Qu’est-ce que pratiquer la vérité ?
Beaucoup de gens écoutent des sermons pendant de nombreuses années, mais ne comprennent pas ce qu’est la vérité, ni sur quel aspect de la vérité ils devraient concentrer leurs efforts. Ils se contentent d’écouter, et c’est tout. Ils sont toujours négligents, comme des gens irréfléchis et sans cœur. Il n’est pas étonnant qu’ils aient cru en Dieu pendant plusieurs années, mais soient restés dépourvus de témoignage d’expérience. Quelqu’un qui poursuit vraiment la vérité doit réfléchir sur lui-même : ce que je dis et fais est-il conforme à la vérité ? Qu’est-ce qu’il me manque ? Quelles lacunes dois-je combler ? Dans quelle mesure accomplis-je mon devoir ? Suis-je capable d’agir conformément aux principes ? Si tu ne sais pas tout cela clairement, alors tu n’es pas une personne qui poursuit la vérité. Si tu souhaites poursuivre et gagner la vérité, tu dois fréquemment lire et contempler les paroles de Dieu. Quel que soit le devoir que tu accomplis, tu dois contempler et comprendre les vérités que tu as besoin d’appréhender, et tu dois être capable de pratiquer toutes les vérités que tu comprends et d’en faire l’expérience. Tu dois toujours te demander : « Ai-je pratiqué cette vérité ? L’ai-je pénétrée ? À quels aspects de la vie cette vérité fait-elle référence ? À quels environnements ? À quelles circonstances ? » Ces questions doivent être ancrées dans ton cœur et tu dois essayer de les comprendre pendant ton temps libre. Si tu y réfléchis, mais que tu ne comprends pas, tu dois alors lire en priant, venir devant Dieu et Lui ouvrir ton cœur. La plupart des gens n’ont pas le cœur fixé sur la vérité dans leur croyance en Dieu. Où est leur cœur ? Il est toujours fixé sur des questions extérieures, excessivement préoccupé par des questions de vanité et d’orgueil, de bien et de mal. Ils ne savent pas ce qui est en rapport avec la vérité et ce qui ne l’est pas, et ils se disent : « Tant que je fais des choses dans la maison de Dieu, que je cours partout et que j’endure des difficultés pour accomplir mon devoir, alors je pratique la vérité. » C’est faux. Pratique-t-on la vérité quand on fait des choses pour la maison de Dieu, en courant partout et en endurant des difficultés ? Y a-t-il un fondement quelconque à cette affirmation ? Endurer des difficultés tout en faisant des choses et pratiquer la vérité sont deux choses différentes. Si tu ne sais pas ce qu’est la vérité, comment pourrais-tu la pratiquer ? N’est-ce pas absurde ? Tu agis en suivant des notions et l’imagination humaines, tu es dans un état confus, faisant les choses selon tes propres idées. Ton cœur est désorienté, sans but, sans direction, sans principe. Tu te contentes de faire des choses et d’endurer des difficultés pendant que tu fais ces choses. Quel est le rapport avec la pratique de la vérité ? Si les gens ne comprennent pas la vérité, quoi qu’ils fassent et quelles que soient les difficultés qu’ils endurent, ils sont loin de pratiquer la vérité. Les gens agissent toujours en suivant leur propre volonté, et seulement pour que les choses soient faites. Ils ne se demandent pas du tout si leurs actes sont conformes aux vérités-principes ou non. Si tu ne sais pas si ce que tu fais est conforme à la vérité, alors tu ne pratiques certainement pas la vérité. Certains diront peut-être : « Je fais des choses pour l’Église. N’est-ce pas là pratiquer la vérité ? » C’est tout simplement faux. Faire des choses pour l’Église signifie-t-il que l’on pratique la vérité ? Pas nécessairement. Cela ne peut être déterminé qu’en regardant s’il y a ou non des principes dans les actes de cette personne. S’il n’y a pas de principes dans ce qu’elle fait, alors peu importe pour qui elle le fait, elle ne pratique pas la vérité. Même si elle fait quelque chose de bien, cela doit être fait conformément aux vérités-principes pour être qualifié de pratique de la vérité. Si elle viole les principes, alors le bien qu’elle fait, quel qu’il soit, est simplement un bon comportement, ce n’est pas à la hauteur de la pratique de la vérité. Actuellement, il y a beaucoup de gens qui ne s’efforcent jamais d’atteindre les vérités-principes quand ils accomplissent leurs devoirs, ce qui signifie qu’ils ne font que rendre service. Si une personne ne s’efforce jamais d’atteindre la vérité, elle ne peut pas accomplir son devoir de manière adéquate. Les individus de ce genre ne font certainement pas partie du peuple de Dieu, on ne peut que les appeler des exécutants. S’ils persistent à rendre service jusqu’à la fin, ils pourront être considérés comme de loyaux exécutants et être autorisés à rester. Mais s’ils ont mal agi pendant qu’ils rendaient service, ils seront éliminés en cours de route, comme des ouvriers saisonniers dont on n’a plus besoin. La plupart des exécutants sont éliminés de cette manière. Leur service n’est pas aux normes, aussi ne sont-ils certainement pas capables de rester fermes.
