Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (25) Section 3

E. Être incapable de tenir sa langue

Maintenant, nous allons échanger sur le cinquième type de personnes, celles qui ne savent pas tenir leur langue. Ce problème est-il grave ? Si on examine les choses d’un point de vue littéral, ne pas être capable de tenir sa langue ne semble pas constituer un problème significatif. Certains pourraient avoir des doutes quant au fait de définir ces personnes comme étant des personnes malfaisantes : « Puisque les gens ont une bouche, ils sont censés parler n’importe quand et n’importe où. Il se peut qu’ils discutent de questions n’importe quand et n’importe où. N’est-ce pas un peu excessif de classer ceux qui ne savent pas tenir leur langue parmi les personnes malfaisantes devant être exclues ? » Qu’en pensez-vous ? (Si ces gens font subir des perturbations et des interruptions à la vie d’Église ou au travail d’Église, ce qui entraîne des conséquences néfastes, ils doivent également être exclus.) Le problème, avec des gens pareils, n’est pas qu’ils ne savent pas tenir leur langue. C’est leur humanité qui pose problème. S’ils font subir des perturbations aux frères et sœurs, à la vie d’Église et au travail d’Église, ou si leurs paroles reviennent à trahir et vendre l’Église, et qu’elles font même honte à la maison de Dieu ou au nom de Dieu, alors il faut s’occuper de tels individus. Commençons par discuter des manifestations de ceux qui ne savent pas tenir leur langue, puis de la façon de s’occuper d’eux. Peut-on dire des gens qui ne savent pas tenir leur langue qu’ils sont bavards ? (Oui.) Est-ce le cas ? Est-ce là une caractéristique de ces gens ? Est-ce que le fait d’être bavard implique celui d’être stupide et de ne pas savoir ce qui doit ou ne doit pas être dit, de dire tout ce qui vous vient à l’esprit sans tenir compte des conséquences ? Ne pas tenir sa langue veut-il dire cela ? (Non.) Certaines personnes sont douées pour parler et communiquer. Elles sont directes, et relativement simples et honnêtes. Elles partagent souvent avec les autres leurs pensées intimes et leurs idées, leurs propres révélations de corruption, ce dont elles ont fait l’expérience, et même leurs erreurs. Cependant, ces individus ne sont pas nécessairement stupides ou incapables de tenir leur langue. Ils semblent parler de tout, être assez simples et honnêtes, mais quand il s’agit de problèmes essentiels, de problèmes qui pourraient faire honte à Dieu ou à la maison de Dieu, ou de problèmes qui pourraient impliquer leur trahison des frères et sœurs ou de l’Église, ce qui ferait d’eux des Judas, ils ne disent pas un mot. C’est ce que l’on appelle tenir sa langue. Par conséquent, ce n’est pas que les gens directs, les gens bavards, ou ceux qui sont doués pour parler ne savent pas tenir leur langue. Que veut dire, ici, ne pas être capable de tenir sa langue ? Ne pas être capable de tenir sa langue signifie parler sans principes, parler imprudemment, sans tenir compte de son auditoire, de l’occasion ou du contexte. De plus, cela implique de ne pas savoir du tout protéger le travail de l’Église et les intérêts de la maison de Dieu, ou de se moquer complètement de savoir si cela bénéficie aux frères et sœurs ou à la vie d’Église, et de dire simplement n’importe quoi. Quelle est la conséquence quand on « dit simplement n’importe quoi » ? C’est la trahison involontaire des intérêts de la maison de Dieu et des intérêts des frères et sœurs. Sans le vouloir, du fait de leur discours imprudent et de leur incapacité à tenir leur langue, ces gens donnent aux non-croyants des moyens de pression contre la maison de Dieu, ils permettent aux non-croyants de se moquer de certains frères et sœurs, ils permettent aux non-croyants et à ceux qui ne croient pas en Dieu de savoir de nombreuses choses qu’ils ne devraient pas savoir. Par conséquent, ces gens commentent librement les affaires de la maison de Dieu et les affaires internes de l’Église, et ils font des remarques irrespectueuses à leur sujet, ils disent des choses qui calomnient et blasphèment contre Dieu. Ils peuvent même inventer des rumeurs sur les frères et sœurs, sur l’Église et le travail de la maison de Dieu, ce qui induit des conséquences néfastes. Cela constitue une perturbation du travail de la maison de Dieu et revient à faire le mal. Certains individus veillent particulièrement à découvrir et investiguer qui sont les dirigeants et les ouvriers dans l’Église, quelle est l’adresse de leur famille, ils récoltent des renseignements personnels sur les frères et sœurs, s’informent du travail comptable et financier de l’Église, du personnel chargé de la comptabilité, et des listes de gens qui ont été exclus ou expulsés de l’Église. Ils veillent aussi particulièrement à s’informer des arrangements de travail de l’Église. Un tel comportement est hautement suspect et pourrait indiquer qu’ils sont des taupes ou des espions du grand dragon rouge. Si ces renseignements étaient divulgués aux démons non-croyants, ce qui permettrait au grand dragon rouge d’en prendre connaissance, les conséquences en seraient inconcevables. Certains, par stupidité et ignorance, peuvent partager ces renseignements, ou une partie d’entre eux, avec des membres non-croyants de leur famille, qui les diffusent alors, ou qui les communiquent aux agents du grand dragon rouge. Cela pourrait constituer des risques potentiels et poser de nombreux problèmes au travail de l’Église, avec des conséquences inimaginables. Ces questions internes à l’Église sont souvent partagées involontairement par certains individus avec des membres non croyants de leur famille, qui dévoilent tout sans réserve. Et ces individus partagent même de tels renseignements avec leurs proches et leurs amis non-croyants. Cela mène à une fuite continuelle de questions internes à l’Église, du fait de ce qu’ils disent au monde extérieur. Quelles sont les conséquences de ces fuites ? Bon nombre de membres non-croyants de la famille de ces individus, de leurs proches et de leurs amis ont connaissance de beaucoup d’affaires internes de l’Église, que même les frères et sœurs peuvent ignorer, ou de l’adresse