En quoi consiste la poursuite de la vérité (4) Partie 3
Parmi les exigences que Dieu a mises en avant concernant le comportement de l’homme, il y a celle-ci : « honorer ses parents ». Les gens n’ont généralement pas d’idées ni de notions sur les autres exigences, alors que pensez-vous de celle-ci : « honorer ses parents » ? Y a-t-il une contradiction entre vos opinions et cette vérité-principe énoncée par Dieu ? Si vous êtes capables de voir cela clairement, c’est bien. Ceux qui ne comprennent pas la vérité, qui ne savent que suivre les règles et débiter les paroles et doctrines manquent de discernement : quand ils lisent les paroles de Dieu, ils nourrissent toujours des notions humaines, ils ont toujours le sentiment qu’il y a des contradictions et ils ne peuvent pas voir clairement Ses paroles. Alors que ceux qui comprennent la vérité ne voient aucune contradiction dans les paroles de Dieu, ils pensent que Ses paroles sont incroyablement claires, parce qu’ils ont une compréhension spirituelle et qu’ils sont capables de saisir la vérité. Parfois, vous ne pouvez pas voir clairement les paroles de Dieu et vous ne pouvez pas poser de questions : si vous ne posez aucune question, il semble que vous n’ayez aucun problème, mais en réalité, vous avez de nombreux problèmes et de nombreuses difficultés, vous n’en êtes tout simplement pas conscients. Cela montre que votre stature est trop petite. Tout d’abord, examinons l’exigence de Dieu selon laquelle les gens doivent honorer leurs parents. Cette exigence est-elle bonne ou mauvaise ? Les gens doivent-ils s’y conformer ou non ? (Ils doivent le faire.) C’est certain, et cela ne peut être nié : il n’y a pas à hésiter ni à réfléchir là-dessus, cette exigence est juste. Qu’est-ce qui est juste ? Pourquoi Dieu a-t-Il mis en avant cette exigence ? À quoi Dieu fait-Il référence quand Il parle « d’honorer ses parents » ? Le savez-vous ? Vous ne le savez pas. Pourquoi ne le savez-vous toujours pas ? Dès que quelque chose implique la vérité, vous ne savez pas, et pourtant vous pouvez disserter sans fin sur les paroles et les doctrines. Quel est le problème ici ? Comment pratiquez-vous ces paroles de Dieu, alors ? Cela n’implique-t-il pas la vérité ? (Si.) Lorsque tu vois dans une phrase des paroles de Dieu : « Tu dois honorer tes parents », tu penses : « Dieu me demande d’honorer mes parents, donc je vais devoir les honorer », et tu commences à le faire. Tu fais tout ce que tes parents te demandent : quand tes parents sont malades, tu les sers à leur chevet, tu leur verses quelque chose à boire, tu leur prépares quelque chose de bon à manger et jours de fêtes, tu offres à tes parents des choses qu’ils aiment. Quand tu vois qu’ils sont fatigués, tu leur frottes les épaules et tu leur masses le dos et chaque fois qu’ils ont un problème, tu es capable de chercher une solution pour le résoudre. Grâce à tout cela, tes parents sont très satisfaits de toi. Tu honores tes parents, tu pratiques conformément aux paroles de Dieu et tu vis une humanité normale, alors tu te sens stable dans ton cœur et tu penses : « Écoutez, mes parents disent que j’ai changé depuis que j’ai commencé à croire en Dieu. Ils disent que maintenant je suis capable de les honorer et que je suis plus raisonnable. Ils sont vraiment contents, ils pensent que croire en Dieu est une chose formidable, parce que non seulement les fils et les filles qui croient en Dieu honorent leurs parents, mais ils suivent aussi le bon chemin dans la vie et vivent une ressemblance humaine, ils sont beaucoup mieux que les non-croyants. Depuis que je crois en Dieu, j’ai commencé à pratiquer selon les paroles de Dieu et à agir selon Ses exigences, et mes parents sont vraiment heureux de voir ce changement en moi. Je me sens tellement fier de moi. Je rends gloire à Dieu : Dieu doit sûrement être satisfait de moi, et Il dira que je suis une personne qui honore ses parents et que je fais preuve d’une sainte décence. » Un jour, l’Église te demande d’aller répandre l’Évangile dans un endroit qui fait que tu ne pourras peut-être pas rentrer chez toi avant longtemps. Tu acceptes d’y aller, estimant que tu ne peux pas mettre de côté la commission de Dieu et croyant que tu dois à la fois honorer tes parents à la maison et respecter la commission de Dieu au-dehors. Mais lorsque tu discutes de cette question avec tes parents, ils sont furieux et te disent : « Quel enfant désobéissant ! Nous avons travaillé si dur pour t’élever, et maintenant voilà que tu vas partir. Quand tu seras parti, qui va s’occuper d’un vieux couple comme nous ? Si nous tombons malades ou s’il arrive je ne sais quelle catastrophe, qui va nous emmener à l’hôpital ? » Ils n’acceptent pas ton départ et tu t’inquiètes : « Dieu nous dit d’honorer nos parents, mais mes parents refusent de me laisser partir pour faire mon devoir. Si je leur obéis, je vais devoir mettre de côté la commission de Dieu, et Dieu n’aimera pas cela. Mais si j’obéis à Dieu et que je pars faire mon devoir, mes parents seront mécontents. Que suis-je censé faire ? » Tu médites encore et encore : « Puisque Dieu a mis en avant l’exigence selon laquelle les gens doivent d’abord honorer leurs parents, je vais la respecter. Je n’ai pas besoin de partir faire mon devoir. » Tu mets alors de côté ton devoir et tu choisis d’honorer tes parents à la maison, mais tu ne te sens pas stable dans ton cœur. Tu sens bien qu’en honorant tes parents, tu n’as pas rempli ton devoir, et tu penses que tu as tourné le dos à Dieu. Comment ce problème peut-il être résolu ? Tu dois prier Dieu et chercher la vérité, jusqu’à ce qu’un jour tu comprennes la vérité et te rendes compte que faire ton devoir est la chose la plus importante. Alors, tu pourras naturellement quitter la maison et remplir ton devoir. Certains disent : « Dieu veut que je fasse mon devoir, et Il veut aussi que j’honore mes parents. N’y a-t-il pas ici une contradiction et un conflit ? Comment suis-je donc censé pratiquer ? » « Honorer ses parents » est une exigence que Dieu a mise en avant concernant le comportement de l’homme, mais renoncer à tout pour suivre Dieu et accomplir la commission de Dieu n’est pas là aussi l’exigence de Dieu ? N’est-ce pas là une chose que Dieu exige encore plus ? N’est-ce pas là pratiquer encore plus la