Point 7 : Ils sont malveillants, insidieux et fourbes (Partie II) Section 4
Les antéchrists adorent les mensonges et la tromperie – qu’est-ce qu’ils aiment d’autre ? Ils aiment les tactiques, les conspirations et les complots. Ils opèrent selon la philosophie de Satan, ne recherchent jamais la vérité, s’appuient entièrement sur les mensonges et la tromperie, et emploient des conspirations et des complots. Peu importe la clarté avec laquelle tu échanges sur la vérité, même s’ils acquiescent en signe d’assentiment, ils n’agiront pas selon les vérités-principes. Au lieu de cela, ils vont se remuer les méninges et agir en utilisant conspirations et complots. Peu importe avec quelle clarté tu échanges sur la vérité, il semble qu’ils soient incapables de la comprendre ; ils font simplement les choses comme ils veulent, de la manière qu’ils veulent, et de n’importe quelle manière qui puisse servir leurs propres intérêts. Ils parlent avec aisance, cachent leur vrai visage, ne se montrent pas sous leur vrai jour, ils dupent et trompent les gens, et lorsque les autres se font avoir, ils se sentent satisfaits, et leurs ambitions et désirs sont comblés. C’est la méthode et l’approche constantes qu’adoptent les antéchrists. Quant à ces gens honnêtes qui parlent de manière directe, qui parlent honnêtement et échangent ouvertement sur leur propre négativité, leur propre faiblesse et leurs propres états rebelles, et qui parlent du cœur, les antéchrists sont secrètement répugnés par eux et les discriminent. Ils aiment les gens qui, comme eux, parlent de manière tortueuse et fourbe et ne pratiquent pas la vérité. Lorsqu’ils rencontrent de telles personnes, ils sont ravis dans leur cœur, comme s’ils avaient trouvé quelqu’un comme eux. Ils ne s’inquiètent plus du fait que les autres soient meilleurs qu’eux-mêmes, ou qu’ils puissent être capables de les discerner. N’est-ce pas là une manifestation de la nature malveillante des antéchrists ? Cela ne peut-il pas démontrer qu’ils sont malveillants ? (Si.) Pourquoi ces questions-là peuvent-elles illustrer la malveillance des antéchrists ? Les choses positives et la vérité constituent ce que tout être créé rationnel doté de conscience devrait aimer. En revanche, les antéchrists, eux, considèrent ces choses positives comme gênantes, comme une épine dans leur pied. Quiconque les respecte ou les pratique devient leur ennemi, et ils considèrent de tels individus avec hostilité. Cela ne ressemble-t-il pas à la nature de l’hostilité de Satan vis-à-vis de Job ? (Si.) C’est la même nature, le même tempérament que celui de Satan, et la même essence. La nature des antéchrists trouve son origine dans Satan, et elle appartient à la même catégorie que Satan. Par conséquent, les antéchrists sont de mèche avec Satan. Cette affirmation est-elle exagérée ? Pas du tout ; elle est parfaitement exacte. Pourquoi ? Parce que les antéchrists n’aiment pas les choses positives. Ils se plaisent à se livrer à la tromperie, ils aiment les mensonges, les apparences illusoires et les faux-semblants. Si quelqu’un expose leur vrai visage, peuvent-ils se soumettre et l’accepter avec joie ? Non seulement ils ne pourraient pas l’accepter, mais ils réagiraient en l’accablant de mauvais traitements. Les gens qui disent la vérité ou exposent leur vrai visage les rendraient furieux et les mettraient dans une rage folle. Par exemple, il se pourrait qu’il y ait un antéchrist qui soit versé dans l’art du faux-semblant. Tout le monde le perçoit comme une bonne personne : aimant, capable d’empathie avec les gens, capable de comprendre les difficultés des autres, et qui se montre souvent d’un grand soutien et serviable pour ceux qui sont faibles et négatifs. Chaque fois que quelqu’un a des difficultés, il est capable de faire preuve de considération et de lui pardonner. Dans le cœur des gens, cet antéchrist est plus grand que Dieu. Concernant cette personne qui se fait passer pour vertueuse, si tu exposes ses faux-semblants et son imposture, si tu lui dis la vérité, est-elle capable de l’accepter ? Non seulement elle ne sera pas capable de l’accepter, mais elle commencera à redoubler d’efforts dans ses faux-semblants et son imposture. Dis-Moi, si tu avais exposé l’imposture des pharisiens lorsqu’ils ont porté les Écritures aux coins des rues pour prier et les lire pour que les autres les entendent, et que tu leur avais dit qu’ils ne faisaient cela que pour les apparences, auraient-ils confessé ce dont tu les accusais ? L’auraient-ils accepté avec joie ? Auraient-ils réfléchi à tes paroles ? Auraient-ils été capables d’admettre que ce qu’ils faisaient était une imposture et de la tromperie ? Auraient-ils été capables de réfléchir, se repentir, et ne plus jamais agir de la sorte ? Absolument pas. Si tu continues en disant : « Tes actions induisent les gens en erreur et tu iras en enfer et seras puni », cela ne reviendrait-il pas à dire la vérité ? (Si.) Il s’agit bien de la vérité. L’accepteraient-ils ? Non, ils deviendraient immédiatement furieux et diraient : « Quoi ? Tu dis que j’irai en enfer et que je serai puni ? C’est la meilleure ! Je crois en dieu, pas en toi ! Tes paroles ne veulent rien dire ! » Est-ce le fin mot de l’histoire ? Que feraient-ils ensuite ? Ils poursuivraient, en disant : « J’ai voyagé partout, j’ai répandu l’Évangile à tant de personnes, produit tant de fruits, porté tant de croix, et j’ai tant souffert en prison – toi, petit enfant, quand j’ai commencé à croire au seigneur, tu étais encore dans le ventre de ta mère ! » Leur nature est exposée, n’est-ce pas ? Ne prêchent-ils pas la patience et la tolérance, alors pourquoi ne peuvent-ils pas tolérer ce petit problème ? Pourquoi ne peuvent-ils pas le tolérer ? Parce que tu as dit la vérité, tu as dévoilé leur vrai visage, et ils n’ont aucune destination. Sont-ils encore capables de tolérer cela ? S’ils ne sont pas des