des frères et sœurs, de leur véritable nom, et de leurs affaires conjugales privées. Comment ces questions relatives à l’Église sont-elles divulguées ? Comment des non-croyants en viennent-ils à en avoir connaissance ? Parce qu’ils ont des « correspondants » au sein de l’Église ! Comment appelle-t-on de tels individus ? (Ceux qui ne savent pas tenir leur langue.) Exactement. Ils partagent avec les membres non-croyants de leur famille tout ce qui se passe dans la vie d’Église au quotidien, ou des choses qui concernent les frères et sœurs, par exemple qu’une certaine sœur divorce, que le mari d’une autre sœur perd de l’argent en affaires, que cette sœur a un fils désobéissant, ou qu’un certain frère ou une certaine sœur achète une maison, et ainsi de suite. Ils parlent également des frères et sœurs qui ont été arrêtés par le grand dragon rouge et qui sont devenus des Judas, ou de ceux qui sont restés fermes dans leur témoignage, et ils mentionnent même que des dirigeants d’Église les ont émondés. Chez eux, leurs conversations tournent entièrement autour de ces thèmes. Les membres de leur famille leur proposent même des conseils et des stratégies pour les aider à agir contre les dirigeants, les frères et sœurs, ou tous ceux dans l’Église qui ne s’entendent pas avec eux, qui leur posent des problèmes ou qui les ont exposés. Dans les réunions, parmi les frères et sœurs, de tels individus paraissent particulièrement obéissants et semblent particulièrement bien se comporter, ils parlent peu, ne sont pas doués pour discuter, ne parlent jamais de leurs propres tempéraments corrompus, n’échangent jamais sur leur compréhension par l’expérience, et prient même rarement. Ils traitent les frères et sœurs en faisant preuve d’un sens de la réserve, tout en traitant les membres non-croyants de leur famille comme s’ils faisaient partie de la maison de Dieu. Ils récitent en détail tout ce qui concerne l’Église aux membres de leur famille, sans rien omettre. Ils partagent tout avec eux, même le fait que l’Église imprime des livres de paroles de Dieu. Ils leur disent qui possède quels talents dans l’Église, et davantage. Tout cela fait l’objet de discussions avec les membres de leur famille et avec des gens qui ne croient pas en Dieu. Quel que soit leur but en faisant cela, la conséquence ultime est qu’ils trahissent le travail de l’Église et les frères et sœurs. Ils en savent long sur la situation de tous les membres importants de l’Église. Bien entendu, ces gens, dans leur dos, font également l’objet de leurs discussions et de leurs jugements, et ils peuvent même devenir ceux qu’ils trahissent en secret. Si quelqu’un a de bons rapports avec eux, ils louent constamment cette personne devant leur famille. À l’inverse, si quelqu’un a de mauvais rapports avec eux, ils lui lancent constamment des insultes devant leur famille. Ils amènent même leur famille à participer à ces insultes, ils qualifient les frères et sœurs d’idiots ou disent qu’ils ne valent rien. Ces individus insultent les frères et sœurs en employant tous les termes injurieux que les non-croyants utilisent. Ils sont comme des non-croyants. Ce sont purement des incrédules. Ils ne sont rien de bon, et de tels individus devraient être rapidement exclus.

Dans la nation du grand dragon rouge, les renseignements concernant tous ceux qui croient en Dieu devraient rester confidentiels, et même quand le peuple élu de Dieu déménage à l’étranger, les renseignements qui le concernent doivent rester privés. La raison en est que les espions du grand dragon rouge sont disséminés dans tous les pays du monde, qu’ils s’infiltrent partout dans le but spécifique de récolter des informations sur ceux qui croient en Dieu. En Chine continentale, les frères et sœurs qui suivent Dieu sont dans une situation très difficile et dangereuse. Même quand ils vont à l’étranger, il y a un certain niveau de danger. Si les espions du grand dragon rouge récoltent des informations sur eux, d’une part, il y a un risque d’extradition, et d’autre part, à tout le moins, les membres de leur famille et leurs proches en Chine continentale pourraient être impliqués. Pour des raisons de sécurité et par respect pour les individus, tout le monde devrait garder confidentiels les renseignements personnels concernant les frères et sœurs, et personne ne devrait partager ces renseignements avec ceux qui ne croient pas en Dieu. Même parmi ceux qui croient en Dieu, les renseignements d’ordre personnel ne devraient pas être divulgués à la légère sans l’accord des individus concernés. Il est absolument inadmissible de traiter tout renseignement concernant les frères et sœurs, le travail d’Église, les devoirs que l’on accomplit, les expériences que l’on partage en échangeant, ou d’autres détails du même genre, comme des sujets de conversation à partager avec des non-croyants pendant son temps libre. Quelles sont les conséquences, quand on discute de ces questions avec eux ? Cela donne-t-il le moindre résultat positif ou constructif ? (Non.) Les conséquences de telles discussions sont que ces démons non-croyants s’emparent de moyens de pression, qu’ils se moquent et jugent, et même qu’ils maudissent et diffament. Est-ce une bonne chose ? (Non.) Vous devriez examiner s’il y a des individus au sein de l’Église qui ont des arrière-pensées, qui discutent avec des non-croyants et des membres non-croyants de leur famille, le tout sans réserve, de détails tels que l’état concret du travail de l’Église et de la vie d’Église, qui discutent également en se demandant qui croit sincèrement en Dieu, qui poursuit la vérité, qui fait ses devoirs, qui ne fait pas ses devoirs, qui est souvent négatif, qui a une foi confuse, et qui discutent même de renseignements d’ordre personnel et de situations concernant les frères et sœurs. Recherchez de tels individus. Il y a des questions que même les gens au sein de l’Église n’ont pas à connaître, pourtant, les membres de la famille de tels individus en savent davantage sur ces questions que ceux qui sont au sein de l’Église, et ils les comprennent aussi plus clairement. Comment cela se produit-il ? C’est la « contribution » d’une taupe au sein de