Comment poursuivre la vérité (2) Partie 1
Lors de notre réunion précédente, nous avons échangé sur un grand sujet : comment poursuivre la vérité. Comment poursuivre la vérité : comment avons-nous échangé sur cette question ? (Dieu a échangé sur deux aspects : le premier était le « lâcher-prise », le second était le « dévouement ». En termes de lâcher-prise, Dieu a parlé des émotions négatives qui existent chez l’homme. En particulier, Dieu a échangé sur les effets spécifiques et les conséquences que les émotions négatives d’infériorité, de colère et de haine ont sur notre devoir. L’échange de Dieu nous a donné une compréhension différente de la façon de poursuivre la vérité. Nous avons vu que nous ignorions souvent les émotions négatives que nous révélons chaque jour, et que généralement nous ne discernons pas ni ne comprenons nos émotions négatives. Nous portons un jugement unilatéral selon lequel c’est simplement le genre de personne que nous sommes. Nous apportons ces émotions négatives dans notre devoir, et cela a une incidence directe sur les résultats de ce devoir. Cela influence également notre regard sur les gens et les choses et notre façon de traiter les problèmes dans notre vie. Cela fait qu’il nous est extrêmement difficile de suivre le chemin de la poursuite de la vérité.) Lors de notre dernière réunion, J’ai échangé sur la façon de poursuivre la vérité. En matière de pratique, il existe deux principaux chemins : celui du lâcher-prise et celui du dévouement. La dernière fois, nous avons résumé les principaux problèmes associés au premier aspect de ce premier chemin, le « lâcher-prise », à savoir, qu’il faut abandonner divers types d’émotions. Ce sont principalement des émotions négatives, celles qui sont anormales, irrationnelles et qui ne s’accordent pas avec la conscience et la raison. Parmi celles-ci, notre échange a porté sur les émotions négatives d’infériorité, de colère et de haine, ainsi que sur certains comportements qui résultent de la vie dans ces émotions négatives, sur diverses émotions négatives produites à la suite de circonstances particulières ou d’un contexte de développement particulier, et sur des émotions négatives reflétées par un caractère anormal. Pourquoi ces émotions négatives doivent-elles être abandonnées ? C’est parce que ces émotions, objectivement parlant, provoquent des mentalités et des points de vue négatifs chez les gens, influençant la position qu’ils adoptent face aux gens, aux évènements ou aux choses. Ainsi, le premier aspect de cette façon de pratiquer, le lâcher-prise, exige que les gens abandonnent toutes sortes d’émotions négatives. La dernière fois, nous avons échangé sur ces émotions négatives. Mais en plus de l’infériorité, de la colère et de la haine sur lesquelles nous avons échangé, il existe, bien sûr, une variété d’émotions qui peuvent avoir un impact sur les points de vue de l’humanité normale. Elles interfèrent avec la conscience, la raison, la pensée et le jugement de l’humanité normale et peuvent affecter les résultats de la poursuite de la vérité par l’homme. Cela signifie que ces émotions négatives sont les premières choses que l’humanité doit abandonner dans sa poursuite de la vérité. Notre échange d’aujourd’hui se poursuivra avec le sujet du moment : comment abandonner diverses émotions négatives. D’abord, nous échangerons sur les diverses manifestations d’émotions négatives et, grâce à Mon échange sur ces manifestations, l’homme pourra acquérir la connaissance des émotions négatives, les retenir pour se comparer à lui-même, puis commencer à les résoudre, une par une, dans sa vie quotidienne. En recherchant et en comprenant la vérité, et en connaissant et en disséquant les pensées et opinions négatives, ainsi que les perspectives et positions anormales que les émotions négatives font ressortir chez les gens, on peut commencer à résoudre ces émotions négatives.
La dernière fois, nous avons parlé de l’émotion négative de la « déprime ». Tout d’abord, est-ce que la plupart des gens ont émotion de déprime ? Êtes-vous capable d’avoir une idée du type de sentiment et du type d’humeur qu’est la déprime, et quelles sont ses manifestations ? (Oui.) Ceci est facile à comprendre. Nous ne parlerons pas beaucoup de la « déprime », nous décrirons simplement les manifestations provoquées par l’émotion de la déprime chez ceux qui croient en Dieu et Le suivent. Que signifie « déprime » ? Cela signifie se sentir déprimé, ne pas se sentir bien, ne se sentir intéressé par rien de ce que l’on fait, n’avoir aucun dynamisme, aucune motivation, avoir une attitude assez négative et passive dans les choses que l’on fait et ne pas avoir de détermination énergique. Alors, quelle est la cause profonde de ces manifestations ? C’est la question principale qu’il faut disséquer. Une fois que vous avez compris les diverses manifestations de la déprime, ainsi que les différents états d’esprit, pensées et attitudes dans ce que l’on fait, apportés par cette émotion négative, vous devez comprendre quelles sont les causes de ces émotions négatives, c’est-à-dire quelles sont les causes profondes qui se cachent derrière ces émotions négatives, ce qui les provoque chez les gens. Pourquoi les gens deviennent-ils déprimés ? Pourquoi ne ressentent-ils aucune motivation à faire les choses ? Pourquoi sont-ils toujours aussi négatifs, passifs et sans détermination quand ils font les choses ? Il y a clairement une raison à cela. Par exemple, tu vois quelqu’un qui est toujours déprimé et passif quand il fait des choses, incapable de mobiliser son énergie, ses émotions et son attitude ne sont pas très positives ni optimistes et il exprime toujours une attitude aussi négative, de reproche et désespérée. Tu lui donnes des conseils, mais il ne les écoute jamais et, bien qu’il admette que la manière que tu lui as indiquée est la bonne et que ton raisonnement est excellent, pourtant, quand il fait des choses, il ne peut pas mobiliser son énergie et il est toujours négatif