Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (12) Section 1
Lors de notre dernière réunion, nous avons échangé à propos du dixième point des responsabilités des dirigeants et des ouvriers : « Sauvegarder correctement et allouer raisonnablement les différents biens matériels de la maison de Dieu (livres, équipements divers, céréales, etc.), et procéder régulièrement à des inspections, à l’entretien et aux réparations pour minimiser dégâts et gaspillage, et aussi pour empêcher les personnes malfaisantes d’en prendre possession. » L’échange à propos du dixième point portait sur le travail que les dirigeants et les ouvriers devraient effectuer et les responsabilités dont ils devraient s’acquitter concernant les différents biens matériels de la maison de Dieu et, dans le même temps, il exposait par comparaison les diverses manifestations des faux dirigeants. Si les dirigeants et les ouvriers s’acquittent des responsabilités qui leur incombent et de celles qu’ils sont capables d’endosser pour chaque point du travail de la maison de Dieu, alors ils sont à la hauteur en tant que dirigeants et ouvriers ; s’ils ne s’acquittent pas de leurs responsabilités et n’effectuent aucun travail concret, alors il est très clair que ce sont des faux dirigeants. En ce qui concerne le dixième point, il est évident que les faux dirigeants ne font pas du bon travail pour ce qui est de protéger et d’allouer raisonnablement les différents biens matériels de la maison de Dieu ; ces biens sont mal protégés et peuvent même ne pas l’être du tout, et les faux dirigeants les allouent n’importe comment. Ils peuvent même ne pas du tout prendre au sérieux ce travail. Même s’il s’agit d’un travail des affaires générales, c’est tout de même une responsabilité dont les dirigeants et les ouvriers devraient s’acquitter et un travail qu’ils devraient effectuer. Peu importe qu’ils effectuent le travail eux-mêmes ou qu’ils prennent des dispositions pour que des personnes adaptées s’en chargent et assurent également la supervision, les inspections, le suivi, etc., dans tous les cas, ce travail est indissociable des responsabilités des dirigeants et des ouvriers ; les deux sont étroitement liés. Par conséquent, en ce qui concerne ce travail, si les dirigeants et les ouvriers ne protègent pas correctement et n’allouent pas raisonnablement les différents biens matériels de la maison de Dieu, alors ils ne s’acquittent pas de leurs responsabilités et ils font mal leur travail. C’est là l’une des manifestations des faux dirigeants. Lors de notre dernière réunion, nous avons mené une exposition et une dissection simples des manifestations dont les faux dirigeants font preuve lorsqu’ils gèrent cet aspect du travail des affaires générales, et nous avons fourni quelques exemples. Si une personne est un faux dirigeant, alors elle ne s’est absolument pas acquittée de ses responsabilités dans ce travail, et le travail qu’elle effectue n’est pas à la hauteur. Il en est ainsi parce que les faux dirigeants ne font jamais d’efforts en vue d’accomplir un travail concret ; une fois que des dispositions ont été prises, ils en ont fini avec le travail et ils n’assurent jamais son suivi et n’y participent jamais. Une autre raison principale est que les faux dirigeants ne comprennent pas les principes du travail qu’ils effectuent, quel qu’il soit. Même s’ils ne sont pas inactifs dans leur travail, ce qu’ils font ne concorde pas avec les principes et les règles exigés par la maison de Dieu ou est même en totale contradiction avec les principes. Que signifie le fait d’être en contradiction avec les principes ? Cela implique qu’ils agissent de façon imprudente et inconsidérée selon les produits de leur imagination, leur volonté, leurs émotions, etc. Alors, peu importe de quoi il s’agit, il y a deux manifestations principales des faux dirigeants en ce qui concerne ce point des responsabilités des dirigeants et des ouvriers : la première est qu’ils n’effectuent pas de travail concret et la seconde est qu’ils sont incapables de saisir les principes et donc d’effectuer du travail concret. Ce sont là les manifestations de base. Lors de notre dernière réunion, nous avons échangé sur la manière dont se manifeste l’humanité des faux dirigeants dans leur gestion de ce type de travail des affaires générales et nous l’avons exposée. Même sur ce simple et unique élément de travail, les faux dirigeants sont incapables de s’acquitter de leurs responsabilités. Ils sont capables d’effectuer ce travail, mais ils ne le font pas. Cela est lié au caractère et à l’humanité des personnes de ce genre. Quel est le problème avec leur humanité ? Ils nourrissent de mauvaises intentions et ont un piètre caractère. Nous avons essentiellement terminé notre échange sur les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, les principes généraux et les diverses manifestations des faux dirigeants dans le cadre du dixième point. Aujourd’hui, nous allons passer à l’échange sur le onzième point des responsabilités des dirigeants et des ouvriers.
