Seule la résolution de son tempérament corrompu peut apporter une véritable transformation (Partie 3)

Il y a un certain nombre de jeunes parmi vous, ainsi que des personnes qui n’ont pas encore fondé de famille. Vous avez tous quitté vos foyers pour accomplir votre devoir pendant plusieurs années, alors votre foyer vous manque-t-il ? Vos parents vous manquent-ils ? Vivez-vous souvent dans l’état où vos parents vous manquent ? Parlons de l’état où vos parents vous manquent : c’est une expérience réelle. (Lorsque je venais d’arriver à l’étranger, ma mère et ma sœur me manquaient particulièrement. J’avais l’habitude de compter sur elles, donc quand je suis partie toute seule, elles me manquaient constamment. Mais avec autant d’expérience à l’étranger, j’ai le sentiment que Celui que je ne peux pas laisser derrière moi maintenant, c’est Dieu. Quand quoi que ce soit arrive, je Le prie, et elles ne me manquent plus.) Il s’agit de deux états différents. Quel est le premier état ? Le fait que ton foyer, ta mère et ta sœur te manquent constamment. Quelles sont les détails de ce genre d’états ? C’est que quand quelque chose arrive, tu ne sais pas comment faire ceci ou cela, tu te sens donc impuissante. Tu ne peux pas être sans tes proches à tes côtés, et tu n’as personne sur qui compter. Quand tu ouvres les yeux le matin, ils commencent à te manquer, et avant de t’endormir le soir, tu penses à eux. Tu es coincée dans ce genre d’état où tes proches te manquent. Ainsi, pourquoi te manquent-ils autant ? Parce que tes circonstances ont changé et que tu les as laissés derrière toi. Tu t’inquiètes pour eux et, de plus, tu étais habituée à compter sur eux, à vivre avec eux et à dépendre d’eux pour survivre. Vous étiez déjà inséparables pour de nombreuses choses de la vie, et ils te manquent donc beaucoup. Voici le genre d’états dans lequel tu te trouves. Dans quel état te trouves-tu donc, maintenant qu’ils ne te manquent pas ? (J’ai l’impression que quitter mon foyer et accomplir mon devoir est l’amour de Dieu, Son salut, ce qui m’a permis d’apprendre comment me fier à Lui. Mon tempérament corrompu a quelque peu changé et mon âme se sent réconfortée. En outre, en reconnaissant la souveraineté de Dieu, je sais que le destin de tous les gens est entre Ses mains. Ma mère et ma sœur ont leur mission, et j’ai la mienne, donc elles ne me manquent plus.) Le problème est-il résolu ? (J’ai l’impression que oui.) Qu’en pense tout le monde : le problème est-il résolu ? (Il l’est temporairement.) Il est temporairement résolu. Si un jour tu rencontrais une sœur dont le physique, le ton de voix ou la façon de te traiter ressemble particulièrement à ceux de ta mère ou de ta sœur, comment te sentirais-tu ? (Elles commenceraient à me manquer à nouveau.) Tu tomberais à nouveau dans l’état où tu penses à elles et le problème ne serait donc pas résolu. Alors, comment résoudre ce problème à la racine ? Quand vos proches vous manquent, que vous manque-t-il ? En général, lorsque quelqu’un vous manque, qu’un être cher ou votre foyer vous manque, ce ne sont certainement pas les choses qui vous rendaient triste qui vous manquent. Ce qui vous manque, ce sont les choses qui vous faisaient plaisir, les choses qui vous rendaient heureux et bien et que vous appréciiez, comme la façon dont ta mère s’occupait de toi, t’adorait et te chérissait, ou les jolies choses que ton père t’achetait. Toutes ces bonnes choses te manquent, et tu ne peux donc pas faire en sorte que tes proches ne te manquent plus. Plus tu penses à tes proches, moins tu peux les abandonner, et tu ne peux pas te restreindre. Certains disent : « Après toutes ces années, je n’ai encore jamais quitté ma mère. Je la suis partout où elle va, je suis la prunelle de ses yeux. Comment serait-ce possible qu’elle ne me manque pas après une si longue séparation ? » Le fait qu’elle vous manque est naturel, c’est ainsi qu’est faite la chair des gens. Les humains corrompus vivent dans leurs sentiments. Ils se disent : « Ce n’est qu’en vivant de cette façon que l’on ressemble à un humain. Si mes proches ne me manquent même pas, si je ne pense pas à eux, si je ne trouve pas en eux ma subsistance, suis-je vraiment humain ? Ne serais-je pas comme un animal ? » Les gens ne pensent-ils pas ainsi ? S’ils n’ont pas d’affection ou d’amitié, et qu’ils ne pensent pas à d’autres personnes, alors les autres pensent qu’ils n’ont pas d’humanité et qu’ils ne