Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (16) Section 4
C. Les principes et les chemins de la résolution des notions
Certains aspects de la diffusion de notions doivent encore faire l’objet d’un échange. Certains disent : « Lorsqu’il y a diffusion de notions, nous devons pratiquer l’exposition et la dissection au cours de la vie d’Église, et la restreindre. Cependant, dans le cadre de la croyance en Dieu, nous sommes susceptibles de développer diverses notions ; c’est quelque chose qui échappe à notre contrôle. Par conséquent, en ce qui concerne les notions, quel type de chemin de pratique devrions-nous suivre afin de pratiquer avec précision et de ne provoquer ni interruptions ni perturbations dans la vie d’Église, et de ne pas avoir d’impact négatif sur les autres ou de ne pas causer de pertes à la vie d’autrui ? Quelle est la manière appropriée d’agir ? » N’est-ce pas un fait que les gens ont des notions ? N’est-ce pas inévitable ? (Si.) Certains disent : « Seuls ceux qui ne poursuivent pas la vérité finissent par développer des notions. » Cette affirmation est-elle exacte ? Elle n’est que partiellement exacte. Ceux qui poursuivent la vérité peuvent aussi parfois développer des notions sur Dieu lorsqu’ils rencontrent des situations particulières, car, avant que les gens ne comprennent la vérité et les intentions de Dieu, et avant qu’ils n’aient la connaissance de Dieu, ils développent certaines notions sur les paroles et l’œuvre de Dieu. Ces notions sont des idées fallacieuses humaines qui ne sont pas conformes à la vérité. Certaines notions peuvent être conformes à la morale, à la philosophie, à la culture traditionnelle, aux théories éthiques et ainsi de suite, et à première vue, ces idées peuvent sembler correctes. Cependant, elles ne sont tout simplement pas conformes à la vérité et entrent en conflit avec elle. C’est un fait. Comment les gens devraient-ils faire face à ces notions ? Avant que les gens ne poursuivent la vérité, ils portent déjà en eux de nombreuses notions ; ce sont des notions inhérentes. Au cours du processus de poursuite de la vérité par les gens, un grand nombre de nouvelles notions apparaît en eux en raison de l’évolution de leur environnement et des divers contextes ; il s’agit là de notions acquises. Ces deux types de notions sont des choses auxquelles les gens doivent faire face dans le cheminement de leur croyance en Dieu. Donc, existe-t-il une solution pour résoudre les notions ? Existe-t-il un chemin de pratique ? Certains disent : « C’est facile à gérer. Nous pouvons nous rebeller contre nos notions inhérentes ; il n’est pas nécessaire que nous leur prêtions la moindre attention. Nous sommes sûrs qu’au fil de la poursuite de la vérité, ces notions seront progressivement résolues et éliminées à mesure que nous comprendrons la vérité. Quant aux notions acquises, nous nous en remettons à Dieu pour les résoudre, et nous ne sommes pas non plus contraints par elles. Par conséquent, à ce jour, nous n’avons pas formé dans nos cœurs de notions susceptibles de conduire à des choses telles que la résistance, la condamnation ou le blasphème contre Dieu. » Comment qualifier cette méthode de pratique, cette façon d’affronter et de gérer les notions ? Peut-elle résoudre les notions ? A-t-elle des inconvénients ? Cette attitude à l’égard des notions est-elle proactive et positive ? (Non.) Cette attitude a-t-elle un quelconque effet positif sur les gens ? Si tu utilises une méthode passive consistant à ignorer ces notions, à les ranger dans les parties les plus cachées de ton cœur, à les piétiner et à prier chaque fois qu’elles ressortent et à les considérer comme résolues, à les traiter de la même manière chaque fois qu’elles réapparaissent, à ne plus y penser après coup et à agir comme si elles n’étaient pas un problème, en pensant que « de toute façon, le Dieu auquel je crois est toujours mon Dieu, je suis toujours l’être créé de Dieu et Dieu est toujours mon Créateur ; cela n’a pas changé » – est-ce la manière la plus efficace de résoudre les notions ? Cela permet-il d’obtenir un résultat positif ? Ce type de pratique permet-il de résoudre entièrement les notions à la racine ? De toute évidence, non. Quelle que soit la taille de ces notions, ou leur nombre, tant qu’elles existent dans le cœur des gens, elles auront un impact négatif sur leur entrée dans la vie et sur leur relation avec Dieu, provoquant des perturbations. En particulier lorsque les gens sont faibles, lorsqu’ils rencontrent un environnement qu’ils