Comment les effets de la seconde étape de l’œuvre de la conquête sont obtenus

Le travail des exécutants était la première étape de l’œuvre de la conquête. Aujourd’hui, c’est la seconde étape de l’œuvre de la conquête. Pourquoi est-il aussi question d’être rendu parfait dans l’œuvre de la conquête ? C’est pour créer une base pour l’avenir. Nous sommes aujourd’hui à la dernière étape de l’œuvre de la conquête ; le moment de faire l’expérience d’une grande tribulation qui marquera le début officiel du perfectionnement du genre humain viendra ensuite. Aujourd’hui, l’essentiel est la conquête, mais c’est aussi le temps de la première étape du processus de perfectionnement. Ce qu’implique cette première étape, c’est de perfectionner la connaissance et l’obéissance des hommes, ce qui constitue bien sûr une base pour l’œuvre de la conquête. Si tu dois être rendu parfait, alors tu dois être capable de tenir bon au milieu de la tribulation de l’avenir et te consacrer pleinement à déployer la prochaine étape de l’œuvre : voilà ce que signifie être rendu parfait, et il s’agit aussi du moment où les hommes sont entièrement gagnés par Dieu. Nous parlons aujourd’hui d’être conquis, ce qui revient à parler d’être rendu parfait. Mais le travail qui est accompli aujourd’hui est la base pour être rendu parfait dans l’avenir ; pour être rendus parfaits, les gens doivent faire l’expérience de l’adversité, et cette expérience de l’adversité doit se fonder sur le fait d’être conquis. Si les gens sont dépourvus de la base d’aujourd’hui, s’ils ne sont pas entièrement conquis, ils pourront difficilement tenir bon au cours de la prochaine étape de l’œuvre. Simplement être conquis n’est pas le but ultime. Ce n’est qu’une étape du témoignage en faveur de Dieu vis-à-vis de Satan. Être rendu parfait est le but ultime, et si tu n’es pas rendu parfait, alors tu peux tout aussi bien être ignoré. Ce n’est qu’en étant confronté à l’adversité dans l’avenir que tu révéleras ta vraie stature ; autrement dit, c’est seulement là que le niveau de pureté de ton amour pour Dieu sera évident. Voici ce que les gens disent aujourd’hui : « Nous devons obéir à Dieu quoi qu’Il fasse. Nous sommes donc prêts à être des faire-valoir capables de montrer la grande puissance de Dieu et Son tempérament. Que Dieu soit bon avec nous ou qu’Il nous maudisse, ou qu’Il nous juge, nous Lui restons reconnaissants. » Le fait que tu dises cela montre seulement que tu as un peu de connaissances, mais la possibilité d’appliquer ces connaissances à la réalité dépend du fait qu’elles soient ou non réelles. Que les gens aient aujourd’hui ces idées et ces connaissances, c’est l’effet de l’œuvre de la conquête. Que tu puisses ou non être rendu parfait, cela ne peut se voir que confronté à l’adversité, et l’on verra alors si tu aimes vraiment Dieu dans ton cœur. Si ton amour est réellement pur, alors tu diras : « Nous sommes des faire-valoir, nous sommes des créatures entre les mains de Dieu. » Quand tu diffuseras l’Évangile parmi les nations païennes, tu diras : « Je ne fais qu’exécuter du service. Utilisant les tempéraments corrompus en nous, Dieu a dit toutes ces choses pour nous montrer Son tempérament juste : s’Il n’avait pas dit ces choses, nous ne serions pas capables de Le voir, ni de comprendre Sa sagesse, ni de recevoir un salut si grandiose et de si grandes bénédictions. » Si tu as véritablement cette connaissance empirique, alors c’est suffisant. Cependant, une grande part ce que tu dis aujourd’hui ne contient pas de connaissance et n’est qu’un tas de slogans creux : « Nous sommes des faire-valoir et des exécutants ; nous désirons être conquis et porter un témoignage retentissant pour Dieu… » Simplement crier ne veut pas dire que tu as la réalité et cela ne prouve pas non plus que tu possèdes une stature. Tu dois avoir une connaissance authentique, et ta connaissance doit être mise à l’épreuve.