peuvent pas vivre de cette façon. Ce point de vue est-il correct ? (Non.) En fait, le fait que vos parents vous manquent ou non n’est pas une question majeure. Le fait qu’ils te manquent n’est pas mauvais, pas plus que ne l’est le fait qu’ils ne te manquent pas. Certains sont très indépendants, alors que d’autres sont collés à leurs parents, mais vous avez tous été capables de quitter vos foyers et vos parents pour accomplir votre devoir. Tout d’abord, vous avez l’empressement d’accomplir votre devoir, ainsi que la résolution de vous dépenser et de mettre les choses de côté pour Dieu. Mais vos difficultés ne peuvent pas être résolues par un unique sursaut d’effort, et vous ne pouvez pas non plus résoudre vos tempéraments corrompus avec un unique sursaut d’effort de bonnes actions et de bonne conduite. Vous comprenez ce principe, n’est-ce pas ? Alors, comment résoudre à la racine la question du fait que vos parents vous manquent ? Certains ont quitté leur foyer et vivent de manière indépendante depuis deux ou trois ans. Ils ont déjà grandi et leurs parents ne leur manquent pas tant que cela. Le problème est-il ainsi résolu ? Non. Si tu leur demandes de qui ils sont le plus proches, ils te donneront une réponse typique : « C’est de Dieu dont je suis le plus proche, Dieu est ce qui m’est de plus cher ! » Mais dans leur cœur, ils pensent : « Dieu n’est pas à mes côtés et Il ne peut pas s’occuper de moi. C’est de ma mère dont je suis toujours le plus proche. Je suis issu de sa chair, c’est elle qui m’adore le plus et qui me comprend le mieux. Dans les moments les plus difficiles et les plus amers, ma mère est toujours là pour me réconforter, m’aider et prendre soin de moi. Maintenant que j’ai quitté le foyer, il n’y a personne comme ma mère pour s’occuper de moi quand je suis malade. Vous dites que Dieu est bon, mais je ne peux pas voir Son visage, où est-Il donc ? Ce n’est pas concret. » Ils pensent qu’il n’est pas concret de compter sur Dieu, et leurs paroles sur le fait que c’est de Dieu dont ils sont les plus proches sont un peu forcées, un peu hypocrites. En fait, au fond de leur cœur, ils pensent que c’est de leur mère qu’ils sont les plus proches. Pourquoi ? « Je crois en Dieu grâce à l’Évangile que ma mère m’a transmis. Sans elle, je ne serais pas ici. » Ne pensent-ils pas ainsi ? (Si.) Pensez-vous que de telles personnes comprennent la vérité ? (Non.) Ta mère t’a simplement mis au monde et s’est occupée de toi pendant une vingtaine d’années. Peut-elle t’accorder la vérité ? Peut-elle t’accorder la vie ? Peut-elle te sauver de l’influence de Satan ? Peut-elle purifier ton tempérament corrompu ? Elle ne peut faire aucune de ces choses. L’affection et l’amour parentaux sont donc gravement limités. Que peut faire Dieu pour toi ? Dieu peut accorder aux gens la vérité, les sauver de l’influence de Satan et de la mort, et leur accorder la vie éternelle. Est-ce là un grand amour ? Cet amour est aussi haut que les cieux et aussi profond que la terre. Il est incroyablement grand : cent fois, non, mille fois plus grand que l’amour d’un parent. Si les gens parviennent réellement à connaître la grandeur de l’amour de Dieu, éprouveront-ils encore des sentiments aussi forts à l’égard de leurs parents ? Penseront-ils encore à eux toute la journée pendant le Nouvel An et les jours fériés ? S’ils comprennent la vérité, ils penseront davantage à l’amour de Dieu. Si quelqu’un croit en Dieu pendant des années et pense encore que l’amour de ses parents est plus grand que celui de Dieu, alors cette personne est aveugle et n’a aucune foi en Dieu. Si quelqu’un croit en Dieu, mais ne poursuit pas la vérité, peut-il résoudre son tempérament corrompu ? Peut-il atteindre le salut ? Il ne le peut pas. Si ton tempérament corrompu n’a pas été résolu et que ta vie spirituelle n’a pas atteint une certaine stature, alors tu peux crier quelques slogans, mais tu ne pourras pas les mettre en œuvre, car tu n’as pas la stature nécessaire. Tu peux faire des choses aussi grandes que ce que ton pouvoir te permet. Tu peux traverser des épreuves aussi grandes que ce que ta stature te permet d’endurer. Tu peux entrer dans autant de la vérité-réalité que ce que tu peux comprendre. C’est là la quantité de vérité-réalité que tu peux vivre. De la même façon, c’est aussi la quantité de révélation de ton tempérament corrompu et le nombre de tes propres difficultés que tu peux résoudre : c’est homologue.

