Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (26)

Point 14 : Discerner, puis exclure ou expulser rapidement toutes sortes de personnes malfaisantes et d’antéchrists (Partie V)

L’attitude que les dirigeants et les ouvriers devraient avoir vis-à-vis du travail qui consiste à purger l’Église

Cette année, nous avons continuellement échangé sur les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, et sur les manifestations de toutes sortes de gens concernés par cette question. Les thèmes de ces échanges sont devenus de plus en plus détaillés et spécifiques, impliquant les divers problèmes de toutes sortes de gens, et les échanges concernant les manifestations spécifiques de ces gens et les catégories dans lesquelles on devrait les répartir ont également été très spécifiques et clairs. Plus on échange de façon spécifique et claire autour de ces problèmes détaillés, plus cela doit apporter une aide et une direction positives pour ce qui est de l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie, et plus cela doit offrir une direction et une assistance aux dirigeants et aux ouvriers afin qu’ils puissent travailler et faire leurs devoirs. Cependant, quelle que soit la façon dont les échanges ont lieu, et peu importe leur degré de spécificité, certains dirigeants et ouvriers ne savent toujours pas clairement comment prendre en charge et gérer les divers types de gens et de problèmes dans l’Église. Les problèmes de toutes sortes de gens font l’objet d’échanges si clairs, certains dirigeants et ouvriers ne peuvent pourtant toujours pas percevoir comment discerner et traiter les différentes sortes de gens. Ils ne sont toujours pas capables d’agir conformément aux vérités-principes, ni d’utiliser la vérité pour gérer les divers types de gens et de problèmes dans l’Église. Pour quelle raison ? Parce que les individus de ce genre n’ont pas la vérité-réalité. Grâce aux échanges sur les manifestations de toutes sortes de gens, on devrait avoir un discernement élémentaire de ceux qui, dans l’Église, font leurs devoirs et de ceux qui ne le font pas, de ceux qui poursuivent la vérité et de ceux qui ne le font pas, de ceux qui sont obéissants et soumis, de ceux qui provoquent interruptions et perturbations, et on devrait mettre en place des arrangements raisonnables pour ces gens. Cependant, quand on examine la situation de toutes sortes de gens dans l’Église, on voit que seuls les individus manifestement malfaisants ont été exclus. Nombre d’incrédules n’ont pas été totalement exclus. Dans le cadre du travail qui consiste à purger l’Église, les dirigeants et ouvriers devraient coopérer avec l’œuvre de Dieu pour renvoyer les personnes malfaisantes et les incrédules le plus vite possible, au lieu d’aborder la situation de manière passive, en agissant comme des personnes complaisantes ou en pensant que le simple fait de renvoyer les personnes manifestement malfaisantes signifie que tout est réglé et que tout va bien. Les dirigeants et ouvriers devraient activement inspecter le travail de chaque équipe, vérifier la situation des membres de chaque équipe, vérifier s’il y a des incrédules qui sont simplement là pour grossir les rangs ou des incrédules qui répandent négativité et notions pour perturber le travail de l’Église, et une fois que ces gens ont été découverts, ils devraient être complètement exposés et exclus. Voilà le travail que les dirigeants et les ouvriers devraient faire. Ils ne devraient pas être passifs, ils ne devraient pas attendre les ordres et les incitations du Supérieur pour agir, pas plus qu’ils ne devraient se contenter de prendre des petites mesures quand tous les frères et sœurs le demandent. Dans leur travail, les dirigeants et les ouvriers doivent faire preuve de considération envers les intentions de Dieu et Lui être fidèles. La meilleure façon pour eux de se comporter est de reconnaître et de résoudre les problèmes de manière proactive. Ils ne doivent pas rester passifs, surtout quand ils ont ces paroles et ces échanges sur lesquels fonder leurs agissements. Ils doivent prendre l’initiative de résoudre entièrement les problèmes concrets et les difficultés en échangeant sur la vérité, et faire leur travail exactement comme il se doit. Ils doivent suivre les progrès du travail rapidement et de manière proactive ; ils ne peuvent pas toujours attendre les ordres et les incitations du Supérieur avant de se résoudre à agir. Si les dirigeants et les ouvriers se montrent toujours négatifs et passifs et qu’ils ne font pas un réel travail, ils sont indignes de servir comme dirigeants et ouvriers, et doivent être renvoyés et réaffectés. Il y a maintenant beaucoup de dirigeants et d’ouvriers qui sont très passifs dans leur travail. Ils se contentent toujours de faire un peu de travail lorsque le Supérieur transmet des ordres et les incite ; sinon, ils se relâchent et temporisent. Dans certaines Églises, le travail est assez chaotique, certaines des personnes qui y font des devoirs sont incroyablement dilettantes et négligentes et n’obtiennent aucun résultat réel. Ces problèmes sont déjà très graves, et terribles par nature, mais les dirigeants et les ouvriers de ces Églises agissent néanmoins comme des fonctionnaires et suzerains. Non seulement ils sont incapables de faire le moindre travail réel, mais ils ne peuvent pas reconnaître ni résoudre les problèmes. Cela paralyse le travail de l’Église et le fait stagner. Partout où le travail d’une Église est dans une pagaille épouvantable et qu’il n’y a aucun signe d’ordre, il y a, à coup sûr, un faux dirigeant ou un antéchrist qui détiennent le pouvoir. Dans chaque Église où un faux dirigeant détient le pouvoir, le travail de l’Église est en ruine et dans un désordre complet : cela ne fait aucun doute. Par exemple, J’ai découvert de nombreux problèmes dans les Églises américaines de Mes propres oreilles et de Mes propres yeux. La plupart des problèmes que J’ai vus ont été résolus sur place ; pour d’autres, J’ai demandé aux dirigeants des Églises américaines de les résoudre. Cependant, l’essentiel du travail des dirigeants et des ouvriers est effectué de manière très passive, avec un suivi trop lent et une efficacité qui laisse trop à désirer, la plupart de leurs tâches quotidiennes n’étant accomplies qu’une fois que le Supérieur leur a donné Ses ordres et les a incités à agir. Une fois que le Supérieur a arrangé le travail, ils sont occupés pendant un certain temps, mais une fois ce travail terminé, ils ne savent plus quoi faire, car ils ne comprennent pas quels sont les devoirs qu’ils doivent faire. Ils ne savent jamais clairement quel travail relevant de la responsabilité des dirigeants et des ouvriers ils devraient accomplir ; à leurs yeux, il n’y a pas de travail à faire. Que se passe-t-il lorsque les gens pensent qu’il n’y a pas le moindre travail à faire ? (Ils ne portent pas de fardeau.) Pour dire les choses avec précision, ils ne portent pas de fardeau. Ils sont aussi très paresseux et convoitent le confort, font autant de pauses que possible, chaque fois qu’ils le peuvent, et essaient d’éviter toute tâche supplémentaire. Souvent, ces gens paresseux se disent : « Pourquoi devrais-je m’inquiéter autant ? Trop m’inquiéter ne fera que me faire vieillir plus vite. Qu’est-ce que cela va m’apporter de faire cela, et de courir autant et de m’épuiser autant ? Que se passera-t-il si je m’épuise et tombe malade ? Je n’ai pas d’argent pour me faire soigner. Et qui s’occupera de moi quand je serai vieux ? » Ces paresseux sont tout simplement passifs et arriérés. Ils n’ont pas une once de vérité et ne peuvent rien voir clairement. C’est manifestement une bande d’individus confus, n’est-ce pas ? Ils sont tous confus dans leur tête, ils sont ignorants de la vérité et ne s’y intéressent pas, alors comment peuvent-ils être sauvés ? Pourquoi les gens sont-ils toujours indisciplinés et paresseux, semblables à des morts-vivants ? C’est lié à un problème dans leur nature. Il y a une sorte de paresse dans la nature humaine. Quelle que soit la tâche qu’ils exécutent, les gens ont toujours besoin de quelqu’un pour les superviser et les inciter à agir. Parfois, les gens sont préoccupés par la chair, ils convoitent le confort physique et ont toujours une idée derrière la tête dans leur intérêt : ces gens sont pleins d’intentions diaboliques et de stratagèmes astucieux ; ce ne sont vraiment pas de bonnes personnes. Ils font toujours moins que de leur mieux, quel que soit le devoir important qu’ils font. C’est irresponsable et déloyal. J’ai dit ces choses aujourd’hui pour vous rappeler de ne pas être passifs au travail. Vous devez être capables de suivre tout ce que Je dis. Si J’allais dans diverses Églises et que Je découvrais ou que Je voyais que vous avez fait beaucoup de travail, que vous avez travaillé très efficacement et que le travail avance très rapidement, qu’il a atteint un niveau satisfaisant, et que tout le monde a fait de son mieux, Je serais très content. Si J’allais dans diverses Églises et que Je voyais que le travail avance lentement, dans tous ses aspects, prouvant que vous n’avez pas bien fait vos devoirs et que vous n’avez pas suivi le rythme normal de la diffusion de l’Évangile, de quelle humeur serais-Je alors, selon vous ? Serais-Je content de vous voir ? (Non.) Je ne le serais pas. Ce travail vous a été confié et J’ai dit tout ce qu’il y a à dire. Les principes de pratique spécifiques et le chemin vous ont également été indiqués. Pourtant, vous n’agissez pas, vous ne travaillez pas, vous vous contentez d’attendre que Je vous supervise et que Je vous incite à agir personnellement, que Je vous émonde ou même que Je vous ordonne d’agir. Quel est le problème, ici ? Cette question ne devrait-elle pas être disséquée ? Quand vous ne faites pas le travail qui manifestement devrait être fait, et que vous êtes incapables de l’assumer, puis-Je avoir une bonne attitude à votre égard ? (Non.) Pourquoi ne puis-Je pas avoir une bonne attitude à votre égard ? (Parce que nous sommes trop irresponsables quand nous faisons nos devoirs.) Parce que vous ne faites pas vos devoirs avec tout votre cœur et toutes vos forces, mais qu’au contraire, vous vous contentez de les faire superficiellement. Une personne qui est loyale dans ses devoirs devrait au moins y mettre toutes ses forces, mais vous ne pouvez même pas parvenir à cela. Vous n’êtes pas à la hauteur, loin s’en faut ! Ce n’est pas que votre calibre soit insuffisant, c’est que vous n’avez pas la bonne mentalité et que vous êtes irresponsables. Il y a des choses absurdes dans votre cœur qui vous empêchent de faire vos devoirs. De plus, votre état d’esprit de personnes complaisantes vous empêche d’accomplir le travail qui consiste à purger l’Église. Connaissez-vous l’importance de la purge de l’Église ? Pourquoi Dieu veut-Il purger l’Église ? Quelles sont les conséquences quand l’Église n’est pas purgée ? Vous tous, vous ne comprenez pas clairement ces questions et vous ne cherchez pas la vérité, ce qui prouve que vous ne tenez pas compte des intentions de Dieu. Vous n’êtes prêts à faire qu’un peu du travail ordinaire et habituel attaché à votre position, et vous évitez les tâches particulières, surtout celles qui pourraient offenser les autres. Tous, vous préférez déléguer ces tâches à d’autres. N’est-ce pas de cette façon que vous pensez ? N’est-ce pas un problème qui devrait être traité ? Vous dites toujours : « Mon calibre est médiocre, ma compréhension de la vérité est limitée, et je n’ai pas suffisamment d’expérience de travail. Je n’ai jamais été dirigeant d’Église et je n’ai pas non plus mené un travail de purge de l’Église. » N’est-ce pas là se trouver des excuses ? Le travail qui consiste à purger l’Église a fait l’objet d’échanges si clairs. Renvoyer les antéchrists, les personnes malfaisantes et les incrédules est une affaire tellement simple. Ces quelques principes sont-ils vraiment si difficiles à comprendre ? Si des problèmes aussi simples sont expliqués aussi clairement et que les gens ne les comprennent toujours pas, qu’est-ce que cela indique ? Cela indique que leur calibre est trop médiocre pour qu’ils comprennent le langage humain, ou bien qu’ils sont simplement des vauriens qui ne se concentrent pas sur les véritables tâches. Parmi les dirigeants et les ouvriers, certains ont assurément un calibre médiocre, et il y a certainement des personnes complaisantes qui ne se lancent pas dans un travail réel. Il y a aussi, assurément, des vauriens qui négligent les véritables tâches et commettent imprudemment des méfaits, toutes ces situations existent. Premièrement, ces vauriens qui négligent les véritables tâches doivent être renvoyés. Quiconque peut faire un travail réel devrait être utilisé, les personnes complaisantes qui font office de dirigeants devraient assurément être renvoyées, et les gens au calibre médiocre qui peuvent comprendre le langage humain et faire un travail réel devraient être conservés. Ces problèmes devraient être résolus de cette manière. Si, après que Dieu a échangé, tu peux clairement voir les problèmes dans le travail de l’Église que les dirigeants et les ouvriers devraient résoudre, alors tu devrais les traiter rapidement, sans plus attendre. Tu devrais être capable de prendre l’initiative d’agir, sans avoir besoin d’attendre que le Supérieur attribue personnellement les tâches ou donne des ordres. Peu importe les problèmes qui se présentent, ils devraient être résolus avant d’affecter le travail. Avant même que le Supérieur ne commence à investiguer ces problèmes, tu devrais déjà avoir fait état de ta compréhension de ces problèmes et de tes solutions, des principes pour y faire face et des résultats de leur gestion. Comme ce serait formidable ! Le Supérieur pourrait-il alors quand même être insatisfait de toi ? En tant que dirigeant ou ouvrier, si, constamment, tu ne parviens pas à comprendre quel travail relève de tes responsabilités, ou même si tu ne cesses de procrastiner et de ne pas agir, alors que tu en as une certaine conscience ou une certaine idée, et que tu attends toujours que le Supérieur arrange des tâches pour toi, n’est-ce pas là manquer à tes devoirs ? (Si.) C’est un grave manquement à tes responsabilités ! Tu n’as plus l’attitude et tu n’assumes plus les responsabilités associées au rôle d’un dirigeant ou d’un ouvrier en ce qui concerne la façon dont le devoir devrait être traité. Dans leur travail, les dirigeants et les ouvriers devraient soigneusement répondre aux exigences du Supérieur. Quel que soit l’objet des échanges du Supérieur, c’est ce que tu devrais mettre en œuvre, en passant à l’action et en exécutant ses directives rapidement une fois que tu as compris. Résoudre les problèmes avec la vérité est la responsabilité la plus importante des dirigeants et des ouvriers, et tu ne devrais pas attendre passivement que le Supérieur arrange le travail avant de faire quoi que ce soit. Si tu attends constamment avec passivité, alors tu n’es pas apte à être dirigeant ou ouvrier, tu ne peux pas assumer ce travail, et la seule chose raisonnable à faire serait de reconnaître tes responsabilités et de démissionner.

Les manifestations et la fin de trois types d’individus qui croient en Dieu

I. Les exécutants

Au total, quinze responsabilités incombent aux dirigeants et aux ouvriers, et nous avons déjà échangé sur les quatorze premières responsabilités. Les problèmes au sein de l’Église que les dirigeants et ouvriers doivent résoudre, ainsi que les difficultés de toutes sortes de gens concernés par ces problèmes, ont fait l’objet d’échanges qui couvrent environ 80 à 90 pour cent du sujet. Ce sont toutes des tâches qui doivent être entreprises par les dirigeants et les ouvriers, et ce sont tous des problèmes qui doivent être résolus par eux. De nombreuses difficultés sont concernées. D’un côté, tout cela porte sur les responsabilités que les dirigeants et les ouvriers devraient assumer. D’un autre côté, cela concerne également les diverses difficultés de toutes sortes de gens dans l’Église. Même si le thème de notre échange durant cette période porte sur les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, et sur l’exposition des faux dirigeants, nous avons aussi beaucoup échangé sur les difficultés de divers types de personnes (et sur l’état et l’essence de divers types de personnes) abordés par ce thème. Bien entendu, ce contenu spécifique a différents effets sur toutes sortes de personnes qui suivent Dieu dans l’Église. Parmi elles, il y a un type de personnes qui, même après avoir entendu tous ces échanges, ont encore une attitude consistant à penser : « J’ai une bonne humanité, je crois sincèrement en Dieu, je suis prêt à renoncer à des choses dans ma foi en Dieu, je suis prêt à payer un prix et à endurer des souffrances pour faire mon devoir. » Ces personnes ne se soucient pas des divers états de toutes sortes de gens, de la vérité impliquée dans divers états, ou des vérités-principes que les gens devraient comprendre, toutes choses qui ont fait l’objet d’échanges durant cette période. Ne s’agit-il pas là d’un type de personnes ? Ce type de personnes n’est-il pas très représentatif ? (Si.) Les personnes de ce type ont toujours un certain point de vue. En quoi ce point de vue consiste-t-il principalement ? Il repose sur les trois sujets que Je viens de mentionner : premièrement, ces personnes croient que leur humanité n’est pas mauvaise, et même qu’elle est bonne. Deuxièmement, ces personnes pensent croire sincèrement en Dieu, ce qui veut dire qu’elles croient véritablement à l’existence de Dieu et à la souveraineté de Dieu sur toutes choses, elles croient que la destinée humaine est contrôlée par Dieu, qu’elle relève de la souveraineté de Dieu, ce qui est une interprétation large de la formule « croire sincèrement en Dieu ». Troisièmement, ces personnes croient pouvoir renoncer à des choses dans leur foi en Dieu, endurer des souffrances et payer le prix pour faire leurs devoirs. On peut dire que ces trois sujets sont les éléments les plus fondamentaux, principaux et essentiels auxquels ces gens s’accrochent dans leur foi en Dieu. Bien entendu, on peut également considérer ces choses comme leur capital quand ils croient en Dieu, comme les objectifs qu’ils poursuivent, et encore comme leur motivation et leur direction quand ils agissent. Ils croient que leur conformité à ces trois sujets les qualifie selon les trois conditions fondamentales pour être sauvés, faisant d’eux des gens qui sont aimés et acceptés par Dieu. C’est une grave erreur, se conformer à ces trois sujets indique simplement qu’on a un peu d’humanité. Avoir simplement un peu d’humanité permet-il d’obtenir l’approbation de Dieu ? Absolument pas. Dieu approuve ceux qui Le craignent et qui s’éloignent du mal. Ces trois sujets ne répondent pas à la norme de la vérité-réalité. Ce sont simplement les trois normes pour être des exécutants. Ensuite, Je vais échanger sur les détails de ces trois sujets, pour vous les faire comprendre clairement. Le premier sujet concerne le fait d’avoir une bonne humanité. Ces gens croient que ne pas faire le mal, ne provoquer ni interruptions ni perturbations, et ne pas nuire aux intérêts de la maison de Dieu est suffisant, et que cela signifie qu’ils peuvent satisfaire aux intentions de Dieu et agir conformément aux principes. Le deuxième sujet concerne le fait de « croire sincèrement en Dieu ». Pour ces gens, ce qu’ils appellent « croire sincèrement en Dieu » signifie ne jamais douter de l’existence de Dieu ou du fait de Sa souveraineté sur toutes choses, et croire que la destinée humaine est entre les mains de Dieu, ce qui, pensent-ils, leur permettra de suivre Dieu jusqu’au bout. Ils pensent que tant qu’ils croient sincèrement en Dieu, ils gagneront Son approbation. Par conséquent, peu importe la façon dont Dieu dirige ou agit, et quels que soient les problèmes qu’ils rencontrent, ils disent : « Aimez simplement Dieu, suivez Dieu, soumettez-vous à Dieu. » Leur méthode pour résoudre les problèmes est par trop simpliste. Des paroles aussi vagues peuvent-elles résoudre le moindre problème ? Le troisième sujet porte sur le fait d’être capables de renoncer aux choses dans leur foi en Dieu et d’être capables d’endurer des souffrances et de payer un prix pour faire leurs devoirs. Comment mettent-ils cela en pratique ? Comme ils croient sincèrement en Dieu, quand le besoin s’en fait sentir dans le travail de l’Église, ou quand ils perçoivent les intentions pressantes de Dieu, ils peuvent, de façon proactive, renoncer à leur famille, à leur mariage et à leur carrière, mettre de côté leurs perspectives mondaines, suivre Dieu et faire leurs devoirs avec une détermination sans faille, sans jamais avoir les moindres regrets. Ils sont capables d’endurer des souffrances et de payer un prix, quel que soit le devoir que la maison de Dieu arrange pour eux, même si cela signifie manger et dormir moins. Même si leurs conditions de vie sont dures, et même quand ils se trouvent dans des environnements défavorables, ils peuvent, malgré tout, persister à faire leurs devoirs. En dehors de ces trois sujets, la pratique de tous les autres aspects liés à la vérité semble sans rapport avec eux. Ils font ce qui leur paraît bon ou juste. Pour ce qui est des divers principes de pratique que Dieu a indiqués à l’homme, ainsi que des états, des manifestations et de l’essence des divers tempéraments corrompus des gens que Dieu a exposés, ils pensent qu’il est acceptable pour eux de les connaître un peu, ou pas du tout. Ils n’éprouvent aucun besoin de chercher spécifiquement et méticuleusement divers principes pour examiner leur propre corruption et compenser leurs insuffisances, ni le moindre besoin d’assister souvent aux réunions pour entendre les autres échanger sur leurs divers témoignages d’expérience, pour ensuite parvenir à se transformer, et ainsi de suite. Croire en Dieu de cette façon, pensent-ils, est trop pénible, c’est inutile. Ils suivent Dieu et font leurs devoirs en ayant une compréhension superficielle de la foi en Dieu et du changement de tempérament, ainsi que diverses notions et produits de leur imagination sur l’œuvre de Dieu. Les personnes de ce type ne sont-elles pas tout à fait représentatives ? (Si.) Elles se fixent des exigences très basiques et ont une attitude très rudimentaire vis-à-vis de la croyance en Dieu. En outre, elles négligent la vérité, le jugement et l’exposition par Dieu, le fait d’être émondées, ainsi que les divers tempéraments corrompus et les divers états des gens, leurs diverses manifestations, et ainsi de suite. Elles n’envisagent jamais ces problèmes ou n’y réfléchissent jamais. Autrement dit, ces gens considèrent qu’ils ont une bonne humanité, qu’ils sont des gens bien, et qu’ils croient sincèrement en Dieu. Et même s’ils reconnaissent que les gens ont des tempéraments corrompus, ils ignorent les états et manifestations spécifiques des divers tempéraments corrompus des gens exposés par Dieu, et ne font pas le moindre effort pour investiguer ces choses. Ne s’agit-il pas là d’un type de personnes ? Les opinions et les manifestations spécifiques des personnes de ce type dans leur foi en Dieu ne sont-elles pas tout à fait représentatives ? (Si.) Quand on considère les points de vue de ces gens sur la croyance en Dieu, leur compréhension du salut, et leur attitude envers les paroles de Dieu qui exposent les divers tempéraments corrompus des gens, dans quelle catégorie ces gens devraient-ils être classés ? (Dans la catégorie de ceux dont la foi est confuse, qui ne poursuivent pas la vérité.) Ce n’est là que l’apparence superficielle. Comment ces gens devraient-ils réellement être catégorisés ? Y a-t-il beaucoup de gens de ce genre dans l’Église ? (Oui.) Chaque fois que des problèmes spécifiques font l’objet de discussions et que les vérités correspondantes font l’objet d’échanges, ils se mettent à avoir envie de dormir, s’assoupissent ou deviennent confus, ils ne s’y intéressent aucunement. Si on leur confie le moindre travail ou la moindre tâche, ils se retroussent les manches et s’y attaquent, sans reculer devant les difficultés ou l’épuisement. Ils pensent que ce serait formidable si croire en Dieu était comme faire ce genre de travail, ils seraient alors motivés. Quand le moment est venu d’endurer des souffrances, de payer le prix et de fournir des efforts dans le travail, ils font preuve d’un sérieux exemplaire. Mais faire preuve de ce sérieux et de cet enthousiasme exemplaires revient-il à être loyal ? Est-ce la manifestation que l’on devrait afficher après avoir compris les vérités-principes ? (Non.) Grâce à Mon échange, pouvez-vous savoir dans quelle catégorie ces gens devraient être rangés ? (Dans la catégorie des exécutants.) En effet. Ces gens sont des exécutants et c’est ainsi que les exécutants croient en Dieu.

