Comment poursuivre la vérité (3) Partie 3

Outre la maladie, les gens se sentent souvent angoissés, anxieux et inquiets face à d’autres problèmes réels dans leur vie. Il y a de nombreux problèmes réels dans la vie. Par exemple, il peut y avoir chez toi des personnes âgées ou des enfants qui ont besoin de soins ou d’éducation, tes enfants ont peut-être besoin d’argent pour leur scolarité et leurs frais courants, des personnes âgées ont peut-être besoin d’argent pour traiter leurs problèmes de santé, et de grosses sommes sont peut-être nécessaires pour couvrir tes dépenses quotidiennes. Tu veux accomplir ton devoir, mais si tu abandonnes ton travail, comment vivras-tu ? Ton plan d’épargne sera vite épuisé, comment feras-tu alors, sans argent ? Si tu travailles pour gagner de l’argent, cela provoquera des retards dans l’accomplissement de ton devoir, mais si tu renonces à ton emploi pour accomplir ton devoir, tu n’auras aucun moyen de résoudre les difficultés à la maison. Alors, que dois-tu faire ? Beaucoup de gens se débattent avec ces questions et en sont désorientés, si bien qu’ils ont tous hâte qu’arrive le jour de Dieu et ils se demandent quand les grands désastres surviendront et s’ils ont besoin de constituer des réserves de nourriture. S’ils se préparent, ils n’ont plus d’économies à la maison et la vie devient très difficile. Ils voient les autres porter de meilleurs vêtements et mieux manger qu’eux et ils sont malheureux et pensent que leur vie est trop dure. Ils restent longtemps sans manger de viande et s’ils ont des œufs, ils rechignent à les manger et se précipitent au marché pour les vendre et gagner quelques euros. En pensant à toutes ces difficultés, ils commencent à s’inquiéter : « Quand ces temps difficiles prendront-ils fin ? On dit toujours : “Le jour de Dieu arrive, le jour de Dieu arrive” et “L’œuvre de Dieu va bientôt prendre fin”, mais quand quelqu’un me dira-t-il à quel moment cela va réellement arriver ? Qui peut le dire avec certitude ? » Certains passent des années à accomplir leur devoir loin de chez eux et, de temps en temps, ils pensent : « Je n’ai aucune idée de la taille de mes enfants, aujourd’hui, et je ne sais absolument pas si mes parents sont en bonne santé. Je suis loin de chez moi depuis toutes ces années et je ne me suis pas occupé d’eux. Est-ce qu’ils ont des difficultés ? Que feront-ils s’ils tombent malades ? Est-ce que quelqu’un s’occupera d’eux ? Mes parents doivent avoir 80 ou 90 ans, maintenant, et je ne sais même pas s’ils sont encore en vie. » Lorsque ces gens pensent à de telles choses, une anxiété sans nom surgit dans leur cœur. Outre se sentir anxieux, ils vont s’inquiéter, mais s’inquiéter ne résout jamais rien, alors ils commencent à s’angoisser. Lorsqu’ils sont très angoissés, leur attention se tourne vers l’œuvre de Dieu et le jour de Dieu, et ils se demandent : « Pourquoi le jour de Dieu n’est-il pas encore arrivé ? Devrons-nous toujours vivre une vie d’errance et d’isolement comme celle-ci ? Quand arrivera le jour de Dieu ? Quand l’œuvre de Dieu prendra-t-elle fin ? Quand Dieu détruira-t-Il ce monde ? Quand le royaume de Dieu sera-t-il rendu manifeste sur terre ? Quand verrons-nous apparaître la personne de Dieu ? » Ils pensent à ces choses encore et encore, et des émotions négatives comme l’inquiétude, d’anxiété et d’angoisse jaillissent dans leur cœur. Ils affichent instantanément une expression inquiète, ils ne ressentent plus de joie, ils marchent avec apathie, ils mangent sans appétit et ils passent chaque journée l’esprit en ébullition. Est-ce une bonne chose de vivre avec de telles émotions négatives ? (Non.) Même une infime difficulté dans la vie peut parfois faire tomber les gens dans ces émotions négatives de passivité. Et parfois même, sans aucune raison, ou sans contexte particulier, ou sans qu’une personne en particulier ne dise rien de spécial, ces