On ne peut s’engager sur le bon chemin de la croyance en Dieu que si l’on résout ses notions (3)

Aujourd’hui, nous poursuivons notre échange sur le problème des notions. Nous avons déjà échangé sur ce problème à deux reprises et aujourd’hui, pour conclure, nous allons échanger une nouvelle fois sur cette question. En ce qui concerne ce sur quoi nous avons échangé précédemment, vous devriez en parler entre vous par la suite, puis réfléchir à ces choses, et en faire l’expérience, petit à petit. Ces sujets ne peuvent pas être pleinement saisis en un jour ou deux. On ne peut parvenir à les comprendre que peu à peu, en en faisant l’expérience et en s’en faisant une idée dans la vie. Ce que vous pouvez engendrer maintenant en vous fondant sur votre seule mémoire n’est qu’un apprentissage par cœur. Manger et boire les paroles de Dieu nécessite de faire des expériences. Ce n’est qu’après avoir fait des expériences dans la vie réelle pendant un certain temps que l’on peut avoir une compréhension et une appréciation authentiques. Les notions des gens portent principalement sur Dieu et sur Son œuvre. Ce sont ces deux types de notions qui affectent le plus la poursuite des gens, la façon dont ils considèrent les questions, leur compréhension de Dieu et leur attitude envers Lui, et encore davantage le chemin qu’ils suivent dans leur croyance en Dieu, ainsi que la direction et les objectifs qu’ils choisissent pour leur vie. Étant donné nos deux précédents échanges, pouvez-vous maintenant définir ce que l’on entend exactement par notions ? Ce que les gens imaginent sur la croyance en Dieu constitue un type de notion. Cela se manifeste principalement par le biais de certains comportements superficiels dans le discours et la conduite des gens, ainsi que par des détails de leur vie quotidienne, comme la nourriture, l’habillement, le logement ou les transports. C’est là le niveau le plus élémentaire. Si l’on va plus loin, il y a certains produits de l’imagination qui se rapportent à la poursuite des gens dans leur croyance en Dieu et, ce faisant, au chemin qu’ils suivent, et il y a aussi certaines exigences, certains produits de l’imagination et certaines incompréhensions des gens qui concernent l’œuvre de Dieu. Qu’englobent ces incompréhensions ? Pourquoi les appelle-t-on des incompréhensions ? Quand nous parlons d’incompréhension, il ne s’agit assurément pas d’une pensée correcte. Au contraire, c’est quelque chose qui ne coïncide pas avec les faits, qui est en contradiction avec la vérité, qui est incompatible avec l’œuvre de Dieu et Son tempérament, et qui s’y oppose, ou quelque chose relevant de la volonté humaine qui résulte des notions, de l’imagination et des connaissances des gens, et qui n’a absolument rien à voir avec Dieu Lui-même ou Son œuvre. Quand ce genre de notions, de produits de l’imagination, d’incompréhensions et d’exigences émergent, cela signifie que les notions des gens sur Dieu et sur Son œuvre ont atteint leur apogée. Que devient la relation entre les gens et Dieu, à ce moment-là ? (Une barrière se dresse entre eux.) Une barrière se dresse entre les gens et Dieu. Ce problème est-il grave ? (Oui.) Quand une telle barrière se dresse entre les gens et Dieu, cela signifie que les notions et l’imagination des gens sont très graves. Quand une barrière se dresse entre les gens et Dieu, cela signifie que les gens sont insatisfaits de certaines des choses que Dieu a faites, qu’ils ne veulent plus se confier à Dieu, traiter Dieu comme Dieu, ou se soumettre à Lui. Ils se mettent à douter de la justice et du tempérament de Dieu. Quelles manifestations s’ensuivent immédiatement ? (La résistance.) Si les gens ne cherchent pas la vérité, non seulement cette incompréhension érige une barrière dans leur cœur, mais elle conduit aussi immédiatement à la résistance : résistance à la vérité, aux paroles de Dieu et à Sa souveraineté. Les gens se mettent à être insatisfaits de ce que Dieu a fait, et ils disent : « Ce que Tu fais ne convient pas. Je ne l’approuve pas et je ne suis pas d’accord avec cela ! » Le message implicite est : « Je ne peux pas me soumettre, tel est mon choix. Je veux exprimer un avis divergent, je veux exprimer une opinion qui est différente des paroles de Dieu, de la vérité et des exigences de Dieu. » De quel genre de comportement s’agit-il ? (Ces gens vocifèrent.) Après la résistance, apparaissent les vociférations et l’opposition. Il s’agit là d’une escalade. Quand le tempérament corrompu des gens prend le contrôle, une seule notion peut ériger une barrière et créer des incompréhensions entre eux et Dieu. Si ce n’est pas résolu rapidement en cherchant la vérité, la barrière prend de l’importance, elle devient un mur épais. Tu ne vois plus Dieu ou Sa véritable existence, et encore moins Son essence divine. Tu te mets à avoir des doutes quant au fait que le Dieu incarné est vraiment Dieu, tu perds tout intérêt pour le fait de manger et boire la parole de Dieu, et tu ne veux plus prier Dieu. Ainsi, ta relation avec Dieu devient de plus en plus distante. Pourquoi les gens affichent-ils de tels comportements ? Parce qu’ils pensent que ce que Dieu a fait a blessé leur cœur, froissé leur dignité et humilié leur identité individuelle. Est-ce vraiment le cas ? (Non.) Que se passe-t-il réellement, alors ? (Ce qui se passe, c’est que les désirs des gens n’ont pas été satisfaits et que la situation à laquelle ils ont été confrontés a touché à leurs propres intérêts.) C’est parce que les gens ont un tempérament corrompu. Quand leurs désirs extravagants ne sont pas exaucés instantanément, ils se mettent à résister à Dieu et à être extrêmement mécontents du fait qu’Il ait œuvré d’une façon qui n’est pas conforme aux notions humaines. Ils n’admettent pas, et n’acceptent pas non plus, que ce que Dieu fait est la vérité, qu’il s’agit de l’amour de Dieu, et que c’est dans le but de sauver les gens. Ils conçoivent des notions et des incompréhensions au sujet de ce que Dieu a fait, ce qui signifie que leur tempérament corrompu a pris le contrôle. Une fois que ces barrières sont érigées, quand les gens vivent selon des notions, quelles manifestations de toutes sortes de tempéraments corrompus révèlent-ils ? Ils ne cherchent pas, n’attendent pas ou ne se soumettent pas, et encore moins craignent-ils Dieu ou se repentent-ils. Ils commencent par scruter et juger, puis ils condamnent et finalement, vient la résistance. Ces comportements ne sont-ils pas exactement l’inverse de manifestations positives telles que la recherche, l’attente, la soumission, l’acceptation ou le repentir ? (Si.) Alors, ces comportements sont tous des comportements contraires. Ils constituent la révélation d’un tempérament corrompu. C’est le tempérament corrompu de ces gens qui contrôle leurs actes et leurs pensées, ainsi que leur attitude, leurs intentions et leurs opinions pour ce qui est de juger les gens, les événements et les choses. Quand les gens entreprennent de scruter, d’analyser, de juger, de condamner, et qu’ils se mettent à résister, quelle est leur démarche suivante ? (L’opposition.) Puis vient l’opposition. Quelles sont certaines des manifestations de l’opposition ? (Être négatif, renoncer à ses devoirs.) Être négatif en est une manifestation. Ces gens se relâchent dans le travail d’une façon négative et ils renoncent à leurs devoirs. Quoi d’autre ? (Répandre des notions.) (Porter des jugements.) Porter des jugements, répandre des notions, ces deux aspects sont tous deux des manifestations d’un comportement qui consiste à adresser des réclamations à Dieu et à s’opposer à Lui. Quoi d’autre ? (Ils peuvent trahir Dieu et trahir le vrai chemin.) C’est le plus grave de tout. Quand quelqu’un atteint ce stade, sa nature démoniaque apparaît complètement, reniant et trahissant totalement Dieu et, à tout moment, ces gens peuvent se détourner de Dieu.

Comme nous venons de le voir à l’instant, quelles étaient les différentes manifestations des comportements qui consistent à adresser des réclamations à Dieu et à s’opposer à Lui ? (Le fait de se relâcher dans le travail de façon négative, de renoncer à ses devoirs.) (Le fait de juger Dieu.) Le fait de juger Dieu et Son œuvre. (Puis vient le fait de répandre des notions, et finalement, le fait de trahir Dieu.) Entrons dans les détails. Le fait de répandre des notions implique-t-il des récriminations ? (Oui.) Parfois, le fait de répandre des notions se mélange au fait de se plaindre, en disant des choses comme : « Ce que Dieu fait n’est pas juste », « Je crois en Dieu, pas aux gens » et « Je crois que Dieu est juste ». Ces paroles sous-entendent une récrimination. Se relâcher de façon négative, répandre des notions et juger Dieu : tout cela constitue des comportements qui sont assez graves, mais le plus grave est la trahison. Ces quatre comportements sont assez évidents, assez graves, et ils relèvent d’une nature qui résiste directement à Dieu. À quelles manifestations spécifiques, dans le cadre de ces comportements, pouvez-vous penser ? Lesquelles avez-vous vues ou avez-vous même présentées vous-mêmes ? (Il y a également l’incitation. Pour évacuer leur insatisfaction au sujet de Dieu, certains incitent encore plus de gens à s’opposer à Lui.) C’est là une manifestation du fait de répandre des notions. Y en a-t-il qui, en apparence, sont soumis, mais qui, durant les prières, disent : « Que Dieu le révèle. Ce que je fais est bien, tout sera révélé avec le temps. Je sais que Dieu est juste » ? Ces paroles peuvent sembler correctes, voire justifiées avec assurance, mais elles cachent de l’insubordination et de l’insatisfaction à l’égard de Dieu. Il s’agit d’opposition mentale, d’un relâchement négatif et d’une opposition négative. Y a-t-il d’autres aspects ? (Dans le cas du relâchement négatif, il y a aussi le fait que les gens s’abandonnent au désespoir et lèvent les bras au ciel de frustration, en croyant que c’est simplement ainsi qu’ils sont faits, que c’est simplement leur nature. Ils pensent que personne ne peut les sauver et se disent donc que si Dieu veut les détruire, il en sera ainsi.) Il s’agit là d’une forme d’opposition silencieuse. Leur état est en fait négatif. Ils pensent que les actes de Dieu sont incompréhensibles et que les gens ne peuvent pas vraiment les saisir. Et donc, ils pensent que quoi que Dieu veuille faire, Il n’a qu’à le faire. En apparence, ils semblent soumis aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, mais en réalité, au fond de leur cœur, ils résistent complètement aux arrangements de Dieu, et ils sont particulièrement insatisfaits et désobéissants. Ils ont déjà reconnu que c’était le fait de Dieu, et ils n’ont pas d’autres exigences. Alors pourquoi dire qu’il s’agit là d’un sentiment d’opposition ? Pourquoi caractériser les choses de cette façon ? En fait, dans leur conscience, ils ne veulent pas non plus condamner cette question, ils ne veulent pas procéder à une détermination en disant : « Ce que Dieu a fait est mal. Je ne l’accepte pas. Je peux me soumettre à d’autres choses que Dieu a faites, mais pas à ça. Quoi qu’il arrive, je vais me relâcher dans mon travail de façon négative pour cette raison. » Dans leur inconscient, leur état n’est pas ainsi, ils n’ont pas cette conscience. Dans leur cœur, ils sont simplement quelque peu réfractaires, insatisfaits ou indignés. Certaines personnes pourraient même condamner les actes de Dieu comme étant mauvais, mais dans les profondeurs de leur cœur, pour ce qui est de leurs désirs subjectifs, ces personnes ne veulent pas réellement condamner Dieu dans leur conscience, puisque, après tout, ce en quoi elles croient, c’est Dieu. Alors, pourquoi dire qu’il s’agit d’un comportement d’opposition, de relâchement négatif et que cela comporte des éléments de négativité ? La négativité elle-même est une forme de résistance et d’opposition, et elle se manifeste de plusieurs façons. D’abord, quand les gens se mettent à être dans des états qui consistent à renoncer par désespoir et à se relâcher de façon négative, peuvent-ils être conscients, dans leur cœur, que ces états sont erronés ? (Oui.) Tout le monde peut en avoir conscience, sauf ceux qui ne croient que depuis deux ou trois ans seulement et qui entendent rarement des sermons. Eux ne comprennent pas ces questions. Mais du moment que les gens croient en Dieu depuis au moins trois ans, qu’ils entendent fréquemment des sermons et qu’ils comprennent la vérité, ils peuvent en avoir conscience. Quand les gens se rendent compte que de tels états sont erronés, que doivent-ils faire pour éviter d’être en opposition ? D’abord, ils doivent chercher. Chercher quoi ? Chercher pourquoi Dieu a orchestré les choses ainsi, pourquoi ils se sont retrouvés dans de telles situations, quelles sont les intentions de Dieu, et ce qu’ils doivent faire. Tout cela est positif, il s’agit des manifestations que les gens devraient présenter. Quoi d’autre ? (Ils doivent accepter, se soumettre, et abandonner leurs propres idées.) Est-il facile d’abandonner ses propres idées ? (Non.) Si tu penses que tu as raison, tu ne pourras pas les abandonner. Pour atteindre le stade de l’abandon, il y a des étapes à franchir. Alors, quelles pratiques sont les plus appropriées et les plus adaptées pour cela ? (La prière.) Si ta prière ne consiste qu’en quelques phrases creuses et que tu te contentes de faire les choses machinalement, le problème ne sera pas résolu. Tu pries : « Oh Dieu, je souhaite me soumettre. S’il Te plaît, arrange et orchestre ma situation de telle sorte que je puisse me soumettre. Si je ne peux toujours pas me soumettre, alors corrige-moi. » Prononcer quelques phrases vides comme celles-ci fait-il changer ton état erroné ? Cela ne le change pas du tout. Tu as besoin d’une méthode de pratique pour faire demi-tour. Alors, comment peux-tu pratiquer pour inverser la situation ? (Il faut activement rechercher les intentions de Dieu, admettre intérieurement que Dieu a raison et qu’on a tort, et être capable de se nier soi-même.) Voilà deux méthodes de pratique : rechercher activement les intentions de Dieu et admettre intérieurement que Dieu a raison et que l’on a tort. Ces deux méthodes sont plutôt bonnes, elles disent toutes deux des choses justes, mais l’une des deux est plus concrète. Laquelle est concrète ? Laquelle ne constitue qu’un discours creux ? (Rechercher activement les intentions de Dieu est concret.) Souvent, Dieu ne t’indiquera pas directement Ses intentions. De plus, Il ne fera pas briller subitement sur toi la lumière de la compréhension. Il ne t’amènera pas non plus à manger et boire précisément les paroles pertinentes de Dieu que tu dois comprendre. Ces méthodes sont toutes trop irréalistes pour les gens. Alors, cette approche qui consiste à rechercher activement les intentions de Dieu peut-elle s’avérer efficace pour vous ? La meilleure des méthodes est une méthode efficace. C’est la méthode la plus réaliste et la plus concrète. Une méthode inefficace, même si elle semble formidable, est théorique et reste cantonnée au niveau des mots, elle ne donne pas de résultats. Alors, laquelle de ces méthodes est concrète ? (La deuxième, qui consiste à admettre que Dieu est la vérité et que l’on a soi-même tort.) En effet, celle qui consiste à admettre ses erreurs. C’est là faire preuve de raison. Certaines personnes affirment ne pas se rendre compte qu’elles ont tort. Dans ce cas, tu dois te montrer raisonnable et être capable de t’abandonner et de te nier toi-même. Certaines personnes disent : « Autrefois, je croyais avoir raison, et je le pense encore. De plus, bon nombre de gens m’approuvent et sont d’accord avec moi, et je n’éprouve aucun reproche dans mon cœur. En outre, mon intention est juste, alors comment pourrais-je avoir tort ? » Plusieurs choses t’empêchent de t’abandonner et de te nier toi-même. Que devrais-tu faire dans ce cas ? Quelles que soient les raisons pour lesquelles tu penses avoir raison, si « avoir raison » de cette manière c’est s’opposer à Dieu et aller à l’encontre de la vérité, alors tu as simplement tort. Même si tu as une attitude soumise, et quelle que soit la façon dont tu pries Dieu dans ton cœur, ou même si tu admets verbalement que tu as tort, mais qu’au fond de toi tu luttes toujours contre Dieu et tu vis dans un état de négativité, l’essence de tout cela, c’est encore de l’opposition à Dieu. Cela prouve que tu ne t’es pas encore rendu compte que tu avais tort. Tu n’acceptes pas le fait que tu as tort. Quand les gens nourrissent des incompréhensions et des notions au sujet de Dieu, ils doivent d’abord reconnaître que Dieu est la vérité et que les gens n’ont pas la vérité, et que c’est assurément eux qui ont tort. S’agit-il d’une sorte de formalité ? (Non.) Si tu adoptes cette pratique uniquement comme une formalité, de manière superficielle, alors pourras-tu parvenir à connaître tes propres erreurs ? Jamais. Parvenir à se connaître soi-même nécessite de franchir plusieurs étapes. D’abord, tu dois déterminer si tes actes sont conformes à la vérité et aux principes. Au début, n’examine pas tes intentions. Parfois, tes intentions sont correctes, mais les principes que tu mets en pratique sont erronés. Ce genre de situation est-il fréquent ? (Oui.) Pourquoi dis-Je que tes principes de pratique sont erronés ? Tu as beau avoir cherché, peut-être que tu n’as absolument aucune compréhension de ce que sont les principes. Peut-être que tu n’as pas cherché du tout, et que tu as fondé tes actes uniquement sur tes bonnes intentions et ton enthousiasme, et sur ton imagination et ton expérience et que, de ce fait, tu as commis une erreur. Peux-tu l’envisager ? Tu ne peux pas le prévoir et tu as commis une erreur, et n’as-tu pas alors été révélé ? Si tu continues à lutter contre Dieu après avoir été révélé, où réside l’erreur dans tout cela ? (Elle réside dans le fait de ne pas reconnaître que Dieu a raison et de ne pas insister sur le fait que j’ai raison.) C’est ainsi que tu t’es trompé. Ta plus grande erreur n’est pas d’avoir fait quelque chose d’erroné et violé les principes, provoquant ainsi une perte ou d’autres conséquences, mais plutôt, ayant fait quelque chose d’erroné, d’avoir persisté malgré tout dans ton propre raisonnement, en étant incapable d’admettre ton erreur. Tu t’opposes encore à Dieu en te fondant sur tes notions et ton imagination, en niant Son œuvre et les vérités qu’Il a exprimées. Voilà ton erreur la plus grande et la plus grave. Pourquoi dit-on qu’un tel état, chez une personne, est un état d’opposition à Dieu ? (Parce que cette personne ne reconnaît pas que ce qu’elle fait est erroné.) Que les gens reconnaissent ou non que tout ce que Dieu fait, et Sa souveraineté, sont justes, qu’ils reconnaissent ou non ce qu’est la signification de tout cela, s’ils ne peuvent pas d’abord reconnaître qu’eux-mêmes ont tort, alors leur état est un état d’opposition à Dieu. Que peut-on faire pour corriger cet état ? D’abord, on doit se nier soi-même. Ce que nous venons de dire sur la nécessité de commencer par chercher les intentions de Dieu n’est pas très concret pour les gens. Certains disent : « Si ce n’est pas très concret, alors cela signifie-t-il qu’il n’est pas nécessaire de chercher ? Certaines choses qui peuvent être cherchées et comprises n’ont pas besoin d’être cherchées. Je peux simplement sauter cette étape. » Est-ce acceptable ? (Non.) Celui qui agit ainsi n’est-il pas au-delà du salut ? De telles personnes ont une compréhension déformée. Chercher les intentions de Dieu est quelque chose d’un peu éloigné, qui ne peut être accompli immédiatement. Pour prendre un raccourci, il est plus réaliste que les gens commencent par s’abandonner eux-mêmes, en sachant que leurs actes sont erronés et qu’ils ne sont pas conformes à la vérité, puis que ces gens cherchent les vérités-principes. Voilà les étapes. Elles peuvent sembler simples, mais les mettre en pratique présente de nombreuses difficultés, car les êtres humains ont des tempéraments corrompus et toutes sortes de produits de l’imagination, toutes sortes d’exigences, et ils ont aussi des désirs, qui tous empêchent les gens de se nier et de s’abandonner eux-mêmes. Ces choses ne sont pas faciles à faire. Nous n’allons pas approfondir ce sujet davantage. Continuons à discuter du problème des notions, que nous avons abordé dans nos deux derniers échanges.

À l’instant, notre échange a porté principalement sur la façon dont les notions pouvaient mener à des incompréhensions au sujet de Dieu, celles-ci érigeant ensuite une barrière entre les gens et Dieu, ainsi que sur la façon dont cette barrière amenait les gens à résister à Dieu. Quelle est la nature de cette résistance ? (Il s’agit d’opposition.) C’est de l’opposition, de la rébellion. Par conséquent, quand les gens se mettent à s’opposer à Dieu et à Lui adresser des réclamations, ce n’est pas quelque chose qui survient du jour au lendemain. Tout cela a une origine. Il en va de même quand une personne découvre soudain qu’elle est malade et que sa maladie est très grave. Elle se demande comment son état a empiré aussi rapidement. En réalité, cette maladie était présente dans son organisme depuis longtemps, elle avait déjà pris racine. La personne ne l’a pas contractée le jour où la maladie est devenue apparente. En fait, c’est simplement ce jour-là que la personne s’en est aperçue. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? La capacité à se rebeller contre Dieu, à s’opposer à Lui, à Lui adresser des réclamations est-elle quelque chose que tous les individus peuvent prévoir quand ils commencent à croire en Dieu ? Absolument pas. Est-ce là l’intention initiale dans la croyance en Dieu de chaque personne qui finit par adresser des réclamations à Dieu et à s’opposer à Lui ? Quelqu’un a-t-il jamais dit : « Je ne crois pas en Dieu pour obtenir des bénédictions. Je veux juste Lui adresser des réclamations et être dans l’opposition après L’avoir vu, pour ensuite devenir célèbre et me faire un nom, et pour que ma vie en ait valu la peine » ? Quelqu’un a-t-il jamais eu de tels projets ? (Non.) Personne n’a jamais planifié les choses de cette façon, pas même l’individu le plus imprudent, stupide ou malfaisant. Les gens veulent tous croire en Dieu sincèrement, être bons, écouter les paroles de Dieu et faire tout ce que Dieu leur demande. Même s’ils n’arrivent pas à atteindre une soumission absolue à Dieu, ils peuvent au moins répondre aux exigences minimales de Dieu et satisfaire Dieu au mieux de leurs capacités. Quel souhait positif ! Comment ont-ils fini par adresser des réclamations à Dieu et s’opposer à Lui ? Les gens eux-mêmes y sont peu disposés, et ils ne savent pas comment cela s’est produit. Quand il s’agit d’adresser des réclamations à Dieu et de s’opposer à Lui, ils se sentent mal et contrariés intérieurement, ils pensent : « Comment les gens peuvent-ils faire cela ? Même si les autres agissent ainsi, je n’aurais pas dû le faire ! » C’est exactement comme ce que disait Pierre : « Quand Tu serais pour tous une occasion de chute, Tu ne le seras jamais pour moi » (Matthieu 26:33). Les paroles que Pierre a prononcées venaient de son cœur, mais son comportement n’était pas à la hauteur de ses vœux et de ses aspirations. La faiblesse humaine est quelque chose que les gens eux-mêmes ne peuvent pas prévoir. Quand ils se retrouvent dans certaines situations, leur corruption se trouve exposée. La nature-essence et le tempérament corrompu des gens peuvent contrôler et dicter leurs pensées et leur comportement. Avec un tempérament corrompu, diverses notions peuvent émerger, ainsi que différents désirs et différentes exigences, ce qui mène à toutes sortes de comportements rebelles. Cela affecte directement la relation des gens avec Dieu et influence directement leur entrée dans la vie et la transformation de leur tempérament. Ces intentions ne sont pas celles des gens quand ils commencent à croire en Dieu, et elles ne sont pas non plus ce que les gens sont disposés à faire et ce qu’ils espèrent faire dans leur cœur. De telles conséquences sont imputables aux notions des gens au sujet de Dieu. Si ces notions ne sont pas résolues, les perspectives, le destin et la destination des gens peuvent tous devenir problématiques.

Pour résoudre leurs incompréhensions au sujet de Dieu, les gens doivent résoudre leurs notions sur Dieu, sur Son œuvre, sur Son essence et sur Son tempérament. Pour résoudre ces notions, ils doivent d’abord les comprendre, les connaître et les reconnaître. Alors, que sont ces notions, exactement ? Cela nous ramène au sujet principal. Nous devons commencer par donner certains exemples concrets pour aborder ces notions et manifestations des gens, en rendant les intentions de Dieu évidentes grâce à ces exemples. Nous devons permettre aux gens de voir, dans les profondeurs du cœur de Dieu, ce que sont Son tempérament et Son essence, comment Il traite les gens, ainsi que la façon dont les gens imaginent qu’Il devrait les traiter, et leur permettre de distinguer, d’éclaircir et de comparer ces deux dernières perspectives, ce qui peut conduire à une compréhension et à une acceptation de la façon dont Dieu traite et gouverne les gens, et à une compréhension et à une acceptation de l’essence et du tempérament de Dieu. Une fois que les gens auront une compréhension claire de la façon dont Dieu gouverne les personnes, et de Son œuvre, ils n’auront plus de notions sur Dieu. La barrière qui se dresse entre Dieu et eux disparaîtra également, et les états qui consistent à s’opposer à Dieu et à Lui adresser des réclamations n’émergeront plus dans leur cœur. Ces problèmes de rébellion et de résistance à l’encontre de Dieu peuvent être résolus directement en lisant les paroles de Dieu et en échangeant sur la vérité. Quel que soit l’aspect des notions que l’on aborde, il faut commencer par la lecture des paroles de Dieu et l’échange sur la vérité. Tout doit être relié à la vérité, tout concerne la vérité. Alors, que sont ces notions que les gens ont ? Commençons par discuter de l’œuvre de Dieu, à l’aide d’exemples spécifiques pour clarifier les principes qui se trouvent derrière l’œuvre de Dieu et les principes et méthodes que Dieu utilise pour traiter et gouverner les gens. Un exemple peut aborder la méthode de l’œuvre de Dieu ; ou la méthode que Dieu utilise pour classer un individu, et Sa détermination de l’issue de cet individu ; ou encore le tempérament et l’essence de Dieu. Pour clarifier ces points, si nous devions parler d’une façon vide de ce à quoi Dieu ressemble, de ce que Dieu a fait, et de la façon dont Il traite les gens depuis les six mille ans de Son œuvre, pensez-vous que ce serait approprié ? Pourriez-vous l’accepter facilement ? Ou si, par exemple, nous parlions de la façon dont Dieu œuvre depuis six mille ans et de la façon dont Il a opéré en Judée dans la deuxième phase de Son œuvre, et que nous discutions de la façon dont Dieu a traité les Juifs à ce moment-là, et de la façon dont nous pouvons ainsi observer le tempérament de Dieu, tout cela deviendrait-il facile à comprendre ? (Non.) Par exemple, si nous parlions de la façon dont Dieu règne sur ce monde : comment Il traite les gens de diverses origines ethniques, ce qu’Il pense, comment Il délimite le territoire de ces gens, pourquoi Il les répartit à divers endroits – en particulier, la raison pour laquelle certaines bonnes personnes vivent à des endroits qui sont loin d’être idéaux, alors que certaines personnes malfaisantes vivent à des endroits bien plus agréables, et les principes que Dieu emploie pour répartir les choses de cette façon – et si nous considérions les méthodes de Dieu pour gouverner l’humanité par le biais de ce sujet, cela le rendrait-il facile à comprendre ? (Non.) Ces sujets ne sont-ils pas plutôt éloignés des transformations de tempérament et de l’entrée dans la vie des gens dans leur vie quotidienne ? Ne sont-ils pas plutôt abstraits ? (Si.) Pourquoi disons-nous que ces sujets sont lointains et abstraits ? Parce que, dans la vie réelle, ne comprendre que les vérités liées aux visions, comme les détails de la façon dont Dieu gouverne et guide l’humanité, semble très éloigné des problèmes auxquels nous sommes confrontés dans notre vie quotidienne, et pas particulièrement pertinent. Pour aborder les problèmes du monde réel, nous devons commencer par donner des exemples que vous pouvez entendre, voir et ressentir dans votre vie, puis, à partir de là, élargir votre perspective. Quelles que soient les histoires que Je raconte, ou quels que soient les personnes et événements qui interviennent dans celles-ci, même si ces histoires se rapportent peut-être à des choses que tu as faites autrefois, elles ont pour effet ultime de t’aider à comprendre les vérités qui se rapportent au sujet dont il est question aujourd’hui. Chaque histoire racontée sert un objectif et est liée à la valeur qu’elle est censée transmettre et à la vérité qu’elle exprime.