Nous avons commencé par échanger sur la nature, l’essence et les diverses manifestations des antéchrists, ainsi que sur les diverses manifestations de ceux qui ont un tempérament d’antéchrist, mais qui ne sont pas réellement des antéchrists. Maintenant, nous échangeons sur les manifestations de diverses sortes de gens, évoquées dans le cadre des responsabilités des dirigeants et des ouvriers. Même si les thèmes qui ont fait l’objet d’échanges ont porté sur les antéchrists et les faux dirigeants, les problèmes et manifestations spécifiques abordés par chaque point sont liés aux tempéraments corrompus de l’humanité corrompue, ainsi qu’aux divers états et aux diverses manifestations engendrés sous la domination de tempéraments corrompus. Bien que les faux dirigeants et les antéchrists ne soient qu’une minorité, le tempérament des faux dirigeants et des antéchrists, ainsi que leurs divers états et leurs diverses manifestations, sont présents chez toute personne, à des degrés divers. Maintenant que ces problèmes ont fait l’objet d’échanges aussi détaillés, ceux qui poursuivent la vérité auront, par la suite, davantage de chemin et de direction, et des objectifs plus clairs, dans la poursuite de la vérité, la pratique de la vérité, la compréhension des vérités-principes et l’entrée dans la vérité-réalité. C’est une bonne chose pour ces gens, et une source de joie. Autrement dit, ils franchissent un nouveau cap dans leur foi en Dieu. Ils ne vivent plus sous l’égide de règlements, de rituels religieux, de formules et de doctrines, ou de slogans. Au contraire, ils ont une direction et des objectifs plus concrets pour pratiquer et, bien entendu, des principes plus spécifiques à suivre. Les deux principaux thèmes qui ont fait l’objet d’échanges, celui des antéchrists et celui des faux dirigeants, abordent principalement ces contenus : comment pratiquer dans certaines circonstances et quelles sont les vérités-principes concernées, quels états et corruptions les gens ont et comment ces états et corruptions devraient être traités, et comment chercher la vérité pour résoudre ces états et corruptions. En ce qui concerne ceux qui poursuivent la vérité, plus celle-ci fait l’objet d’échanges spécifiques, plus ces gens ont un chemin pour pratiquer. Plus la vérité fait l’objet d’échanges spécifiques, plus le cœur des gens s’illumine et s’éclaircit, plus ils peuvent se connaître et se comprendre eux-mêmes, et plus ils sont conscients de ce dans quoi ils vont devoir entrer et des problèmes qu’ils vont devoir résoudre ensuite. Quant au type d’individus qui viennent d’être mentionnés comme exécutants, après que nous avons largement échangé sur les divers états engendrés par le tempérament corrompu de l’humanité et sur les divers problèmes de corruption qui doivent être résolus, ils restent malgré tout insensibles. Que signifie « rester insensibles » ? Cela signifie qu’ils ne comprennent toujours pas clairement et qu’ils sont encore incapables de saisir la poursuite de la vérité et le chemin de salut dont Dieu a parlé. Ce qui est plus grave, c’est qu’après que tant de manifestations et de problèmes essentiels ont fait l’objet d’échanges, ils se disent encore : « J’ai une bonne humanité, je crois sincèrement en Dieu, je suis prêt à renoncer à des choses dans ma foi en Dieu, je suis prêt à payer un prix et à endurer des souffrances pour faire mon devoir, cela suffit. » Quand ils sont confrontés à des situations, ils ne s’examinent pas eux-mêmes, pas plus qu’ils ne se comparent aux paroles de Dieu, mais, au contraire, ils essaient de résoudre les problèmes en se fondant uniquement sur leur propre bonté humaine ou sur le peu de conscience et de raison qu’ils possèdent. Bien entendu, certaines personnes se fient à leur retenue et à leur patience, endurant encore et encore, tandis que d’autres s’appuient sur des philosophies des relations mondaines, faisant paraître mineurs des problèmes majeurs, puis faisant passer des problèmes mineurs pour des choses qui ne posent pas de problèmes. L’objectif qu’elles poursuivent est le suivant : « Le jour où l’œuvre de Dieu arrivera à sa conclusion, si je suis encore dans l’Église à faire mon devoir, sans avoir été exclu, ce sera suffisant. Que j’aie une véritable compréhension de moi-même ou non, que mes tempéraments corrompus aient été résolus ou non, que je sois véritablement soumis à Dieu ou non, que je sois une personne qui craint Dieu et s’éloigne du mal ou non, toutes ces choses sont des problèmes mineurs, qui ne valent pas la peine d’être mentionnés. Tu fais des histoires pour tout, en échangeant sur la vérité de façon si détaillée, en soulevant jusqu’aux plus petits problèmes pour échanger à leur sujet sans relâche, et en nous demandant sans cesse de faire preuve de discernement. Je ne suis tout simplement pas prêt à écouter ces échanges sur la vérité, cela ne m’intéresse pas du tout. Quand le jour de Dieu viendra, comme il serait merveilleux de pouvoir simplement entrer directement dans le royaume ! » Bien qu’il soit vrai que la patience de tout le monde a ses limites, celle de tels individus est infinie. Pourquoi ? Parce qu’ils croient avoir une bonne humanité, ils pensent croire sincèrement en Dieu, avoir la capacité de renoncer à des choses en tant que croyants en Dieu, et être prêts à payer un prix et à endurer des souffrances pour faire leur devoir. Quoi qu’il leur arrive, ils ont leurs propres solutions, et sont, en fin de compte, encore capables de faire leurs devoirs inébranlablement, et de rester fermes. Cependant, quelle que soit la façon dont ils persistent à faire leurs devoirs, ou les moyens grâce auxquels ils endurent jusqu’au bout, quelle que soit leur motivation, une chose est certaine : ils ne sont pas véritablement soumis à Dieu, et ils ne comprennent jamais leurs propres tempéraments corrompus. Plus exactement, ces gens n’admettent pas qu’ils sont corrompus, et ils ne reconnaissent pas non plus les divers états et problèmes qui résultent des tempéraments corrompus des gens exposés par Dieu. Même si, à l’occasion, ils se comparent effectivement à ces états et problèmes, ils traitent tout cela en abordant les choses froidement, et disent : « Tout le monde est pareillement corrompu. La nature-essence de tout le monde est celle des démons et de Satan. Nous sommes tous des ennemis de Dieu. C’est un fait que personne ne peut changer. Mais tant que l’on persiste à faire son devoir, Dieu approuvera certainement, et ceux qui persistent jusqu’au bout seront les vainqueurs. » À en juger par leurs points de vue, ces gens sont très énergiques dans leur croyance en Dieu, mais quand il s’agit de partager des témoignages d’expérience, ils se taisent, incapables de prononcer une parole. Quand le moment est venu d’échanger sur la vérité dans les réunions, ils ont envie de dormir et ne peuvent rien assimiler. Si on leur demande : « Comment fais-tu l’expérience des paroles de Dieu dans ton devoir, chaque jour ? », ils répondent : « Tout ce que l’Église arrange pour moi, je le fais. Cela nécessite-t-il d’en faire l’expérience ? » Ils ne semblent pas comprendre. Si on leur demande ensuite : « Ta corruption se trouve-t-elle révélée, de quelque façon que ce soit ? Comment te comprends-tu toi-même ? », ils répondent : « Je me contente de me soumettre à Dieu et d’aimer Dieu. Quels problèmes pourraient se poser ? » Leur pensée est simple à ce point. Voilà leur opinion : « Croire en Dieu devrait être ainsi. Pourquoi s’embêter avec autant de problèmes insignifiants ? Vous rendez les choses trop compliquées ! » Par conséquent, ils font leur devoir et accomplissent leurs tâches sans jamais chercher les vérités-principes, et préfèrent agir en se fondant sur leurs bonnes intentions et leur enthousiasme. Plus exactement, ils agissent sous la domination de la conscience et de la raison, pensant : « J’ai déjà souffert et payé le prix dans une large mesure. J’ai déjà pratiqué la vérité et satisfait Dieu dans une large mesure, ne m’en demandez pas plus. Je vais bien comme ça, je suis une bonne personne, et je crois sincèrement en Dieu. » Bien entendu, ces gens ne peuvent parfois pas s’empêcher de s’épancher, et leur véritable visage se trouve alors exposé. Ils peuvent débiter maintes formules et doctrines, mais n’ont pas la moindre stature réelle. En d’autres termes, ils n’ont aucune vie. Que désigne spécifiquement le fait de n’avoir aucune vie ? (Ces gens n’ont aucune vérité.) Comment le fait de ne pas avoir la vérité apparaît-il ? (Ils n’aiment pas la vérité et ils ne la poursuivent pas non plus.) La question n’est même pas de savoir s’ils aiment la vérité ou non. Pour être précis, ils n’acceptent pas la vérité. Certains pourraient déclarer : « Comment peux-Tu dire qu’ils n’acceptent pas la vérité ? Ils endurent tant de souffrances et paient un prix si élevé pour faire leur devoir, en travaillant dur chaque jour, du matin au soir, comment peux-Tu dire qu’ils n’ont aucune vérité ? » Dire cela leur fait-il du tort ? Mais si on examine ces gens, derrière leurs souffrances et le fait qu’ils paient le prix, tout ce qu’ils font relève-t-il des vérités-principes ? Cherchent-ils les principes dans tout ce qu’ils font ? Viennent-ils devant Dieu avec un cœur qui craint Dieu, et agissent-ils conformément aux paroles de Dieu et aux principes requis par la maison de Dieu ? Non. Tout ce qu’ils font ne relève que d’actes humains, de la retenue humaine. Quelle est, chez eux, la manifestation principale du fait qu’ils n’acceptent pas la vérité ? C’est que, avant de faire quelque chose, ils ne cherchent jamais activement la vérité, et ils ne réfléchissent jamais non plus sérieusement à ce que sont les principes de la vérité, puis ils ne pratiquent jamais de façon strictement conforme aux paroles de Dieu. Ont-ils de telles pensées et de telles attitudes ? Quelle est leur attitude vis-à-vis des diverses manifestations du tempérament corrompu de l’humanité exposé par Dieu ? Acceptent-ils ces paroles ? Admettent-ils que ces paroles sont factuelles ? Reconnaissent-ils que ces manifestations spécifiques sont des révélations de corruption ? Il se pourrait qu’ils approuvent d’un hochement de tête ou qu’ils l’admettent en apparence, mais dans leur cœur, ils ne l’acceptent pas, ils l’ignorent. Que signifie le fait qu’ils l’ignorent ? Spécifiquement, cela signifie ne pas accepter ces paroles prononcées par Dieu, avoir une attitude peu claire à leur égard, n’avoir aucune résistance ou opposition manifestes vis-à-vis de ces paroles, mais adopter une attitude consistant à les traiter avec froideur. Dire « les traiter avec froideur » est un peu abstrait. Spécifiquement, cela signifie que ces gens pensent : « Tu dis que les gens sont arrogants et fourbes, mais qui n’est pas fourbe ? Qui ne fait pas preuve d’un peu de rouerie ? Qui ne montre pas une certaine arrogance ou un certain dédain ? Quelle importance ? Tant que l’on peut endurer des souffrances et payer le prix, c’est suffisant. » N’est-ce pas là une attitude, et une manifestation spécifique de non-acceptation ? (Si.) C’est là ne pas accepter la vérité. Leur attitude vis-à-vis des paroles de jugement et d’exposition de Dieu est une attitude de mépris et de non-acceptation. Alors, quand il s’agit des évaluations et des rappels que les frères et sœurs leur adressent, et même des conseils et de l’aide que les frères et sœurs leur fournissent quant à leurs tempéraments corrompus, peuvent-ils accepter ces choses ? (Non.) Dites-Moi, alors, quelles sont leurs manifestations spécifiques ? Pourquoi ne peuvent-ils pas accepter ces choses ? Quelles preuves as-tu pour dire cela ? Par exemple, quand tu leur dis : « Tu ne peux pas faire ton devoir avec autant de négligence, c’est se montrer superficiel », quelles sont leurs manifestations qui prouvent qu’ils n’acceptent pas la vérité ? (Ils répondraient : « J’y ai déjà mis tout mon cœur. J’ai déjà souffert et payé le prix. Comment peut-on dire que je suis superficiel ? ») C’est ainsi qu’ils se justifient. Se chercheraient-ils parfois des excuses ? Même s’ils l’admettent dans leur cœur, ils pensent quand même : « Je me suis montré superficiel, et alors ? Qui n’a pas de mauvais jours ? Qui ne fait pas l’expérience d’émotions normales ? Mais je ne peux pas admettre être superficiel. Je dois me trouver une excuse pour le dissimuler. Je ne peux pas perdre la face. » Ainsi, ils trouvent de nombreuses raisons et excuses pour se défendre de façon sophistiquée, sans admettre qu’ils se montraient superficiels, sans reconnaître leurs propres problèmes à cet égard, sans accepter les conseils des autres. Il s’agit là d’une manifestation spécifique du fait qu’on n’accepte pas la vérité. Quand ces gens ne sont pas face à des situations concrètes, ils se considèrent comme « de bonnes personnes, qui croient sincèrement en Dieu ». Face à des situations, même s’ils ne peuvent plus utiliser cet argument pour se protéger, ils trouvent malgré tout des raisons suffisantes pour se justifier et se défendre, pour passer rapidement sur le problème, y mettre un terme, puis continuer à se voir comme « de bonnes personnes, dotées d’une bonne humanité, qui croient sincèrement en Dieu, et ont la capacité de renoncer, la capacité d’endurer des souffrances et de payer un prix pour faire leur devoir ». En termes plus précis, les manifestations, l’essence de tels individus, sont celles des exécutants. Ce groupe représente une part significative de l’Église. Quelle que soit cette part, en fin de compte, si ces individus peuvent véritablement souffrir et payer le prix, endurer et persister jusqu’au bout sans commettre aucune transgression majeure, sans violer les décrets administratifs de Dieu ni offenser Son tempérament, alors ce sont des exécutants loyaux, des exécutants qui peuvent rester dans l’Église. Voilà une bénédiction considérable ! Ils ne poursuivent pas la vérité et ils ne peuvent pas non plus respecter la volonté de Dieu, rendre témoignage à Dieu ou faire office de témoins des paroles et de l’œuvre de Dieu. Recevoir cette bénédiction est déjà très bien. Que pourrait-on s’attendre à gagner sans poursuivre la vérité ? Être un exécutant loyal n’est déjà pas mal. Certains demandent : « Est-il possible que ces individus deviennent le peuple de Dieu ? » C’est possible. La seule possibilité, c’est si ces individus, étant capables de renoncer et de souffrir, peuvent accepter la vérité, reconnaître leur propre corruption et y faire face correctement, puis chercher la vérité pour résoudre cette corruption, sans agir en se fondant sur la bonté humaine, ou sur la retenue, l’endurance et la persévérance humaines, mais en pratiquant conformément aux vérités-principes, de sorte qu’en fin de compte, leur tempérament puisse connaître certains changements, alors ils auront une chance de devenir le peuple de Dieu. Cependant, si leurs actes et leur comportement ne sont pas liés à un changement de tempérament, à l’acceptation de la vérité et au fait d’être sauvés, alors leur chance de devenir le peuple de Dieu est nulle. C’est un fait. Quel est le principe pour traiter les exécutants loyaux ? Il faut faire le plus grand effort pour aider ces gens à devenir lucides. Dans quel but veut-on les rendre lucides ? Pour les empêcher de poursuivre des chimères. Certains peuvent demander : « Que désigne le fait de “poursuivre des chimères” ? » Cela signifie que les gens considèrent qu’ils « ont une bonne humanité, croient sincèrement en Dieu, ont la capacité de renoncer et sont prêts à payer un prix », puis s’attendent ensuite à être sauvés par Dieu, ce qui est impossible. Il faut leur faire comprendre clairement que l’idée selon laquelle : « Avoir une bonne humanité, croire sincèrement en Dieu, avoir la capacité de renoncer et être prêt à payer un prix peut conduire à recevoir le salut de Dieu » et mauvaise et stupide. Il faut leur faire comprendre clairement que ces qualités ne signifient pas que l’on s’est débarrassé de son tempérament corrompu ; de même que quelques bons comportements ne signifient pas que l’on peut être sauvé, et encore moins que l’on a obtenu la vérité, et il faut leur faire comprendre que leurs points de vue sont absurdes, ridicules, en contradiction et totalement incompatibles avec la vérité exprimée par Dieu. Ces gens qui s’accrochent obstinément à des notions religieuses devraient être aidés. Lis-leur les paroles de Dieu et échange sur la vérité avec eux. S’ils ne peuvent toujours pas accepter la vérité, qu’ils restent sans éclairage et montrent qu’ils n’ont aucune intention de chercher, même si tu échanges sur la vérité avec eux, alors il est inutile de les forcer. Ils ne peuvent servir qu’en tant qu’exécutants jusqu’au bout.

