Comment poursuivre la vérité (18)

Il y a quelques jours, un incident grave s’est produit. Lors de cet incident, des antéchrists ont perturbé le travail de diffusion de l’Évangile. Êtes-vous tous au courant ? (Oui.) Après cet incident, une réorganisation du travail d’évangélisation a débuté, certaines personnes ont commencé à être réaffectées ou transférées, et certaines questions liées à ce travail ont également été réajustées, n’est-ce pas ? (En effet.) Un évènement majeur de ce genre s’est produit dans la maison de Dieu, et des antéchrists sont apparus autour de vous. Avez-vous pu tirer des leçons de votre confrontation à un évènement aussi important ? Avez-vous cherché la vérité ? Avez-vous vu l’essence de certains problèmes et avez-vous pu tirer certaines leçons d’un évènement aussi important ? Quand un évènement a lieu, la plupart des gens ne se contentent-ils pas d’en tirer quelques leçons pour la forme, et de comprendre quelques doctrines, sans explorer l’essence de cet évènement, sans apprendre comment voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère ? Certaines personnes se contentent de réfléchir conformément à leur propre esprit et à leurs propres calculs, quoi qu’il leur arrive. Elles ne sont vraiment pas à la hauteur des vérités-principes, et elles manquent également d’intelligence et de sagesse. Elles se contentent d’en tirer quelques enseignements, puis prennent une résolution : « Quand ce genre de choses se produira de nouveau, il faudra que je sois prudent et attentif, quant aux choses que je ne peux pas dire, ou faire, au type de gens dont je dois me méfier, et desquels je dois rester proche. » Peut-on considérer que c’est là tirer des enseignements et gagner en expérience ? (Non.) Alors, quand des évènements de ce genre se produisent, qu’il s’agisse d’évènements majeurs ou mineurs, comment les gens doivent-ils en faire l’expérience, les aborder, les pénétrer profondément pour pouvoir en tirer des leçons, comprendre certaines vérités et gagner en stature tandis qu’ils sont confrontés à ces environnements ? La plupart des gens n’y réfléchissent pas, n’est-ce pas ? (En effet.) S’ils n’y réfléchissent pas, sont-ils alors des personnes qui cherchent la vérité ? Sont-ils des personnes qui poursuivent la vérité ? (Non.) Pensez-vous être des personnes qui poursuivent la vérité ? Sur quoi vous basez-vous pour croire que vous n’êtes pas des personnes qui poursuivent la vérité ? Et sur quoi vous basez-vous pour penser parfois que vous êtes des personnes qui poursuivent la vérité ? Quand vous endurez quelques souffrances et que vous payez un petit prix dans votre devoir, quand vous êtes parfois un peu plus sérieux dans votre travail, ou que vous versez un peu d’argent à l’Église, ou que vous abandonnez votre famille, que vous quittez votre emploi, que vous laissez tomber vos études, ou renoncez au mariage afin de vous dépenser pour Dieu, que vous vous abstenez de suivre les tendances du monde, ou que vous évitez les gens malfaisants que vous croisez, et ainsi de suite, quand vous êtes capables de faire tout cela, pensez-vous être des individus qui poursuivent la vérité et qui sont de vrais croyants ? N’est-ce pas ce que vous pensez ? (Si.) Alors, sur quelle base pensez-vous cela ? Vous basez-vous sur les paroles de Dieu et la vérité ? (Non.) Vous prenez vos désirs pour des réalités. Vous rendez votre propre verdict. Quand, à l’occasion, vous respectez certains règlements et agissez dans les règles, quand vous avez certaines manifestations d’une bonne humanité, quand vous êtes capables de vous montrer patients et tolérants, quand vous êtes, en apparence, humbles, discrets, sans prétention, sans arrogance, et quand vous êtes capables d’avoir une détermination ou un état d’esprit quelque peu responsables dans le travail de la maison de Dieu, vous pensez que vous avez réellement poursuivi la vérité et que vous êtes vraiment des personnes qui poursuivent la vérité. Donc, ces manifestations tiennent-elles lieu de poursuite de la vérité ? (Non.) Pour être précis, ces actes, ces comportements et ces manifestations apparents ne sont pas la poursuite de la vérité. Alors, pourquoi les gens pensent-ils toujours que ces manifestations sont la poursuite de la vérité ? Pourquoi pensent-ils toujours être des individus qui poursuivent la vérité ? (Selon leurs notions, les gens pensent que, s’ils font quelques efforts et se dépensent un peu, il s’agit là de manifestations de la poursuite de la vérité. Donc, lorsqu’ils paient un petit prix ou souffrent un peu dans leurs devoirs, ils se disent qu’ils sont des individus qui poursuivent la vérité, mais ils n’ont jamais cherché ce que la parole de Dieu avait à dire à ce sujet, ou de quelle façon Dieu jugeait si une personne poursuit ou non la vérité. Par conséquent, ils vivent constamment plongés dans leurs notions et leur imagination, et pensent qu’ils sont formidables.) Les gens n’abandonnent jamais leurs notions, et pour ce qui est de la question importante de déterminer s’ils sont ou non des individus qui poursuivent la vérité, ils se fient toujours à leurs propres notions, à leur imagination, et à leurs vœux pieux. Pourquoi agissent-ils ainsi ? N’est-ce pas parce qu’ils se sentent à l’aise quand ils pensent et agissent ainsi, croyant qu’ils n’ont pas réellement à payer un prix afin de poursuivre la vérité, et qu’ils pourront, malgré tout, bénéficier d’avantages et être bénis au bout du compte ? Il y a une autre raison, qui est que les soi-disant bons comportements des gens – par exemple quand ils renoncent, souffrent, paient un prix, et ainsi de suite – sont des choses qu’ils peuvent accomplir et atteindre, n’est-ce pas ? (En effet.) Les gens peuvent facilement renoncer à leur famille et à leur emploi, mais il ne leur est pas facile de véritablement poursuivre la vérité, de pratiquer la vérité, ou d’agir en se basant sur les vérités-principes. Il ne leur est pas facile d’atteindre ces choses-là. Même si tu comprends un peu de la vérité, il te sera très difficile de te rebeller contre tes propres idées, notions ou tempéraments corrompus, et il te sera très difficile de t’en tenir aux vérités-principes. Si tu es une personne qui poursuit la vérité, pourquoi sembles-tu n’avoir fait aucun progrès quant à divers aspects de la vérité au cours de tes années de croyance en Dieu ? Peu importe que tu aies ou non payé un prix, peu importe ce à quoi tu as renoncé ou ce que tu as abandonné, les résultats finaux que tu as obtenus sont-ils ceux que l’on obtient par la poursuite et la pratique de la vérité ? Peu importe dans quelle mesure tu as payé un prix, dans quelle mesure tu as souffert, ou à combien de choses charnelles tu as renoncé, qu’as-tu obtenu, au bout du compte ? As-tu obtenu la vérité ? As-tu gagné quoi que ce soit concernant la vérité ? As-tu fait des progrès dans ton entrée dans la vie ? As-tu changé tes tempéraments corrompus ? Fais-tu preuve d’une véritable soumission à Dieu ? Nous n’allons pas parler d’une leçon ou d’une pratique aussi profondes que la soumission à Dieu, au contraire, nous nous contenterons de parler de la chose la plus simple qui soit. Tu as tout abandonné, tu as souffert et payé des prix pendant tant d’années, peux-tu protéger les intérêts de la maison de Dieu ? En particulier, quand des antéchrists et des gens malfaisants font le mal pour perturber le travail de l’Église, fermes-tu les yeux, préservant ainsi les intérêts de ces gens malfaisants et te protégeant toi-même, ou te tiens-tu aux côtés de Dieu, préservant ainsi les intérêts de Sa maison ? As-tu pratiqué conformément aux vérités-principes ? Si tu ne l’as pas fait, alors tes souffrances et les prix que tu as payés ne sont pas différents de ceux de Paul. Tout cela n’est fait que pour gagner des bénédictions et tout cela est futile. Ces souffrances et ces prix sont comme ce que Paul a dit concernant le fait d’avoir mené le bon combat et achevé la course qu’il était censé achever, et d’avoir finalement obtenu des bénédictions et une récompense ; il n’y a absolument aucune différence. Tu suis le chemin de Paul, tu ne poursuis pas la vérité. Tu penses que tes renoncements, tes dépenses, tes souffrances et les prix que tu as payés sont la pratique de la vérité, alors combien de vérités as-tu comprises au fil des années ? Combien de vérités-réalités possèdes-tu ? Dans combien de domaines as-tu protégé les intérêts de la maison de Dieu ? Dans combien de domaines t’es-tu tenu aux côtés de la vérité et de Dieu ? Dans combien de tes actes t’es-tu abstenu de faire le mal ou de suivre ta propre volonté, parce que tu as un cœur qui craint Dieu ? Toutes ces choses devraient être comprises et examinées par les gens. Si les gens n’examinent pas ces choses, alors plus ils croiront en Dieu, et surtout, plus ils accompliront un devoir longtemps, plus ils penseront avoir apporté leur contribution de façon méritoire, et plus ils se diront qu’ils seront certainement sauvés, et qu’ils sont de Dieu. Si, un jour, ils sont renvoyés, exposés et éliminés, ils diront : « Même si je n’ai pas rendu un service méritoire, j’ai au moins travaillé dur. Et même si je n’ai pas travaillé dur, alors je me suis au moins fatigué. Étant donné que j’ai souffert et payé des prix pendant tant d’années, la maison de Dieu ne devrait pas me renvoyer, ni me traiter de la sorte. La maison de Dieu ne devrait pas simplement se débarrasser de moi, alors que j’ai travaillé pour elle ! » Si tu es vraiment une personne qui poursuit la vérité, tu ne devrais pas dire cela. Si tu es une personne qui poursuit la vérité, alors combien de fois as-tu mis en œuvre les arrangements de travail de la maison de Dieu, minutieusement et à la lettre ? Combien de ces arrangements as-tu mis en œuvre ? De combien de tâches as-tu assuré le suivi ? Combien d’entre elles as-tu vérifiées ? Dans le cadre de tes responsabilités et de ton devoir, et dans les limites de ce que ton calibre, ta capacité d’entendement et ta compréhension de la vérité peuvent atteindre, dans quelle mesure as-tu fait tout ton possible ? Quels devoirs as-tu bien faits ? Combien de bonnes actions as-tu préparées ? Voilà les normes qui servent à tester si une personne poursuit la vérité. Si tu as fait n’importe quoi et que tu n’as pas obtenu le moindre résultat, cela prouve que tu souffres et paies des prix depuis toutes ces années dans l’espoir de recevoir des bénédictions, que tu ne pratiques pas la vérité et que tu ne te soumets pas à Dieu. Tout ce que tu as fait, tu l’as fait pour toi-même, pour le statut et les bénédictions, et ce n’est pas suivre la voie de Dieu. Alors, tout ce que tu as fait, c’est quoi ? L’ultime issue, pour les personnes de ce genre, n’est-elle pas la même que celle de Paul ? (Si.) Ces gens suivent tous le chemin de Paul et naturellement, leur issue sera identique à celle de Paul. Ne crois pas que tu as apporté une contribution méritoire simplement parce que tu crois en Dieu et que tu as renoncé à ton emploi, à ta famille ou même, dans certains cas, à tes jeunes enfants. Tu n’as apporté aucune contribution méritoire, tu es simplement un être créé, tout ce que tu fais, tu le fais pour toi-même, et il s’agit de choses que tu es censé faire. Serais-tu capable de souffrir et de payer des prix si ce n’était pas pour recevoir des bénédictions ? Serais-tu capable de renoncer à ta famille et de quitter ton emploi ? Ne traite pas le fait de renoncer à ta famille, de quitter ton emploi, de souffrir et de payer des prix comme si cela revenait à poursuivre la vérité et à te dépenser pour Dieu. Ce serait simplement te mentir à toi-même.

Ceux qui n’acceptent pas la vérité ou qui n’acceptent absolument pas d’être émondés, sont exposés et exclus, les uns après les autres, chaque fois que la maison de Dieu effectue une grande purge. Certaines personnes, dont les problèmes ne sont pas trop graves, se voient autorisées à rester, sous observation, et on leur donne la possibilité de se repentir après qu’elles ont été exposées. D’autres, dont les problèmes sont trop graves, restent incorrigibles malgré les critiques répétées. Elles refont les mêmes choses et les mêmes erreurs, encore et encore, et perturbent, interrompent et anéantissent le travail de l’Église, de sorte qu’elles sont finalement exclues et expulsées, conformément aux principes, et qu’on ne leur laisse plus d’autres chances. Certains disent : « Ça me fait de la peine, qu’on ne leur laisse pas d’autres chances. » Ne leur laisse-t-on pas suffisamment de chances ? Elles ne croient pas en Dieu pour écouter Ses paroles, pour accepter le châtiment et le jugement de Ses paroles, ou pour accepter Sa purification et Son salut, elles gèrent leurs propres affaires. Après avoir commencé à s’investir dans le travail de l’Église ou à faire divers devoirs, elles se mettent à commettre toutes sortes de méfaits, perturbant et interrompant le travail de l’Église, lui infligeant de sérieux dommages et faisant subir de graves pertes aux intérêts de la maison de Dieu. Après leur avoir laissé des chances, de manière répétée, et les avoir peu à peu éliminées de divers groupes d’accomplissement de devoirs, la maison de Dieu prévoit qu’elles accomplissent leurs devoirs dans l’équipe d’évangélisation. Mais quand ces personnes intègrent l’équipe en question, elles ne travaillent pas durement à leurs devoirs et continuent de commettre divers méfaits, sans se repentir ni changer le moins du monde. Quelle que soit la façon dont la maison de Dieu échange sur la vérité, ou le type d’arrangements de travail qu’elle prend, et même si elle laisse des chances à ces gens, même si elle leur donne des avertissements, et même si elle les émonde, tout cela est en pure perte. Ces gens ne sont pas trop insensibles, mais trop intransigeants. Bien entendu, parler de cette intransigeance, c’est se placer du point de vue de leurs tempéraments corrompus. Par essence, ce ne sont pas des personnes, mais des démons. Quand ces gens entrent dans l’Église, outre le fait d’agir comme des Satans, ils ne font rien qui bénéficie au travail de la maison de Dieu et au travail de l’Église. Ils ne font que de mauvaises choses. Ils ne viennent que pour perturber et détruire le travail de l’Église. Ils ne gagnent que quelques personnes en prêchant l’Évangile et après cela, ils se disent qu’ils disposent d’un capital, qu’ils ont apporté une contribution méritoire, et ils se mettent à se reposer sur leurs lauriers, pensant pouvoir régner comme des rois sur la maison de Dieu, pensant pouvoir donner des ordres et prendre des décisions concernant n’importe quel aspect du travail, et obliger les gens à suivre et à mettre en œuvre ces décisions. Quelle que soit la façon dont le Supérieur échange sur la vérité ou organise le travail, ces gens ne le prennent pas au sérieux. En face à face, ils disent des choses qui sonnent bien : « Les arrangements de travail de la maison de Dieu sont bons, ils correspondent tout à fait à nos besoins, ils ont remédié à des problèmes juste à temps. Sans cela, nous n’aurions pas su à quel point nous nous trompions. » Mais dès qu’ils tournent la tête, ils changent, et se mettent à répandre leurs propres idées. Dites-Moi, les gens comme ça sont-ils réellement humains ? (Non.) S’ils ne sont pas humains, que sont-ils ? En surface, ils portent une couche de peau humaine, mais par essence, ils ne font pas des choses humaines, ce sont des démons ! Le rôle qu’ils jouent au sein de l’Église est spécifiquement de perturber les différentes tâches dans la maison de Dieu. Ils perturbent tout travail qu’ils font et ils n’ont jamais cherché la vérité ou les principes, ils ne se sont jamais tournés vers les arrangements de travail et n’ont jamais agi conformément à ces arrangements. Dès qu’ils ont un peu de pouvoir, ils s’en vantent et jouent les gros bras devant le peuple élu de Dieu. Ils ont tous un visage de démon, et aucune ressemblance humaine. Ils n’ont jamais défendu les intérêts de la maison de Dieu, ils se contentent de protéger leurs propres intérêts et leur propre statut. Quel que soit leur niveau en tant que dirigeants quand ils servent, ou la tâche qu’ils supervisent, dès que ce travail leur est confié, il devient leur propriété, ils ont le dernier mot, et il vaut mieux que les autres ne songent pas à vérifier, superviser ou assurer le suivi de ce travail, et encore moins à intervenir. Ne sont-ils pas de véritables antéchrists ? (Si.) Et ces gens veulent malgré tout obtenir des bénédictions ! J’ai deux mots pour qualifier ces gens : déraisonnables et impénitents. Ceux qui ne poursuivent pas la vérité peuvent trébucher sur n’importe quel obstacle, et ils n’iront pas loin. Dans le passé, Je vous ai toujours dit : « Si vous pouvez rendre service jusqu’à la fin, et être de loyaux exécutants, c’est plutôt bien, également. » Certains individus n’aiment pas la vérité, et ne sont pas prêts à la poursuivre. Que faut-il y faire ? Ces individus devraient être des exécutants. Si tu peux travailler dur en rendant service, et ne provoquer ni interruptions ni perturbations, ou ne pas faire le moindre mal qui t’amènerait à être exclu, et que tu peux garantir que tu ne feras pas le mal, que tu continueras à rendre service jusqu’à la fin, alors tu pourras survivre. Tu ne pourras pas recevoir beaucoup de bénédictions, mais au moins, tu auras rendu service pendant la période de l’œuvre de Dieu, tu seras un exécutant loyal et, en fin de compte, Dieu ne te maltraitera pas. Mais en ce moment même, certains exécutants sont vraiment incapables de rendre service jusqu’à la fin. Pour quelle raison ? Parce qu’ils sont dépourvus d’esprit humain. Nous n’allons pas nous demander quel genre d’esprit se trouve en eux, mais à tout le moins, en examinant leur comportement du début à la fin, on voit que leur essence est celle de démons, et non de personnes. Ils n’acceptent pas du tout la vérité, et sont encore plus loin de la poursuivre.