vérité ? (Si.) Que dois-tu faire si ces deux exigences entrent en conflit ? Certains disent : « Alors, je dois honorer mes parents et accomplir la commission de Dieu, et je dois respecter les paroles de Dieu et pratiquer la vérité. Eh bien, c’est facile. Je vais tout régler à la maison, préparer tout le nécessaire pour la vie de mes parents, embaucher une gouvernante, puis aller accomplir mon devoir. Je ne manquerai pas de revenir une fois par semaine, je vérifierai que mes parents vont bien, puis je repartirai ; et si quelque chose ne va pas, je ne resterai que deux jours. Je ne peux pas être toujours loin d’eux et ne jamais revenir, et je ne peux pas rester à la maison pour toujours et ne jamais aller faire mon devoir. N’est-ce pas le meilleur compromis ? » Que pensez-vous de cette solution ? (Cela ne fonctionnera pas.) C’est une vue de l’esprit : ce n’est pas réaliste. Mais alors, lorsque tu te trouves dans ce genre de situation, comment dois-tu t’y prendre concrètement pour agir conformément à la vérité ? (Il n’y a pas de meilleur compromis possible avec la loyauté et la piété filiale : je dois faire passer mon devoir en premier.) Dieu a d’abord dit aux hommes qu’ils devaient honorer leurs parents et par la suite, Il a mis en avant des exigences plus élevées pour que les gens pratiquent la vérité, accomplissent leurs devoirs et suivent Sa voie : à laquelle de ces propositions dois-tu adhérer ? (Aux exigences les plus élevées.) Est-il juste de pratiquer selon les exigences les plus élevées ? La vérité peut-elle être divisée en vérités supérieures et inférieures, ou en vérités anciennes et nouvelles ? (Non.) Alors, quand tu pratiques la vérité, à quoi dois-tu te conformer ? Que signifie pratiquer la vérité ? (Gérer les choses selon les principes.) Gérer les choses selon les principes est la chose la plus importante. Pratiquer la vérité signifie pratiquer les paroles de Dieu à différents moments, en différents lieux, dans différents environnements et dans différents contextes. Il ne s’agit pas d’appliquer obstinément des règles aux choses, il s’agit de défendre les vérités-principes. Voilà ce que signifie pratiquer la vérité. Ainsi, il n’y a tout simplement pas de conflit entre la pratique des paroles de Dieu et le respect des exigences mises en avant par Dieu. Pour le dire plus concrètement, il n’y a aucun conflit entre honorer tes parents et accomplir la commission et le devoir que Dieu t’a confiés. Quelles sont les paroles et les exigences actuelles de Dieu ? Tu dois d’abord considérer cette question. Dieu exige différentes choses de différentes personnes : Il a des exigences distinctes pour les unes et pour les autres. Ceux qui servent en tant que dirigeants et ouvriers ont été appelés par Dieu, ils doivent donc renoncer, et ils ne peuvent pas rester avec leurs parents et les honorer. Ils doivent accepter la commission de Dieu et renoncer à tout pour Le suivre. C’est une des situations possibles. Les croyants ordinaires n’ont pas été appelés par Dieu, ils peuvent donc rester avec leurs parents et les honorer. Il n’y a aucune récompense pour cela et ils n’obtiendront aucune bénédiction en retour, mais s’ils ne font pas preuve de piété filiale, alors ils manquent d’humanité. En fait, honorer ses parents n’est qu’une sorte de responsabilité, et cela ne relève pas de la pratique de la vérité. C’est obéir à Dieu qui est la pratique de la vérité, c’est accepter la commission de Dieu qui est une manifestation de soumission à Dieu, et ce sont ceux qui renoncent à tout pour accomplir leurs devoirs qui sont des disciples de Dieu. En somme, la tâche la plus importante qui t’attend est de bien faire ton devoir. C’est la pratique de la vérité, et c’est une manifestation de soumission à Dieu. Alors, quelle est la vérité que les gens doivent principalement pratiquer maintenant ? (Accomplir son devoir.) C’est vrai, accomplir loyalement son devoir, c’est pratiquer la vérité. Si une personne n’accomplit pas son devoir sincèrement, alors elle ne fait que rendre service.
De quelle question venons-nous de discuter ? (Dieu a d’abord demandé aux gens d’honorer leurs parents, puis Il a énoncé des exigences plus élevées à leur égard pour ce qui est de pratiquer la vérité, d’accomplir leurs devoirs et de suivre la voie de Dieu, alors à laquelle les gens devraient-ils se conformer en premier ?) Vous venez de dire que les gens doivent pratiquer selon les exigences les plus élevées. Sur le plan théorique, cette affirmation est juste : pourquoi dis-Je qu’elle est juste sur le plan théorique ? Cela signifie que si vous deviez appliquer des règles et des formules sur ce sujet, alors cette réponse serait la bonne. Mais lorsque les gens sont confrontés à la vraie vie, cette affirmation est souvent irréalisable et difficile à mettre en œuvre. Alors, comment répondre à cette question ? Premièrement, tu dois examiner la situation et le milieu de vie auxquels tu es confronté, ainsi que le contexte dans lequel tu te trouves. Si, en fonction de ton milieu de vie et du contexte dans lequel tu te trouves, honorer tes parents n’entre pas en conflit avec le fait que tu remplisses la commission de Dieu et que tu accomplisses ton devoir – ou, en d’autres termes, si le fait d’honorer tes parents n’a pas d’impact sur l’accomplissement loyal de ton devoir – alors tu peux pratiquer les deux en même temps. Tu n’as pas besoin de te séparer en apparence de tes parents, et tu n’as pas besoin de renoncer ni de les rejeter en apparence. Dans quelle situation cela s’applique-t-il ? (Quand honorer ses parents n’entre pas en conflit avec l’accomplissement de son devoir.) C’est cela. En d’autres termes, si tes parents n’essaient pas d’entraver ta croyance en Dieu, qu’ils sont croyants aussi et qu’ils te soutiennent et t’encouragent vraiment à accomplir ton devoir fidèlement et à accomplir la commission de Dieu, alors ta relation avec tes parents n’est pas une relation charnelle entre proches, au sens ordinaire du terme, mais une relation entre frères et sœurs de l’Église. Dans ce cas, en plus d’interagir avec eux comme des frères et des sœurs de l’Église, tu dois également remplir certaines de tes responsabilités filiales envers eux. Tu dois te montrer un peu plus soucieux d’eux. Tant que cela n’affecte pas l’accomplissement de