antéchrists, s’ils sont sur la voie des antéchrists mais peuvent accepter la vérité, et qu’ils présentent aussi une manifestation d’imposture, que feront-ils si tu exposes leur imposture ? Il se peut qu’ils ne réfléchiront pas immédiatement sur eux-mêmes, et le fait de dire qu’ils le font peut sembler irréaliste et vide de sens. Cependant, la première réaction de la plupart des gens normaux lorsqu’ils entendent cela, c’est de ressentir un pincement au cœur. Que signifie cette vive douleur ? Elle veut dire qu’ils sont affectés par ce qu’ils entendent ; ils ne s’attendaient pas à ce que quelqu’un ose se comporter de manière si cavalière, leur dise la vérité et les condamne ainsi, en face à face – ces mots, c’était quelque chose auquel ils ne se seraient jamais attendus et qu’ils n’avaient jamais entendus auparavant. De surcroît, ils ont un sens de la honte et veulent sauver la face. Alors qu’ils repensent à ce que tu leur as dit, que de se tenir au coin de la rue pour prier et lire les Écritures, c’est induire les gens en erreur, après introspection, ils découvrent qu’ils avaient effectivement agi pour montrer aux gens à quel point ils étaient dévoués, à quel point ils aimaient le Seigneur, et à quel point ils étaient capables de souffrir ; ils découvrent que c’est une imposture, et que ce que tu as dit était vrai. Ils découvrent que s’ils continuent d’agir ainsi, ils ne seront plus capables de se montrer à d’autres gens. Ils ont un sens de la honte, et grâce à ce sens de la honte, il se peut qu’ils soient capables de se contrôler quelque peu, de cesser leurs méfaits ou leurs actions qui sont éhontés et leur feraient perdre la face. Qu’est-ce que cela signifie, s’ils cessent d’agir ainsi ? Cela implique une once de repentance. Il n’est pas certain qu’ils se repentiront pour de bon, mais au moins, il y a une possibilité de repentance, ce qui est bien meilleur que les antéchrists et les pharisiens. En quoi est-ce meilleur ? Parce qu’ils ont une conscience et un sens de la honte, les paroles d’autres personnes qui les exposent leur causent un pincement au cœur. Même s’ils peuvent ressentir de la honte, et même si leur dignité a été blessée, ils peuvent au moins admettre que ces paroles étaient correctes. Même s’ils ne sont pas capables de sauver la face, au fond, ils ont déjà reconnu ces mots et s’y sont soumis. Ils les acceptent déjà. En quoi les antéchrists sont-ils différents ? Pourquoi disons-nous que les antéchrists sont malveillants ? La malveillance des antéchrists réside dans le fait que lorsqu’ils entendent quelque chose qui est juste, non seulement ils sont incapables de l’accepter, mais au contraire, ils haïssent cela. En outre, ils ont recours à leurs propres manœuvres, cherchent des excuses, des raisons et divers facteurs objectifs pour se défendre et s’expliquer. Quel but essaient-ils d’atteindre ? Ils visent à transformer les choses négatives en choses positives, et les choses positives en choses négatives. Ils veulent inverser la situation. N’est-ce pas malveillant ? Ils pensent : « Peu importe que tu aies raison ou non, ou à quel point tes mots sont conformes à la vérité, peux-tu résister à mon baratin ? Même si toutes les paroles que je prononce sont clairement fausses, trompeuses, et induisent en erreur, je vais malgré tout nier et condamner ce que tu dis. » N’est-ce pas malveillant ? C’est effectivement malveillant. Penses-tu que les antéchrists, lorsqu’ils voient de bonnes personnes, ne les considèrent pas comme étant honnêtes dans leur cœur ? Ils les considèrent comme des personnes honnêtes qui poursuivent la vérité. Mais quelle est leur définition de l’honnêteté et de la poursuite de la vérité ? Ils pensent que les personnes honnêtes sont stupides. Ils sont répugnés par la poursuite de la vérité, ils l’exècrent et y sont hostiles. Ils pensent qu’elle est fausse, que personne ne serait assez stupide pour tout abandonner pour la poursuite de la vérité, de tout dire à tout le monde, et de tout confier à Dieu. Personne n’est si stupide. Ils ont l’impression que tous ces actes sont faux, et ils ne croient à aucun d’entre eux. Les antéchrists croient-ils que Dieu est tout-puissant et juste ? (Non.) Alors, dans leur esprit, ils mettent des points d’interrogation à toutes ces choses. Quelle est ici l’implication ? Comment interprétons-nous toutes ces questions ? Ils ne se contentent pas de s’interroger à ce propos ou d’en douter ; ils le nient également et cherchent à renverser la situation. Qu’est-ce que J’entends par renverser la situation ? Ils se disent : « À quoi bon être si juste ? Si un mensonge est répété mille fois, il devient la vérité. Si personne ne dit la vérité, alors ce n’est pas la vérité et elle n’a aucune utilité – c’est juste un mensonge ! » N’est-ce pas mélanger le vrai et le faux ? C’est là, la malveillance de Satan – il déforme les faits et mélange le vrai et le faux ; voilà ce qu’ils aiment. Les antéchrists excellent dans les faux-semblants et la tromperie. Ce en quoi ils excellent est, naturellement, inhérent à leur essence, et ce qui est inhérent à leur essence est précisément ce que contient leur nature-essence. Et ce n’est pas tout, c’est ce qu’ils désirent et aiment, et c’est aussi la règle selon laquelle ils survivent dans le monde. Ils croient à des expressions comme : « Les bons meurent jeunes tandis que les malfaisants connaissent le grand âge », « Chacun pour soi, Dieu pour tous », « Le destin d’une personne est entre ses propres mains », « L’homme triomphera sur la nature », et ainsi de suite. L’une de ces affirmations est-elle alignée avec l’humanité ou les lois naturelles que les gens normaux peuvent comprendre ? Pas une seule. Alors comment les antéchrists peuvent-ils tant aimer ces expressions démoniaques de Satan, et même les considérer comme leurs devises ? On ne peut que répondre que c’est à cause de leur nature, qui est trop malveillante.
