Point 6 : Ils se comportent de façon sournoise, ils sont arbitraires et dictatoriaux, ils n’échangent jamais avec les autres et ils obligent les autres à leur obéir

Supplément : L’histoire de Daming et de Xiaoming

Avant d’aborder le sujet principal de nos échanges, commençons par raconter une histoire. Quel est l’avantage de raconter des histoires ? (Elles sont faciles à mémoriser.) Jusqu’à présent, combien d’histoires simples à mémoriser ai-Je racontées ? (L’histoire de Dabao et de Xiaobao.) « L’histoire de Dabao et de Xiaobao » est celle que J’ai racontée la dernière fois. (Il y avait aussi « Des rats en chasse » et l’histoire des femmes dirigeantes.) Quelques histoires ont déjà été racontées. Pourquoi est-ce que Je raconte des histoires ? En réalité, l’objectif est de passer à une forme plus détendue et plus compréhensible pour échanger sur certaines vérités que les gens doivent comprendre. Si vous comprenez les vérités issues des histoires que Je raconte, et que celles-ci vous aident dans différents aspects de votre entrée dans la vie quotidienne, alors ces histoires n’ont pas été racontées en vain. Cela montre que vous comprenez vraiment les vérités figurant dans les histoires, que vous comprenez les aspects pratiques de ces vérités, au lieu de les écouter comme de simples histoires. La dernière fois, J’ai raconté l’histoire de Dabao et de Xiaobao. Aujourd’hui, Je vais raconter celle de Daming et de Xiaoming. En l’écoutant, réfléchissez à ce que cette histoire essaie vraiment de vous faire comprendre et à quel aspect de la vérité elle contient.

Daming et Xiaoming sont père et fils. Il y a quelque temps, Daming et son fils Xiaoming ont accepté la nouvelle œuvre de Dieu. Est-ce une bonne chose ? (Oui.) C’est une bonne chose. Xiaoming est jeune et ne sait pas très bien lire, c’est la raison pour laquelle Daming lui lit les paroles de Dieu tous les jours et lui explique avec patience les mots que Xiaoming ne comprend pas. Au fil du temps, Xiaoming finit par comprendre un certain nombre de doctrines sur la façon de se comporter en tant que personne, ainsi qu’un peu de vocabulaire dont il n’avait jamais entendu parler avant de croire en Dieu, comme la soumission, la foi, l’honnêteté, la fourberie, et autres. Daming est très satisfait des progrès de son fils. Cependant, il a récemment remarqué que peu importe combien de paroles de Dieu il lit à Xiaoming, son comportement et sa façon de parler ne s’améliorent guère. Daming devient anxieux et accablé, il se demande : « Comment puis-je faire en sorte que mon fils comprenne certaines vérités en lisant les paroles de Dieu, qu’il change un peu pour que les autres l’approuvent, valident ses actes et le louent comme un bon enfant ? Puis, au vu des résultats de Xiaoming, les gens pourraient proclamer que la croyance en Dieu est une bonne chose, et l’Évangile serait ainsi transmis à d’autres personnes grâce aux changements de mon fils : ce serait vraiment formidable ! » Du fait de ce fardeau, Daming ne cesse de réfléchir : « Comment puis-je bien éduquer Xiaoming de manière à ce qu’il comprenne mieux comment se comporter, qu’il obtienne de meilleurs résultats et qu’il se conforme aux intentions de Dieu ? Enfin, lorsque Xiaoming deviendra un bon enfant et que tout le monde le louera, toute cette gloire pourra être rendue à Dieu : ce serait merveilleux ! Le poids qui pèse sur mon cœur pourrait alors disparaître. » Le fardeau éprouvé par Daming est-il raisonnable ? Peut-on considérer que cette tâche est appropriée pour lui ? (Oui.) Dans cette perspective, son point de départ est correct : il est considéré comme raisonnable et constitue une tâche appropriée. Le chemin choisi par Daming pour Xiaoming est-il correct ou non ? Est-il bon ou mauvais ? Nous le verrons plus tard. Daming prie et supplie souvent Dieu à ce propos, et finalement, un jour, il a une « inspiration ». Quelle « inspiration » ? La prétendue « inspiration » entre guillemets. Puisque cette dernière est entre guillemets, à quel type de chemin Daming peut-il faire référence ? Pouvez-vous imaginer la suite de l’histoire ? Ce n’est pas très clair, n’est-ce pas ? C’est un peu l’inconnu.

Un jour, après avoir lu les paroles de Dieu à son fils, Daming demande très sérieusement à Xiaoming si le fait de croire en Dieu est une bonne chose. Xiaoming répond de manière solennelle : « Croire en Dieu, c’est bien. Les gens qui croient en Dieu ne tyrannisent pas les autres, ne subissent pas de catastrophes, peuvent aller au ciel et ne seront pas envoyés en enfer après la mort. » Xiaoming a-t-il raison ? Malgré son jeune âge, si Xiaoming est capable d’affirmer cela, c’est déjà pas mal. Sa compréhension de la croyance en Dieu est très simple, elle est rudimentaire et extrêmement superficielle, mais pour lui, elle est déjà profonde. En entendant ces propos, Daming est satisfait et réconforté, il répond : « Bravo, tu as fait des progrès, Xiaoming. Il semble que ta croyance en Dieu soit fondée. Papa est très heureux et rassuré. Mais est-ce vraiment si simple de croire en Dieu ? » Xiaoming réfléchit un moment et demande : « N’est-ce pas tout ce que disent les paroles de Dieu ? Qu’y a-t-il d’autre ? » Daming répond immédiatement : « Les exigences de Dieu ne se limitent pas à cela. Tu crois en Dieu depuis si longtemps, et quand des frères et des sœurs te rendent visite, tu ne sais même pas comment les saluer. Désormais, lorsque tu rencontreras des personnes âgées, appelle-les “grand-père” et “grand-mère” ; lorsque tu rencontreras des adultes plus jeunes, appelle-les “oncle”, “tante”, ou “grand frère” et “grande sœur”. Ce faisant, tu deviendras un enfant aimé de tous ; et Dieu n’aime que les enfants aimés de tous. À partir de maintenant, écoute-moi et fais ce que je dis ; quand je te dis d’appeler quelqu’un de telle ou telle façon, fais-le. » Xiaoming prend à cœur les paroles de son père, sentant que ce qu’il dit est correct. En son jeune cœur, il est persuadé que son père, plus âgé, a davantage lu les paroles de Dieu et qu’il en sait plus que lui. En outre, son père veille à ses intérêts et ne le détournera assurément pas du droit chemin, donc tout ce que son père dit est juste. Xiaoming ne comprend pas ce qui relève de la vérité et de la doctrine, mais il sait à tout le moins ce qui est bon et ce qui est mauvais, ce qui est bien et ce qui est mal. Après que son père lui a parlé, Xiaoming est également quelque peu accablé à ce propos. Désormais, lorsqu’il sort avec son père et qu’ils rencontrent quelqu’un, si son père lui dit de l’appeler « tante », il dit « bonjour, ma tante » ; s’il lui dit de l’appeler « oncle », il dit « bonjour, mon oncle ». Tout le monde loue le bon enfant poli qu’est Xiaoming et félicite Daming pour sa bonne éducation. Xiaoming est plutôt satisfait et pense : « Les instructions de papa sont bonnes, je suis apprécié par toutes les personnes que je rencontre. » En son for intérieur, Xiaoming est ravi et particulièrement fier, car il pense que la façon dont son père le guide est réellement bonne et correcte.

Un jour, à peine rentré de l’école, Xiaoming se précipite vers son père et lui dit : « Papa, sais-tu ce qu’il s’est passé ? Le vieux Zhang, qui habite juste à côté, a attrapé un gros… » Avant qu’il ne termine sa phrase, Daming l’interrompt : « “Le vieux Zhang” ? Comment peux-tu dire cela, Xiaoming ? Es-tu toujours croyant ou non ? Comment peux-tu l’appeler “le vieux Zhang” ? Tu as oublié ce que je t’ai dit, tu n’as pas vraiment foi en Dieu, tu n’es pas un vrai croyant. Écoute, je me souviens de cette chose, je peux t’aider et te la rappeler. Tu dois l’appeler “grand-père Zhang”, tu comprends ? » Xiaoming réfléchit : « L’appeler “grand-père Zhang”, c’est bien aussi. » Il poursuit : « Alors, grand-père Zhang, le voisin, a attrapé un poisson gros comme ça ! La vieille Zhang était aux anges ! » « As-tu encore oublié ? » répond Daming. « Tu ne comprends toujours pas, mon garçon. Je viens de te dire que tu dois l’appeler “grand-père Zhang”, ce qui signifie que sa femme, qui est de la même génération, doit être appelée comment ? Grand-mère Zhang. N’oublie pas ceci : ne dis plus jamais “le vieux Zhang” ou “la vieille Zhang”, sinon les gens se moqueront de nous. Ne serait-ce pas gênant pour les croyants que nous sommes ? Ils diraient que nous sommes impolis et incorrects, à l’inverse des croyants. Cela ne rend pas gloire à Dieu. » Au début, Xiaoming était enthousiaste à l’idée de raconter à son père que le vieux Zhang avait pêché un gros poisson, mais depuis que son père l’a corrigé, il se désintéresse de l’anecdote et n’a plus envie d’en parler. Il se retourne, enfile son sac à dos et s’éloigne en marmonnant : « Tu crois tout savoir, à propos des histoires de grand-père Zhang et de grand-mère Zhang. Quel rapport avec nous ? Comme si tu étais le seul à être spirituel ! » Daming répond : « Oui, je suis spirituel, en effet ! Pour la plupart des gens, quel que soit leur âge, je sais reconnaître leur statut juste en fonction de leur âge, et je sais comment on doit s’adresser à eux. J’appelle les personnes plus âgées “oncle” et “tante” : pourquoi n’es-tu même pas capable de les appeler convenablement ? En tant que croyants, nous ne pouvons pas oublier cela ; nous ne devons pas compromettre les termes générationnels. » Cette réprimande provoque un malaise chez Xiaoming, mais dans son for intérieur, il continue de penser que son père a raison ; tout ce que fait son père est bien, et même à contrecœur, il admet qu’il a tort. Ainsi, chaque fois qu’il voit le vieux Zhang ou la vieille Zhang, il les appelle « grand-père Zhang » et « grand-mère Zhang ». Xiaoming prend à cœur tout ce que son père lui enseigne et lui inculque. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Jusqu’à présent, il semble que ce soit une bonne chose, n’est-ce pas ?

Un jour, Xiaoming et son père se promènent et voient une vieille truie entourée d’une portée de porcelets. Elle semble avoir une relation très proche avec ses petits. Xiaoming pense que tout ce qui a été créé par Dieu est bon ; qu’il s’agisse d’un cochon ou d’un chien, ils ont tous un instinct maternel et doivent être respectés. Cette fois, Xiaoming ne parle pas de façon grossière et ne l’appelle pas inconsidérément une « vieille truie ». Par crainte de se tromper et de mettre son père en colère, il lui demande doucement : « Papa, quel âge a cette mère truie ? Elle a donné naissance à tant de porcelets, comment dois-je l’appeler ? » Daming réfléchit un instant : « Comment devons-nous l’appeler ? C’est difficile à dire. » Voyant son père perdu dans ses pensées et incapable de répondre, Xiaoming geint : « N’as-tu pas lu de nombreuses paroles de Dieu ? De plus, tu es plus âgé que moi, comment peux-tu même ignorer cela ? » Provoqué par Xiaoming, Daming devient un peu anxieux et dit : « Et si on l’appelait “grand-mère” ? » Avant que Xiaoming n’interpelle le cochon, Daming se reprend et dit : « Nous ne pouvons pas l’appeler “grand-mère” ; ça l’inclurait à la génération de ta grand-mère maternelle, n’est-ce pas ? L’appeler “Mamie Cochon” serait pire, cela la placerait dans la même génération que ma mère. Puisqu’elle a donné naissance à tant de porcelets, nous ne pouvons pas négliger son identité ou son statut, et nous ne devons pas nous tromper de génération. Nous devrions l’appeler “Tatie Cochon”. » Entendant cela, Xiaoming s’incline respectueusement devant cette dernière et lui dit : « Bonjour, Tatie Cochon. » Surprise et effrayée, la truie s’enfuit avec tous ses porcelets. Devant cette scène, Xiaoming se demande s’il ne s’est pas trompé d’appellation pour l’animal. Daming dit : « Pour réagir de la sorte, le cochon doit être heureux et tout excité. À l’avenir, lorsque nous serons confrontés à de telles situations, nous devrons continuer de nous comporter ainsi, peu importe ce que les autres disent ou font. Soyons polis et respectons les normes sociales ; même les cochons apprécieront cette attitude. » De cette situation, Xiaoming apprend quelque chose de nouveau. Qu’apprend-il ? Il dit : « Dieu a créé toutes choses ; à partir du moment où tous les êtres se respectent, sont polis, reconnaissent l’ancienneté, respectent les personnes âgées et aiment les jeunes, alors ils peuvent vivre ensemble de manière harmonieuse. » Désormais, Xiaoming comprend cette doctrine. Entendant ces paroles, son père félicite le jeune Xiaoming pour sa capacité d’apprentissage exceptionnelle. Xiaoming devient alors encore plus civilisé et poli. Où qu’il aille, il se comporte comme il faut et se démarque des autres. N’est-il pas un « bon garçon » ? C’est un « bon garçon » entre guillemets. Et c’est ainsi que nous arrivons à la fin de l’histoire.

Que pensez-vous de cette histoire ? N’est-elle pas amusante ? Comment cette histoire a-t-elle vu le jour ? Elle est inspirée du discours, des actes, du comportement, des pensées et des points de vue de personnes dans la vie réelle, résumés dans cette petite histoire. Quel est le sujet de cette histoire ? Quels problèmes constatez-vous avec Daming dans l’histoire ? Qu’en est-il de Xiaoming ? Quelle est l’essence des problèmes de Daming ? Tout d’abord, réfléchissez à cette question : y a-t-il quelque chose dans ce que Daming a résumé et mis en pratique qui est conforme à la vérité ? (Non.) Que mettait-il alors en pratique ? (Des notions et des imaginations.) D’où provenaient ces notions et ces imaginations ? (De la culture traditionnelle.) La racine en est la culture traditionnelle ; ses notions et ses imaginations étaient le fruit de l’infection, du conditionnement et de l’éducation issus de la culture traditionnelle. Il a repris ce qui selon lui constituait les éléments les meilleurs, les plus positifs et les plus représentatifs de la culture traditionnelle, les a remaniés et les a transformés en ce qu’il considérait comme la vérité à mettre en pratique par son fils. Cette histoire peut-elle être perçue comme évidente et facile à comprendre ? (Oui.) Expliquez ce que vous avez compris et ce que vous avez été capable de saisir en écoutant cette histoire. (Après l’avoir écoutée, j’ai eu l’impression que le problème de Daming était que, même s’il croyait en Dieu, il n’avait jamais fait d’efforts pour comprendre les paroles de Dieu. Sa croyance en Dieu reposait sur les notions traditionnelles des gens, et il pensait qu’en adhérant à ces normes superficielles, Dieu serait satisfait. Il n’a pas cherché dans les paroles de Dieu et réfléchi à ce que Dieu exige réellement des gens et à la manière dont on doit manifester une humanité normale.) Selon quels principes vivait Daming ? (Des notions et des imaginations.) Vivre selon les principes des notions et des imaginations est une phrase vide de sens ; en réalité, il vivait en se référant à la culture traditionnelle, qu’il considérait comme la vérité. Il vivait en se référant à cette culture : que cela implique-t-il précisément ? Pourquoi voulait-il que Xiaoming s’adresse aux gens en leur donnant un certain titre ? (En apparence, il a affirmé que c’était pour rendre gloire à Dieu à travers ces bonnes actions, mais en réalité, il voulait satisfaire sa propre vanité, être félicité pour sa capacité à bien éduquer son enfant.) Oui, c’était son intention. Son éducation ne visait pas à faire comprendre à son enfant les paroles de Dieu et la vérité ; elle consistait à lui faire accomplir des choses qui lui apportaient la gloire afin de satisfaire sa vanité personnelle. C’est également un problème. Le fait de toujours chercher à s’embellir et à se mettre en valeur à travers son comportement pose-t-il un problème ? (Oui.) Cela révèle un problème lié au chemin qu’il avait emprunté, et c’est le problème le plus grave. Quel est notre but lorsque nous cherchons sans cesse à mettre en valeur notre comportement ? Notre but est de gagner l’admiration des gens, de faire en sorte qu’ils nous flattent et nous félicitent. Quelle est la nature de ce comportement ? Elle relève de l’hypocrisie, de l’approche des pharisiens. Ceux qui se concentrent sur des comportements bons en apparence, qui se focalisent sur la mise en valeur de leur comportement, qui déploient de gros efforts pour celui-ci, comprennent-ils la vérité ? (Non.) Ils lisent de nombreuses paroles de Dieu et fournissent beaucoup d’efforts, alors pourquoi ne comprennent-ils pas la vérité ? Ils ne comprennent pas que le but de la gestion de Dieu et de Son salut de l’humanité consiste à faire comprendre la vérité aux gens, à les perfectionner et à les faire changer de tempérament ; ils ne le comprennent tout simplement pas. Ils se disent : « Quelle que soit la façon dont je lis les paroles de Dieu, je résumerai certains discours, actes et comportements avec lesquels les gens sont plus facilement d’accord, qu’ils apprécient et qu’ils approuveront, puis j’incarnerai ce type de choses et m’y tiendrai fermement dans la vie quotidienne. C’est ce que ferait un véritable croyant. »

Avez-vous des problèmes similaires à ceux de Daming ? Outre les aspects évidents qui viennent d’être abordés, tels que le respect des normes sociales, l’attention portée à l’ancienneté, le respect des personnes âgées et le fait de s’occuper des jeunes, ainsi que le maintien d’un ordre approprié parmi les personnes âgées et les jeunes, existe-t-il d’autres comportements, pensées, points de vue ou compréhensions similaires ? Savez-vous approfondir et disséquer ces questions ? Par exemple, au sein de l’Église, si quelqu’un est plus âgé ou croit en Dieu depuis de nombreuses années, tu veux toujours le valoriser. Tu le laisses finir de parler, tu ne l’interromps pas, même s’il dit des absurdités, et même s’il fait quelque chose de mal et qu’il a besoin d’être émondé, tu essaies toujours de sauver sa face et tu évites de le critiquer devant les autres, en pensant que peu importe à quel point ses actions sont déraisonnables ou horribles, tout le monde doit malgré tout lui pardonner et faire preuve de tolérance à son égard. Tu enseignes aussi souvent aux autres : « Nous devons donner un certain visage aux personnes âgées et ne pas porter atteinte à leur dignité. Nous sommes leurs cadets. » D’où vient ce terme « cadets » ? (Culture traditionnelle.) Il provient de la pensée culturelle traditionnelle. En outre, une certaine atmosphère s’est installée au sein de l’Église, dans laquelle les gens, lorsqu’ils rencontrent des frères et des sœurs plus âgés, les appellent chaleureusement « grand frère », « grande sœur », « tatie » ou « vieux frère », comme si tout le monde faisait partie d’une grande famille ; ces personnes plus âgées font l’objet d’un respect supplémentaire, ce qui, inconsciemment, donne une bonne impression des plus jeunes dans l’esprit des autres. Ces éléments de la culture traditionnelle sont profondément enracinés dans les pensées et dans le for intérieur des Chinois, à tel point qu’ils se diffusent en permanence et façonnent l’atmosphère de la vie de l’Église. Parce que les gens sont souvent limités et contrôlés par ces concepts, non seulement ils les soutiennent personnellement, travaillent dur pour agir et pratiquer dans cette direction, mais ils approuvent également les autres qui font la même chose, en leur donnant des instructions à suivre. La culture traditionnelle n’est pas la vérité, c’est certain. Mais suffit-il que les gens sachent que ce n’est pas la vérité ? Le fait qu’elle ne soit pas la vérité est l’un des aspects ; pourquoi devons-nous la disséquer ? Quelle est sa racine ? Quelle est l’essence du problème ? Comment peut-on se libérer de ces choses ? Le but de la dissection de la culture traditionnelle est de t’apporter une toute nouvelle compréhension des théories, des pensées et des points de vue de cet aspect au plus profond de ton cœur. Comment parvenir à cette toute nouvelle compréhension ? Tout d’abord, tu dois savoir que la culture traditionnelle provient de Satan. Et comment Satan instille-t-il ces éléments de la culture traditionnelle chez les humains ? À chaque époque, Satan se sert de célébrités et de grands personnages pour diffuser ces pensées, ces soi-disant dictons et théories. Puis, progressivement, ces idées sont systématisées et concrétisées, se rapprochant de plus en plus de la vie des gens, et finissent par se généraliser parmi eux ; peu à peu, ces dictons, ces pensées et ces théories sataniques sont instillés dans les esprits des gens. Après avoir été endoctrinés, les gens considèrent ces pensées et ces théories venant de Satan comme les choses les plus positives qu’ils doivent pratiquer et auxquelles ils doivent adhérer. Satan recourt alors à ces choses pour emprisonner et contrôler l’esprit des gens. Génération après génération, jusqu’à aujourd’hui, les individus ont été éduqués, conditionnés et contrôlés dans de telles circonstances. Toutes ces générations ont cru que la culture traditionnelle était juste et bonne. Personne ne dissèque les origines ou la source de ces choses soi-disant bonnes et justes – c’est ce qui fait que le problème est grave. Même certains croyants qui ont lu les paroles de Dieu pendant de nombreuses années pensent encore que ces choses sont correctes et positives, au point de croire qu’elles peuvent remplacer la vérité et les paroles de Dieu. Plus encore, certains pensent : « Peu importe combien de paroles de Dieu nous lisons, en vivant parmi les gens, les soi-disant idées et éléments traditionnels de la culture – comme les Trois obéissances et quatre vertus, ainsi que des concepts tels que la bienveillance, la droiture, la bienséance, la sagesse et la fiabilité – ne peuvent pas être rejetés. C’est parce qu’ils sont transmis par nos ancêtres qui étaient des sages. Nous ne pouvons pas aller à l’encontre des enseignements de nos ancêtres simplement parce que nous croyons en Dieu, et nous ne pouvons pas altérer ou abandonner les enseignements de nos ancêtres et de ces anciens sages. » De telles pensées et une telle prise de conscience existent dans le cœur de tous les gens. Inconsciemment, ceux-ci sont encore contrôlés et contraints par ces éléments de la culture traditionnelle. Par exemple, lorsqu’un enfant voit que tu as une vingtaine d’années et qu’il t’appelle « oncle », tu es content et satisfait. S’il t’appelle directement par ton nom, tu te sens mal à l’aise, pensant que l’enfant est impoli et qu’il doit être réprimandé, et tu changes d’attitude. En réalité, le fait qu’il t’appelle « oncle » ou par ton nom n’a aucune incidence sur ton intégrité. Alors pourquoi es-tu mécontent lorsqu’on ne t’appelle pas « oncle » ? C’est parce que tu es dominé et influencé par la culture traditionnelle ; elle s’est enracinée de manière préventive dans ton esprit et est devenue ta norme la plus fondamentale pour traiter les gens, les évènements et les choses, et pour évaluer et juger toutes choses. Lorsque cette norme est erronée, la nature de tes actes peut-elle être correcte ? Certainement pas. Si elle était mesurée par rapport à la vérité, comment gèrerais-tu cette question ? Te préoccuperais-tu de la façon dont les autres t’appellent ? (Non.) Sauf s’ils t’insultent ou t’humilient, dans ce cas, tu te sentirais certainement mal à l’aise ; c’est une expression normale de l’humanité. Cependant, si ta norme pour le mesurer est la parole de Dieu, la vérité ou la culture provenant de Dieu, alors peu importe que les gens t’appellent par ton nom, « oncle » ou « frère », cela ne te fera absolument pas réagir. Sur cette question, tu peux suivre les coutumes locales. Par exemple, en Chine, lorsque quelqu’un t’appelle « oncle », tu as l’impression qu’il est respectueux à ton égard. Mais si dans un pays occidental, quelqu’un t’appelle « oncle », tu te sentiras mal à l’aise ; tu préféreras qu’on t’appelle par ton nom, pensant qu’il s’agit d’une forme de respect. En Chine, si une personne nettement plus jeune que toi t’appelait par ton nom, tu serais très mécontent, car tu aurais l’impression qu’elle n’a pas tenu compte de ta séniorité ; tu te sentirais profondément humilié, tu te mettrais en colère et tu condamnerais même cette personne. Cela ne montre-t-il pas que cette manière de penser pose un problème ? C’est ce problème que J’ai l’intention d’aborder.

Chaque pays, chaque ethnie a sa propre culture traditionnelle. Doit-on critiquer toutes les cultures traditionnelles ? Il existe une culture qui ne doit pas être critiquée. Savez-vous laquelle ? Je vais vous donner un exemple. Dieu a créé Adam ; qui a nommé Adam ? (Dieu.) Donc, Dieu a créé l’humanité, et quand Il interagit avec elle, comment S’adresse-t-Il aux gens ? (En les appelant par leur nom.) C’est vrai, Il les appelle par leur nom. Dieu te donne un nom, et ce nom a une signification aux yeux de Dieu ; il sert de désignation, d’appellation. Quand Dieu te désigne par une appellation, Il t’appelle par cette désignation. N’est-ce pas une forme de respect ? (Oui.) C’est la meilleure forme de respect, la plus conforme à la vérité et la plus positive. C’est la norme du respect des personnes, et elle vient de Dieu. N’est-ce pas une forme de culture ? (Oui.) Devons-nous défendre cette culture ? (Oui.) Cela vient de Dieu ; Dieu appelle une personne directement par son nom. Dieu te donne un nom, une désignation, qu’Il utilise ensuite pour te représenter et t’appeler. C’est ainsi que Dieu traite les gens. Lorsque Dieu a créé une deuxième personne, comment l’a-t-II traitée ? Dieu a laissé Adam lui donner un nom. Adam l’a appelée Eve. Dieu l’a-t-Il appelée par ce nom ? Oui. Il s’agit donc d’une culture qui vient de Dieu. Dieu donne à chaque être créé une désignation, et lorsqu’Il prononce cette désignation, les hommes et Dieu savent à qui l’on fait référence. C’est ce qu’on appelle le respect, l’égalité, c’est une norme qui permet de mesurer le degré de politesse d’une personne et son sens de la bienséance dans leur humanité. Est-ce exact ? (Oui.) C’est en effet exact. Que la Bible relate un certain évènement ou la généalogie d’une famille, tous les personnages ont un nom ou une désignation. Cependant, Je ne suis pas sûr que vous ayez remarqué ceci : la Bible n’utilise pas d’appellations comme « grand-père », « grand-mère », « oncle », « tante », « grand-oncle », « grand-tante », et ainsi de suite ; elle se contente d’utiliser les noms des personnes. Que pouvez-vous en déduire ? Ce que Dieu a établi pour les gens, qu’il s’agisse de règles ou de lois, est, du point de vue humain, une sorte de tradition transmise d’une génération à l’autre. Et quelle est cette tradition transmise par Dieu ? C’est quelque chose que les gens doivent respecter : nul besoin de titres hiérarchiques. Aux yeux de Dieu, il n’y a pas de titres familiaux alambiqués comme « grand-père », « grand-mère », « oncle aîné », « oncle cadet », « tante aînée », « tante cadette », et ainsi de suite. Pourquoi les hommes se préoccupent-ils autant de ces titres et appellations hiérarchiques ? Qu’est-ce que cela signifie ? Dieu déteste ces choses au plus haut point. Ce sont toujours les personnes du même acabit que Satan qui font des histoires à ce sujet. Pour ce qui est de cette culture traditionnelle, il y a un fait concret à propos de Dieu : Dieu a créé le genre humain tout entier et Il sait clairement combien de familles et de descendants une personne peut avoir ; nul besoin d’une quelconque hiérarchie. Dieu dit simplement qu’il faut être fécond et multiplier, faire prospérer sa famille – c’est tout ce que tu dois retenir. Le nombre de descendants de chaque génération et le nombre d’enfants de ces descendants, cela suffit, nul besoin d’une hiérarchie. Les générations suivantes n’ont pas besoin de savoir qui étaient leurs ancêtres ni de construire des palais ou des temples ancestraux, et encore moins de faire des sacrifices ou de les vénérer. La Bible rappelle que ceux qui croient en Dieu et Le suivent et que ceux qui croient en l’Éternel présentent tous des offrandes devant l’autel. Tous les membres d’une famille se présentent devant Dieu et font des offrandes. À la différence des Chinois, où chaque famille dispose d’une salle ancestrale remplie de tablettes commémoratives dédiées aux arrière-arrière-grands-pères, aux arrière-grands-pères et aux arrière-grands-mères. Ces choses n’existent pas là où Dieu a commencé Son œuvre au tout début. D’autres lieux éloignés de l’œuvre de Dieu sont cependant contrôlés par Satan et les esprits malfaisants. Dans les pays bouddhistes, ces pratiques sataniques foisonnent. Là-bas, les gens doivent vénérer leurs ancêtres, et tout doit être rapporté à la famille, tout doit être transmis aux ancêtres de la famille ; même si les cendres des ancêtres ont disparu, les générations suivantes doivent continuer d’offrir de l’encens et d’incliner la tête. De nos jours, certaines personnes qui ont été exposées à des idées plus occidentales et plus nouvelles et qui se sont affranchies du joug de la famille traditionnelle ne veulent pas rester dans de telles familles. Elles se sentent contrôlées de manière étroite et rigide par ces familles où les aînés interviennent dans presque tous les domaines, en particulier quand il s’agit du mariage. En Chine, de telles choses ne sont pas rares. Satan incite les gens à se concentrer sur l’ancienneté, et ce concept semble être facilement accepté par les gens, qui croient que « chaque génération a son rang ; ceux qui sont au sommet sont nos ancêtres. Dès que le mot “ancêtre” est prononcé, les gens doivent s’agenouiller et le vénérer comme des dieux ». Dès l’enfance, nous sommes ainsi influencés, conditionnés et élevés par notre famille ; on inculque la chose suivante aux jeunes esprits : il est impossible de vivre dans ce monde sans famille, et quitter la famille ou s’affranchir du joug de la famille constitue une offense répréhensible d’un point de vue moral. Qu’est-ce qu’implique une offense répréhensible d’un point de vue moral ? Cela implique que si tu n’écoutes pas ta famille, tu ne te comportes pas de manière filiale, et que le fait de ne pas se comporter de façon filiale signifie que tu n’es pas humain. Par conséquent, la plupart des gens n’osent pas briser ces chaînes familiales. Les Chinois sont extrêmement conditionnés, influencés et contrôlés par la hiérarchie, ainsi que par des concepts comme les Trois obéissances et quatre vertus, les Trois liens fondamentaux et les Cinq vertus constantes. Les jeunes qui ne s’adressent pas convenablement à leurs aînés en les appelant « oncle », « tante », « grand-père » ou « grand-mère » sont souvent accusés d’impolitesse et d’inculture. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire que tu es considéré comme inférieur dans ce groupe ethnique, dans cette société, parce que tu ne respectes pas les normes sociales, que tu n’es pas cultivé et que tu ne vaux rien. D’autres sont bien habillés, doués pour les faux-semblants et s’expriment à la fois dans les règles de l’art et de façon gracieuse ; ce sont de beaux parleurs, alors que tu ne sais même pas appeler quelqu’un « oncle » ou « tante ». Les gens diront que tu es inculte et te regarderont de haut partout où tu iras. C’est le type d’idéologie que l’on inculque aux Chinois. Certains enfants qui ne savent pas comment s’adresser aux gens seront sévèrement grondés ou même battus par leurs parents. En les battant, certains parents diront : « Tu es grossier, tu ne vaux rien, tu es inculte, alors autant te battre à mort ! Tu ne fais que me mettre dans l’embarras et me faire perdre la face devant les gens ! » Juste parce que l’enfant ne sait pas comment s’adresser aux autres, les parents font exploser le problème de manière disproportionnée pour sauver la face, en le battant sévèrement. Quel est ce type de comportement ? C’est complètement absurde ! En auriez-vous conscience si je n’échangeais pas sur le sujet ? Peux-tu, au travers des phénomènes que tu observes dans la vie réelle, ou en lisant les paroles de Dieu, ou au fil de tes propres expériences, voir clair progressivement et étape par étape au travers de ces questions, et ensuite changer la direction de ta vie, en modifiant la direction du chemin sur lequel tu es engagé ? Si tu ne le peux pas, cela signifie que tu manques de perspicacité. Dans tous les domaines, utiliser les paroles de Dieu, l’œuvre de Dieu et les exigences de Dieu comme la norme est l’approche la plus correcte, elle ne comporte pas la moindre erreur – cela ne fait aucun doute. Tout ce qui vient de Satan, quel que soit son degré d’alignement sur les notions ou les goûts humains, peu importe à quel point il semble décent, n’est pas la vérité mais une contrefaçon.