émotions négatives surgissent dans le cœur des gens, à leur insu. Lorsque ces émotions négatives surgissent dans le cœur des gens, leurs souhaits, alors qu’ils aspirent à l’arrivée du jour de Dieu, à la fin de Son œuvre et à la venue de Son royaume, deviennent encore plus insistants. Certaines personnes s’agenouillent même sincèrement et prient Dieu en pleurant à chaudes larmes : « Ô Dieu, je déteste ce monde et je déteste cette humanité. S’il Te plaît, mets fin à tout cela le plus rapidement possible, mets fin à la vie charnelle des gens et mets fin à toutes ces difficultés. » Ils prient ainsi de nombreuses fois sans résultat et des émotions négatives comme l’inquiétude, l’anxiété et l’angoisse enveloppent encore leur cœur et restent dans leurs pensées, et profondément dans leur esprit, les influençant profondément et les cernant. En fait, cela n’arrive que parce qu’ils aspirent à ce que le jour de Dieu vienne plus tôt, à ce que l’œuvre de Dieu se termine plus tôt, à recevoir les bénédictions le plus tôt possible, à avoir une bonne destination, à entrer au ciel ou dans le royaume qu’ils imaginent et désirent ardemment selon leurs propres notions. C’est pourquoi ils s’énervent toujours autant, au plus profond de leur cœur, à propos de ces choses. Ils se montrent énervés en surface, mais en réalité, ils sont angoissés, anxieux et inquiets. Lorsque de tels sentiments d’angoisse, d’anxiété et d’inquiétude entourent constamment les gens, ils ont une réflexion active et se disent : « Si le jour de Dieu n’arrive pas bientôt et que l’œuvre de Dieu n’est pas achevée le plus tôt possible, je dois profiter de ma jeunesse et de ma capacité à travailler dur. J’ai envie de travailler et de gagner de l’argent, de travailler dur dans le monde pendant un certain temps et de profiter de la vie. Si le jour de Dieu n’arrive pas bientôt, je veux rentrer chez moi et retrouver ma famille, trouver un compagnon ou une compagne, bien vivre pendant un moment, subvenir aux besoins de mes parents, élever mes enfants. Quand je serai âgé, j’aurai beaucoup d’enfants et ils vivront ensemble avec moi, et nous profiterons d’une vie de famille : quelle scène merveilleuse ! Quelle douce image ! » Pensant ainsi, ils ont hâte de profiter de ce genre de vie. Chaque fois que les gens pensent que le jour de Dieu sera bientôt là et que l’œuvre de Dieu prendra bientôt fin, leurs désirs deviennent encore plus ardents et leur aspiration à ce que l’œuvre de Dieu se termine le plus tôt possible devient encore plus intense. Dans une telle situation, lorsque les faits ne correspondent pas à ce que les gens souhaitent, quand les gens ne voient aucune indication de la fin de l’œuvre de Dieu ou de l’arrivée du jour de Dieu, leurs sentiments d’angoisse, d’anxiété et d’inquiétude deviennent encore plus graves. Ils s’inquiètent du fait que, dans quelques années, ils seront âgés et n’auront pas trouvé de compagnon ou de compagne pour s’occuper d’eux pendant leur vieillesse. Ils s’inquiètent, s’ils accomplissent constamment leur devoir dans la maison de Dieu et ont déjà rompu tout lien avec la société, de savoir s’ils pourront réintégrer la société une fois de retour chez eux pour y vivre. Ils s’inquiètent, s’ils se lancent de nouveau dans les affaires dans quelques années, ou s’ils reprennent leur travail, de savoir s’ils seront capables de s’adapter à leur époque, s’ils seront capables de sortir du lot et s’ils seront capables de survivre. Plus ils s’inquiètent de telles choses et sont anxieux et angoissés, plus ils sont incapables d’accomplir sereinement leur devoir et de suivre Dieu dans la maison de Dieu. Ainsi, ils s’inquiètent de plus en plus de leur avenir, de leurs perspectives et de leur vie de famille, ainsi que de toutes les difficultés qui pourraient survenir dans leur vie future. Ils pensent à tout ce qu’ils peuvent penser, ils s’inquiètent de tout ce dont ils peuvent