Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3) Section 3

À l’instant, J’ai échangé sur divers types de personnes qui sont avides de nourriture, de sommeil et de divertissement. Il y a un autre type de personnes. Dans un premier temps, quand on choisit des superviseurs, les personnes de ce deuxième type sont considérées comme appropriées, à tous égards, pour jouer ce rôle, et les frères et sœurs sont tous disposés à les choisir. Ils pensent que ces personnes ont une bonne humanité, qu’elles sont enthousiastes et compétentes dans leur métier, qu’elles sont aussi les meilleures et les plus fortes de l’équipe, à tous points de vue, ce qui fait d’elles des choix évidents pour des postes de superviseurs. Cependant, à un moment, l’un de ces individus, après avoir été élu, se met à avoir fréquemment envie de dormir, même pendant les réunions. Quand les autres lui parlent, il est souvent désorienté et répond aux questions hors de propos. Il n’était pas comme cela auparavant, alors pourquoi semble-t-il subitement être devenu une personne différente ? Plus tard, quelqu’un découvre de façon fortuite que les conversations de ce superviseur avec une personne spécifique donnent l’impression que ces deux-là ont une relation amoureuse, et les gens se mettent à spéculer, en se demandant s’ils entretiennent effectivement une liaison. Le problème devenant plus manifeste, ce superviseur se montre de plus en plus confus. Chaque fois qu’on lui pose une question ou qu’on lui parle de quelque chose, ses réponses ne sont pas aussi rapides qu’avant, et il n’est pas aussi clair et compréhensible qu’autrefois. Il commence à faire de moins en moins le travail attendu d’un superviseur, et il met de moins en moins d’enthousiasme à accomplir son devoir. C’est comme s’il était devenu une personne différente. Il s’intéresse davantage à ses vêtements et à son apparence qu’avant. Il y a là un problème. Autrefois, durant les périodes où il y avait beaucoup de travail, il prenait rarement un bain, mais désormais, il se débarbouille deux fois par jour, il se coiffe et se regarde dans un miroir à la moindre occasion, et demande constamment aux autres : « Penses-tu que mon teint se soit éclairci ou qu’il ait foncé, récemment ? Pourquoi ai-je l’impression que mon teint a foncé ? » Les gens répondent : « Il est si frivole que toi, un superviseur, tu parles de ces choses. En quoi le fait que ton teint devienne plus clair ou plus foncé affecte-t-il quoi que ce soit ? » Ce superviseur parle constamment de ces sujets insignifiants et n’est pas d’humeur à faire son travail. Chaque fois qu’il en a la possibilité, il discute de vêtements, il parle des femmes, des hommes, de l’amour et du genre de conjoint choisi par untel ou unetelle, mais il ne discute jamais des problèmes qui surviennent dans l’accomplissement de ses devoirs ou de la façon de les résoudre. Cela ne pose-t-il pas problème ? Peut-il quand même faire ce travail ? (Non.) Son état d’esprit a changé, et la question de faire un devoir n’occupe plus ses pensées. Au lieu de cela, il est obnubilé toute la journée par des pensées portant sur la façon d’avoir des relations amoureuses, de s’habiller et d’attirer le sexe opposé. Les non-croyants ont cette expression : « tomber amoureux ». S’agit-il d’amour ? Non, il s’agit d’un puits profond ! Quand on y tombe, on ne peut plus en ressortir. Y a-t-il des gens comme cela parmi le personnel qui fait ses devoirs ? (Oui.) Bien que la maison de Dieu n’intervienne pas quand des gens recherchent un partenaire amoureux, si, ce faisant, ces gens perturbent la vie d’Église et affectent le travail de l’Église, ces gens doivent être renvoyés. Ces couples devraient partir et se fréquenter ailleurs, et ne pas affecter les autres. Si tu es quelqu’un qui a consacré toute sa vie à se dépenser pour Dieu, et que tu as décidé de ne pas avoir de relations amoureuses, alors attache-toi à te dépenser pour Dieu. Si tu entretiens une relation amoureuse et que tu n’as plus envie de faire ton travail, alors tu ne dois pas accomplir le devoir d’un superviseur, et la maison de Dieu