ton devoir, c’est-à-dire tant que ton cœur n’y est pas contraint, tu peux appeler tes parents pour leur demander comment ils vont et leur montrer un peu que tu te soucies d’eux, tu peux les aider à résoudre quelques difficultés et à gérer certains de leurs problèmes de vie, et tu peux même les aider à résoudre certaines de leurs difficultés en matière d’entrée dans la vie ; tu peux faire toutes ces choses. En d’autres termes, si tes parents n’entravent pas ta croyance en Dieu, tu dois maintenir cette relation avec eux et tu dois assumer tes responsabilités envers eux. Et pourquoi dois-tu te soucier d’eux, prendre soin d’eux et leur demander comment ils vont ? Parce que tu es leur enfant et que tu as cette relation avec eux, tu as une autre responsabilité et en raison de cette responsabilité, tu dois un peu plus prendre de leurs nouvelles et leur fournir une aide plus substantielle. Tant que cela n’affecte pas l’accomplissement de ton devoir et tant que tes parents n’entravent ni ne perturbent ta foi en Dieu et l’accomplissement de ton devoir, et qu’ils ne te freinent pas non plus, alors il est naturel et approprié que tu t’acquittes de tes responsabilités envers eux, et tu dois le faire dans la mesure où ta conscience ne te le reproche pas ; c’est la norme minimale que tu dois respecter. Si tu ne peux pas honorer tes parents à la maison en raison de l’impact et des obstacles de ta situation, tu n’as pas à respecter cette règle. Tu dois te mettre à la merci des orchestrations de Dieu et te soumettre à Ses arrangements, et tu n’as pas besoin de persister à honorer tes parents. Dieu condamne-t-Il cela ? Dieu ne le condamne pas : Il ne force pas les gens à le faire. Sur quoi échangeons-nous maintenant ? Nous échangeons sur la façon dont les gens doivent pratiquer lorsque honorer leurs parents entre en conflit avec l’accomplissement de leur devoir. Nous échangeons sur les principes de la pratique et la vérité. Tu as la responsabilité d’honorer tes parents, et si les circonstances le permettent, tu peux assumer cette responsabilité, mais cela ne doit pas se faire sous la contrainte des sentiments. Par exemple, si l’un de tes parents tombe malade et doit se rendre à l’hôpital, qu’il n’y a personne pour s’occuper de lui et que tu es trop occupé par ton devoir pour pouvoir rentrer chez toi, que dois-tu faire ? Dans de tels moments, tu ne dois pas céder à la contrainte des sentiments. Tu dois soumettre la question à la prière, la soumettre à Dieu et la tenir à la merci des orchestrations de Dieu. Voilà le genre d’attitude que tu dois avoir. Si Dieu veut prendre la vie de tes parents et te les enlever, tu dois quand même te soumettre. Certains disent : « Bien que je me sois soumis, je suis quand même malheureux et j’en pleure depuis des jours, n’est-ce pas un sentiment charnel ? » Non, ce n’est pas un sentiment charnel, c’est la bonté humaine, c’est avoir de l’humanité, et Dieu ne le condamne pas. Tu peux pleurer, mais si tu pleures pendant plusieurs jours, que tu ne peux ni dormir ni manger, que tu n’es pas d’humeur à faire ton devoir et que tu désires même rentrer chez toi et rendre visite à tes parents, alors tu ne peux pas bien faire ton devoir et tu n’as pas mis la vérité en pratique, ce qui signifie que tu ne remplis pas tes responsabilités en honorant tes parents, et que tu vis au milieu de tes sentiments. Si tu honores tes parents tout en vivant au milieu de tes sentiments, alors tu ne remplis pas tes responsabilités et tu ne respectes pas les paroles de Dieu, parce que tu as abandonné la commission de Dieu, et tu n’es pas quelqu’un qui suit la voie de Dieu. Lorsque tu te retrouves dans ce genre de situation, si cela ne retarde pas ton devoir et n’affecte pas l’accomplissement loyal de ton devoir, tu peux faire certaines choses que tu es capable de faire pour montrer ta piété filiale envers tes parents et tu peux remplir les responsabilités que tu es capable de remplir. En somme, c’est ce que les gens doivent faire et sont capables de faire dans le cadre de l’humanité. Si tu te laisses prendre au piège de tes sentiments et que cela retarde l’accomplissement de ton devoir, alors cela contrevient complètement aux intentions de Dieu. Dieu ne t’a jamais demandé de faire cela, Dieu exige seulement que tu t’acquittes de tes responsabilités envers tes parents, c’est tout. Voilà ce que signifie avoir de la piété filiale. Quand Dieu parle d’« honorer ses parents », il y a un contexte à cela. Tu as juste besoin de remplir quelques responsabilités qui peuvent être accomplies dans toutes sortes de conditions, c’est tout. Quant à savoir si tes parents tombent gravement malades ou meurent, est-ce à toi d’en décider ? La façon dont ils mènent leur vie, le moment où ils meurent, la maladie qui les tue ou la façon dont ils meurent, ces choses ont-elles quoi que ce soit à voir avec toi ? (Non.) Elles n’ont rien à voir avec toi. Certains disent : « Je dois assumer mes responsabilités afin d’honorer mes parents. Je dois m’assurer qu’ils ne tombent pas malades, surtout d’un cancer ou d’une autre maladie mortelle. Je dois veiller à ce qu’ils vivent jusqu’à 100 ans. Ce n’est qu’alors que j’aurai vraiment rempli mes responsabilités envers eux. » Ces gens ne sont-ils pas du genre absurde ? C’est là bien évidemment l’imagination de l’homme, et ce n’est absolument pas l’exigence de Dieu. Tu ne sais même pas si tu pourras vivre jusqu’à 100 ans, et pourtant tu exiges que tes parents vivent jusqu’à cet âge : c’est là le rêve d’un fou ! Lorsque Dieu parle d’« honorer ses parents », Il te demande simplement de t’acquitter des responsabilités qui relèvent de l’humanité normale. Tant que tu ne maltraites pas tes parents et que tu ne fais rien qui contrevienne à ta conscience et à ta moralité, c’est suffisant. N’est-ce pas conforme aux paroles de Dieu ? (Si.) Bien sûr, nous avons également mentionné tout à l’heure le cas où tes parents entraveraient ta croyance en Dieu, où leur nature-essence serait celle des incrédules et des non-croyants, ou même des personnes malfaisantes et des démons, et où ils ne suivraient pas le même chemin que toi. En d’autres termes, le cas où ils ne seraient pas du tout le même genre de personne que toi, et bien que tu aies vécu dans le même foyer qu’eux pendant de nombreuses années, ils