Commençons notre histoire. C’est le premier cas. Il y a longtemps, une Église a envoyé un flacon de sirop pour la toux, en expliquant : « Dieu nous parle et prêche sans cesse, et Il tousse parfois quand Il parle trop. Pour qu’Il prêche plus facilement et pour réduire Sa toux, nous vous envoyons du sirop. » Quand le flacon est arrivé, un homme l’a vu et a dit : « C’est censé être du sirop pour la toux, mais qui sait ce que cela soigne vraiment. Nous ne pouvons pas en donner à Dieu comme ça, c’est peut-être nocif. C’est un médicament, tout médicament contient des toxines. Il pourrait y avoir des effets secondaires s’Il en prenait ! » Ceux qui ont entendu cet homme ont pensé : « Il est plutôt prévenant. Bon, dans ce cas, nous ne pouvons pas donner ce sirop à Dieu. » À ce moment-là, Je n’en avais pas besoin, alors Je me suis dit que J’allais le garder pour plus tard, et les choses se sont arrêtées là. Mais est-ce la fin de l’histoire ? Non, l’histoire de ce médicament a commencé ce jour-là. Un jour, quelqu’un a découvert que ce même homme avait bu lui-même le sirop pour la toux, et lorsqu’on s’en est aperçu, il ne restait plus que la moitié du flacon. Il est facile de deviner ce qui s’est passé ensuite. Cet homme a fini tout le sirop. Voilà l’histoire en elle-même. Demandez-vous ce qu’elle a à voir avec les notions dont nous parlons aujourd’hui. Tout d’abord, dites-Moi, cette histoire vous choque-t-elle, vous affecte-t-elle ? (Oui.) Quelles sont vos pensées, après l’avoir entendue ? Qu’est-ce qui vous a affecté ? En général, ceux qui sont affectés pensent : « Oh là là, ce sirop avait été offert à Dieu. Comment quelqu’un a-t-il pu le boire ? » Voilà la première chose qui les affecte. La deuxième chose, c’est : « Il a continué à boire le sirop. Je n’arrive pas à croire qu’il ait tout bu ! » À part le fait d’être affecté, quoi d’autre vous vient à l’esprit ? Concernant ce que cette personne a fait, tous ses comportements, autrement dit, chaque évènement dans toute cette histoire : considérez-vous ce que pourrait être la réaction de Dieu ? Que ferait Dieu ? Que devrait faire Dieu ? Comment Dieu devrait-Il traiter une telle personne ? Et n’est-ce pas ainsi que les notions humaines apparaissent ? Mettons de côté la teneur de ce qui vous a affecté et demandons-nous si cette expérience, qui consiste à être affecté, peut être avoir le moindre effet bénéfique. Quand les gens sont affectés, ils ressentent simplement une certaine gêne dans leur conscience, mais ils ne peuvent pas en parler clairement. Ensuite, il peut y avoir de la condamnation et du reproche visant l’individu dans l’histoire, qui sont enracinés dans l’éthique, la morale, les théories théologiques ou les formules et les doctrines, mais ces choses ne sont pas la vérité. Si nous voulons arriver à la vérité, il s’agit là des notions humaines qui se forment au sujet de l’évènement lui-même, ou d’exigences au sujet de ce que Dieu devrait faire, voilà les problèmes qui doivent être résolus. Dans cette histoire, les notions et pensées que les gens ont au sujet de ce que Dieu devrait faire dans une telle situation sont essentielles. Ne te concentre pas uniquement sur ta réaction émotionnelle. Être affecté par quelque chose ne peut pas résoudre ta rébellion. Si un jour tu trouves dans les offrandes à Dieu quelque chose que tu aimes particulièrement ou dont tu as particulièrement besoin, et que tu es très tenté, tu pourrais t’en emparer, toi aussi. Dans ce cas, tu ne serais pas affecté du tout. Que tu sois affecté maintenant dépend simplement de la conscience, c’est un résultat des normes morales de l’humanité, cela ne dépend pas de la vérité. Quand tu pourras résoudre les notions qui émergent de cette situation, tu comprendras la vérité dans cette situation. Tu auras résolu toutes les notions et incompréhensions que tu as à l’égard de Dieu sur ces questions et, dans ce genre de situations, tu comprendras la vérité et gagneras quelque chose. Alors maintenant, demande-toi quel genre de notions les gens pourraient concevoir dans cette situation. Laquelle de ces notions pourrait t’amener à te méprendre sur Dieu, à ériger une barrière entre toi et Lui, ou même à t’opposer à Lui ? Voilà sur quoi nous devrions échanger. Dis-Moi, quand cet événement a eu lieu, cet homme a-t-il éprouvé le moindre remords dans sa conscience ? (Non.) Comment sais-tu qu’il n’a ressenti aucun remords ? (Il a bu tout le sirop pour la toux.) C’est assez facile à analyser, n’est-ce pas ? De la première à la dernière gorgée, il n’a fait preuve d’aucune retenue et ne s’est pas arrêté. S’il avait goûté au sirop pour s’arrêter ensuite, cela serait revenu à éprouver des remords, parce qu’il se serait arrêté, il se serait retenu et n’aurait pas continué. Mais cet homme n’a pas fait ça. Il a bu tout le flacon jusqu’à la dernière goutte. S’il y avait eu davantage de sirop, l’homme aurait continué à le boire. Cela montre qu’il ne ressentait absolument aucun remords dans sa conscience. C’est là examiner les choses d’un point de vue humain. Alors, comment Dieu considère-t-Il cette question ? Voilà ce que vous devriez comprendre. D’après la façon dont Dieu traite cette situation, dont Il l’évalue et la définit, vous pouvez voir le tempérament de Dieu, l’essence de Dieu, et vous pouvez aussi discerner les principes et méthodes selon lesquels Dieu opère. En même temps, cela pourrait révéler certaines notions humaines, et amener les gens à dire : « Alors, voilà l’attitude de Dieu envers les gens. C’est comme cela que Dieu s’occupe des gens. Je ne voyais pas les choses ainsi, auparavant. » Le fait que tu ne voyais pas les choses de cette façon révèle la barrière qui se dresse entre toi et Dieu, cela révèle que tu peux avoir des incompréhensions au sujet de Dieu et que tu as des notions sur la façon dont Dieu œuvre et opère à cet égard. Alors, comment Dieu a-t-il géré les choses face à cette situation ? L’homme avait dit : « C’est un médicament, tout médicament a une certaine toxicité. Nous ne pouvons pas laisser Dieu boire ce sirop, il pourrait y avoir des effets secondaires. » Quelle était l’intention, quel était le but, derrière les paroles de cet homme ? Ces paroles étaient-elles honnêtes ou fausses ? Elles n’étaient pas honnêtes, elles étaient trompeuses, fausses et hypocrites. Les actes ultérieurs de cet homme, et ce qu’il a révélé, ont montré clairement ce qui se passait dans son cœur. Dieu a-t-Il fait quoi que ce soit quant aux paroles et aux actes faux de cet homme ? (Non.) Comment savons-nous que Dieu n’a rien fait ? Quand l’homme a prononcé ces paroles, il n’était pas sincère, il se montrait faux. Dieu S’est contenté d’observer, sur la ligne de touche, sans accomplir d’œuvre positive de direction ni d’œuvre négative de reproche. Parfois, les gens éprouvent des remords dans leur conscience : c’est Dieu qui est à l’œuvre. Cet homme a-t-il éprouvé des remords à ce moment-là ? (Non.) Non seulement il n’a pas éprouvé de remords, mais il a également parlé avec grandiloquence. Dieu ne lui a pas fait de reproches. Il S’est contenté d’observer. Pourquoi Dieu observait-Il ? Pour voir comment les faits allaient se dérouler ? (Non.) Pas forcément. Au moment où une personne affronte une situation, avant de décider de ce qu’Il va faire ou de former les moindres faits, Dieu comprend-Il cette personne ? (Oui.) Dieu comprend non seulement ce qu’elle est en surface, mais aussi son cœur intime – si son cœur est bon ou malfaisant, authentique ou faux, ce qu’est sa véritable attitude envers Lui, si cette personne a Dieu dans le cœur, si sa foi est authentique – Dieu sait déjà ces choses. Il a des preuves concluantes et Il observe sans cesse. Qu’a fait Dieu après que cet homme a dit cela ? D’abord, Dieu ne lui a pas fait de reproches. Ensuite, Dieu ne l’a pas éclairé ou ne lui a pas fait prendre conscience qu’il s’agissait là d’une offrande, que les êtres humains ne devraient pas y toucher avec insouciance. Dieu doit-Il explicitement dire aux gens qu’ils doivent en être conscients ? (Non.) Cette conscience devrait être présente dans l’humanité normale. Certains diront peut-être : « Il y a des personnes qui ne le savent tout simplement pas. Tu ne veux pas le leur dire ? Ne le sauront-ils pas si, simplement, Tu le leur dis ? Ne pas savoir exempte les gens du pêché. À l’heure actuelle, ils ne savent pas. S’ils savaient, ils n’auraient pas commis cette erreur, n’est-ce pas ? Ne serait-ce pas les protéger ? » Dieu a-t-Il agi de la sorte ? (Non.) Pourquoi Dieu n’a-t-Il pas agi de cette façon ? D’une part, cet homme aurait dû connaître le concept selon lequel : « Il s’agit d’une offrande à Dieu, les êtres humains ne peuvent pas y toucher. » D’autre part, s’il ne le connaissait pas, pourquoi Dieu ne le lui a-t-Il pas dit ? Pourquoi Dieu ne lui en a-t-Il pas fait prendre conscience pour l’empêcher de faire une telle chose et lui éviter de faire face à de telles conséquences ? Le lui dire ne révèlerait-il pas mieux la sincérité de Dieu quand Il sauve les gens ? Cela ne révélerait-il pas mieux l’amour de Dieu ? Alors, pourquoi Dieu n’a-t-Il pas fait cela ? (Dieu voulait révéler cet homme.) Oui, Dieu voulait le révéler. Quand tu es face à des situations, ce n’est pas par accident. Une certaine situation pourrait entraîner ton salut, ou elle pourrait entraîner ta destruction. Durant ces périodes, Dieu observe, en restant silencieux, sans orchestrer les moindres circonstances pour te donner d’indications, ni t’éclairer avec des paroles telles que : « Tu ne dois pas faire ceci, les conséquences en seraient inimaginables », ou : « Agir ainsi, c’est manquer de raison et d’humanité. » Les gens n’ont pas une telle conscience. L’absence d’une telle conscience s’explique, dans un sens, par le fait que Dieu n’a pas donné d’indications à ces gens à ce moment-là, Dieu n’a pas agi. Dans un autre sens, si une personne a effectivement une conscience, et qu’elle a de l’humanité, dans une certaine mesure, Dieu, sur une telle base, agira-t-Il alors ? (Oui.) En effet. Dieu lui accordera une telle grâce. Alors pourquoi Dieu a-t-Il ignoré cette situation particulière ? Parce que cet homme était dépourvu de conscience et de raison, qu’il n’avait aucune dignité, aucune intégrité et aucune humanité normale. Il ne poursuivait pas ces choses. Il n’avait pas Dieu dans le cœur et n’était pas un véritable croyant en Dieu. Dieu a donc voulu le révéler par le biais de cette situation. Parfois, quand Dieu révèle quelqu’un, il s’agit d’une forme de salut, et parfois non. Dieu agit intentionnellement de cette façon. Si tu possèdes conscience et raison, quand Dieu te révèle, cela fait office d’épreuve, et c’est une forme de salut. Mais si tu es dépourvu de conscience et de raison, quand Dieu te révèle, cela signifie que tu seras éliminé et détruit. Alors, si l’on examine les choses maintenant, que Dieu révèle cet homme, qu’est-ce que cela signifiait ? Cela voulait dire que cet homme serait éliminé. Ce n’était pas une bénédiction, mais une malédiction. Certain disent : « Il a commis une erreur tellement grave, c’est vraiment honteux. Quand il a commencé à boire en secret le sirop pour la toux, Dieu n’aurait-Il pas pu arranger certaines circonstances pour qu’il s’arrête et ne commette pas cette erreur, et qu’il n’ait donc pas à être éliminé ? » Est-ce ce que Dieu a fait ? (Non.) Comment Dieu a-t-Il agi ? (Il a laissé la situation suivre son cours.) Dieu a laissé les choses suivre leur cours, c’est l’un de Ses principes. Une fois que cet homme a ouvert le flacon de sirop pour la toux, y a-t-il eu la moindre différence, en termes de nature, entre la première et la dernière gorgée qu’il a prise ? (Non.) Pourquoi n’y a-t-il eu aucune différence ? (Cet homme était simplement ce type de personne par essence.) Cette situation a complètement révélé son humanité, sa poursuite et sa foi.

À l’ère de l’Ancien Testament, Ésaü a échangé son droit d’aînesse contre un bol de potage de lentilles. Il n’était pas conscient de ce qui était important et précieux : « Quelle est l’importance d’un droit d’aînesse ? Si je l’échange, cela ne fera aucune différence. Je resterai en vie, n’est-ce pas ? » Voilà ce qu’il pensait, dans son cœur. On pourrait croire que sa façon d’aborder le problème était plutôt réaliste, mais ce qu’il a perdu, c’est la bénédiction de Dieu, et les conséquences en sont inimaginables. À présent, dans l’Église, il y a beaucoup de gens qui ne poursuivent pas la vérité. Ils ne prennent pas au sérieux les promesses et les bénédictions de Dieu. Par nature, n’est-ce pas la même chose que renoncer à son droit d’aînesse ? N’est-ce pas même encore plus grave ? Parce que le salut des gens par Dieu est une occasion unique, si quelqu’un rate cette occasion, les choses s’arrêtent là. Une personne a même fini par être éliminée simplement pour un flacon de sirop pour la toux, que celle-ci a échangé contre un résultat consistant à être détruit. C’est tout bonnement incompréhensible ! En réalité, cependant, il n’y a rien d’incompréhensible. Pourquoi dis-Je cela ? Cet événement peut sembler mineur. Si un tel événement survenait parmi les gens, on n’y accorderait guère d’attention. Ce ne serait pas considéré comme un crime, comme voler ou blesser les autres. Tout au plus seriez-vous punis après la mort, puis vous renaîtriez en tant qu’être humain en passant par plusieurs cycles de réincarnation. Cela n’aurait guère d’importance. Mais la situation dont Je parle maintenant est-elle aussi simple que cela ? (Non.) Pourquoi disons-nous qu’elle n’est pas simple ? Pourquoi vaut-il la peine de discuter de cette situation ? Commençons par ce flacon de sirop pour la toux. En réalité, ce flacon n’avait pas grande valeur, mais une fois offert en sacrifice à Dieu, son essence a changé, il est devenu une offrande. Certains disent : « Les offrandes sont consacrées, elles n’appartiennent pas aux gens, les gens ne devraient pas y toucher. » Dire cela est également correct. Qu’est-ce qu’une offrande ? Une offrande est quelque chose qu’une personne consacre à Dieu. Peu importe de quoi il s’agit, on appelle toutes ces choses des offrandes. Comme elles appartiennent à Dieu, elles n’appartiennent plus aux hommes. Tout ce qui est consacré à Dieu, qu’il s’agisse d’argent ou de choses matérielles, quelle qu’en soit la valeur, appartient entièrement à Dieu et n’est pas à la disposition de l’homme, pas plus que l’homme ne peut s’en servir. Comment pourrait-on conceptualiser les offrandes à Dieu ? Elles appartiennent à Dieu, Lui seul peut en disposer et, avant d’avoir obtenu Son approbation, personne ne peut toucher à ces choses ou avoir des vues sur elles. Certains disent : « Si Dieu n’utilise pas quelque chose, pourquoi n’avons-nous pas le droit de l’utiliser ? Si cette chose devait se gâter au bout d’un moment, ne serait-ce pas dommage ? » Non, même alors. Il s’agit là d’un principe. Les offrandes sont des choses qui appartiennent à Dieu, pas à l’homme. Quelles soient grandes ou petites, précieuses ou non, une fois que l’homme les a consacrées à Dieu, leur essence a changé, que Dieu en veuille ou pas. Une fois qu’une chose est devenue une offrande, elle fait partie des possessions du Créateur et sont à Sa disposition. Qu’implique la façon dont on traite les offrandes ? Cela implique l’attitude des gens vis-à-vis de Dieu. Si l’attitude d’une personne vis-à-vis de Dieu est une attitude d’impertinence, de dédain et d’insouciance, alors l’attitude de cette personne envers tout ce que Dieu possède sera assurément la même. Il y a des gens qui disent : « Il y a certaines dont personne ne s’enquiert. Cela ne veut-il pas dire qu’elles appartiennent à quiconque a mis la main dessus ? Qu’on le sache ou non : qui trouve, garde. Quiconque met la main sur ces choses devient son propriétaire. » Que pensez-vous de cette opinion ? Très clairement, elle est incorrecte. Quelle attitude Dieu a-t-Il vis-à-vis des offrandes ? Peu importe ce qui est offert à Dieu et peu importe qu’Il accepte ou non une offrande, une fois que quelque chose a été désigné comme étant une offrande, toute personne qui a d’autres vues sur cette offrande risque de « marcher sur une mine ». Qu’est-ce que cela signifie ? (Cela veut dire offenser le tempérament de Dieu.) En effet. Vous connaissez tous ce concept, pourquoi ne reconnaissez-vous pas l’essence de cette question ? Alors, qu’est-ce que cette question indique aux gens ? Elle leur indique que le tempérament de Dieu ne tolère aucune offense de la part des êtres humains et qu’ils ne doivent pas jouer avec ce qui est à Lui. Les offrandes à Dieu, par exemple : si une personne devait s’en emparer, ou les gâcher et les gaspiller, alors elle serait susceptible d’offenser le tempérament de Dieu et d’être punie. La fureur de Dieu suit des principes. Ce n’est pas, comme les gens l’imaginent, que Dieu Se déchaîne contre quiconque commet une erreur. Au contraire, la fureur de Dieu se déclenche quand quelqu’un offense Dieu en ce qui concerne des questions cruciales, essentielles. En particulier pour ce qui est de la façon de traiter l’incarnation de Dieu et les offrandes à Dieu, les gens doivent faire preuve de prudence et avoir un cœur qui craint Dieu. C’est seulement de cette façon qu’ils peuvent s’assurer de ne pas offenser le tempérament de Dieu.

Certaines personnes ont foi dans leur croyance en Dieu et sont capables de se dépenser et de payer un prix, d’être performantes dans tous les domaines, à une exception près. Une personne de ce genre, voyant les ressources abondantes de la maison de Dieu, et sachant que le peuple élu de Dieu offre non seulement de l’argent, mais aussi de la nourriture, des vêtements et divers médicaments, entre autres choses, pense : « Le peuple élu de Dieu offre tant de choses à Dieu et Dieu, à Lui seul, ne peut pas utiliser tout cela. Même si certaines de ces choses sont nécessaires pour prêcher l’Évangile, toutes ne seront pas utilisées, malgré tout. Comment ces objets doivent-ils être gérés ? Peut-être que les dirigeants et les ouvriers devraient en profiter ? » Cette personne devient angoissée et agitée quant à ce problème, un « fardeau » pèse sur elle intérieurement, et elle se met à réfléchir : « Maintenant que je suis responsable de ces objets, je devrais en utiliser certains. Sinon, toutes ces offrandes ne se trouveront-elles pas gâchées quand le monde sera anéanti ? Les distribuer aux dirigeants et aux ouvriers est juste. Dans la maison de Dieu, les gens sont tous égaux. Puisque nous nous sommes consacrés à Dieu, alors ce qui appartient à Dieu nous appartient également et ce qui nous appartient, appartient à Dieu. Ce n’est pas grand-chose si je profite d’une partie des offrandes à Dieu. Cela fait partie de la bénédiction de Dieu, de toutes façons. Je ferais aussi bien de me permettre d’en utiliser certaines. » Ayant de telles pensées, cet individu est tenté. Ses désirs augmentent petit à petit et il se met à convoiter les offrandes et à prendre des objets sans éprouver le moindre remords dans son cœur. Il pense que personne n’en saura rien et se réconforte en disant : « Je me suis dépensé pour Dieu. Profiter de certaines offrandes n’est pas grand-chose. Même si Dieu l’apprend, Il me pardonnera. Je vais simplement profiter de quelques-unes d’entre elles, maintenant. » De ce fait, il se met à voler les offrandes, offensant le tempérament de Dieu. En apparence, il semble se trouver de nombreuses excuses, disant par exemple : « Ces choses vont se gâter, au bout d’un moment, si on ne les consomme pas ! Dieu ne peut pas toutes les utiliser à Lui seul. Et si on les répartissait équitablement, les gens seraient trop nombreux, il n’y en aurait pas assez pour tout le monde. Pourquoi ne gérerais-je pas tout cela ? De plus, que va-t-il se passer si tout cet argent ne peut pas être dépensé d’ici à la fin du monde ? Nous devrions chacun en prendre une partie, cela reflète aussi l’amour et la grâce de Dieu ! Même si Dieu ne l’a pas déclaré, et qu’un tel principe n’existe pas, pourquoi ne pas être proactif ? C’est agir conformément aux principes ! » Cet individu concocte de nombreuses raisons grandiloquentes, puis passe à l’action. Mais une fois qu’il a commencé, la situation devient incontrôlable, et il y a de moins en moins de remords dans son cœur. Il peut même se dire que tout cela est justifié, et penser : « Si Dieu n’en a pas besoin, je devrais m’en servir. Ce n’est pas un vrai problème. » C’est alors que les choses tournent mal. Qu’en pensez-vous, est-ce un gros problème ou pas ? Est-ce grave ? (Oui.) Pourquoi disons-nous que ce problème est grave ? Cela vaut-il la peine d’échanger sur ce problème ? (Oui.) Qu’est-ce qui fait que cela en vaut la peine ? (Cela concerne le tempérament de Dieu, ainsi que l’issue et la destination de l’homme.) Le problème est significatif, sa nature est grave. Alors, de quoi devrais-Je vous avertir ? Ne caressez jamais l’idée de prendre des offrandes. Certains disent : « Ce n’est pas juste. Les offrandes faites par les frères et sœurs sont destinées à la maison de Dieu, à l’Église. Cela en fait la propriété collective de tout le monde. » Cette affirmation est-elle correcte ? Comment apparaît ce genre d’affirmation ? Une théorie comme celle-là est concoctée à partir de l’avidité de l’homme. Ce problème concerne quoi d’autre ? Il y a quelque chose que nous n’avons pas encore abordé. De quoi s’agit-il ? Certains pensent : « La maison de Dieu est une grande famille. Pour refléter qu’il s’agit d’une bonne famille, il devrait y avoir de l’amour et de la tolérance. Tout le monde devrait partager la nourriture, la boisson et les ressources, et toutes ces choses devraient être réparties équitablement. Par exemple, tout le monde devrait avoir des vêtements, qui devraient être distribués équitablement et tout le monde devrait en profiter de manière égale. Dieu ne fait pas de favoritisme. Si quelqu’un n’a pas les moyens d’acheter des chaussettes, et que Dieu a des paires de chaussettes en plus, Il devrait proposer de l’aide à cette personne. En outre, ces offrandes à Dieu viennent des frères et sœurs. Dieu a déjà tant de choses, ne devrait-on pas en distribuer une partie aux pauvres ? Cela ne refléterait-il pas l’amour de Dieu ? » Les gens pensent-ils comme cela ? Ne s’agit-il pas là de notions humaines ? Les gens revendiquent avec force les biens de Dieu, tout en qualifiant tout cela, par euphémisme, de grâce de Dieu, de bénédictions de Dieu et de grand amour de Dieu. Ces gens veulent sans cesse partager équitablement les choses avec Dieu, ils veulent tout diviser à parts égales, ils font sans cesse pression en faveur de l’égalitarisme. Ils pensent que cela constitue un symbole d’unité universelle, d’harmonie humaine, et une existence épanouissante, et considèrent cela comme un état des choses qui devrait être manifesté. Ne s’agit-il pas là de notions humaines ? En particulier dans la maison de Dieu, ils pensent que personne ne devrait souffrir de la faim. Si quelqu’un a faim, Dieu devrait utiliser Ses offrandes pour soulager cette faim. Dieu ne devrait pas ignorer cette question. Ce « devrait », auquel les gens croient, ne constitue-t-il pas un type de notion ? N’est-ce pas une exigence humaine adressée à Dieu ? Certaines personnes, après avoir commencé à croire en Dieu, disent : « Je crois en Dieu depuis tant d’années et je n’ai rien gagné. Ma famille est encore dans la pauvreté. Cela ne devrait pas arriver. Dieu devrait être bon avec moi, Il devrait me bénir pour que je puisse mieux Le glorifier. » Parce que ta famille est pauvre, tu ne poursuis pas la vérité. Tu espères changer ta situation démunie par le biais de la croyance en Dieu et tu utilises comme excuse la glorification de Dieu pour marchander avec Lui. Il s’agit là de notions et de l’imagination humaines. Ce sont les désirs extravagants de l’homme. Croire en Dieu en ayant de telles motivations n’est-il pas une forme de marchandage avec Dieu ? Ceux qui marchandent avec Dieu possèdent-ils conscience et raison ? Sont-ils des personnes qui se soumettent à Dieu ? Absolument pas. Ces gens sont dépourvus de conscience et de raison, ils n’acceptent pas la vérité, ils sont détestés et abandonnés par Dieu, et ce sont des gens déraisonnables qui ne peuvent pas parvenir au salut de Dieu.