Il y a dix ans, quand chaque aspect de la vérité n’avait pas encore fait l’objet d’échanges détaillés, les gens ne comprenaient pas ce que voulait dire poursuivre la vérité ou gérer les choses en se basant sur les vérités-principes. Certaines personnes agissaient en se basant sur leur propre volonté, sur leur imagination, et sur leurs notions, ou elles suivaient des règles. C’était excusable, parce qu’elles ne comprenaient pas. Mais aujourd’hui, dix ans plus tard, même si notre échange sur les différents aspects de la vérité n’est pas encore achevé, les diverses vérités fondamentales concernant le fait que les gens travaillent et font des devoirs ont, à tout le moins, été expliquées clairement pour ce qui est des principes. Quel que soit le type de devoir qu’ils accomplissent, les gens qui possèdent un cœur et un esprit, qui aiment la vérité et qui sont capables de la poursuivre, devraient être capables de pratiquer une partie des vérités-principes en se fiant à leur conscience et à leur raison. Les gens ne sont pas à la hauteur des vérités plus élevées et plus profondes, et ils ne parviennent pas à les atteindre, ils ne sont pas capables de percer à jour l’essence de certains problèmes, ou les essences qui se rapportent à la vérité, mais ils devraient être capables de mettre en pratique les vérités qu’ils peuvent atteindre et qui ont été expressément stipulées. À tout le moins, ils devraient pouvoir s’en tenir aux arrangements de travail qui ont été stipulés expressément par la maison de Dieu, les mettre en œuvre et les répartir. Cependant, ceux qui sont démoniaques en sont incapables. Les gens de ce type ne peuvent même pas rendre service jusqu’à la fin. Quand les gens ne peuvent même pas rendre service jusqu’à la fin, cela signifie qu’ils vont être chassés du wagon au milieu du voyage. Pourquoi seront-ils chassés du wagon ? S’ils restent tranquillement assis dans le wagon, s’ils dorment, s’ils restent à leur place, ou même s’ils s’amusent, tant qu’ils ne perturbent pas tout le monde, ou la marche en avant de l’ensemble du train, qui aurait le cœur de les chasser du wagon ? Personne. S’ils pouvaient vraiment rendre service, Dieu ne les chasserait pas non plus du wagon. Mais utiliser ces gens pour rendre service maintenant entraînerait davantage de pertes que de gains. Les divers aspects du travail de la maison de Dieu ont subi de trop grandes pertes du fait des perturbations de ces gens. Ils sont la cause de trop de soucis ! Ils ne comprennent pas la vérité, quelle que soit la façon dont celle-ci fait l’objet d’échanges, et ensuite, ils font quand même de mauvaises choses. Interagir avec ces gens signifie vraiment se lancer dans des discussions sans fin, et faire l’expérience de colères sans fin. Le point crucial est que ces gens ont fait trop de mal et qu’ils ont infligé des pertes trop importantes au travail de diffusion de l’Évangile de la maison de Dieu. Dans le peu de devoirs qu’ils accomplissent, ils ne font que provoquer des interruptions et des perturbations, et les pertes qu’ils font subir au travail de la maison de Dieu sont irréparables. Ces gens font toutes sortes de mauvaises choses. Quand ils sont parmi les membres ordinaires de l’Église, ils font ce qu’ils veulent, ils gaspillent les offrandes, ils gonflent le nombre de personnes qu’ils ont gagnées en prêchant l’Évangile, et ils se servent des autres de manière inappropriée. Ils font exclusivement appel à des gens malfaisants, à des gens confus, et à des gens qui deviennent incontrôlables et font des choses malfaisantes. Ils n’écoutent pas les suggestions de qui que ce soit, et ils répriment et punissent quiconque émet une opinion. Sous leur supervision, les paroles de Dieu, Ses exigences et arrangements de travail ne sont pas mis en œuvre ; au contraire, ils sont mis de côté. Ces gens deviennent des brutes et des despotes locaux, ils deviennent des tyrans. Dites-Moi, peut-on garder des gens comme ça ? (Non.) Actuellement, certaines personnes ont été renvoyées, et après avoir été renvoyées, elles parlent de « se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu », de montrer qu’elles sont vraiment nobles, soumises, et qu’elles poursuivent vraiment la vérité. En déclarant cela, elles veulent dire qu’elles n’ont rien à ajouter au sujet de tout ce que la maison de Dieu fait, et qu’elles sont prêtes à se soumettre à ses arrangements. Elles disent qu’elles sont prêtes à se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu, alors pourquoi ont-elles fait tant de mal, ce qui a conduit l’Église à les renvoyer ? Pourquoi ne le comprennent-elles pas ? Pourquoi n’en ont-elles pas rendu compte ? Ayant infligé divers types de problèmes et de pertes au travail de la maison de Dieu pendant qu’elles travaillaient, ne doivent-elles pas s’ouvrir aux autres et se mettre à nu à ce sujet ? Le sujet est-il clos si elles se contentent de ne plus en parler ? Elles disent qu’elles veulent se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu et montrer à quel point elles sont nobles et formidables. Tout cela n’est que faux-semblant et supercherie ! Si elles apprennent à se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu, pourquoi ne se sont-elles pas soumises aux précédents arrangements de travail de la maison de Dieu ? Pourquoi n’ont-elles pas mis en œuvre ces arrangements ? Que faisaient-elles, à ce moment-là ? À qui obéissent-elles vraiment ? Pourquoi n’en rendent-elles pas compte ? Qui est leur maître ? Ont-elles mené à bien chaque aspect du travail qui a été arrangé par la maison de Dieu ? Ont-elles obtenu des résultats ? Leur travail résiste-t-il à un examen minutieux ? Comment vont-elles compenser les pertes qu’elles ont fait subir à la maison de Dieu en devenant incontrôlables et en faisant le mal ? Cette question ne mérite-t-elle pas d’être commentée ? Peuvent-elles se contenter de dire qu’elles vont se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu, et voilà tout ? Dites-Moi, les gens comme ça ont-ils une humanité ? (Non.) Ils sont dépourvus d’humanité, de raison et de conscience, et ils n’ont aucune honte ! Ils ne sentent pas qu’ils ont fait autant de mal et infligé des pertes aussi importantes à la maison de Dieu. Ils ont provoqué tant d’interruptions et de perturbations sans éprouver le moindre remords, sans aucun sentiment de redevabilité, ou sans reconnaître tout cela le moins du monde. Si tu essaies de les en tenir pour responsables, ils diront : « Je ne suis pas la seule personne à avoir fait ça », ils trouveront des excuses. Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’on ne peut pas imposer de punitions si tout le monde est coupable, et que, tout le monde ayant fait le mal, eux, en tant qu’individus, ne devraient pas en être tenus pour responsables. Tout cela est erroné. Ils doivent rendre compte du mal qu’ils ont fait ; tout individu doit rendre compte du mal qu’il a fait, quel qu’il soit. Ils doivent se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu et aborder leurs propres problèmes correctement. S’ils ont cette attitude, ils peuvent avoir une autre chance et rester, mais ils ne peuvent pas faire le mal en permanence ! S’ils n’ont aucune prise de conscience, s’ils sont incapables de ressentir, de quelque façon que ce soit, qu’ils sont redevables à Dieu, et s’ils ne se repentent pas du tout, d’un point de vue humain, on peut leur laisser une chance, leur permettre de continuer à faire leurs devoirs et ne pas les tenir pour responsables, mais comment Dieu voit-Il cela ? Si les gens ne les tiennent pas pour responsables, Dieu S’en abstiendra-t-Il également ? (Non.) Dieu traite toutes les personnes et toutes les choses avec des principes. Dieu ne fera pas de compromis avec toi et Il n’arrondira pas les angles, Il ne sera pas complaisant, comme toi. Dieu a des principes, Il a un tempérament juste. Si tu violes les principes et les décrets administratifs de la maison de Dieu, l’Église et la maison de Dieu doivent te traiter conformément à ces principes et aux stipulations des décrets administratifs. Quant aux conséquences de ton offense à Dieu, en fait, dans ton cœur, tu sais comment Dieu te voit ou te traite. Si tu traites vraiment Dieu comme Dieu, tu dois venir devant Lui pour te confesser, reconnaître tes péchés et te repentir. Si tu n’as pas cette attitude, alors tu es un incrédule, tu es un démon, tu es un ennemi de Dieu, et tu devrais être maudit ! À quoi cela sert-il que tu écoutes des sermons, alors ? Tu devrais sortir. Tu ne mérites pas d’écouter des sermons ! Les vérités sont exprimées pour être entendues par des êtres humains corrompus normaux. Bien que de telles personnes aient des tempéraments corrompus, elles sont déterminées et disposées à accepter la vérité, elles peuvent réfléchir sur elles-mêmes chaque fois qu’il leur arrive quelque chose, et elles peuvent se confesser, se repentir et inverser la situation quand elles font quelque chose de mal. De telles personnes peuvent être sauvées, et c’est pour elles que les vérités sont exprimées. Les gens qui n’ont pas une attitude de repentance, quoi qu’il leur arrive, ne sont pas des êtres humains corrompus ordinaires, ils sont tout autre chose. Leur essence est celle de démons, pas de personnes. Les êtres humains corrompus ordinaires ne poursuivent peut-être pas non plus la vérité, mais ils peuvent habituellement s’abstenir de faire de mauvaises choses, en se basant sur leur conscience, sur le minimum de honte que leur humanité normale possède et le peu de raison qu’ils ont, et ils n’ont aucune intention de provoquer délibérément des interruptions et des perturbations. Dans des circonstances normales, de telles personnes peuvent rendre service à Dieu, Le suivre jusqu’à la fin, et elles sont capables de survivre. Cependant, il y a un type de personnes, sans conscience ni raison, qui n’ont vraiment ni sens de l’honneur ni honte, qui n’ont pas un cœur plein de remords quel que soit le mal qu’elles font, et qui se cachent sans la moindre gêne au sein de la maison de Dieu, espérant encore recevoir des bénédictions et ne sachant pas se repentir. Quand quelqu’un leur dit : « Tu as provoqué une interruption et une perturbation en faisant cela », elles répondent : « Vraiment ? Alors j’ai commis une erreur, je ferai mieux la prochaine fois. » L’autre personne dit alors : « Tu devrais donc en venir à connaître tes tempéraments corrompus. » Et elles disent : « En venir à connaître quels tempéraments corrompus ? J’étais juste ignorant et stupide. Je ferai simplement mieux la prochaine fois. » Elles n’ont pas une compréhension profonde des choses et elles se débarrassent simplement des gens avec leurs paroles. Ceux qui ont cette attitude peuvent-ils se repentir ? Ils n’ont même pas de honte, ce ne sont pas des personnes ! Certains disent : « Si ces gens ne sont pas des personnes, sont-ils des bêtes ? » Ce sont des bêtes, mais ils sont même inférieurs aux chiens. Réfléchis-y, quand un chien fait une bêtise ou se conduit mal, si tu le réprimandes une fois, il se sentira immédiatement coupable et continuera à être gentil avec toi. Ainsi, il veut dire : « S’il te plaît, ne me déteste pas, je ne referai jamais ça. » Quand quelque chose de similaire se reproduira, le chien te regardera délibérément, pour te dire : « Je ne vais pas le faire, ne t’inquiète pas. » Peu importe que le chien ait peur d’être battu ou qu’il essaie de plaire à son maître, quelle que soit la façon dont on examine les choses, quand le chien sait que son maître n’aime pas quelque chose ou qu’il ne l’autorise pas à faire quelque chose, le chien ne le fait pas. Il est capable de se maîtriser, il a un sens de la honte. Même les animaux ont un sens de la honte, mais ces gens ne sont pas dans ce cas. Alors, sont-ils quand même des personnes ? Ils sont même moins que des animaux, ils sont donc des choses inhumaines, des choses inanimées, ce sont de véritables démons. Ils ne réfléchissent jamais sur eux-mêmes ou ne se confessent jamais, quel que soit le mal qu’ils font, et ils ne savent bien évidemment pas se repentir. Certaines personnes ont honte de faire face à leurs frères et sœurs parce qu’elles ont fait un peu de mal, et si les frères et sœurs les choisissent au cours d’une élection, elles diront : « Je ne vais pas accepter ce devoir, je ne suis pas qualifié. Autrefois, j’ai fait des choses stupides qui ont fait subir des pertes au travail de l’Église. Je ne mérite pas ce poste. » Les gens comme ça ont un sens de la honte, et ils ont une conscience et de la raison. Mais ces gens malfaisants n’ont aucun sens de la honte. Si tu leur demandes de devenir dirigeants, ils se lèveront immédiatement et diront : « Vous voyez bien ! Qu’en pensez-vous ? La maison de Dieu ne peut pas se passer de moi. Je suis quelqu’un d’important, je suis très compétent ! » Dis-Moi, n’est-il pas difficile de faire éprouver de la honte à ces gens ? À quel point est-ce difficile ? C’est plus difficile que d’escalader les murs de la passe de Shanhai, en Chine : ils n’ont aucune honte ! Peu importe dans quelle mesure ils font le mal, ils continuent éhontément à fainéanter au sein de l’Église. Ils n’ont jamais été humbles dans leurs interactions avec les frères et sœurs, ils vivent encore comme ils l’ont toujours fait, et ils se vantent même de temps à autre de leurs « formidables réussites », de leurs renoncements passés, de leurs dépenses, de leurs souffrances et des prix qu’ils ont payés, de leur « gloire » et de leur « grandeur » passées. Dès qu’ils en ont l’occasion, ils se lèvent immédiatement pour s’afficher et se vanter, ils parlent de leur capital et mettent en avant leurs qualifications, et pourtant, ils ne disent jamais dans quelle mesure ils ont fait le mal, combien d’offrandes à Dieu ils ont gaspillées, ou combien de pertes ils ont fait subir au travail de la maison de Dieu. Ils ne se confessent même pas quand ils prient Dieu en privé, et ne versent jamais une larme du fait des erreurs qu’ils ont commises ou des pertes qu’ils ont infligées à la maison de Dieu. Voilà à quel point ils sont intransigeants et dépourvus de honte. Ne sont-ils pas complètement déraisonnables et impénitents ? (Si.) Ils sont impénitents et ne peuvent pas être sauvés. Tu as beau leur donner leur chance, c’est comme parler à un mur, ou essayer de faire monter un canard sur un perchoir, ou demander aux démons et à Satan d’adorer Dieu. Donc, quand il s’agit de ces gens, l’attitude de la maison de Dieu, en fin de compte, consiste à les abandonner. S’ils sont disposés à accomplir des devoirs, ils peuvent le faire, la maison de Dieu leur laissera une petite chance. S’ils ne sont pas prêts à accomplir des devoirs, et disent : « Je vais partir pour travailler, gagner de l’argent et laisser passer le temps ; je vais gérer ma propre affaire », ils peuvent le faire, la porte de la maison de Dieu est ouverte, ils peuvent se dépêcher de partir ! Je ne veux plus les revoir, ils Me dégoûtent vraiment ! À quoi jouent-ils ? Le peu de souffrances qu’ils ont endurées, les prix dérisoires qu’ils ont payés, leurs petits renoncements et leurs petites dépenses, n’étaient que des conditions préalables qu’ils ont préparées de façon à pouvoir faire le mal. S’ils restent dans la maison de Dieu, quel genre de service peuvent-ils rendre pour elle ? En quoi peuvent-ils bénéficier au travail de la maison de Dieu ? As-tu la moindre idée du nombre d’interruptions et de perturbations que les méfaits et les mauvaises choses commis par une seule personne malfaisante, un seul antéchrist, en l’espace de six mois, peuvent provoquer dans le travail de l’Église ? Dis-Moi, combien de frères et sœurs devront travailler pour compenser cela ? Utiliser cette personne malfaisante, cet antéchrist, pour rendre un peu de service n’en vaut pas la peine, n’est-ce pas ? (En effet.) Nous ne parlerons pas de l’ampleur des pertes qui peuvent être provoquées par une bande d’antéchrists s’unissant pour faire de mauvaises choses, mais quels dégâts peuvent infliger au travail de l’Église une seule idée fausse et une déclaration diabolique prononcées par un antéchrist, ou un seul ordre absurde donné par un antéchrist ? Dis-Moi, combien de personnes devront travailler, et pendant combien de temps, pour compenser cela ? Qui en assumera la responsabilité ? Personne ne le peut ! Ces pertes peuvent-elles être compensées ? (Non.) Certains disent : « Si nous faisons appel à davantage de gens pour qu’ils nous aident, et si les frères et sœurs endurent un peu plus de souffrances, nous pourrons peut-être compenser cela. » Vous pourrez peut-être en compenser une partie, mais quelle quantité de main d’œuvre et de ressources matérielles la maison de Dieu devra-t-elle mobiliser ? En particulier, qui peut rattraper le temps perdu et compenser les pertes subies par le peuple élu de Dieu en matière d’entrée dans la vie ? Personne ne le peut. Par conséquent, les torts faits par les antéchrists ne peuvent pas être pardonnés ! Certains disent : « Les antéchrists ont déclaré : “Nous vous dédommagerons pour l’argent perdu”. » Bien sûr qu’ils doivent le faire ! « Les antéchrists ont dit : “Nous ferons venir davantage de gens, pour compenser ceux que nous avons perdus”. » C’est la moindre des choses. Ils doivent réparer le mal qu’ils ont fait ! Mais qui rattrapera le temps perdu ? Le peuvent-ils ? Il est impossible de le rattraper. Donc, les torts causés par ces gens sont les péchés les plus odieux ! Ils ne peuvent pas être pardonnés. Dis-Moi, n’est-ce pas le cas ? (Si.)

Quand certaines personnes voient que la maison de Dieu traite les antéchrists assez sévèrement, sans leur donner une chance et en les renvoyant directement, elles se posent des questions : « La maison de Dieu n’a-t-elle pas dit qu’elle donnait une chance aux gens ? Quand un individu commet une erreur sans importance, la maison de Dieu ne veut-elle plus de cet individu ? Ne lui donne-t-elle pas une chance ? Elle devrait lui laisser une chance, la maison de Dieu est vraiment dépourvue d’amour ! » Dites-Moi, combien de chances a-t-on données à ces gens ? Combien de sermons ont-ils écoutés ? Leur a-t-on laissé trop peu de chances ? Quand ils travaillent, ne savent-ils pas qu’ils accomplissent des devoirs ? Ne savent-ils pas qu’ils prêchent l’Évangile et font le travail de la maison de Dieu ? Ne savent-ils pas ces choses ? Dirigent-ils un commerce, une entreprise ou une usine ? Gèrent-ils leur propre entreprise ? Combien de chances la maison de Dieu a-t-elle données à ces gens ? Chacun d’entre eux a bénéficié d’un grand nombre de chances. En ce qui concerne ceux qui ont été transférés et qui sont passés de divers groupes à l’équipe d’évangélisation, combien d’entre eux ont été renvoyés après avoir fait partie de l’équipe d’évangélisation pendant seulement deux ou trois jours ? Aucun d’entre eux ne l’a été, sauf si le mal qu’ils avaient fait était trop grave, auquel cas ils ont été renvoyés. On a donné suffisamment de chances à chacun d’entre eux, simplement, ils ne savent pas chérir ces chances ou se repentir. Ils empruntent leur propre voie, suivent en permanence le chemin de Paul. Les paroles qu’ils prononcent sont très agréables et très claires, mais ils n’agissent pas comme des êtres humains. Devrait-on quand même donner une chance à ces gens-là ? (Non.) Quand on leur a donné une chance, on les traitait comme des êtres humains, mais ce ne sont pas des êtres humains. Ils ne font pas les choses que les êtres humains font, alors désolé, mais la porte de la maison de Dieu est ouverte et ils peuvent s’en aller. La maison de Dieu ne les utilisera plus. La maison de Dieu a toute liberté quand il s’agit d’utiliser les gens, c’est son droit. Est-ce que tout se passera bien si la maison de Dieu ne les utilise pas ? S’ils veulent croire, ils peuvent le faire en dehors de la maison de Dieu. Dans tous les cas, la maison de Dieu ne les utilisera pas : elle ne le peut pas, ils sont la cause de trop de soucis ! Ils ont infligé des pertes trop importantes à la maison de Dieu et personne ne peut régler cette note, personne n’en aurait les moyens ! Ce n’est pas que ces gens soient malchanceux, ce n’est pas que la maison de Dieu ne leur ait pas donné une chance, ce n’est pas que la maison de Dieu soit dépourvue d’amour et qu’elle se soit montrée trop dure avec eux, et ce n’est certainement pas que la maison de Dieu se débarrasse d’eux quand ils ont fini leur travail. C’est que ces gens sont allés trop loin, qu’ils ne pouvaient plus être tolérés et qu’ils ne pouvaient plus rendre compte des choses qu’ils avaient faites. Pour chaque tâche, la maison de Dieu a fourni des principes de travail, et le Supérieur a personnellement fourni direction, vérifications et corrections. Ce n’est pas seulement que la maison de Dieu et le Supérieur organisent deux ou trois réunions, ou prononcent quelques paroles. Ils ont prononcé de nombreuses paroles et organisé de nombreuses réunions, exhortant consciencieusement les gens, et en fin de compte, ce qu’ils ont reçu en échange, c’était de la tromperie, et finalement, le travail de l’Église a été interrompu, perturbé et transformé en un parfait désordre. Dites-Moi, qui serait encore prêt à donner une chance à ces gens ? Qui serait prêt à les garder ? Ils peuvent devenir incontrôlables et faire le mal, mais assurément, ils n’interdisent pas à la maison de Dieu de s’occuper d’eux conformément aux principes ? On ne peut pas dire que s’occuper d’eux de cette manière, c’est être dépourvu d’amour, on devrait dire que c’est avoir des principes. On donne de l’amour aux gens qui peuvent être aimés, aux gens ignorants qui peuvent être pardonnés. On ne donne pas d’amour aux gens malfaisants, aux démons, ou à ceux qui provoquent délibérément interruptions et perturbations, on n’en donne pas aux antéchrists. Les antéchrists méritent seulement d’être maudits ! Pourquoi méritent-ils seulement d’être maudits ? Parce que, quel que soit le mal qu’ils font, ils ne se repentent pas, ils ne se confessent pas ou ne font pas demi-tour, ils rivalisent avec Dieu jusqu’à la toute fin. Ils viennent devant Dieu en disant : « Quand je mourrai, je mourrai debout. Je reste inébranlable. Quand je viendrai devant Toi, je ne m’agenouillerai pas ni ne m’inclinerai. Je ne m’avouerai pas vaincu ! » Quels genres de choses sont ces antéchrists ? Même quand ils sont sur le point de mourir, ils disent quand même : « Je continuerai à résister à la maison de Dieu jusqu’au bout. Je ne confesserai pas mes péchés, je n’ai rien fait de mal ! » D’accord, s’ils n’ont rien fait de mal, ils peuvent partir. La maison de Dieu ne les utilisera pas. Est-ce que tout se passera bien si la maison de Dieu ne les utilise pas ? Tout se passera à merveille ! Certains disent : « Si la maison de Dieu ne veut pas se servir de moi, alors il n’y a personne qu’elle puisse utiliser. » Ces gens devraient vérifier qu’il n’y a vraiment personne. Y a-t-il le moindre travail dans la maison de Dieu qui dépende des gens ? Sans l’œuvre du Saint-Esprit et sans la protection de Dieu, quel individu pourrait en être là où il en est aujourd’hui ? Quelle tâche aurait pu être préservée jusqu’à maintenant ? Ces gens croient-ils qu’ils sont dans le monde séculier ? Dans le monde séculier, si un groupe, quel qu’il soit, ne bénéficiait plus de la protection d’une équipe d’individus talentueux ou doués, ce groupe ne pourrait achever aucun de ses projets. Dans la maison de Dieu, le travail est différent. C’est Dieu qui sauvegarde, dirige et guide le travail dans la maison de Dieu. Ne croyez pas que le travail de la maison de Dieu dépende du soutien de quiconque. Ce n’est pas le cas, et c’est là le point de vue d’un incrédule. Trouvez-vous approprié que la maison de Dieu abandonne les gens malfaisants, comme les antéchrists et les incrédules ? (Oui.) Pourquoi est-ce approprié ? Parce que les pertes provoquées, quand on utilise ces gens pour réaliser des tâches, sont trop grandes. Les gens de ce genre gaspillent main d’œuvre et ressources financières sans retenue, et ils n’ont absolument aucun principe. Ils n’écoutent pas la parole de Dieu et ils agissent en se basant entièrement sur leurs propres ambitions et leurs propres désirs. Ils ne respectent absolument pas les paroles de Dieu ni les arrangements de travail de la maison de Dieu, mais quand un antéchrist dit quelque chose, ils le respectent au plus haut point et pratiquent conformément à ses propos. J’ai appris qu’il y avait un imbécile qui se trouvait en Europe, mais qui travaillait sur des projets basés en Asie. La maison de Dieu a dit qu’elle l’enverrait travailler à la diffusion de l’Évangile en Europe, pour lui éviter de souffrir du décalage horaire, mais il n’a pas été d’accord et a refusé de retourner s’occuper de tâches en Europe, même quand la maison de Dieu a pris des arrangements pour cela, parce que l’antéchrist qu’il vénérait se trouvait en Asie et qu’il ne voulait pas quitter son maître. Ne s’agit-il pas d’un imbécile ? (Si.) Dis-Moi, cet individu est-il digne d’accomplir son devoir ? Voulons-nous de lui ? Les arrangements de travail pris par la maison de Dieu étaient appropriés. Si tu te trouves en Europe, alors tu dois travailler sur des projets basés en Europe, et non en Asie. Quel que soit le continent sur lequel tu te trouves, tu dois t’occuper de tâches à cet endroit, ainsi, tu peux éviter les problèmes de décalage horaire, c’est une très bonne chose ! Et pourtant, cet individu n’a pas été d’accord. Les paroles de la maison de Dieu n’ont pas eu d’effet sur lui. La maison de Dieu n’a pas pu le faire transférer, il avait besoin que son maître prenne la décision. Si son maître avait dit « Retourne t’occuper de tâches en Europe », il serait retourné travailler sur ces tâches. Si son maître avait dit « Tu ne peux pas retourner t’occuper de tâches en Europe, j’ai besoin que tu travailles sur des projets ici », il aurait dit « alors, je ne peux pas retourner en Europe ». À qui a-t-il rendu service ? (À son maître.) Il a rendu service à son maître, un antéchrist. Alors, ne devrait-il pas être renvoyé, ainsi que son maître ? Ne devrait-il pas être mis à la porte ? (Si.) Pourquoi suis-Je aussi en colère contre des gens comme ça ? Parce qu’ils font beaucoup de mal. N’importe qui serait furieux d’entendre ça. Ces gens essaient de tromper Dieu, en pleine conscience, c’est vraiment malintentionné ! Dites-Moi, pourquoi suis-Je aussi en colère contre des gens comme ça ? (Ils disent qu’ils croient en Dieu, mais en réalité, ils écoutent leur maître. Ils ne suivent pas vraiment Dieu et ne se soumettent pas vraiment à Dieu.) Ils se sont entièrement consacrés à une chose : suivre des démons et des Satans. Quand ils disent qu’ils suivent Dieu, ce n’est qu’une façade. Ils suivent et servent Satan sous couvert de suivre Dieu et de se dépenser pour Dieu, et en fin de compte, ils veulent quand même obtenir récompenses et bénédictions de Dieu. N’est-ce pas complètement éhonté ? N’est-ce pas entièrement déraisonnable et inexpiable ? (Si.) Dites-Moi, la maison de Dieu garderait-elle des gens pareils ? (Non.) Alors, quelle est la façon appropriée de s’occuper d’eux ? (Il faut les renvoyer, ainsi que leur maître.) Ils aiment suivre leur maître, et ils sont fermement résolus à se tuer au travail pour leur maître. Ils ne protègent pas les intérêts de la maison de Dieu quand ils accomplissent leurs devoirs, ils n’accomplissent pas leurs devoirs quand ils vivent devant Dieu, ils servent leur maître au sein d’une bande d’antéchrists : voilà l’essence de leur travail. Par conséquent, quoi qu’ils fassent, ce ne sera pas commémoré. Les gens comme ça devraient être renvoyés, ils ne sont même pas dignes de rendre service ! Donc, croyez-vous que les individus de ce genre ne deviennent comme ça que parce qu’ils ont croisé des gens malfaisants, ou parce qu’ils font ce genre de travail ? Sont-ils influencés par leur environnement, ou bien des gens malfaisants les induisent-ils en erreur ? (Ni l’un ni l’autre.) Alors, pourquoi sont-ils comme ça ? (Parce que, dans leur nature-essence, ce sont des personnes de ce genre.) Ces gens ont la même nature-essence que leur maître, l’antéchrist. Ce sont les mêmes types de gens. Ils ont des passe-temps communs, des pensées et des opinions communes, et ils ont en commun des moyens et des méthodes pour agir. Ils ont un langage commun et le même chemin de poursuite, et ils partagent les mêmes désirs, les mêmes motivations et les mêmes méthodes de pratique pour trahir Dieu et perturber le travail de la maison de Dieu. Réfléchissez-y, ils partagent la même attitude quant aux arrangements de travail de la maison de Dieu, attitude qui consiste à mentir à leurs supérieurs et à cacher des choses à ceux qui sont en dessous d’eux. Ils suivent des règles vis-à-vis de ceux qui sont au-dessus d’eux et des stratégies vis-à-vis de ceux qui sont en dessous d’eux. Ils se montrent complètement obéissants, en apparence, envers ceux qui sont au-dessus d’eux, et ils deviennent incontrôlables et font le mal envers ceux qui sont en dessous d’eux. Ils partagent les mêmes moyens et méthodes. Quand le Supérieur les émonde, ils disent : « J’ai commis une erreur, j’ai eu tort, je suis mauvais, je suis rebelle, je suis un démon ! » Puis il se retournent et disent : « Ne mettons pas en œuvre les arrangements de travail du Supérieur ! » Après quoi, ils agissent simplement à leur guise. Quand ils prêchent l’Évangile, ils le font vraiment machinalement, ils gonflent leurs chiffres, et trompent la maison de Dieu. Voilà les méthodes de ces bandes d’antéchrists. Ils abordent toujours les arrangements de travail avec leurs propres stratégies et méthodes. Leur visage démoniaque n’a-t-il pas été révélé ? Sont-ils des personnes ? Non, ce ne sont pas des personnes, ce sont des démons ! Nous n’interagissons pas avec les démons, alors faisons-les partir d’ici rapidement. Je ne veux pas voir leur visage démoniaque. Ils doivent s’en aller ! Ceux qui sont prêts à rendre service peuvent être envoyés dans le groupe B, ceux qui ne sont pas prêts à rendre service peuvent être expulsés. Cette ligne de conduite est-elle correcte ? (Oui.) C’est la ligne de conduite la plus appropriée ! Ils ont une essence commune, de sorte que lorsqu’ils parlent et agissent ensemble, ils le font avec beaucoup d’aisance, et quand ils agissent ensemble, il y a entre eux une incroyable cohésion et entente tacite. Dès que ces maîtres ouvrent la bouche, quelles que soient les choses démoniaques qu’ils disent, leurs disciples les répètent aussitôt, et dans leur cœur, ces disciples se sentent même fiers et pensent : « Tu as raison, agissons de cette manière ! Les arrangements de travail du Supérieur sont trop minutieux, nous ne pouvons pas faire les choses ainsi. » Peu importe à quel point les arrangements de travail du Supérieur sont exposés clairement ou spécifiquement, ces gens refusent de les mettre en œuvre, et peu importe à quel point les choses que les démons et les Satans disent sont déformées ou absurdes, ils les écoutent. À qui rendent-ils service, alors ? Les gens comme eux peuvent-ils rendre service dans la maison de Dieu jusqu’à la toute fin ? (Non.) Ils ne peuvent pas rendre service jusqu’à la toute fin. Que Dieu Se montre patient vis-à-vis d’une personne, ou vis-à-vis des actes d’un démon, il y a toujours une limite à cette patience. Dieu fait preuve de tolérance envers les gens dans toute la mesure du possible, mais quand un certain point est atteint, Il expose ceux qui doivent être exposés et élimine ceux qui doivent être éliminés. Quand ce point sera atteint, ces gens seront arrivés au bout de la route. Ce n’est pas simplement qu’ils ne poursuivent pas ou n’aiment pas la vérité, c’est que leur nature-essence est hostile à la vérité. Réfléchis-y, chaque fois que tu parles de choses positives, de compréhension pure ou de principes qui sont en accord avec la vérité, ils n’écoutent pas. Plus tes paroles sont pures, plus ils se sentent mal. Dès que tu commences à parler des vérités-principes, ils ne tiennent plus en place, et se trouvent des excuses pour faire dévier la conversation, pour détourner l’attention, ou ils vont simplement se verser un verre d’eau. Dès que tu échanges sur la vérité ou parles de te connaître toi-même, ils sont dégoûtés et ne veulent pas écouter. Quand ils n’ont pas besoin d’aller aux toilettes, c’est qu’ils ont soif ou faim, qu’ils ont envie de dormir, qu’ils doivent prendre un appel téléphonique ou s’occuper de quelque chose. Ils ont toujours une excuse et ils ne tiennent pas en place. Si tu utilises leurs méthodes et que tu parles de leurs déclarations et de leurs approches, qui provoquent exclusivement des interruptions et des perturbations, cela les stimulera et ils pourront continuer sans fin. Si tu ne partages pas un langage commun avec eux, ils éprouveront de l’aversion à ton égard et t’éviteront. Ce sont des démons typiques ! Certaines personnes, encore maintenant, ne peuvent toujours pas percer à jour ce genre de démons, et pensent que ces individus ne poursuivent tout simplement pas la vérité. Comment ces personnes peuvent-elles être aussi naïves ? Comment peuvent-elles dire des choses aussi stupides ? Est-ce seulement que ces individus ne poursuivent pas la vérité ? Non, ce sont des démons malfaisants, et ils ont énormément d’aversion pour la vérité. Ces individus se comportent assez bien dans les réunions, mais tout cela est feint. En réalité, écoutent-ils vraiment le contenu sur lequel portent les échanges, ou les paroles de Dieu qui sont lues lors des réunions ? Combien de paroles écoutent-ils vraiment ? Combien d’entre elles acceptent-ils ? À combien d’entre elles peuvent-ils se soumettre ? Ils ne peuvent même pas parler des doctrines les plus simples et les plus communément exprimées. S’agissant de pareils individus, peu importe pendant combien de temps ils travaillent, ou à quel niveau de direction ou de supervision ils servent, ils sont incapables de prêcher des sermons ou de parler de leurs propres expériences. Si quelqu’un leur dit : « Parle-nous un peu de la connaissance que tu as de tel sujet. Tu n’as pas à en avoir fait l’expérience, parle-nous simplement de la connaissance et de la compréhension que tu en as », ils seront incapables d’ouvrir la bouche, comme si celle-ci était hermétiquement scellée, et ils ne seront même pas capables de parler de certaines doctrines. Si, en se forçant, ils parviennent malgré tout à prononcer quelques mots, à ce sujet, ils sembleront maladroits et étranges. Certains frères et sœurs disent : « Comment se fait-il que, lorsque certains dirigeants prêchent des sermons, ils ont l’air d’instituteurs qui lisent à haute voix un texte à des enfants ? Pourquoi cela semble-t-il aussi maladroit et étrange ? » On appelle ça ne pas être capable de prêcher des sermons. Et pourquoi ne sont-ils pas capables de prêcher des sermons ? Parce qu’ils n’ont pas la vérité-réalité. Pourquoi n’ont-ils pas la vérité-réalité ? Parce qu’ils n’acceptent pas la vérité, parce que, dans leur cœur, ils ont de l’aversion pour la vérité, et parce qu’ils résistent à tout principe ou à toute affirmation de la vérité. S’il est dit qu’ils résistent, il est possible que tu ne puisses pas le voir, de l’extérieur, alors comment peux-tu savoir qu’ils résistent ? Peu importe comment la maison de Dieu échange sur la vérité, ils nieront et rejetteront la vérité, dans leur cœur, et ils seront incroyablement dégoûtés par elle. Peu importe la façon dont les autres échangent sur leur connaissance de la vérité, ils penseront : « Tu crois peut-être cela, mais pas moi. » Comment jugent-ils si quelque chose est la vérité ? Tant qu’il s’agit de quelque chose qu’ils croient être bon et juste, alors ils penseront que c’est la vérité. S’ils n’aiment pas une affirmation, alors celle-ci aura beau être juste, ils ne la considéreront pas comme la vérité. Par conséquent, quand nous examinons la racine de cette question, nous voyons que, dans les profondeurs de leur cœur, ils résistent à la vérité, ils ont de l’aversion pour la vérité et ils haïssent la vérité. La vérité n’occupe absolument aucune place dans leur cœur, ils la méprisent. Certaines personnes ne s’en rendent peut-être pas compte, et disent : « En général, je ne les vois pas dire quoi que ce soit qui insulte Dieu, qui blasphème contre la vérité ou qui viole les vérités-principes. » Alors, il y a un fait que ces personnes peuvent voir : chaque détail spécifique stipulé par les arrangements de travail de la maison de Dieu est nécessaire, et chaque détail est avancé afin de protéger les intérêts de l’œuvre de Dieu, les progrès dans la vie du peuple élu de Dieu, l’ordre normal de la vie d’Église et l’expansion normale du travail d’évangélisation. Le but des arrangements de travail, à chaque période, et du déploiement, de l’organisation et de la modification spécifiques de chaque aspect du travail est de protéger le développement normal du travail de la maison de Dieu et, à plus forte raison, d’aider les frères et sœurs à comprendre les vérités-principes et à y entrer. Pour être plus précis, on peut dire que ces choses amènent les frères et sœurs devant Dieu et qu’elles les aident à entrer dans les vérités-réalités. On peut dire que ces choses guident et tirent toute personne vers l’avant, les tenant par la main tout en les instruisant, les soutenant et les approvisionnant. En matière de mise en œuvre des arrangements de travail, qu’il s’agisse de mener à bien un échange spécifique à ce sujet durant les réunions, ou de le diffuser par le bouche à oreille, le but est de permettre au peuple élu de Dieu de faire l’expérience de l’œuvre de Dieu et de gagner une véritable entrée dans la vie, et c’est toujours bénéfique à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Il n’y a pas un seul arrangement qui soit préjudiciable au travail de la maison de Dieu ou à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, et aucun de ces arrangements ne provoque de perturbations ou de destruction. Et pourtant, les antéchrists ne respectent jamais ces arrangements de travail ni ne les mettent jamais en œuvre. Au contraire, ils méprisent ces arrangements, pensant qu’ils sont trop simples et trop quelconques, qu’ils ne sont pas aussi impressionnants que leur propre façon de travailler. Et les antéchrists pensent que faire ce travail ne leur permettra pas de bénéficier de plus grands avantages en termes de prestige, de statut et de réputation. Par conséquent, jamais ils n’écoutent les arrangements de travail ni ne les acceptent, et ils les mettent encore moins en œuvre. Au contraire, ils font les choses à leur manière. Sur cette base, dites-Moi, est-ce simplement que les antéchrists ne poursuivent pas la vérité ? À partir de là, vous pouvez voir clairement qu’ils haïssent la vérité. S’il est dit qu’ils haïssent la vérité, vous ne pourrez pas percer cela à jour, mais en examinant comment ces antéchrists abordent la mise en œuvre des arrangements de travail, vous pourrez gagner en perspicacité à cet égard. En ce qui concerne la façon dont les faux dirigeants et les faux ouvriers abordent les arrangements de travail, il est très clair que, tout au plus, ils se contentent d’agir machinalement, ils parlent des arrangements de travail une fois, et c’est tout. Ils n’assurent pas correctement le suivi et le contrôle ultérieur du travail, ou ne mènent pas à bien le travail lui-même. Ce sont de faux dirigeants. Mais au moins, les faux dirigeants peuvent malgré tout mettre en œuvre les arrangements de travail, faire les choses machinalement, et préserver ces arrangements. Les antéchrists ne peuvent même pas préserver les arrangements de travail, ils refusent simplement de les accepter ou de les mettre en œuvre, et à la place, ils font les choses à leur manière. Que considèrent-ils ? Leur propre statut, leur gloire et leur prestige. Ils se demandent si le Supérieur les apprécie, combien de frères et sœurs les soutiennent, dans le cœur de combien de personnes ils occupent une place, sur le cœur de combien de personnes ils règnent, contrôlant ainsi ces gens, et combien de gens ils ont à leur portée. Ils se soucient de ces choses. Ils ne considèrent jamais comment abreuver ou approvisionner les frères et sœurs pour que ces derniers puissent poser un fondement sur le vrai chemin, et ils ne considèrent certainement pas comment l’entrée dans la vie des frères et sœurs se passe, comment les frères et sœurs accomplissent leurs devoirs, qu’il s’agisse de prêcher l’Évangile ou d’autres types de devoirs, ou si ces frères et sœurs peuvent agir conformément aux principes, et ils ne se sont jamais souciés d’amener les frères et sœurs devant Dieu. Ils ne se soucient pas de ces choses. Tous ces faits ne sont-ils pas étalés juste sous vos yeux ? Ne s’agit-il pas là de manifestations que vous pouvez souvent voir chez les antéchrists ? Ces faits ne prouvent-ils pas suffisamment que ces gens haïssent la vérité ? (Si.) Les seules choses dont un antéchrist se soucie en permanence sont le statut, la gloire et le prestige. Disons que tu charges un antéchrist de la vie d’Église, pour permettre aux frères et sœurs d’avoir une vraie vie d’Église et pour les aider à comprendre la vérité et à poser leurs fondements tout en ayant une vie d’Église, pour les aider à posséder une véritable croyance en Dieu, à venir devant Dieu, à gagner la capacité de vivre de façon autonome et la foi nécessaire à l’accomplissement de leurs devoirs. Ainsi, le travail d’expansion de l’Évangile de la maison de Dieu disposerait de renforts, et des ouvriers d’évangélisation plus talentueux pourraient être constamment fournis pour qu’ils accomplissent leurs devoirs dans le cadre de l’expansion de l’Évangile. Est-ce ainsi que l’antéchrist penserait ? Il ne penserait absolument pas comme ça. Il dirait : « Qu’importe la vie d’Église. Si tout le monde mène pleinement une vie d’Église et lit les paroles de Dieu, et si tout le monde comprend la vérité, qui obéira à mes ordres ? Qui se souciera de moi ? Qui me prêtera attention ? Je ne peux pas laisser tout le monde se concentrer sur la vie d’Église en permanence ou devenir obsédé par elle. Si tout le monde lit sans cesse les paroles de Dieu, et si tout le monde est venu devant Dieu, qui restera-t-il autour de moi ? » N’est-ce pas là l’attitude d’un antéchrist ? (Si.) Les antéchrists pensent que s’ils s’attachent à approvisionner les frères et sœurs pour que ces derniers puissent gagner la vérité et la vie, cela sera préjudiciable à leur poursuite du prestige, du profit et du statut. Ils se disent : « Si je passe tout mon temps à aider les frères et sœurs, aurai-je encore le temps de poursuivre le prestige, le profit et le statut ? Si tous les frères et sœurs louent le nom de Dieu et suivent Dieu, il ne restera plus personne pour m’obéir. Ce serait vraiment embarrassant pour moi ! » Voilà le visage d’un antéchrist. Ce n’est pas simplement que les antéchrists ne poursuivent pas la vérité, c’est qu’ils ont énormément d’aversion pour la vérité. Dans leur conscience subjective, ils ne disent pas : « Je hais la vérité, je hais Dieu et je hais tous les arrangements de travail, toutes les affirmations et pratiques qui profitent aux frères et aux sœurs. » Ils ne disent pas ça. Ils utilisent simplement certaines approches et certains comportements pour résister aux arrangements de travail de la maison de Dieu. Donc, par essence, ces approches et ces comportements consistent à faire les choses à leur façon, et à amener tous les autres à les écouter et à obéir à eux. Par conséquent, quoi que la maison de Dieu fasse, ils ne le respectent pas. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Nous avons beaucoup échangé sur ces manifestations des antéchrists, dans le passé. Vous êtes de petite stature et votre compréhension de la vérité est superficielle. Les antéchrists ont fait énormément de mal juste sous vos yeux et pourtant, vous n’avez pas été capables de discerner cela. Vous êtes stupides et pitoyables, insensibles et lents d’esprit, démunis et aveugles. Voilà vos véritables manifestations et votre véritable stature. Les antéchrists causent beaucoup de problèmes et infligent d’énormes pertes au travail de la maison de Dieu, et il y a encore des gens pour dire qu’ils devraient être utilisés pour rendre service à Dieu. Les utiliser a fait plus de mal que de bien et pourtant, vous ne savez pas les renvoyer ou les gérer. Combien d’années faudra-t-il pour que votre stature et vos idées changent ? Certains se vantent sans cesse, en disant : « Je suis une personne qui poursuit la vérité. » Mais ils sont incapables de discerner les antéchrists quand ils les rencontrent, et il se peut même qu’ils suivent ces antéchrists. Où sont les manifestations de leur poursuite de la vérité ? Ils ont écouté de nombreux sermons, mais ils manquent encore de discernement. Bien, Je vais achever notre échange sur ce sujet ici. Ensuite, nous parlerons de notre sujet principal.