et passif. Dans les cas graves, d’après ses mouvements corporels, sa silhouette, sa façon de marcher, le ton de sa parole et les mots qu’il prononce, tu peux voir que ses émotions sont celles d’une personne particulièrement déprimée, qui manque d’énergie dans tout ce qu’elle fait et qui est comme un fruit écrasé, et celui qui passe beaucoup de temps avec cette personne en sera affecté. Qu’est-ce que tout cela ? Les divers comportements, expressions faciales, le ton de la parole et même les pensées et points de vue exprimés par les personnes vivant dans la déprime ont des qualités négatives. Alors, quelle est la raison de ces phénomènes négatifs ? Où se trouve la racine ? Bien sûr, la cause profonde de l’apparition de l’émotion négative de la déprime est différente chez chacun. L’émotion de la déprime, chez un type de personne, peut résulter de la croyance constante de cette personne en son propre destin funeste. N’est-ce pas là une cause possible ? (Si.) Quand cette personne était jeune, elle vivait à la campagne ou dans une région pauvre, sa famille n’était pas prospère et, à part quelques meubles simples, elle n’avait rien qui ait de la valeur. Elle avait peut-être une ou deux tenues, qu’elle devait porter même s’il y avait des trous dedans, et d’ordinaire, elle ne pouvait jamais manger de la nourriture de bonne qualité, mais devait plutôt attendre le Nouvel An ou des fêtes pour manger de la viande. Parfois, elle souffrait de la faim et n’avait pas assez de vêtements pour avoir chaud. Pouvoir se rassasier d’un grand bol rempli de viande était une chimère et il lui était même difficile de trouver un fruit à manger. Vivant dans un tel environnement, cette personne se sentait différente des autres, qui vivaient dans des grandes villes, dont les parents étaient aisés, qui pouvaient manger tout ce qu’ils voulaient et porter tout ce qu’ils voulaient, qui obtenaient tout ce qu’ils voulaient sur-le-champ et qui savaient tout sur tout. Cette personne se disait : « Ces gens ont un destin vraiment favorable. Pourquoi le mien est-il aussi funeste ? » Elle voulait sans cesse sortir du lot et changer sa destinée. Cependant, il n’est pas si facile de changer sa destinée. Quand on naît dans de telles circonstances, même si on essaie, dans quelle mesure peut-on changer son destin et dans quelle mesure peut-on l’améliorer ? Une fois devenue adulte, cette personne rencontre des obstacles partout où elle va dans la société, elle est victime d’intimidation partout où elle va, et elle se sent donc constamment très malheureuse. Elle pense : « Pourquoi ai-je autant de malchance ? Pourquoi est-ce que je rencontre toujours des gens méchants ? La vie était dure quand j’étais enfant, il en était simplement ainsi. Maintenant que j’ai grandi, la vie est toujours aussi difficile. Je veux sans cesse montrer ce que je sais faire, mais je n’en ai jamais l’occasion. Si je n’en ai jamais l’occasion, tant pis. Je veux juste travailler dur et gagner assez d’argent pour avoir une bonne vie. Pourquoi ne puis-je même pas faire cela ? Comment avoir une bonne vie peut-il être aussi difficile ? Je n’ai pas à avoir une vie supérieure à celle de tous les autres. Je veux au moins avoir la vie d’un citadin et ne pas être méprisé par les gens, ne pas être un citoyen de second ou de troisième ordre. Au moins, quand les gens m’appelleraient, ils ne me crieraient pas : “Hé toi, viens ici !” Au moins, ils m’appelleraient par mon nom et s’adresseraient à moi avec respect. Mais je ne peux même pas me réjouir qu’on s’adresse à moi avec respect. Pourquoi mon destin est-il aussi cruel ? Quand cela finira-t-il ? » Une telle personne, quand elle ne croyait pas en Dieu, considérait que son destin était cruel. Après avoir commencé à croire en Dieu et à voir que c’est le vrai chemin, elle pense alors : « Toute cette souffrance en valait la peine. Tout a été orchestré et accompli par Dieu, et Dieu a bien fait. Si je n’avais pas souffert comme cela, je n’en serais pas venu à croire en Dieu. Maintenant que je crois en Dieu, si je peux accepter la vérité, alors ma destinée devrait s’améliorer. Je peux maintenant avoir une vie dans l’Église égale à celle de mes frères et sœurs, et les gens m’appellent “Frère” ou “Sœur”, et on s’adresse à moi avec respect. Je savoure maintenant le sentiment d’être respecté par les autres. » Il semble que le destin de cette personne a changé, il semble qu’elle ne souffre plus et qu’elle n’a plus un destin funeste. Une fois qu’elle a commencé à croire en Dieu, elle prend la résolution de bien accomplir son devoir dans la maison de Dieu, elle devient capable d’endurer des souffrances et de travailler dur, capable d’endurer plus que n’importe qui d’autre dans n’importe quel domaine, et elle s’efforce d’obtenir l’approbation et l’estime de la plupart des gens. Elle pense qu’elle peut même être choisie pour être dirigeant d’Église, quelqu’un de responsable ou un chef d’équipe, et n’honorera-t-elle pas alors ses ancêtres et sa famille ? N’aura-t-elle pas alors changé sa destinée ? Cependant, la réalité n’est pas tout à fait à la hauteur de ses souhaits, elle se décourage et se dit : « Je crois en Dieu depuis des années et je m’entends très bien avec mes frères et sœurs, mais comment se fait-il que chaque fois qu’il est temps de choisir un dirigeant, un responsable ou un chef d’équipe, ce ne soit jamais mon tour ? Est-ce parce que j’ai l’air vraiment quelconque, ou parce que je n’ai pas été assez performant et que personne ne m’a remarqué ? Chaque fois qu’il y a un vote, j’ai un peu d’espoir, et je serais content même si j’étais choisi comme chef d’équipe. Je suis tellement enthousiaste à l’idée de rendre la pareille à Dieu, mais je finis par être déçu à chaque fois qu’il y a un vote et je suis mis à l’écart de tout. C’est à n’y rien comprendre ! Se pourrait-il que je ne sois vraiment capable que d’être une personne médiocre, une personne ordinaire, quelqu’un de banal toute ma vie ? Quand je repense à mon enfance, à ma jeunesse