n’arrivent pas à surmonter, lorsqu’ils ne comprennent pas les intentions de Dieu, n’ont pas de chemin de pratique et ne savent pas comment satisfaire Dieu, et lorsqu’ils ont l’impression de n’avoir aucun espoir de salut, ces notions émergent rapidement en eux, dominent leurs pensées, occupent leur cœur, et peuvent même influencer leur décision de rester ou de partir, et influencer le chemin qu’ils choisissent. Il se peut qu’il y ait une notion dont tu ne te sois jamais soucié et qui ne t’ait jamais affecté ou fait chuter – une notion dont tu as toujours cru être maître, que tu as toujours pensé pouvoir contrôler – mais après avoir vécu un certain échec, un renvoi ou une élimination, ou une discipline et un châtiment sévères de la part de Dieu, ou même quand tu as l’impression d’être tombé dans un abîme, alors, voilà que cette notion n’est plus un simple accessoire pour toi. Même si tu l’ignores, elle peut perturber et fourvoyer tes pensées, voire dominer tes pensées et tes points de vue, ton attitude envers Dieu et ta foi en Dieu. Si tu ne disposes pas d’une méthode ou d’un principe de pratique approprié pour traiter ces notions, ou si tu n’en as pas une compréhension claire, ces notions affecteront par intermittence ton entrée dans la vie ou tes choix immédiats. Elles peuvent même influencer ta relation avec Dieu et ton attitude à Son égard. Par conséquent, face aux diverses notions qui surgissent dans un contexte quelconque, quel type d’attitude et de méthode devrait-on adopter pour les affronter et les gérer afin d’éviter tout préjudice et d’obtenir un résultat positif et bénéfique ? C’est une question qui devrait faire l’objet d’un échange clair.
Les gens qui vivent dans la chair ont leur libre arbitre et leur liberté de penser. Indépendamment de leur niveau d’instruction, de leur calibre ou de leur genre, tant que les gens ont des pensées, ils génèrent des notions. Si une notion domine ton tempérament corrompu, tu défies Dieu à cause de cette dernière. C’est pourquoi il faut résoudre ce problème des gens qui ont des notions. Ce ne sont pas seulement ceux qui diffusent des notions qui génèrent des notions ; c’est simplement qu’ils diffusent leurs notions, et se tiennent ainsi de façon irréfléchie en opposition à Dieu en diffusant divers points de vue et jugements à Son sujet. Est-ce pour autant que ceux qui ne diffusent pas de notions n’en ont pas ? Tout le monde a des notions, c’est un fait. La différence tient à ce que ceux qui diffusent intentionnellement des notions ont une nature-essence qui a, intrinsèquement, de l’aversion pour la vérité. Du fait qu’ils n’acceptent pas la vérité et qu’ils croient même que leurs notions sont correctes et entièrement conformes à la vérité, si leurs notions viennent à entrer en conflit avec la vérité, ils choisissent d’accepter leurs notions plutôt que la vérité. C’est là qu’ils échouent et c’est pourquoi ils sont restreints et condamnés. Alors pourquoi les personnes ordinaires, normales, ne sont-elles pas condamnées lorsqu’elles génèrent des notions ? C’est parce que la plupart d’entre elles parlent et agissent avec rationalité et savent dans leur cœur que les notions humaines ne sont pas conformes à la vérité et qu’elles sont incorrectes ; bien qu’elles ne soient pas capables de résoudre immédiatement leurs notions, elles sont disposées à les abandonner. Lorsqu’elles choisissent d’accepter la vérité, leurs notions internes sont ainsi remplacées et résolues par la vérité ; elles abandonnent leurs notions et ne sont plus influencées, restreintes ou dominées par ces dernières. Ainsi, ces personnes, bien qu’elles aient des notions, ne les diffusent pas. Elles peuvent toujours faire leurs devoirs normalement, suivre Dieu normalement, accepter les paroles et l’œuvre de Dieu, se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, et se soumettre au salut de Dieu. Elles reconnaissent toujours qu’elles sont des êtres créés et que Dieu est le Créateur. Quelles que soient les notions qu’elles nourrissent dans leur cœur, elles peuvent maintenir une relation normale avec Dieu, maintenir la relation entre un être créé et le Créateur, s’abstenir de laisser tomber leurs devoirs, s’abstenir d’abandonner le nom de Dieu, et leur foi en Dieu reste inchangée. Bien que ce soit le cas, si les notions ne sont jamais résolues, elles pourront toujours conduire les gens à leur perte et à leur destruction. C’est pourquoi nous avons encore besoin d’échanger sur la meilleure façon de faire face aux notions et de les résoudre.
