Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (25) Section 1

Point 14 : Discerner, puis exclure ou expulser rapidement toutes sortes de personnes malfaisantes et d’antéchrists (Partie IV)

Les normes et les bases pour discerner les différentes sortes de personnes malveillantes

Aujourd’hui, nous allons continuer à échanger sur la quatorzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers, qui consiste à : « Discerner, puis exclure ou expulser rapidement toutes sortes de personnes malfaisantes et d’antéchrists. » Les fois précédentes, nous avons échangé sur les divers aspects que les dirigeants et ouvriers doivent discerner, ainsi que sur les principales vérités qu’ils doivent comprendre, quand ils font ce travail. Autrement dit, nous avons échangé sur la façon de discerner toutes sortes de personnes malfaisantes. Comment définir toutes ces sortes de personnes malfaisantes ? Il s’agit de personnes qui s’infiltrent dans la maison de Dieu sous couvert de croire en Dieu et qui, pourtant, n’acceptent pas la vérité et perturbent également le travail de l’Église. Toutes ces personnes tombent dans la catégorie des personnes malfaisantes. Ces personnes sont celles que l’Église doit exclure ou expulser. Autrement dit, ce sont celles dont on n’autorise pas la présence au sein de l’Église. Nous distinguons et disséquons toutes sortes de personnes malfaisantes grâce à trois critères principaux. Quels sont ces trois critères ? Le premier concerne le but pour lequel on croit en Dieu. Le second concerne l’humanité d’une personne, le fait de disséquer son humanité pour discerner et voir clairement si l’on fait partie de ceux que l’Église devrait exclure. Quel est le troisième critère ? (Il concerne l’attitude d’une personne envers son devoir.) L’attitude d’une personne envers son devoir constitue le troisième critère. Le premier critère a déjà fait l’objet d’un échange. Quant au deuxième critère, concernant l’humanité des gens, deux sujets ont fait l’objet d’échanges. Quel était le premier sujet ? (Le fait d’aimer déformer les faits et les mensonges.) Et le deuxième ? (Le fait d’aimer profiter des avantages.) Étant donné le contenu de ces deux sujets, il pourrait sembler insuffisant de considérer cela comme des manifestations de personnes malfaisantes, mais si l’on se base sur les manifestations détaillées sur lesquelles J’ai échangé précédemment, ces deux types de personnes croient en Dieu depuis des années sans repentir sincère. Leurs diverses manifestations ont déjà provoqué des perturbations et des destructions dans la vie d’Église, dans l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, et dans les relations entre les élus de Dieu. Étant donné leurs manifestations, et sur la base de leur nature-essence, ces deux types de personnes devraient tomber dans la catégorie des personnes malfaisantes. Les dirigeants d’Église et le peuple élu de Dieu devraient les discerner et les définir, et les exclure dans les meilleurs délais. Est-ce approprié ? (Oui.) C’est tout à fait approprié. Le comportement de ces deux types de personnes dans l’Église a un impact très négatif. Ces personnes ne s’intéressent absolument pas à la vérité et elles ne se soumettent pas du tout non plus à l’œuvre de Dieu. Parmi les frères et sœurs, ce qu’elles vivent ne semble pas différent de ce que vivent les non-croyants. Elles mentent souvent et dupent souvent les autres, elles font leurs devoirs de manière superficielle, sans avoir le moindre sens des responsabilités, et ne changent pas en dépit de remontrances répétées. Non seulement elles affectent la vie d’Église, mais aussi, elles perturbent gravement le travail de l’Église. Sans aucun doute, elles font partie des personnes que l’Église devrait exclure ou expulser, et il est entièrement approprié de les définir en tant que personnes malfaisantes et de les classer dans les rangs de telles personnes, il n’est pas du tout excessif de le faire. En ce qui concerne les personnes du premier type, celles qui aiment déformer les faits et les mensonges, leur problème n’est pas aussi simple que le fait de dire des choses qui ne sont pas très appropriées, ou d’entraver la communication avec les autres, c’est plutôt leur tempérament qui pose problème. À un niveau plus profond, ce problème de tempérament est un problème qui concerne leur nature-essence. À un niveau plus superficiel, c’est leur humanité qui pose problème. Autrement dit, leur humanité est extrêmement vile et méprisable, ce qui fait qu’il leur est impossible d’interagir avec les autres normalement. Non seulement elles n’ont pas de manifestations positives, comme approvisionner, aider ou aimer les autres, mais leurs actes et comportements ne servent également qu’à perturber, détruire et démolir. Si certaines personnes entreprennent régulièrement de déformer les faits et les mensonges, qu’elles le font sans cesse, que ce soit ouvertement ou en secret, en ayant un impact gravement négatif sur le travail de l’Église et les frères et sœurs, alors elles font partie de celles que l’Église devrait exclure. Les personnes de l’autre type sont celles qui aiment profiter des avantages. Quelle que soit la situation, elles cherchent toujours à en tirer avantage, le regard sans cesse fixé sur leurs propres intérêts. Elles ne se focalisent pas sur le fait d’entrer dans la vérité-réalité et elles ne s’attachent pas non plus à bien faire leurs devoirs ou à assumer leurs propres responsabilités. À plus forte raison, elles ne se focalisent pas sur le fait d’interagir normalement avec les frères et sœurs, de faire appel aux qualités des autres pour compenser leurs propres insuffisances et d’établir des relations normales, ou de mener une vie d’Église normale. Elles ne se focalisent sur aucune de ces choses, elles viennent simplement à l’Église et parmi les frères et sœurs pour profiter des avantages. Tant qu’elles seront présentes dans l’Église, et tant que les frères et sœurs seront en contact avec elles, ces frères et sœurs ressentiront une gêne intérieurement. Non seulement les frères et sœurs éprouvent du dégoût pour leurs actes et comportements, mais ils ont souvent essentiellement l’impression qu’on se mêle de leurs affaires et ils se sentent souvent contraints dans leur cœur, dans une mesure significative. À quoi fait référence « dans une mesure significative » ? Cela veut dire que, dans des situations réelles, face au harcèlement des incrédules ou des personnes malfaisantes, certains individus sont contraints par leurs sentiments et incapables de s’en libérer, tandis que d’autres, même si cela leur déplaît, n’osent pas dire ce qu’ils pensent, mais se sentent constamment contraints intérieurement et ne sont pas en paix. N’est-ce pas là une perturbation grave, pour les frères et sœurs ? (Si.) Par conséquent, le peuple élu de Dieu doit discerner ces deux types de personnes. Toutes celles qui sont classées comme étant des personnes malfaisantes font partie de celles que l’Église devrait exclure. Les principes spécifiques pour gérer de telles personnes ont déjà fait l’objet d’un échange lors de la dernière réunion, de sorte qu’ils ne feront pas de nouveau l’objet d’un échange détaillé maintenant. En résumé, les deux types de personnes qui ont fait l’objet d’un échange ci-dessus ont perturbé non seulement la vie d’Église des frères et sœurs, mais aussi l’accomplissement ordonné de leurs devoirs. Le comportement de certaines de ces personnes est même susceptible de faire trébucher certains nouveaux croyants qui manquent de fondement. Donc, si l’on se base sur les moyens et méthodes que ces personnes utilisent pour agir, ainsi que sur les diverses manifestations de leur humanité et les conséquences néfastes engendrées par ces manifestations, les personnes de ces deux types font partie de celles qui devraient être exclues, et il n’est pas du tout excessif de les classer dans les rangs des personnes malfaisantes. Même si le comportement de ceux qui aiment déformer les faits et les mensonges, et de ceux qui aiment profiter des avantages, peut ne pas sembler aussi déraisonnablement grossier et méchant que celui des personnes malfaisantes définies par les notions humaines, même si ces individus n’affichent pas de manifestations aussi manifestes, les conséquences néfastes de leur comportement et de leur humanité rendent nécessaire qu’ils soient exclus de l’Église. Il s’agissait là des manifestations des deux types de personnes, et des principes pour les gérer, qui ont fait l’objet d’échanges la dernière fois.