et à mes années de maturité, ce chemin que j’ai parcouru a toujours été vraiment médiocre et je n’ai rien fait de remarquable. Ce n’est pas que je n’aie pas d’ambition, ou que mon calibre soit par trop insuffisant, et ce n’est pas que je ne fasse pas assez d’efforts ou que je ne puisse pas endurer des difficultés. J’ai des déterminations et des objectifs, et on peut même dire que j’ai de l’ambition. Alors pourquoi est-ce que je ne peux jamais sortir du lot ? En dernière analyse, j’ai juste un destin funeste et je suis destiné à souffrir, c’est ainsi que Dieu a arrangé les choses pour moi. » Plus cette personne s’y attarde, plus elle se dit que son destin est funeste. Dans le cours normal de ses devoirs, si ses suggestions ou les opinions qu’elle exprime sont toujours réfutées et que personne ne l’écoute ni ne la prend au sérieux, elle devient encore plus déprimée et se dit : « Oh, mon destin est vraiment funeste ! Dans tous les groupes dont je fais partie, il y a toujours une personne méchante qui m’empêche d’avancer et m’opprime. Personne ne me prend jamais au sérieux et je ne peux jamais me distinguer. En fin de compte, tout se résume à ceci : j’ai tout simplement un destin funeste ! » Quoi qu’il lui arrive, cette personne l’attribue toujours à son destin funeste. Elle consacre constamment des efforts à cette idée qu’elle a un destin funeste, elle s’efforce d’en avoir une compréhension et une appréciation plus profondes, et à mesure qu’elle retourne cela dans son esprit, elle est de plus en plus déprimée. Lorsqu’elle commet une erreur mineure dans l’accomplissement de son devoir, elle se dit : « Oh, comment puis-je bien faire mon devoir, alors que j’ai un destin aussi funeste ? » Lors des réunions, ses frères et sœurs échangent, et elle réfléchit encore et encore, mais elle ne comprend pas et elle se dit : « Oh, comment puis-je comprendre les choses, alors que j’ai un destin aussi funeste ? » Chaque fois qu’elle voit quelqu’un qui parle mieux qu’elle, qui discute de sa compréhension d’une manière plus claire et plus éclairée qu’elle, elle se sent encore plus déprimée. Quand elle voit quelqu’un qui peut endurer des difficultés et payer le prix, qui obtient des résultats dans l’accomplissement de son devoir, qui reçoit l’approbation de ses frères et sœurs, et qui obtient une promotion, elle est malheureuse dans son cœur. Quand elle voit quelqu’un devenir dirigeant ou ouvrier, elle est encore plus déprimée, et même quand elle voit quelqu’un qui chante et danse mieux qu’elle, et qu’elle se sent inférieure à cet individu, elle sombre dans la déprime. Quels que soient les personnes, les évènements ou les choses qu’elle rencontre, ou les situations dans lesquelles elle se trouve, elle y répond toujours par le biais de cette émotion de la déprime. Même lorsqu’elle voit quelqu’un qui porte des vêtements un peu plus beaux que les siens ou qui est un peu mieux coiffé qu’elle, elle est toujours triste, et la jalousie et l’envie surgissent dans son cœur jusqu’à ce qu’elle revienne finalement à cette émotion de la déprime. Quelles sont les raisons qu’elle invoque ? Elle pense : « Oh, n’est-ce pas parce que mon destin est funeste ? Si j’étais un peu plus beau, si j’étais aussi digne qu’eux, si j’étais grand, avec une belle silhouette, avec des vêtements de qualité et beaucoup d’argent, avec de bons parents, alors les choses ne seraient-elles pas différentes de ce qu’elles sont maintenant ? Les gens ne me tiendraient-ils pas alors en haute estime, et ne seraient-ils pas envieux et jaloux de moi ? En fin de compte, mon destin est funeste et je ne peux le reprocher à personne d’autre. Avec un destin aussi funeste, rien ne tourne bien pour moi et je ne peux aller nulle part sans trébucher sur quelque chose. C’est juste mon destin funeste, et je ne peux rien y faire. » De même, lorsque cette personne est émondée, ou lorsque des frères et sœurs lui font des reproches et la critiquent, ou lui font des suggestions, elle y réagit par le biais de son émotion de la déprime. Quoi qu’il en soit, qu’il s’agisse de quelque chose qui lui arrive ou de tout ce qui l’entoure, elle y réagit toujours avec les diverses pensées, opinions et attitudes négatives et les divers points de vue négatifs qui résultent de son émotion de la déprime.
Des gens comme cela, qui pensent toujours avoir un mauvais destin, ont constamment l’impression que leur cœur est écrasé par un rocher géant. Parce qu’ils croient toujours que tout ce qui leur arrive est dû à leur mauvais destin, ils sentent qu’ils ne peuvent rien y changer, quoi qu’il arrive. Alors, que font-ils ? Ils se sentent juste négatifs, se laissent aller et se résignent à leurs malheurs. Qu’est-ce que Je veux dire quand Je dis qu’ils se résignent à leurs malheurs ? Ils pensent : « Oh, je vais devoir me débrouiller comme cela tout au long de ma vie ! » Lorsque d’autres personnes sont émondées, ces personnes peuvent réfléchir sur elles-mêmes et dire : « Pourquoi ai-je été émondé ? Qu’ai-je fait qui soit allé à l’encontre des vérités-principes ? Quels tempéraments corrompus ai-je révélés ? Ma compréhension est-elle assez profonde et assez concrète ? Comment dois-je comprendre et résoudre ces problèmes ? » Ils disent des choses comme cela, et voilà quelqu’un qui poursuit la vérité. Cependant, lorsque la personne ayant un soi-disant mauvais destin est émondée, elle a le sentiment que les autres la méprisent, que son destin est mauvais et donc, que personne ne l’aime, et quiconque veut l’émonder peut le faire. Quand personne ne l’émonde, sa déprime s’atténue un peu, mais dès que quelqu’un l’émonde, sa déprime s’aggrave encore. Lorsque d’autres personnes sont émondées, elles peuvent se sentir négatives pendant plusieurs jours. Elles lisent les paroles de Dieu et avec l’aide et le soutien de leurs frères et sœurs, elles deviennent capables d’accepter la vérité et lentement, elles font volte-face et laissent derrière elles cet état négatif. Cependant, ceux qui pensent avoir un mauvais