Selon vous, qu’est-ce qui est le plus facile à résoudre : les notions inhérentes que les gens ont avant de croire en Dieu, ou les notions que les gens développent dans des environnements et des contextes particuliers une fois qu’ils croient en Dieu ? (Les notions inhérentes sont plus faciles à résoudre.) Les produits de l’imagination et les notions que les gens ont sur Dieu lorsqu’ils commencent à croire en Lui au début sont plus faciles à résoudre, alors que les notions qu’ils développent lorsqu’ils font l’expérience de l’œuvre de Dieu une fois qu’ils croient en Lui ne sont pas aussi faciles à résoudre – il s’agit là d’une affirmation théorique, mais au bout du compte, elle ne s’aligne pas sur les faits. Que signifie « théorique » ? Cela signifie que ce type de conclusions est déduit par les gens en s’appuyant sur la philosophie et la logique. Lorsque les gens commencent à croire en Dieu et qu’ils comprennent la vérité sur les visions, certaines de leurs notions sont abandonnées et résolues. En réalité, cette résolution n’intervient qu’à un niveau doctrinal ; il semble que ces notions aient été résolues, mais bon nombre des notions que les gens développent pendant qu’ils suivent Dieu sont liées à leurs notions inhérentes. Théoriquement, de ces deux types de notions, les notions inhérentes sont plus faciles à résoudre, mais en fait, tant que les gens peuvent accepter la vérité et aimer les choses positives, tant qu’ils parviennent à une compréhension de la vérité, les deux types de notions sont faciles à résoudre. Par exemple, certains d’entre vous disent que les notions inhérentes sont plus faciles à résoudre, mais tu peux rencontrer des personnes dotées de compréhensions déformées qui sont très têtues et qui se fixent sur des détails sans importance, qui enquêtent sur la Bible, les classiques de la spiritualité et les interprétations des exégètes de la Bible ; ces personnes te répètent les choses qu’elles découvrent, et quelle que soit la façon dont tu échanges sur la vérité, elles ne l’acceptent pas. Elles sont incapables d’accepter des sermons purs, la vérité ou des paroles correctes ; elles n’assimilent pas ces choses lorsqu’elles les entendent. D’une part, il y a un problème avec leur capacité de compréhension ; d’autre part, elles n’aiment pas les choses positives ou la vérité, à l’inverse, elles aiment être têtues et se fixer sur des détails sans importance, jouer sur les mots, et elles aiment les théories et la théologie. Ces gens-là peuvent-ils abandonner leurs notions ? (Non.) À en juger par les faits, par le tempérament et les préférences de ces gens-là, ils ne peuvent pas accepter la vérité. Les notions initiales des gens sont en fait très peu profondes et plutôt superficielles, elles sont très faciles à résoudre. Si une personne a une réflexion normale et une capacité de compréhension normale, lorsque tu échanges avec elle sur la vérité à propos des visions, tant qu’elle la comprend, elle peut facilement abandonner ses notions. Mais il y a un type de personnes qui n’ont pas une réflexion normale, qui ne peuvent pas saisir la vérité et qui n’acceptent pas la vérité. Ces gens-là peuvent-ils abandonner leurs notions ? (Non.) Par conséquent, les notions de ces gens-là sont difficiles à résoudre. Si une personne est dotée d’une raison normale et capable d’accepter la vérité, alors, quelles que soient les notions qu’elle développe à propos de Dieu une fois qu’elle croit en Lui, et quel que soit l’environnement ou le contexte dans lequel ces notions apparaissent, elle n’argumente pas avec Dieu. Elle dit : « Je suis humaine, j’ai des tempéraments corrompus, ma réflexion et mes agissements peuvent être erronés. Dieu est la vérité, Dieu ne Se trompe jamais. Aussi raisonnables que soient mes pensées, elles restent des pensées humaines, elles viennent d’un humain et ne sont pas la vérité. Si elles contredisent les paroles de Dieu ou la vérité, alors ces pensées, aussi raisonnables soient-elles, sont erronées. » Il se peut qu’elle ne sache pas exactement en quoi ces notions sont erronées à l’heure actuelle, comment pratique-t-elle alors ? Elle pratique la soumission, ne se montre pas têtue et ne se fixe pas sur certains détails, elle laisse