l’Église. Cette taupe traite les membres de sa famille comme si ces derniers étaient des dirigeants d’Église. Chez elles, ces taupes signalent tout ce qu’elles voient dans l’Église à leurs « dirigeants », pour essayer de se faire bien voir de leur famille et d’approfondir leurs liens affectifs avec elle. Il est évident que toutes ces questions concernant l’Église ont fait l’objet d’une trahison par ces taupes qui ne savent pas tenir leur langue. Ces taupes ne respectent pas les frères et sœurs, et elles ne protègent pas non plus le travail et les intérêts de la maison de Dieu. Elles traitent la maison de Dieu et l’Église comme s’il s’agissait de la société ou d’un lieu public, elles font des commentaires avec désinvolture sur les frères et sœurs et elles les jugent, comme s’il s’agissait de non-croyants, elles se joignent même aux incrédules et aux non-croyants pour porter librement des jugements sur les frères et sœurs. De plus, certains individus, après avoir été émondés par les dirigeants, ou après des conflits, des disputes, des désaccords avec les frères et sœurs, rentrent chez eux et font une scène, en s’assurant que leur famille sache tout à ce sujet. La conséquence en est que leur famille cherche à se venger des dirigeants ou des frères et sœurs, qu’elle veut trahir et abattre l’Église. Ce phénomène est-il positif ? (Non.) Ces individus partageant les affaires internes de l’Église, et des choses telles que le nombre de frères et sœurs qui mènent une vie d’Église, les devoirs que chacun fait avec des membres de sa famille, des parents et des amis, sans réserve, quelle sorte de misérables sont-ils ? Sont-ils des croyants sincères ? (Non.) Sont-ils des membres de la maison de Dieu ? Peut-on les qualifier de frères et sœurs ? (Non.) Garder au sein de l’Église de telles taupes, et de tels traîtres dissimulés, que cela se soit passé autrefois, ou que cela se passe maintenant ou à l’avenir, vaudra des ennuis significatifs à la maison de Dieu et aux frères et sœurs. Même si ces individus ne semblent pas commettre de nombreux actes malfaisants dans la vie d’Église, les conséquences et l’impact de leur transmission secrète de divers détails concernant la maison de Dieu aux non-croyants, aux Satans et aux démons, sont extrêmement préjudiciables ! De tels misérables devraient-ils être autorisés à rester dans l’Église ? (Non.) Méritent-ils d’être qualifiés de membres de la maison de Dieu ? Sont-ils dignes d’être traités comme des frères et sœurs ? (Non) Comment doit-on s’occuper de tels individus ? (Ils devraient être exclus dès que possible.) Ils doivent être exclus dès que possible ! Mettez-les à la porte ! Voilà la raison pour laquelle il faut les exclure : « Tu ne sais pas tenir ta langue, tu ne parviens pas à reconnaître ce qui est bon pour toi, tu mords la main qui te nourrit. Tu crois en Dieu et profites de Sa grâce, ainsi que de l’aide, de l’amour, de la patience et de l’attention des frères et sœurs, pourtant, tu trahis quand même les frères et sœurs et l’Église de cette façon. Tu es un bon à rien, fiche le camp ! » Les affaires des frères et sœurs, les affaires de l’Église et le travail de la maison de Dieu, quel qu’il soit, ne devraient pas être dévoilés aux non-croyants, qui ne devraient pas non plus en faire des sujets de vaines conversations. Les non-croyants ne le méritent pas ! Quiconque diffuse de telles informations devient une figure maudite, quelqu’un que l’Église doit exclure, et les frères et sœurs devraient rejeter ces individus. Sur la simple base de leurs actes consistant à trahir les frères et sœurs, et l’Église, à partager les affaires internes de l’Église avec des non-croyants pour tenir des conversations informelles, il s’agit sans aucun doute de traîtres, de taupes et de personnes malfaisantes qui devraient être exclus de l’Église. Les frères et sœurs sont libres d’échanger et de débattre, si nécessaire, sur tout travail effectué au sein de l’Église – par exemple au sujet de ceux qui devraient être exclus ou de la survenue de certains évènements – mais tout cela ne doit pas être partagé avec les non-croyants et on ne peut pas en parler avec des membres non-croyants de sa famille. En particulier, la situation personnelle et familiale des nouveaux frères et sœurs de petite stature ne doit pas être dévoilée aux gens de l’extérieur. Si tu as du mal à garder tout cela pour toi, tu devrais prier Dieu et te fier à Lui pour apprendre la retenue, et te lancer dans des activités significatives. Si tu ne peux vraiment pas te contrôler, tu devrais d’abord en rendre compte à l’Église, pour chercher une solution, pour éviter des conséquences néfastes, parce que diffuser de telles informations est le plus susceptible de créer des problèmes. Par exemple, les numéros de téléphone personnels, les adresses personnelles, le nombre d’années de croyance en Dieu d’une personne, le statut familial et conjugal d’une personne, et ainsi de suite, sont des sujets sensibles. Tout cela n’a rien à voir avec la vérité ou l’entrée dans la vie, cela concerne la vie privée. Seuls les agents et les taupes investiguent spécifiquement ces questions. Si tu aimes t’informer de tels sujets et les diffuser, quel genre de tempérament cela indique-t-il ? C’est quelque peu vil ! Ne pas poursuivre la vérité, mais se focaliser sur des ragots, agir comme une taupe ou un espion, et rendre service au grand dragon rouge, n’est-ce pas vil et infâme ? Tous ceux qui se renseignent spécifiquement sur des sujets sensibles et sur les affaires privées des autres, qui investiguent et qui diffusent tout cela imprudemment, ont des arrière-pensées et sont des incrédules. Le peuple élu de Dieu doit particulièrement se méfier de tels individus. Si ces individus ne se repentent pas, leur vie d’Église doit être interrompue, parce que trahir les frères et sœurs est l’acte le plus immoral, méprisable et honteux qui soit. Le peuple élu de Dieu devrait se tenir à l’écart de ces individus. Dans la vie d’Église, il devrait être interdit aux gens de s’informer et de discuter de ces questions, parce qu’elles n’ont rien à voir avec l’échange sur la vérité et qu’en parler ne bénéficie en rien aux autres.