destin, non seulement ne laissent pas derrière eux cette émotion négative, mais au contraire, deviennent encore plus certains qu’ils ont effectivement un mauvais destin. Pourquoi cela ? Ils viennent dans la maison de Dieu avec le sentiment que leurs compétences ne sont jamais pleinement utilisées, qu’ils sont toujours émondés et servent toujours de boucs émissaires. Ils pensent : « Tu vois ? D’autres personnes font cela et ne sont pas émondées alors comment se fait-il que je sois émondé quand je fais cela ? Cela montre sûrement que mon destin est mauvais ! » Et donc ils deviennent ainsi déprimés et ils tombent dans le désespoir. Quelle que soit la manière dont d’autres personnes essaient d’échanger avec eux sur la vérité, cela ne pénètre pas en eux et ils disent : « Vous n’êtes émondés que pendant un moment, mais c’est différent pour moi. Je ne peux rien faire de bien et je suis né pour supporter d’être émondé. Je ne peux blâmer personne, c’est juste que mon destin est mauvais. » Parce qu’ils croient toujours qu’ils ont un mauvais destin et qu’ils seront toujours ainsi tant qu’ils vivront, alors quelle que soit la manière dont la maison de Dieu dit aux gens comment poursuivre la vérité, comment accomplir le devoir d’un être créé et comment accomplir leur devoir conformément aux normes, rien de tout cela ne pénètre en eux. Parce qu’ils sont à jamais certains qu’ils ont un mauvais destin, ils ont le sentiment que cette chose merveilleuse qu’est la poursuite de la vérité et l’obtention du salut n’a rien à voir avec eux et de ce fait, ils n’accomplissent pas leur devoir très consciencieusement. Ils sont sûrs dans leur cœur que « les personnes qui ont un mauvais destin ne peuvent pas bien accomplir leur devoir. Seules les personnes ayant un bon destin peuvent bien accomplir leur devoir. Quand quelqu’un a un bon destin, les gens l’aiment partout où il va et tout se passe bien pour lui. J’ai un mauvais destin et je rencontre toujours des gens méchants, je ne me sens jamais bien quand je fais mes devoirs, ces malheurs se succèdent l’un après l’autre ! » Parce qu’ils croient avoir un mauvais destin, ils sont toujours abattus et déprimés. Ils croient toujours que la poursuite de la vérité n’est qu’un sujet de discussion et que quelqu’un comme eux avec un mauvais destin ne peut jamais rien accomplir en poursuivant la vérité. Ils ont le sentiment que, même s’ils recherchent la vérité, ils ne gagneront rien à la fin, et ils pensent toujours : « Comment des gens qui ont un mauvais destin peuvent-ils entrer dans le royaume ? Comment les gens ayant un mauvais destin peuvent-ils obtenir le salut ? » Ils n’osent pas le croire, et donc ils se délimitent constamment, pensant : « Parce que j’ai un mauvais destin et que je suis né pour souffrir, ce ne sera pas si mal de survivre et de devenir un exécutant à la fin. Cela signifierait que les bonnes actions de mes ancêtres porteraient leurs fruits en moi et qu’elles me porteraient chance. Parce que j’ai un mauvais destin, je suis juste apte à faire quelques tâches banales, comme faire la cuisine, faire le ménage ou m’occuper des enfants des frères et sœurs, ou faire quelques petits boulots, etc. Quant à ces tâches qui vous permettent de briller dans la maison de Dieu, je n’aurai probablement rien à voir avec elles tant que je vivrai. Tu vois, je suis venu à la maison de Dieu plein d’enthousiasme, et comment ai-je fini ? Juste à faire la cuisine et à faire du travail manuel. Personne ne remarque à quel point je suis épuisé ou à quel point c’est dur, personne ne le voit et personne ne s’en soucie. Si ce n’est pas un sort difficile, je ne sais pas ce que c’est ! D’autres personnes sont des acteurs principaux ou des figurants et réalisent film après film, vidéo après vidéo : comme c’est merveilleux ! Je n’ai jamais brillé, pas une seule fois. Qu’est-ce que c’est dur ! Mon destin est si mauvais ! Qui est responsable de mon mauvais destin ? N’est-ce pas ma faute ? Je continuerai jusqu’à ce qu’il soit temps de mourir. » Ils s’enfoncent de plus en plus profondément dans cette émotion négative. Non seulement ils sont incapables de réfléchir à leurs propres émotions négatives et de les connaître, de savoir pourquoi elles se sont produites et si tout cela a quelque chose à voir avec un bon ou un mauvais destin, mais ils ne cherchent pas non plus la vérité pour comprendre ces choses et aussi, ils s’accrochent aveuglément à l’idée que tous leurs problèmes seraient dus à leur mauvais destin. Le résultat est qu’ils s’enfoncent de plus en plus profondément dans ces émotions négatives et sont incapables de s’en sortir. À la fin, parce qu’ils croient toujours avoir un mauvais destin, ils tombent dans le désespoir, vivent sans but réel et se contentent de manger et de dormir en attendant la mort. De ce fait, ils deviennent de plus en plus désintéressés de poursuivre la vérité, de bien accomplir leur devoir, d’obtenir le salut et d’autres exigences de Dieu, et même repoussent et rejettent de plus en plus ces choses. Ils prennent naturellement leur mauvais destin comme raison et comme base pour ne pas poursuivre la vérité et ne pas être en mesure d’obtenir le salut. Ils ne dissèquent pas leurs propres tempéraments corrompus ni leurs émotions négatives dans les situations qu’ils rencontrent pour arriver à connaître et à résoudre leurs tempéraments corrompus, mais ils utilisent plutôt leur point de vue sur le mauvais destin dans la façon dont ils réagissent à chaque personne, évènement et chose qu’ils rencontrent et expérimentent, ce qui les fait tomber encore plus profondément dans leur émotion de déprime. N’en est-il pas ainsi ? (Si, en effet.) Alors, cette émotion de déprime par laquelle les gens croient qu’ils ont un mauvais destin est-elle correcte ou non ? (Elle ne l’est pas.) En quoi n’est-elle pas correcte ? (Je pense que cette émotion est assez radicale. Ils apportent leur mauvais destin dans la façon dont ils expliquent et délimitent tout ce qui leur arrive. Quand des