II. Le peuple de Dieu

Après avoir échangé sur les manifestations des exécutants loyaux, parlons des manifestations d’un autre type d’individus. Après avoir entendu les diverses expositions et les divers jugements de Dieu sur le tempérament corrompu de toutes sortes de gens, ces individus, en comparaison, pensent davantage aux diverses révélations passées de leur tempérament corrompu, révélations qui leur sont propres, et aux diverses attitudes vis-à-vis de Dieu et de la vérité qui émergent sous la domination de leur tempérament corrompu. Ils se mettent à réfléchir à leurs diverses manifestations et à les connaître, se comparent aux paroles de Dieu, examinent leur attitude vis-à-vis de leur devoir, et examinent les diverses corruptions qu’ils révèlent quand ils font leur devoir, au milieu de gens divers, d’évènements variés et des différentes choses arrangées par Dieu. Ils s’examinent et se connaissent eux-mêmes dans chaque détail tandis qu’ils essaient d’accepter le jugement, l’exposition et la discipline de Dieu. En quoi ces individus sont-ils supérieurs aux exécutants ? Ils peuvent accepter de manière proactive et positive la vérité, les paroles de Dieu et tout tempérament corrompu exposé par Dieu. Même s’ils peuvent parfois se montrer négatifs ou fuyants, ou encore envisager de renoncer, dans tous les cas, ils ont encore la volonté de se convaincre d’accepter la vérité. En quoi consiste cette volonté ? Ils se disent ceci : « Les paroles de Dieu peuvent changer les gens. Tant que l’on accepte la vérité, tous ces problèmes et ces tempéraments corrompus peuvent être résolus, et l’on peut alors être sauvé. Si je veux être sauvé, je dois coopérer avec l’œuvre de Dieu et accepter la vérité. » Par exemple, en entendant la vérité sur ce que signifie être une personne honnête, certains se mettent à réfléchir sur eux-mêmes et voient plus clairement la fourberie et la ruse dont ils font preuve, ainsi que leurs aspects insidieux et malveillants. Ils se souviennent de leurs mensonges passés et de leurs manières malhonnêtes, qui restent dans leur cœur, ou d’impressions qui passent en boucle dans leur esprit, comme les scènes d’un film, ce qui les rend de plus en plus honteux, affligés et tristes. Après un auto-examen constant et après avoir sans cesse réfléchi sur eux-mêmes, ils ont l’impression d’être des criminels, ils deviennent tout de suite complètement mous et sont incapables de se mettre debout. Ils ont l’impression d’être non pas bons, mais malfaisants, et pensent qu’il est heureux qu’ils n’aient pas résisté directement à Dieu, ils l’ont échappé belle ! Puis ils commencent à s’éveiller, réticents à l’idée d’échouer ainsi en tant que personnes, et ils prennent cette résolution : « Je dois recommencer à zéro et être une personne honnête, sinon, je ne pourrai pas être sauvé par Dieu. Pour être sauvé, je dois être une personne honnête. Je ne peux absolument pas renoncer maintenant ! » Peu importe que ces gens acceptent la vérité de manière précoce ou tardive, et peu importe si leur compréhension des paroles de Dieu est profonde ou superficielle, leur attitude vis-à-vis des paroles de Dieu n’est pas une attitude de dédain, et encore moins s’agit-il d’aversion ou de résistance. Au contraire, ils reconnaissent et acceptent les paroles de Dieu activement, puis sont toujours prêts à les mettre en pratique. Quand ils agissent ou font leurs devoirs, ils font tout leur possible pour chercher les principes dans les paroles de Dieu, puis agissent consciemment selon ces principes. Même si, parfois, ils n’arrivent pas à trouver certains principes spécifiques, ou à en saisir la direction, ils ont l’intention de bien faire leur devoir, de le faire en accord avec les intentions de Dieu et conformément aux vérités-principes. L’humanité de ces gens est pratiquement la même que celle des exécutants. Leur humanité n’est ni supérieure ni inférieure, elle n’est pas plus noble ou plus modeste. Bien entendu, parmi ce type d’individus, nombreux sont ceux qui considèrent qu’ils « ont une bonne humanité, qu’ils croient sincèrement en Dieu et ont la capacité de renoncer en tant que croyants en Dieu, et qu’ils sont prêts à payer un prix et à endurer des souffrances pour faire leur devoir ». Mais quelle est la différence entre ces gens et des exécutants ? Après avoir entendu les paroles de jugement et d’exposition de Dieu, l’attitude de ces gens n’est pas de les ignorer, elle n’est pas de se dérober, mais de les accepter activement et sincèrement. Même s’ils sont bouleversés et abattus après avoir entendu ces paroles, allant jusqu’à exprimer leur colère vis-à-vis de leur propre corruption révélée, en fin de compte, ils restent capables de faire face correctement à ces paroles, de les accepter activement, de pratiquer ces paroles et d’entrer en elles de façon proactive. N’est-ce pas là également un type de personnes ? (Si.) Ces personnes ne sont-elles pas représentatives, dans une certaine mesure ? (Si.) Ces personnes sont-elles nombreuses ? (Elles ne sont pas nombreuses.) Même si elles ne sont pas très nombreuses maintenant, il y a un espoir qu’elles le deviennent. Alors, dans quelle catégorie ces gens doivent-ils être classés ? Ces manifestations spécifiques peuvent-elles indiquer que ces gens aiment la vérité et qu’ils sont capables d’accepter la vérité ? (Oui.) Elles peuvent l’indiquer. Même si certaines personnes qui ont une compréhension médiocre acceptent la vérité plus lentement, au fond de leur cœur, elles acceptent la vérité, et leur état d’esprit fait qu’elles y entrent activement. Chaque fois que quelqu’un échange sur une nouvelle lumière ou des chemins de pratique qui sont conformes aux vérités-principes, leur regard s’éclaire, leur cœur se trouve élucidé, elles sont joyeuses et pensent : « Enfin, quelqu’un a échangé sur cette lumière. C’est ce qui me manque. » Elles sont toujours capables de saisir ce qui leur manque, de gagner la lumière et l’éclairage dont elles ont un besoin urgent et dont elles manquent, et de trouver les vérités-principes dont elles ont besoin grâce à la compréhension sincère, basée sur l’expérience, qui fait l’objet d’échanges par leurs frères et sœurs. Si l’on se fonde sur ces manifestations spécifiques, leur cœur ne désire-t-il pas ardemment la vérité ? (Si.) Si nous disons que ces gens aiment la vérité, cette affirmation n’est pas très objective ni très exacte. Cependant, si l’on se fonde sur leurs manifestations spécifiques, ces gens, effectivement, désirent ardemment la vérité. D’où vient ce désir ardent ? Il vient de leur espoir de résoudre leur tempérament corrompu, de leur espoir de résoudre les divers problèmes et difficultés qu’ils rencontrent dans leur entrée dans la vie, et de leur espoir de progresser dans la vérité et d’y plonger plus profondément, ainsi que de leur espoir d’être capables d’agir véritablement avec des principes, de pratiquer avec un chemin, et de reconnaître de façon plus exacte, grâce aux révélations de leur tempérament corrompu, ce qu’est l’essence de leur tempérament corrompu, et comment le résoudre et s’en débarrasser. Même si ces gens sont souvent sous l’influence de tempéraments corrompus, rivalisant, par exemple, pour le statut, insistant obstinément sur leur propre façon de procéder, et se montrant présomptueux, arrogants, fourbes ou même intransigeants, en mangeant et en buvant continuellement les paroles de Dieu et en faisant l’expérience de l’œuvre de Dieu, ces problèmes évidents seront peu à peu examinés et identifiés. Ensuite, ces gens peuvent reconnaître tout cela comme des problèmes, des révélations d’un tempérament corrompu, qui ne sont pas conformes à la vérité et détestés par Dieu. Après avoir pris conscience de leur tempérament corrompu, ils ont encore plus le désir ardent de le résoudre et de s’en débarrasser. Voilà l’une des sources du désir ardent qu’ils éprouvent pour la vérité. Autrement dit, ils éprouvent le besoin de résoudre leur tempérament corrompu, et leur mentalité fait qu’ils ont un besoin urgent de se débarrasser de leur tempérament corrompu. En même temps, après avoir découvert divers états, problèmes et difficultés révélés par leur tempérament corrompu, ils ont davantage envie de comprendre ce que sont les paroles et les exigences précises de Dieu quant à ces problèmes, et quelles vérités ou paroles de Dieu peuvent les résoudre. Voilà les manifestations et sources spécifiques de leur ardent désir de vérité. Est-ce là une affirmation objective ? (Oui.) On ne peut pas dire que ces gens aiment la vérité. S’ils aimaient la vérité, ils se montreraient très proactifs, et leurs diverses manifestations seraient plus positives. Cependant, si l’on se fonde sur les diverses manifestations de ces gens et sur leur stature réelle, ils n’ont pas atteint le stade où ils aiment la vérité, mais se contentent de la désirer ardemment. Cette déclaration est déjà assez objective. Alors, en examinant les diverses manifestations de ces gens, dans quelle catégorie devrait-on les classer ? En termes précis, ces gens rentrent dans la catégorie du peuple de Dieu. Cette assertion repose sur une base. Quelle base ? Le tempérament corrompu de ces gens est le même que celui des autres. En termes d’humanité, on ne peut pas dire que leur humanité soit bonne, et on ne peut pas non plus dire qu’ils soient parfaits aux yeux de Dieu. La plupart d’entre eux ont une humanité moyenne. Que veut dire « moyenne », ici ? Cela signifie posséder un certain niveau de conscience et de raison. Mais ce n’est pas l’aspect le plus important. Qu’est-ce qui est le plus important ? C’est qu’après avoir entendu les paroles et les exigences de Dieu, après avoir entendu parler du tempérament corrompu de toutes sortes de gens, tempérament exposé par les paroles de Dieu, ils ne sont pas indifférents, mais émus, et ils passeront à l’action. Que veut dire « passer à l’action » ? Cela signifie qu’après avoir entendu ces paroles de Dieu et ces vérités, ils ne sont plus prêts à vivre sous l’influence d’un tempérament corrompu et à continuer à vivre de la façon dont ils vivaient auparavant. Au contraire, ils font tout leur possible pour changer la diversité de pensées, points de vue, façons de vivre et mode de vie sur lesquels ils s’appuyaient précédemment. En même temps, ils cherchent la vérité activement dans l’exécution de leur devoir et dans les diverses circonstances arrangées par Dieu, en utilisant les paroles de Dieu comme base et principes pour pratiquer, au lieu de se montrer imprudents et capricieux. À en juger par leur humanité, leur calibre, leurs attitudes et opinions vis-à-vis des paroles de Dieu, de l’œuvre de Dieu et des exigences de Dieu, et ainsi de suite, ces gens sont précisément ceux que Dieu a l’intention de sauver. Ils ont davantage d’espoir de se débarrasser de leur tempérament corrompu et d’être sauvés que les exécutants. Seuls ceux qui acceptent la vérité et qui peuvent se débarrasser de leur tempérament corrompu pour être sauvés sont considérés comme faisant partie du peuple de Dieu. Cette définition n’est-elle pas tout à fait appropriée ? (Si.) C’est la plus appropriée. Pour être sauvé, la question n’est pas simplement de fournir quelques efforts et de payer un certain prix pour pouvoir rester dans l’Église, et ensuite tout est réglé. Quel est le statut de ceux qui peuvent être sauvés ? C’est un statut selon lequel, en acceptant les paroles et l’œuvre de Dieu, et en en faisant l’expérience, ils parviennent à la résolution de leur tempérament corrompu. Au cours de ce processus, ils en viennent à connaître Dieu, à comprendre leur propre tempérament corrompu, à être réellement et concrètement sensibilisés aux paroles de Dieu et à en faire l’expérience, et ils sont ainsi capables de rendre témoignage à Dieu. Ils sont capables de témoigner de Dieu. De quels aspects de Dieu témoignent-ils ? Ils témoignent des intentions de Dieu, du tempérament de Dieu, de ce que Dieu a et est, de l’identité de Dieu, et du fait que Dieu est le Créateur. Voilà ce qui peut se manifester chez une personne après qu’elle a atteint le salut. Pourquoi les gens peuvent-ils parvenir à ces résultats après avoir été sauvés ? Ce n’est pas parce qu’ils considèrent qu’ils « ont une bonne humanité, qu’ils croient sincèrement en Dieu, qu’ils ont la capacité de renoncer en tant que croyants en Dieu et qu’ils sont prêts à payer un prix pour faire leur devoir » qu’ils y parviennent. L’unique raison, et le point le plus important, est qu’ils peuvent accepter les paroles de Dieu comme leur vie, qu’ils sont capables de pratiquer la vérité pour se débarrasser de leur tempérament corrompu, de mettre de côté les façons de vivre d’origine et points de vue sur la vie anciens et d’origine, et de prendre les paroles de Dieu comme leur nouvelle vie. Ils utilisent les paroles de Dieu comme base pour se conduire, agir, suivre Dieu, se soumettre à Dieu et satisfaire Dieu. Voilà le résultat auquel ces gens peuvent parvenir. Quel est l’aspect le plus important pour parvenir au salut ? (Il faut être capable d’accepter la vérité.) En effet. La clef est d’être capable d’accepter la vérité.

Certains disent : « Si je me dépense pour Dieu jusqu’à la fin, Dieu me bénira-t-Il grandement ? » Si tu n’acceptes pas la vérité, mais que tu peux quand même persister à suivre Dieu jusqu’à la fin, en rendant service jusqu’au bout, et qu’au cours de cette période il n’y a aucune transgression majeure et que tu n’offenses pas le tempérament de Dieu, alors, dans de telles circonstances, Dieu te considérera comme un exécutant loyal qui peut rester dans l’Église. Certaines personnes demandent : « Quel genre de bénédiction est-ce, de rester dans l’Église ? » Ce n’est pas une bénédiction mineure ! Si tu en as l’occasion et la possibilité, il se peut que tu voies la personne réelle de Dieu, cela dépend de ce que Dieu fera à la prochaine ère. Si tu as l’occasion de rester dans l’Église et de vivre plusieurs décennies supplémentaires, cette bénédiction est très significative. Comment cette bénédiction apparaît-elle ? On y parvient en rendant service loyalement, en ayant toujours à l’esprit le point de vue suivant : « J’ai une bonne humanité, je crois sincèrement en Dieu, je peux renoncer, je suis prêt à payer un prix et je suis capable d’endurer des souffrances pour faire mon devoir. » Les exécutants ne devraient-ils pas savoir s’en satisfaire ? (Si.) Ils devraient se satisfaire d’atteindre cette bénédiction. Ils n’acceptent même pas les paroles de Dieu, pourtant, parce que Dieu perçoit leur loyauté et leur capacité à rendre service jusqu’au bout, sans déserter durant cette période, sans offenser le tempérament de Dieu ni violer Ses décrets administratifs, sans commettre de transgressions majeures, Il leur accorde cette bénédiction et cette grâce. Depuis la création de l’humanité, c’est là le plus grand cadeau que Dieu offre aux êtres humains corrompus qui ont seulement rendu service loyalement, mais qui n’ont pas atteint le salut. Ils ont seulement fourni quelques efforts, et ils n’acceptent même pas les paroles de Dieu, alors pouvoir recevoir une bénédiction aussi considérable est déjà fort bien. Voilà l’immense grâce de Dieu. Une autre catégorie est celle du peuple de Dieu, dont nous venons de parler. Les bénédictions reçues par le peuple de Dieu sont assurément plus grandes que celles reçues par les exécutants. Alors, quelle est la bénédiction du peuple de Dieu ? Bien entendu, ce n’est pas aussi simple que de pouvoir simplement rester dans l’Église ou d’avoir l’occasion de voir la personne réelle de Dieu. Il y a bien d’autres bénédictions, mais nous n’allons pas en parler maintenant. En parler n’est pas réaliste et en outre, même si Je vous en parlais, vous ne les comprendriez pas ou vous ne les atteindriez pas tout de suite. Le peuple de Dieu est constitué de ceux que Dieu a l’intention de sauver, et parmi toute l’humanité, ces gens reçoivent les plus grandes bénédictions. Ceci n’est en aucune façon une exagération. Pourquoi ? Parce que, dans l’œuvre de Dieu, au sein de l’œuvre du plan de gestion de six mille ans de Dieu pour sauver l’humanité, le peuple de Dieu, en étant capable d’accepter les paroles de Dieu, en étant capable de traiter les paroles de Dieu comme la vérité et comme les principes de son existence, et en faisant des paroles de Dieu sa vie, s’est débarrassé du tempérament corrompu de Satan et a vécu les paroles de Dieu, en rendant un témoignage puissant et retentissant à Dieu. Ces gens sont capables d’utiliser ce qu’ils vivent, leur vie, pour répliquer aux attaques de Satan et lui faire honte, ils sont capables de rendre témoignage à Dieu au sein de l’humanité, couvrant ainsi Dieu de gloire. Le peuple de Dieu est donc constitué de ceux que Dieu a l’intention de sauver, et de ceux qui reçoivent le salut. Certaines personnes disent : « Puisque ces individus peuvent faire des paroles de Dieu leur vie, vivre les paroles de Dieu et rendre témoignage à Dieu, cela fait-il d’eux les fils bien-aimés de Dieu, ceux dont Dieu Se délecte ? » Tu réfléchis trop. Il est suffisant de faire partie du peuple de Dieu. Si Dieu t’appelle Son fils, Son enfant ou Son fils bien-aimé, c’est l’affaire de Dieu, mais qu’importe le moment, tu ne dois jamais toi-même affirmer être le fils bien-aimé de Dieu, le fils de Dieu ou le chéri de Dieu. N’affirme pas de telles choses à ton propre sujet et ne te considère pas comme tel. Tu es un être créé, c’est exact. Même si, un jour, tu es appelé à rejoindre le peuple de Dieu, ou si tu t’es déjà engagé sur le chemin qui mène au salut, tu restes simplement un être créé. Si tu penses de cette façon, cela prouve que le chemin que tu suis est le bon. Si tu cherches sans cesse à être le fils bien-aimé de Dieu, à être aimé par Dieu, à ce que Dieu Se délecte de toi, alors le chemin que tu prends est le mauvais chemin. Ce chemin ne mène nulle part et tu ne devrais pas te bercer de telles illusions. Que Dieu ait jamais prononcé de telles paroles ou non, qu’Il ait fait ou non une telle promesse aux gens, tu ne dois pas te considérer de cette façon. Ce n’est pas ce que tu devrais essayer d’accomplir. Faire partie du peuple de Dieu est suffisant. Ceux qui font partie du peuple de Dieu respectent déjà les normes en tant qu’êtres créés, il est simplement dommage que tu ne sois pas encore de ceux-là. Alors, ne poursuis pas ces choses vagues, illusoires, vides de sens. Être capable de poursuivre le salut, c’est déjà, dans une certaine mesure, s’engager sur le chemin qui mène au salut. Les principales caractéristiques de ceux qui font partie du peuple de Dieu sont qu’ils peuvent accepter la vérité et qu’ils affichent un amour de la vérité. En faisant l’expérience de l’œuvre de Dieu et en poursuivant le salut, ils peuvent résoudre leur tempérament corrompu, leurs vieilles pensées et les divers états et manifestations négatifs liés à leur tempérament corrompu, ils peuvent s’en débarrasser et les changer, dans des mesures variables. Puis, ils peuvent vivre les exigences de Dieu quant au fait d’être des personnes honnêtes, des personnes qui comprennent les vérités-principes, des personnes capables de loyauté et de soumission, des personnes qui peuvent craindre Dieu et s’éloigner du mal. Pour ce qui est de savoir comment être une personne de Dieu à la hauteur, qui est un point de référence, nous n’entrerons pas dans les détails à ce sujet maintenant, ce n’est pas le thème de notre échange aujourd’hui.