n’auraient tout simplement pas les mêmes poursuites ni le même caractère que toi et ils n’auraient en aucun cas les mêmes préférences ou aspirations que toi. Le cas où tu croirais en Dieu, et eux ne croiraient pas du tout en Dieu et résisteraient même à Dieu. Que faire dans ces circonstances ? (Les rejeter.) Dieu ne t’a pas dit de les rejeter ni de les maudire dans de telles circonstances. Dieu n’a pas dit cela. L’exigence de Dieu d’« honorer ses parents » est toujours valable. Cela signifie que pendant que tu vis avec tes parents, tu dois toujours respecter cette exigence de les honorer. Il n’y a pas de contradiction dans cette affaire, n’est-ce pas ? (Non.) Il n’y a là aucune contradiction. En d’autres termes, lorsque tu réussis à rentrer chez toi pour leur rendre visite, tu peux leur cuisiner un repas ou leur faire des raviolis et, si possible, leur acheter des produits de santé, et ils seront très satisfaits de toi. Si tu parles de ta foi et qu’ils ne l’acceptent pas ou ne croient pas, et qu’ils t’agressent verbalement, alors tu n’as pas à leur prêcher l’Évangile. S’il t’est possible de les voir, pratique de cette manière ; si ce n’est pas le cas, c’est ainsi que cela doit être, c’est l’orchestration de Dieu et tu dois t’empresser de t’éloigner d’eux et de les éviter. Quel est le principe pour cela ? Si tes parents ne croient pas en Dieu, qu’ils ne partagent pas une langue commune ou des poursuites et des objectifs communs avec toi, qu’ils ne suivent pas le même chemin que toi et qu’ils entravent et persécutent même ta croyance en Dieu, alors tu peux les discerner, voir jusqu’à leur essence et les rejeter. Bien sûr, s’ils insultent Dieu ou te maudissent, tu peux les maudire intérieurement. Alors, à quoi Dieu fait-il référence quand Il parle d’« honorer ses parents » ? Comment dois-tu pratiquer cela ? Autrement dit, si tu peux assumer tes responsabilités, alors assume-les un peu, et si tu n’as pas cette chance, ou si la friction dans tes interactions avec eux est déjà devenue trop grande, qu’il y a un conflit entre vous et que vous avez déjà atteint le point où vous ne pouvez plus vous voir, alors tu dois t'empresser de te séparer d’eux. Lorsque Dieu parle d’honorer ce genre de parents, Il veut dire que tu dois remplir tes responsabilités filiales du point de vue de ta position de fils ou de fille et faire les choses qu’un fils ou une fille doit faire. Tu ne dois pas maltraiter tes parents ni te disputer avec eux, tu ne dois pas les frapper ni leur crier dessus, tu ne dois pas les malmener et tu dois assumer tes responsabilités envers eux au mieux de tes capacités. Ce sont des choses qui doivent être réalisées dans le cadre de l’humanité. Tels sont les principes que l’on doit pratiquer pour « honorer ses parents ». Ne sont-ils pas faciles à mettre en œuvre ? Tu n’as pas besoin de traiter tes parents avec impétuosité, en disant : « Démons et incrédules que vous êtes, Dieu vous maudit jusqu’à l’étang de feu et de soufre et jusqu’à l’abîme, Il vous enverra au dix-huitième niveau de l’enfer ! » Ce n’est pas nécessaire, tu n’as pas besoin d’aller jusqu’à cet extrême. Si les circonstances le permettent et si la situation l’exige, tu peux assumer tes responsabilités filiales envers tes parents. Si ce n’est pas nécessaire ou si les circonstances ne le permettent pas et que ce n’est pas possible, tu peux te dispenser de cette obligation. Tout ce que tu as à faire est de remplir tes responsabilités filiales lorsque tu rencontres tes parents et que tu interagis avec eux. Une fois que tu as fait cela, tu as terminé ta tâche. Que penses-tu de ce principe ? (C’est bien.) Il doit y avoir des principes sur la façon dont tu traites tout le monde, y compris tes parents. Tu ne peux pas agir avec impétuosité et tu ne peux pas agresser verbalement tes parents simplement parce qu’ils persécutent ta croyance en Dieu. Il y a tellement de gens dans le monde qui ne croient pas en Dieu, il y a tellement de non-croyants et il y a tellement de gens qui insultent Dieu : vas-tu les maudire et leur crier après ? Si ce n’est pas le cas, tu ne dois pas non plus crier sur tes parents. Si tu cries sur tes parents, mais pas sur ces autres personnes, alors tu vis dans l’impétuosité et Dieu n’aime pas cela. Ne pense pas que Dieu sera satisfait de toi si tu agresses verbalement et maudis tes parents sans motif valable, en disant qu’ils sont des démons, des Satans vivant et les laquais de Satan, et en les vouant à l’enfer : ce n’est tout simplement pas le cas. Devant cette fausse démonstration de proactivité, Dieu ne te trouvera pas acceptable et ne dira pas que tu as de l’humanité. Au contraire, Dieu dira que tes actes sont pétris d’émotions et d’impétuosité. Dieu n’aimera pas que tu agisses de cette manière, c’est extrême et cela ne s’accorde pas avec Ses intentions. Il doit y avoir des principes sur la façon dont tu traites tout le monde, y compris tes parents : qu’ils croient en Dieu ou non et qu’ils soient ou non des personnes malfaisantes, tu dois les traiter avec des principes. Dieu a dit à l’homme ce principe : il s’agit de traiter les autres équitablement, les gens ont tout simplement un degré supplémentaire de responsabilité envers leurs parents. Tout ce que tu as à faire est d’assumer cette responsabilité. Que tes parents soient croyants ou non, qu’ils poursuivent leur croyance ou non, que leur vision de la vie et leur humanité s’alignent ou non avec la tienne, il faut juste que tu assumes ta responsabilité vis-à-vis d’eux. Tu n’as pas besoin de les éviter : laisse simplement tout suivre son cours naturel, selon les orchestrations et les arrangements de Dieu. S’ils entravent ta croyance en Dieu, alors tu dois quand même remplir tes responsabilités filiales au mieux de tes capacités, afin qu’au moins ta conscience ne se sente pas redevable envers eux. S’ils ne t’entravent pas et qu’ils soutiennent ta croyance en Dieu, alors tu dois également pratiquer selon les principes, en les traitant bien quand il convient de le faire. En somme, quoi qu’il arrive, les exigences de Dieu envers l’homme ne changent pas, et les vérités-principes que les gens doivent pratiquer ne sauraient changer non plus. Dans ces domaines, tu dois simplement respecter les principes et assumer les responsabilités dont tu es capable.