Tu devrais lire davantage de ces déclarations que Dieu a exprimées pendant cette période et revoir tes actions en comparaison : C’est un fait indéniable que tu es bel et bien un faire-valoir ! Quelle est l’étendue de ta connaissance aujourd’hui ? Tes idées, tes réflexions, ta conduite, tes paroles et tes actes : toutes ces expressions ne sont-elles pas l’équivalent d’un faire-valoir de la justice et de la sainteté de Dieu ? Tes expressions ne sont-elles pas les manifestations du tempérament corrompu révélé par les paroles de Dieu ? Tes pensées et tes idées, tes motivations et la corruption qui est révélé en toi montrent le tempérament juste de Dieu, ainsi que Sa sainteté. Dieu aussi est né au pays de la souillure, et cependant Il reste pur de toute souillure. Il vit dans le même monde souillé que toi, mais Il est doué de raison et de perception, et Il méprise la souillure. Il se peut que tu ne puisses même pas détecter quoi que ce soit de souillé dans tes paroles et tes actes, mais Lui le peut, et Il te les indique. Ces choses anciennes chez toi – ton manque de culture, de perspicacité et de bon sens, et ton mode de vie rétrograde – ont maintenant été mises en lumière par les révélations d’aujourd’hui ; c’est seulement parce que Dieu vient sur terre œuvrer de telle sorte que les gens perçoivent Sa sainteté et Son tempérament juste. Il te juge et te châtie, et te fait ainsi parvenir à une meilleure compréhension ; parfois, ta nature démoniaque se manifeste et Il te l’indique. Il connaît l’essence de l’homme comme Sa poche. Il vit avec toi, Il mange la même nourriture que toi et Il vit dans le même environnement – mais même ainsi, Il en sait davantage ; Il peut t’exposer et percer à jour l’essence corrompue de l’humanité. Il n’y a rien qu’il méprise autant que les philosophies de vie de l’homme, la malhonnêteté et la duplicité. Il abhorre particulièrement les relations charnelles entre les gens. Il n’est peut-être pas familiarisé avec les philosophies de vie de l’homme, mais Il voit très bien et expose les tempéraments corrompus que les hommes révèlent. Il œuvre pour parler aux hommes et leur enseigner à travers ces choses, Il utilise ces choses pour juger les gens et pour manifester Son propre tempérament juste et saint. Ainsi les gens deviennent des faire-valoir de Son œuvre. Seul Dieu incarné peut rendre évidents les tempéraments corrompus des hommes et tous les visages hideux de Satan. Bien qu’Il ne te punisse pas et Se serve seulement de toi comme faire-valoir de Sa justice et de Sa sainteté, tu as honte et ne trouves nulle part où te cacher, car tu es trop souillé. Il parle en utilisant ces choses qui sont révélées en l’homme, et c’est seulement lorsque ces choses sont mises en lumière que les gens découvrent combien Dieu est saint. Il ne néglige pas la moindre impureté chez les gens, pas même les pensées souillées dans leurs cœurs ; si leurs paroles et leurs actes vont à l’encontre de Sa volonté, Il ne les excuse pas. Dans Ses paroles, il n’y a pas la place pour la souillure des humains ni de quoi que ce soit d’autre : tout doit être mis en lumière. Ainsi seulement tu vois qu’Il est réellement différent de l’homme. S’il y a chez les gens la moindre souillure, Il les déteste absolument. Parfois même, les gens sont incapables de comprendre et disent : « Dieu, pourquoi es-Tu si en colère ? Pourquoi n’es-Tu pas soucieux des faiblesses des hommes ? Pourquoi ne peux-Tu pas être un peu indulgent vis-à-vis d’eux ? Pourquoi as-Tu si peu d’égards pour les hommes ? À l’évidence, Tu sais combien les hommes ont été corrompus, alors pourquoi les traites-Tu toujours ainsi ? » Il a le péché en horreur, cela Le révulse, et Il est particulièrement dégoûté lorsqu’il y a en toi la moindre désobéissance. Quand tu révèles un tempérament rebelle, Il le voit et Il est profondément dégoûté – exceptionnellement dégoûté. C’est par ces choses-là que se manifestent Son tempérament et ce qu’Il est. Quand tu te livres à une comparaison, tu vois que, bien qu’Il mange la même nourriture que les hommes, porte les mêmes vêtements, apprécie les mêmes choses qu’eux et vit et réside avec eux, Il leur est cependant différent. N’est-ce pas là la signification d’un faire-valoir ? C’est à travers ces choses humaines que se manifeste la puissance de Dieu. Ce sont les ténèbres qui font ressortir la précieuse existence de la lumière.