Certaines personnes se disent : « Quand les êtres humains ont des pensées inappropriées ou commettent des actes inappropriés qui enfreignent les décrets administratifs de Dieu et qu’ils offensent Son tempérament, Dieu devrait intervenir pour y mettre un terme. Voilà le salut de Dieu, voilà l’amour de Dieu. » Ne s’agit-il pas là des notions et de l’imagination des gens ? Est-ce ainsi que Dieu œuvre pour sauver les gens ? Dieu sauve les gens en exprimant la vérité. Que les gens puissent être sauvés ou non dépend de leur capacité à accepter la vérité. En dehors de cela, il y a une chose que Dieu considère comme encore plus importante, qui est la conscience et l’humanité des gens. Si, au sein de ton humanité, il n’y a aucune conscience, aucune intégrité et aucune raison, autrement dit, si, quand il t’arrive quelque chose, ta conscience et ta rationalité ne peuvent pas fonctionner normalement, que tu ne peux pas contenir et réguler tes actes, que tu ne peux pas corriger tes intentions et tes opinions, alors il est certain que Dieu n’interviendra pas. Pour te changer, Dieu commence par permettre à ta conscience et à ta rationalité de fonctionner. Quand ta conscience éprouvera des remords, tu te diras : « Ce que je fais est erroné. Comment Dieu va-t-Il me considérer ? », et cela te conduira à une recherche plus poussée et à une entrée positive et proactive. Cependant, si les gens ne font même pas cette première démarche, qu’ils ne possèdent pas de conscience et que, fondamentalement, il n’y a aucun remords dans leur cœur, que fera alors Dieu quand ces gens seront face à quelque chose ? Dieu ne fera rien. Donc, sur quel fondement reposent toutes ces paroles que Dieu prononce et toutes ces exigences et vérités qu’Il enseigne aux gens ? Elles reposent sur le postulat que les gens sont doués de conscience et de rationalité. Quant à l’homme mentionné précédemment, s’il avait eu une conscience et s’il avait possédé un certain degré de rationalité, qu’aurait-il fait après avoir vu ce flacon de sirop pour la toux ? Quels comportements aurait-il adoptés ? Quand il a eu cette pensée : « Ce sirop a été donné à Dieu, il doit donc être assez bon, au lieu de laisser Dieu le boire, pourquoi ne le ferais-je pas ? », qu’aurait-il fait s’il avait eu une conscience ? Aurait-il ouvert le flacon et pris la première gorgée ? (Non.) Qu’est-ce qui aurait engendré ce refus ? (Son sens de la conscience.) L’homme aurait été contrôlé par sa conscience, celle-ci serait entrée en jeu, et il n’y aurait pas eu d’étape suivante dans cette affaire. Cet homme n’aurait pas pris cette première gorgée. Le résultat de cette affaire aurait été complètement inversé et l’issue en aurait été entièrement différente. Cependant, bien au contraire, l’homme n’avait ni conscience ni rationalité, il en était absolument dépourvu. Alors, que s’est-il passé, par conséquent ? Après avoir eu de telles pensées, et en l’absence de tout contrôle exercé par sa conscience, il a ouvert le flacon sans scrupules et a pris la première gorgée. Non seulement il n’a éprouvé ni remords ni culpabilité par la suite, mais en réalité, cela lui a plu. Il pensait s’en être sorti impunément : « Regardez comme je suis intelligent, j’ai saisi cette occasion. Vous êtes tous des imbéciles. Vous ne comprenez pas ces choses. L’expérience triomphe toujours de la jeunesse ! Aucun d’entre vous n’a eu cette idée, aucun d’entre vous n’a eu le culot de le faire, mais moi oui. Que peut-il arriver de pire ? J’ai déjà pris la première gorgée, qui le saura ? » Il avait l’impression d’être sorti gagnant et, intérieurement, il se sentait satisfait. Il pensait même être favorisé, qu’il s’agissait là de la grâce de Dieu. Une fois qu’il a commis cette erreur, il n’a cessé de la répéter. La situation est devenue incontrôlable et il a continué, jusqu’à avoir terminé tout le flacon. Pendant tout ce temps, il n’a jamais éprouvé de culpabilité ni de remords au niveau de sa conscience. Sa conscience et sa rationalité ne lui ont jamais dit : « Ce sirop ne t’appartient pas. Même si Dieu ne le boit pas, même s’Il le jette, ou s’Il le donne à un chien ou un chat, tant qu’Il n’a pas dit que ce sirop t’était destiné, alors tu ne devrais pas le prendre. Tu n’as pas à en profiter. » Sa conscience ne lui a pas dit cela parce qu’il n’avait aucune conscience. Qu’est-ce qu’une personne sans conscience ? On la définit comme une bête. Les gens sans conscience se comportent ainsi. Ils ont de telles pensées dès le début et continuent de cette manière jusqu’au bout, sans que leur conscience leur fasse le moindre reproche. Il se peut qu’à présent cet individu ait oublié l’incident depuis longtemps. Ou bien, s’il a une bonne mémoire, il se peut qu’il s’en souvienne encore et pense qu’il a bien agi, à ce moment-là. Il ne pense jamais que c’était ce qu’il ne fallait pas faire et il ne se rend pas compte de la gravité et de la nature de ses actes. Il ne peut pas le reconnaître. La façon dont Dieu classe de telles personnes est-elle exacte ? (Oui.) Quand Dieu classe, révèle et élimine de telles personnes et qu’Il leur donne ce genre d’issue, selon quels principes et sur quelle base les classe-t-Il ? (Sur la base de leur nature-essence.) Une personne qui n’a aucun sens de la conscience et de la rationalité est-elle à même d’accepter et de pratiquer la vérité ? A-t-elle une telle essence ? (Non.) Pourquoi disons-nous qu’elle n’a pas une telle essence ? Quand elle se met à exprimer ses opinions sur cette question, au fond de son cœur, où se trouve son Dieu ? Qui est le Dieu dans son cœur ? Où se tient-Il ? Cette personne a-t-elle Dieu dans son cœur ? Nous pouvons affirmer avec certitude que cette personne n’a pas Dieu dans son cœur. Qu’implique le fait de ne pas avoir Dieu dans son cœur ? (Cette personne est une incrédule.) En effet. Elle ne croit pas sincèrement en Dieu. Les individus de ce genre ne sont ni des frères ni des sœurs. Ce sont simplement des incrédules. Quels sont leurs comportements qui montrent qu’ils sont des incrédules ? Sans Dieu dans leur cœur, ils agissent et parlent entièrement en fonction de leurs caprices, en se fondant sur leurs propres notions, sur leur imagination et sur leurs propres préférences, sans l’influence de la conscience. Quand ils ne comprennent pas la vérité, leur conscience ne cille pas, ils agissent purement en se fondant sur leurs propres préférences, uniquement dans leur intérêt personnel, pour leur avantage personnel. Y a-t-il la moindre place pour Dieu dans leur cœur ? Il n’y en a absolument aucune. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que la motivation, l’origine, la direction et même les manifestations de leurs actes et de leurs paroles visent toutes à servir leurs propres intérêts. Ils agissent et parlent en se fondant sur ce qui, selon eux, leur sera bénéfique. Tout ce qu’ils considèrent est axé sur leurs propres intérêts et objectifs, et ils opèrent sans éprouver le moindre remords et sans faire preuve de retenue. À en juger d’après ce comportement, comment traitent-ils Dieu ? (Comme du vent.) Exactement, c’est tout à fait juste. S’ils pouvaient ressentir la présence de Dieu, s’ils pouvaient ressentir que Dieu scrute le cœur de l’homme, qu’Il est à côté des gens, qu’Il les scrute en permanence, leurs actes seraient-ils dépourvus de toute retenue ? Feraient-ils preuve d’une audace aussi téméraire ? Absolument pas. Une question se pose : le Dieu auquel ils croient existe-t-Il réellement ? (Non.) Voilà l’essence de ce problème. Le Dieu auquel ils croient n’existe pas. Leur Dieu n’est que du vent. Par conséquent, ils ont beau affirmer verbalement à quoi ressemble Dieu, ils ont beau prier Dieu, quel que soit leur nombre d’années de croyance, quoi qu’ils aient fait et quelle que soit la mesure de leurs sacrifices, leur nature est pleinement exposée sur la base de leur discours, de leur comportement et de leur attitude vis-à-vis de Dieu et de toutes choses se rapportant à Dieu. Ils traitent Dieu comme du vent. N’est-ce pas blasphémer Dieu ? (Si.) Pourquoi est-ce considéré comme un blasphème ? Ils pensent : « On dit que Dieu scrute le cœur de l’homme, mais où est Dieu ? Pourquoi n’ai-je pas ressenti cela ? On dit également que voler des offrandes sera puni par Dieu, mais je n’ai vu personne subir de châtiment pour avoir volé des offrandes. » Ils nient l’existence de Dieu, c’est blasphémer Dieu. Ils disent : « Dieu n’existe même pas. Comment pourrait-Il faire la moindre œuvre ? Comment pourrait-Il sauver les gens ? Comment a-t-Il fait des reproches aux gens ? Qui a-t-Il jamais puni ? Je n’ai jamais vu cela se produire, alors tout ce qui est offert à Dieu peut être utilisé librement. Si je tombe sur quelque chose offert à Dieu aujourd’hui, c’est à moi. Je considérerai que c’est ainsi que Dieu me favorise. Quand quelqu’un voit quelque chose ou tombe sur quelque chose offert à Dieu, c’est à lui. C’est à lui que Dieu S’est montré favorable. » De quel genre de logique s’agit-il là ? C’est la logique de Satan, la logique des voleurs. C’est la nature démoniaque des gens qui apparaît. Une telle personne a-t-elle une foi authentique ? (Non.) Après avoir écouté tant de sermons, elle déverse un tel déluge de paroles diaboliques. Cette personne a-t-elle le moindre fondement dans la vérité ? (Non.) Alors, qu’a-t-elle tiré de l’écoute de tous ces sermons ? Elle n’a pas accepté les paroles de Dieu, elle ne considère pas les paroles de Dieu comme la vérité, et elle ne traite pas Dieu comme Dieu. C’est aussi simple que cela.

Certaines personnes croient bel et bien dans leur cœur qu’il y a un Dieu, et elles n’ont pas le moindre doute sur l’incarnation de Dieu. Mais même si elles suivent Dieu depuis plusieurs années, ont enduré des épreuves et ont payé un certain prix, elles n’ont pas la moindre compréhension de Dieu au fond de leur cœur. En réalité, ce en quoi elles croient reste un Dieu vague, un Dieu imaginé. Leur définition de Dieu n’est que du vent. Comment Dieu traite-t-Il ces individus ? Il Se contente de les ignorer. Certains demanderont : « Si Dieu les ignore, pourquoi restent-ils dans la maison de Dieu ? » Ils se contentent de trimer. Comment devrait-on conceptualiser ce fait de se contenter de trimer ? Quelqu’un qui se contente de trimer ne s’intéresse pas à la vérité, ou plutôt, il a un calibre si médiocre qu’il ne peut pas atteindre la vérité. Il traite Dieu et la vérité comme quelque chose de vide et de vague. Et pour gagner des bénédictions, il ne peut que faire des efforts, en contrepartie. Même si, en apparence, il ne résiste pas directement à Dieu, ne maudit pas Dieu ou ne s’oppose pas à Lui, son essence est quand même celle de l’engeance de Satan, qui nie Dieu et Lui résiste. Quiconque n’aime pas la vérité ne vaut rien. Dieu a décidé dans Son cœur de ne pas sauver de telles personnes. En ce qui concerne ceux qu’Il n’a pas l’intention de sauver, Dieu Se montre-t-Il malgré tout sérieux avec eux ? Dieu leur dirait-Il : « Tu ne comprends pas cet aspect de la vérité, tu dois écouter attentivement. Tu ne comprends pas cet aspect de la vérité, tu dois faire davantage d’efforts et y réfléchir » ? De plus, Dieu sait que ces gens ne comprennent pas la vérité et qu’ils ne Le traitent pas comme Dieu. Dieu devrait-Il leur montrer des miracles et des prodiges pour leur faire prendre conscience de Son existence, ou les éclairer et les illuminer davantage pour qu’ils sachent qu’il y a un Dieu ? Dieu agirait-Il ainsi ? (Non.) Dieu a des principes pour faire ces choses. Il n’agit pas ainsi avec n’importe qui. En ce qui concerne ceux qui peuvent accepter la vérité, Dieu œuvre sans cesse. Quelle est l’attitude de Dieu vis-à-vis de ceux qui ne peuvent pas accepter la vérité ou qui ne sont pas capables de l’atteindre ? (Il les ignore.) Selon les notions des gens, si Dieu ignore quelqu’un, alors cet individu erre comme un mendiant. On ne le voit pas poursuivre la vérité, et on ne voit pas non plus le moindre acte de Dieu sur cet individu. Il se contente de trimer, simplement, et ne comprend pas la vérité. Est-ce tout ? En fait, ces gens peuvent également profiter de la grâce et des bénédictions de Dieu. Quand ils se trouveront dans une situation dangereuse, Dieu les protégera, eux aussi. Quand ils seront gravement malades, Dieu les guérira, eux aussi. Dieu les dotera peut-être même de certains talents particuliers, ou bien, dans certaines circonstances particulières, Dieu accomplira peut-être des actes miraculeux sur eux, ou Il fera peut-être certaines choses particulières. Autrement dit, si ces gens peuvent vraiment se dépenser pour Dieu et travailler dur sans provoquer de perturbations, Dieu ne fera pas preuve de discrimination à leur encontre. Quelles sont les notions des gens concernant cette question ? « Dieu ne sauvera pas ces gens, donc Il Se contentera simplement de les utiliser à Sa guise et S’en débarrassera ensuite. » Est-ce ainsi que Dieu agira ? Non. N’oubliez pas qui est Dieu : Il est le Créateur. Au sein de l’humanité tout entière, qu’il s’agisse des croyants ou des non-croyants, et quelle que soit leur confession, quelle que soit leur origine ethnique, aux yeux de Dieu, ces gens sont tous Ses êtres créés. C’est pour cette raison que le Seigneur Jésus a dit : « Car Il fait lever Son soleil sur les méchants et sur les bons. » Cette déclaration est un principe selon lequel Dieu, le Créateur, agit. Quelle que soit la fin que Dieu accorde en définitive à quelqu’un, en Se basant sur l’essence de cette personne, que Dieu sauve ou non cette personne avant de lui donner cette fin, et quelle que soit son essence, tant que cette personne peut accomplir certaines tâches et un certain travail dans la maison de Dieu et pour l’œuvre de Dieu, la grâce de Dieu reste la même. Dieu traitera quand même cette personne conformément à Ses principes, sans aucune partialité. Voilà l’amour de Dieu, le principe de Ses actes, et Son tempérament. Cependant, conformément à l’essence de ces gens, leurs opinions et leurs attitudes vis-à-vis de Dieu sont toujours qu’ils considèrent qu’Il est vague et nébuleux, comme s’Il existait tout en n’existant pas. Ils ne peuvent ni reconnaître la réelle existence de Dieu ni en faire l’expérience, et en fin de compte, ils ne sont toujours pas certains de la véritable existence de Dieu. Donc, quand Dieu considère ces gens, Il ne peut faire que ce qu’Il devrait faire : leur accorder une certaine grâce, certaines bénédictions et une certaine protection dans cette vie, leur permettre de ressentir la chaleur de Sa maison et de profiter de Sa grâce, de Sa miséricorde et de Son affection. Et les choses s’arrêtent là, voilà toutes les bénédictions qu’ils recevront dans cette vie. Certains diront : « Puisque Dieu est si tolérant et que ces gens profitent eux aussi de Sa grâce et de Ses bénédictions, ne vaudrait-il pas mieux aller un peu plus loin et leur permettre également de recevoir le salut de Dieu ? » Il s’agit là d’une notion humaine, Dieu n’agit pas ainsi. Pourquoi ? Peux-tu mettre Dieu dans le cœur de quelqu’un qui n’a aucune place pour Lui dans son cœur ? Non. Peu importe à quel point tu échangeras sur la vérité avec ces gens ou le nombre de paroles que tu prononceras, cela ne servira à rien. Cela ne changera pas leurs notions et leur imagination sur Dieu. Par conséquent, tout ce que Dieu peut faire pour ce genre de gens, c’est leur accorder une certaine grâce, certaines bénédictions, une certaine affection et une certaine protection. Certains disent : « Puisqu’ils peuvent profiter de la grâce de Dieu, si Dieu les éclaire et les illumine davantage, ne reconnaîtront-ils pas alors la réelle existence de Dieu ? » De telles personnes peuvent-elles comprendre la vérité ? Peuvent-elles pratiquer la vérité ? (Non.) Si ces gens ne peuvent pas pratiquer la vérité, cela fait d’eux des gens qui ne peuvent pas être sauvés. Par conséquent, Dieu ne Se lancera pas dans une œuvre dénuée de sens et inutile. Certains disent : « Ce n’est pas exact. Parfois, ces gens sont eux aussi confrontés à la discipline de Dieu ou ils reçoivent un certain éclairage de Lui, et ils gagnent une certaine vérité grâce à Lui. » De nouveau, ceci se rapporte à l’œuvre de Dieu. Que doivent posséder ceux que Dieu veut sauver afin d’être sauvés par Lui, afin de faire l’objet de Son salut ? Les gens devraient le comprendre. Dieu le sait, Lui aussi. Il ne sauve pas n’importe qui. Même si Dieu accomplit certains miracles, certains prodiges, et qu’Il montre Sa puissance pour amener les gens à Le reconnaître, ces gens peuvent-ils être sauvés de cette façon ? Les choses ne se passent pas ainsi. Dieu a des normes pour sauver les gens. Il faut posséder une foi sincère et aussi aimer la vérité. Donc, l’œuvre que Dieu fait sur les gens, qui implique jugement, châtiment, épreuves et épurement, a également ses normes. Certains disent : « Nous sommes souvent confrontés au jugement et au châtiment. Faire face au jugement et au châtiment, aux épreuves et à l’épurement, est-il le signe que nous serons sauvés par Dieu ? » Est-ce le cas ? (Non.) Comment pouvez-vous être sûrs que ce n’est pas le cas ? Étant donné que certaines personnes ne remplissent pas les conditions pour être sauvées par Dieu, Dieu leur imposerait-Il quand même jugement, châtiment, épreuves et épurement ? Se pose la question de savoir à qui Dieu impose Son jugement, Son châtiment, Ses épreuves et Son épurement. Cela concerne également les incompréhensions des gens. Dites-Moi, une personne qui ne sait même pas qui est Dieu, où Il se trouve, ou même s’Il existe, peut-elle recevoir Son jugement et Son châtiment ? Une personne qui considère Dieu purement comme du vent peut-elle recevoir Son jugement et Son châtiment ? Quelqu’un qui ne possède pas du tout Dieu dans son cœur peut-il recevoir les épreuves et l’épurement de Dieu ? Absolument pas. Alors, à quoi de telles personnes pourraient-elles parfois se trouver confrontées ? (À la discipline.) En effet, à la discipline. Ceux qui considèrent Dieu purement comme du vent et qui, fondamentalement, ne reconnaissent pas Son existence ou n’y croient pas, ne recevront assurément pas le jugement et le châtiment de Dieu, ni Ses épreuves et Son épurement. On peut dire que les gens qui ont une telle essence et de tels comportements ne font pas l’objet du salut de Dieu. Ils ne peuvent pas recevoir le salut de Dieu, mais ce n’est pas parce que Dieu ne les sauve pas. Ce qui en décide, c’est leur nature-essence qui a de l’aversion pour la vérité et déteste la vérité. Ils n’ont pas l’attitude correcte qui consiste à aimer et accepter la vérité, et ils ne remplissent donc pas les conditions pour être sauvés. Alors, comment Dieu les traite-t-Il quand ils s’infiltrent dans la maison de Dieu en espérant des bénédictions ? Hormis leur accorder certaines bénédictions, une certaine grâce, une certaine affection et une certaine protection, quelles méthodes Dieu utilise-t-Il pour assumer Son rôle de Créateur ? Dieu leur adresse des rappels à l’ordre, des avertissements et des exhortations par le biais de Ses paroles. Ensuite, Il les émonde, Il leur fait des reproches et Il les discipline. L’œuvre que Dieu fait sur eux s’arrête là, tout cela rentre dans ce cadre. Quel effet ces actes de Dieu ont-ils sur les gens ? Cela leur permet de respecter scrupuleusement les restrictions, de se comporter convenablement quand ils se contentent de trimer dans la maison de Dieu, sans provoquer de perturbations ni faire le mal. Ce que Dieu fait peut-il amener de tels individus à mener à bien loyalement leur devoir ? (Non.) Pourquoi ? La grâce, les bénédictions, l’affection et la protection qu’ils reçoivent, ainsi que les rappels à l’ordre des paroles de Dieu, l’émondage, le châtiment et la discipline, et ainsi de suite, peuvent-ils entraîner un changement dans leur tempérament ? (Non.) Tout cela ne peut pas entraîner un changement dans leur tempérament, alors quel effet l’œuvre de Dieu a-t-elle sur eux ? Elle les amène à faire preuve d’un peu de retenue dans leur comportement, elle les aide à suivre les règles et elle les amène à avoir extérieurement une certaine ressemblance humaine. De plus, elle les rend relativement obéissants. Ils accepteront, avec réticence, d’être émondés, par souci de la grâce et des bénédictions de Dieu, et ils seront capables d’agir conformément aux règlements et aux décrets administratifs de la maison de Dieu, et c’est tout. Qu’ils parviennent à tout cela signifie-t-il qu’ils pratiquent la vérité ? Ils n’en sont pas encore là, parce que ce qu’ils font se cantonne essentiellement à ce qui est conforme aux principes des décrets administratifs de la maison de Dieu, ainsi qu’à certaines directives rigides. Il s’agit simplement d’un changement de comportement, rien de plus. Alors, peut-on dire que, puisque ces gens ont changé leur comportement, ce serait encore mieux de leur permettre de changer également leur tempérament ? (Ils n’en sont pas capables.) Ils n’en sont pas capables, ils n’y parviennent pas, voilà une raison. Et quelle est la raison la plus importante ? C’est que, fondamentalement, ils n’ont pas Dieu dans leur cœur. Ils ne croient pas à l’existence de Dieu. Alors, de tels individus peuvent-ils comprendre les paroles de Dieu ? Certains d’entre eux le peuvent, et ils disent : « Les paroles de Dieu sont bonnes, mais malheureusement, je ne parviens pas à les mettre en pratique. Les mettre en pratique est encore plus atroce que subir une opération à cœur ouvert. » Quand leurs propres intérêts sont compromis, ou quand ils doivent agir contre leur volonté, ils se sentent totalement désorientés et ne peuvent pas aller au bout des choses. Même s’ils s’épuisent complètement, ils ne parviennent tout simplement pas à mettre les paroles de Dieu en pratique. De plus, ils ne reconnaissent ou n’acceptent jamais le fait que les paroles de Dieu sont la vérité. Ils ne peuvent pas assimiler cela. Ils ne comprennent pas pourquoi les paroles de Dieu sont la vérité. Par exemple, quand Dieu dit aux gens d’être honnêtes, ils déclarent : « Très bien, je serai une personne honnête, si Tu le dis, mais pourquoi le fait d’être une personne honnête est-il considéré comme la vérité ? » Ils ne le savent pas et ne peuvent pas l’accepter. Quand Dieu dit que les gens devraient se soumettre à Lui, ils demandent : « Y a-t-il de l’argent à tirer de la soumission à Dieu ? Dieu accorde-t-Il des bénédictions quand on se soumet à Lui ? Cela permet-il de changer sa destination ? » Quoi que Dieu dise ou fasse, ils ne pensent pas qu’il s’agit de la vérité. Ils n’ont aucune idée de la signification des paroles de Dieu et des exigences qu’Il a vis-à-vis de l’homme et ils ne peuvent pas discerner quels actes sont corrects et conformes aux vérités-principes. Tout ce qui vient de Dieu – l’identité de Dieu, l’essence de Dieu, les paroles de Dieu, les exigences de Dieu – tout cela, à leurs yeux, ne peut pas être déterminé comme étant les possessions et l’être de Dieu. Ils ne savent pas que Dieu est le Créateur. Ils ne comprennent pas ce qu’est le Créateur, ou ce qu’est Dieu. N’est-ce pas problématique ? Mais c’est exactement ainsi que certains individus se comportent. D’autres disent : « Cela ne peut pas être exact. S’ils ont ces pensées et ces opinions, comment peuvent-ils, malgré tout, accomplir de leur plein gré leurs devoirs dans la maison de Dieu ? » Les mots « de leur plein gré » doivent être mis entre guillemets. Comment expliquer cela ? Dans un sens, ils accomplissent leurs devoirs parce qu’ils y sont forcés par les circonstances ou parce qu’ils ont besoin de bénédictions. Dans un autre sens, ils se disent qu’ils n’ont pas d’autre choix que de suivre le mouvement pour le moment, avec réticence, en accomplissant certains devoirs et en faisant un peu d’efforts. Dans leur cœur, ils croient que c’est ce qu’ils devraient faire, mais comme ils ne s’intéressent pas à la vérité, ils ne peuvent faire des efforts et accomplir des devoirs qu’en échange des bénédictions de Dieu. Ayant cet état d’esprit, peuvent-ils accepter la vérité ? (Non.) Ils ne comprennent même pas ce qu’est la vérité, alors comment pourraient-ils l’accepter ?

