Comment accomplir son devoir de façon adéquate ? (Partie 3)

Ensuite, échangeons sur les manifestations de l’accomplissement inadéquat du devoir. Je vais d’abord échanger un exemple et vous pourrez tous évaluer si cette personne accomplit son devoir de manière adéquate et en accord avec les exigences de Dieu. Quelqu’un a été choisi pour être un dirigeant dans l’Église et a été accueilli par une famille à moitié croyante dont certains membres étaient croyants et d’autres non. Cependant, ils avaient tous une caractéristique particulière, ils étaient particulièrement habiles pour discerner l’humeur des gens et pour flatter ceux qui étaient en position d’autorité. Qu’est-ce que cela allait incidemment devenir pour le dirigeant ? (Cela allait devenir une tentation.) Oui, c’est devenu une tentation. Était-ce une bénédiction ou un malheur pour lui ? Savoir si c’était une bénédiction ou un malheur reste à déterminer ; continuons. Après que cette famille a accueilli le dirigeant, elle lui a servi de la viande et de la bonne nourriture à chaque repas. Pourquoi ont-ils reçu le dirigeant ainsi ? Était-ce par amour ? Auraient-ils reçu les frères et sœurs de cette manière ? Certainement pas. Lorsque le dirigeant était là, ils lui cuisinaient de la viande tous les jours. Finalement, le dirigeant, ravi des repas, a dit à la famille : « Toute votre famille aime Dieu. Ta mère peut entrer dans le royaume, ton fils peut entrer dans le royaume, et ta femme et toi, vous pouvez aussi entrer dans le royaume. À l’avenir, toute ta famille pourra entrer dans le royaume. » En entendant cela, la famille s’est réjouie, pensant : « Toute notre famille peut entrer dans le royaume, même les non-croyants parmi nous peuvent y entrer. Apparemment, la viande que nous lui avons donnée n’a pas été gaspillée ; nous devrions continuer à lui en servir. » En réalité, cette famille ne comprenait guère ce qu’impliquait l’entrée dans le royaume, mais elle savait que c’était une bonne chose. Qui, parmi ceux qui croient en Dieu, ne voudrait pas entrer dans le royaume des cieux et recevoir des bénédictions ? Ils se sont dit : « Tant que le dirigeant dit que nous pouvons entrer dans le royaume, alors nous le pouvons, n’est-ce pas ? La parole du dirigeant est définitive ; le dirigeant représente Dieu, après tout ! » Par la suite, plus le dirigeant disait qu’ils pouvaient entrer dans le royaume, plus les repas qu’ils lui offraient étaient somptueux. Peu à peu, ce dirigeant n’a plus voulu rendre visite aux autres familles parce qu’elles ne lui offraient pas ces bonnes choses et ne le flattaient pas de cette façon. Peu de temps après, le dirigeant a pris de plus en plus de poids ; sa tête a également grossi, passant d’une « tête humaine » à une « tête de cochon ». Lors d’une réunion entre collègues, il s’est fait remarquer immédiatement. Alors qu’ils ne l’avaient pas vu depuis un mois, il avait pris tellement de poids que ses collègues l’ont tout de suite interrogé sur son travail. Ils ont découvert de graves problèmes et l’ont sévèrement émondé, disséquant l’essence de son problème avant de finalement remplacer ce faux dirigeant. Une enquête plus poussée a révélé d’autres problèmes : ce faux dirigeant ne faisait pas de vrai travail et profitait chaque jour des avantages de son statut. Il favorisait ceux qui le flattaient et les promouvait, tout en refoulant ceux qui ne lui offraient pas de cadeaux. Il exigeait même de sa femme qu’elle lui apporte plus de poulet à manger. Alors, que pensez-vous de la façon dont ce faux dirigeant a accompli ses devoirs ? Quelle était son attitude à l’égard de ses devoirs ? Il ne faisait pas vraiment le travail, c’est plutôt comme s’il était allé quelque part juste pour être un fonctionnaire. Sinon, comment aurait-il pu prendre autant de poids ? Il y a deux raisons à cela : d’une part, il a délibérément choisi des familles d’accueil où il pouvait manger de la viande, y séjournant et se faisant continuellement plaisir ; d’autre part, il n’avait absolument aucun sentiment de fardeau dans l’accomplissement de ses devoirs et il n’a enduré aucune épreuve. Si un dirigeant ou un ouvrier avait un sentiment de fardeau, en voyant la charge de travail considérable de l’Église et les nombreux problèmes à résoudre d’urgence, ne serait-il pas stressé et angoissé ? Cette anxiété les pousserait à l’action ; ils commenceraient immédiatement à s’attaquer à ces problèmes, dépenseraient de l’énergie et endureraient quelques épreuves. Physiquement, ils ne feraient que perdre du poids ; c’est une loi naturelle. Dans quelles conditions continuerait-il à manger plus et à prendre du poids ? Ce ne peut être qu’en mangeant à satiété toute la journée et en ne se concentrant sur rien d’autre, en étant libéré de tout fardeau, en adoptant une position de puissance, au-dessus des autres, en étant déconnecté de la communauté et du lieu de travail et en se complaisant dans le plaisir charnel. Ce n’est qu’alors que l’on pourrait continuer à prendre du poids, passant d’une « tête humaine » à une « tête de cochon » en un peu plus d’un mois. Alors dans quelle mesure ce chef accomplissait-il bien ses devoirs ? La nature de son rôle de dirigeant avait changé ; il ne s’agissait plus d’accomplir ses devoirs, mais de profiter du confort et des avantages d’un statut. Il se comportait comme un fonctionnaire. Non seulement il s’exonérait du travail réel, mais il commettait aussi des actes répréhensibles. Si quelqu’un ne le flattait pas ou ne lui offrait pas une nourriture délicieuse, il le refoulait. De plus, il incitait ses frères et sœurs à se joindre à lui pour émonder cette personne, ce qui finissait par soulever la colère des foules. Les gens commençaient à se sentir repoussés par lui et à s’en éloigner. Sans parler des raisons de sa destitution, discutons simplement du niveau d’adéquation de l’accomplissement de ses devoirs. Le fait qu’il profite des avantages du statut et le manque de travail réel sont les problèmes les plus graves. Il ne servait pas le peuple élu de Dieu ; il se comportait à leur égard comme un fonctionnaire et n’accomplissait en aucun cas ses devoirs. Dans son travail de dirigeant, il ne faisait pas preuve d’une once de loyauté dans l’accomplissement de ses devoirs, sans même parler d’y consacrer son cœur et son énergie. Il n’a consacré son cœur et son énergie qu’à manger, boire et se divertir. Il s’est creusé la tête pour savoir comment profiter des avantages de son statut et il n’a pas échangé sur la vérité avec la famille d’accueil pour l’empêcher de se comporter de manière aussi servile envers lui. De plus, il les a trompés en leur disant que seul un tel accueil leur permettrait d’entrer dans le royaume et d’obtenir des récompenses. Ne s’agit-il pas d’actions malfaisantes ? Si c’est ainsi qu’il traitait la famille d’accueil, que faisait-il dans le travail de l’Église ? Comment traitait-il le peuple élu de Dieu ? Il était certainement plein de malhonnêteté et de négligence. Cette personne savait-elle vraiment ce qu’était le devoir ? Savait-il ce qu’était le travail que Dieu lui avait confié ? Comment a-t-il traité ce mandat ? Il l’a traité comme un