Qu’est-ce que la pratique de la vérité ? Comment pratiquer la vérité en achevant une tâche ou en accomplissant un devoir, ou ne pas la pratiquer ? Ne pas pratiquer la vérité signifie que ce que l’on fait n’a aucun rapport avec la vérité. La personne en question peut accomplir un devoir, mais ce qu’elle fait n’a que peu de lien avec la vérité. Il s’agit juste d’une sorte de bon comportement, et cela peut être considéré comme une bonne action, mais c’est encore loin de la pratique de la vérité. Il y a une différence entre ces choses. Quelle est cette différence ? Lorsque tu fais quelque chose, tu ne fais qu’adhérer à un cadre ou à des règles. Tu ne laisses pas les intérêts de la maison de Dieu souffrir de pertes, tu cours un peu plus dans tous les sens et tu subis un peu plus de difficultés, tu as atteint ces choses et, si les exigences à ton égard ne sont pas particulièrement élevées, tu accomplis peut-être ton devoir de manière adéquate. Mais il y a autre chose à considérer : as-tu creusé et déterré les tempéraments, pensées et choses corrompus qui déplaisent à Dieu et qui sont en toi lorsque tu agis ? Es-tu parvenu à une véritable connaissance de toi en agissant ainsi et en accomplissant ton devoir ? As-tu trouvé la vérité que tu as besoin de pratiquer et dans laquelle il te faut entrer ? (Rarement. Parfois, je me compare simplement aux paroles de Dieu, j’apprends à me connaître un peu et c’est tout.) Alors, la plupart du temps, tu n’as qu’une connaissance théorique et convenue de toi-même, pas une connaissance concrète. Si tu ne poursuis pas la vérité, alors, même si tu n’as pas commis de graves erreurs ni violé de principe majeur, et que tu n’as pas activement fait le mal et que tu sembles être une bonne personne avec un peu d’humanité, tu n’auras pas encore pratiqué ou gagné la vérité, et ton manque d’erreurs et ton apparence d’humanité ne sont pourtant pas la même chose qu’être conforme à la vérité ou la pratiquer. Ces choses sont éloignées et distinctes de la pratique de la vérité. Après avoir cru en Dieu pendant plusieurs années, beaucoup découvrent qu’ils sont des exécutants typiques. Ils se demandent comment ils sont devenus des exécutants, mais ils ont beau ruminer, la réponse ne leur vient pas. Lorsque les gens commencent juste à croire en Dieu, ils n’ont pas l’intention d’être des exécutants. Ils comptent être de bons croyants, parvenir à une compréhension de la vérité et, finalement, être sauvés et entrer dans le royaume des cieux, ou du moins être capables de survivre. Ils pensent également qu’en tant que croyants, ils doivent craindre Dieu, s’éloigner du mal et se soumettre à Dieu. Comment se fait-il qu’ils deviennent des exécutants sans s’en rendre compte ? C’est parce que tu n’es jamais capable de pratiquer la vérité ou d’entrer dans la vérité-réalité dans ton devoir et dans les environnements que Dieu a arrangés pour toi : tu es toujours en train de fournir des efforts au lieu d’accomplir ton devoir. Voilà la raison. Ainsi, après avoir accompli ton devoir pendant un certain temps, tu te calmes et tu te dis : « Qu’ai-je gagné pendant cette période ? Un jour, quand je suis sorti, j’ai failli rencontrer un danger, mais Dieu m’a protégé. » Voir que Dieu t’a protégé équivaut-il à Le connaître ? Ces choses ne peuvent pas t’inspirer au point d’augmenter ta foi en Dieu, ni te permettre d’avoir une vraie compréhension de ton propre tempérament corrompu, et de ta propre nature-essence. En repensant à la manière dont tu as accompli ton devoir pendant cette période, as-tu fais un quelconque progrès dans ton entrée dans la vie ? Si tu mets la vérité en pratique en accomplissant ton devoir et agis conformément aux principes, alors tu progresseras certainement. Si tu dis : « En ce qui concerne le côté positif des choses, la vérité de la connaissance de Dieu est profonde. Je ne l’ai pas encore vraiment comprise et je n’en ai pas encore appris grand-chose. Mais en ce qui concerne le côté négatif des choses, je sais que les tempéraments corrompus les plus difficiles à identifier sont le tempérament corrompu des gens tel qu’exposé par Dieu : leur essence qui est hostile à Dieu et Lui résiste, leur nature et leur malhonnêteté, ainsi que le tempérament corrompu caché au plus profond du cœur des gens et que Dieu a exposé. Je ne pouvais pas associer cela à moi-même auparavant, mais maintenant, j’en suis venu à le comprendre et à établir ce lien, et mon cœur en a une certaine perception. » C’est un progrès. Tu as ces sentiments et, lorsque tu te calmeras et que tu essaieras d’y réfléchir attentivement, tu t’apercevras que ton expérience de croyance en Dieu pendant plusieurs années est très superficielle, et tu verras qu’il te manque beaucoup de choses. Tu as une certaine compréhension de la vérité de ta propre corruption, mais tu commences à peine à te repentir. Tu pèches moins, et tu montres quelques petits changements dans ton comportement, mais c’est encore bien loin d’un changement d’un tempérament de vie. Quand tu auras quelques années d’expérience supplémentaires, et une compréhension plus profonde de ton tempérament corrompu et quelques changements dans ton tempérament de vie, alors, tu sentiras finalement que tu as reçu un grand salut de Dieu, et tu diras : « Les paroles de Dieu qui exposent l’homme sont vraies, et je dis Amen aux paroles de Dieu. Ses paroles sont la vérité, et comme elles sont vraies ! » Lorsque les gens ne se connaissent pas eux-mêmes, ils disent tous : « D’autres peuvent trahir Dieu, mais je ne le ferai jamais. D’autres peuvent