Le but de cette histoire est de vous éclairer, de vous faire comprendre ce qu’est la vérité, ce que les humains gagnent à croire en Dieu, ce que signifie pour Dieu le fait de les amener à changer leurs tempéraments et à obtenir la vérité, et si la vérité exprimée par Dieu et Ses exigences ont un quelconque lien avec les représentations, ou les pensées, les perspectives et les diverses compréhensions issues de l’éducation et du conditionnement de l’environnement géographique et social d’une personne. Vous devriez, vous aussi, tous disséquer ces questions. Aujourd’hui, notre exemple n’a couvert qu’un seul aspect. En fait, chacun porte dans son cœur toutes sortes de choses provenant de la culture traditionnelle. Certains disent : « Puisque nous sommes censés rejeter la hiérarchie, cela signifie-t-il que je pourrais appeler mes parents par leurs noms ? » Est-ce correct ? Si vous appelez vos parents « père » et « mère », cela signifie-t-il que vous respectez encore la hiérarchie et que vous êtes revenus à la culture traditionnelle ? Non. Les parents doivent toujours être appelés comme ils doivent l’être ; les appeler « maman » et « papa » est la façon dont Dieu veut que les gens s’adressent à eux. C’est ainsi qu’ils doivent être appelés, tout comme tes parents t’appellent « mon enfant », « mon fils » ou « ma fille ». Alors, qu’est-ce que vous êtes censés comprendre en premier lieu lorsque Je raconte cette histoire ? De quelle question s’agit-il principalement ? (Notre norme pour juger les choses doit changer ; tout doit être jugé conformément aux paroles et aux exigences de Dieu.) C’est bien cela. N’inventez pas vous-même des choses à l’aveuglette. Les gens veulent toujours créer leur propre « vérité ». Chaque fois qu’ils veulent faire quelque chose, ils avancent toutes sortes d’arguments et de théories, puis définissent plusieurs méthodes qu’ils mettent en œuvre, sans tenir compte de leur pertinence. Ils pratiquent ainsi pendant des années, avec obstination, sans se préoccuper des résultats, tout en ayant l’impression d’être bienveillants, justes et aimables. Ils pensent que les choses qu’ils vivent sont bonnes, que leurs actes leur valent louange et admiration, et ils finissent par se considérer de plus en plus comme des personnes formidables. Les gens ne réfléchissent jamais, ne cherchent pas à comprendre ou à connaître les exigences de Dieu dans chaque domaine, les principes d’action à appliquer dans toute chose et s’ils ont fait preuve de loyauté envers le mandat de Dieu dans le processus selon lequel ils font leur devoir. Ils ne réfléchissent pas à ce type de choses ; ils se contentent de réfléchir aux questions tordues et malveillantes – cela ne revient-il pas à s’engager dans la voie de la malveillance ? (Si.) Si une personne se montre douce en apparence, se comporte correctement, est éduquée et se conforme aux normes sociales, parle volontiers de bienveillance, de droiture, de bienséance, de sagesse et de fiabilité, s’exprime avec une élégance épurée et dit des choses agréables à entendre – observez si elle pratique ou non la vérité. Si elle ne pratique jamais la vérité, elle n’est rien d’autre qu’une hypocrite qui prétend être bonne ; elle est exactement comme Daming, et n’est en rien différente. Quel genre de personnes sont celles qui se concentrent exclusivement sur le fait d’avoir un bon comportement pour tromper les autres et les inciter à la louange et à l’admiration ? (Les hypocrites.) Ces personnes ont-elles une compréhension spirituelle ? (Non.) Les gens qui n’ont pas une compréhension spirituelle peuvent-ils pratiquer la vérité ? (Non.) Pourquoi ? (Ils ne comprennent pas ce qu’est la vérité, alors ils se contentent d’adopter un comportement, bon en apparence, et de pratiquer des choses que les gens considèrent comme bonnes et conformes à la vérité.) Mais ce n’est pas la question principale. Peu importe le degré de leur incompréhension de la vérité, ne connaissent-ils pas néanmoins certains principes évidents à appliquer dans leurs actions ? Quand tu leur dis comment faire leur devoir, ne peuvent-ils pas comprendre ? Ces personnes se caractérisent par le fait qu’elles n’ont pas l’intention de pratiquer la vérité. Quoi que tu dises, elles ne t’écouteront pas, elles ne feront et ne diront que ce qui leur plaît. Depuis quelque temps, nous avons souvent parlé des diverses manifestations des antéchrists. Regarde dans ton entourage : quels sont ceux qui ont fait preuve d’un quelconque changement, et ceux qui n’ont pas du tout changé leur comportement et leurs principes d’action, quels sont ceux dont le cœur demeure immuable, quelle que soit la manière dont tu échanges avec eux, et qui ne changent toujours pas, ou n’ont pas l’intention de changer, et continuent de faire les choses comme bon leur semble, même s’ils étaient capables d’établir un lien entre le contenu de ton échange et eux-mêmes ? Avez-vous rencontré de telles personnes ? Oui, n’est-ce pas ? Pourquoi certains dirigeants et ouvriers sont-ils démis de leurs fonctions ? Parce qu’ils ne pratiquent pas la vérité, ils ne font pas un vrai travail. Ils comprennent toutes sortes de doctrines, et ils persistent dans leurs propres voies. Quelle que soit la manière dont tu échanges sur les vérités-principes, ils ont toujours leurs propres règles, restent attachés à leurs points de vue et n’écoutent personne. Ils font juste ce qu’ils veulent – tu dis une chose, ils en font une autre. Les dirigeants et les ouvriers de ce type doivent être écartés, n’est-ce pas ? (C’est vrai.) En effet, ils devraient le faire. Quel est le chemin emprunté par ces personnes ? (Le chemin de l’antéchrist.) En suivant le chemin d’un antéchrist, elles finiront tôt ou tard par devenir elles-mêmes des antéchrists. C’est juste une question de temps. Si, peu importe la façon dont tu échanges sur la vérité avec elles, elles ne l’acceptent toujours pas et ne changent en rien, alors la situation est vraiment problématique, et elles sont déjà devenues des antéchrists.

Que vous inspire le plus l’histoire racontée aujourd’hui ? Cela devrait être le fait qu’il est facile pour les gens de dévier. Pourquoi est-il simple pour eux de s’égarer ? Premièrement, ils ont des tempéraments corrompus ; deuxièmement, peu importe leur âge, les gens ne sont pas des pages blanches dans leurs pensées et au plus profond de leurs cœurs. Alors, quels conseils cette histoire vous donne-t-elle ? Il est aisé pour les gens de faire fausse route – c’est le premier conseil. Le second est que les gens ont tendance à adhérer à ce qu’ils pensent être bon et juste comme si c’était la vérité, considérant les connaissances bibliques et les doctrines spirituelles comme des paroles de Dieu à pratiquer. Après avoir compris ces deux points, quelle nouvelle compréhension, quelles nouvelles idées ou quels nouveaux projets avez-vous pour le chemin que vous devez suivre à l’avenir et pour chaque tâche que vous devrez effectuer ? (Lorsque nous agissons par rapport au futur, nous ne devons pas agir en fonction de ce que nous pensons être juste. Tout d’abord, nous devons nous demander si nos pensées sont conformes aux désirs de Dieu et si elles répondent à Ses exigences. Nous devons trouver les principes de la pratique dans les paroles de Dieu, et agir. Seule cette façon de procéder nous permet de garantir que nous pratiquons la vérité et que le chemin que nous empruntons dans notre croyance en Dieu est correct.) Vous devez faire des efforts pour comprendre les paroles de Dieu. Arrêtez de faire des suppositions. Tu n’as pas de compréhension spirituelle, ton calibre est médiocre, et aussi grandes soient tes idées, elles ne sont pas la vérité. Même si tu es convaincu que ce que tu as fait est parfait et correct, tu dois néanmoins le présenter aux frères et aux sœurs pour échange et validation, ou le comparer avec les paroles pertinentes de Dieu. Peut-on ainsi atteindre la perfection absolue ? Pas nécessairement ; tu risques toujours de dévier dans tes pratiques, à moins que tu n’aies pleinement saisi les vérités-principes et la source des paroles de Dieu. Il s’agit là du premier aspect de la question. Quel est le second ? Si les gens s’écartent des paroles de Dieu, même si leurs actions semblent rationnelles ou agréables, elles ne peuvent pas remplacer la vérité. Tout ce qui ne peut pas remplacer la vérité n’est pas la vérité, ni une chose positive. Si ce n’est pas une chose positive, de quoi s’agit-il ? Certainement pas d’une chose qui plaît à Dieu, ou conforme à la vérité ; c’est quelque chose que Dieu condamne. Quelles seront les conséquences si tu fais une chose que Dieu condamne ? Dieu te détestera. Toutes les choses qui ne viennent pas de Dieu sont négatives, elles viennent de Satan. Certaines personnes peuvent ne pas comprendre ce point ; laisse les choses se faire progressivement, au fur et à mesure que tu gagnes en expérience.

Aujourd’hui, nous critiquons résolument une chose ; laquelle ? Le fait d’appeler une vieille truie « Tata Truie », n’est-ce pas ? Est-il honteux d’appeler un cochon « Tatie Truie » ? (Oui.) C’est une honte. Les gens veulent toujours avoir un titre honorifique. D’où vient cet « honneur » ? À quoi fait référence l’« honneur » ? S’agit-il d’ancienneté ? (Oui.) Le fait de toujours vouloir être considéré comme un aîné, de se concentrer en permanence sur l’ancienneté est-il une bonne chose ? (Non.) Pourquoi le fait de se focaliser sur cette séniorité n’est pas une bonne chose ? Vous devez analyser la signification qui lui est accordée. Il est si facile de le dire simplement ainsi : « Dieu interdit aux gens de se focaliser sur l’ancienneté, alors pourquoi en parles-tu de manière insensée ? Tu dis n’importe quoi tout en prétendant être civilisé. Tu ne prends jamais en considération les intérêts de la maison de Dieu en faisant tes devoirs, tu les trahis toujours au profit de tes propres intérêts. Quand quelque chose concerne tes intérêts personnels, tu n’hésites pas à trahir les intérêts de la maison de Dieu. Qui essaies-tu de duper en agissant comme une bonne personne ? Es-tu digne d’être considéré comme bon ? » Serait-il acceptable de le dire ainsi ? (Oui.) Que faudrait-il dire pour que ce soit encore plus sévère ? « Que bredouilles-tu ? Tu n’es qu’un porc stupide, un imbécile, qui ne comprend rien à la vérité. Pour qui te fais-tu passer ? Tu es éduqué, cultivé et tu crois en Dieu. Tu as lu tant de paroles de Dieu et tu penses encore que tu crois plutôt correctement en Dieu. Mais finalement, tu ne sais même pas ce que signifie pratiquer la vérité. N’es-tu pas tout simplement un porc stupide, un idiot fini ? » C’est tout pour cette histoire. Revenons à présent au sujet principal de l’échange.

Analyse du comportement sournois, arbitraire et dictatorial des antéchrists, et de la manière dont ils obligent les autres à leur obéir

I. Analyse du comportement sournois des antéchrists

La dernière fois, nous avons échangé sur le cinquième point des manifestations des antéchrists : ils fourvoient, attirent, menacent et contrôlent les gens. Aujourd’hui, nous allons échanger sur le sixième point : ils se comportent de façon sournoise, ils sont arbitraires et dictatoriaux, ils n’échangent jamais avec les autres et ils obligent les autres à leur obéir. Y a-t-il une différence entre ce point et le cinquième ? En termes de tempérament, il n’y a pas de différence majeure ; dans les deux cas, les actions consistent à s’emparer du pouvoir et à agir de manière arbitraire et dictatoriale. Les deux tempéraments sont malveillants, arrogants, intransigeants et vicieux ; les tempéraments sont les mêmes. Cependant, le point six met en évidence une autre manifestation importante des antéchrists, à savoir que leurs actions sont sournoises : cela concerne la nature des actions des antéchrists. Maintenant, parlons d’abord du terme « sournois ». En apparence, « sournois » est-il un terme péjoratif ou élogieux ? Si quelqu’un fait quelque chose de sournois, cette chose est-elle bonne ou mauvaise ? (Mauvaise.) Si on dit que quelqu’un agit de manière sournoise, cette personne est-elle bonne ou mauvaise ? De toute évidence, les impressions et les sentiments des gens sont que quelqu’un qui agit de manière sournoise est un imbécile bon à rien. Si quelqu’un rencontre quelque chose de sournois, est-ce une raison d’être heureux ou est-ce que cela lui fait froid dans le dos ? (Cela fait froid dans le dos.) Ce n’est tout simplement pas une bonne chose. En résumé, à première vue, le terme « sournois » est péjoratif, qu’il décrive une action même ou la façon d’agir d’une personne, rien de tout cela n’est positif ; il est sans aucun doute négatif. Maintenant, expliquons d’abord quelles sont les manifestations de la sournoiserie. Pourquoi parle-t-on de sournoiserie et non de malhonnêteté ? Quelle implication particulière le terme « sournois » comporte-t-il ici ? La sournoiserie est plus profonde que la malhonnêteté. N’est-il pas plus long et plus difficile pour les gens de percer à jour quelqu’un qui agit de manière sournoise ? (Si.) Cela est évident. Donc, utilisez des mots que vous pouvez tous saisir pour expliquer le terme « sournois ». Ici, « sournois » signifie insidieux et rusé, et désigne un comportement anormal. Cette anormalité fait référence au fait d’être profondément caché et impénétrable pour la personne moyenne, qui ne peut pas voir ce que ces gens-là pensent ou font. En d’autres termes, les méthodes, les motivations et les points de départ des actions de ce type de personnes sont particulièrement difficiles à sonder, et parfois leur comportement est également sournois et furtif. En résumé, il existe une expression qui peut décrire la manifestation et l’état réels de la sournoiserie d’une personne, qui est « un manque de transparence », la rendant insondable et incompréhensible pour les autres. Les actions des antéchrists ont cette nature – c’est-à-dire que lorsque tu te rends compte et que tu sens que leurs intentions pour faire quelque chose ne sont pas directes, tu trouves cela assez terrifiant, mais à court terme ou pour une raison quelconque, tu ne peux toujours pas percer à jour leurs motivations et leurs intentions, et tu sens simplement, inconsciemment, que leurs actions sont sournoises. Pourquoi te font-ils ressentir ce genre de sentiment ? D’un côté, c’est parce que personne ne peut avoir une idée de ce qu’ils disent ou font. De l’autre, ils parlent souvent de manière détournée, t’égarant, t’empêchant en fin de compte de savoir avec certitude lesquelles de leurs déclarations sont vraies et lesquelles sont fausses, et ce que leurs paroles signifient réellement. Quand ils mentent, tu penses qu’il s’agit de la vérité ; tu ne sais pas quelle déclaration est vraie ou fausse, et tu as souvent l’impression d’avoir été dupé et trompé. Pourquoi ce sentiment surgit-il ? C’est parce que ces personnes n’agissent jamais de manière transparente ; il t’est impossible de voir clairement ce qu’elles font ou ce à quoi elles s’occupent, ce qui te rend inévitablement suspicieux à leur égard. En fin de compte, tu constates que leur tempérament est malhonnête, insidieux et également malveillant. Le terme « sournois » est abscons et semble assez inhabituel pour les gens, mais pourquoi l’expliquer avec une expression aussi simple qu’« un manque de transparence » ? Cette expression est dotée d’une signification implicite. Quelle est-elle ? C’est que les antéchrists te montrent souvent une fausse image quand ils souhaitent faire quelque chose, ce qui te rend difficile de les percer à jour. Par exemple, si un antéchrist veut te gifler sur la joue gauche, il dirigera son coup sur ta joue droite. Lorsque tu esquives pour protéger ta joue droite, il parvient à te gifler la joue gauche, atteignant ainsi son objectif. C’est de la sournoiserie, et de la machination – quiconque interagit avec ce genre de personnes, et a affaire avec eux, fait l’objet de leurs calculs. Pourquoi sont-ils toujours en train de calculer ? En plus de vouloir contrôler les gens et occuper une place dans leur cœur, ils veulent également tirer profit de tout le monde. En outre, vous pouvez également découvrir une sorte de tempérament malveillant chez ces personnes : elles aiment particulièrement exploiter les autres ou tirer parti de leurs propres forces pour se moquer des faiblesses des autres, et elles prennent plaisir à jouer avec les gens. C’est une manifestation de leur malveillance. En termes mondains, ces personnes sont considérées comme astucieuses. Les gens ordinaires pensent : « Seules les personnes d’un certain âge peuvent être astucieuses. Les jeunes n’ont ni expérience ni sagesse mondaine, alors comment peuvent-ils être astucieux ? » Cette affirmation est-elle exacte ? Non. Le tempérament malveillant des antéchrists ne dépend pas de l’âge ; ils naissent avec. C’est simplement que lorsqu’ils sont plus jeunes et moins expérimentés, leur participation à des machinations de ce type peut être plus élémentaire et moins développée. Avec l’âge, ils deviennent étanches, comme ces vieux rois démons dont les actions sont entièrement verrouillées et totalement impénétrables pour le commun des mortels.

Je viens de donner une explication approximative du terme « sournois » ; échangeons donc désormais sur les états et les manifestations spécifiques de la sournoiserie. Cela n’est-il pas un sujet digne d’échanges ? Si nous n’échangeons pas là-dessus, serez-vous capables de les discerner ? Pouvez-vous les percer à jour ? (Non.) Ce n’est pas que tu sois absolument incapable de les discerner ou de les percer à jour ; parfois, tu auras aussi l’impression qu’une personne en particulier est vraiment rusée – à tel point que tu finiras par être à ses ordres même après qu’elle t’a trahi – et que tu dois te méfier d’elle. Alors, que font les antéchrists, et quels discours et actions révèlent-ils dans leur traitement des frères et sœurs, et des gens autour d’eux, qui montrent qu’ils font les choses de manière sournoise et avec un tempérament malveillant ? Ce point est digne d’échanges. Lorsque seul le terme « sournois » est expliqué, les gens le trouvent généralement assez simple ; consulter le dictionnaire est probablement suffisant pour en comprendre le sens. Mais quand il s’agit de savoir lesquels des actes, des comportements et des tempéraments des gens sont associés à ce terme et sont des manifestations et des états concrets de celui-ci, cela devient plus pénible et plus difficile à comprendre, n’est-ce pas ? Tout d’abord, pensez aux gens, ou aux antéchrists spécifiques, que vous avez rencontrés et dont vous avez croisé le chemin. Quels actes de leur part t’ont fait sentir que la nature de cet acte était liée à la sournoiserie, ou quels mots, actes et comportements quotidiens de leur part étaient liés à cela ? (J’ai rencontré une fois un antéchrist qui souhaitait clairement se battre pour obtenir un statut et être un dirigeant, mais qui a dit aux frères et sœurs : « Nous devons signaler les faux dirigeants et les faux ouvriers. Ce n’est qu’en faisant cela que nous pouvons avoir l’œuvre du saint-esprit. Si nous ne dénonçons pas et n’exposons pas les faux dirigeants, nous ne pouvons pas obtenir l’œuvre du saint-esprit. Nous devons nous lever pour protéger conjointement le travail de l’Église. » Sous prétexte de protéger le travail de l’Église, il a cherché des moyens de gagner de l’influence sur les dirigeants et les ouvriers, faisant beaucoup de tapage sur des questions mineures et incitant les frères et sœurs à signaler les dirigeants et les ouvriers. Son objectif était de faire tomber les dirigeants et les ouvriers afin de s’assurer une chance de devenir lui-même dirigeant. Beaucoup de frères et sœurs n’ont pas discerné ceci et ont été fourvoyés par lui. Au lieu de discerner le problème sur la base des principes, il s’est emparé de certaines questions mineures et a révélé la corruption des dirigeants et des ouvriers pour les condamner, les étiqueter et gonfler les faits de manière disproportionnée, envoyant l’Église dans le chaos.) Dites-Moi, est-ce de la sournoiserie ? (Oui.) C’est exactement de cela qu’il s’agit. Pourquoi est-ce sournois ? Il a agité la bannière de la justice pour atteindre ses objectifs secrets, tout en encourageant les autres à agir alors qu’il ne se montrait pas et restait caché pour observer les résultats. Si les choses avaient fonctionné, tant mieux, et si cela n’avait pas été le cas, personne ne l’aurait percé à jour, car il était profondément caché. C’est de la sournoiserie – c’est une forme que peuvent prendre ses manifestations. Il t’empêchait de connaître ses véritables pensées les plus profondes, et si tu pouvais en deviner ne serait-ce qu’un petit peu, il se trouvait rapidement différents excuses et arguments pour les dissimuler et se défendre à tout prix, craignant que les gens ne percent à jour la vérité. Il a délibérément compliqué les choses ; c’est de la sournoiserie. Quelqu’un d’autre ? (Il y a quelques années, une bande d’antéchrists est apparue dans notre Église et a pris le contrôle, laissant le travail de l’Église dans la confusion. Le Supérieur a envoyé quelqu’un prendre en main le travail, mais cette bande d’antéchrists a agi déguisée, déclarant : « Nous avons nos dirigeants, et nous n’acceptons pas les dirigeants provenant d’autres endroits ; nous pouvons gérer le travail nous-mêmes. » En conséquence, beaucoup ont été induits en erreur et ont écouté les antéchrists, refusant d’accepter le dirigeant dont le Supérieur avait arrangé la venue. Ces antéchrists ont même confiné le dirigeant envoyé par le Supérieur en un lieu, lui interdisant d’interagir avec les frères et sœurs et l’empêchant complètement de prêter main-forte au travail de l’Église ou de mettre en œuvre un travail, quel qu’il soit.) C’était terriblement sournois de la part des antéchrists – quelle était leur motivation cachée ? Ils souhaitaient contrôler l’Église et établir leur propre royaume indépendant. C’est sournois ; c’est le genre de choses que font les antéchrists.

