Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4) Section 3

Les faux dirigeants n’assurent pas le suivi du travail ou ne donnent pas d’instructions à son sujet

Nous venons de discuter de l’aspect de la cinquième responsabilité des dirigeants et des ouvriers qui consiste à : « entretenir une maîtrise et une compréhension de l’état de chaque aspect du travail. » En discutant de cet aspect, nous avons exposé certaines manifestations spécifiques des faux dirigeants, ainsi que leur humanité et leur caractère. Maintenant, examinons l’aspect qui consiste à : « entretenir une maîtrise et une compréhension de l’avancement de chaque aspect du travail. » Bien entendu, l’avancement du travail est assez lié à l’état du travail, le lien est relativement étroit. Si l’on ne peut pas entretenir une maîtrise et une compréhension de l’état de chaque aspect du travail, alors, de la même façon, on ne peut pas entretenir une maîtrise et une compréhension de l’avancement de chaque aspect du travail. Ainsi, les problèmes spécifiques suivants sont tous liés à l’avancement du travail : quel est l’avancement de ce travail, quel stade a-t-il atteint, quel est l’état des gens qui y participent, y a-t-il les moindres difficultés en ce qui concerne les aspects professionnels de ce travail, y a-t-il des domaines de travail qui ne répondent pas aux exigences de la maison de Dieu, quels sont les résultats qui ont été obtenus, les personnes qui travaillent et qui ne sont pas très compétentes quant aux aspects professionnels du travail apprennent-elles quelque chose, qui organise cet apprentissage et ce que ces personnes apprennent, la façon dont elles l’apprennent, et ainsi de suite. Par exemple, le travail qui consiste à composer des hymnes n’est-il pas très important ? Pour chaque hymne, du choix initial de passages classiques des paroles de Dieu à l’achèvement de la composition, quelles tâches spécifiques doivent être entreprises au cours du processus ? Premièrement, il est nécessaire de choisir des passages classiques des paroles de Dieu qui se prêtent à devenir des hymnes, et ces passages doivent également avoir la longueur appropriée. La deuxième étape consiste à réfléchir au style de mélodie qui convient au passage pour le rendre plaisant et agréable à chanter. Il faut ensuite trouver les bonnes personnes pour chanter cet hymne. Ne s’agit-il pas là de tâches spécifiques ? (Si.) Une fois qu’un hymne est composé, un faux dirigeant ne demande absolument pas si la composition remplit les conditions requises ou si son style est approprié. Celui qui a composé l’hymne, remarquant cette absence de supervision, se dit, à titre personnel, que l’hymne est acceptable et il se met à l’enregistrer. Le passage des paroles de Dieu que tout le monde avait hâte de voir devenir un hymne est finalement mis en musique et transformé en hymne, mais la plupart des gens lui trouvent encore des défauts quand ils le chantent. Quel problème émerge ? L’hymne composé laisse à désirer : il a été enregistré alors qu’il n’avait pas de mélodie ni d’attrait. Le faux dirigeant, l’ayant entendu, demande : « Qui a composé cet hymne ? Pourquoi a-t-il été enregistré ? » Au moment où il pose cette question, au moins un mois s’est déjà écoulé. Au cours de ce mois, le dirigeant n’aurait-il pas dû assurer un suivi de ce travail et saisir rapidement son avancement ? Par exemple, comment se passait la composition ? L’air de base était-il établi ? Avait-il une mélodie ? La mélodie et le style de cet hymne allaient-ils avec les paroles de Dieu ? Des individus ayant une expérience pertinente avaient-ils prodigué des conseils ? Après avoir été composé, cet hymne pouvait-il être chanté par tout le monde ? Quel effet produirait-il ? L’air était-il considéré comme bon ? Invariablement, le faux dirigeant n’avait pas assuré le suivi de telles questions. Et il avait une raison pour ne pas avoir assuré ce suivi : « Je ne comprends pas la composition des hymnes. Comment pourrais-je assurer le suivi de quelque chose que je ne comprends pas ? C’est impossible. » Est-ce là une raison légitime ? (Non.) Ce n’est pas une raison légitime. Alors, quelqu’un qui ne connaît pas bien la composition des hymnes peut-il quand même en assurer le suivi ? (Oui.) Comment devrait-il assurer ce suivi ? (Il peut travailler avec les frères et sœurs, et contrôler la mélodie en se basant sur les principes pour voir si elle convient. Il peut assurer le suivi du travail de manière concrète, au lieu de s’en laver les mains.) La principale caractéristique du travail des faux dirigeants est qu’ils bavardent sur la doctrine et répètent des slogans. Ayant donné leurs instructions, ils s’en lavent les mains tout simplement. Ils ne posent aucune question sur le développement ultérieur du travail ; ils ne demandent pas si des problèmes, des déviances ou des difficultés ont surgi. Ils considèrent leur tâche comme terminée aussitôt qu’ils ont assigné le travail. En réalité, en tant que