Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (22) Section 2

III. La Définition d’une Église

Après avoir échangé sur le sujet de ce qu’est une Église, vous avez maintenant une certaine compréhension de la formation d’une Église, du travail fait par une Église et des résultats qu’elle obtient. Vous pouvez également comprendre une partie de la valeur et de la signification de l’existence d’une Église. Alors, pouvons-nous maintenant donner une définition précise de ce qu’est exactement une Église ? Tout d’abord, une Église n’est pas un lieu destiné à fournir un confort émotionnel aux gens ni un lieu visant à s’assurer que les gens sont bien nourris et vêtus ou à leur offrir un refuge. Une Église n’est pas un lieu ayant pour objectif de garantir les droits et les intérêts physiques des personnes ou de résoudre les difficultés auxquelles elles sont confrontées dans la vie. Ce n’est pas un lieu destiné à combler les vides spirituels des gens et fournir une subsistance spirituelle. Puisque les Églises ne sont pas ce que les gens supposent qu’elles sont d’après leurs notions et leur imagination, alors quelle est exactement la définition spécifique d’une Église ? Qu’est-ce qu’une Église au juste ? Dans la Bible, le Seigneur Jésus a donné une description fondamentale de la désignation d’une Église. Comment l’a-t-Il exprimée de façon précise ? (« Car là où deux ou trois sont assemblés en Mon nom, Je suis au milieu d’eux » [Matthieu 18:20].) Ces paroles signifient que peu importe le nombre de personnes rassemblées, tant qu’elles ont l’œuvre du Saint-Esprit et qu’elles sentent que Dieu est là avec elles, cet endroit est une Église : c’est précisément cela. Dans les derniers jours, Dieu est apparu pour œuvrer et exprimer la vérité. Lorsque les gens se réunissent pour manger et boire, lire en priant et échanger sur les paroles de Dieu, Il est présent à cet endroit, tout comme l’éclairage du Saint-Esprit, ce qui signifie que Dieu le reconnaît comme étant une Église. Si les gens se rassemblent, mais ne mangent pas et ne boivent pas les paroles de Dieu, s’ils se contentent de répéter comme des perroquets des doctrines spirituelles sans substance, et qu’ils sont incapables de sentir l’œuvre du Saint-Esprit, alors ce n’est pas une Église, car elle n’est pas reconnue par Dieu, et donc elle n’a pas l’œuvre du Saint-Esprit. Les réunions où Dieu est présent sont bénies et guidées par Lui, et lorsque les gens se rassemblent lors de telles réunions, qu’ils mangent et boivent les paroles de Dieu, qu’ils échangent sur la vérité ou qu’ils utilisent la vérité pour résoudre des problèmes, ces aspects sont tous liés aux exigences et à la direction de Dieu, et sont donc tous bénis par Lui. C’est pourquoi, tant qu’une sorte de réunion comprend l’aide, la direction et la présence de Dieu, on peut l’appeler une Église. C’est la définition la plus simple et la plus fondamentale d’une Église, et c’était la définition d’une Église pendant l’ère de la Grâce. Elle est née du contexte de l’œuvre de Dieu à cette époque : elle est donc exacte et demeure vraie. Mais pendant cette étape de l’œuvre du jugement dans les derniers jours, parce que Dieu a prononcé davantage de paroles et a fait une œuvre plus grande, la définition d’une Église doit être plus profonde que cette définition fondamentale de l’ère de la Grâce. L’œuvre de Dieu a encore progressé. Une Église n’inclut plus simplement l’œuvre du Saint-Esprit et la présence de Dieu. Maintenant, Dieu œuvre personnellement dans Ses Églises, les guidant et les conduisant ; le peuple élu de Dieu est capable de manger et de boire Ses paroles présentes, et de suivre et de témoigner de Christ. Par conséquent, la définition d’une Église dans les derniers jours est plus avancée qu’elle ne l’était lors de l’ère de la Grâce ; c’est une description plus profonde, plus précise et plus spécifique qu’auparavant, et elle est bien entendu inséparable de la vérité et des paroles de Dieu. Alors, quelle est la manière la plus précise et la plus appropriée de définir une Église ? Tout d’abord, la définition de base devrait être un groupe de personnes qui suit Dieu de façon sincère. Plus précisément, une Église est un groupe de personnes qui suit Dieu de façon sincère, qui est gouverné par Ses paroles, poursuit la vérité, pratique et expérimente Ses paroles, et peut se soumettre à Dieu et adorer Dieu, suivre Sa volonté et atteindre Son salut. L’élément clé de cette définition est « un groupe de personnes ». Une Église n’est pas un lieu, ou un collectif, ou une communauté, et encore moins une simple réunion de personnes possédant la foi. Le « groupe » peut être composé d’une douzaine de personnes, ou de trente à cinquante personnes, ou bien entendu d’un nombre encore plus grand de personnes. Ces personnes peuvent se réunir, ou peuvent se diviser en plus petits groupes pour se réunir ; c’est flexible et variable. En somme, lorsque ces disciples de Dieu L’exaltent, Lui rendent témoignage et L’adorent, et suivent Sa volonté, ils sont une Église. Peu importe combien