Point 11 : Choisir des gens fiables dont l’humanité est à la hauteur, en particulier pour la tâche consistant à enregistrer, compter et sauvegarder systématiquement les offrandes ; passer en revue et vérifier régulièrement les entrées et sorties, de sorte que les cas de dilapidation ou de gaspillage, ainsi que les dépenses déraisonnables puissent être identifiés rapidement : mettre un terme à de telles pratiques et exiger un dédommagement raisonnable ; en outre, éviter, par tous les moyens, que les offrandes ne tombent entre les mains de personnes malfaisantes et que ces dernières en prennent possession
Définition des offrandes
Le contenu du onzième point concernant les responsabilités des dirigeants et des ouvriers est le suivant : « Choisir des gens fiables dont l’humanité est à la hauteur, en particulier pour la tâche consistant à enregistrer, compter et sauvegarder systématiquement les offrandes ; passer en revue et vérifier régulièrement les entrées et sorties, de sorte que les cas de dilapidation ou de gaspillage, ainsi que les dépenses déraisonnables puissent être identifiés rapidement : mettre un terme à de telles pratiques et exiger un dédommagement raisonnable ; en outre, éviter, par tous les moyens, que les offrandes ne tombent entre les mains de personnes malfaisantes et que ces dernières en prennent possession. » Quelles sont les responsabilités des dirigeants et des ouvriers dans ce travail ? Quel est le principal travail qu’ils sont censés effectuer ? (Sauvegarder les offrandes correctement.) Le point dix portait sur la sauvegarde et l’allocation raisonnable des différents biens matériels de la maison de Dieu ; ce point-ci traite de la sauvegarde correcte des offrandes. Les différents biens matériels de la maison de Dieu et ses offrandes ont quelques similitudes ; mais sont-ils la même chose ? (Non.) Quelle est la différence ? (Les offrandes font principalement référence à de l’argent.) L’argent en est un aspect. En quoi les différents biens matériels de la maison de Dieu et les offrandes sont-ils distincts par nature ? Les livres des paroles de Dieu sont-ils des offrandes ? Les diverses machines utilisées pour le travail en sont-elles ? Les divers produits indispensables du quotidien que la maison de Dieu achète sont-ils des offrandes ? (Non.) Alors, que sont donc ces choses-là ? Dans la maison de Dieu, tous les livres des paroles de Dieu ainsi que toutes les diverses sortes d’appareils nécessaires à son travail qu’elle achète avec de l’argent offert par le peuple élu de Dieu, notamment une variété de biens tels que des caméras, des enregistreurs audios, des ordinateurs ou des téléphones portables ; toutes ces choses sont les biens matériels de la maison de Dieu. Au-delà de ces choses, les tables, les chaises, les bancs, la nourriture et autres produits indispensables du quotidien de ce genre sont également les biens matériels de la maison de Dieu. Certains de ces objets sont achetés par les frères et sœurs, tandis que pour d’autres, la maison de Dieu les achète avec les offrandes ; ils sont tous classés en tant que biens matériels de la maison de Dieu. Nous avons échangé sur ce thème lors de notre dernière réunion. Nous allons désormais poursuivre en nous penchant sur quelque chose d’important qui fera l’objet de notre échange dans le cadre du onzième point : les offrandes. Que sont les offrandes, exactement ? De quelle manière leur champ d’application est-il déterminé ? Avant que nous n’échangions sur les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, il est nécessaire de mettre au clair la question de ce que sont les offrandes. Même si la plupart des gens croyaient en Jésus par le passé et ont accepté cette étape de l’œuvre il y a plusieurs années, le concept qu’ils ont des offrandes demeure flou. Ils ne sont pas au clair quant à ce que sont vraiment les offrandes. Certains diront que les offrandes sont de l’argent et des biens matériels qui sont offerts à Dieu, tandis que d’autres diront que les offrandes se réfèrent principalement à de l’argent. Laquelle de ces affirmations est exacte ? (Du moment que quelque chose est offert à Dieu, peu importe s’il s’agit d’argent ou d’un quelconque objet, petit ou gros, c’est une offrande.) C’est une synthèse relativement précise. Maintenant que le champ d’application et les limites des offrandes ont été clarifiés, définissons de façon précise ce que sont exactement les offrandes, de sorte que tous puissent être au clair sur le concept.