choses leur arrivent, ils ne réfléchissent pas et ne parviennent pas à une conclusion sur la raison pour laquelle ces problèmes surviennent, ni ne recherchent-ils ou réfléchissent-ils. C’est tout à fait une manière radicale d’aborder les choses, et qui les délimite.) D’où vient cette manière radicale et absurde d’aborder les choses ? Quelle est la cause profonde de ces émotions de déprime ? (Je pense que la cause profonde de cette émotion est qu’ils suivent le mauvais chemin et que le point de départ de leur poursuite est mauvais. Ils ont des désirs débridés, ils ne cessent de rivaliser avec les autres et de se comparer aux autres, et quand ils ne peuvent pas satisfaire leurs désirs débridés, cette émotion négative ressurgit à l’intérieur d’eux.) Vous n’avez pas clairement compris l’essence de ce problème : c’est principalement que leur point de vue sur la question du « destin » est inexact. Ils poursuivent toujours un bon destin, ou ils veulent que leur destin soit tel que tout se passe bien et facilement pour eux. Ils regardent toujours le destin des gens, et quand ils commencent à poursuivre une telle chose, que leur arrive-t-il ? Ils regardent les gens qui vivent dans des environnements différents, ce qu’ils mangent, ce qu’ils portent, ce qu’ils aiment, puis ils le comparent à leur propre situation et sentent qu’ils sont moins bien lotis à tous égards, que tout le monde est meilleur qu’eux, et ainsi ils croient avoir un mauvais destin. En fait, ils ne sont pas nécessairement les plus mal lotis, mais ils font toujours des comparaisons et se mesurent aux autres, s’efforçant toujours de réfléchir sur cette question du « destin », de l’observer et de se plonger dans son étude. Ils utilisent la perspective et le point de vue sur le fait que le destin soit bon ou mauvais pour prendre la mesure de tout, mesurant toujours, jusqu’à ce qu’ils se soient acculés dans un coin et n’aient plus aucune voie à suivre, et finalement ils sombrent dans la négativité. Ils utilisent constamment l’idée de savoir si le destin est bon ou mauvais pour mesurer l’apparence extérieure de tout ce qui se passe au lieu de considérer l’essence des choses. Quelle erreur commettent-ils en faisant cela ? Leurs pensées et leurs points de vue sont déformés, et leurs idées sur le destin sont inexactes. Le destin de l’homme est une question des plus profondes que personne ne peut clairement comprendre. Ce n’est pas seulement la date de naissance d’une personne ou l’heure exacte de sa naissance qui indique si le destin d’une personne sera bon ou mauvais : c’est un mystère.
L’arrangement de Dieu concernant ce que sera le destin d’une personne, qu’il soit bon ou mauvais, ne doit pas être vu ou mesuré avec le regard de l’homme ou celui d’un diseur de bonne aventure, et il ne doit pas non plus être mesuré en fonction de la richesse et de la gloire dont jouit cette personne au cours de sa vie, ni en fonction de souffrance dont elle fait l’expérience, ni en fonction de sa réussite dans sa poursuite de perspectives, de renommée et de fortune. Pourtant, c’est précisément la grave erreur commise par ceux qui disent avoir un destin funeste, et c’est aussi une façon de mesurer son destin utilisée par la majorité des gens. Comment la plupart des gens mesurent-ils leur propre destin ? Comment les gens mondains mesurent-ils si le destin d’une personne est bon ou mauvais ? Principalement, ils se basent sur le fait que la vie de cette personne se déroule sans heurt ou non, sur le fait qu’elle puisse ou non profiter de la richesse et de la gloire, sur le fait qu’elle puisse ou non avoir un mode de vie supérieur à celui des autres, et ils regardent combien cette personne souffre et ce dont elle peut profiter au cours de sa vie, combien de temps elle vit, quelle carrière elle mène, si sa vie est pleine de labeur ou agréable et facile : ils utilisent ces choses, et d’autres encore, pour mesurer si le destin d’une personne est bon ou mauvais. Ne le mesurez-vous pas comme cela, vous aussi ? (Si.) Alors, lorsque la plupart d’entre vous rencontreront quelque chose qui ne leur plaira pas, lorsque les temps seront durs ou que vous ne serez pas en mesure de profiter d’un mode de vie supérieur, vous penserez, vous aussi, que vous avez un destin funeste et vous sombrerez dans la déprime. Ceux qui disent qu’ils ont un mauvais destin n’ont pas nécessairement un mauvais destin, et ceux qui disent qu’ils ont un bon destin n’ont pas nécessairement un bon destin. Comment exactement le destin est-il mesuré comme étant bon ou mauvais ? Votre destin est bon si vous croyez en Dieu, et il n’est pas bon si vous ne croyez pas en Dieu, est-il juste de le dire ? (Pas nécessairement.) Vous dites « pas nécessairement », ce qui signifie que parmi ceux qui croient en Dieu, certains ont véritablement un mauvais destin et d’autres ont un bon destin. Si c’est le cas, alors certaines personnes qui ne croient pas en Dieu ont aussi un bon destin tandis que d’autres ont un mauvais destin : est-il juste de le dire ? (Non, c’est faux.) Dites-Moi vos raisons de dire cela. Pourquoi est-ce faux ? (Je ne crois pas que le destin d’une personne ait quoi que ce soit à voir avec le fait qu’elle croit en Dieu ou non.) C’est exact : que le destin d’une personne soit bon ou mauvais n’a rien à voir avec la croyance en Dieu. Alors, avec quoi cela a-t-il à voir ? Cela a-t-il quelque chose à voir avec le chemin que les gens suivent ou avec ce qu’ils poursuivent ? Est-ce que quelqu’un a un bon destin s’il poursuit la vérité, mais a un sort difficile s’il ne le fait pas ? Dites-Moi, une veuve a-t-elle un bon destin ? Pour les gens mondains, les veuves ont un mauvais destin. Si elles sont veuves dans la trentaine ou la quarantaine, elles ont vraiment un mauvais destin, c’est vraiment dur pour elles ! Mais si une veuve souffre beaucoup parce qu’elle a perdu son conjoint et qu’elle se met à croire en Dieu, est-ce que son destin est alors difficile ? (Non.) Parce que celles qui ne sont pas veuves vivent