s’inquiéter. Ils s’inquiètent même pour leurs petits-fils et pour ce que sera la vie des descendants de leurs petits-fils. Leurs pensées vont loin, leurs pensées sont très approfondies et ils réfléchissent sérieusement à tout. Lorsque les gens ont ces inquiétudes, ces angoisses et ces sentiments d’anxiété, ils deviennent incapables d’accomplir leurs devoirs avec calme et ne peuvent pas simplement suivre Dieu, au lieu de cela, leur réflexion est souvent active et ils soufflent le chaud et le froid. Lorsqu’ils voient que le travail d’évangélisation se déroule très bien, ils pensent : « Le jour de Dieu viendra bientôt. Je dois bien faire mon devoir, oui ! Allez ! Je dois continuer encore quelques années, ce ne sera plus long maintenant. Toutes ces souffrances en vaudront la peine et porteront leurs fruits, et je n’aurai plus de soucis ! » Mais au bout de quelques années, les grands désastres ne sont toujours pas arrivés et personne ne mentionne le jour de Dieu, ce qui fait que leur cœur se refroidit. Cette angoisse, cette anxiété et cette inquiétude, ainsi que leur réflexion active, continuent d’aller et venir et de se répéter encore et encore, tournant en cercles sans fin selon la situation internationale et la situation dans la maison de Dieu, et il n’y a rien qu’ils puissent faire pour contrôler tout cela : ils sont incapables de changer l’état dans lequel ils se trouvent, quoi qu’on leur dise. Ce genre de personnes existe-t-il ? (Oui.) Est-il facile pour ce genre de personnes de rester ferme ? (Non.) Leur attitude et leur humeur dans l’accomplissement de leurs devoirs, ainsi que la quantité d’énergie qu’ils y consacrent, sont toutes basées sur « les dernières nouvelles ». Certains disent : « D’après des informations fiables, l’Évangile de Dieu se propage à merveille ! » et d’autres disent : « Les dernières nouvelles sont que des catastrophes se produisent très fréquemment à travers le monde, désormais, et apparemment, la situation du monde et les catastrophes ont maintenant accompli tel ou tel désastre annoncé dans le Livre de l’Apocalypse. L’œuvre de Dieu sera bientôt achevée, le jour de Dieu sera bientôt là et le monde religieux est en émoi ! » Chaque fois qu’ils entendent « les dernières nouvelles » ou des « nouvelles fiables », leur angoisse, leur anxiété et leur inquiétude disparaissent temporairement et ne les perturbent plus, et ils abandonnent leur réflexion active pendant un certain temps. Cependant, lorsqu’ils n’ont entendu récemment aucune « nouvelle fiable » et aucune « nouvelle précise », leur angoisse, leur anxiété et leur inquiétude, ainsi que leur réflexion active, commencent à se déverser. Certains se préparent même en se demandant où postuler pour un emploi, où travailler, combien d’enfants avoir, où leurs enfants iront à l’école dans quelques années, comment préparer leurs études universitaires, et ils envisagent même d’acheter une maison, un terrain ou une voiture. Cependant, une fois qu’ils ont entendu des « nouvelles fiables », ces choses sont temporairement mises en attente. Cela ne ressemble-t-il pas à une blague ? (Si.) Ils croient en Dieu, mais cela ne leur tient pas à cœur, et ils disent que la foi en Dieu est le bon chemin dans la vie, que c’est la vie la plus significative, que c’est vivre de cette façon qui a le plus de valeur. Quelle que soit la manière dont Dieu les guide et quoi que Dieu fasse, ils sont certains que tout ce que Dieu fait est destiné à sauver les gens et ils suivront donc Dieu jusqu’à la fin. Qu’il faille que le ciel et la terre vieillissent, que les étoiles changent de position, que les mers s’assèchent, que les rochers se transforment en poussière ou que les mers deviennent la terre et que la terre devienne les mers, leur cœur reste le même et ce cœur est déterminé. Leur cœur sera donné à Dieu pour le reste de leur vie, et s’il y a une autre vie après celle-ci, ils suivront