capital et comme une base pour jouir des avantages de son statut, et par conséquent, il a commis de nombreux actes malfaisants, perturbant la vie de l’Église et causant la perte de l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Une telle façon d’accomplir son devoir n’est pas seulement inadéquate, mais elle s’est également transformée en actions malfaisantes. En n’ayant aucun élément adéquat dans l’accomplissement de son devoir, Dieu peut-Il se souvenir d’une telle personne ? (Non.) Il est clair que non, ce qui est tout à fait pitoyable. Il est pitoyable de ne pas comprendre la vérité – est-il encore plus pitoyable de comprendre la vérité, mais de ne pas la pratiquer ? (Oui.) C’est le premier cas : celui de la « tête humaine qui s’est transformée en tête de cochon ». Ce cas est plutôt simple. Il s’agit de se complaire dans les avantages du statut, d’accomplir son devoir sans une once de loyauté, et de ne même pas avoir un cœur craignant un peu Dieu. Ce dirigeant a traité son devoir donné par Dieu comme un capital pour se complaire dans les avantages de son statut. C’est facile à discerner. Rappelez-vous le nom de ce premier cas, afin qu’à l’avenir vous puissiez en tirer une comparaison, discerner les autres et vous motiver vous-mêmes. Que pensez-vous de l’affaire dont J’ai parlé ? Détestez-vous de telles personnes et de tels actes ? (Oui.) Si vous acceptiez le mandat de Dieu, pourriez-vous commettre de tels actes ? Si vous pouvez avoir plus de raison que ce faux dirigeant et faire preuve d’un peu plus de retenue, et si vous pouvez faire tous vos efforts pour atteindre la vérité, alors il y a encore un peu d’espoir. Mais si vous pouvez vous laisser aller à manger et à boire et à jouir des avantages d’un statut comme le sien, alors vous serez révélés et éliminés ; vous serez purement un faux dirigeant et une personne que Dieu déteste. Maintenant vous avez du discernement et comprenez quelques vérités. La mesure dans laquelle tu peux te retenir et te contrôler détermine l’espoir que tu as concernant le salut ; ils sont directement proportionnels. Si tu ne peux pas te maîtriser et que tu continues à agir selon tes propres préférences, à vivre avec un tempérament corrompu et à te complaire dans les avantages du statut, à te réjouir et à te sentir enivré lorsque quelqu’un te flatte, sans aucune réflexion sur toi-même ni repentance authentique, alors l’espoir que tu as de recevoir le salut est nul.

Ensuite, parlons d’un autre cas. À mesure que l’Évangile se répand, de nombreuses personnes dans l’Église vont dans divers endroits pour répandre l’Évangile. Répandre l’Évangile est un devoir pour n’importe qui. Peu importe la façon dont tu le traites ou si tu penses que ce devoir est bon ou non, en général, c’est un mandat donné par Dieu à des gens. Lorsqu’on parle des mandats que Dieu donne aux gens, cela implique leur responsabilité et aussi leur devoir. Puisque cela implique le devoir des gens, cela implique aussi la manière d’accomplir ce devoir. Dans le processus de diffusion de l’Évangile, certaines personnes cherchent spécifiquement à se rendre dans des régions riches et des maisons aisées. Lorsqu’elles voient quelqu’un conduire une belle voiture ou vivre dans une grande maison, elles sont envieuses et jalouses. Si elles trouvent une famille qui les accueille bien, elles s’attardent et nourrissent un cœur cupide. Elles pensent que puisqu’elles ont contribué à la diffusion de l’Évangile, elles devraient bénéficier d’un peu de grâce. Alors qu’advient-il de leur diffusion de l’Évangile ? Tout ce qu’elles font, c’est s’adonner aux plaisirs charnels, échanger leur service contre du bien-être physique ; cela revient à vendre leur travail. Après deux ou trois ans, elles ont gagné quelques personnes en répandant l’Évangile là-bas et ont même établi une Église, accumulant ainsi un certain capital. Elles commencent alors à se laisser emporter et lorsqu’elles retournent « glorieusement » dans leur ville natale, elles sont rayonnantes, étant pratiquement devenues des personnes à la mode. Elles ramènent des appareils ménagers et des produits électroniques haut de gamme et sont habillées de vêtements chics des pieds à la tête. La population locale ne les reconnaît plus, pensant qu’elles ont dû faire fortune quelque part. N’y a-t-il pas un problème ici ? Ces personnes ont été croyantes pendant tant d’années, accomplissant toujours leur devoir loin de chez elles. Au départ, il n’y avait rien de valeur dans leur maison, mais maintenant elles ramènent tous ces beaux vêtements et ces appareils performants que les gens leur ont donnés ; elles sont à la fois bien habillées et bien équipées. Elles considèrent que c’est la grâce de Dieu. Mais d’où viennent réellement ces choses ? On pourrait dire qu’elles ont été échangées contre leurs efforts pour diffuser l’Évangile. D’autres ont vu leurs nombreuses années de foi et leur dur labeur pour la diffusion de l’Évangile, alors ils donnent de bonnes choses à cette personne. Est-ce « faire » la charité ? Est-ce de la compassion ? Si ces bonnes choses ont été obtenues grâce à la diffusion de l’Évangile, données à travers la flatterie des autres, est-il approprié pour cette personne de les considérer comme une faveur ou une grâce de Dieu ? Pour le dire sans détour, elle profite de l’occasion de répandre l’Évangile pour acquérir ces choses. Si elle se lamente toujours sur sa pauvreté devant les autres tout en mentionnant qu’elle aime tel ou tel objet, et que les gens le leur donnent à contrecœur, cela ne ressemble-t-il pas à de l’extorsion ou à du chantage ? Certaines personnes qui prêchent l’Évangile aiment dire aux autres : « Nous, les propagateurs de l’Évangile, nous sommes des messagers de dieu, envoyés par dieu. Vous recevez l’Évangile de dieu de notre part – quelle énorme bénédiction et quel avantage vous en retirez ! Compte tenu de votre richesse et de la grâce de dieu dont vous avez bénéficié, ne devriez-vous pas faire preuve de reconnaissance ? Ne devriez-vous pas partager avec nous certains de vos articles excédentaires ou inutilisés ? » Après un tel discours de persuasion, certaines personnes, gênées, finissent par céder, et les propagateurs de l’Évangile pensent que leur comportement est parfaitement justifié. Ceux qui leur donnent des choses le font-ils vraiment de leur plein gré ? Indépendamment de la question de savoir si les donateurs sont consentants, s’agit-il de choses que les propagateurs de l’Évangile devraient recevoir ? (Non.) Certains rationalisent : « Pourquoi ne devrais-je pas recevoir ces choses ? J’ai travaillé dur pour prêcher l’Évangile ; recevoir ces choses n’est-il pas une simple grâce de dieu ? » Que fais-tu lorsque tu prêches l’Évangile ? Est-ce le travail que tu fais pour gagner ta vie ? Prêcher l’Évangile n’est pas une transaction ; c’est ton devoir. Lorsque tu exiges des choses des gens, au fond, tu exiges des choses de Dieu. Mais puisque tu ne peux pas atteindre Dieu, et que tu n’oses pas Lui demander, tu préfères tendre la main aux gens, et tu les induits en erreur en leur racontant un tas de théories spirituelles. Tu penses que tu as gagné en mérite