une vie heureuse, que tout va bien pour elles, avec beaucoup de soutien, de la nourriture et des vêtements, une famille pleine d’enfants et de petits-enfants, une vie confortable, sans aucune difficulté ni sentiment d’un besoin spirituel, elles ne croient pas en Dieu et ne croiront pas en Lui, quelle que soit la manière dont tu essayes de leur prêcher l’Évangile. Alors qui a un bon destin ? (La veuve a un bon destin parce qu’elle s’est mise à croire en Dieu.) Tu vois, parce que les gens mondains considèrent que la veuve a un mauvais destin et qu’elle souffre tellement, elle change alors de direction et commence à suivre un chemin différent, elle croit en Dieu et suit Dieu : cela ne signifie-t-il pas qu’elle a un bon destin maintenant et qu’elle vit heureuse ? (C’est le cas.) Son mauvais destin s’est transformé en bon destin. Si tu dis qu’elle a un mauvais destin, alors son destin dans la vie doit toujours être mauvais et elle ne peut pas le changer : alors comment peut-il être changé ? Son destin a-t-il changé lorsqu’elle a commencé à croire en Dieu ? (Non, c’est parce que ses points de vue sur les choses ont changé.) Parce que sa façon de voir les choses a changé. Le fait objectif de son propre destin a-t-il changé ? (Non.) Avant que la veuve ne croie en Dieu, elle enviait les femmes qui n’étaient pas veuves, pensant : « Regardez-la, elle a un si bon destin. Elle a un mari, un foyer, elle mène une vie heureuse et satisfaite. Elle ne souffre pas de cette douleur d’être veuve. » Cependant, depuis qu’elle croit en Dieu, elle pense : « Je crois maintenant en Dieu et Dieu m’a choisie pour Le suivre, et je peux accomplir mon devoir et obtenir la vérité. À l’avenir, je pourrai obtenir le salut et entrer dans le royaume. Quel bon destin c’est là ! Elle n’est pas veuve, mais quel est son destin ? Elle cherche toujours à profiter de la vie, poursuivant la gloire, la fortune et le statut, se souciant de bien réussir sa carrière et de profiter de la prospérité et de la richesse, mais plus tard, à sa mort, elle ira tout de même en enfer. Elle a un mauvais destin. Mon destin est meilleur que le sien ! » Ses points de vue ont changé, mais les faits objectifs n’ont pas changé. Celle qui ne croit pas en Dieu continue de penser : « Hum ! Mon destin est meilleur que le tien ! Tu es veuve, pas moi. Ma vie est meilleure que la tienne. J’ai un bon destin ! » Cependant, aux yeux de la femme qui s’est mise à croire en Dieu, elle n’a pas un bon destin. Comment ce changement s’est-il produit ? L’environnement objectif de la veuve a-t-il changé ? (Non.) Alors, comment ses points de vue ont-ils changé ? (Ses critères pour mesurer si les choses sont bonnes ou mauvaises ont changé.) Oui, ses opinions sur la façon de mesurer les choses et de considérer les choses ont changé. Elle est passée de l’idée que la femme qui n’est pas veuve a un bon destin à l’idée qu’elle a un mauvais destin et de l’idée qu’elle a un mauvais destin à l’idée qu’elle a un bon destin. Ces deux points de vue sont totalement différents de ce qu’ils étaient avant, ils ont été entièrement inversés. Que se passe-t-il ici ? Les faits objectifs et l’environnement n’ont pas changé, alors comment s’est-elle retrouvée avec des points de vue différents sur les choses ? (Ayant accepté la vérité et accepté les choses positives, elle applique maintenant les critères corrects dans ses opinions sur la mesure des choses comme bonnes ou mauvaises.) Ses opinions sur les choses ont changé, mais les faits réels ont-ils changé ? (Non.) La veuve est toujours veuve, et la femme qui vit heureuse vit toujours heureuse : il n’y a eu aucun changement dans les faits réels. Alors, qui a un bon destin et qui a un mauvais destin, finalement ? Peux-tu l’expliquer ? La veuve avait l’habitude de penser qu’elle avait un mauvais destin, une raison à cela étant sa situation de vie objective, et une autre raison étant les pensées et les opinions causées par son environnement objectif. À partir du moment où elle croit en Dieu, en lisant les paroles de Dieu et en comprenant certaines vérités, ses pensées suivent et changent, et sa perspective sur les choses est différente. Ainsi, une fois qu’elle croit en Dieu, elle ne se considère plus comme ayant un mauvais destin, mais plutôt comme quelqu’un qui a un bon destin, car elle a eu la chance d’accepter l’œuvre de Dieu et elle peut comprendre la vérité et obtenir le salut. C’est quelque chose de prédestiné par Dieu, et elle est vraiment bénie. Une fois qu’elle croit en Dieu, elle se concentre uniquement sur la poursuite de la vérité, ce qui est différent des objectifs qu’elle poursuivait auparavant. Même si ses conditions de vie, son cadre de vie et sa qualité de vie sont juste les mêmes qu’avant et n’ont pas changé, ses points de vue sur les choses ont changé. En réalité, a-t-elle vraiment eu un bon destin parce qu’elle croit en Dieu ? Pas nécessairement. C’est juste que maintenant elle croit en Dieu, elle a de l’espoir, elle ressent une certaine satisfaction dans son cœur, les buts qu’elle poursuit ont changé, ses points de vue sont différents, et donc son environnement de vie actuel la rend heureuse, satisfaite, joyeuse et en paix. Elle sent que son destin est vraiment bon maintenant, bien meilleur que le destin de la femme qui n’est pas veuve. Ce n’est que maintenant qu’elle se rend compte que l’opinion qu’elle avait auparavant, croyant qu’elle avait un mauvais destin, était faux. Que pouvez-vous voir à partir de là ? Y a-t-il des choses comme un « bon destin » et un « mauvais destin » ? (Non.) Non, ce n’est pas le cas.
