Paroles de Dieu quotidiennes : Connaître l'œuvre de Dieu | Extrait 193

13 octobre 2020

À l'ère de la Grâce, quand Dieu est retourné au troisième ciel, l'œuvre de la rédemption de toute l'humanité par Dieu était déjà passée à sa dernière partie. Tout ce qui restait sur terre était la croix que Jésus avait portée, le lin fin dans lequel Jésus avait été enveloppé, et la couronne d'épines et le manteau écarlate que Jésus avait portés (ce sont des objets avec lesquels les Juifs s'étaient moqués de Lui). C'est-à-dire qu'après que l'œuvre de la crucifixion de Jésus avait fait sensation, les choses s'étaient à nouveau calmées. Dès lors, les disciples de Jésus commencèrent à propager Son œuvre, guidant et abreuvant les Églises partout. Le contenu de leur travail était le suivant : ils ont demandé à tous les hommes de se repentir, de confesser leurs péchés et d'être baptisés ; et les apôtres ont propagé la véritable histoire, le récit exact de la crucifixion de Jésus, et donc tout le monde ne pouvait s'empêcher de se jeter aux pieds de Jésus pour confesser ses péchés ; de plus, les apôtres sont allés partout pour transmettre les paroles prononcées par Jésus. De là a commencé la fondation d'Églises à l'ère de la Grâce. Pendant cette ère, Jésus a également parlé de la vie de l'homme et de la volonté du Père céleste, sauf que, parce que c'était une ère différente, beaucoup de ces paroles et pratiques différaient considérablement de celles d'aujourd'hui. Cependant, en substance, elles sont les mêmes : elles sont les unes et les autres l'œuvre de l'Esprit de Dieu dans la chair, de façon précise et exacte. Ce genre d'œuvre et de déclarations a continué jusqu'à ce jour, et ainsi, cette sorte de chose est encore partagée au sein des institutions religieuses d'aujourd'hui et est totalement inchangée. Lorsque l'œuvre de Jésus fut achevée et que les Églises eurent déjà emprunté la bonne voie de Jésus-Christ, Dieu a néanmoins inauguré Son plan pour une autre étape de Son œuvre, qui consistait dans Sa venue dans la chair dans les derniers jours. Selon l'homme, la crucifixion de Dieu avait déjà conclu l'œuvre de l'incarnation de Dieu, racheté toute l'humanité, et Lui avait permis de S'emparer de la clé de l'Hadès. Tous les gens pensent que l'œuvre de Dieu est terminée. En fait, du point de vue de Dieu, seule une petite partie de Son œuvre avait été réalisée. Il avait seulement racheté l'humanité ; Il n'avait pas conquis l'humanité, encore moins avait-Il changé le visage satanique de l'homme. Voilà pourquoi Dieu dit : « Bien que Ma chair incarnée ait subi la douleur de la mort, tel n'était pas le seul but de Mon incarnation. Jésus est Mon Fils bien-aimé et a été cloué sur la croix pour Moi, mais Il n'a pas accompli Mon œuvre de manière exhaustive. Il n'en a fait qu'une partie. » Ainsi Dieu a inauguré le deuxième cycle du plan pour continuer l'œuvre de l'incarnation. Le dessein ultime de Dieu était de perfectionner et d'acquérir tous les gens sauvés des griffes de Satan, raison pour laquelle Dieu S'est à nouveau préparé à affronter le danger de la venue dans la chair. L'« incarnation » fait référence à Celui qui n'apporte pas de gloire (parce que l'œuvre de Dieu n'est pas encore terminée), mais qui apparaît sous l'identité du Fils bien-aimé, et qui est le Christ en qui Dieu a mis toute Son affection. C'est pourquoi cela est appelé « affronter le danger ». La chair incarnée est de très faible puissance et doit faire preuve d'une grande prudence, et Sa puissance est aux antipodes de l'autorité du Père céleste ; Il ne remplit que le ministère de la chair, achevant l'œuvre de Dieu le Père et Sa commission sans S'impliquer dans une autre œuvre, et Il achève seulement une partie de l'œuvre. C'est pourquoi Dieu a été nommé « le Christ » aussitôt qu'Il est venu sur terre. C'est le sens profond de ce nom. La raison pour laquelle la venue est dite accompagnée de tentations est qu'une seule partie de l'œuvre est accomplie. En outre, la raison pour laquelle Dieu le Père L'appelle seulement « Christ » et « Fils bien-aimé », et ne Lui a pas donné toute la gloire, est précisément parce que la chair incarnée vient accomplir une partie de l'œuvre, non pour représenter le Père dans le ciel, mais plutôt pour accomplir le ministère du Fils bien-aimé. Lorsque le Fils bien-aimé aura accompli toute la commission qu'Il a prise sur Ses épaules, le Père Lui donnera alors toute la gloire ainsi que l'identité de Père. On peut dire que c'est « le code du ciel ». Parce que Celui qui est venu dans la chair et le Père dans le ciel