choisira quelqu’un d’autre pour occuper ce poste. Le travail de la maison de Dieu ne doit pas se trouver retardé ou influencé par ta relation amoureuse. Le travail doit se poursuivre. Comment peut-il se poursuivre ? En sélectionnant un autre superviseur pour lui confier ton travail, un autre superviseur qui n’entretient pas de relation amoureuse, qui a de solides compétences professionnelles et qui peut assumer ce travail. La maison de Dieu opère toujours de cette façon et ce principe est immuable. Certains superviseurs disent : « Ma relation amoureuse n’affecte pas mon travail. Laissez-moi continuer à être aux commandes. » Pouvons-nous croire cette déclaration ? (Non.) Pourquoi pas ? Parce que tout le monde peut voir les faits ! Quand quelqu’un entretient une relation amoureuse, il ne pense qu’à son partenaire, son cœur est obnubilé par ces questions, et il est donc souvent somnolent pendant les réunions et ne peut pas faire ses devoirs. Par conséquent, la façon dont la maison de Dieu traite de tels individus est appropriée et conforme aux principes. La maison de Dieu ne t’empêche pas de fréquenter quelqu’un et elle ne te prive pas non plus de la liberté de fréquenter quelqu’un. Tu peux fréquenter quelqu’un tant qu’il te plaît, c’est ta propre décision, du moment que tu ne la regrettes pas et que tu ne pleures pas à cause d’elle par la suite. Il y a des superviseurs qui ont été renvoyés à cause d’une relation amoureuse. Certaines personnes demandent : « Une personne n’a-t-elle plus le droit de croire en Dieu une fois qu’elle entretient une relation amoureuse ? » La maison de Dieu n’a jamais dit cela. Peut-on dire que la maison de Dieu rejette ou expulse tous ceux qui entretiennent des relations amoureuses ? (Non.) Si tu entretiens une relation amoureuse, alors tu ne peux pas être superviseur ou dirigeant, et si tu ne te consacres pas à l’exécution de tes devoirs, alors tu dois quitter l’Église dans laquelle tu fais ton devoir à plein temps. Quiconque a-t-il dit que tu n’avais plus le droit de croire en Dieu, ou que tu serais expulsé ? Quiconque a-t-il porté un jugement disant que tu ne peux pas être sauvé, ou que tu seras maudit ? (Non.) La maison de Dieu n’a jamais dit pareilles choses. La maison de Dieu ne se mêle pas du tout de tes choix personnels ni de ta liberté individuelle. Elle ne te prive d’absolument aucune liberté, elle te donne la liberté. Cependant, quand il s’agit de superviseurs de ce genre, le principe de la maison de Dieu pour s’occuper d’eux est de les renvoyer et de trouver une personne appropriée pour prendre leur place. S’ils sont aptes à continuer à faire un devoir, ils peuvent rester. Dans le cas contraire, ils seront renvoyés. Il ne sera pas question de coups, d’insultes ou d’humiliations. Il ne s’agit pas d’une question honteuse, c’est tout à fait normal. Alors, quand certains individus sont démis de leurs fonctions ou envoyés dans des églises ordinaires, du fait de leur relation amoureuse, est-ce embarrassant ? Cela indique seulement qu’ils manquent de loyauté dans l’exécution de leurs devoirs, qu’ils ne s’intéressent pas à la vérité et qu’ils ne portent absolument aucun fardeau en ce qui concerne leur propre entrée dans la vie. Les superviseurs de ce genre ne s’occupent pas de leur véritable travail, ils ne se concentrent que sur leur relation amoureuse, ce qui retarde le travail de l’Église et a déjà affecté l’avancement de ce travail. N’est-ce pas un problème grave ? (Si.) Par conséquent, les superviseurs de ce genre ne sont pas aptes à rester et ils devraient être démis de leurs fonctions. Certains disent : « N’est-il pas un peu précipité de les démettre ? » Si, entre le début de leur relation amoureuse et le moment de leur révocation, un ou deux jours seulement se sont écoulés, cela pourrait être considéré comme précipité. Mais si trois ou quatre mois se sont écoulés, cela serait-il encore considéré comme précipité ? (Non.) La mesure a été prise suffisamment lentement, le travail s’est déjà trouvé tellement retardé, comment cela peut-il ne pas t’inquiéter ? N’est-ce pas un problème ? (Si.)