encore Dieu. Cependant, les gens qui ont beaucoup de difficultés dans la vie ne pensent pas ainsi. Leur foi en Dieu implique d’observer le moment présent, et ils vivent leur vie comme ils pensent qu’ils doivent la vivre. Ils ne changeront pas leur mode de vie ni leurs souhaits ou leurs projets simplement parce qu’ils croient en Dieu et suivent le chemin de la foi en Dieu. Quels que soient leurs plans au début, ils ne les changent pas simplement parce qu’ils croient en Dieu, ils ne changent rien du tout et ils cherchent à vivre comme les non-croyants. Pourtant, la foi en Dieu implique une chose particulière, c’est que le jour de Dieu arrivera bientôt, que le royaume de Dieu viendra bientôt et que de grands désastres surviendront. Ceux qui croient en Dieu pourront alors échapper aux désastres, ils ne tomberont pas dans les désastres, ils pourront être sauvés, et c’est seulement à cause de cette chose particulière qu’ils s’intéressent de manière aussi excessive à la croyance en Dieu. Par conséquent, leur objectif et ce sur quoi ils se concentrent dans leur croyance en Dieu n’est toujours que cette seule chose. Quels que soient le nombre de sermons qu’ils écoutent, le nombre de vérités sur lesquelles ils entendent les gens échanger et le temps depuis lequel ils croient en Dieu, la façon dont ils croient en Dieu ne change jamais et ils n’y renoncent jamais. Ils ne changent pas ou n’abandonnent pas leurs opinions erronées sur la croyance en Dieu, que ce soit à cause des sermons qu’ils écoutent ou des vérités qu’ils comprennent. Et donc, qu’il y ait ou non un changement dans le monde extérieur ou dans la maison de Dieu, et qu’on en parle ou non, cela a toujours une incidence sur cette chose qui les préoccupe le plus, au plus profond de leur cœur. S’ils entendent dire que l’œuvre de Dieu sera bientôt achevée, ils sont ravis. Cependant, s’ils entendent dire qu’il est encore trop tôt pour que l’œuvre de Dieu soit achevée et s’ils ne peuvent pas continuer, leur angoisse, leur anxiété et leur inquiétude augmenteront de jour en jour et ils commenceront à se préparer à prendre congé de la maison de Dieu et de leurs frères et sœurs à tout moment, pour se séparer proprement de la maison de Dieu. Bien sûr, il y a aussi ceux qui, à n’importe quel moment, commencent à se préparer à effacer complètement toutes les coordonnées de leurs frères et sœurs et tous leurs messages, et à rendre à l’Église les livres de paroles de Dieu que la maison de Dieu leur a envoyés. Ils pensent : « Je ne peux vraiment pas continuer à suivre ce chemin qui consiste à croire en Dieu et à rechercher la vérité. Je pensais que croire en Dieu signifiait que je vivrais une vie heureuse, que j’aurais des enfants, que je recevrais des bénédictions et que j’entrerais dans le royaume des cieux. Maintenant, ce beau rêve a été brisé, je vais donc choisir de vivre une vie heureuse malgré tout, d’avoir des enfants et de profiter de la vie. Pourtant, je ne peux toujours pas abandonner ma croyance en Dieu. S’il y a une chance que je puisse recevoir au centuple dans cette vie et la vie éternelle dans la vie à venir, ne serait-ce pas encore mieux ? » Voilà leur point de vue sur la croyance en Dieu, c’est leur projet et, bien sûr, c’est aussi ce qu’ils font. Ce sont la réflexion et les projets qui se trouvent au plus profond du cœur de ceux qui s’appuient sur leur imagination dans leur croyance en Dieu, qui sont toujours angoissés, anxieux et inquiets au sujet de leur vie charnelle, et cela représente ce qu’ils poursuivent et le chemin qu’ils suivent dans leur croyance en Dieu. À quoi s’accrochent-ils le plus ? Ce qui les préoccupe le plus, c’est le moment où le jour de Dieu arrivera, où l’œuvre de Dieu prendra fin, où les grands désastres surviendront, et la question de savoir s’ils seront ou non capables d’échapper aux grands désastres. C’est à cela qu’ils s’accrochent le plus.