L’œuvre de jugement de Dieu dans les derniers jours est destinée à mettre un terme à cette ère. Que l’on puisse ou non être sauvé dépend de manière critique du fait que l’on peut accepter ou non le jugement et le châtiment de Dieu, et du fait que l’on peut ou non accepter la vérité. Certains reconnaissent que les paroles de Dieu sont la vérité, mais ils n’acceptent pas la vérité. Pour eux, accepter la vérité, c’est comme s’ils devaient subir une greffe du cœur. C’est à ce point qu’ils trouveraient cela atroce. Étant donné la façon dont ce genre d’individus traitent la vérité, refusant de l’accepter quoi qu’il arrive, Dieu n’est pas Celui à qui il faut reprocher de ne pas les sauver, eux seuls peuvent être tenus pour responsables de ne pas accepter la vérité. Ils n’ont pas cette bénédiction. Le fait que Dieu sauve les gens de l’influence de Satan n’est pas aussi simple que ce que les gens imaginent. D’une part, ceux qui croient en Dieu doivent accepter d’être châtiés et émondés par le biais des paroles de Dieu, c’est une première étape. D’autre part, ils doivent aussi accepter le jugement et le châtiment de Dieu, Ses épreuves et Son épurement. Le jugement et le châtiment constituent une première étape, les épreuves et l’épurement l’étape suivante. Certains individus peuvent accepter, en rechignant, d’être émondés, et se dire qu’ils sont parvenus à la soumission, puis ne pas faire d’autres progrès et ne plus s’efforcer d’atteindre la vérité. D’autres individus aiment particulièrement la vérité et peuvent endurer n’importe quelles souffrances pour obtenir celle-ci. Non seulement ils peuvent endurer le châtiment et la correction des paroles de Dieu, mais ils peuvent aussi atteindre le stade de l’acceptation du jugement et du châtiment de Dieu. Ils pensent qu’accepter le jugement et le châtiment de Dieu, c’est l’exaltation de Dieu, l’amour de Dieu, et que c’est une affaire glorieuse. Ils n’ont pas peur de souffrir. Ces gens, après avoir fait l’expérience du jugement et du châtiment, peuvent aussi accepter les épreuves et l’épurement, et toujours poursuivre la vérité. Quelle que soit l’importance des épreuves et de l’épurement, ils restent capables de voir l’amour de Dieu, et ils peuvent s’offrir eux-mêmes pour satisfaire Dieu. Peu importe le degré auquel ils sont émondés, ils ne considèrent pas cela comme une souffrance, au contraire, ils pensent qu’il s’agit là d’une forme encore plus grande de l’amour de Dieu. Après avoir fait l’expérience de nombreuses épreuves et de nombreux épurements supplémentaires, ils parviennent finalement à une purification et à une perfection complètes. Ils font ainsi l’expérience de l’œuvre de Dieu jusque dans sa phase la plus élevée. Alors, dites-Moi, y a-t-il une différence entre ceux qui croient en Dieu et qui font seulement l’expérience de l’étape de la réprimande et de la correction par Dieu grâce à Ses paroles, et ceux qui font l’expérience des deux étapes : le jugement et le châtiment par Dieu, ainsi que les épreuves et l’épurement ? Il y a assurément une différence. En ce qui concerne certains individus, Dieu S’arrête après les avoir seulement réprimandés et corrigés, laissant le reste à leur propre choix et à leur prise de conscience. S’ils n’acceptent pas la vérité et ne choisissent pas le bon chemin, qu’est-ce que cela indique ? On peut dire que Dieu n’a aucun moyen de sauver de tels individus. Certains parlent souvent de souffrir pour un travail, de souffrir pour des perspectives, de souffrir pour une maison, de souffrir pour un partenaire, de souffrir pour de l’affection : pour eux, tout est question de souffrance, et quel est le résultat final ? (Tout cela n’a aucun rapport avec la vérité.) En effet, tout cela n’a aucun rapport avec la vérité ou avec l’œuvre de Dieu. Ce que tu fais dans ce cas, c’est simplement souffrir sans but. Tu ne fais que te débattre et laisser le temps passer, sans aucun processus de prière à Dieu ou de recherche de la vérité. Ce n’est pas le genre de « souffrances » impliqué par l’épurement, parce qu’il ne s’agit pas de l’œuvre de Dieu et que cela n’a rien à voir avec Dieu. Tu ne fais que souffrir toi-même, sans passer par l’épurement de Dieu. Pourtant, tu penses quand même que c’est Dieu qui t’épure. Tu te montres excessivement optimiste. Tu prends tes désirs pour des réalités ! Tu n’es même pas qualifié pour être épuré par Dieu. Tu n’as même pas franchi l’étape du châtiment et du jugement, et tu t’attends à ce que Dieu te fasse passer par les épreuves et l’épurement. Est-ce même possible ? N’est-ce pas chimérique ? Les gens ordinaires peuvent-ils endurer les épreuves et l’épurement ? Est-ce quelque chose qu’une personne ordinaire peut accepter ? Est-ce quelque chose que Dieu accorde à une personne ordinaire ? Absolument pas. Quand Dieu corrige une personne, si cet individu, du fait de son tempérament arrogant, de son intransigeance, de sa malhonnêteté, de sa malveillance, ou de tout autre tempérament, est jugé, discipliné ou ouvertement châtié par Dieu dans un ou plusieurs domaines, ce qui fait prendre conscience à cet individu de la raison pour laquelle il est discipliné par Dieu, et qu’ensuite, cet individu acquiert une compréhension authentique de Dieu et de lui-même, son tempérament connait un véritable changement, puis, peu à peu, cet individu gagne une véritable soumission à la vérité. Ce processus est le seul que Dieu suit pour juger et châtier les gens. Sur quelle base Dieu accomplit-Il cette œuvre ? Il y a une condition : une personne qui reçoit une telle œuvre doit être capable d’accomplir son devoir de façon convenable dans la maison de Dieu. Ce caractère convenable ne requiert que deux choses : la soumission et la loyauté. D’abord, cet individu doit posséder conscience et raison. Seuls les gens doués de conscience et de raison remplissent les conditions pour accepter la vérité. Quand de tels individus possédant conscience et raison reçoivent la réprimande et la correction de Dieu, ils sont capables de chercher la vérité et de se soumettre. Ce n’est qu’ensuite que Dieu continue l’œuvre de jugement et de châtiment. Voilà comment s’enchaîne l’œuvre de Dieu. Cependant, si quelqu’un dans la maison de Dieu ne peut jamais accomplir son devoir loyalement, si cet individu ne fait pas preuve de la moindre soumission à la souveraineté de Dieu, et qu’il ne parvient pas à accomplir ses devoirs de façon convenable, alors, face à l’adversité, au fait d’être révélé ou émondé, ce dont cet individu fait l’expérience, au mieux, c’est de la correction et de la discipline par Dieu. Il n’est pas soumis au jugement et au châtiment de Dieu, et encore moins aux épreuves et à l’épurement. En d’autres termes, fondamentalement, il n’est pas impliqué dans l’œuvre de perfectionnement des gens par Dieu.

Le contenu à propos duquel nous venons d’échanger se rapporte à l’œuvre de Dieu qui consiste à sauver et parfaire les gens, aux méthodes et objets de l’œuvre de Dieu, ainsi qu’aux gens sur qui Dieu accomplit Son œuvre de jugement et de châtiment, Ses épreuves et épurements. Le contenu en question a également abordé le degré d’entrée dans la vie des gens quand ils sont soumis à cette œuvre de Dieu, et le genre d’essence que les gens doivent posséder, le genre de conditions qu’ils doivent remplir, au minimum, pour accepter le jugement et le châtiment de Dieu. Alors, quelles sont les notions des gens dans ce contexte ? Les gens se disent : « Tant que l’on suit Dieu, tant que l’on a accepté cette étape de l’œuvre de Dieu, on est forcément soumis au jugement et au châtiment de Dieu. Puis, peu après, viendront également les épreuves et les épurements de Dieu. Par conséquent, nous faisons souvent face aux épreuves, aux épurements et aux émondages, et nous sommes privés de famille, d’affection, de statut et de perspectives. Ensuite, nous souffrons continuellement pour ce qui est de l’affection, du statut et des perspectives. » Ces affirmations sont-elles exactes ? (Non.) Les gens peuvent transformer un seul mot tiré des paroles et de l’œuvre de Dieu en ce qu’ils croient être un terme spirituel. Comment cela se fait-il ? En fait, leur manière de souffrir n’est qu’une lutte, c’est simplement laisser passer le temps. Cela n’a absolument aucune signification. Mais ils considèrent qu’il s’agit là d’épreuves et d’épurements, et disent qu’il s’agit de l’épurement de Dieu. C’est une grave erreur. C’est quelque chose que les gens imposent à Dieu par la force, et cela ne représente pas du tout les intentions de Dieu. N’est-ce pas là mal comprendre Dieu ? Il s’agit en effet d’une incompréhension. Et comment pareille incompréhension apparaît-elle ? Les gens ne comprenant pas la vérité, ils ont des incompréhensions de ce genre en se fondant sur leur propre imagination. Ensuite, ils les diffusent et les répandent effrontément partout, ce qui conduit finalement à diverses affirmations sur la « souffrance ». Ainsi, J’entends souvent des gens dire : « Untel a été remplacé, puis est devenu négatif. Il “souffre pour le statut” ! » Souffrir pour le statut n’est pas faire l’expérience d’épreuves et d’épurements. Il s’agit seulement d’une personne qui perd son statut, qui souffre de frustration émotionnelle, et qui se débat avec une souffrance intérieure quand elle subit un échec. Étant donné que ce que les gens appellent « souffrance » et ce que Dieu appelle « épurement » sont des choses différentes, à quoi le véritable épurement fait-il réellement référence ? Tout d’abord, comprenez que Dieu accomplit un vaste travail préparatoire avant de soumettre les gens à des épreuves et des épurements. Pour Sa part, Il choisit des gens. Il choisit les bonnes personnes. Précédemment, nous avons discuté du genre de personnes qui est considéré comme approprié aux yeux de Dieu, et des conditions que ces personnes doivent remplir : premièrement, elles doivent au moins être pourvues de conscience et de raison dans leur humanité. Deuxièmement, elles doivent être capables d’accomplir leurs devoirs de manière adéquate, et les accomplir avec loyauté et soumission. Ensuite, elles doivent passer par des années d’émondage, de discipline et de réprimandes. Vous ne comprenez peut-être pas clairement ce que signifient la discipline et les réprimandes, car il se pourrait que ces concepts ne soient pas très puissants pour vous. Ils peuvent sembler relativement intangibles et abstraits aux gens. Mais quand il s’agit d’être émondé, c’est quelque chose que les gens peuvent entendre et ressentir. Cela implique un langage spécifique et un ton précis, de sorte que les gens savent ce qui se passe. Si quelqu’un fait quelque chose de mal, s’il va à l’encontre des principes, agit imprudemment, ou prend des décisions unilatérales qui nuisent aux intérêts de la maison de Dieu ou au travail de l’Église, et qu’il est émondé, alors voilà ce que signifie être émondé. Qu’en est-il de la correction et de la discipline, donc ? Par exemple, si quelqu’un n’est pas apte à être chef de groupe et manque de loyauté, et qu’il fait des choses qui enfreignent les vérités-principes ou les règlements de l’Église, et qu’il est ensuite remplacé, s’agit-il de correction ? C’est effectivement une forme de correction. Que cet individu soit, en apparence, géré par l’Église ou remplacé par un dirigeant, aux yeux de Dieu, tout cela est de Son fait et relève de Son œuvre. C’est une forme de correction. De plus, quand les gens sont dans un bon état, ils sont en général remplis de lumière et peuvent avoir des idées inédites. Cependant, quand leur travail s’effondre du fait de certains états ou pour une raison spécifique, et qu’ils sont révélés, n’est-ce pas là une forme de correction ? C’est également une forme de correction. Tout cela est-il considéré comme un jugement et un châtiment ? À ce stade, ce n’est pas encore considéré comme un jugement et un châtiment, donc on ne peut certainement pas considérer cela comme des épurements et des épreuves. Il s’agit seulement de corrections reçues au cours de l’accomplissement de ses devoirs. Les manifestations de la correction comportent parfois le fait d’être confronté à la maladie, ou de rater des tâches de manière répétée, ou de s’égarer dans des domaines où l’on était autrefois compétent et de ne pas savoir ce qu’il faut faire. Tout cela relève de la correction. Bien entendu, la correction transparaît parfois grâce aux indices laissés par des gens proches, ou grâce à ce qu’un certain événement révèle, qui embarrasse les gens et les amène à se réfugier dans une introspection et une réflexion profondes. Il s’agit là également de correction. Recevoir la correction de Dieu est-il une bonne ou une mauvaise chose ? (C’est une bonne chose.) En théorie, c’est une bonne chose. Que les gens puissent l’accepter ou non, c’est une bonne chose, car cela prouve au moins que Dieu te prend sous Sa responsabilité, que Dieu ne t’a pas quitté, et que Dieu œuvre en toi, en te donnant indications et direction. Le fait que Dieu œuvre en toi confirme qu’Il n’a aucune intention de t’abandonner pour l’instant. L’une des implications est qu’il se peut que Dieu continue à te corriger et à te discipliner, ou bien, si tu te comportes bien et que tu es sur le bon chemin, qu’Il te soumette au jugement et au châtiment. Mais ne nous avançons pas trop. Pour le moment, Dieu te corrigera et te disciplinera à de nombreuses reprises. Puis, parce que tu poursuis la vérité, parce que tu es soumis et parce que tu es la bonne personne, Dieu te soumettra au jugement et au châtiment. Voilà la première étape. La plupart des gens ont déjà fait l’expérience d’un simple émondage. Seuls les nouveaux arrivants n’en ont pas encore fait l’expérience. La plupart du temps, les gens agissent en se fondant sur ce qu’ils ressentent dans leur conscience, en éprouvant intérieurement des remords, en sentant les paroles de Dieu qui leur donnent des indications, à leur oreille ou dans leur cœur : « Je ne devrais pas faire cela, c’est de la rébellion », voilà les paroles de Dieu qui leur donnent des indications, qui les exhortent et les avertissent. Il existe diverses formes d’émondage dont les gens font l’expérience : cet émondage peut émaner de dirigeants et d’ouvriers, de frères et de sœurs, du Supérieur, et même directement de Dieu. Beaucoup de gens ont fait ces expériences, mais moins nombreux sont ceux qui ont fait l’expérience de la correction et de la discipline de Dieu. Que signifie « moins nombreux » ? Cela implique que bien plus de gens sont loin de recevoir le jugement et le châtiment de Dieu. Et qu’en est-il des épreuves et épurements de Dieu ? Ces gens en sont encore plus loin. Le fossé est encore plus large, la distance encore plus grande. Autrefois, les gens pensaient : « Dieu m’a jugé et châtié, j’en ai eu des aphtes dans la bouche », « Dieu m’a jugé et châtié, j’ai commis une erreur, j’ai parlé à tort, et j’ai eu la migraine pendant des jours. Maintenant, je comprends ce que sont le jugement et le châtiment de Dieu », ne s’agit-il pas là d’incompréhensions ? Ce genre d’incompréhension au sujet de Dieu est la plus courante. La plupart des gens comprennent mal Dieu de cette façon. Cette incompréhension a également certains effets négatifs, elle mène les gens à penser que dire la moindre parole de travers aura pour conséquence la discipline de Dieu. C’est purement et simplement mal comprendre Dieu, et c’est complètement contradictoire avec ce que Dieu fait. En ayant de telles incompréhensions au sujet de Dieu, les gens peuvent-ils, en fin de compte, répondre à Ses exigences ? Ils ne seront assurément pas à la hauteur.

À présent, la plupart des gens ont fait l’expérience de la correction et de la discipline de Dieu, ils ont fait l’expérience de l’émondage et ont reçu des indications et l’exhortation des paroles de Dieu, mais c’est tout. Une question se pose : pourquoi les gens n’ont-ils pas fait l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu, même après avoir fait ces expériences et atteint cette étape ? Pourquoi l’émondage, les indications données par les paroles de Dieu, ou la discipline et la correction de Dieu ne sont-ils pas considérés comme un jugement et un châtiment ? En ce qui concerne les indications données par les paroles de Dieu, l’émondage, la correction et la discipline dont les gens ont fait l’expérience, quel résultat a été atteint ? (Ces gens ont gagné des restrictions portant sur leur comportement apparent.) Certains changements se sont produits dans leur comportement, mais cela indique-t-il un changement dans leur tempérament ? (Non.) Cela n’indique pas un changement dans leur tempérament. Certains disent : « Nous croyons en Dieu depuis tant d’années et avons écouté tant de sermons, pourtant, nos tempéraments n’ont toujours pas changé. N’avons-nous pas été lésés ? Nous n’avons connu qu’un petit changement dans notre comportement, n’est-ce pas vraiment pitoyable ? Quand Dieu va-t-Il commencer à nous sauver ? Quand recevrons-nous le salut ? » Alors, discutons des gains et des changements réalisés par ceux qui ont fait l’expérience de ces divers aspects de l’œuvre de Dieu. À l’instant, quelqu’un a mentionné les changements de comportement. C’est une remarque générale. Pour être plus précis, quand les gens arrivent dans l’Église et acceptent leurs devoirs, ils n’ont pas été émondés, et ils sont aussi hérissés d’épines que des cactus, ils veulent avoir le dernier mot sur tout. Ils se disent : « Maintenant que je crois en Dieu, j’ai des droits et une liberté dans l’Église, alors je vais agir comme bon me semble. » Finalement, une fois qu’ils ont subi une série d’émondages et de mesures de discipline, et une fois qu’ils ont lu les paroles de Dieu, écouté des sermons et entendu des échanges sur la vérité, ils n’osent plus se comporter de cette façon. En fait, ils ne sont pas devenus complètement dociles, ils ont juste gagné un tout petit peu de bon sens et en sont venus à comprendre certaines doctrines. Quand les autres disent des choses qui s’alignent sur la vérité, ils sont capables de reconnaître la justesse de leurs propos, et même s’ils ne comprennent pas bien ces choses, ils peuvent les accepter. Ne sont-ils pas alors bien plus dociles qu’ils ne l’étaient ? Qu’ils soient capables d’accepter ces choses démontre que leur comportement a subi des transformations. Comment ces changements se sont-ils produits ? Ils résultent de l’exhortation, des indications et aussi du réconfort offerts par les paroles de Dieu. Parfois, de tels individus ont besoin de discipline, d’émondages, ils ont aussi besoin d’échanges sur les principes et qu’on leur dise qu’une tâche doit être faite d’une certaine façon et pas d’une autre. Ils se disent : « Je dois l’accepter. La vérité est là, bien en évidence, qui oserait s’y opposer ? » Dans la maison de Dieu, Dieu est grand, la vérité est grande et la vérité règne ; ce fondement théorique en a réveillé certains et leur a permis de gagner une compréhension de ce que veut dire avoir foi en Dieu. Prenez quelqu’un qui, au départ, était barbare et dissolu, sans aucune retenue, et ignorant quant aux règles, à la croyance en Dieu, à la maison de Dieu, à l’Église et aux principes concernant l’accomplissement de son devoir : quand un tel individu, qui ne sait rien, arrive à la maison de Dieu plein de gentillesse et d’enthousiasme, débordant de « grandes » aspirations et d’espoirs, et qu’il y est encouragé et exhorté, abreuvé et nourri, émondé par les paroles de Dieu, et qu’il est châtié et discipliné, encore et encore, peu à peu, des changements apparaissent dans l’humanité de cet individu. Quels sont ces changements ? Cet individu en vient à comprendre en partie les principes du comportement humain, il en vient à comprendre que, dans le passé, il était plutôt dépourvu de ressemblance humaine ; il était barbare, arrogant, rebelle et indigné ; il ne parlait pas comme un réel être humain et agissait sans règles, et ne savait pas chercher la vérité ; il pensait qu’avoir foi en Dieu revenait simplement à faire tout ce que Dieu demande et à aller partout où Il le dit. Autrement dit, il avait en lui une vigueur barbare, tout en croyant que c’était là faire preuve de loyauté et d’amour envers Dieu. Désormais, cet individu renie toutes ces choses et sait qu’il s’agissait de produits de l’imagination humaine, de simples bons comportements, et que certaines de ces choses émanaient même de Satan. Ceux qui croient en Dieu doivent écouter Ses paroles et mettre la vérité au-dessus de tout le reste, laissant celle-ci exercer le pouvoir sur toutes choses. En bref, tous les individus ont déjà compris et reconnu cela, théoriquement. Et dans les profondeurs de leur cœur, ils ont accepté que ces paroles que Dieu a prononcées sont correctes – qu’elles sont la vérité, la réalité des choses positives – peu importe à quel point elles ont profondément pris racine dans leur cœur et à quel point elles ont joué un grand rôle. Ensuite, après avoir subi un certain degré de châtiment et de discipline intangibles, une véritable foi émerge dans leur conscience, dans une certaine mesure. Ils passent des vagues produits de leur imagination initiaux au sujet de Dieu au sentiment qu’ils éprouvent désormais – qu’il y a un Dieu et qu’Il est tout à fait concret. Et une fois que les gens éprouvent ces sentiments dans leur foi en Dieu, leurs pensées et leurs points de vue, leurs façons d’examiner les choses, leurs normes morales, ainsi que leurs manières de penser, se mettront peu à peu à changer. Par exemple, Dieu demande aux gens d’être honnêtes. Même si tu peux encore mentir et être malhonnête, au fond de toi, tu sais que la malhonnêteté est quelque chose de mal et que mentir à Dieu et Le tromper est un péché, un tempérament malveillant, mais tu ne peux pas t’en empêcher. Par exemple, supposons que tu aies encore un tempérament arrogant actuellement. Parfois, tu ne peux pas te maîtriser, tu révèles souvent ce tempérament et tu te rebelles souvent contre Dieu, voulant sans cesse dominer, agir unilatéralement et avoir le dernier mot. Mais tu sais également qu’il s’agit là d’un tempérament corrompu, et tu peux prier Dieu à ce sujet. Même s’il n’y a pas de transformation visible, ton comportement a peu à peu commencé à changer. Même sans passer par le jugement et le châtiment, et même si ton tempérament n’a pas changé, la vérité et les paroles de Dieu illuminent progressivement les profondeurs de ton cœur, tout en guidant et en modifiant ton comportement, te faisant vivre de plus en plus comme un être humain, éveillant peu à peu ta conscience. Si tu fais quelque chose qui trahit ta conscience, tu te sentiras mal à l’aise dans ton cœur. Évoquer cette question te fait ressentir quelque chose. Tu n’es pas aussi insensible qu’avant, tu es plein de regrets et tu es disposé à te corriger toi-même. Même si tu ne peux pas changer immédiatement ton tempérament à cet égard, si cela concerne ton état, tu peux être conscient que tu as cet état. Tu en as conscience et cette conscience change ton comportement. Un tel changement est uniquement un changement de comportement. Même s’il se produit et continue de se produire, il ne correspond pas à un changement de tempérament. Il ne s’agit absolument pas d’un changement de tempérament. Il se pourrait que certaines personnes se sentent mal à l’aise après avoir entendu cela, et qu’elles disent : « C’est un changement vraiment significatif et ce n’est quand même pas un changement de tempérament ? Alors qu’est-ce qu’un changement de tempérament ? Quels changements relèvent d’un changement de tempérament ? » Laissons cela de côté pour le moment, continuons à discuter des changements auxquels les gens sont déjà parvenus, qui sont l’effet et le résultat des paroles de Dieu et de tout ce que Dieu a fait au sein des gens. Les gens travaillent dur pour changer leurs pensées et leurs opinions qui ne s’alignent pas sur la vérité. Face à des questions, ils auront une conscience. Ils compareront une question à la vérité, en disant : « Cette question n’est pas conforme à la vérité, mais je ne peux pas encore abandonner mon opinion, elle est toujours là. » Tu as seulement pris conscience et appris que ton opinion ne s’alignait pas sur les paroles de Dieu. Cela prouve-t-il que ton opinion a déjà changé ou qu’elle a été abandonnée ? Non. Ton opinion n’a pas changé et n’a pas été abandonnée, ce qui prouve que ton tempérament corrompu reste intact et qu’il n’a pas commencé à changer. C’est seulement que ta conscience et ton cœur intime ont déjà accepté les paroles de Dieu et qu’ils les considèrent comme la vérité. Mais tout cela est purement théorique et il s’agit d’un souhait subjectif : les paroles de Dieu ne sont pas encore devenues ta vie et ne sont pas encore devenues ta réalité. Quand les paroles de Dieu deviendront ta réalité, tu abandonneras tes opinions, et tu traiteras l’ensemble des personnes, événements et choses, ainsi que tout ce qui se passe autour de toi, en utilisant les opinions des paroles de Dieu.

À quel stade en est désormais votre entrée dans la vie ? Tu es déjà parvenu à savoir que tes opinions sont erronées, mais tu te fies encore à celles-ci pour vivre, et tu les utilises pour mesurer l’œuvre de Dieu. Tu utilises tes pensées et tes opinions pour porter un jugement sur les circonstances que Dieu met en place pour toi, et tu traites la souveraineté de Dieu par le biais de tes pensées et de tes opinions. Est-ce conforme aux vérités-principes ? N’est-ce pas absurde ? Les gens ne comprennent qu’une toute petite part de doctrine, pourtant, ils souhaitent évaluer les actes de Dieu. N’est-ce pas incroyablement arrogant ? À présent, tu reconnais simplement que les paroles de Dieu sont bonnes et justes et, si l’on regarde ton comportement extérieur, tu ne fais pas de choses qui vont clairement à l’encontre de la vérité, et encore moins de choses qui portent un jugement sur l’œuvre de Dieu. Tu es également capable de te soumettre aux arrangements de travail de la maison de Dieu. C’est passer du statut de non-croyant à celui de disciple de Dieu avec la décence d’un saint. Tu passes du statut de personne qui vit résolument selon les philosophies de Satan et selon les concepts, les lois et les connaissances de Satan au statut de personne qui, ayant entendu les paroles de Dieu, pense que celles-ci sont la vérité et les accepte, et qui poursuit la vérité, devenant une personne capable d’embrasser les paroles de Dieu comme sa vie. C’est ce genre de processus, rien de plus. Pendant cette période, ton comportement et tes façons de faire subiront certainement quelques changements. Peu importe à quel point tu changes, ce qui se manifeste en toi n’est, pour Dieu, rien de plus que des changements dans ton comportement et tes méthodes, des changements dans tes désirs et aspirations les plus intimes. Il ne s’agit de rien de plus que de changements dans tes pensées et opinions. Tu es peut-être capable maintenant d’offrir ta vie à Dieu quand tu rassembles tes forces et que tu en as l’envie, mais tu ne peux pas parvenir à une soumission absolue à Dieu dans un domaine que tu trouves particulièrement déplaisant. Voilà la différence entre un changement de comportement et un changement de tempérament. Peut-être que ton bon cœur te permet de sacrifier ta vie et toutes choses pour Dieu, en disant : « Je suis prêt et disposé à renoncer au sang de ma vie pour Dieu. Dans cette vie, je n’ai ni regrets ni plaintes ! J’ai renoncé au mariage, aux perspectives mondaines, à toute gloire et à toute richesse, et j’accepte ces circonstances que Dieu a arrangées. Je peux supporter toutes les moqueries et les calomnies du monde. » Mais dès que Dieu arrange des circonstances qui ne correspondent pas à tes notions, tu te dresses et tu vocifères contre Lui, et tu Lui résistes. Voilà la différence entre un changement de comportement et un changement de tempérament. Il est également possible que tu sacrifies ta vie pour Dieu et que tu renonces aux personnes et aux choses que tu aimes le plus, ou à ce que tu aimes le plus, à ce que ton cœur supporte le moins de quitter, mais quand tu es appelé à parler à Dieu du fond du cœur et à être une personne honnête, tu trouves cela très difficile et tu en es incapable. Voilà la différence entre un changement de comportement et un changement de tempérament. Cela dit, peut-être que tu n’as pas envie de confort charnel dans cette vie, ni de manger de la cuisine raffinée, ni de porter de beaux vêtements, en travaillant chaque jour jusqu’à l’épuisement dans ton devoir. Tu peux supporter toutes sortes de souffrances apportées par la chair, mais si les arrangements de Dieu ne correspondent pas à tes notions, tu ne peux pas comprendre, et des griefs contre Dieu et des incompréhensions à Son sujet surgissent en toi. Ta relation avec Dieu devient de plus en plus anormale. Tu te montres sans cesse résistant et rebelle, incapable de te soumettre complètement à Dieu. Voilà la différence entre un changement de comportement et un changement de tempérament. Tu es prêt à renoncer à ta vie pour Dieu, alors pourquoi ne peux-tu pas Lui dire une parole honnête ? Tu es prêt à mettre de côté tout ce qui est en dehors de toi, alors pourquoi ne peux-tu pas être singulièrement fidèle à la commission que Dieu t’a confiée ? Tu es prêt à renoncer à ta vie pour Dieu, alors, quand tu te fies à tes sentiments pour agir et que tu maintiens tes relations avec les autres, pourquoi ne peux-tu pas réfléchir sur toi-même ? Pourquoi ne peux-tu pas prendre position pour défendre le travail de l’Église et les intérêts de la maison de Dieu ? Est-ce quelqu’un qui vit devant Dieu ? Tu as déjà fait le vœu devant Dieu de te dépenser pour Lui toute ta vie et d’accepter toute souffrance qui se présente à toi, alors pourquoi un seul cas de renvoi de ton devoir te fait-il tellement sombrer dans la négativité que tu n’arrives pas à refaire surface pendant des jours ? Pourquoi ton cœur est-il plein de résistance, de griefs, d’incompréhension et de négativité ? Que se passe-t-il ? Cela montre que ce que ton cœur aime le plus, c’est le statut, et que tout cela est lié à ta faiblesse vitale. Par conséquent, quand tu es renvoyé, tu chutes et ne parviens pas à te relever. C’est suffisant pour prouver que, même si ton comportement a changé, ce n’est pas le cas de ton tempérament de vie. Voilà la différence entre un changement de comportement et un changement de tempérament.