Je vais maintenant parler de la raison pour laquelle Dieu a mis en avant une exigence concernant le comportement de l’homme comme « honorer ses parents ». Les autres exigences de Dieu sont toutes des règles de comportement qui portent sur le comportement individuel de chaque personne, alors pourquoi Dieu a-t-Il énoncé un autre type d’exigence sur la question de la piété filiale ? Dites-Moi : si une personne ne peut même pas honorer ses propres parents, comment qualifier sa nature-essence ? (Mauvaise.) Ses parents ont beaucoup souffert pour la mettre au monde et l’élever et à coup sûr, l’élever n’a pas dû être facile ; et en fait, ils ne s’attendent pas à ce que leur enfant leur apporte un grand bonheur ou un grand contentement, ils espèrent simplement qu’après que leur enfant aura grandi, il vivra une vie heureuse et qu’ils n’auront pas trop à s’inquiéter pour lui. Mais leur enfant ne fait pas d’efforts et ne travaille pas dur, et il ne vit pas bien : il compte toujours sur ses parents pour prendre soin de lui et il est devenu un parasite qui non seulement ne les honore pas, mais cherche aussi à les intimider et à les faire chanter pour les déposséder de leurs biens. S’il est capable d’avoir ce genre de comportement ignoble, quel genre de personne est-il ? (Une personne avec une mauvaise humanité.) Il ne remplit aucune de ses responsabilités envers les personnes qui l’ont fait naître et l’ont élevé et il n’en ressent aucune culpabilité. Si vous le regardez sous cet angle, a-t-il une conscience ? (Non.) Il frappera et insultera n’importe qui, y compris ses parents. Il traite ses parents comme n’importe qui d’autre, en les frappant et en les agressant verbalement à sa guise. Lorsqu’il n’est pas content, il décharge sa colère sur ses parents, brisant des bols et des assiettes et en les terrifiant. Une telle personne possède-t-elle la raison ? (Non.) Si quelqu’un ne possède ni conscience ni raison et qu’il est capable de maltraiter jusqu’à ses propres parents, est-ce alors une personne ? (Non.) Qu’est-il, alors ? (Une bête.) C’est une bête. Cette affirmation est-elle exacte ? (Oui.) En fait, si une personne remplit certaines de ses responsabilités envers ses parents, prend soin d’eux et les aime tendrement, ne sont-ce pas là des choses que les gens avec une humanité normale devraient posséder naturellement ? (Si.) Si une personne devait maltraiter et malmener ses parents, sa conscience pourrait-elle l’accepter ? Une personne normale pourrait-elle faire ce genre de chose ? Les gens qui possèdent conscience et raison ne pourraient pas faire cela : s’ils mettaient leurs parents en colère, ils en seraient malheureux pendant plusieurs jours. Certaines personnes ont un caractère impétueux et peuvent se mettre en colère contre leurs parents dans un moment de désespoir, mais après cela, leur conscience leur fera des reproches, et même si elles ne s’excusent pas, elles ne le feront plus. C’est quelque chose que les gens dotés d’une humanité normale devraient posséder, et c’est une effusion d’humanité normale. Ceux qui ne possèdent pas d’humanité peuvent maltraiter leurs parents de n’importe quelle manière sans rien ressentir, et c’est ce qu’ils font. Si leurs parents les ont frappés une fois quand ils étaient enfants, ils s’en souviendront toute leur vie et une fois devenus grands, ils voudront toujours frapper leurs parents à leur tour. Si leurs parents les ont frappés lorsqu’ils étaient enfants, la plupart des gens ne ripostent pas une fois devenus adultes : certaines personnes dans la trentaine ne ripostent pas lorsque leurs parents les frappent, et elles n’en disent pas un mot, même si cela fait mal. Voilà ce que les gens avec une humanité normale devraient posséder. Pourquoi n’en disent-ils pas un mot ? Si quelqu’un d’autre devait les frapper, l’autoriseraient-ils et se laisseraient-ils frapper ? (Non.) Si c’était quelqu’un d’autre, qui qu’il soit, ils ne permettraient pas à cette personne de les frapper : ils ne lui permettraient même pas de leur dire la moindre parole agressive. Alors pourquoi ne répliquent-ils pas et ne se mettent-ils pas en colère si leurs parents les frappent d’une quelconque manière ? Pourquoi le tolèrent-ils ? N’est-ce pas parce qu’il y a de la conscience et de la raison dans leur humanité ? Ils se disent : « Mes parents m’ont élevé. Même si ce n’est pas bien qu’ils me frappent, je dois le supporter. De plus, c’est moi qui les ai mis en colère, donc je mérite d’être frappé. Ils le font uniquement parce que je leur ai désobéi et que je les ai mis en colère. Je mérite d’être frappé ! Je ne ferai plus jamais cela. » N’est-ce pas la raison que les gens dotés d’une humanité normale devraient posséder ? (Si.) C’est cette raison d’humanité normale qui leur permet de supporter que leurs parents les traitent de cette façon. Telle est l’humanité normale. Alors, les gens qui ne supportent pas ce genre de traitement, qui frappent leurs parents en retour, possèdent-ils cette humanité ? (Non.) Effectivement, ils ne la possèdent pas. Les gens qui ne possèdent pas la conscience et la raison de l’humanité normale sont même capables de frapper et d’agresser verbalement leurs propres parents, alors comment seront-ils capables de traiter Dieu et leurs frères et sœurs dans l’Église ? S’ils sont capables de traiter de cette manière les personnes qui les ont fait naître et les ont élevés, ne se soucieront-ils pas encore moins des autres personnes qui ne leur sont pas liées par le sang ? (En effet.) Comment traiteront-ils Dieu, qu’ils ne peuvent ni voir ni toucher ? Seront-ils capables de traiter Dieu, qu’ils ne peuvent pas voir, avec conscience et raison ? Seront-ils capables de se soumettre à tous les environnements que Dieu a orchestrés ? (Non.) Si Dieu devait les émonder, les juger ou les châtier, Lui résisteraient-ils ? (Oui.) Réfléchissez à ceci : quelle fonction la conscience et la raison d’une personne remplissent-elles ? Dans une certaine mesure, la conscience et la raison d’une personne peuvent restreindre et réguler son comportement : cela lui permet d’adopter la bonne