en gagnant des gens à travers la diffusion de l’Évangile et que tu as le droit de recevoir une compensation pour tes efforts. Tu ne penses pas qu’il serait bon de demander de l’argent directement, alors tu demandes plutôt des choses, estimant que de cette façon, tes efforts n’ont pas été vains. Est-ce là accomplir ton devoir ? (Non.) La nature de tes actions a changé. En quoi as-tu transformé la diffusion de l’Évangile ? Tu as commercialisé l’Évangile de Dieu, en le troquant contre des éléments matériels. Quel genre de comportement est-ce là ? (C’est de l’opportunisme.) C’est de l’opportunisme ? Le fait d’appeler cela de l’opportunisme minimise-t-il sa gravité ? N’est-ce pas effectivement faire le mal, n’est-ce pas un acte malfaisant ? (Si.) Pourquoi est-ce considéré comme un acte malfaisant ? Répandre l’Évangile, c’est accomplir son devoir et rendre témoignage à Dieu ; en rendant témoignage à Dieu, tu apportes l’Évangile à quelqu’un et en même temps, Dieu gagne cette personne, et tu as ainsi accompli ta mission. Tout ce que tu dois recevoir pour avoir accompli ta mission, Dieu te le donnera ; tu n’as pas besoin de demander à qui que ce soit et personne n’a de raison d’échanger la charité contre cet Évangile. L’Évangile de Dieu n’a pas de prix ; aucune somme d’argent ne peut l’acheter et il ne peut être échangé contre quoi que ce soit. Lorsque tu utilises la diffusion de l’Évangile comme une occasion d’obtenir des avantages matériels, tu perds ton témoignage ; cette approche est blasphématoire et constitue une marque de déshonneur envers Dieu. De plus, quelle est la nature de ce comportement qui consiste à rendre les gens reconnaissants envers toi quand tu leur as apporté l’Évangile ? C’est voler la gloire de Dieu ! L’Évangile de Dieu et l’œuvre de Dieu ne sont pas des marchandises. Dieu donne gratuitement Son Évangile à l’homme ; il est gratuit et n’implique aucune transaction. Pourtant, les gens transforment l’Évangile de Dieu en une marchandise à vendre aux autres, en exigeant d’eux de l’argent et des biens matériels. Cela manque de témoignage et déshonore le nom de Dieu. N’est-ce pas un acte malfaisant ? (Si.) C’est en effet un acte malfaisant. S’agit-il d’un accomplissement adéquat de ses devoirs ? (Non.) Ce cas est-il de nature plus grave que le cas dont nous venons de parler, la « tête humaine qui s’est transformée en tête de cochon » ? (Oui.) Quel élément constitue cette gravité ? (Le fait de déshonorer Dieu.) Il s’agit de déshonorer Dieu, de blasphémer Dieu et de voler la gloire de Dieu. Prendre l’Évangile de Dieu et le vendre aux gens, le leur vendre comme s’il s’agissait d’une marchandise, puis en tirer un profit exorbitant et chercher à en tirer un bénéfice personnel – quel genre de créature ferait cela ? Ce sont des bandits et des gens malfaisants, qui se comportent à la manière de Satan ! Dieu a clairement créé le ciel, la terre et toutes les choses, ainsi que l’humanité, mais Satan et les esprits malfaisants induisent les gens en erreur en disant que ce sont eux qui ont créé les humains, le ciel et la terre, incitant les gens à les adorer comme s’ils étaient Dieu et le Créateur. N’est-ce pas voler la gloire de Dieu ? C’est un péché, c’est un acte malfaisant, c’est s’opposer à Dieu. Lorsque les hommes vendent l’Évangile, adoptent-ils le comportement de Satan ? (Oui.) Quel est leur but en vendant l’Évangile ? Faire en sorte que les gens les considèrent comme les messagers de l’Évangile, comme si l’Évangile venait d’eux et qu’ils avaient le pouvoir de prendre des décisions. N’est-ce pas voler la gloire de Dieu ? (Si.) Quel genre de péché a été commis en volant la gloire de Dieu ? Quelle en est la nature ? Il s’agit d’un acte malfaisant qui consiste à s’opposer à Dieu ; c’est un comportement blasphématoire envers Dieu. Diffuser l’Évangile de cette manière est-il toujours considéré comme accomplir son devoir ? Il s’agit entièrement de faire le mal ; c’est s’opposer à Dieu. Répandre l’Évangile de cette manière, ce n’est pas du tout témoigner de Dieu, ce n’est donc pas accomplir son devoir, c’est purement et simplement faire le mal. Certains disent : « Répandre l’Évangile est un travail si difficile ; recevoir quelques bonnes choses n’est que justice. Quel est le problème ? Cela n’est pas considéré comme quelque chose de mal par les non-croyants. » Cette affirmation est-elle correcte ? Cela dépend de tes intentions, de ce que tu convoites et de la nature de ce que tu convoites. Si tu le fais pour ton profit personnel, ce que tu vends est l’Évangile de Dieu, ce que tu vends est la vérité et ce que tu y gagnes en fin de compte est pour ton profit personnel, alors il s’agit bien d’un acte malfaisant. Est-il excessif de qualifier cela d’acte malfaisant ? (Non.) Ce n’est pas le moins du monde excessif. Lorsque quelqu’un a reçu son devoir et l’a accompli, mais que de telles conséquences surviennent, qui est à blâmer ? (La personne elle-même.) Elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Alors, comment sont apparues de telles conséquences ? C’est directement lié à la nature malveillante des gens. Certaines personnes ne poursuivent pas la vérité, mais elles ont la capacité de ressentir de la honte et elles ont du caractère et de la conscience, donc elles ne feraient pas de telles choses. Si quelqu’un s’engage dans de telles actions, cela montre que cette personne manque d’humanité ; elle est avide et a un tempérament cruel. Non seulement elle échoue à accomplir ses devoirs de manière adéquate, mais cela se transforme en fait en action malfaisante. Certains disent : « Comment peut-on dire que cette personne fait des actes malfaisants ? Elle a réussi à gagner un certain nombre de personnes grâce à sa prédication de l’Évangile ; le simple fait qu’elle ait obtenu des résultats évidents devrait annuler l’idée qu’elle fait quelque chose de malfaisant, n’est-ce pas ? » Cette affirmation est-elle correcte ? (Non.) Pourquoi est-elle incorrecte ? Répandre l’Évangile est son devoir, sa responsabilité. Quels sont l’intention et le but qui se cachent derrière son devoir ? Quels sont les principes qui guident son devoir ? Est-elle responsable de ses actions ? En se basant sur ces facteurs, on peut déterminer si la personne accomplit son devoir ou si elle fait quelque chose de malfaisant. Bien qu’elle ait accompli son devoir, le point de départ de son action est erroné ; elle n’a pas agi selon les principes et a commis de nombreux actes malfaisants. Il n’y a pas la moindre manifestation de pratique de la vérité. Quelle est l’essence de ce type de diffusion de l’Évangile ? (Il s’agit de vendre l’Évangile.) Comment devrait-on nommer ce cas ? Le cas « Vendre l’Évangile ». Rien qu’en entendant ce nom, tu sais que la nature du problème est très grave. Comment quelqu’un peut-il vendre l’Évangile de Dieu ? La nature de ce problème de vente de l’Évangile est très sérieuse. Donc, chaque fois que la vente de l’Évangile est mentionnée, les gens ne devraient-ils pas savoir de quoi il s’agit, quels sont les états, les comportements et les méthodes ? C’est le deuxième cas, et la nature de ce cas est plus grave que le précédent.