III. Les ouvriers embauchés

Outre les exécutants et le peuple de Dieu, il existe une autre catégorie d’individus, qui sont les plus pitoyables parmi ceux choisis par Dieu. Après avoir entendu les diverses vérités exprimées par Dieu et les diverses paroles de Son exposition adressées à l’humanité, leur comportement, ce qu’ils vivent et leurs poursuites ne montrent absolument aucun changement. Peu importe la façon dont tu échanges avec eux sur la vérité, ils restent indifférents : « Je ne veux pas changer. Je vivrai exactement comme je veux vivre, et personne ne peut me contrôler. Faites ce que vous voulez, je m’en moque ! Je ne suis pas de bonne humeur dans l’immédiat, alors aucun d’entre vous ne devrait me provoquer. Si vous le faites, je ne serai pas poli ! » Ils ne se considèrent pas eux-mêmes en ayant l’attitude ou le point de vue précis qui consiste à se dire : « J’ai une bonne humanité, je crois sincèrement en Dieu, je peux renoncer, et je suis prêt à endurer des souffrances et à payer un prix », mais affichent une attitude plus claire quand ils sont parmi les frères et sœurs. Quelle est leur attitude , alors ? Ils se disent la chose suivante : « Je ferai exactement ce que je veux, j’agirai à ma guise. Personne ne devrait me pousser à accepter la vérité, personne ne devrait essayer de me changer. Quiconque essaie de me pousser à accepter la vérité cherche simplement les ennuis, et si quiconque essaie de m’émonder, je me défendrai jusqu’à la mort ! » Ils n’ont d’intérêt pour strictement aucune des paroles prononcées par Dieu, ni pour l’œuvre que Dieu fait. Bien entendu, en ce qui concerne le tempérament corrompu des gens et leurs principes pour agir, ainsi que l’attitude que les gens devraient avoir vis-à-vis de Dieu et les principes qu’ils devraient respecter dans leurs interactions personnelles, toutes choses que les frères et sœurs évoquent durant les réunions ou quand ils font leur devoir, ils considèrent cela avec une attitude de dédain. Certains individus font un devoir, mais ils ignorent complètement les principes requis par la maison de Dieu, et ils agissent exactement de la façon qu’ils ont prévue. Dès qu’on a fini d’échanger sur les principes avec eux, ils sont d’accord tant qu’ils sont face à vous, mais ensuite, ils se retournent et se mettent à agir de façon imprudente et arbitraire, montrant leur côté démoniaque. Il y a également des individus qui passent pour des êtres humains convenables, en apparence, mais quand on leur parle ou qu’on bavarde avec eux, leurs opinions sont incorrectes, leur ton est incorrect et, plus essentiel encore, leur tempérament est incorrect, ce qui fait qu’il est impossible d’avoir une conversation avec eux. Quand tu leur demandes : « Dieu existe-t-Il dans le monde ? », ils répondent : « Je ne sais pas. » Quand tu leur dis : « Ceci devrait être fait de telle façon, c’est l’intention de Dieu », ils répondent : « Me trouves-tu désagréable ? Essaies-tu de me rendre la vie difficile ? Essaies-tu de m’expulser ? » Tu leur dis : « Agir ainsi, c’est répandre des notions et laisser libre cours à la négativité, ce qui pourrait amener certains nouveaux croyants à trébucher. Nous devons respecter les règles de la maison de Dieu et être clairs quant aux principes qui devraient être suivis quand les gens interagissent et se fréquentent. Si ce qui est dit et fait ne peut pas édifier ou aider les autres, cela ne devrait pas, à tout le moins, avoir un effet négatif sur eux. Voilà la raison que quelqu’un pourvu d’une humanité normale devrait posséder. » Ils répondent alors : « Tu me parles d’humanité normale, tu me fais la leçon quant aux règles, pour qui te prends-tu ? Quel mal y a-t-il à laisser libre cours à ma négativité ? Chaque nouveau croyant qui trébuche, c’est un nouveau croyant de moins, cela m’évite le désagrément d’avoir à le voir ! » Parler des règles avec ces gens est vain, de même que discuter d’humanité. Et qu’en est-il des échanges sur la vérité, des échanges sur les paroles de Dieu ? Ils n’écoutent pas les échanges sur les paroles de Dieu non plus. Personne n’ose les critiquer, personne n’ose les déranger ou les provoquer. Y a-t-il des gens de ce genre dans l’Église ? (Oui.) Parmi ceux qui ont été exclus, il y a effectivement de tels individus. Ces gens sont-ils des exécutants, font-ils partie du peuple de Dieu, ou qui sont-ils ? (Ce sont des gens qui ont été éliminés.) Pourquoi ont-ils été éliminés ? (Parce qu’ils n’acceptaient pas la vérité, parce qu’ils avaient de l’aversion pour la vérité.) Telle est l’essence du problème. Alors, pourquoi n’acceptent-ils pas la vérité ? Pourquoi ont-ils de l’aversion pour la vérité ? Quelle en est la cause profonde ? (L’essence de ces gens est celle des incrédules.) En effet, leur essence est celle des incrédules. Il y a bon nombre d’incrédules dans l’Église, mais tous les incrédules sont-ils comme cela ? (Non.) Ces individus, qui manquent même de la morale et de l’éducation humaines les plus élémentaires, sont-ils éliminés simplement parce qu’ils sont des incrédules ? Pourquoi sont-ils éliminés ? Ce problème, à sa racine, est un problème d’humanité. Ces gens ont une mauvaise humanité, une humanité malintentionnée. Pour dire les choses précisément, ils manquent d’humanité. Puisqu’ils manquent d’humanité, que sont-ils ? Ce sont des gens qui ont une nature diabolique. En quoi les gens qui ont une nature diabolique se distinguent-ils des bêtes ? Je pense qu’ils sont encore pires que des bêtes. Certaines bêtes peuvent se montrer obéissantes et éviter de commettre des méfaits. Par exemple, les chiens peuvent se comporter tout à fait sagement. Certains chiens font vraiment de formidables animaux de compagnie, qui s’entendent exceptionnellement bien avec les êtres humains ! Ils sont particulièrement obéissants et sensés, comprennent tout ce que disent les gens, et on peut les faire vivre dans la maison. Ces chiens sont bien supérieurs à des êtres humains désobéissants. Beaucoup de gens sont bien pires que de bons chiens. Alors, ces gens sont-ils encore humains ? Non, ils ne sont pas humains. Ils sont non-humains. Beaucoup de gens ne comprennent pas le langage humain. Il est impossible de communiquer avec eux. Ils n’acceptent pas la vérité, quels que soient les échanges dont elle fait l’objet. Ils se plaignent quand on les émonde, et quand ils sont éliminés, ils sont pris d’une rage ordurière et n’affichent absolument aucun changement, quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient. De tels individus peuvent-ils quand même être autorisés à rester dans la maison de Dieu ? (Non.) On ne peut pas les autoriser à y rester. Dans quelle catégorie devrait-on classer de tels individus ? Tout d’abord, ces individus devraient-ils être classés dans la catégorie du peuple élu de Dieu ? (Non.) S’ils ne font pas partie des élus de Dieu, dans quelle catégorie devrait-on les ranger ? Ne pas faire partie des élus de Dieu : comment devrait-on interpréter cela ? Cela signifie que, du point de vue de l’humanité qu’ils affichent et vivent, ce n’est pas simplement qu’ils soient des incrédules : leur essence n’est pas humaine. Beaucoup de gens sont des incrédules, sont-ils tous aussi mauvais et malintentionnés que ces individus ? Non. Même parmi les non-croyants, tout le monde n’est pas mauvais à ce point. Certaines personnes possèdent les normes morales les plus élémentaires. Qu’en est-il de ces individus, alors ? Ils n’ont même pas la morale et l’éducation les plus élémentaires que possèdent les non-croyants. Leurs révélations et ce qu’ils vivent, pour dire les choses avec précision, ne satisfont pas aux normes de la moralité humaine. Ces individus ont une essence diabolique. Du point de vue de leur essence, alors, Dieu les sauve-t-Il ? (Non.) Dieu ne les sauve pas. Et pour quelle raison ? Parce que leur humanité est mauvaise et malintentionnée, d’une nature démoniaque, et qu’ils ont donc de l’aversion pour la vérité et y résistent. En réalité, dire les choses ainsi, c’est les magnifier. Pour être précis, ces individus ont de l’aversion pour les choses positives et ils les haïssent, ils n’atteignent même pas le niveau où les gens ont de l’aversion pour la vérité et ne l’acceptent pas. Ils ont de l’aversion même pour les choses positives les plus élémentaires, ils les détestent et y résistent. Les règles qu’une personne dotée d’une humanité normale devrait respecter et l’éducation qu’elle devrait avoir sont toutes des choses qui dégoûtent ces individus. Peuvent-ils accepter la vérité ? (Ils ne sont pas à la hauteur pour cela.) En effet, ils ne sont pas à la hauteur pour cela. Ce ne sont même pas des exécutants. Certaines personnes disent : « Puisqu’ils ne sont même pas des exécutants, comment sont-ils considérés, au sein de la maison de Dieu ? Comment sont-ils entrés dans la maison de Dieu ? » S’il fallait expliquer ce qu’ils sont, les mettre dans une catégorie, en des termes précis, ces individus sont comme des ouvriers embauchés ou des travailleurs temporaires auxquels on a fait appel chez les non-croyants. La signification de tout cela est-elle claire ? Voilà leur catégorie, ainsi que le rôle qu’ils jouent dans la maison de Dieu. Ce ne sont même pas des exécutants. Je ne les considère pas comme des exécutants, ils n’en sont pas dignes ! Les exécutants ont des caractéristiques telles que celles-ci : ils ont une bonne humanité, ils croient sincèrement en Dieu, ils sont prêts à payer un prix, ils ont la capacité d’endurer des souffrances, et ils vivent ces choses. Ces individus n’ont même pas ces qualités, alors les classer en tant qu’ouvriers embauchés, c’est déjà faire preuve de la plus grande bonté à leur égard et c’est se montrer très poli. Qu’est-ce que cela signifie, être un ouvrier embauché ou un travailleur temporaire ? Cela signifie que, du fait de certains besoins particuliers durant des périodes particulières, la maison de Dieu recrute certains individus qui ne sont pas concernés par le fait d’être sauvés pour achever certaines tâches. Une fois ces tâches achevées, le vrai visage de ces individus se trouve révélé. Le peuple élu de Dieu a suffisamment souffert de l’interaction avec ces individus, il en a assez d’eux au point de ne plus pouvoir les supporter, et il a également gagné un discernement suffisant à leur égard. Dans de telles circonstances, ces individus devraient être exclus. C’est le moment le plus approprié pour prendre ce genre de mesures. La façon dont ces individus apparaissent a-t-elle été expliquée clairement, à l’instant ? (Oui.) Il s’agit d’ouvriers embauchés qui ne sont pas concernés par le fait d’être sauvés, auxquels on fait appel durant des périodes particulières du travail d’Église. Après avoir fait des travaux divers et rendu service un moment, ces individus commettent des méfaits imprudents au sein de la maison de Dieu, provoquant de nombreuses interruptions et perturbations. Le rôle qu’ils jouent est celui de personnages négatifs. Ils reflètent pleinement le vrai visage de Satan et des démons, perturbent le travail de l’Église, et détruisent l’ordre de la vie de l’Église. Plus concrètement, on peut dire que ces individus nuisent de manière significative aux intérêts de la maison de Dieu, par exemple en endommageant une grande partie de ses équipements, de ses machines, de ses objets de valeur, et ainsi de suite. On peut dire que les actes et comportements de ces individus provoquent la colère générale. Bien entendu, ils permettent également à davantage de gens de tirer des leçons et de gagner en discernement, d’apprendre ce qu’est un démon et ce que signifie le fait de manquer d’humanité, et de voir clairement le vrai visage des incrédules. Ils permettent aux gens de voir, de façon claire et plus concrète, les pensées et points de vue des incrédules, ce qu’ils poursuivent, ce à quoi ils aspirent au fond de leur cœur, leur attitude envers Dieu et la vérité, leur attitude vis-à-vis de leurs devoirs et des choses positives, et même leurs attitudes vis-à-vis de certains règlements établis par la maison de Dieu, et ainsi de suite. Quand les choses deviennent aussi spécifiques, la façon dont ces individus vivent leur humanité, leur humanité-essence, et ce qu’ils poursuivent, tout cela se trouve complètement exposé. Garder ces individus dans l’Église semble donc inutile. Cela nuira grandement au peuple élu de Dieu et ne lui sera bénéfique en rien. C’est le bon moment pour qu’ils partent. Donc, si l’on dit que la maison de Dieu leur a laissé suffisamment de temps et donné suffisamment d’occasions d’accepter la vérité et d’adorer Dieu, cette affirmation est-elle correcte ? (Non.) Que devrait-on dire, alors ? La maison de Dieu leur a donné de nombreuses occasions et laissé suffisamment de temps pour qu’ils fassent demi-tour, mais le résultat final révèle un fait : un démon reste un démon à tout moment et ne peut jamais changer. Voilà le fait. Est-il possible de faire reconnaître au grand dragon rouge le statut et l’identité de Dieu ? Amener ces gens qui ont une nature démoniaque à changer et à suivre certaines règles, peut-on y parvenir ? (Non.) Ces gens ne peuvent pas y parvenir. Leur donner ces occasions n’est pas destiné à leur faire accepter la vérité, à leur faire reconnaître l’œuvre faite par Dieu, ni à les faire agir conformément aux vérités-principes, mais à leur laisser des chances de faire demi-tour. S’il y avait le moindre signe qu’ils ont fait demi-tour, leur issue finale pourrait changer. Cependant, ces gens ne savent pas ce qui est bon pour eux. Leur nature démoniaque se résumera toujours à cela. Peu importe le temps qu’on leur laisse ou le nombre d’occasions qu’on leur donne, ce qu’ils vivent ne changera pas et leur essence ne changera pas. C’est un fait. Par conséquent, la façon ultime de gérer ces gens est de les décharger de leurs devoirs, de leur faire quitter l’Église et de s’assurer qu’ils n’ont plus aucun lien ou rapport avec la maison de Dieu. Y a-t-il des individus qui seront réticents à les voir partir, qui auront pitié d’eux, et diront : « Ces gens sont encore assez jeunes. Si on leur en laissait le temps, ils deviendraient excellents. Ils ont un si bon calibre, ils sont si doués et talentueux, ce serait tellement formidable s’ils pouvaient accepter la vérité ! Si la maison de Dieu peut se montrer plus aimante et tolérante, et leur donner davantage de chances de se repentir, quand ils seront plus âgés, peut-être que les choses finiront différemment » ? Quel genre de gens pensent ainsi ? (Les personnes confuses, désorientées.) En effet. Ces gens sont tous confus, désorientés, ce ne sont que des vauriens ! Dieu ne sauve pas de telles personnes, et la maison de Dieu ne leur permet pas de rester dans l’Église, alors pour quelles raisons avoir pitié d’elles ? Dieu dit qu’Il ne sauvera pas de telles personnes, pourtant, tu suggères de leur laisser une chance de se repentir. Peux-tu sauver les gens ? N’est-ce pas là s’opposer à Dieu ? Essaies-tu de faire penser aux autres que tu es plus aimant que Dieu ? As-tu la vérité-réalité ? Peux-tu percer à jour l’essence d’une personne ? Qui peut sauver les gens, Dieu ou toi ? Oser s’opposer à Dieu est par trop arrogant, présomptueux, et dépourvu de raison, n’est-ce pas ? Ne s’agit-il pas là d’une grande rébellion ? Ne s’agit-il pas là de Satan et des esprits malfaisants qui se réincarnent, prenant sans cesse plaisir à s’opposer à Dieu ? Les incrédules que nous venons de mentionner sont moins que des bêtes. Quelle que soit la façon dont on échange sur la vérité avec eux, cela ne sert à rien. Même les émonder est vain. On peut dire qu’ils ont la nature de Satan et qu’ils ne changeront jamais. Si quelqu’un veut laisser une chance de se repentir à ce type d’individus sataniques, qu’il subvienne aux besoins de telles personnes. Nous verrons si elles ont vraiment de l’amour. Ces incrédules qui n’acceptent pas du tout la vérité sont les pires dans l’Église. Ils sont comme des bêtes, au-delà de la raison, et incapables d’être sauvés. Que ce soit autrefois ou maintenant, l’Église leur a toujours réservé le traitement le plus approprié. L’Église a fait preuve d’une patience et d’une tolérance immenses à leur égard, et elle leur a laissé suffisamment de chances. Mais jusqu’à présent, ils n’ont pas du tout changé, et ont même accentué leurs façons d’agir. Au début, quand ces gens en viennent à croire en Dieu avec leurs notions, leur imagination et leur désir de bénédictions, ils sont capables de faire preuve de quelque retenue, faisant leurs devoirs avec un certain enthousiasme et un certain zèle. Cependant, au bout du compte, quand ils voient que « croire en Dieu signifie poursuivre la vérité, connaître l’œuvre de Dieu et se soumettre à Dieu, et c’est tout ce qu’il y a à faire », leur attitude vis-à-vis de Dieu et de la vérité, ainsi que leur vrai visage, se trouvent complètement exposés. Qu’est-ce qui se trouve exposé ? Non seulement ils manquent d’humanité, de conscience et de raison, mais ils sont également extrêmement méchants, malveillants et brutaux. Ils méprisent Dieu et la vérité, et considèrent même les exigences et les règles de la maison de Dieu, ainsi que les décrets administratifs de Dieu, avec de l’hostilité et une attitude de défi. Ces manifestations qui leur sont propres renforcent le dégoût et la répulsion que le peuple élu de Dieu éprouve à leur égard, et elles accélèrent également le rythme auquel la maison de Dieu les renvoie, ce qui, en fin de compte, détermine rapidement s’ils restent ou partent, et décide de leur issue et de leur destinée. Leur issue et leur destinée, ils ne les doivent qu’à eux-mêmes, elles n’ont pas été provoquées à l’incitation ou à l’instigation de quiconque, ou parce que quelqu’un a forcé ou tenté ces gens, et elles ne sont assurément pas dues à des circonstances objectives. Leur issue et leur destinée, ils se les sont infligées à eux-mêmes, elles ont été provoquées par leurs propres choix et ont été déterminées par leur nature-essence et les chemins qu’ils ont pris. L’issue et la destinée de ces gens ont été fixées. Une fois qu’ils sont exclus des rangs de ceux qui font leurs devoirs, alors ils ne sont même plus des exécutants. On peut facilement imaginer le genre de destinée qu’ils auront, ce n’est pas la peine d’en parler ici, car ils n’en sont pas dignes.