Dieu a prédéterminé le destin des gens il y a longtemps et ce destin est immuable. L’idée d’un « bon destin » et d’un « mauvais destin » varie d’une personne à l’autre, et dépend de l’environnement, de ce que les gens ressentent et de ce qu’ils poursuivent. C’est pourquoi le destin d’une personne n’est ni bon ni mauvais. Il se peut que tu aies une vie très difficile, mais tu te dis peut-être : « Je ne cherche pas à vivre une vie haut de gamme. Je suis juste content d’avoir assez à manger et de quoi me vêtir. Tout le monde souffre au cours de sa vie. Les gens mondains disent : “On ne peut pas voir un arc-en-ciel à moins qu’il ne pleuve”, donc il y a de la valeur dans la souffrance. Ce n’est pas si mal, et mon destin n’est pas funeste. Les cieux m’ont donné douleur, épreuves et tribulations. C’est parce que Dieu a une haute opinion de moi. C’est un bon destin ! » Certaines personnes pensent que la souffrance est une mauvaise chose, que cela signifie qu’elles ont un destin funeste et que seule une vie sans souffrance, confortable et facile signifie qu’elles ont un bon destin. Les non-croyants appellent cela « une question d’opinion ». Comment ceux qui croient en Dieu considèrent-ils cette question du « destin » ? Parlons-nous d’un « bon destin » ou d’un « mauvais destin » ? (Non.) Nous ne disons pas des choses pareilles. Supposons que tu aies un bon destin parce que tu crois en Dieu, alors si tu ne suis pas le bon chemin dans ta croyance, si tu es puni, exposé et éliminé, cela signifie-t-il que tu as un bon destin ou un mauvais destin ? Si tu ne crois pas en Dieu, tu ne peux jamais être exposé ou éliminé. Les non-croyants et les gens religieux ne parlent pas d’exposer les gens ou de les discerner, et ils ne parlent pas des gens qui sont exclus ou bannis. Cela devrait signifier que les gens ont un bon destin quand ils sont capables de croire en Dieu, mais s’ils sont punis au bout du compte, cela signifie-t-il alors qu’ils ont un mauvais destin ? Une minute leur destin est bon, la minute suivante leur destin est mauvais : alors lequel est-ce ? Que quelqu’un ait un bon destin ou non n’est pas quelque chose qui peut être jugé, les gens ne peuvent pas juger cette question. Tout est fait par Dieu et tout ce que Dieu arrange est bon. C’est seulement que la trajectoire du destin de chaque individu, ou son environnement et les personnes, les évènements et les choses qu’il rencontre, et le chemin de vie dont il fait l’expérience au cours de sa vie, sont tous différents. Ces choses varient d’une personne à l’autre. L’environnement de vie de chaque individu et l’environnement dans lequel il grandit, qui sont tous deux arrangés pour lui par Dieu, sont différents. Les choses dont chaque individu fait l’expérience au cours de sa vie sont toutes différentes. Il n’y a pas de soi-disant bon destin ou mauvais destin : c’est Dieu qui organise tout et tout est fait par Dieu. Si nous considérons cette question du point de vue selon lequel tout est fait par Dieu, tout ce que Dieu fait est bon et juste. C’est simplement que, du point de vue des prédilections, des sentiments et des choix des gens, certaines personnes choisissent de vivre une vie confortable, ils choisissent d’avoir la renommée et la fortune, une bonne réputation, d’avoir la prospérité dans le monde et d’être reconnus à leur juste valeur. Ils croient que cela signifie qu’ils ont un bon destin et que toute une vie de médiocrité et d’échecs, toujours en bas de la société, est un mauvais destin. C’est ainsi que les choses se présentent du point de vue des non-croyants et des gens mondains qui poursuivent des choses mondaines et cherchent à vivre dans le monde, et c’est ainsi que surgit l’idée d’un bon destin et d’un mauvais destin. L’idée d’un bon destin et d’un mauvais destin ne surgit que de la compréhension étroite et de la perception superficielle du destin qu’ont les êtres humains, et des jugements que les gens portent sur la somme de souffrances physiques qu’ils endurent, sur la somme de plaisir, de renommée et de fortune qu’ils obtiennent, etc. En fait, si nous examinons les choses du point de vue de l’arrangement du destin de l’homme par Dieu et de la souveraineté de Dieu sur le destin de l’homme, il n’y a pas de telles interprétations en termes de bon destin et de mauvais destin. N’est-ce pas exact ? (Si.) Si tu considères le destin de l’homme du point de vue de la souveraineté de Dieu, alors tout ce que Dieu fait est bon, et c’est ce dont chaque individu a besoin. C’est parce que le lien de cause à effet joue un rôle dans les vies passées et présentes, que ces vies sont prédéterminées par Dieu, que Dieu a la souveraineté sur elles, et que Dieu les planifie et les arrange : l’humanité n’a pas le choix. Si nous examinons les choses de ce point de vue, les gens ne devraient pas juger leur propre destin comme étant bon ou mauvais, n’est-ce pas ? Si les gens portent des jugements avec désinvolture à ce sujet, ne commettent-ils pas une terrible erreur ? Ne commettent-ils pas l’erreur de juger les plans, les arrangements et la souveraineté de Dieu ? (Si.) Et cette erreur n’est-elle pas grave ? Cela n’affectera-t-il pas le chemin qu’ils suivent dans la vie ? (Si.) Alors cette erreur les conduira à la destruction.
Que doivent faire les gens en réponse aux arrangements et à la souveraineté de Dieu sur leur destin ? (Se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu.) Premièrement, tu dois chercher à comprendre pourquoi le Créateur a arrangé ce genre de destin et d’environnement de vie pour toi, pourquoi Il te fait rencontrer et vivre certaines choses, et pourquoi ton destin est ce qu’il est. Grâce à cela, tu dois comprendre ce à quoi ton cœur aspire et ce dont il a besoin, ainsi que la souveraineté et les arrangements de Dieu. Une fois que tu comprends ces choses et que tu les connais, tu ne dois pas résister, ni faire tes propres choix, ni rejeter, contredire ou éviter ton destin. Bien sûr, tu ne dois pas non plus essayer de marchander avec Dieu. Au lieu de cela, tu dois te soumettre. Pourquoi dois-tu te soumettre ? Parce que tu es un être créé, tu ne peux pas orchestrer ton destin et que tu n’as pas de souveraineté sur celui-ci. Ton destin est déterminé par Dieu. En ce qui concerne ton destin, tu es passif et tu n’as pas le choix. La seule chose que tu doives faire, c’est te soumettre. Tu ne dois pas faire tes propres choix concernant ton destin ni