En ce qui concerne les offrandes, la Bible rapporte qu’à l’origine, Dieu a demandé à l’homme de Lui offrir la dîme : c’est là une offrande. Peu importe si la quantité offerte était grande ou petite, et indépendamment de ce qui était offert – que ce soit de l’argent ou des biens matériels – du moment que cela représentait un dixième du revenu d’une personne qui devait être offert, c’était assurément une offrande. C’était ce que Dieu demandait à l’homme, c’était ce que les croyants étaient censés offrir à Dieu. Cette dîme est un aspect des offrandes. Certains demandent : « Ce dixième ne concerne-t-il que l’argent ? » Pas nécessairement. Par exemple, si une personne récolte dix hectares de grain, alors peu importe la quantité de grain qu’il y a, la valeur d’un hectare de ce grain devrait être offerte à Dieu au bout du compte ; ce dixième est ce que les gens devraient offrir. Ainsi, le concept du « dixième » ne fait pas seulement référence à l’argent ; il ne signifie pas seulement que lorsqu’une personne gagne mille dollars, elle doit en offrir cent à Dieu, mais cela fait plutôt référence à tout ce que les gens obtiennent, ce qui couvre beaucoup plus de choses, y compris les biens matériels et l’argent. Voilà de quoi parle la Bible. Bien entendu, de nos jours, la maison de Dieu n’applique pas la Bible de manière aussi stricte en exigeant que les gens donnent un dixième de tout ce qu’ils obtiennent. Je me contente ici d’échanger sur le concept et la définition de ce « dixième » et de le disséminer, afin que les gens sachent que la dîme est un aspect des offrandes. Je ne demande pas aux gens d’offrir un dixième ; la quantité que les gens offrent dépend de leur compréhension personnelle et de leur volonté, et la maison de Dieu n’a aucune exigence supplémentaire en la matière.