Les faux dirigeants ne se renseignent jamais sur les superviseurs qui ne font pas de travail concret ou qui ne s’occupent pas de leur véritable travail. Ils pensent qu’il leur suffit de choisir un superviseur et que la question est close, que ce superviseur peut ensuite se charger lui-même de toutes les questions liées au travail. Les faux dirigeants se contentent donc d’organiser des réunions de temps à autre, et ils ne supervisent pas ce travail ou ne demandent pas comment il se passe, et ils agissent comme des patrons pratiquant le laisser-faire. Si quelqu’un signale un problème à un faux dirigeant concernant un superviseur, ce faux dirigeant répondra : « Ce n’est qu’un problème mineur, tout va bien. Vous pouvez le gérer vous-mêmes. Pas besoin de me poser la question. » La personne qui a signalé le problème dit : « Ce superviseur est un glouton paresseux, il ne pense qu’à manger et à s’amuser, c’est un fainéant. Il ne veut pas endurer la moindre difficulté dans son devoir, il n’arrête pas de tirer au flanc de manière fourbe et de se trouver des excuses pour esquiver ses responsabilités. Il n’est pas fait pour être superviseur. » Le faux dirigeant répondra : « Il était formidable, quand il a été choisi comme superviseur. Ce que tu dis n’est pas vrai, et même si c’était vrai, il ne s’agirait que d’une manifestation temporaire. » Le faux dirigeant n’essaiera pas d’en savoir plus sur la situation du superviseur. Au lieu de cela, il se fera une opinion et portera un jugement sur cette question en se basant sur ses impressions passées concernant ce superviseur. Quelle que soit la personne qui signale des problèmes concernant le superviseur, le faux dirigeant ignorera ces problèmes. Ce superviseur ne fait pas de travail concret, et le travail de l’Église est pratiquement à l’arrêt, mais le faux dirigeant s’en moque, c’est comme si cela ne le concernait même pas. Il est déjà bien assez écœurant que, lorsque quelqu’un signale les problèmes du superviseur, le faux dirigeant ferme les yeux. Mais qu’est-ce qui est le plus détestable ? Quand les gens signalent au faux dirigeant des problèmes vraiment graves concernant le superviseur, le faux dirigeant n’essaiera pas de les régler, et il se trouvera même toutes sortes d’excuses : « Je connais ce superviseur, il croit sincèrement en Dieu, il ne peut pas avoir de problèmes. Et même s’il avait un petit problème, Dieu le protégerait et le disciplinerait. S’il commet la moindre erreur, c’est entre lui et Dieu, nous n’avons pas à nous en inquiéter. » Les faux dirigeants travaillent en suivant leurs propres notions et leur imagination de cette manière. Ils font semblant de comprendre la vérité et d’avoir la foi, mais ils sèment simplement la pagaille dans le travail d’Église. Le travail d’Église peut même se trouver à l’arrêt, ils feindront malgré tout l’ignorance. Les faux dirigeants n’agissent-ils pas beaucoup trop comme des gratte-papier ? Ils sont incapables de faire eux-mêmes un travail réel, et ils ne sont pas non plus méticuleux en ce qui concerne le travail des chefs d’équipe et des superviseurs. Ils n’en assurent pas le suivi ou ne s’en tiennent pas informés. Leur opinion des gens se base uniquement sur leurs propres impressions et sur leur imagination. Quand ils voient que quelqu’un se comporte bien pendant un moment, ils pensent que cette personne agira bien à jamais, qu’elle ne changera pas. Ils ne croient pas ceux qui disent que cette personne pose problème, et ils ignorent la situation quand quelqu’un les met en garde contre cette personne. Pensez-vous que les faux dirigeants soient stupides ? Ils sont stupides et insensés. Qu’est-ce qui les rend stupides ? Ils font allègrement confiance à cette personne, et parce qu’au moment où cette personne a été choisie, elle a prêté serment, pris une résolution et prié en ayant le visage inondé de larmes, ils croient que cela signifie qu’elle est fiable et qu’il n’y aura jamais de problèmes avec elle à l’avenir quand elle prendra le travail en charge. Les faux dirigeants n’ont aucune compréhension de la nature des gens. Ils ignorent la véritable situation de l’humanité corrompue. Ils disent : « Comment quelqu’un pourrait-il changer