Le cas suivant est également un cas qui s’est produit pendant le processus de diffusion de l’Évangile. Dans le passé, la maison de Dieu a établi certains principes et méthodes pour répandre l’Évangile, y compris des méthodes concernant la compassion et la création de liens amicaux. Cela a permis à certaines personnes de trouver des failles à exploiter. Quelles personnes ont exploité ces failles ? Les personnes de nature malveillante qui n’aiment pas la vérité. Dans le processus de diffusion de l’Évangile, il y a effectivement des personnes malveillantes qui saisissent cette occasion pour trouver des partenaires romantiques et s’engager dans des relations romantiques et intimes. Lorsque de telles choses se produisent, elles pensent qu’il y a des raisons pour cela, alors qu’en réalité ce sont ces individus malveillants de Satan qui exploitent les failles. Profitant de l’occasion que leur offre la diffusion de l’Évangile pour entrer en contact avec des gens du sexe opposé, lorsque ces personnes trouvent quelqu’un qui leur convient ou pour lequel elles ont une préférence, elles font tout ce qui est en leur pouvoir pour trouver des occasions d’interagir avec l’autre personne et pour l’aguicher. En apparence, cela semble être pour gagner les gens par la diffusion de l’Évangile, mais en réalité, c’est pour satisfaire leur désir personnel. Elles font toutes ces choses sous prétexte de diffuser l’Évangile, sous prétexte d’étendre l’œuvre de Dieu, sous prétexte de témoigner pour Dieu et de se consacrer à Dieu, et aussi sous prétexte d’accomplir leur devoir. Personne ne fait ces choses sans en avoir l’intention ; en fait, les gens qui le font en sont parfaitement conscients et s’obstinent à faire semblant d’être confus. Chacun sait dans son cœur, lorsqu’il fait ces choses, que c’est un péché, que Dieu déteste cela et qu’Il ne le permet pas, mais la personne ne peut pas contrôler sa convoitise charnelle et s’efforce de trouver des excuses et des justifications pour les péchés qu’elle commet. Cela peut-il dissimuler ses propres problèmes ? Si tu commets de tels péchés une ou deux fois et que tu te repens ensuite, Dieu peut encore te pardonner, mais si tu refuses obstinément de changer, tu es en danger. Certaines personnes peuvent se sentir un peu mal à l’aise chaque fois qu’elles commettent un tel péché, se demandant : « Puis-je être sauvé si j’agis de cette façon ? » Mais elles se disent ensuite : « Ce n’est pas très grave ; c’est tout au plus une révélation de la corruption. Je ne recommencerai pas ; cela n’affectera pas mon résultat et ma destination. » Cette attitude face à la transgression est-elle une véritable attitude de repentance ? S’il n’y a même pas de remords dans leur cœur, ne continueront-elles pas à rechuter ? Je pense que c’est très risqué. Une telle personne peut-elle accomplir son devoir de manière adéquate ? Dans l’accomplissement de son devoir, il y a encore des éléments correspondant à une « opération privée » ; elle mélange « public et privé », ce qui est une importante falsification ! Cela va de manière certaine offenser le tempérament de Dieu. Ces personnes ne peuvent pas être considérées comme « adéquates » dans l’accomplissement de leur devoir ; cela est plus grave que de demander des choses ou de vendre l’Évangile. En quoi est-ce plus grave ? C’est dégoûtant ; c’est un commerce de la chair et de la convoitise. Alors, quelle est la nature de ce problème ? Il s’agit de pécher délibérément malgré la connaissance de la vraie voie. Le mot « délibérément » change la nature du problème. En réalité, ces gens savent que les règlements et les principes de l’arrangement du travail sont conçus pour amener chacun à faire preuve de sagesse et pour empêcher Satan de gagner un levier sur eux. Le but est d’amener les gens devant Dieu, mais ils exploitent les failles et saisissent les occasions de laisser libre cours à leurs convoitises malveillantes ; c’est ce qu’on appelle pécher en connaissance de cause. Que dit la Bible à ce sujet ? (« Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés » [Hébreux 10:26].) Si même le sacrifice pour le péché à la croix n’est plus disponible, ces personnes ont-elles encore un rapport avec le salut ? Cela dépend de la situation. Certaines personnes agissent par nécessité, ou se condamnent intérieurement, mais elles sont forcées d’agir ainsi à cause des circonstances du moment. Si le nombre de fois où cela se produit n’est pas trop élevé, pas plus de trois, elles peuvent être pardonnées. Qu’est-ce que cela signifie lorsqu’on dit qu’elles peuvent être pardonnées ? Cela signifie qu’au premier délit, si elles peuvent revenir à la raison, chercher la vérité, montrer des signes de remords et revenir en arrière sans commettre de nouveau un délit, tout en demandant à accomplir leurs devoirs, elles peuvent avoir une chance d’expier leurs péchés. Il y a toujours un espoir de salut dans de tels cas, mais cet espoir dépend de la poursuite individuelle. Personne ne peut porter un jugement définitif pour toi, personne ne peut te donner de garanties ; cela dépend principalement de ta propre poursuite. Je ne te ferai pas de promesse en te disant que si tu ne commets plus ce péché, tu seras certainement sauvé ; Je ne ferai pas cette promesse, car Je ne sais pas ce que donneront tes performances futures. Si tu dépasses le nombre de fois où le pardon est possible, que tu refuses constamment de changer et que tu ne fais aucune bonne action pendant que tu prêches l’Évangile qui puisse compenser tes actes malfaisants, alors tu es complètement fichu. Tu as commis tant de mal sans la moindre trace de bonnes actions ; ta prédication de l’Évangile ne te sert qu’à t’engager imprudemment dans des relations intimes et non à bien accomplir ton devoir – elle est déconnectée de ton accomplissement de ton devoir. Ce n’est plus une question d’avoir ou de ne pas avoir de sacrifice d’expiation. Comment classer de telles personnes ? Il faut les classer dans la catégorie des démons immondes et des esprits malfaisants. Ce ne sont pas des humains normaux. Ces personnes ne font pas que commettre des péchés ; elles n’ont rien à voir avec l’accomplissement de leur devoir. Y a-t-il encore un espoir de salut pour eux ? Non, il n’y en a pas. Ces personnes ont été chassées de la maison de Dieu ; elles ont été retranchées et Dieu ne les sauvera pas. Ce qu’elles font et la manière dont elles se comportent non seulement ne touchent pas à leur devoir, mais ne peuvent même pas être considérés comme une question d’accomplissement adéquat de leur devoir. Le résultat final et l’issue pour ces personnes seront déterminés en fonction de leur classification. Ce cas n’est-il pas tout à fait dégoûtant ? Sa nature est encore plus grave que le deuxième cas que nous venons d’évoquer. Parmi ces personnes, certaines présentent des cas de nature plus grave. Peuvent-elles revenir en arrière ? Peuvent-elles avoir un cœur repentant et cesser de faire de telles choses, tout en continuant à rendre service en répandant l’Évangile dans la maison de Dieu ? Y a-t-il des gens comme cela ? (Non.) Peuvent-elles volontairement rendre service ? (Non.) Il est vrai que certaines de ces personnes ont gagné les gens pendant qu’elles répandaient l’Évangile. Mais maintenant, à quoi a servi tout ce travail qu’elles ont fait ? Cela revient à rendre service, pas à accomplir leur devoir. En fait, ces personnes n’ont pas ménagé leurs efforts, mais le chemin qu’elles ont emprunté a déterminé leur destin et leur résultat. Parmi ceux qui répandent également l’Évangile, tous rencontreront-ils de telles tentations ? On peut dire que chacun sera confronté à ce genre de tentations à des degrés divers dans des situations différentes, mais cela signifie-t-il que tous succomberont à la tentation et commettront le péché ? (Non.) Ce n’est pas tout le monde qui peut commettre des péchés, ce n’est pas tout le monde qui peut s’engager dans de telles activités – cela condamne ceux qui s’engagent dans ce genre d’activités et ils sont ainsi révélés. Cela montre qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans leur tempérament et leur humanité. À qui peuvent-ils s’en prendre en ce qui concerne le résultat ? (Eux-mêmes.) Ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes, et à personne d’autre.