d’entre eux se rassemblent, ils sont tout de même une Église. Par exemple, 50 personnes sont appelées une petite Église et 100 personnes sont appelées une grande Église : la taille de l’Église est déterminée par le nombre de membres. Il existe des Églises à grande, moyenne et petite échelle, le nombre de personnes dans une Église n’est pas fixe. Voyons encore une fois la définition d’une Église : un groupe de personnes qui suit Dieu de façon sincère, qui est gouverné par Ses paroles, poursuit la vérité, pratique et expérimente Ses paroles, et peut se soumettre à Dieu et adorer Dieu, suivre Sa volonté et atteindre Son salut. Pourquoi une Église est-elle définie de cette manière ? Parce que Dieu veut œuvrer dans les Églises et veut sauver ce groupe de personnes. Seul ce genre de groupe de personnes peut être appelé une Église. Et ce n’est que lorsqu’un tel groupe se réunit que ces personnes peuvent manger et boire les paroles de Dieu normalement et les pratiquer, et vraiment prier Dieu, se soumettre à Lui et L’adorer. Ce groupe de personnes est gouverné et dirigé par les paroles de Dieu, c’est donc par le biais de ce groupe de personnes qu’est produite la définition d’une Église. C’est parce que les gens dans les religions n’acceptent pas la vérité et n’acceptent pas l’œuvre de Dieu, et que Dieu ne les sauve pas : ils ne sont pas une Église, ils sont une communauté religieuse. Ceci est la différence la plus évidente entre une Église et une religion. Seule une Église est gouvernée par les paroles de Dieu, et seule une Église personnellement guidée par Christ est gouvernée par les paroles de Dieu. Qu’est-ce que cela signifie que d’être gouverné par les paroles de Dieu ? Devons-nous mentionner l’œuvre du Saint-Esprit, ou la direction, l’éclairage et l’illumination du Saint-Esprit ? (Non.) Dites-Moi, qu’est-ce qui est plus pratique : être gouverné par les paroles de Dieu ou avoir l’œuvre du Saint-Esprit ? (Être gouverné par les paroles de Dieu.) Être gouverné par les paroles de Dieu est plus pratique et plus concret. L’œuvre du Saint-Esprit fournit simplement aux gens un peu d’éclairage et d’illumination pour les aider à comprendre la vérité et les conduire à trouver des principes de pratique dans les paroles de Dieu. Le résultat obtenu est qu’ils sont gouvernés par les paroles de Dieu. Si le Saint-Esprit n’œuvrait pas, les gens pourraient-ils encore mener à bien leurs devoirs en comprenant les paroles de Dieu et en saisissant les principes ? (Oui.) Maintenant, les paroles de Dieu ont été tellement prononcées ; les gens écoutent souvent des sermons et sont capables de comprendre les paroles de Dieu. Même sans l’œuvre du Saint-Esprit, les gens savent quoi faire. Ceux qui aiment la vérité peuvent pratiquer les paroles de Dieu et se soumettre à l’œuvre de Dieu tant qu’ils comprennent la vérité. Ceux qui n’aiment pas la vérité ne comprendront pas les paroles de Dieu même s’ils les entendent, et même s’ils comprennent un peu, ils seront réticents à l’idée de les pratiquer, et ne peuvent donc qu’être éliminés. Dans les derniers jours, Dieu exprime directement la vérité pour conduire et guider les gens personnellement. L’œuvre du Saint-Esprit n’est qu’auxiliaire. C’est comme quand un enfant commence à apprendre à marcher ; parfois un adulte donnera un coup de main pour l’aider. Une fois que l’enfant sait marcher de façon stable et courir, il n’est pas nécessaire que quelqu’un le soutienne. Par conséquent, l’œuvre du Saint-Esprit n’est pas absolue ni cruciale. Lorsque les gens sont gouvernés par les paroles de Dieu, cela signifie qu’ils comprennent les paroles de Dieu, qu’ils comprennent la vérité et savent ce que les paroles de Dieu signifient et quels sont les principes et les normes que Dieu exige des gens, et qu’ils sont capables de comprendre et d’appliquer ces principes et ces normes. Voilà ce que cela signifie quand on dit que le cœur des gens est gouverné par les paroles de Dieu. Dieu a déjà parlé de ces choses avec suffisamment de clarté et de perspicacité, il n’est donc pas nécessaire de mentionner l’œuvre du Saint-Esprit ici. Dans les derniers jours, Dieu a exprimé tant de vérités, rendant chaque vérité claire et compréhensible pour les gens. Par conséquent, l’œuvre du Saint-Esprit n’est pas aussi importante et n’est qu’auxiliaire. Ce n’est que lorsque les gens ne comprennent pas la vérité ou lorsque Dieu n’a pas prononcé autant de paroles avec tant de minutie et de clarté que le Saint-Esprit fait un travail de nature auxiliaire et d’indication, qui fournit aux gens une lumière simple et sert à un peu les pousser, les aidant à faire des choix corrects et à marcher sur le bon chemin dans leur vie et dans divers environnements. C’est désormais l’ère des paroles de Dieu, où Dieu parle personnellement pour conduire l’humanité, et où les paroles de Dieu dominent tout. L’œuvre du Saint-Esprit n’est qu’auxiliaire. Lorsque les gens comprennent la vérité, peuvent pratiquer les paroles de Dieu et vivent selon les paroles de Dieu, les intentions de Dieu sont satisfaites.

