Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (17)

Point 12 : Identifier rapidement et précisément les divers personnes, événements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de l’Église ; les arrêter, les restreindre et inverser la situation ; en outre, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et en tire des leçons (Partie V)

Les divers personnes, événements et choses qui interrompent et perturbent la vie d’Église

IX. Évacuer sa négativité

Aujourd’hui, nous poursuivons notre échange à propos de la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers : « Identifier rapidement et précisément les divers personnes, événements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de l’Église ; les arrêter, les restreindre et inverser la situation ; en outre, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et en tire des leçons. » En ce qui concerne les diverses perturbations et interruptions qui surgissent dans la vie d’Église, nous avons échangé la dernière fois à propos du huitième problème, celui de répandre des notions, et nous allons aujourd’hui échanger sur le neuvième, celui d’évacuer sa négativité. Dans la vie de tous les jours, on entend également souvent des gens qui évacuent leur négativité. De la même manière, les actions et les affirmations qui relèvent du fait d’évacuer sa négativité doivent également être restreintes et arrêtées lorsqu’elles se produisent dans la vie d’Église, car évacuer sa négativité n’est édifiant pour personne ; au contraire, cela a un impact sur les gens, les perturbe et leur cause des pertes. De fait, évacuer sa négativité est quelque chose de négatif, similaire dans sa nature à d’autres comportements, actions et affirmations qui perturbent la vie d’Église ; cela peut également perturber les gens et avoir un impact négatif. Personne ne peut édifier les autres ou leur être bénéfique en évacuant sa négativité ; cela n’engendre que des effets nocifs et peut également affecter l’accomplissement normal des devoirs par les gens. Ainsi, quand quiconque évacue sa négativité dans l’Église, il faut pareillement y mettre un terme et le restreindre, et non pas le tolérer ni l’encourager.

A. Ce que signifie le fait d’évacuer sa négativité

Voyons d’abord de quelle manière il faut comprendre et discerner le fait d’évacuer sa négativité. De quelle façon devrions-nous discerner le fait d’évacuer sa négativité ? Parmi les remarques et les manifestations des gens, quelles sont celles qui consistent pour eux à évacuer leur négativité ? Par-dessus tout, la négativité que les gens évacuent n’est pas positive, c’est quelque chose de défavorable, qui contredit la vérité, et c’est quelque chose qui est produit par leur tempérament corrompu. Avoir un tempérament corrompu mène à des difficultés dans la pratique de la vérité et dans le fait de se soumettre à Dieu, et à cause de ces difficultés, des pensées négatives et d’autres choses négatives sont révélées chez les gens. Ces choses sont produites dans le contexte de leurs tentatives de pratique de la vérité ; il s’agit là de pensées et de points de vue qui affectent et entravent les gens quand ils essaient de pratiquer la vérité, et ce sont des choses complètement négatives. Peu importe à quel point ces pensées et points de vue négatifs semblent être raisonnables et en accord avec les notions de l’homme, ils n’émanent pas de la compréhension des paroles de Dieu et découlent encore moins d’une connaissance expérientielle des paroles de Dieu. Ils sont en fait produits par l’esprit humain et ne sont pas du tout en accord avec la vérité. Il s’agit donc de choses négatives et défavorables. L’intention des gens qui évacuent leur négativité est de trouver de nombreuses raisons objectives expliquant leur incapacité à pratiquer la vérité, afin de gagner la compassion et la compréhension des autres. À des degrés divers, ces affirmations négatives influencent et sapent l’initiative des gens de pratiquer la vérité, et elles peuvent même empêcher de nombreuses personnes de pratiquer la vérité. Ces conséquences et impacts défavorables font que ces choses négatives méritent d’autant plus d’être caractérisées comme défavorables, en opposition à Dieu et totalement hostiles à la vérité. Certaines personnes sont incapables de percer à jour l’essence de la négativité, et elles pensent qu’il est normal d’être fréquemment négatif et que cela n’affecte pas beaucoup la poursuite de la vérité par les gens. Ce raisonnement est erroné : en fait, cela a un effet vraiment important, et si la négativité d’une personne devient trop lourde à supporter pour elle, elle peut facilement mener à la trahison. Cette conséquence terrible n’est due à rien d’autre qu’à la négativité. Alors, de quelle manière doit-on identifier et comprendre le fait d’évacuer de la négativité ? Pour le dire simplement, évacuer sa négativité, c’est fourvoyer les gens et les empêcher de pratiquer la vérité, c’est utiliser des tactiques douces, des méthodes en apparence normales pour induire les gens en erreur et les faire trébucher. Cela leur est-il préjudiciable ? En fait, cela leur est profondément préjudiciable. Par conséquent, évacuer sa négativité est quelque chose de défavorable, qui est condamné par Dieu ; voilà l’interprétation la plus simple du fait d’évacuer sa négativité. Alors, quelle est exactement la composante négative dans le fait d’évacuer sa négativité ? Quelles choses sont négatives et susceptibles d’avoir un impact défavorable sur les gens, de provoquer des perturbations et de nuire à la vie d’Église ? Qu’englobe la négativité ? Si les gens ont une compréhension pure des paroles de Dieu, les paroles qu’ils échangent renfermeront-elles de la négativité ? Si les gens ont une attitude de véritable soumission vis-à-vis des circonstances mises en place pour eux par Dieu, alors leur connaissance de ces circonstances renfermera-t-elle la moindre négativité ? Quand ils partageront leurs connaissances expérientielles avec tout le monde, cela renfermera-t-il la moindre négativité ? Certainement pas. Si les gens sont capables d’accepter tout ce qui se passe dans l’Église ou autour d’eux comme venant de Dieu, d’avoir une approche correcte et d’avoir une attitude consistant à faire des recherches et à se soumettre, alors leur connaissance, leur compréhension et leur expérience de ce qui se passe contiendront-elles la moindre négativité ? (Non.) En aucun cas. Alors, au regard de ces éléments, qu’est-ce exactement que la négativité ? De quelle manière peut-on la comprendre ? La négativité ne contient-elle pas des choses de cette nature : la désobéissance, le mécontentement, les griefs et le ressentiment des gens ? Les cas plus graves de négativité contiennent aussi la résistance, le défi, et même le fait de vociférer. Exprimer des remarques qui contiennent ces éléments peut être caractérisé comme le fait d’évacuer sa négativité. Donc, à en juger par ces manifestations, lorsqu’une personne évacue sa négativité, y a-t-il dans son cœur la moindre soumission à Dieu ? Assurément pas. A-t-elle la moindre inclinaison à se rebeller contre sa chair et à résoudre sa négativité ? Non, il n’y a rien d’autre que de la résistance, de la rébellion et de l’opposition. Si le cœur des gens est rempli de ces choses-là, s’il a été envahi par ces choses négatives, alors cela produira de la résistance, de la rébellion et une attitude de défi envers Dieu. Et si c’est le cas, seront-ils toujours à même de pratiquer la vérité et de se soumettre à Dieu ? Ils ne le pourront pas ; tout ce qui se passera, c’est qu’ils se distancieront de Dieu et deviendront plus négatifs, et ils pourront même douter de Dieu, Le nier et Le trahir. Cela n’est-il pas dangereux ? Quiconque est fréquemment négatif est capable d’évacuer sa négativité, et évacuer sa négativité revient à s’opposer à Dieu et à Le renier ; de fait, les gens qui évacuent souvent leur négativité sont susceptibles de trahir Dieu et de Le quitter à tout moment et en tout lieu.

Si l’on en juge par le sens du mot « négativité », lorsqu’une personne devient négative, son humeur tombe dans un état très bas et elle entre dans une mauvaise disposition d’esprit. Son humeur est emplie d’éléments négatifs, elle n’a pas l’attitude de progresser activement et de s’efforcer d’aller de l’avant, et elle ne coopère et ne cherche pas de façon positive et active ; plus encore, elle ne fait preuve d’aucune soumission volontaire et fait même montre d’une humeur incroyablement découragée. Que représente le découragement ? Est-ce que cela représente les aspects positifs de l’humanité ? Est-ce que cela représente le fait d’être doté de conscience et de raison ? Est-ce que cela représente le fait de vivre avec dignité, de vivre dans la dignité de l’humanité ? (Non.) Si le découragement ne représente pas ces aspects positifs, que représente-t-il ? Peut-il représenter un manque de foi véritable en Dieu, ainsi qu’un manque de détermination et de volonté pour poursuivre la vérité et progresser de manière proactive ? Peut-il représenter un fort mécontentement à l’égard de la situation et des difficultés du moment ainsi qu’une difficulté à les comprendre, et un refus d’accepter les faits au moment présent ? Peut-il représenter une situation dans laquelle le cœur d’une personne est empli de désobéissance, d’un désir de défier et d’un désir d’échapper à la situation actuelle et de la changer ? (Oui.) Tels sont les états que les gens manifestent lorsqu’ils font face à la situation du moment avec négativité. En bref, quoi qu’il en soit, lorsque les gens sont négatifs, leur mécontentement vis-à-vis de la situation du moment et de ce que Dieu a arrangé ne revient pas pour eux à dire qu’il y aurait là simplement des malentendus, un manque de compréhension, un manque de lucidité de leur part, ou que les gens ne seraient pas en mesure de vivre ces expériences, ce serait simpliste. Le fait de ne pas saisir peut être une question de calibre ou de temps, ce qui est une manifestation normale de l’humanité. L’incapacité à vivre ces expériences peut également être causée par des raisons objectives, mais celles-ci ne sont pas considérées comme des choses négatives ou défavorables. Certaines personnes sont également incapables de vivre ces expériences, mais lorsqu’elles sont confrontées à des choses qu’elles ne comprennent pas ou qu’elles n’arrivent pas à percer à jour, ou à des choses qu’elles sont incapables de saisir, ou d’expérimenter, elles prient Dieu et cherchent Ses désirs, elles attendent que Dieu les éclaire et les illumine, consultent activement les autres et échangent avec eux. Cependant, certaines personnes sont différentes ; elles n’ont pas ces chemins de pratique ni une telle attitude. Au lieu d’attendre, de chercher des réponses ou de trouver quelqu’un avec qui échanger, elles développent des malentendus dans leur cœur, elles sentent que les événements et les circonstances qu’elles rencontrent ne correspondent pas à leurs désirs, à leurs préférences ou à ce qu’elles avaient imaginé, ce qui mène à la désobéissance, au mécontentement, à de la résistance, à des plaintes, à une attitude de défi, à des vociférations contre Dieu, et à d’autres choses défavorables de ce genre. Ayant généré ces choses défavorables, elles n’en pensent pas grand-chose et ne se présentent pas devant Dieu pour prier et réfléchir afin de gagner la connaissance de leur propre état et de leur corruption. Elles ne lisent pas les paroles de Dieu pour chercher Ses désirs et n’utilisent pas Ses paroles pour résoudre leurs problèmes, sans parler de consulter les autres et d’échanger avec eux. Au contraire, elles maintiennent que ce qu’elles croient est correct et exact, en nourrissant de la désobéissance et du mécontentement dans leur cœur, et elles restent piégées dans des émotions négatives et défavorables. Lorsqu’elles sont prises au piège de ces émotions, elles peuvent être capables de les refouler et de les supporter pendant un jour ou deux, mais sur une période plus longue, beaucoup de choses naissent dans leur esprit, y compris des notions et de l’imagination humaines, une éthique et une morale humaines, une culture, des traditions et des connaissances humaines, et ainsi de suite. Elles utilisent ces choses pour évaluer, calculer et comprendre les problèmes auxquels elles sont confrontées, complètement prises au piège dans la toile de Satan, donnant ainsi naissance à divers états de mécontentement et de désobéissance. De ces états corrompus émergent alors diverses idées et points de vue erronés et, dans leur cœur, ces choses négatives deviennent hors de contrôle. Elles cherchent alors des occasions de déverser et d’évacuer ces choses. Lorsque leur cœur est empli de négativité, disent-elles : « Intérieurement, je suis rempli de choses négatives ; pour éviter de blesser les autres, il ne faut pas que je parle imprudemment. Si j’ai envie de parler et que je ne peux pas me retenir, je parlerai à un mur ou je parlerai à quelque chose qui ne comprend pas la parole humaine » ? Sont-elles assez bienveillantes pour faire cela ? (Non.) Que font-elles alors ? Elles cherchent des occasions d’avoir un auditoire qui reçoive leurs opinions, leurs remarques et leurs émotions négatives, afin de déverser leurs diverses émotions négatives telles que le mécontentement, la désobéissance et le ressentiment. Elles pensent que les moments de vie d’Église sont les meilleures occasions pour déverser leur négativité, leur mécontentement et leur désobéissance, parce qu’il y a beaucoup d’auditeurs et que leurs paroles peuvent inciter d’autres personnes à devenir négatives et engendrer des conséquences défavorables pour le travail de l’Église. Ceux qui évacuent leur négativité ne peuvent évidemment pas se retenir, même en coulisses ; ils déversent toujours leur discours négatif. Lorsqu’il y a peu d’auditeurs, ils ne sont guère stimulés, mais lorsque tout le monde se réunit, ils retrouvent de l’énergie. À en juger par les émotions, les états et les autres aspects de ceux qui évacuent leur négativité, leur but n’est pas d’aider les gens à comprendre la vérité, à voir clair dans ce qui est vrai, à dissiper les malentendus ou les doutes sur Dieu, à se connaître eux-mêmes ainsi que leur propre essence corrompue ou à résoudre leurs problèmes de rébellion et de corruption afin qu’ils se soumettent à Dieu plutôt que de se rebeller contre Lui ou de s’opposer à Lui. Leurs objectifs ont essentiellement deux facettes : d’une part, ils évacuent leur négativité pour déverser leurs propres émotions ; d’autre part, ils cherchent à attirer davantage de personnes dans la négativité et dans le piège de la résistance et de la vocifération contre Dieu. Par conséquent, l’acte d’évacuer sa négativité doit absolument être stoppé dans la vie d’Église.

B. Les divers états et manifestations des personnes qui évacuent leur négativité
1. Évacuer sa négativité quand on est mécontent d’avoir été congédié

C’est là l’essentiel des émotions et les manifestations de la négativité. Après Mon échange à leur propos, les gens devraient se comparer à elles et voir lesquels de leurs comportements, remarques et méthodes dans la vie concrète relèvent du fait d’évacuer sa négativité, et quelles situations les font tomber dans la négativité, les amenant par là-même à évacuer de la négativité. Dites-Moi, dans des circonstances classiques, quelles situations rendent les gens négatifs ? Quelles sont les formes courantes de négativité ? (Lorsque quelqu’un est congédié ou lorsqu’il est émondé, il peut développer de la négativité dans son cœur.) Être congédié est un scénario, être émondé en est un autre. Pourquoi être congédié engendre-t-il de la négativité ? (Certaines personnes, après avoir été congédiées, n’ont pas de connaissance d’elles-mêmes et pensent que c’est leur statut qui a causé leur chute. Elles disent alors : « Plus on s’élève et plus dure sera la chute », en exprimant des points de vue négatifs. Elles n’ont pas une compréhension pure du fait d’être congédié ; elles sont désobéissantes dans leur cœur.) Il y a en elles de la désobéissance et du mécontentement, qui sont des émotions négatives. Se plaignent-elles ? (Oui. Elles ont le sentiment d’avoir enduré des souffrances et d’avoir payé de leur personne, d’avoir toujours travaillé vigoureusement sans rien obtenir de bon en retour, et d’avoir été congédiées malgré tout. Alors elles disent : « C’est dur d’être un dirigeant ; quiconque devient dirigeant est malchanceux. Tout le monde finit par être congédié. ») Le fait de diffuser ces remarques revient à évacuer sa négativité. Si elles se contentent d’être désobéissantes et mécontentes mais qu’elles ne diffusent pas ces remarques, cela ne constitue pas encore le fait d’évacuer sa négativité. Si une humeur de ressentiment émerge peu à peu de la désobéissance et du mécontentement et que la personne ne reconnait pas le fait qu’elle a un faible calibre et qu’elle était incapable d’effectuer le travail, et qu’elle commence alors à défendre sa logique tordue, en générant toutes sortes d’affirmations, de points de vue, d’excuses, de raisons, d’explications, de justifications, etc., en argumentant, alors faire ce genre de remarques revient à évacuer sa négativité. Certains faux dirigeants, congédiés pour n’avoir pas effectué de travail concret, nourrissent de la désobéissance et du mécontentement dans leur cœur et n’ont pas la moindre soumission ; ils se disent toujours : « Voyons qui peut prendre ma place en tant que dirigeant. Les autres ne sont pas meilleurs que moi ; si je ne peux pas faire le travail, ils ne le peuvent pas non plus ! » Qu’est-ce qui les rend désobéissants ? Ils pensent que leur calibre n’est pas médiocre et qu’ils ont effectué une grande quantité de travail, alors ils se demandent pourquoi ils ont été congédiés. Telles sont les pensées intimes d’un faux dirigeant. Ils ne réfléchissent pas pour se connaître eux-mêmes et voir s’ils ont ou non effectué le moindre travail concret, combien de problèmes réels ils ont résolus, ou s’il est vrai ou non qu’ils ont paralysé le travail de l’Église. Ils prennent rarement ces choses-là en considération. Ils ne pensent pas que le problème réside dans le fait qu’ils n’ont pas la vérité-réalité et dans leur incapacité à percer les choses à jour ; au lieu de cela, ils croient que, comme ils ont effectué beaucoup de travail, ils ne devraient pas être qualifiés de faux dirigeants. C’est la raison principale de leur désobéissance et de leur mécontentement. Ils se disent toujours : « J’ai fait mes devoirs pendant de nombreuses années, en me levant tôt et en me couchant tard, et pour qui ? Après avoir cru en Dieu, j’ai abandonné ma famille, renoncé à ma carrière et même risqué d’être arrêté et emprisonné pour faire mes devoirs. J’ai enduré tant de souffrances ! Et maintenant ils disent que je n’ai pas effectué de travail réel et me congédient simplement ; c’est si injuste ! Même si je n’ai pas accompli un quelconque exploit, j’ai enduré des souffrances ; et sinon des souffrances, alors de la fatigue ! Avec mon calibre et ma capacité à payer de ma personne dans mon travail, si, même moi, on ne me considère toujours pas à la hauteur et que je suis congédié, alors il n’y a quasiment aucun dirigeant qui soit à la hauteur ! » Évacuent-ils de la négativité en prononçant ces paroles ? Y a-t-il la moindre phrase parmi elles qui exprime de la soumission ? Y a-t-il même une once de volonté de chercher la vérité ? Y a-t-il la moindre réflexion sur soi, comme par exemple : « Ils disent que mon travail ne respecte pas les normes, alors où sont mes lacunes exactement ? Quel travail réel n’ai-je pas effectué ? Parmi mes manifestations, lesquelles sont celles d’un faux dirigeant ? » Ont-ils réfléchi sur eux-mêmes de cette façon ? (Non.) Alors, quelle est la nature de ces paroles qu’ils prononcent ? Se plaignent-ils ? Se justifient-ils ? Quel est leur objectif en se justifiant ? N’est-ce pas de gagner la compassion et la compréhension des gens ? Ne veulent-ils pas que davantage de gens prennent leur défense et déplorent l’injustice qu’ils ont subie ? (Si.) Alors, contre qui vocifèrent-ils ? Ne sont-ils pas en train de se disputer avec Dieu et de vociférer contre Lui ? (Si.) Leur discours est une plainte envers Dieu, une opposition envers Lui. Leur cœur est rempli de griefs, de résistance et de rébellion. Et ce n’est pas tout : en évacuant leur négativité, ils visent à faire en sorte que davantage de gens les comprennent et compatissent avec eux, et à amener plus de gens à développer comme eux de la négativité, les amener à nourrir des griefs, de la résistance et une attitude de défi contre Dieu, ou à vociférer contre lui, tout comme eux. N’évacuent-ils pas de la négativité pour atteindre cet objectif ? Leur objectif est simplement d’informer davantage de personnes de la soi-disant vérité sur le sujet et de faire croire aux autres qu’ils sont lésés, que ce qu’ils ont fait était juste, qu’ils n’auraient pas dû être congédiés et que les congédier était une erreur ; ils veulent que davantage de personnes prennent leur défense. À travers cela, ils espèrent retrouver leur dignité, leur statut et leur réputation. Tous les faux dirigeants et les antéchrists, après avoir été congédiés, évacuent de la négativité de cette façon pour gagner la compassion des gens. Aucun d’entre eux n’est capable de réfléchir sur lui-même et d’en arriver à se connaître, à admettre ses erreurs ou à afficher le moindre remords ou repentir authentiques. Ce fait prouve que les faux dirigeants et les antéchrists sont tous des personnes qui n’aiment pas la vérité et qui ne l’acceptent aucunement. Ils sont donc incapables, après avoir été révélés et éliminés, d’en venir à se connaitre eux-mêmes à travers la vérité et les paroles de Dieu. Personne ne les a vus exprimer des remords ou avoir une authentique connaissance d’eux-mêmes, et personne ne les a vus faire preuve d’un repentir véritable. Ils semblent ne jamais gagner de connaissance d’eux-mêmes ou admettre leurs erreurs. À en juger par ce fait, congédier les faux dirigeants et les antéchrists est entièrement approprié et n’est absolument pas injuste. En prenant en compte leur absence totale de réflexion sur eux-mêmes et de connaissance d’eux-mêmes, ainsi que le fait qu’ils sont dénués de remords, il est évident que leur tempérament d’antéchrist est grave et qu’ils n’aiment pas du tout la vérité.