en pire une fois qu’il a été choisi comme superviseur ? Comment quelqu’un qui semble si sérieux et fiable pourrait-il esquiver son travail ? Il ne le ferait pas, n’est-ce pas ? Il a beaucoup d’intégrité. » Parce que les faux dirigeants ont trop fait confiance à leur propre imagination et à leurs propres sentiments, cela les rend finalement incapables de résoudre en temps opportun les nombreux problèmes qui surviennent dans le travail d’Église, et cela les empêche de renvoyer ou de réaffecter rapidement le superviseur concerné. Ce sont d’authentiques faux dirigeants. Et quel est précisément le problème ici ? L’approche des faux dirigeants vis-à-vis de leur travail a-t-elle quoi que ce soit à voir avec la superficialité ? D’une part, ils voient le grand dragon rouge procéder avec rage à des arrestations parmi le peuple élu de Dieu. Alors, pour se protéger, ils s’arrangent, au hasard, pour que quelqu’un soit responsable du travail, croyant que cela résoudra le problème et qu’ils n’auront plus à y accorder d’attention. Que pensent-ils dans leur cœur ? Ils se disent : « C’est un environnement tellement hostile, je devrais me cacher pendant un moment. » C’est là convoiter le confort de la chair, n’est-ce pas ? D’autre part, les faux dirigeants ont un défaut fatal : ils ont vite fait de faire confiance aux gens en se fondant sur leur propre imagination. Et c’est dû au fait qu’ils ne comprennent pas la vérité, n’est-ce pas ? Comment la parole de Dieu révèle-t-elle l’essence de l’humanité corrompue ? Pourquoi devraient-ils faire confiance aux gens, alors que Dieu ne leur fait pas confiance ? Les faux dirigeants sont trop arrogants et présomptueux, n’est-ce pas ? Ils se disent : « Il n’est pas possible que j’aie mal jugé cette personne, elle ne devrait poser aucun problème, puisque j’ai jugé qu’elle convenait. Ce n’est assurément pas quelqu’un qui s’adonne à la nourriture, à la boisson et au divertissement, ou qui aime le confort et déteste travailler dur. Elle est absolument fiable et digne de confiance. Elle ne changera pas. Si elle changeait, cela voudrait dire que je me suis trompé à son sujet, n’est-ce pas ? » Quel genre de logique est-ce donc ? Es-tu une sorte d’expert ? As-tu une vision aux rayons X ? As-tu cette compétence extraordinaire ? Tu aurais beau vivre avec une personne pendant un ou deux ans, serais-tu capable de voir qui elle est vraiment sans un environnement approprié pour mettre entièrement à nu sa nature-essence ? Si elle n’était pas révélée par Dieu, tu pourrais vivre côte à côte avec elle pendant trois, voire cinq ans, et tu aurais encore du mal à voir quel genre de nature-essence elle a exactement. Et n’est-ce pas encore plus vrai quand tu ne la vois que rarement, que tu es rarement avec elle ? Les faux dirigeants font allègrement confiance à une personne en se fondant sur une impression fugace, ou sur l’appréciation positive qu’en a quelqu’un d’autre, et ils osent confier le travail de l’Église à une telle personne. En cela, ne sont-ils pas extrêmement aveugles ? N’agissent-ils pas imprudemment ? Et quand ils agissent ainsi, les faux dirigeants ne sont-ils pas extrêmement irresponsables ? Les dirigeants et ouvriers de rangs supérieurs demandent aux faux dirigeants : « As-tu vérifié le travail de ce superviseur ? À quoi ressemblent son caractère et son calibre ? Se montre-t-il responsable dans son travail ? Peut-il assumer cette tâche ? » Les faux dirigeants répondent : « Absolument ! Quand il a été choisi, il a prêté serment et pris une résolution. J’ai encore la déclaration écrite de son serment. Il devrait être capable d’assumer cette tâche. » Que penser des paroles de ce faux dirigeant ? Il croit que, cette personne ayant prêté serment pour exprimer son engagement, elle sera sans aucun doute capable de s’y tenir. Cette déclaration reste-t-elle valable ? Combien de personnes, de nos jours, peuvent réellement s’en tenir à leur serment ? Combien de personnes honnêtes peuvent s’en tenir à leurs résolutions ? Ce n’est pas parce qu’une personne prête serment qu’elle peut réellement s’y tenir. Supposons que tu demandes au faux dirigeant : « Peux-tu garantir que ce superviseur ne changera pas ? Peux-tu