Quelles sont les principales manifestations de l’agissement sournois des antéchrists ? L’une est un manque de transparence, une autre qu’ils ourdissent secrètement des machinations inavouables. S’ils devaient divulguer leurs plans et leurs intentions à tout le monde, seraient-ils en mesure de les concrétiser ? Certainement pas. Pourquoi les gens qui utilisent des méthodes sournoises font-ils les choses de cette façon ? Quel est l’objectif de ces actions ? Jusqu’à présent, ce à quoi vous avez pensé n’est que le contrôle sur l’Église, mais certaines questions n’impliquent pas le contrôle de l’Église ou le contrôle de tout le monde. Fourvoyer les gens d’une Église ou d’une région est une question relativement importante, alors quel est l’objectif des comportements et des actes plus mineurs des antéchrists en temps ordinaire ? C’est d’exploiter les personnes et de faire en sorte qu’elles fournissent des efforts pour satisfaire leurs intérêts, et à leurs propres fins. Alors que Dieu orchestre les gens et règne sur leur destin, les antéchrists souhaitent également dicter le destin des gens et les manipuler. Or s’ils disaient directement qu’ils souhaitent te manipuler, l’accepterais-tu ? S’ils disaient qu’ils souhaitent te donner des ordres comme à un esclave, serais-tu d’accord ? S’ils disaient qu’ils sont les dirigeants et que tu dois les écouter, serais-tu d’accord ? Tu ne serais certainement pas d’accord. Par conséquent, ils doivent recourir à des méthodes non conventionnelles pour faire en sorte que tu sois exploité par eux à ton insu ; c’est ce qu’on appelle être sournois. Par exemple, le grand dragon rouge fonctionne de manière sournoise, utilisant des prétextes apparemment légitimes pour induire les gens en erreur. Comment s’y est-il pris pour confisquer les actifs des propriétaires fonciers et des capitalistes ? A-t-il rédigé une politique stipulant que tous les actifs supérieurs à un certain montant devaient être remis à l’État ? Cela aurait-il fonctionné s’il avait déclaré ceci ouvertement ? (Non.) Puisque cela n’aurait pas fonctionné, qu’a-t-il fait ? Il a dû trouver un moyen de faire en sorte que tout le monde croie juste de confisquer et de saisir légitimement les actifs des propriétaires fonciers et des capitalistes. Cela a mis les propriétaires fonciers et les capitalistes en situation de faiblesse, enrichi l’État et consolidé sa domination. Comment le grand dragon rouge a-t-il fait cela ? (En attaquant les propriétaires fonciers et en redistribuant les terres.) Il a brandi les bannières de « l’attaque des propriétaires fonciers et de la redistribution des terres » et de « l’égalité pour tous », puis a élaboré des histoires comme celle de « La Fille aux cheveux blancs » pour piéger et condamner tous les propriétaires fonciers et les capitalistes. Il a utilisé le pouvoir de l’opinion publique et de la propagande pour endoctriner les gens avec ces idées fallacieuses, faisant croire à tous ceux qui n’étaient pas informés que les propriétaires fonciers et les capitalistes étaient mauvais et qu’ils n’étaient pas égaux aux masses ouvrières, que maintenant le peuple était le maître de son propre pays, que l’État appartenait au peuple, que ces quelques individus ne devraient pas posséder autant de richesses, et que celles-ci devraient être confisquées et redistribuées à tout le monde. Incités par ces idéologies et ces théories prétendument bonnes, correctes et pro-pauvres, les gens ont été induits en erreur et aveuglés, et ils ont commencé à combattre les magnats locaux et à attaquer les propriétaires fonciers et les capitalistes. Quel a été le résultat final ? Certains de ces propriétaires fonciers et de ces capitalistes ont été battus à mort, d’autres ont été mutilés, d’autres encore se sont enfuis très loin. En résumé, le résultat final a été que le grand dragon rouge a obtenu ce qu’il voulait. Ces masses stupides et ignorantes ont été progressivement guidées par de telles escroqueries pour atteindre les objectifs que ces démons visaient. De la même façon, les antéchrists adoptent également des méthodes tout aussi sournoises lorsqu’ils agissent. Par exemple, lorsqu’un antéchrist est associé à quelqu’un dans un rôle de direction et constate que cette personne a le sens de la justice, comprend la vérité et peut le discerner, il commence à douter : « Cette personne pourrait-elle me discréditer dans mon dos ? Est-ce qu’elle prépare quelque chose en coulisses ? Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à la cerner ? Est-elle de mon côté ou pas ? Pourrait-elle me signaler au supérieur ? » Ces pensées à l’esprit, l’antéchrist commence à s’inquiéter pour son statut, le jugeant en danger, n’est-ce pas ? Alors, que fait-il ensuite ? Punit-il directement cette personne ? Certains antéchrists prendraient ouvertement des mesures contre ce genre de personne, mais les plus sournois ne le feraient pas directement. Au lieu de cela, ils commenceraient par parler à quelques frères et sœurs relativement plus faibles, confus et incapables de discernement, les interrogeant et les sondant discrètement : « Untel est croyant depuis plus de dix ans, alors sa foi devrait avoir un certain fondement, n’est-ce pas ? » Quelqu’un pourrait répondre : « Il a un fondement solide. Au cours de toutes ces années de foi en Dieu, il a abandonné sa famille et sa carrière ; sa foi est plus grande que la nôtre. Travailler en binôme avec lui devrait être très bon pour toi. » L’antéchrist dirait : « Oui, c’est pas mal, mais il ne se mêle jamais aux autres frères et sœurs. Il n’a pas l’air très sociable. » Une autre personne pourrait ajouter : « Ce n’est pas le cas, il poursuit la vérité plus que nous. Nous discutons souvent ensemble, mais il passe l’essentiel de son temps à lire les paroles de Dieu, à écouter des sermons et à apprendre des hymnes, et lorsqu’il est avec nous, il échange sur les paroles de Dieu. » Entendant ces commentaires favorables et approbateurs à propos de cette personne, l’antéchrist sent qu’il ne peut pas en dire beaucoup plus, alors il change de sujet, en disant : « Il croit en dieu depuis de nombreuses années et a plus d’expérience que nous. Nous devrions interagir davantage avec lui à l’avenir, et ne pas l’isoler. » Entendant cela, les autres ne discernent toujours rien. Voyant que la majorité des gens disent du bien de cet individu, l’antéchrist, incapable de concrétiser ses motivations, n’en dit pas plus sur le sujet. Plus tard, l’antéchrist trouve un autre groupe de personnes et demande : « Voyez-vous jamais untel lire les paroles de dieu ? J’ai l’impression qu’il échange toujours avec les autres et qu’il a l’air occupé en apparence ; pourquoi ne lit-il jamais les paroles de dieu ? » Ce groupe, plus perspicace, saisit le sous-entendu et pense : « On dirait qu’il y a une discorde entre ces deux-là ; il essaie de faire en sorte que nous discréditions cette personne et l’excluions. » Les membres du groupe répondent donc : « Oui, il est toujours occupé par des tâches sans importance, il interprète toujours trop les gens et les choses. Il lit rarement les paroles de dieu, et quand il le fait, il finit par s’endormir ; je l’ai remarqué plusieurs fois. » D’après les discussions avec le premier groupe de personnes et le second, quel genre de tempérament est présent dans les paroles de l’antéchrist ? N’est-ce pas de la malveillance ? (Si.) Quels sont la nature et les moyens de ses actions ? Elles sont sournoises. Le premier groupe de personnes ne s’est pas rendu compte de ce que l’antéchrist tentait de faire, tandis que le deuxième groupe a entrevu ce qui se passait, puis a joué son jeu. Constatant que le deuxième groupe a suivi ses paroles et avait le potentiel d’être attiré, l’antéchrist souhaite utiliser celui-ci pour se débarrasser de son partenaire. Cet enchaînement d’idées est sournois. Après toutes sortes de persuasions, le deuxième groupe est induit en erreur et attiré, et dit : « Puisque cette personne ne respecte pas les principes et les conditions pour être un dirigeant d’Église, je suppose que nous ne devrions pas l’élire au poste de dirigeant la prochaine fois, n’est-ce pas ? » Ce groupe est assez traître, et après avoir parlé, ses membres observent l’attitude de l’antéchrist. L’antéchrist dit : « Cela ne va pas fonctionner ; ce serait injuste. C’est la maison de dieu, pas la société ! » Entendant cela, les membres du groupe demandent : « Cela ne fonctionnera vraiment pas ? Alors que devons-nous faire ? Nous voterons pour lui la prochaine fois, dans ce cas. » L’antéchrist répond immédiatement : « Voter pour lui ne fonctionnera pas non plus. » Vous voyez ? Peu importe ce qu’ils disent, ce n’est pas correct ; c’est un problème. En fait, l’antéchrist veut simplement guider ces gens pour les faire emprunter son chemin, creusant un trou pour qu’ils tombent ensuite dedans. En fin de compte, après avoir écouté ceci et cela, ces gens comprennent les intentions de l’antéchrist : « Organisons simplement une élection équitable. Il n’a pas grand-chose pour lui, donc de toute façon, ce n’est pas sûr qu’il soit élu. » L’antéchrist est satisfait. Observez la scène : voici un loup et quelques renards, et ils s’unissent pour agir de concert. C’est le principe et la nature des actions entreprises par l’antéchrist et des forces qui le suivent dans l’Église ; telle est leur manifestation. Les gens qui suivent les antéchrists disent : « Alors, votons. D’ailleurs, il n’est pas si génial que cela ; si nous votons, ce n’est même pas sûr qu’il soit élu. » Y a-t-il quelque chose de suspect ici ? Sont-ils en train de manigancer quelque chose ? Ils ont déjà détecté les indices présents dans les paroles des autres, mais personne ne dicte directement quoi faire ; il y a une entente tacite entre eux, et tout le monde comprend. En apparence, l’antéchrist n’ordonne directement à personne de ne pas choisir son partenaire, et les personnes en dessous de lui ne déclarent pas non plus : « Nous ne l’élirons pas ; nous t’élirons toi. » Pourquoi ne le disent-ils pas directement ? C’est parce qu’aucun ne veut donner à l’autre une quelconque influence. N’est-ce pas sournois ? C’est de la pure malveillance. Chacun écoute le ton du discours de l’autre, mais personne ne parle directement, et en fin de compte, un consensus est atteint. C’est ce qu’on appelle un dialogue satanique. Parmi les interlocuteurs, il y a un « imbécile » qui, après avoir écouté, ne comprend toujours pas et demande aux autres s’ils voteront pour cette personne ou non. Comment l’antéchrist lui répond-il ? S’il dit : « Fais comme bon te semble », ce serait trop évident. Une telle réponse inclut une nature de menace et d’incitation ; les personnes malveillantes ne s’expriment pas ainsi. Elles disent plutôt : « La maison de dieu ne s’est-elle pas dotée d’arrangements de travail ? Votez pour qui vous devriez ; si quelqu’un ne doit pas être élu, ne votez pas pour lui. » Cela n’est-il pas parler de manière ambiguë ? Elles utilisent un prétexte apparemment légitime, en disant : « Tu dois agir selon les principes ; tu ne peux pas m’écouter. Ce que je dis n’a pas d’importance. Je n’incarne pas les principes ; les paroles de dieu, si. » L’« imbécile » entend cela et pense : « Si nous devons agir selon les principes, alors je voterai pour lui. » Voyant que cette personne est stupide et pourrait faire échouer leurs plans, les membres du groupe la rejettent collectivement, ne permettant pas à l’« imbécile » de rester parmi eux. En fin de compte, lorsque l’« imbécile » ne cesse de demander s’il devrait voter pour cette personne ou non, quelqu’un dit : « Parlons-en plus tard. Nous déterminerons cela en fonction de sa performance. » Y a-t-il un esprit de décision dans ces paroles ? Un quelconque élément d’honnêteté ? (Non.) Alors, qu’y a-t-il réellement dans ces paroles ? Ces paroles traduisent le tempérament malveillant de cette personne, ainsi que ses motivations, ses intentions et ses objectifs cachés. Elles incluent la conspiration secrète entre eux – le loup et les renards – visant à se débarrasser de la personne que l’antéchrist ne peut souffrir de voir. Pourquoi ce groupe de gens peut-il agir ainsi ? En plus d’être gouvernés par leur tempérament malveillant, la raison pour laquelle ils peuvent le faire est que celui qui est placé au-dessus d’eux, l’antéchrist, n’aime pas cette personne. S’ils votent pour elle et que l’antéchrist le découvre, le résultat ne sera pas bon. Donc, pour eux, la chose la plus urgente et la plus cruciale à faire, la chose la plus avantageuse à faire, c’est de ne pas voter pour cette personne. Ils écoutent tous l’antéchrist ; quoi que celui-ci dise, quelle que soit la direction dans laquelle ses paroles se tournent, ces gens suivent, mettant de côté les vérités-principes et les paroles de Dieu. Tu vois, tant qu’un antéchrist apparaîtra, il y aura inévitablement des gens qui lui obéiront. Tant qu’un antéchrist agira, certaines personnes l’accompagneront et le suivront – il n’y a aucun antéchrist qui agit tout seul et de manière isolée.

Ce que nous venons d’aborder était l’une des manifestations de la façon dont les antéchrists agissent sournoisement. La sournoiserie ici mentionnée fait référence au fait que les antéchrists ont leurs propres objectifs et motivations dans leurs actes, mais ils ne te le diront pas et ne te permettront pas de le voir. Lorsque tu le découvriras, ils feront tout leur possible pour le dissimuler, recourant à divers moyens pour t’induire en erreur, pour modifier ta perception d’eux. C’est l’aspect sournois des antéchrists. Si leurs motivations étaient facilement exposées, largement diffusées et partagées avec tous, permettant aux gens d’en être informés, serait-ce sournois ? Ce ne serait pas sournois ; qu’est-ce que ce serait ? (Stupide.) Pas stupide ; ce serait de l’arrogance au point de perdre la raison. Les antéchrists ont un comportement sournois. En quoi sont-ils sournois ? Ils agissent toujours de manière trompeuse, et leurs paroles n’en dévoilent rien, il est donc difficile de comprendre leurs intentions et leurs buts. C’est de la sournoiserie. Quoi qu’ils disent ou fassent, ils n’arrivent pas aux conclusions facilement. Ils font en sorte que leurs subordonnés et leurs auditeurs puissent deviner leurs intentions ; ceux-ci ayant compris l’antéchrist, agissent selon son programme et ses motivations et exécutent ses ordres. Si une tâche est menée à bien, l’antéchrist est content. Si tel n’est pas le cas, personne ne peut lui en tenir rigueur, ou deviner les motivations, les intentions, ou les buts cachés derrière ce qu’il fait. La sournoiserie des actes des antéchrists réside dans ses complots cachés et ses buts secrets, visant tous à tromper les autres, jouer avec eux, et les contrôler. Telle est l’essence d’un comportement sournois. La sournoiserie n’est pas simplement mentir ou faire quelque chose de mal. Au contraire, elle implique des desseins et des buts plus grands, qui sont insondables pour les gens ordinaires. Si tu as fait quelque chose que tu souhaites que personne ne sache, et si tu dis un mensonge, cela est-il considéré comme de la sournoiserie ? (Non.) C’est simplement de la malhonnêteté, et cela n’atteint pas le niveau de la sournoiserie. Qu’est-ce qui rend la sournoiserie plus profonde que la malhonnêteté ? (Les gens ne peuvent pas la sonder.) Il est difficile de la sonder. C’est une chose. Quoi d’autre ? (Les gens n’ont rien à reprocher à une personne sournoise.) C’est vrai. Le fait est qu’il est difficile de trouver un quelconque reproche à faire à une telle personne. Même si des gens savent qu’elle a fait de mauvaises choses, ils ne parviennent pas à déterminer si elle est une bonne ou une mauvaise personne, une personne malfaisante ou un antéchrist. Les gens n’arrivent pas à la percevoir, mais ils pensent que c’est une bonne personne, et peuvent être fourvoyés par elle. C’est cela, la sournoiserie. En général, les gens ont tendance à dire des mensonges et à comploter. Il s’agit simplement de malhonnêteté. Mais les antéchrists sont plus insidieux que les gens malhonnêtes ordinaires. Ils sont comme les rois démons : personne ne peut sonder ce qu’ils font. Ils peuvent faire beaucoup de choses malfaisantes au nom de la justice, et ils blessent les gens, mais les gens font toujours leurs éloges. On appelle cela de la sournoiserie.

Par le passé, il y a eu un incident où un dirigeant, pendant le contact et l’échange avec le Supérieur, a été informé de certains des plans de travail de la maison de Dieu. À ce moment-là, l’arrangement de travail n’avait pas encore été formalisé. Après son retour, il a commencé à se mettre en avant, mais tu étais incapable de dire qu’il se mettait en avant. Il parlait très sérieusement lors d’un rassemblement, et soudain, au milieu de son échange, il a dit quelque chose que personne n’avait entendu auparavant : « Jusqu’à présent, chaque étape de l’œuvre de dieu a été achevée, et les gens, fondamentalement, se sont stabilisés. À partir du mois prochain, nous élargirons la prédication de l’Évangile, nous devons donc créer des équipes d’évangélisation. Comment les équipes d’évangélisation devraient-elles être créées ? Il y a quelques détails ici… » Entendant cela, les autres personnes présentes se sont dit : « D’où proviennent ces paroles ? Le Supérieur n’a pas encore communiqué d’arrangement de travail. Comment le sait-il ? Il doit être doté du don de prescience ! » Elles le vénéraient, non ? L’attitude des gens à son égard s’est immédiatement transformée. Il n’avait fait que mentionner la création d’équipes d’évangélisation, mais il n’a fourni aucun travail spécifique par la suite ; il s’est contenté de crier des slogans vides. Bien entendu, il avait un objectif en criant des slogans vides ; il se mettait en avant, souhaitant que les gens aient une haute opinion de lui, qu’ils le vénèrent. Peu de temps après, l’arrangement de travail du Supérieur a été communiqué. Quand les frères et sœurs l’ont vu, ils ont été stupéfaits et se sont exclamés : « Incroyable ! N’est-ce pas prophétique ? Comment le savais-tu ? Tu comprends la vérité mieux que nous ; ta stature est plus grande. Notre stature est trop petite. Quand il est temps de prêcher l’Évangile, tu nous l’avais déjà dit, alors que nous étions engourdis et inconscients. Écoute, ce sur quoi tu as échangé ne correspond-il pas à l’arrangement de travail communiqué par le Supérieur ? C’est une coïncidence fortuite, et cela a maintenant été vérifié. » Grâce à cet incident, tout le monde l’a encore plus vénéré, et pas de manière ordinaire, mais avec une soumission complète, presque jusqu’au point de s’agenouiller et de se prosterner devant lui. La plupart des gens n’étaient pas au courant de cette affaire ; s’il n’en parlait pas lui-même, personne ne le saurait, seul Dieu le sait. C’était pourtant quelque chose de manifeste, et il ne l’a révélé à personne, choisissant plutôt de les tromper si effrontément. Ce comportement est-il considéré comme sournois ? (Oui.) Pourquoi a-t-il trompé les autres comme ça ? Pourquoi pouvait-il se comporter et agir de cette manière ? À quoi pensait-il vraiment, dans son cœur ? Il voulait que les gens le perçoivent comme différent, qu’ils ne le considèrent pas comme une personne ordinaire. Est-ce quelque chose que l’on devrait trouver dans l’humanité normale ? (Non.) Les actes d’une telle personne sont dégoûtants et éhontés. Considéreriez-vous cela comme sournois ? (Oui.) En plus d’être sournois, c’est également quelque peu dégoûtant.

Parmi les antéchrists, il y a un type de personnes que l’on n’a jamais entendu dire ou vu faire quoi que ce soit de mal ; ce qu’elles font et la manière dont elles agissent sont généralement considérés comme bons et approuvés par tout le monde. Elles affichent souvent un visage souriant, adoptant la contenance d’un saint miséricordieux, n’émondant jamais personne. Quelles que soient les erreurs que les gens font, elles les tolèrent toujours avec un cœur aussi clément que celui d’une mère aimante. Elles ne se chargent jamais de ceux qui, dans l’Église, violent les décrets administratifs, provoquent des interruptions ou des perturbations ou commettent des actes malfaisants. Est-ce parce qu’elles sont incapables de voir ou de discerner ces choses ? Non, ce n’est ni l’un ni l’autre ; elles peuvent les voir et les discerner, mais au fond de leur cœur, elles croient que si ces gens étaient renvoyés et que l’Église devenait paisible, remplie uniquement d’honnêtes gens qui poursuivent la vérité et se dépensent sincèrement pour Dieu, alors elles seraient elles-mêmes facilement discernées, et pourraient ne plus être en mesure d’être implantées dans l’Église. Ainsi, elles font en sorte que ces personnes restent, laissant les malfaiteurs continuer à faire le mal, les menteurs continuer à mentir, et les perturbateurs continuer à perturber, s’assurant à travers ces perturbations que l’Église n’est jamais en paix, et garantissant ainsi leur propre statut. Donc, dès qu’une personne doit être expulsée, traitée, isolée ou retirée de son poste, que disent-elles ? « Nous devons donner aux gens une chance de se repentir. Qui est entièrement dépourvu de défauts ou de corruption ? Qui n’a pas fait d’erreurs ? Nous devons apprendre la tolérance. » Les frères et sœurs y réfléchissent et disent : « Nous sommes tolérants envers ceux qui croient réellement en Dieu et qui ont commis des transgressions ou qui sont stupides et ignorants, mais nous ne tolérons pas les personnes malfaisantes. C’est une personne malfaisante. » L’antéchrist répond : « En quoi est-elle une personne malfaisante ? Elle dit simplement, de temps en temps, des mots durs ; ce n’est pas malfaisant. Les gens qui commettent des meurtres et des incendies criminels dans le monde, ce sont elles, les véritables personnes malfaisantes. » Mais l’antéchrist, que pense-t-il vraiment ? « C’est quelqu’un de malfaisant ? Est-il aussi malfaisant que moi ? Tu n’as pas vu ce que j’ai fait, tu ne sais pas ce que je pense en mon for intérieur. Si c’était le cas, ne me renverriez-vous pas ? Vous songez à le renvoyer ? Pas question ! Je ne te laisserai pas te charger de lui. Quiconque essaie récoltera ma fureur, et je lui rendrai la vie très difficile ! Quiconque essaie de s’en charger se verra expulsé par moi-même ! » Mais l’antéchrist le dirait-il à voix haute ? Non, il ne le ferait pas. Que fait-il alors ? Il commence par calmer la situation, stabilisant l’état des choses, se montrant capable de diriger l’Église et d’équilibrer les différentes forces, de sorte que l’Église ne peut pas se passer de lui. De cette façon, sa position n’est-elle pas assurée ? Une fois sa position assurée, ses moyens de subsistance ne sont-ils pas préservés ? C’est ce qu’on appelle être sournois. C’est pourquoi la plupart des gens ne peuvent pas percer à jour de telles personnes. Pourquoi ? Elles ne disent jamais la vérité et n’agissent jamais à la légère. Peu importe ce que le Supérieur leur demande de faire, elles font les choses machinalement ; quels que soient les livres qui doivent être distribués, elles les envoient ; elles maintiennent les quelques rassemblements par semaine et ne monopolisent pas l’échange lors des rassemblements. À première vue, tout semble parfait et sans faille, ne laissant aucune place à la critique. Mais il y a une chose que vous pouvez discerner : elles ne se chargent jamais des personnes malfaisantes. Au contraire, elles les protègent, les couvrant et les défendant constamment. N’est-ce pas sournois ? Quel est l’aspect sournois de leur comportement ici, quel est le point focal ? Ces éléments doivent être clairement déterminés. Elles ne disent jamais la vérité, proférant sans cesse des mensonges pour tromper la maison de Dieu. Elles voient des personnes malfaisantes commettre le mal, mais ne se chargent pas d’elles, arrondissant systématiquement les angles et pratiquant la patience et la tolérance. Quelle est leur motivation pour faire ces choses ? Est-ce authentiquement pour aider les gens à compléter les forces les uns des autres et à faire preuve de tolérance les uns envers les autres ? (Non.) Alors quel est leur but ? Elles veulent renforcer leur propre influence, stabiliser leur statut. Elles savent qu’une fois que les personnes malfaisantes auront été renvoyées, elles seront les prochaines à partir ; c’est leur crainte. Par conséquent, elles font en sorte que les personnes malfaisantes restent ; tant qu’elles sont là, le statut de l’antéchrist est assuré. Si les personnes malfaisantes étaient renvoyées, c’en serait fini de l’antéchrist. Les personnes malfaisantes sont leur parapluie protecteur, leur bouclier. Ainsi, peu importe qui expose les personnes malfaisantes ou suggère qu’elles devraient être renvoyées, elles ne sont pas d’accord, disant : « Elles peuvent encore faire leurs devoirs, elles peuvent encore offrir de l’argent ; à tout le moins, elles peuvent toujours rendre service ! » Elles trouvent des raisons et des excuses pour défendre les personnes malfaisantes, et, généralement, les gens sans discernement sont incapables de voir la mauvaise intention cachée en elles, ils sont incapables de la discerner.

Y a-t-il d’autres cas où les actions sournoises d’un antéchrist vous ont fait forte impression ? Que quelqu’un partage. (Il y avait une sœur qui dirigeait une équipe d’évangélisation, et chaque mois, elle réussissait à gagner des gens, dont certains étaient des non-croyants. L’antéchrist a interprété un arrangement de travail hors contexte, déclarant que la prédication de l’Évangile devrait principalement cibler les personnes confessionnelles, les non-croyants étant secondaires, et que si l’accent était mis principalement sur les non-croyants, c’était une violation grave de l’arrangement de travail. Il a même utilisé les paroles de Dieu d’« Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité » pour disséquer ce comportement. Ensuite, il a demandé à tout le monde de voter, en interrogeant : « Une telle personne peut-elle toujours être responsable ? » À ce moment-là, beaucoup dans l’Église étaient de nouveaux croyants, depuis seulement un ou deux ans, et étaient incapables de discernement : ils se sont donc dit que violer l’arrangement de travail était grave, et ont accepté de remplacer la sœur. La sœur est devenue très négative pendant cette période ; après avoir été disséquée et condamnée par cet antéchrist, elle a eu l’impression qu’elle était elle-même un antéchrist, qu’elle serait définitivement éliminée par Dieu, et elle est devenue extrêmement négative, ne souhaitant pas vivre. De plus, cet antéchrist a également retenu certains sermons et échanges du Supérieur, ne nous permettant pas de les écouter. Il a affirmé que l’échange provenant du Supérieur était dur et que nous, en tant que nouveaux croyants de petite stature, développerions des notions après l’avoir écouté. En apparence, il semblait qu’il veillait sur nous, mais en réalité, il craignait que si nous écoutions les sermons du Supérieur, nous soyons capables de le discerner et qu’ensuite, il ne puisse pas nous contrôler. Il a utilisé ces méthodes apparemment sensées pour manipuler et duper les gens, donnant l’impression que ce qu’il faisait était logique et conforme aux arrangements de travail de la maison de Dieu.) Cet incident peut assurément être qualifié de sournois. Les pratiques constantes de toute personne qui est considérée comme un antéchrist sont toujours identiques, ne variant pas le moins du monde, avec les mêmes intentions et visant les mêmes objectifs dans tout ce qu’elle fait. Cela ne prouve-t-il pas que les antéchrists sont bien des démons et des esprits malfaisants ? (Si.) Absolument. Décrire les actions des antéchrists – ces démons et ces esprits malfaisants – comme sournoises est parfaitement adapté et pas du tout exagéré.

Après ces exemples, vous devriez avoir gagné un peu de perspicacité ; avez-vous commencé à développer un certain discernement sur les actions sournoises des antéchrists ? Toutes les choses qui impliquent un comportement sournois, avec des intentions et des motivations cachées, ne sont pas les actions d’une personne normale, ni d’une personne honnête, et certainement pas les actions de quelqu’un qui poursuit la vérité. Les choses qu’ils font, est-ce pratiquer la vérité ? Défendent-ils les intérêts de la maison de Dieu ? (Non.) Alors que font-ils ? Ils perturbent et démantèlent le travail de l’Église, commettant le mal ; ils ne suivent pas la voie de Dieu, ni ne défendent le travail de la maison de Dieu. Ce qu’ils font n’est pas le travail de l’Église ; ils se contentent d’utiliser le prétexte de l’accomplissement du travail de l’Église pour poursuivre leur propre programme, qui est, essentiellement, la protection de leurs intérêts personnels et de ceux de Satan. Y a-t-il d’autres exemples ? (En 2015, un arrangement de travail a été communiqué par le Supérieur, nous demandant d’utiliser l’article de « l’Éveillé » pour échanger sur le discernement des faux dirigeants et la distinction entre les vraies et les fausses Églises. Il y avait un dirigeant dans l’Église qui venait d’être remplacé, qui disait que nous étions nouveaux dans la croyance en Dieu et de petite stature, et que nous saisissions trop superficiellement l’arrangement de travail du Supérieur – les actions de Dieu sont insondables, et le Supérieur a communiqué cet arrangement avec une signification plus profonde. Il a également dit : « En ce qui concerne les vérités de discernement des faux dirigeants et des antéchrists, le supérieur a déjà fourni beaucoup d’échanges et l’a expliqué très clairement. S’il s’agissait simplement de discerner les faux dirigeants et les antéchrists, serait-il nécessaire de communiquer un autre arrangement de travail ? » Par la suite, il a pris des sections hors contexte d’anciens arrangements de travail, sermons et échanges du Supérieur, compilant des dizaines de milliers de mots de documents pour tromper les frères et sœurs, nous amenant à discerner « l’Éveillé » à la place. À cette période, nous avons été induits en erreur et nous ne nous sommes pas concentrés sur le discernement des faux dirigeants et des antéchrists. Plus tard, cet individu s’est révélé être un antéchrist. Il craignait que si tout le monde commençait à discerner les faux dirigeants et les antéchrists, on découvre ses actes malfaisants et qu’on le discerne, alors il nous a délibérément induits en erreur pour nous mener à discerner « l’Éveillé » à la place.) C’était un tour de passe-passe, une tactique de détournement, la création d’une diversion pour déplacer votre attention afin que personne ne fasse attention à lui. Cette méthode vous dit-elle quelque chose ? Lorsque le grand dragon rouge est confronté à une crise, notamment à des bouleversements internes au sein de son système politique ou à l’organisation par les citoyens de grèves ou de séditions, il recourt à la même tactique : le détournement de l’attention. Il utilise souvent cette méthode. Chaque fois qu’une crise émerge, il incite à la panique au sujet de la guerre, encourageant le patriotisme, puis passe sans cesse des films sur les guerres de résistance et le patriotisme, ou diffuse de fausses nouvelles pour attiser les sentiments nationalistes afin de détourner l’attention. Le grand dragon rouge fait ces choses avec des arrière-pensées, en nourrissant des objectifs inavoués – c’est ce qu’on appelle un comportement sournois. Qui est l’ancêtre des antéchrists ? C’est le grand dragon rouge, le démon. La nature de leurs actions est exactement la même, comme s’ils étaient de mèche. D’où viennent les plans et les méthodes des antéchrists ? Ils leur ont été enseignés par leurs ancêtres, les démons et Satan. Satan habite en eux, donc fonctionner de manière sournoise est tout à fait normal pour eux ; cela révèle pleinement qu’ils ont la nature d’un antéchrist.