renoncer à Dieu, mais je ne le ferai jamais. » Ces mots ne sont-ils pas creux ? Révélés par les faits, les gens sentent qu’ils ne sont vraiment pas fiables, qu’ils ont besoin que Dieu s’occupe d’eux et les protège, qu’ils ne peuvent vraiment pas se passer des soins de Dieu, que ce n’est que par la grâce et la miséricorde de Dieu que les gens ont survécu jusqu’à ce jour, et qu’ils n’ont pas de quoi se vanter. Si tu as ce sentiment, il vient de ton expérience, et non pas d’autres personnes qui te l’auraient inculqué. Il vient de ce que tu as personnellement vécu et expérimenté. Ces choses sont vraiment concrètes et profondes, bien plus concrètes que les grands mots vides si souvent prononcés par les gens. Lorsque tu auras ce genre d’expérience et que ton cœur aura ce sentiment, alors il aura soif de Dieu, de Ses paroles et de la vérité. Tu auras l’inspiration pour chérir les paroles de Dieu, pour les mettre en pratique et en faire l’expérience, et tu feras un pas de plus vers Dieu dans ta relation avec Lui. C’est la preuve que tu es déjà sur la bonne voie de la foi en Dieu, et que tu as commencé à entrer dans la vérité-réalité. Ces personnes qui ne font que prêcher formules et doctrines, et théories vides sont rejetées toujours plus loin, devenant de plus en plus isolées et couvertes de honte dans la maison de Dieu. Elles doivent réfléchir sur elles-mêmes et il est temps pour elles de se réveiller.
Quels sont les critères permettant de mesurer si quelqu’un possède la vérité-réalité ? Ou de voir si quelqu’un pratique la vérité ? Quand il lui arrive quelque chose, vous devez observer quelle est son attitude envers Dieu, s’il est capable de chercher la vérité, s’il a une vraie connaissance de lui-même, s’il est capable de craindre Dieu et de s’éloigner du mal. En ayant une vision claire de ces choses, tu peux déterminer s’il pratique la vérité ou possède la vérité-réalité. Si quelqu’un prêche toujours formules et doctrines, et débite des paroles pompeuses quand il lui arrive quelque chose, il est clair qu’il n’a pas la vérité-réalité. Lorsque des choses arrivent à quelqu’un qui n’a pas la vérité-réalité, peut-il mettre la vérité en pratique ? C’est impossible. Il peut dire : « Cette chose est arrivée, je me soumets à Dieu ! » Pourquoi veux-tu te soumettre à Dieu ? Le principe est bon, mais il se peut que tu agisses en fonction de tes sentiments, avec une méthode que tu as pesée et décidée toi-même. Tu parles de te soumettre à Dieu mais, au fond, tu doutes toujours de tout ce que fait Dieu. Tu ne comprends pas pourquoi Dieu agit comme Il le fait, pourtant tu ne cesses de te dire que tu dois te soumettre à Lui, alors qu’en fait tu n’en as pas l’intention. Tu sembles, en apparence uniquement, ne pas résister, ne pas te plaindre et faire ce qu’on te dit. Tu as l’air de t’être soumis, mais ce genre de soumission n’est que pure forme –, une simple adhésion aux règlements. Tu ne pratiques pas la soumission. Tu dois extraire et disséquer le tempérament corrompu qui t’empêche de te soumettre, et le comparer aux paroles de Dieu. Si tu obtiens une vraie connaissance de ton tempérament corrompu, si tu peux vraiment comprendre Dieu et savoir pourquoi Il agit de la manière dont Il le fait, si tu peux comprendre cela complètement, alors tu peux te soumettre à Dieu. Tu diras : « Peu importe l’ampleur de la souffrance, peu importe la faiblesse ou la tristesse que je ressens, je ne serai pas négatif et je me soumettrai à Dieu parce que je sais que ce que Dieu fait est bon et que tout ce qu’Il fait est juste. Il ne ferait rien de mal. » Lorsque tu atteindras cela, ton problème sera complètement résolu. Certains ne cherchent pas la vérité et ne résolvent pas les problèmes de cette manière. Ils se contentent de prêcher formules et doctrines, et ils ont l’air de tout comprendre, mais lorsqu’une vraie difficulté se présente à eux, et bien qu’ils le souhaitent, ils ne peuvent pas mettre la vérité en pratique. Plaintes et incompréhensions persistent dans leurs cœurs, pourtant, ils ne cherchent pas la vérité pour résoudre le problème. Ces plaintes et incompréhensions sont cachées à l’intérieur des gens. En fait, elles sont un cancer et surgiront dans un environnement propice. Avant que cela n’arrive, les gens ne peuvent pas les ressentir, et ils pensent qu’ils comprennent toute la vérité et qu’ils n’ont pas de difficultés. Mais lorsque quelque chose leur arrive plus tard, ils sont incapables de mettre la vérité en pratique. Cela prouve que tu n’as pas une vraie foi en Dieu et que tu ne comprends pas vraiment la vérité. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que tu peux prêcher quelques formules et doctrines, et simplement adhérer à quelques règlements. Bien que tu puisses parfois te soumettre, il s’agit d’une soumission à des règlements et c’est une soumission très limitée. S’il t’arrive quelque chose qui ne correspond pas à tes notions, tu seras incapable de te soumettre. Cela montre que tu n’es pas une personne qui peut vraiment se soumettre à Dieu et que ton tempérament corrompu est non résolu et inchangé. Tu dois connaître ton tempérament corrompu à la lumière des choses qui t’arrivent, et tu dois connaître, comprendre et faire preuve de considération envers tout ce que Dieu fait. Après cela, tu dois atteindre la soumission véritable et volontaire et peu importe ce qui t’arrive, ou à quel point cela ne correspond pas à tes notions, tu dois être capable de te soumettre. C’est le niveau à atteindre pour être quelqu’un qui se soumet vraiment à Dieu et qui a vraiment changé.
