Comment poursuivre la vérité (3) Partie 1

Où en étions-nous arrivés dans notre échange lors de notre dernière réunion ? Nous échangions sur la manière de poursuivre la vérité, laquelle est liée à deux sujets majeurs qui sont principalement deux aspects de la pratique. Quel est le premier ? (Le premier est l’abandon.) Et le second ? (Le second, c’est le dévouement.) Le premier est l’abandon et le second, c’est le dévouement. En ce qui concerne la pratique de « l’abandon », nous avons d’abord échangé sur le fait d’abandonner diverses émotions négatives. Le premier aspect de « l’abandon » consiste à abandonner diverses émotions négatives. Alors, lorsque nous avons parlé d’abandonner diverses émotions négatives, lesquelles avons-nous mentionnées ? (Dieu a parlé d’infériorité, de haine et de colère la première fois, puis la deuxième fois de déprime.) La première fois, J’ai parlé de la nécessité d’abandonner la haine, la colère et le sentiment d’infériorité : ces trois émotions négatives étaient ce dont J’ai parlé principalement, et J’ai aussi parlé assez longuement de la déprime. La deuxième fois, J’ai parlé de la pratique de l’abandon de la déprime, l’une des émotions négatives. Les gens peuvent devenir déprimés pour toutes sortes de raisons, et la dernière fois J’ai principalement parlé de plusieurs manières par lesquelles l’émotion négative de la déprime peut survenir. Dites-Moi, quelles ont été les principales causes que J’ai données pour que l’émotion de la déprime se produise ? (Dieu, il y a en tout trois causes. La première est que les gens ont toujours le sentiment qu’ils ont un mauvais destin, la deuxième est que les gens blâment leur malchance lorsque des choses leur arrivent, et la troisième est que les gens ont commis de graves transgressions dans le passé, ou fait des choses stupides ou ignorantes, ce qui les a fait sombrer dans la déprime.) Ce sont les trois principales causes. La première est que les gens croient que leur destin est mauvais et sont donc souvent déprimés, la seconde est que les gens se croient malchanceux et sont donc souvent déprimés également, et la troisième est que les gens ont commis de graves transgressions, ce qui les amène souvent à être déprimés. Ce sont les trois causes principales. L’émotion de la déprime n’est pas un sentiment passager de négativité ou de tristesse. Il s’agit plutôt d’une émotion négative habituelle et récurrente dans l’esprit, provoquée par certaines causes. Cette émotion négative amène les gens à avoir beaucoup de pensées, d’opinions et de points de vue négatifs, et même beaucoup de pensées, d’opinions, de comportements et de méthodes extrêmes et déformés. Ce n’est pas une humeur temporaire ou une idée éphémère : c’est une émotion négative récurrente et habituelle chez les gens, tout le temps, qui les accompagne dans leur vie, au plus profond de leur cœur et au plus profond de leur âme, dans leurs pensées et leurs actions. Non seulement cette émotion négative affecte la conscience et la raison de l’humanité normale des gens, mais elle peut également avoir une incidence sur les différents points de vue, opinions et perspectives qu’ils ont dans leur façon de considérer les gens et les choses, dans leur conduite et dans leurs actions au cours de leur vie quotidienne. Il nous est donc nécessaire d’analyser les différents sentiments négatifs, de les disséquer et de les reconnaître, avant de les abandonner et de les changer un à un, en t’efforçant de les laisser progressivement derrière toi afin que ta conscience et ta raison, ainsi que la pensée de ton humanité, deviennent normales et concrètes, et que la façon dont tu considères les gens et les choses et la façon dont tu te comportes et fais les choses dans ta vie quotidienne ne soit plus impactée, contrôlée ou même opprimée par ces sentiments négatifs : c’est l’objectif principal dans lequel nous disséquons et discernons ces différentes émotions négatives. L’objectif principal n’est pas que tu écoutes ce que Je dis, que tu le saches, que tu le comprennes, et que tu en restes là, mais plutôt que tu saches exactement, à partir de Mes paroles, à quel point les émotions négatives sont nocives pour les gens, à quel point elles sont nocives et combien leur impact est important sur la vie quotidienne des gens, sur la façon dont ils voient les gens et les choses et sur la façon dont ils se conduisent et se comportent.

Nous avons également échangé auparavant sur le fait que, dans une certaine mesure, ces émotions négatives n’atteignent pas le niveau de tempéraments corrompus et d’une essence corrompue, mais facilitent et exacerbent dans une certaine mesure les tempéraments corrompus des gens, leur fournissant une base pour qu’ils agissent en fonction de leurs tempéraments corrompus et leur donnant davantage de raisons de vivre selon leurs tempéraments corrompus tout en étant soutenus par ces émotions négatives, ainsi que des raisons de considérer toute personne et toute chose en fonction de leurs tempéraments corrompus. Ces émotions négatives ont donc toutes une incidence sur la vie quotidienne des gens à des degrés divers, et dans une certaine mesure elles affectent et contrôlent les diverses pensées des gens et influencent les attitudes, les perspectives et les points de vue qu’ils ont vis-à-vis de la vérité et de Dieu. On peut dire que ces émotions négatives n’ont aucune incidence positive sur les gens, ni aucun effet positif ou utile, mais qu’à l’inverse, elles ne peuvent que leur nuire. C’est pourquoi, lorsque les gens vivent dans ces émotions négatives, leur cœur est naturellement influencé et contrôlé par elles, ils sont incapables de s’empêcher de vivre dans un état de négativité, et ils adoptent même des points de vue extrêmes sur les gens et les choses à partir de points de vue absurdes. Lorsque les gens voient une personne ou une chose depuis la perspective et le point de vue des émotions négatives, les comportements, les approches et les effets de la conduite et des actions qu’ils produisent seront naturellement altérés par des émotions extrêmes, négatives et déprimantes. Ces émotions négatives, déprimantes et extrêmes amèneront les gens à désobéir à Dieu, à être insatisfaits de Dieu, à blâmer Dieu, à Le défier et même à s’opposer à Lui, ainsi que, bien sûr, à Le haïr. Par exemple, lorsqu’une personne croit avoir un mauvais destin, qui blâme-t-elle pour ce destin ? Elle ne le dit peut-être pas, mais dans son cœur, elle croit que Dieu a mal agi et qu’Il est injuste, et elle pense : « Pourquoi Dieu l’a-t-Il rendu si beau ? Pourquoi Dieu a-t-Il permis qu’il naisse dans une famille aussi formidable ? Pourquoi lui a-t-Il dispensé de tels dons ? Pourquoi lui a-t-Il octroyé un si bon calibre ? Pourquoi mon calibre est-il si mauvais ? Pourquoi Dieu a-t-Il fait en sorte qu’il soit dirigeant ? Pourquoi n’est-ce jamais mon tour, pourquoi n’ai-je