II. Sur la base de l’humanité d’une personne

C. Être dissolu et sans retenue

Aujourd’hui, nous allons continuer à échanger sur les manifestations de plusieurs autres types de personnes pour ce qui est de leur humanité, en commençant par le troisième type de personnes. Quelle est l’une des caractéristiques principales de l’humanité de ces personnes ? C’est qu’elles sont dissolues et sans retenue. Il est assez facile de comprendre le fait d’être dissolu et sans retenue dans un sens littéral. Cela signifie que le comportement, l’attitude et le discours de ces personnes semblent inappropriés. Il ne s’agit pas de personnes dignes et convenables. C’est là une compréhension basique des manifestations des personnes de ce type. Dans l’Église, il est inévitable que les opinions de certaines personnes sur la croyance en Dieu et les méthodes qu’elles poursuivent contiennent des écarts ou des erreurs. Leur discours et leur attitude sont dépourvus de la moindre piété, leurs manifestations dans la vie et la qualité de leur humanité ne se conforment pas du tout à la bienséance des saints, et elles n’ont absolument pas un cœur qui craint Dieu. Dans l’ensemble, leur discours, leur comportement et leur attitude ne peuvent être décrits que comme dissolus et sans retenue. Bien entendu, leurs manifestations spécifiques sont nombreuses, visibles de tous, et faciles à discerner. Ces personnes sont semblables aux incrédules et aux non-croyants. Spécifiquement, elles affichent un comportement particulièrement dissolu. Lors des réunions, leur tenue et leur apparence sont vraiment informelles. Certaines ne se donnent pas la peine de s’arranger avant de sortir de chez elles, elles viennent aux réunions en étant débraillées, les cheveux en bataille, sans s’être débarbouillées. Certaines sont habillées de façon négligée, elles portent des pantoufles usées ou même un pyjama dans les réunions. D’autres vivent de façon négligée, sans faire attention à leur hygiène personnelle, et cela ne les dérange pas de porter des vêtements sales lors des réunions. Toutes ces personnes traitent les réunions avec une désinvolture extrême, comme si elles passaient voir un voisin, sans prendre les choses au sérieux. Au cours des réunions, leur discours et leur attitude sont également dépourvus de retenue, elles parlent haut et fort, sans aucun scrupule, elles vont jusqu’à s’exciter et gesticuler frénétiquement quand elles sont contentes, et se laissent aller à l’extrême. Quel que soit le nombre d’individus présents, elles rient, plaisantent et font de grands gestes, assises les jambes croisées, agissant comme si elles étaient supérieures à tous les autres. Elles sont particulièrement extravagantes, et même hautaines, elles ne regardent personne droit dans les yeux quand elles parlent aux gens, leur regard vagabonde. N’est-ce pas dissolu ? (Si.) C’est se laisser particulièrement aller et c’est ne pas avoir la moindre retenue. Bien entendu, les non-croyants pourraient attribuer le discours et l’attitude de telles personnes au fait qu’elles n’ont pas reçu une bonne éducation, mais nous comprenons cela différemment. Ce n’est pas simplement qu’elles n’ont pas reçu une bonne éducation. En tant qu’adultes, les gens devraient savoir clairement quelles sont les façons correctes et appropriées de parler, de se comporter et d’interagir avec les autres. En particulier, ils devraient savoir comment le faire d’une façon conforme à la bienséance des saints, qui édifie les frères et sœurs, et qui constitue une humanité normale, sans avoir besoin qu’on le leur dise. En particulier quand ils mènent une vie d’Église, en présence des frères et sœurs, même s’ils n’ont pas à faire semblant, les gens doivent faire preuve de retenue. Alors, quelles sont la mesure et la norme requise de cette retenue ? Il s’agit de se conformer à la bienséance des saints. Les vêtements, l’habillement des gens devraient être dignes et convenables, les gens devraient éviter les tenues étranges. En présence de Dieu, les gens doivent être pieux, et ne pas faire de grands gestes. Bien entendu, devant d’autres individus, les gens devraient aussi conserver piété et ressemblance humaine, afin de se présenter de façon appropriée, bénéfique et édifiante pour les autres. Voilà ce qui satisfait Dieu. Ceux qui sont dissolus et sans retenue ne prêtent absolument aucune attention au fait de vivre les aspects les plus élémentaires de l’humanité, et la raison précise de leur indifférence est qu’ils ne savent pas, purement et simplement, comment être des personnes pieuses ou des gens intègres et dignes qui inspirent le respect. Ils ne comprennent tout simplement pas cela. Par conséquent, malgré les stipulations répétées de l’Église exigeant que les gens portent des tenues soignées, dignes et convenables dans les réunions, qu’ils ne portent pas de vêtements étranges, ces gens continuent à ne pas prendre ces règles au sérieux, ils arrivent souvent chaussés de pantoufles, débraillés, ou même en pyjama. Voilà une manifestation de ceux qui sont dissolus et sans retenue.