attitude et de faire les bons choix quand les choses lui arrivent, et d’aborder tout ce qui lui arrive avec sa conscience et sa raison. La plupart du temps, agir selon sa conscience et sa raison permettra d’éviter bien des malheurs. Bien sûr, les gens qui poursuivent la vérité peuvent choisir de suivre le chemin de la poursuite de la vérité sur cette base, d’entrer dans la vérité-réalité et de se soumettre aux orchestrations et aux dispositions de Dieu. Ceux qui ne poursuivent pas la vérité manquent d’humanité, et ils ne possèdent pas ce genre de conscience et de raison. Les conséquences en sont terribles. Ils sont capables de faire n’importe quoi à Dieu, tout comme la façon dont les pharisiens ont traité le Seigneur Jésus, ils sont capables d’insulter Dieu, de se venger de Dieu, de blasphémer Dieu ou même d’accuser et de trahir Dieu. Ce problème est très grave : cela ne signifie-t-il pas des troubles ? Souvent, les gens qui n’ont pas la raison de l’humanité se vengent des autres par leur impétuosité. Ils ne sont pas retenus par la raison de l’humanité, il leur est donc facile de développer des pensées et des points de vue extrêmes, puis de s’engager dans un comportement extrême et d’agir de nombreuses manières dépourvues de conscience et de raison, si bien que finalement, les conséquences deviennent totalement incontrôlables. J’ai plus ou moins fini d’échanger sur « honorer ses parents » et sur la pratique de la vérité : en fin de compte, c’est une question d’humanité. Pourquoi Dieu a-t-Il mis en avant une exigence comme « honorer ses parents » ? Parce que cela concerne le comportement de l’homme. D’une part, Dieu utilise cette exigence pour réguler le comportement de l’homme, et en même temps, Il met à l'épreuve et définit l’humanité des gens à travers elle. Si une personne ne traite pas ses parents avec conscience et raison, alors elle n’a certainement pas d’humanité. Certains diront : « Et si les parents n’ont pas une bonne humanité et ne se sont pas totalement acquittés de leurs responsabilités envers leur enfant, cette personne devrait-elle encore faire preuve de piété filiale envers eux ? » Si elle possède une conscience et une raison, alors en tant que fille ou fils, elle ne malmènera pas ses parents. Les gens qui malmènent leurs parents n’ont absolument pas de conscience ni de raison. Ainsi, quelle que soit l’exigence que Dieu met en avant, qu’elle se rapporte à l’attitude avec laquelle les gens traitent leurs parents ou à l’humanité que les gens vivent et révèlent habituellement, dans tous les cas, si Dieu a émis ces façons d’aborder les comportements extérieurs, c’est qu’Il doit avoir Ses propres raisons et objectifs de le faire. Bien que ces exigences comportementales mises en avant par Dieu soient encore quelque peu éloignées de la vérité, elles n’en demeurent pas moins des normes que Dieu a établies pour réguler le comportement de l’homme. Elles sont toutes chargées de sens et elles sont toujours valables aujourd’hui.
Je viens d’échanger sur les divers liens et différences entre les critères de comportement que Dieu a mis en avant pour l’homme et les vérités qu’Il exige. À ce stade, n’avons-nous pas plus ou moins fini d’échanger sur les bons comportements qui font partie des choses que les gens croient être justes et bonnes dans leurs notions ? Après notre échange autour de cette question, nous avons échangé sur certaines normes et dictons que Dieu a proposées pour réguler le comportement de l’homme et ce que l’homme vit, et nous avons énuméré quelques exemples : ne pas frapper ou agresser verbalement les autres, honorer ses parents, ne pas fumer, ne pas boire, ne pas voler, ne pas profiter des autres, ne pas faire de faux témoignage, ne pas adorer des idoles, et autres. Bien sûr, ce ne sont là que les principales et il y a bien d’autres détails dans lesquels nous n’entrerons pas. Donc, après avoir échangé sur ces choses, quelles vérités devriez-vous avoir acquises ? Quels principes devez-vous pratiquer ? Que devez-vous faire ? Devez-vous respecter les personnes âgées et de prendre soin des jeunes ? Devez-vous être une personne courtoise ? Devez-vous être aimables et accessibles ? Les femmes doivent-elles être douces et raffinées ou instruites et sensées ? Les hommes doivent-ils être formidables, ambitieux et accomplis ? Non. Bien sûr, nous avons beaucoup échangé. Ces choses que la culture traditionnelle préconise sont clairement utilisées par Satan pour fourvoyer les gens. Ce sont des choses très trompeuses, et ce sont des choses qui trompent les gens. Vous devez vous examiner et voir si vous nourrissez encore l’une de ces pensées et opinions ou comportements et manifestations. Si oui, alors vous devez vous empresser de chercher la vérité pour les résoudre, puis accepter la vérité et vivre selon les paroles de Dieu. De cette façon, vous pourrez obtenir l’approbation de Dieu. Vous devez réfléchir à ce qu’était votre état intérieur lorsque vous viviez selon la culture traditionnelle et à ce que vous ressentiez au plus profond de votre cœur, à ce que vous avez gagné et à ce qu’en a été le résultat, puis voir ce que vous ressentez quand vous vous comportez conformément aux normes que Dieu a exigées de l’homme, comme être retenu, posséder une sainte décence, ne pas frapper ni agresser verbalement les autres, et ainsi de suite. Voyez lequel de ces modes de vie vous permet de vivre plus facilement, plus librement, de façon plus stable, plus paisible et avec plus d’humanité, et lequel vous donne l’impression de vivre derrière un faux masque et rend votre vie particulièrement fausse et misérable. Voyez lequel de ces modes de vie vous permet de vivre toujours plus près des exigences de Dieu et normalise toujours plus votre relation avec Dieu. Lorsque vous en ferez l’expérience, vous le saurez. Seule la pratique des paroles de Dieu et de la vérité peut vous apporter libération et liberté et vous permettre d’obtenir l’approbation de Dieu. Supposons, par exemple, que pour faire dire aux autres que tu respectes les personnes âgées, que tu prends soin des jeunes, que tu te