Après avoir été congédiés, certains faux dirigeants n’admettent pas du tout leurs erreurs, ne cherchent pas la vérité, ne réfléchissent pas non plus sur eux-mêmes et ils ne se connaissent pas. Ils n’ont pas le moindre cœur ou attitude de soumission. Au lieu de cela, ils comprennent Dieu de travers et se plaignent que Dieu les traite injustement, en se creusant la cervelle pour trouver diverses excuses et raisons afin de se justifier et de se défendre. Certains disent même : « Je n’ai jamais voulu être dirigeant car je savais que c’était un travail difficile. Quand on se débrouille bien, on n’est pas récompensé, et si ce n’est pas le cas, on est congédié et on devient tristement célèbre, on est rejeté par les frères et sœurs, et on se retrouve sans aucune dignité. Comment peut-on montrer son visage après cela ? Maintenant que j’ai été congédié, je suis encore plus convaincu qu’il n’est pas facile d’être un dirigeant ou un ouvrier ; c’est un travail ardu et ingrat ! » Que signifie l’affirmation « être un dirigeant ou un ouvrier est un travail ardu et ingrat » ? Cela exprime-t-il la moindre intention de chercher la vérité ? N’est-il pas vrai qu’ils ont commencé à haïr le fait que la maison de Dieu a pris des dispositions pour qu’ils soient dirigeants ou ouvriers, et qu’ils utilisent désormais ce genre d’affirmation pour fourvoyer les autres ? (Si.) Quelles conséquences cette affirmation peut-elle engendrer ? Pour la plupart des gens, leur esprit, leur pensée, leur compréhension et leur entendement de cette affaire seront influencés et perturbés par ces paroles. Telle est la conséquence que provoque chez les gens le fait d’évacuer sa négativité. Par exemple, si tu n’es pas un dirigeant et que tu entends cela, tu seras surpris et tu te diras : « C’est bien vrai ! Il ne faut pas que je sois sélectionné comme dirigeant. Si je le suis, il faudra que je trouve toutes sortes de raisons et d’excuses pour refuser. Je dirai que je manque de calibre et que je ne peux pas faire le travail. » Certains dirigeants seront également affectés par cette affirmation et se diront : « Comme c’est terrifiant ! Est-ce que je serai également confronté à la même issue que lui à l’avenir ? Si c’est comme ça que les choses vont tourner, je refuse catégoriquement d’être dirigeant. » Ces émotions et cette affirmation négatives et défavorables perturbent-elles les gens ? À l’évidence, elles causent des perturbations. Peu importe la personne, qu’elle ait un bon ou un piètre calibre, lorsqu’elle entendra ces paroles, elle va involontairement commencer par les assimiler, et ces paroles occuperont une place prépondérante dans son esprit et l’affecteront à des degrés divers. Quelles sont les conséquences du fait d’être affecté de la sorte ? La plupart des gens ne seront pas à même d’aborder correctement la question d’être dirigeant et d’être congédié, et ils n’auront pas une attitude de soumission. Au lieu de cela, ils auront un cœur qui comprend toujours Dieu de travers et qui se protège de Lui, ils développeront des émotions négatives concernant ce problème et ils seront particulièrement sensibles et craintifs quand il sera évoqué. Lorsque les gens affichent ces comportements, ne sont-ils pas tombés dans la tentation et le fourvoiement de Satan ? Il est évident qu’ils ont été induits en erreur et perturbés par les gens qui évacuent de la négativité. Comme les choses déversées par les gens qui évacuent leur négativité proviennent de leurs tempéraments corrompus et de Satan, et comme elles ne sont pas une compréhension de la vérité ou des perceptions expérientielles gagnées en se soumettant aux environnements que Dieu organise, ceux qui les entendent sont perturbés à divers degrés. La négativité que les gens évacuent engendre des effets perturbateurs et défavorables sur tout le monde. Ceux qui cherchent activement la vérité seront moins atteints. D’autres, qui n’ont pas la moindre résistance, ne pourront pas éviter que cela les perturbe et leur soit profondément préjudiciable, même s’ils savent que ces paroles sont fausses. Peu importe ce que Dieu dit, la façon dont Il échange sur la question ou Ses exigences, ils ignorent tout cela et gardent plutôt à l’esprit les paroles de ceux qui évacuent de la négativité, en se mettant toujours en garde eux-mêmes de ne pas relâcher leur vigilance, comme si ces affirmations négatives étaient leur parapluie protecteur, leur bouclier. Peu importe ce que Dieu dit, ils sont incapables de relâcher leur méfiance et leurs incompréhensions. Ces personnes, qui n’ont pas d’entrée dans la vérité et dans les paroles de Dieu, et qui ne comprennent pas la vérité-réalité, n’ont aucun discernement de ces affirmations négatives et aucune résistance. Elles finissent au bout du compte par être contraintes et liées par ces affirmations négatives, et ne peuvent plus accepter les paroles de Dieu. Cela ne leur a-t-il pas nui ? Dans quelle mesure cela leur a-t-il nui ? Elles sont incapables d’assimiler ou de comprendre les paroles de Dieu, mais, au lieu de cela, elles considèrent les paroles négatives, les paroles de mécontentement, de désobéissance et de plainte exprimées par les gens comme des choses positives, comme leurs devises personnelles à conserver proches de leur cœur et à utiliser pour guider leur vie, pour s’opposer à Dieu et défier Ses paroles. Ne sont-ils pas tombés dans la toile de Satan ? (Si.) Ces gens se font involontairement piéger dans la toile de Satan et ils sont capturés par Satan. Les affirmations négatives que ces gens prononcent à propos d’un sujet aussi simple que celui d’être congédié d’un poste ont néanmoins des impacts immenses sur les autres. Il y a une cause profonde à cela : ceux qui acceptent ces affirmations négatives étaient déjà remplis de notions et de produits de l’imagination, et même de quelques incompréhensions et d’une certaine méfiance, concernant le fait d’être dirigeant. Même si ces incompréhensions et cette méfiance n’étaient pas entièrement formées dans leur esprit, après avoir entendu ces affirmations négatives, ils sont davantage convaincus que leur méfiance et leurs incompréhensions sont correctes ; ils ont le sentiment d’avoir encore plus de raisons de croire qu’être dirigeant engendre beaucoup de malheur et peu de bonnes choses, et qu’ils ne devraient absolument pas devenir dirigeants ou ouvriers afin d’éviter d’être congédiés et rejetés à cause de leurs erreurs. N’ont-ils pas été complètement fourvoyés et influencés par ceux qui évacuent leur négativité ? Les affirmations négatives prononcées par une personne qui a été congédiée, ainsi que ses sentiments de désobéissance et de mécontentement, peuvent à eux seuls provoquer chez les autres un impact et des préjudices aussi importants. Qu’en pensez-vous, est-ce que le fait que les émotions négatives des gens sont pleines d’une atmosphère de mort est un problème grave ? (Oui, c’est grave.) Pourquoi est-ce si grave ? C’est parce que cela satisfait parfaitement la méfiance et les incompréhensions profondes des gens à propos de Dieu, tout en reflétant leurs états d’incompréhension et de doute envers Dieu, ainsi que leur attitude interne envers Lui. Ainsi, les affirmations propagées par ceux qui évacuent leur négativité frappent directement les points vitaux des gens, et ces derniers les acceptent complètement, tombant si intégralement dans la toile de Satan qu’ils sont incapables de s’en libérer. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? (Une mauvaise chose.) Quelles en sont les conséquences ? (Cela pousse les gens à trahir Dieu.) (Cela pousse les gens à se défendre contre Dieu et à le comprendre de travers, à se distancier de Dieu dans leur cœur, à aborder leurs devoirs avec négativité et à craindre d’accepter des mandats importants. Ils en arrivent à se contenter de faire des devoirs ordinaires et ratent ainsi de nombreuses opportunités d’être perfectionnés.) De telles personnes peuvent-elles être sauvées ? (Non.)

Paul a présenté de nombreux points de vue et a écrit de nombreuses lettres il y a deux mille ans. Dans ces lettres, il a exprimé beaucoup d’idées fausses. Comme les gens n’ont pas de discernement, ceux qui lisent la Bible depuis deux mille ans ont majoritairement accepté les pensées et les points de vue de Paul tout en mettant de côté les paroles du Seigneur Jésus, en n’acceptant pas les vérités de Dieu. Ceux qui acceptent les pensées et les points de vue de Paul peuvent-ils se présenter devant Dieu ? Peuvent-ils accepter Ses paroles ? (Non.) S’ils sont incapables d’accepter les paroles de Dieu, peuvent-ils traiter Dieu comme Dieu ? (Non.) Lorsque Dieu arrive et Se tient devant eux, peuvent-ils Le reconnaître ? Peuvent-ils L’accepter comme leur Dieu et leur Seigneur ? (Non.) Pourquoi ne le peuvent-ils pas ? Les pensées et les points de vue fallacieux de Paul ont rempli le cœur des gens, formant toutes sortes de théories et d’expressions. Lorsque les gens les utilisent pour évaluer Dieu, Son œuvre, Ses paroles, Son tempérament et Son attitude envers les gens, ils ne sont plus des humains corrompus du type simple et ordinaire, mais se tiennent en opposition à Dieu, en effectuant des recherches sur Lui et en L’analysant, et devenant hostiles envers Lui. Dieu peut-Il sauver de telles personnes ? (Non.) Si Dieu ne les sauve pas, auront-elles encore l’opportunité de recevoir le salut ? La prédestination et la sélection de Dieu ont offert aux gens une opportunité, mais si le chemin que les gens choisissent après la prédestination et la sélection de Dieu est celui qui suit Paul, cette opportunité de salut existe-t-elle encore ? Certains disent : « J’ai été prédestiné et choisi par Dieu, donc je suis déjà dans le champ de sécurité, je serai sauvé à coup sûr. » Ces paroles tiennent-elles la route ? Que signifie le fait d’être prédestiné et choisi par Dieu ? Cela signifie que tu es devenu candidat pour le salut, mais que tu sois sauvé ou non dépend de ta façon de poursuivre la vérité et de si tu as choisi le chemin correct. Est-ce que tous les candidats seront choisis et sauvés en fin de compte ? Non. Similairement, si les gens acceptent des émotions telles que la désobéissance, le mécontentement et les griefs, ou bien les remarques, les pensées et les points de vue exprimés par ceux qui évacuent leur négativité, et que leur cœur est rempli et possédé par ces choses défavorables, cela n’indique pas qu’ils sont simplement un peu d’accord, ça veut dire qu’ils acceptent complètement ces choses et veulent vivre selon elles. Lorsque les gens vivent conformément à ces choses défavorables, que devient leur relation avec Dieu ? Elle se transforme en une relation conflictuelle. Ce n’est pas la relation entre le Créateur et les êtres créés, ni la relation entre Dieu et l’humanité corrompue, et certainement pas la relation entre Dieu et ceux qui reçoivent le salut. Au lieu de cela, elle devient la relation entre Dieu et Satan, entre Dieu et Ses ennemis. La question de savoir si les gens peuvent recevoir le salut est alors remise en cause, on ne peut pas le savoir. Les affirmations négatives prononcées par ceux qui ont été congédiés sont pleines de plaintes, d’incompréhensions, de justifications et de défenses ; ils disent même certaines choses qui induisent les autres en erreur et les attirent vers eux. Après avoir entendu ces affirmations, les gens développent des incompréhensions et de la méfiance envers Dieu et vont même jusqu’à se distancier de Lui et Le rejeter dans leur cœur. De fait, quand de telles personnes évacuent leur négativité, il faut rapidement les restreindre et les arrêter. Leur incapacité à accepter les situations qu’ils expérimentent comme venant de Dieu, à chercher la vérité et à se soumettre à Dieu est leur propre problème, et l’on ne devrait pas leur permettre d’affecter les autres. S’ils ne peuvent pas l’accepter, il faut les laisser digérer et résoudre cela progressivement. Mais s’ils évacuent de la négativité et impactent et perturbent l’entrée normale des autres, ils doivent être arrêtés et restreints sans perdre de temps. S’ils ne peuvent pas être restreints et qu’ils continuent à évacuer de la négativité pour fourvoyer les autres et attirer des gens dans leur camp, alors ils doivent être promptement exclus. Ils ne doivent pas être autorisés à continuer de perturber la vie d’Église.

2. Évacuer sa négativité en refusant d’accepter l’émondage

Il y a une autre situation dans laquelle il est probable que les gens évacuent leur négativité : lorsqu’ils sont confrontés à l’émondage et ne peuvent pas accepter certaines paroles d’émondage, ils nourrissent de l’insubordination, du mécontentement et des griefs dans leur cœur, et ils se sentent parfois même lésés. Ils croient qu’il y a eu une injustice : « Pourquoi ne suis-je pas autorisé à m’expliquer ou à apporter des clarifications ? Pourquoi me fais-je continuellement émonder ? » Quels genres de négativité ces gens évacuent-ils habituellement ? Ils cherchent aussi des raisons de se justifier et de se défendre. Au lieu de disséquer leurs erreurs, de se rattraper ou de les corriger, ils plaident leur cause en disant par exemple pourquoi ils n’ont pas fait correctement quelque chose, quelles en étaient les causes, quels étaient les facteurs et conditions objectifs et qu’ils ne l’ont pas fait exprès ; ils utilisent ces excuses pour se justifier et se défendre afin d’atteindre leur objectif de refuser l’émondage. Ces individus ne reconnaissent pas que l’émondage est correct et ils analysent l’incident d’émondage avec beaucoup d’autres personnes, tentant d’expliquer l’affaire clairement devant tout le monde. Ils disent même : « Ce type d’émondage va décourager les gens d’accomplir leurs devoirs. Personne ne voudra plus faire ses devoirs. Les gens ne sauront pas comment procéder et n’auront pas de chemin de pratique. » Il y a même des gens qui, en apparence, échangent sur la façon dont ils acceptent l’émondage, mais sont en réalité en train d’utiliser l’échange pour se justifier et se défendre, faisant croire à davantage de gens que la maison de Dieu ne tient absolument pas compte des sentiments des gens dans la façon dont elle les traite et que même une erreur mineure peut engendrer l’émondage. Ceux qui ont tendance à évacuer leur négativité ne réfléchissent jamais sur eux-mêmes. Même quand ils sont confrontés au fait d’être émondés, ils ne réfléchissent pas à la nature de leurs erreurs ou à ce qui les a causées. Ils ne dissèquent pas ces problèmes mais, au lieu de cela, ils argumentent, se justifient et se défendent constamment. Certaines personnes disent même : « Avant d’être émondé, j’avais le sentiment qu’il y avait un chemin à suivre. Mais quand j’ai été émondé, j’étais désorienté. Je ne sais plus comment pratiquer et comment croire en Dieu, et je ne parviens pas à voir la voie à suivre. » Ils disent également aux autres : « Il faut que vous soyez vraiment attentif à ne pas vous faire émonder ; c’est si douloureux, comme si l’on arrachait une couche de peau. Ne suivez pas mon ancien chemin. Regardez ce qu’il est advenu de moi après que j’ai été émondé. Je suis bloqué, incapable d’avancer ou de reculer ; rien de ce que je fais n’est juste ! » Ces paroles sont-elles correctes ? Posent-elles un quelconque problème ? (Oui. Ils se justifient et argumentent, en disant n’avoir rien fait de mal.) Quel message est transmis à travers cette justification et cette argumentation ? (Ils disent que la maison de Dieu a tort d’émonder les gens.) Certains disent : « Avant d’être émondé, j’avais l’impression d’avoir un chemin à suivre, mais après avoir été émondé, je ne sais pas quoi faire. » Pourquoi ne savent-ils pas quoi faire après avoir été émondés ? Quelle est la raison ? (Lorsqu’ils sont confrontés à l’émondage, ils n’acceptent pas la vérité et n’essayent pas de se connaître eux-mêmes. Ils nourrissent des notions et ne cherchent pas la vérité pour les résoudre. Cela les laisse sans chemin. Au lieu de trouver les causes en eux-mêmes, ils prétendent l’inverse : que c’est le fait d’être émondés qui leur a fait perdre leur chemin.) N’est-ce pas de la récrimination ? Cela revient à dire : « Ce que j’ai fait était en accord avec les principes, mais le fait que tu m’émondes montre clairement que tu ne me laisses pas gérer les choses selon les principes. Alors, comment suis-je supposé pratiquer à l’avenir ? » C’est ce que veulent dire les gens qui disent de telles choses. Acceptent-ils d’être émondés ? Acceptent-ils le fait qu’ils ont commis des erreurs ? (Non.) Cette affirmation ne veut-elle pas en fait dire qu’ils savent commettre des méfaits imprudemment, mais que lorsqu’ils sont émondés et qu’on leur demande d’agir conformément aux principes, ils ne savent que faire et deviennent confus ? (Si.) Alors, de quelle manière faisaient-ils les choses auparavant ? Lorsque quelqu’un est confronté au fait d’être émondé, n’est-ce pas parce qu’il n’agissait pas conformément aux principes ? (Si.) Ils commettent des méfaits imprudemment, ne cherchent pas la vérité et ne font pas les choses conformément aux principes ou aux règlements de la maison de Dieu, alors ils reçoivent l’émondage. L’objectif de l’émondage est de permettre aux gens de chercher la vérité et d’agir conformément aux principes, afin de les empêcher de commettre à nouveau des méfaits imprudemment. Toutefois, lorsqu’ils sont confrontés au fait d’être émondés, ces gens disent qu’ils ne savent plus comment agir ou pratiquer ; ces paroles contiennent-elles la moindre parcelle de connaissance de soi ? (Non.) Ils n’ont pas d’intention de se connaître eux-mêmes ou de chercher la vérité. Au lieu de cela, ils laissent entendre : « Je faisais très bien mes devoirs avant, mais depuis que tu m’as émondé, tu as jeté le trouble dans mes pensées et embrouillé ma façon d’aborder mes devoirs. À présent, je ne pense pas normalement, et je ne suis plus aussi résolu et audacieux qu’avant, je ne suis plus aussi courageux, et c’est entièrement dû au fait d’avoir été émondé. Depuis que j’ai été émondé, mon cœur a été profondément blessé. Il me faut donc dire aux autres d’être très prudents en faisant leurs devoirs. Ils ne doivent pas révéler leurs défauts ou trébucher ; s’ils trébuchent, ils seront émondés, puis ils deviendront craintifs et perdront le dynamisme qu’ils avaient auparavant. Leur esprit audacieux sera significativement affaibli, et leur courage plein de jeunesse ainsi que leur désir de se donner à fond disparaîtront, les laissant docilement timorés, effrayés par leur propre ombre, et avec l’impression que rien de ce qu’ils font n’est juste. Ils ne sentiront plus la présence de Dieu dans leur cœur et s’éloigneront de plus en plus de Lui. Même les prières et les cris adressés à Dieu sembleront rester sans réponse. Ils auront le sentiment de ne plus avoir la même vitalité, la même exubérance et la même amabilité, et commenceront même à se mépriser eux-mêmes. » Est-ce que ce sont là les paroles sincères prononcées par une personne qui a de l’expérience ? Sont-elles authentiques ? Est-ce qu’elles édifient les gens ou leur sont profitables ? N’est-ce pas simplement déformer les faits ? (Oui, ces paroles sont tout à fait absurdes.) Ils disent : « Ne suivez pas mon exemple et ne répétez pas mon ancien chemin ! Vous me voyez à présent comme quelqu’un de docile, mais en réalité, j’ai simplement peur depuis cet émondage et je ne suis pas aussi délié et libéré qu’avant. » Quel est l’impact de ces paroles sur ceux qui les écoutent ? (Elles rendent les gens plus méfiants à l’égard de Dieu, les amenant à agir prudemment de peur d’être émondés.) Elles ont ce genre d’impact négatif. Après avoir entendu ces paroles, les gens se diront : « C’est bien vrai ! Un petit oubli et on se retrouve émondé, il n’y a rien à faire pour l’éviter ! Pourquoi faut-il qu’il soit si difficile de faire des devoirs dans la maison de Dieu ? Parler sans arrêt des vérités-principes, c’est vraiment exigeant ! N’est-il pas acceptable de vivre une vie simple et stable ? Ce n’est pas une exigence élevée ou un espoir extravagant, mais pourquoi est-ce si difficile à atteindre ? J’espère vraiment ne pas être émondé. Je suis une personne très craintive ; normalement, lorsque les gens me lancent un regard noir et parlent fort, mon cœur se met à battre la chamade. Si je suis vraiment confronté à l’émondage et que les paroles sont aussi sévères, disséquant les faits de la sorte, comment pourrais-je le supporter ? Cela ne me donnerait-il pas des cauchemars ? Tout le monde dit que l’émondage est une bonne chose, mais je ne vois pas en quoi. Cela n’a-t-il pas effrayé cette personne ? Si je me faisais émonder, moi aussi je serais effrayé. » N’est-ce pas là l’impact provoqué par les paroles de ceux qui évacuent leur négativité ? Cet impact est-il affirmatif et positif ou bien négatif et défavorable ? (Négatif et défavorable.) Ces affirmations négatives peuvent causer d’immenses dommages à ceux qui sont disposés à poursuivre la vérité ! Alors, dites-Moi, ceux qui évacuent régulièrement leur négativité et répandent la mort sont-ils des serviteurs de Satan ? Sont-ils des gens qui perturbent le travail de l’Église ? (Oui.)