Certaines personnes, quelles que soient les transgressions qu’elles commettent pendant qu’elles diffusent l’Évangile, ne cherchent jamais la vérité pour les corriger, ne prient pas Dieu et ne s’engagent jamais dans une réflexion sur elles-mêmes, ce qui montre qu’elles sont obstinément impénitentes. À la fin ces personnes sont éliminées. J’ai entendu parler de quelqu’un qui, alors qu’il répandait l’Évangile, a pris possession d’une femme et ne lui a même pas permis de trouver un partenaire et de se marier ; la nature de ce comportement est très grave. Quel genre de personne fait cela ? (Une personne malfaisante.) De telles personnes malfaisantes peuvent-elles rester dans la maison de Dieu ? (Non.) La maison de Dieu n’a pas de place pour de tels tyrans ; ils déshonorent Dieu ! En faisant de telles choses, ils influencent la perception que d’innombrables personnes ont de Dieu et font en sorte que beaucoup Le comprennent mal ! Les gens diront : « Comment quelqu’un qui croit en Dieu peut-il faire de telles choses ? » C’est déjà une honte pour Dieu. Si l’Église n’expulse pas et ne gère pas de tels individus, mais les laisse continuer à répandre l’Évangile et leur offre une chance de se repentir, alors c’est complètement incorrect. Cette personne n’est pas un primodélinquant ; son comportement est grave par nature et elle devrait être directement expulsée. Autrement, cela déshonorerait Dieu et fournirait à Satan un moyen de juger et de condamner la maison de Dieu. Il ne faut donc pas donner à Satan l’occasion de gagner un levier ; ceux qui sont habituellement licencieux doivent être expulsés de l’Église. De tels individus sont des esprits licencieux qui ont déjà déshonoré Dieu et Dieu ne les sauvera absolument pas. Quelle que soit l’efficacité de leur prédication de l’Évangile ou le nombre de personnes qu’ils ont gagnées, s’ils ne suivent pas le bon chemin, ils se sont détruits et ont anéanti leur propre avenir. De telles personnes n’ont pas le droit d’exister dans la maison de Dieu ; elles sont des cibles à retrancher. Alors, leurs actes comptent-ils comme l’accomplissement de leur devoir ? Non, toutes leurs contributions ont été complètement effacées aux yeux de Dieu et Il ne S’en souviendra pas. Ils ne sont pas seulement inadéquats ; la nature de l’accomplissement de leur devoir a changé et ce dernier est devenu l’accomplissement du mal. Comment Dieu traite-t-Il ceux qui font le mal ? Il les retranche. Que signifie être retranché ? Cela signifie qu’ils sont retirés de la liste des personnes que Dieu a choisies et préparées pour être sauvées – ils n’appartiennent pas à cette liste. Ils sont au contraire classés parmi les esprits malfaisants, les démons immondes et les non sauvés. Quelles sont leurs chances d’atteindre le salut ? (Aucune.) Bien qu’ils aient accompli leurs devoirs et suivi Dieu comme d’autres, ce type de personne en arrive à ce point et est éliminé. Tu vois donc qu’il s’agit encore d’un autre type de personne. La nature de ce cas est-elle plus grave que celle du cas précédent ? (Oui.) Elle est encore plus grave ; ce cas est ciblé. Ce cas devrait être fusionné avec le troisième ; il entre dans la catégorie d’un cas particulier, typique du troisième exemple et il est ciblé. Quel devrait être le titre de ce cas ? « Les malveillants seront retranchés », choisissons d’appeler ce cas ainsi. Pour les trois types de personnes dans ces trois cas, l’accomplissement de leur devoir revenait essentiellement à rendre un service sans que cela n’ait d’effet. Que signifie « rendre un service sans que cela n’ait effet » ? Cela signifie qu’ils ont transformé leur devoir en une simple prestation de service – et même là, ils n’ont pas bien rendu service ou accompli correctement leur devoir. Ils n’ont pas traité leur devoir comme un devoir, ils ont même commis divers actes répréhensibles et actes malfaisants et ont finalement été éliminés, sans résultat positif. La nature de ces trois cas est très sérieuse.