conformes aux règles et que tu es une bonne personne, chaque fois que tu rencontres un frère ou une sœur âgée, tu l’appelles « frère aîné » ou « sœur aînée », n’osant jamais les appeler par leur nom, te sentant trop gêné pour les appeler par leur nom et pensant que ce serait très irrespectueux. Cette notion traditionnelle consistant à respecter les personnes âgées et à prendre soin des jeunes est cachée dans ton cœur, si bien que lorsque tu vois une personne âgée, tu agis de manière très douce et gentille, comme si tu étais très respectueux des règles et cultivé et que tu ne pouvais pas t’empêcher de t’incliner d’un angle de 15 degrés à 90 degrés. Tu traites les personnes âgées avec respect : plus la personne en face de toi est âgée, plus tu fais semblant d’être bien éduqué. Est-ce une bonne chose d’être bien éduqué comme cela ? C’est vivre sans colonne vertébrale et sans dignité. Quand les gens qui sont ainsi voient un jeune enfant, ils se font mignons et enjoués, tout comme un enfant. Lorsqu’ils voient un de leurs pairs, ils se tiennent bien droits et se comportent comme des adultes, pour que les autres n’osent pas leur manquer de respect. Quel genre de personnes sont-ils ? Ne sont-ils pas des personnes aux multiples visages ? Ils changent vraiment vite, n’est-ce pas ? Quand ils voient une personne âgée, ils l’appellent « grand-père aîné » ou « grand-mère aînée ». Quand ils voient quelqu’un d’un peu plus âgé qu’eux, ils l’appellent « oncle », « tante », « grand frère » ou « grande sœur ». Lorsqu’ils rencontrent quelqu’un de plus jeune qu’eux, ils l’appellent « petit frère » ou « petite sœur ». Ils donnent aux gens des titres et des surnoms différents selon leur âge et ils utilisent ces façons de s’adresser aux gens de manière très précise et exacte. Ces choses sont devenues pour eux des automatismes et ils sont capables de les employer avec une grande facilité. C’est surtout une fois qu’ils croient en Dieu qu’ils le font avec une conviction apparente d’autant plus forte : « Maintenant, je suis croyant, je dois être respectueux des règles et cultivé ; je dois être instruit et sensé. Je ne dois pas enfreindre les règles ni être rebelle comme ces jeunes à problèmes et non-croyants et car les gens n’aimeraient pas ça. Si je veux que tout le monde m’aime, je dois respecter les personnes âgées et prendre soin des jeunes. » Ainsi, ils réglementent encore plus strictement leur comportement, divisant les personnes en différents niveaux en fonction de leur âge, et en leur attribuant à tous des titres et des surnoms, puis en mettant constamment cela en pratique dans leur vie quotidienne. Alors, ils pensent de plus en plus souvent : « Regardez-moi, j’ai vraiment changé depuis que je crois en Dieu. Je suis instruit, sensé et courtois, je respecte les personnes âgées, je prends soin des jeunes et je suis aimable. Je vis véritablement une ressemblance humaine. Je sais appeler chaque personne que je rencontre par son titre, quel que soit son âge. Je n’avais pas besoin que mes parents m’apprennent cela et je n’avais pas besoin que les gens autour de moi me disent de le faire, je savais le faire. » En mettant en pratique ces bons comportements, ils pensent qu’ils ont véritablement de l’humanité, qu’ils respectent véritablement les règles et que Dieu doit aimer cela : ne se trompent-ils pas eux-mêmes et ne trompent-ils pas les autres ? À partir de maintenant, tu dois abandonner ces choses-là. J’ai déjà raconté l’histoire de Daming et Xiaoming, une histoire qui portait sur le respect des personnes âgées et le fait de prendre soin des jeunes, n’est-ce pas ? (Oui.) Certains, lorsqu’ils voient une personne âgée, pensent que l’appeler « frère aîné » ou « sœur aînée » n’est pas assez courtois et que cela ne l’incitera pas à penser qu’ils sont suffisamment bien éduqués, alors ils l’appellent « grand-père aîné » ou « grand tante aînée ». Il semble que tu lui as montré suffisamment de respect, et d’où vient ton respect pour ces personnes ? Ton visage ne laisse pas penser que tu respectes les autres. Tu as un regard effrayant et féroce, impétueux et arrogant, et tu es plus arrogant dans tes actions que toute autre personne. Non seulement tu ne recherches pas les vérités-principes, mais tu ne consultes personne d’autre : tu fais ta propre loi et tu n’as pas une once d’humanité. Tu regardes qui a un statut, puis tu l’appelles « grand oncle aîné» ou « grand tante aînée » dans l’espoir de recevoir les éloges des gens pour cela : est-ce que faire semblant est utile ? Auras-tu de l’humanité et de la morale si tu fais ainsi semblant ? Non, au contraire, lorsque d’autres personnes te verront agir ainsi, tu ne susciteras que d’autant plus de dégoût en elles. Lorsque se présentent des situations qui mettent en jeu les intérêts de la maison de Dieu, tu es capable de brader littéralement les intérêts de la maison de Dieu. Tu ne vis que pour te satisfaire toi-même, et tout en possédant ce genre d’humanité, tu appelles toujours les gens « grand tante aînée » : n’est-ce pas là faire semblant ? (Si.) Tu es vraiment doué pour faire semblant ! Dites-Moi, est-ce que de tels gens ne sont pas dégoûtants ? (Si.) Ces gens-là vendent toujours les intérêts de la maison de Dieu : ils ne les protègent en rien. Ils mordent la main qui les nourrit et ils ne méritent pas de vivre dans la maison de Dieu. Examinez-vous et voyez les pensées, les opinions, les attitudes, les approches et les façons de traiter les gens qui sont encore les vôtres et qui sont des choses que l’humanité reconnaît généralement comme de bons comportements et qui sont, en réalité, précisément les choses que Dieu déteste. Vous devriez vous empresser de vous défaire de ces choses sans valeur, et certainement pas vous y accrocher. Certains diront : « Qu’y a-t-il de mal à agir ainsi ?» Si tu agis ainsi, tu Me dégoûteras et Je te détesterai, tu ne dois absolument pas agir ainsi. Certains diront alors : « Ce n’est pas grave si nous Te dégoûtons, nous ne vivons pas avec Toi, après tout. » Tu ne dois malgré tout pas agir ainsi, même si nous ne vivons pas ensemble. Tu Me