L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II

La sixième partie

Le témoignage de Job apporte du réconfort à Dieu

Si Je vous dis maintenant que Job est un homme charmant, vous ne serez peut-être pas en mesure d'apprécier le sens de ces mots, et ne pourrez peut-être pas saisir pourquoi J'ai parlé de toutes ces choses ; mais attendez jusqu'au jour où vous aurez éprouvés des épreuves pareilles ou semblables à celles de Job, quand vous aurez traversé l'adversité, quand vous aurez expérimenté des épreuves arrangées personnellement pour vous par Dieu, quand tu auras tout donné et enduré l'humiliation et des difficultés, afin de l'emporter sur Satan et de rendre témoignage à Dieu au milieu des tentations – alors tu pourras apprécier le sens de ces mots que Je dis. À ce moment-là, tu sentiras que tu es bien inférieur à Job, tu sentiras à quel point Job est charmant et qu'il est digne d'émulation ; quand ce temps viendra, tu réaliseras à quel point ces mots classiques prononcés par Job sont importants pour quelqu'un qui est corrompu et qui vit aujourd'hui, et tu réaliseras combien il est difficile pour les gens d'aujourd'hui d'accomplir ce qui a été accompli par Job. Quand tu sentiras que c'est difficile, tu comprendras à quel point le cœur de Dieu est anxieux et inquiet, tu apprécieras le prix élevé payé par Dieu pour gagner de telles personnes et combien est précieux ce que Dieu fait et dépense pour l'humanité. Maintenant que vous avez entendu ces mots, avez-vous une compréhension exacte et une évaluation correcte de Job ? À vos yeux, Job était-il un homme vraiment intègre et droit qui craignait Dieu et s'éloignait du mal ? Je crois que la plupart des gens diront très certainement : Oui. Car les faits sur ce que Job a fait et révélé sont indéniables par n'importe quel homme ou par Satan. Ils sont la preuve la plus puissante du triomphe de Job sur Satan. Cette preuve a été produite en Job et a été le premier témoignage reçu par Dieu. Ainsi, lorsque Job a triomphé des tentations de Satan et a rendu témoignage à Dieu, Dieu a vu de l'espoir en Job et Son cœur a été réconforté par Job. Depuis la création jusqu'à Job, c'était la première fois que Dieu expérimentait vraiment ce qu'était le réconfort et ce que signifiait être réconforté par l'homme, et c'était la première fois qu'Il voyait et gagnait un vrai témoignage qui Lui était porté.

J'ai confiance qu'ayant entendu parler du témoignage de Job et des récits sur les divers aspects de Job, la majorité des gens auront des plans pour le chemin à parcourir. De même, J'ai confiance que la plupart des gens qui sont pleins d'anxiété et de peur commenceront lentement à se détendre à la fois dans leur corps et dans leur esprit, et commenceront à ressentir du soulagement, petit à petit…

Les passages ci-dessous sont également des récits sur Job. Continuons à lire.

4. L'oreille de Job a entendu parler de Dieu

(Job 9:11) Voici, il passe près de moi, et je ne le vois pas, Il s'en va, et je ne l'aperçois pas.

(Job 23:8-9) Mais, si je vais à l'orient, il n'y est pas ; Si je vais à l'occident, je ne le trouve pas ; Est-il occupé au nord, je ne puis le voir ; Se cache-t-il au midi, je ne puis le découvrir.

(Job 42:2-6) Je reconnais que tu peux tout, Et que rien ne s'oppose à tes pensées. Quel est celui qui a la folie d'obscurcir mes desseins ? -Oui, j'ai parlé, sans les comprendre, De merveilles qui me dépassent et que je ne conçois pas. Écoute-moi, et je parlerai ; Je t'interrogerai, et tu m'instruiras. Mon oreille avait entendu parler de toi ; Mais maintenant mon oeil t'a vu. C'est pourquoi je me condamne et je me repens Sur la poussière et sur la cendre.