La plupart des gens affichent un bon comportement, à l’heure actuelle, mais très peu d’entre eux cherchent ou acceptent la vérité, et pratiquement aucun d’entre eux ne fait preuve de véritable soumission. De ce point de vue, beaucoup de gens font simplement l’expérience de changements de comportement et de changements dans leurs pensées et dans leurs opinions. Ils sont disposés et aspirent à accepter la souveraineté de Dieu et ils sont prêts à s’y soumettre, ils ne nourrissent aucun ressentiment dans leur cœur. Dites-Moi, ces gens ont-ils fait l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu ? (Non.) Malheureusement, les témoignages d’expérience que vous avez partagés précédemment n’impliquent pas le jugement et le châtiment de Dieu. Aucun de ces individus n’est à la hauteur des exigences de Dieu. Tant que tu n’as pas fait l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu, ton tempérament n’a pas commencé à changer. Si ton tempérament n’a pas commencé à changer, alors les changements que tu perçois sont seulement des changements comportementaux. De tels changements comportementaux sont imputables à ta propre coopération, ils sont dus en partie à ta bonne humanité, et ils sont l’effet de l’œuvre de Dieu. Pensez-vous vraiment que Dieu ne va aller que jusque-là en sauvant les gens ? (Non.) Alors, que fera Dieu, ensuite ? Quelle est l’œuvre principale que Dieu entreprend quand Il sauve les gens ? (Celle du jugement et du châtiment.) La méthode principale que Dieu utilise pour sauver les gens est le jugement et le châtiment. Mais malheureusement, presque personne n’a encore été capable d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu. Par conséquent, l’œuvre de Dieu qui consiste à sauver les gens, à les parfaire et à changer leurs tempéraments n’a pas encore officiellement commencé. Pourquoi n’a-t-elle pas officiellement commencé ? Parce que cette œuvre de Dieu ne peut pas encore se réaliser chez les gens. Pourquoi ne peut-elle pas se réaliser ? Parce que, étant donné l’état et la stature actuels des gens, et ce dont ils sont actuellement capables, ils sont encore loin d’être à la hauteur des normes requises par Dieu, de sorte que Dieu ne peut pas poursuivre Son œuvre. Cela veut-il dire que Dieu va interrompre Son œuvre ? Non, Dieu attend. Que fait-Il également, tout en attendant ? Il purifie l’Église, la purgeant de ceux qui interrompent et perturbent, des antéchrists, des esprits malfaisants, des gens malfaisants, des incrédules, de ceux qui ne croient pas sincèrement en Lui, et de ceux qui ne peuvent même pas simplement trimer. C’est ce que l’on appelle « dégager le terrain ». On appelle cela également « sélectionner ». Durant cette période, l’œuvre principale de Dieu consiste-t-elle à dégager le terrain ? Non, au cours de cette période, Dieu continuera à œuvrer en vous en vous encourageant par Ses paroles et en vous abreuvant, en vous nourrissant, en vous émondant, en vous corrigeant et en vous disciplinant. Dans quelle mesure ? C’est seulement quand les gens rempliront les conditions de base pour pouvoir accepter le jugement et le châtiment que Dieu commencera l’œuvre de jugement et de châtiment. Maintenant, dites-Moi, en vous fondant sur vos spéculations et vos jugements, quelles conditions les gens doivent-ils remplir avant que Dieu commence l’œuvre de jugement et de châtiment ? Tu peux voir que Dieu fait tout au moment voulu. Il n’œuvre pas n’importe comment. Son œuvre de gestion suit le plan qu’Il a établi et Il fait tout étape par étape, et non pas n’importe comment. Et qu’en est-il de ces étapes ? Chaque étape de l’œuvre que Dieu fait sur les gens doit prendre effet, et quand Dieu constate que c’est le cas, Il passe à l’étape suivante de l’œuvre. Dieu sait comment Son œuvre peut prendre effet, ce qu’Il doit dire et faire. Il accomplit Son œuvre conformément aux besoins des gens, et non pas n’importe comment. Toute œuvre qui est efficace chez les gens, Dieu l’accomplit, et tout ce qui est insignifiant en termes d’efficacité, Dieu ne le fait certainement pas. Par exemple, quand il y a besoin de démonstrations négatives par le biais desquelles le peuple élu de Dieu peut développer son discernement, alors apparaîtront dans l’Église de faux christs, des antéchrists, des esprits malfaisants, des gens malfaisants, des gens qui interrompent et perturbent, par le biais desquels les autres pourront développer leur discernement. Si le peuple élu de Dieu comprend la vérité et peut discerner de telles personnes, alors ces personnes auront rendu service et leur existence n’aura plus de valeur. À ce moment-là, le peuple élu de Dieu se lèvera pour les exposer et les signaler, et l’Église les renverra. Toute l’œuvre de Dieu suit des étapes, et toutes ces étapes sont arrangées par Dieu sur la base de ce dont l’homme a besoin dans sa vie et sur la base de sa stature. De quoi les gens ont-ils vraiment besoin, et pourquoi des antéchrists et des individus malfaisants apparaissent-ils dans l’Église ? Les gens sont en général désorientés par ces questions et ne comprennent pas de quoi elles retournent. Certaines personnes, ne comprenant pas l’œuvre de Dieu, nourrissent des notions, et vont même jusqu’à se plaindre, en disant : « Comment des antéchrists peuvent-ils apparaître dans l’Église de Dieu ? Pourquoi Dieu ne S’en occupe-t-Il pas ? » Ce n’est que lorsqu’elles lisent les paroles de Dieu qui déclarent que ces événements ont pour but d’amener les gens à en tirer des leçons et à développer leur discernement que ces personnes ont une soudaine révélation et comprennent les intentions de Dieu. Au début, les gens manquent de discernement à l’égard des individus malfaisants. Quand l’Église expulse de tels individus, ces gens conçoivent des notions. Ils pensent que ceux qui ont été expulsés ont fait de nombreuses offrandes et qu’ils ont été capables d’endurer des souffrances, et ces gens se disent que les individus en question n’auraient pas dû être expulsés. Puis ils se mettent à résister à ce que Dieu a fait. Mais après avoir fait des expériences pendant un certain temps, les gens gagnent une compréhension de la vérité et ils acquièrent une capacité à discerner les individus malfaisants. Désormais, quand un individu malfaisant est expulsé, ils ne conçoivent plus de notions ou ne résistent plus. Quand ils voient de nouveau un individu malfaisant commettre des actes malfaisants, ils peuvent identifier cette personne, et tout le monde collabore pour la signaler et l’exclure avant que des dégâts significatifs aient été commis. Ces individus malfaisants ne sont alors plus implantés dans la maison de Dieu. Comment parvient-on à cela ? Comment ce discernement apparaît-il chez les gens ? C’est le fait de Dieu. Sans l’œuvre de Dieu, les gens ne pourraient pas comprendre ces choses. L’œuvre de Dieu se déroule dans un certain ordre et les étapes de cette séquence sont déterminées par ce dont la vie humaine a besoin. Mais les gens eux-mêmes ne savent pas clairement de quoi ils ont réellement besoin, ils ont l’esprit confus. Par conséquent, Dieu ne peut que poursuivre Son œuvre, en arrangeant nombre d’occasions pour que les gens en tirent des leçons, leur permettant ainsi d’entrer dans la vérité-réalité et de parvenir aux résultats qu’Il exige. Que les gens comprennent ou non, Dieu poursuit Son œuvre infatigablement : voilà l’amour de Dieu. Il en va de même quand Dieu émonde quelqu’un : si cette personne commet une erreur, Dieu l’émonde. Si elle commet de nouveau cette erreur, Dieu l’émonde de nouveau. Si cette personne est révélée de nouveau, Dieu l’émonde une fois de plus. Dieu œuvre patiemment jusqu’à ce que la personne gagne véritablement une compréhension, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus engourdie, qu’elle devienne aussi sensible que si elle touchait un fil sous tension quand elle rencontre de nouveau des situations semblables, et jusqu’à ce qu’elle ne commette plus d’erreurs. C’est alors suffisant, et Dieu interrompra Son œuvre. Quand, en rencontrant de nouveau ces questions, tu pourras les gérer de façon autonome et conformément aux principes, Dieu n’aura plus à S’inquiéter. Cela prouvera que tu as compris les paroles de Dieu et la vérité de Dieu, que tu les as embrassées dans ton cœur, et qu’elles sont devenues ta vie. À ce stade, Dieu interrompra Son œuvre. Voilà les étapes de l’œuvre de Dieu, et après en avoir fait l’expérience, tu verras l’essence et la sagesse de Dieu. C’est indéniable et absolument certain.

Il a été mentionné à l’instant que les étapes de l’œuvre de Dieu étaient liées au changement de tempérament des gens. L’œuvre de Dieu ne consiste pas à laisser les gens connaître un léger changement de comportement, comprendre certaines règles et avoir une certaine ressemblance humaine, puis à déclarer qu’il s’agit là d’une réussite formidable. Si c’était le cas, l’œuvre se serait déjà conclue à l’ère de la Grâce. Que veut Dieu ? (Le changement de tempérament des gens.) C’est exact, le changement de tempérament est ce que devraient posséder les gens qui sont véritablement sauvés. Ce que Dieu veut, ce n’est pas simplement un changement de comportement des gens, mais de manière plus importante encore, Il veut un changement de tempérament de leur part. C’est la norme pour être sauvé. Certains changements de comportement ont également été mentionnés, à l’instant, comme celui qui se traduit par le fait d’être capable de renoncer aux choses et de sacrifier sa vie pour Dieu. Il s’agit là de changements comportementaux évidents. Mais s’il n’y a pas de loyauté vis-à-vis des commissions de Dieu, si on peut encore agir de manière superficielle et qu’il y a encore de la tromperie, cela signifie qu’il n’y a pas encore eu de changement de tempérament. Les gens ne sont alors louables que pour leur comportement. Leur attitude semble davantage correspondre à celle d’un saint, ils se comportent avec davantage d’humanité, et ils sont pourvus d’une certaine dignité et d’une certaine intégrité. Cependant, quelqu’un a beau faire la démonstration d’un bon comportement, si ce n’est pas lié à la pratique de la vérité et que ce n’est pas vécu à partir de sa conscience, de sa raison et de son humanité normale, alors cela n’a rien à voir avec un changement de tempérament, et ce n’est pas ce que Dieu veut. Si l’on examine les choses de cette façon, en ce qui concerne votre comportement actuel, peu importe à quel point vous respectez les règles, peu importe à quel point vous vous montrez dociles, peu importe dans quelle mesure vous seriez prêts à sacrifier votre vie, et peu importe la grandeur de vos aspirations, avez-vous été capables de rendre Dieu satisfait ? Avez-vous répondu aux exigences de Dieu ? (Non.) Est-ce que les exigences de Dieu sont trop élevées ? Certains pensent : « Les gens sont si dociles à présent, comment se fait-il qu’ils n’aient pas encore répondu aux exigences de Dieu ? » Qu’en pensez-vous ? Cette docilité est-elle de la soumission ? (Non.) En effet. Cette docilité actuelle, c’est seulement faire preuve d’un peu de rationalité, et tout cela est le résultat de la discipline de Dieu. C’est entièrement l’effet produit par la discipline de Dieu. C’est seulement après que Dieu a prononcé avec soin autant de paroles que la conscience des gens s’est trouvée éveillée, que le sens de la conscience des gens a été éveillé, et qu’ils se sont mis à vivre une certaine ressemblance humaine, à respecter certaines règles en agissant, à savoir se renseigner sur tout ce qu’ils font, et à éprouver un peu de remords quand ils agissent contre les principes. En résumé, les changements de comportement ne leur permettent pas de remplir les conditions nécessaires pour recevoir le jugement et le châtiment de Dieu. Dieu ne veut pas le changement comportemental des gens. Alors, que veut-Il ? Il veut leur changement de tempérament. Et que sont précisément les manifestations d’un changement de tempérament ? À quel point doivent-ils changer dans divers domaines pour être qualifiés en vue du jugement et du châtiment de Dieu ? Ils doivent changer au point que Dieu peut voir les performances de ces personnes dans tous les domaines : ils peuvent en particulier accomplir leurs devoirs convenablement, et ils peuvent accepter d’être émondés, ils peuvent chercher la vérité en toutes choses, ils peuvent suivre Dieu quand ils font face aux tribulations et aux épreuves, et fondamentalement, ils peuvent accepter tout ce que Dieu dit et s’y soumettre. Même quand les autres ne les supervisent pas, et quand ils sont soumis à des tentations, ils peuvent s’abstenir de faire de mauvaises choses, ne pas faire le mal, même un peu. Aux yeux de Dieu, de telles personnes sont à la hauteur de la norme. Elles sont qualifiées pour recevoir formellement Son jugement et Son châtiment, qui est l’étape suivante de Son œuvre consistant à les sauver et à les perfectionner. De quel genre de signe, de quel genre de norme s’agit-il ? Le savez-vous ? (J’ai pensé que, par le biais de la correction et de la discipline de Dieu, une personne pouvait progressivement retrouver sa conscience et sa raison, et qu’en associant cela à certains changements de son comportement, elle pouvait finalement être capable d’accomplir ses devoirs loyalement. Il se pourrait que Dieu commence alors l’œuvre de jugement et de châtiment sur cette personne.) Êtes-vous tous d’accord avec cette affirmation ? (Oui.) Bien, mais ce n’est là qu’une première condition. Avant que Dieu ne réalise l’œuvre de jugement et de châtiment sur quelqu’un, Il évaluera cette personne. Comment l’évalue-t-Il ? Dieu a plusieurs normes. D’abord, Il observe l’attitude de cette personne vis-à-vis de Ses commissions, autrement dit, son attitude vis-à-vis des devoirs qu’elle devrait accomplir, et si elle peut accomplir ses devoirs de tout son cœur, au mieux de ses capacités, et avec loyauté. Bref, Il observe si les gens sont capables de satisfaire à la norme pour ce qui est d’accomplir convenablement leur devoir. Voilà le premier aspect. Ceci est directement lié à la vie de croyance en Dieu et au travail quotidien auxquels les gens se livrent. Pourquoi Dieu fixe-t-Il cet aspect comme condition, comme norme d’évaluation ? Quelle en est la raison ? Le savez-vous ? Quand Dieu confie une tâche à quelqu’un, l’attitude de cette personne est essentielle. C’est ainsi que Dieu évalue la personne. Cette tâche lui est confiée par Dieu. Comment une personne ayant une conscience traiterait-elle cette tâche, par opposition à une personne qui en serait dépourvue ? Comment une personne rationnelle traiterait-elle cette tâche, par opposition à une personne irrationnelle ? Il y a une distinction à faire entre ces choses. La conscience et la rationalité sont des caractéristiques que l’humanité d’une personne doit posséder. En dehors de cela, n’avoir qu’un peu de sens de la conscience ou un peu de rationalité n’est pas suffisant. Si les gens retrouvent leur conscience et leur rationalité, ressemblent-ils alors à des êtres humains ? Ont-ils ainsi atteint la vérité-réalité ? Non, ce n’est toujours pas suffisant. Dieu observe également le chemin que les gens suivent durant la période d’accomplissement de leur devoir. Quel genre de chemin suivi par les gens peut satisfaire à la norme requise par Dieu ? D’abord, la norme minimum est de ne pas faire le mal et d’être soumis en accomplissant son devoir. Si l’on est capable de faire le mal, on est complètement fichu. On n’est pas le type de personne que Dieu veut sauver. De plus, quand on traite les commissions de Dieu, outre les gérer avec conscience et rationalité, il est encore plus nécessaire de chercher la vérité et de comprendre les intentions de Dieu. Quelles que soient les circonstances, et que la question à laquelle tu es confronté s’aligne ou non sur tes notions et sur les produits de ton imagination, tu dois conserver une attitude de soumission. À ce moment critique, ce que Dieu désire, c’est ton attitude soumise. Si tu te contentes de reconnaître que toutes les paroles de Dieu sont la vérité et qu’elles sont correctes, s’agit-il là d’une attitude de soumission ? Absolument pas. Quel est l’aspect concret d’une attitude de soumission ? Ceci : tu dois te résoudre à accepter les paroles de Dieu. Même si ton entrée dans la vie est superficielle, que ta stature est insuffisante et que ta connaissance de l’aspect concret de la vérité n’est pas encore suffisamment approfondie, tu restes capable de suivre Dieu et de te soumettre à Lui, c’est là une attitude de soumission. Avant que tu puisses parvenir à la soumission totale, tu dois d’abord adopter une attitude de soumission, autrement dit, tu dois accepter les paroles de Dieu, être convaincu qu’elles sont justes, prendre les paroles de Dieu comme vérité et comme principes de la pratique, et être capable de les défendre en tant que règles, même quand tu ne saisis pas bien les principes. C’est une sorte d’attitude de soumission. Parce que ton tempérament actuel n’a toujours pas changé, si tu veux parvenir à une authentique soumission à Dieu, tu dois d’abord avoir une mentalité de soumission, aspirer à te soumettre, et dire : « Je me soumettrai quoi que Dieu fasse. Je ne comprends pas beaucoup de la vérité, mais je sais que lorsque Dieu me dira ce que je dois faire, je le ferai. » Dieu voit cela comme une attitude de soumission. Certains disent : « Et si j’ai eu tort de me soumettre à Dieu ? » Dieu est-Il capable d’être dans l’erreur ? Dieu est vérité et justice. Dieu ne commet pas d’erreur. Il y a simplement de nombreuses choses que Dieu fait qui ne s’alignent pas sur les notions des gens. Tu devrais dire : « Peu importe si ce que Dieu fait s’aligne ou non sur mes propres notions, je vais simplement m’attacher à écouter, à me soumettre, à accepter et à suivre Dieu. C’est ce que je devrais faire en tant qu’être créé. » Même si certaines personnes jugent que tu te soumets aveuglément, tu ne dois pas t’en soucier. Ton cœur est certain que Dieu est vérité, et que tu devrais te soumettre. C’est juste, et c’est en ayant cette sorte de mentalité que l’on doit se soumettre. Seuls ceux qui ont une telle mentalité peuvent gagner la vérité. Si tu n’as pas une mentalité de ce genre, et que tu dis : « Je ne tolère pas que les autres m’irritent. Personne ne va me berner. Je suis trop malin et on ne peut pas me forcer à me soumettre à quoi que ce soit ! Quelle que soit l’occasion qui se présente à moi, je dois l’examiner et l’analyser. C’est seulement quand cela s’alignera sur mes opinions et que je pourrai l’accepter que je me soumettrai », s’agit-il là d’une attitude de soumission ? Il ne s’agit pas d’une attitude de soumission. C’est ne pas avoir une mentalité soumise, c’est n’avoir dans son cœur aucune intention de se soumettre. Si tu dis : « Même s’il s’agit de Dieu, je dois quand même examiner la question. Je réserve le même traitement aux rois et aux reines. Ce que Tu me dis ne sert à rien. Il est vrai que je suis un être créé, mais je ne suis pas un idiot, donc ne me traite pas comme si j’en étais un », alors c’est fini pour toi. Tu ne remplis pas les conditions pour accepter la vérité. Ces personnes n’ont aucune rationalité. Elles ne possèdent pas une humanité normale. Ne sont-elles pas alors des bêtes ? Sans rationalité, comment quelqu’un peut-il parvenir à la soumission ? Pour parvenir à la soumission, on doit d’abord posséder une mentalité soumise. Ce n’est qu’en ayant une mentalité de soumission qu’une personne peut avoir la moindre rationalité digne de ce nom. Si elle n’a pas une mentalité de soumission, alors elle n’a aucune rationalité. Les gens sont des êtres créés. Comment peuvent-ils voir le Créateur clairement ? Toute l’humanité n’a pas été capable de déchiffrer l’une des idées de Dieu pendant 6 000 ans, alors comment les gens peuvent-ils comprendre instantanément ce que Dieu fait ? Tu ne peux pas le comprendre. Il y a de nombreuses choses que Dieu fait depuis des milliers d’années, et qu’Il a déjà révélées à l’humanité, mais s’Il ne les avait pas expliquées dans le détail aux gens, ces derniers ne les comprendraient toujours pas. Il se peut que tu comprennes Ses paroles dans un sens littéral maintenant, mais tu ne les comprendras réellement un peu que vingt ans plus tard. Voilà l’importance de l’écart entre les gens et ce que Dieu exige. À la lumière de tout cela, les gens devraient posséder rationalité et mentalité de soumission. Les gens ne sont que des fourmis et des vers, pourtant, ils souhaitent voir clairement le Créateur. C’est une chose des plus déraisonnables. Certains se plaignent sans cesse que Dieu ne leur révèle pas Ses mystères, qu’Il n’explique pas la vérité directement, qu’Il force sans cesse les gens à la chercher. Mais dire cela n’est pas juste, et c’est déraisonnable. Sur toutes ces paroles que Dieu t’a dites, combien en comprends-tu ? Combien de paroles de Dieu peux-tu mettre en pratique ? L’œuvre de Dieu se déroule toujours par étapes. Si Dieu avait parlé de Son œuvre des derniers jours aux gens il y a 2 000 ans, l’auraient-ils comprise ? À l’ère de la Grâce, le Seigneur Jésus est devenu la ressemblance de la chair pécheresse et Il a été un sacrifice d’expiation pour toute l’humanité. S’Il avait parlé de cette œuvre aux gens à cette époque, qui aurait compris ? Et maintenant, les gens comme vous comprennent certaines théories conceptuelles, mais quant aux vérités telles que le vrai tempérament de Dieu, l’intention de Dieu en aimant l’humanité, l’origine de ce que Dieu a fait à ce moment-là et le plan derrière ce qu’Il a fait, les gens ne seront absolument jamais capables de les comprendre. Voilà le mystère de la vérité. Voilà l’essence de Dieu. Comment les gens peuvent-ils voir cela clairement ? Il est complètement déraisonnable que tu souhaites voir clairement le Créateur. Tu es trop arrogant et tu surestimes tes capacités. Les gens ne devraient pas souhaiter voir clairement Dieu. C’est déjà bien s’ils peuvent comprendre une partie de la vérité. En ce qui te concerne, comprendre un peu de la vérité est déjà un accomplissement suffisant. Par conséquent, est-il rationnel d’avoir une mentalité de soumission ? C’est absolument rationnel. Une mentalité et une attitude de soumission sont, au minimum, ce que tout être créé devrait posséder.

Parvenir à accomplir son devoir de manière suffisante et loyale, et posséder une mentalité de soumission, combien de temps cela prend-il ? Cela nécessite-t-il un nombre d’années déterminé ? Il n’y a pas de durée préétablie, et cela dépend de sa poursuite, de son aspiration et de la mesure dans laquelle on désire la vérité. Cela dépend également de sa conscience, de sa raison, de son calibre et de sa perspicacité intrinsèques. Immédiatement après que l’on a acquis une attitude de soumission, il y aura d’autres changements dans son discours, ses actes et son comportement. Que sont ces changements ? Aux yeux de Dieu, tu es, pour l’essentiel, une personne honnête, désormais. Que veut dire « être, pour l’essentiel, une personne honnête » ? Cela signifie que l’élément de mensonge délibéré dans ton discours et dans ton comportement s’est atténué. Quatre-vingts pour cent de ce que tu dis est vrai. Parfois, du fait de leur abjection, à cause des circonstances, ou pour une autre raison, tu mens par inadvertance, et c’est aussi gênant que si tu avais avalé une mouche, tu te sens mal à l’aise pendant plusieurs jours. Tu reconnais ton erreur et tu te repens devant Dieu, et ensuite, il y a des changements : tes mensonges deviennent de moins en moins nombreux, et ton état s’améliore. Aux yeux de Dieu, tu es, pour l’essentiel, une personne honnête. Certains disent : « Si quelqu’un est honnête, pour l’essentiel, son tempérament n’a-t-il pas changé ? » Est-ce le cas ? Non, il s’agit seulement d’un changement de comportement. Aux yeux de Dieu, s’avérer capable d’être une personne honnête implique davantage qu’un simple changement de conduite et de comportement. Cela implique également des changements essentiels dans sa mentalité et dans ses opinions sur les choses. La personne concernée n’a plus l’intention de mentir ou de tromper, et il n’y a absolument aucune fausseté ou tromperie dans ce qu’elle dit et fait. Ses paroles et ses actes deviennent de plus en plus vrais, il y a de plus en plus de paroles honnêtes. Par exemple, quand on te demande si tu as fait quelque chose, même si l’admettre te vaudrait d’être giflé ou puni, tu restes capable de dire la vérité. Même si l’admettre implique d’endosser une responsabilité significative, d’affronter la mort ou la destruction, tu es capable de dire la vérité et disposé à pratiquer la vérité pour satisfaire Dieu. Cela indique que ton attitude vis-à-vis des paroles de Dieu est devenue assez solide. Quel que soit le moment, choisir n’importe laquelle des normes de pratique requises par Dieu ne te pose pratiquement aucun problème. Tu peux y parvenir et mettre cela en pratique naturellement, sans les restrictions des circonstances extérieures, sans la direction des dirigeants et des ouvriers, ou sans le sens de l’examen de Dieu à côté de toi. Tu es capable de faire ces choses presque sans effort par toi-même. Sans les restrictions des circonstances extérieures, et sans que ce soit par peur de la discipline de Dieu, ou par peur des reproches de ta conscience, et certainement pas par peur des moqueries ou de la supervision des autres, sans que ce soit pour aucune de ces raisons, tu peux examiner proactivement ton propre comportement, mesurer sa justesse et évaluer s’il respecte la vérité et satisfait Dieu. À ce stade, tu as, pour l’essentiel, satisfait à la norme en ce qui concerne le fait d’être une personne honnête aux yeux de Dieu. Être, pour l’essentiel, une personne honnête est la troisième condition fondamentale pour accepter le jugement et le châtiment de Dieu.