Ceux qui sont dissolus et sans retenue manifestent un autre comportement, qui consiste à s’habiller à la mode et à porter un maquillage épais et aguichant dans les réunions. Ces gens commencent à se pomponner et à s’apprêter deux jours avant chaque réunion, en se demandant quel maquillage, quels bijoux porter, quelle coiffure choisir, quelle tenue, quel sac porter, et quelles chaussures mettre. Certaines femmes se mettent même un rouge à lèvres séduisant, du fard à paupières et du fond de teint pour affiner leur nez, et dans des cas plus extrêmes, certaines se mettent sur leur trente-et-un et se font belles d’une façon exagérément séduisante, dénudant leurs épaules et leur dos, portant des vêtements étranges. Dans les réunions, elles n’écoutent pas attentivement l’échange des frères et sœurs, et elles ne prient pas non plus. Encore moins participent-elles aux échanges ou partagent-elles leur compréhension personnelle et leurs témoignages d’expérience. Elles préfèrent se comparer aux autres, elles s’inquiètent de savoir qui est mieux ou moins bien habillé qu’elles, qui porte des vêtements de marque particulièrement à la mode, qui porte des vêtements peu coûteux achetés sur les marchés, combien coûte le bracelet de quelqu’un, et ainsi de suite. Elles se focalisent uniquement sur ces questions, faisant même souvent de telles comparaisons ouvertement. Étant donné la tenue, ainsi que le discours, le comportement et l’attitude de ces personnes, il est évident que leur participation à la vie d’Église et leur interaction avec les frères et sœurs ne visent pas la compréhension de la vérité, et encore moins la poursuite de l’entrée dans la vie pour parvenir à un changement de tempérament. Au lieu de cela, elles utilisent la durée des réunions pour montrer qu’elles profitent de leur argent et de leur vie matérielle. Certaines personnes viennent dans les lieux de réunion habillées avec des vêtements de marque pour s’afficher, satisfaisant pleinement leurs désirs de mode et de tendances sociales au milieu des frères et sœurs, incitant les autres à poursuivre ces tendances et faisant en sorte que les autres les envient et les admirent. Bien qu’elles remarquent les regards et les attitudes de dégoût de certains frères et sœurs à leur égard, elles restent dédaigneuses, continuent à agir à leur guise, portant talons hauts et sacs de couturiers. Certaines tentent même de se faire passer pour des personnes fortunées, nanties, tout en portant des parfums de piètre qualité dans les réunions, de sorte qu’une fois qu’elles sont entrées dans la pièce, le mélange de leur parfum, de leur fard à joues et de leur huile pour les cheveux forme une odeur âcre et désagréable. Bon nombre d’autres participants aux réunions sont indignés, mais ils n’osent pas dire ce qu’ils pensent, ils sont dégoûtés à la vue de ces personnes, et ceux qui croient sincèrement en Dieu gardent leurs distances avec elles. Que la tenue et l’apparence de telles personnes soient plutôt chics ou plutôt décontractées, leur caractéristique principale est que leur discours, leur comportement, leur attitude et leur mode de vie sont exceptionnellement libres et indisciplinés, non seulement lors des réunions, mais aussi dans leurs interactions quotidiennes avec les frères et sœurs ou dans leur vie de tous les jours. Pour être précis, elles se laissent particulièrement aller, elles ne sont pas gouvernées par la moindre retenue. Leur vie quotidienne ne répond pas à des habitudes régulières. Elles disent tout ce qu’elles ont envie de dire, agissent imprudemment et délibérément, elles ne discutent jamais de leurs expériences personnelles, partagent rarement leur compréhension des paroles de Dieu, et ne parlent pratiquement pas des difficultés qu’elles rencontrent en faisant leurs devoirs. Quels sont les seuls thèmes dont elles discutent ? Elles discutent des tendances sociétales, de la mode, de la haute cuisine, de la vie privée de célébrités dans la société et même de vedettes, et d’histoires et d’anecdotes insolites émanant de la société. Étant donné leurs révélations naturelles, il n’est pas difficile de voir que la croyance en Dieu de telles personnes consiste simplement à faire dans l’à-peu-près dans la vie. Leur vie est entièrement concentrée sur le fait de manger, de boire et de s’amuser, plutôt que sur des questions comme le fait de mener une vie d’Église, de faire leur devoir ou de poursuivre la vérité. La formule « dissolu et sans retenue » signifie que le mode de vie de ces personnes, ce qu’elles vivent en ce qui concerne leur humanité, et aussi leur façon de gérer les choses, de traiter les autres et d’interagir avec autrui sont tous dissolus et sans retenue. Elles imitent souvent des expressions populaires dans la société. Que les frères et sœurs aiment ou non entendre ces personnes, qu’ils puissent ou non les comprendre, elles continuent simplement de parler. Elles imitent même fréquemment les dictons de certains personnages célèbres de la société et de vedettes de la musique et du cinéma. Quant au vocabulaire positif souvent utilisé dans la maison de Dieu et entre les frères et sœurs, elles ne s’y intéressent jamais. Elles n’échangent jamais sur la vérité dans leur vie quotidienne. Ce qu’elles idolâtrent, ce sont les tendances mondaines. Divers personnages célèbres et vedettes sont la cible de leur idolâtrie et de leur imitation. Par exemple, elles saisissent vite les termes et expressions populaires sur Internet et elles les utilisent dans leur vie et dans leurs conversations avec les frères et sœurs. Bien entendu, ces termes ne constituent assurément pas quoi que ce soit de positif ou d’édifiant. Ils sont tous négatifs, ils n’ont aucune valeur et ont encore moins une quelconque signification pour ceux qui croient en Dieu. Il s’agit d’expressions populaires produites par l’humanité corrompue et malfaisante, qui représentent entièrement les pensées et points de vue des forces malfaisantes. De tels mots sont souvent remarqués, acceptés et utilisés par les incrédules dans l’Église qui aiment les tendances malfaisantes. Ces gens sont entièrement fermés à la terminologie et au vocabulaire spirituels de la maison de Dieu, ils n’écoutent pas cette terminologie et ce vocabulaire ou ne s’en informent pas sérieusement. À l’inverse, ils apprennent et utilisent rapidement les choses négatives du monde non-croyant et les choses auxquelles les individus méprisables font attention. Par conséquent, ces gens, qu’on les juge extérieurement sur leur tenue, leur discours et leur attitude, ou sur les diverses pensées, les divers points de vue, et les attitudes vis-à-vis des choses qu’ils révèlent, se démarquent comme étant exceptionnellement différents au milieu des frères et sœurs. Que veut dire « être différent » ? Cela signifie que leur discours, leur comportement et leur attitude sont comme ceux des non-croyants, ils ne présentent absolument aucun changement. Ces gens sont simplement des incrédules. Par exemple, certaines personnes chantent deux hymnes sur la scène de la maison de Dieu et sont appréciées de tout le monde, alors elles commencent à se prendre pour des vedettes ou des gens importants, elles exigent toujours d’être très maquillées durant les représentations, elles insistent pour avoir la coiffure d’une certaine célébrité, et se teignent les cheveux dans des couleurs étranges. Quand les autres disent : « Les croyants devraient s’habiller de manière digne