dirigeant, après avoir organisé le travail, tu dois assurer le suivi de l’avancement du travail. Même si tu n’es pas familier de ce domaine de travail, même si tu n’y connais rien, tu peux trouver un moyen de faire ton travail. Tu peux trouver quelqu’un qui saisit véritablement le travail, qui comprend la profession en question, pour que cette personne procède à des vérifications et fasse des suggestions. Tu peux identifier les principes appropriés à partir de ses suggestions, et ainsi tu seras capable d’assurer le suivi du travail. Que tu sois familiarisé ou non avec la profession en question, que tu la comprennes ou non, tu dois, à tout le moins, présider aux travaux, en assurer le suivi, et sans cesse te renseigner et poser des questions quant à son avancement. Tu dois entretenir la maîtrise de ces choses : c’est ta responsabilité, cela fait partie de ton travail. Ne pas assurer le suivi du travail, ne rien faire de plus une fois qu’il a été assigné, s’en laver les mains, voilà la manière dont les faux dirigeants font les choses. Ne pas assurer le suivi du travail ou ne pas donner d’instructions concernant ce travail, ne pas se renseigner sur les problèmes qui se posent ou ne pas les résoudre, et ne pas se faire une idée des progrès ou de l’efficacité du travail – tout cela aussi est la manifestation des faux dirigeants.

Les faux dirigeants ne font pas de travail réel, ce qui retarde l’avancement du travail

Comme les faux dirigeants ne s’informent pas de l’avancement du travail et qu’ils sont incapables d’identifier rapidement les problèmes qui surviennent dans le travail, et à plus forte raison de les résoudre, cela conduit souvent à des retards à répétition. Pour certains travaux, parce que les gens ne saisissent pas les principes et que personne n’est apte à en être responsable ou à présider à ces travaux, ceux qui effectuent le travail sont souvent dans un état de négativité, de passivité et d’attente, ce qui affecte sérieusement l’avancement du travail. Si le dirigeant s’était acquitté de ses responsabilités, s’il avait présidé au travail, fait avancer et supervisé ce travail, s’il avait trouvé quelqu’un qui comprenne ce domaine pour diriger le travail, alors celui-ci aurait progressé plus rapidement au lieu de souffrir de retards répétés. Pour les dirigeants, il est donc vital de comprendre et saisir l’état du travail. Bien entendu, il est aussi vraiment nécessaire que les dirigeants comprennent et saisissent l’avancement du travail, étant donné que cet avancement est lié à l’efficacité du travail et aux résultats que ce dernier est censé produire. Si les dirigeants et les ouvriers ne maîtrisent pas la manière dont le travail de l’Église progresse et s’ils n’assurent aucun suivi ou ne supervisent rien, alors les progrès du travail de l’Église seront forcément lents. Cela est dû au fait que la majorité des gens qui font des devoirs sont tout à fait méprisables, qu’ils n’ont aucun sens du fardeau, et qu’ils sont souvent négatifs, passifs, et négligents. S’il n’y a personne qui ait un sens du fardeau et des capacités de travail pour endosser la responsabilité du travail de manière concrète, en se renseignant en temps et en heure sur l’avancement du travail, en guidant, en supervisant, en disciplinant et en émondant le personnel qui fait des devoirs, alors, naturellement, le niveau d’efficacité du travail sera très faible et les résultats du travail seront très mauvais. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont même pas capables de voir cela clairement, ils sont stupides et aveugles. Et donc, les dirigeants et les ouvriers doivent promptement examiner, suivre et saisir l’avancement du travail, étudier quels problèmes rencontrés par ceux qui font des devoirs nécessitent d’être résolus, et comprendre quels problèmes il faut résoudre pour obtenir de meilleurs résultats. Toutes ces choses sont extrêmement cruciales, une personne ayant un rôle de dirigeant doit les comprendre clairement. Pour bien faire votre devoir, vous ne devez pas être comme ces faux dirigeants, qui font un travail superficiel, puis qui se disent qu’ils ont bien fait leur devoir. Les faux dirigeants sont négligents et brouillons dans leur travail, ils n’ont aucun sens des responsabilités, ils ne résolvent pas les problèmes quand ils surgissent, et quel que soit le travail qu’ils font, ils n’en effleurent que la surface et ne l’abordent que pour la forme. Ils se contentent de proférer des paroles ronflantes, ils se gargarisent de doctrines et de discours vides de sens, et font leur travail machinalement. En général, c’est dans cet état que travaillent les faux dirigeants. Même si, comparés aux antéchrists, les faux dirigeants ne font rien d’ouvertement malfaisant et ne font pas le mal délibérément, quand vous examinez l’efficacité de leur travail, il est juste de les décrire comme des gens négligents, qui ne portent aucun fardeau, qui sont irresponsables et dénués de loyauté envers leur travail.