jamais réussi à être dirigeant, même une seule fois ? Pourquoi tout se passe-t-il si bien pour lui alors que, quand je fais quelque chose, cela ne se passe jamais bien ni facilement ? Pourquoi mon sort est-il si misérable ? Pourquoi les choses qui m’arrivent sont-elles si différentes ? Pourquoi ne m’arrive-t-il que de mauvaises choses ? » Bien que ces pensées qui naissent d’émotions déprimantes n’amènent pas les gens à blâmer Dieu ni à s’opposer à Dieu et à leur destin dans leur conscience subjective, elles les amènent à sombrer souvent et involontairement dans des émotions de désobéissance, d’insatisfaction, de ressentiment, d’envie et de haine au plus profond de leur cœur. Dans les cas graves, elles peuvent même amener les gens à produire des pensées et des comportements plus extrêmes. Certains, par exemple, lorsqu’ils voient quelqu’un d’autre faire mieux qu’eux et être félicité par Dieu, ressentent de l’envie et de la haine. Par conséquent, une série d’actions mesquines sont déclenchées : ils disent du mal de l’autre personne, ils lui portent atteinte à son insu, ils font secrètement des choses louches et irrationnelles, etc. L’apparition de cette série de problèmes est directement liée à leur déprime et à leurs émotions négatives. Cette série de pensées, de comportements et d’approches qui découlent de leurs émotions déprimantes, on peut au premier abord n’y voir que des émotions, mais à mesure que les choses progressent, ces émotions négatives et déprimantes peuvent de plus en plus encourager les gens à vivre selon leurs tempéraments sataniques corrompus. Cependant, si les gens comprennent la vérité et vivent avec une humanité normale, lorsque ces émotions négatives et déprimantes surgissent en eux, leur conscience et leur raison peuvent rapidement entrer en action, et ces personnes peuvent percevoir la présence et la perturbation de ces émotions déprimantes et les percer à jour. Les gens peuvent alors très rapidement laisser leurs émotions déprimantes derrière eux et lorsqu’ils rencontrent des personnes, des évènements et des choses dans leur situation actuelle, ils peuvent porter des jugements rationnels et considérer rationnellement les situations qu’ils rencontrent et les choses qu’ils vivent depuis la bonne perspective. Lorsque les gens feront toutes ces choses de manière rationnelle, la chose la plus fondamentale qu’ils pourront réaliser sera d’accepter la gouvernance de la conscience et de la raison d’une humanité normale. Mieux encore, s’ils comprennent la vérité, ils seront capables d’agir conformément aux vérités-principes d’une manière plus rationnelle, sur la base de leur conscience et de leur raison, et ils ne se comporteront pas et n’agiront pas sous la maîtrise de leurs tempéraments corrompus. Cependant, si les émotions négatives occupent une position prédominante dans leur cœur, influençant leurs pensées, leurs opinions et la façon dont ils gèrent les choses et se comportent, alors naturellement ces émotions négatives affecteront leur progrès dans la vie et feront que leurs pensées, leurs choix, leur comportement et leurs approches seront obstrués et perturbés dans toutes sortes de situations. D’une part, ces émotions négatives facilitent les tempéraments corrompus des gens, les faisant se sentir à l’aise et justifiés de vivre dans leurs tempéraments corrompus. D’autre part, elles peuvent aussi amener les gens à résister aux choses positives et à vivre dans la négativité, sans vouloir voir la lumière. De cette façon, les émotions négatives deviennent plus envahissantes et plus graves chez les gens, et elles ne leur permettent absolument pas d’agir de manière rationnelle dans les limites de la conscience et de la raison. Au lieu de cela, elles les empêchent de chercher la vérité et de vivre devant Dieu et, de cette manière, les gens dégénèrent naturellement encore plus, non seulement en se sentant négatifs, mais également en s’éloignant de Dieu. Et quelles seront les conséquences si les choses continuent ainsi ? Non seulement les émotions négatives ne peuvent pas résoudre les tempéraments corrompus des gens, mais elles les faciliteront, ce qui les amènera à gérer les problèmes et à se conduire en fonction de leurs tempéraments corrompus et à suivre leur propre voie. Que feront les gens lorsqu’ils seront dominés par des pensées et des opinions fallacieuses et extrêmes ? Ne vont-ils pas perturber le travail de l’Église ? Ne vont-ils pas répandre de la négativité et juger Dieu et les arrangements de travail de la maison de Dieu ? Ne vont-ils pas blâmer Dieu et Le défier ? Ils le feront, à coup sûr ! Telles sont les conséquences ultimes. Une série d’approches, telles que la désobéissance, l’insatisfaction, la négativité et l’opposition, surgiront chez eux : telles sont toutes les conséquences lorsque des émotions négatives prennent une position prédominante dans le cœur des gens sur une longue période. Voyez, une simple petite émotion négative – une émotion que les gens seraient apparemment incapables de ressentir, dont ils ne pourraient même pas ressentir l’existence, ni l’effet qu’elle a sur eux – cette petite émotion négative les suit toujours comme si elle avait été avec eux depuis leur naissance. Elle leur cause des dommages de toutes sortes et de toutes tailles et même, elle t’enveloppe constamment, elle t’intimide, te réprime et te lie, à tel point qu’elle t’accompagne tout le temps, tout comme ta vie, et pourtant tu n’en as absolument pas conscience, souvent tu vis dedans et tu tiens cela pour acquis, pensant des choses comme : « C’est ainsi que les gens sont censés penser, il n’y a rien de mal à cela, c’est tout à fait normal. Qui n’a pas de pensées actives comme celles-ci ? Qui n’a pas d’émotions négatives ? » Tu es incapable de ressentir le mal que cette émotion négative te cause, mais le mal est bien réel et souvent tu seras involontairement incité par lui à déverser naturellement tes tempéraments corrompus, à agir et te comporter selon tes tempéraments corrompus, jusqu’à ce que finalement tu fasses tout en fonction de tes tempéraments corrompus. Tu peux imaginer quels sont les résultats finaux : ils sont tous négatifs, tous défavorables, sans rien de bénéfique ni de positif, et encore moins de quoi que ce soit qui puisse aider les gens à obtenir la vérité et les éloges de Dieu. Ce ne sont pas des résultats optimistes. Par conséquent, tant que des émotions négatives existeront chez une personne, toutes sortes de pensées et d’opinions négatives influenceront gravement et domineront sa vie. Tant que des pensées et opinions négatives influenceront et domineront sa vie, d’énormes obstacles l’empêcheront de poursuivre la vérité, de la pratiquer et d’entrer dans la vérité-réalité. Il est donc nécessaire que nous continuions à exposer et à disséquer ces émotions négatives, afin qu’elles puissent toutes être résolues.