En ce qui concerne le genre de personnes qui sont révélées et éliminées, les manifestations de leurs divers actes malfaisants, ainsi que les paroles et déclarations malintentionnées qu’elles révèlent dans leur vie quotidienne, sont évidentes. Et pourtant, certains dirigeants et ouvriers sont incapables de discerner ces personnes malfaisantes pour ce qu’elles sont vraiment, ou de percer à jour leur nature-essence. Ces dirigeants et ouvriers ne semblent pas savoir qu’il s’agit là de personnes malfaisantes et d’incrédules, et ils ne prévoient donc pas de les renvoyer de l’Église ou de les gérer de manière appropriée. De la part de ces dirigeants et ouvriers, c’est là un manquement grave à leur devoir. Ils observent en toute lucidité tandis que ces gens dotés d’une nature démoniaque ne respectent aucune des règles de la maison de Dieu, tandis qu’ils se déchaînent, perturbent et sabotent sans raison le travail de l’Église et l’ordre de la vie d’Église. Ils cèdent même à ces gens quand ceux-ci agissent de façon téméraire et imprudente, quand ils se comportent de façon anarchique et nuisent aux intérêts de la maison de Dieu sous couvert de faire leur devoir. Le fait de nuire aux intérêts de la maison de Dieu recouvre nombre de choses : ce peut être endommager les machines et les divers équipements de la maison de Dieu, endommager ses différents appareils et fournitures de bureau, et même gaspiller les offrandes destinées à Dieu à leur guise, et ainsi de suite. Ce qui est plus grave, c’est que ces personnes malfaisantes répandent sans raison diverses hérésies et idées fausses, provoquant de telles perturbations que le peuple élu de Dieu ne peut pas faire ses devoirs en paix, et que les gens qui sont faibles et négatifs abandonnent leurs devoirs et n’ont plus la foi de suivre Dieu. Ces personnes malfaisantes font toutes ces mauvaises actions, toutes commettent ces actes malfaisants qui perturbent et interrompent le travail de l’Église, et nuisent aux frères et sœurs, pourtant les dirigeants et les ouvriers ferment les yeux et font la sourde oreille. Certains d’entre eux disent même : « Je n’étais pas au courant, personne ne m’a jamais rien dit ! » Cette bande de bêtes et de démons sème la pagaille, provoquant le chaos dans l’Église, pourtant les dirigeants et les ouvriers l’ignorent complètement, ils n’en savent rien ! Ne sont-ils pas des ordures ? Où est leur cœur ? Que font-ils ? Ne se contentent-ils pas de se livrer à de vains bavardages ? Ne négligent-ils pas leurs véritables tâches ? Chaque jour où des faux dirigeants comme ceux-ci sont à l’œuvre, c’est un jour de plus où toutes sortes de personnes malfaisantes perturbent imprudemment l’Église et nuisent au peuple élu de Dieu. C’est parce que les faux dirigeants n’assument pas leurs responsabilités que cette bande de bêtes flemmarde oisivement toute la journée, sans faire les moindres devoirs ni respecter les moindres règles, vivant aux crochets de la maison de Dieu, profitant librement des divers avantages matériels et de l’aide de la maison de Dieu. Ces gens perturbent même délibérément le travail de l’Église, endommageant les machines et les équipements de la maison de Dieu. Voilà comment ils agissent, pourtant, ils s’attendent quand même à mener une vie paisible et à faire ce qui leur plaît dans la maison de Dieu, personne n’étant autorisé à les déranger ou à les provoquer. Ce problème est vraiment grave, pourtant les dirigeants et les ouvriers l’ignorent, ne le résolvant pas, même quand il est signalé par les autres. Ne sont-ils pas des ordures qui ne font aucun travail réel ? N’est-ce pas là manquer gravement à leur devoir ? (Si.) Certains disent : « Je n’ai pas résolu ce problème parce que j’étais occupé par d’autres tâches. Je n’ai simplement pas pu trouver le temps de le faire ! » Ces propos tiennent-ils la route ? Qu’est-ce qui t’occupe à ce point, au juste, si tu ne résous pas un problème aussi grave ? Les affaires qui t’occupent sont-elles importantes ? Es-tu capable de gérer les priorités dans ton travail ? Résoudre les problèmes ne devrait-il pas passer avant tout le reste, même s’il se trouve que tu es très occupé par ton travail ? Comprendre et gérer rapidement les diverses sortes de gens qui interrompent et perturbent le travail de l’Église est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers. Si tu mets de côté les problèmes réels et que tu t’occupes d’autres affaires, fais-tu un travail réel ? Si tu découvres un problème ou que quelqu’un t’en signale un, tu devrais mettre de côté ce que tu es en train de faire et aller immédiatement sur place pour comprendre d’où vient ce problème. S’il s’agit d’une personne malfaisante qui perturbe et interrompt le travail de l’Église, tu devrais d’abord renvoyer cette personne malfaisante. Après cela, résoudre d’autres problèmes sera facile. Si tu découvres un problème et que tu ne le résous pas, en affirmant être trop occupé pour cela, n’es-tu pas, en fait, en train de courir à droite et à gauche comme un écureuil en cage ? Qu’est-ce qui t’occupe tant, de toute façon ? Est-ce du travail réel ? Peux-tu l’expliquer clairement ? Tes raisons et tes excuses tiennent-elles la route ? Pourquoi traites-tu le fait de résoudre les problèmes comme quelque chose qui n’a pas d’importance ? Pourquoi ne résous-tu pas les problèmes dans les meilleurs délais ? Pourquoi trouves-tu des excuses et te défiles-tu, en disant que tu es trop occupé pour t’occuper de ces problèmes ? N’est-ce pas te montrer irresponsable ? En tant que dirigeant dans l’Église, ne pas donner la priorité à la résolution des problèmes, s’occuper à diverses questions sans importance, ne pas reconnaître l’existence de problèmes critiques, être incapable de distinguer l’importance et l’urgence dans le travail et de saisir les points essentiels, tout cela manifeste un calibre particulièrement médiocre, et les individus de ce genre ont l’esprit confus. Ils ont beau être dirigeants depuis des années, ils ne sont pas capables d’accomplir correctement le travail de l’Église. Ils devraient assumer leurs responsabilités et démissionner. Si un dirigeant a un calibre médiocre à l’excès, aucune formation ne lui sera utile. Il sera à coup sûr incapable d’accomplir le moindre travail. Il s’agit d’un faux dirigeant, qui doit être remplacé ou réaffecté. Quand de faux dirigeants sont à l’œuvre, quelles en sont les conséquences ? Objectivement, tout ce que font les faux dirigeants entraîne effectivement des pertes variées pour l’Église. D’une part, le travail essentiel de l’Église n’est pas bien fait, ce qui entrave directement l’efficacité des divers projets d’un travail de l’Église. D’autre part, cela lèse et affecte également l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Surtout, cela affecte la diffusion de l’Évangile du Règne. Ces conséquences sont toutes directement liées au fait que les faux dirigeants ne font pas un travail réel. Pour dire les choses plus clairement, toutes ces conséquences sont dues au fait que les faux dirigeants n’entreprennent aucun travail réel. Si les autres dirigeants et ouvriers peuvent activement entreprendre un travail réel, accélérant ainsi le rythme de la résolution des problèmes et raccourcissant son délai de mise en œuvre, les diverses pertes infligées à la maison de Dieu par les faux dirigeants ne s’en trouveront-elles pas quelque peu atténuées ? Elles pourront au moins s’en trouver réduites. Même si la maison de Dieu n’exige pas de toi que tu résolves les problèmes dès qu’ils émergent, au minimum, une fois que des problèmes sont signalés, tu devrais commencer à t’en occuper immédiatement. Renseigne-toi sur la situation auprès des frères et sœurs, discute avec d’autres dirigeants et ouvriers et échange avec eux sur la façon de résoudre ces problèmes. Si le problème est grave et que tu ne sais pas comment le résoudre, tu devrais rapidement le signaler à tes supérieurs et chercher des solutions. Voilà ce que tous les dirigeants et ouvriers devraient accomplir. Mais le problème actuel est que ces dirigeants et ouvriers, même quand ils ne savent pas résoudre des problèmes, ne signalent pas la situation à leurs supérieurs. Ils ont très peur de le faire de crainte de révéler leur propre incompétence, leur calibre médiocre à l’excès et leur incapacité à faire un travail réel. Ils s’inquiètent d’être remplacés. Pourtant, ils ne prennent pas l’initiative de travailler. Ils sont lents d’esprit, engourdis, lents à agir. Sans chemin pour résoudre les problèmes, ils se contentent de faire dans l’à-peu-près, ce qui mène à une accumulation excessive de problèmes restés sans solution, et ils offrent ainsi des occasions aux personnes malfaisantes. À ce moment-là, voyant que ces faux dirigeants sont des bons à rien, ces personnes malfaisantes et ceux qui ont de l’ambition saisissent l’occasion de commettre des actes malfaisants, sans raison, plongeant l’Église dans le chaos et le désordre, paralysant le travail sous tous ses aspects. Même si les faux dirigeants sont les principaux responsables de cette situation, les autres dirigeants et ouvriers n’ont pas non plus assumé leurs responsabilités. Les dirigeants et les ouvriers ne manquent-ils pas ainsi gravement à leur devoir ? En fait, la plupart des problèmes qui émergent dans l’Église sont directement liés aux perturbations provoquées par les personnes malfaisantes et les incrédules. Si les dirigeants et les ouvriers ne peuvent pas identifier rapidement la cause profonde des problèmes, s’ils ne peuvent pas trouver les principaux responsables des problèmes, et cherchent sans cesse des raisons ailleurs, alors ils ne pourront pas résoudre les problèmes de manière fondamentale, et à l’avenir, des problèmes continueront d’apparaître. Si les fauteurs de troubles ou ceux qui créent des problèmes en coulisses sont attrapés et tenus directement responsables de leurs actes, c’est la façon la plus efficace de gérer les problèmes. À tout le moins, cela garantit que ces incrédules et ces personnes malfaisantes n’oseront plus se déchaîner et provoquer interruptions et perturbations. N’est-ce pas ce que les dirigeants et les ouvriers devraient accomplir ? (Si.) On peut dire, de façon certaine, que la raison principale pour laquelle les problèmes de l’Église deviennent plus nombreux, et ne sont pas résolus en temps opportun, est que les dirigeants et les ouvriers sont irresponsables, ou que les faux dirigeants n’ont pas la vérité-réalité et ne peuvent pas faire un travail réel. Si les dirigeants et les ouvriers ne peuvent pas résoudre les divers problèmes qui émergent dans l’Église, ils ne peuvent assurément pas accomplir le travail inhérent à leur position. Il y a plusieurs situations et causes à comprendre clairement, ici : si les dirigeants et les ouvriers sont des novices sans expérience, il faut les aider patiemment, les amener à résoudre les problèmes, et au cours de la résolution de ces problèmes, ils devraient apprendre certaines choses et saisir les vérités-principes. Ainsi, ils apprendront peu à peu à résoudre les problèmes. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont pas les bonnes personnes, qu’ils refusent complètement d’accepter la vérité, et qu’au lieu de cela, ils utilisent les points de vue et méthodes des non-croyants pour résoudre les problèmes, cela n’est pas conforme aux vérités-principes. De tels individus ne sont pas aptes à être dirigeants ou ouvriers, et ils devraient être remplacés et éliminés dans les meilleurs délais. Ensuite, il faut refaire des élections pour choisir des dirigeants et des ouvriers adaptés. Seule cette approche peut permettre de résoudre intégralement le problème. Être dirigeant d’Église n’est pas chose facile, et il est inévitable que certains problèmes ne puissent pas être réglés. Cependant, si l’on est doué de raison, quand on est face à des problèmes qu’on ne peut pas résoudre, on ne devrait pas dissimuler ou nier ces problèmes et les ignorer. Au contraire, on devrait consulter plusieurs personnes qui comprennent la vérité pour trouver une solution de manière collective, ce qui pourrait résoudre 70 à 80 pour cent des problèmes, et au moins empêcher temporairement que des problèmes majeurs n’émergent. C’est un chemin viable. Si les problèmes ne peuvent vraiment pas être résolus, alors on devrait chercher des solutions auprès du Supérieur, ce qui est un choix sage. Si, parce que tu crains de perdre la face ou crains que le Supérieur t’émonde du fait de ton incompétence, tu dissimules et ne signales pas les problèmes, c’est être complètement passif. Si tu agis comme un idiot engourdi et lent d’esprit, sans savoir quoi faire, cela retardera les choses. De telles situations offrent facilement aux personnes malfaisantes et aux antéchrists des occasions qui leur permettent de profiter du chaos pour agir. Pourquoi dire qu’ils profitent du chaos pour agir ? Parce qu’ils attendent précisément cette occasion. Quand les dirigeants et les ouvriers sont incapables de gérer le moindre problème, que le peuple élu de Dieu est angoissé et mal à l’aise, et qu’il a déjà perdu confiance en ces dirigeants et ouvriers, les personnes malfaisantes et les antéchrists cherchent à exploiter cette faille. Ils pensent que l’Église est dans un état tel qu’elle n’est ni dirigée ni gérée. Ils veulent saisir cette chance de mettre en avant leurs capacités pour amener le peuple élu de Dieu à les admirer, à les soutenir et à croire que, comparés aux dirigeants et aux ouvriers, ils ont un meilleur calibre, qu’ils sont davantage capables de résoudre les problèmes et de montrer la porte de sortie, et qu’ils peuvent mieux inverser le cours des choses au milieu du chaos. N’est-ce pas là ce que les personnes malfaisantes et les antéchrists veulent faire par-dessus tout ? À ce moment-là, quand les dirigeants et les ouvriers sont impuissants, et que les personnes malfaisantes et les antéchrists se lèvent et résolvent les problèmes, et qu’ils montrent même la porte de sortie, qui le peuple élu de Dieu croira-t-il ? Naturellement, il croira aux personnes malfaisantes et aux forces des antéchrists. Qu’est-ce que cela montre ? Cela montre que les dirigeants et les ouvriers sont des bons à rien qui n’accomplissent rien, échouant à des moments cruciaux. Est-ce que de telles gens sont quand même dignes d’être dirigeants et ouvriers ? Même si les antéchrists n’ont pas la vérité-réalité et qu’ils ne peuvent pas faire de travail réel, ils possèdent tous certains dons, à des degrés divers, et ils sont relativement plus astucieux que les autres quant aux affaires extérieures, ce qui, précisément, leur confère un avantage et leur permet d’induire les gens en erreur. Mais s’ils devaient devenir dirigeants ou ouvriers, pourraient-ils réellement utiliser la vérité pour résoudre les problèmes du peuple élu de Dieu ? Pourraient-ils vraiment amener le peuple élu de Dieu à manger et boire les paroles de Dieu, à comprendre la vérité et à entrer dans la vérité-réalité ? Absolument pas. Même s’ils ont certains dons et sont éloquents, ils n’ont absolument pas la moindre vérité-réalité. Sont-ils aptes à être dirigeants et ouvriers de l’Église ? Pas du tout ! C’est quelque chose que le peuple élu de Dieu devrait percer à jour. Il ne doit jamais être induit en erreur ou trompé par des personnes malfaisantes ou des antéchrists. Les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists ne poursuivent pas du tout la vérité et ils n’ont pas la moindre parcelle de vérité-réalité. Alors, dites-Moi, peuvent-ils parler avec conscience et raison, et dire des choses telles que : « Même si l’Église n’est dirigée par personne en ce moment, nous devons agir de notre propre initiative. Les règlements de la maison de Dieu ne peuvent pas être enfreints, les principes requis par la maison de Dieu ne peuvent pas être changés. Nous devrions faire ce que nous sommes censés faire. Chacun devrait s’en tenir aux devoirs qu’il est censé faire, s’acquitter de ses responsabilités et ne pas perturber l’ordre des choses » ? Pourraient-ils dire ce genre de chose ? (Non.) Absolument pas ! Que feront ces incrédules et ces personnes malfaisantes ? Sans surveillance ni supervision, ils ne font même pas leurs devoirs, ils se font plaisir en buvant, en mangeant, en jouant, et en s’amusant, se livrant à de vains bavardages, plaisantant, et allant même jusqu’à flirter. Certains passent leurs nuits à regarder des vidéos du monde des non-croyants, puis emploient l’excuse de s’être couchés tard pour faire leurs devoirs afin de tirer au flanc et de dormir à l’excès. Voilà ce que font les personnes malfaisantes, celles qui entrent dans la catégorie des démons. Quand elles commettent ces mauvaises actions, éprouvent-elles la moindre culpabilité ? Se mettront-elles soudain à développer une conscience et à prendre l’initiative d’assumer certaines responsabilités humaines et de faire quelque chose qui bénéficie à la maison de Dieu, à l’Église et aux frères et sœurs ? Absolument pas. Quand quelqu’un les observe, elles font, en rechignant, un peu de travail qui leur donne une bonne image, simplement pour en tirer un repas. C’est la seule chose qu’elles sont capables de faire. En dehors de cela, ces gens n’ont pas la moindre qualité qui les rachète. Alors, y a-t-il le moindre intérêt à ce que ces gens restent dans la maison de Dieu ? Cela ne présente absolument aucun intérêt. Les gens comme eux sont superflus et doivent être renvoyés.

Comment évaluer si quelqu’un aime ou non la vérité ? Laissez-Moi vous donner un exemple, pour que vous compreniez. Certains individus s’investissent dans une profession, et plus ils apprennent, plus ils approfondissent leurs recherches, plus ils comprennent de choses. Ensuite, plus ils sont prêts à s’investir dans cette profession et moins ils sont disposés à la quitter. De quel genre de manifestation s’agit-il ? Cela veut-il dire qu’ils aiment vraiment cette profession ? (Oui.) Quelles que soient les souffrances qu’ils endurent, quel qu’en soit le prix, quels que soient les efforts qu’ils font, ils continuent à exercer cette profession sans regrets, sans se laisser décourager. Il s’agit là d’une véritable affection, d’une appréciation profonde, sincère. Supposons que quelqu’un affirme aimer un certain emploi, mais qu’il ne soit pas prêt à endurer des souffrances ou à payer le prix pendant qu’il acquiert des compétences professionnelles, et que, lorsque de nombreux problèmes émergent dans le travail, cet individu ne cherche pas de solutions, craignant d’avoir des ennuis, et qu’il se dise même souvent que s’investir dans cette profession est un souci, un fardeau. Cependant, changer de profession n’est pas chose facile, et considérant les avantages matériels que cette profession peut lui valoir, cet individu s’y investit, à contrecœur, mais il ne devient jamais remarquable dans son domaine. Alors, apprécie-t-il vraiment cette profession ? (Non.) Il est évident que ce n’est pas le cas. Il y a un autre type d’individus. Ces individus, en paroles, expriment leur penchant pour une certaine profession et s’y investissent, mais ils n’endurent jamais de souffrances ou ne paient jamais un prix pour acquérir des compétences professionnelles correctement. Ils peuvent même se mettre à éprouver de la répulsion ou de la détestation pour cette profession au cours du processus d’apprentissage, devenant de moins en moins disposés à apprendre. Quand leur répulsion atteint un certain degré, ils changent de carrière, et ensuite, ils ne veulent plus parler du moindre processus, des moindres histoires ou de quoi que ce soit d’autre remontant à la période durant laquelle ils s’investissaient dans cette profession. De tels individus apprécient-ils vraiment cette profession ? (Non.) Ils ne l’apprécient pas. Ils peuvent facilement y renoncer, éprouver du dégoût pour elle et même changer de carrière, ce qui prouve qu’ils ne l’apprécient pas vraiment. La raison pour laquelle ils peuvent y renoncer est qu’après y avoir consacré beaucoup de temps, d’énergie et d’argent, leur profession ne leur a pas permis d’avoir la vie aisée qu’ils souhaitaient avoir, ni d’être bien traités sur le plan matériel. Dans leur cœur, ils se mettent à avoir de l’aversion pour cette profession et à la maudire, et ils interdisent même aux autres d’en parler. Eux-mêmes n’en parlent plus et ils ont même honte de s’être investis dans cette profession auparavant et de l’avoir considérée comme leur idéal et l’objectif le plus élevé à poursuivre dans la vie. Étant donné la mesure dans laquelle ils peuvent avoir de l’aversion pour cette profession, la démonstration initiale de leur penchant à son égard était-elle sincère ? (Non.) Il n’y a qu’un seul type de personnes qui apprécie vraiment cette profession. Ces personnes, que cette profession leur permette de bien vivre sur le plan matériel ou non, qu’elle leur procure des avantages importants ou non, et quel que soit le nombre de difficultés que ces personnes rencontrent ou la somme de souffrances qu’elles endurent dans cette profession, peuvent continuer à l’exercer, sans se laisser décourager, jusqu’au bout. C’est cela avoir un véritable penchant pour cette profession. Il en va de même pour ce qui est de savoir si une personne aime la vérité. Si tu aimes vraiment les choses positives et que tu passes de l’amour des choses positives à l’amour de la vérité, alors, quelles que soient les situations que tu rencontres, tu persisteras à chercher et poursuivre la vérité, sans changer l’objectif de ta vie. Si tu peux, avec désinvolture, renoncer à croire en Dieu et abandonner le chemin qui mène au salut, ce n’est pas aimer vraiment la vérité. Quant à ceux qui ne poursuivent pas la vérité, mais qui ne renoncent pas non plus, leur persévérance n’a qu’une seule explication : ils pensent que tant qu’ils ont le moindre espoir d’avoir une bonne fin et une bonne destination, un bon avenir, cela vaut la peine de tenter le coup, et qu’ils devraient persévérer jusqu’au bout. Ils croient que cette persévérance est nécessaire. Il se trouve simplement que les désastres s’accroissent et qu’il n’y a nulle part ailleurs où aller, de sorte qu’ils peuvent tout aussi bien rester dans les parages et tenter leur chance. De tels individus ont-ils ne serait-ce qu’un peu d’amour pour la vérité dans leur cœur ? (Non.) Ce n’est pas le cas. Quand ils commencent à croire en Dieu pour la première fois, ces gens disent aussi qu’ils haïssent le monde, qu’ils haïssent Satan et les choses négatives, qu’ils aiment les choses positives et désirent ardemment la lumière. Mais quel est leur comportement quand ils rentrent dans la maison de Dieu, dans l’Église ? Quelle est leur attitude quand ils découvrent qu’ils sont des exécutants, quand ils comprennent que leurs actes, leurs comportements et leur nature déplaisent à Dieu ? Quel genre de comportements affichent-ils ? On peut dire que lorsqu’ils sentent, ont l’impression ou pensent qu’ils ne sont plus privilégiés dans la maison de Dieu, qu’ils sont destinés à être éliminés, certains choisissent de partir. D’autres, même s’ils restent dans l’Église à contrecœur, s’abandonnent au désespoir, et sont forcés de partir au bout du compte. De tels individus n’aiment pas du tout la vérité. Quand leur désir d’obtenir des bénédictions vole en éclats, ils peuvent trahir Dieu et Lui tourner le dos. Ces diverses manifestations montrent les attitudes de différentes personnes vis-à-vis de la vérité.