tomber la question, convaincue qu’un jour Dieu la révélera. Quelqu’un lui demande : « Et si Dieu ne la révèle pas ? » Elle répond : « Alors je me soumettrai pour toujours. Dieu ne se trompe jamais et ce que Dieu fait n’est jamais erroné. Si ce que Dieu fait n’est pas conforme aux notions humaines, cela ne signifie pas que Dieu a tort, mais que les humains ne peuvent pas le saisir ou le comprendre. Par conséquent, ce que les gens devraient faire le plus, ce n’est pas de faire des recherches, de s’attarder sur leurs notions, et d’utiliser leurs notions pour trouver des torts à Dieu, en utilisant leurs notions comme une raison et une excuse pour ne pas se soumettre à Dieu et pour Le défier. » C’est ainsi qu’elle traite ses notions. Cette façon de pratiquer est-elle la pratique de la vérité ? C’est là en effet pratiquer la vérité. Lorsqu’elle développe des notions, elle ne compare pas Dieu à celles-ci, elle ne les utilise pas pour faire des recherches sur Dieu, pour vérifier si Dieu est vrai ou s’Il existe. Au contraire, elle abandonne ses notions et s’efforce d’accepter la vérité et de connaître Dieu. Pourtant, même si elle fait tout son possible pour connaître Dieu, elle ne parvient pas à Le connaître. Que fait-elle alors ? Elle se soumet encore. Elle dit : « Dieu n’a jamais tort. Dieu est toujours Dieu. Dieu est Celui qui exprime la vérité. Dieu est la source de la vérité. » Lorsqu’elle traite ces notions, elle place d’abord Dieu dans la position de Dieu, puis se place elle-même dans la position des êtres créés. Ainsi, même si elle n’a pas mis de côté ses notions ou ne les a pas résolues, son attitude de soumission envers Dieu ne change pas. Cette attitude la protège, car elle lui permet de rester reconnue par Dieu comme un être créé devant Lui. Donc, les notions de ces gens-là sont-elles faciles à résoudre ? (Oui.) Comment y parvient-on ? Supposons que, confrontés à une situation, ils s’expriment de la sorte : « Dire que tout ce que fait dieu est la vérité et juste, que dieu est tout-puissant et qu’il ne peut pas faire d’erreurs, n’est-ce pas incorrect ? Bien que l’on dise que dieu ne peut pas faire d’erreurs, ce n’est là qu’une affirmation théorique. En fait, il y a des choses que dieu fait qui sont inconsidérées et qui ne sont pas alignées sur les sentiments humains. Je pense que cet aspect n’est pas tout à fait juste. Or, pour les choses qui ne sont pas tout à fait justes, je n’ai pas besoin de m’y soumettre ou de les accepter, n’est-ce pas ? Même si je ne nie pas le nom ou l’identité de dieu, les notions que j’ai développées jusque-là m’ont donné une meilleure vision et une meilleure compréhension de dieu – dieu fait aussi des erreurs et se trompe parfois. Ainsi, à partir de maintenant, je ne croirai plus les gens qui disent que dieu est juste, parfait et saint. J’ajouterai un petit point d’interrogation à ces affirmations. Bien que dieu soit le créateur et que je puisse accepter sa souveraineté, désormais, je dois accepter cela de manière sélective et ne pas me soumettre confusément et aveuglément. Et si je me soumettais à tort ? Cela ne me serait-il pas préjudiciable ? Je refuse d’être quelqu’un qui se soumet bêtement. » S’ils traitent les notions et Dieu par cette attitude, peuvent-ils facilement abandonner leurs notions ? Cette façon de pratiquer est-elle la pratique de la vérité ? (Non.) La relation entre eux et Dieu n’est-elle pas devenue problématique ? Ne sont-ils pas constamment en train de faire des recherches sur Dieu ? Dieu est devenu l’objet de leurs recherches au lieu d’être le Souverain qui régit leur destin. Bien qu’ils reconnaissent être des êtres créés sous le règne du Créateur, en agissant ainsi, ils n’accomplissent pas les devoirs et les obligations des êtres créés. Ils ne traitent pas le Créateur depuis leur position originelle d’êtres créés, mais, plutôt, se tiennent en opposition au Créateur, faisant des recherches sur le Créateur et analysant Ses actes et Son comportement, en choisissant de se soumettre et d’accepter selon leur propre appréciation. Cette attitude et cette façon de pratiquer correspondent-elles aux manifestations que devrait avoir une personne qui accepte la vérité ? Leurs notions peuvent-elles être