Certaines personnes agissent selon leurs propres idées et vont à l’encontre des principes. Après avoir été émondées, elles ont le sentiment que, bien qu’elles aient travaillé très dur et payé de leur personne, elles ont tout de même été émondées, alors leur cœur s’emplit d’insubordination, et elles n’acceptent pas d’être exposées ou disséquées. Elles croient que Dieu est injuste et que la maison de Dieu est inique envers eux, du fait qu’une personne talentueuse aussi utile qu’elle, qui endure tant de souffrances et paye un prix si élevé, ne reçoit pas d’éloges dans la maison de Dieu et se fait même émonder. De leur insubordination émergent des griefs, et elles ont tendance à évacuer leur négativité : « De mon point de vue, il n’y a rien de plus dur que de croire en Dieu ; il est vraiment difficile de recevoir quelques bénédictions et de profiter d’un peu de grâce. J’ai payé un prix si élevé, mais je me suis fait émonder pour une seule action mal accomplie. Si une personne comme moi n’est pas à la hauteur de la tâche, comment quiconque pourrait-il l’être ? Dieu n’est-Il pas juste ? Pourquoi ne suis-je pas en mesure de reconnaitre Sa justice ? Comment se fait-il que la justice de Dieu soit si peu cohérente avec les notions des gens ? » Ces individus ne dissèquent pas ce qu’ils ont fait qui est contraire aux principes ou les tempéraments corrompus qu’ils ont révélés. Non seulement ils n’ont pas un soupçon de remords ou de soumission, mais ils vont même jusqu’à juger et résister ouvertement. Après les avoir entendus déclarer ce genre de choses, la plupart des gens commencent à sympathiser quelque peu avec eux et se laissent influencer par eux : « C’est vrai, n’est-ce pas ? Il a cru en Dieu pendant vingt ans et a dû faire face à un tel émondage. Si quelqu’un qui a cru pendant vingt ans ne peut pas nécessairement être sauvé, alors les gens comme nous ont encore moins d’espoir. » N’ont-ils pas été empoisonnés ? Une fois que la négativité est évacuée, le poison est semé, comme une graine plantée dans le cœur des gens, qui prend racine, germe, fleurit et porte des fruits dans leur esprit. Avant qu’ils ne s’en rendent compte, les gens sont empoisonnés, et de la résistance et des plaintes à l’égard de Dieu surgissent en eux. Lorsque ces personnes ont été émondées, elles deviennent désobéissantes envers Dieu et insatisfaites de la façon dont la maison de Dieu les a traitées. Au lieu d’adopter une attitude de repentance et de confession, elles argumentent, se justifient et se défendent. Elles font savoir au plus grand nombre combien de souffrances elles ont endurées, quel travail elles ont effectué et quels devoirs elles ont faits au cours de leurs nombreuses années de foi, et qu’à présent, au lieu de recevoir des récompenses, elles sont confrontées à l’émondage. Non seulement elles échouent à reconnaître à travers l’émondage leur propre corruption et les erreurs qu’elles ont commises, mais elles répandent également l’idée que la façon dont la maison de Dieu les a traitées est injuste et déraisonnable, qu’elles ne devraient pas être traitées comme cela, et que si elles le sont, c’est que Dieu n’est pas juste. La raison pour laquelle elles évacuent cette négativité est qu’elles ne peuvent pas accepter l’émondage ni le fait qu’elles ont commis des erreurs, et encore moins accepter ou reconnaître le fait qu’elles ont nui à l’entrée dans la vie des frères et sœurs et au travail de l’Église. Elles croient avoir agi correctement et que c’est la maison de Dieu qui a eu tort de les émonder. En évacuant leur négativité, elles veulent dire aux autres que la maison de Dieu est injuste dans sa manière de traiter les gens : dès que quelqu’un commet une erreur, la maison de Dieu s’en servira comme une arme contre lui, s’emparant de ce problème et l’émondant impitoyablement, jusqu’à ce qu’il devienne docile et se dise qu’il n’a apporté aucune contribution, jusqu’à ce que plus personne ne l’idolâtre, qu’il n’ait plus d’estime de soi et qu’il n’ose plus demander de récompenses à Dieu ; alors seulement, la maison de Dieu aura atteint son objectif. Leur but en évacuant cette négativité est d’amener davantage de personnes à prendre leur défense, à comprendre « la vérité des faits » et à voir combien de souffrances elles ont endurées au cours de leurs nombreuses années de croyance en Dieu, à quel point leurs contributions ont été considérables et à quel point elles sont qualifiées, et à quel point elles sont des croyants chevronnés. Elles veulent ainsi inciter les autres à se ranger de leur côté, dans une opposition concertée aux règles de la maison de Dieu et à l’émondage que la maison de Dieu leur a infligé. La nature de cette démarche n’est-elle pas d’attirer les gens de leur côté ? (Si.) Leur objectif en évacuant de la négativité est d’attirer les gens de leur côté et de les induire en erreur, et elles perturbent le travail de l’Église pour déverser leur ressentiment. Peu importe l’effet que cela produit à terme sur les gens lorsqu’elles ont évacué leur négativité, l’effet et la conséquence sont que les gens sont induits en erreur et perturbés, et qu’ils subissent des préjudices. Ce n’est pas édifiant. C’est un effet négatif.

Lorsque les gens sont confrontés à l’émondage, ce sont essentiellement ces types de négativité qu’ils évacuent. Ils ne peuvent pas accepter d’être émondés et sont mécontents et désobéissants dans leur cœur, incapables de l’accepter comme venant de Dieu. Leur première réaction n’est pas de chercher la vérité concernant l’émondage et de réfléchir sur eux-mêmes, de se connaître et de se disséquer, afin de voir exactement ce qu’ils ont fait de mal, si leurs actions étaient conformes aux principes, pourquoi la maison de Dieu les a émondés, et si le fait qu’ils aient été traités de cette manière était dû à un ressentiment personnel ou si c’était juste et raisonnable. Leur première réaction n’est pas d’examiner ces choses ; au lieu de cela, leur première réaction est de se fonder sur leurs qualifications, sur les souffrances qu’ils ont endurées et sur la mesure dans laquelle ils se sont dépensés, pour s’opposer à l’émondage. En faisant cela, tout ce qui émerge dans leur cœur ne peut qu’être négatif et défavorable, sans rien d’affirmatif ou de positif. Ainsi, lorsqu’ils échangent sur leurs sentiments et leur compréhension après avoir été émondés, il est certain qu’ils évacuent de la négativité et propagent des notions. Il faut promptement restreindre le fait d’évacuer de la négativité et de propager des notions et y mettre un terme, et non pas le tolérer et l’ignorer. Ces choses négatives entraveront, perturberont et nuiront à l’entrée dans la vie de chaque personne, et elles ne peuvent pas jouer un rôle affirmatif et positif, et encore moins inspirer la loyauté des gens envers Dieu ou l’accomplissement loyal de leurs devoirs. Dès lors, lorsque de telles personnes évacuent de la négativité, elles perturbent la vie de l’Église et doivent être restreintes.

3. Évacuer sa négativité lorsque l’on voit sa réputation, son statut et ses intérêts être lésés

À part le fait d’évacuer sa négativité après avoir été congédié ou émondé, dans quelles autres situations les gens évacuent-ils de la négativité ? (Quand les intérêts des gens sont lésés et qu’ils ont le sentiment qu’ils ont subi une perte.) (Certaines personnes ont fait leurs devoirs pendant de nombreuses années, mais lorsqu’elles tombent malades ou que des désastres frappent leur famille, elles disent : « Qu’est-ce que j’ai gagné à croire en Dieu pendant tant d’années ? ») La « devise » courante des pessimistes invétérés est « Qu’est-ce que j’y ai gagné ? » Quelles autres situations y a-t-il ? (Certaines personnes ne se contentent pas d’échouer à parvenir à des résultats dans leurs devoirs, mais font souvent des erreurs, alors elles disent : « Pourquoi Dieu éclaire les autres mais pas moi ? Pourquoi Dieu leur a-t-Il donné un si bon calibre tandis que le mien est si médiocre ? » Au lieu de réfléchir à leurs propres problèmes, elles rejettent la responsabilité sur Dieu, disant que Dieu ne les a pas éclairées ou guidées, et elles continuent à se plaindre de Dieu.) Elles prétendent que Dieu est injuste, en se demandant pourquoi Il éclaire les autres et leur confère la grâce, mais pas à elles, pourquoi elles n’obtiennent pas de résultats dans leurs devoirs – elles se plaignent. Vous avez fourni de bons exemples. Vous en avez d’autres ? (Certaines personnes sont pleines de ressentiment lorsque leurs devoirs sont attribués à d’autres, elles demandent pourquoi elles ont été réassignées et suspectent que les dirigeants et les ouvriers les ciblent et leur rendent la vie difficile.) Ont-elles le sentiment que la maison de Dieu les méprise ? (Oui.) Certaines personnes qui ne font pas de travail réel sont congédiées et éliminées, et elles ont le sentiment que leur réputation et leur statut ont été lésés. Afin de déverser leur mécontentement, elles ronchonnent sans cesse en privé : « Je crois en Dieu depuis peu de temps, je n’ai pas une bonne capacité de compréhension et je suis de piètre calibre. Je ne suis pas au même niveau que les autres. S’ils disent que je ne suis pas apte, c’est que je ne le suis pas ! » En apparence, elles reconnaissent leurs défauts, mais en réalité, elles tentent de récupérer les avantages qu’elles ont perdus, en ronchonnant sans cesse et en disant des choses pour gagner la compassion des gens et leur donner le sentiment que la maison de Dieu est injuste. Dès lors que leurs intérêts sont lésés, elles deviennent réticentes et espèrent toujours recouvrer leurs pertes et obtenir réparation. Si cela n’advient pas, elles perdent leur foi en Dieu et ne savent plus comment croire en Lui, en disant des choses comme : « Avant, je pensais que croire en Dieu était formidable et que jouer un rôle de dirigeant ou d’ouvrier dans l’Église apporterait assurément de grandes bénédictions. Je n’aurais jamais pensé être congédié et éliminé, et être rejeté par les autres. Et dire qu’une telle chose pourrait se produire dans la maison de Dieu ! Les personnes qui croient en Dieu ne sont pas toutes nécessairement bonnes, et la maison de Dieu ne représente pas Dieu ou l’intégrité dans tout ce qu’elle fait. » Quelle est la nature de telles déclarations ? De façon explicite et implicite, leurs paroles véhiculent une attaque. Elles expriment un jugement et une résistance. En apparence, elles semblent viser un dirigeant donné ou l’Église, mais à travers ces paroles, ce que ces personnes visent en réalité dans leur cœur, c’est Dieu, Ses paroles, les décrets administratifs et les règles de Sa maison. Elles ne font que déverser leur ressentiment. Pourquoi déversent-elles leur ressentiment ? Elles ont le sentiment d’avoir subi une perte ; dans leur cœur, elles ressentent de l’injustice et du mécontentement, et elles veulent solliciter des choses et obtenir réparation. Bien que la négativité évacuée par ces personnes ne représente pas une menace significative pour la plupart, ces paroles nauséabondes sont comparables à des mouches agaçantes ou à des punaises de lit qui constituent une perturbation modérée dans l’esprit des gens. La plupart des gens se sentent répugnés et rebutés lorsqu’ils entendent ces paroles, mais il y aura inévitablement ceux qui sont du même acabit que ces personnes, ceux qui ont les mêmes tempéraments, la même essence et les mêmes inclinations, qui sont de la même espèce pourrie que ces personnes, et qui se laisseront influencer et perturber par elles. C’est inévitable. De plus, certaines personnes de faible stature qui manquent de discernement peuvent être perturbées par ces remarques négatives, et leur foi en Dieu peut être influencée. Ces personnes ne savent déjà pas exactement à quoi il sert de croire en Dieu et elles comprennent mal les vérités concernant les visions, et leur capacité à comprendre la vérité est également médiocre. Après avoir entendu ces affirmations négatives, elles sont très susceptibles de les assimiler involontairement et donc de subir leur influence. Ces paroles sont du poison. Elles peuvent aisément être plantées dans le cœur des gens. Une fois que les gens ont accepté ces remarques négatives, ils répondent avec indifférence quand la maison de Dieu leur demande de faire un devoir. Lorsque la maison de Dieu demande leur coopération pour quelque tâche, ils se montrent peu enthousiastes. Ils ne la prendront en charge que s’ils en ont envie ; autrement, ils n’en feront rien, toujours avec des excuses et des raisons de toutes sortes. Avant d’avoir entendu ces remarques négatives, il y avait un peu de sincérité dans leur croyance en Dieu, et ils avaient un semblant d’attitude positive et proactive en faisant leurs devoirs. Mais après avoir entendu ces remarques négatives, ils deviennent indifférents et se montrent également froids envers leurs frères et sœurs. Ils sont méfiants vis-à-vis d’eux. Lorsque l’Église prend des dispositions pour qu’ils fassent un devoir, ils ne cessent de l’esquiver et le repoussent à plusieurs reprises, en faisant preuve d’une grande passivité. Auparavant, ils assistaient aux réunions avec ponctualité, mais après avoir entendu ces remarques, ils ne viennent plus que sporadiquement ; ils viennent quand ils sont de bonne humeur, mais ne viennent pas lorsque ce n’est pas le cas. Si quelque chose de désagréable arrive chez eux, ils s’inquiètent de ce que quelque désastre pourrait survenir, alors ils assistent à davantage de réunions et lisent davantage de paroles de Dieu. S’ils sont enthousiasmés, heureux et émus après avoir lu les paroles de Dieu, ils offriront même un peu d’argent. Mais une fois le calme revenu chez eux, ils cessent à nouveau d’assister aux réunions. Lorsque les frères et sœurs tentent d’échanger avec eux dans l’espoir de les soutenir, ils trouvent des excuses pour refuser ; et lorsque les frères et sœurs viennent chez eux, ils n’ouvrent pas la porte, même s’ils sont de toute évidence chez eux. Que se passe-t-il là ? Ils ont été influencés par ces remarques négatives ; ils ont été empoisonnés et s’imaginent que ceux qui croient en Dieu ne sont pas fiables. Au début, ils avaient vraiment confiance en ces personnes, et lorsqu’ils lisaient les paroles de Dieu, ils se disaient : « Ce sont les paroles de Dieu, ces personnes sont mes frères et sœurs, c’est la maison de Dieu ; c’est merveilleux ! » Mais après avoir entendu les remarques négatives propagées par certaines personnes, ils ont changé. N’ont-ils pas été influencés ? Leur entrée dans la vie n’a-t-elle pas été dégradée ? (Si.) Qui les a influencés ? Ce sont les gens qui évacuent de la négativité, ceux qui ont fait ces remarques. Si une personne n’a pas encore posé un fondement solide dans le vrai chemin ou mangé et bu les paroles de Dieu au point de comprendre la vérité, elle peut facilement être influencée par des choses négatives. Et tout particulièrement, celles qui n’ont pas de capacité à saisir la vérité mais se contentent de surveiller les tendances, d’observer la situation et de regarder les phénomènes de surface, sont encore plus aisément influencées par les paroles négatives. Surtout quand elles ont entendu des gens exprimer des idées fausses comme : « La maison de Dieu n’est pas nécessairement juste, et tout ce qu’elle fait n’est pas positif », leur méfiance s’accroît encore plus. Une affirmation conforme à la vérité n’est pas acceptée facilement, mais les affirmations négatives, les affirmations absurdes, les affirmations qui contredisent la vérité – celles-ci peuvent trop facilement prendre racine dans le cœur des gens, et les retirer n’est pas facile. Il est si difficile pour les gens d’accepter la vérité et si facile pour eux d’accepter les idées fausses !

Certaines personnes dotées d’une mauvaise humanité accordent une grande importance à leur propre prestige, à leur célébrité, à la jouissance de la chair, ainsi qu’à leur propriété et intérêts individuels. Lorsque leur réputation, leur statut et leurs intérêts directs subissent des pertes, elles n’acceptent pas cela comme venant de Dieu, elles n’acceptent pas les environnements que Dieu a mis en place pour elles et sont incapables de lâcher prise sur ces choses et de ne pas tenir compte de leur gain et leur perte personnels. Au lieu de cela, elles utilisent diverses opportunités pour évacuer leur mécontentement et leur insubordination et pour évacuer leurs émotions négatives, causant ainsi de grandes souffrances à certaines personnes. De fait, quand des personnes de ce genre évacuent leur négativité, les dirigeants d’Église doivent tout d’abord saisir la situation rapidement, puis arrêter et restreindre ces gens dans les meilleurs délais. Bien entendu, les dirigeants d’Église doivent aussi exposer proactivement ces personnes et échanger avec les frères et sœurs sur la façon de les discerner et sur pourquoi elles disent ces choses négatives et absurdes, ainsi que sur la manière de traiter et de discerner ces paroles afin d’éviter d’être induit en erreur et de subir de graves préjudices à cause d’elles. Il est nécessaire d’être capable de discerner et de disséquer de tels individus, et ainsi de les éviter et de les rejeter, et de ne plus être induit en erreur par eux. Tel est le travail que les dirigeants d’Église devraient effectuer. Bien sûr, si des frères et sœurs ordinaires découvrent de telles personnes et discernent leur humanité-essence, ils devraient également se tenir éloignés d’elles. Si tu n’as pas une capacité suffisante pour résister ou bien la stature pour les soutenir, les aider et les changer, et que tu as le sentiment que tu ne peux pas résister à leurs remarques négatives et à leurs paroles de mécontentement et d’insubordination, la meilleure approche est de garder tes distances. Si tu sens que tu es très fort, que tu as une certaine stature et que tu peux faire preuve de discernement et ne pas être affecté par ce que quiconque dit, que ta foi en Dieu ne sera pas changée par l’intensité de la négativité qu’elles évacuent, que tu peux discerner ce genre de personnes et que tu peux aussi les exposer et les arrêter lorsqu’elles évacuent leur négativité, alors tu n’as pas besoin d’éviter de telles personnes ou de te protéger d’elles. Mais si tu as le sentiment que tu n’as pas une telle stature, la manière et le principe pour t’occuper de telles personnes consiste à garder tes distances avec elles. Est-ce facile à mettre en œuvre ? (Oui.) Certains disent : « Puis-je les tolérer, les supporter et leur pardonner ? » Ce n’est pas mal non plus et ce n’est pas incorrect, mais ce n’est pas la pratique la plus cruciale, ni la meilleure. Supposons que tu puisses les supporter, que tu les tolères et les laisses faire, et qu’en fin de compte, tu es induit en erreur par elles et que tu te laisses entraîner de leur côté. Supposons aussi que, peu importe à quel point la maison de Dieu t’approvisionne et te soutient, tu ne le ressentes pas, ou que, lorsque tu lis les paroles de Dieu, tu sois souvent influencé par leurs pensées et leurs remarques et que, dès que tu penses à quelque chose qu’elles ont dit, ton esprit soit affecté, et que tu ne puisses plus continuer à lire, puis que, quand les frères et sœurs échangent sur leur compréhension de la vérité, surtout quand ils échangent sur le fait de discerner les remarques de telles personnes, tu sois à nouveau influencé et affecté par leurs paroles, provoquant la confusion dans ton esprit. Si c’est le cas, alors tu devrais te tenir éloigné de ce genre de personnes. Ta tolérance et ton endurance seront inefficaces et ne sont pas le meilleur moyen de te défendre contre de telles personnes. Supposons que ta tolérance et ton endurance ne soient pas un comportement déguisé et superficiel, mais que tu aies en fait vraiment suffisamment de stature pour faire face à de telles personnes. Peu importe ce qu’elles disent, même si tu ne dis pas ce que tu penses, tu peux tout de même les discerner dans ton cœur ; tu es capable de faire preuve de tolérance à leur égard et de les ignorer, mais aucune parole défavorable et aucune parole d’incompréhension et de plainte qu’elles prononceront à l’égard de Dieu n’affecteront le moins du monde ta foi en Dieu, ni n’affecteront ta loyauté lorsque tu fais tes devoirs ou ta soumission à Dieu. Dans ce cas, tu peux les tolérer et les supporter. Quel est le principe pour pratiquer la tolérance et l’endurance ? Ne pas subir de préjudice. Ignore-les, laisse-les dire ce qu’ils veulent ; après tout, de tels individus ne sont que des perturbateurs déraisonnables et ce sont de véritables têtes de mule. Peu importe la manière dont tu échanges avec eux sur la vérité, ils ne l’accepteront pas ; ils appartiennent à la catégorie des démons et des Satans, et il est inutile d’échanger avec eux. Par conséquent, avant que la maison de Dieu ne les exclue ou ne s’occupe d’eux, si tu as la stature pour les tolérer et les supporter sans subir de préjudice, c’est le meilleur cas de figure. Adoptez-vous généralement ce principe de tolérance et d’endurance ? Vous supportez tous types de personnes, mais vous manquez parfois de prudence et vous vous faites quelque peu induire en erreur ; par la suite, vous vous en rendez compte, vous vous sentez redevables envers Dieu, vous priez pendant quelques jours et changez le cap de votre état, et vous vous rapprochez de Dieu. La plupart du temps, vous êtes capables de voir clairement que de telles personnes n’ont rien de bon et qu’elles appartiennent à la catégorie des démons. Bien que vous puissiez avoir des relations normales avec elles, vous êtes intérieurement distants et repoussés par elles. Quoi qu’elles disent, quelles que soient les remarques et les opinions négatives qu’elles expriment, vous faites la sourde oreille, vous les ignorez et vous vous dites : « Dis ce que tu veux. Je peux te discerner. Je ne fréquente tout simplement pas les gens comme toi. » Est-ce le principe que vous appliquez la plupart du temps lorsque vous traitez de telles situations ? C’est déjà pas mal d’y parvenir ; ce n’est pas facile et cela demande de comprendre certaines vérités et d’avoir une certaine stature. Si vous n’avez même pas ce niveau de stature, alors vous ne saurez pas rester fermes et vous ne ferez pas votre devoir correctement.