Il y avait un certain dirigeant d’Église avec qui Je suis entré en contact à quelques reprises pendant une année environ. Nous avions eu plusieurs opportunités de nous rencontrer, mais nos conversations étaient limitées parce qu’il n’était pas du genre à parler librement. Qu’est-ce que cela signifie, « pas du genre à parler librement » ? Cela signifie qu’il ne disait pas grand-chose même si tu lui posais des questions. Alors, se comportait-il ainsi dans ses interactions avec les autres au sein de l’Église ? Il y avait deux situations possibles. Avec ceux qui étaient du même état d’esprit, il avait fort à dire. Cependant, avec ceux qui ne l’étaient pas, il devenait méfiant et ne parlait pas aussi librement. Plus tard, J’ai pu conclure que durant Mes interactions avec lui, il prononçait au total cinq phrases « classiques ». Il ne parlait pas librement, alors lorsqu’il prononçait une phrase, elle devenait aussitôt « classique ». De quel genre de personne s’agit-il ? Peut-on dire de lui qu’il est quelqu’un de « distingué » ? Il est tout à fait normal pour des dirigeants d’Église ou des ouvriers d’être en contact avec Moi et de discuter de certaines questions, n’est-ce pas ? Cependant, cet individu était unique en son genre. Il ne prononçait que cinq phrases, cinq phrases incroyablement « classiques ». Écoutez bien ce qui rend ces phrases si « classiques ». Chacune de ses phrases a son propre contexte et sa propre petite histoire. Commençons par l’origine de sa première phrase.
Dans l’Église dirigée par ce dirigeant, il y avait une personne malfaisante qui avait commis plusieurs méfaits et qui perturbait le travail de l’Église. Tout le monde voyait bien que c’était un individu malfaisant, alors ils ont commencé à échanger à son sujet et à discuter de son cas. S’il devait être expulsé et renvoyé, une note devrait être éditée à son sujet au sein de l’Église, afin que tout le monde sache quels méfaits il avait commis et pourquoi il était classé comme une personne malfaisante et pourquoi il était renvoyé. Tandis que certains des méfaits commis par cette personne malfaisante étaient en train d’être exposés, ce dirigeant, qui d’ordinaire ne parlait pas beaucoup, a pris la parole et a dit : « Il pensait bien faire.» Comment considérait-il cette personne malfaisante qui commettait ces méfaits et perturbait le travail de l’Église ? « Ce type pensait bien faire. » Il estimait que les mauvaises choses commises par une personne malfaisante étaient en conformité avec la vérité, du moment que cette personne pensait bien faire. À ses yeux, quelle que soit la nature des actions de cet individu, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, et, quelles que soient les conséquences de ses actions, du moment qu’il pense bien faire, même les interruptions et les perturbations qu’il cause sont en conformité avec la vérité. « Il pensait bien faire. » C’est la première phrase que ce dirigeant a prononcée. Avez-vous déjà entendu de tels propos ? Une personne malfaisante commet clairement de mauvaises actions, et pourtant quelqu’un dit que cette personne nourrissait de bonnes intentions en se livrant à ces méfaits. Tout le monde a-t-il du discernement sur cette phrase ? Je crois que certaines personnes peuvent être induites en erreur par cette phrase, parce que la majorité des gens pensent que du moment qu’une personne pense bien faire, elle ne devrait pas être gérée, et que si quelqu’un fait quelque chose de mal tout en ayant de bonnes intentions, il ne fait pas volontairement le mal. Après avoir été ainsi influencées et induites en erreur par ce dirigeant, il était possible que certaines personnes prennent le parti du dirigeant, et se mettent à sympathiser avec la personne malfaisante. Si ce dirigeant ne les avait pas induits en erreur, la majorité des gens auraient correctement compris cette question et auraient pensé que cette personne malfaisante devait être expulsée et renvoyée pour ses méfaits. Cependant, après avoir été influencées et induites en erreur par ce dirigeant, certaines personnes se sont dit : « Il pensait bien faire, cela a du sens. Parfois, nous sommes ainsi, nous aussi. Alors, si nous faisons quelque chose de mal tout en ayant de bonnes intentions, serons-nous, nous aussi, exclus et renvoyés ? » Par conséquent, ces gens-là prennent le parti de ce dirigeant. Pourquoi ? Parce qu’ils pensent à leur propre avenir. N’a-t-il pas été facile pour eux d’accepter la phrase prononcée par ce dirigeant ? Quelles ont été les conséquences de cette acceptation ? Ils ont développé des doutes au sujet de Dieu, au sujet de Son tempérament juste, et de Ses principes concernant la manière de faire les choses. Ils ont développé des doutes au sujet des principes de la maison de Dieu pour faire les choses, ils les ont remis en question, et les ont ensuite condamnés. Ils ont nourri ces doutes dans leur cœur. En réalité, cette personne malfaisante n’était pas renvoyée parce qu’elle avait commis une seule mauvaise chose. Dans la maison de Dieu, personne n’est renvoyé parce qu’il a commis une erreur ponctuelle, peu importe s’il effectue du travail manuel, un devoir particulier, ou un devoir impliquant des compétences techniques. Tous sont soumis à une classification conjointe de leur comportement régulier par des dirigeants d’Église et les frères et sœurs, et ensuite ils sont gérés. Par exemple, si quelqu’un se montre toujours paresseux alors qu’il devrait être en train de travailler et qu’il se trouve des excuses pour éviter de travailler, est-il approprié de le renvoyer sur la base de ce comportement ? (Oui, c’est approprié.) Exactement, c’est approprié. Par exemple, si on t’a assigné la tâche de faire le ménage, et que, fréquemment tu manges des graines de tournesol, bois du thé, lis le journal, et jettes nonchalamment les cosses de graines par terre, n’es-tu pas en train de négliger tes devoirs ? Non seulement tu ne nettoies pas, mais tu es en plus en train de salir, ce qui signifie que tu négliges tes devoirs. Si tu es incompétent dans ton travail, c’est parfaitement conforme aux principes de te renvoyer, et tu ne devrais pas discuter. Cependant, ce dirigeant d’Église affirmait que cette personne pensait bien faire, ce qui a induit les gens en erreur. Une fois que le dirigeant a influencé et induit les gens en erreur de la sorte, certains d’entre eux ont suivi sa direction et ils sont parvenus à un consensus. Mais où ont-ils placé Dieu et les vérités-principes en agissant ainsi ? Ils sont devenus comme une famille, parlant de « notre Église » et de « notre maison de Dieu. » Comment « Église » et « maison de Dieu » sont-ils définis ? Peut-il y avoir une maison de Dieu là où Dieu n’est pas ? (Non.) Si Dieu n’est pas quelque part, peut-il y exister ou y être établie une Église ? (Non, c’est impossible.) Alors, qu’est-ce que cela signifiait lorsqu’ils disaient « notre » ? Cela signifiait qu’ils s’étaient séparés de Dieu. L’Église est devenue l’Église de ce dirigeant confus, il est devenu le maître de l’Église, tandis que ces soi-disant frères et sœurs et personnes confuses formaient un gang autour de lui et se comportaient vis-à-vis de lui comme des membres de sa famille. Ils ont pris leurs distances avec Dieu, et ainsi Dieu a endossé un rôle hors de la « maison de Dieu ». Voilà les conséquences qui se sont développées lorsque ce dirigeant a prononcé cette première phrase dans ces circonstances. Tout le monde l’a particulièrement approuvé, et s’est dit : « Notre dirigeant d’Église est juste, il est prévenant à notre égard, il pardonne nos faiblesses, et prend même notre défense. Lorsque nous faisons des erreurs, Dieu nous expose et nous émonde toujours. Mais notre dirigeant nous protège constamment, tout comme une poule protège ses poussins. Avec lui, nous ne subirons aucune offense. » Tout le monde lui était très reconnaissant. Voilà les conséquences de la première phrase prononcée par ce dirigeant.