Nous venons d’échanger sur les faux dirigeants qui ne font pas de travail réel, qui ne comprennent pas et ne saisissent pas l’avancement de chaque aspect du travail. En ce qui concerne les problèmes et difficultés qui se présentent dans le travail d’Église, on peut également dire que les faux dirigeants ignorent tout simplement ces problèmes et difficultés, ou qu’ils se contentent de débiter un peu de doctrine et de répéter bêtement quelques slogans pour balayer d’un revers de main ces problèmes et difficultés. Quels que soient les aspects du travail, on ne les verra jamais venir eux-mêmes sur un lieu de travail pour essayer de comprendre le travail et d’en assurer le suivi. On ne les verra pas échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes, et encore moins les verra-t-on diriger et superviser le travail en personne, ni empêcher que des défauts et des écarts apparaissent dans ce travail. Il s’agit là de la manifestation la plus évidente de la manière négligente dont les faux dirigeants travaillent. Même si les faux dirigeants, contrairement aux antéchrists, n’entreprennent pas d’interrompre et de perturber le travail de l’Église, qu’ils ne commettent pas non plus toutes sortes d’actes malfaisants et n’établissent pas leurs propres royaumes indépendants, leurs divers comportements négligents entravent énormément le travail de l’Église, de sorte que des problèmes variés apparaissent continuellement et ne sont pas résolus. Cela affecte gravement l’avancement de chaque aspect du travail de l’Église, ainsi que l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. De tels faux dirigeants ne devraient-ils pas être éliminés ? Les faux dirigeants sont incapables de faire un travail réel. Tout ce qu’ils font démarre sur les chapeaux de roue, mais s’essouffle au bout du compte. Ils jouent un rôle de maîtres de cérémonie : ils scandent des slogans et prêchent des doctrines, et quand ils ont confié le travail aux autres et pris des arrangements pour rendre quelqu’un responsable de ce travail, ils s’en lavent les mains. Ils sont semblables à ces haut-parleurs bruyants que l’on rencontre dans les régions rurales de Chine, voilà l’étendue du rôle qu’ils jouent. Ils ne font que quelques tâches préliminaires et, en ce qui concerne le reste du travail, on ne les voit nulle part. Quant aux questions spécifiques qui se posent, comme la façon dont chaque aspect du travail se passe, si cet aspect est conforme aux principes, s’il est efficace, ils n’en savent rien. Ils ne s’engagent jamais profondément avec la base et ne se rendent jamais sur les lieux de travail pour comprendre et saisir l’avancement et les détails de chaque aspect du travail. Par conséquent, les faux dirigeants n’entreprennent peut-être pas de provoquer des interruptions et des perturbations, ou ils ne commettent peut-être pas divers actes malfaisants durant leur mandat de dirigeant, mais dans les faits, ils paralysent le travail, ils retardent l’avancement de chaque aspect du travail de l’Église, de sorte qu’il est impossible au peuple élu de Dieu de bien faire ses devoirs et de gagner une entrée dans la vie. En travaillant de cette manière, comment pourraient-ils vraiment conduire le peuple élu de Dieu sur le droit chemin de la foi en Dieu ? Cela montre que les faux dirigeants ne font aucun travail réel. Ils n’assurent pas le suivi du travail dont ils devraient être responsables, et n’offrent ni conseils ni supervision afin de garantir que le travail de l’Église avance normalement. Ils ne parviennent pas à jouer le rôle prévu des dirigeants et des ouvriers, ne font pas preuve de loyauté et n’assument pas leurs responsabilités. Cela confirme que les faux dirigeants ne sont pas loyaux dans leur façon de faire leurs devoirs, qu’ils sont simplement superficiels. Ils trompent à la foi le peuple élu de Dieu et Dieu Lui-même, ils affectent et entravent la mise en œuvre de Sa volonté. Ce fait est visible de tous. Il se peut qu’un faux dirigeant ne soit vraiment pas à la hauteur du travail, il se peut également qu’il fuie son travail et soit délibérément superficiel. Dans les deux cas, le fait est qu’il sème la pagaille dans le travail de l’Église. Chaque aspect du travail de l’Église ne fait aucun progrès et un tas de problèmes accumulés restent sans solution pendant longtemps. Cela n’affecte pas seulement la diffusion du travail d’évangélisation, mais entrave aussi gravement l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Ces faits suffisent à montrer que les faux dirigeants ne sont pas seulement incapables de faire un travail réel, mais qu’ils font également obstacle au travail de diffusion de l’Évangile et entravent la mise en œuvre de la volonté de Dieu dans l’Église.