et convenable. Ton style ne satisfait pas aux exigences de la maison de Dieu », ces personnes se plaignent, en disant : « Les règles de la maison de dieu sont trop strictes. C’est vraiment problématique ! Pourquoi est-il aussi difficile d’être une star ? » Après avoir chanté seulement deux hymnes, elles s’imaginent être des vedettes et se trouvent formidables, et chaque fois qu’elles sont désœuvrées, elles se demandent constamment : « Combien de doigts les stars du monde non-croyant utilisent-elles pour tenir leur micro ? Combien de pas font-elles avant de monter sur scène ? Pourquoi ne me donne-t-on pas de fleurs, alors que je chante si bien ? Les stars du monde extérieur ont des agents et des assistants. Elles n’ont pas à gérer ou à aborder la plupart des questions elles-mêmes, leurs assistants s’occupent de tout. Mais en tant que chanteuse dans la maison de dieu, je dois m’occuper de tâches banales, comme le fait de me procurer de quoi manger, m’habiller et faire les courses toute seule. La maison de dieu est tellement conservatrice ! » Dans leur cœur, ces personnes sont constamment malheureuses de vivre dans la maison de Dieu. Elles sont particulièrement mécontentes, toujours insatisfaites et pleines de doléances. De telles personnes peuvent-elles aimer la vérité ? Pratiqueront-elles la vérité ? Pourquoi ne réfléchissent-elles pas sur elles-mêmes ? Leurs perspectives sur les choses sont tellement déformées, semblables à celles des non-croyants. Comment peuvent-elles ne pas s’en rendre compte ? La maison de Dieu ne les empêche pas de devenir des stars, mais leurs points de vue et leur façon d’aborder les choses, qui sont ceux des incrédules, sont-ils praticables dans la maison de Dieu ? Ils sont fondamentalement indéfendables. Leur discours et leur attitude habituels sont méprisables aux yeux de la plupart des gens. À cause de leur « ouverture d’esprit » et parce qu’elles se laissent aller à l’extrême, tout ce que de telles personnes disent et font est dissolu et sans retenue, et ne révèle rien d’autre que le tempérament de Satan.

La maison de Dieu insiste de manière répétée sur le fait que les frères et sœurs doivent maintenir des limites entre hommes et femmes, et ne pas s’empêtrer avec les individus du sexe opposé. Cependant, certaines personnes sont dissolues et sans retenue, elles ne tiennent absolument pas compte de ce conseil, et tentent même de séduire ou de fréquenter en secret d’autres personnes, ce qui perturbe la vie d’Église. Elles aiment contacter les individus du sexe opposé, elles cherchent même des raisons et des prétextes pour entrer en contact avec ces individus et interagir avec eux de façon enjouée. Ces personnes, quand elles voient un individu du sexe opposé qui est séduisant, ou avec lequel elles s’entendent bien, se mettent à le titiller, à flirter et à plaisanter avec lui, à tripoter ses vêtements et à ébouriffer ses cheveux, et même à lui glisser des boules de neige dans ses vêtements, l’hiver. Ils s’amusent ensemble, comme des animaux, sans limites ni sens de l’honneur, sans éprouver la moindre honte. Certains disent : « Comment cela pourrait-il être considéré comme s’amuser ensemble ? Ils se témoignent de l’affection. Cela s’appelle être mièvre, être romantique. » Si tu cherches une idylle, tu as choisi le mauvais endroit. L’Église est le lieu où les frères et sœurs font leurs devoirs. C’est un lieu qui est fait pour adorer Dieu, pas pour flirter. Les démonstrations publiques d’un tel comportement, devant tout le monde, amènent la plupart des gens à être dégoûtés et rebutés. Le problème essentiel est que cela n’édifie pas les autres, et que tu perds également ton intégrité et ta dignité. Quel âge as-tu, au juste ? Ne sais-tu pas faire la différence entre ta main droite et ta main gauche ? Ne comprends-tu pas la différence entre les hommes et les femmes ? Et pourtant, tu te livres au flirt ! Il est normal que des enfants de sept ou huit ans s’amusent ensemble, un tel comportement et de tels centres d’intérêts sont typiques à cet âge. Cependant, si des adultes adoptent ces comportements, n’est-ce pas puéril ? Pour dire les choses simplement, c’est exactement de cela qu’il s’agit. En termes d’essence, de quoi s’agit-il ? (C’est se laisser aller et être dissolu.) C’est être par trop dissolu ! Quand on croit en Dieu, on doit être à même de posséder un sens de l’honneur. Même parmi les non-croyants, peu d’individus se comportent de façon aussi dissolue. Comme ces personnes dissolues sont frivoles et méprisables ! Elles glissent des boules de neige dans les vêtements des individus du sexe opposé pour s’amuser, elles ne se contentent pas de les poursuivre malicieusement, mais vont jusqu’à leur botter les fesses, et quand quelqu’un expose le fait qu’un tel comportement est par trop dissolu et brouille les limites entre hommes et femmes, ces personnes rétorquent : « Nous nous amusons ensemble ainsi parce que nous sommes très proches. Les gens devraient le comprendre. » Elles sont complaisantes à ce point, et non seulement elles se permettent de se laisser aller, mais elles incitent aussi les autres à en faire de même. De quel genre de misérables s’agit-il ? Dites-Moi, de telles personnes devraient-elles rester dans l’Église ? (Non.) Côtoyer ce genre de personnes est toujours gênant et embarrassant. Quand elles voient quelqu’un, elles ne le saluent pas normalement. Au lieu de cela, elles leur donnent simplement un coup de poing, en disant : « Bon sang, où étais-tu passé depuis toutes ces années ? Je croyais que tu avais disparu de la surface de la terre ! Comment vas-tu ? » Même leur façon de saluer les gens est vraiment barbare et hautaine. Non seulement elles parlent comme des barbares, mais elles s’en prennent aussi aux gens physiquement. Cela ne ressemble-t-il pas au comportement des voyous et des bandits ? Aimez-vous de telles personnes ? (Non.) Avoir l’impression d’être tourné en ridicule et qu’on se joue de vous est-il agréable ? (Non.) C’est désagréable, et on ne peut même pas l’exprimer. On doit simplement le subir, et la fois suivante, quand on voit ces personnes, on se tient à distance d’elles. En résumé, qu’est-ce que tout cela dit de la qualité de l’humanité de telles personnes ? (Leur humanité est médiocre.) Quel que soit l’angle sous lequel on considère ces personnes, que ce soit sous l’angle de leur discours et de leur attitude, de leur conduite personnelle, de la façon dont elles font face au monde, et de leurs interactions avec les autres, sous l’angle de leur point de vue sur les tendances du monde non-croyant, ou de leur manière de croire en Dieu, et de leur attitude envers Dieu et Ses paroles, il n’est pas difficile de voir que ces personnes n’ont pas la moindre piété ou qu’elles n’ont pas un cœur qui craint Dieu. On ne peut pas non plus voir en elles la moindre sincérité pour ce qui est de chercher ou d’accepter la vérité. Ce que l’on observe, c’est qu’elles sont dissolues et qu’elles n’ont pas de retenue, c’est leur constante imitation des vedettes et des idoles, et le fait qu’elles n’ont pas la moindre intention de changer de cap, quelle que soit la façon dont on échange sur la vérité avec elles. Comment peut-on résumer les caractéristiques de leur humanité ? Leur humanité est dissolue et sans retenue. Par conséquent, on peut sans aucun doute déclarer qu’il s’agit de non-croyants qui se sont infiltrés dans la maison de Dieu. Il s’agit d’incrédules.