Il y a un autre cas, et sa nature est également assez grave. Il y avait un individu qui accomplissait un travail depuis plusieurs années et, en apparence, il semblait poursuivre la vérité et se dépenser sincèrement. Il avait renoncé à se marier et à fonder une famille, il avait abandonné sa carrière et ses perspectives, il s’était rendu dans de nombreux endroits pour accomplir ses tâches et il avait également entrepris des travaux peu importants. Mais tout en accomplissant ses devoirs, il comprenait peu de vérité parce qu’il ne poursuivait pas réellement la vérité et il pensait bien faire simplement parce qu’il pouvait parler de quelques formules et doctrines. Ce qui était plus grave, c’est que cette personne ne pratiquait pas du tout la vérité. Ainsi, accomplir son devoir consistait simplement pour lui à prêcher quelques doctrines et à suivre quelques règlements, se comportant généralement de manière aimable envers les autres et n’offensant personne. En ce qui concerne la manière d’accomplir le travail de l’Église et les problèmes qui existaient encore, il n’y prêtait pas attention, ne faisait pas d’efforts et ne cherchait pas la vérité pour résoudre ces problèmes. En bref, son attitude envers le travail était superficielle et empreinte d’indifférence ; il ne semblait pas se relâcher, mais il ne se fatiguait pas non plus. Il ne semblait pas agir de manière superficielle, mais les résultats de son travail n’étaient pas particulièrement bons. Lors d’un incident particulier, en raison de sa négligence et de son attitude superficielle, il causa une perte de plus de 10 millions de yuans pour les offrandes à Dieu. Qu’est-ce que 10 millions de yuans ? Les gens ordinaires, en entendant ce montant, considèreraient cela comme une somme astronomique. Ils étaient estomaqués et osaient à peine y penser, n’ayant jamais vu autant d’argent de toute leur vie. Mais ce « vieux monsieur », après avoir causé une perte de plus de 10 millions de yuans en offrandes, n’avait aucun remords, aucun signe de repentance et n’était pas triste. Lorsque l’Église l’a expulsé, il s’est même plaint. Quelle sorte de créature ferait cela ? Discutons de deux aspects. Premièrement, si cette somme d’argent a été perdue pendant que tu travaillais, et quelle que soit la personne à blâmer, tu es responsable. Tu avais la responsabilité de protéger cet argent, mais tu ne l’as pas fait. C’est un manquement à ton devoir, car ce n’est pas de l’argent humain ; c’est une offrande, et les gens devraient la traiter avec la plus grande loyauté. Si les offrandes subissent une perte, que devrait-on en penser ? Même la mort ne serait pas une compensation suffisante ! Quelle est la valeur monétaire d’une vie humaine ? Si la perte est trop importante, même le fait de renoncer à sa vie ne suffira pas à la compenser ! La clé est que la nature de ce problème est trop grave. Ce « vieux monsieur » n’a pas pris au sérieux la perte de tant d’offrandes ; cette personne est trop détestable ! Perdre plus de 10 millions de yuans en offrandes, c’était pour lui comme perdre une centaine de yuans ; il ne l’a pas du tout signalé au Supérieur, n’avait aucun remords par rapport à ce problème et n’a pas dit à son entourage : « Analysons comment cet argent a été perdu et ce qu’il convient de faire. Devrions-nous le rembourser ou trouver une autre solution ? Ou peut-être devrions-nous informer le Supérieur, reconnaître notre responsabilité et démissionner, puis prier Dieu pour confesser nos péchés ? » Il n’a même pas eu cette attitude ; est-ce détestable ? (Oui.) C’est tout à fait détestable ! Sa capacité à commettre un si grand acte malfaisant révèle son attitude envers son devoir et envers Dieu. Deuxièmement, après avoir été expulsé, non seulement il ne l’a pas accepté, n’a pas confessé son péché et ne s’est pas repenti, mais il s’est même plaint. Une telle attitude dépasse l’entendement. Essayez seulement de penser à ce dont il pourrait se plaindre. Il s’est plaint : « J’ai cru en dieu pendant plus de 20 ans, je ne me suis jamais marié, j’ai abandonné tant de choses, enduré tant de souffrances, et maintenant ils m’expulsent, me rejettent. Je vais trouver un autre endroit ! » Peu de temps après, il s’est marié. Dites-Moi, si une personne typique – une personne avec une conscience et une humanité – avait un minimum le sens de sa conscience, se marierait-elle aussi rapidement ? Serait-elle d’humeur à le faire ? En général, une personne dotée d’un minimum de conscience et d’humanité, confrontée à une question aussi grave, envisagerait même la mort en pensant : « Ma vie est finie, comment ai-je pu commettre un tel acte après avoir cru en Dieu pendant plus de 20 ans ? Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et je mérite d’être expulsé ! Oubliez les 10 millions, je n’ai même pas les moyens de rembourser un million. Même si je me vendais, je ne pourrais pas rattraper cette erreur, ma vie ne vaut rien ! » Pourquoi l’as-tu tout de même fait alors que tu savais que tu ne pouvais pas rembourser ? Ne savais-tu pas que cet argent était une offrande, dédiée à Dieu ? Cet argent ne t’appartenait pas ; ta responsabilité était de le protéger. Ce n’était pas quelque chose qui n’avait aucun rapport avec toi ; c’était quelque chose que tu devais garder en sécurité. C’était la chose la plus importante et ta négligence était un manquement à ton devoir. Après avoir perdu l’argent, tu ne pouvais certainement pas te dérober à ta responsabilité. En tant que personne qui croit en Dieu, n’avais-tu pas l’obligation et la responsabilité de garder ces offrandes en sécurité et d’éviter tout accident ? N’aurais-tu pas dû minimiser le risque que quelque chose se passe mal ? Si tu ne peux même pas faire cela, qu’es-tu ? N’es-tu pas un démon vivant ? (Si.) Cela est parfaitement dégoûtant et dépourvu d’humanité ! De plus, après avoir été expulsé, non seulement cet homme a cessé de croire en Dieu et s’est marié, mais il a également perturbé les croyants de sa famille – la nature de cela est encore plus grave. Il a accompli son devoir pendant de nombreuses années, abandonné beaucoup de choses, fait de nombreux sacrifices, travaillé beaucoup, pris des risques et fait de la prison. Mais ces facteurs externes ne déterminent pas le destin de quelqu’un. Qu’est-ce qui le détermine ? Le chemin que l’on choisit. S’il avait suivi le chemin de la recherche de la vérité, il n’en serait pas arrivé là et n’aurait pas causé une si grande perte à la maison de Dieu. Ce n’est absolument pas un hasard si un incident aussi important s’est produit ; cela était directement lié à la qualité de son humanité et au chemin qu’il a choisi. Pensez-vous que Dieu est conscient du chemin qu’il suit ? (Oui.) Dieu est au courant. Alors, cet incident avait-il pour but de le révéler ou de l’éliminer ? C’était à la fois de le révéler et de l’éliminer. Du point de vue humain, il semblait bien accomplir son devoir, avec loyauté, en se dépensant, avec la volonté de payer le prix et une capacité à endurer l’adversité. Alors pourquoi Dieu lui ferait-il une telle chose ? Pourquoi Dieu le révélerait-il ? Qu’est-ce qui devait être révélé ? S’agissait-il simplement de révéler ce résultat ? Non, il s’agissait de révéler sa foi, de révéler son humanité, de révéler son essence et sa nature – tout cela a maintenant été mis à nu. Dieu peut-il sauver une telle personne ? Dieu a-t-Il ne serait-ce qu’une lueur d’espoir pour lui ? Dieu n’a absolument aucun