Les faux dirigeants ne font pas de travail réel et ils sont incapables de résoudre les problèmes réels. Non seulement cela retarde l’avancement du travail et affecte ses résultats, mais cela fait également subir des pertes graves au travail de l’Église et gaspiller beaucoup de main-d’œuvre, de ressources matérielles et financières. Par conséquent, les faux dirigeants devraient compenser ces pertes économiques. Certains disent : « Si les dirigeants et les ouvriers devaient compenser les pertes dues au fait qu’ils ne font pas bien leur travail, alors personne ne voudrait être dirigeant ou ouvrier. » Des individus aussi irresponsables ne sont pas qualifiés pour être dirigeants ou ouvriers. Ceux qui n’ont ni conscience ni raison sont des gens malfaisants. N’est-ce pas problématique si des gens malfaisants veulent être dirigeants et ouvriers ? Comme une grande partie du travail de la maison de Dieu implique des dépenses d’ordre économique, n’est-il pas nécessaire d’en répondre ? Les offrandes à Dieu sont-elles des choses que les gens peuvent gaspiller et dilapider à leur gré ? Quel droit les dirigeants et les ouvriers ont-ils de gaspiller les offrandes à Dieu ? Provoquer des pertes économiques doit donner lieu à une compensation. C’est parfaitement naturel et justifié, et personne ne peut le nier. Par exemple, disons qu’un travail peut être terminé en un mois par une seule personne. S’il faut six mois pour faire ce travail, les dépenses des cinq mois restants ne constituent-elles pas une perte ? Laissez-Moi vous donner un exemple concernant le fait de prêcher l’Évangile. Disons qu’une personne soit prête à investiguer le vrai chemin et qu’elle puisse sans doute être ralliée en un mois seulement, après quoi elle entrerait dans l’Église et continuerait à recevoir abreuvement et approvisionnement, et qu’en six mois, elle puisse établir un fondement. Mais si l’attitude de celui qui prêche l’Évangile vis-à-vis de cette question est une attitude de mépris et de négligence, que les dirigeants et les ouvriers ignorent également leurs responsabilités, et qu’il faut finalement six mois pour qu’elle accepte, ces six mois ne feront-ils pas subir une perte à sa vie ? Si elle est confrontée aux grands désastres et n’a pas établi un fondement sur le vrai chemin, elle sera en danger, et ces gens ne lui auront-ils alors pas fait défaut ? Une telle perte ne peut pas se mesurer en argent ou en choses matérielles. Ces gens auront retardé de six mois la compréhension de la vérité de cette personne. Ils auront retardé de six mois l’établissement d’un fondement par cette personne et le début de l’accomplissement de son devoir. Qui en prendra la responsabilité ? Les dirigeants et les ouvriers peuvent-ils se permettre d’en prendre la responsabilité ? Personne ne peut se permettre de porter la responsabilité de retarder la vie de quelqu’un. Puisque personne ne peut se permettre de porter cette responsabilité, qu’est-il approprié de faire pour les dirigeants et les ouvriers ? Quatre mots répondent à cette question : il faut tout donner. Mais tout donner pour faire quoi ? Pour assumer tes propres responsabilités, faire tout ce que tu peux voir de tes propres yeux, tout ce que tu peux penser dans ton esprit, et tout ce que tu peux accomplir avec ton propre calibre. C’est cela, tout donner, être loyal et responsable. Voilà la responsabilité que les dirigeants et les ouvriers devraient assumer. Certains dirigeants et ouvriers ne prennent pas au sérieux le fait de prêcher l’Évangile. Ils se disent : « Les brebis de Dieu entendront la voix de Dieu. Quiconque investigue et accepte sera béni. Quiconque n’investigue pas et n’accepte pas ne sera pas béni et mérite de mourir dans un désastre ! » Les faux dirigeants ne tiennent absolument pas compte des intentions de Dieu et ils ne portent aucun fardeau pour le travail d’évangélisation. Ils ne prennent pas non plus en charge les nouveaux arrivants qui viennent d’entrer dans l’Église, et ne prennent pas au sérieux l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Ils se concentrent constamment sur le fait de profiter des avantages que leur confère leur statut. Quel que soit le nombre de personnes qui investiguent le vrai chemin, ils ne sont pas du tout inquiets, ils ont sans cesse une mentalité qui les amène simplement à faire dans l’à-peu-près, et ils agissent comme d’anciens empereurs ou