Examinons la première expression de la définition de base d’une Église : « suit Dieu de façon sincère ». Les termes « de façon sincère » ont une signification spécifique. Ils ne font pas référence à ceux qui ne font que passer le temps, à ceux qui ne font qu’occuper des sièges que de nom, à ceux qui se rassasient de pain, à ceux qui comptent sur la grâce pour le salut ou à ceux qui ont des motivations et des buts inavoués. Alors, que signifie « de façon sincère » ? L’explication la plus basique et la plus simple est la suivante : tant que quelqu’un entend parler de Dieu, de la vérité ou du Créateur, il ressent un désir ardent dans son cœur, renonce volontairement, se dévoue volontairement, supporte volontairement les difficultés, et est prêt à se présenter devant Dieu pour accepter Son appel, et abandonne tout pour Le suivre. Tant qu’il a un cœur sincère, cela suffit. Certaines personnes disent : « Pourquoi ne dis-Tu pas que c’est un groupe de personnes rempli de foi qui suivent Dieu ? » Les gens ne peuvent pas atteindre ce niveau. Parmi ceux qui font leurs devoirs maintenant, certains croient depuis une dizaine d’années, et certains croient depuis vingt ou trente ans ; avoir cette sincérité est fondamentalement suffisant. Le définir comme étant rempli de foi n’est pas exact. Notre définition d’une Église se fonde sur une situation de base et spécifique, sans pinailler sur les mots ni placer trop haut la définition et la norme, car cela serait irréalisable. Certaines personnes disent : « Dire “de façon sincère” et “rempli de foi” ne suffit pas. On devrait dire un groupe de gens justes qui craignent Dieu et s’éloignent du mal : ce serait formidable ! » Si nous plaçons la norme aussi haut, alors les expressions suivantes : « poursuit la vérité, pratique et expérimente Ses paroles » seraient toutes inutiles. Le point clé est que tous les membres de l’Église sont ceux que Dieu veut sauver. Ce groupe de personnes est rempli des tempéraments corrompus de Satan et plein de notions et de produits de l’imagination sur Dieu. Pour parler de manière plus réaliste, elles sont remplies de rébellion, manquent de soumission, ne comprennent pas la vérité et n’ont absolument aucune connaissance de Dieu : c’est la situation la plus réaliste. Par conséquent, aux yeux de Dieu, les membres de l’Église se trouvent dans une telle situation concrète et possèdent un tel état réel. La sélection des personnes par Dieu se fonde sur cette condition élémentaire : si elles peuvent suivre Dieu de façon sincère, et, de façon authentique, se dépenser et renoncer à des choses. Certains disent : « Si elles sont sincères, alors pourquoi ont-elles encore des désirs extravagants ? Si elles sont sincères, pourquoi veulent-elles encore gagner des bénédictions ? » Celles-ci changeront progressivement au fur et à mesure que les personnes feront l’expérience de l’œuvre de Dieu. À l’heure actuelle, nous définissons le concept de base d’une Église. Ce concept de base est l’exigence minimale et la norme la plus basse pour la sélection des personnes par Dieu. Ces normes ne sont pas du tout vides ni exagérées ; elles sont particulièrement conformes à votre situation concrète. En d’autres termes, lorsque Dieu vous choisit et décide de sauver l’un de vous, ce sont ces critères que Dieu examine. Si tu réponds à ces exigences, tu es amené par Dieu dans Sa maison et tu deviens membre de l’Église. Ceci est la situation réelle. Par conséquent, la première expression de la définition d’une Église est « suit Dieu de façon sincère » ; c’est relativement exact. Ce groupe de personnes n’est pas à la hauteur dans la crainte de Dieu et dans le fait de s’éloigner du mal, il n’est pas à la hauteur dans la capacité à se libérer de l’influence obscure et il n’est pas à la hauteur dans la rébellion complète contre le monde et le grand dragon rouge. Il n’est pas à la hauteur de toutes ces choses. Pourquoi ? Parce que la définition mentionne par ailleurs la possibilité de poursuivre la pratique des paroles de Dieu. Dans le processus de poursuite, parce que les gens ont un cœur qui aime la vérité et aspire à la vérité, ils peuvent expérimenter et pratiquer les paroles de Dieu, et en fin de compte, ils peuvent L’adorer. Adorer Dieu implique de se soumettre à Lui, d’écouter Ses paroles, d’accepter Ses orchestrations et d’accepter Sa souveraineté et Ses arrangements. En fin de compte, ce groupe de personnes peut atteindre