Nous venons d’échanger sur les trois conditions à remplir pour accepter le jugement et le châtiment de Dieu : la première est qu’il faut accomplir son devoir convenablement, la deuxième est qu’il faut avoir une attitude de soumission, et la troisième est qu’il faut être, pour l’essentiel, une personne honnête. Comment cette troisième condition est-elle évaluée ? Quels sont les critères ? (On ment délibérément moins souvent et on dit la vérité plus souvent.) Cela veut dire qu’on est capable de dire la vérité la plupart du temps. Vous devriez tous être capables d’évaluer cette condition, n’est-ce pas ? Être une personne honnête est la troisième condition à remplir pour accepter le jugement et le châtiment de Dieu. La deuxième condition est qu’il faut avoir une attitude de soumission, ce qui comprend certains détails, comme, principalement, le fait de ne pas scruter ou analyser l’œuvre de Dieu, mais d’avoir seulement une mentalité soumise. En outre, cela implique la poursuite de l’honnêteté, cela implique d’atteindre le stade où vos mensonges deviennent moins nombreux et où, la plupart du temps, vous pouvez parler sans mentir, en exprimant vos véritables sentiments. L’aspect le plus important, ici, est la coopération subjective des gens, ce qui veut dire faire activement des progrès et s’efforcer d’atteindre la vérité. Avoir une mentalité soumise est un résultat auquel on parvient sur le plan subjectif. Être capable de devenir une personne honnête, être fondamentalement honnête, est également une question subjective, et c’est le résultat d’une poursuite assidue. Accepter le jugement et le châtiment de Dieu dépend d’une condition primordiale supplémentaire. Je vais d’abord vous donner un indice, et si vous pensez sur la base de ce que Je dis, vous pourrez comprendre cette condition. À partir du moment où les gens commencent à croire en Dieu, et jusqu’à la fin, ont-ils fait de nombreuses erreurs dans cette vie ? Y a-t-il eu de nombreux actes de rébellion contre Dieu ? (Il y en a eu bon nombre.) Alors, que devraient faire les gens quand ils commettent une erreur ou quand ils se montrent rebelles ? (Ils devraient avoir un cœur repentant.) Avoir un cœur repentant est le signe qu’une personne est dotée de conscience et de raison. La conscience et la raison sont les qualités minimum qu’un destinataire du salut de Dieu devrait posséder. Ceux qui n’ont ni conscience ni raison ne peuvent pas parvenir au salut de Dieu. Si quelqu’un ne sait jamais se repentir après avoir fait des erreurs, quel genre de chose est-il ? Une personne qui ne sait jamais se repentir peut-elle suivre Dieu jusqu’au bout ? Peut-elle connaître un réel changement ? (Non.) Pourquoi ? (Parce qu’elle n’a pas un cœur repentant.) Exactement, et cela nous amène à la dernière condition : on doit avoir un cœur repentant. Tout en suivant Dieu, du fait de leur sottise et de leur ignorance et en raison de leurs divers tempéraments corrompus, les gens se révèlent souvent rebelles et parfois, ils ne comprennent pas Dieu ou se plaignent de Lui. Ils s’égarent, et certains conçoivent même des notions au sujet de Dieu, ils deviennent négatifs et se relâchent dans leur travail pendant un temps, et ils perdent leur foi. Des comportements rebelles apparaissent à tous les stades de la vie des individus. Ils ont Dieu dans leur cœur et savent qu’Il est à l’œuvre quand quelque chose se produit, pourtant ils ne parviennent parfois pas à saisir cette réalité. Bien qu’ils soient capables de se soumettre superficiellement, ils ne parviennent tout simplement pas à accepter cette réalité au fond d’eux-mêmes. Qu’est-ce qui montre clairement qu’au fond d’eux-mêmes ils ne parviennent pas à l’accepter ? L’une des façons dont cela se manifeste est que, bien qu’ils sachent tout, ils sont simplement incapables de mettre de côté ce qu’ils ont fait et de se présenter devant Dieu pour admettre leurs erreurs en disant : « Dieu, j’avais tort. Je n’agirai plus ainsi. Je chercherai Tes intentions et ferai ce que Tu voudrais que je fasse. Je ne T’écoutais pas. J’étais de faible stature, stupide et ignorant, et fréquemment rebelle. Je le sais maintenant. » Quelle est l’attitude des gens s’ils peuvent reconnaître leurs erreurs ? (Ils veulent opérer un revirement.) Si les gens ont une conscience et sont doués de raison, qu’ils désirent vivement la vérité, mais qu’ils ne savent jamais réfléchir sur eux-mêmes et opérer un revirement après avoir commis des erreurs, croyant au contraire que le passé est le passé, et étant persuadés de ne pas avoir tort, alors quelle sorte de tempérament cela démontre-t-il ? Quelle sorte de comportement ? Quelle est l’essence d’un tel comportement ? (C’est être intransigeant.) Ces gens-là sont intransigeants et, quoi qu’il arrive, c’est le chemin qu’ils suivront. Dieu n’aime pas ce genre de personnes. Qu’a dit Jonas quand il a exprimé les paroles de Dieu aux Ninivites ? (« Encore quarante jours, et Ninive est détruite ! » [Jonas 3:4].) Comment les Ninivites ont-ils réagi à ces paroles ? Quand ils ont compris que Dieu allait les détruire, ils se sont hâtés de prendre le sac et la cendre et se sont empressés de Lui confesser leurs péchés et de quitter le chemin du mal. C’est ce que signifie se repentir. Si l’homme est capable de se repentir, cela lui donne une chance formidable. De quelle chance s’agit-il ? De la chance de continuer à vivre. Sans véritable repentir, il te serait difficile d’aller de l’avant, que ce soit dans l’accomplissement de ton devoir ou dans ta poursuite du salut. À chaque étape – que ce soit quand Dieu te discipline et te corrige, ou quand Il te rappelle à l’ordre et t’exhorte – dès lors qu’un conflit s’est produit en Dieu et toi et qu’au lieu de changer d’attitude, tu continues à te cramponner à tes propres idées, à tes points de vue et à tes attitudes, alors, même si tes pas te mènent en avant, le conflit entre toi et Dieu, tes incompréhensions à Son sujet, tes plaintes et ton insoumission à Son égard ne sont pas résolues, et ton cœur n’opère pas de revirement. Alors Dieu, de Son côté, t’éliminera. Même si tu n’as pas abandonné ton devoir en cours, et que tu conserves toujours ton devoir et possèdes un peu de loyauté pour ce que Dieu a commissionné, et que les gens considèrent cela comme étant acceptable, le conflit entre Dieu et toi a formé un nœud permanent. Tu n’as pas utilisé la vérité pour le résoudre et gagner une vraie compréhension des intentions de Dieu. En conséquence, ta mauvaise compréhension de Dieu s’accentue et tu continues de penser que Dieu a tort et que tu es traité injustement. Cela signifie que tu n’as pas fait de revirement. Ta rébellion, tes notions et ta mauvaise compréhension de Dieu persistent encore, ce qui te conduit à avoir une mentalité de non-soumission, à te rebeller continuellement contre Dieu et à t’opposer à Lui. Une personne de ce genre n’est-elle pas quelqu’un qui se rebelle contre Dieu, résiste à Dieu et refuse obstinément de se repentir ? Pourquoi Dieu accorde-t-il une telle importance au fait que les gens opèrent un revirement ? Quelle attitude un être créé devrait-il adopter quand il considère le Créateur ? Une attitude qui reconnaît que le Créateur a raison, quoi qu’Il fasse. Si tu ne le reconnais pas, que le Créateur est la vérité, le chemin et la vie, tout cela ne sera que des paroles creuses pour toi. Si c’est le cas, peux-tu encore atteindre le salut ? Non. Tu ne serais pas qualifié pour cela ; Dieu ne sauve pas les gens comme toi. Certains disent : « Dieu demande que les gens aient un cœur repentant et qu’ils sachent opérer un revirement. Mais, en bien des façons, je n’ai pas opéré de revirement. Ai-je encore le temps de le faire ? » Oui, il est encore temps. De plus, certains disent : « Dans quels domaines dois-je opérer un revirement ? Les choses du passé ont disparu et sont oubliées. » Tant que ton tempérament ne change pas, tant que tu ne parviens pas à savoir ce qui, dans tes actes, n’est pas en accord avec la vérité et ce qui ne peut pas être en accord avec Dieu, alors ce nœud qui existe entre toi et Dieu n’a pas été défait ; le problème n’a pas été résolu. Ce tempérament est en toi ; cette idée, ce point de vue et cette attitude de rébellion contre Dieu sont en toi. Dès que les circonstances s’y prêteront, ce point de vue qui est le tien émergera de nouveau et ton conflit avec Dieu reprendra, une fois de plus. Aussi, bien que tu ne puisses pas corriger le passé, tu dois corriger les choses qui arriveront à l’avenir. Comment doivent-elles être corrigées ? En opérant un revirement et en mettant de côté tes idées et tes intentions ; une fois que tu auras cette détermination, ton attitude deviendra naturellement elle aussi une attitude de soumission. Cependant, pour être un peu plus précis, tout cela concerne les gens qui opèrent un revirement dans leur attitude envers Dieu, le Créateur ; c’est une reconnaissance et une affirmation du fait que le Créateur est la vérité, le chemin et la vie. Si tu peux opérer un revirement, cela prouve que tu es capable de mettre de côté ces choses dont tu penses qu’elles sont justes, ou ces choses dont l’humanité, qui est corrompue, pense collectivement qu’elles sont justes ; et, à la place, que tu reconnais que les paroles de Dieu sont la vérité et qu’elles constituent des choses positives. Si tu peux adopter cette attitude, cela prouve que tu reconnais l’identité du Créateur et Son essence. C’est ainsi que Dieu envisage le problème, et Il considère donc le revirement de l’homme comme particulièrement important.

Certains disent : « Si une personne n’a rien fait de mal, pourquoi doit-elle opérer un revirement ? » Même si tu n’as rien fait de mal en ce moment, tu dois d’abord comprendre la vérité du repentir. C’est quelque chose que tu devrais posséder. Une fois que tu comprendras la vérité, tu découvriras que certaines choses que tu as faites étaient inappropriées et tu mettras au jour des problèmes qui ont à voir avec tes intentions et ta mentalité, autrement dit, des problèmes liés à ton tempérament. Ces choses remonteront à la surface sans que tu t’en rendes compte et elles te montreront que ta relation avec Dieu n’est en fait pas une simple relation entre un être humain et Dieu. Dieu reste Dieu, mais tu es un être créé qui ne satisfait pas à la norme. Dans les domaines où les gens ne sont pas parvenus à rester à leur place et à accomplir ce qu’ils auraient dû accomplir, autrement dit quand ils échouent dans leur devoir, un nœud se formera en eux. Ce problème est extrêmement concret et doit être résolu. Alors, comment le résoudre ? Quel genre d’attitude les gens devraient-ils avoir ? Avant tout, ils doivent être disposés à opérer un revirement. Et comment cette disposition à opérer un revirement devrait-elle être mise en pratique ? Par exemple, disons qu’un individu est dirigeant pendant un ou deux ans, mais que, du fait de son faible calibre, il ne fait pas bien son travail, il ne voit aucune situation clairement, il ne sait pas comment utiliser la vérité pour résoudre les problèmes et il est incapable de faire un quelconque travail concret. Il est donc renvoyé. Si, après avoir été renvoyé, il est capable de se soumettre et de continuer à accomplir son devoir, et qu’il est disposé à opérer un revirement, que devrait-il faire ? Tout d’abord, il devrait comprendre ceci : « Dieu a eu raison d’agir comme Il l’a fait. Mon calibre est si médiocre et je n’ai fait aucun travail concret pendant si longtemps. Au contraire, je n’ai fait que retarder le travail de l’Église et l’entrée dans la vie des frères et sœurs. J’ai de la chance que la maison de Dieu ne m’ait pas purement et simplement expulsé. Je me suis vraiment montré effronté, je me suis accroché à mon poste pendant tout ce temps, et j’ai même cru que j’avais fait un travail vraiment formidable. Comme c’était déraisonnable de ma part ! » Être capable d’éprouver de la haine de soi et d’avoir un sens du remords : est-ce ou non une expression de la disposition à opérer un revirement ? Si l’on est capable de dire cela, cela signifie que l’on y est disposé. Si l’on se dit dans son cœur : « Pendant si longtemps, à mon poste de dirigeant, j’ai toujours cherché à obtenir les avantages du statut. Je prêchais constamment la doctrine et je m’équipais de la doctrine. Je ne cherchais pas à obtenir l’entrée dans la vie. C’est seulement maintenant que j’ai été remplacé que je vois à quel point je suis inadéquat et déficient. Dieu a fait ce qu’il fallait faire, et je dois me soumettre. Autrefois, j’avais un statut, et les frères et sœurs me traitaient bien. Ils m’entouraient, où que j’aille. Maintenant, personne ne me prête attention et je suis abandonné. C’est ce que je mérite, c’est ma juste punition. En outre, comment un être créé pourrait-il avoir un quelconque statut devant Dieu ? Quelle que soit l’importance du statut de quelqu’un, il ne s’agit ni de son issue ni de sa destination. Dieu me donne une commission non pas pour que je puisse en imposer aux autres, ou pour que je profite de mon statut, mais pour que je puisse accomplir mon devoir, et je devrais faire tout mon possible. Je devrais avoir une attitude de soumission vis-à-vis de la souveraineté de Dieu et des arrangements de la maison de Dieu. Même si la soumission peut être difficile, je dois me soumettre. Dieu a raison d’agir comme Il le fait, et même si j’avais des milliers, des dizaines de milliers d’excuses, aucune ne serait la vérité. Se soumettre à Dieu est la vérité ! », il s’agit là d’une expression exacte de la disposition à opérer un revirement. Et si une personne devait posséder tout cela, comment Dieu évaluerait-Il cette personne ? Dieu dirait qu’il s’agit d’une personne douée de conscience et de raison. Cette évaluation est-elle élevée ? Elle n’est pas exagérément élevée. Être douée uniquement de conscience et de raison n’est pas être à la hauteur des normes du perfectionnement par Dieu, mais en ce qui concerne ce genre de personne, c’est déjà tout un accomplissement. Être capable de se soumettre est précieux. Ensuite, la façon dont la personne cherche à amener Dieu à changer d’avis sur elle dépend du chemin qu’elle choisit. Si elle ne s’est pas repentie sincèrement et que, parce qu’elle n’a pas de statut, elle n’est pas loyale dans son devoir et se montre sans cesse négligente, alors c’en est complètement fini d’elle. Elle sera éliminée. Si cet individu continue à nourrir des griefs et à se plaindre, en disant : « Pendant la période où j’ai été dirigeant, j’ai tant souffert, et même s’il n’y a eu aucun mérite, il y a eu un travail acharné. On dit que je n’ai pas fait de travail concret, mais j’en ai fait beaucoup. Que j’aie ou non obtenu le moindre résultat, au moins je n’ai pas été paresseux. Ne serait-ce que parce que je n’ai pas été paresseux, Dieu ne devrait pas m’éliminer avec autant de désinvolture. Même sans statut, on me force quand même à faire ceci et cela, n’est-ce pas jouer avec moi ? » Si, après avoir été remplacé, cet individu n’a plus aucun enthousiasme pour accomplir le moindre devoir, a-t-il la moindre loyauté ou la moindre soumission ? Il ne fait preuve d’aucune loyauté, d’aucune soumission et d’aucune disposition à opérer un revirement. Il ne fait preuve de rien de tout cela. N’est-ce pas pitoyable ? Tout cela est par trop pitoyable. Cet individu a cru en vain pendant toutes ces années. Voilà comment il a cru en Dieu : en écoutant des sermons pendant des années, sans pourtant pratiquer aucune vérité, en faisant constamment la leçon aux autres sur les paroles et les doctrines, mais en étant incapable de faire quoi que ce soit lui-même. Il a prêché quantité de doctrine aux autres, mais il ne peut même pas résoudre ses propres problèmes, en fin de compte. C’est tellement pitoyable ! Et il souhaite quand même recevoir le jugement et le châtiment de Dieu ? Après avoir été remplacé, il lutte encore contre Dieu et endure des tourments, sans faire preuve de la moindre soumission. N’est-ce pas là simplement souffrir aveuglément ? Tes souffrances n’ont aucune valeur ! Si l’on met tout le reste de côté, et que l’on examine simplement le fait que tu es devenu furieux et conflictuel quand l’Église t’a démis de ton poste, rien qu’en se fondant sur cela, tu n’es pas digne d’être un humain, pas digne d’être un être créé de Dieu. Alors, pourquoi argumentes-tu, au juste ? Quels que soient tes arguments, ils sont inutiles. Tu crois depuis tant d’années, pourtant tu n’as même pas ce minimum de soumission. Où sont les fruits de ta foi au fil des années ? C’est pitoyable, détestable, dégoutant ! On t’a donné un statut et tu as traité celui-ci comme une fonction officielle. Avoir un statut signifie-t-il que ton tempérament a changé ? Ne s’agit-il pas simplement de la grâce de Dieu ? Dieu t’a fait la grâce de cette commission, pourtant tu l’as considérée comme une fonction officielle, n’est-ce pas dégoûtant ? Y a-t-il le moindre personnage officiel dans la maison de Dieu ? Parmi les saints, à travers les âges, aucun n’était un personnage officiel. Depuis deux mille ans, les gens vénèrent Paul, mais personne n’a jamais dit que Paul portait le moindre titre officiel. Par conséquent, le terme « officiel » ne tient pas la route. Il ne s’agit ni d’une récompense ni d’une commission émanant de Dieu, et tu dois l’abandonner. Si tu poursuis constamment le fait d’être un personnage officiel, Dieu l’approuvera-t-Il ? Cela te permettra-t-il de parvenir au salut ? Assurément pas. Nous venons de mentionner que, pour accepter le jugement et le châtiment de Dieu, on doit être disposé à opérer un revirement. Est-ce important ? (Oui.) Il est extrêmement important d’avoir une telle attitude ! Si tu souhaites établir une relation de Sauveur à sauvé entre toi et le Créateur, et si tu souhaites que Dieu te sauve, tu dois corriger ta position, et tu dois déterminer la place et le statut de Dieu dans ton cœur. Quelle est ta position, alors ? (Celle d’un être créé.) Qui est cet être créé ? C’est l’homme, pas une bête. À tout moment, tu dois te souvenir que tu es un être créé, un être humain ordinaire, et tu ne dois pas oublier la place qui te revient. Quand Dieu te donne un peu de grâce, un peu de bénédiction, tu perds alors de vue qui tu es. Quand, dans Son humilité et Son caractère caché, Dieu partage certaines paroles sincères pour te réconforter, Il t’élève, et pourtant, tu veux être sur un pied d’égalité avec Dieu, tu veux te hisser jusqu’à Lui. Quelle chose ferait cela ? Un être humain le ferait-il ? (Non.) Dieu ne reconnaît pas un être créé tel que toi, tu peux t’écarter ! Si Dieu ne te reconnaît pas, te perfectionnera-t-Il ? Tu ne remplis pas les conditions pour être rendu parfait par Dieu. L’essentiel de cette discussion n’a-t-il pas été communiqué clairement, à ce stade ? Par conséquent, être disposé à opérer un revirement est très important. Il s’agit d’un état d’esprit et, en même temps, il s’agit d’une attitude. Cette attitude est un principe de pratique important, que l’on doit posséder pour recevoir le salut et le perfectionnement de Dieu. Ne te considère pas comme quelqu’un de formidable, de noble, et ne suppose pas non plus que tu es absolument correct et infaillible. Tu n’es pas formidable, glorieux ou correct. Tu es minuscule, modeste, tu es un être créé de l’humanité corrompue par Satan. Tu dois accepter le salut du Créateur. Tu n’es pas déjà sauvé, tu n’es pas parfait. Tu dois posséder cette raison.

Il y a quatre conditions à remplir pour accepter le châtiment et le jugement de Dieu : il faut accomplir son devoir de manière adéquate, avoir une mentalité de soumission, être honnête, pour l’essentiel, et avoir un cœur repentant. Souvenez-vous de ces quatre conditions et comparez-vous à elles quand vous êtes confrontés à des situations. Si une situation implique de la soumission, alors pratiquez la soumission. La parole de Dieu exige des gens qu’ils aient une attitude soumise. Si tu te compares aux paroles de Dieu et que tu constates une grande disparité, que dois-tu faire ? Fais ce que Dieu te dit de faire, suis les paroles de Dieu sans les analyser ni argumenter. Si tu tentes d’argumenter, Dieu sera dégoûté par toi. Que feras-tu si Dieu est dégoûté par toi ? Il y a une mesure corrective, qui consiste à faire immédiatement marche arrière. Ne blesse pas le cœur de Dieu pour une question futile et ne continue pas ensuite à blesser Son cœur et à L’ignorer. Les êtres humains ne sont rien. Si tu ignores Dieu, Il ne voudra plus de toi. Que feras-tu si Dieu t’ignore et qu’Il ne veut pas de toi ? Tu diras : « Je vais faire marche arrière. Ne m’abandonne pas, Dieu, je n’y arriverai pas sans Toi. » Mais se contenter de dire cela ne sert à rien. Dieu n’a que faire de tes flatteries. Il examinera ton attitude, ta pratique, le chemin que tu vas suivre ensuite, et ta performance. Ne pense pas que Dieu est une personne ordinaire, que tu peux émouvoir avec quelques mots doux. Dieu n’est pas ainsi, Il examine ton attitude. Une fois que tu as fait marche arrière, Dieu constate qu’après avoir été intransigeant, tu es devenu soumis, et que tu peux accepter la vérité, ne plus lutter contre Lui. Ton intransigeance a subi un changement, tu sais qui tu es, et tu reconnais ton Dieu. Très peu de temps après, Dieu commencera à œuvrer en toi. Certains disent : « Je n’ai pas eu le sentiment que Dieu avait l’intention de faire quoi que ce soit. » Ne te fie pas à tes sentiments. Tes sentiments sont-ils justes ? Dieu a tant œuvré en toi, l’as-tu ressenti le moins du monde ? L’as-tu ressenti quand Dieu a eu le cœur brisé ? Tu n’en savais rien, peut-être même que tu te sentais heureux ailleurs. Alors, n’interprète pas les sentiments de Dieu en te fondant sur tes propres sentiments, et ne mesure pas les sentiments de Dieu à l’aune de tes propres sentiments, cela ne sert à rien. Si Dieu t’ignore et que tu ne ressens rien, que tu ne reçois ni éclairage ni reconnaissance, que dois-tu faire ? Souviens-toi d’une chose : tu dois continuer à assumer les responsabilités et à mener à bien les devoirs qu’un être créé doit assumer et mener à bien, et tu dois continuer à parler sans mentir, comme il se doit. Ne retombe pas dans tes mensonges précédents simplement parce que Dieu t’ignore ou ne veut plus de toi, et ne parle pas maintenant comme tu le faisais à ce moment-là. Si tu le fais, tu es complètement fichu. C’est lutter contre Dieu et s’opposer à Lui. Tu dois rester fidèle à ton devoir et te soumettre comme il se doit. Quel est l’avantage de tout cela ? Quand Dieu verra que tu as fait marche arrière, Son cœur s’adoucira, et Sa fureur et Sa colère à ton égard se retireront peu à peu. Ce retrait de la colère de Dieu n’est-il pas un bon signe pour toi ? Cela signifie que tu es arrivé à un tournant. Quand tu cesseras de vivre en te fondant sur tes sentiments, que tu cesseras d’essayer d’observer les expressions de Dieu, que tu cesseras d’avoir des exigences extravagantes à l’égard de Dieu pour qu’Il fasse connaître Sa position, et qu’au contraire, tu vivras conformément aux paroles prononcées par Dieu, aux devoirs et aux principes de pratique que Dieu t’a confiés, et conformément au chemin que Dieu t’a dit de pratiquer et de suivre, si tu vis conformément à tout cela, et quelle que soit la façon dont Dieu te traite, qu’Il te prête attention ou non, si tu continues à faire ce que tu dois faire, alors Dieu t’approuvera. Pourquoi t’approuvera-t-Il ? Parce que, quoi que Dieu te fasse, qu’Il te prête attention ou non, qu’Il t’accorde ou non grâce, bénédictions, illumination, éclairage, affection ou protection, et quelle que soit la mesure dans laquelle tu ressens tout cela, tu peux malgré tout Le suivre jusqu’au bout. Tu es resté fidèle à la position qu’un être créé doit avoir, sans aucun changement, et tu as pris les paroles de Dieu comme objectif et direction de ta vie, mais également comme la vérité et les paroles de sagesse les plus élevées dans ta vie. Quelle est l’essence d’un tel comportement ? C’est reconnaître dans ton cœur que le Créateur est ta vie, qu’Il est ton Dieu. Ainsi, Dieu est rassuré, et tu deviens une personne normale qui vit dans la présence de Dieu. Une telle personne remplit les conditions de base nécessaires à un changement de tempérament. Sur cette base, la compréhension et les changements auxquels les gens parviennent peuvent-ils être considérés comme un changement de tempérament ? Ces gens ne sont pas encore à la hauteur. Par conséquent, tu dois posséder une reconnaissance de l’identité du Créateur, et aussi avoir une attitude responsable vis-à-vis de ton propre devoir. De plus, tu dois avoir une attitude qui te permet d’accepter la vérité et de t’y soumettre. Une fois que tu posséderas ces qualités, Dieu commencera alors l’œuvre de jugement et de châtiment en toi. Être sauvé commence à ce stade. Certains disent : « Si nous possédons ces qualités, cela veut-il dire que notre tempérament a déjà changé ? Notre tempérament ayant autant changé, qu’est-ce que Dieu a à juger et à châtier d’autre ? » Que juge et châtie Dieu ? La nature-essence des gens, qui est leur tempérament corrompu. S’ils remplissent ces quatre conditions et qu’ils sont capables d’y satisfaire, quel aspect de leur tempérament corrompu a complètement changé ? Aucun. Il n’y a eu simplement qu’un léger changement comportemental, mais ce n’est pas suffisant. Il n’y a pas eu de changement fondamental. Autrement dit, avant que Dieu ne commence Son œuvre de jugement et de châtiment en toi, ta connaissance de toi-même sera toujours superficielle, de surface. Elle ne correspondra pas à ton essence corrompue. Elle en est loin, le fossé est assez significatif. Par conséquent, avant que Dieu ne commence Son œuvre de jugement et de châtiment, peu importe à quel point tu penses être bon, candide, respectueux des règles, ou à quel point tu penses avoir une attitude soumise, tu dois savoir une chose : ton tempérament n’a pas encore commencé à changer d’un point de vue formel. Tes façons de pratiquer et tes méthodes indiquent seulement un changement comportemental, et elles représentent l’humanité élémentaire qu’une personne qui sera sauvée par Dieu devrait posséder. L’honnêteté, la soumission, la capacité à faire marche arrière, la loyauté : ces choses devraient exister au sein de son humanité. Bien entendu, cela comprend également la conscience et la raison. Tu dois posséder ces qualités avant que Dieu ne réalise Son œuvre de jugement et de châtiment. Une fois que quelqu’un remplit ces quatre conditions – accomplissement adéquat du devoir, mentalité soumise, honnêteté pour l’essentiel, et cœur repentant – Dieu débutera Son œuvre de jugement et de châtiment sur cette personne.