(Dieu, je veux partager un exemple. Ce cas impliquant un antéchrist s’est produit dans la région pastorale de Jijin. C’était vers le printemps 2012. Un antéchrist nommé An a répandu de nombreuses idées fallacieuses dans diverses églises et a même écrit un livret intitulé « Ce dont Dieu Se soucie le plus avant de quitter la Terre », qu’il a distribué en privé à toutes les églises. Il affirmait que ce dont Dieu Se souciait le plus avant de partir, c’était de savoir si le peuple élu de Dieu écouterait l’homme utilisé par le Saint-Esprit après Son départ, et que nous devrions donc comprendre les intentions de Dieu ; et que maintenant, il suffisait de lire les sermons, les échanges et les arrangements de travail de l’homme utilisé par le Saint-Esprit, ce qui se substitue à la nécessité de manger et de boire les paroles de Dieu. En conséquence, de nombreux frères et sœurs ont été induits en erreur ; ils ont cessé de manger et de boire les paroles de Dieu, ce qui était le but que l’antéchrist cherchait à atteindre. L’insidiosité de l’antéchrist résidait en ceci que, sous couvert de témoigner de l’homme utilisé par le Saint-Esprit, il éloignait les gens des paroles de Dieu, abandonnant le fait de manger et de boire la parole de Dieu, tout en donnant aux gens l’impression qu’il comprenait profondément le cœur de Dieu. Il avait pensé à ce dont Dieu Se soucie avant de partir, et les gens le tenaient donc en haute estime et le vénéraient.) Pourquoi a-t-il exalté l’homme utilisé par le Saint-Esprit ? L’homme utilisé par le Saint-Esprit est humain, ce qu’il est aussi. En exaltant l’homme utilisé par le Saint-Esprit, il incitait en fait les gens à le vénérer et à l’exalter ; tel était son but. Nous ne pouvons pas simplement juger si ce qu’il disait était correct ou non ; nous devons examiner les conséquences qu’ont eues ses paroles et les objectifs qu’elles ont atteints ; c’est essentiel. Ainsi, son dessein dans l’exaltation de l’homme utilisé par le Saint-Esprit était en fait de s’exalter lui-même ; c’était son but. Il savait que l’exaltation de l’homme utilisé par le Saint-Esprit ne serait sûrement contestée par personne, et que les gens seraient d’accord avec lui et l’exalteraient. Mais s’il s’exaltait directement et portait témoignage de lui-même, les gens pourraient l’exposer, le discerner et le rejeter. Par conséquent, l’antéchrist a employé la tactique de l’exaltation de l’homme utilisé par le Saint-Esprit pour parvenir à l’exaltation de soi et au témoignage de soi ; telle était l’insidiosité de l’antéchrist. Les actions de l’antéchrist An étaient très sournoises, les gens étaient facilement induits en erreur par elles – c’est un incident typique d’un antéchrist. Le peuple élu de Dieu devrait apprendre à opérer un discernement dans ce cas d’antéchrist et à comprendre les aspects sournois des antéchrists, ainsi que les méthodes et les moyens communs qu’ils utilisent pour, en conséquence, induire les gens en erreur. Comprendre cela est très bénéfique pour permettre aux gens de discerner les antéchrists. Qui d’autre a un exemple à partager ?

(Dieu, j’ai aussi un cas d’antéchrist à partager. Cet incident s’est produit dans la région pastorale du Henan. Vers 2011, l’antéchrist Yu, une fausse dirigeante qui avait été remplacée, a été chargée par l’Église de superviser le travail de purge, car elle avait des dons et une expérience du travail. À cette époque, un arrangement de travail a été communiqué par le Supérieur : exposer et abolir complètement les faux dirigeants et les antéchrists. Yu, qui aimait le statut, y a perçu une possibilité de retour. Sous le couvert de la mise en œuvre de l’arrangement de travail, elle a continuellement échangé avec les frères et sœurs pour suivre le courant de l’œuvre du Saint-Esprit et se concentrer sur le discernement des faux dirigeants et des antéchrists. Cependant, elle n’a pas échangé sur les principes pour les discerner, mais nous a plutôt amenés à concentrer notre attention sur les dirigeants et les ouvriers. À chaque rassemblement, elle demandait aux frères et sœurs de parler de la performance des dirigeants et des ouvriers. Après notre prise de parole, elle tirait profit de certaines déviations et de tempéraments corrompus révélés dans leur travail, intensifiant la nature de ces problèmes, les qualifiant directement de faux dirigeants et les remplaçant. Par la suite, elle témoignait continuellement aux frères et sœurs de la façon dont elle avait aboli ces faux dirigeants et ouvriers, leur donnant l’impression qu’elle était capable de discernement et apte dans son travail. En réalité, elle visait à utiliser le congédiement de ces dirigeants et de ces ouvriers comme une occasion de faire son retour et de redevenir dirigeante. Induits en erreur par Yu, les frères et sœurs, en voyant la corruption et les déviations révélées des dirigeants et des ouvriers dans leur travail, ont commencé à se demander s’ils étaient de faux dirigeants, et ont même remis en question les dirigeants de l’Église à tous les niveaux, refusant de coopérer normalement avec le travail des dirigeants et des ouvriers. De nombreux dirigeants et ouvriers de petite stature ont également été fortement contraints, vivant dans un état de passivité et de prudence, incapables de faire leurs devoirs normalement, ce qui a conduit au chaos dans l’Église. À cette époque, de nombreuses personnes vénéraient cet antéchrist, et environ une douzaine d’églises ont été fourvoyées et contrôlées par celui-ci. Même après la révélation de cet antéchrist, certaines personnes ne pouvaient toujours pas la discerner, croyant qu’elle soutenait le travail de l’Église ; et certains l’ont même défendue.) Qu’est-il arrivé à ces frères et sœurs qui ont été induits en erreur plus tard ? (Grâce aux échanges et à l’aide, certains ont acquis le discernement de l’antéchrist et ont été sauvés, tandis que d’autres, indépendamment de la manière dont les autres échangeaient avec eux, sont restés obstinés et déterminés à suivre l’antéchrist, et ces personnes ont finalement été éliminées.) La plupart des gens discernent-ils maintenant cet antéchrist ? (Ils ont à présent un peu de discernement.) Ceux qui restent têtus et immuables méritent de périr ; c’est le résultat quand on suit un antéchrist.

Nous venons d’échanger sur les diverses manifestations des actions sournoises des antéchrists. Maintenant, résumons : quels sont l’essence et le tempérament exprimés par un tel comportement des antéchrists ? (La malveillance.) C’est un tempérament principalement caractérisé par la malveillance. Pouvons-nous dès lors dire que les personnes ayant un tempérament malveillant agissent généralement de manière sournoise, et que celles qui agissent de manière sournoise ont un tempérament très malveillant ? (Oui.) Est-ce un raisonnement logique ? Bien que cela ressemble quelque peu à un raisonnement en apparence, en fait, les choses sont exactement ainsi – les gens dotés d’un tempérament malveillant fonctionnent souvent de manière sournoise. La nature-essence des antéchrists agissant sournoisement provient de Satan ; il est tout à fait clair qu’ils s’apparentent aux démons et à Satan. En observant comment agissent les antéchrists, tu peux comprendre comment fonctionnent les démons et Satan. Les vrais démons et Satan, le grand dragon rouge, agissent encore plus gravement que cela. Même un simple antéchrist peut agir si sournoisement, avec des tactiques aussi rusées, s’exprimant sans laisser de failles, rendant impossible pour quiconque de trouver un défaut ou de le prendre sur le fait. Alors c’est d’autant plus le cas pour les vieux démons et Satan ! Quand on envisage les choses du point de vue du comportement sournois des antéchrists, des gens ordinaires sans statut, qui communiquent rarement avec les autres ou s’ouvrent rarement à eux, qui agissent sans transparence et ne veulent pas que les autres sachent ce qu’ils pensent ou envisagent de faire au plus profond d’eux-mêmes et leurs intentions en agissant, qui gardent leur personnalité profondément cachée et étroitement enveloppée – leur discours et leurs actions n’auraient-ils pas également un soupçon de sournoiserie ? Si de telles personnes ne sont pas catégorisées comme des antéchrists, elles empruntent en revanche sans aucun doute le chemin d’un antéchrist. C’est certain. Ceux qui empruntent le chemin d’un antéchrist, s’ils n’acceptent pas d’être émondés, ni ne tiennent compte des suggestions des autres, et plus encore n’acceptent pas la vérité, une fois qu’ils auront acquis un statut, deviendront inévitablement des antéchrists ; ce n’est qu’une question de temps. Si certaines personnes ont un tempérament malveillant tel que celui-là et ont déjà emprunté le chemin d’un antéchrist, montrant des similitudes avec un antéchrist, mais qu’après avoir accepté d’être émondées, elles se repentent, peuvent accepter la vérité, abandonnent leur ancien chemin et sont en mesure de se retourner et de pratiquer la vérité, quel sera le résultat ? Une telle transformation les éloignera davantage du chemin d’un antéchrist, ce qui leur permettra d’entrer plus facilement dans la bonne voie de la foi en Dieu, et elles auront alors l’espoir d’être sauvées. Ce sera tout concernant l’échange sur les manifestations de la façon dont les antéchrists agissent sournoisement ; la prochaine manifestation qui fera l’objet d’un échange sera la façon dont ils sont arbitraires et dictatoriaux.

II. Analyse du comportement arbitraire et dictatorial des antéchrists, et de la manière dont ils obligent les autres à leur obéir

Les antéchrists agissent de manière arbitraire et dictatoriale, n’échangeant ou ne s’entretenant jamais avec les autres, agissant à leur guise et obligeant les autres à leur obéir. On peut dire que peu importe ce que font les antéchrists, quels que soient les arrangements qu’ils font ou les décisions qu’ils prennent, ils n’échangent pas avec les autres, ne parviennent pas à un consensus, ne cherchent pas la vérité pour résoudre les problèmes et ne recherchent pas les principes qui devraient être appliqués dans l’accomplissement de leurs devoirs. De plus, ils ne permettent pas aux gens de comprendre pourquoi ils font les choses d’une certaine manière : les gens sont ainsi confus et obligés de les écouter. Si quelqu’un ne comprend pas et lui pose des questions à ce sujet, l’antéchrist n’est pas disposé à échanger ou à expliquer. Quelle condition l’antéchrist souhaite-t-il conserver à ce sujet ? Personne n’est autorisé à connaître les détails ; personne n’a le droit d’être informé. Il fait ce qu’il veut, et ce qu’il pense être juste doit être mis en œuvre intégralement. Les autres n’ont pas le droit de remettre les choses en cause, et ils sont encore moins qualifiés pour travailler en coordination avec lui ; ils ont uniquement le rôle d’obéissance et de soumission. Comment l’antéchrist voit-il cela ? « Puisque vous m’avez choisi comme dirigeant, vous dépendez de ma gestion et vous devez m’écouter. Si vous ne voulez pas m’écouter, alors vous n’auriez pas dû me choisir. Si vous m’avez choisi, vous devez m’écouter. J’ai le dernier mot sur tout ! » À ses yeux, quelle est la relation entre lui-même et les frères et sœurs ? C’est lui qui donne les ordres. Les frères et sœurs ne peuvent pas, par l’analyse, distinguer le bien du mal, ne peuvent pas enquêter et ne sont pas autorisés à l’accuser, à le discerner, à le remettre en question ou à douter de lui ; tout cela est interdit. L’antéchrist n’a besoin que de proposer des plans, des déclarations et des méthodes, et tout le monde doit applaudir et être d’accord sans rien remettre en question. N’est-ce pas un peu coercitif ? De quel genre de tactique s’agit-il ? C’est arbitraire et dictatorial. De quel genre de tempérament s’agit-il ? (Méchant.) En apparence, « arbitraire » désigne le fait de prendre les décisions seul, d’avoir le dernier mot ; et « dictatorial » signifie qu’après avoir rendu un jugement ou pris une décision tout seul, tout le monde doit l’exécuter, sans disposer du droit d’avoir des avis ou des affirmations différents, ni même de poser des questions. Être arbitraire et dictatorial signifie que lorsque l’on est confronté à une situation, on réfléchit et on la considère soi-même avant de prendre une décision sur ce qu’il faut faire. Les personnes qui agissent ainsi prennent des décisions sur la façon de faire les choses de manière indépendante et en coulisses, sans la contribution de personne ; même leurs propres collègues, collaborateurs ou dirigeants de niveau supérieur ne peuvent pas intervenir – c’est cela que signifie être arbitraire et dictatorial. Quelle que soit la situation à laquelle ils sont confrontés, ceux qui agissent de cette manière procèdent systématiquement en retournant les choses dans leur esprit et en se creusant la cervelle dans la délibération, sans jamais s’entretenir avec les autres. Dans leur tête, leurs pensées vont dans tous les sens, mais ce qu’ils pensent réellement, personne ne le sait. Pourquoi personne ne le sait-il ? Parce qu’ils n’en disent rien. Certaines personnes pourraient penser que c’est simplement parce qu’ils ne sont pas bavards, mais est-ce vraiment le cas ? Ce n’est pas une question de personnalité ; c’est un choix délibéré de garder les autres dans l’ignorance. Ils veulent faire les choses par eux-mêmes, ils font leurs propres calculs. Que calculent-ils ? Leurs calculs tournent autour de leurs intérêts, de leur statut, de leur gloire, de leur gain et de leur prestige propres. Ils réfléchissent à la façon d’agir en leur propre faveur, de protéger du danger leur statut et leur réputation, d’agir sans permettre aux autres de les percer à jour et, surtout, de dissimuler leurs actions au Supérieur, dans l’espoir, en fin de compte, de recevoir des avantages sans révéler de défauts à qui que ce soit. Ils pensent : « Si je commets une bévue momentanée et que je dis quelque chose de mal, tout le monde me percera à jour. Si quelqu’un parle de façon déplacée et me signale au supérieur, celui-ci pourrait me remplacer, et je perdrai mon statut. En outre, si j’échange toujours avec les autres, mes capacités limitées ne seront-elles pas manifestes aux yeux de tous ? Les autres pourraient-ils me mépriser ? » Maintenant, dites-Moi, si on les perçait réellement à jour, serait-ce bien ou mal ? En fait, pour ceux qui poursuivent la vérité, pour les personnes honnêtes, être percé à jour et perdre un peu la face, ou perdre un peu sa réputation, n’a pas beaucoup d’importance. Ces personnes-là ne semblent pas très préoccupées par ces choses ; elles semblent en être moins ouvertement conscientes et n’y accordent pas beaucoup d’importance. Mais dans le cas des antéchrists, c’est exactement le contraire ; ils ne poursuivent pas la vérité, et ils considèrent leur statut et les perceptions et attitudes des autres envers eux-mêmes comme plus importants que la vie elle-même. Leur demander de dire ce qu’ils pensent ou de dire la vérité est extrêmement difficile ; même leur offrir de nombreux avantages pourrait ne pas suffire. Si on leur demandait de révéler leurs secrets ou leurs affaires privées, ce serait encore plus difficile – ils ne le feraient peut-être même pas au prix de leur vie. De quel genre de nature s’agit-il ? Une telle personne peut-elle accepter la vérité ? Peut-elle être sauvée ? Absolument pas. Après tout, « un léopard ne peut pas changer ses taches ».

Les antéchrists accordent une importance particulière à leur estime de soi, à leur statut, à leur visage et à tout ce qui peut maintenir leur pouvoir. Tu échanges avec eux en disant : « Dans l’accomplissement du travail de l’Église, qu’il s’agisse de questions externes ou d’administration interne, d’ajustements de personnel ou de quoi que ce soit d’autre, vous devez échanger avec les frères et sœurs. La première étape pour apprendre à coopérer avec les autres est d’apprendre à échanger. L’échange ne consiste pas en de vains bavardages ou en la seule expression de votre propre négativité ou rébellion à l’encontre de Dieu. Vous ne devriez pas exprimer vos états négatifs ou rebelles pour influencer les autres. L’essentiel est d’échanger sur la façon de trouver des principes dans les paroles de Dieu et de comprendre la vérité. » Cependant, peu importe comment tu échanges sur la vérité, cela ne peut pas les émouvoir ou les faire changer de principes ou de direction dans la façon dont ils fonctionnent et se conduisent. De quel genre de tempérament s’agit-il ? Pour le dire de manière douce, c’est de l’intransigeance ; pour le dire de manière virulente, c’est de la méchanceté. En fait, le qualifier de méchant est approprié. Imagine-toi un loup avec un mouton entre les mâchoires, dégustant sa proie ; si tu négocies avec lui en lui disant : « Je vais te donner un lapin à la place, et tu laisses partir le mouton, d’accord ? », il ne sera pas d’accord. Tu dis : « Je vais te donner une vache, qu’est-ce que tu en penses ? » Il ne sera pas du tout d’accord. Il mangera d’abord le mouton, puis passera à la vache. Il ne se contente pas d’un seul, il veut les deux. De quel genre de tempérament s’agit-il ? (Insatiablement cupide et extrêmement méchant.) C’est d’une méchanceté sans pareil ! De même, en ce qui concerne le tempérament extrêmement méchant des antéchrists, échanger avec eux sur la vérité, les émonder ou les conseiller ne fonctionne pas. Rien de tout cela ne peut changer leur poursuite profonde du statut ou leur désir de contrôler les autres, à moins que tu ne les attires avec un statut plus élevé ou de plus grands avantages. Autrement, ils ne lâcheront jamais la proie qui est déjà entre leurs mâchoires. Que signifie ce refus absolu de lâcher prise ? Cela signifie qu’une fois qu’ils auront un certain statut, ils profiteront de cette occasion pour être performants et se mettre en avant de manière vigoureuse. Que mettent-ils en avant ? Leurs divers talents et dons, leurs antécédents familiaux, leur éducation, leur valeur et leur statut dans la société, se vantant et affichant à quel point ils sont capables et compétents, comment ils peuvent jouer avec les gens et les manipuler, comment ils peuvent les conduire à faire des choses. Ceux qui sont dépourvus de vérité ou de discernement, entendant cela, ont l’impression que ces antéchrists sont très impressionnants ; ils se sentent eux-mêmes inférieurs et se soumettent de bonne grâce au contrôle de l’antéchrist.

Certains antéchrists sont particulièrement rusés et vont loin dans leurs intrigues. Ils adhèrent à une philosophie satanique suprême, qui consiste à s’exprimer rarement dans n’importe quelle situation et à ne pas faire part facilement de leur position, quelle que soit la situation à laquelle ils sont confrontés, ne parlant que lorsqu’ils y sont absolument contraints. Ils se contentent d’observer attentivement les actions de chacun, comme si leur but était de comprendre complètement et de percer à jour ceux qui les entourent avant de parler ou d’agir. Ils identifient d’abord qui peut être leur proie et devenir leur assistant, et qui est leur « ennemi politique » contre lequel ils doivent se protéger. Parfois, ils ne parlent pas ou ne prennent pas position, gardant le silence, mais à l’intérieur, ils réfléchissent et calculent ; ces individus sont rusés dans l’âme et s’expriment rarement. Diriez-vous qu’une personne comme celles-ci est assez sinistre ? Si elles ne s’expriment pas souvent, comment peux-tu les discerner ? Est-il facile de les percer à jour ? C’est très difficile. Le cœur de ces personnes est complètement rempli de philosophie satanique. N’est-ce pas sournois ? Les antéchrists croient que s’ils parlent trop, exprimant constamment leurs points de vue et échangeant avec les autres, tous les gens les perceront à jour ; ces derniers penseront que l’antéchrist manque de profondeur et n’est qu’une personne ordinaire, et ne le respecteront pas. Que signifie perdre le respect, pour l’antéchrist ? Cela signifie la perte, dans le cœur des autres, de son statut estimé, et paraître médiocre, ignorant et ordinaire. C’est ce à quoi les antéchrists espèrent ne pas être confrontés. Par conséquent, quand il voit, dans l’Église, les autres qui, sans cesse, s’ouvrent et admettent leur négativité, leur rébellion contre Dieu, les erreurs qu’ils ont commises hier ou la douleur insupportable qu’ils ressentent du fait de leur manque d’honnêteté aujourd’hui, l’antéchrist considère ces gens comme stupides et naïfs, car il n’admet jamais de telles choses lui-même, gardant ses pensées dissimulées. Certaines personnes parlent rarement, car elles ont un calibre médiocre ou sont simples d’esprit, ou encore n’ont pas de pensées complexes, mais lorsque les antéchrists parlent rarement, ce n’est pas pour la même raison ; c’est un problème de tempérament. Ils parlent rarement lorsqu’ils rencontrent d’autres personnes et n’expriment pas facilement leurs points de vue sur des sujets. Pourquoi n’expriment-ils pas leurs points de vue ? Tout d’abord, ils sont sans aucun doute dépourvus de la vérité et incapables de percer à jour les choses. S’ils parlent, ils pourraient faire des erreurs et être eux-mêmes percés à jour ; ils craignent d’être méprisés, alors ils font semblant d’être silencieux et feignent la profondeur, ce qui rend difficile pour les autres de les évaluer, car ils semblent sages et distingués. Avec cette façade, les gens n’osent pas sous-estimer l’antéchrist, et voyant son extérieur apparemment calme et composé, ils le tiennent encore plus en considération et n’osent pas lui manquer de respect. C’est l’aspect sournois et malveillant des antéchrists. Ils n’expriment pas facilement leurs points de vue parce que la plupart de leurs points de vue ne sont pas conformes à la vérité, mais consistent simplement en des notions et des produits de l’imagination humains, qui ne méritent pas d’être révélées au grand jour. Ils restent donc silencieux. À l’intérieur, ils espèrent obtenir une certaine lumière qu’ils pourront dispenser pour gagner de l’admiration, mais étant donné qu’ils n’en ont pas, ils restent silencieux et cachés pendant l’échange sur la vérité, se tapissant dans l’ombre comme un fantôme attendant une occasion. Quand ils trouvent d’autres personnes qui expriment la lumière, ils imaginent des moyens de se l’approprier, l’exprimant d’une autre manière pour s’exhiber. Voilà à quel point les antéchrists sont rusés. Quoi qu’ils fassent, ils s’efforcent de se démarquer et d’être supérieurs, car ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se sentent satisfaits. S’ils n’en ont pas l’occasion, ils font d’abord profil bas et gardent leurs opinions pour eux. Telle est la ruse des antéchrists. Par exemple, lorsqu’un sermon est communiqué par la maison de Dieu, certaines personnes disent que cela ressemble aux paroles de Dieu, et d’autres pensent que cela ressemble davantage à un échange du Supérieur. Les gens au cœur relativement simple disent ce qu’ils pensent, mais les antéchrists, même s’ils ont une opinion à ce sujet, la gardent dissimulée. Ils observent et sont prêts à suivre le point de vue de la majorité, mais en réalité, ils ne peuvent pas saisir eux-mêmes intégralement la question. De telles personnes habiles et astucieuses peuvent-elles comprendre la vérité ou avoir un réel discernement ? Que peut percer à jour quelqu’un qui ne comprend pas la vérité ? Il ne peut rien percer à jour. Certaines personnes sont incapables de percer à jour les choses, mais elles prétendent être profondes ; en fait, elles manquent de discernement et craignent que les autres ne les percent à jour. L’attitude correcte dans de telles situations est la suivante : « Nous ne pouvons percer à jour cette affaire. Puisque nous ne savons pas, nous ne devrions pas parler à la légère. Prononcer des paroles erronées peut avoir un impact négatif. Je vais attendre et voir ce que dit le Supérieur. » N’est-ce pas là parler honnêtement ? C’est un langage si simple, et pourtant, pourquoi les antéchrists ne prononcent-ils pas ces paroles ? Ils ne veulent pas être percés à jour, connaissant leurs propres limites ; mais derrière cela, il y a aussi une intention méprisable : celle d’être admirés. N’est-ce pas ce qui est le plus dégoûtant ? Après que tout le monde a parlé, voyant que la plupart disent qu’il s’agit des paroles de Dieu et que quelques-uns disent que ce n’est pas le cas, l’antéchrist a également l’impression qu’il est possible que le sermon ne soit pas les paroles de Dieu, mais il ne le dit pas franchement. Il dit : « Je ne peux pas porter un jugement hâtif sur cette question ; je vais me rallier à la majorité. » Il n’admet pas son manque de perspicacité, mais utilise plutôt cette approche à des fins de déguisement et de dissimulation, tout en pensant qu’il est très sage et que ses méthodes sont brillantes. Puis, deux jours plus tard, lorsque la maison de Dieu annonce que le sermon était les paroles de Dieu, l’antéchrist dit immédiatement : « Tu vois, qu’est-ce que je t’avais dit ? Je savais que c’était les paroles de dieu depuis le début, mais j’avais peur de la faiblesse de ceux d’entre vous qui ne les reconnaissaient pas, donc je ne pouvais pas le dire. Si j’avais dit qu’il s’agissait des paroles de dieu, n’aurais-je pas été en train de vous condamner ? Comme vous auriez été tristes ! Aurais-je pu être à l’aise en sachant à quel point vous êtes faibles ? Quel genre de dirigeant serais-je alors ? » Quel maître du déguisement ! Il y a des intentions et des buts derrière tout ce que disent les antéchrists ; chaque fois qu’ils ouvrent la bouche, c’est pour se vanter, pour afficher leurs exploits et leurs bonnes actions et leurs gloires passées. Chaque fois qu’ils ouvrent la bouche, c’est pour parler de ces choses. Ceux qui ne peuvent pas les percer à jour les idolâtrent, tandis que ceux qui le peuvent les trouvent extrêmement insidieux et malhonnêtes – l’antéchrist n’admet jamais ses défauts. Les antéchrists opèrent dans le secret et s’expriment de manière équivoque ; la plupart des choses qu’ils disent sont des inepties, et ils sont incapables de percer à jour quoi que ce soit ou de comprendre une quelconque vérité. Pire encore, ils font semblant de comprendre la vérité bien qu’ils n’en comprennent aucune part, et veulent être impliqués dans tout, souhaitant prendre des décisions et avoir le dernier mot dans tous les domaines, laissant ceux qui les entourent sans aucun droit de savoir. À quelle situation cela mène-t-il, en fin de compte ? Tous ceux qui coopèrent avec eux ou font un devoir avec eux sentent que même s’ils semblent loyaux et prêts à payer le prix en apparence, ce n’est pas vraiment le cas. Même ceux qui sont proches de l’antéchrist depuis des années sont incapables de le percer à jour ou de savoir ce dont il est vraiment capable – la plupart des gens ne peuvent pas le percer à jour. Toutes les paroles qu’il prononce sont des mensonges et des mots vides, des paroles fourbes et trompeuses. Il veut être impliqué dans tout et prendre toutes les décisions, mais une fois qu’il a décidé, il n’assume aucune responsabilité quant aux répercussions possibles, et il trouve des raisons d’excuser ce comportement. Après avoir pris sa décision, il laisse les autres faire le travail, pendant qu’il poursuit son chemin, s’immisçant dans d’autres affaires. Quant à savoir si la question d’origine fait l’objet d’un suivi, si elle est mise en œuvre, si l’exécution est efficace, si la plupart des autres personnes ont un avis sur l’approche, si elle nuit aux intérêts de la maison de Dieu, ou si les frères et sœurs ont du discernement à ce sujet, il ne s’en préoccupe guère, agissant comme si ce n’était pas son problème, comme si cela n’avait rien à voir avec lui – il ne s’en soucie pas le moins du monde. Quelle est la seule chose dont il se soucie ? Il ne se soucie que des questions dans lesquelles il peut se vanter et gagner l’admiration des autres ; il ne manque jamais d’occasions de le faire. Dans son travail, il ne fait rien d’autre que donner des ordres et faire respecter les règlements. Il n’est capable que de jouer à des jeux de pouvoir et de manipuler les gens, tout en étant satisfait de lui-même et en étant persuadé d’être accompli dans son travail. Il est complètement inconscient des conséquences de sa façon de travailler – il nuit au peuple élu de Dieu, entraînant des interruptions et des perturbations dans le travail de l’Église. Il fait obstacle à la concrétisation de la volonté de Dieu et tente d’établir son propre royaume indépendant.