Bien que Dieu ne Se soit pas révélé à Job, Job croit en la souveraineté de Dieu

Quelle est la portée de ces mots ? Quelqu'un parmi vous s'est-il rendu compte qu'il y a un fait ici ? Premièrement, comment Job a-t-il appris qu'il y a un Dieu ? Et comment a-t-il appris que les cieux, la terre et toutes choses sont gouvernés par Dieu ? Un passage répond à ces deux questions : Mon oreille avait entendu parler de toi ; Mais maintenant mon oeil t'a vu. C'est pourquoi je me condamne et je me repens Sur la poussière et sur la cendre (Job 42:5-6). De ces paroles nous apprenons que, plutôt que d'avoir vu Dieu de ses propres yeux, Job avait entendu parler de Dieu par la légende. C'est dans ces circonstances qu'il a commencé à emprunter le chemin de la marche avec Dieu, après quoi il a confirmé l'existence de Dieu dans sa vie et parmi toutes choses. Il y a un fait indéniable ici. Quel est-il ? En dépit de sa capacité de suivre la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal, Job n'avait jamais vu Dieu. En cela, n'était-il pas comme les gens d'aujourd'hui ? Job n'avait jamais vu Dieu, ce qui impliquait que, bien qu'il ait entendu parler de Dieu, il ne savait pas où était Dieu, ni à quoi ressemblait Dieu, ni ce que Dieu faisait, qui sont des facteurs subjectifs ; objectivement parlant, bien qu'il ait suivi Dieu, Dieu ne lui était jamais apparu ni ne lui avait parlé. N'est-ce pas un fait ? Bien que Dieu n'ait pas parlé à Job ni ne lui ait donné aucun ordre, Job avait vu l'existence de Dieu et contemplé Sa souveraineté parmi toutes choses et dans des légendes dans lesquelles l'oreille de Job avait entendu parler de Dieu, après quoi il commença la vie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal. Tels étaient les origines et le processus par lesquels Job suivait Dieu. Mais peu importe à quel point il craignait Dieu et s'éloignait du mal, peu importe à quel point il tenait à son intégrité, tout de même Dieu ne lui apparaissait jamais. Lisons ce passage. Il dit : « Voici, il passe près de moi, et je ne le vois pas, Il s'en va, et je ne l'aperçois pas » (Job 9:11). Ce que ces paroles disent, c'est que Job aurait pu sentir Dieu autour de lui ou n'aurait peut-être pas pu, mais il n'avait jamais pu voir Dieu. Il y avait des moments où il imaginait que Dieu passait devant lui, ou agissait, ou guidait l'homme, mais il ne l'avait jamais su. Dieu se présente à l'homme quand ce dernier ne s'y attend pas ; l'homme ne sait pas quand Dieu se présente à lui, où Il se présente à lui, parce que l'homme ne peut pas voir Dieu et ainsi, pour l'homme, Dieu lui est caché.

La foi de Job en Dieu n'est pas ébranlée parce que Dieu lui est caché

Dans le passage suivant des Écritures, Job dit alors : « Mais, si je vais à l'orient, il n'y est pas ; Si je vais à l'occident, je ne le trouve pas ; Est-il occupé au nord, je ne puis le voir ; Se cache-t-il au midi, je ne puis le découvrir » (Job 23:8-9). Dans ce récit, nous apprenons que dans les expériences de Job, Dieu lui avait été complètement caché ; Dieu ne lui était pas ouvertement apparu et Il ne lui avait dit ouvertement aucune parole non plus, pourtant dans son cœur, Job avait confiance que Dieu existait. Il avait toujours cru que Dieu marchait peut-être devant lui ou agissait peut-être à ses côtés et, même s'il ne pouvait pas voir Dieu, Dieu était à côté de lui, régnant entièrement sur lui. Job n'avait jamais vu Dieu, mais il était capable de rester fidèle à sa foi, ce que personne d'autre ne pouvait faire. Et pourquoi ne le pouvaient-ils pas ? Parce que Dieu ne parlait pas à Job ou ne lui apparaissait pas, et s'il n'avait pas vraiment cru, il n'aurait pas pu continuer ni n'aurait pu tenir ferme à la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal. N'est-ce pas vrai ? Comment te sens-tu quand tu lis au sujet de Job qui prononce ces paroles ? As-tu l'impression que l'intégrité et la droiture de Job et sa justice devant Dieu sont vraies et ne sont pas une exagération de la part de Dieu ? Même si Dieu traitait Job comme les autres et ne lui apparaissait pas ou ne lui parlait pas, Job tenait toujours fermement à son intégrité, il croyait toujours à la souveraineté de Dieu et, de plus, il offrait souvent des holocaustes et priait devant Dieu à cause de sa peur d'offenser Dieu. Dans l'habileté de Job à craindre Dieu sans avoir vu Dieu, nous voyons à quel point il aimait les choses positives et à quel point sa foi était ferme et réelle. Il n'a pas nié l'existence de Dieu parce que Dieu lui était caché ni n'a perdu sa foi et abandonné Dieu parce qu'il ne L'avait jamais vu. Au lieu de cela, au milieu de l'œuvre cachée de Dieu de régner sur toutes choses, il avait découvert l'existence de Dieu et senti la souveraineté et la puissance de Dieu. Il n'a pas renoncé à être droit parce que Dieu était caché ni n'a abandonné la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal parce que Dieu ne lui était jamais apparu. Job n'avait jamais demandé que Dieu lui apparaisse ouvertement pour prouver Son existence, car il avait déjà vu la souveraineté de Dieu parmi toutes choses, et il croyait avoir acquis les bénédictions et les grâces que les autres n'avaient pas acquises. Bien que Dieu lui soit resté caché, la foi de Job en Dieu n'a jamais été ébranlée. Ainsi, il a récolté ce que nul autre n'avait récolté : l'approbation de Dieu et la bénédiction de Dieu.