Les personnes dissolues et sans retenue emploient le même vocabulaire que les bandits et les voyous du monde non-croyant ; elles aiment particulièrement adopter le discours et le style des stars et des figures négatives de la société, si bien que l’essentiel de leur langage adopte un ton méprisable similaire à celui d’un voyou ou d’un truand. Par exemple, lorsqu’un non-croyant arrive, qu’il prononce quelques phrases étranges après avoir frappé à la porte, les frères et sœurs disent : « Il y a quelque chose qui cloche ; pourquoi cette personne a-t-elle l’air d’un éclaireur ou d’un espion ? » Bien qu’ils n’en soient pas sûrs pour l’instant, cela met la plupart des gens mal à l’aise. Cependant, la personne dissolue et sans retenue parle de manière impressionnante, et même avec une certaine morgue, en disant : « Un éclaireur ? Cela ne me fait pas peur ! Pourquoi les craindre ? Si vous avez peur, vous n’êtes pas obligés de sortir. Je vais aller voir de quoi il retourne. » Regardez comme elle est courageuse et audacieuse. Pourriez-vous parler ainsi ? (Non, ce n’est pas comme ça que parlent les gens normaux, ces paroles ressemblent à celles d’un bandit.) Les bandits parlent différemment des gens normaux ; ils sont particulièrement autoritaires. Les gens apprennent le langage de leur espèce ; les gens de la rue adoptent particulièrement le jargon populaire de la société, les bandits et les voyous aiment utiliser leur propre argot et les incrédules sont exactement comme les non-croyants, ils disent tout ce que les non-croyants disent. Les gens de bien, dignes et respectables, éprouvent du dégoût et de la répugnance en entendant le discours des non-croyants ; aucun d’entre eux n’essaie d’imiter ce genre de discours. Certains incrédules, même après avoir cru dix ou vingt ans, emploient encore le langage des non-croyants et choisissent délibérément ce type de discours ; et quand ils s’expriment, ils vont jusqu’à imiter le comportement, les expressions et les gestes des non-croyants, ainsi que les regards que ces derniers lancent aux autres. Ces gens peuvent-ils être agréables aux yeux des frères et sœurs de l’Église ? (Non.) La plupart des frères et sœurs les trouvent désagréables et gênants à regarder. Que pensez-vous que Dieu ressente à leur égard ? (De la détestation.) La réponse est claire : de la détestation. Étant donné ce qu’ils vivent, leurs poursuites, et les personnes, les événements et les choses qu’ils vénèrent dans leur cœur, il est évident que leur humanité n’incarne ni la dignité ni la décence et qu’elle est loin d’être pieuse et de convenir à la bienséance des saints. Il est rare d’entendre de leur bouche les paroles que les croyants ou les saints devraient prononcer, les paroles qui édifient les autres et expriment l’intégrité et la dignité ; il est peu probable qu’ils les prononcent. Ce qu’ils révèrent, ce à quoi ils aspirent et ce qu’ils poursuivent dans leur cœur est fondamentalement incompatible avec ce que des saints devraient poursuivre et ce à quoi ils devraient aspirer, si bien qu’il est difficile de faire en sorte que ce qu’ils vivent en apparence, leur discours et leur comportement soient réfrénés. Leur demander de faire preuve de retenue, de ne pas être dissolus ou de ne pas se laisser aller, et de garder leur dignité et leur décence n’est pas une mince affaire. Sans parler de vivre comme une personne dotée d’humanité et de raison, quelqu’un qui comprend la vérité et entre dans la vérité-réalité ; ils sont même incapables d’être des personnes normales, intègres et dignes, qui font montre de la bienséance des saints, respectent les règles et donnent une apparence de rationalité. Un jour, quelqu’un s’est rendu à la campagne pour prêcher l’Évangile et a vu que les familles de certains frères et sœurs vivaient dans la pauvreté et dans des maisons délabrées. Il a dit d’un ton sarcastique et moqueur : « Cette maison est tellement délabrée, elle n’est pas adaptée pour des humains, elle le serait à peine pour des porcs. Vous devriez déménager au plus vite ! » Les frères et sœurs ont répondu : « Déménager, c’est facile, mais qui nous donnera une autre maison où habiter ? » Il a parlé de manière imprudente et volontaire, disant tout ce qui lui passait par la tête sans tenir compte de l’impact que cela pouvait avoir sur les autres. Il s’agit là d’une nature méprisable. Les frères et sœurs ont demandé : « Si nous déménageons, qui nous donnera une maison où habiter ? Tu as une maison, toi ? » Il n’a pas répondu. Voyant que les gens faisaient face à des difficultés, il devait être en mesure de résoudre leurs difficultés avant de parler. S’il parlait imprudemment sans être capable de résoudre leurs difficultés, quelles en étaient les conséquences ? S’agissait-il d’un problème d’excès de franchise et de franc-parler ? Absolument pas. Le problème était que le caractère méprisable de cette personne était trop grave ; c’était là une personne dissolue et sans retenue. Ces gens-là n’ont absolument aucune idée de ce que sont l’intégrité, la dignité, la considération, la tolérance, l’attention, le respect, la compréhension, la sympathie, la compassion, la prévenance, l’assistance et ainsi de suite. Ces qualités essentielles à l’humanité normale sont ce que les gens devraient posséder. Non seulement ils n’ont pas ces qualités, mais, dans leurs interactions avec les autres, lorsqu’ils voient les difficultés qu’une personne rencontre, ils peuvent même ricaner, la ridiculiser, se moquer d’elle et la tourner en dérision ; non seulement ils sont incapables de la comprendre ou de l’aider, mais ils lui causent également de la tristesse, un sentiment d’impuissance, de la douleur et même des ennuis. La plupart des gens voient clairement les personnes qui sont méprisables à ce point, et ils les supportent de façon répétée. Pensez-vous que ces gens-là puissent véritablement se repentir ? À Mon avis, c’est peu probable. Compte tenu de leur nature-essence, ils n’ont pas d’amour pour la vérité, alors comment pourraient-ils accepter d’être émondés et disciplinés ? Les non-croyants ont des formules pour décrire ce genre de gens, telles que « s’en tenir à sa propre voie » ou « suivre son propre chemin sans se soucier du qu’en-dira-t-on » – quelle logique ridicule est-ce là ? Ces soi-disant dictons et expressions célèbres sont souvent considérés comme des choses positives dans cette société qui déforme les faits et confond le bien et le mal. C’est à peu près tout ce qu’il y a à dire à propos des manifestations de l’humanité de ceux qui sont dissolus et sans retenue.