Bien sûr, Dieu ne fait pas de vous un faire-valoir simplement pour le plaisir. C’est seulement quand cette œuvre porte ses fruits qu’il devient évident que l’insubordination des hommes est un faire-valoir du tempérament juste de Dieu, et c’est seulement parce que vous êtes des faire-valoir que vous avez la chance de connaître l’expression naturelle du tempérament juste de Dieu. Vous êtes jugés et châtiés en raison de votre insubordination, mais c’est aussi votre insubordination qui fait de vous un faire-valoir, et c’est en raison de votre insubordination que vous recevez la grande grâce que Dieu vous accorde. Votre insubordination est un faire-valoir de l’omnipotence et de la sagesse de Dieu, et c’est aussi en raison de votre insubordination que vous avez obtenu un si grand salut et de si grandes bénédictions. Bien que Je vous aie jugés à maintes reprises, vous avez reçu un formidable salut que les hommes n’avaient jamais reçu auparavant. Cette œuvre est pour vous de la plus haute importance. Être un « faire-valoir » est aussi extrêmement précieux pour vous : vous êtes sauvés et vous avez obtenu la grâce du salut parce que vous êtes un faire-valoir, donc un tel faire-valoir n’est-il pas d’une valeur inestimable ? N’est-il pas de la plus haute importance ? C’est parce que vous vivez dans le même royaume que Dieu, dans le même pays souillé, que vous êtes un faire-valoir et recevez le plus grand salut. Si Dieu ne S’était pas fait chair, qui aurait été miséricordieux envers vous et qui aurait pris soin de vous, petites gens que vous êtes ? Qui se serait soucié de vous ? Si Dieu ne S’était pas fait chair pour œuvrer parmi vous, quand auriez-vous reçu ce salut que n’ont jamais eu ceux qui vous ont précédés ? Si Je ne M’étais pas fait chair pour prendre soin de vous, pour juger vos péchés, ne seriez-vous pas tombés depuis longtemps dans l’Hadès ? Si Je ne M’étais pas fait chair pour M’humilier parmi vous, qu’est-ce qui ferait de vous un faire-valoir du tempérament juste de Dieu ? Si vous êtes un faire-valoir, n’est-ce pas parce que J’ai pris une forme humaine et suis venu parmi vous pour vous permettre d’obtenir le plus grand salut ? Si vous recevez ce salut, n’est-ce pas parce que Je Me suis fait chair ? Si Dieu ne S’était pas fait chair pour vivre avec vous, auriez-vous quand même découvert que vous vivez une vie moins digne que les chiens et les porcs dans un enfer humain ? N’avez-vous pas été châtiés et jugés parce que vous êtes un faire-valoir de Mon œuvre dans la chair ? Aucun travail ne vous convient mieux que le travail du faire-valoir, car c’est parce que vous êtes des faire-valoir que vous êtes sauvés au cours du jugement. Ne voyez-vous pas qu’être qualifiés pour servir de faire-valoir est la plus grande bénédiction de votre vie ? Vous faites simplement le travail d’un faire-valoir, et pourtant vous recevez un salut comme vous n’en aviez encore jamais eu, ni même imaginé. Aujourd’hui, votre devoir est d’être un faire-valoir, et votre juste récompense est de jouir dans l’avenir de bénédictions éternelles. Le salut que vous obtenez n’est pas quelque pénétration éphémère ni quelque connaissance passagère pour le jour présent, mais une plus grande bénédiction : une continuation éternelle de la vie. Bien que J’aie utilisé le « faire-valoir » pour vous conquérir, vous devez savoir que ce salut et cette bénédiction vous sont donnés afin de vous gagner ; c’est pour la conquête, mais c’est aussi pour que Je puisse mieux vous sauver. Le « faire-valoir » est une réalité, mais la raison pour laquelle vous êtes des faire-valoir est votre insubordination, et c’est pour cela que vous avez obtenu des bénédictions que personne n’avait jamais obtenues. Aujourd’hui, on vous fait voir et entendre ; demain, vous recevrez et, plus que cela, vous serez grandement bénis. Alors, les faire-valoir n’ont-ils pas une valeur inestimable ? Les effets de l’œuvre de la conquête d’aujourd’hui sont obtenus par vos tempéraments rebelles agissant comme faire-valoir. Autrement dit, le point culminant de la seconde instance de châtiment et de jugement consiste à utiliser votre souillure et votre insubordination comme faire-valoir, et de vous faire ainsi contempler le tempérament juste de Dieu. Quand vous vous soumettez une nouvelle fois durant la seconde instance de jugement et de châtiment, le