4. Évacuer sa négativité lorsque le désir de gagner des bénédictions est anéanti

Il y a une autre manifestation du fait d’évacuer sa négativité. Certaines personnes disent : « J’ai cru en Dieu pendant tant d’années, et qu’est-ce que j’y ai gagné ? » Lorsque des personnes de ce genre évacuent leur négativité, ils disent principalement : « Qu’est-ce que j’y ai gagné ? » ; ce qui signifie qu’ils n’ont rien gagné du tout. Ils croient qu’il est particulièrement difficile d’obtenir quelques avantages ou bénédictions de la maison de Dieu ou de Dieu en croyant en Lui, et que les gens doivent offrir un amour immense et avoir une endurance incroyable, et ne pas être avides de résultats rapides. Quant aux paroles de Dieu qui exposent les gens, qui les émondent, les épurent et purifient leur corruption, ils croient que ce n’est là qu’une rhétorique superficielle et pompeuse à laquelle on ne peut pas totalement se fier ; ils pensent qu’ils subiront vraiment une grande perte s’ils pratiquent conformément aux paroles de Dieu. Ils pensent qu’obtenir des avantages et des gains et réaliser leurs aspirations et leurs souhaits est ce qu’il y a de plus crucial à tout moment et que le fait qu’ils pratiquent la vérité ou non n’est absolument pas crucial ; ils croient que du moment qu’ils ne commettent pas de mal, c’est suffisant, et qu’ils ne seront pas éliminés par l’Église. Comment se sentent la plupart des gens après avoir entendu ces paroles négatives ? Intérieurement, approuvent-ils et sont-ils d’accord avec ces paroles, ou ressentent-ils un certain mépris pour ces paroles, en se disant que ces gens sont égoïstes, abjects, malveillants et sordides, et qu’ils peuvent les discerner, les exposer et les restreindre, les empêchant de continuer à propager la négativité et la mort ? Est-ce que la plupart des gens se sentent repoussés par de telles paroles négatives et les condamnent, ou peuvent-ils être induits en erreur par ces dernières et devenir négatifs ? Après avoir entendu ces paroles et en voyant qu’ils n’ont rien obtenu, certains se disent : « C’est bien vrai ! Je n’ai rien gagné non plus. Tout ce que j’ai dans la maison de Dieu, c’est trois repas par jour, je suis occupé tout le temps et je n’ai vraiment rien gagné d’autre. » Avez-vous de telles pensées ? Avez-vous le même sentiment ? Ceux qui comprennent la vérité diront : « Comment ça, tu n’as rien gagné ? Nous avons gagné tant de choses de Dieu ! Nous en sommes venus à comprendre tant de vérités ! » Mais certains pourraient ne pas être d’accord avec eux et dire : « Il ne semble pas très réaliste de dire que nous avons gagné “tant de choses”. Nous avons simplement reçu un peu de grâce, eu quelques opportunités de faire notre devoir, compris quelques doctrines sur la manière d’être une personne, rencontré et appris à connaitre de nombreux frères et sœurs venus de différents endroits et grandement élargi nos horizons. Cela ne compte que comme un petit gain. » Dans laquelle de ces catégories vous situez-vous ? Il y a des gens dans toutes ces catégories, n’est-ce pas ? (Oui.) Nous allons discuter de cette question sous deux angles. Premièrement, parlons de ce qui se passe avec ceux qui croient en Dieu toujours dans le but de gagner la grâce ; croient-ils en Dieu avec l’objectif de poursuivre le gain de la vérité et de pouvoir ainsi atteindre le salut ? (Non, ils croient pour obtenir des bénédictions.) Dieu leur a-t-Il alors donné peu de grâce, de protection, de bonté, d’éclairage et d’illumination ? (Dieu leur a donné beaucoup de ces choses.) On peut affirmer que toute personne qui croit en Dieu a reçu la protection de Dieu. La protection de Dieu est-elle tangible ? Y en a-t-il des exemples concrets dans la vie ? Quels types de protection les gens ont-ils reçus ? (Une forme de protection relativement évidente est le fait qu’après avoir cru en Dieu, nous ne sommes plus influencés par les tendances malveillantes du monde. Nous ne tombons pas dans la décadence et ne poursuivons pas ces choses malveillantes, comme aller dans des boîtes de nuit, fumer, boire, etc. À tout le moins, nous ne nous engageons pas dans ces choses et je crois que nous sommes relativement protégés à cet égard.) C’est là un aspect très tangible que les gens peuvent voir et expérimenter personnellement. Ne pas être influencé et fourvoyé par les mauvaises tendances du monde, vivre comme un humain et vivre au sein de l’humanité normale avec la ressemblance d’un être humain ; c’est là un exemple pratique et une preuve de la protection de Dieu. Y en a-t-il d’autres ? (Ne pas être perturbé par les esprits malfaisants et avoir la possibilité de vivre sous la protection de Dieu.) Ceci est également un exemple concret. La plupart des gens ont-ils eu cette expérience ? Pouvez-vous en saisir le sens ? Certains disent : « Les non-croyants ne sont pas non plus perturbés par les esprits malfaisants. Parmi eux, combien sont perturbés par des esprits malfaisants ? » Cette affirmation est-elle correcte ? Avez-vous le sentiment que cette affirmation est conforme aux faits ? (Un certain nombre de mes camarades de classe ont été perturbés par des esprits malfaisants. Certains sont atteints de paralysie du sommeil et d’autres entendent des voix. Ils ne croient pas en Dieu et ne savent pas ce qui se passe. Ils cherchent des remèdes partout mais ne peuvent pas en guérir, ils vivent dans la peur et l’effroi ; c’est insoutenable. Toutefois, comme je crois en Dieu depuis l’enfance, je n’ai jamais été perturbé ni souffert de la sorte. La plupart du temps, j’ai la sensation que mon cœur est relativement stable et paisible.) Les vrais croyants en Dieu n’ont pas ce souci. Nous ne craignons pas d’être affectés par un trouble de conversion ou d’être perturbés ou possédés par des esprits malfaisants ; nous n’avons pas peur parce que nous avons Dieu. De plus, dans la vie concrète, les non-croyants parlent continuellement de lecture du visage, de feng shui et de voyance ; en Occident, il y a même l’astrologie. Certaines personnes vénèrent des statues bouddhistes célèbres, des esprits malfaisants et des idoles, d’autres non, mais qu’elles le fassent ou non, elles sont toutes influencées et restreintes par ces choses dans une certaine mesure. Par exemple, avant de quitter la maison, elles doivent effectuer un peu de divination pour voir quelle direction est propice et laquelle est défavorable. Lorsqu’elles ouvrent un magasin, elles déterminent la position du comptoir qui rapportera de l’argent et celle qui n’en rapportera pas, les objets à placer dans le magasin et les idoles à vénérer pour attirer la richesse, et où placer certains objets pour éviter de perturber le feng shui. Lorsqu’elles déménagent, il leur faut déterminer le moment propice au déménagement pour garantir la prospérité future de la famille et éviter les incidents, et déterminer les moments qui sont défavorables. Même les étudiants sont influencés par ces croyances lorsqu’ils passent des examens d’entrée. Le jour de l’examen, ils évitent de prononcer des mots qui évoquent l’échec et doivent plutôt prononcer des mots comme « exceller » et « réussite ». Chacun des aspects de la vie – des enfants qui vont à l’école aux parents qui vivent leur vie quotidienne, gagnent de l’argent, déménagent, cherchent un travail, ainsi que les mariages des enfants, etc. – est influencé par le prétendu feng shui et la fortune, entre autres idées. Lorsque les gens sont influencés par ces choses-là, par quoi sont-ils donc restreints ? Ils sont restreints par des esprits malfaisants ; toutes ces choses sont contrôlées par des esprits malfaisants. Alors pourquoi les gens vénèrent-ils ces esprits malfaisants ? Pourquoi sont-ils influencés par ces choses ? Pour quelque chose d’aussi simple qu’un déménagement, pourquoi les gens doivent-ils toujours méditer pour savoir quel moment est favorable ou non pour déménager, ce qu’il est de bon augure de déménager en priorité et ce qu’il vaut mieux éviter de déménager ? Pourquoi faut-il toujours qu’ils prennent ces choses en considération ? Il leur faut les prendre en compte car, s’ils ne le font pas, les esprits malfaisants entreront en action, en les tourmentant et en les torturant. Que voyez-vous à travers ces choses ? Toute l’humanité vit sous le joug des êtres malfaisants. Qui sont les êtres malfaisants ? Les plus grands êtres malfaisants sont Satan et les démons, et ceux de moindre envergure sont les esprits malfaisants à différents endroits, ceux qui contrôlent les peuples de différentes ethnies. Chaque aspect de la vie humaine est restreint et contrôlé par ces esprits malfaisants. Même lorsqu’il s’agit de construire une maison, pendant l’installation de la poutre maîtresse, les gens accrochent des tissus rouges et font éclater des pétards pour leur porter chance, et les ouvriers du bâtiment portent tous des vêtements rouges afin d’apporter la prospérité financière et d’éviter les accidents. Toutes ces choses font l’objet d’exigences et de dictons particuliers, ainsi que de tabous, et ils doivent éviter les tabous et suivre ces dictons. Par exemple, certains individus sont souvent confrontés à des difficultés et les choses ne se passent pas sans heurts pour eux ; ils perdent leur emploi, leur femme les quitte et ils n’ont plus rien chez eux. Ils ne parviennent même pas à rembourser les emprunts de leur maison, et il semble que rien ne se passe bien. Ils n’ont rien fait de mal, alors pourquoi ces choses leur arrivent-elles ? Faute d’autres options, ils se résolvent à vénérer de faux dieux et des esprits malfaisants, ou cherchent d’urgence quelqu’un pour examiner leur feng shui afin de renverser leur fortune, et après cela, les choses commencent progressivement à s’arranger pour eux. Ils ne croyaient pas à ces choses auparavant, mais à présent, lorsque des problèmes surviennent, ils vénèrent sincèrement des faux dieux et des esprits malfaisants, et il leur faut consulter la divination ou la voyance avant de faire quoi que ce soit. N’est-il pas épuisant de vivre ainsi ? (Si.) C’est tout à fait usant ! Même s’ils le souhaitent, ils ne peuvent pas vivre librement ou à leur aise, ni échapper aux contraintes de ces dictons et de ces règles. S’ils enfreignent ces règles, les esprits malfaisants entrent en action et les perturbent, et ils sont assujettis de force par ces derniers et doivent les vénérer quotidiennement afin que leur vie se déroule sans encombre. Toutefois, ceux qui croient en Dieu ne sont pas prisonniers de ces superstitions féodales ou de l’action des esprits malfaisants. Ils peuvent déménager ou circuler à leur guise, sans avoir à éviter un quelconque tabou. En Chine continentale, le Parti communiste ne cesse d’opprimer et de persécuter les croyances religieuses. Si un croyant ne peut plus vivre quelque part, il doit déménager rapidement ; lui faut-il choisir un jour ou une heure favorable pour cela, ou vénérer quelque chose ? Non. Il prie Dieu et Dieu le protège. Tout est entre les mains de Dieu, il n’est pas lié par ces choses. Lorsqu’il veut manger quelque chose ou quitter la maison, doit-il consulter l’almanach ou voir si cela enfreint un tabou ? Non, il prie Dieu et tout est entre les mains de Dieu. Lorsque les gens vivent sous le règne et la souveraineté de Dieu, avec la protection et la direction de Dieu, les esprits malfaisants et les démons immondes, aussi bien grands que petits, sont tenus à l’écart ; ils n’osent pas agir sur ceux qui croient en Dieu. Ces gens-là ne sont-ils pas protégés ? N’ont-ils pas une vie libre et facile ? (Si.) Cette grâce n’est-elle pas formidable ? (Si.) Peu importe si tu as gagné la vérité ou non pour le moment, tant que tu es une personne qui croit sincèrement en Dieu, tu es prédestiné et choisi par Dieu, et quand tu te présentes devant Dieu, Il te protège de cette façon, te permettant de jouir d’une telle grâce. C’est là une grâce immense ! Ta sécurité personnelle et tous tes mouvements sont protégés et sécurisés, Dieu prend la responsabilité de ces choses et en assure la protection, tu n’as donc pas à t’inquiéter. La plupart du temps, les gens ne prient même pas et ne se disent pas consciemment : « Je vais prier Dieu et Lui demander de me protéger. J’espère que tout ira bien et qu’il ne se passera rien de mal. » Il n’est même pas nécessaire de prier. Du moment que tu as la simple conviction dans ton cœur que « je crois en Dieu, tout est entre les mains de Dieu », Dieu agira. Les gens jouissent d’une grâce si immense de la part de Dieu ; est-ce un gain minime ? (C’est un gain considérable.) Dieu est le seul et unique Souverain dans le monde. Ta vie et tout ce que tu possèdes sont entre les mains de Dieu, entre les mains de ce Souverain, tu ressens de la paix, de la stabilité et du calme dans ton cœur, et tu n’as pas à t’inquiéter de quoi que ce soit. Quel que soit ton degré de connaissance de Dieu ou le nombre de vérités que tu comprends, tu peux avoir une certitude absolue à ce propos dans ton cœur : tout est entre les mains de Dieu. Si les croyants en Dieu ont un espace pour Lui dans leur cœur et comprennent la vérité, les esprits malfaisants n’osent pas les perturber, leur nuire ou s’approcher d’eux. Par conséquent, les croyants n’ont pas besoin de se livrer à ces processus inutiles. C’est une grâce si immense ; comment peux-tu encore dire que tu n’as rien gagné en croyant en Dieu ? Ne manques-tu pas de conscience ? Sans rien considérer d’autre, le simple fait de prétendre n’avoir rien gagné prouve à lui seul l’absence totale de conscience chez une personne et prouve que sa conscience est entièrement mauvaise ; il est inutile d’en dire plus sur le reste.

Dieu donne gratuitement la vérité et la vie aux gens, leur offrant Ses paroles sans rien demander en retour. Bien que les gens puissent avoir le sentiment que leur stature est encore immature, qu’ils n’ont pas compris grand-chose de la vérité, et qu’ils sont incapables d’exprimer clairement le peu qu’ils comprennent, rien que ces choses que Dieu leur a données, cette affection et cet amour ; quelle grâce immense cela représente ! Dieu a donné aux gens les choses les plus précieuses ; les gens ont reçu de Dieu les choses les plus précieuses au monde. Que tu l’aies ressenti ou non, Dieu les a déjà données à l’homme. De quoi les gens se plaignent-ils encore ? Méritent-ils de recevoir ces choses ? Les personnes sélectionnées par Dieu sont les plus heureuses au monde. Tu as été sélectionné et choisi par Dieu ; tu es l’une des personnes les plus heureuses et les plus chanceuses au monde. Comment peux-tu dire que tu n’as rien gagné ? Tu es devenu l’une des personnes les plus heureuses et les plus chanceuses car Dieu t’a sélectionné et choisi et, par conséquent, les esprits malfaisants et les démons immondes n’osent pas s’approcher de toi. Certaines personnes demandent : « Cela signifie-t-il que mon statut et mon identité sont devenus honorables ? » Peut-on dire cela ? Non, car tout cela est le fruit de l’amour et des actions de Dieu. Les gens ont tant gagné ! Rien que dans cette vie, les gens ont gagné tant de choses ; en quoi les gens sont-ils le moins du monde qualifiés pour recevoir tout cela ? Certains croyants en Dieu ne poursuivent pas du tout la vérité et disent sans arrêt : « Qu’est-ce que j’ai gagné de ces longues années à croire en Dieu ? » Ne peux-tu pas le calculer par toi-même ? Dans ton cœur, tu sais si tu comprends ou non la vérité, à quel point tu as commis moins de mal et, plus encore, tu sais dans ton cœur à quel point tu as joui de la grâce. Si tu étais au clair sur ces choses dans ton cœur, tu ne dirais pas des choses à ce point dénuées de conscience. Certains disent également : « La maison de Dieu fournit ma nourriture, mes vêtements et aussi mon toit. » Cela n’est-il pas très mineur comparé à la grâce et à la protection de Dieu ? Cela ne vaut même pas la peine d’être mentionné, n’est-ce pas ? Pourtant, ceux qui ont une conscience ont le sentiment que cela fait tout de même partie de la grâce de Dieu, même si cela ne vaut pas la peine d’être mentionné. La grâce de Dieu est incommensurable ; Dieu a tant donné aux gens ! Quant à ces choses matérielles, du point de vue de Dieu, Il ne les compte même pas.

Un aspect des actions de Dieu consiste à protéger les gens, et un autre à les guider sur le chemin du salut afin qu’ils puissent être sauvés. Les gens ont joui de cette affection de Dieu et de Son amour pour eux, et Dieu leur a octroyé une grâce abondante ! En plus de cela, une chose est primordiale : la vérité que Dieu a conférée aux gens, notamment des paroles que personne n’a jamais entendues ou reçues dans l’histoire de l’humanité, à aucune époque. Peu importe combien de fois Dieu a créé l’humanité, Il n’a jamais fait cette œuvre ou prononcé ces paroles. Tous les mystères liés à l’humanité, ce que les gens peuvent supporter, saisir et comprendre ; Dieu vous en a tout dit. Ces mystères, ces vérités, peuvent-ils être mesurés de façon quantifiable ? Ils sont immesurables ; les gens ne peuvent pas en épuiser leur jouissance au cours de nombreuses vies. Pourquoi dis-Je cela ? C’est parce que ces paroles de Dieu sont la fondation de l’existence des gens, et qu’elles peuvent exister pour l’éternité. Si tu as vraiment la chance de survivre et de vivre pour l’éternité, alors ces paroles et ces vérités de Dieu peuvent subvenir à tes besoins pour l’éternité. Quelle est la signification du terme « éternité » ? Cela signifie ne pas être limité par le temps, être sans limite. Si l’on interprète cela littéralement, cela signifie ne pas avoir de fin, continuer à vivre éternellement, tout comme Dieu Lui-même. Ces paroles et ces vérités de Dieu peuvent exister jusqu’à ce moment-là. « Ce moment-là » est un concept et une définition du temps exprimé dans le langage humain, mais en fait, cela signifie « indéfiniment ». Dites-Moi, la valeur de ces paroles de Dieu n’est-elle pas formidable ? Elle l’est incroyablement ! Si tu ne les poursuis pas, c’est toi qui y perds ; c’est de la bêtise de ta part. Mais si tu les poursuis, ces paroles revêtent pour toi une valeur qui va bien au-delà de cette vie-ci ; elle s’étend jusqu’à l’éternité. Elles seront toujours efficaces et utiles pour toi, et elles auront de la valeur et du sens pour toujours et subviendront à tes besoins éternellement. Si tu comprends ces paroles, que tu les acquières et que tu vis selon elles, tu seras capable de vivre éternellement. Pour le dire en des termes plus simples, tu vivras pour toujours sans goûter à la mort. N’est-ce pas là quelque chose dont les gens rêvent ? D’innombrables époques se seront écoulées, d’innombrables personnes sont mortes, mais tu resteras encore vivant. Par quels moyens resteras-tu vivant ? C’est à travers les paroles de Dieu, à travers la vérité, que tu auras les qualifications pour continuer à vivre ainsi. Que feras-tu de cette vie ininterrompue ? Tu as la commission de Dieu, la direction de Dieu, et tu as également une mission. Quelle est ta mission ? À travers le fait que tu vives Ses paroles, Dieu veut que tu Le glorifies et que tu sois Son témoignage. C’est cela, la valeur des paroles de Dieu. La valeur et l’importance de la vérité et des paroles que les gens entendent, avec lesquelles ils entrent en contact, et dont ils font l’expérience en cette époque existeront pour l’éternité. Pourquoi existeront-elles pour l’éternité ? Ces paroles de Dieu ne sont pas une théologie, une théorie, un slogan ou une forme de connaissance, mais ce sont les paroles de vie. Du moment que tu obtiens ces paroles, que tu vis selon elles et que tu survis grâce à elles, Dieu te permettra de continuer à vivre et ne te laissera pas mourir. Autrement dit, Il ne te détruira pas et ne t’ôtera pas la vie ; Il te permettra de continuer à vivre. N’est-ce pas là une grande bénédiction ? (Oui, c’est une grande bénédiction.) Par ces paroles, Dieu veut que tu aies un avant-goût de cette bénédiction dans cette vie et que tu l’obtiennes dans le monde à venir. Telle est la promesse de Dieu. En tenant compte de cette immense promesse que Dieu a offerte à l’humanité, les gens ont-ils reçu beaucoup ? (Oui.) Dieu a fait une si grande promesse à l’humanité, en la faisant connaitre à tous. Il t’en a parlé, te permettant de venir et de la prendre gratuitement. Tu n’as pas besoin de sacrifier ta vie ni de céder toutes tes possessions ; il te suffit d’écouter les paroles de Dieu et d’agir conformément aux exigences et aux désirs de Dieu, et tu peux recevoir cette promesse de Dieu. Dieu n’a-t-Il pas beaucoup donné à l’humanité ? Tu es actuellement sur le chemin pour obtenir cette promesse : même si tu ne l’as pas encore entièrement reçue, as-tu reçu peu de choses ? Au vu de la promesse que Dieu a décernée à l’humanité, les gens ont vraiment beaucoup reçu. Ils ont gagné un avantage important ; ils n’ont pas perdu au change ou subi la moindre perte. Ils ont seulement investi un peu de temps et leur chair a peut-être enduré quelque labeur. Ils ont peut-être sacrifié quelque bonheur familial, quelques préférences et désirs charnels personnels, abandonné certaines de leurs aspirations, intérêts, souhaits, etc. Toutefois, comparé au fait de comprendre la vérité, d’atteindre le salut et de recevoir la promesse de Dieu, toutes ces perspectives personnelles, ces buts et ces aspirations ne valent pas la peine d’être mentionnés, car ils ne peuvent que te mener en enfer, et Dieu ne t’accordera pas Sa promesse pour ces choses. À l’inverse, lorsque les gens investissent un temps limité, un prix dans leurs moyens qu’ils sont enclins à payer, ils en arrivent au bout du compte à comprendre la vérité, à saisir quelques mystères et les principes de la conduite humaine qui n’ont pas été compris par l’humanité depuis la création du monde par Dieu, à comprendre certaines essences et origines de tous les événements et de toutes choses, etc. Plus important encore, ils gagnent quelque connaissance à propos de Dieu et sont à même de Le craindre. Ayant obtenu tout cela, ne vaut-il pas la peine de payer un tel prix ? Quels griefs les gens ont-ils ? Pourquoi disent-ils qu’ils ne gagnent rien en croyant en Dieu ? Leur conscience n’est-elle pas devenue complètement pourrie ? Ils ont tant gagné et ils ne sont toujours pas satisfaits. Que veulent-ils de plus ? Seraient-ils satisfaits si l’on faisait d’eux des présidents ou des millionnaires ? Si Dieu leur donnait ces choses, alors ils ne Lui appartiendraient pas. Dieu ne veut pas gagner ce genre de personnes.