Les émotions négatives sur lesquelles nous venons d’échanger ont un grave effet et causent de graves dommages aux gens, mais il existe d’autres émotions négatives qui, de même, influencent les gens et leur nuisent. Outre les émotions négatives de haine, de colère, de sentiment d’infériorité et de déprime dont nous avons déjà parlé, il existe des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Ces émotions aussi sont enracinées au plus profond du cœur des gens et les accompagnent dans leur vie quotidienne, ainsi que dans leurs paroles et leurs actes. Bien sûr, lorsque des choses leur arrivent, elles affectent également les pensées et les opinions qui surgissent en eux, ainsi que les points de vue et les perspectives qu’ils adoptent. Aujourd’hui, nous allons disséquer et exposer les émotions négatives de désarroi, d’angoisse, et d’inquiétude et nous efforcer d’aider les gens à les découvrir en eux-mêmes. Une fois que les gens auront découvert ces émotions négatives en eux-mêmes, le but ultime est qu’ils connaissent parfaitement ces émotions négatives, les excluent, ne vivent plus sous leur influence et ne vivent plus et ne se comportent plus avec ces émotions négatives comme base et comme fondement. Examinons d’abord les mots « désarroi, angoisse et inquiétude ». Ne sont-ils pas des moyens d’exprimer des émotions ? (Si.) Avant d’échanger sur ce sujet, réfléchissons-y d’abord, afin que vous ayez le concept le plus élémentaire des termes « désarroi, angoisse et inquiétude ». Que vous parveniez à une compréhension littérale des mots ou à une compréhension plus profonde au-delà de leur sens littéral, vous aurez alors une connaissance de base de ces émotions négatives. Dites-Moi d’abord ce qui vous a inquiétés dans le passé, ou quelles sont les choses qui vous font ressentir du désarroi, vous angoissent et vous inquiètent toujours. Elles peuvent être comme une grosse pierre qui vous écrase ou comme une ombre qui vous suit toujours et vous lie. (Dieu, je vais dire quelques mots. Quand je n’obtiens aucun résultat dans mon devoir, cette émotion est assez importante et je m’inquiète de savoir si je serai exposé et éliminé, ou si j’aurai un bon avenir et une bonne destination. Quand j’obtiens des résultats dans mon devoir, je ne ressens pas cela, mais chaque fois que je n’obtiens pas de résultats pendant un certain temps, ce genre d’émotion négative devient extrêmement évidente.) N’est-ce pas une manifestation des émotions négatives de désarroi, d’angoisse, et d’inquiétude ? (Si.) C’est exact. Ce type d’émotion négative se cache à tout moment au plus profond du cœur des gens, influençant constamment leurs pensées. Bien que les gens ne puissent pas ressentir ce genre d’émotion négative quand rien de grave ne s’est produit, c’est comme une odeur, ou comme une sorte de gaz, ou encore plus comme une onde électrique. Tu ne peux pas le voir et lorsque tu n’en es pas conscient, tu n’es même pas capable de le ressentir non plus. Cependant, tu peux toujours ressentir sa présence au plus profond de ton cœur, comme le soi-disant sixième sens, et tu peux toujours ressentir inconsciemment l’existence de ce type de pensée et d’émotion. Au moment opportun, au lieu approprié et dans le contexte approprié, ce genre d’émotion négative surgira petit à petit, et émergera petit à petit. N’est-ce pas vrai ? (Si.) Alors, quelles autres choses vous font ressentir du désarroi, vous rendent angoissés et inquiets ? N’y a-t-il rien d’autre que ce qui vient d’être mentionné ? Si tel est le cas, alors vous devez vivre vraiment heureux et sans souci, sans aucune angoisse et sans vous sentir dans le désarroi par quoi que ce soit : alors vous seriez vraiment des personnes libres. Est-ce ainsi ? (Non.) Eh bien, dites-Moi ce que vous avez sur le cœur. (Quand je n’accomplis pas bien mon devoir, j’ai toujours peur de perdre ma réputation et mon statut, je m’inquiète de ce que mes frères et sœurs penseront de moi et de ce que mon dirigeant pensera de moi. De plus, lorsque je travaille avec mes frères et sœurs pour faire mon devoir et que je continue de révéler mes tempéraments corrompus, je m’inquiète toujours à l’idée que croyant en Dieu depuis si longtemps, je n’aie pourtant pas changé du tout et que si cela continue, alors peut-être qu’un jour, je serai éliminé. Voilà les appréhensions que j’ai.) Lorsque vous avez ces appréhensions, les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude surgissent-elles en vous ? (Oui.) Donc, pour la plupart d’entre vous, vous êtes angoissés et inquiets parce que vous n’accomplissez pas bien vos devoirs, n’est-ce pas ? (La plupart du temps, je m’inquiète pour mon avenir et pour mon destin.) L’inquiétude pour son avenir et son destin est prédominante. Lorsque les gens sont incapables de percevoir, de comprendre, d’accepter les environnements que Dieu orchestre et Sa souveraineté et de s’y soumettre et lorsqu’ils sont confrontés à diverses difficultés dans leur vie quotidienne, ou lorsque ces difficultés dépassent ce que les gens normaux peuvent supporter, ils ressentent inconsciemment toutes sortes d’inquiétudes et d’angoisses, et même de désarroi. Ils ne savent pas à quoi ressemblera demain ou après-demain, ni comment les choses se passeront dans quelques années, ni quel sera leur avenir, et ils ressentent donc du désarroi, sont angoissés et inquiets à propos de toutes sortes de choses. Dans quel contexte les gens ressentent-ils du désarroi, sont-ils angoissés et inquiets à propos de toutes sortes de choses ? C’est qu’ils ne croient pas en la souveraineté de Dieu, c’est-à-dire qu’ils sont incapables de croire en la souveraineté de Dieu et de la voir clairement. Même s’ils la voyaient de leurs propres yeux, ils ne la comprendraient pas, ni n’y croiraient. Ils ne croient pas que Dieu détienne la souveraineté sur leur destin, ils ne croient pas que leur vie soit entre les mains de Dieu, et ainsi la méfiance surgit dans leur cœur vis-à-vis de la souveraineté et des arrangements de Dieu, et alors le blâme surgit, et ils sont incapables de se soumettre. En plus de blâmer et de ne pas pouvoir se soumettre, ils veulent être maîtres de leur propre destin et agir de leur propre initiative. Quelle est alors la situation réelle une fois qu’ils ont commencé à agir de leur propre initiative ? Tout ce qu’ils peuvent faire, c’est vivre en s’appuyant sur leur propre calibre et leurs propres capacités, mais il y a beaucoup de choses qu’ils ne peuvent pas réaliser, atteindre ou accomplir avec leur propre calibre et leurs propres capacités. Par exemple, que leur arrivera-t-il à l’avenir, pourront-ils entrer à l’université, seront-ils capables de trouver un bon emploi à la fin de leurs études, et est-ce que tout se passera bien pour eux une fois qu’ils auront obtenu un travail ? Et s’ils veulent gravir les échelons et devenir riches, seront-ils capables de réaliser leurs idéaux et leurs désirs en l’espace de quelques années ? Et puis, lorsqu’ils voudront trouver un conjoint, se marier et fonder une famille, quel type de conjoint leur conviendra ? Pour l’homme, de telles choses sont inconnues. Avec de telles choses inconnues, les gens se sentent perdus. Lorsque les gens se sentent perdus, ils ressentent du désarroi, deviennent angoissés et inquiets : ils ressentent du désarroi, sont angoissés et inquiets à propos de tout ce que l’avenir peut leur réserver. Pourquoi cela ? C’est parce que, dans le cadre d’une humanité normale, les gens ne peuvent tout simplement pas supporter toutes ces choses. Personne ne sait comment ils seront dans quelques années, personne ne sait à quoi ressembleront leur travail, leur mariage et leurs enfants dans l’avenir : les gens ne savent tout simplement pas ces choses. Ce sont des choses qui ne peuvent être prévues dans le cadre des capacités de l’humanité normale, et c’est pourquoi les gens ressentent toujours du désarroi, sont angoissés et inquiets à leur sujet. Aussi simple que soit l’esprit d’une personne, tant qu’elle sera capable de penser, ces émotions négatives surgiront, une par une, au plus profond de son cœur une fois qu’elle aura atteint l’âge adulte. Pourquoi le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude surgissent-ils chez les gens ? Parce qu’ils s’inquiètent et s’agitent toujours à propos de choses qui dépassent leurs capacités. Ils veulent toujours savoir, comprendre et réaliser des choses qui dépassent le champ de leurs capacités, et même contrôler des choses qui dépassent les capacités de l’humanité normale. Ils veulent contrôler tout cela, et pas seulement cela : ils veulent aussi que les lois et les résultats du développement de ces choses progressent et se réalisent selon leur propre volonté. Par conséquent, dominés par de telles pensées irrationnelles, les gens ressentent du désarroi, de l’angoisse et de l’inquiétude, et les conséquences de ces émotions diffèrent d’une personne à l’autre. Quelles que soient les raisons pour lesquelles les gens ressentent intensément du désarroi, sont intensément angoissés ou inquiets, formant ainsi ces émotions négatives, ils devraient les prendre très au sérieux et chercher la vérité pour les résoudre.