Job bénit le nom de Dieu et ne pense pas aux bénédictions ou aux désastres

Il y a un fait qui n'est jamais mentionné dans les histoires des Écritures au sujet de Job, sur lequel nous nous concentrerons aujourd'hui. Bien que Job n'ait jamais vu Dieu ou entendu les paroles de Dieu de ses propres oreilles, Dieu avait une place dans le cœur de Job. Et quelle était l'attitude de Job envers Dieu ? C'était, comme mentionné précédemment : « que le nom de l'Éternel soit béni ! » Sa bénédiction du nom de Dieu était inconditionnelle, non qualifiée et sans raison. Nous voyons que Job avait donné son cœur à Dieu, permettant à Dieu de le contrôler ; tout ce qu'il pensait, tout ce qu'il décidait, tout ce qu'il planifiait dans son cœur était ouvert à Dieu et non fermé à Dieu. Son cœur ne s'opposait pas à Dieu et il n'avait jamais demandé à Dieu de faire quoi que ce soit pour lui ou de lui donner quoi que ce soit, et il ne nourrissait pas de désirs extravagants d'obtenir quelque chose de son adoration de Dieu. Job n'a pas négocié avec Dieu et n'a rien requis ou exigé de Dieu. Sa louange du nom de Dieu relevait de la grande puissance et de l'autorité de Dieu régnant sur toutes choses et ne dépendait pas de bénédictions qu'il avait reçues ou non ou d'un désastre qui l'avait frappé ou non. Il croyait que peu importe que Dieu bénisse les gens ou fasse tomber un désastre sur eux, la puissance et l'autorité de Dieu ne changeraient pas, et ainsi, peu importe les circonstances d'une personne, le nom de Dieu devrait être loué. Si l'homme est béni par Dieu, c'est à cause de la souveraineté de Dieu, et quand le désastre frappe l'homme, c'est aussi à cause de la souveraineté de Dieu. La puissance et l'autorité de Dieu dominent et arrangent tout ce qui concerne l'homme ; les impondérables du sort de l'homme sont la manifestation de la puissance et de l'autorité de Dieu et, peu importe le point de vue que l'on a, le nom de Dieu devrait être loué. C'est ce que Job a connu et appris à connaître au cours des années de sa vie. Toutes les pensées et les actions de Job sont parvenues aux oreilles de Dieu et sont arrivées devant Dieu, et Dieu les a considérées comme importantes. Dieu chérissait cette connaissance de Job et chérissait Job parce qu'il avait un tel cœur. Ce cœur attendait toujours l'ordre de Dieu et, partout, peu importe le moment ou le lieu, il accueillait tout ce qui lui arrivait. Job n'exigeait rien de Dieu. Ce qu'il exigeait de lui-même était d'attendre et d'accepter tous les arrangements qui venaient de Dieu, de leur faire face et de leur obéir ; Job croyait que c'était son devoir et c'était précisément ce que Dieu voulait. Job n'avait jamais vu Dieu, ni ne L'avait entendu prononcer aucune parole, émettre des ordres, donner des enseignements ou l'instruire de quoi que ce soit. Dans les paroles d'aujourd'hui, qu'il puisse posséder une telle connaissance et une telle attitude envers Dieu, quand Dieu ne lui avait donné aucun éclairage, aucune direction ou aucun apport à l'égard de la vérité, avait une grande valeur, et qu'il démontre de telles choses suffisait à Dieu, et son témoignage a été loué par Dieu et chéri par Dieu. Job n'avait jamais vu Dieu ou entendu Dieu personnellement lui proférer des enseignements, mais pour Dieu, son cœur ainsi que lui-même étaient beaucoup plus précieux que ces gens qui, devant Dieu, étaient seulement capables de parler de théorie profonde, qui ne pouvaient que se vanter et parler d'offrir des sacrifices, mais qui n'avaient jamais eu une vraie connaissance de Dieu et n'avaient jamais vraiment craint Dieu. Car le cœur de Job était pur et non caché à Dieu, et son humanité était honnête et bienveillante, et il aimait la justice et ce qui était positif. Seul un homme comme ce dernier qui possédait un tel cœur et une telle humanité pouvait suivre la voie de Dieu et craindre Dieu et s'éloigner du mal. Un tel homme pouvait voir la souveraineté de Dieu, pouvait voir Son autorité et Sa puissance, et était capable de réaliser l'obéissance à Sa souveraineté et à Ses arrangements. Seul un tel homme pouvait vraiment louer le nom de Dieu. C'est parce qu'il n'a pas cherché à savoir si Dieu le bénirait ou lui causerait un désastre, parce qu'il savait que tout est contrôlé par la main de Dieu et que l'inquiétude de l'homme est un signe de folie, d'ignorance, d'irrationalité, de doute sur le fait de la souveraineté de Dieu sur toutes choses et d'un manque de crainte de Dieu. La connaissance de Job était précisément ce que Dieu voulait. Alors, Job avait-il une plus grande connaissance théorique de Dieu que vous ? Parce que l'œuvre et les paroles de Dieu en ce temps-là étaient rares, il n'était pas facile d'acquérir la connaissance de Dieu. Un tel accomplissement par Job n'était pas un mince exploit. Il n'avait pas expérimenté l'œuvre de Dieu, ni jamais entendu Dieu parler, ni vu le visage de Dieu. Qu'il ait pu avoir une telle attitude envers Dieu était entièrement le résultat de son humanité et de sa quête personnelle, une humanité et une quête que les gens d'aujourd'hui ne possèdent pas. Ainsi, à cette ère, Dieu a dit : « Il n'y a personne comme lui sur la terre ; c'est un homme intègre et droit ». À cette ère, Dieu l'avait déjà ainsi évalué et était arrivé à une telle conclusion. Combien plus vrai cela serait-il aujourd'hui ?

Bien que Dieu soit caché à l'homme, Ses actes parmi toutes choses suffisent pour que l'homme Le connaisse