Les gens disent toujours qu’ils n’ont rien gagné en croyant en Dieu, ce qui montre qu’ils n’ont pas de conscience, pas la moindre capacité à comprendre la vérité, qu’ils ne poursuivent pas la vérité et sont d’un caractère exceptionnellement ignoble. De telles personnes n’ont pas de compréhension pure de ce que Dieu fait, de ce qu’Il exige des gens et de ce qu’Il a décerné aux gens, entre autres choses. En fin de compte, lorsque des événements les mécontentent quelque peu, la colère abondante qu’ils ont accumulée explose instantanément : « Qu’est-ce que j’ai gagné à croire en Dieu ? Ma chair a tant souffert. J’ai fait tous les devoirs que l’Église m’a assignés. Peu importe à quel point c’était difficile ou fatigant, je ne me suis jamais plaint ; peu importe l’ampleur des difficultés, je n’ai jamais rien dit. Je n’ai jamais exigé quoi que ce soit de la maison de Dieu. Avec mon grand amour et ma grande loyauté, qu’est-ce que j’ai gagné ? Si même moi je ne gagne rien, les autres ont encore moins d’espoir de gagner quoi que ce soit ! » Le sous-entendu est le suivant : « Vous n’avez pas offert autant que moi, vous n’avez pas payé le prix que j’ai payé ; si même moi je n’ai rien gagné, qu’est-ce que vous pouvez gagner ? Il vous faut tous être prudents, ne soyez pas stupides ! » De telles personnes ne sont-elles pas dépourvues de conscience ? Les personnes dénuées de conscience prononcent toujours des paroles stupides et obstinées. Elles ne peuvent pas comprendre une seule de toutes les nombreuses vérités prononcées par Dieu, ni de toutes les nombreuses choses et affirmations pures et positives ; au lieu de cela, elles s’accrochent obstinément à leur propre point de vue : « J’endure des souffrances et paye un prix pour Dieu, alors Dieu doit me bénir et doit me permettre de gagner plus que les autres. Si ce n’est pas le cas, je vais me défouler, je vais exploser, je balancerai des insultes ! Quoi que je veuille, Dieu doit me l’accorder et, si je ne l’obtiens pas, alors Dieu n’est pas juste et je dirai que je n’ai rien gagné – voilà ce que c’est que de dire la vérité pure et simple ! » Ne sont-elles pas dénuées d’humanité ? Les paroles d’une personne dénuée d’humanité ne peuvent en aucun cas rester fermes, et encore moins être conformes à la vérité ; ce serait là leur en demander un peu trop. Les paroles que les gens prononcent doivent être des demandes et des affirmations légitimes, pas des arguments tordus ; elles doivent rester fermes, peu importe qui les écoute ou les évalue. Toutefois, les paroles et les actions des individus qui ont une piètre humanité ne peuvent pas rester fermes. Lorsqu’ils font des colères et évacuent leurs griefs, certaines personnes se disent : « Pourquoi dit-il qu’il n’a rien gagné ? Se pourrait-il que la maison de Dieu l’ait lésé de quelque manière que ce soit ? Se pourrait-il que certaines actions de la maison de Dieu ne soient pas conformes aux principes et ne puissent pas être dévoilées ? Cette personne semble tout à fait apte à endurer des souffrances et à payer un prix habituellement, mais aujourd’hui, elle a explosé si violemment, disant qu’elle n’avait rien gagné ; on dirait qu’elle n’a vraiment rien gagné. N’est-ce pas là pousser une personne docile à la colère ? Alors, je ferais mieux de faire attention ; je ne devrais pas endurer de telles souffrances ni payer un prix aussi élevé que précédemment en faisant mes devoirs ! » C’est comme cela que certaines personnes confuses et dépourvues de discernement se laissent influencer.

Pour les gens qui évacuent souvent de la négativité, s’ils ont vraiment des points de vue ou des idées à exprimer, laissez-les d’abord parler et exposer leurs opinions. Une fois qu’ils l’auront fait, tout le monde comprendra : « Il a le sentiment que le prix qu’il a payé ne correspond pas à ce qu’il a gagné. Il a le sentiment de n’avoir gagné aucun avantage et d’avoir subi des pertes, alors il est devenu réticent. Il se plaint de Dieu, en espérant marchander avec Lui, en exigeant la grâce et les avantages ! » Une personne moyenne peut-elle discerner un individu de ce genre après l’avoir entendu parler ? Une fois que tout le monde est à même de le discerner, il faut dire à cet individu : « Tu as fini de parler ? Si tu n’as rien de plus à dire, alors tais-toi, ou tu vas te ridiculiser. Si ta nature malveillante est exposée devant tout le monde et qu’elle n’est pas promptement maîtrisée, cela suscitera l’indignation générale. Quand tout le monde t’exposera et te rejettera, il sera trop tard pour avoir des regrets. » Il faut le prévenir de cette façon et, en faisant cela, tu l’auras restreint. Ou bien tu peux également dire : « Si tu as le sentiment d’avoir été perdant, tu n’es pas obligé de croire en Dieu. Tu as l’impression de n’avoir rien gagné, alors qu’est-ce que tu veux gagner, exactement ? Si c’est faire fortune et devenir riche, ou occuper de hautes fonctions, alors je suis désolé mais l’on ne peut pas obtenir ces choses-là juste parce que l’on en a envie ; ces affaires sont déterminées par Dieu. L’apparition de Dieu et Son œuvre du salut de l’homme ne consistent pas à donner ces choses aux gens. Va où tu peux les obtenir, la maison de Dieu n’est pas mondaine, elle ne peut pas satisfaire les démons et les Satans. Tu ferais mieux de ne pas exiger de telles choses de la maison de Dieu, ni des frères et sœurs ; si tu oses demander ces choses-là à Dieu, alors tu offenseras Son tempérament et provoqueras Sa colère. C’est parce que Dieu a accordé plus qu’assez de grâce aux gens et qu’Il leur a décerné encore plus de vérités afin que celles-ci soient leur vie. Il est stupide et ignorant de ta part de ne pas considérer comme précieux le fait de gagner la vérité. » Tout le monde leur fait des reproches et les émonde comme cela. Que penses-tu de cette pratique ? Ou bien tu peux dire : « La maison de Dieu ne te doit rien. Tu t’es dépensé pour Dieu et tu as accompli tes devoirs volontairement. Sais-tu à quel point tu as profité de la grâce de Dieu depuis que tu as commencé à croire en Lui et à faire des devoirs ? Si tu as ne serait-ce qu’une once de conscience, tu ne devrais pas dire à Dieu que tu n’as rien gagné ; tu devrais te présenter devant Dieu et reconnaitre tes propres problèmes. Si tu crois réellement que Dieu est la vérité, que tout ce que Dieu fait est la vérité et que Ses paroles sont la vérité, alors tu ne devrais pas dire cela ; tu ne devrais pas te plaindre. Ton attitude actuelle n’est pas celle que quelqu’un qui croit en Dieu devrait avoir, et ce n’est pas non plus l’attitude que devrait avoir quelqu’un qui cherche la vérité. Tu essayes de te révolter, de rabâcher tes vieux problèmes avec Dieu ! Tu essayes de te séparer de Dieu, de régler les comptes pour de bon ! Mais Dieu ne te doit rien et la maison de Dieu non plus. Si tu veux régler tes comptes avec la maison de Dieu, alors dépêche-toi de quitter Sa maison. Ne harcèle pas la maison de Dieu, ou bien tu provoqueras Sa colère et Il te terrassera. Cela ne serait pas une très bonne conséquence. Si tu as la moindre conscience ou raison, tu dois te calmer, prier et chercher s’il y a quoi que ce soit d’erroné dans ta perspective concernant ta poursuite dans ta foi en Dieu, et si le chemin que tu suis est bien celui que Dieu exige de toi. Tu as tant d’exigences déraisonnables envers Dieu, un si grand ressentiment ; cela indique que quelque chose est allé de travers dans ta poursuite. Tu n’as pas accumulé un ressentiment aussi profond en seulement un ou deux jours ; cela fait longtemps qu’il s’accumule. Ou peut-être que tu te présentes devant Dieu avec un point de vue erroné en tête depuis que tu as commencé à croire en Lui et que, quoi qu’Il ait dit, tu y as été insensible et par conséquent tu ne ressens pas le moindre remords et tu ne te sens en aucun cas redevable. Peut-être que c’est pour cela que les choses sont devenues ce qu’elles sont aujourd’hui. Tu ferais mieux de te dépêcher de te confesser et de te repentir ; il est encore temps de se repentir. Si tu ne le fais pas et que tu continues de faire le mal et d’évacuer de la négativité, alors tu deviendras un démon, un antéchrist. Lorsque la maison de Dieu t’exclura, tu n’auras plus la moindre chance d’être sauvé ; ce qui est condamné par la maison de Dieu l’est aussi par Dieu. Nous t’adressons cet avertissement par considération pour ta capacité à endurer les souffrances et à payer un prix dans les nombreuses années durant lesquelles tu as cru en Dieu. Nous te donnons une chance. Si tu insistes dans ton propre chemin, que tu refuses d’écouter les conseils et que la maison de Dieu décide de t’exclure, tu ne seras alors plus un frère ou une sœur. Tu n’auras aucun espoir d’être sauvé. Quand ce moment arrivera, tu n’auras alors vraiment rien gagné. N’attends pas d’en arriver là pour avoir des regrets. Le plus crucial pour toi à présent, c’est de changer le cap de tes pensées, de tes points de vue, et de la direction de ta poursuite. Cesse de toujours chercher à gagner quelque chose. Écoute les paroles de Dieu, vois dans quelle mesure tu peux réfléchir sur ce que Dieu expose des tempéraments corrompus des gens et le connaitre en toi-même. As-tu résolu les problèmes que tu peux identifier en toi-même, ceux que tu peux voir clairement ? As-tu reconnu ta rébellion contre Dieu ? L’as-tu résolue ? Le plus grand problème auquel tu es confronté à présent est de toujours vouloir régler tes comptes avec Dieu ; quel est ce problème ? N’est-ce pas un problème qu’il faut résoudre ? Tu crois toujours en Dieu avec une certaine intention, avec une transaction à l’esprit ; tu es toujours avide de gagner des bénédictions, en espérant échanger des efforts, le fait de te dépenser et la souffrance de ta chair pour obtenir les bénédictions du royaume des cieux ; n’est-ce pas la logique d’un bandit ? Pourquoi ne jettes-tu pas un coup d’œil au genre de personnes à qui Dieu décerne des bénédictions, à ce que sont les exigences de Dieu pour les gens, à ce que Dieu a dit aux gens et à ce qu’ils doivent atteindre pour recevoir les promesses de Dieu ? Si tu crois réellement en Dieu et que tu veux réellement être sauvé, alors n’essaye pas systématiquement de gagner quelque chose de Dieu. Il te faut regarder dans quelle mesure tu as mis en pratique les paroles de Dieu et si tu es une personne qui suit les paroles de Dieu. Suivre les paroles de Dieu, c’est pratiquer et vivre conformément aux exigences de Dieu et aux vérités-principes, pas uniquement souffrir un peu sur le plan physique et payer un petit prix. Ton tempérament corrompu n’est pas résolu, et il y a des intentions derrière tous les prix que tu payes et toutes les souffrances que tu subis. Dieu ne l’approuve pas ; Il ne veut pas d’un tel prix. Si tu insistes pour régler tes comptes avec Dieu, si tu insistes pour argumenter et lutter contre Dieu, alors tu offenses Son tempérament et Il te laissera suivre ton propre chemin, jusqu’en enfer, où tu seras puni. Tel est le châtiment pour avoir fait le mal. Tu as joui de nombreuses bénédictions et grâces de Dieu et Il t’a donné quelques traitements privilégiés sur le plan matériel. Tu as déjà reçu ce que tu devais recevoir ; que veux-tu de plus de la part de Dieu ? » Si tu échangeais ces paroles avec elle, une personne dotée d’un peu de conscience et de raison ne verrait-elle pas son humeur de ressentiment se calmer un peu en les entendant ? Est-ce que ce sont là des paroles de pure compréhension, conformes à la vérité ? (Oui.) Si quelqu’un a de l’humanité et de la raison, il pourra les comprendre et les accepter. Seuls ceux qui sont dénués d’humanité, ceux qui n’ont pas de conscience et de raison, penseraient que ces paroles sont une tentative pour les piéger, qu’il s’agit d’une rhétorique pompeuse qui ne mérite pas que l’on y croie, et que cela n’est pas aussi tangiblement bénéfique que la grâce visible ou les bénédictions matérielles. Alors, tant qu’ils ne voient pas ces avantages tangibles, tout ce que tu dis est inutile, ils ne l’accepteront pas. Peut-être qu’ils ne s’y opposent pas en face de toi, mais, dans ton dos, ils continueront encore à résister dans leur cœur, à évacuer de la négativité de temps en temps, en faisant étalage de leurs propres contributions, en comptabilisant les souffrances qu’ils ont endurées, ainsi que la manière dont les traite la maison de Dieu, la façon dont ils endurent la maison de Dieu ; ils gardent toujours ces choses dans leur cœur. Quoi qu’il leur arrive, du moment qu’ils ne reçoivent pas ce qu’ils désirent, leur bestialité jaillit, ils explosent furieusement, en exposant leur comportement scandaleux, et ils évacuent leur négativité. Faut-il encore tenter de persuader une telle personne ? Que faut-il faire si, après une simple exhortation, ils continuent à présenter le même caractère, que leurs anciens problèmes refont surface et que leur côté diabolique s’enflamme à nouveau ? Il est alors temps d’imposer des restrictions. Ne leur laissez aucune chance de se repentir. Ils sont irrécupérables ; ce sont des malheureux stupides et obstinés. En quoi sont-ils « des malheureux stupides et obstinés » ? C’est dans la mesure où ils n’acceptent pas le chemin pur et n’acceptent pas les choses positives. Au lieu de cela, ils adoptent des arguments tordus, des hérésies et des idées fausses, en s’accrochant à leurs propres points de vue qui visent à obtenir des avantages tangibles, à tirer profit de la situation et à ne pas subir de pertes. Quelle que soit la manière dont la maison de Dieu échange sur la vérité, ils disent toujours : « Toutes ces paroles sonnent bien. Dire quelques bons mots, c’est à la portée de tous. Si tu étais perdant, tu ne dirais pas cela. » Ils s’accrochent obstinément à ce genre de points de vue et, lorsque quelque chose de désagréable se produit ou qu’ils subissent une perte, ils estiment n’avoir rien gagné à croire en Dieu et ils évacuent à nouveau leur négativité. Faut-il leur donner une chance ? Plus aucune chance. S’ils ne font pas correctement leurs devoirs et perturbent les autres à la place, il faut les arrêter et les restreindre immédiatement. Ne les laissez pas parler librement. S’ils continuent à répandre de la négativité et à perturber les autres, ne leur témoignez plus aucune courtoisie. Excluez-les au plus vite. Est-ce là se montrer peu attentionné ? (Non.) La vérité leur a été donnée à la petite cuillère, mais ils sont incapables de l’assimiler, peu importe la manière dont elle est échangée ; qu’est-ce que cela indique ? En apparence, il semble que cet individu soit un incrédule, mais en substance, il s’agit d’un démon. Il est venu à la maison de Dieu pour demander la grâce et les bénédictions de Dieu, pour gagner des avantages, et il ne s’arrêtera que lorsqu’il les aura gagnés. S’il n’a pas gagné le moindre avantage après avoir cru pendant un moment, son tempérament satanique explosera ; il déversera son mécontentement vis-à-vis de Dieu, commettra le mal et causera des perturbations. Il s’agit là d’un démon. Fondamentalement, le peu de souffrance et de dépense qu’il a entrepris ne sont pas la pratique des paroles de Dieu. L’objectif était purement transactionnel, c’était de gagner des avantages et des bénédictions pour lui-même. Lorsque des événements arrivent à ceux qui veulent toujours gagner quelque chose de leur croyance en Dieu, ils sont négatifs et faibles, ils disent toujours : « Je n’ai rien gagné à croire en Dieu. » Puis, ils abandonnent et se mettent à agir imprudemment, cherchent à riposter et évacuent souvent de la négativité pour déverser leurs émotions de mécontentement. Nous avons déjà échangé sur la manière de traiter de telles personnes : elles devraient être gérées selon les principes. Si elles peuvent accepter la vérité et garantir qu’elles ne causeront pas davantage de perturbations à l’avenir, on peut leur donner une autre chance de rester dans l’Église. Si elles ont toujours l’intention de perturber et de nuire au travail et à la vie d’Église, alors excluez-les. C’est pour protéger le travail de l’Église et assurer que le peuple élu de Dieu puisse vivre la vie d’Église sans perturbations. Cette décision est prise et cette méthode est adoptée selon ce principe. C’est approprié.