La maison de Dieu a divers décrets administratifs et règlements auxquels le peuple élu de Dieu doit adhérer. Les questions telles que les affaires internes de l’Église, les ajustements du personnel concernant les dirigeants et les ouvriers, le travail de purge de l’Église, et les arrangements émanant du Supérieur, parmi d’autres choses, ne doivent pas être diffusées avec désinvolture au sein de l’Église, pour éviter qu’elles ne soient divulguées à Satan par des incrédules et des personnes malfaisantes. La raison en est que la maison de Dieu est différente de la société. Dieu demande aux gens de poursuivre la vérité, de lire davantage les paroles de Dieu, de réfléchir et d’échanger davantage. Seuls la diffusion des paroles de Dieu et le fait de rendre témoignage à Dieu peuvent créer une atmosphère appropriée. Seul le fait de partager davantage de témoignages d’expérience peut créer une telle atmosphère. En outre, il y a de nombreux nouveaux croyants dans la maison de Dieu qui ne croient en Dieu que depuis peu. Il est inévitable que certains incrédules n’aient pas encore été révélés. En particulier, les cinq ou dix premières années de croyance sont le moment pour révéler la véritable personnalité des gens. Durant cette période, on ne sait pas avec certitude qui peut rester ferme et qui en est incapable, ni combien de personnes malfaisantes capables de perturber l’Église sont encore présentes. Diffuser sans cesse imprudemment des informations personnelles et de telles affaires extérieures, ainsi que des questions sans lien avec l’échange sur la vérité, peut avoir de nombreuses conséquences néfastes. Par exemple, quelqu’un peut demander : « D’où vient tel dirigeant ? Où habite-t-il ? » Le peuple élu de Dieu n’a pas besoin de savoir cette information sensible. Quelqu’un d’autre peut demander : « Combien coûte l’impression d’un livre de paroles de Dieu à la maison de Dieu ? » Le savoir est-il utile ? (Non.) Les frais d’impression te regardent-ils en quoi que ce soit ? En as-tu été chargé ? Cela semble sans rapport avec toi, n’est-ce pas ? Certains pourraient demander : « Qui sont les dirigeants de rang supérieur dans la maison de Dieu, en ce moment ? » Si ces dirigeants ne te guident pas directement, ne pas le savoir t’affectera-t-il ? (Non.) En Chine continentale, savoir ces choses pourrait poser problème. Si tu es pris par le grand dragon rouge et soumis à de graves tortures, si tu ne sais pas ces choses, on aura beau te battre, tu ne pourras rien dévoiler, et donc tu ne finiras pas par devenir un Judas. Mais si tu sais effectivement ces choses et que tu ne supportes pas les passages à tabac féroces qu’on te fait subir, tu pourrais finir par parler, et devenir un Judas. À ce moment-là, tu pourrais penser : « Pourquoi ai-je imprudemment posé ces questions, à l’époque ? Il aurait bien mieux valu ne pas savoir. Même si on m’avait battu à mort, j’aurais quand même ignoré ces choses. Même si j’avais voulu inventer des réponses, je n’aurais pas pu en trouver la moindre. Dans ce cas, je ne serais pas devenu un Judas. J’ai retenu la leçon, maintenant. Il vaut mieux ne pas en savoir trop sur ces questions sans lien avec la vérité. S’informer de telles choses n’offre aucun avantage, il vaut mieux ne pas savoir. » Et il y en a d’autres qui peuvent demander : « Combien d’équipes dans la maison de Dieu font un travail spécialisé ? » En quoi cela te regarde-t-il ? Fais simplement le travail qui est assigné à ta propre équipe. Ne pas savoir cela n’affecte pas ta capacité à faire ton devoir normalement, à poursuivre la vérité dans ta foi ou à avoir une vie d’Église. Cela n’affecte rien. Ne pas savoir cela ne t’empêche pas de poursuivre la vérité ou de parvenir au salut en tant que croyant, alors pourquoi prendre la peine de poser des questions ? « La plupart des frères et sœurs viennent-ils de zones urbaines ou de zones rurales ? Sont-ils instruits ou non ? » Savoir ces choses est-il utile ? (Non.) Qu’est-ce que cela fait s’ils viennent tous de zones rurales ? Et qu’est-ce que cela fait s’ils viennent tous des villes ? Cela n’a rien à voir avec la vérité. Certains peuvent demander : « Comment le travail d’évangélisation se diffuse-t-il, à présent ? » Poser quelques questions à ce sujet est acceptable, mais certains individus, par curiosité, demandent en détail dans combien de pays exactement le travail d’évangélisation s’est diffusé, ce qui n’est pas nécessaire. Même s’ils le savaient, quel impact cela aurait-il sur eux ? Quel avantage offrirait le fait de connaître de tels détails ? Si tu n’as pas la vérité-réalité, tu continueras à ne pas l’avoir, même si tu le savais. Cette connaissance ne t’aidera pas du tout à bien faire tes devoirs ou ne facilitera aucunement ton entrée dans la vie. Il est acceptable de ne pas s’informer de certaines affaires générales. En fait, il vaut mieux ne pas savoir. En savoir trop est un fardeau. Quand de telles informations fuitent, cela devient un problème et une transgression. Il n’est pas bon de savoir ces choses : plus tu en sais, plus cela peut créer des problèmes. Ceux qui comprennent la vérité savent ce qui doit être dit et ce qui ne doit pas être dit. Les gens à l’esprit confus, qui manquent de compréhension spirituelle, ne parviennent pas à faire la distinction entre les gens de l’intérieur et ceux de l’extérieur quand ils parlent, et ils ne disent que des bêtises. Par conséquent, ces questions ne devraient pas être rapportées à ceux dans l’Église qui ne comprennent pas la vérité. Savoir ces choses n’offre aucun avantage, de quelque façon que ce soit. Premièrement, ces gens ne peuvent pas aider à résoudre les problèmes. Deuxièmement, ils ne peuvent pas protéger le travail de l’Église. Et troisièmement, ils n’ont pas à dire du bien de la maison de Dieu. Toutes les paroles de Dieu sont la vérité, et tous les actes de Dieu sont justes. Y a-t-il le moindre besoin de la servilité et de la flatterie de ces incrédules et de ces non-croyants qui manquent de compréhension spirituelle ? Non. Même si pas une seule créature dans le monde entier ne suivait Dieu ou ne L’adorait, le statut et l’essence de Dieu resteraient inchangés. Dieu est Dieu, Il est à jamais immuable, Il reste inchangé quels que soient les changements de circonstances. L’identité et le statut de Dieu restent éternellement inchangés. Voilà des vérités que ceux qui croient en Dieu devraient comprendre. Ces incrédules et incroyants parlent et agissent sans faire de distinction entre les gens de l’intérieur et ceux de l’extérieur. Est-il bénéfique au travail de la maison de Dieu qu’ils en sachent trop ? Est-il nécessaire qu’ils soient au courant du travail de la maison de Dieu ? Ils ne sont pas dignes de cette connaissance ! Certains pourraient demander : « Toutes ces questions sont-elles secrètes, et est-ce pour cette raison qu’on ne peut pas les connaître ? » Croyant en Dieu jusqu’à maintenant, pensez-vous que ces questions renferment des secrets ? (Non.) Mais le peuple élu de Dieu possède intégrité et dignité. Il ne doit pas faire l’objet des discussions ou de la moquerie des non-croyants. La maison de Dieu, l’Église et les frères et sœurs, que ce soit en tant que groupe ou en tant qu’individus, ont tous de la dignité. Ils sont tous positifs et personne ne devrait essayer de les souiller. Quiconque agit d’une façon qui permet aux Satans et aux démons de souiller sans raison et de diffamer avec désinvolture la maison de Dieu, ou de nuire à sa réputation, ou de nuire à la réputation des frères et sœurs, est maudit ! Par conséquent, l’Église ne tolère absolument pas la présence de ceux qui ne savent pas tenir leur langue. Une fois identifiés, ces individus doivent être exclus ! Cette approche est-elle conforme aux principes ? (Oui.)