Job n'avait pas vu le visage de Dieu, ni entendu les paroles prononcées par Dieu, encore moins avait-il personnellement expérimenté l'œuvre de Dieu, mais sa crainte de Dieu et son témoignage durant ses épreuves sont vus par tous, et Dieu les aime, s'en délecte et en fait l'éloge, et les gens les envient et les admirent et, en outre, chantent leurs louanges. Sa vie n'avait rien de formidable ou d'extraordinaire : comme toute personne ordinaire, il a vécu une vie banale, allant au travail au lever du soleil et retournant à la maison pour se reposer au coucher du soleil. La différence est que, pendant ces nombreuses décennies ordinaires, il a acquis une idée de la voie de Dieu, et a réalisé et compris la grande puissance et la souveraineté de Dieu, comme personne d'autre n'y était jamais arrivé. Il n'était pas plus intelligent que n'importe quelle personne ordinaire, sa vie n'était pas particulièrement tenace et, de plus, il n'avait pas de talents invisibles spéciaux. Ce qu'il possédait, cependant, était une personnalité honnête, bienveillante, droite, une personnalité qui aimait l'équité et la droiture et qui aimait les choses positives, ce que la plupart des gens ordinaires ne possèdent pas. Il différenciait l'amour de la haine, avait un sens de la justice, était inflexible et persistant, et était diligent dans ses pensées et ainsi, pendant son temps ordinaire sur la terre, il voyait toutes les choses extraordinaires que Dieu avait faites, et voyait la grandeur, la sainteté et la justice de Dieu, il voyait le souci, la bienveillance et la protection de Dieu pour l'homme, et voyait l'honorabilité et l'autorité du Dieu suprême. La première raison pour laquelle Job était capable de gagner ces choses qui dépassaient toute personne normale est qu'il avait un cœur pur et que son cœur appartenait à Dieu et était dirigé par le Créateur. La deuxième raison est sa quête : sa quête d'être impeccable, intègre et quelqu'un qui se conformait à la volonté du ciel, qui était aimé de Dieu et qui s'éloignait du mal. Job possédait et poursuivait ces choses alors qu'il ne pouvait pas voir Dieu ou entendre les paroles de Dieu ; bien qu'il n'ait jamais vu Dieu, il en était arrivé à connaître les moyens par lesquels Dieu règne sur toutes choses et à comprendre la sagesse avec laquelle Dieu le fait. Bien qu'il n'ait jamais entendu les paroles prononcées par Dieu, Job savait que les prérogatives de faire des dons à l'homme et de les retirer de l'homme relevaient toutes de Dieu. Bien que les années de sa vie n'aient pas été différentes de celles de n'importe quelle personne ordinaire, il n'a pas laissé la banalité de sa vie affecter sa connaissance de la souveraineté de Dieu sur toutes choses ou affecter sa marche sur la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal. À ses yeux, les lois de toutes choses étaient pleines des actes de Dieu, et la souveraineté de Dieu pouvait être vue dans n'importe quelle partie de la vie d'une personne. Il n'avait pas vu Dieu, mais il était capable de réaliser que les actes de Dieu sont partout, et pendant son temps