Dans la vie d’Église, qui d’autre a tendance à évacuer sa négativité ? Certains font leurs devoirs sans obtenir de résultat, en faisant constamment des erreurs ; ils ne réfléchissent pas sur eux-mêmes mais ont toujours le sentiment que Dieu n’est ni juste ni équitable, qu’Il traite toujours les autres gracieusement, mais pas eux, qu’Il les méprise et ne les éclaire jamais et que c’est pour cette raison qu’ils n’obtiennent jamais de résultat en accomplissant leur devoir et qu’ils ne parviennent jamais à atteindre leur but qui est de se démarquer et d’être estimés. Ils en viennent à blâmer Dieu dans leur cœur et, ce faisant, la jalousie, le dégoût et la haine surgissent en eux à l’égard de ceux qui font leurs devoirs avec loyauté. De quelle sorte d’humanité de telles personnes sont-elles dotées ? Ne sont-elles pas mesquines ? Et en outre, n’échouent-elles pas à comprendre comment poursuivre la vérité dans leur croyance en Dieu ? Elles ne comprennent pas en quoi consiste le fait de croire en Dieu. Elles pensent que croire en Dieu et faire un devoir, c’est comme passer un examen d’entrée à l’université en tant qu’étudiant, en ayant toujours besoin de comparer les notes et les classements. Elles accordent donc une grande importance à ces choses. N’est-ce pas là leur état ? Tout d’abord, sur le plan de la compréhension de la vérité, ces personnes ont-elles une compréhension spirituelle ? Elles n’en ont aucune et elles ne comprennent pas ce que c’est que de croire en Dieu et de poursuivre la vérité. D’une part, elles accordent une grande importance à leur classement parmi les autres ; d’autre part, elles emploient toujours une méthode de notation pour évaluer la façon dont les autres font leurs devoirs et la façon dont elles-mêmes s’en acquittent, exactement comme si elles évaluaient des élèves à l’école, en évaluant la croyance des gens en Dieu et l’accomplissement de leurs devoirs selon cette méthode. N’y a-t-il pas un problème avec cette démarche ? En outre, leur façon laborieuse de faire leurs devoirs n’est-elle pas incorrecte ? Ne font-elles pas leur devoir aussi laborieusement que si elles étudiaient et passaient des examens ? (Si.) Pourquoi disons-nous cela ? De telles personnes comprennent-elles comment chercher les principes lorsqu’elles croient en Dieu et font leurs devoirs ? Sont-elles capables de chercher les principes ? D’une part, elles ne savent pas comment chercher les principes. Quant à savoir de quelle manière les gens devraient lire les paroles de Dieu, échanger sur la vérité et faire correctement leurs devoirs, elles ne comprennent pas ces questions et ne s’en soucient pas. Elles savent seulement qu’elles doivent trouver des principes et agir conformément à ces derniers, mais elles n’ont pas de compréhension de ce que les principes stipulent, de ce que Dieu exige, ou de la façon dont les autres agissent conformément à ces principes. Elles passent complètement à côté. Et d’autre part, sont-elles capables d’évaluer l’accomplissement d’un devoir en respectant les normes selon lesquelles Dieu évalue si les gens sont à la hauteur dans l’accomplissement de leurs devoirs, ainsi que les principes qu’Il exige des gens lorsqu’ils font leur devoir ? Peuvent-elles comprendre ces questions à partir des paroles de Dieu et de l’échange des frères et sœurs ? Premièrement, elles ne comprennent pas les paroles de Dieu et ne comprennent pas non plus les questions concernant l’exécution d’un devoir. Après avoir commencé à croire en Dieu et à faire des devoirs, ces individus réfléchissent ainsi : « Quand j’étais à l’école, j’ai compris une règle : du moment que l’on est prêt à travailler dur et à étudier davantage, on peut atteindre des notes élevées. Je ferai donc la même chose dans ma foi en Dieu. Je vais lire davantage les paroles de Dieu et prier plus. Pendant que les autres mangent ou bavardent, je vais apprendre les hymnes et mémoriser les paroles de Dieu. Grâce à un tel effort, Dieu me bénira à coup sûr, compte tenu de mon travail acharné, de ma diligence et de mon assiduité, et l’accomplissement de mes devoirs portera assurément ses fruits. Je suis assuré de faire partie des meilleurs parmi les autres et je serai valorisé et promu. » Pourtant, même en faisant cela, ils ne peuvent toujours pas réaliser leurs souhaits : « Pourquoi suis-je toujours moins efficace que les autres lorsque je fais mon devoir ? Comment pourrai-je jamais être promu ou employé pour des tâches importantes ? Cela ne signifie-t-il pas qu’il n’y a pas d’espoir ? Je suis un compétiteur né, je ne veux pas être à la traîne par rapport aux autres. J’étais comme ça à l’école et je le suis encore, dans ma croyance en Dieu. Si quiconque me dépasse, je suis déterminé à le surpasser. Je n’aurai de cesse d’y parvenir ! » Ils croient qu’ils pourront recevoir les bénédictions de Dieu et qu’ils obtiendront à coup sûr des résultats en accomplissant leur devoir s’ils adoptent la bonne méthode et la bonne approche : en reportant les efforts d’une étude studieuse d’autrefois sur le fait de lire davantage de paroles de Dieu et d’apprendre davantage d’hymnes, en ne se livrant pas à des bavardages futiles, en ne se préoccupant pas de bien s’habiller, en dormant moins et en s’amusant moins, en maîtrisant leur corps et en ne s’adonnant pas aux conforts de la chair. Toutefois, les choses se passent toujours différemment de ce qu’ils avaient espéré : « Pourquoi est-ce que je commets toujours des erreurs en faisant mon devoir et pourquoi est-ce que je suis toujours incapable de le faire aussi bien que les autres ? Les autres font les choses rapidement et correctement, et le dirigeant les félicite et les estime toujours. J’ai enduré tant de souffrances et de difficultés. Pourquoi est-ce que je n’obtiens toujours pas de résultats ? » Tandis qu’ils méditent là-dessus, ils font enfin une découverte importante : « Il s’avère que Dieu est injuste. J’ai cru en Dieu pendant si longtemps, et je ne le vois que maintenant ! Dieu est gracieux envers qui Il veut. Alors pourquoi ne veut-Il pas se montrer gracieux envers moi ? Est-ce parce que je suis stupide, parce que la flatterie et l’éloquence me dépassent, parce que je n’ai pas l’esprit vif ? Ou bien est-ce parce que j’ai l’air trop ordinaire et que je ne suis pas très instruit ? Dieu me révèle à travers cela, n’est-ce pas ? J’ai lu tant des paroles de Dieu ; pourquoi Dieu me révèle-t-Il au lieu de Se montrer gracieux envers moi ? » En réfléchissant à cela, ils deviennent négatifs : « Je n’ai plus envie de faire mon devoir. Je n’ai pas été béni par Dieu en faisant mon devoir et j’ai lu davantage des paroles de Dieu, mais Il ne m’a pas éclairé. Les paroles de Dieu disent : Dieu est gracieux envers qui Il veut et Il témoigne de la miséricorde envers qui Il veut. Je ne suis pas quelqu’un envers qui Dieu fait preuve de miséricorde ou se montre gracieux. Pourquoi faut-il que je subisse ce tourment ? » Plus ils réfléchissent, plus ils deviennent négatifs et moins ils ont le sentiment d’avoir une voie à suivre. Ils se sentent étouffés par leurs griefs et ne veulent plus faire leur devoir ; et lorsqu’ils font leur devoir, ils se contentent de faire les choses machinalement. Quelle que soit la manière dont les autres échangent sur les principes, cela ne les atteint pas. Il n’y a pas de réaction en eux. Lorsqu’ils sont dans ce genre de situation, ont-ils la moindre entrée dans la vie ? Ont-ils une quelconque loyauté en faisant leur devoir ? Plus maintenant, et le peu d’efforts et d’assiduité qu’ils déployaient auparavant ont également disparu. Alors, que reste-t-il dans leur cœur ? « Je vais me contenter de planifier au fur et à mesure et de prendre les choses comme elles viennent. Dieu pourrait me révéler et m’éliminer à tout moment à présent, en me laissant tomber. Quand viendra le jour où l’on ne me laissera pas faire mon devoir, je ne le ferai pas. Je sais que je ne suis pas assez bon. Dieu ne m’a peut-être pas encore éliminé, mais je sais qu’Il ne m’aime pas. Ce n’est qu’une question de temps avant que je ne sois éliminé. » Ces pensées et ces points de vue émergent dans leur cœur et, lorsqu’ils interagissent avec les autres, des remarques de ce type leur échappent de temps à autre : « Continuez à croire sincèrement, tous autant que vous êtes. Votre foi et l’accomplissement de vos devoirs seront à coup sûr bénis par Dieu. Je suis un cas désespéré. Je suis au bout de mon chemin. Peu importe à quel point je suis diligent ou dur à la tâche, cela ne sert à rien. Si Dieu n’aime pas quelqu’un, aucun de ses efforts ne servira à quoi que ce soit. Je fais mon devoir en fournissant autant d’efforts que je le peux ; si mes efforts ne mènent nulle part, on ne peut rien y faire. Dieu peut-Il contraindre les gens à faire ce qui est au-dessus de leurs capacités ? Dieu ne peut pas forcer un chat à parler ! » Qu’est-ce que cela signifie ? L’implication est la suivante : « Je suis comme ça, c’est tout. Quelle que soit la façon dont Dieu me traite, mon attitude sera la même. » Dites-Moi, pourquoi une personne qui a une telle attitude et une telle intention voudrait-elle encore recevoir les bénédictions de Dieu ? Cet état et cette attitude qu’elle a développés peuvent-ils influencer les autres ? Ils peuvent facilement exercer une influence négative et nocive, poussant les autres à la négativité et à la faiblesse. N’est-ce pas induire les autres en erreur et leur nuire ? Les gens qui ont un tel degré de négativité n’appartiennent-ils pas à la catégorie des démons ? Les démons n’aiment jamais la vérité.

Certaines personnes n’évacuent pas leur négativité dans de longs discours ; elles se contentent de prononcer quelques expressions : « Vous êtes tous meilleurs que moi. Vous êtes tous grandement bénis. Je suis un cas désespéré. Peu importe mes efforts, cela ne sert à rien. Je n’ai pas d’espoir de recevoir les bénédictions de Dieu. » Même si les paroles sont simples et ne semblent pas problématiques, qu’elles sonnent comme si ces personnes faisaient leur propre examen, se disséquaient et acceptaient des faits tels que leur piètre calibre et leurs défauts, elles sont en réalité en train d’évacuer une sorte de négativité invisible. Ces paroles sont porteuses de sarcasme et de moquerie, ainsi que de résistance et, bien sûr, elles comportent à fortiori du mécontentement vis-à-vis de Dieu, mêlé à une humeur négative et abattue. Ces paroles négatives peuvent être peu nombreuses, mais cette humeur, telle une maladie contagieuse, peut affecter les autres. Bien qu’elles ne disent pas de façon explicite : « Je ne souhaite plus faire mes devoirs, je n’ai pas d’espoir de salut, et vous êtes tous en danger aussi », ces personnes envoient un signal qui donne aux gens le sentiment que si cet individu, malgré ses efforts, n’a pas d’espoir de salut, alors ceux qui ne font pas d’effort sont encore moins susceptibles d’en avoir l’espoir. En transmettant ce signal, elles disent à tout le monde : « L’espoir, c’est important. Si Dieu ne te donne pas d’espoir, si Dieu ne te bénit pas, alors peu importe la quantité d’efforts que tu déploies, cela ne sert à rien. » Après que la plupart des gens ont accepté ce signal, leur foi en Dieu en leur for intérieur ne peut que s’estomper, et la loyauté et la sincérité dont ils devraient faire preuve en faisant leurs devoirs sont grandement amoindries. Même si ces personnes évacuent cette négativité sans avoir l’intention claire de fourvoyer les gens ou de les amener à se ranger de leur côté, cette humeur négative affecte rapidement les autres, en leur faisant ressentir une crise, en leur donnant l’impression que leurs efforts sont aisément gaspillés ; cela pousse les gens à vivre selon leurs impressions, à les utiliser pour spéculer sur Dieu et pour analyser et sonder l’attitude et la sincérité de Dieu envers les hommes en se fondant sur des apparences superficielles. Lorsque cette humeur négative est transmise aux autres, ils ne peuvent pas s’empêcher de se distancier de Dieu et d’avoir des doutes et des incompréhensions vis-à-vis de ce que Dieu a dit, en ne croyant plus à Ses paroles. Dans le même temps, ils n’ont plus de sincérité envers leurs devoirs ; ils sont réticents à payer de leur personne et à faire preuve de la moindre loyauté. Tel est l’impact de ces remarques négatives sur les gens. Quelle est la conséquence de cet impact ? Après avoir entendu ces paroles, les gens ne sont pas édifiés et atteignent d’autant moins la connaissance d’eux-mêmes, ils ne décèlent pas leurs défauts, et ne sont pas capables de pratiquer la vérité et de faire leurs devoirs conformément aux principes – ils ne gagnent aucun de ces résultats positifs. Au lieu de cela, cet impact rend les gens plus négatifs, ils pensent à abandonner la poursuite de la vérité et ils n’ont plus la détermination pour faire leurs devoirs. Pourquoi ont-ils perdu la foi ? (Ils ont le sentiment de ne pas avoir d’espoir de salut.) Exact, ils ont accepté ce message et ont l’impression de n’avoir pas d’espoir de salut, ils sont donc réticents à fournir un effort pour faire leurs devoirs. Ce comportement montre qu’ils ne poursuivent pas sincèrement la vérité, mais qu’ils sont toujours en train d’évaluer si Dieu est satisfait d’eux, s’ils ont un espoir de salut et si Dieu approuve la façon dont ils accomplissent leurs devoirs, en se fondant sur des impressions, des humeurs et des conjectures. Lorsque les gens jugent ces choses sur la base de conjectures, ils ont peu de motivation pour pratiquer la vérité. Pourquoi en est-il ainsi ? Les gens peuvent-ils juger Dieu avec justesse lorsqu’ils Le jugent selon des conjectures ? Les gens peuvent-ils émettre des conjectures précises sur toutes les pensées et les idées que Dieu a ? (Non.) L’esprit des gens est plein de fourberie, de transactions, de philosophies des relations mondaines, de la logique de Satan, etc. Quelles sont les conséquences du fait que les gens font des conjectures sur Dieu selon ces choses ? Cela conduit à douter de Dieu, à s’éloigner de Lui et même à perdre complètement la foi en Dieu. Lorsqu’une personne perd complètement la foi en Dieu, l’existence de Dieu est inévitablement et fortement remise en question dans son cœur. À ce moment-là, son temps en qualité de croyant en Dieu prend fin ; elle est complètement ruinée. En outre, est-il correct que les gens fassent des conjectures sur Dieu ? Est-ce l’attitude qu’un être créé devrait avoir envers le Créateur ? Certainement pas. Les gens ne devraient pas faire de conjectures à propos de Dieu, ni émettre des hypothèses sur la pensée de Dieu ou sur ce qu’Il pense des humains. C’est là une erreur en soi ; les gens ont adopté une perspective et une position incorrectes.

Les gens ne devraient pas traiter Dieu selon des conjectures, des spéculations, du doute ou de la suspicion, et ils ne devraient pas Le juger en se fondant sur des pensées et points de vue humains, des philosophies des relations mondaines ou des connaissances académiques. De quelle manière les gens devraient-ils donc traiter Dieu ? Tout d’abord, les gens devraient croire que Dieu est la vérité. Les exigences de Dieu vis-à-vis des gens, Ses intentions envers eux, Son amour et Sa haine des gens, ainsi que Ses arrangements, pensées et idées pour diverses sortes de personnes, etc., ne nécessitent pas de spéculation de ta part ; ces questions ont des explications et des significations claires dans les paroles de Dieu. Il te faut seulement croire, chercher et pratiquer conformément aux paroles de Dieu ; c’est aussi simple que cela. Dieu ne te demande pas de juger de ce qu’Il a l’intention de faire à ton sujet ou de la manière dont Il te considère en te fondant sur des impressions. Alors, tu penses que tu n’as pas d’espoir de salut ; s’agit-il d’une impression ou d’un fait ? Les paroles de Dieu ont-elles dit cela ? (Non.) Alors, que disent-elles ? Dieu dit aux gens comment chercher la vérité pour trouver des solutions et le chemin pour pratiquer la vérité dès lors qu’ils sont confrontés à un quelconque problème ou révèlent des tempéraments corrompus. Cela confirme une chose : il est vrai que Dieu veut sauver les gens et transformer leurs tempéraments corrompus ; Dieu ne te trompe pas et cela n’est pas un discours vide de sens. Tu penses que tu n’as pas d’espoir de salut, mais ce n’est qu’une humeur passagère, une impression produite dans un certain environnement. Tes impressions ne représentent pas les désirs ni les intentions de Dieu, et encore moins Ses pensées, et elles ne représentent pas non plus la vérité. C’est pourquoi, si tu vis selon cette impression, si tu fais des conjectures à propos de Dieu selon cette impression, en remplacement des désirs de Dieu, alors tu te méprends grandement et tu es tombé dans le piège de Satan. Que convient-il de faire dans cette situation ? Ne te fie pas à tes impressions. Certains disent : « Si nous ne devons pas nous fier à nos impressions, à quoi devrions-nous nous fier ? » Il est inutile de te fier à quoi que ce soit qui vienne de toi ; les impressions humaines ne représentent pas la vérité. Qui sait comment ton impression a été générée, d’où elle est réellement venue ; si elle a été produite du fait d’être fourvoyé par Satan, alors c’est problématique. Dans tous les cas, peu importe la façon dont l’impression est apparue, celle-ci ne représente pas la vérité. Plus les impressions et les intuitions d’une personne sont intenses, plus il lui faut chercher la vérité, se présenter devant Dieu et réfléchir sur elle-même. Les impressions humaines, et les faits et la vérité sont deux choses distinctes. Les impressions peuvent-elles te fournir la vérité ? Peuvent-elles t’apporter un chemin de pratique ? Elles ne le peuvent pas. Seules les paroles de Dieu, seule la vérité, peuvent t’apporter un chemin de pratique, t’apporter un changement de cap et ouvrir une porte de sortie. Par conséquent, tu ne devrais pas pratiquer le fait de sonder tes propres impressions ; tes impressions sont sans importance. Ce que tu devrais faire, c’est te présenter devant Dieu pour chercher la vérité, pour comprendre les intentions de Dieu à travers Ses paroles. Plus tu te fondes sur des impressions, plus tu te retrouves sans voie à suivre, plus tu tombes profondément dans la négativité et plus tu crois que Dieu est injuste, qu’Il ne t’a pas béni. À l’inverse, si tu mets de côté ces impressions pour chercher les vérités-principes, pour voir lesquelles de tes actions ont violé les vérités-principes lorsque tu faisais ton devoir, lesquelles ont été effectuées conformément à ta propre volonté et n’ont rien à voir avec les vérités-principes, alors tu découvriras en cherchant que tu as trop de volonté propre, trop d’imagination. Rien qu’en appliquant ce brin de sérieux, tu découvriras de nombreux problèmes : « Je suis trop rebelle, trop entêté, trop arrogant ! Ce n’est pas que je n’ai pas d’espoir de salut ; mes impressions sont incorrectes. C’est que je n’ai pas pris au sérieux les paroles de Dieu et que je n’ai pas pratiqué selon les vérités-principes. Je me plains toujours que Dieu ne me bénisse pas, qu’Il ne me guide pas et qu’Il soit partial, mais en réalité je n’ai pas reconnu que je suis superficiel, obstiné et imprudent dans l’accomplissement de mon devoir ; c’est ma faute. J’ai à présent réalisé que Dieu ne fait pas preuve de partialité. Lorsque les gens ne cherchent pas la vérité et ne se présentent pas devant Dieu, Dieu se montre déjà bon envers eux en ne révoquant pas leur qualification à faire un devoir ; en cela, Dieu se montre déjà très indulgent. Pourtant, je me suis tout de même senti rempli de griefs, je suis allé jusqu’à lutter et argumenter avec Dieu. Avant, je pensais être plutôt bon, mais je vois maintenant que ce n’est pas vrai du tout. Quoi que je fasse, ce n’était pas fondé sur les principes ; c’était la grâce de Dieu que de ne pas me discipliner – Il a reconnu ma faible stature ! » À travers le fait de chercher ainsi, tu comprendras certaines vérités et seras capable de prendre l’initiative pour pratiquer activement, conformément aux vérités-principes. Petit à petit, tu auras le sentiment que tu as quelques principes quant au fait d’être une personne et dans l’exécution de ton devoir. Ne te sentiras-tu pas alors bien plus en paix dans ta conscience ? « Avant, j’avais le sentiment de ne pas avoir d’espoir de salut, mais pourquoi cette impression s’est-elle maintenant faite de plus en plus ténue ? Comment se fait-il que cet état ait changé ? Avant, je pensais que j’étais sans espoir ; n’était-ce pas seulement se montrer négatif, résister à Dieu et lutter contre Lui ? J’étais bien trop rebelle ! » Après t’être soumis, sans le savoir, tu commenceras à comprendre quelques principes en faisant ton devoir et tu ne te compareras plus aux autres ; tu te focaliseras seulement sur la manière d’éviter de te montrer superficiel et de faire tes devoirs conformément aux principes. Inconsciemment, tu n’auras plus l’impression de ne pas pouvoir être sauvé et tu ne seras plus piégé dans cet état négatif ; tu feras tes devoirs conformément aux principes et tu auras le sentiment que ta relation avec Dieu est devenue normale. Quand tu auras ce sentiment, tu te diras : « Dieu ne m’a pas abandonné ; je peux sentir Sa présence, et je peux sentir la direction et les bénédictions de Dieu lorsque je Le cherche en faisant mes devoirs. Je sens enfin que Dieu bénit les autres et me bénit également, et qu’Il ne fait pas preuve de partialité ; il semble que j’aie encore un espoir de salut. Il s’avère que le chemin que j’arpentais auparavant n’était pas le bon ; j’étais toujours en train d’agir machinalement et de commettre des méfaits imprudemment en faisant mon devoir, et j’ai même pensé que c’était acceptable, en vivant dans mon propre petit monde et en m’admirant moi-même. Je vois désormais qu’agir ainsi était une grosse erreur ! Je vivais intégralement dans un état de vocifération et de résistance à Dieu ; pas étonnant que je n’aie pas reçu l’éclairage de Dieu. Comment aurais-je pu recevoir l’éclairage de Dieu si je n’agissais pas conformément aux principes ? » Tu vois, deux manières entièrement différentes de pratiquer, deux manières entièrement différentes de gérer ses propres idées, mènent au bout du compte à des résultats différents.