« Être arbitraire et dictatorial, ne jamais échanger avec les autres et obliger les autres à leur obéir » : que signifie principalement ce comportement des antéchrists ? Leur tempérament est malveillant et méchant, et ils possèdent un désir exceptionnellement fort de contrôler les autres, dépassant les limites de la rationalité humaine normale. De plus, quelle est leur compréhension ou leur point de vue et leur attitude à l’égard du devoir qu’ils accomplissent ? En quoi cela diffère-t-il de ceux qui accomplissent leur devoir de manière authentique ? Ceux qui accomplissent leur devoir de manière authentique recherchent des principes pour ce qu’ils font, ce qui est une exigence fondamentale. Mais comment les antéchrists appréhendent-ils le devoir qu’ils accomplissent ? Quel tempérament et quelle essence sont révélés par l’intermédiaire de l’accomplissement de leur devoir ? Ils se placent dans une position élevée et se montrent condescendants à l’égard de ceux qui sont en dessous d’eux. Une fois qu’ils sont choisis pour diriger, ils commencent à se considérer comme des individus détenteurs d’un statut et d’une identité. Ils n’acceptent pas leur devoir comme venant de Dieu. Dès qu’ils acquièrent une certaine position, ils ont l’impression que leur statut est important, que leur pouvoir est grand et que leur identité est unique, ce qui leur permet de regarder les autres de haut. En même temps, ils pensent qu’ils peuvent donner des ordres et agir selon leurs propres pensées, et qu’ils n’ont même pas besoin d’avoir le moindre doute au sujet de cette attitude. Ils pensent qu’ils peuvent se servir de l’occasion de l’accomplissement de leur devoir pour satisfaire leur soif d’autorité ainsi que leur désir et leur ambition de gouverner et de diriger les autres via leur pouvoir. On pourrait dire qu’ils ont l’impression d’avoir enfin la possibilité d’être incontestés dans leur autorité. Certains disent : « Les manifestations des antéchrists sont d’être arbitraires et dictatoriaux, et de ne jamais échanger avec les autres. Bien que notre dirigeant soit aussi doté du tempérament et des révélations des antéchrists, il échange souvent avec nous ! » Cela signifie-t-il qu’il n’est pas un antéchrist ? Les antéchrists peuvent parfois faire semblant ; après avoir échangé avec tout le monde et compris et saisi les pensées de tous – en identifiant qui est aligné sur eux et qui ne l’est pas –, ils les catégorisent. À l’avenir, ils ne communiqueront qu’avec ceux qui entretiennent de bonnes relations et sont compatibles avec eux. Ceux qui ne sont pas en phase avec eux sont souvent tenus dans l’ignorance sur la plupart des questions, et ils peuvent même leur refuser les livres des paroles de Dieu. Avez-vous déjà agi de cette manière, en étant arbitraires et dictatoriaux, en n’échangeant jamais avec les autres ? Il arrive certainement que tu sois arbitraire et dictatorial, mais pas forcément de ne jamais échanger avec les autres ; parfois, il est possible que tu échanges. Cependant, après l’échange, les choses continuent quand même comme tu l’as dit. Certains pensent : « Malgré notre échange, j’ai en fait déjà établi un plan il y a longtemps. J’échange avec toi à titre de simple formalité, uniquement pour t’informer que j’ai mes principes dans mes actions. Penses-tu que je ne connais pas ta mesure ? En fin de compte, tu devras malgré tout m’écouter et suivre ma voie. » En fait, dans leur cœur, ils se sont déjà décidés il y a longtemps. Ils croient la chose suivante : « Je suis très éloquent et je peux tordre n’importe quel argument en ma faveur ; personne ne peut parler mieux que moi, alors naturellement, la tendance suivra mon exemple. » Ils ont fait leurs calculs longtemps à l’avance. Est-ce que ce genre de situation existe ? Être arbitraire et dictatorial n’est pas un comportement qui se révèle accidentellement, de temps à autre ; il est contrôlé par un certain tempérament. Il peut sembler, d’après leur façon de parler ou d’agir, qu’ils ne sont pas arbitraires et dictatoriaux, mais d’après leur tempérament et la nature de leurs actions, ils sont bien arbitraires et dictatoriaux. Ils effectuent les formalités et « écoutent » les opinions des autres, leur permettant de s’exprimer, leur faisant prendre conscience des détails d’une situation, discutant de ce que la parole de Dieu exige, mais ils utilisent une certaine rhétorique ou formulation pour guider les autres de manière à parvenir à un consensus avec eux. Et quel est le résultat final ? Tout se déroule conformément à leur plan. C’est leur aspect insidieux ; cela s’appelle aussi obliger les autres à leur obéir, c’est une sorte de contrainte « douce ». Ils pensent : « Tu n’écoutes pas, n’est-ce pas ? Tu ne comprends pas, n’est-ce pas ? Laisse-moi t’expliquer. » En expliquant, ils tissent et enroulent leurs mots, entraînant les autres dans leur logique. Après avoir été guidés, les gens écoutent et pensent : « Ce que tu dis est juste ; nous pratiquerons comme tu le dis, il n’est plus nécessaire d’être aussi sérieux », et l’antéchrist est satisfait. La plupart des gens ne peuvent pas discerner ses paroles. Avez-vous du discernement ? Que devriez-vous faire face à de telles situations ? Par exemple, lorsque tu es confronté à une affaire, tu sens qu’il y a un problème ; tu ne peux pas identifier le problème exact pour le moment, mais tu as l’impression d’être obligé d’obéir. Que dois-tu faire dans ce cas ? Tu dois rechercher des principes pertinents, solliciter la guidance du Supérieur ou échanger avec la personne en question. De plus, ceux qui comprennent la vérité peuvent discuter et échanger sur cette question ensemble. Parfois, l’œuvre et la guidance du Saint-Esprit te permettront de comprendre les problèmes dans les propositions ou les théories avancées par les antéchrists ou ceux qui empruntent leur chemin, ainsi que leurs arrière-pensées. En échangeant avec les autres, tu parviendras peut-être à comprendre. Mais peut-être que tu n’échanges pas, pensant plutôt : « Ce n’est pas un gros problème, laissons-le faire ce qu’il veut. Après tout, je ne suis pas le principal responsable, je n’ai pas besoin de me soucier de ces questions. Je ne serai pas responsable si quelque chose se déroule mal ; c’est lui qui le sera. » De quel genre de comportement s’agit-il ? C’est être déloyal envers ton devoir. Le fait d’être déloyal envers ton devoir ne trahit-il pas les intérêts de la maison de Dieu ? C’est comme Judas ! De nombreuses personnes, confrontées à un pouvoir oppressif, finissent par faire des compromis et par se joindre à ceux qui brandissent ce pouvoir, ce qui est une manifestation de leur déloyauté envers leur devoir. Que tu sois confronté à un antéchrist ou à quelqu’un qui agit imprudemment et t’oblige à lui obéir, quels principes dois-tu choisir de respecter ? Quel chemin devrais-tu emprunter ? Si tu as l’impression que ce que tu fais n’entre pas en conflit avec les paroles de Dieu et les arrangements de travail, ou ne dévie pas d’eux, tu dois rester ferme. Adhérer à la vérité est correct et approuvé par Dieu, mais s’incliner et faire des compromis avec Satan, les forces malveillantes, les personnes malfaisantes est un comportement de trahison, c’est un acte malfaisant, haï et maudit par Dieu. Lorsque les antéchrists rencontrent quelqu’un qui se dispute avec eux, ils disent souvent : « J’ai le dernier mot dans cette affaire, et cela doit être fait à ma façon. Si quelque chose ne va pas, j’en assumerai la responsabilité ! » Quel tempérament cette déclaration représente-t-elle ? Celui qui parle et pratique de cette façon peut-il être doté d’une humanité normale ? Pourquoi oblige-t-il les autres à lui obéir ? Pourquoi ne cherche-t-il pas la vérité pour résoudre les problèmes lorsqu’ils surviennent ? Pourquoi ne peut-il pas déterminer les principes de la pratique de la vérité ? Cela prouve qu’il ne possède pas la vérité. Pouvez-vous discerner le problème de cette déclaration ? Dire de telles choses suffit à prouver que cette personne a le tempérament d’un antéchrist ; c’est le comportement d’un antéchrist. Cependant, un antéchrist plus rusé, craignant d’être discerné par les autres, doit dire certaines choses avec lesquelles tout le monde est d’accord et qui semblent justes pour atteindre son objectif, qui est de fourvoyer les gens et de s’implanter. Ensuite, il réfléchira à la façon de contrôler le peuple élu de Dieu.

Les manifestations des antéchrists qui sont arbitraires et dictatoriaux devraient être nombreuses, car ce genre de comportement, de tempérament et de qualité peut être rencontré chez chaque personne corrompue, sans même parler des antéchrists. Avez-vous en tête des exemples de situations où tu as été arbitraire et dictatorial ? Par exemple, si quelqu’un dit que tu as belle allure avec les cheveux courts, et que tu réponds : « Qu’est-ce qu’il y a de si bien avec les cheveux courts ? Je préfère les cheveux longs, et je ferai ce que je veux », est-ce arbitraire et dictatorial ? (Non.) C’est simplement une préférence personnelle, une partie de l’humanité normale. Certaines personnes aiment porter des lunettes même si elles ne sont pas myopes. Si d’autres les jugent en disant : « Tu essaies simplement d’avoir belle allure, tu n’as pas réellement besoin de lunettes ! », elles répondent : « Et alors ? Je les porterai quand même ! » – est-ce arbitraire et dictatorial ? Non, c’est une préférence personnelle, tout au plus de l’obstination, et cela n’implique aucun problème de tempérament ; elles pourraient arrêter de porter les lunettes après quelques jours si elles en avaient envie. Alors, qu’est-ce qui constitue principalement le fait d’être arbitraire et dictatorial ? Il s’agit principalement du chemin qu’une personne emprunte, de son tempérament, des principes et des motivations qui sous-tendent ses actions. Par exemple, dans un ménage où le mari aime les voitures et où la famille n’a que 20 000 yuans, et où le mari emprunte de l’argent partout où il peut pour acheter inutilement une voiture valant 200 000 yuans, laissant la famille incapable d’acheter de la nourriture, et où la femme ignore même qu’il a acheté le véhicule, ce mari est-il arbitraire et dictatorial ? Il est en effet arbitraire et dictatorial. Être arbitraire et dictatorial signifie ne pas tenir compte des sentiments, des pensées, des opinions, des attitudes ou des points de vue des autres, en se concentrant uniquement sur soi-même. En termes simples, dans la vie quotidienne, cela signifie satisfaire ses plaisirs et ses désirs charnels, satisfaire son égoïsme, et s’agissant du devoir, cela désigne la satisfaction de son ambition et de son désir de poursuivre le statut et le pouvoir. Voici un exemple : l’Église avait une maison et une allée devait être construite à côté de celle-ci. La largeur appropriée de l’allée devait être déterminée par la taille de la maison et de la cour, en visant à la fois l’esthétique et la fonctionnalité. Compte tenu de la grande superficie de cette maison et de cette cour, l’allée devait mesurer au moins deux mètres de large. La personne responsable a dit : « J’ai décidé, nous allons faire une allée d’un mètre de large. » D’autres ont dit : « Beaucoup de gens rentrent et sortent tous les jours, et parfois nous devons transporter des choses ; un mètre ne suffira tout simplement pas, c’est trop étroit. » Mais le responsable a insisté sur son propre point de vue, et n’était pas ouvert à la discussion. Après l’achèvement des travaux, tout le monde a vu que l’allée était trop étroite ; elle n’était ni logique compte tenu de la maison et de la cour ni pratique – on a dû la reconstruire, ce qui a conduit à des travaux de réfection. Tout le monde s’est alors plaint de cette personne. En fait, avant le début de la construction de l’allée, certains avaient soulevé des objections, mais cette personne avait exprimé son désaccord et avait insisté sur son propre point de vue, obligeant les autres à agir selon ses souhaits, ce qui a entraîné les conséquences décrites. Pourquoi cette personne n’a-t-elle pas pu accepter les suggestions des autres ? Lorsque des opinions divergentes se sont exprimées, pourquoi n’a-t-elle pas pu prendre en compte tous les aspects et trouver la bonne approche ? S’il n’y avait eu personne avec qui s’entretenir, il aurait été acceptable de prendre ses propres décisions, mais dès lors qu’il y avait des gens avec qui s’entretenir et que de meilleures suggestions étaient même disponibles, pourquoi ne pouvait-elle pas les accepter ? De quel genre de tempérament s’agit-il ? Il y a au moins deux possibilités : l’une est que la personne est irréfléchie, un individu confus ; l’autre est que son tempérament est trop arrogant et présomptueux, qu’elle a toujours l’impression d’avoir raison, qu’elle est incapable d’accepter ce que les autres disent, peu importe à quel point c’est correct – c’est d’une arrogance telle qu’elle provoque une perte de raison. Une affaire aussi simple a révélé son tempérament. Une arrogance excessive conduit à une perte de rationalité. Que signifie manquer de rationalité ? Quel genre de choses manquent de rationalité ? Les bêtes manquent de rationalité. Si une personne manque de rationalité, elle n’est pas différente d’une bête ; son esprit n’a pas la capacité de juger, et il est dépourvu de rationalité. Si une personne devient si arrogante qu’elle perd la raison, et qu’elle manque de rationalité, ne ressemble-t-elle pas à une bête ? (Si.) C’est exactement ce qu’elle est ; le manque de rationalité humaine signifie qu’elle n’est pas humaine. Les antéchrists possèdent-ils une telle rationalité ? (Non.) Les antéchrists manquent encore plus de rationalité ; ils sont pires que des bêtes, ce sont des démons. Par exemple, quand Dieu demande à Satan : « D’où viens-tu ? », la question de Dieu est en fait très claire ; quel message Dieu transmet-Il ? (Il demande à Satan d’où il vient.) Cette phrase se termine évidemment par un point d’interrogation ; c’est une question, désignant « Satan » par le sujet « tu » : « D’où viens-tu ? ». La grammaire est adaptée et la question de Dieu est facile à comprendre. Comment Satan répond-il ? (« De parcourir la terre et de m’y promener » [Job 1:7].) C’est la célèbre citation de Satan. La réponse de Satan présente-t-elle une quelconque rationalité ? (Non.) Elle manque de rationalité. Lorsque Dieu lui demande à nouveau d’où il vient, il répète la même réponse, comme s’il était incapable de comprendre les paroles de Dieu. Les gens peuvent-ils comprendre ce que dit Satan ? Son discours est-il pourvu d’une quelconque rationalité ? (Non.) Il manque de rationalité – peut-il alors comprendre la vérité ? Même à une question aussi simple de Dieu, il répond de cette façon ; il est encore moins capable de comprendre les vérités que Dieu prononce. On peut dire que les antéchrists manquent également de rationalité ; ceux qui agissent sournoisement, ou qui ne peuvent pas comprendre les paroles de Dieu ou la vérité, sont tous irrationnels. Peu importe à quel point tu parles de pratiquer la vérité, d’agir selon des principes, de rechercher des principes et d’échanger avec les autres tout en accomplissant son devoir – ce qu’ils disent comprendre et savoir –, quand il s’agit d’agir, ils ne prennent pas tes paroles à cœur et ils font ce qu’ils veulent. C’est une nature démoniaque ! Ceux qui ont une telle nature démoniaque ne comprennent pas la vérité et manquent de rationalité. Quel est leur aspect le plus déraisonnable et le plus éhonté ? Les humains sont créés par Dieu, et Dieu sélectionne les gens et les amène devant Lui dans quel but ? C’est pour faire en sorte qu’ils écoutent et comprennent Ses paroles, suivent dans la vie le bon chemin indiqué par Lui et, en fin de compte, puissent distinguer le bien du mal, les choses positives des choses négatives. C’est ce que Dieu veut ; de cette façon, ceux qui suivent Dieu s’améliorent de plus en plus. Et dans quelle mesure les antéchrists sont-ils déraisonnables ? Ils pensent : « Dieu, tu amènes les gens devant toi, alors je ferai de même ; tu peux choisir les gens, les orchestrer et régner sur eux, alors je ferai de même ; tu peux faire en sorte que les gens se soumettent à toi et t’écoutent, tu donnes des commandements directs et tu leur fais faire ce que tu dis, alors je ferai de même. » N’est-ce pas irrationnel ? (Si.) Être irrationnel ne signifie-t-il pas qu’ils n’ont aucun sens de la honte ? (Si.) Les personnes t’appartiennent-elles ? Devraient-elles te suivre ? Pourquoi devraient-elles t’écouter ? Tu n’es que l’un des minuscules êtres créés, comment pourrais-tu aspirer à être au-dessus de tout ? N’est-ce pas irrationnel ? (Si.)

Certains ont la chance d’être élus dirigeants dans l’Église, mais en réalité, leur calibre et leur stature ne sont pas à la hauteur. Être dirigeant est un grand honneur venant de Dieu, mais ces personnes ne le perçoivent pas de cette façon. Au lieu de cela, elles pensent : « En tant que dirigeant, je suis meilleur et plus élevé que les autres ; je ne suis plus une personne ordinaire. Tandis que vous devez tous vous incliner devant dieu et l’adorer avec obéissance, moi, j’en suis exempt, parce que je suis différent de vous ; vous êtes des êtres créés, mais ce n’est pas mon cas. » Alors qu’es-tu ? N’es-tu pas également fait de chair et de sang ? En quoi es-tu différent des autres ? La différence réside dans ton impudence ; tu n’as aucun sens de l’honneur et de la rationalité, tu n’es même pas comparable à un chien. Tu agis de manière arbitraire et dictatoriale, en ignorant tout conseil des autres : voilà la différence. Peu importe à quel point leurs propres calibres sont médiocres ou à quel point leur efficacité pour faire les choses est faible, ces personnes se pensent malgré tout au-dessus de la moyenne, persuadées d’avoir des capacités et du talent. Ainsi, quoi qu’elles fassent, elles ne s’entretiennent pas avec les autres pour parvenir à un consensus ; elles pensent être qualifiées ou avoir la capacité absolue de tout contrôler. Cette arrogance ne conduit-elle pas à la perte de la raison ? N’est-ce pas effrontément éhonté ? (Si.) Avant de devenir dirigeants, ces personnes avaient la queue entre les jambes ; elles étaient persuadées d’avoir du talent et des capacités, et nourrissaient une certaine ambition dans leurs actes, mais manquaient tout simplement d’une bonne occasion. Une fois devenues dirigeants, elles se sont distinguées des frères et sœurs, adoptant une position supérieure. Elles ont commencé à agir de manière supérieure, montrant leur vrai visage ; elles ont commencé à penser qu’elles pouvaient réaliser de grandes choses, en ayant la croyance suivante : « La maison de dieu a choisi la bonne personne ; je suis en effet talentueux – l’or véritable est destiné, en fin de compte, à briller. Regardez-moi maintenant : dieu m’a reconnu, n’est-ce pas ? » N’est-ce pas dégoûtant ? (Si.) Tu n’es que l’un des êtres créés ordinaires ; quelle que soit la grandeur de tes dons ou de ton talent, ton tempérament corrompu est le même que celui de tout le monde. Si tu penses que tu es le seul à être extraordinaire et que tu te considères comme supérieur, cherchant à t’élever au-dessus de tous les autres, à être supérieur à tout, alors tu fais fausse route. En raison de cette idée fausse, tu agis de manière arbitraire et dictatoriale, sans échanger ni t’entretenir avec les autres, et tu souhaites même te délecter de l’obéissance et de la déférence des autres vis-à-vis de toi, ce qui n’est pas bien. Où se trouve l’erreur ? (Dans l’adoption de la mauvaise position.) Pourquoi les antéchrists se tiennent-ils toujours dans la mauvaise position ? Une chose est certaine, dont vous ne vous êtes peut-être pas rendu compte : il y a quelque chose de plus dans leur humanité par rapport aux autres ; ils ont toujours une sorte d’idée fausse. Comment cette idée fausse apparaît-elle ? Elle n’est pas donnée par Dieu, mais par Satan. Tout ce qu’ils font, tout ce qu’ils révèlent et expriment, n’est pas un instinct dans les limites normales de l’humanité, mais est motivé par une puissance extérieure. Pourquoi dit-on que leurs actions sont sournoises et que leurs ambitions et leurs désirs sont incontrôlables ? Leur désir de contrôler les gens a dépassé les limites. Que signifie dépasser les limites ? Cela signifie recourir à tous les moyens, dépasser la rationalité et le sentiment de honte ; c’est irrépressible, comme un ressort – il peut rester temporairement baissé lorsque tu appuies dessus, mais une fois que tu le lâches, il jaillit de nouveau. N’est-ce pas être consumé par le désir et poussé à l’obsession ? Ce n’est pas du tout une exagération.

Partout où les antéchrists détiennent du pouvoir dans une Église, cette dernière ne peut plus être qualifiée ainsi. Ceux qui en ont fait l’expérience devraient en avoir une idée. Ce n’est pas une atmosphère de tranquillité, de joie et d’élévation collective, mais plutôt une atmosphère de discorde tumultueuse. Tout le monde se sent particulièrement agité et mal à l’aise, incapable de ressentir la paix dans son cœur, comme si un grand désastre était sur le point de se produire. Les paroles et les actions des antéchrists créent une atmosphère dans laquelle le cœur des gens s’obscurcit, perdant la capacité de discerner les choses positives des choses négatives. De plus, être induit en erreur par les antéchrists pendant longtemps éloigne de Dieu le cœur des gens, ce qui conduit à des relations anormales avec Lui, à l’image des personnes religieuses qui croient nominalement en Dieu, mais n’ont pas de place pour Lui dans leur cœur. Il y a aussi un vrai problème, qui est que lorsque les antéchrists détiennent du pouvoir, cela provoque la division et le chaos au sein de l’Église. Ceux qui aiment la vérité ne ressentent aucun plaisir ou aucune libération dans les rassemblements et veulent donc quitter l’Église pour croire en Dieu chez eux. Lorsque le Saint-Esprit œuvre dans une Église, que les gens comprennent la vérité ou non, tout le monde s’unit dans le cœur et dans l’effort, créant une atmosphère plus paisible et plus stable, exempte d’agitation. Cependant, chaque fois que les antéchrists agissent, ils créent une atmosphère agitée et étrange. Leur ingérence provoque l’émergence de factions, les gens devenant défensifs les uns envers les autres, se jugeant et s’attaquant mutuellement, discréditant les autres derrière leur dos. De toute évidence, quel rôle jouent les antéchrists ? Ce sont les sbires de Satan. Les conséquences des actions des antéchrists sont : premièrement, le jugement, la suspicion et la circonspection mutuels entre les frères et sœurs ; deuxièmement, la dissolution des frontières entre les hommes et les femmes, ce qui conduit progressivement à des interactions inappropriées ; et troisièmement, le fait que les gens, dans leur cœur, ne comprennent plus très bien les visions et cessent de se concentrer sur la pratique de la vérité. Ils ne savent plus comment agir conformément aux vérités-principes. Le peu de compréhension des doctrines qu’ils avaient autrefois est perdu, leur esprit s’obscurcit et ils suivent aveuglément les antéchrists, se contentant de courir dans tous les sens pour accomplir des tâches superficielles. Certaines personnes sentent bien que suivre les antéchrists ne mène nulle part ; si seulement ceux qui poursuivent la vérité pouvaient se rassembler et accomplir leurs devoirs ensemble, quelle joie cela apporterait ! Une fois que des antéchrists détiennent du pouvoir dans une Église, le Saint-Esprit cesse d’œuvrer et les ténèbres s’abattent sur les frères et sœurs. Croire en Dieu et accomplir des devoirs devient terne. Si cela continue longtemps, la majorité des frères et sœurs ne sera-t-elle pas éliminée par Dieu ?

Aujourd’hui, d’une part, nous avons disséqué les manifestations du comportement arbitraire et dictatorial des antéchrists. D’autre part, en disséquant ces manifestations, tout le monde prend conscience que même si tu n’es pas un antéchrist, le fait d’avoir de telles manifestations te relie à la nature des antéchrists. Agir de manière arbitraire et dictatoriale est-il une manifestation de l’humanité normale ? Absolument pas ; clairement, il s’agit d’une démonstration d’un tempérament corrompu. Peu importe l’importance de ton statut ou le nombre de devoirs que tu peux accomplir, si tu peux apprendre à échanger avec les autres, alors tu respectes les principes de la vérité, ce qui est une exigence minimale. Pourquoi dit-on qu’apprendre à échanger avec les autres équivaut à respecter des principes ? Si tu peux apprendre à échanger, cela prouve que tu ne traites pas ton statut comme un gagne-pain et que tu ne le prends pas trop au sérieux. Quelle que soit l’importance de ton statut, tu accomplis ton devoir. Tes actions sont effectuées dans le but d’accomplir ton devoir, et non pour le statut. Dans le même temps, lorsque tu rencontres des problèmes, si tu peux apprendre à échanger et, que ce soit avec des frères et sœurs ordinaires ou avec ceux qui collaborent avec toi, que tu es en mesure de chercher et d’échanger avec eux, qu’est-ce que cela prouve ? Cela montre que tu as l’attitude qui consiste à chercher la vérité et à t’y soumettre, ce qui reflète en premier lieu ton attitude envers Dieu et la vérité. En outre, l’accomplissement de ton devoir relève de ta responsabilité, et chercher la vérité dans ton travail est le chemin que tu devrais suivre. Quant à la façon dont les autres réagissent à tes décisions, à leur capacité à se soumettre ou à la façon dont ils se soumettent, c’est leur affaire ; mais ta capacité à accomplir correctement ton devoir et à satisfaire aux normes dépend de toi. Tu dois comprendre les principes de l’accomplissement du devoir ; il ne s’agit pas de te soumettre à un quelconque individu, mais de te soumettre aux vérités-principes. Si tu as l’impression de comprendre les vérités-principes et, en échangeant avec tout le monde, de parvenir à un consensus que tout le monde trouve adapté, mais qu’il y a quelques personnes qui sont récalcitrantes et qui veulent causer des problèmes, que convient-il de faire dans une telle situation ? Dans ce cas, la minorité devrait suivre la majorité. Puisque la plupart des gens sont parvenus à un consensus, pourquoi sortent-ils pour causer des problèmes ? Essayent-ils délibérément de provoquer la destruction ? Ils peuvent exprimer leurs opinions pour permettre à tout le monde de les discerner, et si tout le monde dit que leurs opinions ne sont pas conformes aux principes et ne tiennent pas la route, alors ils devraient abandonner leurs points de vue et cesser de s’y accrocher. Quel est le principe pour traiter cette question ? Il faut défendre ce qui est juste et ne pas obliger les autres à obéir à ce qui est mal. Compris ? En fait, avant que les antéchrists ne manifestent ce comportement et cette pratique consistant à être arbitraires et dictatoriaux, ils ont déjà leurs propres plans en tête. Être arbitraire et dictatorial ne signifie assurément pas faire ce qui est juste ou pratiquer la vérité. Il s’agit sans aucun doute de faire ce qui est mauvais et ce qui viole la vérité, de suivre le mauvais chemin et de prendre de mauvaises décisions tout en s’attendant à ce que les autres écoutent. C’est ce qu’on appelle être arbitraire et dictatorial. Si une chose est juste et conforme à la vérité, alors elle doit être respectée. Ce n’est pas être arbitraire et dictatorial ; c’est s’en tenir aux principes. Il convient de distinguer les deux. Que désigne principalement le fait que les antéchrists soient arbitraires et dictatoriaux ? (Qu’ils font des choses qui ne sont pas conformes aux principes ou à la vérité, tout en incitant les autres à faire de même.) C’est vrai, quelle que soit la situation qui se produit ou le problème qui est traité, ils ne recherchent pas les vérités-principes, mais prennent des décisions à partir de leurs propres notions et de leur propre imagination. Ils savent, dans leur cœur, qu’agir ainsi va à l’encontre des principes, mais ils souhaitent tout de même que les autres écoutent et se soumettent. Telle est l’approche systématique des antéchrists.