fonctionnaires. Le travail a beau être essentiel ou urgent, ils ne se montrent jamais sur place, ils ne s’informent pas de la situation du travail et ne la comprennent pas, ou ils n’en assurent pas le suivi et ne résolvent pas les problèmes. Ils se contentent d’organiser les tâches et pensent que leur travail est alors achevé, et ils considèrent que c’est là travailler. N’est-ce pas être superficiel ? N’est-ce pas à la fois tromper leurs supérieurs et leurs subalternes ? De tels dirigeants et ouvriers sont-ils aptes à être utilisés par Dieu ? Ne sont-ils pas comme les fonctionnaires du grand dragon rouge ? Ils pensent : « Être dirigeant ou ouvrier, c’est exactement comme exercer une fonction, et on doit profiter des avantages que confère ce statut. Exercer une fonction m’octroie ce privilège et me dispense d’être présent pour traiter toutes les affaires. Si j’étais constamment sur place, à assurer le suivi du travail et à comprendre la situation, comme ce serait fatigant et dégradant ! Je ne peux pas accepter une telle fatigue ! » Voilà exactement comment les faux dirigeants et les faux ouvriers travaillent, ils ne se soucient que de convoiter le confort et de profiter des avantages que leur confère leur statut, sans faire aucun travail réel, et ils sont entièrement dénués de conscience ou de raison. De tels parasites devraient vraiment être éliminés, et même s’ils sont punis, ils le méritent ! Certains dirigeants et ouvriers, malgré de nombreuses années passées à faire le travail d’Église, ne savent pas comment prêcher l’Évangile, et encore moins comment témoigner. Si tu leur demandes d’échanger avec les destinataires potentiels de l’Évangile sur toutes les vérités qui concernent les visions de l’œuvre de Dieu, ils en sont incapables. Quand on leur demande : « As-tu jamais fait l’effort de t’équiper de la vérité des visions ? », les faux dirigeants réfléchissent : « Pourquoi devrais-je faire un tel effort ? Vu mon statut élevé, ce n’est pas à moi de me charger de cette tâche. Des tas d’autres personnes peuvent le faire. » Dis-Moi, quelle sorte de créatures sont-ils ? Ils font le travail d’Église depuis des années, pourtant, ils ne savent pas prêcher l’Évangile. Et quand il s’agit de témoigner, ils doivent trouver un prédicateur pour le faire à leur place. Si des dirigeants et des ouvriers sont incapables de prêcher l’Évangile, de témoigner ou d’échanger avec les gens sur les vérités concernant les visions, que peuvent-ils faire ? Quelles sont leurs responsabilités ? Les ont-ils assumées ? Se contentent-ils de se débrouiller avec ce qu’ils ont déjà ? Qu’est-ce qu’ils ont déjà ? Qui les a autorisés à se débrouiller avec ce qu’ils ont déjà ? Certains superviseurs d’équipes d’évangélisation n’ont même jamais observé et écouté d’autres personnes prêcher l’Évangile. Ils n’ont pas envie d’écouter. Ils ne veulent pas s’en donner la peine, ils trouvent cela trop ennuyeux, et n’en ont pas la patience. Ce sont des dirigeants, ne le sais-tu pas, des fonctionnaires, rien de moins, de sorte qu’ils ne réalisent pas ces tâches spécifiques. Ils les font faire par les frères et sœurs. Supposons que certains ouvriers d’évangélisation tombent sur une personne au calibre élevé, qui aborde toute chose avec sérieux et qui souhaite comprendre certaines vérités spécifiques concernant les visions. Ces ouvriers d’évangélisation, ne pouvant pas échanger de façon totalement claire, demandent à leur dirigeant de le faire. Le dirigeant se trouve à court de mots et il a même recours à des excuses, disant : « Je n’ai jamais fait ce travail moi-même. Faites-le vous-mêmes, je vous soutiendrai. S’il y a le moindre problème, je vous aiderai à les résoudre. Je vous soutiens, ne vous inquiétez pas. Qu’y a-t-il à craindre lorsque Dieu est avec nous ? Quand quelqu’un cherche le vrai chemin, vous pouvez témoigner ou échanger sur les vérités des visions. Je ne suis responsable que de l’échange sur les vérités de l’entrée dans la vie. Le travail de témoignage est le lourd fardeau que vous avez à porter, ne comptez pas sur moi. » Chaque fois qu’on en arrive au moment crucial où il faut témoigner en prêchant l’Évangile, ils se cachent. Ils sont pleinement conscients de ne pas avoir la vérité, alors pourquoi ne font-ils pas l’effort de s’en équiper ? Sachant très bien qu’ils n’ont pas la vérité, pourquoi s’efforcent-ils sans cesse désespérément de devenir