Poursuivons avec la deuxième phrase prononcée par ce dirigeant. Il y avait eu un travail concernant des affaires externes au sein de l’Église, que la plupart des gens ne pouvaient accomplir, ou bien ils étaient trop occupés avec leurs propres devoirs pour s’en occuper. Certains croyants, de nom seulement, étaient doués pour se charger des questions externes, alors la maison de Dieu allouait un peu d’argent pour que quelqu’un comme cela s’occupe de ces tâches, et parfois la maison de Dieu dépensait un peu plus pour qu’il gère un certain nombre de tâches pour le compte de la maison de Dieu. Dites-Moi, cela violait-il les principes de la maison de Dieu de dépenser 200 yuans de plus pour gérer de telles questions ? C’était la seule manière de gérer ces questions, et elle donnait de bons résultats, alors c’est ainsi qu’elles étaient gérées. Donner 200 yuans de plus à cette personne rendait plus pratique la gestion de ces choses pour la maison de Dieu, et de nombreux problèmes ont été résolus. Cela valait-il la peine de dépenser ces 200 yuans supplémentaires ? (Cela valait la peine.) Cela valait tout à fait la peine. Il était approprié de procéder ainsi. Si la maison de Dieu donnait ces 200 yuans à quelqu’un qui ne pouvait pas se charger de ces tâches, ce serait simplement du gâchis. Lui donner ces 200 yuans signifiait que ces tâches seraient bien accomplies ; alors, était-ce aligné avec les principes de la maison de Dieu de gérer les choses de la sorte ? (C’était aligné avec les principes.) Alors, était-ce aligné avec les principes de ne pas en discuter ou communiquer à ce sujet avec les frères et sœurs ? (C’était aligné avec les principes.) Le Supérieur a-t-il le droit de gérer les choses de cette manière ? (Oui.) Oui, c’est certain. Mais ce dirigeant d’Église a dit : « Les frères et sœurs ont dit que cette personne a reçu 200 yuans de plus… je m’enquiers juste à ce sujet au nom des frères et sœurs. Ils ne comprennent pas ce principe, et nous voulons chercher une manière d’échanger sur cet aspect de la vérité. » Il ne s’exprimait qu’avec des moitiés de phrases. C’était la deuxième phrase. De toute évidence, cette phrase était une question, et signifiait : « Tu dis que tout ce que tu fais est aligné avec les principes, mais cette chose-là ne l’est pas, et certains frères et sœurs ont des opinions et des notions à ce sujet, alors j’ai une question à te poser en leur nom. Comment expliques-tu cette affaire ? Donne-moi une explication. » C’est une question, n’est-ce pas ? Alors, analysez combien de messages étaient contenus là-dedans – quel est votre point de vue lorsque vous entendez une telle chose ? Comment considérez-vous cette personne en vous basant, sur cette affaire ? (Dieu, il y avait un ton interrogateur dans sa phrase. Il questionnait Dieu. En réalité, il avait ses propres notions sur ce sujet. Il n’a pas exprimé ses propres pensées véritables. Au lieu de cela, il a dit que c’était les frères et sœurs qui ne pouvaient accepter la décision du Supérieur, qu’ils avaient leurs opinions à ce sujet. En tant que dirigeant d’Église, lorsque les frères et sœurs avaient des notions, il aurait dû échanger sur la vérité avec eux afin de résoudre ce problème. Non seulement il ne l’a pas résolu, mais il est venu questionner Dieu avec ces notions. Il y a un tempérament fourbe et malveillant en lui.) Deux points ont été mentionnés : le premier, c’est qu’il questionnait le Supérieur, et le second, c’est qu’il nourrissait déjà des notions en lui, et pourtant, il a dit : « Les frères et sœurs ne comprennent pas les principes, et ils veulent les chercher. » Y a-t-il un problème avec cette phrase ? Les frères et sœurs étaient-ils si importants à ses yeux ? Puisqu’il considérait que l’entrée des frères et sœurs dans la vie était si importante, lorsqu’ils ont développé des notions fortes comme celles-là, pourquoi ne les a-t-il pas résolues ? N’a-t-il pas été négligent dans son devoir ? Il s’est montré négligent. Il n’a pas résolu le problème, et il a même éhontément porté les notions des frères et sœurs pour questionner le Supérieur. Alors, à quoi servait-il ? Qu’est-ce qui le rendait capable de questionner ? N’avait-il pas lui aussi des notions ? N’avait-il pas lui aussi des opinions sur la décision du Supérieur ? N’avait-il pas lui aussi le sentiment que cette affaire avait été gérée de manière inappropriée ? Ces 200 yuans n’avaient pas été dépensés pour lui, alors il a eu le sentiment qu’il était passé à côté de quelque chose, n’est-ce pas ? Il s’est dit : « J’aurais dû recevoir ces 200 yuans supplémentaires, nous le méritons. Ce type est un incrédule, il n’aurait pas dû les recevoir. Nous croyons vraiment en dieu et nous sommes le peuple de la maison de dieu, pas lui. » N’est-ce pas ce qu’il voulait dire ? (Si.) C’est exactement ce qu’il voulait dire. Et il ne l’a pas dit directement ; il l’a laissé entendre. Après avoir entendu cela, le comprenez-vous ou non ? Quel est votre point de vue sur cette question de dépense d’argent ? La plupart des gens peuvent comprendre ce sujet mineur. Étant donné l’immense travail de la maison de Dieu, ce dirigeant devait-il vraiment relever une dépense supplémentaire de 200 yuans ? De plus, cet argent ne venait pas de sa propre poche, alors pourquoi se sentait-il si ébranlé à ce sujet ? Ne se sentait-il pas tout simplement envieux en voyant d’autres individus être de bonnes personnes ? N’était-ce pas cela qu’il voulait dire ? Êtes-vous capables de comprendre ce que je viens de vous expliquer ? Y en a-t-il parmi vous qui ne sont pas d’accord et qui disent : « Non ! Dépenser 200 yuans supplémentaires à notre insu, c’est terrible que nous n’ayons pas le droit d’être au courant de cela. N’est-ce pas là une dilapidation des offrandes de la maison de Dieu ? » Quel est le concept de la maison de Dieu ? Quel est le concept des offrandes ? Laisse-Moi te le dire. Les offrandes n’appartiennent pas à tous, elles n’appartiennent pas aux frères et sœurs ; s’il n’y avait que des frères et sœurs et pas Dieu, cela ne s’appellerait pas la maison de Dieu. Lorsque Dieu apparaît et œuvre, lorsqu’Il en appelle aux gens devant Lui et établit l’Église – c’est cela, la maison de Dieu. Lorsque les frères et sœurs offrent une dîme, elle n’est pas offerte à la maison de Dieu, ni à l’Église, et elle n’est certainement pas offerte à un individu en particulier. C’est