Certaines personnes se montrent particulièrement prudentes et circonspectes quand elles parlent, communiquent, interagissent avec les frères et sœurs, ou qu’elles les fréquentent, mais une fois rentrées chez elles, elles deviennent bavardes, dévoilent tout, même les données personnelles des frères et sœurs, de sorte que les membres de leur famille, les non-croyants sans foi, et ceux qui ne sont croyants que de nom, en savent long sur les affaires de l’Église. De telles personnes sont des taupes, des traîtres, des Judas, et c’est précisément le type de personnes que l’Église devrait exclure. Plus elles resteront dans l’Église, plus elles connaîtront d’informations sur les frères et sœurs, plus elles commettront des trahisons, et plus il y aura des questions dont les non-croyants s’empareront pour les utiliser comme moyen de pression et pour diffamer. Si tu ne crains pas qu’elles divulguent ces renseignements aux non-croyants, alors garde-les dans l’Église. Si tu ne souhaites pas que tes données personnelles et les affaires internes de l’Église soient divulguées quand elles ouvrent la bouche, alors tu devrais exclure ces taupes dès que possible. Est-ce approprié ? (Oui.) On ne devrait faire preuve d’aucune indulgence vis-à-vis de tels individus. Ils ne nourrissent aucune bonne intention et ne sont rien de bon. Comment de tels individus se comparent-ils aux deux types de personnes évoquées précédemment, celles qui sont enclines à la vengeance et celles qui sont dissolues et sans retenue ? Sont-ils meilleurs ou pires ? (Pires.) Il se pourrait également que ces individus fassent leurs devoirs, qu’ils fournissent certains efforts et endurent certaines souffrances. Ils peuvent coopérer avec tout ce que la maison de Dieu leur demande et ne pas refuser, mais il y a un problème : ils divulguent tout ce qui concerne la maison de Dieu aux non-croyants. Ils jouent un rôle de traîtres, de taupes, chaque jour. Ne serait-ce que pour cette raison, l’Église ne peut pas les tolérer et doit les exclure. Le comprends-tu ? (Oui.) Peu importe qu’ils soient heureux ou malheureux au sein de l’Église, peu importe qui les provoque, qui s’entend bien avec eux, peu importe qu’ils soient élus dirigeants d’Église ou renvoyés, quoi qu’il arrive, ils doivent sans cesse partager les moindres détails avec les membres non-croyants de leur famille. Ils s’assurent que les membres non-croyants de leur famille et les non-croyants soient tout de suite informés de la situation interne de l’Église et qu’ils la saisissent rapidement. Face à de tels individus, il ne faut absolument pas faire preuve de la moindre indulgence, ni d’aucune pitié. Quand tu en découvres, exclus-les. Que dire de cette approche ? (Elle est appropriée.) Procéder ainsi est-il se montrer impitoyable ? (Non.) Ce n’est pas se montrer impitoyable. Tu les traites comme des frères et sœurs, mais ils ne protègent pas du tout les intérêts de la maison de Dieu ou les intérêts des frères et sœurs. Au contraire, ils bradent les intérêts de la maison de Dieu et des frères et sœurs à la moindre occasion. Tu les considères comme des membres de ta famille, mais considèrent-ils que tu fais partie de la leur ? (Non.) Alors ne fais pas preuve d’indulgence à leur égard. S’ils doivent être exclus, alors exclus-les. Jusqu’à maintenant, avez-vous rencontré de tels individus ? (Oui. Ils partageaient avec les membres de leur famille tout ce qu’ils savaient des frères et sœurs, et parfois, ils informaient également les membres de leur famille de certaines questions et arrangements spécifiques au sein de l’Église, dès qu’ils en avaient l’occasion. Les membres de leur famille accumulaient alors des munitions pour faire des commérages sur l’Église dans son dos.) Ces individus ont-ils été exclus ? (Oui.) Après avoir été exclus, se sont-ils plaints ? Il se peut qu’ils trouvent cela injuste, et pensent : « Je n’ai rien fait, cela ne constitue pas une violation des décrets administratifs, et je n’ai pas non plus provoqué d’interruptions ou de perturbations, alors pourquoi ai-je été exclu ? » Pensez-vous que la nature de leurs actes soit plus grave que le fait de provoquer des interruptions et des perturbations ? (Oui.) De tels individus peuvent-ils être rachetés ? Leur est-il facile de changer ? (Non.) Pourquoi dites-vous que cela ne sera pas facile ? Quel aspect montre qu’il leur est difficile de changer ? (Ils ne font pas partie de la maison de Dieu, ce ne sont pas des frères ou des sœurs, leur essence est celle des incrédules et des non-croyants.) Voilà leur essence. Alors, comment savez-vous qu’il s’agit de non-croyants et d’incrédules ? (Quelles que soient les émotions qu’ils éprouvent dans l’Église, ils se défoulent sur leur famille, ce qui indique que, quoi qu’il se produise, ils ne l’acceptent pas comme venant de Dieu, et encore moins en tirent-ils les moindres leçons. De tels individus ne font pas l’expérience de l’œuvre de Dieu et n’acceptent pas la vérité, de sorte que leur essence est celle des incrédules.) Cette essence qui est la leur a été expliquée clairement. Ils se défoulent de leurs émotions sur leur famille et traitent toutes choses en se basant sur leurs émotions. Comment sait-on qu’ils ne font pas partie de la maison de Dieu, mais qu’ils sont des non-croyants qui se sont infiltrés dans la maison de Dieu ? (Parce qu’ils peuvent brader les intérêts de la maison de Dieu, en agissant comme des traîtres et des taupes, et parce qu’ils ne sont fondamentalement pas des gens qui protègent le travail et les intérêts de la maison de Dieu. Par conséquent, ces individus ne sont pas d’un seul cœur avec la maison de Dieu.) Cette explication ne fait pas mouche. Permettez-Moi de vous expliquer. Même si ces individus participent à la vie d’Église et qu’ils font leurs devoirs, ont-ils jamais considéré que les frères et sœurs faisaient partie de leur famille ? En termes simples, ont-ils considéré que les frères et sœurs étaient des leurs ? (Non.) Alors, comment considèrent-ils les frères et sœurs ? (Comme des gens de l’extérieur.) En effet, comme des gens de l’extérieur, comme des adversaires. Comment considèrent-ils alors la maison de Dieu et