dirigeants ? Ils n’ont absolument aucun talent et pourtant, ils ont le culot d’occuper n’importe quel poste officiel, ils seraient même prêts à assumer le rôle d’empereur si on les laissait faire, ils sont vraiment dépourvus de toute honte ! Quel que soit leur niveau de responsabilité en tant que dirigeants, ils sont incapables de faire un travail réel, pourtant ils osent profiter des avantages que leur confère leur statut, sans avoir le moindre accès de mauvaise conscience. Ne sont-ils pas dépourvus de toute honte ? Ce serait compréhensible, si on leur avait demandé de parler dans une langue étrangère et qu’ils n’y étaient pas parvenus, mais échanger sur les vérités des visions et les intentions de Dieu dans leur langue maternelle devrait leur être possible, n’est-ce pas ? Il est excusable que les gens qui ne croient que depuis trois ou cinq ans ne soient pas capables d’échanger sur la vérité. Mais certains croient en Dieu depuis près de vingt ans et ils ne sont, malgré tout, toujours pas capables d’échanger sur les vérités concernant les visions. De tels individus ne servent-ils pas à rien ? Ne sont-ils pas des bons à rien ? Cela M’étonne quand J’apprends que quelqu’un croit en Dieu depuis de nombreuses années et qu’il ne sait pourtant pas échanger sur la vérité à propos des visions. Vous tous, qu’en pensez-vous quand vous entendez cela ? N’est-ce pas inconcevable ? Comment cette personne a-t-elle fait son travail pendant toutes ces années ? Quand on lui demande de donner des instructions dans le domaine de la création musicale, elle ne sait pas comment faire, et dit que ce domaine spécialisé est trop difficile, que ce n’est pas quelque chose qu’une personne ordinaire peut comprendre. Quand on lui demande de donner des instructions de travail dans le domaine de la production artistique ou de la production de films, elle prétend que ces tâches nécessitent un niveau de compétence technique trop élevé pour qu’elle puisse s’en charger. Quand on lui demande de rédiger des articles de témoignage d’expérience, elle dit que son niveau d’éducation est trop faible et qu’elle ne sait pas écrire ces articles, qu’elle n’y a jamais été formée. Si elle ne peut pas réaliser ce genre de tâches, c’est pardonnable, mais le travail d’évangélisation fait partie intégrante de son devoir. Elle ne pourrait pas mieux connaître ce travail. Cela ne devrait-il donc pas lui être facile ? L’aspect le plus important, quand on échange sur les vérités à propos des visions, est qu’il faut échanger clairement sur la vérité des trois étapes de l’œuvre. Dans un premier temps, les gens n’ont pas beaucoup d’expérience dans ce domaine et il se peut qu’ils n’échangent pas si bien que cela, mais en s’entraînant, au fil du temps, plus ils le font, mieux ils sont capables d’échanger, de sorte qu’ils peuvent parler de façon structurée, dans un langage précis et clair, avec des tournures de phrases agréables. N’est-ce pas là un domaine spécifique de travail spécialisé que les dirigeants devraient maîtriser ? Ce n’est pas comme obliger un éléphant à voler, n’est-ce pas ? (Non.) Mais de tels faux dirigeants ne sont pas compétents, même quand il s’agit de faire cette petite partie du travail. Et pourtant, ils servent quand même en tant que dirigeants, n’est-ce pas ? Que font-ils, à occuper ces postes, malgré tout ? Certains disent : « Je suis quelqu’un dont la pensée est confuse et peu claire, je manque de logique et je ne suis pas très doué pour parler des vérités concernant les visions. » Cela étant, peux-tu identifier et résoudre les divers défauts et écarts qui apparaissent dans le travail d’évangélisation ? Si tu ne peux pas les identifier, alors tu ne pourras certainement pas les résoudre non plus. Quand des faux dirigeants sont responsables du travail d’évangélisation, ils ne jouent aucun rôle pour ce qui est de vérifier ou superviser ce travail. Ils se contentent de laisser leurs subalternes agir à leur guise, de sorte que tout le monde peut faire les choses à sa manière, et prêcher à n’importe qui. Il n’y a absolument pas les moindres principes ou normes qui soient appliqués. Certaines personnes agissent sur un coup de tête, elles sont dénuées de raison. En particulier, elles n’ont pas de principes quand elles agissent, et commettent imprudemment des méfaits. Les faux dirigeants ne parviennent absolument pas à repérer ou identifier ces problèmes.