à Dieu qu’ils offrent cette dîme. En termes simples, cet argent est offert à Dieu ; c’est Sa propriété privée. Qu’implique le fait que ce soit Sa propriété privée ? Que Dieu peut l’allouer comme Il le veut, et que le dirigeant n’était pas qualifié pour s’y impliquer. Poser des questions et vouloir chercher la vérité à cause de cette question, laisse-Moi te le dire, c’était un peu excessif et inutile ; c’était une manière d’être faux et de faire semblant ! Il y a eu tant de questions importantes sur lesquelles ce dirigeant n’avait pas cherché la vérité, et pourtant il avait décidé de la chercher sur cette question-là. Pourquoi n’a-t-il pas géré cette personne malfaisante ? Pourquoi n’a-t-il pas cherché et dit : « Cette personne a montré quelques manifestations d’actes malfaisants ; les frères et sœurs sont tous écœurés par elle. Ne devrais-je pas gérer cela ? » Ce dirigeant n’a pas posé de questions à ce sujet ; il était complètement aveuglé par cette personne malfaisante. N’est-ce pas un problème ? Quelle a été la première phrase prononcée par ce dirigeant ? (Il pensait bien faire.) « Il pensait bien faire. » Voyez la « bienveillance » de cet homme ; quel hypocrite ! Il était malveillant, et pourtant ses mots étaient pleins de bienveillance et de moralité ; ses paroles étaient mielleuses, mais il avait des poignards dans le cœur, et il ne s’est pas comporté comme un humain. Quelle a été sa deuxième phrase ? « La maison de dieu a donné 200 yuans supplémentaires à quelqu’un pour accomplir une tâche. Je veux chercher au nom des frères et sœurs sur la manière dont nous devrions comprendre et saisir le principe dans cette question. » Je vous livre cela comme une affirmation complète ; bien évidemment, il n’a pas formulé les choses ainsi. Il a parlé avec hésitation, rendant compliquée la compréhension de ce qu’il voulait dire. C’était juste sa manière de parler. Voilà la deuxième phrase prononcée par ce dirigeant.
Maintenant, écoutez la troisième phrase prononcée par ce dirigeant. Tout le monde travaillait ensemble à creuser. Chaque personne avait été chargée de remplir de terre un panier. Il y avait une personne qui travaillait vite et qui a terminé la première, puis qui s’est assise pour boire un peu d’eau et se reposer, en attendant tous les autres. Puis, quelque chose est allé de travers. Qu’est-ce qui est allé de travers ? Le troisième problème est apparu. Ce dirigeant est de nouveau allé demander au Supérieur : « Nous avons ici quelqu’un qui travaille vite et qui fait les choses rapidement, mais il y a une chose qui ne va pas chez lui. Une fois qu’il a terminé le travail, il se contente de s’asseoir et n’aide personne d’autre, alors tout le monde commence à se faire une opinion de lui. » Le frère Supérieur a demandé : « Est-il généralement paresseux lorsqu’il travaille ? » Ce dirigeant a répondu : « Non, il n’est pas paresseux. Il travaille vite, c’est tout, et après avoir terminé, il s’assoit simplement et attend, sans aider personne, alors les frères et sœurs se forgent une opinion à son sujet. Ils disent qu’il manque de compassion. » Lorsque les frères et sœurs ont mentionné cela, le dirigeant en a été ébranlé. Il a pensé : « Oh, voyez comme cette personne est cruelle ! Mes frères et sœurs sont éreintés par le travail, ils progressent lentement, et personne ne les aide. » Tout le groupe s’est senti bouleversé, alors il s’est lui aussi senti bouleversé. Quelle « empathie » de sa part ! Il a emporté avec lui ce « fardeau » pour le signaler au Supérieur. La première chose qu’il a demandée, c’est : « Une telle personne peut-elle être punie ? » Dites-Moi, pensez-vous qu’une telle personne peut être punie ? (Non.) Alors, quelle est votre réaction après avoir entendu cela ? Avez-vous des sentiments contradictoires à ce sujet ? Vous sentez-vous bouleversés ? (Oui.) La maison de Dieu a toujours échangé sur le fait que les gens doivent comprendre la vérité et traiter les autres équitablement, mais il n’était même pas capable de cette petite chose-là. Le dirigeant pensait qu’il était juste de punir cette personne. N’est-ce pas malveillant ? (Si, ça l’était.) Il a pensé : « Mes frères et sœurs souffrent, et ils m’ont signalé que cette personne manquait de compassion. En tant que dirigeant, comment puis-je rallier ces gens, les apaiser, les protéger, les empêcher d’être lésés ou d’avoir le sentiment d’être traités injustement ? » Sa première réaction a été de punir cet individu. Il s’est dit qu’en le punissant, la colère de tout le monde serait apaisée, et que tout serait juste et équitable. Ne voulait-il pas faire cela ? (Si.) Il a pensé : « Nous mangeons tous la même nourriture, nous vivons tous au même endroit, et nous sommes tous traités de la même manière. De quel droit travailles-tu si vite ? Si tu travailles vite, pourquoi n’aides-tu pas les autres ? » Dites-Moi, que pensent les gens après avoir entendu cela ? « Travailler vite est un péché. Il semblerait que nous ne devrions jamais travailler vite. Cela ne nous rendra pas service, entre les mains de ce dirigeant. Travailler vite n’est pas bien, et être proactif non plus. Il est légitime d’être lent ! » Le Supérieur a demandé au dirigeant : « Et qu’en est-il de ceux qui travaillent lentement ? Est-ce que tu les récompenses ? » Le dirigeant est resté perplexe, mais il n’était pas distrait. Il a dit : « Non, je ne peux pas les récompenser. Cependant, ce type qui travaille rapidement devrait être puni. Les frères et sœurs disent tous qu’il doit être puni. » Voilà la phrase qu’il a prononcée. Dites-Moi, cette phrase représente-t-elle vraiment les frères et sœurs, ou représente-t-elle le dirigeant lui-même ? (Elle représente le dirigeant lui-même.) Mettons de côté les frères et sœurs – parmi eux, il y a toutes sortes de personnes confuses : ceux qui n’aiment pas la vérité, ceux qui parlent de manière détournée, ceux qui sont égoïstes et qui ne servent que leurs intérêts, ceux qui attisent des disputes, ceux qui parlent sans principes, et ceux qui agissent sans fondement moral. Quel genre de personne ne peut-on trouver parmi eux ? Alors, quelle était sa responsabilité en tant que dirigeant d’Église ? Était-ce sa responsabilité de parler au nom des frères et sœurs influents, de défendre ces tendances malveillantes et ces pratiques malfaisantes ? (Non.) Alors quelle était sa responsabilité ? Lorsqu’il a découvert des problèmes de distorsion et de divergence parmi les frères et sœurs, sa responsabilité était de résoudre ces problèmes en se servant de la vérité, afin que ces personnes puissent comprendre où se situaient les problèmes, et les problèmes relatifs à leurs états, de les conduire à se connaître elles-mêmes et à comprendre la vérité, et de les amener devant Dieu. N’est-ce pas là la responsabilité d’un dirigeant d’Église ? (Si.) L’a-t-il assumée ? Non seulement il a échoué à l’assumer, mais il a même nourri ces tendances malveillantes et ces pratiques malfaisantes, il a protégé, incité, et toléré leur émergence et leur propagation au sein de l’Église. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) Dites-Moi, une fois que le Supérieur émonde et expose une personne dotée de ce genre de tempérament malveillant, sera-t-elle réfractaire dans son cœur ? (Oui.) Elle sera certainement réfractaire. Traitera-t-elle les gens équitablement, conformément aux principes qui lui ont été donnés par le Supérieur ? Absolument pas. Tu peux voir à travers les paroles qu’il a prononcées qu’il était profondément sournois. Plus tard, Je Me suis dit : « Si ceux qui travaillent vite sont punis, qui osera travailler vite ? Tout le monde deviendra aussi lent qu’une tortue, incapable de remonter sur la berge, même après avoir paressé pendant trois jours. » N’est-ce pas ainsi que les choses vont se passer ? Au-delà de son incapacité à traiter les gens équitablement, l’aspect le plus grave et le plus fatal de ce dirigeant, et celui qui pouvait le plus induire les gens en erreur, c’était que quelles que soient les mauvaises choses que faisaient les frères et sœurs, ou quels que soient les points de vue absurdes et erronés qu’ils propageaient, non seulement il échouait à les discerner et à les corriger, mais il y cédait, les défendait, et essayait même de les satisfaire. N’était-il pas un individu dangereux ? (Si.) Il était extrêmement dangereux ! C’était la troisième phrase prononcée par ce dirigeant.
Poursuivons avec la quatrième phrase. J’ai fréquemment visité l’Église dont ce dirigeant était responsable. Cette Église élevait quelques poules, et chaque fois que Je M’y rendais, le dirigeant tuait une poule. Un jour, un poulet mijotait dans un bouillon clair ; le jour suivant, un poulet était braisé au vin rouge ; le surlendemain, un poulet était fumé. Je Me suis dit que si Je continuais de M’y rendre tous les jours, le poulailler serait décimé en quelques jours. Pourquoi en était-il ainsi ? Lorsqu’un poulet était cuit, parfois J’en prenais un morceau, et parfois Je n’en voulais pas, mais quoi qu’il en soit, ces gens-là en mangeaient, et un poulet entier était consommé à chaque fois. Plus tard, J’ai réfléchi à cela : si un poulet entier était consommé chaque fois que Je leur rendais visite, peu importe le nombre de poulets qu’ils possédaient, ils ne feraient pas long feu en étant mangés à ce rythme. Alors, J’ai dit au dirigeant qu’il ne pourrait plus tuer de poules. N’était-ce pas la bonne chose à faire ? (Si.) À ce moment-là, cela l’a vraiment mis dans l’embarras. Il a lancé cette question : « Si nous ne pouvons pas tuer de poules, alors… » Tu n’as aucune idée de ce qu’il a demandé ensuite. Qu’est-ce qu’il a fini par lâcher ? « Alors, que veux-tu que nous mangions ? » J’ai dit : « N’y a-t-il rien à manger à part des poulets ? Le potager n’est-il pas plein de légumes ? Je peux bien manger n’importe lesquels d’entre eux. » Il voulait dire que s’ils n’avaient pas le droit de tuer des poulets, Je devrais tout de même avoir de la viande. Il était « attentionné », n’est-ce pas ? J’ai répondu : « De la viande ! Si vous avez des légumes, alors, Je ne vais pas manger de viande. Si Je ne te dis pas de tuer de poules, n’en tue pas ! » Cela aurait dû être facile à comprendre, n’est-ce pas ? (Oui.) Mais dans ce cas, c’est devenu un dilemme. Le fait de ne pas pouvoir tuer de poules l’a mis très mal à l’aise ; il s’est mis à se comporter de manière très étrange, comme un homme possédé. Comme il ne pouvait pas manger de poulet cette fois-là, lors de Ma visite suivante, il a posé une autre question, ce qui nous amène à la cinquième phrase. Écoutez la manière dont ses questions sont devenues de plus en plus risibles. Quelle a été sa question ? Il a dit : « Puisque nous ne pouvons pas tuer de poules, et que nous élevons aussi des lapins – voudrais-tu en manger à la place ? » Cela M’a vraiment mis en colère. J’ai dit : « Les petits lapins que nous élevons sont si mignons, avec leurs yeux rouge vif et leur pelage blanc si pur. Ils passent de bons moments à jouer. Pourquoi ne penses-tu qu’à manger de la viande ? Ne peux-tu pas te passer de viande ? » Je ne comprenais pas. Leur cuisine ne manquait jamais de viande ; il y avait d’énormes quantités de cuisses de poulet et de côtes de porc. Ce n’est pas comme s’il n’avait pas de viande à se mettre sous la dent, alors pourquoi posait-il sans cesse des questions sur le fait de tuer des lapins et de manger leur viande ? J’ai juste rétorqué : « Tu n’as pas le droit de les tuer ! Quelle est la raison de tous ces abattages ? » Lorsqu’il M’a vu répondre ainsi, il a soudain eu peur d’être émondé et n’a pas osé poser davantage de questions. Quels repas a-t-il préparés par la suite ? Pendant les mois de juin et juillet, il y avait toutes sortes de choses dans le jardin ; les légumes-feuilles et les légumes-fruits étaient abondants. Un jour, le dirigeant a dressé une table, elle était couverte de mets. Qu’avait-il préparé ? Des germes de soja sautés, une soupe de germes de soja, du tofu mijoté avec du poisson, des petits pois sautés et des œufs, champignons noirs sautés – il n’y avait pas un seul légume à feuilles sur la table. J’ai jeté un coup d’œil à tous ces plats secs. En cette saison, il fallait quelque chose de frais, mais ces mets qu’il avait préparés n’étaient absolument pas de saison. J’ai pensé, n’est-il pas en train d’être malveillant ? Il y avait toutes sortes de légumes dans le jardin ; pourquoi n’a-t-il pas préparé des légumes à feuilles ? Au bout du compte, J’ai dit qu’il devrait être rapidement renvoyé. Avec quelqu’un comme lui en charge de la cuisine, les gens n’auraient jamais l’occasion de manger des plats de saison. Au lieu de cela, ils mangeraient toujours des mets qui n’étaient pas de saison. Est-ce normal ? Ce n’est absolument pas normal !
