Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (27) Section 2

Dans l’Église, il y a aussi certains individus qui sont des Judas, et ils essayent toujours de s’enquérir de la somme d’argent qui est en possession de la maison de Dieu et de qui dans l’Église fait les plus grandes offrandes. Les autres leur disent : « On ne peut pas te donner d’informations là-dessus. Savoir ça ne t’apportera rien et en plus, ce n’est pas une question sur laquelle tu devrais te renseigner. » Après avoir entendu cela, ils deviennent hostiles et disent : « Vous vous protégez tous de moi, vous me méprisez, et ne me traitez pas comme l’un des frères et sœurs ; vous me traitez comme un étranger. Je sais qui sauvegarde l’argent de l’Église chez lui. Je vous dénoncerai et je laisserai la police tout confisquer ; je saurai alors combien d’argent il y a ! » Chaque fois qu’il se passe quelque chose, ils veulent vendre ou dénoncer les autres ; ce n’est que lorsqu’il s’agit de perturbations causées dans l’Église par les faux dirigeants, les antéchrists et les personnes malfaisantes qu’ils ne dénoncent jamais rien. Ou encore, même quand ils voient les faux dirigeants et les antéchrists voler les offrandes ou s’en emparer, ils n’exposent ni ne dénoncent jamais ces actions et ne les signalent pas non plus à la maison de Dieu. Ils ne se préoccupent pas de ce genre de choses. Mais si quiconque parmi les frères et sœurs les provoque, les offense ou leur manque de respect, ils le dénonceront. Ou si un certain arrangement de travail de la maison de Dieu n’est pas conforme à leurs notions et les met dans l’embarras ou dans une position délicate, ils commencent à se dire : « Je vais te dénoncer ! Je vais m’assurer que tu perdes ton poste de dirigeant d’Église, que le travail de l’Église échoue et que l’Église s’effondre ! » Tu vois ? Même pour cela, ils veulent dénoncer le dirigeant de l’Église. Dans certaines Églises, plusieurs personnes aptes à faire des devoirs à l’étranger sont sélectionnées ; leur situation familiale et personnelle le permet, elles répondent aux exigences de la maison de Dieu, et les frères et sœurs sont tous d’accord. Lorsque ces personnes qui sont des Judas voient cela, elles se disent : « Les bonnes choses de ce genre ne m’arrivent jamais. Je devrais vous dénoncer ! Je dirai à la police que certaines personnes de notre Église vont partir à l’étranger pour faire leur devoir. Je m’assurerai que vous ne puissiez pas quitter le pays. Je ferai en sorte que le grand dragon rouge vous arrête ou que le gouvernement vous place sous surveillance, de sorte que vous ne pourrez même plus retourner chez vous ! » Du moment que les frères et sœurs ne peuvent pas aller à l’étranger, ils se sentent satisfaits. À votre avis, la nature des actions de ce genre de personne n’est-elle pas plus grave que celle des personnes qui causent occasionnellement des perturbations et des interruptions ? (Si.) Les personnes de ce genre représentent un gros problème. Elles n’ont pas de cœur qui craint Dieu et n’ont absolument pas peur de Dieu. Peu importe la situation ou la raison, du moment que les choses ne se passent pas comme elles le souhaitent, elles veulent dénoncer l’Église et vendre les frères et sœurs ; ce sont des démons ! Lorsque l’Église découvre de telles personnes, elles devraient être exclues ou expulsées aussi rapidement que possible afin d’éviter des problèmes à l’avenir. Si l’environnement actuel ne le permet pas ou que les conditions ne s’y prêtent pas encore, alors elles doivent faire l’objet d’une surveillance et d’une supervision rigoureuses et il faut se protéger d’elles. Lorsque les conditions le permettent, des individus dangereux comme ceux-ci ne doivent en aucun cas être tolérés ; excluez-les ou expulsez-les aussi vite que possible. Agissez sans attendre qu’ils vendent l’Église et engendrent des conséquences. Une fois qu’ils passeront à l’acte et que cela causera des conséquences réelles, les pertes seront considérables. Qui sait combien de frères et sœurs ne pourront plus rentrer chez eux, ou seront même arrêtés et emprisonnés. De nombreux frères et sœurs pourraient ne plus être en mesure de faire leur devoir ou de vivre la vie d’Église. Les conséquences seront inimaginables. Par conséquent, si, en tant que dirigeants et ouvriers, vous découvrez dans l’Église des gens qui sont des Judas, il vous faut les exclure ou les expulser dans les meilleurs délais. Si vous faites partie des frères et sœurs et que vous repérez de telles personnes, il vous faut