Les gens ne peuvent pas vivre selon leurs sentiments dans le cadre de leur foi en Dieu. Les sentiments des gens ne sont que des humeurs passagères ; ont-ils quoi que ce soit à voir avec leurs issues ? Avec les faits ? (Non.) Quand les gens s’éloignent de Dieu, quand ils vivent dans un état d’esprit dans lequel ils comprennent Dieu de travers ou Lui résistent, se battent contre Lui et vocifèrent contre Lui, alors ils se sont totalement éloignés de l’attention et la protection de Dieu et n’ont plus de place pour Lui dans leur cœur. Quand les gens vivent dans un tel état, ils ne peuvent s’empêcher de vivre selon leurs propres sentiments. Une pensée anodine peut les tourmenter au point de leur couper l’appétit ou les empêcher de dormir, une remarque irréfléchie peut les plonger dans la conjecture et la confusion, et même un simple cauchemar peut les rendre négatifs et les conduire à comprendre Dieu de travers. Une fois que ce type de cercle vicieux a pris forme, les gens déterminent que c’en est fini d’eux, qu’ils ont perdu tout espoir d’être sauvés, que Dieu les a abandonnés et qu’Il ne les sauvera pas. Plus ils réfléchissent de cette manière et plus ils éprouvent ce genre de sentiments, plus ils sont plongés dans la négativité. La vraie raison de ces sentiments, c’est que les gens ne cherchent pas la vérité et ne pratiquent pas suivant les vérités-principes. Quand quelque chose leur arrive, les gens ne cherchent pas la vérité, ne pratiquent pas la vérité et font toujours comme bon leur semble, en vivant selon leur propre astuce mesquine. Ils passent leurs journées à se comparer aux autres et à rivaliser avec eux, en jalousant et en haïssant quiconque leur semble meilleur qu’eux, en raillant et en moquant quiconque leur semble inférieur à eux, en vivant dans le tempérament de Satan, en n’agissant pas selon les vérités-principes et en refusant d’accepter les conseils de quiconque. Au bout du compte, cela les amène à développer toutes sortes d’illusions, de spéculations et de jugements, et ils se rendent eux-mêmes inquiets en permanence. Et n’est-ce pas ce qu’ils méritent ? Eux seuls peuvent supporter un fruit d’une telle amertume, et ils le méritent réellement. Quelle est la cause de tout cela ? C’est parce que les gens ne cherchent pas la vérité, qu’ils sont trop arrogants et présomptueux. Ils agissent toujours selon leurs propres idées, ils se vantent et se comparent constamment aux autres, ils essaient en permanence de se faire remarquer, ils ont sans cesse des exigences déraisonnables à l’égard de Dieu, et ainsi de suite. Tout cela fait que les hommes s’éloignent peu à peu de Dieu, résistent à Dieu et violent la vérité encore et encore. Au final, ils plongent dans l’obscurité et la négativité. En de tels moments, les gens n’ont pas de véritable compréhension de leur propre rébellion et de leur propre opposition, et il leur est encore moins possible d’aborder ces choses avec la bonne attitude. Au lieu de cela, ils se plaignent de Dieu, ils Le comprennent de travers et font des spéculations à Son sujet. C’est alors que les hommes se rendent finalement compte que leur corruption est très profonde et qu’ils sont très problématiques, alors ils déterminent qu’ils sont de l’espèce de ceux qui s’opposent à Dieu et ils ne peuvent s’empêcher d’être plongés dans la négativité, incapables de s’en sortir. Ils croient ceci : « Dieu me déteste et m’abandonne, Dieu ne veut pas de moi. Je suis trop rebelle, je mérite mon sort. Assurément, Dieu ne me sauvera plus. » Ils croient qu’il s’agit de faits. Ils décident que les conjectures dans leur cœur sont des faits. Quelles que soient les personnes qui échangent avec eux sur la vérité, cela ne sert à rien, ils ne l’acceptent pas. Ils se disent : « Dieu ne me bénira pas, Il ne me sauvera pas, alors à quoi bon croire en Dieu ? » Quand le chemin de leur foi en Dieu en est arrivé à ce point, les gens sont-ils encore capables de croire ? Non. Pourquoi ne peuvent-ils plus continuer ? Il y a là un fait. Quand la négativité atteint un certain point chez les gens, que leur cœur est empli de résistance et de plaintes, et qu’ils désirent rompre définitivement leur relation avec Dieu, alors ce n’est plus quelque chose d’aussi simple pour eux que le fait de ne pas craindre Dieu, ne pas se soumettre à Dieu, ne pas aimer la vérité, et ne pas accepter la vérité. De quoi s’agit-il dans ce cas ? Dans leur cœur, ils choisissent activement d’abandonner leur foi en Dieu. Ils trouvent cela honteux d’attendre passivement d’être éliminés et qu’il est plus digne de décider d’abandonner ; ils prennent donc l’initiative de renoncer à leur chance, en mettant un terme aux choses par eux-mêmes. Ils condamnent la foi en Dieu comme mauvaise, ils condamnent la vérité pour son incapacité à changer les gens, et ils condamnent Dieu pour Son injustice, en Lui reprochant de ne pas les sauver : « Je suis si diligent, j’endure tellement plus de difficultés que les autres et je paye tellement plus de ma personne, je fais mes devoirs avec sincérité, et pourtant Dieu ne m’a pas béni. Je vois à présent que Dieu ne m’aime pas, que Dieu traite les gens de manière partiale. » Ils ont l’audace de transformer leurs doutes au sujet de Dieu en condamnation et blasphème à Son égard. Lorsque ce fait se concrétise, peuvent-ils poursuivre sur le chemin de la foi en Dieu ? Comme ils se rebellent contre Dieu, s’opposent à Lui et n’acceptent pas la vérité ni ne réfléchissent le moins du monde sur eux-mêmes, ils sont ruinés. N’est-il pas déraisonnable de la part d’une personne d’abandonner Dieu de sa propre initiative puis de se plaindre ensuite que Dieu ne la bénit pas et ne lui témoigne pas de grâce ? Chacun choisit son propre chemin et l’arpente lui-même ; personne ne peut le faire à sa place. C’est toi qui as choisi une impasse, qui as abandonné Dieu et L’as rejeté. Du début à la fin, Dieu n’a jamais dit qu’Il ne voulait pas de toi ou qu’Il t’avait laissé tomber, ou qu’Il refusait de te sauver ; c’est toi qui as délimité Dieu en te fondant sur tes suppositions. Si tu croyais réellement en Dieu et que, même s’Il ne voulait pas de toi, tu croirais toujours en Lui et que même s’Il te détestait, tu continuerais à croire en Lui, que tu lirais toujours Ses paroles et que tu accepterais toujours la vérité et ferais tes devoirs normalement, qui pourrait alors te restreindre ou t’arrêter ? Tout ne dépend-il pas de tes propres choix et de ce que tu poursuis ? Tu manques toi-même de foi et tu rejettes pourtant la faute sur Dieu ; c’est une attitude déraisonnable. Tu n’entretiens pas ta relation avec Dieu et tu t’obstines à la détruire ; lorsqu’une rupture aura eu lieu, pourra-t-elle être réparée ? Un miroir brisé est difficile à reconstituer et, même s’il est reconstitué, la fissure sera toujours là. Une fois la relation brisée, elle ne pourra jamais être restaurée à son état d’origine. Ainsi, quel que soit le type d’environnement que les gens rencontrent dans leur cheminement de foi en Dieu, ils doivent apprendre à se soumettre et à chercher la vérité ; ce n’est qu’ainsi qu’ils pourront rester fermes. Si tu veux suivre Dieu jusqu’au bout de la route, il est crucial de poursuivre la vérité ; que ce soit en faisant tes devoirs ou en faisant quoi que ce soit d’autre, il est essentiel de comprendre les vérités-principes, de les pratiquer et de les mettre en œuvre, car c’est par le processus de compréhension de la vérité et de pratique en accord avec les vérités-principes que tu en viendras à connaître Dieu, à avoir un entendement de Dieu et à Le comprendre, que tu saisiras les intentions de Dieu et que tu atteindras la compatibilité avec Lui, en gagnant une compréhension et une acceptation de l’essence de Dieu. Si tu ne mets pas en pratique les vérités-principes et que tu te contentes d’agir ou de faire tes devoirs conformément à ta propre volonté, tu n’entreras jamais en contact avec la vérité. Que signifie le fait de ne jamais entrer en contact avec la vérité ? Cela veut dire que tu n’entreras jamais en contact avec l’attitude de Dieu envers toute chose, ni avec Ses exigences, ni avec ses pensées ; et qu’il est encore moins probable que tu entres en contact avec le tempérament et l’essence de Dieu tels qu’ils sont révélés dans Son œuvre. Si tu échoues à entrer en contact avec ces faits de l’œuvre de Dieu, ta compréhension de Dieu sera à jamais limitée aux notions et à l’imagination humaines. Elle restera du domaine de l’imagination et des notions et ne sera jamais conforme avec l’essence et le vrai tempérament de Dieu. Tu ne seras ainsi jamais capable d’atteindre une authentique compréhension de Dieu.

En faisant leurs devoirs, les gens expérimentent souvent des états négatifs et rebelles. S’ils sont capables de chercher la vérité et d’utiliser les vérités-principes pour s’occuper de ces problèmes et les résoudre, leurs émotions négatives ne se transformeront pas en plaintes, en résistance, en attitude de défi, en vociférations, ni même en blasphème. Si toutefois les gens s’occupent de ces choses en se fondant uniquement sur leur petite intelligence, sur la retenue humaine, l’effort humain, l’assiduité, le fait de discipliner leurs corps et autres approches de ce genre, alors ces produits de l’imagination, ces jugements et ces conjectures humains génèreront tôt ou tard des plaintes, une attitude de défi, de la résistance, des vociférations et même du blasphème à l’égard de Dieu. Lorsque les gens sont prisonniers de telles émotions négatives, ils sont susceptibles de développer de l’insubordination, du mécontentement et des plaintes à l’encontre de Dieu, entre autres sentiments et pensées. Lorsque, le temps passant, ces pensées s’accumulent chez les gens et qu’ils ne cherchent toujours pas la vérité ni ne l’utilisent pour les résoudre, leur insubordination, leur mécontentement et leurs plaintes se transforment en une attitude de défi ; ils se livrent à un comportement rebelle, tel que celui de faire leurs devoirs superficiellement ou de perturber et de saboter intentionnellement le travail de l’Église, entre autres comportements négatifs, afin d’exprimer leur insubordination et leur mécontentement et parvenir ainsi à leur objectif de défier Dieu. Certains individus bouleversent et perturbent l’accomplissement des devoirs chez les autres. La signification sous-jacente à cette action est la suivante : « Si je ne peux pas faire mon devoir, ou si Dieu ne me bénit pas dans mon devoir, je m’assurerai qu’aucun de vous ne puisse le faire ! » Et ils commencent alors à causer des perturbations. Certaines personnes font cela à travers des paroles, tandis que d’autres le font par quelques actions. Que peuvent faire les personnes qui dérangent les autres par leurs actions ? Elles peuvent par exemple supprimer intentionnellement des fichiers sur l’ordinateur d’une autre personne pour affecter les résultats de son devoir, ou bien elles peuvent perturber délibérément les réunions en ligne. C’est de cette façon que les démons et les Satans perturbent les autres. Les gens ne comprennent pas : « Comment un individu d’un tel âge peut-il faire des choses aussi ignobles ? Après tout, ce n’est pas un adolescent ; comment peut-il encore faire de telles farces ? » En réalité, des gens qui ont la trentaine, la quarantaine, la cinquantaine ou la soixantaine peuvent aussi faire ces choses-là. Ces divers comportements sont inconcevables, ce ne sont pas les actions d’une personne qui a une conscience et une raison, mais celles de démons et de Satans. En voyant que les autres ne sont pas affectés et que ses buts ne sont pas atteints, une telle personne évacuerait ensuite sa négativité et causerait des perturbations à des moments où beaucoup de gens sont présents ou pendant des réunions. Lorsque ces individus se mettent à déverser leur mécontentement à travers leurs actions, il devient déjà difficile de contrôler la situation ; il est très difficile de les maîtriser et, si la situation continue à se développer, elle ne peut qu’empirer, en devenant de plus en plus grave par nature. Non seulement ils provoquent des perturbations par leurs actions, mais ils utilisent également divers moyens et méthodes, en employant un langage agressif et empreint de jugement pour perturber les autres pendant qu’ils font leur devoir. Qu’ils atteignent leurs buts ou non, ils résistent alors à Dieu dans leur cœur ; ils ne lisent pas les paroles de Dieu et n’apprennent pas les hymnes, et ils refusent de lire le moindre livre ayant trait aux paroles de Dieu ou à la vérité. Que font-ils chez eux ? Ils lisent des romans, regardent des séries télévisées, apprennent des techniques de cuisine, étudient le maquillage et la coiffure… Pendant les réunions, ils n’échangent pas sur leur compréhension des paroles de Dieu et ils n’échangent pas non plus sur la manière de résoudre les tempéraments corrompus, ni sur les révélations de corruption. Lorsque les autres échangent, ils détournent délibérément la conversation, coupent la parole à quiconque est en train de parler, changent de sujet intentionnellement, etc., en disant toujours des choses qui sapent le moral et perturbent. Pourquoi agissent-ils ainsi ? La raison tient à la croyance qu’ils ont de n’avoir aucun espoir de salut, ce qui les pousse à abandonner et à agir imprudemment ; ils cherchent à trouver quelques compagnons avant d’être exclus ou expulsés de l’Église ; s’ils ne peuvent pas être bénis, ils feront en sorte que les autres ne puissent pas l’être non plus. Pourquoi raisonnent-ils ainsi ? Ils croient que le Dieu en qui ils ont foi n’est pas comme le dieu qu’ils avaient imaginé au départ ; Il n’aime pas les gens autant qu’ils se l’imaginaient et n’est pas non plus aussi juste, et Il n’est assurément pas aussi sincèrement affectueux envers les gens qu’ils ne l’imaginaient. Dieu aime les autres, mais pas eux ; Dieu sauve les autres, mais pas eux. Maintenant qu’ils ne voient plus d’espoir pour eux-mêmes et qu’ils ont l’impression de ne pas pouvoir être sauvés, ils baissent les bras et se mettent à agir imprudemment. Mais ce n’est pas tout, ils veulent aussi que les autres voient que, puisqu’il n’y a pas d’espoir pour eux, il n’y en a pas non plus pour les autres, et ils ne sont satisfaits que lorsqu’ils ont fait en sorte que tout le monde abandonne sa foi en Dieu et se retire de sa croyance. Leur but en faisant cela est le suivant : « Si je ne peux pas recevoir les bénédictions du royaume des cieux, vous aussi, vous feriez mieux de ne pas rêver d’en gagner ! » Quelle sorte de misérable peut bien être une telle personne ? N’est-elle pas un démon ? Elle est un démon qui se dirige vers l’enfer et qui interdit également aux autres de croire en Dieu et d’entrer dans le royaume des cieux ; elle marche tout droit vers une impasse ! Quiconque a un peu de conscience et un tant soit peu un cœur qui craint Dieu ne devrait pas agir ainsi ; s’il commet réellement un grand mal et qu’il est révélé, ce qui lui donne l’impression de ne plus avoir d’espoir, il cherchera encore à aider les autres à réussir, permettant aux autres de croire sincèrement en Dieu et de ne pas suivre son exemple. Il pourrait dire : « Je suis trop faible, mes désirs charnels sont forts et je suis trop épris du monde. C’est ma faute ; je le mérite ! Continuez pour votre part à être des croyants sincères ; ne vous laissez pas influencer par moi. Pendant les réunions, je ferai le guet et si la police du grand dragon rouge entre dans le village, je vous alerterai. » Toute personne dotée d’une once d’humanité devrait au minimum faire cela, afin de ne pas perturber la poursuite de la vérité chez les autres. Mais lorsque les choses ne se passent pas comme ils le veulent ou lorsqu’ils voient les frères et sœurs les mépriser et se distancier d’eux, ceux qui n’ont pas d’humanité ont le sentiment que Dieu les a révélés et éliminés, qu’ils n’ont pas d’espoir de salut. Lorsqu’ils nourrissent de telles idées et pensées, ils baissent les bras et se mettent à agir imprudemment, à évacuer de la négativité et à perturber sans scrupules la vie d’Église. Quel genre de personnes fait cela ? Ne s’agit-il pas de démons ? (Oui.) Doit-on faire preuve de courtoisie à l’égard de personnes qui sont des démons ? (Non.) De quelle manière faut-il donc gérer cela ? Tu leur dis : « Tu viens aux réunions et pourtant tu ne lis pas les paroles de Dieu et tu n’acceptes pas la vérité. Alors pourquoi donc es-tu là ? N’est-ce pas pour causer des perturbations ? Tu penses que tu n’as pas d’espoir de salut ; en vérité, nous n’avons pas non plus l’impression d’avoir beaucoup d’espoir, mais nous faisons tout notre possible. Nous croyons que Dieu est impartial, qu’Il est digne de confiance, que Son cœur est sincère quand il s’agit de sauver les gens et que Son cœur ne change pas. Du moment qu’il y a un semblant d’espoir, nous n’abandonnerons pas. Nous n’allons pas constamment être négatifs et comprendre Dieu de travers, pas comme toi. Tu rêves si tu penses que tu peux nous perturber ou nous freiner ! Si tu persistes obstinément, que tu continues à croire de cette façon et que tu continues à vouloir nous perturber de façon malintentionnée, alors ne nous reproche pas d’être impolis avec toi. À partir d’aujourd’hui, tu es exclu ; il n’y a plus de place pour toi dans l’Église. Maintenant, dégage ! » Le problème n’est-il pas ainsi réglé ? C’est simple, il suffit de quelques paroles et ils sont exclus. C’est une chose si facile à faire ! Pourquoi s’y prendre de cette façon ? Parce que la nature-essence de telles personnes ne peut pas changer ; elles n’accepteront pas la vérité. Elles pensent n’avoir aucun espoir de salut ; Dieu n’a pas dit cela, les frères et sœurs non plus, et pourtant elles commettent le mal et provoquent des perturbations de cette manière. Que feront-elles si elles sont un jour réellement expulsées pour avoir commis le mal et perturbé le travail de l’Église, ou si Dieu les discipline parce qu’elles ne poursuivent pas la vérité ? Pourraient-elles devenir des ennemis de Dieu, pourraient-elles chercher à se venger ? C’est très probable ! C’est une bonne chose que de telles personnes soient révélées avant qu’elles ne puissent accomplir des méfaits ou commettre un grand mal. C’est Dieu qui fait cela : Dieu les a révélées. Alors, les exclure est simplement correct ; les autres personnes n’ont pas encore subi de perte. Gérer la situation de cette manière est opportun et approprié ; tout le monde gagne en discernement, et les personnes malfaisantes sont gérées. Leur rôle en tant que faire-valoir a été convenablement rempli.