l’Église ? Ne s’agit-il pas pour eux simplement d’un lieu de travail ? (Si.) Ils considèrent la maison de Dieu et l’Église comme s’il s’agissait d’entreprises ou d’organisations du monde non-croyant, ils voient les frères et sœurs comme des gens de l’extérieur, dont il faut se méfier, comme des adversaires. Par conséquent, ils peuvent facilement divulguer diverses sortes de renseignements et diverses situations concrètes concernant les frères et sœurs à ceux qui, fondamentalement, ne croient pas en Dieu. Ils savent que ces gens non-croyants n’auront rien de bon à dire, et qu’ils pourraient même calomnier les frères et sœurs, et diffamer la maison de Dieu. Ils savent tout cela, pourtant, ils dévoilent quand même imprudemment la situation des frères et sœurs, et de l’Église, à ces non-croyants, sans faire preuve de la moindre réserve. Clairement, ils considèrent les frères et sœurs comme des gens de l’extérieur, comme des adversaires, et chaque fois que des choses désagréables se produisent, ils agissent main dans la main avec les non-croyants pour ridiculiser, diffamer les frères et sœurs, et s’opposer à eux dans leur dos, satisfaisant ainsi leurs propres désirs. Ils pensent que juger les moindres frères et sœurs ne serait pas faisable dans l’Église, parce que, s’ils discutaient des affaires de l’Église ou des frères et sœurs devant les frères et sœurs eux-mêmes, ils auraient à en supporter les conséquences, ce qui leur serait défavorable. Mais discuter de ces questions avec leur famille satisfait complètement leur impétuosité, leurs désirs et leurs émotions personnels, sans qu’ils aient à supporter les moindres conséquences, puisque la famille est la famille, après tout, et qu’elle ne les trahirait pas. Cependant, il n’en va pas de même des frères et sœurs, qui les signaleraient, qui les exposeraient et les émonderaient, et qui leur feraient même perdre leurs devoirs et leur position, n’importe où, n’importe quand. Donc, il n’est pas du tout faux de dire qu’ils considèrent les frères et sœurs comme leurs adversaires. Un adversaire est quelqu’un dont on devrait se méfier. Par conséquent, ils ne parlent pas aux frères et sœurs, ils n’échangent pas avec eux et n’exposent rien à leur intention. Au lieu de cela, ils « mènent une vie d’Église » avec les membres non-croyants de leur famille, chez eux, où ils partagent tout et épanchent leur cœur. Ils expriment, sans aucune réserve, leurs pensées, leurs opinions, leurs frustrations et leurs insatisfactions, et toutes leurs opinions déformées, sans aucun scrupule, trouvant libération et plaisir en faisant cela. Les membres de leur famille ne les traitent pas avec dédain, mais, au contraire, ils les aident et coopèrent avec eux. Si ces individus parlaient ainsi dans l’Église, leur vraie nature en tant qu’incrédules se trouverait pleinement exposée, et l’Église serait obligée de les exclure. Par conséquent, ils ne considèrent pas les frères et sœurs comme leur famille, mais comme des adversaires. Voilà un aspect des choses. L’autre aspect est qu’ils ne considèrent jamais qu’ils font eux-mêmes partie de l’Église. Donc, quoi qu’il arrive à l’Église, qu’il s’agisse de diffamation et de blasphème émanant du monde religieux, de rumeurs infondées et de moqueries émanant des non-croyants, ou de coups montés et de persécutions émanant du gouvernement national, tout cela n’est ni pertinent ni significatif pour eux personnellement. Supposons que ce qu’ils pensent vraiment soit ceci : « Si l’image de l’Église est entachée et que le nom de Dieu est déshonoré, notre dignité en tant que croyants est gravement remise en cause. Pour cette raison, je ne discuterais jamais de questions propres à l’Église ou des affaires de la maison de Dieu avec des non-croyants, en les laissant jaser et rire à ce sujet. Même pour me protéger, je ne parlerais pas avec désinvolture des affaires de la maison de Dieu avec des membres non-croyants de ma famille. » S’ils avaient une telle conscience, ne seraient-ils pas capables de tenir leur langue ? Alors, pourquoi ne peuvent-ils pas le faire ? Il est clair que, fondamentalement, ils ne considèrent pas qu’ils font partie de la maison de Dieu, pas plus qu’ils ne se considèrent comme des croyants. Certaines personnes disent : « Tes paroles sont inexactes. S’ils ne considèrent pas qu’ils font partie de la maison de Dieu, pourquoi viendraient-ils quand même aux réunions ? » Parmi ceux qui croient en Dieu, il y a toutes sortes de gens. N’avons-nous pas déjà échangé à ce sujet ? Beaucoup de gens en viennent à croire en Dieu en ayant diverses motivations et divers objectifs inappropriés, voilà un de ces types de personnes. Ces incrédules qui croient en Dieu pour se divertir, pour soulager leur ennui, ou pour trouver une nourriture spirituelle, ne sont-ils pas répandus ? Ne trouve-t-on pas de tels individus en grand nombre ? (Si.) Ils ne se reconnaissent même pas eux-mêmes en tant que croyants en Dieu. Bien entendu, ils ne sont pas préoccupés par tout le travail de l’Église, ni par le fait que le peuple élu de Dieu fasse ses devoirs, ils n’y prêtent aucune attention. Par conséquent, ils peuvent discuter avec désinvolture et à la légère de la situation du travail de l’Église, des affaires internes de l’Église, et même des moindres problèmes qui apparaissent parmi les frères et sœurs, avec des non-croyants. Quand ils ont fini de parler, ces non-croyants se mettent à faire des commérages, à calomnier et à caricaturer, mais cela ne les tracasse pas le moins du monde. Ils pourraient même se joindre aux non-croyants et lancer des insultes aux frères et sœurs, juger la maison de Dieu, commenter le travail et les arrangements de travail de la maison de Dieu. Sont-ils des croyants en Dieu ? (Non.) Un vrai croyant n’agirait jamais ainsi. Même pour protéger sa propre dignité et ses propres intérêts, il ne mordrait jamais la main qui le nourrit et ne se rallierait jamais à ceux qui sont en dehors de l’Église. N’en va-t-il pas ainsi ? (Si.) Par conséquent, de tels individus sont des personnes malfaisantes et des incrédules, qui doivent être exclus. Plus vite on les exclura, plus vite l’Église connaîtra la tranquillité.