les dénoncer aussi vite que possible aux dirigeants et aux ouvriers de l’Église. Il est question de la sécurité des frères et sœurs de l’Église, ainsi que de la tienne. Il ne faut pas que tu te dises : « Ils n’ont en réalité pas commis la moindre trahison pour le moment ; ils parlent juste sous le coup d’une colère passagère. » Tout le monde peut se fâcher ; certaines personnes, lorsqu’elles sont en colère, peuvent tout au plus dire quelques paroles acerbes, faire une petite colère ou se montrer négatives pendant quelques jours, mais du moment qu’elles ont un cœur qui craint Dieu, qu’elles ont peur de Dieu dans leur cœur et qu’elles ont un peu de conscience et de raison, ainsi que quelques limites fondamentales quant à leur conduite personnelle, alors quoi qu’il arrive, elles ne feraient jamais de choses qui nuisent à autrui. Toutefois, il en va différemment pour ceux qui sont des Judas nés. Ils sont capables de dénoncer l’Église et les frères et sœurs sans hésitation, en voulant toujours utiliser les forces de Satan pour menacer les frères et sœurs et l’Église afin d’atteindre leurs buts. Ces personnes sont alignées sur les démons ; elles n’ont pas de limites fondamentales quant à leur conduite personnelle. C’est pourquoi il faut que les dirigeants de l’Église et les frères et sœurs soient particulièrement vigilants à l’égard de ceux qui peuvent dénoncer l’Église sans hésitation. Si quelqu’un repère des personnes de ce type qui sont déraisonnables, délibérément problématiques et imperméables à la raison, il doit immédiatement les signaler aux dirigeants et aux ouvriers, puis les observer et les superviser. Si les dirigeants de l’Église repèrent de telles personnes, ils doivent établir un plan pour gérer et résoudre la situation le plus rapidement possible. Ils doivent protéger les frères et sœurs et empêcher que la vie et le travail de l’Église ne soient mis à mal et perturbés par de telles personnes. Ne baissez pas la garde en croyant que lorsque ces individus disent qu’ils vont dénoncer l’Église ou les frères et sœurs, c’est simplement une parole prononcée dans un moment de colère. En réalité, le fait qu’ils disent régulièrement ce genre de choses prouve que cette idée est déjà présente dans leur esprit. S’ils réfléchissent de cette manière, ils sont capables d’agir en conséquence. Parfois, après avoir dit : « Je vais te dénoncer », ils peuvent ne pas passer à l’acte, mais qui sait quand ils pourraient réellement se lancer et le faire. Une fois qu’ils le feront, les conséquences seront inimaginables. Alors, si tu traites toujours leurs paroles de : « Je vais te dénoncer », comme une simple expression prononcée sous le coup de la colère, tu fais preuve d’ignorance et de stupidité. Tu as échoué à percer à jour la substance de leur humanité à travers ces paroles, et c’est une erreur. Ils peuvent dire sans hésitation : « Je vais te dénoncer », afin de menacer les autres ; ce n’est absolument pas une simple remarque colérique ; cela montre qu’ils ont la nature d’un Judas et qu’ils manquent de limites fondamentales quant à leur conduite personnelle. Ceux qui n’ont pas de limites élémentaires en la matière, quel genre de misérables sont-ils ? Le genre d’individus dépourvus de conscience et de rationalité. Comme ils n’ont pas de conscience, ils sont capables de commettre n’importe quel acte malfaisant et, comme ils n’ont pas de rationalité, ils sont capables d’agir au-delà des limites de la rationalité, en faisant toutes sortes de choses stupides. Après avoir dénoncé l’Église et vu les frères et sœurs être arrêtés et les dégâts engendrés pour le travail de l’Église, il est possible qu’ils versent des larmes et expriment des regrets. Mais ces individus déraisonnables et délibérément problématiques agissent sans rationalité ; lorsqu’ils seront confrontés à une situation similaire à l’avenir, ils dénonceront tout de même l’Église. Cela n’indique-t-il pas un problème dans leur nature ? C’est précisément leur nature-essence. Certains dirigeants de l’Église croient encore que ce qu’ils disent n’est que le fruit d’un moment de colère et que leur nature n’est pas mauvaise. Ils se disent que ce n’est pas une révélation naturelle de leur humanité et que cela ne la représente pas. Ce point de vue est-il erroné ? (Oui.) Même si ces individus ne font habituellement pas preuve d’un comportement qui témoigne d’un caractère ignoble, le fait qu’ils disent fréquemment qu’ils vont dénoncer les frères et sœurs et que la moindre chose qui les mécontente puisse