le salut. Ceci est l’état réel des membres de l’Église aux yeux de Dieu. N’est-ce pas la condition la plus élémentaire ? (Si.) Certaines personnes disent : « Tu n’as pas mentionné le fait de se débarrasser des tempéraments corrompus de Satan et d’atteindre la purification. Cette définition d’une Église ne les inclut pas. » Sont-ils inclus dans cette définition ? (Oui.) Quelle partie les inclut ? Poursuivre la pratique des paroles de Dieu. Si tu peux poursuivre la pratique des paroles de Dieu, tes tempéraments corrompus ne sont-ils pas progressivement résolus ? Ne peux-tu pas te débarrasser des tempéraments corrompus de Satan et réaliser un changement de tempérament ? (Si.) Au cours de la période de réalisation d’un changement de tempérament, tu comprends progressivement les paroles de Dieu et résous tes propres tempéraments corrompus. Alors que tu résous certains de tes tempéraments corrompus, ta foi en Dieu et ta soumission à Dieu augmentent-elles ? Y a-t-il un lien entre ces éléments ? (Oui.) Plus tu adores Dieu, plus tu seras soumis à Dieu. Au fur et à mesure que ta soumission à Dieu augmente, ne te rapproches-tu pas de l’atteinte du salut ? (Si.) Alors, quel type de personnes constituent ce groupe ? Ce sont celles qui peuvent atteindre le salut. Ceci est la situation réelle des membres de l’Église. Certains disent : « Cette définition d’une Église ne mentionne pas le travail auquel se consacre l’Église. » Y a-t-il une partie ici qui est liée au travail essentiel auquel se consacre une Église ? (Poursuivre l’atteinte du salut.) Cette partie est étroitement liée. Le travail qu’accomplit une Église, qu’il s’agisse de diffuser les paroles de Dieu ou de mener les gens à manger et à boire les paroles de Dieu, d’aider les gens à se connaître et à se débarrasser des tempéraments corrompus de Satan, vise en fin de compte à aider les gens à atteindre le salut. Alors, pouvez-vous désormais accepter ce concept le plus basique et le plus simple d’une Église ? (Oui.) Cette définition n’est ni exagérée ni vide, et elle n’utilise pas de termes et d’expressions grandiloquents, mais elle inclut les besoins les plus fondamentaux pour la formation ou la définition d’une Église.

Comprenez-vous le contexte de la définition du concept d’Église, maintenant que Je vous l’ai expliqué ? (Oui.) Si Je ne l’avais pas expliqué de cette façon, vous estimeriez comme très profonds le travail essentiel d’une Église et la définition d’une Église. Maintenant que vous comprenez la définition d’une Église, vous sentez que votre compréhension d’une Église est si superficielle. La définition d’une Église a été clarifiée : c’est aussi concret que cela. Plus les choses sont concrètes, plus les gens se sentent souvent superficiels. En fait, si tu regardes de près, chaque mot de cette définition est lié et en relation étroite avec des situations concrètes et spécifiques, et n’est pas du tout superficiel. La première expression de la définition d’une Église est « suit Dieu de façon sincère ». Ces termes « de façon sincère », c’est ce que veut Dieu. Combien de personnes possèdent une telle sincérité ? Est-ce facile pour les gens d’avoir cette sincérité ? Ce n’est pas facile. Quant à « gouverné par les paroles de Dieu », y es-tu déjà parvenu ? Tu penses que cette expression est superficielle et facile à réaliser. Si Dieu dit : « Lève-toi, suis-Moi et fais ton devoir » et que les gens obéissent, cela signifie-t-il qu’ils sont gouvernés par les paroles de Dieu ? Cela signifie seulement que les gens sont disposés à croire en Dieu et à suivre Dieu, mais ils n’ont pas atteint le point où ils sont gouvernés par les paroles de Dieu : ils en sont encore loin ! Que dois-tu posséder pour être gouverné par les paroles de Dieu ? L’exigence minimale est que tu dois comprendre les paroles de Dieu ; tu dois savoir à quoi se réfèrent les exigences dans les paroles de Dieu, quels principes sont requis par les paroles de Dieu et comment appliquer les paroles de Dieu face à divers événements, personnes et choses, et comment transformer les paroles de Dieu en ta pratique pour satisfaire Dieu. Ce n’est pas facile. Une longue période passée à manger et à boire, à lire en priant, à expérimenter, à vivre et à comprendre les paroles de Dieu, et une compréhension des intentions de Dieu et du tempérament de Dieu, sont nécessaires pour arriver progressivement à être quelque peu gouverné par les paroles de Dieu. Par