Parlons de vous. Par exemple, si tes parents ne croient pas en Dieu, ou si tes frères et sœurs, ou tes meilleurs amis, ne croient pas en Dieu, mais qu’ils ne s’opposent pas à ta croyance et qu’en réalité, ils la soutiennent plutôt, leur parlerais-tu de tout ce qui se passe dans l’Église ? Supposons que l’une de tes amies demande : « Y a-t-il des hommes dans votre Église qui cherchent une compagne ? Y en a-t-il qui soient particulièrement candides, grands, riches et beaux ? » Certains individus convenables parmi les non-croyants souhaitent eux aussi trouver une compagne ou un compagnon pour passer leur vie avec cette personne. Ton amie veut trouver quelqu’un qui croit en Dieu, alors, seras-tu disposé à lui répondre ? (Non.) Tu devrais lui dire : « Ton faible pour les croyants ne sert à rien. Tu es une non-croyante et, fondamentalement, tu es incompatible avec les croyants. Vous n’avez pas de langage commun. Vous suivez des chemins différents ! Regarde-toi, habillée de façon aussi voyante. Quel frère, dans notre Église, pourrait s’enticher de toi ? » Tu n’as pas une très haute opinion d’elle, alors, pourrais-tu lui parler des affaires de l’Église ? (Non.) Après quelques mots seulement, avec vos points de vue complètement divergents, la conversation s’effondrerait. Même si certains non-croyants ont une bonne image des croyants, et même s’ils restent amis avec toi après que tu es devenu croyant, serais-tu prêt à partager avec eux les affaires internes de l’Église, ou les difficultés que tu rencontres en faisant tes devoirs ? (Non.) Même s’ils soutiennent ta croyance en Dieu, à quoi bon discuter des affaires de l’Église avec eux ? Par exemple, certains frères et sœurs ont résisté aux tortures et aux interrogatoires du grand dragon rouge sans devenir des Judas. Voilà un témoignage que même les non-croyants admirent. Serais-tu prêt à partager cela avec eux ? (Non.) Pourquoi ne serais-tu pas disposé à en discuter ? (De telles questions sont sans rapport avec eux, et ils ne pourraient pas comprendre ces témoignages d’expérience.) Ils ne pourraient pas comprendre. Quels effets négatifs pourrait avoir le fait de discuter de ces questions ? (Ces non-croyants pourraient finir par juger l’Église, à la place.) Ils porteraient des jugements : « Pourquoi vous soumettre à cela ? Pourquoi s’opposer au gouvernement national ? » Tu vois, un seul commentaire peut exposer leur nature. Comment peut-on considérer cela comme s’opposer au gouvernement national ? Il est clair que le roi démon qui gouverne le pays nuit gravement au peuple élu de Dieu, qu’il ne lui laisse aucun moyen de vivre. Même quand ces non-croyants y assistent, ils font semblant de n’en rien savoir. Il est clair qu’ils parlent d’une façon qui inverse la vérité et qui déforme les faits. De quoi d’autre pourrais-tu vraiment discuter, avec eux ? Tu ne peux pas leur parler de quoi que ce soit ayant un lien avec la foi en Dieu. Tu ne peux pas les informer de quoi que ce soit à ce sujet. Ceux qui ne savent pas tenir leur langue peuvent raconter aux non-croyants tout ce qui concerne l’Église. Ce sont manifestement des incrédules. Ce sont des démons qui viennent dans la maison de Dieu pour faire dans l’à-peu-près, des bêtes qui mordent la main qui les nourrit, sans la moindre conscience ou raison. Tout préjudice infligé aux intérêts ou à la réputation de la maison de Dieu et de l’Église, ne les affecte pas du tout, cela ne concerne aucun de leurs propres intérêts, et ils n’éprouvent pas le moindre chagrin à ce sujet. Par conséquent, ils peuvent parler imprudemment des affaires internes de l’Église aux non-croyants et aux gens qui ne croient pas en Dieu, sans aucun scrupule. Ces gens sont-ils détestables ? (Oui !) Un incrédule, qui ne considère pas que les frères et sœurs font partie de sa famille, mais qui considère que des non-croyants font partie de sa famille, peut-il accepter la vérité ? (Non.) Peut-il reconnaître que Dieu est la vérité ? (Non.) Un individu qui ne se considère pas lui-même comme un membre de l’Église peut-il, en entendant les paroles de Dieu sur le salut de l’homme, mettre de côté ses propres intérêts pour poursuivre la vérité et entrer dans la vérité-réalité ? (Non.) Ses activités quotidiennes consistent seulement à brader les intérêts de l’Église, à prendre le parti de gens de l’extérieur, à faire office de taupe, de Judas, de traître, comme si c’était là sa mission. Il ne suit pas un chemin approprié, mais vit pour faire le mal. Il mérite de mourir et d’être maudit ! Ces Judas, ces traîtres et ces serviteurs de Satan qui mordent la main qui les nourrit sont des misérables négatifs, ils nuisent à l’humanité et sont méprisés de tous. Alors, n’est-il pas tout à fait approprié que l’Église s’en occupe et les exclue ? (Si.) C’est absolument approprié ! Ne détesteriez-vous pas être trahis ? Si l’Église ou la maison de Dieu étaient trahies, la plupart des gens pourraient ne pas compatir profondément ni se sentir trop bouleversés. Ils se sentiraient simplement un peu mal à l’aise intérieurement, parce que, après tout, ils en sont membres. Mais que se passerait-il si tu étais vendu aux non-croyants par quelqu’un dans l’Église et que, parce que cette personne t’a trahi, des non-croyants déformaient les faits, te diffamaient, te ridiculisaient, te jugeaient et te condamnaient ? Que ressentirais-tu alors ? Ne ressentirais-tu pas l’humiliation et la honte endurées par l’Église et la maison de Dieu ? (Si.) De ce point de vue, est-il approprié d’exclure de tels individus ? (Oui.) Ils devraient être exclus. Il n’y a pas à faire preuve d’indulgence à leur égard. En ce qui concerne ceux qui ne savent pas tenir leur langue, si l’on se base sur les diverses manifestations de leur façon de se conduire, et ce qu’ils vivent, ce sont des incrédules au sein de l’Église, et les personnes malfaisantes de ce type devraient être exclues. Qu’un individu agisse en secret ou ouvertement, une fois qu’on découvre qu’il ne sait pas tenir sa langue et que son humanité-essence est celle d’un incrédule absolu, tu dois alors le signaler immédiatement aux dirigeants et aux ouvriers, et avertir les frères et sœurs. Il faut faire preuve d’un discernement opportun et précis au sujet de tels individus, et ils devraient ensuite être exclus de l’Église dès que possible. Ne les laisse pas avoir les moindres rapports avec l’Église, son travail ou les frères et sœurs. Les exclure complètement est la mesure correcte à prendre. Ceci conclut l’échange sur cette manifestation de l’humanité : être incapable de tenir sa langue.