l’éviter, tu ne dois pas marchander avec Dieu et tu ne dois pas aller à l’encontre de ton destin, ni te plaindre. Bien entendu, tu ne dois surtout pas dire des choses comme : « Le destin que Dieu a arrangé pour moi est mauvais. Il est misérable et il est pire que celui des autres » ou : « Mon destin est mauvais et je ne peux profiter d’aucun bonheur ni d’aucune prospérité. Dieu a mal arrangé les choses pour moi. » Ces paroles sont des jugements et en les prononçant, tu outrepasses ta position. Ce ne sont pas des paroles qui doivent être prononcées par un être créé et ce ne sont pas des points de vue ou des attitudes qu’un être créé devrait avoir. Au lieu de cela, tu dois abandonner ces diverses perceptions, définitions, idées et compréhensions du destin fallacieuses. En même temps, tu dois être capable d’adopter une attitude et une position correctes afin de te soumettre à toutes les choses qui se produiront dans le cadre du destin que Dieu a arrangé pour toi. Tu ne dois pas résister et tu ne dois certainement pas être déprimé ni te plaindre que le Ciel n’est pas juste, que Dieu a mal arrangé les choses pour toi et ne t’a pas octroyé ce qu’il y a de meilleur. Les êtres créés n’ont pas le droit de choisir leur destin. Dieu ne t’a pas donné ce genre d’obligation et Il ne t’a pas accordé ce droit. Tu ne dois donc pas essayer de faire des choix, de raisonner avec Dieu ni d’avoir des exigences supplémentaires à Son égard. Tu dois te conformer aux arrangements de Dieu et y faire face, quels qu’ils soient. Tu dois affronter et tâcher de vivre et d’apprécier tout ce que Dieu a arrangé. Tu dois te soumettre complètement à tout ce que tu es censé vivre grâce aux arrangements de Dieu. Tu dois te conformer au destin que Dieu a arrangé pour toi. Même si tu n’aimes pas quelque chose, ou si tu souffres à cause de cela, même si cela menace et réprime ta fierté et ta dignité, tant que c’est quelque chose dont tu dois faire l’expérience, quelque chose que Dieu a orchestré et arrangé pour toi, tu dois t’y soumettre et tu n’as pas le choix. Parce que Dieu arrange le destin des gens et exerce Sa souveraineté sur ce destin, les gens ne peuvent pas le négocier avec Lui. Donc, si les gens sont sensés et possèdent la raison d’une humanité normale, ils ne doivent pas se plaindre que leur sort est mauvais ou que telle ou telle chose n’est pas bonne pour eux. Ils ne doivent pas aborder leur devoir, leur vie, le chemin qu’ils suivent dans leur foi, les situations que Dieu a arrangées ou Ses exigences envers eux avec une attitude déprimée simplement parce qu’ils ont le sentiment que leur destin est mauvais. Ce type de dépression n’est pas une simple rébellion ou une rébellion momentanée, ni l’effusion temporaire d’un tempérament corrompu, et encore moins l’effusion d’un état corrompu. Il s’agit plutôt d’une résistance silencieuse à Dieu, et d’une résistance silencieuse et insatisfaite au destin que Dieu a arrangé pour les gens. Bien qu’il puisse s’agir d’une simple émotion négative, les conséquences que cela entraîne pour les gens sont plus graves que celles qu’entraîne un tempérament corrompu. Non seulement cela t’empêche d’avoir une attitude positive et correcte vis-à-vis du devoir que tu dois accomplir, de ta propre vie quotidienne et de ton parcours de vie mais, fait plus grave, cela peut également te faire périr de dépression. Par conséquent, les gens intelligents devraient se dépêcher d’inverser leurs points de vue fallacieux, de réfléchir sur eux-mêmes et de se connaître à la lumière des paroles de Dieu, et de voir ce qui les pousse à croire qu’ils ont un mauvais destin : ils devraient considérer de quelles manières leur dignité a été lésée ou leur cœur blessé, ce qui a entraîné des pensées négatives telles que le sentiment d’avoir un mauvais destin, ce qui les a conduits à tomber dans l’émotion négative de la dépression dont ils ne se sont jamais remis, pas même jusqu’à aujourd’hui. C’est une question sur laquelle tu devrais réfléchir et que tu devrais examiner. Certaines choses peuvent être profondément gravées dans ton cœur, ou quelqu’un peut t’avoir dit quelque chose de vil qui a meurtri ton estime de soi, et cela t’a fait ressentir que tu avais un mauvais destin, et ainsi tu tombes dans la dépression. Ou peut-être que dans ta vie ou pendant que tu grandissais, une pensée ou un point de vue de Satan ou du monde est apparue et t’a amené à avoir cette mauvaise compréhension du destin et à devenir extrêmement sensible à la question de savoir si tu as un bon ou un mauvais destin. Ou peut-être qu’après avoir vécu quelque chose de bouleversant à un moment donné, tu es devenu particulièrement sérieux et sensible à ton destin, puis tu es devenu extrêmement désireux de changer ton destin et tu t’y es consacré : ce sont autant de choses que tu devrais examiner. Cependant, quelle que soit la façon dont tu examines ces choses, ce que tu dois finalement comprendre est ceci : tu ne dois pas utiliser tes pensées et tes opinions pour savoir si le destin est bon ou mauvais en vue de mesurer ton propre destin. Le destin de la vie d’une personne est entre les mains de Dieu et Dieu l’a arrangé depuis longtemps : ce n’est pas quelque chose que les gens peuvent changer. Cependant, le type de chemin qu’une personne parcourt au cours de sa vie et la possibilité pour elle de vivre une vie qui ait de la valeur sont des choix que les gens peuvent faire pour eux-mêmes. Tu peux choisir de vivre une vie qui ait de la valeur, vivre ta vie pour des choses qui ont de valeur, vivre pour les plans et la gestion du Créateur et pour la juste cause de l’humanité. Bien sûr, tu peux également choisir de ne pas vivre pour des choses positives, mais plutôt de vivre pour la gloire et la fortune, pour une carrière officielle, pour la richesse et pour les tendances mondaines. Tu peux choisir de vivre une vie sans aucune valeur et d’être comme un mort-vivant. Ce sont autant de choix que tu peux faire.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.