conséquent, l’expression « gouverné par les paroles de Dieu » semble simple en apparence, comme si la plupart des gens étaient gouvernés par les paroles de Dieu, mais en réalité, ce n’est pas le cas. À en juger par les situations réelles des gens, il est clair que cette expression est simplement l’exigence de Dieu envers les gens, à laquelle ils ne sont pas parvenus du tout. L’expression suivante, « poursuivre la pratique de Ses paroles », est l’exigence que Dieu a envers les gens. Tu n’es pas encore parvenu à la pratique des paroles de Dieu ; tu poursuis simplement la pratique des paroles de Dieu. Comment devrais-tu poursuivre ? Lorsque tu rencontres des situations, pratique selon les exigences de Dieu. Ne mens pas ; sois une personne honnête. Peux-tu le faire ? Ce n’est pas facile à faire. Lorsque tu es émondé, tu devrais pouvoir te soumettre, réfléchir et te connaître, et pratiquer selon la vérité. Peux-tu y parvenir ? Si cela te semble pénible ou si ta propre volonté est trop forte, et que tu veux toujours laisser éclater ton impétuosité, alors tu dois poursuivre la gestion des choses conformément aux principes, et ne pas exposer ton impétuosité ou agir de manière volontaire et arbitraire ; tu dois faire ce que disent les paroles de Dieu, accepter l’émondage, parvenir à connaître tes transgressions et comprendre où tu t’es trompé. C’est ce qu’on appelle la poursuite de la pratique des paroles de Dieu. Commencer à pratiquer les paroles de Dieu signifie-t-il qu’une personne a changé ? Ce n’est pas aussi simple. Si tu es choisi comme dirigeant ou ouvrier, peux-tu t’abstenir d’agir volontairement et arbitrairement ? Ce n’est pas facile ; cela exige de toi que tu comprennes la vérité, que tu sois en mesure de pratiquer les paroles de Dieu et d’expérimenter pendant un certain temps ; ce n’est qu’alors que tu pourras y parvenir. Si tu dis que tu veux pratiquer les paroles de Dieu, mais que tu n’as que cette volonté verbale et aucune motivation dans ton cœur, cela ne marchera pas. Quand ton cœur est disposé, et que tu veux vraiment pratiquer la vérité, tu peux mettre la vérité en pratique. Quand tu es réticent à l’idée de pratiquer la vérité dans ton cœur, même si tu fais un serment ou si d’autres te soutiennent, cela ne servira à rien. Tu dois avoir de la détermination, c’est-à-dire que tu dois avoir un cœur doté d’un immense désir pour Dieu. Tu dois savoir comment Dieu définit une question et ce qu’Il exige à son égard, trouver et recueillir toutes les paroles de Dieu liées à cet aspect, puis les lire en priant et les comprendre. Écris-les dans un cahier ou place-les à un endroit où tu pourras facilement les voir. Pendant tes pauses de travail, regarde-les, lis-les, et au fil du temps, tu mémoriseras ces paroles de Dieu et les garderas dans ton cœur. Chaque jour, réfléchis au véritable sens des paroles de Dieu et songe à la manière exacte de parler et d’agir qui compte comme la pratique des paroles de Dieu. C’est ce qu’on appelle la poursuite de la pratique des paroles de Dieu. Est-il facile d’y parvenir ? Ce n’est pas facile ; ce n’est pas quelque chose qui peut être accompli du jour au lendemain ou avec un effort soudain. Certaines personnes disent : « Je fais un serment par le sang », mais cela ne sert à rien. Tu dis : « Je jeûnerai et prierai sans manger ni boire », mais cela ne sert à rien. Tu dis : « Je resterai debout toute la nuit et souffrirai », mais cela ne sert à rien non plus. Tu dois poursuivre la vérité ; tu dois posséder des manifestations de poursuite de la vérité, et tu dois avoir un chemin pour poursuivre la vérité ; tu dois avoir les bons moyens et méthodes. Peu importe les types de moyens ou de méthodes dont tu disposes, tu ne peux pas t’écarter des paroles de Dieu ; tu dois exercer des efforts dans les paroles de Dieu, tout comparer aux paroles de Dieu, utiliser les paroles de Dieu pour résoudre les problèmes dans chaque situation et faire des paroles de Dieu ta priorité absolue. C’est ce qu’on appelle la poursuite de la vérité. Par exemple, en termes d’interaction avec les autres, tu dois voir ce que les paroles de Dieu disent à ce sujet et trouver les paroles de Dieu qui se rapportent à l’interaction avec les autres. Pour une coopération harmonieuse, trouve également les paroles de Dieu concernant cet aspect. En ce qui concerne l’accomplissement loyal d’un devoir, trouve les paroles de Dieu sur l’accomplissement de devoirs