On dit qu’en Amérique du Sud et en Afrique, certaines personnes pauvres ont été intégrées grâce au travail d’évangélisation. Ces personnes n’ont pas de revenus réguliers, et pour elles, même se procurer suffisamment de nourriture et survivre pose problème. Alors, que faudrait-il faire ? Un dirigeant a dit : « C’est l’intention de Dieu de sauver l’humanité, et afin d’être sauvé, on doit d’abord avoir suffisamment à manger, n’est-ce pas ? Alors, la maison de Dieu ne devrait-elle pas fournir de l’aide à ces gens ? S’ils croient en Dieu, nous pouvons leur distribuer quelques livres de paroles de Dieu. Ils n’ont pas d’ordinateurs ni de téléphones, alors que devrions-nous faire s’ils demandent à accomplir des devoirs ? Renseignez-vous, voyez s’ils sont sincèrement prêts à faire des devoirs. » Après enquête, on a appris que ces personnes n’avaient pas d’argent à ce moment-là. Mais si elles avaient eu de l’argent et qu’elles avaient pu manger à leur faim, elles auraient été prêtes à aller prêcher l’Évangile et à faire leur devoir. Après avoir compris cette situation, ce dirigeant s’est mis à distribuer des fonds de secours, en les remettant chaque mois. La nourriture et le logement, et même les abonnements à Internet, l’achat de téléphones, d’ordinateurs et autres équipements destinés à ces gens ont tous été payés avec l’argent de la maison de Dieu. Distribuer de l’argent à ces gens ne visait pas la diffusion du travail d’évangélisation, mais avait plutôt pour but d’apporter de l’aide à ces gens pour qu’ils puissent survivre. Était-ce conforme aux principes ? (Non.) La maison de Dieu a-t-elle une règle qui dit que, lorsque l’on prêche l’Évangile et que l’on rencontre des gens pauvres qui n’ont pas de moyens d’existence, tant que ces gens peuvent accepter cette étape de l’œuvre, ils devraient être aidés ? Y a-t-il un tel principe ? (Non.) Alors, ce dirigeant avait distribué des fonds de secours à ces gens en se basant sur quel principe ? Était-ce parce qu’il pensait que la maison de Dieu avait de l’argent et qu’elle ne savait pas comment le dépenser, ou parce qu’il considérait que ces gens étaient vraiment pitoyables, ou était-ce dans l’espoir que ces gens aideraient à diffuser l’Évangile ? Quelle était exactement son intention ? Qu’essayait-il d’accomplir ? Quand il s’agissait de distribuer des téléphones, des ordinateurs et de régler des dépenses courantes, il faisait preuve de beaucoup d’enthousiasme. Il aimait faire ce travail qui offrait des avantages aux autres, car cela lui permettait de se faire bien voir de ces gens et de gagner leur cœur, et il s’investissait particulièrement dans ce genre de tâches, en allant de plus en plus loin, et en n’ayant pas la moindre honte. C’est là utiliser l’argent de Dieu pour se faire bien voir des gens et acheter leur affection. En fait, ces gens pauvres ne croyaient pas véritablement en Dieu. Ils essayaient simplement de se remplir le ventre et de trouver le moyen de gagner leur vie. Des gens pareils ne cherchaient pas à gagner la vérité ou le salut. Dieu allait-Il les sauver ? Certains, même s’ils étaient prêts à faire un devoir, n’étaient pas sincères. Au contraire, ils étaient motivés par le désir d’avoir des téléphones et des ordinateurs, de jouir d’un certain confort dans la vie. Mais le faux dirigeant ne s’en souciait pas. Tant que quelqu’un était prêt à faire un devoir, il prenait soin de cette personne, non seulement en lui donnant de l’argent pour se loger et manger, mais aussi en lui achetant ordinateur, téléphone et équipements divers. Mais il s’avérait que ces gens faisaient leurs devoirs sans