Indépendamment du fait que des individus dissolus et sans retenue affectent la vie d’Église, les relations normales entre frères et sœurs, ou l’accomplissement normal du devoir par le peuple élu de Dieu, du moment que les manifestations et révélations de l’humanité de ces individus ont un impact et des conséquences néfastes, perturbant les frères et sœurs, ces problèmes devraient être résolus, et des mesures appropriées devraient être prises contre de tels individus, au lieu de se contenter de les laisser agir librement. Dans les cas mineurs, on peut proposer de l’aide et un soutien à ces individus, ou ils peuvent être émondés et mis en garde. Dans les cas graves, quand leur comportement et leur attitude sont particulièrement dissolus, comme ceux des non-croyants ou des incrédules, qu’ils n’ont pas le moindre sens de la bienséance des saints, les dirigeants et les ouvriers d’Église doivent trouver des solutions appropriées pour s’occuper de ces individus. Si la majorité des frères et sœurs sont d’accord, et que les conditions le permettent, ces individus doivent être exclus. À tout le moins, ils ne devraient pas être autorisés à faire leurs devoirs dans l’Église du devoir à plein temps. À quoi fait référence « dans les cas mineurs » ? Cela signifie que certains individus sont des nouveaux croyants, non-croyants à l’origine, qui n’ont jamais cru au christianisme et qui ne comprennent pas ce qu’implique la croyance en Dieu. Leur discours et leur attitude révèlent des habitudes de non-croyants. Cependant, en lisant la parole de Dieu, en échangeant sur la vérité et en menant une vie d’Église, ils opèrent un revirement et changent peu à peu. Ils en viennent à être comme des croyants et affichent une certaine ressemblance humaine. Ces individus ne devraient pas être classés dans les rangs des personnes malfaisantes, mais en tant que personnes qui peuvent être aidées. Une autre catégorie est celle des jeunes gens, autour de la vingtaine, qui, même s’ils croient en Dieu depuis quatre ou cinq ans, se laissent encore aller à l’espièglerie, ne sont pas tout à fait rangés, affichent une certaine puérilité dans leur discours et leur attitude, en apparence, et qui parlent, se comportent et agissent comme des enfants, et ainsi de suite, du fait de leur jeunesse. En ce qui concerne ces personnes, on devrait leur apporter aide et soutien avec amour. On devrait leur laisser suffisamment de temps pour qu’elles changent peu à peu, sans leur imposer d’exigences excessivement strictes. Bien entendu, pour ce qui est des adultes qui croient en Dieu depuis de nombreuses années, mais qui affichent encore un discours, une attitude, un comportement et des actes dissolus et sans retenue, comme des non-croyants, et qui refusent de changer en dépit de remontrances répétées, une approche différente est justifiée. Ces individus doivent être traités conformément aux règlements de la maison de Dieu. Si le discours et l’attitude de tels individus, ainsi que les révélations de leur humanité, perturbent la majorité des gens et ont un impact néfaste dans l’Église, amenant beaucoup de gens à éprouver du dégoût à la vue de ces individus, à être réticents à les écouter parler, réticents à voir leurs expressions quand ils parlent, et réticents à regarder leur tenue, et que la plupart des gens sont plus contents et dans une meilleure situation quand de tels individus n’assistent pas aux réunions, qu’ils se sentent mal à l’aise et dégoûtés par la simple participation à la vie d’Église et la simple présence de ces individus parmi les frères et sœurs, comme si un insecte provoquait des perturbations, alors ces individus sont, sans aucun doute, des personnes malfaisantes. Autrement dit, quand ces individus mènent une vie d’Église et font leur devoir avec les frères et sœurs, la plupart des gens sont perturbés et particulièrement dégoûtés. Dans de tels cas, ces individus doivent être pris en charge dès que possible, ils ne doivent pas être laissés seuls, libres d’agir à leur guise, ni soumis à plus ample observation. À tout le moins, ils doivent être évincés de l’Église du devoir à plein temps et envoyés dans une Église ordinaire pour se repentir. Pourquoi gérer la situation ainsi ? (Parce qu’ils ont provoqué des perturbations et sont à l’origine de conséquences néfastes touchant la plupart des gens, dérangeant ainsi la vie d’Église.) Parce que les conséquences et l’impact de leurs manifestations sont tellement ignobles ! Cela étant, les dirigeants et ouvriers, ainsi que le peuple élu de Dieu, ne doivent pas fermer les yeux sur eux ni céder aveuglément à leur comportement. Il est inapproprié que les dirigeants et les ouvriers ne fassent rien, même si de tels individus provoquent des perturbations touchant la majorité des gens. De tels individus doivent être renvoyés de l’Église conformément aux règlements de la maison de Dieu, c’est le choix le plus sage.

