Dieu a dit toutes Ses paroles, mais personne ne les suit,

prenant du retard sur les pas de l'Agneau.

Ils n'ont pas pratiqué ou prié comme il se doit,

n'ont pas respecté ou rejeté ce qu'ils devaient.

Donc assister au banquet n'a aucun sens.

Les gens n'ont pas du tout rempli leur devoir.

Tout dépend des actes et des paroles de Dieu,

l'homme n'est guère utile, incapable d'œuvrer avec Dieu.

Dieu a dit des centaines de milliers de paroles,

mais les gens n'en ont mis aucune en pratique.

Renoncer à la chair, rejeter des notions,

obéir, acquérir des connaissances,

ne pas donner aux gens une place dans leur cœur,

supprimer les idoles, les mauvaises intentions,

agir de manière juste, sans parti-pris,

penser aux intérêts de Dieu et à l'influence de leurs mots,

favoriser la maison de Dieu dans leurs actes,

être plus bénéfiques à Son œuvre, sans suivre leurs émotions,

rejeter les plaisirs de la chair, les pensées égoïstes,

les gens n'ont pas mis cela en pratique.

L'homme comprend certaines exigences de Dieu,

mais ne veut pas les mettre en pratique.

Que peut-Il faire de plus, comment les toucher davantage ?

Comment les rebelles osent-ils admirer les paroles de Dieu ?

Comment osent-ils manger la nourriture de Dieu ?

Où est leur conscience ?

Ils n'accomplissent même pas leurs simples devoirs.

Vivent-ils dans un monde illusoire ?

Dieu a dit des centaines de milliers de paroles,

mais les gens n'en ont mis aucune en pratique.

Renoncer à la chair, rejeter des notions,

obéir, acquérir des connaissances,

ne pas donner aux gens une place dans leur cœur,

supprimer les idoles, les mauvaises intentions,

agir de manière juste, sans parti-pris,

penser aux intérêts de Dieu et à l'influence de leurs mots,

favoriser la maison de Dieu dans leurs actes,

être plus bénéfiques à Son œuvre, sans suivre leurs émotions,

rejeter les plaisirs de la chair, les pensées égoïstes,

les gens n'ont pas mis cela en pratique.

On ne peut parler de réalité sans pratique.

C'est aussi simple que cela !

Extrait de « Suivre l'Agneau et chanter des cantiques nouveaux »