IV. Les différentes fins que connaissent ces trois sortes d’individus

À l’instant, nous venons d’échanger sur les caractéristiques de trois types de personnes : les exécutants, les ouvriers embauchés et le peuple de Dieu. D’après leurs caractéristiques, il est clair que leur fin ultime n’est pas déterminée par des environnements objectifs ou des situations objectives, mais par leurs propres poursuites et leur nature-essence. Bien entendu, objectivement, c’est Dieu qui détermine le destin des gens, mais Dieu le fait en Se demandant si les gens aiment ou non la vérité et s’ils sont capables ou non de l’accepter. Les exécutants déclarent également aimer la vérité et les choses positives, mais à la fin, quand l’œuvre de Dieu se conclut, leurs notions et leur imagination concernant Dieu, leurs exigences extravagantes à l’égard de Dieu, et leur trahison de Dieu restent les mêmes. La raison en est que, durant la période de l’œuvre de Dieu, au cours du processus qui consiste à suivre Dieu et à faire leurs devoirs, ils n’auront jamais résolu leur tempérament corrompu. La raison profonde pour laquelle ils ne remédient pas à leur tempérament corrompu est que, fondamentalement, ils n’acceptent pas la vérité. Même s’ils ont le désir de se soumettre à Dieu, ce qu’ils manifestent vraiment n’est qu’une capacité à renoncer et une volonté de payer un prix, sans jamais chercher les vérités-principes ou la voie de la soumission à Dieu. Le résultat ultime est que, même s’ils fournissent beaucoup d’efforts, ils n’ont pas la moindre connaissance de Dieu. Ils restent capables de trahir Dieu et d’exprimer leurs notions et les produits de leur imagination à Son sujet, ainsi que leurs exigences déraisonnables à Son égard, devant les autres et devant Satan. Quand l’œuvre de Dieu se conclura, ils considéreront encore qu’ils « ont une bonne humanité, qu’ils croient sincèrement en Dieu, qu’ils sont capables de renoncer et d’endurer des souffrances, et qu’ils pourront à coup sûr être sauvés », et pour cette raison, ils sont en paix. En réalité, ils ont toujours suivi le chemin des exécutants, sans poursuivre la vérité du tout. Par conséquent, ils conservent toujours une identité d’exécutants. En ce qui concerne une autre catégorie de gens, celle des ouvriers embauchés, nous n’allons pas en parler. Il y a aussi une autre catégorie, celle du peuple de Dieu, que nous venons d’évoquer. Pendant que ces gens suivent Dieu, ils se dépensent pour Lui, ils Lui consacrent leur temps et leur énergie, et même leur jeunesse, ils endurent nombre de souffrances et paient un prix élevé, comme les exécutants. Il en va de même que pour les exécutants. Quelle est la différence, alors ? C’est que, lorsque l’œuvre de Dieu se conclura, leurs nombreuses notions, les nombreux produits de leur imagination et leurs nombreuses exigences extravagantes à l’égard de Dieu auront été résolus. Ils se seront débarrassés des manifestations, des états et des révélations de corruption qui résistent manifestement à Dieu, au sein de leur tempérament corrompu. Les aspects qui n’ont pas encore été résolus se dissiperont quand ils en viendront peu à peu à comprendre la vérité par le biais de l’expérience. Même s’ils ne se sont pas entièrement débarrassés de leur tempérament corrompu, leur tempérament-vie aura connu certains changements. La plupart du temps, ils seront capables de pratiquer conformément aux vérités-principes qu’ils comprennent, et les révélations de leur tempérament corrompu auront diminué de façon significative. Même si l’on ne peut pas dire qu’ils n’afficheront pas ces révélations quel que soit l’environnement, ces gens auront satisfait à une exigence fondamentale : ils auront satisfait à l’exigence de Dieu qui leur demande d’être honnêtes. Fondamentalement, ils seront des gens honnêtes. En outre, quand ces gens révéleront leur tempérament corrompu, quand ils commettront des transgressions ou nourriront des notions ou des rébellions à l’encontre de Dieu, quel que soit l’environnement dans lequel ils le feront, ils auront une attitude repentante. Il y a un autre sujet particulièrement important : quelles que soient les mesures spécifiques que Dieu prendra et quelle que soit la façon dont Il agira durant l’œuvre de jugement des derniers jours, quoi qu’Il ait l’intention de faire à l’avenir, quelle que soit la façon dont Il arrangera le destin de l’humanité, et quelle que soit la façon dont l’humanité elle-même vivra au sein de l’environnement qu’Il aura arrangé, tous les membres de l’humanité auront un cœur soumis et une attitude de soumission, ils seront libérés des choix, des projets et des desseins personnels. Du fait de ces diverses manifestations proactives et positives, ils seront déjà devenus la sorte d’individus dont Dieu a besoin, des individus qui suivent la voie de Dieu, voie qui consiste à Le craindre et à s’éloigner du mal. Ils seront encore loin de la véritable norme, selon laquelle il faut « craindre Dieu et s’éloigner du mal, et être un homme parfait », comme stipulé par Dieu, mais quand les épreuves de Dieu seront sur eux, ils pourront chercher et se soumettre, ce qui est suffisant. Ils ne se plaindront pas, il se contenteront d’attendre et de se soumettre. Même si votre situation actuelle est peut-être encore éloignée d’un tel résultat et que, pour certains, ce résultat peut sembler très lointain et hors de portée, si vous pouvez accepter la vérité et traiter les paroles de Dieu comme votre principe et votre fondement dans l’existence, alors croyez qu’un jour, toi, ou vous tous, ne serez plus loin de devenir le vrai peuple de Dieu, le peuple que Dieu aime. Croyez que ce jour approche. Que ce jour soit actuellement prophétisé ou qu’il approche, le résultat ultime n’est pas un fantasme, dans un cas comme dans l’autre, mais un fait qui est sur le point de se réaliser et d’être accompli. En qui exactement ce fait se trouvera accompli, en quelles personnes il se trouvera accompli, dépend de la façon dont vous poursuivez réellement la vérité. Autrement dit, que tu aimes vraiment la vérité au point de pouvoir la poursuivre et la pratiquer, ou que tu aies seulement un peu d’amour pour la vérité, mais que tu ne puisses pas pleinement l’accepter et la pratiquer, le résultat final te fournira la réponse. Bien, nous allons conclure notre échange sur ce thème maintenant.

Les normes et les bases pour discerner les différentes sortes de personnes malveillantes

II. Sur la base de l’humanité d’une personne

Maintenant, nous allons continuer à échanger sur la quatorzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers : « Discerner, puis exclure ou expulser rapidement toutes sortes de personnes malfaisantes et d’antéchrists. » Les normes pour discerner toutes sortes de personnes malfaisantes se divisent en trois catégories principales. Précédemment, nous avons échangé sur le but des gens quand ils croient en Dieu, puis nous sommes passés à leur humanité. Pour ce qui est de leur humanité, nous avons également catégorisé de nombreuses manifestations différentes. Quelles sont les différentes manifestations sur lesquelles nous avons déjà échangé ? Lisez-les. (Le deuxième point, qui porte sur le fait de discerner toutes sortes de personnes malfaisantes, concerne l’humanité des gens. 1. Aimer déformer les faits et les mensonges ; 2. Aimer profiter des avantages ; 3. Être dissolu et sans retenue ; 4. Être enclin à la vengeance ; 5. Être incapable de tenir sa langue.) Nous avons échangé jusqu’au cinquième sujet, qui porte sur le fait de ne pas être capable de tenir sa langue. Peu importe que nous échangions sur des manifestations spécifiques de l’humanité des gens ou sur des manifestations spécifiques d’autres choses, comme Je l’ai dit, cela aura un effet différent sur différents types d’individus. Ceux qui poursuivent la vérité, après avoir écouté, se concentreront sur la démarche qui consiste à s’examiner eux-mêmes. Ils se compareront à Mon échange et auront une entrée proactive et positive. Cependant, ceux qui ne poursuivent pas la vérité, comme les exécutants, se contenteront d’écouter, et voilà tout. Ces gens ne prennent pas les choses à cœur, ou n’écoutent pas de tout leur cœur. Parfois, ils peuvent même s’endormir alors qu’ils écoutent des sermons. Ils ne peuvent pas absorber tout cela, et pensent même : « À quoi bon écouter ces histoires sans importance ? C’est une perte de temps. Je n’ai même pas encore terminé le travail que je faisais ! » Ils s’inquiètent sans cesse des tâches qui nécessitent de trimer. Ils se montrent particulièrement enthousiastes et dévoués pour ce qui est de trimer, de faire preuve de loyauté, mais ils sont tout simplement incapables de trouver l’énergie nécessaire pour les questions impliquant la vérité. Cela révèle clairement que de tels individus ne s’intéressent pas à la vérité. Ils se satisfont de ne faire que trimer. Il y a un autre groupe de gens qui gardent la même attitude quelle que soit la façon dont la maison de Dieu échange sur la vérité. Ces gens disent : « Je suis simplement résistant et hostile. Même si tu signales mes problèmes et exposes mes manifestations, mes révélations et mes tempéraments, je n’y ferai quand même pas attention et ne le prendrai pas aux sérieux. Alors, qu’est-ce que ça peut faire si les autres savent que je suis en train d’être exposé ? » Ces gens continuent simplement, de façon éhontée, à désobéir et à s’opposer, ce qui est inexpiable. Quoi qu’il en soit, on peut faire la distinction entre les manifestations de différents types d’individus. La vérité, que ce soit pour ceux qui la poursuivent, pour ceux qui sont disposés à trimer, mais qui ne l’aiment pas, ou pour ceux qui ont de la répulsion et de l’aversion pour elle, est une épée à double tranchant et une pierre de touche, qui permettent d’évaluer l’attitude des gens vis-à-vis de la vérité et également le chemin qu’ils empruntent.

F. Être déraisonnable et délibérément problématique, sans que personne n’ose vous provoquer

Précédemment, nous avons échangé sur le fait de discerner les cinq manifestations de diverses personnes malfaisantes. Aujourd’hui, nous continuons à échanger sur la sixième manifestation. Il s’agit également de la manifestation d’un type de personnes malfaisantes, ou plutôt, même si les gens ne considèrent pas que ce type est malfaisant, tout le monde déteste, malgré tout, ces personnes. Pour quelle raison ? Parce qu’elles manquent de conscience et de raison, parce qu’elles n’ont pas une humanité normale, et que les interactions avec elles sont particulièrement problématiques et difficiles, suscitant le dégoût. Quelles sont les manifestations spécifiques de ces personnes ? Elles sont déraisonnables et délibérément problématiques, et personne n’ose les provoquer. Y a-t-il de telles personnes dans l’Église ? Même si elles ne sont pas nombreuses, il y en a, sans aucun doute. Et quelles sont leurs manifestations spécifiques ? Dans des circonstances habituelles, ces personnes peuvent faire leurs devoirs normalement et interagir avec les autres assez normalement. Tu ne verras pas chez elles un tempérament méchant. Cependant, quand leurs actes s’opposent aux vérités-principes et qu’elles sont émondées, elles laisseront éclater leur colère, rejetant complètement la vérité tout en se trouvant des excuses de sophistes. Tu te rends soudain compte qu’elles sont comme des hérissons couverts de piquants, des tigres qu’on ne peut pas toucher. Tu penses : « J’ai interagi avec cette personne pendant si longtemps, en pensant qu’elle avait une bonne humanité, une bonne compréhension, et qu’il était facile de lui parler, croyant qu’elle pouvait accepter la vérité. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle devienne quelqu’un qui se montre déraisonnable et délibérément problématique. Je dois faire plus attention dans mes interactions avec elle, à l’avenir, réduire mes contacts avec elle, sauf quand c’est nécessaire, et garder mes distances avec elle pour ne pas la provoquer. » Avez-vous vu de telles personnes qui sont déraisonnables et délibérément problématiques ? En général, ceux qui les comprennent savent à quel point elles sont redoutables, et ils leur parlent avec une politesse et des précautions particulières. Notamment, quand vous leur parlez, vous ne devez surtout pas les blesser, sinon, vous aurez des ennuis sans fin avec elles. Certains disent : « Qui sont exactement ces personnes grossières ? Nous ne les avons pas encore rencontrées. » Dans ce cas, nous devons vraiment en parler. Par exemple, pendant que les frères et sœurs échangent sur leurs expériences, quand certains évoquent leurs états corrompus ou leurs difficultés personnelles, il est inévitable que les autres compatissent, ayant fait des expériences ou ayant eu des sentiments semblables. C’est tout à fait normal. Après avoir écouté, on pourrait penser : « J’ai fait de telles expériences, moi aussi, alors échangeons sur ce thème ensemble. Je veux savoir comment tu as vécu cela. Si ton échange a de la lumière, et qu’il porte sur un problème que j’ai, alors je l’accepterai et pratiquerai conformément à tes expériences et à ton chemin, pour voir quels seront les résultats. » Il n’y a qu’un seul type de personnes qui, en entendant les autres échanger sur la connaissance qu’ils ont d’eux-mêmes et dévoiler leur propre corruption et leur propre laideur, croient que c’est là les exposer et les juger indirectement, et qui ne peuvent s’empêcher de taper sur la table et de se mettre en colère, en disant : « Qui n’a pas de corruption ? Qui vit dans le vide ? Selon moi, votre corruption est encore pire que la mienne ! Quelles qualifications avez-vous, vous tous, pour me prendre pour cible, pour m’exposer ? D’après moi, vous voulez simplement me rendre les choses difficiles, m’exclure ! N’est-ce pas simplement parce que je viens de la campagne et que je ne peux pas vous dire des paroles plaisantes pour vous flatter, vous tous ? N’est-ce pas parce que je ne suis pas aussi éduqué que vous ? Dieu ne me méprise même pas, alors qu’est-ce qui vous donne le droit de me mépriser ! » Les autres disent : « C’est un échange normal, tu n’es pas visé. Les tempéraments corrompus de tout le monde ne sont-ils pas les mêmes ? Quand quelqu’un échange sur un certain thème et mentionne son propre état corrompu, il est inévitable que les autres se trouvent dans des états similaires. Si tu penses partager le même état, tu peux également échanger sur tes expériences. » Ce à quoi la personne répond : « Ah oui ? Je pourrais tolérer un tel échange venant d’une seule personne, mais pourquoi vous mettez-vous à deux ou trois pour me harceler ? Pensez-vous qu’il est facile de me bousculer ? » Plus cette personne parle, plus ses paroles deviennent outrancières, n’est-ce pas ? (Oui.) De telles personnes font-elles preuve de raison quand elles prononcent ces paroles ? (Non.) Si tu penses vraiment que le thème de l’échange des autres te vise, tu peux parler de ce thème ou échanger à son propos. Demande directement si cela te vise, au lieu d’amener dans la discussion tes antécédents en tant qu’agriculteur, ton niveau d’éducation inférieur ou le fait que les gens te méprisent. À quoi bon dire ces choses ? N’est-ce pas jacasser sur le bien et le mal ? N’est-ce pas être déraisonnable et délibérément problématique ? (Si.) Ne pensez-vous pas que de telles personnes sont épouvantables ? (Si.) Une fois que cette personne a fait une telle scène, tout le monde sait de quel genre de personne il s’agit, et quand les autres échangent lors de réunions ultérieures, ils doivent sans cesse parler prudemment et étudier les expressions de cette personne. Si son visage devient sombre, les autres hésitent à parler, et tout le monde se sent inhibé durant les échanges dans les réunions. Ces contraintes et perturbations ne sont-elles pas engendrées par le fait que cette personne se montre déraisonnable et délibérément problématique ? (Si.) Ceux qui sont déraisonnables et délibérément problématiques sont tous au-delà du raisonnement. De tels individus n’accepteront pas la vérité et il n’est pas possible qu’ils soient sauvés.