Un jour, quand tu comprendras une partie de la vérité, tu ne penseras plus que ta mère est la meilleure personne ni que tes parents sont les meilleures personnes. Tu te rendras compte qu’ils sont aussi des membres de la race humaine corrompue et que leurs tempéraments corrompus sont tous les mêmes. La seule chose qui les distingue est le lien du sang physique qu’ils ont avec toi. S’ils ne croient pas en Dieu, alors ils sont semblables aux non-croyants. Tu ne les considéreras plus du point de vue de la parenté ou du point de vue de vos relations charnelles, mais du point de vue de la vérité. Quels sont les principaux aspects que tu devrais considérer ? Tu devrais considérer leurs points de vue sur la croyance en Dieu, leurs points de vue sur le monde, leurs points de vue sur la gestion des affaires et, plus important encore, leurs attitudes envers Dieu. Si tu évalues ces aspects avec précision, tu seras en mesure de voir clairement s’il s’agit de bonnes ou de mauvaises personnes. Un jour, tu pourras peut-être voir clairement qu’ils sont des personnes avec des tempéraments corrompus, tout comme toi. Il sera peut-être encore plus clair qu’ils ne sont pas les personnes au bon cœur qui ont un véritable amour pour toi que tu as imaginé, et qu’ils ne sont absolument pas capables de te conduire à la vérité ou sur le bon chemin dans la vie. Tu verras peut-être clairement que ce qu’ils ont fait pour toi ne t’est pas très profitable et que cela ne t’est d’aucune utilité pour prendre le bon chemin dans la vie. Tu trouveras peut-être également que nombre de leurs pratiques et opinions sont contraires à la vérité, qu’elles sont charnelles et que cela t’amène à les mépriser et à ressentir de la répulsion et de l’aversion. Si tu parviens à voir ces choses, alors tu seras en mesure de traiter correctement tes parents dans ton cœur et ils ne te manqueront plus, tu ne te soucieras plus d’eux et tu ne seras plus incapable de vivre séparément d’eux. Ils ont déjà accompli leur mission en tant que parents, tu ne les considéreras donc plus comme les personnes les plus proches de toi et tu ne les idolâtreras plus. Au lieu de cela, tu les traiteras comme des gens ordinaires et à ce moment-là, tu échapperas complètement à la servitude des sentiments et tu émergeras réellement de tes sentiments et de ton attachement familial. Une fois que tu auras fait cela, tu te rendras compte que ces choses ne valent pas la peine d’être chéries. À ce moment-là, tu verras les parents, la famille et les relations charnelles comme des blocs t’empêchant de comprendre la vérité et de te libérer des sentiments. C’est parce que tu as cette relation familiale avec eux – cette relation charnelle qui te paralyse, t’égare et te fait croire qu’ils sont ceux qui te traitent le mieux, qui sont les plus proches de toi, qui s’occupent de toi mieux que quiconque et qui t’aiment le plus – c’est tout cela qui te rend incapable de discerner clairement s’ils sont de bonnes ou de mauvaises personnes. Une fois que tu te seras vraiment éloigné de ces sentiments, même si tu penses encore à eux de temps en temps, te manqueront-ils encore de tout ton cœur, t’attarderas-tu sur eux et te languiras-tu d’eux comme tu le fais maintenant ? Non. Tu ne diras pas : « La personne dont je ne peux vraiment pas me passer est ma mère. C’est elle qui m’aime, prend soin de moi et s’occupe le plus de moi. » Quand tu auras ce niveau de perception, pleureras-tu encore en pensant à eux ? Non. Ce problème sera résolu. Ainsi, en ce qui concerne les problèmes ou les choses qui te causent des difficultés, si tu n’as pas acquis cet aspect de la vérité et si tu n’es pas entré dans cet aspect de la vérité-réalité, tu seras piégé dans de telles difficultés ou de tels états, et tu ne pourras jamais en sortir. Si tu traites ces types de difficultés et de problèmes comme les problèmes clés de l’entrée dans la vie et que tu cherches ensuite la vérité pour les résoudre, tu seras alors capable d’entrer dans cet aspect de la vérité-réalité. Involontairement, tu tireras une leçon de ces difficultés