qui est conforme aux normes et mémorise les paroles essentielles de Dieu, en les gardant dans ton cœur. Quant à ce qu’est un faux dirigeant, quelles sont les manifestations des faux dirigeants, s’ils sont dotés d’une conscience et d’une raison, et comment Dieu définit les faux dirigeants, trouve ces mots clés de Dieu et écris-les dans un cahier, place-les à un endroit où tu peux facilement les voir, et lis-les en priant chaque fois que tu en as le temps. Pour chaque question liée à ton entrée dans la vie et à ton changement de tempérament, pratique et exerce des efforts de cette façon. C’est ce qu’on appelle la poursuite de la vérité. Si ton effort n’atteint pas ce niveau, on ne peut pas dire qu’il s’agit de poursuivre la vérité ; on peut dire qu’il s’agit de se comporter machinalement, d’effleurer la surface et de s’en sortir tant bien que mal au fil des jours.

Examinons « adorer Dieu ». Adorer Dieu implique un effroi, une crainte, un respect et une sincérité authentiques, ainsi que le fait de traiter Dieu comme Dieu, d’avoir une place pour Dieu dans son cœur, de traiter de manière rationnelle les environnements que Dieu a arrangés et les commissions que Dieu a données, et de traiter de façon sérieuse et responsable chaque parole que Dieu a prononcée, etc. Toutes ces manifestations sont appelées adoration. Qu’il s’agisse de paroles qui te sont adressées en face à face par Dieu ou de toutes les paroles qu’Il a jamais exprimées, tant que tu les connais et que tu t’en souviens, et tant que tu les comprends et les confirmes dans ton cœur, tu devrais les traiter comme des critères de conduite personnelle, de vie, etc. : c’est la manifestation de l’adoration de Dieu. Lorsque tu es confronté à des problèmes, qu’ils soient conformes à tes propres goûts, désirs ou notions, tu devrais toujours être en mesure de calmer ton cœur et de penser : « Cela a-t-il été fait par Dieu ? Est-ce que ça provient de Dieu ? Pourquoi Dieu a-t-Il fait cela ? Que Dieu veut-Il épurer en moi, que veut-Il transformer en moi ? Quelle est exactement l’intention de Dieu ? Comment devrais-je me soumettre aux arrangements de Dieu ? Comment devrais-je satisfaire l’intention de Dieu ? Comment devrais-je assumer ma responsabilité en tant qu’être humain ? » Toutes ces manifestations, parmi d’autres, sont des manifestations de l’adoration de Dieu. Même si tu ne comprends pas plus de vérité, en tant que personne normale, en tant que personne qui croit en l’existence de Dieu, en tant que personne qui suit Dieu de façon sincère, c’est, au minimum, l’attitude que tu devrais avoir envers Dieu. Tout ce qui implique Dieu, tout ce qui concerne les paroles de Dieu, tout ce qui concerne la commission que Dieu t’a confiée, ton devoir et ta responsabilité, tu dois traiter tout cela avec soin et prudence, sans insouciance, sans négligence, sans mépris : c’est ce qu’on appelle adorer Dieu. Traiter tout ce qui est lié à Dieu avec un cœur prudent, attentif, Le craignant et Le redoutant : c’est ce qu’on appelle adorer Dieu. Est-ce facile d’y parvenir ? Ce n’est pas facile. Sans expérience concrète, même comprendre les deux mots « adorer Dieu » est difficile, sans parler de pratiquer réellement l’adoration de Dieu. La dernière expression de la définition d’une Église est « atteindre Son salut ». Comment cela devrait-il être compris ? Le chemin pour atteindre le salut est long, et il y a ici encore plus d’exigences. Tout d’abord, le chemin sur lequel tu marches doit être le bon ; tu dois être capable d’accepter toutes les vérités dans les paroles de Dieu, et être quelqu’un qui poursuit la pratique des paroles de Dieu et se soumet à Dieu. Ta vie doit être gouvernée par les paroles de Dieu. Tu dois non seulement reconnaître l’existence de Dieu, mais aussi aimer la vérité et agir selon la vérité ; tu dois avoir une crainte authentique de Dieu et te soumettre à Lui, prier souvent Dieu dans ton cœur et passer progressivement à l’adoration de Dieu. Alors tu seras quelqu’un qui aime la vérité et qui se soumet à Dieu ; tu es précisément le genre de personne que Dieu veut sauver. Une personne qui croit sincèrement en Dieu doit être une personne correcte. Quel est l’avantage d’être une personne correcte ? L’avantage est que l’atteinte du salut ne sera pas trop difficile pour toi ; tu auras l’espoir de l’atteindre. Voilà tout l’échange que nous avons mené sur les détails spécifiques de la définition d’une Église.