Ce que les gens offrent à Dieu est un autre aspect des offrandes. D’une manière générale, cela inclut bien sûr également la dîme ; plus précisément, mis à part la dîme, tout ce que les gens offrent à Dieu entre également dans la catégorie des offrandes. Les choses qui sont offertes à Dieu couvrent un grand champ d’application, par exemple, la nourriture, les appareils, les produits de première nécessité, les compléments alimentaires, ainsi que les vaches, les brebis, etc., qui étaient offertes sur l’autel pendant la période de l’Ancien Testament. Toutes ces choses sont des offrandes. Le fait qu’une chose soit une offrande ou non dépend de l’intention de celui qui l’offre. S’il dit que telle ou telle chose est offerte à Dieu, alors, qu’elle soit donnée directement à Dieu ou placée dans la maison de Dieu pour y être sauvegardée, elle entre dans la catégorie des offrandes et les gens ne peuvent pas y toucher arbitrairement. À titre d’exemple : lorsqu’une personne achète un ordinateur dernier cri et l’offre à Dieu, ce dernier devient une offrande ; lorsque quelqu’un achète une voiture à Dieu, elle devient une offrande ; lorsque quelqu’un achète deux flacons de suppléments alimentaires et les offre à Dieu, ces flacons deviennent des offrandes. Il n’y a pas de définition spécifique et précise de ce que sont les biens matériels offerts à Dieu. En bref, c’est un champ d’application très étendu ; ce sont les choses qui sont offertes à Dieu par ceux qui Le suivent. Certains pourraient dire : « Dieu est désormais incarné sur terre, et les choses qui Lui sont offertes Lui appartiennent ; mais qu’en serait-il s’Il n’était pas sur terre ? Lorsque Dieu est au ciel, les choses qui Lui sont offertes ne sont alors pas des offrandes ? » Est-ce exact ? (Non.) Cela ne dépend pas du fait que Dieu soit en période d’incarnation ou non. Dans tous les cas, dès lors que quelque chose est offert à Dieu, c’est une offrande. D’autres pourraient dire : « Il y a tant de choses qui sont offertes à Dieu. Peut-Il s’en servir ? Peut-Il les utiliser toutes ? » (Cela ne concerne en rien l’homme.) C’est une façon correcte et incisive de le présenter. Ces choses sont offertes à Dieu par les humains ; la façon dont Il les utilise et s’Il peut les utiliser toutes, ainsi que la manière dont Il les alloue et les gère, n’ont rien à voir avec l’homme. Il est inutile de t’inquiéter ou de te faire du souci à ce sujet. Pour résumer, dès que quelqu’un offre quelque chose à Dieu, ladite chose entre dans le champ des offrandes. Elle appartient à Dieu et cela n’a rien à voir avec qui que ce soit. D’aucuns pourraient dire : « À la façon dont Tu le dis, on a l’impression que Dieu revendique de force Sa propriété sur cette chose. » Est-ce le cas ? (Non.) Cette chose appartient à Dieu, on l’appelle donc une offrande. Les gens ne peuvent pas y toucher ou l’allouer à leur guise. Certains pourraient demander : « N’est-ce pas du gaspillage ? » Même si c’est le cas, cela ne te regarde pas. D’autres pourraient dire : « Lorsque Dieu est au ciel et qu’il n’est pas incarné, Il ne peut pas profiter ou faire usage des choses que les gens Lui offrent. Que faut-il faire dans ce cas ? » Il est facile de s’en occuper : la maison de Dieu et l’Église sont là pour gérer ces choses conformément aux principes ; il est inutile que tu t’en préoccupes ou que tu t’en inquiètes. En bref, quelle que soit la manière dont une chose est gérée, dès lors qu’elle entre dans la catégorie des offrandes, dès lors qu’elle est classée comme offrande, elle n’a rien à voir avec l’homme. Et comme cette chose appartient à Dieu, les gens ne peuvent pas en faire ce qu’ils veulent ; cela porterait à conséquence. À l’époque de l’Ancien Testament, au moment de la récolte à l’automne, les gens faisaient toutes sortes d’offrandes sur les autels. Certains offraient des céréales, des fruits et diverses autres récoltes, tandis que d’autres offraient des vaches et des moutons. Dieu en a-t-Il profité ? Mange-t-Il ces choses ? (Non.) Comment