et de ces problèmes. Quand les problèmes seront résolus, tu sentiras que tu n’es pas aussi proche de tes parents et des membres de ta famille, tu verras plus clairement leur nature-essence, et tu verras quel genre de personnes ils sont vraiment. Quand tu verras clairement tes proches, tu diras : « Ma mère n’accepte pas du tout la vérité. Elle a en fait de l’aversion pour la vérité, et la déteste. Dans son essence, c’est une personne malfaisante, un démon. Mon père est quelqu’un de complaisant qui se tient aux côtés de ma mère. Il n’accepte pas du tout la vérité et ne la pratique du tout. Il n’est pas quelqu’un qui poursuit la vérité. D’après leurs comportements, ma mère et mon père sont tous les deux des incrédules. Ce sont tous les deux des démons. Je dois me rebeller complètement contre eux et définir des limites claires avec eux. » De cette façon, tu te tiendras du côté de la vérité et tu seras capable de renoncer à eux. Quand tu seras capable de discerner qui ils sont, quel genre de personnes ils sont, auras-tu encore des sentiments pour eux ? Auras-tu encore de l’affection pour eux ? Auras-tu encore une relation charnelle avec eux ? Non. Auras-tu encore besoin de restreindre tes sentiments ? (Non.) Sur quoi comptes-tu donc, en fait, pour résoudre ces difficultés ? Tu comptes sur le fait de comprendre la vérité, de dépendre de Dieu et de L’admirer. Si ces choses sont claires dans ton cœur, as-tu encore besoin de te restreindre ? Te sens-tu encore lésé ? As-tu encore besoin d’endurer une si grande douleur ? As-tu encore besoin que d’autres personnes échangent avec toi et fassent un travail idéologique ? Tu n’en as pas besoin, car tu as déjà réglé les choses toi-même. C’est un jeu d’enfant. Revenons en arrière : comment résoudre le problème de ne pas vouloir penser à eux ou de ne pas vouloir qu’ils te manquent ? (Chercher la vérité pour le résoudre.) Voilà de grands mots qui ont l’air très officiels, mais parle de manière un peu plus concrète. (Appliquer les paroles de Dieu pour percer à jour leur essence, c’est-à-dire les discerner sur la base de leur essence. Alors, nous pourrons mettre de côté notre affection et notre relation charnelle.) C’est juste. Tu dois fonder ton discernement de la nature-essence des gens sur les paroles de Dieu. Sans l’exposition de la parole de Dieu, personne ne peut percer à jour la nature-essence des autres. Ce n’est qu’en se fondant sur les paroles de Dieu et sur la vérité que l’on peut percer à jour la nature-essence des gens. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut résoudre à la source le problème des sentiments humains. Commence par laisser derrière toi tes affections et tes relations charnelles. Celui pour qui tes sentiments sont les plus forts est celui que tu devrais disséquer et discerner en premier. Que penses-tu de cette solution ? (Elle est bonne.) Certains disent : « Discerner et disséquer les personnes pour lesquelles mes sentiments sont les plus forts, c’est tellement cruel ! » Le but de te faire les discerner n’est pas que tu rompes tes relations avec eux, ni que tu coupes tes relations parents-enfants, ni que tu les abandonnes totalement, que tu n’interagisses plus jamais avec eux. Tu devrais assumer tes responsabilités envers tes proches, mais tu ne peux pas être contraint ou empêtré par eux, parce que tu es un disciple de Dieu. Tu dois posséder ce principe. Si tu risques encore de devenir contraint ou empêtré par eux, tu ne peux pas bien accomplir ton devoir, ni garantir que tu peux suivre Dieu jusqu’au bout de la route. Si tu n’étais pas un disciple de Dieu ou un amoureux de la vérité, alors personne n’exigerait cela de toi. Certains disent : « Je ne comprends pas actuellement la vérité. Je ne sais pas comment discerner les autres. » Si tu n’as pas cette stature, alors mets le discernement de côté pour l’instant. Quand ta stature sera suffisante, et que tu seras capable de traverser de telles épreuves et de prendre toi-même l’initiative de pratiquer ainsi, il ne sera pas trop tard pour pratiquer cet aspect de la vérité.