résolues ? (Non, elles ne peuvent pas être résolues.) Elles ne pourront jamais être résolues. Cela tient au fait que leur relation avec Dieu a été déformée ; ce n’est pas une relation normale, ce n’est pas la relation entre un être créé et le Créateur. Ils traitent Dieu comme un objet de recherche, ils font constamment des recherches à Son sujet. Ils acceptent ce qu’ils pensent être correct et bon, mais intérieurement, ils résistent à Dieu et rivalisent avec Lui sur ce qui n’est pas conforme aux notions et à l’imagination humaines ou aux préférences humaines, et ils s’éloignent de Dieu. Une telle personne est-elle quelqu’un qui accepte la vérité ? En apparence, en l’absence de tout incident et de toute notion sur Dieu, elle peut se soumettre aux paroles que Dieu prononce. Mais dès qu’elle développe des notions, sa soumission s’évanouit ; elle n’apparaît nulle part et ne peut être mise en œuvre. Que se passe-t-il ici ? Il est clair que ce ne sont pas là des gens qui pratiquent la vérité. Ils n’acceptent pas Dieu comme source de la vérité ou comme la vérité elle-même. Il est difficile pour les gens qui n’acceptent pas la vérité d’abandonner ou de résoudre leurs notions, quel que soit le moment où ces notions apparaissent.
À en juger par le contenu de l’échange ci-dessus, quel est, à votre avis, le type de notion le plus facile à résoudre ? Cela dépend de la situation. Pour ceux qui peuvent accepter la vérité, qui ont la raison et qui sont les bonnes personnes, leurs notions sont faciles à résoudre, quel que soit le moment où elles apparaissent. Pour ceux qui ne peuvent pas accepter la vérité, leurs notions sont difficiles à résoudre, quel que soit le moment où elles surgissent. Certains croient en Dieu depuis vingt ou trente ans et, malgré cela, rien de ce qu’ils disent n’est conforme à la vérité ; ce ne sont que des formules et des doctrines et des notions humaines. Ils ne comprennent rien à la vérité. Pourront-ils abandonner leurs notions lorsqu’elles se présenteront ? C’est difficile à dire. S’ils n’acceptent pas la vérité, ils ne pourront pas se départir de leurs notions. Il est inévitable que les gens aient des notions. L’esprit de tout un chacun peut générer diverses notions à tout moment, qu’elles soient inhérentes ou acquises. Il y a des notions dans le cœur de chacun, quel que soit le nombre d’années depuis lequel il croit en Dieu. Mais alors, que faire ? Ce problème ne serait-il pas tout simplement insoluble ? Il peut être résolu ; il y a quelques principes à retenir. Ces principes sont très importants. Lorsque tu rencontres de telles situations, pratique selon ces principes. Après avoir pratiqué pendant un certain temps, tu verras des résultats et tu entreras dans la vérité-réalité. Lorsque des notions surgissent, quelles qu’elles soient, commence par réfléchir et analyser dans ton cœur si cette pensée est correcte. Si tu sens clairement que cette pensée est erronée et déformée, et qu’elle blasphème Dieu, alors prie immédiatement, en demandant à Dieu de t’éclairer et de te guider pour reconnaître l’essence de ce problème, après quoi, discute de ta compréhension lors d’une réunion. Tout en acquérant de la compréhension et en faisant l’expérience des choses, concentre-toi sur la résolution de tes notions. Si cette façon de pratiquer ne donne pas de résultats évidents, il te faut échanger sur cet aspect de la vérité avec quelqu’un qui comprend la vérité, en t’efforçant d’obtenir de l’aide des autres et de trouver des solutions dans les paroles de Dieu. Grâce aux paroles de Dieu et à tes expériences, tu constateras progressivement que les paroles de Dieu sont correctes et tu obtiendras de grands résultats en ce qui concerne la résolution de tes propres notions. En acceptant et en faisant l’expérience de ces paroles et de cette œuvre de Dieu, tu finiras par comprendre les intentions de Dieu et tu auras une certaine connaissance du tempérament de Dieu, te permettant d’abandonner tes notions et de les résoudre. Tu ne te méprendras plus sur Dieu, tu ne te prémuniras plus contre Lui et tu n’auras plus d’exigences déraisonnables. Cela vaut pour les notions faciles à résoudre. Mais il existe un autre type de notions difficile à comprendre et à