ordinaire sur la terre, dans chaque recoin de sa vie il pouvait voir et percevoir les actes extraordinaires et merveilleux de Dieu et pouvait voir les arrangements merveilleux de Dieu. L'effacement et le silence de Dieu n'ont pas empêché Job de percevoir les actes de Dieu et n'ont pas non plus affecté sa connaissance de la souveraineté de Dieu sur toutes choses. Sa vie était de se rendre compte, dans sa vie quotidienne, de la souveraineté et des arrangements de Dieu qui est caché parmi toutes choses. Dans sa vie quotidienne, il a aussi entendu et compris la voix du cœur de Dieu et les paroles de Dieu, Lui qui se tait parmi toutes choses, mais exprime la voix de Son cœur et de Ses paroles en régissant les lois de toutes choses. Tu vois donc que si les gens ont la même humanité et la même quête que Job, ils peuvent acquérir la même réalisation et la même connaissance que Job, et acquérir la même compréhension et la même connaissance de la souveraineté de Dieu sur toutes choses que Job. Dieu n'était pas apparu à Job ni ne lui avait parlé, mais Job était capable d'être intègre et droit, et de craindre Dieu et de s'éloigner du mal. En d'autres termes, sans que Dieu apparaisse ou parle à l'homme, les actes de Dieu parmi toutes choses et Sa souveraineté sur toutes choses suffisent pour qu'un homme prenne conscience de l'existence, du pouvoir et de l'autorité de Dieu, sont assez pour faire en sorte que cet homme suive la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal. Puisqu'un homme ordinaire comme Job était capable d'acquérir la crainte de Dieu et l'éloignement du mal, alors toute personne ordinaire qui suit Dieu devrait aussi être capable de le faire. Bien que ces mots puissent sembler être une inférence logique, cela ne contrevient pas aux lois des choses. Pourtant, les faits ne correspondent pas aux attentes : craindre Dieu et s'éloigner du mal, semble-t-il, est le domaine réservé de Job et Job seul. À la mention de « craindre Dieu et s'éloigner du mal », les gens pensent que cela devrait seulement être fait par Job, comme si la façon de craindre Dieu et de s'éloigner du mal avait été étiquetée avec le nom de Job et n'avait aucun rapport avec les autres. La raison en est claire : parce que seul Job possédait une personnalité honnête, bienveillante et droite, et qui aimait la justice, la droiture et les choses positives, alors seul Job pourrait suivre la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal. Vous devez avoir tous compris l'implication ici, c'est-à-dire que parce que personne ne possède une humanité honnête, bienveillante et droite, et qui aime l'équité et la justice et ce qui est positif, personne ne peut craindre Dieu et s'éloigner du mal, et ainsi ils ne peuvent jamais obtenir la joie de Dieu ou tenir ferme au milieu des épreuves. Ce qui signifie aussi qu'à l'exception de Job, tous les gens sont encore liés et pris au piège par Satan, ils sont tous accusés, attaqués et abusés par Satan et ceux que Satan essaie d'engloutir, et ils sont tous sans liberté, prisonniers qui ont été pris en captivité par Satan.