les amener à songer à dénoncer ces derniers est suffisant pour prouver que leur caractère est abject et ignoble et qu’ils ne sont pas dignes de confiance. Les personnes de ce genre n’ont ni conscience ni raison. Elles se conduisent comme il leur sied, en faisant tout ce qu’elles veulent selon leurs propres intérêts et préférences, sans la moindre limite de conscience. Il faut gérer les individus de ce genre en les excluant et il n’est pas nécessaire de faire preuve de clémence envers eux, car ce ne sont pas des enfants ; ce sont des adultes et ils devraient connaître les conséquences du fait de dénoncer les frères et sœurs et l’Église. Ils sont entièrement conscients du fait que c’est commettre l’acte le plus impitoyable, le plus efficace. Ils le voient comme leur atout, le moyen ultime de se venger des frères et sœurs et de l’Église. Dites-Moi, les personnes de ce genre ne sont-elles pas des démons ? (Si.) Alors pourquoi faire preuve de clémence envers les démons ? Faut-il que vous attendiez de les voir ouvertement désigner les frères et sœurs et les familles d’accueil au grand dragon rouge avant de reconnaitre que ce sont des Judas ? D’ici à ce que vous constatiez ces faits et que vous les caractérisiez, il sera déjà trop tard. En fait, leur nature-essence est déjà exposée dès lors qu’ils se mettent à crier qu’ils vont dénoncer l’Église lorsqu’ils rencontrent quelque problème. N’attendez pas qu’ils passent à l’action avant de les discerner et de les exclure ; il serait trop tard. Si personne parmi les dirigeants de l’Église ou les frères et sœurs n’a entendu un tel individu évoquer le fait de les dénoncer, que personne ne le connait bien et qu’à un moment donné, il dénonce quelqu’un qui l’a provoqué ou offensé, de sorte que les frères et sœurs n’ont d’autre choix que de se cacher et d’éviter le danger et que, parmi ceux qui font leur devoir, certains sont forcés de déménager rapidement, alors, dans un scénario comme celui-là, on ne peut pas reprocher aux frères et sœurs d’avoir été idiots et incapables de le percer à jour. Mais s’il dit fréquemment qu’il va dénoncer les frères et sœurs et que les gens ne le prennent toujours pas au sérieux, ce serait vraiment stupide. Après avoir entendu tant de vérité, ils ne sont toujours pas capables de discerner les gens ; ne sont-ils pas confus ? (Si.) Quant à ceux qui peuvent devenir des Judas à tout moment, ne pensez pas que leur trahison est due au fait qu’ils comprennent peu de vérité, ou qu’ils croient en Dieu depuis peu de temps, ou pour une quelconque autre raison. La cause ne réside dans rien de tout cela. La racine se trouve dans leur caractère ignoble, au fond d’eux-mêmes, leur essence est celle des personnes malfaisantes. Les discerner et les caractériser de cette manière, puis les exclure ou les expulser en tant que personnes malfaisantes, est tout à fait correct. Faire cela, c’est protéger les frères et sœurs et, dans le même temps, c’est aussi protéger le travail de l’Église contre les préjudices. Telle est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers de l’Église. Par conséquent, les dirigeants et les ouvriers doivent rapidement se protéger contre de telles personnes et les superviser, puis il leur faut échanger avec les frères et sœurs afin que tout le monde puisse les discerner. Il faut qu’ils s’efforcent d’évincer ces personnes avant que leurs manigances n’aboutissent, de manière à éviter tout problème aux frères et sœurs ou à l’Église. Tels sont le discernement et les principes de gestion des affaires que les dirigeants et les ouvriers doivent avoir lorsqu’ils sont confrontés à des personnes de ce genre, et c’est la manière dont ils doivent pratiquer dans de telles situations. Est-ce clair ? (Oui.) Bien entendu, il est préférable de gérer ces personnes judicieusement, en s’assurant que leur exclusion n’engendrera pas de problèmes pour l’Église à l’avenir. Si le fait de traiter une menace cachée en entraîne encore davantage par la suite, alors le dirigeant de l’Église qui agit ainsi fait preuve d’une flagrante incompétence et n’est pas du tout à la hauteur ; il ne sait pas comment effectuer le travail et il manque de sagesse. D’un autre côté, si un dirigeant de l’Église peut gérer une menace cachée d’une manière qui évite les conséquences néfastes, profite au travail de l’Église et aide également les frères et sœurs à gagner du discernement, alors il sait réellement comment effectuer le travail. Seuls les dirigeants et les ouvriers de ce type-là sont à la hauteur.