tempérament juste de Dieu se manifeste à vous dans son intégralité. Cela veut dire que lorsque votre acceptation de l’œuvre de la conquête prend fin, c’est aussi le moment où vous finissez d’accomplir la tâche de faire-valoir. Mon intention n’est pas de vous cataloguer. J’utilise plutôt votre rôle d’exécutants pour accomplir la première instance de l’œuvre de la conquête, révélant le tempérament juste de Dieu qui ne souffre aucune offense. Par votre contrepoint, par votre insubordination servant de faire-valoir, les effets de la seconde instance de l’œuvre de la conquête sont obtenus, vous révélant entièrement le tempérament juste de Dieu, qui n’était pas entièrement révélé au cours de la première instance, et vous montrant le tempérament juste de Dieu dans son intégralité, tout ce qu’Il est, à savoir la sagesse, la merveille et la parfaite sainteté de Son œuvre. L’effet de cette œuvre est obtenu par la conquête au cours de différentes périodes et à travers différents degrés de jugement. Plus le jugement se rapproche de son point culminant, plus il révèle les tempéraments rebelles des hommes et plus la conquête est efficace. Le tempérament juste de Dieu devient évident dans son intégralité au cours de cette œuvre de conquête. L’œuvre de la conquête se divise en deux étapes et comporte différents stades et degrés, si bien que les effets qui sont obtenus sont aussi différents, évidemment. Cela signifie que le degré de soumission des hommes devient plus élevé encore. Ensuite seulement, les gens peuvent être pleinement amenés sur la juste voie de la perfection ; il faut que toute l’œuvre de la conquête soit terminée (quand la seconde instance de jugement a produit son effet ultime) pour que les gens ne soient plus jugés, mais puissent emprunter la juste voie de l’expérience de la vie. Car le jugement est une représentation de la conquête, et la conquête prend la forme du jugement et du châtiment.

Dieu S’est fait chair dans l’endroit le plus arriéré et le plus souillé de tous, et c’est seulement de cette manière que Dieu peut montrer clairement l’intégralité de Son tempérament saint et juste. Et par quel biais Son tempérament juste apparaît-il ? Il apparaît quand Dieu juge les péchés des hommes, quand Il juge Satan, quand Il abhorre le péché et quand Il méprise les ennemis qui s’opposent à Lui et se rebellent contre Lui. Je prononce ces paroles aujourd’hui pour juger les péchés des hommes, pour juger leur impiété et pour maudire leur désobéissance. La malhonnêteté et la duplicité des hommes, leurs paroles et leurs actes, tout ce qui va à l’encontre de la volonté de Dieu doivent être soumis au jugement, et toute la désobéissance des hommes doit être dénoncée comme péché. Ses paroles s’articulent sur les principes du jugement : Il utilise le jugement de l’impiété des hommes, la malédiction de leur insubordination et la révélation des visages hideux des hommes pour manifester Son tempérament juste. La sainteté est une représentation de Son tempérament juste, et la sainteté de Dieu est effectivement Son tempérament juste. Vos tempéraments corrompus sont le contexte des paroles d’aujourd’hui : Je les utilise pour parler et pour juger, et pour accomplir l’œuvre de la conquête. Cela seul est l’œuvre réelle, et cela seul fait pleinement rayonner la sainteté de Dieu. S’il n’y a aucune trace de tempérament corrompu en toi, alors Dieu ne te jugera pas et ne te montrera pas non plus Son tempérament juste. Sachant que tu as un tempérament corrompu, Dieu ne t’acquittera pas, et c’est à travers cela que se montre Sa sainteté. Si Dieu voyait que la souillure et l’insubordination de l’homme étaient trop grandes mais ne parlait pas et ne te jugeait pas, et ne te châtiait pas non plus pour ton impiété, cela prouverait qu’Il n’est pas Dieu, car Il n’aurait pas de haine du péché. Il serait aussi souillé que l’homme. Aujourd’hui, c’est en raison de ta souillure que Je te juge, et c’est en raison de ta corruption et de ton insubordination que Je te châtie. Je ne fais pas étalage de Mon pouvoir devant vous et ne vous opprime pas délibérément. Je fais ces choses parce que vous, qui êtes nés dans ce pays de souillure, avez été très gravement contaminés par la souillure. Vous avez tout simplement perdu votre intégrité et votre humanité, comme des porcs qui vivent dans des endroits