Maintenant, vous devriez avoir à l’esprit un certain concept quant à la façon dont Dieu réalise spécifiquement l’œuvre de jugement et de châtiment sur les gens. Par exemple, en ce qui concerne la malveillance, les gens testent souvent Dieu. Inexplicablement, ils veulent Le scruter, et ils ont des soupçons, des doutes et des questions concernant les paroles de Dieu. Ils spéculent sur l’attitude que Dieu a véritablement à l’égard des gens, ils veulent sans cesse la connaître. N’est-ce pas malveillant ? À l’heure actuelle, les gens savent-ils lesquels de leurs états ou comportements manifestent ce genre de tempérament ? Les gens ne le savent pas clairement. Pendant cette période où tu es jugé et châtié, Dieu t’amènera à t’ouvrir, à te dévoiler et à dévoiler tes divers états, pour que tu gagnes en clarté à leur sujet dans ton cœur. Bien entendu, quand tu te dévoileras, tu ne te sentiras peut-être pas excessivement honteux. À tout le moins, cela te permettra de savoir pourquoi Dieu te juge et te châtie. Tu verras que les paroles de jugement de Dieu et Son exposition sont factuelles, cela te convaincra entièrement et te fera voir que ces paroles et cette exposition sont exactes, sans exception. Puis tu verras clairement que toutes ces choses existent en toi. Il ne s’agit pas simplement de comportements, ou de révélations momentanées, mais de ton tempérament même. Ensuite, durant cette période où Dieu réalise Son œuvre de jugement et de châtiment, tu seras continuellement révélé et émondé, du fait de ton tempérament corrompu, ce qui t’amènera à subir et à endurer l’épurement. Par exemple, se méfier de Dieu est une expression de la malveillance. Les gens se méfient souvent de Dieu, mais ils ne se rendent jamais compte qu’il s’agit là de malveillance. Ce problème doit être résolu. Quand Dieu te juge et te châtie, si tu te méfies de Lui, Il te fera savoir qu’il s’agit là de malveillance. Tu vis dans les limites d’un tempérament malveillant et tu utilises celui-ci pour traiter le Dieu auquel tu crois, pour te confronter à ton Dieu, et pour jeter le doute sur ton Dieu, et ton cœur souffrira. Tu ne veux pas le faire, mais tu ne peux pas t’en empêcher. Comme tu as ce tempérament corrompu, Dieu arrangera des circonstances pour t’épurer, te faisant abandonner tes notions et les produits de ton imagination, ta réflexion logique et tes pensées et idées, sans que tu t’en aperçoives. À ce stade, tu souffriras. Voilà le véritable épurement, et c’est à cause de ce tempérament corrompu que tu es épuré. Comment survient l’épurement ? Si tu penses qu’il ne s’agit pas là d’un tempérament corrompu, si tu es persuadé de ne pas présenter de telles manifestations ou de tels états, de ne pas être ce genre de personne, et si tu as l’impression que cet aspect d’un tempérament corrompu ne réside pas en toi, alors, quand Dieu te jugera, seras-tu épuré ? (Non.) Quand tu admets que tu as révélé un tempérament corrompu, que tu sais que Dieu t’a jugé et que tu peux faire correspondre ton tempérament corrompu à Son jugement, mais que tu rationalises encore et que tu vis encore dans les limites de ce tempérament corrompu, en étant incapable de t’en libérer, c’est alors que l’épurement survient. Tu sais que Dieu n’aime pas ton tempérament corrompu, qu’Il le déteste, et que tu es loin de satisfaire à Ses exigences. Tu sais clairement que tu as tort et que Dieu a raison, mais tu es incapable de mettre la vérité en pratique, et tu ne peux pas non plus suivre la voie de Dieu. C’est à ce moment-là que ta souffrance émerge. Éprouvez-vous une telle souffrance, maintenant ? (Non.) Alors, à tout le moins, vous n’avez pas enduré l’épurement pour ce qui est de votre tempérament corrompu. Vous faites seulement l’expérience d’une certaine souffrance parce qu’on vous fait des reproches et qu’on vous discipline quand vous commettez des erreurs ou des transgressions, mais il ne s’agit absolument pas d’un épurement. Supposez que vous puissiez entrer dans une telle vie, que vous puissiez vous engager sur un tel chemin, et que vous disiez : « Je ne subis plus l’affection ou le statut, mais j’endure véritablement l’épurement. Je me suis rendu compte que je suis réellement incompatible avec Dieu, que mon tempérament corrompu est profondément enraciné, et que je ne peux pas m’en débarrasser. Que Dieu m’épure et me révèle. » Quand tu vis dans les limites d’un tel état, tu es sur le chemin qui mène au salut. En disant cela maintenant, il se peut que vous désiriez tous que ce jour arrive et que vous l’attendiez avec impatience, mais Je ne sais pas combien d’entre vous peuvent être suffisamment bénis pour bénéficier d’un tel traitement. Il s’agit de quelque chose d’extrêmement favorable et d’une immense bénédiction. Être sauvé n’est pas chose facile. Si le Créateur t’estime vraiment, s’Il te choisit et te laisse être Son disciple, ce n’est que la première étape qui mène au salut. Si le Créateur t’estime et dit que tu es qualifié pour recevoir Son jugement et Son châtiment, ce n’est que la deuxième étape. Si tu peux émerger du jugement et du châtiment de Dieu, atteindre un état où ton tempérament change et devenir compatible avec le Créateur, en prenant le chemin qui consiste à craindre Dieu et à s’éloigner du mal, voilà l’issue finale. Maintenant, qui parmi vous sera suffisamment béni pour atteindre ce jour ? Qui sera béni pour recevoir un tel salut ? Peut-on le discerner d’après l’apparence de quelqu’un ? D’après son calibre ? D’après son niveau d’éducation ? (C’est impossible.) Peut-on le déterminer d’après les devoirs que cette personne accomplit maintenant ? Ou d’après la famille dans laquelle elle est née ? Aucun de ces facteurs ne peut le révéler. Certains disent : « Ma famille croit au Seigneur depuis trois générations. Je croyais quand j’étais encore dans le ventre de ma mère, alors je serai certainement sauvé. » C’est une façon de parler stupide et incroyablement ignorante. Dieu n’examine pas de telles choses. Les pharisiens ont cru en Dieu pendant des générations et qu’est-il advenu d’eux ? Dieu ne veut même pas d’eux comme disciples. Ils ont été entièrement éliminés. Ils sont sans rapport avec l’œuvre de salut de Dieu et n’y jouent aucun rôle.

Que l’on puisse ou non accepter le jugement et le châtiment de Dieu est directement lié au problème clef du changement de tempérament. Cependant, les gens ont tendance à avoir de nombreuses notions sur le jugement et le châtiment de Dieu. Il est essentiel d’échanger fréquemment sur la vérité conformément aux paroles de Dieu pour résoudre ces problèmes. C’est ce qui est le plus nécessaire. Pourquoi Dieu juge-t-Il et châtie-t-Il les gens ? Dans quelle mesure l’humanité est-elle devenue corrompue ? Quels problèmes le jugement et le châtiment visent-ils à résoudre, et à quels résultats parviennent-ils ? Quelles sont les normes que Dieu exige des gens ? Si ces vérités ne sont pas comprises, il n’est pas facile d’accepter le jugement et le châtiment. Les gens concevront facilement des notions sur Dieu et feront preuve de rébellion et de résistance, et ils pourront même blasphémer Dieu et Lui devenir hostiles. Comment Dieu sauve-t-Il les gens ? Qui peut accepter le jugement et le châtiment de Dieu ? Qui peut s’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité et du perfectionnement ? Qui sera éliminé par l’œuvre de Dieu des derniers jours ? Si ces vérités font l’objet d’échanges clairs, les notions des gens sur le jugement et le châtiment ne se trouveront-elles pas résolues ? Au minimum, elles seront pour l’essentiel résolues. Tout problème qui demeurera ne pourra être résolu que grâce à la propre expérience des gens. Ces problèmes se trouveront naturellement résolus quand la vérité sera comprise. Certains disent : « Nos péchés ont été pardonnés, alors pourquoi devons-nous quand même faire l’expérience du jugement et du châtiment ? » Être pardonné des péchés est la grâce de Dieu. Les gens sont ainsi qualifiés pour venir devant Dieu. Cependant, le jugement et le châtiment visent à sauver complètement les gens du péché et de l’influence de Satan. Ces deux choses[a] ne sont pas contradictoires. À l’ère de la Grâce, Dieu rachète les gens et pardonne leurs péchés. À l’ère du Règne, Dieu juge les gens et purifie leur tempérament corrompu. Ce sont là deux étapes de l’œuvre de Dieu. Bon nombre de gens ridicules dans la religion ont sans cesse des notions sur le jugement et le châtiment. Ils s’accrochent de manière rigide à la formule : « La justification par la foi, une fois que les péchés sont pardonnés », et ils refusent absolument d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu. Doit-on argumenter avec de telles personnes ? Si vous rencontrez de telles personnes et qu’elles peuvent accepter les paroles de Dieu et la vérité, vous pouvez échanger sur la vérité avec elles et leur lire les paroles de Dieu. Si elles refusent absolument d’accepter la vérité, il est inutile de vous en soucier. Elles ne sont absolument pas les destinataires du salut de Dieu. Dieu ne sauve que ceux qui peuvent accepter Ses paroles et la vérité. En ce qui concerne ceux qui ne peuvent absolument pas accepter les paroles de Dieu et la vérité, Il ne les sauvera absolument pas. Ceux qui peuvent accepter la vérité peuvent facilement résoudre leurs notions, quel que soit leur nombre. Ils doivent simplement lire davantage de paroles de Dieu et chercher davantage la vérité. Les gens qui peuvent accepter la vérité sont ceux qui sont pourvus d’humanité et ceux qui sont doués de conscience et de raison. Avant d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu, les gens concevront de nombreuses notions et auront de nombreuses pensées incorrectes, ainsi que certains états négatifs. L’état négatif le plus répandu est celui qui consiste à dire : « Je me suis dépensé pour Dieu et j’ai accompli mes devoirs. Je devrais être protégé et béni par Dieu en toutes choses. Pourquoi des calamités se sont-elles abattues sur moi ? » Voilà l’état le plus répandu. Il existe une autre sorte d’état : en voyant les autres vivre dans de bonnes conditions et s’amuser, alors qu’eux se retrouvent à vivre dans la difficulté et la pauvreté, les gens se plaignent que Dieu est injuste. Il se pourrait même qu’ils voient les autres parvenir à de meilleurs résultats qu’eux dans l’accomplissement de leur devoir et qu’ils deviennent envieux et négatifs. Ces gens se montrent également négatifs si la famille des autres est harmonieuse et unie, si les autres ont un calibre supérieur au leur, si accomplir leur devoir est fatiguant, ou si quelque chose ne se déroule pas comme ils le souhaitent. Bref, dans toutes les circonstances qui ne s’alignent pas sur leurs notions et leur imagination, ils deviennent négatifs. Si ces gens ont un certain calibre et peuvent accepter la vérité, ils doivent être aidés. Du moment qu’ils comprennent la vérité, le problème de leur négativité peut facilement être résolu. S’ils ne cherchent pas la vérité et restent négatifs, qu’ils nourrissent constamment des notions sur Dieu, alors Dieu les laissera de côté et les ignorera, car le Saint-Esprit ne fait pas d’œuvre inutile. Les gens de ce genre sont trop têtus, ils n’acceptent pas la vérité, ils ont sans cesse des notions sur Dieu et ont constamment leurs propres exigences. C’est vraiment manquer de sens et cela les rend quelque peu imperméables à la raison. Ils peuvent comprendre la vérité, mais ils ne l’acceptent pas. N’est-ce pas un peu comme s’ils commettaient sciemment des offenses ? Par conséquent, Dieu les ignore. Certains disent : « Je suis souvent négatif, et Dieu m’ignore. Cela signifie que Dieu ne m’aime pas ! » Une telle affirmation est absurde. Sais-tu qui Dieu aime ? Sais-tu comment l’amour de Dieu se manifeste ? Sais-tu qui Dieu n’aime pas et qui Dieu discipline ? L’amour de Dieu suit des principes. Il ne s’agit pas, comme les êtres humains l’imaginent, de supporter constamment les gens et de leur témoigner miséricorde et grâce, de sauver tous les individus, quels qu’ils soient, de pardonner tous les individus quels que soient les péchés qu’ils commettent, et finalement d’amener tout le monde, sans exception, dans le royaume de Dieu. Ne s’agit-il pas là simplement des notions et de l’imagination des gens ? S’il en était ainsi, Dieu n’aurait pas besoin d’accomplir l’œuvre du jugement. Face à des gens qui sont souvent négatifs, Dieu agit suivant des principes. Si les gens sont constamment négatifs, il y a là un problème. Dieu a tant parlé, exprimé tant de vérités, que si une personne croit vraiment en Dieu, alors, après avoir lu les paroles de Dieu et compris la vérité, elle aura de moins en moins de choses négatives en elle. Si les gens sont toujours négatifs, à l’évidence, ils n’acceptent absolument pas la vérité, et donc, dès qu’ils seront confrontés à quelque chose qui est en contradiction avec leurs propres notions, ils deviendront négatifs. Pourquoi ne cherchent-ils pas la vérité dans les paroles de Dieu ? Pourquoi n’acceptent-ils pas la vérité ? Sûrement parce qu’ils ont des notions et des incompréhensions au sujet de Dieu, et aussi parce qu’ils ne cherchent jamais la vérité. Ainsi, Dieu leur accordera-t-Il toujours une quelconque attention s’ils abordent la vérité de cette manière ? Ces gens-là ne sont-ils pas insensibles à la raison ? Quelle est l’attitude de Dieu envers ceux qui sont insensibles à la raison ? Il les rejette et les ignore. Croyez comme bon vous semble. Que vous croyiez ou non, c’est à vous de décider. Si, véritablement, vous croyez et recherchez la vérité, alors vous gagnerez la vérité ; si vous ne recherchez pas la vérité, alors vous ne l’obtiendrez pas. Dieu traite chaque personne équitablement. Si vous n’avez pas une attitude d’acceptation de la vérité, si vous n’avez pas une attitude de soumission, si vous ne vous efforcez pas de répondre aux exigences de Dieu, alors vous pouvez croire de la manière qui vous plaira. De même, si vous préférez partir, faites-le immédiatement. Si vous ne souhaitez pas faire votre devoir, la maison de Dieu ne vous forcera pas à le faire. Vous pouvez aller où vous voulez. Dieu n’exhorte pas de telles personnes à rester. Telle est Son attitude. Tu es clairement un être créé, pourtant, tu ne veux jamais l’être. Tu veux sans cesse être l’archange, qui refuse de se soumettre à Dieu, et tu désires sans cesse être sur un pied d’égalité avec Dieu. C’est résister impudemment à Dieu. C’est quelque chose qui offense le tempérament de Dieu. À l’évidence, tu es simplement une personne ordinaire, pourtant, tu souhaites constamment recevoir un traitement de faveur, avoir un statut, et être quelqu’un, tu veux être meilleur que les autres à tous points de vue, recevoir de grandes bénédictions et surpasser tout le monde. Cela montre que tu manques de raison. Comment Dieu considère-t-Il les gens qui manquent de raison ? Comment Dieu les évalue-t-Il ? De telles personnes sont imperméables à la raison. Certains déclarent : « Si Tu dis que je suis imperméable à la raison, alors je cesserai de travailler dur ! » Qui t’a demandé de rendre service ? Si tu n’y es pas disposé, Dieu ne t’y obligera pas. Dépêche-toi de partir, la maison de Dieu ne te retiendra pas. Même si tu es disposé à rendre service, la maison de Dieu a des exigences. Si ton travail ne respecte pas les normes et que l’accomplissement de ton devoir vaut trop d’ennuis à la maison de Dieu, qu’il fait plus de mal que de bien, la maison de Dieu t’éliminera certainement. Même si tu souhaites rendre service, la maison de Dieu ne voudra pas de toi. Si les gens sont prêts à rendre service, qu’ils peuvent accepter la vérité et accepter d’être émondés, alors ils sont qualifiés pour rester dans la maison de Dieu. S’ils peuvent poursuivre la vérité, accepter le jugement et le châtiment de Dieu, et qu’ils sont capables d’être sauvés et parfaits, c’est là une immense bénédiction. Ne pense pas que Dieu te supplie et qu’Il a besoin de te juger et de te châtier. Dieu ne te suppliera pas. Dieu sauve et perfectionne les gens de manière sélective, en ayant à l’esprit un objectif spécifique, et en suivant des principes. Ceux qui croient en Dieu ne parviennent pas tous à être sauvés par Lui. Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. Tu dois satisfaire à plusieurs normes de Dieu : accomplir ton devoir de manière adéquate, avoir une mentalité soumise, être honnête pour l’essentiel, et posséder un cœur repentant. C’est seulement alors que Dieu commencera, de manière formelle, à te juger et à te châtier, à te purifier et à te parfaire. Certains disent : « Faire l’expérience du jugement et du châtiment signifie souffrir ! » Même s’il est vrai que tu souffriras, tu dois être qualifié pour cela. Si tu n’es pas qualifié, tu n’es même pas apte à souffrir ! Penses-tu que l’œuvre de Dieu et Son perfectionnement des gens soient aussi simples ? Ceux qui refusent d’accepter le jugement et le châtiment, ou qui fuient le jugement et le châtiment, devront finalement assumer la responsabilité de leurs actes. Qui qu’une personne soit ou quelle que soit son attitude vis-à-vis de Dieu, si cette attitude ne s’aligne pas sur ce que Dieu exige, Il n’interviendra pas et Il la laissera suivre sa propre voie. Les paroles de Dieu sont toutes à portée de main. Si tu peux faire ce qu’Il dit, alors fais-le. Si tu es prêt à le faire, alors fais-le. Si tu n’es pas prêt à le faire ou si tu en es incapable, Dieu ne te forcera pas à le faire. Penses-tu que Dieu va te supplier ? Penses-tu que Dieu va te discipliner ? Sois tranquille, Dieu ne le fera absolument pas. Dieu dira : « Si tu n’aimes pas accepter la vérité, si tu as de l’aversion pour le jugement et le châtiment de Dieu, alors tant pis. Tu as déjà profité d’un peu de grâce, alors dépêche-toi de retourner dans le monde, dépêche-toi de partir. Tu n’y seras pas contraint. Tu n’es pas qualifié pour profiter des bénédictions du royaume des cieux et tu ne peux pas les obtenir, même si tu le souhaites. » Que signifie le fait que Dieu ne force pas les gens à accepter Son jugement et Son châtiment ? Cela signifie que, si les gens n’acceptent pas le jugement et le châtiment de Dieu, Dieu ne les discipline pas, Il ne les réprimande pas, Il ne leur rappelle rien et Il ne les exhorte pas non plus. Il n’y aura ni éclairage ni illumination émanant du Saint-Esprit. En apparence, ces personnes semblent vivre assez confortablement. Elles ne sont pas disciplinées quand elles accomplissent leur devoir avec négligence, ni quand elles se relâchent de façon négative au travail, ni quand elles jugent Dieu avec désinvolture. Même quand elles comprennent mal Dieu, qu’elles se plaignent de Lui et qu’elles Lui résistent, elles ne ressentent rien dans leur cœur, jusqu’à ce qu’elles fassent le mal dans de grandes proportions, par exemple en volant ou en détournant des offrandes, pourtant elles continuent à ne pas en avoir conscience. Les gens qui font le mal dans de telles proportions laissent des années s’écouler sans réfléchir sur eux-mêmes, sans le moindre repentir, sans avoir la moindre prémonition quant à la punition ou l’issue qui les attendent. Une personne normale devrait en avoir la prémonition, d’une façon ou d’une autre, mais ce n’est pas le cas, parce que Dieu ne fait absolument rien en elle. L’inaction de Dieu est une sorte d’attitude. Qu’est-ce que cette attitude représente ? Pouvez-vous imaginer ce que Dieu pense dans Son cœur ? Il a complètement renoncé à de telles personnes. Pourquoi Dieu renonce-t-Il à de telles personnes ? Il les méprise. Elles sont moins significatives qu’une plume, qu’une fourmi. Elles ne valent pas la peine d’être mentionnées et leur issue est décidée de cette façon. Un jour, quand une telle personne dira : « Je veux être un être créé de Dieu, je T’accepte comme mon Seigneur, mon Dieu », Dieu voudra-t-Il d’elle ? Dieu n’en voudra pas. Certains disent : « Je regrette tout cela, je fais demi-tour, maintenant. » Est-il trop tard pour eux ? Il est trop tard. Parce que leur nature est celle d’un démon et que cette nature ne changera jamais, Dieu ne sauve pas de telles personnes. Peu importe à quel point elles ont des regrets, peu importe à quel point elles pleurent de façon pathétique, peuvent-elles changer ? Peuvent-elles vraiment se repentir ? Absolument pas. Alors, que tu poursuives ou non la vérité, du moment que tu crois sincèrement en Dieu, tu dois comprendre les décrets administratifs de la maison de Dieu. Tu ne peux absolument pas avoir des vues sur les offrandes destinées à Dieu. Ne serait-ce qu’envisager de les voler ou de les utiliser est inacceptable. Une fois que tu agiras de cette façon, tu provoqueras de grandes calamités, ce qui affectera ton issue. Une fois ton issue déterminée, repenser à ce que Dieu a dit ou à ce que sont Ses exigences, et avoir des regrets, ne servira à rien – il sera trop tard. À l’heure actuelle, l’œuvre de Dieu ne s’est pas encore conclue, mais l’issue de certaines personnes a déjà été déterminée. Dieu n’a pas proclamé cette affaire, pas plus qu’Il n’en a parlé à quiconque. Ces personnes pensent encore qu’elles s’en sortent bien, et elles perdent encore leur temps. Même quand la mort frappe à leur porte, elles n’en ont absolument aucune conscience. Elles forment une bande à l’esprit confus, une bande de bons à rien.

Je vais poursuivre en prenant deux autres exemples. L’exemple précédent parlait d’un homme, tandis que les deux personnages principaux, dans ces nouveaux exemples, sont deux dirigeantes. En entendant cette appellation, on peut immédiatement comprendre que leur statut n’est pas inférieur. Et pourtant, les personnes qui ont un tel statut peuvent faire le mal dans de grandes proportions. L’une de ces deux femmes était en relation avec un non-croyant dont l’entreprise était au bord de la faillite par manque de capitaux. Comme cette femme servait en tant que dirigeante dans l’Église et qu’elle était responsable des ressources financières, le non-croyant a demandé à lui emprunter de l’argent. Sans en référer au Supérieur, cette femme a accepté unilatéralement de prêter des centaines de milliers de yuans au non-croyant. L’argent qui appartient à des gens peut être prêté, mais l’argent de Dieu est une offrande, et quiconque touche aux offrandes de Dieu doit être puni. Cette femme avait détourné des offrandes secrètement, et la somme n’était pas insignifiante. Après ce détournement, l’Église a pris des mesures contre elle, en exigeant qu’elle travaille pour rembourser l’argent. C’est ainsi que l’Église a géré les choses. C’était une méthode humaine. Cette femme a pu rembourser l’argent et, en apparence, elle a semblé avoir une attitude convenable. Cela signifie-t-il qu’elle avait opéré un revirement ? (Non.) Ses actes étaient assez téméraires, dignes d’une idiote imprudente, révélateurs de son tempérament et de son attitude vis-à-vis de Dieu. Une telle personne peut-elle comprendre la vérité purement ? Est-elle capable d’agir avec raison ? Elle avait osé toucher aux offrandes de Dieu, les traitant comme s’il s’agissait de son propre argent. En l’absence d’instructions de Dieu sur la façon d’allouer les fonds ou d’instructions déclarant qu’il ne fallait pas y toucher, elle n’avait ni principes ni limites dans son cœur. Elle croyait qu’en tant que dirigeante, elle avait le droit de disposer de cet argent, et avait osé le détourner. Après ce détournement, comment Dieu a-t-Il géré la situation ? Dieu n’a même pas eu à lever le petit doigt. L’Église s’est chargée de punir la femme. Ces centaines de milliers de yuans ont suffi à déterminer son issue : elle a été à jamais éliminée par Dieu et rejetée. Pourquoi Dieu a-t-Il fait cela ? Il s’agit là d’une représentation de la colère de Dieu. Bien entendu, il s’agit également d’un aspect du tempérament de Dieu. Dieu ne tolère aucune offense. Si tu offenses le tempérament de Dieu, tu as dépassé une limite. Est-ce stipulé dans les décrets administratifs ? (Oui.) Le peuple élu de Dieu le comprend clairement : détourner des offrandes constitue une offense contre le tempérament de Dieu. Quand cette femme a détourné des offrandes, Dieu est-Il intervenu ? Dieu n’est pas intervenu, Il ne l’a pas arrêtée et Il n’a rien dit. Il ne l’a pas non plus restreinte, réprimandée ou avertie quand elle a agi. Elle a prêté cet argent, juste comme ça. Elle était plutôt contente d’elle, avant que ce problème ne soit exposé, et l’Église s’est occupée d’elle. Elle a commencé à pleurer et à pleurnicher, puis elle s’est immédiatement mise au travail pour rembourser l’argent. En fait, était-ce de l’argent que Dieu Se souciait ? Non. Ce n’était pas de l’argent qu’Il Se souciait, mais de l’attitude que la femme Lui avait révélée dans cette affaire. C’est de ça que Dieu Se souciait. Offenser le tempérament de Dieu spécifiquement pour de l’argent, cela ne mérite-t-il pas la mort ? On appelle cela recevoir ce que l’on mérite ! Si tu es un peu négatif ou faible, ou que tu as parfois certaines adultérations quand tu accomplis ton devoir, ou que tu adoptes parfois la position d’un certain statut et profites de ses avantages, Dieu voit cela comme la révélation d’un tempérament corrompu. Mais quand tu touches aux offrandes de Dieu sans Le consulter, ou que tu les détournes sans avoir obtenu Son autorisation, de quel genre de problème s’agit-il ? C’est voler des offrandes. Et quel genre de tempérament cela indique-t-il ? Il s’agit du tempérament de l’archange, du tempérament de Satan. N’est-ce pas de la trahison de voler les offrandes de Dieu ? (Si.) Qu’a fait Satan, que Dieu a considéré comme de la trahison ? (Satan a cherché à devenir Dieu.) Quant à la femme dont nous parlons, elle a voulu contrôler les offrandes de Dieu. Pour qui se prenait-elle ? (Elle se prenait pour Dieu.) Exactement, elle se prenait pour Dieu, et c’est en cela qu’elle se trompait. C’est pour cette raison que nous disons qu’elle a offensé le tempérament de Dieu. Par nature, tout cela est-il grave ? (Oui.) Notre description est-elle juste ? (Elle est juste.) Cette femme n’a plus d’issue. Elle n’a pas d’issue. C’est ce qu’il semble, maintenant. En termes de la définition de Dieu, en termes des punitions dont cette femme fera l’expérience par la suite, ces questions sont pour l’avenir. Voilà l’histoire de la première femme. Elle était vraiment téméraire, capable de tromper ceux au-dessus et en dessous d’elle, agissant imprudemment, sans tenir compte des conséquences, à la fois stupide et insolente. Possédait-elle la moindre soumission ou avait-elle le moindre désir de chercher ? (Non.) Elle voulait contrôler les offrandes de Dieu, les biens de Dieu, sans l’accord de quiconque et sans discuter ou sans échanger sur ce sujet avec quiconque. Elle a pris l’initiative de gérer cette affaire unilatéralement, et telles en ont été les conséquences. Certains diront peut-être : « Simplement toucher aux offrandes de Dieu signifie-t-il que l’on offense Son tempérament ? » Est-ce le cas ? Non. L’Église suit des principes pour allouer les offrandes de Dieu, et si tu agis conformément à ceux-ci, Dieu n’interviendra pas. Si tu connais déjà ces principes et que tu ne les suis pas, mais qu’au contraire, tu persistes à agir imprudemment et à faire les choses à ta guise, gérant ces questions secrètement toi-même, alors tu offenses le tempérament de Dieu. Voilà l’histoire de la première femme.