dégoûteras parce que tu n’es pas capable d’accepter ni de pratiquer la vérité, ce qui signifie que tu ne peux pas être sauvé. Par conséquent, il serait préférable que tu abandonnes ces choses dès que possible. Ne fais pas semblant et ne vis pas derrière un faux masque. Je pense que les Occidentaux sont très normaux à cet égard. Par exemple, en Amérique, il te suffit d’appeler les gens par leur nom. Tu n’as pas besoin d’appeler gauchement telle personne « grand-père » et telle autre « grand-mère » et tu n’as pas à te soucier des gens qui te jugent : tu peux simplement appeler les gens par leur nom, d’une manière digne, et quand les gens t’entendront le faire, ils seront très contents, adultes comme enfants, et ils penseront que tu es respectueux. En revanche, si tu connais leur nom, mais que tu les appelles tout de même « monsieur » ou « tante », ils n’apprécieront pas, ils t’ignoreront et tu trouveras cela très étrange. La culture occidentale est différente de la culture traditionnelle chinoise. Les Chinois ont été endoctrinés et influencés par la culture traditionnelle et ils veulent toujours avoir une position élevée, être l’aîné du groupe et se faire respecter par les autres. Il ne suffit pas qu’ils soient appelés « grand-père » ou « grand-mère », ils veulent que les gens ajoutent un « aîné » devant et les appellent « grand-père aîné », « grand-mère aînée » ou « grand-oncle aîné ». Ensuite, il y a aussi « grande tante » ou « grand-oncle » : s’ils ne sont pas appelés « aînés », alors ils veulent être appelés « grands ». Ces gens-là ne sont-ils pas dégoûtants ? Quel genre de tempérament est-ce-là ? N’est-ce pas misérable ? C’est tellement dégoûtant ! Non seulement ces personnes sont incapables de gagner le respect des autres, mais les autres les détestent et les méprisent, et ils s’éloignent d’elles et les rejettent. Donc, il y a une raison pour laquelle Dieu expose ces aspects de la culture traditionnelle et déteste et abandonne ces choses. C’est parce que ces choses renferment les ruses et le tempérament de Satan et qu’elles peuvent avoir un impact sur les méthodes et l’orientation du comportement de la personne. Bien sûr, elles peuvent également avoir un impact sur la perspective à partir de laquelle une personne voit les gens et les choses, en même temps, qu’elles aveuglent les gens et affectent leur capacité à choisir le bon chemin. Alors, les gens ne devraient-ils pas abandonner ces choses-là ? (Si.)
Les Chinois ont été très profondément influencés par la culture traditionnelle. Bien sûr, chaque pays du monde a sa propre culture traditionnelle et ces cultures traditionnelles ne diffèrent qu’à la marge. Bien que certains de leurs dictons diffèrent de ceux de la culture traditionnelle chinoise, ils sont de même nature. Ces dictons existent tous parce que les gens ont des tempéraments corrompus et manquent d’humanité normale, ils utilisent donc des comportements très trompeurs, qui semblent bons en apparence, qui s’accordent avec les notions et l’imaginaire de l’homme, que les gens peuvent facilement mettre en œuvre, avec lesquels ils peuvent facilement se mettre en valeur, de sorte qu’ils paraissent très courtois, nobles et respectables et qu’ils semblent avoir de la dignité et de l’intégrité. Mais ce sont précisément ces aspects de la culture traditionnelle qui obscurcissent les yeux des gens et les trompent, et ce sont précisément ces choses qui empêchent les gens de vivre une véritable ressemblance humaine. Pire encore, Satan utilise ces choses pour corrompre l’humanité des gens et les détourner du droit chemin. N’est-ce pas ? (Si.) Dieu dit aux gens de ne pas voler, de ne pas commettre l’adultère, et autres, tandis que Satan dit aux gens qu’ils doivent être instruits et sensés, doux et raffinés, courtois, et ainsi de suite. N’est-ce pas à l’opposé des exigences que Dieu a mises en avant ? N’est-ce pas délibérément en contradiction avec les exigences de Dieu ? Satan enseigne aux gens à utiliser des méthodes, des comportements et des façons de vivre extérieures pour tromper les autres. Qu’est-ce que Dieu enseigne aux gens ? Qu’ils ne doivent pas adopter de comportements extérieurs pour obtenir faussement la confiance des autres et qu’ils doivent plutôt se comporter en fonction de Ses paroles et de la vérité. C’est ainsi qu’ils deviendront dignes de la confiance des autres. Seules ces personnes-là ont de l’humanité. N’y a-t-il pas ici une différence ? Il y a une grande différence. Dieu te dit comment te comporter, tandis que Satan te dit comment faire semblant et comment tromper les autres : cela ne fait-il pas une grande différence ? Alors, comprenez-vous maintenant ce que les gens devraient choisir, à la fin ? Lequel de ces chemins est le bon ? (Les paroles de Dieu.) Effectivement, les paroles de Dieu sont le bon chemin dans la vie. Quel que soit le type d’exigence que les paroles de Dieu mettent en avant concernant le comportement de l’homme, même s’il s’agit d’une règle, d’un commandement ou d’une loi dont Dieu a parlé à l’homme, il ne fait aucun doute que toutes ces exigences sont correctes, et que les gens doivent les respecter. Et cela tient au fait que les paroles de Dieu seront toujours le bon chemin et des choses positives, tandis que les paroles de Satan trompent et corrompent les gens, qu’elles renferment les stratagèmes de Satan et qu’elles ne sont pas le bon chemin, quelle que soit la manière dont elles s’accordent avec les goûts, les notions et l’imaginaire des gens. Comprenez-vous cela ? (Oui.) Que ressentez-vous après avoir entendu le contenu de l’échange d’aujourd’hui ? Est-ce lié à la vérité ? (Oui.) Aviez-vous compris cet aspect de la vérité auparavant ? (Pas assez clairement.) Le comprenez-vous clairement maintenant ? (Plus qu’avant.) En somme, la compréhension de ces vérités sera bénéfique pour les gens plus tard. Ce sera avantageux pour leur poursuite future de la vérité, leur manifestation avec humanité ainsi que le but et la direction de ce qu’ils poursuivent dans la vie.
Le 26 février 2022
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