Si un dirigeant ou un ouvrier rencontre des gens qui sont capables de vendre l’Église mais qu’il ne peut pas les discerner, déceler leur type d’humanité ou le genre d’ennuis qu’ils pourraient engendrer pour l’Église et les frères et sœurs parce que, dans son cœur, il n’est pas au clair sur toutes ces choses et ne sait pas de quelle manière il doit traiter ou gérer de telles personnes, comment effectuer ce travail ou même que c’est là le travail que les dirigeants et les ouvriers doivent effectuer ; ou bien, même s’il le sait mais qu’il n’est pas disposé à offenser les personnes de ce genre et se contente de fermer les yeux à ce sujet, sans les exclure ni les expulser ; alors, quel genre de dirigeant est-ce là ? (Un faux dirigeant.) Ces gens-là ne sont pas à la hauteur en tant que dirigeants ou ouvriers. Premièrement, ils essaient sottement d’aider tout le monde, en faisant preuve d’amour et de patience envers chaque personne, et en les traitant toutes comme des frères et sœurs. C’est là une personne confuse, un faux dirigeant ou un faux ouvrier. De plus, lorsqu’ils découvrent dans l’Église des gens qui sont des Judas, ils ne font rien pour gérer ou résoudre rapidement le problème. Au lieu de cela, ils ferment les yeux, en feignant de ne rien remarquer. Dans leur cœur, ils se disent : « Du moment que mon propre statut n’est pas menacé, tout va bien. Je ne me soucie pas du travail de l’Église, de la sécurité des frères et sœurs ou des intérêts de la maison de dieu. Du moment que j’occupe ce poste et que j’éprouve chaque jour du plaisir, c’est tout ce dont j’ai besoin ». Ils ne font pas le moindre travail concret et, lorsqu’ils remarquent des problèmes, ils ne les résolvent pas ; ils se contentent de profiter des avantages de leur statut. Sont-ce là de faux dirigeants ? (Oui.) Par exemple, supposons qu’une personne du type de celles qui sont capables de se livrer à la trahison à tout moment ait agi de façon tyrannique dans l’Église pendant longtemps, en menaçant constamment de dénoncer l’Église et les frères et sœurs. Certains faux dirigeants voient cela mais ne font rien. Même lorsque quelqu’un dénonce cet individu et que les dirigeants supérieurs s’en occupent en l’excluant, les faux dirigeants ne prennent toujours pas cela au sérieux et n’en pensent rien. Ils se disent : « Qu’ils dénoncent qui ils veulent. Du moment qu’ils ne me dénoncent pas ou qu’ils ne portent pas atteinte à mon rôle de dirigeant de l’Église, tout va bien. » Les dirigeants ou les ouvriers de ce genre sont-ils de faux dirigeants ou ouvriers ? (Oui.) Ils n’occupent leur poste que pour profiter de ses avantages sans faire aucun travail concret ; ils remarquent une personne capable de vendre les frères et sœurs à tout moment mais ne l’excluent pas et ne l’expulsent pas ; ce sont des faux dirigeants et ils devraient être rapidement renvoyés de leur poste. Certains faux dirigeants restent réfractaires après avoir été renvoyés. Ils disent : « De quel droit m’avez-vous renvoyé ? Est-ce parce que je n’ai pas exclu cet individu ? Le souci ne serait-il pas réglé si vous l’excluiez simplement vous-mêmes ? Et puis, il a seulement dit qu’il dénoncerait les frères et sœurs, il ne l’a pas vraiment fait. Et il n’a pas causé le moindre problème à l’Église. Pourquoi s’occuper de lui ? » Ces dirigeants se sentent même fortement lésés. Ils n’effectuent aucun