sales. C’est en raison de votre souillure et de votre corruption que vous êtes jugés et que Je déchaîne Ma colère contre vous. C’est précisément grâce au jugement de ces paroles que vous avez pu voir que Dieu est le Dieu juste, et que Dieu est le Dieu saint ; c’est précisément en raison de Sa sainteté et de Sa droiture qu’Il vous juge et déchaîne sur vous Sa colère. C’est précisément parce qu’Il voit l’insubordination du genre humain qu’Il révèle Son tempérament juste. La souillure et la corruption du genre humain rendent Sa sainteté manifeste. Cela suffit à montrer qu’Il est Dieu Lui-même qui est saint et parfait et qui vit cependant au pays de la souillure. Si une personne se vautre dans la fange avec d’autres et qu’il n’y a rien de saint chez elle, et si elle n’a aucun tempérament juste, alors elle n’est pas qualifiée pour juger l’iniquité des hommes ni apte à exercer le jugement des hommes. Comment des gens qui sont tout aussi souillés les uns que les autres pourraient-ils être qualifiés pour juger leurs semblables ? Seul le Dieu saint Lui-même peut juger tout le genre humain souillé. Comment l’homme pourrait-il juger les péchés de l’homme ? Comment l’homme pourrait-il voir les péchés de l’homme, et comment l’homme pourrait-il être qualifié pour condamner ces péchés ? Si Dieu n’était pas qualifié pour juger les péchés des hommes, comment pourrait-Il être le Dieu juste Lui-même ? C’est parce que les gens révèlent des tempéraments corrompus que Dieu parle afin de les juger, et alors seulement peuvent-ils voir qu’Il est un Dieu saint. Comme Il juge et châtie l’homme pour ses péchés, tout en exposant les péchés de l’homme, aucune personne et aucune chose ne peuvent échapper à Son jugement : tout ce qui est souillé est jugé par Lui, et c’est ainsi seulement que Son tempérament se révèle juste. S’il en était autrement, comment pourrait-on dire que vous êtes des faire-valoir en théorie et en pratique ?

Il y a une grande différence entre l’œuvre accomplie en Israël et l’œuvre d’aujourd’hui. L’Éternel a guidé la vie des Israélites, et il n’y avait pas tant de châtiment et de jugement, car, à l’époque, les gens comprenaient trop mal le monde et avaient peu de tempéraments corrompus. À l’époque, les Israélites obéissaient implicitement à l’Éternel. Quand Il leur demandait de construire des autels, ils construisaient rapidement des autels ; quand Il leur demandait de porter les toges des prêtres, ils obéissaient. En ce temps-là, l’Éternel était semblable à un berger s’occupant d’un troupeau de brebis, les brebis suivant les orientations du berger et broutant l’herbe dans le pâturage. L’Éternel dirigeait leur vie et les guidait dans leur façon de manger, de se vêtir, de se loger et de voyager. Ce n’était pas le moment de rendre évident le tempérament de Dieu, car le genre humain d’alors venait de naître ; rares étaient les individus rebelles ou hostiles, il n’y avait pas beaucoup de souillure parmi le genre humain, et les gens ne pouvaient donc pas servir de faire-valoir du tempérament de Dieu. C’est à travers les gens qui viennent du pays de la souillure que se manifeste la sainteté de Dieu ; aujourd’hui, Il utilise la souillure que présentent ces gens du pays de la souillure, et Il juge, et ce qu’Il est, ainsi, est révélé dans le jugement. Pourquoi juge-t-Il ? Il peut prononcer les paroles du jugement parce qu’Il a le péché en horreur. Comment pourrait-Il être tellement en colère s’Il n’abhorrait pas l’insubordination du genre humain ? S’il n’y avait pas de dégoût en Lui, pas de révulsion, s’Il ne se souciait pas de l’insubordination des hommes, alors cela prouverait qu’Il est aussi souillé qu’eux. S’Il peut juger et châtier les hommes, c’est parce qu’Il abhorre la souillure, et que ce qu’Il abhorre est absent chez Lui. S’il y avait aussi de l’opposition et de l’insubordination en Lui, Il ne détesterait pas ceux qui sont hostiles ou rebelles. Si l’œuvre des derniers jours s’accomplissait en Israël, elle n’aurait pas de sens. Pourquoi l’œuvre des derniers jours est-elle en train de s’accomplir en Chine, l’endroit le plus sombre et le plus arriéré entre tous ? C’est afin de manifester Sa sainteté et Sa droiture. En résumé, plus l’endroit est sombre, plus la sainteté de Dieu peut apparaître clairement. En fait, tout cela est destiné à servir l’œuvre de