Si le cœur de l'homme est en inimitié avec Dieu, comment l'homme peut-il craindre Dieu et s'éloigner du mal ?

Puisque les gens d'aujourd'hui ne possèdent pas la même humanité que Job, qu'en est-il de l'essence de leur nature et de leur attitude envers Dieu ? Craignent-ils Dieu ? S'éloignent-ils du mal ? Ceux qui ne craignent pas Dieu ou ne s'éloignent pas du mal peuvent être décrits en quatre mots seulement : les ennemis de Dieu. Vous dites souvent ces quatre mots, mais vous n'avez jamais connu leur véritable signification. Les mots, « les ennemis de Dieu », ont de la substance : ils ne disent pas que Dieu voit l'homme comme l'ennemi, mais que l'homme voit Dieu comme l'ennemi. D'abord, quand les gens commencent à croire en Dieu, qui n'a pas ses buts, ses motivations et ses ambitions propres ? Même si une partie d'eux croient en l'existence de Dieu et ont vu l'existence de Dieu, leur croyance en Dieu contient toujours ces motivations, et leur but ultime en croyant en Dieu est de recevoir Ses bénédictions et les choses qu'ils veulent. Dans les expériences de vie des gens, ils pensent souvent à eux-mêmes : J'ai abandonné ma famille et ma carrière pour Dieu, et que m'a-t-Il donné ? Je dois en faire l'addition et le confirmer. Ai-je reçu des bénédictions récemment ? J'ai donné beaucoup pendant ce temps, j'ai couru et couru, et j'ai beaucoup souffert. Dieu m'a-t-Il fait des promesses en retour ? S'est-Il souvenu de mes bonnes actions ? Quelle sera ma fin ? Puis-je recevoir les bénédictions de Dieu ?… Chaque personne fait constamment et souvent de tels calculs dans son cœur, et elle a des exigences pour Dieu, qui portent leurs motivations, leurs ambitions et leurs négociations. C'est-à-dire que dans son cœur l'homme met constamment Dieu à l'épreuve, concevant constamment des plans au sujet de Dieu, plaidant constamment la cause de sa fin devant Dieu et essayant d'extraire une promesse de Dieu, voyant si Dieu peut lui donner ou non ce qu'il veut. En même temps qu'il cherche Dieu, l'homme ne traite pas Dieu comme Dieu. Il a toujours essayé de faire des affaires avec Dieu, en Lui imposant sans cesse des exigences, et même en Le pressant à chaque pas, essayant de prendre le bras alors qu'on lui donne le petit doigt. En même temps qu'il essaie de faire des affaires avec Dieu, l'homme argumente aussi avec Lui, et il y a même des gens qui, lorsque les épreuves leur arrivent ou se trouvent dans certaines situations, deviennent souvent faibles, passifs et lâches dans leur travail et remplis de plaintes à propos de Dieu. Dès qu'il a commencé à croire en Dieu, l'homme a considéré Dieu comme une corne d'abondance, un couteau suisse et il s'est considéré comme le plus grand créancier de Dieu, comme si c'était son droit et son obligation inhérents d'essayer d'obtenir des bénédictions et des promesses de Dieu, tandis que la responsabilité de Dieu était de protéger l'homme, d'en prendre soin et de subvenir à ses besoins. Telle est la compréhension de base de la « croyance en Dieu » de tous ceux qui croient en Dieu et leur compréhension la plus profonde du concept de la croyance en Dieu. De l'essence de la nature de l'homme à sa quête subjective, rien ne se rapporte à la crainte de Dieu. Le but de l'homme en croyant en Dieu ne pourrait absolument pas avoir quoi que ce soit à faire avec l'adoration de Dieu. C'est-à-dire que l'homme n'a jamais considéré ni compris que la croyance en Dieu exige de craindre Dieu et d'adorer Dieu. À la lumière de