En ce qui concerne ceux qui sont toujours angoissés, anxieux et inquiets au sujet de leur vie charnelle, leur poursuite, dans leur croyance en Dieu, vise à « recevoir au centuple dans cette vie et la vie éternelle dans la vie à venir ». Cependant, ils n’ont pas envie de savoir dans quelle mesure l’œuvre de Dieu a progressé, ni si ceux qui croient en Dieu parviennent à obtenir le salut, ni combien de personnes ont gagné la vérité, ont réussi à connaître Dieu et ont rendu un bon témoignage, comme si ces choses n’avaient rien à voir avec eux. Alors, que veulent-ils entendre ? (Quand l’œuvre de Dieu prendra fin.) Ils ont de grands espoirs, n’est-ce pas ? La plupart des gens sont trop étroits d’esprit. Regardez ce qu’ils visent, et ils n’espèrent que de grandes choses : dans quel état supérieur ils se trouvent ! La plupart des gens sont tellement vulgaires, ils parlent sans cesse de changements de tempérament, de se soumettre à Dieu, d’accomplir fidèlement leur devoir, de faire les choses conformément aux vérités-principes : que sont ces gens ? Ils sont trop mesquins ! Que disent les Chinois ? Que ces gens sont vraiment grossiers. Grossier, qu’est-ce que cela signifie ? Qu’ils sont vraiment vulgaires. Et sur quoi ces gens jettent-ils leur dévolu ? Ils espèrent de grandes choses, des choses élevées, des choses haut de gamme. Ceux qui espèrent des choses haut de gamme veulent toujours progresser vers le haut, ils espèrent encore en vain qu’un jour Dieu les élèvera dans les airs pour qu’ils puissent Le rencontrer. Tu veux rencontrer Dieu, mais tu ne te demandes pas si Dieu veut ou non te rencontrer : tu continues simplement à vouloir ces choses incroyables ! T’est-il seulement arrivé de rencontrer Dieu ? Les gens ne connaissent pas Dieu, donc lorsque tu Le rencontreras, tu Le défieras encore. Alors, quelle est la raison de l’angoisse, de l’anxiété et de l’inquiétude de ces gens-là ? Est-ce vraiment dû à des difficultés dans leur vie ? Non, ce n’est pas qu’ils aient vraiment des difficultés dans la vie, c’est qu’ils ont centré leur foi en Dieu sur leur vie charnelle. Le centre de leur poursuite n’est pas la vérité, mais plutôt le fait de vivre une vie heureuse, de profiter de la belle vie et d’avoir un avenir prometteur. Les problèmes de ces personnes sont-ils faciles à résoudre ? Y a-t-il des gens comme ça dans l’Église ? Ils demandent sans cesse aux autres : « Oh, quand viendra le jour de Dieu ? N’a-t-on pas dit il y a quelques années que l’œuvre de Dieu était sur le point de prendre fin ? Alors pourquoi n’est-elle pas encore terminée ? » Y a-t-il un moyen de gérer les gens comme ça ? Dites-leur simplement un mot, dites-leur : « Bientôt ! » Lorsqu’il s’agit de personnes comme celles-ci, demandez-leur d’abord : « Tu poses toujours des questions à ce sujet. As-tu fait des projets ? Si oui, ne t’embête pas à rester ici alors que tu n’en as pas envie. Fais simplement ce dont tu as envie. Ne va pas à l’encontre de tes propres désirs et ne te complique pas la vie. La maison de Dieu ne te retient pas, elle ne t’enferme pas ici. Tu peux partir quand tu le souhaites. Ne demande pas sans cesse quelles sont les nouvelles qui circulent. À propos de n’importe quelle nouvelle annoncée, on te dira simplement : “Bientôt !” Si tu n’es pas satisfait de cette réponse, que tu as déjà fait des projets dans ton cœur et que tu vas les réaliser tôt ou tard de toute façon, suis alors mon conseil : rends tes livres de paroles de Dieu à l’Église dès que possible, fais tes valises et pars. Nous nous dirons simplement au revoir, et tu n’auras plus jamais besoin de te sentir angoissé, anxieux ou inquiet à propos de ces choses. Rentre chez toi et vis ta vie. Je te souhaite bonne chance ! Je te souhaite une vie heureuse et comblée, et j’espère que tout ira bien pour toi à l’avenir ! » Qu’en pensez-vous ? (C’est bien.) Conseillez-leur de quitter l’Église : n’essayez pas de les retenir. Pourquoi ne pas essayer de les garder ? (Ils ne croient pas vraiment en Dieu, donc cela ne sert à rien de les garder.) C’est vrai : ce sont des incrédules ! Quel serait l’intérêt de garder des incrédules et de ne pas les jeter dehors ? Certains disent : « Mais ils n’ont rien fait de mal et ils n’ont rien perturbé. » Ont-ils besoin de perturber quoi que ce soit ? Dites-Moi, le fait que des individus de ce genre restent au sein d’un groupe ne constitue-t-il pas une perturbation ? Partout où ces individus vont, leur comportement et leurs actes constituent déjà une perturbation. Ils ne font jamais de dévotions spirituelles, ils ne lisent jamais les paroles de Dieu, ils ne prient jamais et n’échangent jamais lors des réunions, ils se contentent d’agir pour la forme dans leurs devoirs, demandant sans cesse quels sont les derniers potins. Ils sont extrêmement émotifs et capricieux. Ils sont aussi extrêmement focalisés sur le fait de manger, boire et s’amuser, et il y en a même qui sont paresseux, qui s’adonnent à la nourriture, qui s’adonnent au sommeil, qui lambinent, qui ne sont là que pour faire de la figuration dans la maison de Dieu. Ils ne se soucient pas de l’accomplissement de leurs devoirs et ne sont que des fainéants. Lorsqu’ils viennent dans la maison de Dieu, ils sont simplement là pour chercher des choses qui leur profitent et en tirer un avantage. S’ils ne peuvent pas en tirer un avantage, ils partiront en un clin d’œil. Étant donné qu’ils partiront en un clin d’œil, ne vaut-il pas mieux qu’ils partent le plus tôt possible ? Des gens comme ceux-là ne peuvent même pas rendre service jusqu’au bout et leur service n’a aucun effet positif. Lorsqu’ils rendent service, ils ne font pas les choses qui conviennent : ce sont simplement des incrédules. Dans leur croyance en Dieu, ils envisagent les problèmes sous un troisième angle. Quand la maison de Dieu prospère, ils sont heureux, pensant qu’ils ont l’espoir d’être bénis, qu’ils ont l’avantage, que leur croyance en Dieu n’a pas été vaine, qu’ils n’ont pas été perdants et qu’ils ont parié sur le camp gagnant. Cependant, si la maison de Dieu est opprimée par des forces sataniques, abandonnée par la société, soumise à la calomnie et aux persécutions, et si elle se trouve dans une situation désespérée, alors non seulement ils ne sont pas bouleversés, mais ils s’en moquent. Pouvons-nous garder des gens comme ça dans l’Église ? (Non.) Ce sont des incrédules et des ennemis ! Si un ennemi est juste à côté de toi et que, pourtant, tu le considères comme un frère ou une sœur, cela ne fait-il