Nous allons échanger sur les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude principalement sous deux aspects. Le premier consistera à disséquer les difficultés des gens pour voir ce qu’elles sont et à partir de là, voir exactement quelles sont les raisons de l’apparition des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude et comment elles surviennent. Le second aspect consistera à analyser les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude en fonction des différentes attitudes que les gens ont à l’égard de l’œuvre de Dieu. Comprenez-vous ? (Oui.) Combien y a-t-il d’aspects ? (Deux.) Nous devons disséquer les raisons de l’apparition des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, d’abord à partir des difficultés que les gens rencontrent, et ensuite à partir de leurs attitudes à l’égard de l’œuvre de Dieu. Répétez-Moi cela. (Nous devons disséquer les raisons de l’apparition des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, d’abord à partir des difficultés que les gens peuvent avoir, et ensuite à partir de leur attitude à l’égard de l’œuvre de Dieu.) Il existe de nombreuses difficultés que les gens peuvent avoir, ils les rencontrent toutes dans leur vie quotidienne, des difficultés qui surviennent souvent dans le cadre d’une vie d’humanité normale. Et comment surviennent ces difficultés ? Elles surviennent parce que les gens essaient toujours de se dépasser, de contrôler leur propre destin, de connaître leur avenir à l’avance. Si leur avenir ne s’annonce pas prometteur, ils partent immédiatement à la recherche d’un expert en fengshui ou d’une diseuse de bonne aventure pour le redresser et le corriger. C’est pourquoi les gens rencontrent tant de difficultés dans leur vie quotidienne, et ce sont ces difficultés qui les amènent souvent à sombrer dans des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Quelles sont ces difficultés ? Jetons d’abord un coup d’œil à ce que les gens considèrent comme leur plus grande difficulté : qu’est-ce que c’est ? Ce sont leurs perspectives d’avenir, c’est-à-dire l’avenir d’une personne dans cette vie, la question de savoir si elle sera une personne riche ou une personne ordinaire dans l’avenir, si elle sera capable de se démarquer, d’obtenir un grand succès et de prospérer dans le monde et parmi les gens. Surtout parmi ceux qui croient en Dieu, ils ne savent peut-être pas ce qui arrivera aux autres dans l’avenir, mais ils s’inquiètent souvent de leur propre avenir et se demandent toujours : « Est-ce tout ce qu’il y a à croire en Dieu ? Vais-je un jour me démarquer de la foule à l’avenir ? Pourrai-je jouer un rôle important dans la maison de Dieu ? Pourrai-je être chef d’équipe ou responsable ? Pourrai-je être dirigeant ? Que va-t-il m’arriver ? Si j’accomplis ainsi constamment mon devoir dans la maison de Dieu, qu’adviendra-t-il de moi à la fin ? Obtiendrai-je le salut ? Ai-je des perspectives d’avenir ? Dois-je quand même continuer à faire mon travail dans le monde ? Dois-je continuer à étudier la compétence professionnelle que j’apprenais auparavant, ou aller plus loin dans mes études ? Si je peux continuer à accomplir mon devoir à plein temps dans la maison de Dieu, je ne devrais avoir aucun problème avec les nécessités fondamentales de la vie, mais si je n’accomplis pas bien mon devoir et que je suis réaffecté et remplacé, comment vivrai-je alors ? Dois-je profiter de l’occasion maintenant, avant d’être remplacé ou éliminé, pour me préparer à cette éventualité ? » Ils s’interrogent sur ces choses et voient qu’ils ont des économies, et ils se demandent : « Combien d’années puis-je tenir avec ce que j’ai économisé ? J’ai maintenant la trentaine et dans dix ans j’aurai la quarantaine. Si je suis exclu de l’Église, serai-je capable de faire face à la situation à mon retour dans le monde ? Ma santé sera-t-elle suffisamment bonne pour me permettre de continuer à travailler ? Pourrai-je gagner suffisamment pour vivre ? Vais-je avoir du mal à vivre ? J’accomplis mon devoir dans la maison de Dieu, mais Dieu me gardera-t-Il jusqu’à la fin ? » Même s’ils pensent tout le temps à ces choses, ils ne trouvent jamais les réponses. Bien qu’il n’y ait jamais de conclusion, ils ne peuvent s’empêcher de continuer à penser à ces choses : cela échappe à leur contrôle. Lorsqu’ils rencontrent un revers ou une difficulté, ou lorsque quelque chose ne se passe pas comme ils le souhaitaient, au plus profond de leur cœur, ils réfléchissent à ces choses, sans en parler à personne. Lorsque certaines personnes sont émondées, lorsqu’elles sont remplacées dans leurs devoirs, lorsqu’elles sont réaffectées à des devoirs différents ou lorsqu’elles font face à une crise ou autre, elles cherchent involontairement une voie de retraite et ne peuvent s’empêcher de faire des plans et des schémas pour leurs prochaines étapes. Indépendamment de ce qui se passe en fin de compte, les gens élaborent encore souvent des plans et des projets pour les choses qui les inquiètent, les rendent angoissés et leur fait ressentir du désarroi. Ne s’agit-il pas de choses auxquelles les gens réfléchissent pour leurs propres perspectives d’avenir ? Ces émotions négatives ne surviennent-elles pas parce que les gens sont incapables d’abandonner leurs propres perspectives d’avenir ? (Si.) Lorsque les gens sont particulièrement enthousiastes et que les choses se passent très bien dans l’accomplissement de leurs devoirs, et surtout lorsqu’ils sont promus, utilisés pour certaines tâches importantes, lorsqu’ils bénéficient du soutien de la plupart de leurs frères et sœurs et lorsque leur propre valeur se reflète, ils n’y pensent pas. Dès que leur réputation, leur statut et leurs intérêts sont menacés, ils ne peuvent s’empêcher de retomber dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Lorsqu’ils retournent dans ces émotions négatives, la façon dont ils abordent ces émotions négatives n’est pas en les fuyant ou en les rejetant, mais plutôt en les entretenant et en essayant de travailler dur pour sombrer dans ces sentiments de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, pour y plonger plus profond. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Lorsque les gens sombrent dans ces émotions négatives, ils ont alors davantage de raisons de planifier leur avenir et leurs prochaines étapes, davantage d’excuses pour le faire, et ils peuvent le faire plus librement. Pendant qu’ils élaborent ces plans, ils pensent que c’est exactement comme cela que ce devrait être, que c’est ce qu’ils sont censés faire, et ils utilisent ce dicton : « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et un autre dicton : « Celui qui ne planifie pas l’avenir aura très rapidement des problèmes », ce qui signifie que si tu ne planifies pas ton avenir et ton destin et que tu n’y réfléchis pas à l’avance, alors personne d’autre ne s’en souciera pour toi et personne d’autre ne s’en occupera pour toi. Lorsque tu ne sauras pas comment passer à l’étape suivante, tu feras face au malaise, à la douleur et à l’embarras, et celui qui souffrira et endurera les difficultés, ce sera toi. Ainsi, les gens se sentent très intelligents et à chaque pas qu’ils font, ils anticipent dix pas en avant. Dès qu’ils rencontrent des difficultés ou des déceptions, ils retournent immédiatement à leurs émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude afin de se protéger, pour que leur avenir et leur prochaine étape dans la vie soient infaillibles, pour avoir de la nourriture à manger et des vêtements à porter, ne pas errer dans les rues et ne pas manquer de nourriture ni de vêtements. Par conséquent, sous l’influence de ces émotions négatives, ils se mettent souvent en garde en pensant : « Je dois établir des plans à l’avance, faire preuve de réserve et me laisser une voie de retraite suffisante. Je ne dois pas être stupide : mon destin est entre mes propres mains. Les gens disent souvent : "Notre destin est entre les mains de Dieu, et Dieu détient la souveraineté sur le destin de l’homme", mais ce ne sont que des plaisanteries vides de sens. Qui a réellement vu cela ? Comment Dieu peut-Il détenir la souveraineté sur notre destin ? Qui a réellement vu Dieu organiser personnellement trois repas par jour pour quelqu’un, ou arranger tout ce dont il a besoin dans la vie ? Personne. » Les gens croient que lorsqu’ils ne voient pas la souveraineté de Dieu et qu’ils sont dans le désarroi, angoissés et inquiets quant à leurs perspectives d’avenir, alors ces émotions négatives sont pour eux comme une protection, comme un bouclier protecteur, un refuge. Ils se mettent constamment en garde et se rappellent qu’ils doivent faire des projets pour l’avenir, qu’ils doivent s’inquiéter du lendemain, qu’ils ne doivent pas se contenter de se gaver de nourriture toute la journée et rester inactifs, que ce n’est pas mal de faire des projets pour soi-même, de trouver une issue pour soi-même et de travailler jour et nuit pour son propre avenir. Ils se disent que c’est naturel et parfaitement justifié et qu’il n’y a pas de quoi avoir honte. Ainsi, même si les gens croient que le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude sont des émotions négatives, ils ne pensent jamais que les ressentir soit une mauvaise chose, ils ne pensent jamais que ces émotions négatives pourraient leur nuire d’une manière ou d’une autre, ou qu’elles pourraient être des obstacles à leur poursuite de la vérité et à leur entrée dans la vérité-réalité. Au lieu de cela, ils en profitent sans relâche et vivent volontairement et inlassablement dans ces émotions négatives. En effet, ils croient que ce n’est qu’en vivant avec ces émotions négatives et en étant constamment dans le désarroi, angoissés et inquiets quant à leurs perspectives d’avenir qu’ils pourront être en sécurité. Sinon, qui d’autre se sentirait dans le désarroi, angoissé et inquiet pour son avenir ? Personne. Personne ne les aime plus qu’eux-mêmes, personne ne les comprend comme eux-mêmes, ni ne les connait comme eux-mêmes. Ainsi, même si les gens peuvent reconnaître dans une certaine mesure et en termes de formules et doctrines que l’existence de telles émotions négatives leur est préjudiciable, ils ne sont quand même pas disposés à abandonner ces émotions négatives, parce que ces émotions négatives leur permettent de prendre l’initiative de saisir et prendre le contrôle de leur propre avenir. Est-ce juste de le dire ? (Oui.) Par conséquent, pour les gens, être dans le désarroi, angoissés et inquiets par leur avenir est une énorme responsabilité. Ce n’est ni honteux, ni pathétique, ni haineux, mais pour eux, c’est plutôt comme les choses devraient être. C’est pourquoi il leur est très difficile d’abandonner ces émotions négatives, comme si elles les accompagnaient depuis la naissance. Tout ce à quoi les gens pensent depuis leur naissance est pour eux-mêmes, et ce qui compte le plus pour eux, ce sont leurs propres perspectives d’avenir. Ils pensent que s’ils prennent fermement en main leur avenir et le surveillent, ils vivront une vie sans souci. Ils pensent qu’avec de bonnes perspectives d’avenir, ils auront tout ce qu’ils veulent et que tout sera un jeu d’enfant. Ainsi, les gens ne se lassent jamais d’être dans le désarroi, angoissés et inquiets pour leur avenir, encore et encore. Même si Dieu a donné Sa promesse, même si les gens ont bénéficié ou reçu beaucoup de grâce de Dieu, même s’ils ont vu Dieu accorder toutes sortes de bénédictions à l’humanité, et d’autres faits similaires, les gens veulent toujours vivre dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, et élaborer des projets et des conceptions pour leur avenir.