Lorsque le travail d’expansion de l’Évangile a commencé, certaines personnes ont amené La Parole apparaît dans la chair dans les cercles religieux pour prêcher l’Évangile. Les religieux, après avoir lu les paroles de Dieu qui révèlent des mystères, échangent sur des visions et discutent de l’entrée dans la vie, ont tous dit qu’elles étaient assez bonnes. Cependant, ils ont trouvé certaines paroles de jugement et d’exposition à propos des gens trop dures dans le choix des termes. Ils ont eu l’impression d’être réprimandés et n’ont pas pu l’accepter, disant : « Dieu peut-il parler d’une manière qui réprimande les gens ? Ces paroles, au mieux, semblent avoir été écrites par une personne sage. » L’homme responsable de la diffusion de l’Évangile a affirmé avoir une solution. Plus tard, il a modifié toutes les parties des paroles de Dieu qui ne correspondaient pas aux notions, à l’imagination et aux goûts des gens, ainsi que les paroles qu’il craignait de voir provoquer le développement de notions chez ceux qui les liraient. Par exemple, les paroles utilisées par Dieu pour exposer la nature humaine, comme « femme de petite vertu », « prostituée » ou « canaille », ou encore des expressions telles que « jeté en enfer » ou « jeté dans l’étang de feu et de soufre », ont toutes été supprimées. En résumé, toutes les paroles qui pouvaient facilement donner lieu à des notions ou à des malentendus ont été entièrement supprimées. Dites-Moi, après que ces paroles de jugement, de condamnation et de malédiction ont été supprimées des paroles de Dieu, restent-elles les paroles d’origine de Dieu ? (Non.) Sont-elles toujours les paroles exprimées par Dieu dans Son œuvre de jugement ? Ce « vieux monsieur » ne s’est entretenu avec personne et a supprimé de nombreuses paroles de Dieu qui étaient particulièrement dures concernant l’épurement et l’exposition des tempéraments corrompus des gens, principalement celles relatives au temps de l’épreuve des exécutants. Plus tard, lorsque les religieux ont lu la version révisée, ils ont dit : « Pas mal, nous pouvons croire en un tel dieu », et ils l’ont acceptée. Le vieux monsieur s’est dit : « Regardez comme je suis intelligent ! Il n’est pas sage que les paroles de dieu soient trop dures. Dans le cas de ces personnes, il s’agit de les amadouer – comment pourrais-tu dire des choses susceptibles d’être confondues avec des réprimandes ? Ce n’est pas sage ! J’ai apporté quelques modifications, et regardez ce qui s’est passé : même les pasteurs religieux sont prêts à croire, et de plus en plus de gens l’acceptent. Qui l’eût cru ? N’est-ce pas de la sagesse de ma part ? De l’intelligence ? Tout cela n’est-il pas assez impressionnant ? » Les résultats de ses modifications l’ont rendu extrêmement fier de lui. Cependant, certains religieux qui sont entrés dans l’Église ont constaté que les paroles de Dieu qu’ils avaient lues avaient été altérées et étaient différentes des textes originaux de l’Église, et cette question a été soulevée. Il a été découvert que le vieux monsieur avait modifié le contenu des paroles de Dieu. Que pensez-vous de ce qu’a fait ce vieux monsieur ? Ne mentionnons rien d’autre et disons simplement : ces paroles n’étaient pas les tiennes, tu n’avais aucun droit de les modifier. Même s’il s’agissait d’un article ou d’un livre écrit par un humain, si tu souhaites y apporter des modifications, tu dois d’abord obtenir le consentement de l’auteur d’origine. S’il est d’accord, tu peux y apporter des modifications. S’il n’est pas d’accord, tu ne peux en aucun cas en modifier ne serait-ce qu’un seul mot. C’est ce qu’on appelle respecter l’auteur et les lecteurs. Si l’auteur manque de l’énergie nécessaire pour apporter des modifications et qu’il t’y autorise, en disant que tu peux changer ce que tu veux du moment que cela reste fidèle à la signification originelle et que cela produit l’effet souhaité, peux-tu alors apporter des modifications ? (Oui.) Si l’auteur a donné son consentement ou son autorisation, des modifications peuvent être apportées. Comment appelle-t-on ce genre de comportement ? Il est justifiable, légitime et approprié, non ? Mais que se passe-t-il si l’auteur n’a pas donné son accord et que tu apportes des modifications sans son autorisation ? Comment cela s’appelle-t-il ? (Être imprudent et obstiné.) C’est ce qu’on appelle être imprudent et obstiné, arbitraire et dictatorial. À présent, qu’a changé ce vieux monsieur ? (Les paroles de Dieu.) Les paroles d’origine de Dieu, qui expriment Son humeur, Son tempérament et Ses intentions à l’égard de l’humanité. Les paroles de Dieu sont significatives dans la façon dont elles sont dites. Connais-tu l’humeur, le but et l’effet désiré derrière chaque parole prononcée par Dieu ? Si c’est insondable pour toi, pourquoi apporter aveuglément des modifications ? Chaque phrase prononcée par Dieu, le choix des mots, le ton, ainsi que l’atmosphère, l’humeur et les émotions qu’ils font ressentir aux gens, font tous l’objet d’une formulation et d’une considération minutieuses. Dieu est pourvu de délibération et de sagesse. Que pensait ce vieux monsieur ? Il considérait que la façon de parler de Dieu n’était pas sage. C’est ainsi qu’il voyait l’œuvre de Dieu. Voici ce qu’il croyait : « Ceux qui, dans la religion, souhaitent seulement manger du pain à leur faim doivent être amadoués et traités avec amour et miséricorde. Les paroles ne peuvent pas être si dures. Si elles sont trop dures, comment l’Évangile peut-il être diffusé ? L’Évangile peut-il encore s’étendre, dans ces conditions ? » Dieu n’est-Il pas au courant de cela ? (Si.) Dieu le sait très bien. Alors pourquoi parle-t-Il encore de cette façon ? C’est le tempérament de Dieu. Quel est le tempérament de Dieu ? Il consiste à parler à Sa manière, que tu croies ou non. Si tu crois, tu es l’une des brebis de Dieu ; si tu ne crois pas, tu es un loup. Les paroles de Dieu t’exposent et te réprimandent un peu, et tu refuses ensuite de reconnaître que tu es un croyant en Dieu ? Quoi, n’es-tu plus un être créé de Dieu ? Dieu a-t-Il cessé d’être Dieu ? Si tu es capable de nier Dieu à cause de cela, alors tu es une personne malfaisante, un démon. Dieu ne sauve pas de telles personnes, de sorte que l’Église ne devrait pas les accepter, que ce soit par la force ou en les amadouant. Certains disent : « Même si Dieu me réprimande, j’y consens volontiers. S’Il est Dieu, Il peut me sauver. S’Il me frappe, c’est mérité. S’Il me qualifie de personne confuse, alors c’est que je le suis, encore plus confuse que ça ; s’Il me qualifie de femme de petite vertu, bien que je ne semble pas avoir fait ce que fait une femme de petite vertu, puisque Dieu le dit, je le reconnais et je l’accepte. » Ils ont la croyance, la reconnaissance et l’acceptation les plus simples, et le cœur qui craint Dieu le plus simple. Dieu souhaite gagner de telles personnes. Certaines personnes trouvent les paroles de Dieu trop dures et incisives, ayant l’impression qu’elles ne recevront pas de bénédictions, et ainsi, elles ne veulent plus croire. Elles pensent : « Même si tu es dieu, je ne croirai pas en toi. Si tu parles comme ça, je ne te suivrai pas. » Alors, qu’elles fichent le camp ! Si tu ne reconnais même pas Dieu, comment Dieu peut-Il reconnaître en toi Son être créé ? C’est impossible ! Les paroles de Dieu sont énoncées ici ; crois-les ou non, le choix t’appartient. Si tu ne crois pas, va te faire cuire un œuf. Tu n’obtiendras rien. Si tu crois, tu auras une lueur d’espoir pour le salut. N’est-ce pas juste ? (Si.) Mais ce vieux monsieur a-t-il réfléchi ainsi ? Pouvait-il percer à jour les pensées de Dieu ? (Non.) N’a-t-il pas fait preuve de stupidité ? Les gens qui sont dépourvus de compréhension spirituelle commettent de tels actes stupides. Il percevait Dieu comme très insignifiant et simple, se disant que les pensées de Dieu n’étaient pas beaucoup plus élevées que les pensées humaines. Il évoquait souvent les pensées de Dieu comme étant plus élevées que celles de l’homme, prêchant ces grandes doctrines pendant les périodes ordinaires, mais lorsqu’il était réellement confronté à une situation, il reléguait ces paroles dans un coin de sa tête, sentant que ces paroles de Dieu ne ressemblaient pas à quelque chose que Dieu dirait. Dans son cœur, il ne reconnaissait pas ces paroles de Dieu, donc il ne pouvait tout simplement pas les accepter. Au moment même où l’Évangile était diffusé, il en a profité pour modifier les paroles de Dieu, même sous le prétexte de « diffuser l’Évangile efficacement et de gagner plus de gens ». Comment, en fin de compte, ai-Je désigné son comportement ? Comme une altération des paroles de Dieu. Que signifie l’altération ? Elle désigne le fait d’ajouter, de soustraire ou de modifier arbitrairement le sens d’origine, de modifier le sens voulu par l’auteur, de ne pas tenir compte des intentions et du but initiaux de l’expression de l’auteur, puis de les modifier au hasard. C’est ce qu’on appelle l’altération. Avait-il un cœur qui craignait Dieu ? (Non.) Quelle audace ! Est-ce quelque chose qu’un humain ferait ? (Non.) C’est l’œuvre d’un démon, pas d’un humain. Tu ne peux même pas modifier avec désinvolture les paroles d’une personne ordinaire ; tu dois respecter l’opinion de l’auteur. Si tu souhaites apporter des modifications, tu dois l’en informer à l’avance et obtenir son consentement, et ce n’est qu’après avoir reçu sa permission que tu pourras apporter des modifications conformément à la signification d’origine. C’est ce qu’on appelle le respect. Quand il s’agit de Dieu, ce qu’il faut, c’est bien plus que du simple respect ! Si même une seule phrase des paroles de Dieu est imprimée de façon incorrecte, s’il lui manque ne serait-ce qu’un seul article grammatical, vous devez demander si c’est acceptable ; si ce n’est pas le cas, vous devez réimprimer la page concernée. Cela nécessite une attitude aussi sérieuse et responsable ; c’est ce qu’on appelle avoir un cœur qui craint Dieu. Ce vieux monsieur avait-il un cœur que l’on pouvait qualifier ainsi ? (Non.) Il n’avait pas un cœur qui craignait Dieu. Il considérait Dieu comme inférieur à lui ; il était complètement audacieux. Une telle personne devrait être expulsée.

Un incident similaire s’est produit récemment. Certaines personnes ont de nouveau utilisé le prétexte de diffuser l’Évangile et de gagner plus de gens comme une raison de modifier imprudemment les paroles de Dieu. Cette fois-ci, cela a été légèrement mieux que la fois précédente ; la dernière fois, cela avait été fait de manière arbitraire et dictatoriale, sans échanger avec les autres, en agissant de manière aléatoire et inconsidérée pour altérer les paroles de Dieu. Cette fois, les personnes ont d’abord interrogé le Supérieur en disant : « Les gens d’un certain groupe ethnique ne peuvent pas accepter certains termes des paroles de dieu. Nous avons mis au point une stratégie pour supprimer ou modifier ces termes, ainsi que les parties des expressions ou des passages des paroles de dieu qu’ils ne peuvent pas accepter, puis pour prêcher auprès d’eux avec une version spécialement adaptée des paroles de dieu. Ne croiraient-ils pas dans ce cas ? » Regardez ça ; ils sont vraiment audacieux. De quel genre de comportement s’agit-il ? Si elles étaient traitées avec indulgence, de telles personnes pourraient simplement être considérées comme stupides et ignorantes, et trop jeunes ; on pourrait simplement leur dire de ne plus recommencer à l’avenir. Mais si nous jugeons de la nature de leurs actes, elles étaient en train de modifier avec désinvolture les paroles de Dieu pour plaire à Satan. Comment nomme-t-on cela ? C’est le comportement de Judas, des traîtres et des rebelles, celui qui consiste à vendre le Seigneur pour la gloire. Elles ont altéré les paroles de Dieu, les rendant plus acceptables et agréables aux oreilles des gens afin de leur plaire et de les amener à accepter l’Évangile – à quoi cela équivaut-il ? Même si aucune personne sur terre ne croit, les paroles de Dieu cessent-elles d’être les paroles de Dieu ? La nature des paroles de Dieu change-t-elle ? (Non.) Les paroles de Dieu sont-elles seulement la vérité si les gens les acceptent, et si ce n’est pas le cas, est-ce que Ses paroles ne sont pas la vérité ? La nature des paroles de Dieu peut-elle changer à cause de cela ? Absolument pas. La vérité est la vérité ; si tu ne l’acceptes pas, tu péris ! Certaines personnes qui diffusent l’Évangile pensent : « Comme ils sont pitoyables de ne pas avoir accepté ! Quel peuple formidable et noble ils sont ! Dieu leur accorde tellement d’amour et de miséricorde, comment pouvons-nous ne pas leur montrer un peu d’amour ? Modifions les paroles de dieu pour qu’ils puissent accepter. Comme ces gens sont merveilleux, et comme dieu est bon et miséricordieux envers eux. Nous devrions être attentifs aux intentions de dieu ! » N’est-ce pas une contrefaçon ? (Si.) Un autre imposteur : ceux qui ne comprennent pas la vérité ne peuvent que faire des choses stupides ! Il a déjà été dit que quelqu’un qui avait altéré les paroles de Dieu avait été géré et expulsé, et maintenant, certaines personnes veulent les altérer de nouveau. Que tentent-elles de faire ? Ceci n’est-il pas vendre le Seigneur pour la gloire ? (Si.) C’est vendre le Seigneur pour la gloire, plaire à Satan. Les paroles de Dieu ne sont-elles pas concrètes ? Ne peuvent-elles pas être présentées ouvertement ? Ne les reconnais-tu pas comme la vérité ? Si tu ne les reconnais pas, alors pourquoi crois-tu encore ? Si tu ne peux pas accepter la vérité, à quoi bon croire en Dieu ? Il est impossible d’atteindre le salut de cette façon. Peu importe la façon dont Dieu parle, quelles que soient les paroles employées par Lui qui ne correspondent pas à tes notions, Il demeure Dieu, et Son essence ne change pas. Peu importe à quel point tu parles agréablement, peu importe ce que tu fais, peu importe à quel point tu te penses gentil, bienveillant ou aimant, tu restes un humain, un humain corrompu. Tu refuses de reconnaître les paroles de Dieu comme la vérité et tu tentes de modifier les paroles de Dieu pour plaire à Satan. De quel genre de comportement s’agit-il ? C’est méprisable ! Je pensais qu’après les échanges précédents sur la nature de l’altération des paroles de Dieu, un tel problème ne se poserait pas à nouveau dans la diffusion de l’Évangile, à l’heure actuelle. Pourtant, aussi incroyable que cela puisse paraître, il y a encore des gens qui osent procéder à des altérations et nourrir de telles pensées. Quelle est l’attitude de ces personnes envers les paroles de Dieu ? (L’irrévérence.) Elles sont tout à fait imprudentes ! Dans leur cœur, les paroles de Dieu sont aussi légères que des plumes, elles sont sans conséquence. Elles pensent : « Les paroles de dieu peuvent être formulées de n’importe quelle manière ; je peux changer ses paroles à ma guise. Il est préférable de les aligner sur les notions et les goûts humains. C’est ainsi que les paroles de dieu devraient être ! » Ceux qui font des choses telles qu’altérer les paroles de Dieu peuvent être étiquetés comme des antéchrists. Ils agissent de manière imprudente et irréfléchie, procédant à des altérations de façon aléatoire ; ils sont arbitraires et dictatoriaux, et partagent le même tempérament et la même nature que les autres antéchrists. Et il y a un autre aspect : quelles sont leur première pensée et leur première action lorsqu’ils sont confrontés à un danger ou lorsque leurs propres intérêts subissent un préjudice ? Que choisissent-ils ? Ils choisissent de trahir les intérêts de Dieu et les intérêts de la maison de Dieu pour se protéger. Ceux qui altèrent les paroles de Dieu, le font-ils réellement pour diffuser efficacement l’Évangile ? Quel est l’arrière-pensée de leur soi-disant efficacité ? Ils veulent exhiber leurs talents et leurs capacités, en faisant voir aux gens : « Regardez comme je suis capable ! Voyez dans quelle mesure l’Évangile est diffusé efficacement après mes modifications ? Vous n’êtes pas dotés des mêmes compétences, vous n’oseriez même pas penser comme cela. Regardez, avec mes pensées et mes actions, voyez-vous les résultats que j’ai obtenus ? » Ces personnes ne tiennent pas compte des paroles de Dieu et les altèrent pour satisfaire leur propre ambition et leur propre désir de poursuivre la gloire et le statut. N’ont-elles pas le caractère d’un antéchrist ? Les étiqueter comme des antéchrists n’est pas du tout injuste.

Pouvez-vous citer une autre manifestation du caractère arbitraire et dictatorial des antéchrists ? Ils n’échangent jamais sur la vérité avec les frères et sœurs, et ne résolvent pas non plus les problèmes réels des gens. Au lieu de cela, ils se contentent de prêcher des formules et des doctrines pour faire la leçon aux gens, et même obliger les autres à leur obéir. Qu’en est-il de leur attitude et de leur approche à l’égard du Supérieur et de Dieu ? Elle n’est que tromperie et duplicité. Quels que soient les problèmes au sein de l’Église, ils ne signalent jamais rien au Supérieur. Quoi qu’ils fassent, ils ne se renseignent jamais auprès du Supérieur. Ils semblent n’avoir aucun problème qui nécessite des échanges ou la guidance du Supérieur – tout ce qu’ils font est furtif et secret, et en coulisses. C’est ce qu’on appelle la manipulation fourbe, par laquelle ils souhaitent avoir le dernier mot et assumer le rôle de décideur. Cependant, parfois, ils se livrent également à des mascarades, soulevant des questions triviales pour se renseigner auprès du Supérieur, se faisant passer pour quelqu’un qui poursuit la vérité, amenant le Supérieur à croire à tort qu’ils cherchent la vérité en tout avec la plus grande minutie. En réalité, ils ne sollicitent jamais une quelconque guidance sur une question importante, quelle qu’elle soit, prenant des décisions unilatérales et gardant le Supérieur dans l’ignorance. Si un problème survient, ils sont encore moins susceptibles de le signaler, craignant qu’il n’affecte leur pouvoir, leur statut ou leur réputation. Les antéchrists agissent de manière arbitraire et dictatoriale ; ils n’échangent jamais avec les autres, et les obligent à leur obéir. Pour le dire clairement, les principales manifestations de ce comportement sont les suivantes : prendre part à une gestion personnelle ; cultiver leur influence, leur clique personnelle et leurs relations ; poursuivre leurs propres entreprises ; ensuite, ils font ce qu’ils veulent, faisant des choses qui leur profitent et agissant sans transparence. Le souhait et le désir des antéchrists de voir les autres se soumettre à eux sont particulièrement forts ; ils s’attendent à ce que les gens leur obéissent comme un chasseur faisant obéir son chien à ses ordres, ne permettant aucun discernement du bien ou du mal, insistant sur une déférence et une soumission absolues.

Une autre manifestation du caractère arbitraire et dictatorial des antéchrists peut être observée dans le scénario suivant. Par exemple, si le dirigeant d’une certaine Église est un antéchrist, et que les dirigeants et les ouvriers de niveau supérieur ont l’intention de se renseigner sur le travail de cette Église, et d’intervenir dans celui-ci, cet antéchrist serait-il d’accord ? Absolument pas. Dans quelle mesure contrôle-t-il l’Église ? Comme une forteresse impénétrable, que l’aiguille ne peut percer et dans laquelle l’eau ne peut s’infiltrer, il ne permet à personne d’autre de s’impliquer ou de poser des questions. Quand il apprend que les dirigeants et les ouvriers viennent pour se renseigner sur le travail, il dit aux frères et sœurs : « Je ne sais pas quel est le but que poursuivent ces gens en venant. Ils ne comprennent pas la situation réelle de notre Église. S’ils interfèrent, ils pourraient perturber le travail de notre Église. » C’est ainsi qu’il induit les frères et sœurs en erreur. Une fois les dirigeants et les ouvriers arrivés, il trouve diverses raisons et excuses pour empêcher les frères et sœurs de les contacter, tout en divertissant hypocritement les dirigeants et les ouvriers, en les gardant isolés dans un lieu sous prétexte d’assurer leur sécurité ; mais en réalité, c’est pour les empêcher de rencontrer les frères et sœurs et de se renseigner sur la situation auprès d’eux. Lorsque les dirigeants et les ouvriers s’enquièrent de la situation du travail, l’antéchrist se livre à la tromperie en présentant une fausse image ; il trompe ceux qui sont au-dessus de lui et cache la vérité à ceux qui sont en dessous de lui, étoffe ses déclarations et exagère l’efficacité du travail pour les tromper. Lorsque les dirigeants et les ouvriers suggèrent de rencontrer les frères et sœurs de l’Église, il répond : « Je n’ai pris aucune disposition ! Tu ne m’as pas averti avant de venir. Si tu l’avais fait, j’aurais fait en sorte que certains des frères et sœurs puissent te rencontrer. Mais étant donné l’environnement hostile actuel, pour des raisons de sécurité, il est préférable que vous ne rencontriez pas les frères et sœurs. » Bien que ses paroles semblent raisonnables, une personne perspicace peut détecter le problème : « Il ne veut pas que les dirigeants et les ouvriers rencontrent les frères et sœurs parce qu’il a peur d’être exposé, craignant que les défauts et les déviations de son travail ne soient révélés. » L’antéchrist contrôle étroitement les frères et sœurs de l’Église. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont pas responsables, ils peuvent facilement être trompés et dupés par l’antéchrist. La situation réelle des frères et sœurs de l’Église, leurs difficultés qui restent non résolues, si les échanges et les sermons du Supérieur et les livres des paroles de Dieu sont mis à disposition des frères et sœurs en temps voulu, la manière dont les différents projets de travail de l’Église progressent, s’il y a des déviations ou des problèmes – toutes ces choses, les dirigeants et les ouvriers n’en auraient aucune idée. Les frères et sœurs ne sont non plus au courant d’aucun nouvel arrangement de travail dans la maison de Dieu ; ainsi, l’antéchrist contrôle complètement l’Église, monopolisant le pouvoir et ayant le dernier mot sur les différentes questions. Les frères et sœurs de l’Église n’ont aucune possibilité de contacter les dirigeants et les ouvriers de niveau supérieur, et ne connaissant pas la vérité factuelle, ils sont induits en erreur et contrôlés par l’antéchrist. Ces dirigeants et ouvriers de l’inspection, quelle que soit la façon dont l’antéchrist s’exprime, manquent de discernement et pensent toujours que l’antéchrist fait du bon travail, lui accordant toute leur confiance. Cela équivaut à confier le peuple élu de Dieu aux soins de l’antéchrist. Si, au cours de la tromperie de l’antéchrist, les dirigeants et les ouvriers sont incapables de discernement, sont irresponsables et ne savent pas comment gérer la situation, n’est-ce pas entraver le travail de l’Église et nuire au peuple élu de Dieu ? De tels dirigeants et ouvriers ne sont-ils pas de faux dirigeants et ouvriers ? En ce qui concerne une Église contrôlée par un antéchrist, les dirigeants et les ouvriers doivent intervenir et faire des enquêtes, et ils doivent gérer l’antéchrist et se débarrasser de lui dans les meilleurs délais – cela ne fait aucun doute. S’il y a de faux dirigeants qui n’accomplissent aucun travail concret et qui ignorent que l’antéchrist induit en erreur le peuple élu de Dieu, le peuple élu devrait exposer ces faux dirigeants et ouvriers, les signaler, les retirer de leurs postes et les remplacer par de bons dirigeants. C’est la seule façon de résoudre entièrement le problème de l’antéchrist qui induit les gens en erreur. Certains peuvent dire : « De tels dirigeants et ouvriers peuvent avoir un calibre médiocre et manquer de discernement, c’est pourquoi ils n’ont pas réussi à gérer et à résoudre le problème de l’antéchrist. Ils ne le font pas délibérément ; ne devraient-ils pas avoir une autre chance ? » Aucune seconde chance ne devrait être donnée à de tels dirigeants confus. Si on leur donne une autre chance, ils ne feront que continuer à nuire au peuple élu de Dieu. C’est parce que ce ne sont pas des gens qui poursuivent la vérité ; ils sont dépourvus de conscience et de raison, et sont sans principes dans leurs actions – ce sont des gens méprisables qui devraient être éliminés ! Au cours des deux dernières années, des frères et sœurs de certaines Églises se sont unis pour congédier, remplacer et éliminer de tels faux dirigeants et antéchrists qui n’accomplissent aucun travail concret. N’est-ce pas une bonne chose ? (Si.) Cela Me plaît d’entendre ce genre de bonnes nouvelles ; c’est la meilleure preuve que le peuple élu de Dieu grandit dans la vie et entre dans la bonne voie de la croyance en Dieu. Cela montre que les gens ont acquis un certain discernement et une certaine stature, et ne sont plus contrôlés par de faux dirigeants et des démons antéchrists. Les faux dirigeants et antéchrists ordinaires ne peuvent plus induire en erreur ou contrôler le peuple élu de Dieu, qui n’est plus contraint par le statut ou le pouvoir. Il a le courage de discerner et d’exposer les faux dirigeants et les antéchrists, osant les bannir et les congédier. En fait, qu’il s’agisse de dirigeants et d’ouvriers ou des personnes ordinaires parmi les élus de Dieu, ils ont tous un statut égal devant Dieu, ne différant que par leurs devoirs. Dans la maison de Dieu, il n’y a pas de distinction de statut, seulement des différences de devoir et de responsabilité. Lorsqu’ils sont confrontés à de faux dirigeants et à des antéchrists perturbant le travail de l’Église, les dirigeants, les ouvriers et le peuple élu de Dieu devraient les exposer et les signaler, en les gérant rapidement et en expulsant les antéchrists de l’Église. Cette responsabilité est la même et elle est partagée par tous.