Les personnes de ce type, déraisonnables et délibérément problématiques, affichent une autre manifestation. Au cours des réunions, certaines disent sans cesse : « Je ne peux plus agir de manière superficielle. Je dois me concentrer sur la pratique de la vérité. Je dois poursuivre le perfectionnement. Je m’efforce naturellement d’exceller. Quoi que je fasse, cela doit être bien fait. » Ces personnes font de beaux discours, mais en réalité, elles continuent d’agir de manière superficielle quand elles font leur devoir, et le devoir qu’elles font pose de nombreux problèmes, il est loin d’avoir pour effet de rendre témoignage à Dieu. Quand des dirigeants signalent les problèmes qui se posent dans l’accomplissement de leur devoir et qu’ils émondent ces personnes, elles se mettent immédiatement en colère, et disent : « Je le savais. Vous me jugez tous derrière mon dos, en disant que mes compétences professionnelles sont médiocres. N’est-ce pas simplement que vous me méprisez tous ? Ce n’était qu’une petite erreur, c’est tout. Est-il nécessaire de m’émonder ainsi ? En outre, qui ne commet pas d’erreurs ? Tu dis que j’agis de manière superficielle, mais n’as-tu jamais été superficiel dans ton travail auparavant, toi aussi ? Es-tu qualifié pour me critiquer ? Si je ne coopérais pas, qui parmi vous pourrait assumer ce travail ? » Que pensez-vous de telles personnes ? Quoi qu’elles fassent, elles ne permettent pas aux autres de signaler leurs insuffisances, ou de faire des suggestions. Elles n’acceptent pas l’émondage, même quand il est justifié. Elles affrontent quiconque s’exprime et elles s’y opposent, proférant des paroles déraisonnables, disant même qu’on les méprise, ou qu’on les harcèle parce qu’elles sont seules et impuissantes, ou d’autres choses de ce genre. N’est-ce pas là être indiscipliné, déraisonnable et délibérément problématique ? Il y a même certaines personnes qui, après avoir été émondées, abandonnent leur devoir, et disent : « Je ne ferai plus ce travail. Si vous pouvez le faire, ne vous privez pas. Ensuite, je verrai si vous pouvez continuer à faire ce travail sans moi !» Les frères et sœurs essaient de les convaincre, mais ces personnes n’écoutent pas. Même quand des dirigeants et des ouvriers échangent sur la vérité avec elles, elles refusent de l’accepter. Elles se mettent à prendre de grands airs et à abandonner leur devoir. Pendant les réunions, elles boudent, elles ne lisent pas les paroles de Dieu et n’échangent pas non plus, elles sont toujours les dernières à arriver et les premières à partir. Quand elles partent, elles tapent du pied et claquent la porte, et la plupart des gens ne savent absolument pas comment les gérer. Quand il arrive des choses à de telles personnes, elles débitent des arguments absurdes et des inepties. Elles se montrent indisciplinées et lancent même des objets, elles sont complètement imperméables à la raison. Certaines affichent même des manifestations plus graves : si les frères et sœurs ne les saluent pas, elles sont mécontentes et, pendant les réunions, elles saisissent cette occasion pour hurler : « Je sais que vous me méprisez tous. Pendant les réunions, vous tous, vous ne vous attachez qu’à échanger sur les paroles de Dieu et à discuter de la compréhension que vous avez de vos propres expériences. Personne ne tient à moi, personne ne m’adresse un sourire et personne ne me dit au revoir quand je pars. Quelle sorte de croyants êtes-vous ? Vous manquez vraiment d’humanité ! » Elles piquent des crises de cette façon dans l’Église. Elles se mettent en rage même au sujet de questions insignifiantes et déversent tous leurs griefs accumulés. Clairement, elles révèlent leur propre tempérament corrompu, mais elles ne réfléchissent pas sur elles-mêmes et ne se connaissent pas non plus elles-mêmes, et elles n’ont aucun désir de poursuivre le changement ou la vérité. Au lieu de cela, elles cherchent les problèmes chez les autres, et trouvent diverses excuses pour équilibrer leur propre psychisme, et pendant qu’elles le font, elles cherchent des occasions d’évacuer leurs griefs. Mais surtout, elles ont l’intention d’amener davantage de gens à les remarquer et à les craindre, afin de gagner une part de prestige et d’attention parmi les gens. Les personnes comme ça sont tellement problématiques ! Quoi qu’elles disent, personne n’ose leur répondre « non ». Personne n’ose les évaluer à la légère, personne n’ose s’ouvrir à elles ni échanger avec elles. Même si l’on observe des défauts et des tempéraments corrompus chez elles, personne n’ose les signaler. Pendant les réunions, quand tout le monde échange sur ses expériences personnelles et sa compréhension des paroles de Dieu, les gens évitent prudemment le nid de guêpes que sont ces personnes, craignant de les provoquer et de créer des problèmes. Certaines de ces personnes se défoulent pendant les réunions, après s’être senties maltraitées ou avoir fait face à des désagréments chez elles ou au travail. Clairement, ces personnes font des frères et sœurs leur exutoire et leur défouloir. Quand elles sont contrariées, elles débitent des arguments absurdes, elles pleurent et piquent des crises. Alors, qui oserait échanger sur la vérité avec elles ? Si l’on échange avec elles, et qu’il se trouve qu’un mot touche un point sensible, elles menaceront de se suicider. Ce sera encore plus problématique. Avec de telles personnes, un échange normal ne fera pas l’affaire, une conversation normale ne fera pas l’affaire, être trop chaleureux ou trop froid ne fera pas l’affaire, les éviter ne fera pas l’affaire, trop se rapprocher d’elles ne fera pas l’affaire, et si les frères et sœurs n’expriment pas un bonheur équivalent au leur, cela ne fera pas l’affaire. Et quand ces personnes rencontrent des difficultés, si les frères et sœurs ne sont pas dans le même désarroi qu’elles, cela ne fera pas l’affaire non plus. Rien ne marche avec ces personnes. Tout ce que l’on fait peut les agacer et les mettre en rage. Quelle que soit la façon dont elles sont traitées, elles ne sont jamais satisfaites. Même Mes sermons et échanges sur les états de certaines personnes peuvent les provoquer. Comment cela les provoque-t-il ? Elles pensent : « N’est-ce pas là m’exposer ? Tu n’as même pas interagi avec moi, et je ne T’ai rien dit de ce que j’ai fait en privé. Comment pourrais-Tu le savoir ? Quelqu’un a dû moucharder. Il faut que je découvre qui a été en contact avec Toi, qui a mouchardé, qui m’a signalé. Je ne laisserai pas tomber ! » Les personnes de ce type qui sont déraisonnables et délibérément problématiques peuvent avoir des pensées tordues sur tout, et elles sont incapables de traiter quoi que ce soit correctement. Elles sont au-delà de la raison ! La rationalité leur échappe complètement et elles peuvent encore moins accepter la vérité. Rester dans l’Église leur nuit, cela ne leur est pas bénéfique. Elles ne sont qu’un fardeau, une charge, dont il faut se débarrasser rapidement. Elles devraient être renvoyées immédiatement !

En Chine, croire en Dieu a pour conséquence que l’on est opprimé et persécuté par le grand dragon rouge, et il y a tant de gens qui sont pourchassés et qui ne peuvent pas rentrer chez eux. Cependant, certains individus, quand ils sont persécutés et qu’ils ne peuvent pas rentrer chez eux, croient avoir gagné des mérites ou une qualification. Ils vivent dans des familles où ils sont hébergés, et ne se contentent pas de se faire servir : si quoi que ce soit va un peu à l’encontre de leurs souhaits ou si leur foyer commence à leur manquer, ils se mettent à faire une scène, et les autres doivent les cajoler et les tolérer. De tels individus ne sont-ils pas déraisonnables et délibérément problématiques ? Tant de gens sont persécutés, et il n’y a pas beaucoup de familles d’hébergement. C’est par amour que les frères et sœurs hébergent ceux qui ne peuvent pas rentrer chez eux. Ils leur évitent d’être à la rue et leur permettent de vivre chez eux. N’est-ce pas là la grâce de Dieu ? Pourtant, certains individus, non seulement, n’apprécient pas cette grâce de Dieu, mais ne voient pas non plus l’amour des frères et sœurs. Au lieu de cela, ils sont mécontents et vont jusqu’à se plaindre et à se montrer indisciplinés. Les conditions de vie chez les frères et sœurs sont en fait quelque peu meilleures que chez ces individus. En particulier pour ce qui est de croire en Dieu et de faire son devoir, résider chez les frères et sœurs est encore mieux que résider chez soi, et avoir des frères et sœurs avec lesquels coopérer harmonieusement est toujours bien mieux que d’être tout seul. Même si les conditions de vie dans certaines régions sont un peu déficientes, elles équivalent quand même à un niveau de vie moyen. Le plus important est que ces gens peuvent vivre avec les frères et sœurs, se réunir souvent, manger et boire souvent les paroles de Dieu, comprendre davantage de vérités et savoir quels sont les objectifs de leur poursuite. Ainsi, ceux qui poursuivent la vérité peuvent payer ce prix et subir cette souffrance. La plupart des gens ont la bonne attitude vis-à-vis de tout cela. Ils sont capables de l’accepter comme venant de Dieu, en sachant que cette souffrance en vaut la peine, et qu’ils doivent la subir. Ils peuvent considérer cela correctement. Mais certaines personnes déraisonnables, délibérément problématiques, qui sont indisciplinées, ne peuvent tout simplement pas saisir les choses de cette façon. Elles pourraient tout juste tolérer de ne pas pouvoir rentrer chez elles pendant une semaine, mais au bout de deux semaines, elles deviennent maussades, et au bout d’un mois ou deux, elles deviennent indisciplinées, et disent : « Comment se fait-il que votre famille puisse vivre heureuse ensemble, alors que je ne peux pas aller retrouver la mienne ? Pourquoi n’ai-je aucune liberté, alors que vous tous pouvez aller et venir comme bon vous semble ? » Les autres répondent : « N’est-ce pas dû aux persécutions du grand dragon rouge ? N’est-il pas normal que nous endurions une telle souffrance, nous qui suivons Dieu ? Quelle est l’importance de cette petite souffrance ? Étant donné les circonstances, en quoi y a-t-il à se montrer difficiles ? Si les autres peuvent endurer cette souffrance, pourquoi ne le peux-tu pas ? » Ceux qui sont déraisonnables et délibérément problématiques ne veulent pas souffrir du tout. S’ils se faisaient prendre et étaient mis en prison, ils deviendraient à coup sûr des Judas. Quelle souffrance y a-t-il exactement à vivre dans une famille d’hébergement ? Premièrement, la nourriture est, malgré tout, une nourriture humaine. Deuxièmement, personne ne te rend la vie difficile. Et troisièmement, personne ne te harcèle. C’est juste que tu ne peux pas rentrer chez toi pour rejoindre ta famille, et cette petite souffrance est tout simplement inacceptable pour les gens déraisonnables et délibérément problématiques. Quand les autres échangent avec ces gens sur la vérité, ils refusent d’assimiler ce qu’ils leur disent, mais font des déclarations telles que : « Ne me fais pas la leçon quant à ces doctrines grandioses. Je les comprends autant que toi. Je sais tout cela ! Dis-moi simplement : quand pourrai-je rentrer chez moi ? Quand le grand dragon rouge cessera-t-il de surveiller ma maison ? Quand pourrai-je rentrer chez moi sans que le grand dragon rouge ne m’arrête ? Si je ne sais pas quand je pourrai rentrer chez moi, alors autant ne pas vivre ! » Ils font de nouveau une scène, et ce faisant, ils s’assoient par terre et donnent des coups de pied, et plus ils le font, plus ils sont en colère, et ils piquent également une crise incontrôlable, pleurant et hurlant. Les autres disent : « Ne crie pas comme ça. Si tu continues et que les voisins entendent, ils s’apercevront que des étrangers vivent ici, et cela nous exposera, n’est-ce pas ? » Ils répondent : « Je m’en moque, je veux simplement faire une scène ! Vous pouvez tous rentrer chez vous, mais pas moi. Ce n’est pas juste ! Je vais faire une telle scène que vous ne pourrez pas rentrer chez vous, vous non plus, exactement comme moi ! » Leur crise incontrôlable ne se calme pas, et leur méchanceté remonte à la surface. Personne ne peut les ramener à la raison, personne ne peut les convaincre. Quand leur humeur s’améliore un peu, ils se calment et cessent de faire une scène. Mais qui sait, à tout moment, ils pourraient se montrer indisciplinés à nouveau et refaire une scène. Il leur faudra absolument aller se promener et être libres, et parler haut et fort à l’intérieur. Ils comploteront constamment pour rentrer chez eux. Les frères et sœurs les avertissent : « Rentrer chez toi est trop risqué. La police est en planque et surveille les lieux. » Ils répondent : « Je m’en moque, je veux rentrer ! Si la police m’attrape, qu’elle m’attrape ! La belle affaire ! Au pire, je deviendrai simplement un Judas ! » N’est-ce pas de la folie ? (Si.) Ils disent ouvertement qu’ils sont prêts à être des Judas. Qui oserait les héberger ? Quiconque veut-il héberger un Judas ? (Non.) De tels individus croient-ils en Dieu ? Les frères et sœurs les hébergent en tant que croyants en Dieu. Si leur humanité est quelque peu déficiente, cela pourrait être toléré. Ne pas poursuivre la vérité pourrait aussi être toléré. Mais ces gens sont capables de nuire aux frères et sœurs en trahissant l’Église et en devenant des Judas, et ils empêchent ainsi beaucoup de personnes de rentrer chez elles ou de faire leurs devoirs normalement. Qui pourrait se permettre d’endosser la responsabilité de ces conséquences ? Oserais-tu héberger ce genre d’ennemis ? Les héberger ne revient-il pas simplement à t’attirer des ennuis ?

Les gens déraisonnables et qui se montrent délibérément problématiques ne pensent qu’à leurs propres intérêts lorsqu’ils agissent, et ne font que ce qui leur plaît. Leurs paroles ne sont qu’arguments absurdes et hérésies, et ces gens sont imperméables à la raison. Le tempérament méchant de ces gens déborde. Personne n’ose les fréquenter et personne n’est disposé à échanger avec eux sur la vérité, de peur de s’attirer un désastre. Les autres sont sur des charbons ardents chaque fois qu’ils prennent la parole pour dire à ces gens ce qu’ils pensent, craignant que, s’ils disent un mot qui ne leur plaît pas ou qui ne correspond pas à leurs souhaits, ces gens s’en emparent et lancent des accusations scandaleuses. Ces personnes ne sont-elles pas malfaisantes ? Ne sont-elles pas des démons vivants ? Tous ceux qui ont un tempérament méchant et une raison malsaine sont des démons vivants. Et quand quelqu’un interagit avec un démon vivant, il suffit d’un instant d’insouciance pour provoquer un désastre. Ne serait-ce pas un gros problème, si de tels démons vivants étaient présents dans l’Église ? (Si.) Après que ces démons vivants ont piqué leur crise et exhalé leur colère, ils peuvent parler comme des humains pendant un moment et s’excuser, mais ils ne changeront pas par la suite. Qui sait quand leur humeur se détériorera et quand ils feront une autre crise de colère, débitant leurs arguments absurdes. La cible de leurs crises de colère et de leurs épanchements est différente à chaque fois, tout comme la source et le contexte de leurs épanchements. C’est-à-dire que tout peut les déclencher, tout peut les rendre insatisfaits et tout peut les amener à réagir en piquant des crises de colère et en ayant un comportement indiscipliné. Comme c’est terrible ! Comme c’est problématique ! Ces personnes malfaisantes et dérangées perdent la tête à tout moment ; personne ne sait ce qu’ils sont capables de faire. J’ai la plus grande haine pour ces gens. Chacun d’entre eux devrait être exclu : ils doivent tous être expulsés. Je ne souhaite pas m’engager avec eux. Ils sont confus dans leurs pensées et ont un tempérament brutal, ils sont emplis d’arguments absurdes et de paroles diaboliques, et quand il leur arrive quelque chose, ils se déchaînent d’une manière impétueuse. Certains d’entre eux pleurent en s’épanchant, d’autres crient, d’autres tapent du pied, et d’autres encore secouent même la tête en agitant les membres. Ce sont tout simplement des bêtes et non des êtres humains. Certains chefs cuistots jettent des casseroles et de la vaisselle lorsqu’ils perdent leur sang-froid ; d’autres, comme ceux qui élèvent des porcs ou des chiens, donnent des coups de pied et frappent les animaux lorsqu’ils perdent leur sang-froid, déversant ainsi toute leur colère sur eux. Quoi qu’il arrive, ces gens-là réagissent toujours par la colère ; ils ne se calment pas pour réfléchir et ils n’acceptent pas la situation comme venant de Dieu. Ils ne prient pas, ne cherchent pas la vérité, et ne vont pas non plus chercher l’échange avec les autres. Lorsqu’ils n’ont pas le choix, ils endurent ; lorsqu’ils ne veulent pas endurer, ils deviennent fous, débitent des arguments absurdes, accusent et condamnent les autres. Ils disent souvent des choses comme : « Je sais que vous êtes tous instruits et que vous me regardez de haut » ; « Je sais que vos familles sont riches et que vous me méprisez parce que je suis pauvre » ; ou « Je sais que vous me méprisez parce que je n’ai pas de fondement dans ma foi et que vous me méprisez parce que je ne poursuis pas la vérité. » Bien qu’ils soient manifestement conscients de leurs nombreux problèmes, ils ne cherchent jamais la vérité pour les résoudre et ne discutent pas de leur connaissance d’eux-mêmes dans le cadre de leur échange avec les autres. Lorsque leurs propres problèmes sont évoqués, ils se défilent et lancent de fausses contre-accusations, ils rejettent tous les problèmes et toutes les responsabilités sur les autres, et ils déplorent même que la raison de leur comportement tienne à ce que les autres les maltraitent. C’est comme si leurs crises de colère et leurs perturbations insensées étaient causées par les autres, comme si c’était la faute des autres, qu’ils n’avaient pas d’autre choix que d’agir ainsi, et qu’ils se défendaient de manière légitime. Chaque fois qu’ils sont insatisfaits, ils commencent à exprimer leur ressentiment et à débiter des absurdités, en insistant sur leurs arguments absurdes comme si tous les autres avaient tort, comme s’ils étaient les seules bonnes personnes et que tous les autres étaient des vauriens. Ils ont beau piquer des colères et débiter des arguments absurdes, ils n’en exigent pas moins que l’on dise du bien d’eux. Même lorsqu’ils agissent mal, ils interdisent aux autres de les exposer ou de les critiquer. Si tu leur signales ne serait-ce qu’un petit de leurs problèmes, ils t’entraînent dans des disputes sans fin, et tu peux alors tirer un trait sur ta tranquillité. Quel genre de personne est-ce là ? Ce sont des gens déraisonnables et délibérément problématiques, et ceux qui agissent ainsi sont considérés comme des personnes malfaisantes.

Les personnes qui sont déraisonnables et délibérément problématiques ne commettent généralement pas d’actes fourbes ou malfaisants graves. Mais dès que leurs intérêts, leur réputation ou leur dignité sont impliqués, elles explosent immédiatement de colère, piquent des crises, agissent de manière indisciplinée et menacent même de se suicider. Dites-Moi, si une personne aussi absurde et déraisonnablement grossière naissait dans une famille, toute la famille n’en souffrirait-elle pas ? Le foyer serait alors englouti par la tourmente, rempli de cris et de hurlements, le rendant insupportable à vivre. Certaines Églises ont de telles personnes ; bien que cela puisse ne pas être apparent quand tout est normal, vous ne savez jamais quand elles pourraient avoir une crise et se révéler. Les principales manifestations de ces personnes comprennent des crises de colère, des arguments absurdes et des jurons en public, entre autres. Même si ces comportements ne se produisent qu’une fois par mois ou tous les six mois, ils causent une grande détresse et des difficultés, apportant divers degrés de perturbation à la vie d’Église de la plupart des gens. S’il est effectivement confirmé que quelqu’un entre dans cette catégorie, il doit être traité rapidement et exclu de l’Église. Certains pourraient dire, « Ces gens ne font aucun mal. Ils ne peuvent pas être considérés comme des gens malfaisants. Nous devrions être tolérants et patients avec eux. » Dites-Moi, serait-il acceptable de ne pas gérer de telles personnes ? (Non, ça ne serait pas acceptable.) Pourquoi pas ? (Parce que leurs actions causent beaucoup de problèmes et de contrariétés à la plupart des gens, et causent également des perturbations à la vie d’Église.) Si l’on se base sur cette issue, il est clair que ceux qui perturbent la vie d’Église, même si ce ne sont pas des personnes malfaisantes ou des antéchrists, ne devraient pas rester au sein de l’Église. La raison en est que de telles personnes n’aiment pas la vérité mais ont de l’aversion pour la vérité, et peu importe pendant combien d’années elles croient en Dieu ou combien de sermons elles entendent, elles n’accepteront pas la vérité. Une fois qu’elles font quelque chose de mal et qu’elles sont émondées, elles piquent des crises de colère et racontent n’importe quoi. Même lorsque quelqu’un échange sur la vérité avec elles, elles ne l’acceptent pas. Personne ne peut les raisonner. Même lorsque J’échange sur la vérité avec elles, elles peuvent rester silencieuses extérieurement, mais ne pas l’accepter intérieurement. Lorsqu’elles sont confrontées à des situations concrètes, elles agissent toujours comme elles l’ont toujours fait. Elles n’écoutent pas Mes paroles, donc vos conseils seraient encore moins acceptés par elles. Bien que ces personnes ne puissent pas commettre de méfaits majeurs, elles n’acceptent pas du tout la vérité. En regardant leur nature-essence, non seulement elles manquent de conscience et de raison, mais elles sont également déraisonnables, délibérément problématiques et imperméables à la raison. De tels individus peuvent-ils atteindre le salut de Dieu ? Absolument pas ! Ceux qui n’acceptent pas du tout la vérité sont des incrédules, ce sont des serviteurs de Satan. Quand les choses ne se passent pas comme ils le souhaitent, ils piquent des crises de colère, lancent constamment des arguments absurdes et n’écoutent pas la vérité, peu importe comment les échanges se font. De tels individus sont déraisonnables et délibérément problématiques, ce sont purement des démons et des esprits malfaisants ; ils sont pires que des bêtes ! Ce sont des malades mentaux dont la raison est malsaine, et ils ne sont jamais capables d’un vrai repentir. Plus ils restent longtemps dans l’Église, plus ils ont de notions sur Dieu, plus ils imposent des exigences déraisonnables à la maison de Dieu, et plus ils perturbent et nuisent à la vie d’Église. Cela affecte l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu et le progrès normal du travail de l’Église. Leur préjudice pour le travail de l’Église n’est pas moindre que celui des personnes malfaisantes ; ils devraient être exclus de l’Église plus tôt. Certaines personnes disent, « Ne sont-ils pas simplement un peu indisciplinés ? Ils ne sont pas malfaisants pour autant, alors ne serait-il pas préférable de les traiter avec amour ? Si nous les gardons, peut-être qu’ils peuvent changer et être sauvés. » Je te le dis, c’est impossible ! Il n’y a pas de « peut-être » à ce sujet, ces personnes ne peuvent absolument pas être sauvées. C’est parce qu’elles ne peuvent pas comprendre la vérité, encore moins l’accepter ; elles manquent de conscience et de raison, leurs processus de pensée sont anormaux, et elles manquent même du bon sens le plus élémentaire requis pour être humain. Ce sont des gens dont la raison est malsaine. Dieu ne sauve absolument pas de tels individus. Même ceux dont la pensée est un peu plus normale et qui sont de meilleur calibre, s’ils n’acceptent pas la vérité du tout, ne peuvent pas être sauvés, alors ne parlons pas de ceux qui sont doués d’une raison malsaine. Traiter malgré tout de tels individus avec amour et garder espoir pour eux, n’est-ce pas par trop stupide et ignorant ? Je vous dis ceci maintenant : il est absolument correct de renvoyer de l’Église ceux qui sont déraisonnables, délibérément problématiques et imperméables à la raison. Cela interrompt fondamentalement le harcèlement qu’ils font subir à l’Église et au peuple élu de Dieu. Telle est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers. S’il y a de tels individus déraisonnables dans une Église, quelle qu’elle soit, le peuple élu de Dieu devrait les signaler, et une fois que les dirigeants et les ouvriers reçoivent de tels signalements, ils devraient s’en occuper rapidement. Voilà le principe pour gérer le sixième type de personnes, celles qui sont déraisonnables et délibérément problématiques.