IV. Les notions et les points de vue que les gens nourrissent à l’égard de l’Église

Tout à l’heure, nous avons échangé sur ce qu’est une Église, le travail essentiel que fait une Église, et ce que les gens imaginent et exigent d’une Église selon leurs notions. Enfin, nous avons fourni une définition correspondant au concept d’une Église. Maintenant qu’elle a été définie, vous devriez avoir désormais une compréhension précise de la désignation « Église » ; vous devriez avoir une compréhension de base du travail qu’une Église devrait faire, du rôle qu’elle joue pour aider les gens à gagner la vérité et à atteindre le salut, et de la signification d’une Église pour tous ceux qui suivent Dieu. Nous avons également brièvement procédé à une dissection et à une exposition représentatives de ce que les gens croient être la valeur de l’existence d’une Église et du travail qu’une Église devrait faire dans leurs notions. Y a-t-il quelque chose que vous ne pouvez pas percer à jour ou saisir au sujet des compréhensions et des interprétations que les gens ont concernant les Églises dans leurs notions ? Certaines personnes pensent qu’une Église devrait s’engager dans une sorte de travail dans la société ou jouer une sorte de rôle dans celle-ci, comme le maintien de la justice. Dans les notions des gens, l’Église représente une image positive, alors pourquoi ne peut-elle pas maintenir la justice ? Le maintien de la justice a-t-il quelque chose à voir avec le travail d’une Église ou les exigences de Dieu ? (Non.) À quoi fait référence ce « maintien de la justice » dont les gens parlent ? (Ce que les gens appellent maintien de la justice n’est pas la vraie justice. Il s’agit uniquement de la sauvegarde des intérêts de la chair et cela ne correspond pas à la vérité.) Cette justice a-t-elle quelque chose à voir avec la vérité ? (Non.) C’est ce que l’humanité appelle la justice. Par exemple, vaincre certaines forces malfaisantes, corriger certaines injustices et certains cas de personnes lésées et humiliées, ou infliger une punition méritée à des personnes malfaisantes, restaurer et protéger les intérêts des groupes vulnérables, etc., voilà ce que les gens appellent le maintien de la justice. Quel est le but principal de ce maintien de la justice ? A-t-il quelque chose à voir avec la poursuite de la vérité par les gens ? A-t-il quelque chose à voir avec le fait que les personnes soient sauvées ? (Non.) Il s’agit simplement d’une expression qui émerge sur la base de la droiture et de l’éthique humaines ; cela n’a absolument rien à voir avec la vérité. Peut-on dire que cela ne s’élève pas au niveau de la vérité ? (Oui.) Peut-on le dire ? (Non ; les deux ne sont pas liés.) C’est vrai, ils ne sont pas du tout liés ; ce sont deux choses différentes. Quel genre de justice l’humanité maintient-elle ? Il s’agit du genre de justice où, si un simple citoyen de statut social légèrement inférieur a été opprimé ou privé de tout droit ou intérêt par des personnes malfaisantes, ces dernières sont dûment punies et le simple citoyen ou la personne ordinaire ne subit plus de mauvais traitements. Cette justice cherche à restaurer et à garantir les intérêts corporels des personnes, à parvenir à une égalité relative entre les personnes, à éliminer les écarts entre les niveaux sociaux et à faire en sorte que les personnes malfaisantes ne réussissent pas dans leurs actes malfaisants et que les injustices subies par les personnes lésées soient corrigées. C’est ce que l’humanité appelle le maintien de la justice, et cela n’a absolument rien à voir avec la vérité. Comment pouvez-vous encore dire que cela ne s’élève pas au niveau de la vérité ? Est-ce lié à la vérité ? Non. Dites-Moi, ces gens ordinaires et ces simples citoyens qui ont souffert d’injustices sont-ils nécessairement de bonnes personnes ? (Pas nécessairement.) Les empêcher de souffrir d’injustices, est-ce cela la justice ? Est-ce en accord avec la vérité ? Ces personnes peuvent-elles alors être sauvées ? Il s’agit clairement de deux questions différentes : comment peut-on faire l’amalgame entre elles ? Il n’est pas question que cela s’élève au niveau de la vérité ; ce n’est tout simplement pas la même chose que la vérité. Si vous avez des conflits à ce sujet, alors peut-être que la majorité d’entre vous ne peut pas percer à jour la question du maintien de la justice