sont dans deux domaines différents, les deux Se regardent l'un l'autre seulement en Esprit, le Père surveillant le Fils bien-aimé, mais le Fils étant incapable de voir le Père de loin. C'est parce que les fonctions de la chair sont trop minimes et qu'Il peut être assassiné à tout moment que l'on dit que cette venue est accompagnée du plus grand danger. C'est l'équivalent de Dieu livrant Son Fils bien-aimé de nouveau et Le plaçant dans la gueule du tigre où Sa vie est en danger, Le plaçant à l'endroit où Satan est le plus concentré. Même dans ces circonstances désespérées, Dieu a quand même livré Son Fils bien-aimé aux gens d'un endroit rempli de souillure et de débauche afin qu'ils « L'élèvent jusqu'à l'âge adulte ». En effet, agir ainsi est le seul moyen de faire en sorte que l'œuvre de Dieu semble convenable et naturelle et le seul moyen de satisfaire tous les désirs de Dieu le Père et d'achever la dernière partie de Son œuvre parmi les hommes. Jésus n'a rien fait de plus que d'accomplir une étape de l'œuvre de Dieu le Père. En raison de la barrière imposée par la chair incarnée et des différences dans l'œuvre à accomplir, Jésus Lui-même ne savait pas qu'il y aurait un retour dans la chair. Ainsi, aucun commentateur de la Bible ni aucun prophète n'a osé prophétiser clairement que Dieu S'incarnerait à nouveau dans les derniers jours, c'est-à-dire qu'Il reviendrait dans la chair pour faire la deuxième partie de Son œuvre dans la chair. Par conséquent, personne ne s'est rendu compte que Dieu S'était déjà caché dans la chair depuis longtemps. Pas étonnant, puisque ce n'est qu'après que Jésus est ressuscité et monté au ciel qu'Il a accepté cette commission, donc il n'y a pas de prophétie claire au sujet de la seconde incarnation de Dieu, et c'est insondable pour l'intelligence humaine. Dans tous les nombreux livres de prophéties de la Bible, il n'y a aucun mot qui mentionne cela clairement. Mais quand Jésus est venu œuvrer, il y avait déjà eu une prophétie qui disait clairement qu'une vierge deviendrait enceinte et enfanterait un fils, c'est-à-dire qu'Il serait conçu du Saint-Esprit. Même ainsi, Dieu a quand même déclaré que cela était arrivé au risque de mourir, alors ne serait-ce pas encore plus le cas aujourd'hui ? Pas étonnant que Dieu dise que cette incarnation se produit au risque de dangers des milliers de fois plus grands que ceux de l'ère de la Grâce. Dans de nombreux endroits, Dieu a prophétisé qu'Il acquerrait un groupe de vainqueurs dans le pays de Sinim. Puisque c'est dans l'est du monde que les vainqueurs doivent être acquis, l'endroit où Dieu met les pieds dans Sa seconde incarnation est sans aucun doute le pays de Sinim, le lieu exact où le grand dragon rouge est enroulé sur lui-même. Là, Dieu acquerra les descendants du grand dragon rouge afin qu'il soit complètement vaincu et humilié. Dieu réveillera ces gens accablés de souffrances, les réveillera complètement, les fera sortir de la brume et rejeter le grand dragon rouge. Ils se réveilleront de leur sommeil, reconnaîtront le grand dragon rouge tel qu'il est réellement, seront capables de donner leur cœur entier à Dieu, se libéreront de l'oppression des forces obscures, se lèveront du côté de l'est du monde et deviendront la preuve de la victoire de Dieu. Ce n'est que de cette manière que Dieu acquerra la gloire. Pour cette seule raison, Dieu a apporté l'œuvre qui a pris fin en Israël au pays où le grand dragon rouge est enroulé sur lui-même et, près de deux mille ans après Son départ, Il est revenu dans la chair pour continuer l'œuvre de l'ère de la Grâce. Aux yeux de l'homme, Dieu commence une nouvelle œuvre dans la chair. Mais selon le point de vue de Dieu, c'est Lui-même qui continue l'œuvre de l'ère de la Grâce, seulement avec un interrègne de quelques milliers d'années et seulement avec un changement du lieu de l'œuvre et du programme de Son œuvre. Bien que l'image que le corps de la chair a prise dans l'œuvre d'aujourd'hui semble une personne tout à fait différente de Jésus, Ils viennent de la même essence, de la même racine et de la même source. Ils ont peut-être beaucoup de différences extérieures, mais les vérités intérieures de Leur œuvre sont complètement identiques. Les ères, après tout, sont aussi différentes que la nuit et le jour. Comment l'œuvre de Dieu peut-elle suivre un modèle qui ne change pas ? Ou comment différentes étapes de Son œuvre peuvent-elles ne pas se faire obstacle ?

– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (6)

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