que cela produise le moindre effet. Le faux dirigeant ne jetait-il pas simplement l’argent par les fenêtres ? N’utilisait-il pas l’argent de la maison de Dieu pour montrer sa générosité ? (Si.) Est-ce là le travail que les dirigeants et les ouvriers devraient faire ? (Non.) Ne s’agissait-il pas là d’un faux dirigeant ? Les faux dirigeants aiment feindre la bonté, la bienveillance et la gentillesse. Si tu veux faire preuve de gentillesse, très bien, mais utilise simplement ton propre argent ! Si ces gens n’ont pas de vêtements, enlève tes propres habits et donne-les-leur, ne dépense pas les offrandes destinées à Dieu ! Les offrandes à Dieu sont destinées au travail de diffusion de l’Évangile, pas à la distribution d’aides sociales, et elles ne sont certainement pas destinées à fournir de l’aide aux pauvres. La maison de Dieu n’est pas une institution d’aide sociale. Les faux dirigeants sont incapables de faire un travail réel, et encore moins d’apporter la vérité ou la vie. Ils s’attachent seulement à utiliser les offrandes à Dieu pour distribuer des avantages sociaux afin de se faire bien voir des gens et de préserver leur propre réputation et leur statut. Ce sont des dépensiers dépourvus de honte, n’est-ce pas ? Si de tels faux dirigeants sont découverts, quiconque peut-il les exposer et les arrêter à temps ? Personne ne s’était dressé pour les arrêter. Si le Supérieur n’avait pas découvert la situation et n’y avait pas mis un terme, la pratique consistant à utiliser l’argent de Dieu pour offrir des avantages aux gens n’aurait jamais pris fin. Ces gens pauvres tendent de plus en plus la main, voulant toujours davantage. Ils sont insatiables. Tu as beau leur donner, ce n’est jamais assez. Ceux qui croient sincèrement en Dieu sont capables de laisser derrière eux leur famille et leur carrière pour faire leur devoir afin d’être sauvés, et même s’ils sont confrontés à des difficultés dans la vie, ils trouvent le moyen de les résoudre seuls, sans exiger constamment des choses de la maison de Dieu. Ils résolvent seuls ce qu’ils peuvent résoudre, et pour ce qu’ils sont incapables de résoudre, ils prient Dieu et se fient à leur foi pour en faire l’expérience. Ceux qui quémandent sans cesse auprès de Dieu, en s’attendant à ce que la maison de Dieu couvre leurs dépenses courantes et les nourrisse, manquent totalement de raison ! Ils ne veulent pas faire le moindre devoir, pourtant ils souhaitent profiter de la vie, ils ne savent que tendre la main pour exiger des choses de la maison de Dieu et même alors, ce n’est jamais suffisant. Ne sont-ils pas des mendiants ? Et le faux dirigeant, cet imbécile, continuait simplement à distribuer des avantages et ne s’arrêtait pas, faisant continuellement plaisir aux gens pour obtenir leur gratitude, et pensant même que de tels actes glorifient Dieu. Voilà ce que les faux dirigeants prennent le plus plaisir à faire. Alors, quiconque peut-il identifier ces problèmes, percer à jour l’essence de ces problèmes ? La plupart des dirigeants ferment les yeux et pensent : « De toute façon, je ne suis pas responsable du travail d’évangélisation, pourquoi devrais-je me soucier de ces choses ? Ce n’est pas mon argent qui est dépensé. Tant que les espèces que j’ai dans la poche restent intactes, tout va bien. Vous pouvez donner à qui vous voulez, en quoi cela me concerne-t-il ? Ce n’est pas comme si cet argent finissait dans mon portefeuille, de toute façon. » Il y a tant de gens irresponsables, mais combien de personnes peuvent défendre le travail de la maison de Dieu ?

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