Les antéchrists sont arbitraires et dictatoriaux, n’échangent jamais avec les autres et doivent avoir le dernier mot sur toutes les questions – ces problèmes ne sont-ils pas tous clairement visibles ? Échanger avec les autres et chercher des principes n’est pas une formalité ou un processus superficiel ; quel est le but ? (Accomplir ses devoirs avec des principes, et avoir un chemin pour les accomplir.) C’est vrai ; c’est pouvoir avoir des principes et un chemin dans l’accomplissement de ses devoirs. Quelles sont les exigences de Dieu et quels sont les règlements de la maison de Dieu ? Ce n’est qu’en cherchant la vérité dans les paroles de Dieu et en comprenant les principes que l’on peut accomplir efficacement son devoir. Si vous échangez sur la vérité pour résoudre les problèmes, quelle approche devriez-vous adopter ? Quelles personnes doivent être impliquées ? Les bonnes personnes doivent être choisies ; vous devriez échanger principalement avec certaines personnes de bon calibre qui peuvent comprendre la vérité, car cela conduira à des résultats efficaces. C’est essentiel. Si vous sélectionnez des personnes confuses, de calibre médiocre et dépourvues de raison, à qui absolument aucune discussion ne permettra de comprendre ou d’atteindre la vérité, alors même si une abondance de vérité est échangée, cela ne produira aucun résultat. Indépendamment des problèmes qui surviennent dans l’Église, le peuple élu de Dieu a le droit d’être informé et devrait connaître la situation du travail de l’Église et les problèmes existants. Si les dirigeants et les ouvriers induisent en erreur ceux qui sont au-dessus d’eux et cachent la vérité à ceux qui sont en dessous d’eux, en employant des méthodes destinées à confondre les autres, le peuple élu de Dieu a le droit de les exposer et de les signaler, ou de dénoncer la situation à leurs supérieurs. C’est aussi le devoir et l’obligation du peuple élu de Dieu. Certains faux dirigeants agissent de manière arbitraire et dictatoriale, contrôlant le peuple élu de Dieu dans l’Église. Cela revient à résister et à s’opposer à Dieu, c’est une pratique constante des antéchrists. Si le peuple élu de Dieu n’expose et ne signale pas cela, et si le travail de l’Église est entravé ou qu’il stagne, ce ne sont pas seulement les dirigeants et les ouvriers qui portent la responsabilité, mais aussi le peuple élu de Dieu, car c’est le peuple élu de Dieu qui souffre lorsque de faux dirigeants et des antéchrists exercent le pouvoir dans l’Église, mettant potentiellement en péril sa chance de recevoir le salut. Par conséquent, le peuple élu de Dieu a le droit et la responsabilité de signaler et d’exposer les faux dirigeants et les antéchrists, ce qui est bénéfique pour le travail de l’Église et l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Certains dirigeants et ouvriers disent : « Vous dites tous que je suis arbitraire et dictatorial, n’est-ce pas ? Cette fois, je ne serai pas comme cela. Je vais permettre à tout le monde d’exprimer son opinion. Un jour, deux jours – j’attendrai le temps qu’il vous faudra pour la partager. » Parfois, face à certains problèmes spécifiques, les litiges se poursuivent pendant des jours sans solution, et ils se contentent de continuer à attendre. Ils attendent que tout le monde parvienne à un consensus avant de poursuivre le travail, ce qui peut entraîner des retards importants. Cela entrave beaucoup le travail ; c’est clairement une manifestation d’irresponsabilité. Comment un dirigeant ou un ouvrier peut-il gérer efficacement le travail de l’Église s’il ne peut pas prendre de décisions ? Dans le travail de l’Église, alors que les dirigeants et les ouvriers ont le pouvoir de prendre des décisions, les frères et sœurs ont le droit d’être informés. Cependant, en fin de compte, ce sont les dirigeants et les ouvriers qui doivent prendre les décisions. Si un dirigeant ou un ouvrier est incapable de prendre des décisions, alors son calibre est trop médiocre et il ne convient pas aux rôles de direction. Même s’il est dirigeant, il ne peut pas réaliser de travail concret ou accomplir son devoir convenablement. Certains dirigeants et ouvriers se disputent sur une seule question pendant longtemps, incapables de prendre une décision, et en fin de compte, se contentent de suivre la personne qui, d’après leur constat, est la plus déterminée. Cette approche est-elle fondée sur des principes ? (Non.) De quel genre de direction s’agit-il ? C’est simplement faire preuve de confusion. Si tu dis : « Les antéchrists sont arbitraires et dictatoriaux, et je crains d’en devenir un ; je ne souhaite pas emprunter le chemin d’un antéchrist. J’attendrai que chacun ait exprimé son opinion, puis je conclurai et résumerai une approche modérée pour la décision » – est-ce acceptable ? (Non.) Pourquoi ? Si le résultat ne correspond pas aux vérités-principes, même si tu procèdes de cette manière, peut-il être efficace ? Satisfera-t-il Dieu ? S’il n’est pas efficace et qu’il ne satisfait pas Dieu, alors le problème est grave. Ne pas agir selon les vérités-principes, être irresponsable dans l’accomplissement de ton devoir, être superficiel et faire les choses selon la philosophie de Satan, c’est être déloyal envers Dieu. C’est tromper Dieu ! Pour éviter que l’on te soupçonne d’être un antéchrist, ou que l’on te juge comme tel, tu te dérobes aux responsabilités que tu devrais assumer et tu adoptes l’approche « compromettante » de la philosophie de Satan. En conséquence, tu nuis au peuple élu de Dieu et affectes le travail de l’Église. N’est-ce pas sans principes ? N’est-ce pas égoïste et méprisable ? En tant que dirigeant ou ouvrier, tu dois parler et agir en te fondant sur des principes, et accomplir tes devoirs avec des résultats et de l’efficacité. Tu devrais agir de toutes les manières, quelles qu’elles soient, qui profitent au travail de la maison de Dieu et qui s’alignent sur les vérités-principes. Par exemple, les articles pour l’Église doivent être achetés en ayant à l’esprit un résultat pratique. Les articles doivent être à un prix raisonnable et fonctionnels. Si vous dépensez de l’argent imprudemment et sans principes, cela peut entraîner une perte pour les intérêts de la maison de Dieu et pour les offrandes de Dieu. Comment géreriez-vous une telle situation ? (En sollicitant la guidance du Supérieur.) Solliciter la guidance du Supérieur est une manière de gérer la situation. De plus, ne soyez pas paresseux. Menez des recherches approfondies, renseignez-vous largement, posez davantage de questions autour de vous, comprenez les détails et préparez-vous de manière suffisante ; peut-être qu’alors une solution relativement appropriée pourra être trouvée. Si vous ne faites pas ce travail préparatoire et que vous agissez avec négligence, sans comprendre les détails, ce qui entraîne un gaspillage de grandes sommes d’argent, comment appelle-t-on cela ? C’est ce qu’on appelle être superficiel. Certaines personnes accomplissent leur devoir de cette manière, manquant de transparence dans leurs actes. Elles ne signalent que la moitié de ce qu’elles devraient, dissimulant le reste parce qu’elles estiment qu’être complètement transparentes leur causera des problèmes et qu’elles devront effectuer d’autres recherches et procéder à d’autres améliorations. Ainsi, elles cachent simplement aux autres la situation réelle et les détails, achevant rapidement la tâche, puis demandant à la maison de Dieu de payer. Mais après inspection, la tâche n’est pas à la hauteur et doit être retravaillée, et encore plus d’argent est gaspillé. Cela ne nuit-il pas à la maison de Dieu ? N’est-ce pas le comportement d’un Judas ? (Si.) Le comportement d’un Judas implique spécifiquement de trahir les intérêts de la maison de Dieu. Lorsqu’elle est confrontée à des situations, une telle personne se range du côté de ceux qui sont en dehors de l’Église, ne considérant que sa propre chair et ne pensant absolument pas aux intérêts de la maison de Dieu. A-t-elle une quelconque loyauté envers Dieu ? (Non.) Absolument aucune loyauté. De telles personnes prennent plaisir à trahir les intérêts de la maison de Dieu et à nuire au travail de l’Église – c’est le comportement d’un Judas. Il existe également une autre situation : certains devoirs impliquent des connaissances spécialisées ou une expertise dans d’autres domaines, que tout un chacun ne maîtrise pas forcément. Dans de tels cas, vous ne devez pas éviter les ennuis. En cette ère où les informations sont abondantes, vous ne devriez pas faire preuve de paresse, mais rechercher activement des données et des informations pertinentes. En commençant par acquérir les informations les plus élémentaires, tu gagnes progressivement une compréhension de base de la profession ou du domaine, puis tu te renseignes petit à petit sur davantage d’aspects dans le cadre de ce domaine, qu’il s’agisse de données ou de divers termes professionnels, te familiarisant fondamentalement avec celui-ci. Après avoir atteint ce niveau, n’est-ce pas plus bénéfique pour accomplir tes devoirs convenablement et avec loyauté ? (Si.) Alors, quel est le but de tout ce travail préparatoire lors de l’accomplissement de ton devoir ? La recherche, la compréhension des détails, puis l’identification de solutions faisables via l’échange et la discussion font toutes trois partie de la préparation pour l’accomplissement convenable de ton devoir. Bien faire ces préparations démontre de la loyauté dans l’accomplissement de son devoir ; cela révèle aussi ceux qui sont superficiels. Qu’en est-il de l’attitude des incrédules et de ceux qui ne se dépensent pas véritablement pour Dieu lorsqu’ils accomplissent leurs devoirs ? Ils sont entièrement superficiels ; peu importe ce qu’ils achètent pour l’Église, ils dépensent de l’argent imprudemment en suivant leurs propres caprices, sans solliciter la guidance du Supérieur, pensant tout comprendre. En conséquence, ils gaspillent l’argent de la maison de Dieu. Ne sont-ils pas des bons à rien, des annonciateurs du désastre ? Ils entraînent des pertes aux offrandes de Dieu et ne se rendent même pas compte qu’ils font le mal et résistent à Dieu ; leur cœur ne ressent absolument aucun remords. Ce n’est que lorsque le peuple élu de Dieu les expose et les discerne, et qu’on vote pour qu’ils soient exclus et expulsés, qu’ils acquièrent une certaine conscience et commencent à éprouver des regrets. Ils ne se rendaient pas compte que leurs actes auraient des conséquences aussi graves – vraiment, ils ne verseront pas une larme avant d’avoir vu leur propre cercueil ! Ces gens sont pour la plupart des idiots qui n’ont pas toute leur tête, mais ils aspirent à être des dirigeants et des ouvriers et à accomplir des tâches pour la maison de Dieu. Ils sont comme des porcs qui se sont barbouillés de rouge à lèvres – complètement éhontés. Ces gens sont des incrédules ; peu importe depuis combien d’années ils croient, ils ne comprennent aucune vérité. Pourtant, ils veulent toujours être malgré tout des dirigeants et des ouvriers dans la maison de Dieu, toujours désireux d’exercer le pouvoir et d’avoir le dernier mot – ne sont-ils pas effrontés de manière éhontée ? Pourquoi de telles personnes sont-elles considérées comme des incrédules ? C’est parce que, malgré le fait qu’elles croient en Dieu depuis de nombreuses années et qu’elles aient entendu de nombreux sermons, elles ne comprennent aucune vérité et ne peuvent en mettre aucune en pratique, ce qui en fait des incrédules. L’un d’entre vous présente-t-il ces comportements ? Si c’est le cas, levez la main. Vous tous ? Alors vous êtes tous des incrédules, et c’est un grave problème. Ceux qui croient sincèrement en Dieu, s’ils écoutent constamment des sermons, comprendront certaines vérités et feront des progrès, devenant plus fiables dans leur discours comme dans leurs actes. Si quelqu’un écoute des sermons pendant des années sans aucun progrès, c’est quelqu’un de confus, une bête, un incrédule. Certaines personnes, trois à cinq ans après avoir commencé à croire en Dieu, comprennent pas mal de choses et peuvent chercher la vérité dans leur discours comme dans leurs actes. Si elles remarquent des défauts dans l’accomplissement de leur devoir ou causent une certaine perte à la maison de Dieu, elles se sentent affligées, s’adressant à elles-mêmes des reproches et se détestant ; elles sentent que leurs erreurs momentanées, leur manque de loyauté, leur paresse ou leur complaisance pour le confort charnel ont conduit à des défauts très importants et entraîné de très grandes pertes, et elles se haïssent pour cela. De telles personnes au cœur plein de remords ont une certaine humanité et peuvent atteindre le point où elles reçoivent le salut. Si quelqu’un, après de nombreuses années passées à écouter des sermons, ne comprend aucune vérité, continue de faire des erreurs dans l’accomplissement de son devoir, crée toujours des problèmes pour la maison de Dieu et entraîne des pertes pour le travail de l’Église, et est même dépourvu d’un cœur plein de remords, alors une telle personne n’a aucune humanité, elle est pire que les porcs et les chiens. Pourrait-elle encore accomplir correctement son devoir ? Même si elle accomplit son devoir, elle le fera de manière superficielle et ne recevra pas l’approbation de Dieu.

Certaines personnes désignent constamment la maison de Dieu comme « notre famille » lorsqu’elles parlent, évoquant sans cesse « notre famille » dans la conversation. Comme elles le disent gentiment ! Quelle est cette « notre famille » dont elles parlent ? Il n’y a que la maison de Dieu, la famille de Dieu, l’Église. Est-il approprié de dire sans cesse « notre famille » ? Cela ne Me semble pas approprié. L’expression « notre famille » peut être utilisée, mais elle n’est appropriée que si ce qui est dit correspond à la réalité. Si tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité, si tu accomplis souvent tes devoirs de manière superficielle, ne défendant absolument pas le travail de l’Église, ne le prenant pas du tout au sérieux, et que pourtant tu continues à dire « notre famille », alors c’est inapproprié. Cela comporte un soupçon de mensonge et de faux-semblant, causant du dégoût et de la répulsion ; cependant, si tu es quelqu’un qui possède réellement la vérité-réalité et qui défend le travail de l’Église, alors désigner la maison de Dieu comme « notre famille » est acceptable. Cela semble authentique aux oreilles des autres, sans mensonge, et ils te verront comme un frère ou une sœur, t’aimant et t’admirant. Si tu n’aimes pas la vérité dans ton cœur, que tu ne l’acceptes pas et que tu es irresponsable dans l’accomplissement de tes devoirs, alors ne désigne pas la maison de Dieu comme « notre famille ». Tu dois sincèrement poursuivre la vérité, bien remplir tes devoirs et être en mesure de défendre le travail de l’Église afin que le peuple élu de Dieu ressente que tu fais partie de la maison de Dieu. Ensuite, lorsque tu dis « notre famille », cela donne aux autres une impression de proximité, sans aucun sentiment de répulsion, parce que dans ton cœur, tu considères réellement la maison de Dieu comme ta propre maison, et dans l’accomplissement de tes devoirs, tu es vraiment responsable et tu défends le travail de l’Église. Lorsque tu dis « notre famille », cela semble tout à fait mérité, sans aucune trace de mensonge. Si quelqu’un ne fait preuve d’aucune responsabilité envers le travail de l’Église, accomplit les devoirs qui lui incombent, quels qu’ils soient, de façon superficielle, ne prend même pas la peine de ramasser les choses tombées par terre, de nettoyer une pièce sale, de dégager la neige ou de ranger la cour en hiver, n’apparaissant pas comme un membre de la maison de Dieu, mais plutôt comme un étranger, une telle personne est-elle qualifiée pour appeler la maison de Dieu « notre famille » ? De telles gens ne sont que des exécutants, des ouvriers temporaires, des personnes sans vie qui appartiennent à Satan et n’appartiennent absolument pas à la maison de Dieu. Et pourtant, ils désignent souvent, de manière éhontée, la maison de Dieu comme « notre famille », le disant chaque fois qu’ils ouvrent la bouche, le disant avec une telle intimité, s’adressant aux frères et sœurs avec tant de chaleur – mais ils ne s’occupent d’aucune tâche concrète. Quand ils entreprennent des tâches, ils font des erreurs, causant du tort à la maison de Dieu. Ne sont-ils pas uniquement des hypocrites ? Ces personnes sont totalement immorales, dépourvues de toute conscience ou de toute raison. Les qualités les plus fondamentales que l’on devrait avoir en tant que croyant en Dieu sont la conscience et la raison, et ces personnes devraient également être capables d’accepter la vérité. Si elles ne possèdent même pas la conscience et la raison, et qu’elles n’acceptent pas du tout la vérité, méritent-elles toujours d’appeler la maison de Dieu « notre famille » ? Ce ne sont que des ouvriers temporaires et des exécutants ; elles appartiennent à Satan et ont peu de choses à voir avec la maison de Dieu. Dieu ne reconnaît pas de telles personnes ; à Ses yeux, ce sont des personnes malfaisantes. Beaucoup de gens croient en Dieu, mais ne poursuivent pas du tout la vérité, montrant de l’indifférence à l’égard des affaires de la maison de Dieu. Ils ignorent les problèmes qu’ils rencontrent, négligent leurs responsabilités, se tiennent à l’écart des frères et sœurs en difficulté ; ils ne montrent aucune haine pour ceux qui font de mauvaises choses et nuisent aux intérêts de la maison de Dieu ou ruinent le travail de l’Église. Ils sont dépourvus de conscience en matière du grand sujet du bien et du mal ; rien de ce qui se passe dans la maison de Dieu ne les concerne. Traitent-ils la maison de Dieu comme leur propre maison ? Il est clair que non. Ces gens ne sont pas qualifiés pour appeler la maison de Dieu « notre famille » ; ceux qui l’appellent ainsi ne sont que des hypocrites. Quelles personnes sont qualifiées pour dire « notre famille » ? Récemment, J’ai remarqué que certaines personnes ne sont en effet pas mauvaises, bien qu’elles soient évidemment minoritaires. Indépendamment de la quantité de vérité qu’ils comprennent, ou de la taille de leur stature ou de leur foi, ces gens croient réellement en Dieu, peuvent entreprendre des tâches concrètes et font preuve d’une véritable responsabilité, quels que soient les devoirs qu’ils accomplissent – ils ont un semblant d’humanité. Seules de telles personnes peuvent réellement être considérées comme faisant partie de la maison de Dieu. Quand elles disent « notre famille », c’est de manière chaleureuse et authentiquement sincère. Par exemple, l’Église avait besoin d’une table, qui coûterait six ou sept cents dollars si elle était achetée. Certains frères et sœurs ont dit : « C’est trop cher. Nous pouvons économiser beaucoup d’argent en achetant le bois et en la fabriquant nous-mêmes. Elle remplirait tout aussi bien son office, sans aucune différence. » Après avoir entendu cela, comment Me suis-Je senti dans Mon cœur ? Je Me suis senti quelque peu touché : « Ces gens ne sont pas mauvais ; ils savent économiser de l’argent pour la maison de Dieu. » Ces personnes sont bien meilleures que celles qui gaspillent les offrandes, possédant au moins une certaine conscience et une certaine raison, et un peu de sentiment humain. Certaines personnes provoquent des centaines ou des milliers de dollars de pertes à la maison de Dieu sans en avoir aucunement conscience, disant même que ce n’est pas leur problème, ne ressentant aucun remords dans leur cœur. D’un autre côté, il y en a d’autres qui disent : « Même économiser dix ou huit dollars en vaut la peine. Nous ne devrions pas dépenser de l’argent inutilement pour des choses que nous pouvons résoudre nous-mêmes. Nous devrions économiser là où nous le pouvons. Il n’est pas nécessaire de dépenser de l’argent qui n’a pas besoin d’être dépensé. Il est juste que nous endurions un peu de souffrance et que nous trimions. » Seuls ceux qui peuvent dire de telles choses sont des gens pourvus de conscience et de raison, possédant une humanité normale, et sont réellement alignés sur la maison de Dieu. Ces gens peuvent légitimement appeler la maison de Dieu « notre famille » parce qu’ils prennent en compte les intérêts de la maison de Dieu. Certaines personnes ne réfléchissent pas une seconde aux intérêts de la maison de Dieu. Est-ce qu’elles ne sont pas en mesure d’avoir ces considérations ? En ce qui concerne leur propre vie, elles sont extrêmement frugales, dépensant chaque centime à contrecœur, souhaitant en permanence acheter les articles les moins chers et les plus pratiques, économisant partout où elles le peuvent, marchandant même les prix, calculant méticuleusement, manifestement expertes dans la gestion de leur vie. Mais quand il s’agit de faire des choses pour la maison de Dieu, elles n’agissent pas de cette façon. Elles dépensent de manière extravagante lorsqu’elles utilisent l’argent de la maison de Dieu, le dépensant comme bon leur semble, comme si ne pas le dépenser constituait un gaspillage. N’est-ce pas le signe d’un horrible caractère ? De telles personnes sont extrêmement égoïstes, ne tenant pas du tout compte de la maison de Dieu, cherchant seulement à se satisfaire elles-mêmes. Elles espèrent se glisser insidieusement dans le royaume des cieux et gagner de grandes bénédictions à moindre coût. De telles personnes égoïstes et méprisables nourrissent encore des ambitions et des désirs très grands ; cela montre une grave déficience de leur caractère moral !

Avons-nous maintenant, pour l’essentiel, entièrement couvert dans notre échange cette manifestation des antéchrists, celle selon laquelle ils se comportent sournoisement et sont arbitraires et dictatoriaux ? (Oui.) Dans ce cas, récapitulons. Les antéchrists qui font les choses sournoisement, et leur caractère arbitraire et dictatorial, sont deux comportements distincts, mais tout aussi importants et concomitants, qu’ils ont en commun. Cette manifestation expose deux des principaux tempéraments des antéchrists : la malveillance et la méchanceté ; ils sont à la fois malveillants et méchants. Parfois, il est possible que tu ne voies pas leur côté méchant, mais que tu puisses voir leur côté malveillant. Ils peuvent agir avec douceur, ce qui rend difficile de voir leurs comportements coercitifs ou barbares, quels qu’ils soient. Ils ne semblent pas cruels de l’extérieur, et ne t’obligent pas à faire quoi que ce soit, mais ils te piègent par d’autres moyens malveillants, te soumettant à leur contrôle, te faisant servir leurs objectifs – et ainsi, tu es exploité par eux. Sans le savoir, tu tombes dans leur piège, te soumettant de bon gré à leur manipulation et à leurs jeux. Pourquoi peuvent-ils provoquer de telles conséquences ? Les antéchrists utilisent souvent des affirmations et des expressions correctes pour t’instruire et t’influencer, t’incitant à faire certaines choses, te donnant l’impression que tout ce qu’ils disent est juste, que tu devrais le faire jusqu’au bout et que tu devrais le faire de cette manière, autrement tu auras le sentiment d’aller à l’encontre de la vérité, et tu auras l’impression que leur désobéir signifie se rebeller contre Dieu. Ce faisant, tu leur obéis de bon gré. Quel est le résultat final de cela ? Même si les gens suivent leurs paroles et pratiquent ce qu’ils disent, comprennent-ils la vérité ? Leur relation avec Dieu devient-elle de plus en plus proche, ou de plus en plus distante ? Face à des situations, non seulement les gens ne parviennent pas à venir devant Dieu et à Le prier, mais ils ne savent pas non plus comment chercher les vérités-principes dans les paroles de Dieu, ou comment saisir les intentions et les exigences de Dieu. Au lieu de cela, ils affirment quelque chose d’incroyable : « Je crois en Dieu depuis tant d’années, comptant principalement sur le soutien et la subsistance des dirigeants. Quoi qu’il arrive, tant que les dirigeants échangent, il y a une voie à suivre. Sans les dirigeants, cela ne fonctionne tout simplement pas. » Ils croient en Dieu depuis de nombreuses années et leur stature s’arrête là, ils sont toujours incapables de fonctionner sans les dirigeants. N’est-ce pas pitoyable ? Quelle est la signification implicite ici ? L’implication est qu’ils ne savent pas comment prier Dieu, dépendre de Lui, se tourner vers Lui, ou manger et boire Ses paroles. Toutes ces choses doivent être soutenues par les dirigeants pour qu’ils les comprennent ; le dirigeant peut remplacer le Dieu auquel ils croient. On peut dire que la croyance en Dieu d’une telle personne est en fait une croyance en ses dirigeants. Ces gens écoutent tout ce que disent les dirigeants, et croient tout ce qu’ils disent. En qui croient-ils, qui suivent-ils et à qui obéissent-ils, réellement ? Dieu ou les dirigeants ? N’est-ce pas exactement comme les religieux qui croient nominalement au Seigneur, mais qui en réalité croient en leurs pasteurs, suivent leurs pasteurs et font confiance à leurs pasteurs ? N’est-ce pas là être contrôlé par des humains ? Tu vénères les dirigeants, les écoutant sur tous les sujets. C’est croire en des humains, et les suivre, être contraint et contrôlé par des gens. Dieu a parlé très clairement et pourtant tu es incapable de comprendre Ses paroles, tu ne sais pas non plus comment les pratiquer, mais tu comprends les démons et les Satans après qu’ils ont prononcé seulement quelques paroles ? Qu’est-ce que tu comprends réellement ? Parfois, tu comprends un règlement ou une doctrine – cela équivaut-il à comprendre la vérité ? (Non.) Ce n’est pas comprendre la vérité ; c’est être induit en erreur. C’est exactement cela.

Dans la manifestation des antéchrists qui se comportent sournoisement et qui sont arbitraires et dictatoriaux, leurs tempéraments principaux sont la malveillance et la méchanceté. Où leur malveillance se manifeste-t-elle ? Elle se manifeste dans leur comportement sournois. Et où leur méchanceté se manifeste-t-elle ? (Dans leur caractère arbitraire et dictatorial.) Elle se manifeste principalement dans leur caractère arbitraire et dictatorial, et dans le fait qu’ils obligent les autres à leur obéir ; la pression qu’ils exercent exprime un tempérament méchant. Dieu exige des gens qu’ils se soumettent à Lui et à la vérité. Comment Dieu œuvre-t-Il ? Après avoir prononcé Ses paroles, Dieu dit aux gens que la chose la plus importante dans le fait de croire en Dieu est qu’ils devraient se soumettre à la vérité et à Ses paroles. Tu connais cette vérité, tu sais que cette expression est juste, mais en ce qui concerne ta capacité à te soumettre et la manière dont tu te soumets, quelle est l’attitude de Dieu ? Tu disposes d’un libre arbitre, du droit de choisir. Si tu souhaites te soumettre, tu le fais ; si tu ne le souhaites pas, tu n’y es pas obligé. Cependant, quelles conséquences le fait de ne pas te soumettre pourrait-il avoir ? Qu’est-ce que Dieu scrute chez les gens et quelles sont Ses conclusions à leur sujet ? Sur ces questions, Dieu ne fait rien de plus. Il ne t’avertit pas, ne te menace pas et ne t’oblige à rien, ne te fait pas payer le prix ou ne te punit pas pour cela. Dieu n’agit pas de cette façon. Pendant la période où Dieu sauve les gens, quand Il exprime des paroles pour subvenir aux besoins des humains, Dieu permet aux gens de faire des erreurs, de prendre le mauvais chemin ; Il leur permet de se rebeller contre Lui et de faire des choses stupides. Mais à travers Ses paroles et certaines des méthodes par lesquelles il œuvre, Dieu permet progressivement aux gens de comprendre quelles sont Ses exigences, quelle est la vérité, et ce qui est bien et ce qui est mal – par exemple, par l’émondage, le châtiment et la discipline, et aussi par les exhortations. Parfois, Il t’accorde une certaine grâce, t’émeut intérieurement, ou te donne une certaine illumination et un certain éclairage, te permettant de savoir ce qui est bien et ce qui est mal, quelles sont vraiment Ses exigences, quelle position les humains devraient assumer et ce que les gens devraient pratiquer. En te faisant comprendre, Il te donne également la possibilité de choisir. Si tu dis : « Je serai rebelle, je serai obstiné, je ne veux pas choisir ce qui est bien, je ne veux pas être loyal, je veux simplement agir de cette façon ! », alors, en fin de compte, tu es responsable de ta propre destination et de ta propre issue. Tu dois assumer la responsabilité de tes actes et en payer le prix ; Dieu ne fait rien à cet égard. Dieu est juste et droit. Si tu agis selon Ses exigences et que tu es une personne qui se soumet à Lui, ou, si à l’inverse tu n’agis pas selon Ses exigences et que tu n’es pas une personne qui se soumet à Lui, alors, dans les deux cas, quelle que soit ta destination, Dieu l’aura déterminée longtemps à l’avance. Dieu n’a rien à faire de plus. Si tu n’agis pas conformément aux exigences de Dieu aujourd’hui, Il ne va pas te discipliner, te châtier ou te punir, t’apportant des catastrophes. Non, Dieu ne fonctionne pas ainsi. Dans le cas de Dieu, Il exige que les gens se soumettent simplement pour leur permettre de comprendre la vérité sur la soumission ; il n’y a aucun élément de « pression ». Dieu n’oblige pas les gens à se soumettre ou à pratiquer cet aspect de la vérité. Par conséquent, à la manière de Dieu, qu’Il orchestre les gens, qu’Il gouverne leur destin, qu’Il les dirige ou qu’Il mette à leur disposition la vérité, le postulat de ces actions ne se fonde pas sur la pression, ni n’est la nécessité. Si tu agis conformément aux paroles de Dieu, tu comprendras progressivement de plus en plus la vérité, et ta condition devant Dieu continuera de s’améliorer – tu conserveras une bonne condition, et Dieu t’éclairera également sur des aspects de la vie quotidienne que tu ne comprends pas. Cependant, si tu ne pratiques pas la vérité, ne te soumets pas à Dieu et n’es pas disposé à poursuivre la vérité, ce que tu gagneras sera très limité. C’est la différence saisissante entre les deux. Dieu ne fait pas preuve de partialité ; Il est juste envers chacun. Certains disent : « Ne pratiquerais-je pas si Dieu, simplement, m’y obligeait ? » Dieu n’oblige les gens à rien ; contrairement à Satan. Dieu n’agit pas de cette façon. Si tu peux uniquement te soumettre à Dieu lorsque tu y es obligé, qu’est-ce que cela fait de toi ? Te soumets-tu réellement à Dieu ? Ce n’est pas le genre de soumission que Dieu désire. La soumission dont Dieu parle est celle où, sur la base de la compréhension de la vérité, une personne pratique volontairement les paroles de Dieu par conscience et raison. Tel est le sens inhérent de la soumission. Il n’implique pas de pression, de restriction, de menace, ni aucune forme de lien ou de contrôle. Par conséquent, lorsque tu te sens particulièrement lié ou contraint dans une affaire, ce n’est certainement pas l’œuvre de Dieu. D’un côté, cela pourrait provenir de pensées humaines ou d’une compréhension déformée et de contraintes auto-imposées. D’un autre côté, il pourrait s’agir de quelqu’un d’autre qui essaie de te contraindre, en utilisant des règlements ou un argument ou une théorie qui a l’air correct pour te contraindre, te menant à développer des distorsions dans ta pensée. Cela indique un problème avec ta compréhension. Si tu te sens volontairement et joyeusement soumis à Dieu, cela provient de l’œuvre du Saint-Esprit et aussi de l’humanité authentique, de la conscience et de la raison.

Dans la maison de Dieu, il y a des gens qui ne se soumettent pas à la vérité, ne se soumettent pas aux arrangements de travail de la maison de Dieu et ne se soumettent pas aux arrangements de l’Église. Comment la maison de Dieu gère-t-elle cela ? Existe-t-il des méthodes de mise en œuvre forcée utilisées pour résoudre ce problème ? Par exemple, si un dirigeant ne fait aucun réel travail, qu’il ne travaille pas conformément aux arrangements de travail, et ne pratique pas la vérité, ou qu’il est incapable de faire un réel travail, comment la maison de Dieu le gère-t-elle ? (La maison de Dieu le remplace.) Il est directement remplacé, mais est-il expulsé ? (Non.) Ceux qui n’ont pas commis le mal ne sont pas expulsés. En ce qui concerne les frères et sœurs ordinaires, si, selon les arrangements, ils doivent accomplir un certain devoir et qu’ils refusent, cela équivaut-il à ne pas se soumettre ? S’ils n’y vont pas, quelqu’un d’autre peut être trouvé ; quelqu’un pourrait-il être contraint d’accomplir un devoir ? (Non.) Il n’y a pas de coercition. Si, en échangeant sur la vérité, ils sont disposés à accepter et à se soumettre, alors c’est bien. Ce n’est pas considéré comme de la coercition ; il s’agit d’établir des arrangements pour faire en sorte qu’ils accomplissent ce devoir sous réserve de leur consentement personnel et de leur volonté. Par exemple, certaines personnes aiment cuisiner, mais selon les arrangements, il est prévu qu’elles fassent le ménage, et elles disent : « Si on me demande de nettoyer, alors je le ferai. Je me soumets aux arrangements de la maison de Dieu. » Y a-t-il de la coercition ici ? Y a-t-il une quelconque contrainte exercée contre la volonté de quelqu’un ? (Non.) Les arrangements sont décidés dans les limites de la volonté et de la soumission de chacun, sans mettre personne dans une situation difficile ni obliger personne à réaliser quelque chose. Il peut également y avoir des cas où, pour un certain devoir, il est temporairement impossible de trouver quelqu’un, et selon les arrangements, tu vas devoir provisoirement suppléer ; tu n’y seras peut-être pas disposé personnellement, mais il s’agit d’une nécessité pour le travail, c’est un cas particulier. Tu es membre de la maison de Dieu, tu as part à la nourriture de la maison de Dieu et tu y accomplis tes devoirs – puisque tu te reconnais comme quelqu’un qui croit en Dieu et qui Le suit, ne peux-tu pas te rebeller contre ta chair sur cette question mineure ? Cela n’équivaut même pas vraiment à de la soumission ou à de l’adversité ; ce n’est que temporaire, il ne s’agit pas de te demander d’accomplir ce devoir à long terme. Certaines personnes se plaignent que le travail qu’on leur demande de faire est salissant et fatigant, et elles ne sont pas disposées à le faire. Si elles le mentionnent, elles doivent être rapidement réaffectées. Cependant, si elles ne l’expriment que verbalement, mais qu’elles sont en réalité disposées à se soumettre et à souffrir, alors elles devraient continuer à accomplir leur devoir. Cette approche est-elle appropriée ? (Oui.) Ce principe est-il correct ? (Oui.) La maison de Dieu n’oblige en aucun cas les gens à agir contre leur volonté. Il existe une autre situation où certaines personnes, quel que soit le devoir qu’elles accomplissent, sont paresseuses et irresponsables, et manquent de loyauté. Parfois, elles accomplissent même secrètement de mauvaises choses. Quand elles ne font pas bien leur devoir, elles se trouvent des excuses, affirmant que le devoir ne leur est pas adapté, qu’il n’est pas leur fort, ou qu’elles ne comprennent pas le domaine concerné. Mais en réalité, tout le monde voit clairement que leur incapacité à bien accomplir leur devoir n’est pas liée à ces raisons. Comment ces personnes devraient-elles être gérées ? Si elles demandent à accomplir un autre devoir, doit-on l’accepter ? (Non.) Que faudrait-il faire alors ? Ces personnes ne sont pas aptes à accomplir des devoirs ; elles le font à contrecœur et sans une attitude appropriée, elles doivent donc être renvoyées. Il y a un autre type de personne qui devient difficile et résistante dès qu’on lui dit d’accomplir un devoir. Elle est extrêmement peu disposée et réticente, réussissant à peine à réprimer son mécontentement en pensant : « Je vais simplement me faire oublier et vivoter pendant quelques années, qui sait où je finirai après cela ! » Les personnes qui nourrissent de telles intentions ne devraient pas être autorisées à accomplir des devoirs, et même si elles souhaitent accomplir d’autres devoirs, ce n’est pas autorisé. Ces cas doivent être gérés par la force. Pourquoi cela ? Parce que leur essence est percée à jour – ceux qui les comprennent disent que ce sont des incrédules ; les gens autour d’elles affirment également qu’elles ne sont pas aptes à l’accomplissement de devoirs. Une telle personne est un non-croyant, et elle doit être renvoyée. Autrement, elle ne peut qu’entraîner des perturbations, commettre des méfaits et nuire au peuple élu de Dieu à l’intérieur de l’Église, ce qui est absolument inacceptable. De tels cas doivent être gérés conformément aux principes portant sur la façon de traiter ceux qui accomplissent des devoirs au sein de l’Église ; leur réticence n’est pas un facteur. S’agit-il de coercition ? Ce n’est pas de la coercition ; c’est agir selon des principes, c’est défendre les intérêts et le travail de la maison de Dieu. Il s’agit de renvoyer les incrédules et ceux qui sont là uniquement pour jouer les pique-assiettes dans la maison de Dieu. Si tu souhaites jouer au pique-assiette, fais-le ailleurs, pas ici. La maison de Dieu n’est pas une maison de retraite ; elle n’entretient pas les fainéants. Est-ce bien compris ?