Lors de notre dernière réunion, nous avons échangé sur un contenu qui concernait les attentes parentales, dans le cadre de « l’abandon des fardeaux qui viennent de la famille ». Nous avons fini d’échanger sur les principes pertinents et les grands thèmes impliqués dans tout cela. Maintenant, nous allons échanger sur un autre aspect de l’abandon des fardeaux qui viennent de la famille : l’abandon des attentes à l’égard de ses enfants. Cette fois, nous allons inverser les rôles. Concernant le contenu qui porte sur le fait d’aborder les attentes parentales, il s’agit là de certaines des choses que les gens devraient faire, du point de vue d’un enfant. Pour ce qui est de la façon dont les enfants devraient aborder et gérer les diverses attentes que leurs parents ont vis-à-vis d’eux et les diverses approches que leurs parents utilisent avec eux, ainsi que les principes que les enfants devraient pratiquer, tout cela concerne le fait d’aborder correctement les différents problèmes qui proviennent des parents, du point de vue d’un enfant. Aujourd’hui, nous allons échanger sur le thème de « l’abandon des attentes à l’égard de ses enfants », thème qui porte sur la gestion des divers problèmes que les gens ont en ce qui concerne leurs enfants, du point de vue d’un parent. Il y a là des leçons à tirer et des principes à respecter. En tant qu’enfant, le plus important, c’est la façon dont tu devrais faire face aux attentes de tes parents, le genre d’attitude que tu devrais adopter vis-à-vis de ces attentes, ainsi que la voie que tu devrais suivre, et les principes de pratique que tu devrais avoir dans cette situation. Naturellement, toute personne a la possibilité d’être un parent, ou est peut-être déjà un parent. Cette question touche aux attentes et aux attitudes que les gens ont vis-à-vis de leurs enfants. Que tu sois le parent ou l’enfant, tu devrais avoir différents principes pour faire face aux attentes de l’autre partie. Les enfants ont des principes qu’ils devraient respecter quand il s’agit d’aborder les attentes de leurs parents, et naturellement, les parents ont également des vérités-principes qu’ils devraient respecter pour aborder les attentes de leurs enfants. Alors, commencez par réfléchir : à l’heure actuelle, quels sont les principes que vous pouvez voir, ou auxquels vous pouvez penser, que les parents devraient respecter dans leur façon de traiter leurs enfants ? Si nous parlons de principes, cela risque de vous paraître un peu éloigné, et le sujet pourrait être un peu trop vaste et profond, alors parlons plutôt des attentes que tu aurais vis-à-vis de tes enfants si tu étais parent. (Dieu, si je dois devenir parent un jour, avant toute chose, j’espère que mes enfants seront en bonne santé et qu’ils grandiront en bonne santé. En outre, j’espère qu’ils pourront avoir leurs propres rêves et qu’ils seront ambitieux pour ce qui est de les accomplir dans la vie, qu’ils auront de bonnes perspectives d’avenir. Voilà les deux choses principales que j’espère.) Espères-tu que tes enfants deviendront des fonctionnaires de haut rang ou qu’ils deviendront très riches ? (J’espère cela également. J’espère qu’ils pourront au moins réussir dans le monde, être meilleurs que les autres et être admirés par eux.) Les exigences les plus élémentaires que les parents ont pour leurs enfants, c’est qu’ils se portent bien physiquement, qu’ils réussissent leur carrière, qu’ils s’élèvent dans le monde et que tout se passe bien dans leur vie. Les parents ont-ils d’autres attentes pour leurs enfants ? Ceux qui ont des enfants, exprimez-vous. (J’espère que mes enfants seront en bonne santé et que tout se passera bien dans leur vie, que celle-ci sera paisible et qu’ils vivront en sécurité. J’espère qu’ils vivront en harmonie avec leur famille, qu’ils respecteront les gens âgés et prendront soin des jeunes.) Autre chose ? (Si je dois devenir parent un jour, en dehors des attentes qui viennent d’être évoquées, j’espère aussi que mes enfants seront obéissants et sensés, qu’ils feront preuve de piété filiale à mon égard, et que je pourrai compter sur eux pour qu’ils prennent soin de moi quand je serai vieux.) Cette attente est assez essentielle. Que les parents espèrent que leurs enfants fassent preuve de piété filiale à leur égard est une attente relativement traditionnelle, que les gens ont dans leurs notions et leur inconscient. Cette question est assez représentative.

L’abandon des attentes à l’égard de ses enfants est une part très importante de l’abandon des fardeaux qui viennent de la famille. Tous les parents ont certaines attentes vis-à-vis de leurs enfants. Que ces attentes soient conséquentes ou modestes, proches ou lointaines, elles constituent une attitude que les parents ont envers le comportement, les actes, la vie de leurs enfants, ou envers la façon dont leurs enfants les abordent en tant que parents. Ces attentes constituent également un type d’exigences spécifiques. Ces exigences spécifiques sont, du point de vue de leurs enfants, des choses qu’ils doivent faire parce que, selon les notions traditionnelles, les enfants ne peuvent pas s’opposer aux ordres de leurs parents, et s’ils le font, c’est qu’ils sont dépourvus d’amour filial. Par conséquent, beaucoup de gens portent de grands et lourds fardeaux à ce sujet. Alors, les gens ne devraient-ils pas comprendre si les attentes spécifiques que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants sont raisonnables ou non, et si leurs parents devraient avoir ces attentes ou non, ainsi que lesquelles de ces attentes sont raisonnables, lesquelles sont déraisonnables, lesquelles sont légitimes et lesquelles sont forcées et illégitimes ? En outre, il y a des vérités-principes que les gens sont censés comprendre et respecter concernant la façon dont ils devraient aborder les attentes parentales, la façon dont ils devraient accepter ou rejeter ces attentes parentales, et l’attitude et le point de vue qu’ils devraient adopter pour considérer et aborder ces attentes. Quand ces choses n’ont pas été résolues, les parents endossent souvent ce genre de fardeaux, pensant qu’ils ont la responsabilité et l’obligation de nourrir des attentes vis-à-vis de leurs enfants et de leur descendance, et naturellement, que ces attentes sont encore plus des choses qu’ils devraient avoir. Les parents pensent que s’ils n’avaient pas d’attentes vis-à-vis de leurs enfants, cela reviendrait à ne pas assumer leurs responsabilités ou leurs obligations vis-à-vis de leurs enfants, et que cela équivaudrait à ne pas faire ce que les parents devraient faire. Ils pensent que cela ferait d’eux de mauvais parents, des parents qui n’assument pas leurs responsabilités. Par conséquent, en ce qui concerne les attentes qu’ils ont vis-à-vis de leurs enfants, les gens produisent involontairement diverses exigences pour leurs enfants. Ils ont des exigences différentes selon les enfants, selon les moments, et selon les circonstances. Comme ils ont ce genre d’opinion et portent ce genre de fardeau quand il s’agit de leurs enfants, les parents vont faire les choses qu’ils sont censés faire selon ces règles implicites, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Les parents ont des exigences vis-à-vis de leurs enfants, tout en traitant ces approches comme une sorte d’obligation et de responsabilité, et en même temps, ils imposent ces exigences à leurs enfants et obligent leurs enfants à y répondre. Dans notre échange, nous allons scinder cette question en plusieurs volets, les choses seront plus claires ainsi.

Avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, les parents émettent déjà diverses exigences à leur intention. Bien entendu, dans le cadre de ces diverses exigences, ils épinglent également toutes sortes d’attentes sur leurs enfants. Donc, tandis que les parents épinglent différentes attentes sur leurs enfants, ils paient personnellement divers prix et élaborent diverses approches, afin de concrétiser ces attentes. Par conséquent, avant que les enfants atteignent l’âge adulte, leurs parents les éduquent de diverses manières et ont diverses exigences vis-à-vis d’eux. Par exemple, les parents disent à leurs enfants, dès leur plus jeune âge : « Tu dois bien étudier et étudier davantage. Tu ne seras meilleur que tous les autres et tu n’éviteras d’être méprisé par les autres qu’après avoir fait de bonnes études. » Il y a également des parents qui enseignent à leurs enfants qu’ils doivent faire preuve de piété filiale à leur égard, une fois devenus grands. Au point que, lorsque leurs enfants n’ont que deux ou trois ans, ils leur demandent sans cesse : « Prendras-tu soin de ton papa, quand tu seras grand ? » Et leurs enfants répondent : « Oui.» Les parents demandent : « Prendras-tu soin de ta maman ? » « Oui. » « Qui aimes-tu le plus, ton papa ou ta maman ? » « J’aime mon papa. » « Non, tu dois d’abord dire que tu aimes ta maman, puis dire que tu aimes ton papa. » Ensuite, leurs enfants apprennent ces choses de leurs parents. L’éducation donnée par les parents, que ce soit par les paroles ou par l’exemple, a une profonde influence sur les jeunes esprits des enfants. Bien entendu, cela leur transmet un certain nombre de connaissances élémentaires, et leur enseigne que leurs parents sont les personnes qui les aiment et les adorent le plus au monde, et qu’ils sont les personnes vis-à-vis desquelles ils devraient le plus faire preuve d’obéissance et de piété filiale. Naturellement, cette idée – « Puisque mes parents sont les personnes les plus proches de moi dans le monde, je devrais toujours leur obéir » – est implantée dans leurs jeunes esprits. En même temps, une idée émerge dans leurs jeunes esprits, qui est que, puisque leurs parents sont les personnes les plus proches d’eux, alors tout ce que leurs parents font doit avoir pour but d’assurer que leurs enfants pourront vivre des vies meilleures. Par conséquent, ils pensent qu’ils devraient accepter inconditionnellement les actes de leurs parents. Quel que soit le genre de méthodes que ces derniers emploient, et que ces méthodes soient humaines ou inhumaines, ils croient qu’ils devraient les accepter. À un âge où ils n’ont pas encore la moindre capacité à distinguer le bien du mal, l’éducation qu’ils reçoivent de leurs parents, que ce soit par la parole ou par l’exemple, implante ce genre d’idées en eux. Gouvernés par ce genre d’idées, les parents peuvent exiger de leurs enfants qu’ils fassent diverses choses, sous couvert de vouloir ce qu’il y a de mieux pour eux. Même si certaines de ces choses ne sont pas en accord avec ce qui est humain, ou avec le talent, le calibre ou les préférences de leurs enfants, dans ces circonstances, où les enfants n’ont pas le droit d’agir de leur propre initiative ou de manière autonome, ces enfants n’ont ni le choix ni la capacité de résister, en ce qui concerne les soi-disant attentes et exigences de leurs parents. Tout ce qu’ils peuvent faire, c’est obéir aux moindres paroles de leurs parents, laisser leurs parents agir à leur guise, se mettre à la merci de leurs parents, et être dirigés par leurs parents vers n’importe quel chemin. Par conséquent, avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, tout ce que les parents font, que ce soit involontaire ou que cela découle de bonnes intentions, aura un peu d’impact, positif ou négatif, sur le comportement et les actes de leurs enfants. Autrement dit, tout ce que les parents font implantera diverses idées et opinions chez leurs enfants, et ces idées et opinions s’enfouiront peut-être même profondément dans le subconscient de leurs enfants, de sorte qu’une fois ces enfants devenus adultes, ces idées et opinions influenceront encore profondément la façon dont ils considèrent les gens et les choses, dont ils se comportent et agissent, et même les chemins qu’ils suivent.