À travers les questions posées par ce dirigeant, et sa manière de cuisiner, J’ai observé, premièrement, qu’il était de piètre caractère ; deuxièmement, il avait un tempérament malveillant et insidieux ; et troisièmement, il ne poursuivait pas la vérité. Cependant, il y avait une chose en particulier qui était inattendue ; on pourrait même la qualifier de bizarre. Dans le passé, chaque fois qu’il y avait une élection au sein de cette Église, il recevait le plus de votes, et même lors de réélections, il recevait toujours le plus de votes. Que se passait-il pour qu’une telle personne reçoive à maintes reprises le plus grand nombre de votes ? N’y avait-il pas, des deux côtés, des raisons pour cela ? (Si.) Il y avait des raisons pour cela des deux côtés. Quelles étaient les principales raisons ? D’un côté, la plupart des frères et sœurs ne poursuivaient ou ne comprenaient pas la vérité, et ils manquaient de discernement vis-à-vis des gens. D’un autre côté, le dirigeant d’Église était tout à fait capable d’induire les gens en erreur. Vous ne savez pas qui est cet individu, vous n’avez pas vu ce qu’il a fait, et vous ne savez pas quel genre de personne il était dans la sphère privée. Mais sur la seule base des questions que J’ai abordées, ainsi que des cinq phrases qu’il a prononcées, quel genre de personne diriez-vous qu’il était ? Était-il qualifié pour être un dirigeant d’Église ? (Non.) Alors pourquoi ces frères et sœurs continuaient-ils de l’élire ? Parce qu’il avait des stratégies et induisait ces gens en erreur. Il n’était absolument pas aussi candide et terre-à-terre qu’il n’y paraissait en surface ; il avait indubitablement des stratégies. Plus tard, J’ai dit qu’il n’y avait personne au sein de cette Église qui était qualifiée pour intervenir en tant que dirigeant, et que quelqu’un d’autre devrait être envoyé pour occuper ce poste. Mais certaines personnes n’ont pas compris ; elles ont eu le sentiment que ce dirigeant n’était pas choisi par les frères et sœurs. Comment devrions-nous définir « les frères et sœurs » ? Les frères et sœurs représentent-ils la vérité ? Est-ce ainsi qu’on les définit ? (Non.) Lorsque les frères et sœurs génèrent collectivement une demande, un règlement, ou une opinion et un argument, ces choses-là sont-elles nécessairement alignées avec la vérité ? Dieu devrait-Il prendre en compte leurs problèmes et S’en occuper en premier ? Dieu peut-Il faire cela ? (Non.) Alors, comment ces problèmes devraient-ils être traités ? Comment ces frères et sœurs devraient-ils être définis ? La plupart d’entre eux sont disposés à faire leurs devoirs, leur labeur et leur travail, mais ils ne poursuivent pas la vérité. La capacité et le calibre pour comprendre la vérité leur font défaut ; ils sont stupides, indifférents, et lents d’esprit. Ils sont incapables de discerner les gens ou de percer à jour les problèmes, et ils sont égoïstes et égocentriques. Même s’ils ont de bonnes intentions et sont disposés à renoncer à des choses, à se dépenser, et à trimer pour Dieu, quel est leur vice fatal ? Ils ne comprennent pas ou n’acceptent pas la vérité. Ils adhèrent à l’adage : « Quiconque me nourrit est ma mère, et quiconque me donne de l’argent est mon père. » Quiconque se montre bon avec eux, ou leur est favorable, quiconque parle en leur faveur et les protège sera la personne qu’ils choisiront. Si on laissait de tels individus choisir leur propre dirigeant, pourraient-ils élire un bon dirigeant ? Non, ils en seraient incapables. Pourraient-ils faire le moindre progrès dans leur entrée dans la vie ? Si le Supérieur leur permettait d’être si entêtés, et de continuer de se comporter de manière si imprudente, ne serait-ce pas irresponsable ? (Si.) Ils se sont montrés confus, mais le Supérieur ne l’est pas, et le dirigeant que ces gens avaient choisi a été destitué et remplacé par quelqu’un d’autre. Même si ces gens n’étaient pas disposés à accepter le nouveau dirigeant, du moment que cette personne pouvait effectuer un peu de réel travail, elle était bien meilleure que ce faux dirigeant qui a induisait les gens en erreur. Même si ces frères et sœurs n’ont pas compris l’arrangement du Supérieur, viendra un jour où ils saisiront quelques vérités et auront une certaine compréhension des choses, et alors ils sauront qui était bon et qui était mauvais. En agissant de la sorte, le Supérieur les prenait totalement en charge. Est-ce que faire cela était approprié ? (C’était approprié.) Même s’ils ne comprenaient pas, on ne pouvait pas leur permettre de simplement agir à leur guise en élisant qui ils voulaient. Veulent-ils se rebeller ? S’ils veulent faire le mal, devenir les complices de Satan, ils seront complètement détruits. Alors, le Supérieur a pris une décision à leur place et a choisi un autre dirigeant. Mais ils n’ont pas accepté cela ; ils ont maintenu que la personne qu’ils avaient choisie était convenable. N’est-ce pas là de la malveillance ? Pourquoi ont-ils continué de penser qu’il était bien ? Qu’y avait-il de si bien chez lui ? Pourquoi étaient-ils si déterminés à le garder ? Il y avait ici un problème : ils avaient été induits en erreur et blessés par ce faux dirigeant sans s’en rendre compte. Ils étaient vraiment une bande d’imbéciles. J’ai terminé de parler de cette question. Nous considérons les gens qui sont à l’image de ce faux dirigeant comme étant un cas typique à disséquer et à analyser dans le cadre de ce sujet. Il est approprié de faire cela. Après tout, la malveillance de leurs tempéraments est elle-même typique.