Beaucoup de gens souffrent émotionnellement de façon inutile. En fait, tout cela est de la souffrance non nécessaire, inutile. Pourquoi dis-Je cela ? Les gens sont toujours contraints par leurs sentiments, si bien qu’ils sont incapables de pratiquer la vérité et de se soumettre à Dieu. En outre, être contraint par les sentiments n’est pas du tout bénéfique pour faire son devoir ou pour suivre Dieu, et c’est aussi un immense obstacle à l’entrée dans la vie. Souffrir des contraintes des sentiments n’a donc pas de sens, et Dieu ne S’en souvient pas. Alors, comment peux-tu te libérer de cette souffrance dénuée de sens ? Tu as besoin de comprendre la vérité, et de percevoir et comprendre l’essence de ces relations charnelles. Il te sera alors facile de te libérer des contraintes des sentiments de la chair. Certains qui croient en Dieu sont sévèrement persécutés par leurs parents non-croyants. S’ils ne sont pas forcés de trouver un partenaire, ils sont forcés de trouver un emploi. Ils peuvent agir comme bon leur semble, mais ils n’ont pas la permission de croire en Dieu. Certains parents blasphèment même contre Dieu, ces personnes voient donc les vrais visages diaboliques de leurs parents. Ce n’est qu’à ce moment-là que leur cœur s’écrie : « Ce sont vraiment des démons, je ne peux donc pas les traiter comme mes proches ! » Dès lors, ils sont libérés des contraintes et des entraves de leurs sentiments. Satan veut utiliser l’affection pour contraindre et lier les gens. Si les gens ne comprennent pas la vérité, il leur est facile d’être trompés. Très souvent, pour le bien de leurs parents et de leurs proches, ils sont malheureux, pleurent, endurent des souffrances et font des sacrifices. Voilà leur ignorance et leur manque de connaissances. Ils encaissent sans broncher et récoltent ce qu’ils ont semé. Souffrir de ces choses est sans valeur, un effort futile dont Dieu ne Se souviendra pas du tout, et on pourrait dire qu’ils vivent un enfer. Quand tu comprendras vraiment la vérité et que tu perceras à jour leur essence, tu deviendras libre. Tu sentiras que ta souffrance antérieure avait pour causes l’ignorance et le manque de connaissances. Tu ne blâmeras personne d’autre. Tu blâmeras ton propre aveuglement, ta stupidité et le fait que tu n’as pas compris la vérité ou vu les choses clairement. Le problème des sentiments est-il facile à résoudre ? L’avez-vous résolu ? (Pas encore. Nous n’avons pas encore pratiqué et nous ne sommes pas encore entrés dans le chemin de pratique que Dieu a indiqué. C’est juste que nous avons une base de référence quand ce genre de choses arrive.) En disant tout cela, qu’il s’agisse de parler de questions concrètes ou des choses que vous avez interprétées comme des chemins, Je vous le dis : quand vous rencontrez ce genre de choses, la meilleure méthode pour les gérer est de prier Dieu et de chercher la vérité, et vous aurez alors un moyen de les résoudre. Quand vous aurez percé à jour l’essence des sentiments de la chair, il vous sera facile de gérer les choses conformément aux vérités-principes. Si vous êtes sans cesse contraints par des relations charnelles avec vos proches, vous n’avez alors aucun moyen de pratiquer la vérité. Même si vous comprenez la doctrine et criez des slogans, vous serez toujours incapables de résoudre vos problèmes réels. Certains ne savent tout simplement pas comment chercher la vérité. D’autres sont capables de la chercher, mais quand les gens échangent clairement sur la vérité avec eux, ils ne croient pas pleinement et sont incapables de l’accepter totalement. Ils se contentent de l’écouter comme s’il s’agissait d’une doctrine. Ainsi, ton problème d’être contraint par tes sentiments ne peut jamais être résolu. S’il ne peut pas être résolu, tu ne pourras jamais en sortir, et tu continueras à être contraint et lié. Si tu crois en Dieu mais que tu es incapable de Le suivre ou de faire le devoir que tu devrais faire, alors, au bout du compte, tu ne seras pas digne de recevoir la promesse de Dieu, jusqu’au jour où tu tomberas dans le désastre et tu seras puni. Pleurer et grincer des dents ne serviront à rien, et personne ne pourra te sauver. As-tu maintenant bien compris les conséquences de ne pas résoudre les tempéraments corrompus ?