Avant d’atteindre l’âge adulte, les enfants n’ont pas les moyens de résister aux environnements de vie, à l’héritage ou à l’éducation que leurs parents leur transmettent, parce qu’ils ne sont pas encore adultes et qu’ils ne comprennent pas encore très bien les choses. Quand Je parle de la période qui précède le moment où un enfant atteint l’âge adulte, Je fais référence au moment où un enfant ne peut pas penser ou distinguer le bien du mal de manière autonome. Dans ces circonstances, les enfants ne peuvent qu’être à la merci de leurs parents. C’est précisément parce que les parents peuvent mener le jeu dans tous les domaines, avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, qu’ils adopteront, durant cette ère malfaisante, des méthodes d’éducation, des idées et des opinions correspondantes, basées sur des tendances sociales, pour inciter leurs enfants à faire certaines choses. Par exemple, la concurrence au sein de la société est vraiment féroce, à l’heure actuelle. Les parents ont été influencés par les courants de diverses tendances sociales et divers consensus, de sorte qu’ils acceptent ce message qui dit que la concurrence est féroce, et qu’ils le transmettent rapidement à leurs enfants. Ce qu’ils acceptent, c’est le phénomène et la tendance selon lesquels la concurrence au sein de la société est vraiment féroce, mais ce qu’ils ressentent, c’est une forme de pression. Quand ils ressentent cette pression, ils pensent vite à leurs enfants, et disent : « La concurrence est vraiment féroce au sein de la société, à présent. Ce n’était pas comme ça quand nous étions jeunes. Si nos enfants font des études, s’ils travaillent et abordent la société, les gens et les choses de la même façon que nous l’avons fait, ils seront vite éliminés par la société. Nous devons donc profiter du fait qu’ils sont encore jeunes, nous devons commencer à faire un travail sur eux, nous ne pouvons pas les laisser perdre sur la ligne de départ. » À présent, la concurrence au sein de la société est féroce, et les gens placent tous de grands espoirs dans leurs enfants, de sorte qu’ils transmettent vite à leurs enfants le genre de pression qu’ils ont acceptée de la société. Alors, leurs enfants en sont-ils conscients ? Comme leurs enfants ne sont pas encore adultes, ils n’en sont pas conscients du tout. Ils ne savent pas si cette pression qui vient de leurs parents est bonne ou mauvaise, ni s’ils doivent l’accepter ou la rejeter. Quand les parents voient leurs enfants agir ainsi, ils les réprimandent : « Comment peux-tu être aussi stupide ? La concurrence est vraiment féroce au sein de la société, à l’heure actuelle, et tu ne comprends toujours rien. Dépêche-toi d’aller à la maternelle ! » À quel âge les enfants vont-ils à la maternelle ? Certains commencent à y aller à trois ou quatre ans. Pourquoi ? Au sein de la société, en ce moment même, il y a une formule qui circule : vous ne pouvez pas laisser vos enfants perdre sur la ligne de départ, leur éducation doit commencer dès leur plus jeune âge. Vous voyez, de très jeunes enfants souffrent, et entrent en maternelle à l’âge de trois ou quatre ans. Et quel genre de maternelle les gens choisissent-ils ? Dans les maternelles ordinaires, les instituteurs jouent souvent avec les enfants à des jeux tels que « L’aigle et les poulets », de sorte que les parents pensent qu’ils ne peuvent pas choisir des maternelles de ce genre. Ils pensent qu’ils doivent choisir une maternelle bilingue de luxe, et pour eux, n’apprendre qu’une seule langue ne suffit pas. À un âge où les enfants parlent encore mal leur langue maternelle, ils doivent apprendre une deuxième langue. N’est-ce pas là compliquer les choses pour les enfants ? Mais que disent les parents ? Ils disent : « Nous ne pouvons pas laisser nos enfants perdre sur la ligne de départ. En ce moment même, il y a des enfants d’un an qui apprennent une autre langue de leur nourrice, chez eux. Les parents de ces enfants parlent leur langue maternelle, et la nourrice parle une deuxième langue, enseignant aux enfants l’anglais, l’espagnol ou le portugais. Notre enfant a déjà quatre ans, il est déjà un peu trop âgé. Si nous ne commençons pas à lui apprendre des choses maintenant, il sera trop tard. Nous devons commencer à l’éduquer dès que possible, et trouver une maternelle où les cours sont donnés dans deux langues, où les instituteurs ont des licences et des maîtrises. » Les gens disent : « Les écoles de ce genre sont très coûteuses. » Les parents répondent : « Ce n’est pas grave. Notre maison est grande, nous pouvons déménager dans un logement plus petit. Nous revendrons notre maison qui a trois chambres et nous l’échangerons contre une maison de deux chambres. Nous mettrons de côté l’argent économisé et l’utiliserons pour envoyer notre enfant dans une maternelle de luxe. » Choisir une bonne maternelle ne leur suffit pas, ils pensent qu’ils doivent embaucher des professeurs particuliers pour aider leurs enfants à préparer les Olympiades de mathématiques pendant leur temps libre. Même si leurs enfants, par nature, n’aiment pas étudier en vue de ces Olympiades, ils doivent quand même le faire, et s’ils n’y arrivent pas, alors ils étudieront la danse. S’ils ne sont pas doués pour la danse, ils apprendront le chant. S’ils ne sont pas doués pour le chant, et que leurs parents voient qu’ils ont un corps harmonieux, avec de longs bras et de longues jambes, alors ces parents se diront que leurs enfants peuvent peut-être devenir mannequins. Ils les enverront alors dans des écoles d’art pour étudier le mannequinat. Ainsi, les enfants commencent à être envoyés dans des internats dès l’âge de quatre ou cinq ans, et la maison de leur famille passe de trois chambres à deux chambres, de deux chambres à une chambre, d’une maison à une chambre à une maison de location. Les cours particuliers que ces enfants prennent en dehors de l’école deviennent de plus en plus nombreux, et leur maison devient peu à peu plus petite. Il y a même des parents qui déménagent avec toute leur famille dans le sud, dans le nord, qui déménagent à gauche et à droite, pour que leurs enfants puissent aller dans de bonnes écoles, et en fin de compte, ils ne savent plus où aller, leurs enfants ne savent plus où se trouve leur ville natale, et tout cela est un immense gâchis. Les parents paient divers prix avant que leurs enfants parviennent à l’âge adulte, par souci de leur avenir, afin que ces enfants ne perdent pas sur la ligne de départ, et pour qu’ils puissent s’adapter à cette société de plus en plus compétitive et avoir un bon emploi et un revenu stable par la suite. Certains parents sont très compétents, ils dirigent de grosses entreprises ou sont des fonctionnaires de haut rang, et ils investissent énormément dans leurs enfants. Certains parents ne sont pas aussi compétents, mais ils sont exactement comme les autres et veulent envoyer leurs enfants dans des écoles de luxe, et qu’ils aient divers cours après l’école, des cours de danse ou d’art, qu’ils étudient diverses langues et la musique, et ils font subir à leurs enfants de fortes pressions et beaucoup de souffrances. Leurs enfants se disent alors : « Quand vais-je avoir le droit de jouer un peu ? Quand serai-je grand et pourrai-je mener le jeu, comme le font les adultes ? Quand ne serai-je plus obligé d’aller à l’école, comme un adulte ? Quand pourrai-je regarder un peu la télévision, laisser mon esprit se vider et aller me promener seul quelque part, sans être mené par le bout du nez par mes parents ? » Mais leurs parents disent souvent : « Si tu ne travailles pas bien à l’école, tu devras quémander ta nourriture à l’avenir. Regarde le peu de perspectives d’avenir que tu as ! Le moment n’est pas encore venu pour toi de t’amuser, tu pourras t’amuser quand tu seras plus vieux ! Si tu t’amuses maintenant, tu ne réussiras pas plus tard. Si tu t’amuses plus tard, tu t’amuseras davantage et mieux, tu pourras parcourir le monde. N’as-tu pas vu tous ces gens riches dans le monde : se sont-ils amusés quand ils étaient jeunes ? Non, ils n’ont fait qu’étudier. » Leurs parents leur mentent, tout simplement. Leurs parents ont-ils vraiment vu de leurs propres yeux que ces gens riches n’ont fait qu’étudier, sans jamais s’amuser ? Comprennent-ils cette question ? Certaines des personnes riches, des personnes les plus aisées dans le monde ne sont pas allées à l’université, c’est un fait. Parfois, quand les parents parlent, ils ne font que duper leurs enfants. Avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, les parents leur disent toutes sortes de mensonges afin de mieux prendre en main leur avenir, de contrôler leurs enfants et de les faire obéir. Bien entendu, eux aussi endurent toutes sortes de souffrances et paient toutes de sortes de prix pour cela. C’est le soi-disant « amour digne d’éloges d’un parent ».

Afin de satisfaire les attentes qu’ils ont vis-à-vis de leur descendance, les parents fondent de nombreux espoirs sur leurs enfants. Par conséquent, ils ne se contentent pas de les éduquer, de les guider et de les influencer par leurs paroles, ils se servent en même temps d’actes concrets pour les contrôler et pour les amener à leur obéir, à agir et à vivre selon la trajectoire et la direction qu’ils ont établies. Que leurs enfants soient disposés à le faire ou non, en fin de compte, les parents ne disent qu’une seule chose : « Si tu ne m’écoutes pas, tu le regretteras ! Si tu ne m’obéis pas ou si tu ne prends pas tes études au sérieux maintenant, et si tu le regrettes un jour, ne viens pas me voir, ne dis pas que je ne t’avais pas prévenu ! » Un jour, nous nous sommes rendus dans un immeuble pour nous occuper de certains problèmes, et nous avons vu quelques déménageurs qui se donnaient beaucoup de mal pour monter des meubles par l’escalier. Ils se sont trouvés face à une mère qui faisait descendre les marches à son fils. Si une personne normale avait vu cette scène, elle se serait dit : « Il y a des gens qui déménagent des meubles, cédons-leur le passage. » Les gens qui descendent l’escalier devraient se dépêcher de s’écarter, sans se cogner dans un meuble ni embêter les déménageurs. Mais quand la mère a vu cette scène, elle a saisi l’occasion d’enseigner quelque chose à son enfant, en situation. Je me souviens encore très clairement de ce qu’elle a dit. Qu’a-t-elle dit ? Elle a dit : « Regarde comme les meubles qu’ils déménagent sont lourds, et à quel point c’est fatiguant. Ils n’ont pas pris leurs études au sérieux quand ils étaient enfants et maintenant, ils ne peuvent pas trouver de bons emplois, alors ils doivent déménager des meubles et travailler très dur. Tu vois ça ? » Le fils a semblé comprendre en partie, et il a cru que ce que sa mère disait était vrai. Une expression sincère de peur, d’horreur et de conviction est apparue dans ses yeux, et il a hoché la tête, en regardant de nouveau les déménageurs. La mère a saisi cette occasion et s’est dépêchée de faire la leçon à son fils, en lui disant : « Tu vois ? Si tu ne prends pas tes études au sérieux quand tu es jeune, alors, quand tu seras grand, tu devras déménager des meubles et travailler très dur, comme ça, pour gagner ta vie. » Ces déclarations étaient-elles justes ? (Non.) En quoi étaient-elles erronées ? Cette mère a saisi la première occasion qui se présentait pour faire la leçon à son fils. Quel a été l’état d’esprit de son fils après avoir entendu ça, d’après toi ? A-t-il pu discerner si ces déclarations étaient justes ou fausses ? (Non.) Alors, qu’a-t-il pensé ? (« Si je ne prends pas mes études au sérieux, je serai obligé de travailler très dur, comme ça, à l’avenir. ») Il a pensé : « Oh non, tous ceux qui doivent travailler vraiment dur n’ont pas pris leurs études au sérieux. Je dois écouter ma maman et réussir mes études. Ma mère a raison, tous ceux qui n’étudient pas doivent travailler très dur. » Les idées que sa mère lui transmet deviennent des vérités dans son cœur, tout au long de sa vie. Dis-Moi, ce parent n’est-il pas stupide ? (Si, en effet.) En quoi cette mère est-elle stupide ? Si elle utilise cette histoire pour forcer son fils à étudier, son fils arrivera-t-il, à coup sûr, à quelque chose ? Cela garantira-t-il qu’il n’aura pas à travailler très dur ou à se donner du mal à l’avenir ? Est-ce une bonne chose qu’elle utilise cette histoire, cette scène, pour effrayer son fils ? (C’est une mauvaise chose.) Cela jettera une ombre sur son fils tout au long de sa vie. Ce n’est pas une bonne chose. Même si cet enfant gagnera un peu en discernement quant à ces paroles après avoir grandi, il restera difficile d’éliminer de son cœur et de son subconscient la théorie que sa mère a émise. Dans une certaine mesure, cette théorie l’induira en erreur et entravera ses pensées, et elle orientera ses opinions sur les choses. La plupart des attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants, avant que ces derniers deviennent adultes, sont qu’ils pourront beaucoup étudier, faire des efforts, être appliqués, et qu’ils ne décevront pas leurs attentes. Par conséquent, avant que leurs enfants deviennent adultes, quel qu’en soit le prix, les parents font tout pour leurs enfants. Ils sacrifient leur propre jeunesse, leurs années et leur temps, ainsi que leur propre santé et leur vie normale, et certains parents vont même jusqu’à renoncer à leur emploi, à leurs aspirations passées, et même à leur propre foi, afin de former leurs enfants et de les aider à étudier pendant leur scolarité. Au sein de l’Église, bon nombre de gens passent tout leur temps avec leurs enfants, à les former, pour être à leurs côtés tandis qu’ils deviennent adultes, afin que leurs enfants puissent réussir leur carrière et avoir un emploi stable à l’avenir, et pour que tout se passe bien dans leur travail. Ces parents ne vont pas aux réunions et n’accomplissent pas de devoirs. Ils ont dans le cœur certaines exigences concernant leur propre foi, ils font preuve d’un peu de détermination et ont quelques aspirations, mais comme ils sont incapables d’abandonner les attentes qu’ils ont vis-à-vis de leurs enfants, ils choisissent d’accompagner ces derniers durant cette période avant qu’ils atteignent l’âge adulte, renonçant à leurs propres devoirs en tant qu’être créés, et à leurs propres poursuites en ce qui concerne leur foi. C’est ce qui est le plus tragique. Certains parents paient de nombreux prix afin de former leurs enfants à devenir acteurs, artistes, écrivains ou scientifiques, et pour leur permettre de satisfaire leurs attentes. Ils quittent leur emploi, renoncent à leur carrière, et plus encore, ils renoncent à leurs propres rêves et à leur propre plaisir, afin d’accompagner leurs enfants. Il y a même des parents qui renoncent à leur vie conjugale pour leurs enfants. Après avoir divorcé, ils assument seuls le lourd fardeau d’élever et de former leurs enfants, pariant ainsi leur vie sur eux, et consacrant leur vie à l’avenir de leurs enfants, simplement pour pouvoir satisfaire les attentes qu’ils ont vis-à-vis d’eux. Il y a aussi certains parents qui font beaucoup de choses qu’ils ne devraient pas faire, qui paient de nombreux prix inutiles, qui sacrifient leur temps, leur santé et leurs poursuites avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, pour que ces enfants puissent réussir dans le monde, à l’avenir, et s’établir au sein de la société. D’un côté, pour les parents, il s’agit là de sacrifices inutiles. D’un autre côté, pour ce qui est de leurs enfants, ces approches font peser une pression et un fardeau énormes sur eux avant qu’ils atteignent l’âge adulte. La raison en est que leurs parents ont payé de trop nombreux prix, et que, en termes d’argent, de temps ou d’énergie, leurs parents se sont trop dépensés pour eux. Cependant, avant que ces enfants atteignent l’âge adulte, alors qu’ils n’ont pas encore la capacité de distinguer le bien du mal, ils n’ont pas le choix, ils ne peuvent que laisser leurs parents agir ainsi. Même s’ils ont certaines pensées dans les profondeurs de leur esprit, ils continuent de se soumettre aux actes de leurs parents. Dans ces circonstances, les enfants se mettent à penser, de manière imperceptible, que leurs parents ont payé des prix vraiment énormes pour les former, et qu’ils ne pourront pas complètement leur rendre la pareille ou les dédommager dans cette vie. De ce fait, pendant la période où leurs parents les forment et les accompagnent, ils pensent que la seule chose qu’ils peuvent faire, la seule chose qu’ils peuvent mener à bien afin de rendre la pareille à leurs parents, c’est de les rendre heureux, d’accomplir de grandes choses pour les satisfaire, et de ne pas les décevoir. Quant aux parents, durant cette période qui précède le moment où leurs enfants atteignent l’âge adulte, après avoir payé ces prix, et tandis que les attentes qu’ils ont vis-à-vis de leurs enfants deviennent de plus en plus grandes, leur état d’esprit se transforme peu à peu en exigence vis-à-vis de leurs enfants. Autrement dit, une fois que ces parents ont payé ces soi-disant prix, et qu’ils se sont prétendument dépensés, ils exigent que leurs enfants réussissent, et qu’ils accomplissent de grandes choses pour leur rendre la pareille. Par conséquent, que l’on examine cette situation du point de vue d’un parent ou d’un enfant, dans le cadre de cette relation qui consiste à « se dépenser pour » et à « faire l’objet d’une dépense », les attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants deviennent de plus en plus élevées. Dire « leurs attentes deviennent de plus en plus élevées » est une façon gentille de dire les choses. En fait, pour les parents, au fond de leur cœur, plus ils se dépensent et se sacrifient, plus ils pensent que leurs enfants devraient leur rendre la pareille en réussissant, et, plus ils pensent, en même temps, que leurs enfants leur sont redevables. Plus les parents se dépensent et plus leurs espoirs sont nombreux, plus leurs attentes deviennent élevées et plus les attentes qu’ils ont, quant au fait que leurs enfants leur rendent la pareille, grandissent. Les attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants avant que ces derniers atteignent l’âge adulte – attentes qui vont de « Ils doivent apprendre des tas de choses, ils ne peuvent pas perdre sur la ligne de départ » à « Une fois qu’ils seront grands, ils devront réussir dans le monde et s’établir au sein de la société » – deviennent peu à peu une sorte d’exigence que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants. Cette exigence est la suivante : quand tu seras grand et que tu te seras établi au sein de la société, n’oublie pas tes racines, n’oublie pas tes parents, tes parents sont ceux à qui tu dois rendre la pareille en premier. Tu dois faire preuve de piété filiale à leur égard et les aider à mener une bonne vie, parce qu’ils sont tes bienfaiteurs en ce monde, qu’ils sont ceux qui t’ont formé. Le fait que tu te sois établi au sein de la société maintenant, et tout ce dont tu profites, tout ce que tu possèdes, a été acheté grâce aux efforts acharnés de tes parents, de sorte que tu dois passer le reste de ta vie à leur rendre la pareille, à les dédommager et à être bons avec eux. Les attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants, avant que ces derniers atteignent l’âge adulte – que leurs enfants s’établissent au sein de la société et réussissent dans le monde – évoluent pour devenir cela, passant progressivement d’une attente parentale tout à fait normale à une sorte d’exigence et de demandes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants. Supposons que, durant la période qui précède le moment où ils atteignent l’âge adulte, leurs enfants n’obtiennent pas de bonnes notes ; disons qu’ils se rebellent, qu’ils ne veuillent pas étudier ou obéir à leurs parents, et qu’ils finissent par leur désobéir. Leurs parents diront : « Penses-tu que j’ai la vie facile ? Pour qui crois-tu que je fais tout ça ? Je le fais pour ton bien, n’est-ce pas ? Tout ce que je fais, c’est pour toi, et tu ne l’apprécies pas. Es-tu stupide ? » Ils se serviront de ces paroles pour intimider leurs enfants et les prendre en otage. Une approche de ce genre est-elle juste ? (Non.) Elle n’est pas juste. Cet aspect « noble » des parents est aussi leur aspect méprisable. Qu’est-ce qui ne va pas, au juste, dans ces paroles ? (Le fait que les parents aient des attentes vis-à-vis de leurs enfants, et qu’ils les forment, fonctionne à sens unique. Les parents soumettent leurs enfants à une certaine pression, ils les font étudier ceci et cela, pour qu’ils aient de bonnes perspectives d’avenir, qu’ils fassent la fierté de leurs parents, et qu’ils fassent preuve de piété filiale à leur égard, à l’avenir. En réalité, tout ce que les parents font, ils le font pour eux-mêmes.) Si l’on met de côté le fait que les parents servent leurs propres intérêts et qu’ils sont égoïstes, et qu’on ne parle que des idées avec lesquelles ils endoctrinent leurs enfants avant que ces derniers atteignent l’âge adulte, et de la pression qu’ils exercent sur eux, en exigeant qu’ils étudient telle ou telle matière, qu’ils se lancent dans telle ou telle carrière une fois adultes, et qu’ils atteignent tel ou tel objectif, quelle est la nature de ces approches ? Pour le moment, nous ne nous demanderons pas pour quelle raison les parents font ces choses, ni si ces approches sont appropriées ou non. Nous allons d’abord échanger sur la nature de ces approches et la disséquer, et trouver un chemin de pratique plus précis en nous basant sur notre dissection de l’essence de ces approches. Si nous échangeons sur cet aspect de la vérité et parvenons à le comprendre, de ce point de vue, tout cela sera précis.

Tout d’abord, ces exigences et ces approches que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants sont-elles correctes ou incorrectes ? (Elles sont incorrectes.) Alors, en fin de compte, où est le vrai coupable, en ce qui concerne ces approches que les parents utilisent avec leurs enfants ? Ne s’agit-il pas des attentes que les parents ont pour leurs enfants ? (Si.) Dans leur conscience subjective, les parents prévoient, planifient et déterminent diverses choses quant à l’avenir de leurs enfants et de ce fait, ils engendrent ces attentes. Sous l’impulsion de ces attentes, les parents exigent que leurs enfants acquièrent diverses compétences, qu’ils étudient le théâtre et la danse, ou l’art, et ainsi de suite. Ils exigent que leurs enfants deviennent des individus talentueux et que, par la suite, ils soient dirigeants et non des subordonnés. Ils exigent que leurs enfants deviennent des fonctionnaires de haut rang, et non de simples employés. Ils exigent que leurs enfants deviennent des directeurs, des PDG et des cadres, qu’ils travaillent pour les 500 plus grandes entreprises mondiales, et ainsi de suite. Voilà les idées subjectives qu’ont les parents. Alors, les enfants ont-ils la moindre idée du contenu des attentes de leurs parents, avant d’atteindre l’âge adulte ? (Non.) Ils n’ont absolument pas la moindre idée de ces choses, ils ne les comprennent pas. Que comprennent les petits enfants ? Ils comprennent seulement qu’ils doivent aller à l’école pour apprendre à lire et à écrire, qu’ils doivent travailler dur à l’école et être des enfants sages et bien élevés. En soi, c’est plutôt une bonne chose. Aller à l’école pour suivre des cours, selon l’emploi du temps qu’on leur a imposé, et rentrer chez eux pour faire leurs devoirs, voilà les choses que les enfants comprennent. Le reste n’est que jeu, nourriture, imagination, rêves, et ainsi de suite. Avant d’atteindre l’âge adulte, les enfants n’ont absolument aucune idée des choses inconnues qui les attendent sur leur chemin de vie, et ils n’envisagent rien à leur sujet non plus. Toutes les choses qui sont envisagées ou déterminées après que ces enfants ont atteint l’âge adulte viennent de leurs parents. Par conséquent, les attentes erronées que les parents ont pour leurs enfants n’ont rien à voir avec leurs enfants. Les enfants doivent seulement discerner l’essence des attentes de leurs parents. Sur quoi ces attentes parentales sont-elles basées ? D’où viennent-elles ? Elles viennent de la société et du monde. Le but de toutes ces attentes parentales est de permettre aux enfants de s’adapter à ce monde et à cette société, d’éviter d’être éliminés par le monde ou la société, et de s’établir dans la société, d’obtenir un emploi pérenne, d’avoir une famille et un avenir stables, de sorte que les parents ont diverses attentes subjectives pour leur descendance. Par exemple, à l’heure actuelle, il est assez à la mode d’être ingénieur en informatique. Certaines personnes disent : « Plus tard, mon enfant sera ingénieur en informatique. Il pourra gagner beaucoup d’argent dans ce secteur, en emportant partout un ordinateur et en s’adonnant à l’ingénierie informatique. Cela donnera aussi une bonne image de moi ! » Dans ces circonstances, les enfants n’ayant absolument aucune idée de quoi que ce soit, leurs parents dictent leur avenir. N’est-ce pas mal ? (Si, en effet.) Les parents fondent leurs espoirs sur leurs enfants en se basant entièrement sur la façon dont un adulte examine les choses, ainsi que sur les opinions, les points de vue et les préférences d’un adulte quant aux questions touchant au monde. N’est-ce pas subjectif ? (Si.) Si on devait le dire poliment, on pourrait dire que c’est subjectif, mais qu’en est-il réellement ? Cette subjectivité peut-elle être interprétée autrement ? Ne s’agit-il pas d’égoïsme ? N’est-il pas question de contrainte ? (Si, en effet.) Tu aimes tel ou tel travail, et telle ou telle carrière, tu aimes être reconnu, mener une vie pleine de prestige, avoir une fonction officielle, ou être aisé au sein de la société, alors tu incites tes enfants à faire la même chose, tu les amènes à être ce genre de personne également, et à suivre ce genre de chemin. Mais tes enfants aimeront-ils vivre dans cet environnement et effectuer ce travail par la suite ? Sont-ils faits pour ça ? Quelle est leur destinée ? Quels sont les arrangements et les décisions de Dieu en ce qui les concerne ? Le sais-tu ? Certaines personnes disent : « Je me moque de ça, ce qui compte, ce sont les choses que moi, en tant que leur parent, j’aime. Je vais fonder mes espoirs sur mes enfants en me basant sur mes propres préférences. » N’est-ce pas vraiment égoïste ? (Si.) C’est vraiment égoïste ! Pour le dire gentiment, c’est très subjectif, c’est décider de tout soi-même, mais qu’en est-il, en réalité ? C’est très égoïste ! Ces parents ne tiennent pas compte du calibre ou des talents de leurs enfants, ils se moquent des arrangements que Dieu a pris quant à la destinée et à la vie de chaque personne. Ils n’en tiennent pas compte, ils imposent simplement leurs propres préférences, intentions et projets à leurs enfants, en prenant leurs désirs pour des réalités. Certaines personnes disent : « Je dois imposer ces choses à mon enfant. Il est trop jeune pour les comprendre, et quand il les comprendra, ce sera trop tard. » Est-ce le cas ? (Non.) S’il est vraiment trop tard, c’est que c’était son destin, cela ne relève pas de la responsabilité de ses parents. Si tu imposes les choses que tu comprends à tes enfants, les comprendront-ils plus vite simplement parce que toi tu les comprends ? (Non.) Il n’y a aucun lien entre la façon dont les parents éduquent leurs enfants et le moment où ces enfants en viennent à comprendre des questions telles que le genre de chemin de vie qu’ils doivent choisir, le genre de carrière qu’ils doivent choisir, et le genre de vie qu’ils auront. Ces enfants ont leur propre chemin, leur propre rythme et leurs propres lois. Réfléchis-y, quand les enfants sont petits, quelle que soit la façon dont leurs parents les éduquent, la connaissance qu’ils ont de la société est inexistante. Ils ressentiront la compétitivité, la complexité, la noirceur de la société, et les diverses injustices que l’on y trouve, quand leur humanité arrivera à maturité. Ce n’est pas quelque chose que les parents peuvent apprendre à leurs enfants dès leur plus jeune âge. Même si les parents disent ceci à leurs enfants, dès leur plus jeune âge : « Tu dois faire preuve de réserve quand tu interagis avec les gens », leurs enfants ne le prendront que comme une sorte de doctrine. Quand ils seront vraiment capables d’agir en se basant sur les conseils de leurs parents, ils le comprendront vraiment. Quand ils ne comprennent pas les conseils de leurs parents, ces derniers ont beau essayer de leur apprendre des choses, cela ne restera pour eux qu’un genre de doctrine. Par conséquent, quand les parents se disent : « Le monde est vraiment compétitif et les gens y vivent en subissant une forte pression. Si je ne commence pas à apprendre des choses à mes enfants dès leur plus jeune âge, ils subiront souffrances et difficultés à l’avenir », cette idée est-elle défendable ? (Non.) Tu forces tes enfants à assumer cette pression tôt, pour qu’ils souffrent moins à l’avenir, et ils doivent supporter cette pression en commençant à un âge où ils ne comprennent encore rien. En faisant cela, ne nuis-tu pas à tes enfants ? Le fais-tu vraiment pour leur bien ? Il vaut mieux qu’ils ne comprennent pas ces choses, ainsi, ils peuvent vivre quelques années de manière confortable, heureuse, pure et simple. S’ils devaient comprendre ces choses tôt, serait-ce une bénédiction ou un malheur ? (Ce serait un malheur.) Oui, ce serait un malheur.