travail concret ; ils ne font que profiter des avantages de leur statut et, lorsqu’un Judas aussi flagrant apparaît dans l’Église, ils ne le gèrent pas et ne l’excluent pas. Certains frères et sœurs vivent dans une peur constante et disent : « Il y a un Judas parmi nous, qui menace constamment de dénoncer les frères et sœurs ; c’est tellement dangereux ! Quand cette personne sera-t-elle exclue ? » Ils informent plusieurs fois le dirigeant de ce problème, mais ce dernier ne s’en occupe pas et se contente plutôt de dire : « Ce n’est rien. C’est juste une dispute personnelle, le travail de l’Église et la sécurité des frères et sœurs ne sont pas en jeu. » Il ne gère pas le problème. Quel est le seul travail que font ces dirigeants ? L’un des types de travail qu’ils effectuent est celui qui leur est assigné par les dirigeants supérieurs, qu’ils n’ont pas d’autre choix que de le faire. Un autre type de travail est celui dont la non-effectuation porterait préjudice à leur statut ou le mettrait en danger ; dans ces cas-là, ils effectuent à contrecœur quelques tâches qui leur donnent une bonne image. Mais si cela ne porte pas atteinte à leur statut, ils évitent le travail dès qu’ils le peuvent. Ne sont-ce pas là de faux dirigeants ? (Si.) Lorsqu’ils sont vraiment confrontés à un certain environnement ou au risque d’être arrêtés, ils sont les premiers à courir se mettre à l’abri, en ne se souciant que de leur propre sécurité, sans s’inquiéter de savoir si les frères et sœurs sont en sécurité, et ils ne protègent pas le travail de l’Église ni les intérêts de la maison de Dieu. Tout ce qu’ils font, peu importe ce que c’est, vise à protéger leur propre statut. Du moment que le Supérieur ne les renvoie pas, et du moment que les frères et sœurs votent encore pour eux à l’élection suivante et qu’ils peuvent rester dirigeants, ils feront un peu de travail, à contrecœur. S’ils font quelque chose susceptible d’affecter la manière dont les Supérieurs les voient et que cela pourrait potentiellement Les pousser à les renvoyer, ou si leurs actions et leurs manifestations pourraient faire en sorte que les frères et sœurs se fassent une mauvaise opinion d’eux et ne les réélisent pas, ils tenteront de sauver la face en faisant au moins un peu de travail qui se trouve juste sous leur nez. Ainsi, ils peuvent répondre à leurs supérieurs comme à leurs subordonnés ; il n’y a que Dieu à qui ils ne puissent pas répondre. Tout ce qu’ils font ne sert que les apparences. Du moment que les dirigeants supérieurs ne les renvoient pas et que les frères et sœurs continuent de les soutenir, ils se sentent satisfaits. Pour la durée de leur fonction en tant que dirigeant d’Église, ils ne commettent pas de méfaits majeurs et, en apparence, ils semblent toujours être occupés par le travail, mais ils n’effectuent pas de travail concret. Tout particulièrement, ils ne font rien lorsqu’ils voient des personnes malfaisantes perturber l’Église. Ils craignent d’offenser ces personnes malfaisantes et essaient donc de les apaiser et de négocier avec elles chaque fois que c’est possible, en cherchant uniquement à maintenir l’harmonie. Ils ne sont pas disposés à offenser qui que ce soit ; même si ces personnes perturbent le travail de l’Église ou menacent la sécurité des frères et sœurs, ils ne font rien. Ce sont de faux dirigeants au sens le plus vrai du terme.