sais-tu qu’Il ne le fait pas ? Est-ce que tu as vu cela ? C’est l’expression de ta notion. Tu dis que Dieu ne les mange pas ; eh bien, s’Il en prenait une bouchée, qu’en ressentirais-tu ? Cela irait-il à l’encontre de tes notions et de ton imagination ? Certaines personnes ne croient-elles pas que, étant donné que Dieu ne mange pas ces choses et n’en profite pas, il n’est pas nécessaire de les Lui offrir ? Comment pouvez-vous en être si sûrs ? Est-ce que vous dites « Dieu ne les mange pas » parce que vous pensez qu’Il est un corps spirituel et ne peut pas manger, ou parce que vous pensez que Dieu a Son identité en tant que Dieu, qu’Il n’est pas charnel ni mortel, et qu’Il ne devrait pas profiter de ces choses ? Est-il honteux pour Dieu de profiter des offrandes que les gens Lui font ? (Non.) Cela va-t-il donc à l’encontre des notions des gens, ou en désaccord avec l’identité de Dieu ? Qu’en est-il exactement ? (Les gens ne devraient pas discuter de cela.) C’est juste ; ce n’est pas quelque chose dont les gens devraient se préoccuper. Il n’est pas nécessaire pour toi de décider que Dieu doit en profiter, ni qu’Il ne doit pas en profiter. Fais ce que tu as à faire, mène à bien ton devoir et acquitte-toi de tes responsabilités, et remplis tes obligations, cela sera suffisant. Tu auras alors accompli ton travail. Quant à savoir de quelle façon Dieu gèrera ces choses, c’est Son affaire. Que Dieu les partage avec les gens, ou les laisse se détériorer, ou qu’Il profite d’une partie d’entre elles, ou qu’Il y jette un coup d’œil, cela n’est pas sujet à la critique, et c’est légitime. Dieu a Sa liberté en ce qui concerne la façon dont Il traite ces questions. C’est une chose dont les gens ne devraient pas se préoccuper et sur laquelle ils ne devraient pas porter de jugement. Les gens ne devraient pas s’en aller arbitrairement s’imaginer des choses sur ces questions, et encore moins porter arbitrairement des jugements ou rendre des verdicts à leur sujet. Comprenez-vous à présent ? De quelle manière Dieu devrait-Il traiter les offrandes que les gens Lui font ? (Il les gèrera comme Il l’entend.) C’est juste. Les gens qui comprennent cela de cette manière sont doués d’une raison normale. Dieu gèrera ces choses comme Il l’entend. Il peut jeter un coup d’œil sur elles ou simplement ne pas les regarder et ne pas en tenir compte du tout. Ne vous souciez que de faire des offrandes lorsque le moment est venu pour cela, et de faire des offrandes quand vous le souhaitez, conformément aux exigences de Dieu et en vous acquittant de la responsabilité de l’homme. Ne vous souciez pas de la manière dont Dieu gère et traite ce genre de questions. En somme, si ce que vous faites entre dans le champ d’application des exigences de Dieu et que c’est conforme à la norme de la conscience et conforme au devoir, à l’obligation et à la responsabilité de l’espèce humaine, alors c’est suffisant. Quant à la manière dont Dieu gère et traite ces objets, cela Le regarde et les gens ne doivent en aucun cas porter des jugements ou rendre des verdicts à ce sujet. Vous avez commis une grosse erreur en seulement quelques secondes. Je vous ai demandé si Dieu profitait de ces choses ou s’Il les mangeait, et vous avez dit qu’Il ne les mangeait pas et n’en profitait pas. Quelle a été votre erreur ? (De porter un jugement sur Dieu.) C’était de poser des délimitations et de porter des jugements irréfléchis, et cela prouve que les gens ont encore en eux des exigences envers Dieu. Pour eux, c’est mal de la part de Dieu de profiter de ces choses, et c’est mal de Sa part de ne pas le faire. S’Il en profite, ils diront : « Tu es un corps spirituel, pas un corps charnel et mortel. Pourquoi profiterais-Tu de ces choses ? C’est vraiment impensable ! » Et si Dieu ne prête pas attention à ces choses, les gens diront alors : « Nous avons travaillé dur pour T’offrir nos cœurs, tout ça pour que Tu ne jettes même pas un coup d’œil sur les objets que nous T’avons offerts. As-Tu la moindre considération