La plupart des gens qui croient en Dieu depuis des années ne savent pas ce que c’est que de se soumettre à Lui. Ils savent seulement comment énoncer formules et doctrines, mais ignorent ce qu’est pratiquer la vérité, ou comment pratiquer la vérité pour se soumettre à Dieu. Pourquoi ? Certains se soumettent toujours à Dieu selon leurs propres notions et leur propre imagination, et lorsque ce que Dieu dit ne correspond pas à leurs notions, ils ne peuvent se résoudre à se soumettre. Des notions et des incompréhensions à propos de Dieu surgiront alors en eux et ils ne chercheront pas la vérité. S’ils étaient vraiment des gens qui se soumettent à Dieu, ils seraient capables de le faire, que les paroles de Dieu s’accordent ou non avec les notions humaines, parce que la soumission de l’homme à Dieu est parfaitement naturelle et justifiée. Si l’on pratique de cette manière, on se soumet à Dieu, et si l’on parvient à comprendre la vérité grâce à cette pratique, on a alors la réalité de la soumission à Dieu. Lorsque les gens, pour la plupart, essaient de pratiquer la vérité, ils ne pratiquent que la doctrine littérale des paroles de Dieu et pensent qu’ils pratiquent la vérité. Le fait est qu’agir de la sorte ne satisfait pas à la pratique de la vérité. Il doit y avoir des principes quant à la pratique de la vérité. Si l’on ne peut trouver les principes de la pratique, alors on ne fait que respecter des règlements, et cette pratique manque de la précision nécessaire pour agir conformément aux principes. Beaucoup de gens ne font que respecter les règlements des formules et des doctrines, et n’ont pas de principes dans leur pratique. Cela ne satisfait pas aux normes de la pratique de la vérité. Dans la religion, chacun agit selon ses propres notions et sa propre imagination et pense que c’est cela pratiquer la vérité. Ils peuvent prêcher l’amour, par exemple, ou l’humilité, mais ils ne font que répéter des mots qui sonnent bien. Leur pratique n’a pas de principe et ils ne sont pas capables de saisir les choses les plus fondamentales. Comment peut-on entrer dans la vérité-réalité si l’on pratique de cette manière ? La vérité est la parole de Dieu, la réalité est vécue par l’homme. Ce n’est que lorsque quelqu’un est capable de pratiquer la vérité et de vivre les paroles de Dieu qu’il possède la vérité-réalité. Par la pratique et l’expérience des paroles de Dieu, les gens obtiennent l’éclairage du Saint-Esprit et la véritable connaissance des paroles de Dieu. Ce n’est qu’alors qu’ils comprennent la vérité. Les personnes qui comprennent vraiment la vérité sont capables de déterminer les principes de pratique. Quand tu auras saisi les principes de la pratique, ton discours et tes actes auront des principes, et l’accomplissement de ton devoir sera conforme aux vérités-principes. C’est cela pratiquer la vérité ; c’est cela avoir la vérité-réalité. Ce n’est que lorsque tu vis la vérité-réalité que tu pratiques la vérité, et si tu ne vis pas la vérité-réalité, alors tu ne pratiques pas la vérité. Pratiquer la vérité n’est pas une question de simplement adhérer à des règlements, comme les gens l’imaginent, et l’on ne doit pas pratiquer comme on aimerait pratiquer. Dieu regarde si tu comprends vraiment la vérité durant la pratique et l’expérience de Ses paroles, et si ton discours et tes actes ont les vérités-principes. Si tu comprends la vérité et es capable de la mettre en pratique, tu auras l’entrée dans la vie. Peu importe les expériences et la connaissance que tu as des paroles de Dieu, peu importe l’appréciation que tu en as, toutes ces choses sont directement liées à ton entrée dans la vie. Si tu as fait l’expérience de beaucoup de choses, échoué de nombreuses fois, appris des leçons sincères et eu des expériences concrètes, alors tu peux sentir que tu as la vérité-réalité. Est-ce exact ? Non. Un tel sentiment est-il fiable ? Il ne l’est pas. Les gens qui ont la vérité-réalité peuvent se soumettre à Dieu et témoigner pour Lui, et il est très édifiant pour autrui d’entendre leur témoignage. Seules ces personnes peuvent être considérées comme ayant la vérité-réalité. Seule une personne qui peut obtenir la reconnaissance et l’approbation de ceux qui comprennent la vérité possède la vérité-réalité. Que tu aies la vérité-réalité dépend essentiellement de