Ce que les gens devraient faire dans chaque tranche d’âge dépend de leur âge et de la maturité de leur humanité, et non de l’éducation qu’ils reçoivent de leurs parents. Avant d’atteindre l’âge adulte, les enfants devraient simplement jouer, acquérir quelques connaissances simples, suivre une scolarité de base et apprendre différentes choses. Ils devraient apprendre comment interagir avec les autres enfants et bien s’entendre avec les adultes, et comment faire face à certaines choses autour d’eux qu’ils ne comprennent pas. Avant d’atteindre l’âge adulte, les gens devraient faire des choses non adultes. Ils ne devraient subir aucune des pressions, des règles du jeu ou des choses compliquées que les adultes doivent supporter. De telles choses peuvent provoquer des dégâts psychologiques chez les individus qui n’ont pas atteint l’âge adulte, et ce ne sont pas des bénédictions. Plus les gens entendent parler tôt de ces questions pour adultes, plus le coup porté à leur jeune esprit est important. Non seulement ces choses n’aideront pas du tout les gens au cours de leur vie quotidienne ou dans leur existence après avoir atteint l’âge adulte, mais, au contraire, parce qu’ils ont entendu parler de ces choses trop tôt, ou qu’ils y ont fait face trop tôt, elles deviennent une sorte de fardeau ou jettent une ombre invisible sur leur jeune esprit, au point qu’elles risquent de les hanter toute leur vie. Réfléchis-y, quand les gens sont très jeunes, s’ils apprennent quelque chose d’horrible, quelque chose qu’ils ne peuvent pas accepter, un problème d’adulte qu’ils n’auraient jamais pu imaginer ou comprendre, alors cette scène ou ce problème, ou même les gens, les choses et les paroles qui y sont mêlés, les suivront toute leur vie. Cela jettera une sorte d’ombre sur eux, cela affectera leur personnalité et leur façon de se conduire dans la vie. Par exemple, les enfants sont tous un peu coquins à l’âge de six ou sept ans. Prenons le cas d’un enfant qui se fait gronder par son instituteur en classe, parce qu’il a chuchoté quelque chose à un camarade. L’instituteur ne gronde pas simplement l’enfant de façon neutre, mais il l’attaque personnellement, il le gronde en disant qu’il a une face de furet et des yeux de rat, lui disant même : « Regarde le peu de perspectives d’avenir que tu as. Tu seras un raté toute ta vie ! Si tu ne travailles pas dur à l’école, tu ne seras qu’un travailleur manuel. Plus tard, tu devras quémander ta nourriture ! Tu as vraiment l’air d’un voleur, tu as l’étoffe d’un voleur ! » Même si l’enfant ne comprend pas ces paroles et ne sait pas pourquoi son instituteur les prononce, ni si ces choses sont vraies ou non, ces attaques personnelles deviendront une sorte de force malfaisante invisible dans son cœur, qui entamera son amour-propre et le blessera. « Tu as une face de furet, des yeux de rat et une tête minuscule ! » : ces attaques personnelles proférées par son instituteur le suivront toute sa vie. Quand il choisira une carrière, quand il fera face à ses supérieurs et à ses collègues, quand il fera face aux frères et sœurs, les attaques personnelles de son instituteur remonteront à la surface, de temps à autre, affectant ses émotions et sa vie. Bien entendu, certaines des attentes inappropriées que tes parents ont pour toi, et certaines des émotions, certains des messages, certaines des paroles, pensées et opinions, et ainsi de suite, qu’ils t’ont transmis, ont également jeté une ombre sur ton jeune esprit. Pour ce qui est de leur conscience subjective, tes parents n’ont pas de mauvaises intentions, mais à cause de leur ignorance, parce qu’ils sont des êtres humains corrompus et qu’ils n’ont pas de méthodes appropriées en accord avec les principes pour savoir comment te traiter, ils ne peuvent que suivre les tendances du monde dans leur façon de te traiter, et le résultat ultime de tout cela est qu’ils te transmettent divers messages négatifs et diverses émotions négatives. Dans des circonstances où tu n’as pas le moindre discernement, tout ce que tes parents disent, et toutes les idées erronées avec lesquelles ils t’endoctrinent, toutes les idées qu’ils favorisent en toi, tout cela devient prépondérant chez toi parce que tu y es exposé avant toute chose. Ces idées deviennent l’objectif de ta poursuite et de ta lutte, tout au long de ta vie. Même si les diverses attentes que tes parents mettent en avant pour toi avant que tu atteignes l’âge adulte portent en quelque sorte un coup à ton jeune esprit et le ravagent, tu vis néanmoins selon les attentes de tes parents, et selon les divers prix qu’ils paient pour toi, tu comprends leur volonté et acceptes leurs divers actes de bonté et tu les en remercies. Après avoir accepté les divers prix que tes parents paient et les divers sacrifices qu’ils font pour toi, tu te sens redevable à leur égard. Et au fond de ton cœur, tu as honte de leur faire face, et tu penses que tu devras leur rendre la pareille quand tu seras grand. Tu devras leur rendre quoi ? Leur rendre les attentes déraisonnables qu’ils ont pour toi ? Leur rendre les ravages qu’ils font en toi avant que tu atteignes l’âge adulte ? N’est-ce pas là confondre le noir et le blanc ? En réalité, quand on parle de tout cela du point de vue de la racine et de l’essence de la question, les attentes que tes parents ont pour toi sont simplement subjectives, ce ne sont que des vœux pieux. Ce ne sont absolument pas des choses qu’un enfant devrait avoir, ni pratiquer ou vivre, et ce ne sont pas des choses dont un enfant a besoin. Afin de suivre les tendances du monde, de s’adapter au monde, de rester au fait des progrès du monde, tes parents t’amènent à les suivre, ils t’amènent à supporter cette pression, comme ils le font eux-mêmes, et ils t’amènent à accepter et à suivre ces tendances malfaisantes. Par conséquent, sous l’influence des attentes ferventes de leurs parents, de nombreux enfants travaillent dur pour acquérir diverses compétences, ils étudient diverses matières et connaissances. Ils passent d’une tentative de réponse aux attentes de leurs parents à la poursuite proactive des objectifs prévus des attentes de leurs parents. Autrement dit, avant d’atteindre l’âge adulte, les gens acceptent passivement les attentes de leurs parents, et après être devenus progressivement adultes, ils acceptent de manière proactive les attentes de la conscience subjective de leurs parents, et ils acceptent volontiers ce genre de pression et ce fourvoiement, ce contrôle et ces entraves qui viennent de la société. En somme, après avoir été des participants passifs, ils deviennent des participants actifs dans ce domaine. Ainsi, leurs parents sont satisfaits. Les enfants, eux aussi, éprouvent un sentiment de paix intérieure, ils pensent qu’ils n’ont pas déçu leurs parents, qu’ils ont finalement donné à leurs parents ce qu’ils voulaient, et qu’ils sont devenus grands. Ils ne pensent pas simplement qu’ils sont devenus adultes, mais qu’ils sont devenus des individus talentueux aux yeux de leurs parents, et qu’ils sont à la hauteur des attentes de leurs parents. Même si ces personnes parviennent à devenir des individus talentueux aux yeux de leurs parents après avoir atteint l’âge adulte et si, en apparence, il semble qu’ils ont remboursé à leurs parents les prix payés par ces derniers, et que les attentes que leurs parents avaient pour eux ne se sont pas soldées par un échec, qu’en est-il en réalité ? Ces enfants ont réussi à devenir les marionnettes de leurs parents, ils ont réussi à avoir une dette énorme vis-à-vis de leurs parents, ils ont réussi à employer le reste de leur vie à réaliser les attentes de leurs parents, à faire semblant pour leurs parents, à conférer crédit et prestige à leurs parents, et ils ont réussi à satisfaire leurs parents, à faire leur fierté et leur joie. Partout où leurs parents vont, ils parlent de leurs enfants : « Ma fille dirige telle ou telle entreprise », « Ma fille est styliste pour telle ou telle marque célèbre », « Ma fille a tel ou tel niveau dans cette langue étrangère, elle la parle couramment, elle est traductrice dans telle ou telle langue », « Ma fille est ingénieure en informatique ». Ces enfants ont réussi à faire la fierté et la joie de leurs parents, et ils ont réussi à devenir l’ombre de leurs parents. Ils emploieront les mêmes méthodes pour éduquer et former leurs propres enfants : ils pensent que leurs parents ont réussi à les former, aussi copieront-ils les méthodes éducatives de leurs parents pour former leurs propres enfants. Ainsi, leurs enfants devront supporter le même malheur, les mêmes souffrances tragiques et les mêmes ravages à cause d’eux, comme eux l’ont fait à cause de leurs propres parents.

Tout ce que les parents font afin de concrétiser les attentes qu’ils ont pour leurs enfants, avant que ces derniers atteignent l’âge adulte, est contraire à la conscience, à la raison et aux lois naturelles. À plus forte raison, tout cela est contraire à l’ordination et à la souveraineté de Dieu. Même si les enfants n’ont pas la capacité de discerner le bien du mal, ou de penser de façon autonome, leur destin dépend quand même de la souveraineté de Dieu, il n’est pas gouverné par leurs parents. Par conséquent, outre le fait d’avoir des attentes pour leurs enfants dans leur conscience, les parents stupides accomplissent également un plus grand nombre d’actes, de sacrifices et paient davantage de prix en termes de comportement, ils font tout ce qu’ils veulent et tout ce qu’ils sont prêts à faire pour leurs enfants, qu’il s’agisse de dépenser de l’argent, de donner de leur temps et de leur énergie, ou d’autres choses. Même si les parents font ces choses volontairement, ils sont inhumains et ce ne sont pas les responsabilités que les parents devraient assumer. Ils ont déjà dépassé les limites de leurs capacités et de leurs propres responsabilités. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que les parents commencent à essayer de planifier et de contrôler l’avenir de leurs enfants avant que ces derniers atteignent l’âge adulte, et qu’ils essaient également de déterminer l’avenir de leurs enfants. N’est-ce pas stupide ? (Si.) Par exemple, disons que Dieu ait ordonné qu’un homme soit un ouvrier ordinaire, et que dans cette vie, cet homme ne puisse gagner qu’un salaire de base pour se nourrir et se vêtir, mais que ses parents exigent qu’il devienne une célébrité, une personne aisée, un haut fonctionnaire, que ses parents planifient et organisent des choses pour son avenir avant qu’il atteigne l’âge adulte, en payant diverses sortes de prétendus prix, tentant ainsi de contrôler sa vie et son avenir. N’est-ce pas stupide ? (Si, en effet.) Même si leur enfant obtient d’assez bonnes notes à l’école, qu’il va à l’université, étudie divers savoir-faire après avoir atteint l’âge adulte, et qu’il a certaines compétences, au bout du compte, quand il cherchera du travail, il aura beau chercher, il finira quand même par être un ouvrier ordinaire. Au mieux, s’il a de la chance, il deviendra contremaître, ce qui est déjà bien. En fin de compte, il ne gagnera qu’un salaire de base, il ne pourra jamais avoir le salaire d’un haut fonctionnaire ou d’une personne aisée, comme ses parents l’exigeaient. Ses parents voulaient en permanence qu’il s’élève dans le monde, qu’il gagne beaucoup d’argent, qu’il devienne haut fonctionnaire, pour qu’ils puissent se délecter de sa réussite avec lui. Comme leur enfant avait si bien réussi à l’école et qu’il avait été tellement obéissant, comme ils avaient payé de si nombreux prix pour lui, comme il était allé à l’université une fois devenu grand, ces parents n’auraient jamais cru que leur enfant serait voué à être un ouvrier ordinaire dans cette vie. S’ils avaient pu l’anticiper, ils ne se seraient pas autant tourmentés à l’époque. Mais les parents peuvent-ils éviter de se tourmenter ? (Non.) Les parents vendent leur maison, leurs terres, leurs biens familiaux, et certains vont jusqu’à vendre l’un de leurs reins pour que leurs enfants puissent aller dans des universités réputées. Si l’enfant n’est pas d’accord, sa mère lui dit : « J’ai deux reins. Si j’en perds un, il me restera l’autre. Je suis déjà âgée, je n’ai besoin que d’un seul rein. » Que pense son enfant, après avoir entendu ça ? Il se dit : « Même si cela signifie que je n’irai pas à l’université, je ne peux pas te laisser vendre l’un de tes reins. » Alors la mère dit : « Tu ne veux pas y aller ? Tu es un enfant désobéissant, dépourvu d’amour filial ! Pourquoi est-ce que je vends l’un de mes reins ? N’est-ce pas pour que tu puisses réussir, à l’avenir ? » L’enfant est ému en entendant ça et il se dit : « Maman peut y aller et vendre l’un de ses reins, alors. Je ne la décevrai pas. » Au bout du compte, la mère le fait vraiment, elle échange un rein contre l’avenir de son enfant, et finalement, son enfant ne devient qu’un ouvrier, et il ne finit pas par réussir. Donc, la mère a vendu l’un de ses reins, et tout ce qu’elle a reçu en contrepartie, c’est que son fils est ouvrier. Est-ce approprié ? (Non.) Au final, la mère voit cela et dit : « Tu es simplement destiné à être ouvrier. Si je l’avais su plus tôt, je n’aurais pas vendu l’un de mes reins pour t’envoyer à l’université. Tu aurais simplement pu continuer ainsi et devenir ouvrier, pas vrai ? À quoi ça a servi, que tu ailles à l’université ? » Mais il est trop tard ! Qu’est-ce qui l’a fait agir aussi stupidement, à ce moment-là ? Qui lui a fait aimer l’idée que son enfant devienne un haut fonctionnaire et qu’il gagne beaucoup d’argent ? Elle a été aveuglée par l’avidité, elle a mérité ce qui lui arrive ! Elle a payé de si nombreux prix pour son enfant, mais son enfant lui doit-il quoi que ce soit ? Non. Elle a payé ces prix volontairement, et elle a eu ce qu’elle méritait ! Même si elle avait vendu ses deux reins, elle l’aurait fait volontairement. Pour envoyer leurs enfants dans des universités prestigieuses, certaines personnes vendent leurs cornées, certains vendent leur sang, certains sacrifient tout ce qu’ils ont et vendent leurs biens de famille, mais cela en vaut-il la peine ? C’est comme s’ils pensaient que vendre un peu de sang ou un organe pouvait décider de l’avenir d’une personne et changer son destin. Est-ce possible ? (Non.) Les gens sont vraiment stupides ! Ils veulent un retour rapide sur investissement, ils sont aveuglés par le prestige et le profit. Ils pensent constamment : « Eh bien, ma vie est simplement comme ça », de sorte qu’ils fondent leurs espoirs sur leurs enfants. Cela signifie-t-il que leurs enfants auront, à coup sûr, un meilleur destin que le leur ? Que leurs enfants pourront s’élever dans le monde ? Qu’ils seront différents ? Comment les gens peuvent-ils être aussi stupides ? Simplement parce qu’ils ont de grandes attentes pour leurs enfants, pensent-ils que leurs enfants seront forcément supérieurs aux autres et qu’ils seront à la hauteur de leurs attentes ? Le destin des gens n’est pas décidé par leurs parents, il est décidé par Dieu. Bien entendu, aucun parent ne souhaite voir ses enfants devenir des mendiants. Néanmoins, les parents n’ont pas à exiger que leurs enfants s’élèvent dans le monde et deviennent des hauts fonctionnaires ou des gens éminents dans les classes supérieures de la société. À quoi bon appartenir aux classes supérieures de la société ? À quoi bon s’élever dans le monde ? Il s’agit là de bourbiers, ce ne sont pas de bonnes choses. Est-ce une bonne chose de devenir une célébrité, un grand personnage, un surhomme, ou une personne qui a une situation et un statut ? C’est en tant que personne ordinaire qu’on est le plus à l’aise dans la vie. Qu’y a-t-il de mal à avoir une vie légèrement plus pauvre, plus dure, plus fatigante, avec de la nourriture et des vêtements d’une qualité légèrement inférieure ? À tout le moins, une chose est certaine, comme tu ne vis pas au milieu des tendances sociales des classes supérieures de la société, au moins, tu pécheras moins et tu feras moins de choses pour résister à Dieu. En tant que personne ordinaire, tu ne feras pas face à des tentations aussi grandes ou fréquentes. Ta vie sera un peu plus dure, mais au moins, ton esprit ne sera pas fatigué. Réfléchis-y, en tant qu’ouvrier, tout ce dont tu as à te soucier, c’est de t’assurer que tu puisses manger trois repas par jour. La situation est différente quand tu es un personnage officiel. Tu dois te battre, et tu ignores le jour, où ton poste ne sera plus assuré. Et cela ne s’arrêtera pas là : les gens que tu as offensés viendront te trouver pour régler leurs comptes, et ils te puniront. La vie est très fatigante pour les célébrités, les personnages éminents et les gens riches. Les gens riches ont sans cesse peur de ne plus être aussi riches, à l’avenir, et de ne pas pouvoir continuer si cela arrivait. Les célébrités s’inquiètent sans cesse que leur aura disparaisse, et ils veulent sans cesse la protéger, ils craignent d’être éliminés par cette ère et par les tendances. Leur vie est vraiment fatigante ! Les parents ne percent jamais ces choses à jour, ils veulent sans cesse pousser leurs enfants au cœur de cette lutte, et ils les envoient dans ces fosses aux lions et dans ces bourbiers. Les parents ont-ils vraiment de bonnes intentions ? Si Je dis qu’ils n’ont pas de bonnes intentions, vous ne voudrez pas l’entendre. Si Je dis que les attentes de vos parents vous affectent négativement de bien des façons, êtes-vous prêts à le reconnaître ? (Oui.) Ces attentes vous nuisent assez profondément, n’est-ce pas ? Certains parmi vous ne sont pas disposés à le reconnaître, et vous dites : « Mes parents veulent ce qui est bon pour moi. » Tu dis que tes parents veulent ce qui est bon pour toi. Eh bien, où sont ces bonnes choses ? Tes parents veulent ce qui est bon pour toi, mais combien de choses positives t’ont-ils permis de comprendre ? Tes parents veulent ce qui est bon pour toi, mais combien de tes pensées et opinions incorrectes et indésirables ont-ils corrigées ? (Aucune.) Alors, peux-tu percer à jour ces choses, maintenant ? Tu sens que les attentes parentales sont irréalistes, n’est-ce pas ?