Dieu. Aujourd’hui seulement, vous vous rendez compte que Dieu est descendu des cieux pour Se tenir parmi vous, rendu manifeste par votre souillure et votre insubordination, et maintenant seulement vous connaissez Dieu. N’est-ce pas la plus grande exaltation ? En fait, vous êtes un groupe de personnes en Chine qui ont été élues et, comme vous avez été élus et avez bénéficié de la grâce de Dieu, et que vous n’êtes pas aptes à bénéficier de cette formidable grâce, cela prouve que tout cela est votre exaltation suprême. Dieu S’est manifesté à vous et vous a montré Son tempérament saint dans son intégralité, Il vous a donné tout cela et Il vous a amenés à profiter de toutes les bénédictions possibles. Non seulement vous avez goûté au tempérament juste de Dieu, mais en outre, vous avez goûté au salut de Dieu, à Sa rédemption et à Son amour illimité, infini. Vous, les plus souillés entre tous, avez bénéficié de cette formidable grâce. N’êtes-vous pas bénis ? N’est-ce pas Dieu qui vous élève ? Vous, les hommes, avez les statuts les plus bas entre tous ; vous êtes naturellement indignes de bénéficier d’une si formidable bénédiction, et pourtant Dieu a fait une exception en t’élevant. N’as-tu pas honte ? Si tu es incapable d’accomplir ton devoir, alors tu auras finalement honte de toi-même et tu te puniras toi-même. Aujourd’hui, tu n’es pas discipliné, tu n’es pas puni non plus, ta chair est saine et sauve, mais en fin de compte ces paroles te feront honte. À ce jour, Je dois encore châtier ouvertement tout le monde ; mes paroles peuvent être sévères, mais comment est-ce que J’agis envers les gens ? Je les réconforte, Je les exhorte et Je leur rappelle les choses. Je le fais uniquement pour vous sauver. Ne comprenez-vous vraiment pas Mon dessein ? Vous devriez comprendre ce que Je dis et en être inspirés. Ce n’est que maintenant que beaucoup de gens comprennent. N’est-ce pas la bénédiction d’être un faire-valoir ? Être un faire-valoir, n’est-ce pas la chose la plus bénie ? À la fin, en allant diffuser l’Évangile, vous direz : « Nous sommes des faire-valoir typiques. » On vous demandera : « Qu’est-ce que cela veut dire, que tu es un faire-valoir typique ? » Et tu diras : « Nous sommes le faire-valoir de l’œuvre de Dieu et de Son grand pouvoir. L’intégralité du tempérament juste de Dieu est mise en lumière par notre insubordination. Nous sommes les objets utiles de l’œuvre de Dieu des derniers jours, nous sommes les appendices de Son œuvre et aussi ses outils. » En entendant cela, les gens seront intrigués. Tu ajouteras : « Nous sommes les spécimens et les modèles pour la réalisation par Dieu de l’œuvre de l’univers entier et pour Sa conquête de tout le genre humain. En somme, que nous soyons saints ou souillés, nous sommes tout de même plus bénis que vous, car nous avons vu Dieu et, à travers la chance que représente Sa conquête de nous-mêmes, la formidable puissance de Dieu se manifeste ; c’est seulement parce que nous sommes souillés et corrompus que Son tempérament juste s’est manifesté. Êtes-vous capables de témoigner ainsi de l’œuvre de Dieu des derniers jours ? Vous n’êtes pas qualifiés ! Ce n’est rien d’autre que notre exaltation par Dieu ! Bien que nous ne soyons sans doute pas arrogants, nous pouvons fièrement louer Dieu, car personne ne peut hériter d’une aussi formidable promesse, et personne ne peut bénéficier d’une si grande bénédiction. Nous sommes si reconnaissants que nous pouvons, nous qui sommes si souillés, servir de faire-valoir dans la gestion de Dieu. » Et quand on demande : « Que sont les spécimens et les modèles ? » Tu dis : « Nous sommes les plus rebelles et les plus souillés de tous les hommes ; nous avons été très profondément corrompus par Satan, et nous sommes les plus arriérés et les plus pauvres de la chair. Nous sommes des exemples classiques de ceux qui ont été utilisés par Satan. Aujourd’hui, nous avons été choisis par Dieu pour être les premiers au sein de l’humanité à être conquis, et nous avons contemplé le tempérament juste de Dieu et hérité de Sa promesse ; nous servons à conquérir davantage de gens, nous sommes donc les spécimens et les modèles de ceux qui sont conquis parmi le genre humain. » Il n’y a pas de meilleur témoignage que ces paroles, et c’est ta meilleure expérience.

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