lequel changer le tempérament de l'homme. Une grande partie de sa générosité était feinte ; son travail ne donnait pas la vie, mais était une imposture de civilité ; c'était la conclusion d'un accord. Comment un travail de ce genre peut-il conduire l'homme sur le chemin du rétablissement de son devoir initial ?

– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte

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