En disséquant l’essence des attentes que les parents ont pour leurs enfants, nous pouvons voir que ces attentes sont égoïstes, qu’elles vont à l’encontre de ce qui est humain et qu’en outre, elles n’ont rien à voir avec les responsabilités des parents. Quand les parents ont diverses attentes et exigences qu’ils imposent à leurs enfants, ils n’assument pas leurs responsabilités. Alors, quelles sont leurs « responsabilités » ? Les responsabilités les plus fondamentales que les parents devraient assumer sont celles-ci : apprendre à leurs enfants à parler, leur apprendre à avoir bon cœur et à ne pas être des gens méchants, et les guider dans une direction positive. Voilà leurs responsabilités les plus fondamentales. De plus, les parents devraient aider leurs enfants à acquérir, entre autres, toutes les connaissances, tous les talents, qui leur conviennent, en fonction de leur âge, de ce qu’ils peuvent gérer, de leur calibre et de leurs centres d’intérêt. Des parents un peu meilleurs aideront leurs enfants à comprendre que les gens sont créés par Dieu et que Dieu existe dans cet univers, ils amèneront leurs enfants à prier et à lire les paroles de Dieu, ils leur raconteront certaines histoires de la Bible, et espéreront que leurs enfants suivront Dieu et accompliront leur devoir d’êtres créés une fois devenus grands, au lieu de courir après les tendances du monde, de se faire piéger par diverses relations interpersonnelles compliquées, et d’être anéantis par les diverses tendances de ce monde et de cette société. Les responsabilités que les parents devraient assumer n’ont rien à voir avec leurs attentes. Les responsabilités qu’ils devraient assumer en jouant leur rôle de parents consistent à fournir à leurs enfants des conseils positifs et une aide appropriée avant qu’ils atteignent l’âge adulte, ainsi qu’à prendre rapidement soin d’eux dans leur vie charnelle en ce qui concerne la nourriture, les vêtements, le logement, ou lorsqu’ils tombent malades. Si leurs enfants tombent malades, les parents doivent soigner toutes les maladies qui doivent être soignées. Ils ne doivent pas négliger leurs enfants ou leur dire : « Continue d’aller à l’école, continue d’étudier, tu ne peux pas prendre de retard en classe. Si tu prends trop de retard, tu ne pourras pas le rattraper. » Quand leurs enfants ont besoin de se reposer, les parents doivent les laisser se reposer. Quand leurs enfants sont malades, les parents doivent les aider à se rétablir. Voilà les responsabilités des parents. D’un côté, ils doivent prendre soin de la santé physique de leurs enfants, d’un autre côté, ils doivent les assister, les éduquer et les aider pour ce qui est de leur santé mentale. Voilà les responsabilités que les parents devraient assumer, au lieu d’imposer la moindre attente ou exigence irréaliste à leurs enfants. Les parents doivent assumer leurs responsabilités aussi bien pour ce qui est des besoins mentaux de leurs enfants, que des choses dont ces derniers ont besoin dans leur vie physique. Les parents ne doivent pas laisser leurs enfants avoir froid l’hiver, ils doivent leur enseigner certaines connaissances existentielles générales, leur apprendre, par exemple, dans quelles circonstances ils risquent d’attraper un rhume, leur dire qu’ils doivent manger des aliments chauds, qu’ils auront mal au ventre s’ils mangent froid, et qu’ils ne doivent pas s’exposer nonchalamment au vent ou se découvrir dans les endroits pleins de courants d’air quand il fait froid, les aider à prendre soin de leur propre santé. De plus, quand des idées puériles et, immatures à propos de leur avenir, ou certaines pensées extrêmes, émergent dans le jeune esprit de leurs enfants, les parents doivent rapidement leur donner des conseils corrects, dès qu’ils s’en aperçoivent, plutôt que de les réprimer par la force. Ils doivent amener leurs enfants à exprimer et à évacuer ces idées, de sorte que le problème puisse être vraiment résolu. C’est cela, assumer leurs responsabilités. Assumer les responsabilités d’un parent signifie, d’une certaine manière, prendre soin de ses enfants, et d’une autre manière, diriger et corriger ses enfants, et leur donner des conseils concernant les pensées et opinions correctes qu’ils devraient avoir. Les responsabilités que les parents devraient assumer n’ont en fait aucun rapport avec les attentes qu’ils ont pour leur descendance. Tu peux espérer que tes enfants soient en bonne santé physique et qu’ils possèdent humanité, conscience et raison une fois devenus grands, ou tu peux espérer que tes enfants fassent preuve de piété filiale à ton égard, mais tu ne dois pas espérer que tes enfants deviennent tel ou tel genre de célébrité ou de grand personnage une fois devenus grands, et tu dois encore moins leur répéter fréquemment : « Regardez à quel point Xiaoming, notre voisin, est obéissant ! » Tes enfants sont tes enfants, la responsabilité que tu devrais assumer n’est pas de dire à tes enfants à quel point leur voisin Xiaoming est formidable, ni de les amener à apprendre de leur voisin Xiaoming. Ce n’est pas ce qu’un parent devrait faire. Chaque individu est différent. Les gens sont différents les uns des autres quant à leurs pensées, opinions, centres d’intérêt, passe-temps, calibre, personnalité, et quant à leur humanité-essence, qui peut être bonne ou méchante. Certaines personnes sont des moulins à paroles nés, tandis que d’autres sont foncièrement introverties, et ne sont pas affectées si elles restent toute une journée sans dire un mot. Par conséquent, si les parents souhaitent assumer leurs responsabilités, ils doivent essayer de comprendre la personnalité, le tempérament, les centres d’intérêt, le calibre de leurs enfants, et les besoins de leur humanité, au lieu de transformer leurs propres poursuites adultes du monde, du prestige et du profit en attentes pour leurs enfants, et d’imposer à leurs enfants ces choses qui relèvent du prestige, du profit et du monde, qui viennent de la société. Les parents utilisent une formule qui sonne bien pour qualifier ces choses, ils parlent des « attentes qu’ils ont pour leurs enfants », mais en réalité, il ne s’agit pas de cela. Il est clair que les parents essaient de pousser leurs enfants dans un brasier et qu’ils les envoient dans les bras des démons. Si tu es vraiment un parent convenable, tu dois assumer tes responsabilités en ce qui concerne la santé physique et mentale de tes enfants, au lieu de leur imposer ta volonté avant qu’ils atteignent l’âge adulte et de forcer leur jeune esprit à supporter des choses qu’il ne devrait pas avoir à supporter. Si tu aimes et chéris vraiment tes enfants et que tu veux vraiment assumer tes responsabilités vis-à-vis d’eux, alors tu dois prendre soin de leur corps physique et t’assurer qu’ils sont en bonne santé. Bien entendu, certains enfants naissent fragiles et en mauvaise santé. Si leurs parents sont en mesure de le faire, ils peuvent leur donner davantage de compléments alimentaires, ou se renseigner auprès d’un praticien en médecine traditionnelle chinoise ou d’un nutritionniste, et prendre un peu plus soin de ces enfants. En outre, à chaque âge avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, de la petite enfance à l’enfance et à l’adolescence, les parents devraient faire un peu plus attention aux changements dans la personnalité et les centres d’intérêt de leurs enfants, et à leurs besoins en matière d’exploration de leur humanité, et leur montrer un peu plus d’attention. Ils devraient aussi fournir à leurs enfants des conseils, de l’aide et un approvisionnement positifs et humains pour ce qui est de leurs changements et de leurs idées fausses sur le plan psychologique, et de certaines choses inconnues concernant les besoins de leur humanité, à l’aide de connaissances, de l’expérience et des leçons concrètes qu’eux-mêmes ont gagnées en traversant les mêmes choses. Les parents devraient ensuite aider leurs enfants à grandir sans incident à chaque âge, et à éviter de prendre des chemins détournés, de se tromper de direction, ou de dévier vers des extrêmes. Quand leur esprit jeune et confus est blessé ou encaisse un coup, les enfants devraient être rapidement pris en charge par leurs parents, et ils devraient faire l’objet du souci, de l’affection, des soins et des conseils de leurs parents. Voilà les responsabilités que les parents devraient assumer. Quant aux projets d’avenir de leurs enfants, qu’ils souhaitent devenir enseignants, artistes ou fonctionnaires, et ainsi de suite, si ces projets sont raisonnables, les parents peuvent encourager leurs enfants et leur apporter aide et assistance, dans une certaine mesure, en se basant sur leur propre situation, éducation, calibre, humanité, situation familiale, et ainsi de suite. Cependant, les parents ne devraient pas dépasser les limites de leurs propres capacités, ils ne devraient pas vendre leur voiture, leur maison, leurs reins ou leur sang. Ils n’ont pas à faire cela, n’est-ce pas ? (En effet.) Ils doivent simplement apporter de l’aide à leurs enfants, dans une certaine mesure, au mieux de leurs capacités en tant que parents. Si leurs enfants disent : « Je veux aller à l’université », les parents peuvent répondre : « Si tu veux aller à l’université, je te soutiendrai, je ne m’y opposerai pas, mais notre famille n’est pas très aisée. À partir de maintenant, je vais devoir économiser de l’argent chaque jour afin de payer tes frais de scolarité à l’université pendant un an. Le moment venu, si j’ai suffisamment économisé, tu pourras y aller. Si je n’ai pas économisé suffisamment, tu devras trouver une solution toi-même. » Les parents devraient parvenir à ce genre d’accord avec leurs enfants, ils devraient se mettre d’accord et trouver un consensus avec eux, puis résoudre le problème des besoins qu’ont leurs enfants concernant leur avenir. Bien entendu, si les parents ne peuvent pas réaliser les projets et concrétiser les intentions que leurs enfants ont pour leur avenir, ils n’ont pas à se sentir coupables et à penser : « J’ai laissé tomber mes enfants, je suis un incapable, et mes enfants en ont souffert. Les enfants des autres mangent bien, ils portent des vêtements de marques célèbres et vont à l’université en voiture, et quand ils rentrent dans leur famille, ils voyagent en avion. Mes enfants doivent voyager en train sur des sièges durs, je n’ai même pas les moyens de leur payer des couchettes. J’ai laissé tomber mes enfants ! » Ils n’ont pas à se sentir coupables, c’est là leur situation, et même s’ils vendaient l’un de leurs reins, ils ne pourraient pas fournir ces choses, donc ils doivent accepter leur destin. Dieu a orchestré ce type d’environnement pour eux, de sorte que ces parents n’ont pas à se sentir coupables vis-à-vis de leurs enfants, de quelque manière que ce soit, ni à dire : « Je t’ai laissé tomber. Si tu ne fais pas preuve de piété filiale à notre égard à l’avenir, je ne me plaindrai pas. Nous sommes des incapables et nous ne t’avons pas procuré un bon environnement de vie. » Ils n’ont pas à dire cela. Les parents ont simplement à assumer leurs responsabilités en ayant la conscience tranquille, en faisant tout ce qu’ils peuvent, et en permettant à leurs enfants d’être en bonne santé physique et mentale. C’est suffisant. Ici, le terme « santé » indique simplement que les parents font tout leur possible pour s’assurer que leurs enfants ont des pensées positives, ainsi que des pensées et des attitudes actives, ambitieuses et optimistes vis-à-vis de leur vie quotidienne et de leur existence. Quand quelque chose les contrarie, ces enfants ne doivent pas faire des caprices, ni tenter de se suicider, ni causer des ennuis à leurs parents ou les réprimander parce que ces derniers sont des bons à rien incompétents, incapables de gagner de l’argent, en disant : « Regardez les parents des autres, ils conduisent de belles voitures, vivent dans de belles demeures, partent sur des bateaux de croisière de luxe et font des voyages en Europe. Maintenant, regardez-nous, nous n’avons jamais quitté notre ville natale ni pris le train à grande vitesse ! » Si tes enfants faisaient des caprices de ce genre, comment réagirais-tu ? Tu devrais répondre : « Tu as raison, tel est notre niveau d’incompétence. Tu es né dans cette famille, et tu dois accepter ton destin. Si tu es compétent, tu pourras gagner de l’argent toi-même, à l’avenir. Ne sois pas impoli avec nous, et n’exige pas que nous fassions des choses pour toi. Nous avons déjà assumé nos responsabilités à ton égard et nous ne te devons rien. Un jour, à l’avenir, tu deviendras un parent et tu auras à faire cela, toi aussi. » Quand ces enfants auront des enfants à leur tour, ils apprendront qu’il n’est pas si facile pour les parents de gagner de l’argent afin de subvenir à leurs propres besoins et à ceux de tous les membres de leur famille, jeunes et vieux. En somme, tu dois leur apprendre certains principes quant à leur façon de se comporter. Si tes enfants peuvent l’accepter, tu dois échanger avec eux sur la croyance en Dieu et le fait de suivre le chemin de la poursuite de la vérité pour atteindre le salut, ainsi que sur certaines des pensées et opinions correctes que tu as comprises de Dieu. Si tes enfants sont prêts à accepter l’œuvre de Dieu et à croire en Dieu avec toi, c’est encore mieux. Si tes enfants n’éprouvent pas ce genre de besoin, alors il te suffit simplement d’assumer tes responsabilités vis-à-vis d’eux. Tu n’as pas à évoquer ou à parler sans arrêt de certaines paroles et doctrines concernant la croyance en Dieu pour leur prêcher tout cela. Il n’est pas nécessaire de le faire. Même si tes enfants ne sont pas croyants, tant qu’ils te soutiennent, vous pouvez être bons amis, malgré tout, et parler et discuter de tout ensemble. Vous ne devez pas devenir des ennemis, et tu ne dois pas éprouver de ressentiment à leur égard. Après tout, vous êtes unis par les liens du sang. Si tes enfants sont prêts à assumer leurs responsabilités vis-à-vis de toi, à faire preuve de piété filiale à ton égard, et à t’obéir, alors tu peux continuer à avoir des rapports familiaux et à interagir normalement avec eux. Tu n’as pas à constamment maudire ou réprimander tes enfants parce qu’ils ont des opinions et des avis différents des tiens vis-à-vis de la foi. Il n’y a aucun besoin de faire ça. Tu n’as pas à devenir impétueux ou à penser que le fait que tes enfants ne croient pas en Dieu est un énorme problème, comme si tu avais perdu ta vie et ton âme. Ce n’est pas aussi grave que cela. S’ils ne croient pas, alors naturellement, ils ont leur propre chemin qu’ils ont choisi de suivre. Tu as également un chemin à suivre et un devoir à accomplir, et ces choses n’ont aucun rapport avec tes enfants. Si tes enfants ne croient pas, tu n’as pas à insister. Il se peut que ce ne soit pas encore le bon moment, ou que Dieu ne les ait tout simplement pas choisis. Si Dieu ne les a tout simplement pas choisis, et que tu persistes à les forcer à croire, alors tu es ignorant et rebelle. Bien entendu, si Dieu les a choisis, mais que ce n’est pas encore le bon moment, et que tu exiges qu’ils croient maintenant, ce sera un peu trop tôt. Si Dieu souhaite agir, personne ne peut échapper à Sa souveraineté. Si Dieu a arrangé pour tes enfants qu’ils croient, alors Il peut obtenir ce résultat d’un mot ou d’une pensée. Si Dieu n’a pas arrangé pour eux qu’ils croient, ils ne seront pas touchés, et s’ils ne sont pas touchés, tu auras beau parler, cela ne servira à rien. Si tes enfants ne croient pas, tu ne leur es pas redevable. Si tes enfants croient, le mérite ne te revient pas. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Peu importe que vous ayez ou non des objectifs communs en ce qui concerne la foi, toi et tes enfants, ou que vous ayez le même état d’esprit à cet égard. Dans tous les cas, tu dois simplement assumer tes responsabilités vis-à-vis d’eux. Si tu as assumé ces responsabilités, cela ne signifie pas que tu as fait preuve de bonté à leur égard, et si tes enfants ne croient pas, cela ne signifie pas que tu leur sois redevable, parce que tu as assumé tes responsabilités, et voilà tout. Ta relation avec tes enfants reste la même et tu peux continuer à interagir avec eux comme tu le faisais auparavant. Quand tes enfants rencontrent des difficultés, tu dois les aider autant que tu le peux. Si ta situation matérielle te permet d’aider tes enfants, tu dois le faire. Si tu peux corriger les pensées et opinions de tes enfants sur le plan psychologique ou mental, leur apporter conseils et aide dans une certaine mesure, et leur permettre de sortir de leurs dilemmes, alors c’est plutôt une bonne chose. En résumé, ce que les parents doivent faire avant que leurs enfants atteignent l’âge adulte, c’est assumer leurs responsabilités de parents, apprendre ce que leurs enfants veulent faire, et quels centres d’intérêt et aspirations ont leurs enfants. Si leurs enfants veulent tuer des gens, déclencher des incendies et commettre des crimes, alors leurs parents doivent sérieusement les discipliner ou même les punir. Mais s’il s’agit d’enfants obéissants, semblables à n’importe quels autres enfants ordinaires, si ces enfants se comportent bien à l’école, s’ils font tout ce que leurs parents leur disent de faire, alors leurs parents ont simplement à assumer leurs responsabilités vis-à-vis d’eux. En dehors du fait d’assumer leurs responsabilités, toutes les soi-disant attentes, exigences et réflexions des parents quant à l’avenir de leurs enfants sont superflues. Pourquoi dis-Je qu’elles sont superflues ? Le destin de chaque personne est ordonné par Dieu et ne peut être décidé par ses parents. Quelles que soient les attentes que les parents ont pour leurs enfants, il est impossible qu’elles se réalisent toutes à l’avenir. Ces attentes ne peuvent pas déterminer l’avenir ou la vie de leurs enfants. Même si les parents ont des attentes énormes pour leurs enfants, et quelle que soit l’ampleur des sacrifices qu’ils font ou des prix qu’ils paient pour ces attentes, tout cela est vain. Ces choses ne peuvent pas influer sur l’avenir ou la vie de leurs enfants. Par conséquent, les parents ne doivent pas faire des choses stupides. Ils ne doivent pas faire des sacrifices inutiles pour leurs enfants avant que ces derniers atteignent l’âge adulte, et naturellement, ils ne doivent pas être aussi tendus à ce sujet. Élever des enfants, pour un parent, c’est apprendre tout en faisant diverses sortes d’expériences à travers différents environnements, puis permettre peu à peu à ses enfants d’en récolter les fruits. C’est tout ce que les parents ont à faire. Quant à l’avenir et aux futurs chemins de vie des enfants, ces choses n’ont aucun rapport avec les attentes de leurs parents. Autrement dit, les attentes de tes parents ne peuvent pas décider de ton avenir. Ce n’est pas comme si le fait que tes parents aient des attentes élevées pour toi, ou qu’ils s’attendent à de grandes choses de ta part signifiait que tu pourras prospérer et bien vivre, et ce n’est pas comme si le fait que tes parents n’aient pas d’attentes pour toi signifiait que tu vas devenir un mendiant. Il n’y a pas nécessairement de rapport entre ces choses. Dis-Moi, ces sujets sur lesquels J’ai échangé sont-ils faciles à comprendre ? Est-il facile pour les gens d’accomplir ces choses ? Ces choses sont-elles difficiles ? Les parents ont simplement à assumer leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants, à les élever et à en faire des adultes. Ils n’ont pas à faire de leurs enfants des individus talentueux. Est-ce facile à accomplir ? (Oui.) C’est quelque chose qui est facile à faire, tu n’as pas à assumer la moindre responsabilité quant à l’avenir ou à la vie de tes enfants, ni à élaborer les moindres projets pour eux, ni à préjuger du genre de personne qu’ils deviendront, du genre de vie qu’ils mèneront à l’avenir, ni à te demander dans quels cercles sociaux on les trouvera par la suite, quelle sera leur qualité de vie dans ce monde à l’avenir, ou quel genre de statut ils auront au milieu des gens. Tu n’as pas à préjuger de ces choses ou à les contrôler. Tu dois simplement assumer tes responsabilités en tant que parent. C’est aussi simple que ça. Quand tes enfants ont l’âge d’aller à l’école, tu dois trouver une école et les y inscrire, payer leurs frais de scolarité, si nécessaire, et tout ce dont ils ont besoin à l’école. Il te suffit simplement d’assumer ces responsabilités. Pour ce qui est de ce que tes enfants mangent et des vêtements qu’ils portent pendant l’année, tu as juste à prendre soin de leur corps physique en fonction des circonstances. Ne laisse pas une maladie les affecter parce qu’elle n’a pas été soignée durant cette période, avant qu’ils atteignent l’âge adulte, à un moment où ils ne savent pas prendre soin de leur propre corps. Corrige rapidement leurs défauts et leurs mauvaises habitudes, aide-les à prendre de bonnes habitudes dans la vie, puis conseille-les et guide leur esprit, et assure-toi qu’ils ne dévient pas vers des extrêmes. S’ils aiment certaines choses malfaisantes dans le monde, mais que tu peux voir qu’il s’agit de bons enfants, et qu’ils ont simplement été influencés par les tendances malfaisantes du monde, tu dois rapidement les corriger, et les aider à remédier à leurs défauts et à leurs mauvaises habitudes. Voilà les responsabilités que les parents devraient assumer et le rôle qu’ils devraient jouer. Les parents ne doivent pas pousser leurs enfants vers les tendances de la société et ils ne doivent pas faire supporter trop tôt à leurs enfants diverses formes de pression, que seuls les adultes devraient supporter, alors que ces enfants n’ont pas encore atteint l’âge adulte. Les parents ne devraient pas le faire. Il est très facile d’y arriver, mais certaines personnes n’y parviennent pas. Parce que ces personnes ne peuvent pas abandonner leur poursuite du prestige et du profit de ce monde, ou les tendances malfaisantes du monde et parce qu’elles ont peur d’être éliminées par le monde, elles forcent leurs enfants à s’intégrer à la société très tôt et à s’adapter à la société très rapidement sur le plan mental, avant qu’ils atteignent l’âge adulte. Si les enfants ont de tels parents, ils n’ont pas de chance. Quels que soient les méthodes ou les prétextes selon lesquels leurs parents les aiment, les chérissent et paient des prix pour eux, pour les enfants de telles familles, ce ne sont pas nécessairement des bonnes choses. On pourrait même dire que ce sont des formes de désastres. La raison en est que, derrière leurs attentes parentales, ce que ces parents attirent sur le jeune esprit de leurs enfants, c’est la dévastation. Autrement dit, les attentes de ces parents ne portent, en réalité, pas vraiment sur le fait que leurs enfants aient un esprit et un corps sains, ce sont juste des attentes concernant le fait que leurs enfants soient capables de s’implanter dans la société et d’éviter d’être éliminés par la société. Le but de leurs attentes est que leurs enfants aient la belle vie, ou qu’ils soient supérieurs aux autres, qu’ils évitent de devenir des mendiants, qu’ils évitent d’être victimes de discrimination ou d’être malmenés par les autres, et qu’ils s’intègrent aux tendances malfaisantes et aux groupes de gens malfaisants. S’agit-il là de bonnes choses ? (Non.) Par conséquent, vous ne devez pas prendre à cœur ce genre d’attentes parentales. Si tes parents ont eu autrefois ce genre d’attentes pour toi, ou s’ils ont payé de nombreux prix pour que leurs attentes à ton égard se réalisent, tu te sentiras redevable vis-à-vis d’eux, et tu voudras passer toute ta vie à t’acquitter des prix qu’ils ont payés pour toi. Si tu as ce genre d’idée et de désir, tu dois les abandonner dès aujourd’hui. Tu ne leur dois rien, au contraire, ce sont tes parents qui t’ont ravagé et paralysé. Non seulement ils ne sont pas parvenus à assumer leurs responsabilités en tant que parents, mais au contraire, ils t’ont nui, ils ont infligé diverses blessures à ton jeune esprit, et laissé en lui un large éventail de traces et de souvenirs négatifs. En bref, de tels parents ne sont pas de bons parents. Si, avant que tu aies atteint l’âge adulte, dans la façon dont ils t’ont éduqué, affecté et parlé avec toi, tes parents ont toujours espéré que tu travaillerais dur à l’école, que tu réussirais et que tu ne finirais pas travailleur manuel, que tu aurais assurément de bonnes perspectives d’avenir, que tu ferais leur fierté et leur joie, que tu leur apporterais honneur et gloire, alors, à partir d’aujourd’hui, tu dois te dégager de l’emprise de leurs soi-disant actes de bonté et tu ne dois plus les prendre à cœur. N’est-ce pas ? (En effet.) Voilà les attentes que les parents ont pour leurs enfants avant que ces derniers atteignent l’âge adulte.

La nature des attentes que les parents ont pour leurs enfants reste la même une fois que ces derniers sont devenus adultes. Même si leurs enfants adultes peuvent penser de façon autonome et communiquer, parler et discuter avec eux en ayant le statut et le point de vue d’un adulte, les parents nourrissent encore les mêmes attentes pour leurs enfants, du point de vue d’un parent. Les attentes des parents, qui étaient des attentes pour un enfant n’ayant pas encore atteint l’âge adulte, deviennent des attentes pour un adulte. Même si les attentes parentales pour des adultes diffèrent de celles que les parents ont pour des enfants n’ayant pas encore atteint l’âge adulte, ces parents, en tant que personnes ordinaires et corrompues, et en tant que membres de la société et du monde, nourrissent encore le même genre d’attentes pour leurs enfants. Ils espèrent que les choses se passeront bien pour leurs enfants au travail, que leur mariage sera heureux et qu’ils auront une famille parfaite, qu’ils recevront des augmentations de salaire et des promotions, qu’ils seront reconnus par leur patron, que tout se passera particulièrement bien pour eux en ce qui concerne leur emploi, sans qu’ils rencontrent la moindre difficulté. Quelle est l’utilité de ces attentes ? (Elles ne sont d’aucune utilité.) Elles sont inutiles, elles sont superflues. Tes parents pensent qu’ils peuvent lire dans ton esprit parce qu’ils t’ont élevé et qu’ils ont subvenu à tes besoins, et par conséquent, ils croient tout savoir de ce que tu penses, de ce que tu veux et de ce à quoi ressemble ta personnalité, même si tu es désormais un adulte. Et même si tu es un adulte indépendant, et que tu peux gagner de l’argent pour subvenir à tes propres besoins, ils se disent qu’ils peuvent encore te contrôler et qu’ils ont encore le droit de parler, de participer, de décider, d’interférer, ou même de dominer quand il s’agit de quoi que ce soit qui te concerne. Autrement dit, ils pensent qu’ils peuvent avoir le dernier mot. Par exemple, en matière de mariage, si tu fréquentes quelqu’un, tes parents diront immédiatement : « Ça ne va pas, elle n’a pas le même niveau d’éducation que toi, elle n’est pas très jolie, et sa famille habite à la campagne. Quand tu l’auras épousée, les membres de sa famille qui vivent à la campagne vont venir en masse, ils ne sauront pas se servir des toilettes, et ils saliront tout. Ce ne sera certainement pas une bonne vie pour toi. Ça ne va pas, je ne consens pas à ce que tu l’épouses ! » N’est-ce pas là interférer ? (Si.) N’est-ce pas inutile et dégoutant ? (Si, c’est inutile.) Les fils et les filles doivent encore obtenir le consentement de leurs parents quand ils cherchent un conjoint. Par conséquent, il y a désormais des enfants qui ne disent même pas à leurs parents qu’ils ont trouvé un conjoint, simplement pour éviter que leurs parents interfèrent. Quand leurs parents leur demandent : « As-tu un conjoint ? » Ils répondent juste : « Non, j’ai le temps, je suis encore jeune, rien ne presse », mais en réalité, ils sont en couple depuis déjà deux ou trois ans. Simplement, ils n’en ont pas parlé à leurs parents. Et pourquoi n’en parlent-ils pas à leurs parents ? Parce que leurs parents veulent se mêler de tout. Ils sont très difficiles, alors leurs enfants ne leur parlent pas de leur conjoint. Quand ils sont prêts à se marier, ils amènent simplement leur conjoint directement chez leurs parents et demandent : « Nous donnez-vous votre consentement ? Je me marie demain. Voilà comment je gère cette affaire, que vous consentiez ou non. Si vous refusez de nous donner votre consentement, nous le ferons quand même et nous aurons des enfants. » Ces parents interfèrent trop dans les affaires de leurs enfants, ils vont jusqu’à se mêler de leur mariage. Dès lors que le conjoint que leurs enfants ont trouvé n’est pas ce qu’ils espèrent, ou s’ils ne s’entendent pas avec ce conjoint, s’ils ne l’aiment pas, ils essaieront de les faire rompre. Si leurs enfants ne sont pas d’accord, ces parents fondent en larmes, ils font des histoires et menacent de se tuer, au point que leurs enfants ne savent pas s’ils doivent pleurer ou rire, ils ne savent pas ce qu’ils doivent faire. Il y a aussi des fils et des filles qui disent qu’ils sont vieux et qu’ils ne veulent pas se marier, et leurs parents leur disent : « Ce n’est pas bien. J’espérais que tu grandirais, que tu te marierais et aurais des enfants. Je t’ai regardé grandir et maintenant, je veux te voir te marier et avoir des enfants. Ensuite, je pourrai mourir en paix. Si tu ne te maries pas, je ne pourrai jamais réaliser ce souhait. Je ne pourrai pas me résoudre à mourir, et si je meurs, je ne mourrai pas en paix. Tu dois te marier, dépêche-toi de trouver un conjoint. Ça ira, même si tu ne trouves qu’un conjoint temporaire et que tu me laisses lui jeter un coup d’œil. » N’est-ce pas là de l’ingérence ? (Si.) Quand leurs enfants adultes choisissent un conjoint pour l’épouser, les parents peuvent donner des conseils avisés, ils peuvent rafraîchir la mémoire de leurs enfants, ou les aider à se renseigner sur leur conjoint, mais ils ne doivent pas interférer, ils ne doivent pas aider leurs enfants à se décider. Leurs enfants ont leurs propres sentiments pour ce qui est de savoir s’ils aiment leur conjoint, s’ils s’entendent bien, s’ils ont des centres d’intérêt semblables, et s’ils seront heureux ensemble à l’avenir. Les parents ne savent pas forcément tout cela, et même s’ils le savent, ils ne peuvent que faire des suggestions, ils ne doivent pas faire obstruction de manière flagrante ou s’en mêler sérieusement. Il y a même des parents qui disent : « Quand mon fils ou ma fille trouveront un conjoint, ce conjoint devra avoir le même statut social que ma famille. Si ce n’est pas le cas, et que ce conjoint a des motivations cachées concernant mon fils ou ma fille, alors je ne les laisserai pas se marier, je serai obligé de perturber leurs projets. S’ils veulent venir chez moi, je les en empêcherai ! » Cette attente est-elle appropriée ? Est-elle rationnelle ? (Elle n’est pas rationnelle.) Il s’agit là d’une question significative dans la vie de leurs enfants, il est irrationnel que les parents interfèrent. Mais du point de vue de ces parents, il y a encore plus de raisons de se mêler des questions significatives de la vie de leurs enfants. Si, à l’occasion, leurs enfants trouvent des amis du sexe opposé à qui parler, ils n’interféreront pas, mais si cela est lié à la grande question du mariage, ils se diront qu’ils doivent interférer. Il y a même des parents qui se donnent beaucoup de mal pour espionner leurs enfants. Ils regardent quelles coordonnées et informations sur des personnes du sexe opposé se trouvent dans le téléphone et l’ordinateur de leurs enfants, ils interfèrent dans les affaires de leurs enfants et les suivent partout, au point que leurs enfants se trouvent sans recours, qu’ils ne peuvent pas se défendre, contre-argumenter ou éviter cet obstacle. Est-ce une façon appropriée d’agir pour un parent ? (Non.) Si les parents amènent leurs enfants à en avoir assez d’eux, c’est ce que l’on appelle être gênant, n’est-ce pas ? Ce que les parents doivent faire pour leurs enfants adultes, c’est continuer à assumer leurs responsabilités et obligations en tant que parents, à aider leurs enfants dans leur chemin de vie futur, et à leur donner des conseils raisonnables et précieux, leur rafraîchir la mémoire et les admonester, pour qu’ils puissent éviter d’être trompés au travail ou quand ils entrent en contact avec diverses sortes de gens, d’évènements et de choses, et éviter de prendre des chemins détournés, d’avoir des ennuis inutiles ou même d’être poursuivis en justice. Les parents doivent adopter le point de vue de personnes d’expérience, et donner à leurs enfants des conseils utiles et précieux, et des points de repère. Quant à savoir si leurs enfants les écoutent ou non, c’est l’affaire de leurs enfants. Ce que les parents doivent faire, c’est simplement assumer leurs responsabilités. Les parents ne peuvent pas influer sur l’importance de la souffrance dont leurs enfants feront l’expérience, des douleurs qu’ils endureront, ou sur le nombre de bénédictions dont ils profiteront. Si des enfants doivent endurer certaines tribulations dans cette vie, et que leurs parents leur ont déjà enseigné les choses qu’ils avaient besoin d’apprendre, mais que, lorsque quelque chose arrive à ces enfants, ces derniers se montrent quand même très entêtés, alors c’est que leurs enfants sont censés souffrir, c’est leur destin, et les parents n’ont pas à se faire de reproches, n’est-ce pas ? (En effet.) Dans certains cas, le mariage des gens ne se passe pas bien. Ils ne sont pas en bons termes avec leur conjoint et ils décident de divorcer, et après avoir divorcé, ils se disputent pour savoir qui va élever leurs enfants. Les parents de ces gens espéraient que tout se passerait bien pour leurs enfants à leur travail, qu’ils auraient un mariage heureux, idyllique, qu’aucune dissension, aucun problème ne surviendraient, mais au bout du compte, rien ne s’est passé comme ils l’auraient voulu. Par conséquent, ces parents se font du souci pour leurs enfants, ils pleurent, s’en plaignent auprès de leurs voisins, et aident leur fils ou leur fille à trouver un avocat pour qu’ils obtiennent la garde de leurs propres enfants. Il y a même certains parents qui voient qu’on a fait du tort à leur fille et qui se dressent pour se battre en son nom, qui vont chez le mari de leur fille et crient : « Pourquoi as-tu fait du tort à ma fille comme ça ? Je ne vais pas laisser passer cette insulte ! » Ils amènent même leur famille élargie avec eux pour passer leur colère sur le mari, au nom de leur fille, et cela finit en bagarre. Ainsi, les parents font toute une scène. Si leur famille entière n’était pas venue faire des histoires, et que les tensions avaient été lentement désamorcées entre le mari et sa femme, ces derniers, après s’être calmés, n’auraient sans doute pas divorcé. Mais comme ces parents en ont fait toute une histoire, c’est devenu une affaire énorme. Le mariage vacillant n’a pas pu être sauvé et la rupture s’est installée. En fin de compte, les parents ont tellement fait d’histoires que le mariage de leurs enfants ne s’est pas bien passé, et que ces parents ont dû s’en inquiéter également. Dis-Moi, cela en valait-il la peine ? À quoi a servi l’implication des parents dans cette situation ? Qu’il s’agisse du mariage ou du travail de leurs enfants, les parents pensent tous qu’ils ont une responsabilité énorme : « Il faut que je m’en mêle, je dois suivre et observer cette affaire de près. » Ils observent pour voir si le mariage de leurs enfants est heureux ou non, s’il y a le moindre problème en ce qui concerne leur lien d’affection, et si leur fils ou leur beau-fils a des liaisons. Certains parents s’immiscent, critiquent, ou même élaborent des stratagèmes quant à divers aspects de la vie de leurs enfants, afin de satisfaire l’attente qu’ils ont vis-à-vis du mariage de leurs enfants, ou de diverses autres choses, et cela affecte gravement l’ordre normal de la vie et du travail de leurs enfants. De tels parents ne sont-ils pas détestables ? (Si.) Il y a même certains parents qui se mêlent du mode de vie et des habitudes de leurs enfants, et quand ils n’ont rien d’autre à faire, ils vont chez leurs enfants pour voir comment va leur belle-fille, pour vérifier si elle envoie ou non en secret des cadeaux ou de l’argent à sa propre famille, ou si elle fréquente d’autres hommes. Leurs enfants trouvent ces actes vraiment répugnants et détestables. Si les parents continuent comme ça, leurs enfants se diront que c’est détestable et répugnant, de sorte qu’il est très clair que ces actes sont irrationnels. Bien entendu, si nous examinons tout cela d’un autre point de vue, ces actes sont également immoraux et dépourvus d’humanité. Quelles que soient les attentes que les parents ont pour leurs enfants, quand ces derniers atteignent l’âge adulte, leurs parents ne devraient pas se mêler des cercles dans lesquels leurs enfants vivent ou travaillent, ou de leur famille, et ils devraient encore moins essayer d’interférer dans les différents aspects de leur vie ou de les contrôler. Il y a même certains parents qui aiment vraiment l’argent, et qui disent à leurs enfants : « Pour gagner davantage d’argent rapidement, tu vas devoir agrandir ton entreprise. Regarde le fils d’Untel, il a développé son entreprise, il a transformé sa petite boutique en grand magasin, et fait de ce grand magasin une franchise, et maintenant, ses parents peuvent bien manger et bien boire avec lui. Tu dois gagner davantage d’argent. Gagne davantage d’argent et ouvre d’autres boutiques, nous pourrons alors savourer ensemble ta gloire. » Quelles que soient les difficultés de leurs enfants, quels que soient leurs souhaits, ces parents veulent simplement satisfaire leurs propres préférences et désirs égoïstes. Ils veulent simplement se servir de leurs enfants pour gagner beaucoup d’argent, afin d’atteindre leur objectif : profiter des plaisirs charnels. Voilà toutes les choses que les parents ne devraient pas faire. Ces choses sont immorales et dépourvues d’humanité, et de tels parents n’assument pas leurs responsabilités. Ce n’est pas l’attitude que des parents devraient avoir vis-à-vis de leurs enfants adultes. Au contraire, ces parents profitent de leur ancienneté, ils interfèrent dans la vie, le travail, le mariage, etc., de leurs enfants adultes, sous couvert de faire preuve de responsabilité envers eux. Quels que soient les capacités de vos enfants adultes, leur calibre, le genre de statut qu’ils ont au sein de la société, ou leurs revenus, c’est le destin que Dieu a établi pour eux, tout cela est sous Sa souveraineté. Les parents ne doivent pas interférer dans le style de vie que leurs enfants mènent, sauf s’ils ne suivent pas le bon chemin ou s’ils enfreignent la loi, auquel cas les parents doivent les discipliner avec sévérité. Mais dans des circonstances normales, où ces adultes ont un bon état d’esprit et la capacité de vivre et de survivre de manière autonome, leurs parents doivent se retirer, parce que leurs enfants sont déjà adultes. Si leurs enfants viennent tout juste de devenir des adultes, et qu’ils ont 20 ou 21 ans, et s’ils ne connaissent pas encore les diverses situations complexes que l’on rencontre au sein de la société, ou s’ils ne savent pas comment se conduire dans la vie ni comment entrer en relation avec les gens, et qu’ils ont de faibles capacités de survie, alors ces parents doivent leur apporter une aide appropriée, leur permettre d’atteindre peu à peu le stade où ils pourront vivre de manière autonome. Voilà ce que l’on appelle assumer ses responsabilités. Mais dès qu’ils ont mis leurs enfants sur la bonne voie, et que ces enfants ont la capacité de survivre de manière autonome, leurs parents doivent se retirer. Ils ne doivent pas continuer à traiter leurs enfants comme s’ils n’étaient pas encore adultes, ou comme s’ils étaient intellectuellement déficients. Ils ne doivent pas avoir des attentes irréalistes vis-à-vis de leurs enfants, ni interférer dans la vie privée de leurs enfants, ou dans leurs attitudes, leurs points de vue et leurs actes en ce qui concerne le travail, la famille, le mariage, les gens et les évènements, sous couvert d’avoir des attentes pour eux. S’ils font n’importe laquelle de ces choses, ils n’assument pas leurs responsabilités.