résoudre. Pour les notions difficiles à résoudre, il y a un principe que tu dois respecter : ne pas les exprimer ou les diffuser, car les exprimer ne fait pas de bien aux autres ; c’est là défier Dieu. Si tu comprends la nature et les conséquences du fait de diffuser des notions, tu ferais mieux d’évaluer cela clairement par toi-même et de t’abstenir de parler de manière imprudente. Si tu dis : « C’est terrible de retenir mes paroles dans l’Église ; j’ai l’impression que je vais éclater », tu dois quand même te demander si répandre ces notions est vraiment bénéfique pour le peuple élu de Dieu. Si ce n’est pas le cas et que cela peut amener d’autres personnes à se forger des notions sur Dieu, ou même à défier Dieu et à Le juger, n’es-tu pas en train de nuire au peuple élu de Dieu ? Tu fais du mal aux gens ; ce n’est pas différent de répandre la peste. Si tu es vraiment doué de raison, tu préféreras souffrir toi-même plutôt que de diffuser des notions et de nuire aux autres. Si toutefois il t’est insoutenable de retenir tes paroles, il te faut prier Dieu. Si le problème est résolu, n’est-ce pas une bonne chose ? Si tu juges Dieu et que tu Le comprends de travers avec tes notions, même lorsque tu Le pries, tu ne fais que t’attirer des ennuis. Il te faut prier Dieu de cette manière : « Dieu, j’ai ces pensées et je veux m’en défaire, mais je n’y arrive pas. S’il Te plaît, discipline-moi, révèle-moi à travers divers environnements et permets-moi de reconnaître que mes notions sont fausses. Quelle que soit la façon dont Tu me disciplines, je suis prêt à l’accepter. » Cet état d’esprit est correct. Après avoir prié Dieu avec cet état d’esprit, ne te sentiras-tu pas moins bridé ? Si tu continues à prier et à chercher, en recevant l’éclairage et l’illumination de Dieu, tu comprendras les intentions de Dieu, et ton cœur deviendra lumineux, tu ne te sentiras alors plus suffoquer. Le problème ne sera-t-il pas alors résolu ? Tes notions, ta résistance et ta rébellion à l’égard de Dieu disparaîtront dans une large mesure ; à tout le moins, tu ne ressentiras pas le besoin de les exprimer. Si cela ne fonctionne toujours pas et que le problème n’est pas complètement résolu, trouve quelqu’un d’expérimenté pour t’aider à résoudre tes notions. Demande-lui de trouver quelques passages des paroles de Dieu en rapport avec la résolution des notions que tu as, et lis-les des dizaines ou des centaines de fois ; tes notions seront alors peut-être complètement résolues. Certains diront : « Si j’exprime des notions au cours d’une réunion avec les frères et sœurs, je diffuse des notions, et je ne peux donc pas le faire. Mais c’est terrible de les retenir. Puis-je en parler avec ma famille ? » Si les membres de ta famille sont eux aussi des frères et des sœurs de la foi, exprimer ces notions avec eux les perturberait également. Est-ce approprié ? (Non.) Si ce que tu dirais devait porter préjudice aux autres, leur nuire et les induire en erreur, alors tu ne dois en aucun cas le dire. Prie plutôt Dieu de résoudre le problème. Tant que tu pries, manges et bois les paroles de Dieu avec un cœur pieux, un cœur qui a faim et soif de droiture, tes notions peuvent être résolues. Les paroles de Dieu renferment toute la vérité ; elles peuvent résoudre n’importe quel problème. Tout dépend de ta capacité à accepter la vérité et de ta disposition à pratiquer les paroles de Dieu, ainsi que de ta capacité à te défaire de tes propres notions. Si tu crois que les paroles de Dieu renferment toute la vérité, tu dois prier Dieu et chercher la vérité pour résoudre les problèmes lorsqu’ils se présentent. Si, après avoir prié pendant un certain temps, tu ne te sens toujours pas éclairé par Dieu et que tu n’as toujours pas reçu de paroles claires de Dieu sur ce qu’il faut faire, mais qu’inconsciemment tes notions ne t’affectent plus intérieurement et qu’elles ne perturbent pas ta vie, qu’elles s’estompent progressivement, qu’elles n’affectent pas ta relation normale avec Dieu et, bien sûr, qu’elles n’affectent pas l’accomplissement de ton devoir, alors cette notion n’a-t-elle pas été fondamentalement résolue ? (Si.) Tel est le chemin de la pratique.
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