telles conditions, l'essence de l'homme est évidente. Et quelle est cette essence ? C'est que le cœur de cet homme est méchant, il héberge la trahison et la tromperie, il n'aime pas l'équité et la droiture, ou ce qui est positif, et il est méprisable et cupide. Le cœur de l'homme ne pourrait pas être plus fermé à Dieu ; il ne l'a pas donné du tout à Dieu. Dieu n'a jamais vu le vrai cœur de l'homme et Il n'a jamais été adoré par l'homme non plus. Peu importe le prix élevé que Dieu paie, ou l'ampleur de Son œuvre, ou l'importance de Son apport à l'homme, l'homme reste aveugle et totalement indifférent. L'homme n'a jamais donné son cœur à Dieu, il veut seulement s'occuper de son cœur lui-même, prendre ses propres décisions ; le sous-texte de tout cela est que l'homme ne veut pas suivre la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal ou d'obéir à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, et il ne veut pas non plus adorer Dieu comme Dieu. Tel est l'état de l'homme aujourd'hui. Maintenant, regardons Job de nouveau. Tout d'abord, a-t-il conclu un marché avec Dieu ? Avait-il des arrière-pensées en tenant ferme à la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal ? En ce temps-là, Dieu avait-Il parlé à qui que ce soit de la fin à venir ? En ce temps-là, Dieu n'avait fait de promesses à personne à propos de la fin, et c'est dans ce contexte que Job pouvait craindre Dieu et s'éloigner du mal. Les gens d'aujourd'hui peuvent-ils rivaliser avec Job ? La disparité est trop grande, ils ne jouent pas dans la même cour. Bien que Job n'ait pas eu beaucoup de connaissances de Dieu, il avait donné son cœur à Dieu et il appartenait à Dieu. Il n'a jamais fait un marché avec Dieu, et n'avait pas de désirs extravagants envers Dieu ou d'exigences de Dieu ; au contraire, il croyait : « L'Éternel a donné, et l'Éternel a ôté ». C'est ce qu'il avait vu et obtenu en restant fidèle à la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal pendant de nombreuses années de vie. De même, il a également obtenu le résultat suivant : « nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! » Ces deux phrases expriment ce qu'il avait vu et appris grâce à son attitude d'obéissance envers Dieu durant les expériences de sa vie, et ils étaient aussi ses armes les plus puissantes avec lesquelles il triompha des tentations de Satan et le fondement de sa fermeté en témoignant de Dieu. À ce stade, considérez-vous Job comme un homme charmant ? Espérez-vous être une telle personne ? Avez-vous peur d'avoir à subir les tentations de Satan ? Êtes-vous résolus à ce que Dieu vous soumette aux mêmes épreuves que Job ? Sans doute, la plupart des gens n'oseraient pas prier pour de telles choses. Il est donc évident que votre foi est pitoyablement petite ; comparée à Job, votre foi n'est simplement pas digne de mention. Vous êtes les ennemis de Dieu, vous ne craignez pas Dieu, vous êtes incapables de tenir ferme dans votre témoignage de Dieu, et incapables de triompher des attaques, des accusations et des tentations de Satan. Qu'est-ce qui vous qualifie pour recevoir les promesses de Dieu ? Ayant entendu l'histoire de Job et compris l'intention de Dieu en sauvant l'homme et la signification du salut de l'homme, avez-vous maintenant la foi pour accepter les mêmes épreuves que Job ? Ne devriez-vous pas être quelque peu résolus à suivre la voie de la crainte de Dieu et de l'éloignement du mal ?

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