Quand leurs fils et leurs filles sont capables de survivre de manière autonome, les parents devraient simplement leur montrer qu’ils se soucient d’eux et qu’ils se sentent concernés, autant que nécessaire, par leur travail, leur vie, leur famille, et les parents devraient apporter une aide appropriée à leurs enfants dans des situations où ces derniers ne sont pas à même d’accomplir quelque chose ou de s’occuper de quelque chose en faisant appel à leurs propres capacités. Par exemple, disons que ton fils ou ta fille ont un bébé, et qu’ils sont très pris, ainsi que leurs conjoints, par leur travail. Ce bébé est encore très petit et parfois, il n’y a personne pour prendre soin de lui. Dans ces circonstances, tu peux aider ton enfant à prendre soin de son bébé. C’est la responsabilité d’un parent, parce que tes enfants sont ta chair et ton sang, après tout, et qu’il est plus sûr que ce soit toi qui t’occupes de leur bébé, plutôt que quelqu’un d’autre. Si ton enfant te fait confiance pour ce qui est de s’occuper de son bébé, alors tu dois le faire. Si ton enfant est mal à l’aise à l’idée de te confier son bébé et ne veut pas que tu t’en occupes, ou s’il ne veut pas te laisser t’en occuper parce qu’il te chérit, parce qu’il fait preuve de prévenance à ton égard, et qu’il craint que tu ne sois pas suffisamment bien portant pour le faire, alors tu ne dois pas trouver à y redire. Il y a même des fils et des filles qui ne font tout simplement pas confiance à leurs parents, qui pensent que leurs parents n’ont pas la capacité de s’occuper d’un bébé, qu’ils ne savent que gâter les petits enfants, et non les éduquer, et qu’ils ne font pas attention à ce qu’ils mangent. Si ton fils ou ta fille ne te font pas confiance et qu’ils ne veulent pas que tu t’occupes de leur bébé, c’est encore mieux, tu auras alors davantage de temps libre. C’est ce que l’on appelle le consentement mutuel : ni le parent ni l’enfant n’interfèrent dans les affaires de l’autre et, en même temps, ils font preuve de considération l’un pour l’autre. Quand leurs enfants ont besoin d’aide, de sollicitude, ou qu’on s’occupe d’eux, les parents ont simplement à se soucier de leurs enfants, à prendre soin d’eux, à leur apporter un soutien financier, de manière appropriée et autant que nécessaire, sur un plan affectif ou à d’autres égards. Par exemple, supposons qu’un parent ait des économies, ou qu’il soit compétent professionnellement et ait des revenus. Quand ses enfants ont besoin d’argent, il peut les aider un peu, s’il est à même de le faire. S’il ne le peut pas, il n’est alors pas nécessaire qu’il renonce à tous ses biens ou qu’il emprunte de l’argent à un usurier pour aider ses enfants. Il a juste à faire ce qui est dans les limites de ses capacités pour assumer ses responsabilités dans le cadre de la parenté. Il n’a pas à vendre tout ce qu’il possède, ni à vendre ses reins ou son sang, ni à se tuer à la tâche pour aider ses enfants. Ta vie t’appartient, elle t’a été donnée par Dieu et tu as tes propres missions. Tu as cette vie afin de pouvoir accomplir ces missions. Tes enfants, eux aussi, ont leur vie pour pouvoir terminer leur chemin de vie et remplir leurs missions dans la vie, et non pour pouvoir te témoigner de la piété filiale. Par conséquent, que leurs enfants soient adultes ou non, les parents ont une vie qui n’appartient qu’à eux, et non à leurs enfants. Naturellement, les parents ne sont pas des nourrices ou des esclaves qui travaillent gratuitement pour leurs enfants. Quelles que soient les attentes que les parents ont pour leurs enfants, il n’est pas nécessaire qu’ils laissent leurs enfants leur donner des ordres de façon arbitraire, sans aucun dédommagement, ni qu’ils deviennent les serviteurs, les domestiques ou les esclaves de leurs enfants. Quels que soient les sentiments que tu portes à tes enfants, tu restes une personne autonome. Tu n’as pas à prendre la responsabilité de leur vie d’adultes comme s’il était parfaitement légitime de le faire, simplement parce que ce sont tes enfants. Il est inutile de le faire. Ce sont des adultes, tu as déjà assumé la responsabilité de leur éducation. Quant à savoir s’ils vivront bien ou mal à l’avenir, s’ils seront riches ou pauvres, et s’ils auront une vie heureuse ou malheureuse, c’est leur affaire. Ces choses ne te concernent en rien. En tant que parent, tu n’as aucune obligation de changer ces choses. S’ils sont malheureux dans la vie, tu n’es pas obligé de dire : « Tu es malheureux, je vais trouver le moyen de corriger ça, je vendrai tout ce que je possède, je consacrerai toute mon énergie à te rendre heureux. » Il n’est pas nécessaire de le faire. Tu dois simplement assumer tes responsabilités, c’est tout. Si tu veux les aider, tu peux leur demander pourquoi ils sont malheureux, et les aider à comprendre ce problème sur un plan théorique et psychologique. S’ils acceptent ton aide, c’est l’idéal. Dans le cas contraire, tu as simplement à assumer tes responsabilités en tant que parent, et voilà tout. Si tes enfants veulent souffrir, c’est leur affaire. Tu n’as pas à t’inquiéter ou à te sentir contrarié à ce sujet, ni à en perdre le sommeil ou l’appétit. Ce serait excessif. Pourquoi serait-ce excessif ? Parce qu’ils sont adultes. Ils doivent apprendre à faire face eux-mêmes à tout ce qu’ils rencontrent dans leur vie. Si tu te fais du souci pour eux, il s’agit simplement d’affection. Si tu ne te fais aucun souci pour eux, cela ne signifie pas que tu es sans cœur ou que tu n’as pas assumé tes responsabilités. Ce sont des adultes, et les adultes doivent faire face à des problèmes d’adultes et gérer tout ce que les adultes sont censés gérer. Ils ne doivent pas compter sur leurs parents en toutes choses. Bien entendu, que tout aille bien ou non dans le travail, la carrière, la famille ou le mariage de leurs enfants, une fois que ces derniers ont atteint l’âge adulte, les parents ne devraient pas en endosser la responsabilité. Tu peux t’en soucier et tu peux te renseigner à ce sujet, mais tu n’as pas à t’en charger complètement, à enchaîner tes enfants à tes côtés, à les emmener avec toi partout où tu vas, à les surveiller partout où tu vas, et à te demander à leur sujet : « Mangent-ils bien, aujourd’hui ? Sont-ils heureux ? Leur travail se passe-t-il bien ? Leur patron les apprécie-t-il ? Leur conjoint les aime-t-il ? Leurs enfants sont-ils obéissants ? Leurs enfants obtiennent-ils de bonnes notes ? » En quoi ces choses te concernent-elles ? Tes enfants peuvent résoudre leurs propres problèmes, tu n’as pas à t’en mêler. Pourquoi est-ce que Je demande en quoi ces choses te concernent ? En disant cela, Je veux dire que ces choses n’ont aucun rapport avec toi. Tu as assumé tes responsabilités vis-à-vis de tes enfants, tu les as élevés et tu en as fait des adultes, maintenant tu devrais les laisser tranquilles. Quand tu le feras, cela ne signifiera pas que tu n’as plus rien à faire. Il reste tant de choses que tu es censé faire. En ce qui concerne les missions que tu dois achever dans cette vie, outre élever tes enfants et en faire des adultes, tu as aussi d’autres missions à accomplir. Outre le fait d’être un parent pour tes enfants, tu es un être créé. Tu dois venir devant Dieu, et accepter le devoir qui vient de Lui. Quel est ton devoir ? L’as-tu accompli ? T’y es-tu consacré ? T’es-tu engagé sur le chemin qui mène au salut ? Voilà à quoi tu devrais penser. Quant à savoir où tes enfants iront après être devenus des adultes, à quoi ressemblera leur vie, dans quelle situation ils se trouveront, s’ils seront heureux et joyeux, cela n’a aucun rapport avec toi. Tes enfants sont déjà indépendants, aussi bien d’un point de vue extérieur que sur le plan mental. Tu dois les laisser être indépendants, tu dois renoncer, et tu ne devrais pas essayer de les contrôler. Que ce soit sur le plan de l’aspect extérieur des choses, ou en termes de liens d’affection ou de parenté charnelle, tu as déjà assumé tes responsabilités et il n’y a plus aucune relation entre toi et tes enfants. Il n’y a pas de rapport entre leurs missions et les tiennes, et il n’y a pas de rapport entre le chemin de vie qu’ils suivent et tes attentes. Les attentes que tu as pour tes enfants et tes responsabilités envers eux sont arrivées à leur terme. Naturellement, tu ne devrais pas avoir d’attentes pour eux. Eux, c’est eux, et toi, c’est toi. Si tes enfants ne se marient pas, alors, pour ce qui est de votre destin et de vos missions, vous êtes des individus complètement sans rapport et indépendants. Si tes enfants se marient et fondent une famille, alors vos familles n’ont aucun rapport entre elles. Tes enfants ont leurs habitudes de vie et leur mode de vie, ils ont leurs besoins en ce qui concerne leur qualité de vie, et tu as tes habitudes de vie et tes besoins en ce qui concerne ta qualité de vie. Tu as ton chemin dans la vie et ils ont leur chemin dans la vie. Tu as tes missions et ils ont les leurs. Bien entendu, tu as ta foi et ils ont la leur. Si leur foi réside dans l’argent, le prestige et le profit, alors vous êtes des individus complètement différents. S’ils ont la même foi que toi, s’ils poursuivent la vérité et suivent le chemin du salut, vous êtes néanmoins, naturellement, des individus complètement différents. Tu es toi et ils sont eux. Tu ne dois pas intervenir quant au chemin qu’ils suivent. Tu peux les soutenir, les aider et les approvisionner, tu peux les rappeler à l’ordre et les exhorter, mais tu n’as pas à interférer ou à t’en mêler. Personne ne peut déterminer le type de chemin qu’une autre personne suivra, le genre d’individu que cette personne deviendra, ou le genre de poursuites qu’elle aura. Réfléchis-y, sur quelle base suis-Je assis ici, à discuter avec vous et à vous parler de toutes ces choses ? Sur la base de votre volonté d’écouter. Je parle parce que vous êtes disposés à écouter Mes exhortations sincères. Si vous n’étiez pas disposés à écouter, ou si vous partiez, Je ne parlerais plus. Le nombre de paroles que Je prononce dépend du fait que vous soyez ou non disposés à les écouter et que vous soyez disposés à consacrer votre temps et votre énergie à le faire. Si tu disais : « Je ne comprends pas ce que Tu dis, pourrais-Tu rentrer davantage dans les détails ? », alors Je ferais de Mon mieux pour rentrer davantage dans les détails, afin de te permettre de comprendre et d’entrer dans Mes paroles. Quand Je t’aurai mis sur la bonne voie, que Je t’aurai amené devant Dieu et la vérité, et permis de comprendre la vérité et de suivre la voie de Dieu, Ma tâche sera achevée. Cependant, quant à savoir si tu seras disposé à pratiquer Mes paroles après les avoir entendues, ou quel genre de chemin tu suivras, quel genre de vie tu choisiras, ou ce que tu poursuivras, ces choses ne Me regardent absolument pas. Si tu disais : « J’ai une question concernant cet aspect de la vérité, je veux chercher dans ce domaine », alors Je répondrais patiemment à ta question. Si tu ne souhaitais jamais chercher la vérité, t’émonderais-Je pour cette raison ? Non. Je ne te forcerais pas à chercher la vérité, pas plus que Je ne te ridiculiserais ou Me moquerais de toi, et Je ne te traiterais certainement pas avec froideur. J’agirais comme auparavant. Si tu commets une erreur dans ton devoir ou provoques délibérément une interruption ou une perturbation, J’ai Mes principes et Mes méthodes pour M’occuper de toi. Cependant, il se peut que tu dises : « Je ne veux pas T’entendre parler de ces choses et je ne suis pas disposé à accepter Tes opinions. Je vais continuer à accomplir mon devoir de la façon dont je l’ai toujours fait. » Alors, tu ne dois pas enfreindre les principes ou les décrets administratifs. Si tu enfreins les décrets administratifs, Je M’occuperai de toi. Mais si tu n’enfreins pas les décrets administratifs et que tu peux te comporter correctement quand tu mènes une vie d’Église, Je n’interviendrai pas, même si tu ne poursuis pas la vérité. Je n’interviendrai pas quand il s’agit de ta vie personnelle, de ce que tu veux manger, porter, ou des gens avec lesquels tu veux interagir. Je te laisse toute liberté dans ces domaines. Pour quelle raison ? Je t’ai parlé clairement de tous les principes et contenus concernant ces questions. Le reste relève de ton libre choix. Le chemin que tu choisis de suivre dépend du genre de personne que tu es, c’est évident. Si tu n’es pas une personne qui aime la vérité, qui pourrait te forcer à l’aimer ? Au bout du compte, chaque personne prendra la responsabilité du chemin qu’elle suit, et des conséquences qu’elle aura à supporter. Je n’ai pas à en prendre la responsabilité. Si tu poursuis la vérité, tu le fais volontairement. Si tu ne poursuis pas la vérité, tu le fais également volontairement. Personne ne t’en empêche. Si tu poursuis effectivement la vérité, personne ne t’encouragera et tu ne recevras pas de grâce ou de bénédictions matérielles particulières. Je M’acquitte simplement de Mes responsabilités et Je les assume, en vous indiquant toutes les vérités que vous devriez comprendre et dans lesquelles vous devriez entrer. Quant à la façon dont vous menez votre vie en privé, Je ne M’en suis jamais enquis, ni n’ai fouiné dans vos affaires. Telle est Mon attitude. Les parents devraient également agir de cette façon vis-à-vis de leurs enfants. Les adultes ont la capacité de faire la différence entre le bien et le mal. C’est leur affaire s’ils choisissent le bien ou le mal, s’ils choisissent le noir ou le blanc, s’ils choisissent des choses positives ou négatives. Cela dépend de leurs besoins intérieurs. Si l’essence d’une personne est malfaisante, cette personne ne choisira pas des choses positives. Si une personne s’efforce d’être bonne et qu’elle a de l’humanité, une conscience et un sens de la honte, elle choisira des choses positives. Même si elle est un peu lente à le faire, en fin de compte, elle s’engagera sur le bon chemin. C’est inévitable. Par conséquent, les parents devraient avoir ce genre d’attitude vis-à-vis de leurs enfants, et ne pas interférer dans les choix de leurs enfants. Les exigences que certains parents ont vis-à-vis de leurs enfants sont les suivantes : « Nos enfants devraient s’engager sur le bon chemin, ils devraient croire en Dieu, abandonner le monde séculier et renoncer à leur emploi. Sinon, quand nous entrerons dans le royaume, ils ne pourront pas y pénétrer, et nous serons séparés d’eux. Ce serait tellement formidable si toute notre famille pouvait entrer ensemble dans le royaume ! Nous pourrions être ensemble au ciel, comme nous le sommes ici sur terre. Quand nous serons dans le royaume, nous ne devrons pas nous quitter, nous devrons rester ensemble à travers les âges ! » Puis il s’avère que leurs enfants ne croient pas en Dieu et qu’au contraire, ils poursuivent les choses du monde et s’évertuent à gagner beaucoup d’argent et à devenir très riches. Ils portent tout ce qui est à la mode, ils font et disent tout ce qui est à la mode, et ils n’exaucent pas les souhaits de leurs parents. Donc, ces parents sont contrariés, ils prient et jeûnent à cause de cela, ils jeûnent une semaine, dix ou quinze jours, et font beaucoup d’efforts par souci de leurs enfants dans ce domaine. Ils ont souvent tellement faim qu’ils sont pris de vertiges et ils prient souvent devant Dieu en pleurant. Mais quelle que soit la façon de prier de ces parents, ou les efforts qu’ils font, leurs enfants restent de marbre et ne savent pas ouvrir les yeux. Plus leurs enfants refusent de croire, plus ces parents pensent : « Oh non, j’ai déçu mes enfants, je les ai laissé tomber. Je n’ai pas été capable de leur prêcher l’Évangile et je ne les ai pas emmenés avec moi sur le chemin du salut. Quels imbéciles, c’est du chemin qui mène au salut qu’il s’agit ! » Ce ne sont pas des imbéciles. Simplement, ils n’ont pas ce besoin. Les imbéciles, ce sont ces parents, car ils essaient de forcer leurs enfants à prendre ce chemin, n’est-ce pas ? Si leurs enfants avaient ce besoin, ces parents auraient-ils à parler de ces choses ? Leurs enfants en viendraient à croire par eux-mêmes. Ces parents se disent sans cesse : « J’ai laissé tomber mes enfants. Je les ai incités à aller à l’université dès leur plus jeune âge, et depuis qu’ils sont allés à l’université, ils ne sont pas revenus en arrière. Ils ne peuvent pas s’empêcher de poursuivre les choses du monde, et chaque fois qu’ils reviennent à la maison, ils ne parlent que de leur travail, de gagner de l’argent, de qui a obtenu de l’avancement ou a acheté une voiture, de qui a fait un beau mariage, de qui est allé en Europe faire des études supérieures ou participer à un programme d’échange, et ils disent que les autres ont une vie vraiment formidable. Chaque fois qu’ils rentrent à la maison, ils parlent de ces choses et je n’ai pas envie de les écouter, mais je ne peux rien y faire. Quoi que je dise pour essayer de les amener à croire en Dieu, ils refusent toujours d’écouter. » Par conséquent, ces parents se brouillent avec leurs enfants. Chaque fois qu’ils voient leurs enfants, leur visage s’assombrit. Chaque fois qu’ils parlent à leurs enfants, leur expression devient amère. Certains enfants ne savent pas quoi faire, et ils se disent : « Je ne sais pas ce qu’ont mes parents. Si je ne crois pas en Dieu, c’est seulement en Lui que je ne crois pas. Pourquoi ont-ils sans cesse cette attitude vis-à-vis de moi ? Je pensais que plus quelqu’un croyait en Dieu, plus il devenait une bonne personne. Comment ceux qui croient en Dieu peuvent-ils avoir aussi peu d’affection pour leur famille ? » Ces parents s’inquiètent tellement pour leurs enfants qu’ils risquent un coup de sang, et ils disent : « Ce ne sont pas mes enfants ! Je coupe tout lien avec eux, je les renie ! » Ils disent cela, mais ce n’est pas réellement ce qu’ils pensent. De tels parents ne sont-ils pas stupides ? (Si.) Ils veulent sans cesse tout contrôler et tout maîtriser, ils veulent sans cesse prendre le contrôle de l’avenir de leurs enfants, de leur foi et du chemin qu’ils suivent. C’est vraiment stupide ! Et ce n’est pas approprié. Il y a, en particulier, certains enfants qui poursuivent les choses du monde, qui sont promus à des postes de direction et gagnent beaucoup d’argent. Ils apportent en cadeaux à leurs parents du ginseng en quantité, des boucles d’oreilles et des colliers en or, et leurs parents disent : « Je ne veux pas de ces choses, j’ai juste l’espoir que vous soyez en bonne santé et que vous me suiviez dans ma croyance en Dieu. Croire en Dieu est tellement formidable ! » Et leurs enfants disent : « Ne commence pas avec ça. J’ai reçu de l’avancement et tu ne m’as même pas félicité. Quand les parents des autres apprennent que leurs enfants ont été promus, ils sablent le champagne, ils sortent faire un bon repas, mais quand je t’achète des colliers et des boucles d’oreilles, tu n’es pas contente. En quoi t’ai-je déçue ? Vous faites la tête simplement parce que je ne crois pas en Dieu. » Est-il juste que ces parents fassent la tête comme ça ? Les gens ont des poursuites différentes, ils suivent des chemins différents, et ils choisissent ces chemins eux-mêmes. Les parents devraient aborder cette question correctement. Si tes enfants ne reconnaissent pas l’existence de Dieu, tu ne dois pas exiger d’eux qu’ils croient en Dieu. Forcer les choses ne marche jamais. S’ils ne veulent pas croire en Dieu, s’ils ne sont pas ce genre de personnes, alors plus tu en parleras, plus ils t’agaceront, et plus tu les agaceras également. Vous serez tous agacés. Mais que vous soyez tous agacés n’est pas ce qui est important. Le plus important, c’est que Dieu te détestera et qu’Il dira que ton affection est trop grande. Puisque tu es capable de payer des prix aussi élevés simplement parce que tes enfants ne croient pas en Dieu, et que tu es vraiment contrarié parce qu’ils poursuivent les choses du monde, si Dieu devait les emmener un jour, que ferais-tu, alors ? Te plaindrais-tu de Dieu ? Si, dans ton cœur, tes enfants sont tout pour toi, et s’ils sont ton avenir, ton espoir et ta vie, alors es-tu encore quelqu’un qui croit en Dieu ? Dieu ne te détestera-t-Il pas parce que tu agis de la sorte ? Ta façon d’agir manque trop de sagesse, elle est incompatible avec les principes, et Dieu n’en sera pas satisfait. Par conséquent, si tu es sage, tu ne feras pas ce genre de choses. Si tes enfants ne croient pas, alors tu devrais renoncer à les convaincre. Tu as avancé tous les arguments que tu devais avancer, et tu as dit ce que tu étais censé dire, alors laisse-les faire leurs propres choix. Continue d’entretenir la relation que tu avais auparavant avec tes enfants. S’ils souhaitent faire preuve de piété filiale à ton égard, s’ils veulent te chérir et prendre soin de toi, tu n’as pas à le rejeter. S’ils veulent t’emmener en voyage en Europe, mais que cela entrave l’accomplissement de ton devoir, et que tu n’as pas envie d’y aller, alors n’y va pas. Mais si tu veux y aller et que tu en as le temps, alors vas-y. Il n’y a rien de mal à élargir ses horizons. Tu ne te saliras pas les mains en le faisant et Dieu ne le condamnera pas. Si tes enfants t’achètent de belles choses, de bons plats ou de beaux vêtements, et si tu penses qu’il est approprié qu’un saint porte ces vêtements ou utilise ces choses, alors profites-en et considère cela comme la grâce de Dieu. Si tu méprises ces choses, si tu ne les apprécies pas, si tu penses qu’elles sont problématiques et dégoûtantes, et si tu n’es pas prêt à en profiter, tu peux les refuser, en disant : « Je suis simplement heureux de vous voir, vous n’avez pas à m’apporter des cadeaux ou à dépenser de l’argent pour moi, je n’ai pas besoin de ces choses. Je veux juste que vous soyez en sécurité et heureux. » N’est-ce pas formidable ? Si tu prononces ces paroles et que tu crois ces choses dans ton cœur, si tu n’as vraiment pas besoin que tes enfants t’offrent le moindre confort matériel ou te permettent de savourer leur réussite, alors tes enfants t’admireront, n’est-ce pas ? Quant aux difficultés qu’ils affrontent dans leur travail ou dans leur vie, fais de ton mieux pour les aider chaque fois que tu le peux. Si les aider affecte l’accomplissement de ton devoir, tu peux refuser, c’est ton droit. Parce que tu ne leur dois plus rien, parce que tu n’as plus aucune responsabilité à assumer vis-à-vis d’eux, et qu’ils sont déjà des adultes autonomes, ils peuvent gérer leur propre vie. Tu n’as pas à les servir sans réserve ou à tout moment. S’ils te demandent de l’aide et que tu n’es pas prêt à les aider, ou si le faire entraverait l’accomplissement de ton devoir, tu peux dire non. C’est ton droit. Même si tu es uni à eux par les liens du sang et que tu es leur parent, il ne s’agit que d’une relation formelle, par le sang et l’affection. En ce qui concerne tes responsabilités, tu as déjà été libéré de la relation que tu avais avec eux. Donc, si les parents sont sages, ils n’ont aucune attente, aucune exigence ou norme pour leurs enfants après que ces derniers ont atteint l’âge adulte, et ils n’exigent pas que leurs enfants agissent d’une certaine façon ou fassent certaines choses, d’un point de vue ou d’une position de parent, parce que leurs enfants sont déjà autonomes. Quand tes enfants sont autonomes, cela signifie que tu as assumé toutes tes responsabilités vis-à-vis d’eux. Alors, quoi que tu fasses pour tes enfants quand les circonstances le permettent, que tu leur manifestes de la sollicitude ou de l’attention, il s’agit simplement d’affection, et c’est superflu. De même, si tes enfants te demandent de faire quelque chose, c’est également superflu, ce n’est pas quelque chose que tu as le devoir de faire. Tu dois le comprendre. Ces choses sont-elles claires ? (Oui.)