ta capacité à comprendre la vérité et à parvenir à connaître Dieu dans ta pratique et ton expérience de Ses paroles. Si ta pratique et ton expérience ne sont pas liées aux paroles de Dieu et à la vérité, alors tu n’as pas de véritable expérience de vie. Cela prouve également que ta relation avec Dieu est anormale. Pourquoi dis-Je que ta relation avec Dieu est anormale ? Parce que tu n’as ni pratique ni expérience de Ses paroles, et tu n’as pas atteint une compréhension de la vérité. Cela montre que tu n’es pas une personne qui fait l’expérience de l’œuvre de Dieu, et encore moins quelqu’un qui se soumet à Dieu. Ce n’est que si tu as cru en Dieu pendant de nombreuses années, que tu as subi de nombreuses épreuves et tribulations, que ta foi et ton amour pour Dieu ont grandi, et que tu as tenu ferme dans ton témoignage, qu’il sera démontré que tu as une véritable foi en Dieu. Une telle vraie foi doit être prouvée en restant ferme dans ton témoignage. Que tu puisses le faire ou non est crucial. Ce test détermine si tu pratiques la vérité ou non, et il révèle si tu as une vraie foi ou non. Par exemple, quelle serait ton attitude si Dieu arrange une situation et que tu vois qu’Il a l’intention de t’enlever la personne que tu aimes et chéris le plus, ou les choses qui te sont les plus chères ? Le simple fait de dire : « Oh Dieu, tout ce que Tu fais est bon. Je Te remercie et Te loue » ne signifie pas que tu peux réussir le test. Quand tu verras celui que tu aimes le plus rendre son dernier soupir, ton cœur sera à l’agonie et bouleversé, et tu diras : « Je ne peux pas vivre s’il meurt. Je mourrai avec lui car je ne peux pas être sans lui ! S’il meurt, je ne croirai plus en Dieu. » Dans ce cas, tu n’as pas la vérité-réalité et tu as été complètement révélé. As-tu une foi sincère ? La personne qui t’est chère est morte et tu ne peux pas vivre. Tu ne veux même pas de Dieu. La personne qui t’est chère est morte et tu ne te soumets même pas à Dieu. Cela prouve que celui que tu aimes et à qui tu te soumets, c’est l’homme. N’as-tu pas été révélé par cela ? Fondamentalement, tu n’es pas quelqu’un qui se soumet à Dieu, encore moins quelqu’un qui L’aime. Ton échange normal avec les autres doit être plein de paroles vides et doctrines, et non de paroles concrètes et sincères. Savoir si les doctrines dont tu parles et les slogans que tu profères découlent de ta foi et sont ta véritable compréhension sera révélé quand tu seras testé. Il s’avère que tu es un faux croyant, un imposteur et un incrédule. Ta croyance en Dieu n’est que pure forme. Ses paroles n’ont pas pris racine dans ton cœur. La forme la plus effrayante de croyance en Dieu est celle d’une personne qui comprend toutes les doctrines, mais qui n’a pas la moindre foi sincère en Dieu. Comment peut-on vérifier la foi sincère ? Principalement en voyant si une personne peut accepter la vérité et la mettre en pratique lorsque des choses lui arrivent. Si elle n’a jamais accepté la vérité, ni ne l’a mise en pratique, alors elle est déjà révélée et il n’est pas nécessaire d’attendre un test pour la révéler. Quand des choses arrivent à quelqu’un dans la vie quotidienne, on peut voir clairement s’il possède la vérité-réalité. Il y a beaucoup de gens qui, en règle générale, ne poursuivent pas la vérité, et ne mettent pas la vérité en pratique quand des choses leur arrivent. De telles personnes ont-elles besoin d’attendre qu’une épreuve les révèle ? Absolument pas. Au bout d’un certain temps, si elles ne changent pas, c’est qu’elles ont déjà été révélées. Si elles sont émondées, mais n’acceptent toujours pas la vérité et restent obstinément impénitentes, c’est qu’elles ont été d’autant plus révélées, et devraient être exclues et éliminées. Ceux qui, en règle générale, ne se concentrent pas sur l’acceptation de la vérité ou sa mise en pratique sont tous des incrédules, et ne doivent être en charge d’aucun travail, ni assumer une quelconque responsabilité. Quelqu’un qui n’a pas la vérité peut-il tenir ferme ? Est-il important de mettre la vérité en pratique ? Regarde simplement ces gens qui n’ont jamais pratiqué la vérité : il ne faudra pas beaucoup d’années avant qu’ils ne soient tous révélés. Ils n’ont aucun témoignage d’expérience. Comme ils sont démunis et pitoyables, et comme ils doivent se sentir gênés !