Il y a des antéchrists qui se cachent très bien, souriant simplement sans rien dire quand ils voient quelque chose, gardant le silence sur de nombreuses questions, feignant la profondeur et n’exprimant aucun positionnement. Lorsque tu entres en contact avec eux pour la première fois, il n’est pas facile de les percer à jour ; tu pourrais même penser qu’ils sont importants et remarquables. Comment discerner de tels antéchrists ? Tu dois leur porter une grande attention et observer ce qu’ils aiment vraiment, ce sur quoi ils se concentrent, ce qui les intéresse et avec qui ils interagissent. En observant ces aspects, tu seras à même de gagner une compréhension d’eux. De plus, il y a une chose dont vous devez tous être conscients : Quel que soit le niveau d’un dirigeant ou d’un ouvrier, si vous les adorez parce qu’ils comprennent quelques vérités et qu’ils ont quelques dons, et que tu crois qu’ils possèdent la vérité-réalité et peuvent t’aider, et si tu les admires et dépends d’eux en toutes choses et qu’à travers cela, vous essayez d’atteindre le salut, alors vous êtes insensés et ignorants. En fin de compte, tout cela n’aboutira à rien, parce que votre point de départ est intrinsèquement mauvais. Quel que soit le nombre de vérités que quelqu’un peut comprendre, on ne peut se tenir à la place de Christ et quels que soient les dons que quelqu’un possède, cela ne signifie pas qu’il possède la vérité : et donc, les personnes qui vénèrent, admirent et suivent les autres, quelles qu’elles soient, seront finalement toutes éliminées et condamnées. Les croyants en Dieu ne peuvent qu’admirer et suivre Dieu. Les dirigeants et les ouvriers, quel que soit leur rang, restent des gens ordinaires. Si tu les considères comme tes supérieurs immédiats, si tu as le sentiment qu’ils te sont supérieurs, qu’ils sont plus compétents que toi et qu’ils doivent te diriger, qu’ils sont à tous égards au-dessus de tous les autres, alors tu te trompes : c’est un fantasme. Et quelles conséquences ce fantasme aura-t-il sur toi ? Il te conduira inconsciemment à évaluer tes dirigeants à l’aune d’exigences qui ne sont pas conformes à la réalité, et à être incapable de traiter correctement les problèmes et les lacunes qu’ils ont. En même temps, sans le savoir, tu seras aussi profondément attiré par leur élégance, leurs dons et leurs talents, si bien que très vite, tu les vénéreras et ils seront ton Dieu. Ce chemin, depuis le moment où ils commencent à devenir ton modèle, l’objet de ta vénération, jusqu’au moment où tu deviens l’un de leurs adeptes, est un chemin qui t’éloignera de Dieu sans que tu en aies conscience. Et même en t’éloignant progressivement de Dieu, tu continueras à croire que tu suis Dieu, que tu es dans Sa maison, que tu es en Sa présence, alors qu’en réalité, tu auras été éloigné par les laquais de Satan, par les antéchrists. Tu ne t’en seras même pas aperçu. C’est une situation très dangereuse. Pour résoudre ce problème, il faut, d’une part, être capable de discerner la nature-essence des antéchrists et être capable de percer à jour le visage laid de leur haine de la vérité et de leur résistance à Dieu ; de même, cela nécessite de se familiariser avec les techniques couramment utilisées par les antéchrists pour fourvoyer et piéger les gens, ainsi qu’avec la façon dont ils font les choses. D’autre part, vous devez poursuivre la connaissance du tempérament et de l’essence de Dieu. Il doit être clair pour vous que seul Christ est la vérité, le chemin et la vie et qu’adorer quelqu’un vous fera s’abattre catastrophe et malheur sur vous. Vous devez avoir l’assurance que seul Christ peut sauver les gens, et vous devez suivre Christ et vous soumettre à Lui avec une foi absolue. C’est le seul chemin correct de la vie humaine. Certains pourront dire : « Eh bien, j’ai mes raisons de vénérer des dirigeants : dans mon cœur, je vénère naturellement quiconque a du talent. Je vénère tout dirigeant qui est conforme à mes notions. » Pourquoi persistes-tu à vénérer l’homme alors que tu crois en Dieu ? Au bout du compte, qui te sauvera ? Qui t’aime et te protège vraiment ? Ne le vois-tu vraiment pas ? Si tu crois en Dieu et Le suis, tu dois être attentif à Sa parole, et si quelqu’un parle et agit correctement et que c’est conforme aux vérités-principes, n’est-ce pas simplement lié à ta soumission à la vérité ? Pourquoi es-tu si médiocre ? Pourquoi persistes-tu à trouver quelqu’un à vénérer et à suivre ? Pourquoi aimes-tu être l’esclave de Satan ? Pourquoi ne pas être plutôt un serviteur de la vérité ? En cela, on voit si une personne a de la raison et de la dignité. Tu devrais commencer par toi-même : t’équiper de vérités de toutes sortes, être capable d’identifier les diverses façons dont les différentes questions et les différentes personnes se manifestent, savoir quelle est la nature des comportements de diverses personnes et quel tempérament jaillit d’elles, apprendre à distinguer l’essence de différents types de personnes, savoir clairement quels types de personnes t’entourent, quel type de personne tu es et quel type de personne est ton dirigeant. Une fois que tu verras tout cela clairement, tu seras capable d’aborder ces personnes de la bonne manière, selon les vérités-principes : Si ce sont des frères et sœurs, tu les traiteras avec amour ; si ce ne sont pas des frères et sœurs, mais que ce sont des personnes malfaisantes, des antéchrists ou des incrédules, tu garderas tes distances et tu renonceras à eux. Et si ce sont des gens qui possèdent la vérité-réalité, bien qu’il soit possible que tu les admires, tu ne les vénéreras pas. Personne ne peut prendre la place de Christ ; seul Christ est le Dieu concret. Seul Christ peut sauver les gens, et ce n’est qu’en suivant Christ que tu pourras obtenir la vérité et la vie. Si tu es capable de voir ces choses clairement, alors tu possèdes une stature, tu n’es pas susceptible d’être induit en erreur par les antéchrists et tu n’as pas à craindre non plus d’être induit en erreur par ces derniers.

Certaines personnes s’inquiètent lorsqu’elles voient des antéchrists être révélés et éliminés et disent : « Bien que les antéchrists ne semblent pas être des personnes malfaisantes en apparence, pourquoi est-ce qu’en discernant ce qu’ils font, il s’avère qu’ils sont si malfaisants ? Il semble que les antéchrists soient en effet assez sournois. Mais je suis d’un calibre médiocre, et si je rencontre à nouveau de tels antéchrists, je crains de ne pas pouvoir discerner ce qu’ils sont. Comment dois-je me prémunir contre les antéchrists ? » Même si tu es d’un calibre médiocre, tu n’as pas besoin de t’inquiéter sans cesse d’être fourvoyé ou de penser constamment à la façon de te prémunir contre eux. Il te suffit de te concentrer sur la compréhension de la vérité, de lire davantage les paroles de Dieu et, lorsque tu en as le temps, de réfléchir sérieusement aux actes malfaisants commis par les antéchrists, en te demandant : « Où réside leur malfaisance ? Qu’est-ce qui les a poussés à commettre un tel mal ? Les gens ordinaires peuvent-ils commettre un tel mal ? Comment ceux qui comprennent la vérité discernent-ils ce qu’ils sont ? Comment puis-je discerner ce qu’ils sont ? » Une fois que tu verras clairement l’essence des gens à travers les paroles de Dieu, tu comprendras tout. En réfléchissant constamment à ces choses-là, tu apprendras inconsciemment à discerner ce qu’ils sont, et naturellement, tu seras capable de discernement lorsque tu seras de nouveau confronté à des antéchrists qui tentent d’induire les gens en erreur. Cela nécessite de vivre de nombreuses expériences ; ce n’est pas quelque chose que tu peux apprendre simplement en écoutant davantage de sermons. C’est comme acquérir de l’expérience dans la société après qu’on a trop profité de toi ou que tu as subi trop de pertes : « une chute dans la fosse ta sagesse rehausse ». C’est la même idée. Dans notre croyance en Dieu, l’essentiel est de comprendre la vérité. Plus tu comprendras la vérité, plus les choses que tu perceras à jour seront nombreuses. Si tu ne comprends aucune vérité, même avoir des connaissances est inutile. Avec la connaissance seule, tu ne peux rien percer à jour ; tes points de vue sont les mêmes que ceux des laïcs, et tout ce que tu commentes sera absurde et fallacieux. Ne t’inquiète pas s’il y a certaines personnes que tu ne peux pas percer à jour à l’heure actuelle. Une fois que tu comprendras la vérité, tu gagneras naturellement du discernement. Pour l’instant, attache-toi simplement à bien faire ton propre devoir, mange et bois davantage des paroles de Dieu et réfléchis davantage à la vérité. Lorsque le jour où tu comprendras la vérité sera venu, tu seras en mesure de discerner ce que sont les gens. Simplement en observant le comportement de quelqu’un, tu sauras dans ton cœur ce qui lui arrive ; simplement en écoutant quelqu’un signaler un certain problème, tu seras en mesure de percer à jour l’essence de ce dernier ; et simplement en écoutant les pensées et les points de vue de quelqu’un, tu connaîtras sa stature. Sans trop d’efforts, tu seras en mesure de tout comprendre sur n’importe quelle question ou personne – c’est ce à quoi mène la compréhension de la vérité. Cependant, si tu ne poursuis pas la vérité, mais que tu comptes plutôt sur ton imagination pour évaluer les gens, les vénérer, dépendre d’eux et les flatter aveuglément, et si tu ne suis pas le chemin qui consiste à poursuivre la vérité, quel sera le résultat final ? N’importe qui pourrait t’induire en erreur ; tu ne seras pas capable de percer à jour qui que ce soit, pas même l’antéchrist le plus flagrant. Il se jouera de toi comme d’un imbécile, et tu l’admireras tout de même pour ses capacités, gravitant autour de lui tous les jours. Alors, tu es réellement une personne confuse, et on peut dire sans aucun doute que tu crois en un Dieu vague, et non au Dieu concret, et tu n’es absolument pas une personne qui poursuit la vérité.

Certaines personnes, même après avoir écouté plusieurs sermons sur le discernement des antéchrists, ne peuvent toujours pas les discerner. Elles ne comprennent que certaines méthodes de discernement, mais manquent d’expérience pratique. Quand elles sont confrontées, dans la réalité, aux actes malfaisants des antéchrists, elles ne parviennent pas à les discerner à nouveau. Bien qu’elles ne puissent pas discerner les antéchrists après avoir écouté les sermons, elles se comparent à ce qu’elles ont entendu et commencent de plus en plus à avoir l’impression d’être un antéchrist. En fin de compte, elles finissent par croire qu’elles sont elles-mêmes des antéchrists. Il n’y a rien de mal à procéder à ce genre de discernement. Elles ont pleinement conscience des détails qu’implique le discernement des antéchrists, mais elles ne possèdent simplement pas les principes du jugement. Ce n’est pas un problème majeur ; cela montre que leur écoute des sermons a été efficace. Bien qu’elles n’aient pas discerné les vrais antéchrists, elles se sont discernées elles-mêmes, ce qui est également une bonne chose. Elles se sauvent d’abord elles-mêmes et évitent de devenir des antéchrists, ce qui est un résultat fructueux de l’écoute de ces sermons ayant exposé les antéchrists. Être capable de se discerner en tant qu’antéchrist n’est pas simple ; un tel discernement implique une observation détaillée, et Je crois que cela équivaut déjà à avoir du discernement. Se discerner soi-même aujourd’hui est une bonne chose ; il n’est pas trop tard pour le faire. Si tu avais commis le mal ou provoqué des catastrophes et que tu avais ensuite été identifié comme un antéchrist, cela aurait été trop tard. Si tu peux discerner aujourd’hui, tout au plus, cela signifie que tu présentes des traits similaires à ceux des antéchrists, que tu empruntes le chemin des antéchrists et que tu as choisi le mauvais chemin. Telle est l’étendue de ton jugement actuel. Il est encore temps de changer de cap, mais choisir de ne pas le faire est dangereux. Le sujet du discernement des antéchrists a fait l’objet de nombreux échanges, et désormais, certaines personnes sont réellement capables de discernement. Elles peuvent identifier les tempéraments d’antéchrists qu’elles révèlent, ce qui est un résultat et prouve qu’elles ont gagné en discernement. Si elles peuvent en outre faire la distinction entre ceux qui possèdent la nature-essence des antéchrists et ceux qui n’ont que des tempéraments d’antéchrist, alors elles auront pleinement maîtrisé le discernement. C’est quelque chose qui peut être réalisé bientôt, il n’est donc pas nécessaire de se précipiter. Si les gens peuvent discerner leurs propres tempéraments d’antéchrists, reconnaître s’ils empruntent le chemin des antéchrists et comprendre quelle est la nature-essence des antéchrists, alors ils ont déjà appris à discerner les antéchrists. Être capable de discerner les antéchrists n’est pas en lien avec le nombre d’années depuis lesquelles on croit en Dieu, mais avec la capacité d’une personne à s’efforcer d’atteindre la vérité et à la comprendre. Certaines personnes croient en Dieu depuis de nombreuses années et ont écouté beaucoup de sermons sur l’exposition des antéchrists, mais leurs tempéraments et leurs manifestations d’antéchrists n’ont pas changé du tout. Peu importe comment J’échange sur la vérité, elles demeurent inconscientes. Elles peuvent s’identifier au contenu de l’échange sur le moment, mais lorsqu’il s’agit d’agir ou de faire leurs devoirs, elles reviennent à leurs anciennes habitudes. N’est-ce pas gênant et dangereux pour de telles personnes ? C’est très dangereux ! Indépendamment de la façon dont J’échange, peu importe à quel point elles se sentent réprobatrices à l’égard d’elles-mêmes ou contrariées au moment où elles M’écoutent, elles ne changent pas du tout par la suite. Elles ne réfléchissent pas aux raisons pour lesquelles elles promeuvent et cultivent systématiquement les flatteurs et les gens serviles, ni aux raisons pour lesquelles elles traitent les autres non pas en se fondant sur des principes, mais selon leurs propres caprices. Elles ne sont pas écœurées par les personnes qu’elles apprécient, même si elles sont malfaisantes ou mauvaises, et continuent à les promouvoir et à les utiliser. En outre, elles ne réfléchissent pas à la raison pour laquelle elles ne poursuivent pas du tout la vérité et se sont engagées sur le chemin des antéchrists. Avoir commis tant de mal sans véritable réflexion ou changement est dangereux. Lors de récents rassemblements, l’échange a porté sur l’exposition des tempéraments et de l’essence des antéchrists. Le tempérament des antéchrists est plus caché et malveillant que les tempéraments corrompus couramment observés. Les antéchrists ont de l’aversion pour la vérité, ils détestent la vérité et ne peuvent absolument pas accepter la vérité ou le jugement et le châtiment de Dieu. Quel est donc le résultat, la fin des antéchrists ? Il est certain qu’ils seront éliminés. Comment Dieu caractérise-t-Il les antéchrists ? Comme ceux qui haïssent la vérité et s’opposent à Dieu – ils sont les ennemis de Dieu ! S’opposer à la vérité, haïr Dieu et haïr toutes les choses positives – ce n’est pas la faiblesse ou la stupidité momentanée que l’on retrouve chez les gens ordinaires, ni la révélation de pensées ou de points de vue incorrects qui découlent de la compréhension déformée d’un moment ; ce n’est pas le problème. Le problème, c’est que ce sont des antéchrists, les ennemis de Dieu, haïssant toutes les choses positives et toute la vérité ; ce sont des caractères qui haïssent Dieu et s’opposent à Lui. Comment Dieu voit-Il ces caractères ? Dieu ne les sauve pas ! Ces gens méprisent et haïssent la vérité, ils sont dotés de la nature-essence des antéchrists. Comprenez-vous cela ? Ce qui est exposé ici, c’est la malveillance, la méchanceté et la haine de la vérité. C’est le plus grave des tempéraments sataniques parmi les tempéraments corrompus, représentant les caractéristiques les plus typiques et les plus importantes de Satan, et non les tempéraments corrompus révélés par l’humanité corrompue ordinaire. Les antéchrists sont une force hostile à Dieu. Ils peuvent perturber et contrôler l’Église, et ils ont la capacité de démanteler et d’interrompre l’œuvre de gestion de Dieu. Ce n’est pas quelque chose que les gens ordinaires dotés de tempéraments corrompus peuvent faire ; seuls les antéchrists sont capables de telles actions. Ne sous-estimez pas cette question.

Les personnes malfaisantes ont toutes des tempéraments malveillants. Une certaine malveillance s’exprime par des tempéraments méchants, par exemple en intimidant fréquemment des personnes candides, en les traitant de manière satirique ou sarcastique, en en faisant toujours la cible de blagues et en profitant d’elles. Les personnes malfaisantes font des courbettes avec déférence quand elles voient une autre personne malfaisante, mais quand elles voient une personne faible, elles la piétinent et jouent les gros bras. Ce sont des gens extrêmement méchants et malveillants. Quiconque intimide ou opprime les chrétiens est un démon déguisé en humain ; c’est une bête sans âme et la réincarnation d’un démon. Si, parmi la foule des personnes malfaisantes, il y a ceux qui n’intimident pas les personnes candides, qui ne brutalisent pas les chrétiens, qui ne libèrent leur colère que sur ceux qui nuisent à leur intérêt personnel, alors ces gens sont considérés comme de bonnes personnes parmi les non-croyants. Mais en quoi la malveillance des antéchrists diffère-t-elle ? La malveillance des antéchrists se manifeste principalement dans leur penchant tout particulier pour la concurrence. Ils osent rivaliser avec le Ciel, rivaliser avec la terre et rivaliser avec les autres. Non seulement ils ne permettent pas aux autres de les intimider, mais ils intimident et punissent également les autres. Chaque jour, ils réfléchissent à la façon de punir les gens. S’ils sont jaloux de quelqu’un ou haïssent quelqu’un, ils ne laisseront jamais tomber. Voici les façons dont les antéchrists sont malveillants. Où d’autre cette malveillance se manifeste-t-elle ? Elle est visible dans leur façon sournoise de faire les choses, que les personnes ayant une certaine intelligence, certaines connaissances et une certaine expérience sociale trouvent difficile à détecter. Ils font les choses d’une manière exceptionnellement sournoise, et cela atteint la malveillance ; ce n’est pas de la malhonnêteté ordinaire. Ils peuvent ourdir des machinations et jouer des tours, et ce, à un niveau plus élevé que la plupart des gens. La plupart des gens ne peuvent pas rivaliser avec eux et ne peuvent pas les gérer. C’est un antéchrist. Pourquoi dis-Je que les gens ordinaires ne peuvent pas les gérer ? Parce que leur malveillance est si extrême qu’ils possèdent l’immense pouvoir d’induire les gens en erreur. Ils parviennent à inventer toutes sortes de façons de faire en sorte que les gens les vénèrent et les suivent. Ils peuvent également exploiter toutes sortes de personnes pour perturber le travail de l’Église et nuire à celui-ci. Dans de telles circonstances, la maison de Dieu échange de manière répétée sur toutes les sortes de manifestation, de tempérament et d’essence des antéchrists, afin que les gens puissent les discerner. C’est nécessaire. Certaines personnes ne comprennent pas et disent : « Pourquoi toujours échanger sur la façon de discerner les antéchrists ? » Parce que les antéchrists ne sont que trop capables d’induire les gens en erreur. Ils peuvent induire en erreur de nombreuses personnes, comme une peste mortelle, qui, par sa contagion, peut blesser et tuer une multitude de personnes en une seule épidémie ; elle est très contagieuse et s’étend largement, et ses taux d’infectiosité et de mortalité sont très élevés. Ne s’agit-il pas de conséquences graves ? Si Je n’échange pas ainsi avec vous, pouvez-vous vous affranchir du fourvoiement et de la contrainte des antéchrists ? Pouvez-vous réellement vous tourner vers Dieu et vous soumettre à Lui ? C’est très difficile. Lorsque des personnes ordinaires révèlent un tempérament arrogant, tout au plus, cela permet aux autres de voir l’état répugnant de leur arrogance. Parfois, elles se vantent, parfois elles s’exhibent et se mettent en avant, et parfois elles aiment brandir leur statut et faire la leçon aux autres. Mais est-ce le cas avec les antéchrists ? En apparence, ils peuvent ne pas sembler brandir leur statut ou l’apprécier, ils peuvent ne jamais paraître intéressés par le statut, mais au fond d’eux-mêmes, ils le désirent fortement. C’est comme certains empereurs ou seigneurs brigands des non-croyants : lorsqu’ils se battent pour leur terre, ils endurent l’adversité avec leurs compagnons, paraissant humbles et sans ambition. Mais avez-vous vu les désirs cachés au plus profond de leur cœur ? Pourquoi peuvent-ils endurer une telle adversité ? Ce sont leurs désirs qui les renforcent. Ils nourrissent intérieurement une grande ambition, prêts à endurer toutes les souffrances ou à résister à toutes les calomnies, diffamations, offenses et insultes afin de pouvoir un jour accéder au trône. N’est-ce pas sournois ? Peuvent-ils informer quelqu’un de cette ambition ? (Non.) Ils la cachent et la dissimulent. Ce qui est visible à la surface, c’est une personne qui peut endurer ce que les autres sont incapables d’endurer, qui peut supporter une adversité insupportable, qui semble tenace, sans ambition, pragmatique et bonne à l’égard de ceux qui l’entourent. Mais le jour où ces individus accèdent au trône et acquièrent un réel pouvoir, pour consolider leur autorité et empêcher l’usurpation, ils tuent tous ceux qui ont souffert et combattu à leurs côtés. Ce n’est que lorsque la vérité est révélée que les gens se rendent compte de la profondeur de leur malhonnêteté. Lorsque vous regardez en arrière et voyez que tout ce qu’ils ont fait était motivé par l’ambition, vous découvrez que leur tempérament était celui de la malveillance. De quelle tactique s’agissait-il ? C’était de la sournoiserie. C’est le tempérament selon lequel les antéchrists fonctionnent. Les antéchrists et les rois démons qui exercent le pouvoir officiel sont du même acabit ; ils refusent absolument de souffrir et de perdurer dans l’Église sans raison s’ils n’obtiennent pas le pouvoir et le statut. En d’autres termes, ces gens ne se contentent absolument pas d’être des disciples ordinaires, faisant des compromis dans la maison de Dieu en tant qu’adorateurs ordinaires de Dieu, ou accomplissant un devoir tranquillement et anonymement ; ils ne seraient certainement pas disposés à faire cela. Si quelqu’un doté d’un statut est remplacé parce qu’il a emprunté le chemin d’un antéchrist, et qu’il pense : « Sans statut maintenant, j’agirai simplement comme une personne ordinaire, accomplissant n’importe quel devoir que je suis en mesure d’accomplir ; je peux toujours croire en Dieu tout aussi bien sans statut », est-il un antéchrist ? Non, cette personne a emprunté une fois le chemin d’un antéchrist, suivant une fois le mauvais chemin à cause d’une stupidité momentanée, mais elle n’est pas un antéchrist. Que ferait un véritable antéchrist ? S’il perd son statut, il ne croira plus. Non seulement cela, mais il réfléchira également à diverses façons d’induire les autres en erreur, de les faire l’adorer et le suivre, pour réaliser son ambition et son désir de détenir du pouvoir. C’est la différence entre ceux qui empruntent le chemin des antéchrists et les véritables antéchrists. Nous analysons et disséquons ces tempéraments-essences et ces manifestations des antéchrists, car la nature de cette question est très sérieuse. La plupart des gens sont incapables de discerner les antéchrists. Sans parler des frères et sœurs ordinaires, même certains dirigeants et ouvriers qui pensent comprendre une partie de la vérité n’ont pas complètement maîtrisé le discernement des antéchrists. Il est difficile de dire combien ils en ont maîtrisé, ce qui indique que leur stature est trop petite. Seuls ceux qui peuvent discerner les antéchrists avec exactitude sont des personnes dotées d’une véritable stature.

Quel est le principal problème auquel vous êtes tous confrontés aujourd’hui ? La plupart des gens sont incapables de discerner les faux dirigeants et les antéchrists et sont facilement induits en erreur par eux, ce qui est très dangereux si le problème n’est pas résolu. Par conséquent, J’exige que vous appreniez à distinguer différents types de personnes. Discernez quel tempérament est représenté par les divers comportements et affirmations des gens, et sur la base de ceux-ci, discernez l’essence de la personne. En outre, vous devez être capables de faire la distinction entre ce qui est la vérité-réalité et ce qui n’est que des formules et des doctrines. Si vous ne pouvez pas discerner ces aspects, alors vous ne serez pas en mesure d’entrer dans la vérité-réalité. Comment pouvez-vous disposer du chemin pour entrer dans la réalité sans discernement ? Certains dirigeants et ouvriers ne font que débiter des formules et des doctrines, pensant que comprendre les formules et les doctrines signifie qu’ils possèdent la réalité. Ainsi, tandis qu’ils débitent des formules et des doctrines, ils se sentent satisfaits et justifiés, devenant de plus en plus enthousiastes. Mais quand des tentations s’abattent sur eux, ils faiblissent et, ne sachant même pas comment ils ont faibli, ils disent encore : « Pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas protégé ? » N’est-ce pas un échec honteux ? Donc, certains dirigeants et ouvriers parlent toujours de formules et de doctrines – pouvez-vous discerner cela ? (Non.) Parfois, J’entends des frères et sœurs dire que certains dirigeants ne parlent que de formules et de doctrines et ne sont pas aptes à être dirigeants, et ils demandent à ce qu’ils soient remplacés. Cependant, après qu’on leur a demandé d’élire un nouveau dirigeant, la plupart des gens manquent de discernement, et les dirigeants et les ouvriers élus sont aussi ceux qui ne parlent que de formules et de doctrines sans posséder beaucoup de réalité. C’est un problème très grave, très difficile. Lorsque vous écoutez Mes paroles d’échange sur ces questions, pouvez-vous discerner une différence par rapport à ce que disent les dirigeants ordinaires ? Si tu peux discerner la différence, alors tu sais quelle est la vérité-réalité. Si tu ne peux pas la discerner et que tu penses que les deux reviennent au même, en te disant : « Nous avons aussi appris à prononcer les paroles de Dieu, et ce que nous disons est la même chose que ce que dit Dieu », alors c’est problématique. Cela prouve que tu ne comprends pas du tout la vérité, que tu sais uniquement imiter les paroles de Dieu et en réciter un peu, sans réellement comprendre la vérité. La plupart des antéchrists possèdent certains dons et une certaine éloquence, ce qui leur donne le capital nécessaire pour induire les gens en erreur. Couplés à leur tempérament malveillant et à leurs manières manipulatrices de parler et d’agir, ces aspects les rendent en effet capables d’induire les gens en erreur. Si vous n’êtes capables que de débiter des formules et des doctrines et que vous ne pouvez pas discerner ce qu’est la vérité-réalité, vous ne pouvez qu’être induits en erreur par les antéchrists. C’est quelque chose qui est hors de votre contrôle ! Pour ceux qui ne comprennent pas la vérité, il est impossible de ne pas être induits en erreur par les antéchrists, malgré leurs souhaits potentiels. Se libérer de l’influence de Satan n’est pas une mince affaire, si ?

Le 11 juin 2019

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