Outre les perspectives d’avenir, il y a autre chose d’important, quelque chose qui suscite souvent du désarroi, de l’angoisse et de l’inquiétude, c’est le mariage. Certains ne s’en soucient pas et ne s’inquiètent pas à l’idée de n’être toujours pas mariés à trente ans, parce que maintenant beaucoup de personnes dans la trentaine ne sont pas mariées. C’est quelque chose que l’on voit souvent dans la société, et personne ne se moque de toi pour cela, et personne ne dit que quelque chose ne va pas chez toi. Cependant, si une personne n’est pas mariée au moment où elle atteint la quarantaine, elle commence à ressentir un léger sentiment de panique au plus profond d’elle-même et elle se demande : « Dois-je chercher un partenaire, ou non ? Dois-je me marier ou pas ? Si je ne me marie pas et que je n’ai pas de famille, que je n’ai pas d’enfants, aurai-je quelqu’un pour s’occuper de moi quand je serai plus âgé ? Est-ce que quelqu’un s’occupera de moi quand je serai malade ? Aurai-je quelqu’un pour organiser mes funérailles à ma mort ? » Les gens s’inquiètent de ces choses. Ceux qui n’ont pas l’intention de se marier ne se sentent pas autant dans le désarroi, angoissés, ou inquiets. Par exemple, certains disent : « Je crois en Dieu maintenant et je suis prêt à me dépenser pour Dieu. Je ne vais pas chercher de partenaire et je ne vais pas me marier. Je ne vais pas m’angoisser pour ces choses, quel que soit mon âge. » Les célibataires, les gens qui sont célibataires depuis 10 ou 20 ans, qui ont été célibataires de 20 à 40 ans, ne devraient pas avoir de soucis majeurs. Même s’ils peuvent occasionnellement ressentir une légère inquiétude et une légère angoisse en raison de facteurs environnementaux ou de raisons objectives, parce qu’ils croient en Dieu et sont occupés à accomplir leur devoir et parce que leur résolution actuelle n’a pas changé, le genre d’inquiétude qu’ils ressentent est vague, cela n’arrive que de temps en temps et ce n’est pas grave. Ce type d’émotion, qui n’affecte pas l’accomplissement normal des devoirs, ne nuit pas aux personnes et ne peut pas non plus être considéré comme une émotion négative, c’est-à-dire que cette affaire ne s’est pas transformée en émotion négative pour toi. Quant à ceux qui sont déjà mariés, de quel genre de choses s’inquiètent-ils ? Si le mari et la femme croient en Dieu et accomplissent leurs devoirs, alors ce mariage ne perdurera-t-il pas ? La famille n’existe-t-elle pas ? Et les enfants ? De plus, si l’un des deux poursuit la vérité et l’autre non, si celui qui ne poursuit pas la vérité poursuit toujours le monde, poursuit une vie riche et que celle qui poursuit la vérité veut toujours accomplir son devoir, alors que celui qui ne poursuit pas la vérité essaie toujours d’arrêter son épouse mais se sent gêné de le faire, exprimant occasionnellement des plaintes ou disant des choses négatives pour la décourager, alors celle qui poursuit la vérité se demandera : « Oh, mon mari ne croit pas vraiment en Dieu, alors comment cela se passera-t-il pour nous à l’avenir ? Si nous divorçons, je serai célibataire et incapable de subvenir à mes besoins. Si je reste avec lui, nous ne suivrons pas le même chemin, nous aurons des rêves différents, et alors que ferai-je ? » Elle est dans le désarroi, angoissée et inquiète à propos de ces choses. Une fois qu’elles ont commencé à croire en Dieu, certaines sœurs croient que même si leur mari ne croit pas en Dieu, il ne fait pas trop d’efforts pour entraver leur propre croyance en Dieu et elles ne sont pas persécutées, et qu’elles n’ont donc pas de raison de divorcer. Cependant, s’ils restent ensemble, elles se sentent toujours restreintes et influencées. Par quoi sont-elles influencées ? Elles sont restreintes et influencées par leurs affections, et les diverses difficultés de la vie familiale et conjugale remuent parfois des choses au plus profond de leur cœur, leur faisant éprouver un certain désarroi, une certaine angoisse et une certaine inquiétude qui ne sont ni majeures ni mineures. Dans de telles circonstances, le mariage est une formalité qui maintient une vie familiale normale, et cela devient quelque chose qui entrave la pensée normale des épouses, leur vie normale et même l’accomplissement normal de leurs devoirs. Il leur est difficile de faire perdurer le mariage, mais elles ne peuvent pas s’en extirper. Elles n’ont aucune raison particulière de faire perdurer un tel mariage, ni aucune raison particulière de divorcer : il n’y a aucune raison suffisante pour prendre l’une ou l’autre mesure. Elles ne savent pas quel est le bon choix à faire, ni quelle est la mauvaise chose à faire. Par conséquent, le désarroi, l’angoisse, et l’inquiétude surgissent en elles. Ces sentiments de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude flottent constamment dans leur esprit, les lient dans leur vie quotidienne et affectent également leur vie normale. Au cours de l’accomplissement de leurs devoirs, ces choses flottent toujours dans leur esprit et surgissent au plus profond de leur cœur, influençant l’accomplissement normal de leurs devoirs. Bien que ces choses ne semblent pas être une parole claire sur ce que ces épouses devraient faire et sur le choix qu’elles devraient faire, ces questions les amènent à s’enliser profondément dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, ce qui les fait se sentir opprimées et piégées. N’est-ce pas là une autre sorte de difficulté ? (C’est vrai.) C’est un autre type de difficulté, une difficulté qui est provoquée par le mariage.