Comment la vraie foi en Dieu advient-elle chez quelqu’un ? Elle vient de l’expérience. Comment vient-elle de l’expérience ? Si on est capable de chercher les intentions de Dieu dans chaque personne, évènement et chose que l’on rencontre, d’y réfléchir, et de Le comprendre par ce biais, alors, après beaucoup d’expériences, on parviendra progressivement à une véritable compréhension de Dieu : non pas à une compréhension verbale, mais à une connaissance intime. Le Dieu auquel ton cœur croit et que ta bouche reconnaît vit dans ton cœur, et personne ne peut Le prendre. Tout comme Job, lorsqu’il a été testé, ses amis ont dit : « Tu as péché et offensé Dieu. Vite, prie l’Éternel Dieu de te pardonner ! » Job ne pensait pas ainsi. Pourquoi ? Parce qu’après des décennies de vie, sa compréhension de Dieu n’était pas basée sur l’expérience. Il n’a pas dit : « Dieu bénit l’homme et est miséricordieux envers lui, et Il ne le prive jamais. » Ce qu’il avait expérimenté était que Dieu donne à l’homme, mais qu’Il ôte aussi. Quand Il donne des choses à l’homme, Il lui arrive aussi de châtier, discipliner et punir. Ce que Dieu fait aux gens n’est pas dicté par l’esprit, la pensée ou l’imagination des humains. Ainsi, les dizaines d’années d’expérience de vie de Job l’ont amené à conclure que « l’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). En d’autres termes, tout ce que Dieu fait, que ce soit considéré comme bon ou mauvais aux yeux de l’homme, fait partie de Ses orchestrations. Même si de mauvaises choses devaient se produire, Satan n’oserait pas agir contre l’homme sans la permission de Dieu. L’humanité est entre les mains de Dieu et, sous Sa souveraineté, elle n’a rien à craindre. Même si tu tombais entre les mains de Satan, ce serait toujours sous la souveraineté de Dieu, et Satan n’oserait pas te toucher sans la permission de Dieu. Job avait ce niveau de compréhension et ne s’est donc pas plaint, quoi que Dieu ait fait. Il voyait clairement que seul l’Éternel Dieu est le vrai Dieu qui est souverain sur tout, et que tous ces anges, ces esprits malfaisants et ces démons ne sont pas Dieu. Qui est souverain sur tout ? Qui est souverain sur l’humanité et sur tout ce qui est ? Dieu. Pour reprendre une expression courante, Dieu est le plus grand. La famille d’une personne, son niveau de prospérité, le fait qu’elle passe ses jours dans le confort ou la douleur, ainsi que sa durée de vie –, tout cela est entre les mains de Dieu. Job en a fait l’expérience profonde, et pas seulement une ou deux fois dans sa vie. Chaque fois que quelque chose se produisait, s’il pouvait comprendre que cela s’était produit dans le cadre de la souveraineté de Dieu, cela se gravait profondément dans sa mémoire. Cela lui a donné la perception et le sentiment profonds que ces choses n’arrivaient pas par hasard, par la volonté de l’homme ou par celle de Satan, mais que c’était l’œuvre de Dieu, et il ne pouvait pas se plaindre. Qu’a compris Job lorsqu’il a traversé de si grandes épreuves ? Que Dieu est suprême, que Dieu est sage. Il pouvait toujours louer Dieu, quoi que Dieu fasse. Si de telles choses t’arrivent, mais que tu ne les comprends pas, ne juge pas et n’impose pas tes propres conclusions. Si tu ne sais pas ce qu’est la bonne volonté de Dieu, cherche-la, attends, puis soumets-toi. C’est la meilleure façon de pratiquer, et le meilleur chemin de pratique, sinon tu seras humilié et honteux. Job avait une intime connaissance empirique de ces choses. Si tu comprends toujours mal Dieu, tu ne seras jamais capable de gagner la vérité et tu perdras les bénédictions de Dieu. Même si tu subis de nombreuses difficultés, tu n’obtiendras rien parce que ta relation avec Dieu est anormale, que tu ne traites pas Dieu comme Dieu, que tu ne comprends pas Son œuvre et que tu ne te soumets pas vraiment à Lui. À cause de cela, tu ne seras pas capable d’atteindre la vraie connaissance de Dieu. Dieu parle et œuvre, et quels que soient les efforts minutieux qu’Il paye pour toi, quel que soit l’environnement qu’Il crée pour toi, c’est en fin de compte pour que tu puisses connaître Dieu. Une fois que tu connais Dieu, ta relation avec Lui deviendra plus étroite et plus normale. Dieu n’agit pas sans raison et Il joue encore moins avec quelqu’un par ennui, et il est normal que les gens ne comprennent pas comment Il œuvre. Mais ils devraient chercher la vérité et, à tout le moins, ne pas Dieu dans une boîte. Voilà ce que signifie être une personne raisonnable. Comme l’a dit Pierre, peu importe si Dieu traite les gens comme des jouets, et peu importe de quelle façon Il les traite, Il a toujours raison. « Si Dieu me traitait comme un jouet, comment pourrais-je ne pas être prêt et d’accord ? » Qu’est-ce qui a conduit Pierre à dire ces mots ? (L’expérience de Pierre a conduit à ces mots. Il s’est rendu compte que, quoi que Dieu fasse, Ses intentions sont toujours bonnes.) Parfois, tu ne perçois pas les intentions de Dieu. Alors, que dois-tu faire ? Tu dois attendre, les chercher et essayer de les reconnaître. Bien que Job et Pierre aient vécu à des époques différentes, qu’ils aient appartenu à des milieux différents, vécu des choses différentes et parlé