Quant à notre échange sur la malveillance au sein de la septième manifestation des antéchrists, à travers l’intégration de ces exemples spécifiques, et en les analysant et en les comparant, ce sujet est-il plus clair pour vous ? Que cette personne dont Je viens de traiter soit capable, à l’avenir, de poursuivre la vérité, cela est incertain, c’est difficile à dire, et nous nous garderons de tirer la moindre conclusion pour le moment. Cependant, une chose est sûre : son tempérament, son essence et sa nature étaient tous malveillants. Alors, qu’aimait cet individu ? Aimait-il l’équité et la droiture ? Aimait-il les différentes vérités prononcées par Dieu ? Aimait-il être une personne honnête, traiter les autres justement, agir avec principes, et chercher la vérité ? Aimait-il ces choses-là ? Il n’aimait aucune de ces choses – c’est sûr et certain. À travers ces quelques phrases qu’il a prononcées et ces quelques questions qu’il a posées, les choses qu’il aimait au fond de son cœur et jusque dans ses os ont été exposées. Il n’y avait pas une seule chose parmi elles qui était alignée avec des choses positives. Qui étaient les gens qu’il aimait et qu’il se sentait prêt à protéger ? Il protégeait ceux qui commettaient le mal, qui perturbaient le travail de l’Église, qui manquaient totalement de loyauté et qui se livraient à de nombreux méfaits dans l’accomplissement de leurs devoirs. Il ne considérait pas de telles personnes avec colère ou haine ; il allait même jusqu’à parler en leur faveur et prendre leur défense. Qu’est-ce que cela indique ? Qu’ils étaient du même type : ils partageaient des intérêts communs et une essence commune. Ils étaient naturellement en accord, et ils étaient de la même sale espèce. Lorsque certains frères et sœurs ont continué de nourrir des notions et des incompréhensions au sujet des paroles et des actes de Dieu, qu’a éprouvé ce dirigeant ? A-t-il porté un fardeau lorsqu’il s’est agi de résoudre ces problèmes ? (Non.) Il n’a pas porté ce fardeau ; il ne s’est pas occupé de ces problèmes et n’a pas accordé d’attention à ces questions – il a fermé les yeux sur cela. Lorsque quelqu’un a humilié le nom de Dieu, ou interrompu et perturbé le travail de la maison de Dieu, lorsque quelqu’un a manqué de loyauté et s’est montré négligent dans ses devoirs, ou a nui aux intérêts de la maison de Dieu et a causé perturbation et destruction en effectuant son devoir, ou a répandu de la négativité et a fait circuler des notions, a-t-il été en mesure d’identifier une seule de ces choses comme étant un problème ? Il n’a pas pu les identifier comme étant des problèmes. Il s’est dit : « C’est normal que ces problèmes existent ; qui n’a pas de révélations de corruption ? » Qu’insinuait-il ? Il insinuait que ces gens devaient agir de cette manière, et qu’il n’aurait ainsi pas l’air si mauvais – il pouvait « dissimuler » et être « protégé ». N’est-ce pas malveillant ? Ces personnes ont continuellement causé interruptions et perturbations, et il ne les a pas gérées. Dites-Moi, sur la base de ces faits, avait-il un sens de la justice ? Aimait-il la vérité ? Pour quel genre d’endroit prenait-il la maison de Dieu ? Il ne voulait pas que la maison de Dieu soit remplie de personnes honnêtes, de personnes qui soient loyales à Dieu, de personnes qui suivent la voie de Dieu et qui connaissent leur place en effectuant leurs devoirs. Il ne voulait pas que tout le monde s’ouvre aux autres et échange sur les paroles de Dieu, se soumette à Dieu et Lui porte témoignage. Il ne voulait pas que tout le monde soit ainsi dans la maison de Dieu. Alors, qu’est-ce qu’il voulait ? Il voulait que tout le monde entretienne des liens intéressés, chacun protégeant ses propres intérêts, sans nuire à quiconque, et sans exposer les squelettes dans le placard des autres. Il voulait que tout le monde se protège et se couvre mutuellement, dissimulant aux gens venant de l’extérieur toute mauvaise chose que les autres faisaient, et faisant front uni. Voilà ce qu’il voulait. Lorsque quelqu’un dévoilait les méfaits et les véritables circonstances d’un autre, et les rendait publiques, en parlait directement et mettait tout le monde au courant, il haïssait et détestait de telles actions. Il aimait que les méfaits demeurent dissimulés et cachés, il aimait que les mensonges ne soient pas révélés, et que quiconque se livrant à de la tromperie ou nuisant aux intérêts de la maison de Dieu ne soit pas géré conformément aux principes. Au sein de l’Église qu’il supervisait, que sont devenues les paroles de Dieu, que sont devenus les décrets administratifs et les arrangements de travail de la maison de Dieu ? Ils sont devenus des paroles creuses, et ils n’ont pas pu être mis en œuvre. Pourquoi n’ont-ils pas pu être mis en œuvre ? Parce qu’il y faisait obstruction ; il est devenu un mur qui les isolait. C’est le tempérament malveillant que les antéchrists révèlent en déformant les faits, en employant certaines tactiques et en se livrant à certaines conspirations et ruses pour duper et tromper les autres, afin d’atteindre leurs propres objectifs.
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