Les trois types de personnes qui ont fait l’objet d’un échange aujourd’hui constituent-ils des cas plus graves que les deux types qui ont fait l’objet d’échanges précédemment ? (Oui.) La situation de ces personnes est pire, leur humanité est plus vile et plus méprisable, et elles lèsent et affectent davantage les intérêts de l’Église, ainsi que tous les frères et sœurs. Par conséquent, ne prenez pas ces trois types de personnes à la légère. Il faut s’en méfier avec vigilance et ne pas leur céder. Si quelqu’un est identifié comme l’un de ces trois types de personnes, il doit être exposé et discerné immédiatement, puis il faut s’en débarrasser aussi vite que possible. Si cet individu fait un devoir important, trouvez quelqu’un pour prendre immédiatement la relève de son devoir, puis relevez-le de ce devoir et excluez-le. C’est compris ? (C’est compris.) Les divers états des frères et sœurs de l’Église, leurs diverses manifestations à différentes périodes, le travail de l’Église, et même certaines de ses affaires internes, peuvent seulement faire l’objet de discussions et d’échanges entre les frères et sœurs. C’est pour permettre au peuple élu de Dieu d’avoir une compréhension et des idées plus claires quant aux principes requis par la maison de Dieu, et qu’il parvienne ainsi à avoir la capacité d’agir conformément aux vérités-principes. Cependant, un principe doit être clair : qu’il s’agisse des vérités ou des principes concernant l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, ou des règlements liés aux affaires générales, il n’est absolument pas permis d’en parler aux non-croyants, ce qui aurait pour conséquence que ces non-croyants feraient des commentaires et montreraient les croyants du doigt. C’est absolument interdit. Certains pourraient dire : « Si c’est absolument interdit, cela veut-il dire qu’il s’agit d’un décret administratif ? » On peut le dire comme cela. Quiconque divulgue des renseignements aura à supporter des conséquences correspondantes. Pourquoi ces gens auront-ils à en supporter les conséquences ? Parce que ceux qui divulguent les affaires internes de l’Église ne protègent pas l’Église ni les frères et sœurs, et qu’ils peuvent facilement trahir l’Église et les frères et sœurs. Puisqu’ils agissent comme des traîtres et des Judas, on ne devrait plus faire preuve d’indulgence à leur égard ni les considérer comme des frères et sœurs, ou comme sa famille. On devrait s’en débarrasser en tant que traîtres et Judas, et ils devraient être directement exclus de l’Église. Certaines personnes disent : « J’avais la mauvaise habitude d’être bavard, j’avais tendance à parler imprudemment. Maintenant, je vois les conséquences de tels actes, je n’ose plus parler imprudemment. » C’est bien. Puisque tu as dit cela, ton comportement sera observé. Si tu te repens vraiment et que tu fais demi-tour, que tu ne transmets plus de renseignements imprudemment, ou que tu ne trahis plus les intérêts des frères et sœurs, et que tu sais tenir ta langue, la maison de Dieu te laissera une chance. Si on découvre à nouveau que tu as fait cela, que tu étais celui qui a diffusé certains renseignements, on ne fera preuve d’aucune indulgence à ton égard. Les frères et sœurs dans l’Église s’uniront pour t’exclure. Quand cela arrivera, ne pleure pas ou ne te plains pas en disant que tu n’as pas été averti. Maintenant que les choses ont été clairement expliquées, si cela se produit de nouveau, la maison de Dieu ne se montrera absolument pas indulgente. C’est compris ? (C’est compris.) Si vous voyez quelqu’un qui n’a pas compris cela, expliquez-lui, donnez-lui des conseils en utilisant ce sur quoi nous avons échangé aujourd’hui. Si vous remarquez quelqu’un qui donne des signes de ce comportement, ou quelqu’un qui a agi de cette façon précédemment, communiquez avec lui, avertissez-le, et informez-le de la nature et des conséquences de tels actes, ainsi que de l’attitude de la maison de Dieu vis-à-vis de ces questions et de ces individus. Après avoir clarifié les choses, observez ces gens pour voir s’ils peuvent se repentir et ce qu’ils feront à l’avenir. S’ils changent et n’agissent plus de cette façon, on peut accepter leur retour et les traiter comme des frères et sœurs. Mais s’ils restent obstinément impénitents et continuent d’agir secrètement ainsi, excluez-les chaque fois que vous trouverez de tels individus. Si vous en trouvez deux, alors excluez-les tous les deux. Si vous en trouvez un groupe, alors excluez-les tous. Ne faites preuve d’aucune indulgence. Certaines personnes demandent : « Puis-je parler à ceux qui, dans ma famille, ont cru autrefois, mais qui ont été exclus par la suite ? » Il semble que ceux qui aiment parler à tort et à travers et se livrer à des commérages ont du mal à se contrôler, qu’ils demandent sans cesse avec entêtement si c’est permis. Qu’en pensez-vous, est-ce permis ? (Non.) Il n’est pas permis de parler à quiconque, car cela a facilement des conséquences. Il faut se débarrasser de tous ces individus en tant que Judas. On ne doit pas parler à ceux qui sont des non-croyants, à ceux qui ont été exclus, à ceux qui vous sont proches, à ceux qui sont dignes de confiance, à ceux qui soutiennent votre foi en Dieu, à ceux qui ont une image favorable de la croyance en Dieu, et à ceux qui croient nominalement en Dieu, qui mènent seulement une vie d’Église et lisent un peu des paroles de Dieu, mais qui ne font pas du tout leur devoir. Si on le fait, il faudra se débarrasser d’eux en tant que Judas. C’est compris ? (C’est compris.) Qui d’autre est inclus parmi ceux qui ne font pas leur devoir ? Les membres ordinaires de l’Église sont-ils inclus ? (Oui.) N’oubliez pas cette question. Ne soyez pas stupides. Vous devez bien saisir les principes. Ne continuez pas à croire, pour finir par devenir des Judas et trahir la maison de Dieu, trahir les frères et sœurs, sans même vous en rendre compte, et même en en étant fiers. Ne pas être capable de tenir sa langue et même trahir le travail de l’Église et les frères et sœurs est une transgression grave. Dieu garde la trace de quiconque fait un tel mal. Maintenant que les choses t’ont été clairement expliquées, et que tu as compris, si tu le fais à nouveau, il ne s’agit plus d’une simple transgression, c’est une violation du décret administratif, ce qui fait de toi une cible pour ce qui est d’être exclu, et tu seras privé du droit au salut. C’est compris ? (C’est compris.)

Le 11 décembre 2021

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

Contactez-nous par WhatsApp