En gros, voilà les divers états et manifestations des gens qui évacuent de la négativité. Quand leur désir de poursuivre le statut, la réputation et le gain n’est pas assouvi, quand Dieu fait des choses qui vont à l’encontre de leurs notions et de leur imagination, des choses qui concernent leurs intérêts, ils deviennent pris au piège de sentiments d’insubordination et de mécontentement. Et quand ils ont ces sentiments, leur esprit se met à trouver des excuses, des prétextes, des justifications, des défenses et autres pensées de doléance. À ce moment-là, ils ne louent pas Dieu ni ne se soumettent à Lui, et encore moins cherchent-ils la vérité à se connaître eux-mêmes ; ils se battent contre Dieu en utilisant leurs notions, leur imagination, leurs pensées et leurs points de vue, ou bien leur impétuosité. Et comment se battent-ils contre Dieu ? Ils répandent leurs sentiments d’insubordination et de mécontentement, et ils s’en servent pour faire comprendre clairement à Dieu leurs pensées et leurs points de vue, en essayant de faire agir Dieu selon leur volonté et leurs exigences, afin de satisfaire leurs souhaits. Alors seulement leurs sentiments sont apaisés. En particulier, Dieu exprime de nombreuses vérités pour juger et châtier les gens, pour purifier leurs tempéraments corrompus, pour les sauver de l’influence de Satan, et qui sait combien de gens ont vu leurs rêves d’être bénis être réduits à néant par ces vérités, faisant voler en éclats leur fantasme d’être enlevés au royaume des cieux, ce qu’ils ont espéré nuit et jour. Ces gens veulent faire tout leur possible pour changer la donne, mais ils sont impuissants, ils ne peuvent que plonger dans le désastre avec la négativité et le ressentiment. Ils éprouvent de l’insubordination à l’égard de tout ce que Dieu a arrangé, parce que ce que Dieu fait entre en conflit avec leurs notions, leurs intérêts et leur réflexion. En particulier, quand l’Église fait un travail de purge et élimine de nombreuses personnes, ces gens pensent que Dieu ne les sauve pas, qu’Il les déteste et les a abandonnés, qu’ils sont traités injustement, et ils vont donc s’unir pour défier Dieu, ils vont renier le fait que Dieu est la vérité, renier l’identité et l’essence de Dieu et renier le tempérament juste de Dieu. Bien entendu, ils renieront aussi la souveraineté de Dieu sur toutes choses. Et par quels moyens renient-ils tout cela ? À travers l’insubordination et la résistance. C’est une manière pour eux de dire : « Ce que Dieu fait est en désaccord avec mes notions, et donc, je ne m’y soumets pas, je ne crois pas que tu sois la vérité. Je vais vociférer contre toi, et je vais répandre des choses dans l’Église et parmi les gens ! Je dirai tout ce que j’ai envie de dire, et je me moque des conséquences. J’ai la liberté de parole, tu ne peux pas me faire taire, je dirai ce que je veux. Que peux-tu faire ? » Quand ces gens insistent pour exprimer leurs pensées et leurs points de vue erronés, parlent-ils de leur propre compréhension ? Échangent-ils sur la vérité ? Absolument pas. Ils répandent la négativité ; ils font entendre des hérésies et des faussetés. Ils n’essaient pas de connaître leur propre corruption ni de l’exposer ; ils n’exposent pas les choses qu’ils ont faites qui sont en désaccord avec la vérité, et ils n’exposent pas non plus les erreurs qu’ils ont commises. À la place, ils font tout leur possible pour rationaliser et justifier leurs erreurs, afin de prouver qu’ils ont raison, et en même temps, ils tirent aussi une conclusion absurde, et ils font entendre des points de vue négatifs et déformés, ainsi que des arguments tordus et des hérésies. L’effet sur les élus de Dieu dans l’Église est de les fourvoyer et de les perturber, cela peut même plonger certaines personnes dans un état de négativité et de confusion. Ce sont là tous les effets défavorables et les perturbations que produisent les gens qui évacuent de la négativité. Par conséquent, ceux qui évacuent de la négativité devraient être restreints, tout comme leur discours et leur comportement ; il ne faut pas les tolérer ni leur permettre de continuer. L’Église doit avoir des méthodes et des principes appropriés pour gérer ces individus. D’une part, les frères et sœurs doivent discerner ces individus et leurs remarques négatives. D’autre part, lorsque le peuple élu de Dieu a du discernement, l’Église doit rapidement exclure ou expulser ces individus conformément aux vérités-principes, afin d’éviter que davantage de gens ne soient influencés et perturbés. Voilà qui conclut notre échange à propos des diverses facettes du fait d’évacuer de la négativité.

C. Les principes et les chemins pour résoudre la négativité

Les gens possèdent une nature satanique ; il est difficile d’éviter les états négatifs lorsque l’on vit selon un tempérament satanique. En particulier lorsque l’on ne comprend pas la vérité, la négativité devient un phénomène courant. Tout le monde a des moments de négativité ; certains plus souvent, d’autres moins, certains pendant des périodes plus longues, d’autres plus courtes. La stature des gens diffère, de même que leurs états de négativité. Ceux qui ont une plus grande stature ne deviennent quelque peu négatifs que lorsqu’ils sont confrontés à des épreuves, tandis que ceux qui ont une moins grande stature, ne comprenant toujours pas la vérité, sont incapables de discerner lorsque d’autres personnes répandent des notions ou disent des absurdités ; ils peuvent être perturbés, influencés et devenir négatifs. Tout problème qui survient peut les entraîner dans la négativité, même des choses insignifiantes qui n’en valent pas la peine. Comment résoudre ce problème de négativité récurrente ? Si une personne ne sait pas comment chercher la vérité, comment manger et boire les paroles de Dieu, ou comment prier Dieu, alors cela devient très problématique ; elle ne peut compter que sur le soutien et l’aide des frères et des sœurs. Si personne n’est en mesure de l’aider, ou si elle n’accepte pas d’être aidée, elle risque de rester si négative qu’elle ne pourra pas s’en remettre et pourra même cesser de croire. Il est très dangereux, voyez-vous, pour quelqu’un d’être sans cesse habité par des notions et de devenir facilement négatif. Quelle que soit la façon dont on échange sur la vérité avec ce genre de personnes, elles ne l’acceptent pas et s’obstinent toujours à défendre la justesse de leurs notions et de leur imagination ; ce sont des personnes extrêmement pénibles. Aussi négatif que tu puisses être, tu dois comprendre dans ton cœur que le fait d’avoir des notions ne signifie pas qu’elles soient conformes à la vérité ; cela signifie qu’il y a un problème dans ta compréhension. Si tu es doté de quelque raison, tu ne dois pas répandre ces notions ; c’est le moins que quiconque puisse faire. Si tu as un cœur qui craint Dieu ne serait-ce qu’un peu et que tu peux admettre que tu es quelqu’un qui suit Dieu, alors tu dois chercher la vérité pour résoudre tes notions, te soumettre à la vérité et éviter de causer des interruptions et des perturbations. Si tu es incapable de faire cela et que tu persistes à répandre des notions, alors tu as perdu la raison ; tu es mentalement anormal, possédé par des démons, et tu n’es pas maître de toi-même. Dominé par des démons, tu énonces et répands ces notions quoi qu’il arrive – on ne peut rien y faire, c’est là l’œuvre d’esprits malfaisants. Si tu as un peu de conscience et de raison, tu devrais pouvoir faire ceci : ne pas répandre de notions et ne pas perturber les frères et sœurs. Même si tu deviens négatif, tu ne dois rien faire qui nuise aux frères et sœurs ; tu dois simplement bien faire ton devoir, faire convenablement ce que tu dois faire et t’assurer que tu n’as rien à te reprocher ; tel est le critère fondamental pour être une personne. Même si tu es parfois négatif, tant que tu n’as rien fait qui outrepasse les limites, Dieu ne tiendra pas compte de ta négativité. Tant que tu possèdes conscience et raison, que tu es capable de prier Dieu et de t’en remettre à Lui, et que tu cherches la vérité, tu finiras par comprendre la vérité et te ressaisir. Si tu es confronté à des événements importants, comme être démis de tes fonctions et éliminé pour ne pas avoir fait de travail concret en tant que dirigeant, que tu as le sentiment qu’il n’y a pas d’espoir de salut et que tu deviens négatif – excessivement négatif au point de ne pas pouvoir t’en remettre, avec le sentiment d’avoir été condamné et maudit, et que tu développes des incompréhensions et des plaintes contre Dieu ; que dois-tu faire ? C’est très facile de faire face : trouve des personnes qui comprennent la vérité avec lesquelles échanger et chercher, puis discute à cœur ouvert avec ces personnes ; plus important encore, présente-toi devant Dieu pour prier en toute sincérité à propos de ta négativité et de ta faiblesse, ainsi que sur certaines des choses que tu ne comprends pas et que tu ne parviens pas à surmonter, une par une ; échange avec Dieu, ne cache rien. S’il y a des choses indicibles que tu ne peux pas exprimer aux autres, alors il est encore plus impératif que tu te présentes devant Dieu pour prier. Certains demandent : « En parler à Dieu ne conduit-il pas à la condamnation ? » N’as-tu pas déjà commis beaucoup d’actes d’opposition à Dieu qui méritent Sa condamnation ? Cette seule chose te préoccupe-t-elle encore ? Penses-tu que si tu n’en parles pas, Dieu ne le saura pas ? Dieu sait tout ce que tu penses. Tu dois échanger ouvertement avec Dieu, Lui dévoiler ton cœur, Lui exposer tes problèmes et tes états en toute sincérité. Tes faiblesses, ta rébellion, et même tes plaintes peuvent toutes être exprimées à Dieu ; même si tu veux juste te défouler, ça ira – Dieu ne condamnera pas cela. Pourquoi Dieu ne condamne-t-Il pas cela ? Dieu connaît la stature de l’homme ; même si tu ne Lui parles pas, Il connaît tout de même ta stature. En parlant avec Dieu, d’une part, c’est l’occasion pour toi de te mettre à nu et de t’ouvrir à Lui. D’autre part, cela montre aussi ton attitude de soumission à Dieu ; à tout le moins, tu laisses voir à Dieu que ton cœur n’est pas fermé à Lui, que tu es simplement faible, que tu n’as pas la stature suffisante pour surmonter cette affaire, voilà tout. Tu n’as pas l’intention de Le défier, ton attitude est de te soumettre, c’est juste que ta stature est trop petite et que tu es incapable de supporter cette affaire. Lorsque tu dévoiles pleinement ton cœur à Dieu et que tu es capable de partager avec Lui tes pensées les plus profondes, bien que ce que tu dis puisse contenir de la faiblesse et des plaintes et, en particulier, beaucoup de choses négatives et défavorables – il y a en cela une chose qui est correcte : tu reconnais que tu possèdes un tempérament corrompu, tu reconnais que tu es un être créé, tu ne nies pas l’identité de Dieu en tant que Créateur, ni que la relation entre toi et Dieu est celle d’un être créé avec le Créateur. Tu confies à Dieu les choses que tu as le plus de mal à surmonter, celles qui t’affaiblissent le plus, et tu Lui dis tous tes sentiments les plus intimes – cela montre ton attitude. Certaines personnes disent : « J’ai prié Dieu une fois, et cela n’a pas résolu ma négativité. Je n’arrive toujours pas à la surmonter. » Peu importe, il te suffit de chercher sincèrement la vérité. Indépendamment de ton niveau de compréhension, Dieu te renforcera progressivement, et tu ne seras plus aussi faible qu’au début. Peu importe ton degré de faiblesse et de négativité, ou le nombre de plaintes et d’émotions négatives que tu as, parle à Dieu, ne Le traite pas comme un étranger ; quelles que soient les personnes à qui tu caches des choses, ne cache rien à Dieu, car Il est ton seul recours et aussi ton seul salut. Ce n’est qu’en se présentant devant Dieu que ces problèmes peuvent être résolus ; il ne sert à rien de compter sur les gens. Ainsi, lorsqu’ils sont confrontés à la négativité et à la faiblesse, ceux qui se présentent devant Dieu et s’en remettent à Lui sont les plus intelligents. Seules les personnes stupides et bornées, lorsqu’elles sont confrontées à des événements importants et cruciaux et qu’elles ont besoin d’épancher leur cœur auprès de Dieu, s’éloignent de Dieu et L’évitent encore davantage, en complotant dans leur esprit. Et quel est le résultat de tous ces complots ? Leur négativité et leurs plaintes se transforment en une attitude de défi, et cette attitude de défi se transforme en résistance et en vocifération contre Dieu ; ces personnes deviennent totalement irréconciliables avec Dieu et leur relation avec Lui est complètement rompue. Cependant, lorsque tu fais face à une telle négativité et à une telle faiblesse, si tu parviens à faire le choix de te présenter quand même devant Dieu pour chercher la vérité et à faire le choix de te soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, et si tu adoptes une attitude véritablement soumise, alors, voyant que tu souhaites encore sincèrement te soumettre à Lui alors même que tu es négatif et faible, Dieu saura comment te guider, il te mènera hors de ta négativité et de ta faiblesse. Après avoir vécu ces expériences, tu développeras une véritable foi en Dieu. Tu auras le sentiment que, quelles que soient les difficultés que tu rencontres, tant que tu cherches Dieu et que tu L’attends, Il arrangera une solution pour toi sans que tu le saches, pour te permettre de voir que, sans même que tu t’en sois rendu compte, les situations ont changé, pour te rendre non plus faible, mais fort, et pour renforcer ta foi en Dieu. Lorsque tu repenseras à ces événements, tu sentiras à quel point ta faiblesse était puérile à ce moment-là. En fait, les gens sont tout aussi puérils que cela et, sans le soutien de Dieu, ils ne parviendraient jamais à sortir de leur puérilité et de leur ignorance pour devenir matures. Ce n’est qu’en acceptant progressivement la souveraineté de Dieu et en s’y soumettant dans le processus d’expérimentation de ces choses, en faisant face positivement et activement à ces réalités, en cherchant des principes, en cherchant les intentions de Dieu, en cessant d’éviter Dieu, de s’éloigner de Lui, ou de se rebeller contre Lui, en devenant au contraire de plus en plus soumis, de moins en moins rebelle, de plus en plus proche de Dieu, et de plus en plus capable de se soumettre à Lui – ce n’est qu’en vivant une telle expérience que la vie d’une personne progresse et mûrit peu à peu et que cette dernière atteint pleinement la stature d’un adulte.

Comment traiter et résoudre les états négatifs ? Il ne faut pas craindre la négativité ; l’essentiel est d’être doté de raison. N’est-il pas facile d’agir sottement lorsque l’on est constamment négatif ? Lorsqu’une personne est négative, elle ne fait que se plaindre ou s’abandonner elle-même, elle parle et agit de façon irrationnelle – cela n’affecte-t-il pas l’accomplissement de son devoir ? Si l’on peut succomber au désespoir et tirer au flanc en étant négatif, n’est-ce pas là trahir Dieu ? La négativité extrême s’apparente à une maladie mentale, c’est un peu comme être possédé par des démons ; c’est être dépourvu de raison. Ne pas chercher la vérité pour trouver des solutions est en effet dangereux. Lorsque les gens sont négatifs, s’ils sont parfaitement dénués d’un cœur qui craint Dieu, ils perdent facilement la raison ; ils s’en vont répandre leur négativité, leur insatisfaction et leurs notions. Cela revient à s’opposer intentionnellement à Dieu et peut bien trop facilement venir interrompre et perturber le travail de l’Église, une conséquence trop épouvantable à envisager, et ils risquent fort d’être détestés et abandonnés par Dieu. Cependant, si, dans sa négativité, une personne est capable de chercher la vérité, qu’elle garde un cœur qui craint Dieu, qu’elle ne parle pas négativement, ni ne répand sa propre négativité et ses notions, et qu’elle garde la foi en Dieu et une attitude soumise envers Lui, cette personne-là peut facilement sortir de la négativité. Tout le monde a des moments de négativité ; ils varient simplement dans leur intensité, dans leur durée et dans leurs raisons. Certaines personnes ne sont généralement pas négatives, mais le deviennent lorsqu’elles sont confrontées à un échec ou à une défaillance dans quelque chose ; d’autres peuvent devenir négatives face à des choses insignifiantes, même devant une simple parole qui vient blesser leur orgueil. D’autres encore deviennent négatives face à des circonstances légèrement défavorables. Ces personnes comprennent-elles comment vivre la vie ? Sont-elles perspicaces ? Possèdent-elles l’ouverture d’esprit et la magnanimité d’une personne normale ? Non. Quelles que soient les circonstances, tant qu’une personne vivra dans ses tempéraments corrompus, elle tombera régulièrement dans des états négatifs. Bien sûr, lorsqu’une personne comprend la vérité et peut voir clair dans les choses, ses états négatifs se font de plus en plus rares et sa négativité disparaît progressivement à mesure que sa stature grandit, pour finalement disparaître complètement. Ceux qui n’aiment pas la vérité, qui n’acceptent pas du tout la vérité, ont un nombre croissant d’émotions négatives, d’états négatifs, de pensées et d’attitudes négatives, qui deviennent de plus en plus graves au fur et à mesure qu’ils s’accumulent et, une fois que ces choses les ont submergés, ils ne peuvent pas s’en remettre, ce qui est très dangereux. C’est pourquoi il est essentiel de résoudre rapidement le problème de la négativité. Pour résoudre la négativité, il faut chercher la vérité de manière proactive ; lire et méditer les paroles de Dieu tout en maintenant un état de quiétude en Sa présence permet de gagner l’éclairage et l’illumination, de comprendre la vérité et de percer à jour l’essence de la négativité, et de résoudre ainsi le problème de la négativité. Si tu t’accroches encore à tes propres notions et tes propres raisons, tu es extrêmement stupide et tu mourras de ta stupidité et de ton ignorance. Quoi qu’il en soit, la résolution de la négativité doit être proactive et non passive. Certaines personnes pensent que lorsque la négativité survient, il leur suffit de l’ignorer ; que lorsqu’elles se sentiront à nouveau heureuses, leur négativité se sera naturellement transformée en joie. C’est là une illusion : si l’on ne cherche pas ou que l’on n’accepte pas la vérité, la négativité ne disparaît pas automatiquement d’elle-même. Même si tu l’oublies et ne ressens rien dans ton cœur, cela ne signifie pas que la cause première de ta négativité a été résolue. Dès que les circonstances nécessaires se présenteront, la négativité réapparaîtra ; c’est quelque chose de fréquent. Toute personne dotée d’intelligence et de raison doit immédiatement chercher la vérité lorsque la négativité apparaît et employer la méthode de l’acceptation de la vérité pour la résoudre, afin de solutionner le problème de la négativité à la racine. Tous ceux qui sont régulièrement négatifs le sont parce qu’ils ne peuvent pas accepter la vérité. Si tu n’acceptes pas la vérité, la négativité s’accroche à toi comme un démon et te rend perpétuellement négatif, t’amène à développer des sentiments d’insubordination, d’insatisfaction et de griefs envers Dieu, jusqu’à ce que tu te retrouves à Lui résister, à te battre et à vociférer contre Lui ; à ce moment-là, c’en sera fini de toi et ton visage abject sera exposé. Les gens commencent à t’exposer, à te disséquer et à te caractériser, et ce n’est qu’alors que, face à la triste réalité, tes larmes se mettent à couler ; c’est à ce moment-là que tu t’effondres et que tu commences à battre ta coulpe de désespoir ; attends un peu d’accepter la punition de Dieu ! La négativité ne fait pas qu’affaiblir les gens, elle les pousse aussi à se plaindre de Dieu, à Le juger, à Le renier et même à se battre et à vociférer directement contre Lui. Par conséquent, si la résolution de la négativité de quelqu’un est retardée, une fois qu’il révèle des paroles blasphématoires et offense le tempérament de Dieu, les conséquences sont très graves. Si tu tombes dans la négativité et que tu nourris des plaintes à la suite d’un simple événement, d’une simple phrase, d’une simple pensée ou d’un simple point de vue, cela montre que ta compréhension de la question est déformée et que tu as des notions et de l’imagination à son sujet ; ton point de vue sur cette question n’est certainement pas conforme à la vérité. À ce stade, tu dois chercher la vérité et l’affronter correctement, en t’efforçant de corriger rapidement ces notions et idées erronées, dès que possible, sans te laisser enchaîner et égarer par ces notions dans un état d’insubordination, d’insatisfaction et de grief envers Dieu. Il est crucial de résoudre rapidement la négativité, et il est également très important de la résoudre complètement. Bien entendu, la meilleure façon de résoudre la négativité est de chercher la vérité, de lire davantage les paroles de Dieu et de se présenter devant Dieu pour chercher Son éclairage. Parfois, il se peut que tu sois temporairement incapable de revenir sur tes pensées et tes points de vue, mais il te faut au moins savoir que tu as tort et que tes pensées sont déformées. Ainsi, tu garantiras au moins que ces pensées et points de vue erronés n’affecteront pas ta loyauté dans l’accomplissement de ton devoir, qu’ils n’affecteront pas ta relation avec Dieu, et qu’ils n’affecteront pas ta venue devant Dieu pour ouvrir ton cœur et prier ; à tout le moins, c’est le résultat qui doit être atteint. Lorsque tu es submergé par la négativité et que tu te sens rebelle et mécontent, que tu nourris des plaintes envers Dieu, mais que tu ne veux pas chercher la vérité pour la résoudre, en pensant que ta relation avec Dieu est normale alors qu’en réalité ton cœur est loin de Dieu et que tu ne veux plus lire Ses paroles ou prier, le problème n’est-il pas devenu grave ? Tu dis : « Aussi négatif que je sois, l’accomplissement de mon devoir n’est pas entravé et je n’ai pas abandonné mes responsabilités. Je suis loyal ! » Ces paroles sont-elles valables ? Si tu es souvent négatif, ce n’est pas une question de tempérament corrompu ; il y a là des problèmes plus graves : tu as des notions sur Dieu, tu Le comprends mal et tu as placé des barrières entre toi et Lui. Si tu ne cherches pas la vérité pour résoudre ce problème, c’est très dangereux. Comment peut-on s’assurer que l’on fait son devoir loyalement jusqu’au bout et sans négligence si l’on est régulièrement négatif ? La négativité peut-elle simplement s’en aller ou disparaître d’elle-même si elle n’est pas résolue ? Si l’on ne cherche pas la vérité pour trouver une solution dans les meilleurs délais, la négativité continue à se développer et ne fait qu’empirer. Les conséquences qu’elle entraîne ne feront que devenir plus préjudiciables. Elles ne se développeront en aucun cas dans une direction positive, elles ne feront que croître dans une direction défavorable. Par conséquent, lorsque la négativité apparaît, tu dois t’empresser de chercher la vérité pour la résoudre ; c’est la seule façon de t’assurer que tu es en mesure de faire tes devoirs correctement. La résolution de la négativité est cruciale, et elle ne saurait attendre !

Le 26 juin 2021

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