et y est encore un peu attachée, pensant : « Comment cela peut-il être faux ? Comment cela peut-il ne pas être le travail qu’une Église devrait faire ? » En fait, cela n’a rien à voir avec le travail d’une Église. Il y a aussi des gens qui pensent qu’une Église devrait être un lieu où le mal est puni et le bien promu, qu’elle devrait servir cette fonction, punissant les actes malfaisants et les forces malfaisantes et obscures, tout en promouvant les choses bonnes et vertueuses. Est-ce le cas ? Est-ce que le fait de punir le mal et de promouvoir le bien peut s’élever au niveau de la vérité ? En ce qui concerne ce qu’est le mal et ce qu’est le bien, les gens ne peuvent pas distinguer clairement ces choses. Qu’est-ce que les gens entendent par punir le mal et promouvoir le bien ? Est-ce lié à la punition du mal, à la récompense du bien et à la séparation de tous en fonction de leur propre genre dont Dieu parle ? (Non.) Ce n’est pas lié. Quelle est la norme de l’humanité pour définir le mal et le bien ? Selon la définition du peuple chinois, qu’est-ce que le mal et qu’est-ce que le bien ? Quelle est la base de sa définition du mal et du bien ? Il s’agit de la culture bouddhiste. Le bouddhisme parle de concepts comme aider le monde et sauver les gens, s’abstenir de tuer, etc. Ceux-ci sont considérés comme bons, tandis que manger du poulet, du poisson, du bœuf ou de l’agneau est considéré comme mal et que les personnes qui le font devraient être punies. Aucune viande ne devrait être mangée, et aucune créature vivante ne devrait être tuée. Tuer est considéré comme le mal, et ceux qui tuent devraient se confesser devant Bouddha et implorer son pardon. Telle est la définition bouddhiste du mal ; est-ce le même que le mal dont parle Dieu ? (Non.) Il s’agit de deux choses différentes, de sorte que la définition du mal n’a absolument rien à voir avec la vérité et ne peut certainement pas s’élever au niveau de la vérité. Alors, que signifie le bien dans le bouddhisme ? C’est encore plus absurde, superficiel et hypocrite. Les bouddhistes croient qu’il est bien de ne tuer aucune créature vivante et de libérer les animaux en captivité. Indépendamment du nombre de gens qu’une personne malfaisante a tués ou du nombre de péchés qu’elle a commis, si elle dépose le couteau du boucher, elle peut immédiatement devenir un Bouddha : voici ce qui est considéré comme le bien. Il y a aussi le dicton : « Sauver une vie vaut mieux que de construire une pagode à sept étages », ce qui signifie que sauver aveuglément des gens de façon inconditionnelle et sans principes – même sauver des démons, des personnes malfaisantes, des voyous, des hooligans et n’importe qui d’autre – est considéré comme bien. De quel genre de bien s’agit-il ? Ce type d’individus sont des idiots, entièrement dépourvus de discernement, de position ou de principes. Sauver n’importe qui et pardonner à n’importe qui : cela peut-il être considéré comme bien ? Ce n’est même pas digne de ce mot ; c’est un faux-semblant de Satan et des démons. Ils ne tuent pas les animaux, mais ont dévoré d’innombrables âmes. Tel est leur soi-disant bien, ce qui n’est en fait qu’un faux-semblant. Alors, la notion humaine selon laquelle l’Église devrait jouer le rôle de punir le mal et de promouvoir le bien tient-elle le coup ? (Non.) Quel que soit le contexte culturel d’une race ou d’une religion, punir le mal et promouvoir le bien n’a rien à voir avec le travail d’une Église ou le témoignage d’une Église. Ne pensez pas que parce que ces termes semblent justes et élogieux, ils devraient être liés au travail d’une Église ou que c’est le rôle qu’une Église devrait jouer dans la société. Il s’agit d’une notion et d’un produit de l’imagination des humains. Outre « le maintien de la justice » et « la punition du mal et la promotion du bien », d’autres bons termes d’après les notions humaines telles que « lutter pour les droits et les intérêts des personnes » et « atténuer les inquiétudes et résoudre des difficultés » n’ont également aucun lien avec le travail d’une Église ou le témoignage d’une Église. Vous devriez tous pouvoir le comprendre. L’échange sur la définition d’une Église, le travail qu’une Église devrait faire, et la valeur et la signification de l’existence d’une Église a été mené plus ou moins clairement.

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