pour nous ? » Là aussi, les gens ont quelque chose à redire. C’est là une absence de raison. En résumé, quelle est l’attitude que les gens devraient adopter dans cette affaire ? (Les gens sont censés offrir à Dieu ce qu’ils devraient offrir, et quant à la manière dont Dieu gèrera ces choses, les gens ne devraient absolument pas avoir de notions ou imaginer des choses à ce sujet, et ils ne devraient pas non plus porter de jugement à ce sujet.) Oui, telle est la raison dont les gens devraient être pourvus. Cela se rapporte aux objets qui sont offerts à Dieu, qui sont également un aspect des offrandes. Les biens matériels offerts à Dieu comprennent un vaste éventail de choses. Cela est dû au fait que les gens vivent dans un monde matériel et que, outre les ressources financières, l’or, l’argent et les bijoux, il y a beaucoup d’autres choses qu’ils considèrent comme étant plutôt bonnes et précieuses, et lorsque certaines personnes songent à Dieu ou à l’amour de Dieu, elles sont prêtes à offrir à Dieu ce qu’elles considèrent comme étant précieux et comme ayant de la valeur. Lorsque ces choses sont offertes à Dieu, elles entrent dans le champ des offrandes ; elles deviennent des offrandes. Et en même temps qu’elles deviennent des offrandes, la responsabilité de les gérer revient à Dieu ; les gens ne peuvent alors pas y toucher, elles ne sont pas sous le contrôle des gens et ne leur appartiennent pas. Une fois que tu as offert quelque chose à Dieu, celle-ci appartient à Dieu, ce n’est pas à toi de la gérer et tu ne peux plus interférer dans cette affaire. Peu importe la façon dont Dieu gère ou traite cette chose, cela n’a rien à voir avec l’homme. Les biens matériels qui sont offerts à Dieu sont également un aspect des offrandes. Certaines personnes demandent : « N’y a-t-il que les ressources financières et l’or, l’argent et les bijoux précieux qui puissent constituer des offrandes ? Supposons que quelqu’un offre une paire de chaussures, une paire de chaussettes ou une paire de semelles intérieures à Dieu : est-ce que ces choses comptent comme des offrandes ? » Si l’on se réfère à la définition des offrandes, qu’un objet soit petit ou gros, précieux ou bon marché ; même s’il s’agit d’un stylo ou d’un morceau de papier, du moment qu’il a été offert à Dieu, c’est une offrande.
Il existe un autre aspect des offrandes : les biens matériels qui sont offerts à la maison de Dieu et à l’Église. Ces choses entrent également dans la catégorie des offrandes. Que comprennent de tels biens matériels ? Imaginons, par exemple, que quelqu’un achète une voiture. Après l’avoir conduite pendant un certain temps, il estime qu’elle est devenue un peu trop vieille, puis il en achète donc une nouvelle et offre l’ancienne à la maison de Dieu pour que celle-ci puisse l’utiliser dans son travail. Cette voiture appartient alors à la maison de Dieu. Les choses qui appartiennent à la maison de Dieu devraient être classées comme des offrandes, cela est juste. Bien sûr, les appareils et l’équipement ne sont pas seulement des choses qui sont offertes à l’Église et à la maison de Dieu, il y a aussi quelques autres choses ; ce champ d’application est assez vaste. Certains disent : « Le dixième que les gens offrent sur tout ce qu’ils obtiennent est une offrande, de même que l’argent et les biens matériels offerts à Dieu ; nous n’avons aucune objection à ce qu’ils soient classés comme des offrandes, il n’y a rien de discutable là-dedans. Mais pourquoi les biens matériels offerts à l’Église et à la maison de Dieu entrent-ils dans la catégorie des offrandes ? Cela n’a pas beaucoup de sens. » Dites-Moi : est-il logique qu’ils soient classés comme des offrandes ? (Oui.) Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ? (L’Église existe parce que Dieu existe et donc tout ce qui est offert à l’Église est également une offrande.) Bien dit. L’Église et la maison de Dieu appartiennent à Dieu et elles n’existent que parce que Dieu existe ; s’il y a un endroit pour que les frères et sœurs se réunissent et vivent, c’est uniquement parce que l’Église existe, et c’est uniquement parce que la maison de Dieu existe que tous les problèmes des frères et sœurs ont un endroit où être résolus et que les frères et sœurs ont un vrai foyer. Tout cela n’existe que sur le fondement de l’existence de Dieu. Si les gens offrent des choses à l’Église et à la maison de Dieu, ce n’est pas parce que ceux qui fréquentent l’Église croient en Dieu et sont des membres de la maison de Dieu : ce n’est pas la raison correcte. C’est grâce à Dieu que les gens offrent des choses à l’Église et à la maison de Dieu. Qu’est-ce que cela implique ? Qui offrirait facilement des choses à l’Église sinon grâce à Dieu ? Sans Dieu, l’Église n’existerait pas. Quand les gens ont des choses dont ils n’ont pas besoin ou qui ne sont plus nécessaires, ils pourraient les jeter ou les laisser rester inutilisées ; certains objets pourraient aussi être vendus. Toutes ces méthodes ne pourraient-elles pas être employées pour traiter ces choses ? Alors pourquoi les gens ne les gèrent-ils pas de ces façons-là ; pourquoi les offrent-ils plutôt à l’Église ? N’est-ce pas grâce à Dieu ? (Si.) C’est précisément parce que Dieu existe que les gens offrent des choses à l’Église. Par conséquent, tout ce qui est offert à l’Église ou à la maison de Dieu devrait être classé comme une offrande. Certains disent : « Cette chose qui est à moi, je l’offre à l’Église. » Offrir cette chose à l’Église revient à l’offrir à Dieu, et l’Église et la maison de Dieu ont la pleine autorité pour la gestion de ces choses. Quand tu offres un objet à l’Église, il perd tout lien avec toi. La maison de Dieu et l’Église alloueront, utiliseront et gèreront raisonnablement ces biens matériels selon les principes stipulés par la maison de Dieu. Alors, d’où viennent ces principes ? De Dieu. Fondamentalement, le principe pour utiliser ces choses est qu’elles doivent être employées pour le plan de gestion de Dieu et dans le but de diffuser le travail d’évangélisation de Dieu. Elles ne sont pas destinées à l’usage exclusif d’un individu, et encore moins d’un groupe de personnes, mais ont vocation à être utilisées pour diffuser le travail d’évangélisation et pour les divers aspects du travail de la maison de Dieu. En conséquence, personne n’a le privilège d’utiliser ces choses ; le seul principe et la seule base de leur utilisation et de leur allocation est d’y procéder conformément aux principes requis par la maison de Dieu. Voilà qui est raisonnable et approprié.
Ce sont là les trois parties de la définition des offrandes, chacune d’entre elles étant la définition d’un aspect des offrandes et un aspect de leur champ d’application. Vous êtes désormais tous au clair quant à ce que sont les offrandes, n’est-ce pas ? (Oui.) Auparavant, certains disaient : « Cette chose-là n’est pas de l’argent, et la personne qui l’a offerte n’a pas dit que c’était pour Dieu. Elle a juste dit qu’elle l’offrait. Elle ne peut donc pas être destinée à l’usage de la maison de Dieu et peut encore moins être donnée à Dieu. » Ils n’en ont donc pas conservé de trace et ils ont secrètement utilisé cette chose comme bon leur semblait. Est-ce raisonnable ? (Non.) Ce qu’ils disaient est en soi déraisonnable ; ils disaient également : « Les offrandes qui sont faites à l’Église et à la maison de Dieu sont des biens communs ; tout le monde peut les utiliser », ce qui est assurément déraisonnable. C’est précisément parce que la plupart des gens sont confus et ne sont pas au clair à propos de la définition et du concept des offrandes que des vauriens abjects et des personnes qui ont le cœur cupide et des aspirations déplacées profitent de la situation et songent à s’emparer de ces choses. Maintenant que vous êtes au clair sur la définition précise et le concept des offrandes, vous aurez du discernement lorsque vous serez confrontés à ce genre d’événements et de personnes à l’avenir.
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