En ce qui concerne les faux dirigeants qui ne font pas de travail concret, si les frères et sœurs leur adressent des rappels répétés en leur demandant de résoudre les problèmes et qu’ils ne font toujours pas de travail concret, ne résolvent pas de problèmes concrets et ne corrigent pas les erreurs, alors vous devriez signaler cela à l’échelon supérieur. Si les dirigeants et les ouvriers supérieurs ne s’occupent pas du problème, alors vous devriez envisager tous les moyens possibles pour destituer ces faux dirigeants. En vérité, J’ai prononcé ces paroles depuis de nombreuses années, mais la majorité des gens ici-bas sont des esclaves qui préféreraient subir quelques pertes personnelles et endurer quelques préjudices plutôt que d’offenser les autres. Quelles que soient les circonstances, ils adoptent toujours une position modérée et se comportent comme des personnes complaisantes, sans jamais offenser qui que ce soit. Quel est le prix à payer lorsque l’on n’offense pas les gens ? C’est de sacrifier le travail et les intérêts de la maison de Dieu, ce qui porte préjudice aux intérêts de la maison de Dieu et perturbe les frères et sœurs. Si l’on ne s’occupe pas des personnes malfaisantes, beaucoup de ceux qui font leur devoir en seront affectés. Cela ne revient-il pas à ce que le travail de la maison de Dieu en soit affecté ? (Si.) Lorsque l’œuvre de la maison de Dieu en est affectée, personne n’est anxieux ou inquiet, c’est pourquoi je dis que la plupart des gens sacrifient le travail et les intérêts de la maison de Dieu pour maintenir l’harmonie et les relations amicales avec les autres. Ils évitent d’offenser les dirigeants et les frères et sœurs ; ils n’offensent personne. Tout le monde se comporte comme une personne complaisante et a un état d’esprit de : « Tu es bon, je suis bon, tout le monde est bon ; après tout, nous nous voyons tout le temps ». Et quel est le résultat ? Cela permet aux personnes malfaisantes d’exploiter la situation ; elles agissent à maintes reprises de manière tyrannique, en faisant tout ce qu’elles veulent. Si les dirigeants de l’Église ne sont pas fiables et n’évincent pas les personnes malfaisantes, il faut alors que les frères et sœurs envisagent tous les moyens possibles pour se protéger ; il faut qu’ils évitent les personnes malfaisantes, qu’ils s’en éloignent et qu’ils les isolent lorsqu’ils les voient. Certains disent : « Si nous les isolons et qu’ils se mettent en colère, ne vont-ils pas nous dénoncer à nouveau ? » S’ils te dénonçaient vraiment, est-ce que tu aurais peur ? (Non. Cela révélerait que ce sont des personnes malfaisantes.) S’ils te dénoncent à nouveau, cela ne fait que prouver encore davantage que ce sont des Judas nés, des démons nés. Il ne faut pas que tu les craignes. Si les dirigeants et les ouvriers sont aveugles et incapables de percer les choses à jour, qu’ils sont confus et inutiles ou bien qu’ils sont indécis et n’offensent jamais personne, en ne faisant que profiter des avantages de leur statut sans effectuer de travail concret, alors les frères et sœurs ne devraient plus avoir le moindre espoir en ce qui les concerne. Ils devraient s’unir pour gérer les personnes malfaisantes et se débarrasser des Judas conformément aux principes. Il se peut qu’ils doivent changer le lieu de réunion ou employer une méthode judicieuse pour évincer ces personnes afin d’éviter d’être perturbés par elles. Assurer le fonctionnement normal de la vie d’Église et la progression normale de tout le travail de l’Église est la chose la plus importante. Si un dirigeant de l’Église effectue du travail concret, qu’il est d’un calibre suffisant et que son humanité est également assez bonne, alors tant qu’il exécute son travail conformément aux arrangements de travail, tout le monde devrait lui obéir. S’il ne fait pas de travail concret, il ne faut pas lui parler ni compter sur lui. À ce moment-là, les problèmes devraient être résolus conformément aux paroles de Dieu et aux vérités-principes. S’il est nécessaire de renvoyer le dirigeant, alors il faut le renvoyer ; si une réélection est requise, alors il faut l’organiser. Si ce faux dirigeant ne protège pas les intérêts de la maison de Dieu, ne sécurise pas l’environnement dans lequel les frères et sœurs font leur devoir et ne se soucie pas de la sécurité des frères et sœurs, alors il n’est pas à la hauteur ; il est incompétent et n’est qu’un immense déchet qui ne remplit aucun rôle réel ; les frères et sœurs ne doivent pas l’écouter ni se laisser contraindre par lui. Tout dirigeant ou ouvrier incapable d’évincer les Judas lorsque c’est nécessaire est un faux dirigeant ou un faux ouvrier ; ces faux dirigeants et ces faux ouvriers doivent être gérés de la manière décrite précédemment. Si l’on ne s’occupe pas d’eux rapidement, les frères et sœurs seront tous vendus par les Judas et l’Église cessera d’exister. Ceci conclut notre échange sur la huitième manifestation : être capable de se livrer à la trahison à tout moment.

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