G. Se livrer constamment à des activités licencieuses

Le septième type correspond à ceux qui se livrent à des activités licencieuses, groupe fréquemment évoqué. Même si les manifestations de l’humanité de ces gens ne sont pas tellement malfaisantes – elles n’ont rien à voir avec le fait de semer la dissension ou de commettre des actes malfaisants et de provoquer des perturbations – ces individus ont une caractéristique en commun, qui est qu’il y a sans cesse des problèmes et des incidents dans leurs relations avec le sexe opposé. Quelles que soient les occasions qui se présentent, de tels problèmes se posent constamment à eux, et si aucune occasion ne se présente, ils en créent, de sorte que de telles « histoires » se produisent de toute façon. Peu importe la situation, peu importe qui est l’autre personne ou à quel point cette personne est éloignée d’eux, de tels incidents se produisent effectivement pour eux de temps à autre. De quel genre d’incident s’agit-il ? Ces gens sortent avec quelqu’un, ou veulent sans cesse se rapprocher de quelqu’un, ou se mettent à avoir des sentiments pour quelqu’un, ou jettent leur dévolu sur quelqu’un, entre autres choses du même genre. Ils ne parviennent jamais à vivre et à faire leurs devoirs normalement, ils sont constamment influencés par leurs désirs lubriques. C’est-à-dire que dans des situations ordinaires, là où les gens normaux ne se mêleraient pas de tels problèmes, eux le font fréquemment. Ils n’ont pas besoin de circonstances particulières ou que quiconque leur fournisse des occasions, il se trouve juste que ces incidents se produisent naturellement. Quand de tels incidents se produisent, quelles qu’en soient les conséquences, un groupe de personnes ou une personne en particulier doit toujours en payer le prix. Quel prix paient ces personnes ? L’accomplissement de leur devoir se trouve affecté, le travail d’Église est retardé et entravé, certains jeunes gens sont troublés et cèdent à la tentation, ils perdent tout intérêt pour la croyance en Dieu et l’exécution de leurs devoirs, et certaines personnes perdent même leurs devoirs ou y renoncent. Les gens qui se livrent à des activités licencieuses sont par trop problématiques. À la moindre occasion, les personnes du sexe opposé s’attroupent autour d’eux, se rapprochent d’eux, flirtent avec eux et plaisantent de manière enjouée avec eux. Même si aucun problème grave, de nature essentielle, ne survient, ces gens perturbent gravement l’état normal du peuple élu de Dieu quand celui-ci fait ses devoirs. Partout où ces gens vont, ils sont à l’origine d’ennuis et de perturbations qui affectent les autres et le travail et l’Église. Ils vont même jusqu’à séduire, à la moindre occasion, les personnes du sexe opposé qu’ils trouvent attirantes, et à nouer des relations avec elles. C’est un désagrément bien trop important. Quand ces gens s’éprennent de quelqu’un, la personne est vouée au malheur, elle n’est plus capable de croire en Dieu ou de faire ses devoirs normalement. Les conséquences en sont inimaginables. Cette personne ne peut pas se passer de contacter ou de voir l’individu qui l’a séduite, et tandis qu’elle est occupée par l’exécution de ses devoirs, elle est incapable de se marier ou de se stabiliser, et il lui est toujours impossible de mettre fin à la relation. Que se passe-t-il, au bout du compte ? La personne se met à souffrir terriblement, d’une telle douleur ! Si elle résiste jusqu’à être punie dans les désastres, tout est fini pour elle, son espoir d’être sauvée se trouve anéanti. Ces gens, pour certains d’entre eux, commettent une infraction une fois et ne se repentent pas quand ils sont émondés, mais recommencent une deuxième ou même une troisième fois, s’engageant dans trois ou quatre relations en deux ou trois ans, ce qui représente une perturbation du peuple élu de Dieu et de la vie d’Église, et cela amène les élus de Dieu à les détester. Ils en gardent la trace, ce qu’ils regrettent pendant le reste de leur existence.

Certains individus, parce qu’ils sont assez beaux, qu’ils sont élégants dans une certaine mesure, et qu’ils ont certains dons et talents, ou qu’ils ont assumé un travail important, ont sans cesse des personnes du sexe opposé qui s’accrochent à eux et qui les entourent, comme des mouches. Certaines de ces personnes leur servent leurs repas, d’autres font leur lit, d’autres font leur lessive, d’autres leur achètent des compléments alimentaires et des produits de beauté, et leur font des petits cadeaux, et ainsi de suite. Ces individus font bon accueil à toutes les personnes qui se présentent, en sachant dans leur cœur qu’un tel comportement de la part des autres est inapproprié, mais ne le rejetant jamais, et séduisant plusieurs personnes du sexe opposé en même temps. Ces personnes rivalisent les unes avec les autres pour avoir une chance de les servir, elles s’affrontent et deviennent jalouses les unes des autres, pendant que l’individu licencieux savoure la sensation, se croyant extrêmement charmant. En réalité, les histoires entre hommes et femmes sont bien comprises des adultes. Il y a même certains mineurs qui les comprennent. Seuls les imbéciles et les déficients ou malades mentaux ne les comprennent pas. Pourquoi ces personnes rivalisent-elles aussi férocement pour servir un individu du sexe opposé et lui plaire ? Tout tient au désir de séduire, n’est-ce pas ? Il est inutile d’expliquer cela dans le détail, tout le monde sait de quoi il retourne. C’est quelque chose dont les gens ont bien conscience, quelque chose qui est manifestement inapproprié, pourtant ces individus ne le refusent pas, mais y consentent en silence. Comment appelle-t-on cela ? Cela s’appelle flirter. Ces individus savent qu’il est question de séduction entre hommes et femmes, mais pour le frisson que leur procure la satisfaction des désirs lubriques de la chair, ils ne veulent pas refuser. Ils pensent que cette sensation est une forme de plaisir, un plaisir qui est même supérieur à celui que procure n’importe quel mets délicieux dans le monde, de sorte qu’ils ne refusent pas. Quand les individus en question ne refusent pas, les personnes qui les séduisent sont encore plus contentes, pensant être celles que ces individus aiment, jouissant intérieurement de cette situation. Et ces individus pensent que tant qu’aucune relation importante ne s’est mise en place, tout cela n’est pas considéré comme quoi que ce soit de grave, ils pensent que la licence entre non-croyants est bien pire, et que tout cela est, au plus, considéré comme de la séduction, que c’est comparable aux rencontres amoureuses normales. Mais les rencontres amoureuses sont-elles censées ressembler à ça ? Aujourd’hui, ils sont avec une personne, demain avec une autre, s’adonnant imprudemment, encore et encore, à des rencontres amoureuses et à la séduction avec n’importe qui. Partout où ils vont, de tels individus licencieux donnent la priorité au fait de libérer leurs désirs lubriques, au fait de s’afficher et de s’adonner à la séduction. Plus ils séduisent de personnes, plus ils sont contents. Que se passe-t-il, en fin de compte ? Une fois que ces individus se sont affichés à maintes reprises, certains frères et sœurs discernent leur comportement, et ils écrivent collectivement une lettre aux dirigeants de rang supérieur. Une enquête confirme leurs affirmations, et les individus licencieux sont renvoyés de l’Église. Vous comprenez ce qui se passe ? Le chemin de croyance en Dieu de ces individus ne s’arrête-t-il pas là ? Leur fin se trouve révélée. Leurs actes et leur comportement, que les gens trouvent intolérables, sont encore plus détestables aux yeux de Dieu. Le comportement affiché par ces individus ne représente pas les relations convenables entre les gens, pas plus qu’il ne reflète les besoins humains normaux. Les actes de ces individus peuvent être décrits en un seul mot : la « licence. » Que désigne la licence ? Cela signifie s’engager imprudemment dans des relations avec le sexe opposé, séduire les autres à son gré de manière irresponsable, et aguicher et harceler les personnes du sexe opposé. C’est jouer avec la luxure, et le faire sans tenir compte du coût ou des conséquences. Si, finalement, quelqu’un mord effectivement à l’hameçon et se livre à un badinage amoureux avec eux, ces individus refusent alors de le reconnaître, et disent : « Je ne faisais que plaisanter. As-tu pris cela au sérieux ? Je ne le pensais pas réellement. Tu y accordes trop d’importance. » Ne s’agit-il pas là de démons qui tentent les gens ? Après avoir tenté une personne, ces individus cherchent leur cible suivante, ils séduisent d’autres personnes. Comme ils sont horribles et malveillants ! Après avoir séduit quelqu’un, ils refusent de le reconnaître. Si quelqu’un est induit en erreur par de tels individus et se retrouve empêtré, n’est-ce pas dégoûtant ? (Si.) Les individus qui séduisent les autres imprudemment sont-ils détestables ? (Oui.) La maison de Dieu a déclaré dès le tout début que si des personnes étaient en âge de se marier et adultes, elle ne s’opposait pas à ce que ces personnes se fréquentent normalement ou à ce qu’elles se marient et vivent ensemble de façon normale, qu’elle leur permettait de le faire et leur accordait cette liberté. Cependant, il y a plusieurs conditions à respecter : se livrer à des activités licencieuses n’est pas autorisé. Séduire et flirter imprudemment, harceler les personnes du sexe opposé avec désinvolture, n’est pas permis. La maison de Dieu ne restreint pas les rencontres amoureuses, mais elle n’autorise pas la séduction imprudente. Que veut dire « séduction imprudente » ? Cela signifie harceler n’importe quelle personne du sexe opposé, et après avoir fait cela, ne pas reconnaître qu’on l’a fait. Les personnes que ces individus harcèlent ne sont pas leur grand amour. Ces individus n’ont pas l’intention de s’engager dans des relations à long terme ou de se marier, ils souhaitent seulement séduire l’autre personne, jouer avec elle, ils veulent tirer d’elle une sensation de plaisir, chercher des sensations fortes, fréquenter plusieurs partenaires, agir comme des débauchés, voilà ce qu’on appelle la licence. Dans l’Église, la licence n’est pas permise, et si elle survient, ceux qui s’y livrent devraient être gérés conformément aux principes concernant l’exclusion des gens. Bien entendu, au sein des équipes d’évangélisation, de telles situations ne sont pas autorisées pour ceux qui prêchent l’Évangile, qu’ils viennent d’Églises où les gens font leurs devoirs à plein temps ou d’Églises ordinaires. Si un individu prend le prétexte de prêcher l’Évangile pour séduire imprudemment les autres, en ne choisissant que des personnes du sexe opposé avec lesquelles coopérer, ou en ne prêchant l’Évangile qu’à des personnes du sexe opposé, profitant ainsi de l’occasion pour s’engager dans des relations inappropriées, cela interrompt et perturbe l’œuvre d’évangélisation de Dieu. Les dirigeants et ouvriers doivent rapidement renvoyer de tels individus.

Afin de trouver des personnes du sexe opposé et de se livrer à des activités licencieuses, certains individus ne tiennent pas compte de l’âge. Pour eux, il n’y a pas d’âge limite. Ils essaient simplement de séduire autant de personnes qu’ils le peuvent, sans la moindre honte. Certains de ces individus ne se contentent pas de satisfaire les désirs lubriques de la chair en séduisant des personnes du sexe opposé, ils vont jusqu’à exiger que l’autre partie paie leurs dépenses quotidiennes, qu’elle leur achète des choses, et ainsi de suite. Si vous découvrez de tels individus, ou que quelqu’un signale de tels incidents, vous devez vous en occuper rapidement. La seule solution est d’exclure ces individus, de les exclure définitivement. La raison en est que, pour les individus qui ont de tels problèmes, il ne s’agit absolument pas d’un simple phénomène passager. C’est particulièrement vrai des individus qui sont mariés : même s’ils ont un conjoint à la maison, ils prennent quand même spécifiquement pour cible des personnes du sexe opposé, sous couvert de prêcher l’Évangile. Ils recherchent n’importe quelle sorte de personne, riche ou pauvre, et s’ils trouvent une personne qui leur plaît, il se peut même qu’ils s’enfuient avec elle, ne prêchant même plus l’Évangile. Ils ne croient simplement plus en Dieu. Si de tels individus peuvent être découverts rapidement, ils doivent être promptement et définitivement exclus des rangs de ceux qui prêchent l’Évangile, sans qu’on leur donne une autre chance et sans qu’il y ait besoin de les observer davantage. Comprenez-vous cela ? D’aucuns disent : « Pour certains, la vie est dure. Si ces gens séduisent une personne du sexe opposé pour fonder une famille, et que cette personne peut croire en Dieu et subvenir à leurs besoins, n’est-ce pas une situation où chacun y gagne ? » Je te le dis, de tels individus doivent être exclus dès que possible, ils ne sont pas du tout là pour avoir une vie de famille, mais pour se livrer à des activités licencieuses. Pourquoi en suis-Je aussi sûr ? S’ils n’étaient pas du genre à se livrer à des activités licencieuses, alors, après en être venus à croire en Dieu, ils ne continueraient certainement pas à avoir de tels comportements, ils les trouveraient répugnants, surtout s’ils sont mariés. Les tendances à travers le monde entier sont actuellement licencieuses et malveillantes. Les gens cèdent à leur luxure et rivalisent pour savoir qui peut séduire davantage de personnes du sexe opposé, sans éprouver le moindre besoin de retenue, parce que cette société et cette humanité ne condamnent pas ou ne ridiculisent pas ces actes. Donc, les gens pensent que s’ils peuvent gagner de l’argent en se livrant à des activités licencieuses et en vendant leur chair, c’est un signe de leur habileté ou de leurs capacités. Ils voient cela comme quelque chose dont ils peuvent être fiers. Cependant, une fois que les gens en viennent à croire en Dieu, leur opinion quant à ces questions change complètement. Ils trouvent la façon correcte de traiter les désirs lubriques de la chair, ce qui, avant toute chose, implique d’avoir de la retenue. Comment peut-on faire preuve de retenue ? Les gens doivent connaître la honte et avoir un sens de la honte. C’est ce que l’on appelle l’humanité normale. Tout le monde a des désirs lubriques, mais les gens doivent savoir faire preuve de retenue, avoir un sens de la honte. Même s’ils ont certaines pensées de ce genre, ils devraient faire preuve de retenue parce qu’ils croient en Dieu et qu’ils sont doués de conscience et de raison. Ils ne doivent absolument pas suivre des pensées inappropriées dans leur esprit, et encore moins y céder. Ils devraient chercher la vérité pour résoudre ces problèmes. Même s’ils sont des nouveaux croyants qui ne comprennent pas la vérité, ils devraient quand même se comparer aux normes les plus élémentaires de la moralité humaine. Si tu n’as même pas ce degré de retenue, alors tu n’as pas une humanité normale, ni la conscience et la raison de l’humanité normale. Toutes sortes d’animaux obéissent à un certain ordre et suivent des règles à cet égard, sans agir imprudemment. En tant qu’êtres humains, les gens devraient être encore moins susceptibles d’agir imprudemment et ils devraient faire preuve d’encore plus de retenue. Si tu manques même de ce degré de retenue et de maîtrise de toi, comment peux-tu espérer chercher et pratiquer la vérité ? Si tu ne peux même pas résoudre ta propre luxure malveillante, comment pourrais-tu résoudre tes tempéraments corrompus ? Il serait encore plus impossible de résoudre ta nature qui consiste à résister à Dieu et à Le trahir, n’est-ce pas ? (En effet.) Si tu ne peux même pas faire face aux désirs lubriques de la chair, alors comment peux-tu espérer résoudre tes tempéraments corrompus ? N’y pense même pas. Tu ne pourras pas y parvenir.

Certains individus recherchent constamment des occasions de faire des rencontres amoureuses quand ils prêchent l’Évangile, et de tels incidents ont souvent lieu. Ceux qui s’engagent régulièrement dans des relations amoureuses tout en négligeant leurs véritables tâches ont été exclus et gérés, tandis que ceux qui commettent des transgressions occasionnellement sont mis en garde. Une fois que ces individus aux tempéraments malveillants trouvent les bonnes situations et rencontrent quelqu’un qu’ils considèrent comme leur amant, ils cèdent à la tentation. Leur intention d’obtenir des bénédictions en croyant en Dieu disparaît donc au milieu de leur luxure malveillante. Dès qu’ils s’engagent dans une relation amoureuse, ils négligent tout le reste, abandonnant même leur intention d’être bénis, et ils ne poursuivent que le bonheur de la chair. Après une ou deux infractions, il se peut qu’ils se sentent un peu coupables et bouleversés, mais au bout de trois ou quatre fois, cela devient de la licence. Une fois que cette licence s’installe, ils ne se sentent plus coupables ni bouleversés, parce que la couche de honte qui est l’essentiel de l’humanité des gens a déjà été rompue. Ils ne considèrent plus la licence comme honteuse et continuent donc à s’y livrer. Ceux qui peuvent continuer à se livrer à la licence sont particulièrement complaisants vis-à-vis de leurs désirs lubriques, ne faisant preuve d’aucune retenue. La présence de tels individus n’est pas autorisée dans l’Église et ils doivent être renvoyés. Ne leur cédez pas et ne trouvez aucune excuse pour les garder. La maison de Dieu ne manque pas de gens pour prêcher l’Évangile, elle n’a pas besoin de tels débauchés pour pourvoir des postes, car cela déshonore gravement le nom de Dieu. Par conséquent, si quelqu’un signale de tels individus ou si tu en découvres personnellement au sein de l’équipe de prédication de l’Évangile, tu devrais savoir quoi faire. Si certains nouveaux croyants ont ce problème, alors vous devriez d’abord échanger sur la vérité avec eux au sujet de ce problème, en informant tout le monde de ce que sont les principes et attitudes de l’Église vis-à-vis de ceux qui commettent des actes licencieux. Au minimum, il faut donner à ces nouveaux croyants un premier avertissement pour les empêcher de tomber dans la licence et d’utiliser la prédication de l’Évangile comme une occasion d’adopter de tels comportements, et de finalement reprocher aux responsables, ou aux dirigeants et ouvriers, de ne pas avoir échangé sur les vérités-principes pertinentes au préalable. Par conséquent, avant que de tels incidents ne se produisent, avant que certaines personnes n’aient conscience de l’attitude de la maison de Dieu vis-à-vis de tels individus et de telles questions, quand les gens ne comprennent pas clairement ces problèmes, les dirigeants et les ouvriers doivent échanger explicitement et clairement avec eux sur ces principes pour qu’ils sachent de quel comportement et de quelle nature ces questions relèvent, et quelle est l’attitude de la maison de Dieu vis-à-vis de telles questions et de tels individus. Une fois que ces principes ont fait l’objet d’échanges approfondis, si ces gens s’accrochent encore à leur propre trajectoire et qu’ils persistent dans leur façon de faire, bien qu’ils connaissent ces principes, alors ils doivent être gérés et on doit s’en débarrasser, ils doivent être exclus. Si de tels individus apparaissent dans l’Église, qu’ils provoquent souvent des incidents en séduisant les autres ou qu’ils harcèlent fréquemment les personnes du sexe opposé, ils ont à coup sûr des problèmes. Même si aucun problème conséquent n’est apparu, les dirigeants et les ouvriers doivent avertir et gérer ces individus, ou les retirer des lieux où les gens font leurs devoirs. Dans les cas graves, ils doivent être exclus directement. Ceci conclut notre échange concernant le septième aspect des manifestations de l’humanité des gens.

Le 18 décembre 2021

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