Il y a aussi ceux qui, parce qu’ils en sont venus à croire en Dieu, à vivre la vie de l’Église, à lire les paroles de Dieu et à accomplir leurs devoirs, n’auront pas le temps d’entretenir des relations normales avec leurs enfants non croyants, leur conjoint, leurs parents, leurs amis et leurs proches. En particulier, ils seront incapables de s’occuper correctement de leurs enfants non croyants et de faire les choses dont leurs enfants ont besoin, et ils s’inquiètent donc de l’avenir et des perspectives de leurs enfants. Lorsque leurs enfants seront grands, certaines personnes commenceront à s’inquiéter : mon enfant ira-t-il à l’université, ou non ? Dans quel domaine se spécialisera-t-il, s’il entre à l’université ? Mon enfant ne croit pas en Dieu et veut aller à l’université, dois-je donc, en tant que personne qui croit en Dieu, payer ses études ? Dois-je subvenir à ses besoins quotidiens et l’accompagner dans ses études ? Et lorsqu’il s’agit de se marier, d’avoir un travail et même d’avoir une famille et des enfants, quel rôle dois-je jouer ? Quelles choses dois-je faire et ne pas faire ? Ils n’ont aucune idée de ces choses. Au moment où arrive ce genre de choses, au moment où ils se trouvent dans une telle situation, ils sont perdus et ne savent que faire, ni comment gérer de telles choses. Au fil du temps, le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude surgissent à propos de ces choses : s’ils font ces choses pour leur enfant, ils craignent d’aller à l’encontre des intentions de Dieu et de déplaire à Dieu, et s’ils ne font pas ces choses, ils craignent de ne pas accomplir leur devoir parental et d’être blâmés par leur enfant et par d’autres membres de la famille. S’ils font ces choses, ils craignent de perdre leur témoignage, et s’ils ne font pas ces choses, ils craignent d’être moqués par les gens du monde et d’être ridiculisés, raillés et jugés par leurs voisins. Ils ont peur de déshonorer Dieu, mais ils ont aussi peur de se forger une mauvaise réputation et ont tellement honte, qu’ils ne peuvent pas montrer leur visage. Alors qu’ils hésitent autour de ces choses, le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude surgissent dans leur cœur. Ils sont dans le désarroi parce qu’ils ne savent que faire, ils sont angoissés à l’idée de faire le mauvais choix quel qu’il soit, et de ne pas savoir si tout ce qu’ils font est approprié, et ils s’inquiètent si ces choses continuent à se produire, alors un jour ils ne seront plus capables d’y faire face et s’ils font une dépression, les choses seront encore plus difficiles pour eux. Les gens qui sont dans une telle situation sont dans le désarroi, angoissés et inquiets à propos de toutes ces choses qui surviennent dans leur vie, qu’il s’agisse de grandes ou de petites choses. Une fois que ces sentiments négatifs surgissent en eux, ils s’enlisent dans ce désarroi, cette angoisse et cette inquiétude et sont incapables de s’en libérer : s’ils font ceci, c’est mal, s’ils font cela, c’est mal, et ils ne savent pas quelle est la bonne chose à faire. Ils veulent plaire aux autres, mais ils craignent de déplaire à Dieu. Ils veulent faire des choses pour les autres afin qu’on parle d’eux en bien, mais ils ne veulent pas déshonorer Dieu ni amener Dieu à les détester. C’est pourquoi ils s’enlisent toujours dans ces sentiments de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Ils sont dans le désarroi à la fois pour les autres et pour eux-mêmes, ils sont angoissés à propos des choses à la fois pour les autres et pour eux-mêmes, et ils s’inquiètent aussi des choses pour les autres aussi bien que pour eux-mêmes, et ainsi ils s’enlisent dans une double difficulté dont ils ne peuvent pas s’échapper. De telles émotions négatives affectent non seulement leur vie quotidienne, mais également l’accomplissement de leurs devoirs et bien sûr, elles affectent aussi, dans une certaine mesure, leur poursuite de la vérité. C’est une sorte de difficulté, c’est-à-dire qu’il s’agit de difficultés liées au mariage, à la vie de famille et à la vie personnelle, et c’est à cause de ces difficultés que les gens se retrouvent souvent coincés dans le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude. Ne faut-il pas plaindre les gens lorsqu’ils se retrouvent coincés dans ce genre d’émotions négatives ? (Si.) Ne sont-ils pas à plaindre ? Vous dites toujours « Si », montrant que vous éprouvez toujours beaucoup d’empathie à leur égard. Lorsqu’une personne s’enlise dans une émotion négative, quel que soit le contexte dans lequel cette émotion négative surgit, quelle est la raison de son apparition ? Est-ce à cause de l’environnement, des gens, des évènements et des choses qui entourent cette personne ? Ou est-ce parce que la vérité que Dieu exprime les dérange ? Est-ce l’environnement qui affecte la personne, ou est-ce que les paroles de Dieu perturbent sa vie ? Quelle est exactement la raison ? Le savez-vous ? Dites-Moi, que ce soit dans la vie normale des gens ou dans l’accomplissement de leur devoir, ces difficultés sont-elles présentes s’ils poursuivent la vérité et sont prêts à la mettre en pratique ? (Non.) Ces difficultés sont présentes en termes de faits objectifs. Vous dites qu’elles ne sont pas présentes, alors se pourrait-il que vous ayez résolu ces difficultés ? Êtes-vous capables de le faire ? Ces difficultés sont insolubles et elles sont présentes en termes de faits objectifs. Quel sera le résultat de ces difficultés chez les personnes qui poursuivent la vérité ? Et quelle sera leur issue chez ceux qui ne poursuivent pas la vérité ? Ils auront deux résultats complètement différents. Si les gens poursuivent la vérité, ils ne se laisseront pas entraîner dans ces difficultés et ne sombreront pas dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Inversement, si les gens ne poursuivent pas la vérité, ces difficultés sont tout de même présentes en eux, et quelle en sera l’issue ? Elles t’embrouilleront au point que tu ne pourras pas leur échapper, et si tu ne parviens pas à les résoudre, elles finiront par devenir des émotions négatives qui se noueront au plus profond de ton cœur. Elles affecteront ta vie normale et l’accomplissement normal de tes devoirs et feront que tu te sentiras opprimé et incapable de trouver à te libérer : voilà le résultat qu’elles auront sur toi. Ces deux résultats sont différents, n’est-ce pas ? (Oui.) Revenons donc à la question que Je viens de poser. Qu’est-ce que J’ai demandé ? (Est-ce que ce sont les influences environnementales ou les paroles de Dieu qui dérangent les gens et provoquent chez eux des émotions négatives ?) Alors, quelle est la raison ? Quelle est la réponse ? (C’est parce que les gens ne poursuivent pas la vérité.) C’est vrai, ce n’est ni l’une ni l’autre de ces choses, mais c’est plutôt parce que les gens ne poursuivent pas la vérité. Lorsque les gens ne poursuivent pas la vérité, ils s’enlisent souvent dans des pensées extrêmes et des émotions négatives et sont incapables de s’en libérer. Répétez la question que Je viens de poser. (La raison pour laquelle les émotions négatives surgissent chez les gens est-elle due à leur environnement et aux personnes, aux évènements et aux choses qui les entourent, ou est-ce parce que la vérité que Dieu exprime dérange les gens ?) Pour le dire simplement, est-ce à cause des influences environnementales, ou parce que les paroles de Dieu dérangent les gens ? Est-ce l’un, ou l’autre ? (Ni l’un ni l’autre.) Exact, ni l’un ni l’autre. Les environnements influencent tout le monde de manière équitable. Si tu poursuis la vérité, tu ne sombreras pas dans une émotion négative à cause d’un environnement. En revanche, si tu ne poursuis pas la vérité, tu seras très naturellement submergé par ton environnement, encore et encore, et tu resteras coincé dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. En regardant les choses sous cet angle, la poursuite de la vérité n’est-elle pas importante ? (Si.) Il y a des vérités-principes à chercher dans tout ce qui arrive. En réalité, cependant, parce que les gens ne poursuivent pas la vérité et ne cherchent pas les vérités-principes, ou bien, parce qu’ils savent clairement ce que Dieu exige, quels sont les vérités-principes quel chemin ils doivent pratiquer et quels sont les critères de pratique, mais n’y prêtent aucune attention et ne les suivent pas, alors qu’ils font toujours leurs propres choix et plans, que leur arrivera-t-il à la fin ? Lorsque les gens ne pratiquent pas conformément aux paroles de Dieu, en s’inquiétant toujours de ceci et de cela, il n’y a qu’un seul résultat, c’est qu’ils s’enlisent dans le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude, et ne peuvent plus en sortir. Est-il possible pour les gens de toujours compter sur leur propre imagination, pour que les choses se déroulent toujours comme ils le souhaitent, pour rendre les autres heureux et recevoir l’approbation de Dieu ? C’est impossible ! Ils veulent toujours gérer les choses d’une manière qui rende tout le monde autour d’eux heureux, satisfait et plein d’éloges à leur égard. Ils veulent être considérés comme de bonnes personnes et que Dieu soit satisfait, et s’ils ne répondent pas à ce critère, ils sont dans le désarroi. Et ne méritent-ils pas d’être dans le désarroi ? (Si.) C’est ce que les gens choisissent eux-mêmes.