pas de toi quelqu’un de stupide ? Si des gens comme ça sont incapables de rendre service de bon cœur, alors ils doivent être jetés dehors, n’est-ce pas ? (En effet.) En effet, faites-le rapidement et soigneusement. Il n’est pas nécessaire de les conseiller, il suffit de leur demander tranquillement de partir. Il n’est pas nécessaire de gaspiller votre salive avec eux, vous devez simplement les renvoyer chez eux. Par essence, ce ne sont pas des gens qui font partie de la maison de Dieu, ce sont simplement des incrédules qui se sont frayés un chemin jusque dans l’Église. Ils peuvent simplement retourner d’où ils viennent et vous pouvez simplement leur demander de partir. Après être entrés dans l’Église, certains établissent une distinction claire entre eux-mêmes, les frères et sœurs et la maison de Dieu. C’est parce qu’ils savent ce qu’ils sont venus faire, ils savent s’ils croient vraiment ou non, et en dehors de leurs espoirs quant au moment où l’œuvre de Dieu prendra fin et quant à leur possibilité de recevoir des bénédictions, aucun travail de la maison de Dieu et aucune des vérités dans lesquelles Dieu demande aux gens d’entrer n’ont quoi que ce soit à voir avec eux. Ils ne prêtent aucune attention à ces choses, ils ne lisent pas les livres de paroles de Dieu que l’Église leur envoie pour qu’ils les lisent et ils les laissent simplement traîner sans en ouvrir l’emballage. Ces gens-là disent seulement qu’ils croient en Dieu. Ils semblent croire comme les autres le font, en apparence, et ils accomplissent leurs devoirs pour la forme, mais ils ne lisent jamais les paroles de Dieu. Ils n’ont jamais ouvert un seul livre de paroles de Dieu, ils n’en ont jamais tourné une seule page, ils n’en ont jamais lu quoi que ce soit. Ils ne regardent jamais non plus les vidéos de témoignages d’expérience, les films d’évangélisation, les hymnes, etc., que la maison de Dieu met en ligne. Que regardent-ils habituellement ? Ils regardent les informations, les émissions populaires, des clips vidéo et des comédies, ils ne regardent que ce qui est inutile. Que sont ces gens ? Ils rendent occasionnellement visite à l’Église pour demander : « Dans combien de pays l’œuvre de l’Évangile s’est-elle répandue, actuellement ? Combien de personnes se sont tournées vers Dieu ? Dans combien de pays des Églises ont-elles été établies, actuellement ? Combien y a-t-il d’Églises ? À quel stade en est l’œuvre de Dieu ? » Pendant leur temps libre, ils posent sans cesse des questions sur ces choses. N’y a-t-il pas des raisons de soupçonner que ces gens sont des espions ? Dites-Moi, est-il acceptable de garder des gens comme ça ? (Non.) S’ils ne quittent pas l’Église de leur propre gré, alors vous devez les exclure dès que vous les découvrez et débarrasser l’Église de ces fléaux. Les conserver est inutile et créera des problèmes. Donc, ces choses qui plongent les gens dans l’angoisse, l’anxiété et l’inquiétude n’ont absolument rien à voir avec nous. Ne prenez pas la peine de donner des conseils à ces gens, et il est inutile d’échanger avec eux sur la vérité. Contentez-vous de vous en débarrasser et d’en finir, c’est la meilleure façon de s’occuper de gens comme ceux-là.

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