avec des mots différents, leurs chemins de pratique et leurs manières de pratiquer étaient les mêmes, et leur attitude envers Dieu lorsque des choses se produisaient était la même. C’est simplement qu’ils utilisaient un langage différent pour exprimer cette idée. Mais que comprennent les gens de cela ? Que tu dois pratiquer la soumission, tout en cherchant et en attendant de voir ce que Dieu désire. Ne sois pas anxieux. Il est bon d’avoir d’abord cette attitude. Si tu es trop anxieux quand des choses arrivent et que tu ne sais pas chercher la vérité, mais ne cesse de te plaindre de Dieu, alors tu auras des ennuis. Certains disent : « Je ne comprends pas ! Pourquoi Dieu nous traite-t-Il ainsi ? Je ne peux pas me soumettre si nous sommes traités comme des démons et des Satans. C’est déraisonnable et injustifiable ! » Mérites-tu encore la direction de Dieu quand ton esprit, tes notions, ton imagination, ta rébellion et ta désobéissance d’humain se déchaînent ? La soumission n’est pas aussi simple que de dire qu’on se soumet, de prêcher la doctrine ou d’exprimer un peu de détermination, en ayant un peu de retenue. Ce n’est pas si simple. Si tu te soumets à Dieu, ta récompense ultime est de Le connaître, de comprendre les environnements qu’Il met en place pour toi, et de posséder une réelle connaissance empirique. En d’autres termes, tu comprendras le cœur de Dieu et Son intention sincère, et Sa déception à voir le fer imparfait ne pas devenir de l’acier. Dieu ne veut pas te voir vivre avec des tempéraments corrompus, mais veut que tu t’en échappes. Il doit donc utiliser avec toi des méthodes telles que le jugement et le châtiment, l’émondage, la réprimande et la discipline, à tel point qu’il semble que Dieu Se montre insensible à l’égard de tes sentiments, qu’Il te condamne et te punisse, ou qu’Il Se joue de toi. Que fais-tu alors ? Si tu peux comprendre l’intention sincère de Dieu, même lorsqu’Il agit de cette manière, alors c’est suffisant – tu te soumettras vraiment. Pendant sa mise à l’épreuve, Job a dit : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » Comment comprenait-il cette question ? « Tout ce que j’ai m’a été donné par l’Éternel Dieu, et Il peut me l’ôter s’Il le veut, parce qu’Il est Dieu et qu’Il a ce pouvoir. Je n’ai pas le droit de refuser, car tout ce que j’ai vient de Lui. » C’est ce que Job a compris et expérimenté. Quelle était sa résolution à ce moment-là ? « Je dois comprendre Dieu, faire des choses raisonnables et être une personne raisonnable. Tout cela m’a été donné par Dieu et Il peut me l’ôter à tout moment. Je ne peux pas essayer de raisonner avec Dieu à ce sujet ; agir ainsi serait se rebeller contre Lui. Rejeter les actes de Dieu blesserait Son cœur, et je ne serais ni une personne véritablement bonne ni un être créé véritable si je le faisais. » C’est ainsi qu’il pratiquait à l’époque, et quels résultats cette pratique lui a-t-elle apportés ? En fait, le véritable résultat n’était pas qu’il se soit enrichi, qu’il ait eu plus de bétail et de moutons qu’avant ou qu’il ait eu plus de beaux enfants qu’avant. Ce ne sont là que des choses données par la grâce de Dieu. À travers cette expérience, ce que Dieu lui a en fait accordé, c’est une meilleure compréhension de Lui, la soumission, une relation plus étroite avec Lui, et une plus grande proximité avec Son cœur. Job a pu comprendre tout ce que Dieu faisait, et n’a plus prononcé de paroles absurdes ou présomptueuses, ni de paroles qui blessent le cœur de Dieu. N’est-ce pas cela que signifie se libérer de son tempérament corrompu ? Satan ne peut plus te contrôler ; tu n’es plus sous son contrôle, mais sous celui de Dieu. Tu peux te soumettre quoi que Dieu fasse, et tu Lui appartiens. C’est l’état dans lequel se trouvait Job à ce moment-là, et l’attitude qu’il avait. De plus, parce qu’il a agi de cette manière et est entré dans cette réalité, Dieu lui est finalement apparu. L’apparition de Dieu, quelle que soit la forme qu’elle a prise, a-t-elle permis à Job d’approfondir sa compréhension de Dieu ? (Oui.) Oui, elle a assurément approfondi sa compréhension. Entendre parler de Dieu dans les légendes, confirmer Son existence et Le voir : quelle est, selon vous, la plus grande bénédiction pour l’humanité, comparée à la grâce que Dieu donne ? (Voir Dieu est la plus grande bénédiction.) Absolument. Quand les gens croient en Dieu mais ne comprennent pas la vérité, ils demandent toujours que Dieu les protège, leur accorde Sa grâce, les élève au-dessus des autres et bénisse toute leur famille avec sécurité et bonheur. Ils demandent à pouvoir prêcher où qu’ils aillent, et que les autres les envient et les admirent. C’est ce que les gens veulent, mais ils ne sont pas conscients de la plus grande bénédiction que Dieu veut donner. Ils ne demandent que la grâce matérielle extérieure, mais toutes leurs requêtes ne font que les éloigner encore plus du cœur de Dieu. Ils perdent la plus grande chance de toutes, et ils perdent la bénédiction de Dieu. Si tu ne peux obtenir ni la connaissance de Dieu ni la vérité, peux-tu vivre en Sa présence ? Peux-tu vraiment te soumettre à tous les arrangements de Dieu ? C’est absolument impossible.