Auparavant, l’Église s’est-elle déjà occupée de gens qui sont dissolus et sans retenue ? (Oui.) Quand l’Église s’est occupée de telles personnes, certaines ont pleuré, en disant : « Ce n’était pas intentionnel. Je n’ai ce comportement qu’occasionnellement. Je ne suis pas ce genre de personne. S’il vous plaît, laissez-moi une autre chance ! Si on ne m’autorise pas à faire mon devoir, je ne pourrai pas croire en dieu quand je rentrerai à la maison, où tout le monde est non-croyant. » Ces personnes parlent de façon si séduisante, et semblent sincèrement bouleversées, elles expriment une réticence à quitter Dieu et demandent à la maison de Dieu qu’elle leur laisse une autre chance de se repentir. Il est possible de leur accorder une autre chance, mais l’essentiel, c’est de savoir si elles peuvent changer ou non. Si l’on perçoit clairement que ces personnes n’ont pas la moindre humanité, qu’elles n’ont ni conscience ni raison, qu’elles ne sont, pour l’essentiel, que des choses sans cœur et sans esprit, alors on ne devrait pas leur laisser une autre chance. Ce serait vain. Cependant, si la substance de la personne est bonne, et que c’est simplement son humanité qui est immature, du fait de sa jeunesse, et que cette personne va forcément changer dans quelques années, alors on doit lui donner l’occasion de se repentir. Elle ne doit absolument pas être exclue de l’Église. Une bonne personne ne doit jamais être anéantie. Certains individus sont intrinsèquement des incrédules. Ils sont intrinsèquement dissolus, ignorants et stupides. Du point de vue de leur humanité, le concept d’honneur leur fait intrinsèquement défaut, ils ne savent pas ce qu’est un sentiment de honte. Après avoir agi de manière fruste en public, la plupart des gens éprouvent des regrets et sont gênés de faire face aux autres. En outre, s’ils ont envie d’agir ainsi, ils sont capables de tenir compte des sentiments et des opinions des frères et sœurs, et sont soucieux de leur propre intégrité et de leur propre dignité, et ils ne se comporteront pas ainsi. Tout au plus, ils feront peut-être des histoires chez eux avec leurs enfants ou leur fratrie. Quand les gens vont par monts et par vaux, qu’ils interagissent avec des inconnus, ils devraient comprendre ce que signifie avoir le sens de l’honneur, de la décence, des règles et de la dignité. Quelqu’un qui ne comprend pas ces concepts peut-il changer, même avec ton aide ? Même si on restreint cet individu maintenant, combien de temps peut-il résister ? Il ne faudra pas attendre longtemps avant qu’il ne reprenne ses vieilles habitudes. Parce que de tels individus n’ont ni dignité ni sentiment de honte dans leur humanité, qu’ils ne savent pas ce que les règles, la décence ou la bienséance des saints signifient, et parce que leur humanité ne possède pas intrinsèquement ces qualités, tu ne peux pas les aider. Les gens qu’on ne peut pas aider sont ceux qui ne peuvent pas changer, ceux à qui on ne peut pas donner d’instructions ou qu’on ne peut pas influencer. De tels individus doivent être renvoyés le plus vite et le plus tôt possible, pour les empêcher de provoquer des perturbations parmi les frères et sœurs, d’apporter la honte dans l’Église. La maison de Dieu n’a besoin de personne simplement pour grossir les rangs. Si Dieu ne veut pas sauver quelqu’un, alors on aura beau simplement grossir les rangs, cela ne sera d’aucune utilité à cet individu. Ceux que Dieu ne reconnaît pas doivent être exclus. Renvoyez ceux qui ne devraient pas rester dans la maison de Dieu, de peur que la présence d’un seul individu n’affecte défavorablement de nombreuses autres personnes, ce qui est injuste envers la majorité des gens. Si vous percez à jour l’essence de ceux qui sont dissolus et sans retenue, vous devriez vous en occuper et les exclure dès que possible, au lieu de les tolérer indéfiniment. Certains disent : « Ils obtiennent parfois des résultats quand ils font leur devoir. On a encore besoin d’eux pour cet aspect du travail. Ils ont aussi un cœur plutôt aimant et peuvent payer un petit prix. » Mais qui, parmi ceux qui restent dans la maison de Dieu, ne peuvent pas payer un petit prix ? Qui ne peut pas parvenir à certains résultats en faisant son devoir ? Si tout le monde peut obtenir certains résultats, pourquoi ne pas choisir de bonnes personnes, qui sont dignes et respectables, pour faire des devoirs ? Pourquoi insister pour garder des individus de ce type, qui sont des gens méprisables, des fripouilles et des idiots, dans l’Église du devoir à plein temps, afin qu’ils provoquent des perturbations ? Pourquoi insister pour garder ces incrédules, qui vivent comme des non-croyants, afin qu’ils rendent service dans la maison de Dieu ? La maison de Dieu ne manque pas d’exécutants. La maison de Dieu veut seulement que des gens honnêtes qui aiment la vérité, des gens droits, et ceux qui peuvent poursuivre la vérité, se dépensent pour Dieu.