espoir pour une telle personne. Dieu a-t-il encore de l’amour ou de la miséricorde pour elle ? Pas du tout. Certains diront peut-être : « Si Dieu n’a ni amour ni miséricorde pour lui, alors ne reste-t-il que la justice, la majesté et la colère ? » C’est exact. Une personne aussi malfaisante n’a plus besoin d’amour ni de miséricorde, et elle n’en a plus besoin car elle a gravement offensé le tempérament de Dieu. Tout ce qui reste de Dieu pour elle, c’est la justice, la majesté et la colère. Son sort n’a rien à voir avec l’œuvre de gestion de Dieu, il n’a absolument rien à voir avec l’œuvre de Dieu qui consiste à sauver l’humanité ; cette personne a été éliminée et renvoyée. Par conséquent, peu importe où cette personne se trouve maintenant, aux yeux de Dieu, elle n’est qu’une morte-vivante, un cadavre ambulant qui habite parmi les démons immondes et les esprits malfaisants, parmi ceux qui portent des visages humains, mais possèdent des cœurs bestiaux et sont des bêtes vêtues d’habits humains. Telles sont ses qualités, et elle a été retranchée de la vue du Créateur. Considérant son résultat et son attitude finale envers cet événement majeur qui s’est produit dans sa vie, est-ce que son accomplissement du devoir pendant tout ce temps a quelque chose à voir avec le mot « adéquat » ? (Non.) Comment sais-tu que son travail n’était pas adéquat avant même que cet événement ne se produise ? Est-ce par jugement et déduction, ou as-tu fait cette évaluation en observant son essence ? (En observant son essence.) C’est exact. Prends Paul comme exemple : s’il avait poursuivi la vérité, s’il avait pu chercher à être parfait comme Pierre, il n’aurait pas prononcé de telles paroles blasphématoires. Chaque résultat est attribuable à une cause ; ce qui est arrivé à cet individu est lié à des raisons sous-jacentes. Le fait que cette personne ait pu en arriver là aujourd’hui, son attitude envers Dieu, son attitude envers les offrandes et son attitude envers ses propres actes malfaisants, cela est suffisant pour laisser voir aux gens clairement quel chemin elle suivait et qu’était vraiment sa foi en Dieu. Cela révèle complètement son essence et le chemin sur lequel elle se trouvait. Si elle avait été sur le chemin de la recherche de la vérité, sur le chemin qui consiste à craindre Dieu et à s’éloigner du mal, et si elle avait pu véritablement considérer son devoir comme sa responsabilité et son obligation, comment aurait-elle géré cette situation lorsqu’elle s’est inévitablement produite ? Elle n’aurait certainement pas eu l’attitude qu’elle a maintenant – celle de résister et de se plaindre. Son côté démoniaque a été mis à nu ; la nature-essence au plus profond de son âme a été complètement exposée. Ce n’est pas un être humain, c’est un démon. Si cet individu était humain, il n’aurait pas fini ainsi après avoir cru en Dieu pendant plus de 20 ans. S’il était humain, à quel point regretterait-il une si grande perte d’offrandes ? Combien de larmes aurait-il versées ? Dans quelle mesure tremblerait-il ? Il se sentirait inéluctablement responsable et coupable d’un terrible péché, se croyant impardonnable, et il estimerait devoir se repentir et confesser ses péchés à Dieu. À tout le moins, même si l’Église l’expulsait, il ne cesserait pas de croire ni ne trahirait Dieu, et encore moins ne troublerait la foi de sa famille en Dieu. Que discerne-t-on des différents comportements de cette personne après les faits ? Que c’est un incrédule qui n’aime pas la vérité et que son humanité est également malintentionnée. C’est le quatrième cas. Comment devrions-nous nommer ce cas ? (Le cas « Perdre dix millions en offrandes ».) Nous devrions y ajouter sa réaction et l’appeler « perdre dix millions en offrandes sans signe de repentance ». Ce nom n’est-il pas meilleur ? Il sert d’avertissement aux autres ; à tout le moins, il permet aux gens de prendre conscience de là où réside la gravité de ses actes.

La survenue de tous ces événements, les divers comportements affichés par ces personnes, ainsi que leurs attitudes à l’égard de Dieu après ces événements, sont tous apparus et ont été exposés dans le cadre de l’accomplissement de leurs devoirs. Par conséquent, dans une certaine mesure, le chemin que l’on emprunte pour croire en Dieu et le résultat final que l’on obtient sont étroitement liés à l’accomplissement de son devoir ; on pourrait même dire qu’il y a une relation directe. Le sujet de l’accomplissement des devoirs devrait être un sujet inépuisable et la vérité concernant cet aspect devrait également être un sujet inépuisable. C’est la vérité que les gens devraient le plus fondamentalement comprendre, et un sujet qui devrait être continuellement discuté dans le processus de croissance de vie des gens et de leur croyance en Dieu. C’est parce qu’il est inséparablement lié aux changements dans les tempéraments des gens, à leur entrée dans la vie, au type de chemin qu’ils suivent et au type de résultat qu’ils ont en fin de compte. Aujourd’hui, nous avons beaucoup échangé sur l’accomplissement des devoirs et nous avons également échangé sur plusieurs cas. L’objectif principal est de vous faire comprendre comment accomplir vos devoirs d’une manière que Dieu approuve, quelles sont les conséquences si vous faites le mal et l’importance d’accomplir vos devoirs selon les normes. Les événements présentés dans ces cas sont devenus progressivement plus graves et plus effrayants, mais ce n’est pas Moi qui les ai concoctés. Ils se sont vraiment produits parmi ceux qui croient en Dieu et qui sont dans les rangs de ceux qui accomplissent leurs devoirs. Qu’est-ce que cela signifie ? Certains disent : « Eh, il n’y a pas de problème si nous n’accomplissons pas nos devoirs, mais des problèmes surgissent toujours lorsque nous les accomplissons. Alors, est-ce acceptable de ne simplement pas accomplir nos devoirs ? » Que pensez-vous de ce raisonnement ? N’est-ce pas renoncer à manger de peur de s’étouffer ? N’est-ce pas stupide ? Tu dois apprendre à chercher la vérité pour résoudre ces problèmes ; c’est une attitude proactive et le genre d’attitude qu’une personne normale devrait avoir. Si tu as peur que des problèmes surviennent pendant que tu accomplis tes devoirs et que cela conduise à être condamné, expulsé, éliminé ou retranché, et finalement à perdre tout espoir d’atteindre le salut, et que tu cesses simplement d’accomplir tes devoirs ou que tu adoptes une approche négative et antagoniste à leur égard, quel genre d’attitude est-ce là ? (Une mauvaise attitude.) D’autres disent : « Notre humanité est trop médiocre pour accomplir des devoirs, alors pourquoi ne pas nous contenter de rendre service ? Dieu n’a pas de grandes exigences pour les exécutants, et il n’y a aucune norme ni aucun principe – il suffit de faire des efforts. Il suffit que nous fassions ce qui nous est demandé, d’être obéissants, de ne pas prendre de responsabilités importantes, et de ne pas avoir l’ambition de devenir un dirigeant ou un ouvrier. Le simple fait de pouvoir rester jusqu’à la fin serait la plus grande des bénédictions. » Qu’en est-il de ces motivations ? Ne sont-elles pas plutôt abjectes et viles ? Des individus aussi peu ambitieux peuvent-ils obtenir le salut de Dieu ? Une personne dépourvue d’humanité peut-elle rendre un service adéquat ? Ceux qui n’ont pas d’humanité ne peuvent pas rendre un service adéquat ; ils ne deviendront pas des exécutants loyaux qui pourront rester.