Sur quoi avons-nous échangé aujourd’hui ? Nous avons échangé sur les états des gens, leurs tempéraments corrompus, ainsi que sur la manière d’entrer dans la vérité-réalité, la manière de traiter correctement les questions que vous rencontrez, le type de point de vue que vous devriez adopter et la manière de connaître, disséquer et résoudre vos propres tempéraments corrompus. La leçon de l’entrée dans la vie doit toujours être apprise. Il n’est jamais trop tard pour apprendre, ni trop tard pour commencer. Quand est-il donc trop tard ? Si vous êtes morts, alors il est trop tard. Si vous êtes toujours en vie, alors il n’est pas trop tard. En ce moment, vous êtes tous vivants, pas morts, mais avez-vous vraiment bien compris ce que sont les vivants et les morts ? En anglais, les gens disent sans cesse : « I’m still alive » (« Je suis toujours en vie »). Qu’est-ce que cela signifie ? Cela désigne le moment où vous êtes désemparé quand des choses vous arrivent, où vous avez été entraînés dans le flot de la société, ou où vous avez le sentiment d’être dégénérés, et vous vous piquez alors avec une aiguille et où vous pouvez le percevoir – vous ressentez alors que vous êtes toujours en vie, que votre cœur n’est pas encore mort. Si vous êtes encore en vie, alors vous devriez avoir des poursuites et vivre un semblant humain. Avant, vous étiez dégénéré, vous suiviez les choses mondaines et vous viviez dans un flot de malfaisance. N’est-il pas temps de vous ressaisir maintenant et d’éviter de dégénérer davantage ? Tu vois, les Occidentaux n’ont pas trouvé le vrai chemin, et ils se sentent impuissants quand il s’agit de la vie humaine et de son mode de vie, de sorte que leurs paroles sont remplies d’une profonde émotion et contiennent une sorte d’abattement et de désespoir, c’est-à-dire un état d’esprit impuissant. Quand ils vivent, ils ont souvent le sentiment de ne pas être humains, mais ils doivent vivre ainsi. Même s’ils se sentent comme des fantômes, des animaux ou des bêtes, ils doivent continuer à vivre ainsi. Que peut-on faire ? Il n’y a rien à faire. S’ils ne meurent pas, alors ils doivent vivre ainsi. Il n’y a pas d’autre chemin pour eux et ils vivent pitoyablement. Êtes-vous tous comme cela ? Si vous êtes un jour remplis d’une profonde émotion, vous disant : « Ah, je suis toujours en vie, mon cœur n’est pas encore mort », si une personne vit jusqu’à ce point, que va-t-elle devenir ? Elle est déjà en grand danger ! Pour un croyant, c’est déjà très dangereux. Ne dites jamais quelque chose comme « je suis toujours en vie, mais ma chair est une coquille et je suis un cadavre ambulant. Mon cœur est vivant, et seuls les quelques désirs et idéaux de mon cœur soutiennent ma chair. » N’en arrivez pas à ce point ! Si vous en arrivez là, il sera très difficile de vous sauver. Quand on vous regarde tous en ce moment, vos situations ne sont pas mauvaises. Si tu lis la parole de Dieu à un non-croyant, il ne gagnera aucune conscience. Alors si J’utilise maintenant des paroles sévères pour vous émonder, en serez-vous tous conscients ? (Oui.) Certains d’entre vous ne parviennent à une connaissance d’eux-mêmes qu’après avoir été émondés. Ce n’est qu’alors que vous éprouvez du remords. Cela signifie que vous êtes encore conscients et que votre cœur n’est pas encore complètement mort, ce qui prouve que vous êtes toujours éveillés, toujours en vie ! Si vous pouvez accepter la vérité et la mettre en pratique, alors vous avez un espoir d’être sauvés. Si quelqu’un en arrive au point de ne pas accepter la vérité, alors il est complètement mort et ne peut plus être sauvé. Il y a plus d’une personne dans l’Église qui n’acceptera tout simplement pas la vérité. Bien que ces personnes respirent, elles n’ont en fait pas d’esprit. Ce sont des morts sans esprit, des cadavres ambulants. De telles personnes ont été complètement révélées et éliminées.

Le 5 octobre 2016

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