La plupart de ceux qui font des devoirs actuellement sont des individus qui croient en Dieu depuis plus de cinq ou six ans, et toutes sortes d’individus ont été pleinement révélés en faisant leurs devoirs : ceux qui sont des incrédules, des gens à l’esprit confus, des faux dirigeants, des personnes malfaisantes et des antéchrists ont tous été révélés. De nombreux élus de Dieu ont clairement vu que la plupart de ces individus refusaient de changer, en dépit de remontrances répétées, et qu’ils avaient déjà fait subir des perturbations et des interruptions graves au travail de la maison de Dieu. Le moment est venu : ces incrédules, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists doivent être renvoyés. Ne pas les renvoyer affectera la marche du travail de l’Église et de la diffusion de l’Évangile du Règne de Dieu. Ne pas les renvoyer aura un impact sur l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. La vie d’Église continuera à être perturbée et ne sera jamais en paix. Par conséquent, les dirigeants et les ouvriers d’Église, à tous les niveaux, devraient commencer à purger l’Église conformément aux intentions de Dieu, en se basant sur les paroles de Dieu. Je vois que bon nombre de gens sont dépourvus d’humanité. Lors des réunions, certaines personnes affichent toutes sortes de comportements inconvenants et n’adoptent pas une attitude appropriée, qu’elles soient assises ou debout, avec du thé, un téléphone portable, de la crème pour le visage et du parfum tout prêts, à côté d’elles. Certaines personnes qui aiment avoir l’air jolies vérifient constamment leur apparence dans un miroir et retouchent leur maquillage, et d’autres boivent sans cesse de l’eau, consultent leur téléphone pour lire les informations ou regarder des vidéos du monde non-croyant, parlant et discutant les jambes croisées, se pliant en deux, prenant une forme qui ressemble à celle d’un serpent, elles ne gardent même pas une posture appropriée. J’ai également appris que certains individus regagnaient leur chambre la nuit et s’allongeaient sur leur lit sans même enlever leurs chaussures, pour dormir jusqu’à l’aube. Le matin, ils ouvrent les yeux, non pour prier ou pour faire leurs dévotions spirituelles, mais pour vérifier en premier lieu les informations sur leur téléphone portable. Pendant les repas, quand ils voient des plats délicieux, ou de la viande, ils s’y attaquent avec voracité, se moquant de savoir si les autres peuvent manger, tant que eux sont rassasiés, puis ils retournent directement dormir. Ils n’ont aucune ressemblance humaine, quoi qu’ils fassent, ils agissent de manière dissolue et sans retenue, comme des non-croyants, en ne respectant absolument aucune règle, sans la moindre obéissance ni soumission, exactement comme des bêtes. Dites-Moi, les personnes de ce type qui ont une nature aussi méprisable peuvent-elles être sauvées ? (Non.) Alors, y a-t-il le moindre intérêt à ce qu’elles croient en Dieu ? Ayant un calibre trop médiocre pour être le moins du monde à la hauteur de la vérité, peuvent-elles comprendre les paroles de Dieu quand elles les lisent ? Sans suivre les moindres règles pour ce qui est de leur façon de se conduire, leur travail peut-il être à la hauteur ? Sans conscience ni raison, peuvent-elles faire preuve d’acceptation quand elles écoutent des sermons et des échanges sur la vérité ? (Non.) Les individus qui affichent ces comportements n’ont fondamentalement pas la moindre humanité, alors comment leur serait-il possible de gagner la vérité ? Ceux qui n’ont aucune humanité sont des bêtes, des démons, des morts sans esprit, qui ne peuvent pas comprendre la vérité quand ils l’entendent et qui ne méritent pas d’entendre la vérité. Essayer de leur faire comprendre et gagner la vérité, c’est comme obliger les poissons à vivre sur la terre ferme ou obliger les cochons à voler, c’est impossible ! Auparavant, en discutant des types de gens qui sont des bêtes, le mot « bêtes » a souvent été associé au mot « chien », de sorte qu’on a appelé ces gens des « bêtes-chiens ». Cependant, après avoir élevé des chiens et interagi étroitement avec eux, J’ai découvert qu’ils possédaient les meilleures choses qui manquent aux êtres humains : ils se comportent en respectant les règles, ils sont obéissants et ont un sens du respect de soi. Tu établis des limites pour qu’ils s’y promènent, et ils ne se promèneront que dans ces limites, et sans exception, ils n’iront absolument pas là où tu leur interdis d’aller. S’ils dépassent ces limites accidentellement, ils battront rapidement en retraite, en remuant la queue continuellement, implorant le pardon et admettant leur erreur. Les êtres humains peuvent-ils parvenir à cela ? (Non.) Les êtres humains ne sont pas à la hauteur. Même s’il se peut que les chiens ne comprennent pas autant de choses que les êtres humains, ils saisissent une chose : « Voilà le territoire de mon maître, voilà la maison de mon maître. Je peux aller partout où mon maître me le permet et j’évite les endroits où il m’est interdit d’aller. » Même quand on ne les frappe pas, ils s’abstiennent d’y aller. Ils ont un sens du respect de soi. Même les chiens savent ce qu’est la honte, alors pourquoi les êtres humains ne le savent-ils pas ? Est-il excessif de classer ceux qui ne connaissent pas la honte parmi les bêtes ? (Non.) Ce n’est pas du tout excessif. La plupart des gens n’ont même pas les vertus d’un chien. À l’avenir, quand nous dirons que certaines personnes sont des bêtes, nous ne pourrons plus les qualifier de « bêtes-chiens ». Ce serait insulter les chiens, car ces personnes, ces bêtes, sont même pires que des chiens. Par conséquent, dès lors que de telles personnes perturbent la vie d’Église ou l’accomplissement des devoirs des frères et sœurs, elles doivent être rapidement exclues. C’est simplement raisonnable, légitime, et pas du tout excessif. Ce n’est pas manquer d’amour, c’est agir avec principe. Même si ceux qui sont dissolus et sans retenue montrent qu’ils obtiennent des résultats dans leurs devoirs, peuvent-ils être sauvés ? Sont-ils des individus qui acceptent la vérité ? Ils ne peuvent même pas restreindre leurs propres actes, alors est-il possible qu’ils acceptent la vérité ? Ils ne peuvent pas conserver leur propre intégrité et leur propre dignité, alors peuvent-ils entrer dans la vérité-réalité ? C’est impossible. Donc, s’occuper de ces individus d’une telle manière n’est pas du tout excessif, cela repose entièrement sur des principes, et c’est entièrement dans le but de protéger le peuple élu de Dieu des perturbations de Satan. En résumé, quand on détecte de tels individus, on devrait s’en occuper en conséquence, en se basant sur les divers principes que Je viens d’évoquer. Est-il excessif de classer le genre de gens qui sont réellement dissolus et sans retenue, et qui cèdent réellement à la chair, sans la moindre bienséance des saints, comme étant des non-croyants et des incrédules ? (Non.) Puisqu’ils sont classés comme étant des non-croyants et des incrédules, les inclure dans les rangs de divers types de personnes malfaisantes que l’Église devrait exclure n’est pas excessif. Les gens qui ne peuvent même pas restreindre leur propre comportement et leur propre attitude ne peuvent certainement pas accepter la vérité. Ceux qui ne peuvent pas accepter la vérité ne sont-ils pas les ennemis de la vérité ? (Si.) Est-il excessif de décrire ceux qui sont des ennemis de la vérité comme étant des personnes malfaisantes ? (Non.) Ce n’est pas du tout excessif. Par conséquent, les principes pour s’occuper d’eux sont entièrement appropriés.

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