Le processus de mise en pratique de la vérité et d’entrée dans la vérité-réalité est en fait un processus de compréhension de soi, et un processus par lequel on se débarrasse de son tempérament corrompu. C’est aussi un processus d’interaction face à face avec Dieu, pour en venir à Le connaître. Tu dis que tu mets la vérité en pratique, mais comment se fait-il que tu ne connaisses pas Dieu ? Comment se fait-il que ta relation avec Dieu ne se soit pas devenue plus étroite ? Tu dis que tu pries et Lui ouvres ton cœur tous les jours, alors te sens-tu plus proche de Lui à ce stade ? Ressens-tu que ta foi en Dieu a augmenté ? Pendant cette période, as-tu le sentiment d’avoir obtenu une meilleure compréhension de Dieu, d’avoir moins de plaintes à Son sujet, de mieux Le comprendre et de moins te rebeller contre Lui ? Si tu ne vois rien de tout cela en toi et que tu es toujours le même, c’est que tu n’as pas mis la vérité en pratique et que tu as perdu du temps, en te contentant d’exercer ta force. Personne ne t’oblige à rendre service ou à fournir des efforts, et de même, personne ne t’empêche de mettre la vérité en pratique. C’est ton propre choix, et tu suis le chemin consistant à rendre service. Si les gens ne mettent pas la vérité en pratique ou ne poursuivent pas la vérité, ils ne peuvent s’empêcher de devenir des exécutants. Il est vraiment difficile pour les gens de mettre la vérité en pratique. Ils ne savent pas comment se soumettre à Dieu et se contentent toujours de fournir des efforts et de rendre service. Lorsqu’ils parviennent enfin à comprendre quelques doctrines, ils ne savent pas comment mettre la vérité en pratique. Au lieu de cela, ils se contentent de rendre à nouveau service, sans même s’en rendre compte. Par conséquent, tu dois périodiquement prendre le temps de réfléchir, de t’examiner et d’échanger avec tes frères et sœurs sur ce que tu as obtenu pendant cette période. Tu dis : « J’abrite encore beaucoup d’incompréhensions sur Dieu, et je n’en ai pas encore résolus beaucoup. » Quelqu’un d’autre dit : « J’ai l’impression d’avoir obtenu une certaine compréhension du cœur de Dieu ces jours-ci. C’est une bonne chose que Dieu laisse l’humanité souffrir. Avant, j’avais peur de souffrir et je voulais me cacher ou m’enfuir quand j’étais confronté à la souffrance. Maintenant, j’ai le sentiment que les gens ne peuvent que s’apaiser devant Dieu et empêcher leur attention de dériver vers des questions extérieures après qu’ils ont un peu souffert. Souffrir est bon, c’est pourquoi Dieu crée toujours des environnements difficiles, pour mettre à l’épreuve et épurer les gens. J’ai l’impression de comprendre et de ressentir une partie du dessein de Dieu et de Son intention sincère. Tout ce que Dieu fait est bon ! » C’est ainsi que tu dois échanger. Tu récolteras des avantages en échangeant. Si quelques personnes se réunissent pendant leur temps libre pour jaser, juger ou dire d’autres choses susceptibles de provoquer des disputes, elles peuvent sembler parler de leur foi en Dieu ou de leurs expériences de vie, mais si leurs cœurs ne sont pas en paix, alors elles devraient pratiquer comment chercher la vérité et s’efforcer de l’atteindre, et s’efforcer de répondre aux exigences de Dieu. Si tu poursuis toujours la vérité de cette manière, alors le Saint-Esprit travaillera en toi et t’éclairera. Prends la vérité dont tu manques comme un fardeau à poursuivre, va pratiquer et expérimenter, et efforce-toi d’atteindre la vérité. Comment mettre cela en pratique ? Tu devrais chercher et demander conseil à quelqu’un qui comprend la vérité sur les choses que tu ne comprends pas ou que tu ne peux pas saisir. Si tu pratiques ainsi tout le temps, tu seras en mesure de comprendre davantage la vérité et tu gagneras beaucoup. La plupart du temps, vous ne savez pas comment échanger sur la vérité, vous concentrant uniquement sur des discussions de travail, ou parlant toujours de méthodes et non de principes. C’est un écart, alors qu’en fait vous devriez échanger sur les questions impliquant les vérités-principes quand vous parlez de travail. Cela profitera à ta propre entrée dans la vie. Une fois que vous aurez échangé clairement sur les questions impliquant les vérités-principes, vous aurez un chemin vers l’entrée dans la vie. C’est bénéfique pour le travail et l’accomplissement de votre devoir, ainsi que pour votre propre entrée dans la vie. N’est-ce pas gagner sur les deux tableaux ? Vous devez échanger sur votre expérience de croyance en Dieu de manière pure et ouverte, afin d’obtenir des résultats et d’atteindre l’entrée dans la vie. Jaser ou juger tout le temps n’est d’aucune utilité pour l’entrée dans la vie, et fait perdre toute chance de salut par la croyance en Dieu. Croire en Dieu signifie se concentrer en permanence sur la mise en pratique de la vérité. Plus vous la mettez en pratique, plus vous augmentez vos chances de salut. Si vous ne comprenez pas assez la vérité, vous devez la chercher davantage. Ce n’est qu’en obtenant une compréhension de la vérité et en la mettant en pratique que vous pouvez faire l’expérience d’un véritable changement et atteindre un espoir de salut plus grand et plus certain.
Le 16 juillet 2017