Supposons que l’un d’entre vous dise : « Je ne peux pas renoncer à mes enfants. Ils sont de faible constitution et ils sont foncièrement lâches et craintifs. De plus, ils n’ont pas un très bon calibre et sont constamment tyrannisés par les autres. Je ne peux pas renoncer à eux. » Que tu ne sois pas capable de renoncer à tes enfants ne signifie pas pour autant que tu n’as pas fini d’assumer tes responsabilités vis-à-vis d’eux, il s’agit là simplement de l’influence de tes sentiments. Tu dis peut-être : « Je m’inquiète sans cesse et je me demande si mes enfants ont bien mangé, ou s’ils ont le moindre problème digestif. S’ils ne mangent pas aux bonnes heures et n’arrêtent pas de commander de la nourriture à emporter sur une longue période, risquent-ils de souffrir de maux d’estomac ? Attraperont-ils une maladie quelconque ? Et s’ils tombent malades, y aura-t-il quelqu’un pour prendre soin d’eux, pour leur témoigner de l’amour ? Leurs conjoints se préoccupent-ils de leur sort et prennent-ils soin d’eux ? » Tes inquiétudes viennent simplement de tes sentiments et des liens du sang qui t’unissent à tes enfants, mais tout cela ne relève pas de ta responsabilité. Dieu a juste confié aux parents les responsabilités d’élever leurs enfants et de prendre soin d’eux jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge adulte. Une fois que leurs enfants sont devenus adultes, les parents n’ont plus la moindre responsabilité envers eux. C’est là examiner les responsabilités que les parents devraient assumer du point de vue de l’ordination de Dieu. Comprends-tu cela ? (Oui.) Quelle que soit la force de tes sentiments, ou le moment où ton instinct parental se manifeste, ce n’est pas là assumer tes responsabilités, ce n’est que l’influence de tes sentiments. Les influences de tes sentiments ne sont pas dues à la raison de l’humanité, ni aux principes que Dieu a enseignés à l’homme, ni à la soumission de l’homme à la vérité, et cette influence ne découle certainement pas des responsabilités de l’homme, au contraire, elle provient des sentiments de l’homme, c’est ce que l’on appelle des sentiments. Il y a juste un peu d’amour parental et les liens familiaux qui s’y ajoutent. Comme il s’agit de tes enfants, tu te fais constamment du souci à leur sujet, tu te demandes s’ils souffrent là-bas, et si on les tyrannise. Tu te demandes si leur travail se passe bien, et s’ils prennent leurs repas aux bonnes heures. Tu te demandes s’ils ont contracté une maladie, et s’ils pourront payer leurs frais médicaux au cas où ils tomberaient effectivement malades. Tu penses souvent à ces choses, qui n’ont absolument rien à voir avec tes responsabilités de parent. Si tu ne peux pas abandonner ces préoccupations, on peut seulement dire que tu vis plongé dans tes sentiments et que tu es incapable de t’en dégager. Tu vis simplement plongé dans tes sentiments, et tu abordes tes enfants en fonction de tes sentiments, au lieu de vivre selon la définition que Dieu donne des responsabilités parentales. Tu ne vis pas conformément aux paroles de Dieu, tu te contentes de ressentir, de considérer toutes ces choses, et d’y faire face, conformément à tes sentiments. Cela signifie que tu ne suis pas la voie de Dieu. Voilà qui est évident. Tes responsabilités parentales, telles qu’elles t’ont été enseignées par Dieu, ont pris fin dès que tes enfants ont atteint l’âge adulte. La méthode de pratique que Dieu t’a enseignée n’est-elle pas facile et simple ? (Si.) Si tu pratiques conformément aux paroles de Dieu, tu ne te livreras pas à des activités inutiles, et tu laisseras à tes enfants un certain degré de liberté et la possibilité de se développer, sans leur causer de problème ou de souci supplémentaires, ni leur imposer de fardeau supplémentaire. Et, comme ils sont adultes, en procédant ainsi, tu leur permettras d’affronter le monde, leur vie et les divers problèmes qu’ils rencontrent dans leur quotidien et dans leur existence, du point de vue d’un adulte, avec les méthodes autonomes d’un adulte pour faire face aux choses et considérer les choses, et avec la vision du monde autonome d’un adulte. Voilà les libertés et les droits de tes enfants, et à plus forte raison, ce sont les choses qu’ils devraient faire en tant qu’adultes, et ces choses ne te concernent pas. Si tu veux sans cesse te mêler de ces choses, alors c’est assez écœurant. Si tu veux sans cesse participer à ces choses délibérément, et t’en mêler, alors tu auras provoqué perturbation et destruction, et en fin de compte, non seulement les choses prendront une tournure inverse à ce que tu souhaitais, mais en plus, tu amèneras tes enfants à ressentir une aversion vis-à-vis de toi et ta vie deviendra également assez fatigante. En fin de compte, tu seras plein de rancœur et tu te plaindras que tes enfants ne font pas preuve d’amour filial, qu’ils ne sont pas obéissants, ou prévenants à ton égard. Tu te plaindras qu’ils sont ingrats, peu reconnaissants et insensibles. Il y a aussi des parents grossiers et irrationnels qui se mettent à pleurer, qui font un drame ou menacent de se tuer, et qui se servent de toutes les ruses possibles. C’est encore plus dégoûtant, n’est-ce pas ? (En effet.) Si tu es sage, tu laisseras les choses suivre leur cours naturel, en menant ta vie de façon détendue, et tu assumeras juste tes responsabilités parentales. Si tu dis que tu veux prendre soin de tes enfants et te soucier d’eux par affection, alors te soucier d’eux dans la mesure de ce qui est nécessaire est admissible. Je ne dis pas que les parents devraient simplement rompre tout lien avec leurs enfants dès que ces enfants deviennent des adultes et que leurs parents ont assumé leurs responsabilités. Les parents ne devraient pas complètement négliger leurs enfants adultes, ils ne devraient pas leur dire de se débrouiller seuls, ni les ignorer quelles que soient les difficultés qu’ils rencontrent, même quand ces difficultés poussent leurs enfants au seuil de la mort, ni refuser de tendre la main à leurs enfants quand ces derniers ont besoin de leurs parents. Ça aussi, c’est mal, et c’est extrême. Quand tes enfants ont besoin de se confier à toi, tu dois leur prêter une oreille attentive, et après les avoir écoutés, tu dois leur demander ce qu’ils en pensent et ce qu’ils ont l’intention de faire. Tu peux aussi faire des suggestions. Si tes enfants ont leur propre réflexion et leurs propres projets, et qu’ils n’acceptent pas tes suggestions, dis simplement : « D’accord. Puisque tu es déjà décidé, quelles qu’en soient les conséquences à l’avenir, ce sera à toi seul de les supporter. C’est ta vie. Tu dois suivre et terminer ton propre chemin de vie. Personne d’autre ne peut prendre la responsabilité de ta vie. Si tu t’es décidé, alors je te soutiendrai. Si tu as besoin d’argent, je peux t’en donner un peu. Si tu as besoin que je t’aide, je peux t’aider dans la mesure de mes capacités. Tu es mon enfant, après tout, il n’y a donc rien d’autre à ajouter. Mais si tu dis que tu n’as pas besoin de mon aide ou de mon argent, et que tu as juste besoin que je t’écoute, alors c’est encore plus facile. » Tu auras alors dit ce que tu devais dire, et ils auront dit ce qu’ils avaient à dire. Toutes leurs doléances se seront déversées et toute leur colère aura été évacuée. Ils essuieront leurs larmes, ils iront faire ce qu’ils ont à faire, et tu auras assumé tes responsabilités en tant que parent. Voilà qui est fait par affection, c’est ce que l’on appelle l’affection. Et pour quelle raison ? Parce qu’en tant que parent, tu n’as pas d’intentions malveillantes envers tes enfants. Tu ne leur nuiras pas, tu ne comploteras pas contre eux ou tu ne les ridiculiseras pas, et tu ne te moqueras certainement pas d’eux parce qu’ils sont faibles et incompétents. Tes enfants peuvent pleurer, vider leur sac et se plaindre devant toi sans retenue, comme s’ils étaient de jeunes enfants. Ils peuvent se montrer trop gâtés, boudeurs ou capricieux. Cependant, quand ils ont fini d’évacuer leurs émotions, de bouder et d’être capricieux, ils doivent faire ce qu’ils sont censés faire, et affronter tout ce qui se trouve devant eux. S’ils peuvent y arriver sans que tu fasses quoi que ce soit pour eux, ou sans que tu leur apportes la moindre aide, c’est plutôt bien, tu auras alors davantage de temps libre, n’est-ce pas ? Et comme tes enfants ont dit ces choses, tu devrais avoir une certaine conscience de toi. Tes enfants ont grandi, ils sont indépendants. Ils voulaient simplement te parler de cette question, ils ne t’ont pas demandé ton aide. Si tu n’as aucun bon sens, tu pourrais penser : « Voilà une question significative. Que tu m’en parles montre que tu me respectes, alors ne devrais-je pas te donner des conseils à ce sujet ? Ne devrais-je pas t’aider à prendre une décision ? » C’est ce que l’on appelle surestimer ses propres capacités. Tes enfants te parlaient simplement de cette question, mais tu te considères en fait comme un personnage important. Ce n’est pas approprié. Tes enfants t’ont parlé de cette question parce que tu es leur parent, et qu’ils te respectent et te font confiance. En réalité, ils ont leurs propres idées depuis longtemps, mais à présent, tu veux sans cesse intervenir. Ce n’est pas approprié. Tes enfants te font confiance et tu dois te montrer digne de cette confiance. Tu dois respecter leur décision et ne pas t’impliquer dans ce problème ni t’en mêler. S’ils veulent que tu t’en mêles, tu peux le faire. Et à supposer que, lorsque tu t’en mêles effectivement, tu te dises : « Oh, c’est beaucoup trop pénible ! Cela va affecter l’accomplissement de mon devoir. Je ne peux vraiment pas m’en mêler. En tant que croyant en Dieu, je ne peux pas faire ça. » Alors, tu dois te dépêcher de te désengager de cette question. Disons que tes enfants veuillent, malgré tout, que tu interviennes, et que tu te dises : « Je ne vais pas intervenir. Tu devrais gérer cette situation toi-même. Il était déjà bien bon de ma part de t’écouter évacuer ces griefs et toutes ces bêtises. J’ai déjà assumé mes responsabilités parentales. Je ne peux absolument pas intervenir dans ce problème. C’est un lit de charbons ardents, je ne vais pas marcher dessus. Si tu le veux, vas-y toi-même. » N’est-ce pas approprié ? C’est ce que l’on appelle prendre position. Tu ne dois jamais abandonner les principes ni ta position. Voilà ce que les parents devraient faire. As-tu compris cela ? Est-il facile d’accomplir ces choses ? (Oui.) En fait, il est aisé de les accomplir, mais si tu agis sans cesse en fonction de tes sentiments et si tu es sans cesse prisonnier de tes sentiments, il te sera très difficile d’accomplir ces choses. Tu auras l’impression qu’il est vraiment déchirant de le faire, que tu es incapable d’abandonner cette question et que tu ne peux pas non plus y faire face, ou que tu ne peux ni avancer ni reculer. Quel mot peut être employé pour décrire cela ? Le mot « coincé ». Tu seras coincé dans cette situation. Tu souhaiteras écouter les paroles de Dieu et pratiquer la vérité, mais tu ne pourras pas abandonner tes sentiments. Tu aimeras profondément tes enfants, mais tu penseras qu’il n’est pas approprié d’agir ainsi, que cela s’oppose aux enseignements de Dieu et à Ses paroles, tu seras en difficulté. Tu dois faire un choix. Tu peux soit abandonner tes attentes vis-à-vis de ta descendance, ne plus essayer de gérer tes enfants, les laisser plutôt voler de leurs propres ailes, parce qu’il s’agit d’adultes indépendants, soit tu peux les suivre. Tu dois choisir l’une de ces deux possibilités. Si tu choisis de suivre la voie de Dieu et d’écouter Ses paroles, et si tu abandonnes tes préoccupations et tes sentiments concernant tes enfants, alors tu dois faire ce qu’un parent est censé faire, t’en tenir fermement à tes positions et à tes principes, et t’abstenir de faire des choses que Dieu trouve détestables et dégoûtantes. Peux-tu faire cela ? (Oui.) En réalité, il est aisé de faire ces choses. Dès que tu abandonnes le peu d’affection que tu nourris, tu peux accomplir ces choses. La méthode la plus simple consiste à ne pas te mêler de la vie de tes enfants et à te contenter de les laisser faire ce qu’ils veulent. S’ils veulent te parler de leurs difficultés, écoute-les. Il te suffit de savoir simplement qu’il en est ainsi. Quand ils ont fini de parler, dis-leur : « Je comprends. Y a-t-il quoi que ce soit d’autre que tu veuilles me dire ? Si tu veux manger, je peux te préparer quelque chose. Sinon, tu peux rentrer chez toi. Si tu as besoin d’argent, je peux t’en donner un peu. Si tu as besoin d’aide, je ferai ce que je peux. Si je ne peux pas t’aider, tu devras trouver une solution toi-même. » Si tes enfants insistent pour que tu les aides, tu peux leur dire : « Nous avons déjà assumé nos responsabilités vis-à-vis de toi. Nous n’avons que ces capacités, tu le vois bien. Nous ne sommes pas aussi qualifiés que toi. Si tu veux rechercher le succès dans le monde, c’est ton affaire, n’essaie pas de nous mêler à ça. Nous sommes déjà assez âgés, et ce n’est plus le moment pour nous. Notre responsabilité parentale se limitait à t’élever jusqu’à l’âge adulte. Quant au type de chemin que tu prends et à la façon dont tu te tourmentes, laisse-nous en dehors de ces questions. Nous n’allons pas nous tourmenter avec toi. Nous avons déjà accompli notre mission en ce qui te concerne. Nous avons nos propres problèmes, notre propre mode de vie et notre propre mission. Nos missions ne consistent pas à faire des choses pour toi et nous n’avons pas besoin de ton aide pour les accomplir. Nous accomplirons nos missions nous-mêmes. Ne nous demande pas de nous mêler de ta vie quotidienne ou de ton existence. Cela ne nous concerne pas. » Exprime-toi clairement, et le sujet sera clos. Tu pourras ensuite contacter tes enfants, communiquer avec eux et prendre de leurs nouvelles selon les besoins. C’est aussi simple que ça ! Quels sont les avantages, quand on agit ainsi ? (Cela rend la vie très facile.) À tout le moins, tu auras fait face au problème de l’amour charnel et familial de façon appropriée et correcte. Ton monde mental et spirituel sera serein, tu ne feras aucun sacrifice inutile et tu ne paieras pas de prix supplémentaire. Tu te soumettras au milieu des orchestrations et des arrangements de Dieu, et tu Le laisseras gérer toutes ces choses. Tu assumeras chacune des responsabilités que les gens doivent assumer et tu ne feras aucune des choses que les gens ne doivent pas faire. Tu ne tendras pas la main pour te mêler de choses que les gens ne doivent pas faire et tu vivras comme Dieu te dis de le faire. Dieu dit aux gens de vivre d’une manière qui constitue le meilleur chemin, et qui peut leur permettre de mener une vie vraiment détendue, heureuse, joyeuse et paisible. Mais surtout, non seulement vivre ainsi te laissera davantage de temps libre et d’énergie pour bien faire ton devoir et pour faire preuve de dévotion vis-à-vis de ton devoir, mais tu auras aussi plus d’énergie et de temps pour faire des efforts en ce qui concerne la vérité. En revanche, si ton énergie et ton temps sont empêtrés dans tes sentiments, ta chair, tes enfants et ton amour pour ta famille, et monopolisés par eux, alors tu n’auras aucune énergie supplémentaire pour poursuivre la vérité. N’est-ce pas vrai ? (Si.)

Quand les gens s’engagent dans une carrière dans le monde, ils ne pensent qu’à poursuivre des choses telles que les tendances mondaines, le prestige, le profit et le plaisir charnel. Qu’est-ce que cela implique ? Cela signifie que ton énergie, ton temps et ta jeunesse sont tous monopolisés et dévorés par ces choses. Ces choses sont-elles significatives ? Que gagneras-tu, grâce à elles, en fin de compte ? Même si tu gagnes prestige et profit, cela restera creux. Et si tu changes ton mode de vie ? Si tu consacres exclusivement ton temps, ton énergie et ton esprit à la vérité et aux principes, et si tu ne penses qu’à des choses positives, comme bien faire ton devoir et comment venir devant Dieu, et si tu dépenses ton énergie et ton temps à ces choses positives, alors ce que tu obtiendras sera différent. Tu obtiendras les avantages les plus substantiels qui soient. Tu sauras comment vivre, comment te comporter, comment faire face à n’importe quel type de personne, d’événement et de chose. Une fois que tu sauras comment faire face à n’importe quel type de personne, d’événement et de chose, cela te permettra, dans une large mesure, de te soumettre naturellement aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. Quand tu pourras naturellement te soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, alors, sans même t’en rendre compte, tu deviendras le genre de personne que Dieu accepte et aime. Réfléchis-y, n’est-ce pas une bonne chose ? Peut-être que tu ne le sais pas encore, mais en menant ta vie, et en acceptant les paroles de Dieu et les vérités-principes, tu en viendras insensiblement à vivre, à voir les gens et les choses, et te comporter et agir selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Cela signifie que tu te soumettras inconsciemment aux paroles de Dieu et que tu te soumettras à Ses exigences et y répondras. Tu seras alors déjà devenu le genre de personne que Dieu accepte, auquel Dieu fait confiance et qu’Il aime, sans même que tu le saches. N’est-ce pas formidable ? (Si.) Par conséquent, si tu dépenses ton énergie et ton temps à poursuivre la vérité et à bien faire ton devoir, tu obtiendras en fin de compte les choses les plus précieuses qui soient. À l’inverse, si tu vis sans cesse pour tes sentiments, pour la chair, pour tes enfants, pour ton travail, pour le prestige et le profit, si tu es sans cesse empêtré dans ces choses, qu’obtiendras-tu, en fin de compte ? Juste du vide. Tu n’obtiendras rien du tout, tu t’éloigneras de plus en plus de Dieu et finalement, tu seras complètement détesté et abandonné par Dieu. Ta vie sera alors terminée et tu auras perdu ta chance de salut. Par conséquent, les parents devraient abandonner toutes leurs préoccupations, leurs attachements et leurs imbroglios émotionnels concernant leurs enfants adultes, quelles que soient les attentes qu’ils ont à leur égard. Ils ne devraient pas avoir d’attentes vis-à-vis de leurs enfants sur le plan émotionnel du fait du statut ou de la position de parent. Si tu es capable d’accomplir ces choses, c’est merveilleux ! À tout le moins, tu auras assumé tes responsabilités parentales et tu seras une personne convenable aux yeux de Dieu, une personne qui se trouve être un parent. Quel que soit le point de vue humain duquel tu considères tout cela, il y a des principes qui régissent ce que les gens devraient faire, ainsi que le point de vue et la position qu’ils devraient adopter, et Dieu a des normes concernant ces choses, n’est-ce pas exact ? (Si.) Concluons ici notre échange sur les attentes que les parents ont vis-à-vis de leur descendance et les principes qu’ils devraient pratiquer quand leurs enfants atteignent l’âge adulte. Au revoir !

Le 21 mai 2023

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