Certaines personnes insensées ont tendance à déformer les choses et disent : « Si Dieu ne disait pas autant de paroles, je ferais les choses conformément aux normes morales d’une bonne personne. Ce serait si simple, et il n’y aurait pas autant d’affirmations. Tout comme à l’ère de la Grâce, les gens gardaient les commandements, ils enduraient et toléraient, ils portaient la croix et souffraient, et c’était tellement simple. La question n’était-elle pas réglée ? Maintenant, avec tant de vérités prononcées par Dieu et tant de principes de pratique donnés au cours de l’échange, pourquoi les gens ne peuvent-ils pas les réaliser après autant de temps ? Les gens n’ont pas assez de calibre, ils ne sont pas capables de tout comprendre et il y a de nombreuses vérités qu’ils ne peuvent atteindre. Ils ont aussi beaucoup de difficulté à mettre la vérité en pratique, et même s’ils la comprennent, ils ont encore du mal à y parvenir. Si vous comprenez la vérité mais ne la pratiquez pas, vous êtes mal à l’aise, mais lorsque vous la pratiquez, il y a tellement de difficultés pratiques. » Les gens croient que les paroles de Dieu les dérangent, mais est-ce ainsi en réalité ? (Non.) C’est ce qu’on appelle être déraisonnable et irrationnel. Ils ont de l’aversion pour la vérité, ne poursuivent pas la vérité et ne pratiquent pas la vérité, mais ils veulent quand même faire semblant d’être spirituels et de pratiquer la vérité et ils veulent obtenir le salut. En fin de compte, lorsqu’ils ne peuvent pas réaliser ces choses, ils sont déprimés et dans le désarroi, pensant : « Qui peut équilibrer toutes ces choses ? Ce serait mieux si Dieu abaissait un peu Ses normes, et alors les gens iraient bien, Dieu irait bien, tout le monde irait bien : quelle vie céleste ce serait ! » Ces gens-là pensent toujours que les paroles prononcées par Dieu manquent d’égards pour les hommes. En fait, lorsqu’ils éprouvent des sentiments de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, ils sont insatisfaits de Dieu concernant de nombreuses choses. En particulier, lorsqu’il s’agit de la manière dont ils abordent les vérités-principes, ils ne peuvent pas les réaliser ni les atteindre, ils ne peuvent pas du tout en parler, ce qui a de graves conséquences sur leur réputation et leur prestige aux yeux des autres, ainsi que sur leur désir d’être bénis, ce qui les amène à s’enliser dans le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude, et c’est pour cela qu’ils croient qu’il y a beaucoup de choses que Dieu fait dont ils ne sont pas heureux. Il y en a même qui disent : « Dieu est juste, je ne le nie pas. Dieu est saint, et je ne le nie pas non plus. Tout ce que Dieu dit est la vérité, il est seulement dommage que ce que Dieu dit maintenant soit trop élevé, que Ses exigences envers les gens soient trop strictes et qu’il ne soit pas facile pour les gens de tout réussir ! » Ils n’ont pas d’amour pour la vérité et rejettent toute la responsabilité sur Dieu. Ils partent du principe que Dieu est juste et que Dieu est saint, et ils croient que tout cela est vrai. Dieu est juste, Dieu est saint : t’est-il nécessaire de reconnaître l’essence de Dieu ? Ce sont des faits : ils ne sont pas vrais seulement parce que tu les reconnais. Afin de ne pas être condamnés pour avoir blâmé Dieu, ils s’empressent de dire que Dieu est juste, que Dieu est saint. Cependant, quoi qu’ils disent à propos de la justice et la sainteté de Dieu, leurs émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude sont toujours présentes et non seulement ces émotions sont présentes, mais ils ne veulent pas les laisser partir, ils ne veulent pas les abandonner, peu disposés à changer leurs principes de pratique, la direction de leur poursuite et le chemin qu’ils suivent dans la vie. Ces gens-là sont à la fois pitoyables et haineux. Ils ne méritent tout simplement pas d’empathie et quelle que soit leur souffrance, ils ne méritent pas notre pitié. Il suffit de leur dire ces quelques mots : « C’est bien fait pour toi ! Si tu meurs d’un tel sentiment de désarroi, personne ne te plaindra ! Qui t’a poussé à ne pas chercher la vérité pour résoudre tes problèmes ? Qui t’a rendu incapable de te soumettre à Dieu et de pratiquer la vérité ? Pour qui es-tu dans le désarroi, angoissé et inquiet ? Ressens-tu ces choses afin d’obtenir la vérité ? Ou de gagner Dieu ? Ou pour l’œuvre de Dieu ? Ou pour la gloire de Dieu ? (Non.) Alors pour quoi ressens-tu ces émotions ? C’est tout pour toi, pour tes enfants, pour ta famille, pour ton estime de toi-même, pour ta réputation, pour ton avenir et tes perspectives, pour tout ce qui te concerne toi-même. » Une telle personne ne lâche prise sur rien, ne lâche rien, ne se rebelle contre rien, n’abandonne rien : elle n’a aucune vraie foi en Dieu, ni aucune véritable loyauté dans l’accomplissement de son devoir. Dans sa croyance en Dieu, elle ne se dépense pas vraiment, elle croit simplement pour obtenir des bénédictions, elle croit en Dieu uniquement avec la conviction de recevoir des bénédictions. Elle est remplie de « foi » en Dieu, dans l’œuvre de Dieu et dans les promesses de Dieu, mais Dieu ne demande pas une telle foi et ne S’en souvient pas non plus, mais au contraire, Il la déteste. De telles personnes ne suivent pas et ne mettent pas en pratique les principes pour gérer tout ce que Dieu exige d’elles, elles ne lâchent pas les choses qu’elles devraient lâcher, elles ne renoncent pas aux choses auxquelles elles devraient renoncer, elles n’abandonnent pas les choses qu’elles devraient abandonner et n’offrent pas la loyauté qu’elles devraient offrir. Elles méritent donc de sombrer dans les émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude. Même si elles souffrent, c’est uniquement pour elles-mêmes, pas pour leur devoir, ni pour le travail de l’Église. Par conséquent, ces personnes ne poursuivent tout simplement pas la vérité : elles sont simplement un groupe de personnes qui croient nominalement en Dieu. Elles savent exactement que c’est le vrai chemin, mais ne le pratiquent pas et ne le suivent pas non plus. Leur foi est pitoyable et ne peut gagner l’approbation de Dieu, et Dieu ne S’en souviendra pas. Ces personnes s’enlisent dans des émotions négatives de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude en raison des multiples difficultés de leur vie familiale.

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