Le nombre d’exemples mentionnés au cours de ces derniers échanges est relativement élevé. Il est facile de se souvenir de ces événements, mais les vérités sur lesquelles j’ai échangé sont difficiles à comprendre. Cependant, il y a un avantage à cela : en discutant de ces événements, vous pourrez vous rappeler ou comprendre un peu les vérités qu’ils abordent. Si nous ne parlions pas de ces cas, il faudrait probablement faire plus d’efforts pour atteindre ce genre de résultat. Discuter de ces cas sert à la fois d’élan et d’avertissement, et cela aide les gens à trouver le bon chemin en eux-mêmes. Cela vous guide pour savoir quel chemin suivre dans votre foi afin de vous éviter de violer les décrets administratifs de Dieu, de commettre des erreurs majeures, ou de prendre la mauvaise direction. Le but principal est d’aider les gens à accomplir leurs devoirs de manière adéquate. Après avoir entendu ces quatre cas, comment vous sentez-vous ? Avez-vous une nouvelle compréhension de ce qu’est l’accomplissement adéquat des devoirs ? Est-il facile pour les gens d’accomplir leurs devoirs de manière adéquate ? (Ce n’est pas facile.) Où se situe la difficulté ? Est-ce parce que les gens ne comprennent pas la vérité et ne peuvent pas trouver de principes, et donc continuent à faire des erreurs ? (Non.) Alors où se trouve la difficulté ? C’est en cela qu’elle réside : les gens n’aiment pas la vérité et ne la recherchent pas non plus. Au cours de l’accomplissement de leurs devoirs, si les gens ne recherchent pas la vérité et ne la pratiquent pas, et s’ils sont cruels, malveillants et arrogants, cela peut facilement entraîner certaines conséquences et provoquer des résultats auxquels les gens ne s’attendent pas ou qu’ils ne souhaitent pas voir. Existe-t-il quelqu’un qui prévoit un mauvais résultat pour lui-même ? (Non.) Y a-t-il des gens qui espèrent juste un résultat médiocre, en se disant que tant qu’ils s’en sortent sans mourir, tout va bien ? (Oui.) Quel genre de personnes est-ce ? Ce sont des personnes qui ne poursuivent pas la vérité ; elles ne font que faire du sur-place jusqu’à la mort. Pour de telles personnes, l’accomplissement de leur devoir est voué à être complètement négligent, ce qui augmente pour elles le risque de faire des erreurs ou de commettre des péchés, et rend très difficile le fait d’accomplir leur devoir de manière adéquate. Quel genre de personne peut accomplir son devoir de manière adéquate ? (Les personnes qui recherchent la vérité.) Qui d’autre ? (Les personnes dotées d’humanité.) Qu’est-ce que l’humanité englobe ? (La conscience et la raison.) Ceux qui ont la conscience et la raison, qui possèdent l’humanité, accompliront facilement leurs devoirs selon la norme s’ils poursuivent la vérité. Certains disent : « Tu n’arrêtes pas de parler de ces exemples négatifs graves de personnes qui n’accomplissent pas leurs devoirs de manière adéquate et cela nous fait perdre confiance. Quand pourrons-nous atteindre la norme qui consiste à remplir nos devoirs de manière adéquate ? Existe-t-il des exemples positifs ? » Dans ce cas, discutons de quelque chose de plus inspirant et de plus positif. Actuellement, de nombreuses personnes commencent à se concentrer sur la poursuite de la vérité et à faire preuve de plus de diligence dans l’accomplissement de leurs devoirs. Par exemple, certains peuvent coopérer harmonieusement avec d’autres quand ils accomplissent leurs devoirs. Que signifie coopérer harmonieusement ? En voici une manifestation : il ne s’agit pas que tout le monde s’entende bien en apparence, sans qu’il y ait de conflits ou d’intrigues. La coopération harmonieuse signifie que lorsque tu es confronté à divers problèmes au travail – que tu aies ou non une connaissance précise de ce dont il s’agit et que ton point de vue soit correct ou non – tu peux toujours te concerter avec les autres, rechercher les vérités-principes et parvenir ensuite à un consensus. C’est cela la coopération harmonieuse. Quel est le but de la recherche d’un consensus ? Il s’agit de mieux faire ses devoirs, de mieux accomplir le travail de l’Église et de pouvoir témoigner de Dieu. Si tu veux que l’accomplissement de tes devoirs soit adéquat, alors dans l’accomplissement de ton devoir, tu dois d’abord parvenir à une coopération harmonieuse. Il y a des gens qui pratiquent déjà en ce moment la coopération harmonieuse. Après avoir compris la vérité, même s’ils ne sont pas capables de pratiquer pleinement la vérité, et même s’il y a des échecs, des faiblesses et des détours le long du chemin, ils s’efforcent toujours d’atteindre les vérités-principes. Ils ont donc l’espoir de parvenir à une coopération harmonieuse. Par exemple, il arrive peut-être que tu penses que ce que tu fais est juste, mais tu arrives à ne pas être suffisant. Tu peux discuter avec d’autres et échanger sur les vérités-principes avec eux jusqu’à ce qu’elles soient claires et apparentes, afin que tout le monde comprenne et soit d’accord pour dire que faire cela permettra d’obtenir le meilleur résultat. Et que tout le monde soit d’accord pour dire que cela ne sort pas des principes, prend en considération les intérêts de la maison de Dieu et protège les intérêts de la maison de Dieu au plus haut degré possible. Pratiquer de cette manière est conforme aux vérités-principes. Bien que le résultat final puisse ne pas toujours correspondre à ce que tu envisageais, le chemin, la direction et le but de ta pratique étaient justes. Comment Dieu le voit-il ? Comment Dieu définit-il cette question ? Dieu dira que l’accomplissement de ton devoir est adéquat. L’adéquation signifie-t-elle que ton devoir a été accompli conformément aux intentions de Dieu ? Non. L’adéquation est encore loin de satisfaire les intentions de Dieu, de recevoir l’approbation de Dieu et de constituer une pratique qui adhère pleinement aux exigences de Dieu. L’adéquation signifie simplement que tu es sur le bon chemin, que tes intentions sont bonnes et que ta direction est la bonne, mais tu n’as pas encore atteint la norme élevée qui consiste à agir selon les vérités-principes comme Dieu l’exige. Par exemple, en ce qui concerne la soumission, disons que la maison de Dieu te demande de faire quelque chose dans le cadre de l’accomplissement de tes devoirs. Comment devrais-tu pratiquer afin d’être à la hauteur dans l’accomplissement de tes devoirs ? Lorsque tu entends parler de cette tâche pour la première fois, il se peut que tu aies des opinions sur le sujet. Mais après réflexion, tu te dis : « Dieu a dit que nous devrions apprendre à chercher et à nous soumettre dans les domaines que nous ne comprenons pas. Je dois donc chercher. Même si je ne comprends pas la vérité ou ne sais pas comment je dois pratiquer, la tâche m’incombe, je dois donc m’y conformer et me soumettre. Même s’il ne s’agit que de suivre les règlements, je dois d’abord les suivre. » Si tu peux pratiquer de cette manière, alors tu réponds aux exigences. Mais y a-t-il un fossé entre répondre aux exigences et recevoir l’approbation de Dieu ? (Oui.) Cet écart est déterminé par la mesure dans laquelle tu comprends la vérité. Bien que tu puisses te soumettre, tu ne comprends pas les intentions de Dieu et tu n’as pas pleinement identifié les vérités-principes ou tu ne les as pas mises en pratique ; tu as simplement adhéré aux règlements. Tu as adhéré aux choses de base que l’on doit faire, selon les normes de la conscience et les règlements, donc en termes d’exécution, il n’y a pas de problèmes, et en ce qui concerne la nature de tes actions, il n’y a rien de mal. Cependant, cela ne répond pas à la norme de la pratique de la vérité ; tu ne comprends toujours pas les intentions de Dieu. Tu n’as fait que maintenir passivement et par réflexe l’accomplissement de tes devoirs ; tu ne les as pas accomplis correctement selon les vérités-principes. Tu n’as pas atteint un niveau qui te permet de témoigner de Dieu ou de satisfaire les intentions de Dieu. Tu n’as pas atteint la norme pour témoigner. Par conséquent, accomplir tes devoirs ainsi est simplement adéquat et ne te donne pas encore l’approbation de Dieu.

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