garantir sa loyauté à vie ? Quand Dieu veut révéler les gens, Il doit arranger divers environnements pour les éprouver. Sur quelle base dis-tu que ce superviseur est fiable ? As-tu enquêté sur lui ? » Les faux dirigeants répondent : « C’est inutile. Les frères et sœurs ont tous rapporté qu’il était fiable. » Cette déclaration est également incorrecte. Une personne est-elle réellement bonne simplement parce que les frères et sœurs ont rapporté qu’elle l’était ? Tous les frères et sœurs possèdent-ils la vérité ? Peuvent-ils tous percer ces choses à jour ? Tous les frères et sœurs connaissent-ils bien cette personne ? Cette déclaration est encore plus dégoûtante ! En fait, cette personne a été révélée depuis longtemps. Elle a perdu l’œuvre du Saint-Esprit, et ses caractéristiques méprisables, qui font qu’elle aime la facilité et déteste le travail acharné, qu’elle est gourmande et paresseuse, et qu’elle ne s’occupe pas de son véritable travail, ont déjà été exposées. Excepté les faux dirigeants, qui en sont encore totalement inconscients, tout le monde a percé cette personne à jour il y a longtemps. Seuls les faux dirigeants lui font encore autant confiance. À quoi servent ces faux dirigeants ? Ne sont-ils pas des bons à rien ? Il y a même des cas où le Supérieur apprend les diverses manifestations de certains superviseurs en allant investiguer sur place et en posant des questions sur eux, et pourtant ces dirigeants sont encore complètement dans le flou. Cela ne pose-t-il pas problème ? Ces dirigeants sont d’authentiques faux dirigeants. Ils ne font pas de travail réel, ce ne sont que des gratte-papier. Et comme ces patrons qui pratiquent le laisser-faire, ils font un peu de travail, puis se reposent sur leurs lauriers et pensent avoir le droit de s’amuser, sans prendre la peine de lever le petit doigt quand les choses tournent mal. Quel droit ont-ils de profiter des avantages du statut ? Ils n’ont vraiment aucune honte ! Quand les faux dirigeants travaillent, ils ne vérifient jamais les moindres tâches, ils ne s’informent pas de l’avancement du travail, et ils n’examinent assurément pas la situation des divers superviseurs d’équipes. Ils se contentent d’attribuer les tâches et d’organiser les superviseurs, et ils pensent alors qu’ils ont terminé, que leur travail est bien fini, une bonne fois pour toutes. Ils se disent : « Quelqu’un s’occupe de ce travail, cela ne me concerne donc plus. Je peux m’amuser. » Est-ce là accomplir un travail ? Sans aucun doute, tous ceux qui travaillent ainsi sont des faux dirigeants, des faux dirigeants qui retardent le travail de l’Église et nuisent au peuple élu de Dieu.

Les faux dirigeants ne s’enquièrent jamais des situations de travail des différents superviseurs d’équipe ou n’en assurent jamais le suivi. Ils ne s’enquièrent pas non plus de l’entrée dans la vie des superviseurs des différentes équipes et du personnel chargé des diverses tâches importantes, ni de leurs attitudes à l’égard du travail de l’Église et de leurs devoirs, ni non plus à l’égard de la foi en Dieu, de la vérité et de Dieu Lui-même. Ils n’en assurent pas le suivi et n’en ont aucune compréhension. Ils ne savent pas si ces personnes ont fait une quelconque transformation ou des progrès, et ils ne connaissent pas non plus les divers problèmes qui peuvent exister dans leur travail ; en particulier, ils ne connaissent pas l’impact des erreurs et des déviations survenues à divers stades du travail sur le travail de l’Église et l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, ni si ces erreurs et ces déviations ont été corrigées. Ils sont totalement ignorants de toutes ces choses. En ne sachant rien de ces conditions bien précises, ils deviennent passifs chaque fois que des problèmes se présentent. Cependant, les faux dirigeants ne s’inquiètent absolument pas de ces problèmes bien précis lorsqu’ils font leur travail. Ils croient qu’après avoir désigné les différents superviseurs d’équipe et assigné les tâches, leur travail est terminé : il a valeur de travail bien fait, et si d’autres problèmes surviennent, ce n’est pas leur affaire. En ne supervisant pas, en ne pilotant pas et en n’assurant pas le suivi des divers