L’histoire de la deuxième dirigeante concerne également les offrandes. La voici : l’Église avait acheté une maison destinée à servir de lieu de culte, maison qui avait besoin d’être rénovée. Rénover une maison suppose des tâches de conception et l’achat de matériaux, ce qui coûte de l’argent. Comme il s’agit là du travail de la maison de Dieu, qui implique la gestion de Dieu, l’argent dépensé vient naturellement de la maison de Dieu, et il s’agit d’une offrande à Dieu. Cet argent est utilisé raisonnablement, légitimement et correctement, conformément aux principes de la maison de Dieu. À ce moment-là, cette femme était dirigeante, et responsable du projet. Elle avait choisi un nouveau croyant, que personne ne connaissait, pour qu’il vienne superviser ce projet. Cet homme était pareil à un non-croyant. Par la suite, la dirigeante s’est entendue avec ce non-croyant, elle a acheté de nombreux objets haut de gamme et gaspillé beaucoup d’argent. N’est-ce pas là escroquer de l’argent à la maison de Dieu ? C’est de l’escroquerie, et c’est dilapider les offrandes destinées à Dieu ! Ce non-croyant a gagné pas mal d’argent ainsi. Cela avait-il quoi que ce soit à voir avec la femme ? (Oui.) Elle avait facilité cela, en permettant au non-croyant de faire de telles choses. Quand quelqu’un a découvert le problème et a voulu le signaler, elle s’est opposée avec véhémence à cette personne et l’a menacée. Cette femme a trahi les intérêts de la maison de Dieu, nuisant à ceux-ci et provoquant également des pertes d’offrandes considérables. Durant cette période, Dieu a-t-Il réprimandé la femme ? (Non.) Elle n’était pas consciente du problème. Comment savons-nous qu’elle n’en était pas consciente ? Certains faits le prouvent. Elle avait clairement compris depuis le début ce que le non-croyant prévoyait de faire, mais elle ne l’en avait pas empêché. Au contraire, elle s’était prêtée au jeu et avait tacitement approuvé cela, en faisant continuellement affluer l’argent. De ce fait, les coûts avaient explosé et le travail final s’était avéré de qualité médiocre. Elle l’avait clairement vu, mais avait continué à investir davantage d’argent. Dieu avait-Il agi, à ce moment-là ? Dieu ne l’avait pas fait. Quels sont les notions et les produits de l’imagination des gens à ce sujet ? Les gens pensent que Dieu devrait être responsable de Son propre argent et qu’Il aurait dû arrêter la femme. Il s’agit là d’une notion humaine, mais Dieu n’a pas agi ainsi. Une fois la rénovation achevée, et après enquête, la maison de Dieu a découvert qu’une grande partie des offrandes avait été perdue. Que fallait-il faire avec cette femme ? Dieu n’a rien fait. L’Église s’en est chargée, et une autre femme a commencé à rembourser l’argent. Quelle était la nature des actes de la dirigeante ? En tant que dirigeante, non seulement elle s’était montrée irresponsable et n’était pas parvenue à contrôler les dépenses d’offrandes, mais elle avait également conspiré avec quelqu’un de l’extérieur pour tromper la maison de Dieu et détourner les offrandes destinées à Dieu. Ce cas est encore plus grave que le précédent. Alors, quelle est l’issue d’une telle personne aux yeux de Dieu ? La destruction. Que cette personne soit punie ou non est une question qui se posera à l’avenir. Un jour, une telle personne sera peut-être placée par Dieu dans une demeure pleine d’esprits malfaisants et de démons immondes, son corps physique sera détruit dans cette vie et son âme sera souillée et profanée par des démons immondes et des esprits malfaisants. Quant à sa prochaine vie, elle est trop éloignée pour qu’on en parle. Voilà l’issue. Pourquoi Dieu gère-t-Il une telle personne de cette façon ? Parce qu’elle a offensé Son tempérament. Ayant offensé le tempérament de Dieu, Dieu pouvait-Il encore l’aimer ? Il ne reste aucun amour, aucune miséricorde, aucune affection, il ne reste que de la colère. Quand les actes de cette personne sont mentionnés, Dieu la hait et la déteste. Pourquoi la déteste-t-Il à ce point ? Parce qu’elle a sciemment commis des péchés, alors qu’elle était consciente du vrai chemin. Non seulement il n’y a plus de sacrifice d’expiation pour elle, mais elle doit également affronter la punition de la colère de Dieu. Pas d’issue, pas de destination et pas de possibilité de salut : elle n’a rien de tout cela. Voilà ce que signifie offenser le tempérament de Dieu. Voilà ce qui se passe quand on offense le tempérament de Dieu.

Dites-Moi, est-il facile d’offenser le tempérament de Dieu ? En réalité, il n’y a pas tant d’occasions, ni tant de situations où cela peut arriver. Les occasions sont rares, les chances sont faibles. Pour autant, malgré d’aussi rares occasions et d’aussi faibles probabilités, comment les gens se débrouillent-ils quand même pour offenser le tempérament de Dieu ? Ces deux femmes croyaient toutes les deux en Dieu depuis plus de vingt ans, elles avaient écouté de nombreux sermons pendant des années et avaient longtemps servi en tant que dirigeantes et ouvrières. Comment ont-elles pu commettre des erreurs aussi graves ? Pour ce qui est de leur humanité, elles manquaient d’humanité, de conscience et de rationalité. En ce qui concerne leur foi en Dieu, elles ne possédaient pas une foi authentique, elles n’avaient pas Dieu dans leur cœur. Comment cette absence de Dieu dans leur cœur se manifestait-elle ? Dans leurs actes, il n’y avait aucun sentiment de crainte, aucune limite. Elles ne se demandaient pas : « Que va-t-il m’arriver, une fois que j’aurai fait ça ? Y aura-t-il des répercussions ? Les gens ne le sauront peut-être pas, mais que se passera-t-il si Dieu l’apprend ? Je dois assumer la responsabilité de cette affaire, car elle concerne mon issue. » Elles ne pensaient pas à ces choses. N’est-ce pas problématique ? Si elles ne pensaient pas à ces choses, étaient-elles douées de conscience et de raison ? (Non.) Par conséquent, elles étaient capables d’offenser le tempérament de Dieu, capables de commettre des erreurs aussi graves. Si les gens possèdent une pensée humaine normale, ils ont la mentalité suivante. Quand quelqu’un demande à emprunter de l’argent, ils se disent : « Emprunter de l’argent ? Il s’agit de l’argent de Dieu. Si je prête l’argent de Dieu simplement pour gagner l’estime de quelqu’un l’espace d’un instant, que se passera-t-il si cette personne ne peut pas le rembourser ? Comment vais-je compenser cette perte d’argent ? Même si j’y arrive, de quel genre de comportement s’agit-il, quand je prête cet argent ? Peut-on toucher à l’argent de Dieu avec autant de désinvolture ? On ne peut pas y toucher de façon aussi désinvolte. Si j’y touchais, quelle serait la nature de cet acte ? » Les gens se poseraient ces questions et ils ne prêteraient pas cet argent sur un coup de tête, simplement parce que quelqu’un le demande. Si les gens ne se posent pas ces questions ou s’ils se les posent, mais qu’ils ne réfléchissent pas aux conséquences, qu’est-ce que cela dit de leur vision de Dieu ? De quelle façon croient-ils ? Fondamentalement, ces gens ne reconnaissent pas l’existence de Dieu, ce qui est terrifiant ! Comme ils ne reconnaissent pas l’existence de Dieu, ils ne reconnaissent pas que Dieu déterminera leur issue, et ils ne reconnaissent pas que Dieu leur infligera une punition. Ils n’en ont pas peur, ils ne croient pas à la punition. En général, si quelqu’un croit à cinquante ou soixante pour cent, il agit prudemment et fait preuve de retenue. Si l’on croit à trente pour cent, on peut également faire preuve d’un peu de retenue, mais quand l’occasion se présente, on va jusqu’au bout, malgré tout. Ou bien, si les occasions sont peu nombreuses ou peu propices, on est capable de faire preuve de quelque retenue et de se limiter un peu soi-même. Cependant, ceux qui n’ont pas le moindre élément de croyance oseraient faire toutes sortes de mauvaises actions, ils agiraient imprudemment, sans réfléchir aux conséquences. C’est comparable au fait d’être une bête. En apparence, ces gens semblent humains, mais ce qu’ils font n’est pas ce que les êtres humains devraient faire. Au minimum, on peut dire que ces gens sont des bêtes et, plus sérieusement, qu’ils pourraient être des démons immondes et des esprits malfaisants, qui viennent pour interrompre et perturber l’œuvre de Dieu, qui se spécialisent dans le sabotage de l’œuvre de Dieu. La façon dont Dieu classe de telles personnes est-elle exacte ? (Oui.) Elle est extrêmement exacte. Il n’y a rien d’erroné dans ce que Dieu fait, tout ce que Dieu fait est précis. En outre, les actes de Dieu, la détermination de l’issue des gens par Lui, ne se fondent pas sur leur comportement l’espace d’un instant. Ces deux femmes croyaient en Dieu depuis vingt ans et pourtant, elles en étaient arrivées à ce stade, scellant ainsi leur issue. Comment cela s’est-il produit ? Ce n’est pas quelque chose qui est arrivé du jour au lendemain. Du point de vue de leur poursuite dans la foi et du chemin qu’elles ont choisi, elles n’étaient pas des personnes qui poursuivaient la vérité. Voilà un aspect des choses. Un autre aspect est qu’elles ne s’intéressaient absolument pas à la vérité. Si elles s’y étaient un tant soit peu intéressées, leur humanité aurait connu un changement. Et que leur aurait apporté un tel changement de leur humanité ? Elles auraient agi avec retenue et respecté les limites, elles auraient eu une norme pour évaluer les choses et elles auraient mesuré ces choses avec la raison et les processus de pensée d’un être humain normal. Si elles avaient vu que faire quelque chose était inapproprié, elles se seraient abstenues. Cependant, ces deux femmes n’ont jamais poursuivi la vérité. Elles n’avaient même pas cette limite et cette façon de penser élémentaires. Elles ont osé faire n’importe quoi, et c’est cette nature même qui les a menées à leur perte, voire à leur mort. Voilà la raison pour laquelle leur parcours de croyance en Dieu a pris fin de cette manière.

Après avoir écouté ces deux histoires, qu’en pensez-vous ? Certains diront : « J’ai beaucoup gagné aujourd’hui. J’ai obtenu la plus haute vérité, qui est qu’il ne faut pas toucher à ce qui appartient à Dieu. N’y songez même pas, n’y touchez pas. Si vous y touchez, cela ne donnera rien de bon. » Est-ce vraiment le cas ? S’agit-il de la vérité ? (Non.) L’important n’est pas de savoir si tu touches à ce qui appartient à Dieu, mais l’attitude que tu as à l’égard de Dieu dans ton cœur. Si tu crains Dieu et que tu éprouves un sentiment d’effroi à Son égard, que tu crois réellement à Son existence, et que tu envisages sincèrement ta propre issue, il y a des choses que tu ne feras pas ; tu n’y penseras même pas. Par conséquent, tu ne seras pas soumis à ce genre de tentation. Cela ne t’arrivera jamais. La crainte est-elle utile ? La crainte ne sert à rien. Qu’a fait Dieu pendant que ces deux femmes agissaient ainsi ? Dieu a laissé les choses suivre leur cours, Il a soumis ces deux démons – ces deux non-humains, dont le cœur n’avait aucune crainte de Dieu, quelle qu’elle soit – à la tentation de Satan, pour qu’ils puissent être complètement révélés et détruits. N’est-ce pas là l’attitude de Dieu ? C’est le tempérament juste de Dieu, qui ne doit pas être pris à la légère ! Les gens emploient des moyens humains pour gérer les autres et leur infliger des punitions, rendant le mal par le mal. Mais Dieu n’agit pas ainsi. Dieu a Ses propres limites, Ses propres principes et Ses propres méthodes. Quand Dieu inflige une punition à quelqu’un, Il fait en sorte que cette personne ne ressente rien. Elle n’en est pas consciente, mais aux yeux de Dieu, le problème a déjà été résolu. Des années plus tard, la souffrance qui en résulte émergera petit à petit. Une fois que Dieu a retiré à cette personne Sa grâce, Ses bénédictions, Son éclairage, Son illumination, et tout le traitement qu’Il réserve à un être humain normal, elle se trouve entièrement déshumanisée. Aux yeux de Dieu, elle n’est plus un être créé, mais une bête. Elle est complètement quelque chose d’autre. Dieu dit : « Il fait lever Son soleil sur les méchants et sur les bons. » Ces gens sont-ils bons ou méchants ? Ni l’un ni l’autre. Aux yeux de Dieu, dans Ses registres, les personnes de ce genre ont été éliminées. Elles sont parties, elles sont non-humaines. Quelle est la définition du terme « non-humain » ? (Il s’agit des brutes, des bêtes en vêtements humains.) Ils se peut même que certains envient ces personnes, et qu’ils disent : « Elles travaillent et gagnent de l’argent à l’extérieur, en vivant avec les non-croyants. Leur vie est bien plus agréable que lorsque l’on souffre dans l’Église, en accomplissant des devoirs du matin au soir. » Je te le dis, leurs jours de souffrance restent à venir. Si tu les envies, tu es libre de les imiter. La maison de Dieu n’impose aucune restriction. La souffrance ne se limite pas à la douleur physique due à la maladie. Si les souffrances intérieures d’une personne atteignent un certain point, elles sont indescriptibles, comme les coups portés au psychisme, en particulier quand cette personne est soumise à la punition de Dieu, c’est pire que la mort, c’est plus atroce. C’est une forme de douleur psychique. Ces deux femmes se sont retrouvées dans une telle situation parce qu’elles avaient offensé le tempérament de Dieu par leurs actes imprudents. Selon les notions des gens, on pourrait croire que, quelles que soient les erreurs commises par des individus ou quoi qu’ils fassent, du moment qu’ils peuvent revenir devant Dieu pour se confesser et se repentir, Dieu peut les pardonner. Cela prouverait que l’amour de Dieu est immense, qu’Il aime réellement l’humanité. C’est là une notion humaine et cela montre que la compréhension que les gens ont de Dieu est pleine de trop nombreux produits de l’imagination et de trop de volonté humaine. Si Dieu était délimité par les notions humaines, alors Ses actes seraient dépourvus de principes et Dieu serait dépourvu de tout tempérament. Un tel Dieu n’existe pas. C’est précisément parce que Dieu existe vraiment, qu’Il est vivant et énergique, et qu’Il est indéniablement et concrètement réel, qu’Il a différentes manifestations. Ces manifestations sont évidentes dans Ses diverses actions et attitudes vis-à-vis des gens, et elles sont la preuve de Sa véritable existence. Certains disent : « Ces gens, quand ils sont gérés, n’en sont pas eux-mêmes conscients, alors comment pouvons-nous constater l’existence de Dieu ? » Ne serait-ce que les histoires que J’ai évoquées permettent aux gens de voir l’attitude et le tempérament de Dieu, et qu’elles permettent aussi aux gens de voir les principes de Dieu quand Il agit et gère les gens. N’est-ce pas la preuve de l’existence réelle de Dieu ? (Si.) Si ce Dieu n’existait pas, s’Il n’était réellement que du vent, alors tout ce qu’Il fait serait sans principes ni limites. Ce serait indétectable, intouchable, creux, ce ne serait pas mis en œuvre dans la vie des gens, et ce serait dépourvu de pertinence quant à la vie des gens, à leurs actes et à leurs moindres manifestations. Ce ne serait qu’une théorie, un argument, un discours vide. C’est précisément parce que ce Dieu existe que les nombreuses choses qu’Il fait permettent aux gens de voir Son attitude.

La partie principale des diverses notions et des divers produits de l’imagination que les gens ont au sujet de l’œuvre de Dieu a été couverte, pour l’essentiel, par notre échange. Sur quoi cette partie principale est-elle axée ? Sur les diverses notions, les divers produits de l’imagination et les diverses idées que les gens ont au sujet du jugement et du châtiment de Dieu, ainsi que sur leurs diverses notions et les divers produits de leur imagination concernant ce qui constitue un changement de tempérament. De plus, les gens ont également nombre de produits de leur imagination qui portent sur les principes derrière l’œuvre de jugement et de châtiment de Dieu et sur les normes que Dieu exige des gens. Pour les gens, ces concepts sont en général confus et peu clairs. Que représente ce manque de clarté ? Il signifie que les gens ne comprennent toujours pas la vérité et qu’ils ne comprennent pas non plus les vérités impliquées dans l’œuvre que Dieu fait en eux. Grâce à l’échange d’aujourd’hui, avez-vous maintenant, pour l’essentiel, une ébauche de définition du jugement et du châtiment, ainsi que des normes que Dieu exige des gens ? (Oui.) Ayant cette compréhension, que devriez-vous faire ensuite ? Tout d’abord, vous devez reconnaître que Dieu a de telles normes. Ces normes sont-elles souples ? Peuvent-elles être supérieures ou inférieures à ce qu’elles sont en réalité ? (Non.) Pourquoi ? Depuis l’ère de la Grâce jusqu’à maintenant, nous pouvons voir, d’après ceux que Dieu a perfectionnés, que ces normes sont strictes et bien définies. Dieu ne les changera jamais. Il ne les a pas changées il y a deux mille ans et Il ne les a pas changées jusqu’à présent. Simplement, maintenant, davantage de gens seront perfectionnés, parce que Dieu a tant parlé. À l’époque, Il œuvrait à plus petite échelle et Il n’a pas dit explicitement davantage de vérités aux gens. À présent, Il a dit aux gens davantage de vérités et Il leur a fait prendre conscience d’une plus grande partie de Ses intentions, et Il a exprimé toutes les normes qu’Il exige et toutes les vérités que les gens doivent connaître. En même temps, l’Esprit de Dieu œuvre également de concert parmi les gens de cette façon. Ces deux aspects combinés prouvent que, durant cette période, Dieu a l’intention de perfectionner davantage de gens. Il s’agit d’un groupe de personnes, pas simplement d’une personne ou deux. En vous fondant sur cette information, avez-vous, pour la plupart d’entre vous, l’espoir d’être perfectionnés ? Certains disent qu’ils n’en sont pas certains, mais même si nous n’en sommes pas certains, essayons. Il vaut mieux échouer que d’implorer la pitié, à présent. De quel genre de comportement s’agit-il quand on implore la miséricorde, actuellement ? Il s’agit d’un comportement lâche, dépourvu de valeur, incompétent, méprisable. C’est faire honte à Dieu. Vous ne devez pas être des lâches ! Les conditions et les normes pour être perfectionné ont été indiquées clairement et simplement aux gens. Ce qui reste, c’est comment pratiquer et comment coopérer avec l’œuvre de Dieu. Peu importe le nombre de fois où tu échoueras durant cette période, du moment que tu n’offenses pas le tempérament de Dieu, tu ne devrais pas te décourager ou renoncer. Continue à t’efforcer de t’élever. Certains disent que leur calibre est médiocre. Dieu ne sait-Il pas que leur calibre est médiocre ? Qu’ils admettent que leur calibre est médiocre est déjà une bonne chose aux yeux de Dieu, parce que l’humanité corrompue est arrogante et présomptueuse, et que très peu de gens admettent que leur calibre est médiocre. Le reconnaître est une bonne chose, une bonne expression. Certains parlent de leurs expériences, se rendant compte que leur humanité est médiocre ou mauvaise. Pourquoi les autres ne s’en rendent-ils pas compte ? Reconnaître que ton humanité est médiocre, que ton humanité est mauvaise, indique que tu as compris les paroles de Dieu et que tu as fait le lien entre elles et toi. Cela montre que tu as foi en l’œuvre de salut de Dieu, tu as la résolution et la volonté de satisfaire Dieu : à tout le moins, tu as été capable d’admettre cette affirmation honnête. Qui, parmi les non-croyants, dit qu’il est mauvais, actuellement ? Même quand un individu est mauvais, il affirme qu’il est bon. Il affirme que ses actes malfaisants sont de bonnes actions grandioses et que son comportement est vertueux, déformant de façon flagrante le bien et le mal. Par conséquent, quels que soient les revers que tu essuies, quels que soient les échecs ou les faux pas, tu dois être capable de voir qu’il y a de l’espoir devant toi. Qui Se trouve devant toi ? Dieu ! Avec les paroles de Dieu pour les guider et les diriger, les gens peuvent s’engager sur le bon chemin.

Aujourd’hui, trois études de cas ont fait l’objet d’échanges, clarifiant les diverses notions et les divers produits de l’imagination des gens sur l’œuvre de Dieu. Avez-vous tous compris ce qui était communiqué ? (Oui.) Votre capacité à comprendre démontre que vous possédez le calibre et les facultés nécessaires pour accepter la vérité. Vous avez l’espoir de comprendre et d’obtenir la vérité. Pourquoi ne peut-on pas expliquer ces vérités en une heure ou deux seulement, ou en deux ou trois heures ? Parce qu’il faut présenter beaucoup de contenu préliminaire avant de pouvoir parler des détails qui suivent. Si le terrain n’est pas préparé à l’avance, vous ne pourrez pas suivre le contenu ultérieur. Si Je devais parler succinctement, sans aucun contenu préliminaire, il vous serait difficile de suivre. Je donne donc certains exemples, puis J’en parle d’un point de vue à la fois positif et négatif, pour vous aider à les comprendre et à les discerner, et à savoir de quoi il retourne exactement et comment on doit saisir purement ces questions. Si vous pouvez y parvenir, alors Je n’aurai pas parlé en vain. À partir de l’instant où tu commences à te faire une certaine idée de ces vérités en les entendant, jusqu’au moment où tu en as une compréhension approfondie, où tu comprends, dans les profondeurs de ton cœur, pourquoi Dieu dit ces choses, quelle part de ton propre tempérament corrompu est impliquée dans ces vérités énoncées par Dieu, et pourquoi Dieu veut te dire ces choses, il faut être arrivé à un certain stade pour atteindre ce niveau de compréhension. Tu dois faire le lien entre ces vérités et ton propre tempérament corrompu, ton propre discours, ton propre comportement, ainsi que tes propres pensées et idées. Autrement dit, tu dois les appliquer à ta situation réelle, et inconsciemment, tu en viendras peu à peu à comprendre et à saisir ces vérités. Si tu ne les compares pas à ton propre cas, mais que tu en prends note aujourd’hui, que tu relis ces notes et que tu les mémorises demain, puis que tu les proclames à ceux qui n’en ont jamais entendu parler, tu pourrais penser que tu les as obtenues, mais en réalité, ce n’est pas le cas. Dès l’instant où tu peux débiter des doctrines, ces vérités ne sont plus des vérités pour toi, et il devient difficile pour toi de saisir la vérité, comme si elle avait complètement disparu. Une fois que la vérité se transforme en simple doctrine pour toi, il lui est difficile de produire des effets sur toi. Tu dois transformer la vérité en ta propre réalité, mettre en œuvre progressivement en toi l’aspect pratique de chaque vérité au moyen de la recherche et de l’échange, et en venir finalement à comprendre quels états cette vérité englobe, et ce qu’elle concerne, pour comprendre les significations derrière le fait que Dieu prononce ces paroles. C’est le début de la compréhension de la vérité. Que comprenez-vous maintenant ? (Des doctrines.) Quand les gens entrent en contact avec la vérité pour la première fois, ce qu’ils comprennent est une forme de doctrine. Cependant, comprendre la doctrine n’est pas simple. Cela nécessite également un certain calibre et certaines capacités de compréhension. Il faut aussi que tu aies un cœur calme et concentré, pour pouvoir écouter des sermons avec une attention pleine et entière. J’ai constaté que certaines personnes, quand elles écoutent des sermons, se disent : « Ce dont Tu parles est sans valeur, je ne suis pas disposé à l’écouter. Je veux écouter des sermons, pas entendre parler d’évènements. » Ces personnes croient que Je parle du bien et du mal. Parce qu’elles adoptent ce point de vue, elles ne peuvent pas assimiler ce qu’elles entendent. Elles somnolent, n’arrivent pas à comprendre ou à suivre. De telles personnes n’ont pas la capacité de saisir la vérité. Elles manquent de calibre. Certaines, qui se disent spirituelles, ne sont pas disposées à écouter quand elles M’entendent raconter des histoires. Elles boivent de l’eau ou baillent, et s’agitent sans cesse. Elles pensent : « Les histoires que Tu racontes concernent des questions extérieures. Tout cela est très superficiel, je ne peux pas l’assimiler. Tu devrais parler davantage du domaine spirituel. Ce serait à mon goût. » Voilà l’exacte attitude que certaines personnes ont. Quand elles ont été dirigeantes pendant des années, elles aiment parler de nobles sermons, de théories grandioses et de paroles du troisième ciel. Plus elles parlent, plus elles se montrent enthousiastes. Mais si l’on parle de problèmes au sein de l’Église, d’expériences concrètes, ou de disséquer particulièrement la dynamique du psychisme humain, elles trouvent toujours cela superficiel et ennuyeux. De quel genre de tempérament s’agit-il ? Ces personnes ont-elles la vérité-réalité ? De telles personnes peuvent-elles résoudre des problèmes réels dans leur travail ? Aimez-vous les gens comme ça ? Échanger sur la vérité ne peut pas être séparé de la réalité. Les gens qui ne s’intéressent pas à la réalité peuvent-ils aimer la vérité ? Je ne le pense pas. De telles personnes ont de l’aversion pour la vérité, et c’est très dangereux.

Le 8 novembre 2018

Note de bas de page :

a. Selon le texte original, « ces deux choses » font référence à « être pardonné des péchés », ainsi qu’à « le jugement et le châtiment ».

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