superviseurs d’équipe comme il se doit, et en n’assumant pas leurs responsabilités dans ces domaines, les faux dirigeants sèment le désordre dans le travail de l’Église. Ce sont là des dirigeants et des ouvriers qui manquent à leurs devoirs. Dieu peut scruter les profondeurs du cœur de l’homme ; c’est là une capacité dont sont dénués les humains. C’est pourquoi, lorsqu’ils travaillent, les gens doivent se montrer plus diligents et attentifs, se rendre régulièrement sur leur lieu de travail pour suivre, superviser et piloter le travail, afin de s’assurer de l’avancement normal du travail de l’Église. Il est manifeste que les faux dirigeants sont tout à fait irresponsables dans leur travail, et qu’ils ne supervisent jamais, ne suivent jamais et ne pilotent jamais les différentes tâches. Si bien que certains superviseurs ne savent pas comment résoudre les différents problèmes qui se posent dans le travail, et restent à leur poste de superviseurs alors même qu’ils ne sont pas assez compétents pour l’occuper. Au bout du compte, le travail ne cesse de prendre du retard et ils désorganisent tout. Voilà ce que provoquent les faux dirigeants qui ne s’informent pas, ne supervisent pas et n’assurent pas le suivi de la situation des superviseurs, un résultat qui ne se doit qu’au manquement au devoir des faux dirigeants. Comme les faux dirigeants n’inspectent pas le travail, n’en assurent pas le suivi, ne posent pas de questions à son sujet et sont incapables de saisir rapidement la situation, ils ne savent pas si les superviseurs font un travail réel, si le travail avance et s’il a produit des résultats concrets. Lorsqu’on leur demande à quoi les superviseurs sont occupés ou quelles sont les tâches spécifiques qu’ils accomplissent, les faux dirigeants répondent : « Je ne sais pas, mais ils participent à toutes les réunions et chaque fois que je communique avec eux au sujet du travail, ils ne font jamais état du moindre problème ou de la moindre difficulté. » Les faux dirigeants croient que tant que les superviseurs n’abandonnent pas leur poste de travail et qu’ils sont toujours là quand ils les cherchent, c’est que ces superviseurs n’ont absolument aucun problème. C’est ainsi que fonctionnent les faux dirigeants. N’est-ce pas là une manifestation de « fausseté » ? Ne s’agit-il pas d’un échec à assumer leurs responsabilités ? C’est un grave manquement au devoir ! Dans leur travail, les faux dirigeants s’attachent uniquement à faire les choses machinalement, et ils ne cherchent pas à obtenir de réels résultats. En apparence, ils organisent souvent des réunions, et semblent plus occupés qu’une personne ordinaire. Cependant, on ne sait pas quels problèmes ils ont effectivement résolus, quelles tâches spécifiques ils ont gérées correctement, et quels résultats ils ont obtenus. Personne ne peut donner de réponse claire à ce sujet, y compris les faux dirigeants eux-mêmes. Mais une chose est sûre, quels que soient les problèmes que les gens ont sur leur lieu de travail, ces faux dirigeants restent introuvables. Personne ne les a jamais vus résoudre les problèmes des gens sur leur lieu de travail. Alors, quel travail les faux dirigeants font-ils à longueur de journée ? Quels problèmes leurs réunions résolvent-elles ? Personne ne le sait avec certitude, et c’est seulement quand leur travail est finalement inspecté qu’on découvre nombre de problèmes restés sans solution, qui se sont accumulés. En apparence, les faux dirigeants semblent vraiment très occupés, ils « s’occupent d’une myriade de problèmes. » Cependant, quand on examine ce que donne leur travail, c’est la pagaille complète, c’est le chaos, il n’y a rien de valeur du tout là-dedans, et il est évident que ces faux dirigeants n’ont pas fait le moindre travail réel. Malgré la multitude de problèmes réels qu’ils ont laissés sans solution, les faux dirigeants semblent n’avoir aucune notion de la conscience et n’éprouver aucune culpabilité. En outre, ils sont très contents d’eux-mêmes et pensent être très compétents. Ils sont véritablement dénués de raison. Des gens pareils ne méritent pas d’être dirigeants ou ouvriers dans l’Église.

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