Paroles de Dieu quotidiennes : L'entrée dans la vie | Extrait 495

3 septembre 2020

Aujourd'hui, alors que vous cherchez à aimer et à connaître Dieu, dans un certain aspect vous devez endurer difficulté et raffinement, et, dans un autre, vous devez payer un prix. Aucune leçon n'est plus profonde que la leçon d'aimer Dieu, et on peut dire que la leçon que les gens apprennent de leur longue vie de foi est la manière d'aimer Dieu. Cela veut dire que si tu crois en Dieu, tu dois aimer Dieu. Si tu crois seulement en Dieu mais tu ne L'aimes pas, si tu n'as pas atteint la connaissance de Dieu et que tu n'aies jamais aimé Dieu avec un véritable amour qui vient de l'intérieur de ton cœur, alors ta foi en Dieu est vaine ; si, dans ta foi en Dieu, tu n'aimes pas Dieu, alors tu vis en vain, et ta vie entière est la plus vile de toutes les vies. Si, pendant toute ta vie, tu n'as jamais aimé ou satisfait Dieu, alors, quelle est ta raison de vivre ? Et quelle est la raison de ta foi en Dieu ? N'est-ce pas un gaspillage d'efforts ? Cela veut dire que si les gens vont croire en Dieu et L'aimer, ils doivent payer un prix. Au lieu d'essayer d'agir d'une certaine manière à l'extérieur, ils devraient chercher une vraie idée dans les profondeurs de leur cœur. Si tu t'enthousiasmes pour le chant et la danse, mais que tu sois incapable de mettre la vérité en pratique, peut-on dire que tu aimes Dieu ? Aimer Dieu exige la recherche de la volonté de Dieu en toutes choses, et que tu sondes profondément à l'intérieur quand quelque chose t'arrive, essayant de saisir la volonté de Dieu et essayant de voir quelle est la volonté de Dieu en la matière, ce qu'Il souhaite que tu atteignes, et comment tu devrais être soucieux de Sa volonté. Par exemple : quelque chose arrive et t'oblige à supporter des épreuves. À ce moment-là, tu devrais comprendre ce qu'est la volonté de Dieu et comment être soucieux de Sa volonté. Tu ne dois pas te satisfaire : en premier lieu, mets-toi de côté. Rien n'est plus abject que la chair. Tu dois chercher à satisfaire Dieu et tu dois accomplir ton devoir. Avec de telles pensées, Dieu t'apportera une illumination particulière dans cette affaire et ton cœur sera aussi réconforté. Que ce soit une grande ou une petite chose, quand quelque chose t'arrive, tout d'abord, tu dois te mettre de côté et considérer la chair comme la plus vile de toutes choses. Plus tu satisfais la chair, plus elle s'accorde de liberté ; si tu la satisfais cette fois-ci, la prochaine fois, elle te demandera davantage, et, continuant ainsi, tu en viendras à aimer la chair encore plus. La chair a toujours des désirs extravagants, elle demande toujours à être satisfaite et que tu lui fasses plaisir à l'intérieur, que ce soit par la nourriture que tu manges, par ce que tu portes, en sortant de tes gonds ou en cédant à tes propres faiblesses et à ta paresse… Plus tu satisfais la chair, plus ses désirs augmentent et plus elle devient débauchée, jusqu'au point où la chair entretient des conceptions encore plus profondes et désobéit à Dieu, s'exalte et commence à douter de l'œuvre de Dieu. Plus tu satisfais la chair, plus les faiblesses de la chair grandissent ; tu sentiras toujours que personne ne compatit avec tes faiblesses. Tu croiras toujours que Dieu en demande trop et tu diras : comment Dieu peut-Il être si dur ? Pourquoi n'accorde-t-Il pas aux gens un peu de répit ? Quand les gens sont trop indulgents à l'égard de la chair et la chérissent trop, alors ils se perdent. Si tu aimes vraiment Dieu et ne satisfais pas la chair, alors tu verras que tout ce que Dieu fait est si juste et si bon et que Sa malédiction de ta révolte et Son jugement de ton injustice sont justifiés. Il y aura des moments où Dieu te châtiera et te disciplinera. Il suscitera un environnement pour te tempérer, te forçant à te présenter devant Lui, et tu sentiras toujours que ce que Dieu fait est merveilleux. Ainsi, tu sentiras qu'il n'y a pas beaucoup de douleur et que Dieu est si beau. Si tu cèdes aux faiblesses de la chair et dis que Dieu en demande trop, alors tu te sentiras toujours endolori, tu seras toujours déprimé, tu ne comprendras pas tout le travail de Dieu et il te semblera que Dieu n'est pas du tout compatissant à la faiblesse de l'homme et qu'il n'est pas au courant des difficultés de l'homme. Et ainsi tu te sentiras misérable et seul, comme si tu avais souffert une grande injustice, et, à ce moment-là, tu commenceras à te plaindre. Plus tu cèdes aux faiblesses de la chair de cette façon, plus tu sentiras que Dieu en demande trop, jusqu'au point où tu nieras l'œuvre de Dieu, commenceras à t'opposer à Dieu et deviendras plein de désobéissance. Ainsi, tu dois te rebeller contre la chair et ne pas lui céder : ton mari, ta femme, tes enfants, tes avantages, ton mariage, ta famille – rien de tout cela ne compte ! Tu dois avoir cette résolution : « Dans mon cœur, il n'y a que Dieu, et je dois faire de mon mieux pour satisfaire Dieu et non satisfaire la chair ». Si tu as toujours cette détermination, alors, quand tu mets la vérité en pratique et te mets de côté, tu seras en mesure de le faire avec un peu d'effort seulement. On dit qu'un jour un fermier vit un serpent gelé raide sur la route. Le fermier le ramassa et le tint sur sa poitrine, et, après que le serpent se réanima, il mordit le fermier qui mourut. La chair de l'homme est comme le serpent : son essence est de nuire à la vie des gens, et, quand on lui donne tout ce qu'elle veut, ta vie est perdue. La chair appartient à Satan. Elle est remplie de désirs extravagants, elle ne pense qu'à elle-même, elle veut profiter du confort et se délecter de loisirs, se complaire dans la paresse et l'oisiveté, et l'ayant satisfaite jusqu'à un certain point, tu finiras par être dévoré par elle. Cela veut dire que si tu la satisfais cette fois-ci, la prochaine fois elle te demandera plus. Elle a toujours des désirs extravagants et de nouvelles exigences. Elle profite du fait que tu lui cèdes tout pour t'amener à la chérir davantage et à vivre ses conforts. Si tu ne la domines pas, tu finiras par te perdre. Que tu puisses gagner la vie devant Dieu, ce que sera ta fin ultime, dépend de la façon dont tu accomplis ta rébellion contre la chair. Dieu t'a sauvé, t'a choisi et prédestiné, mais, si aujourd'hui tu n'es pas disposé à Le satisfaire, si tu n'es pas disposé à mettre la vérité en pratique, si tu n'es pas disposé à te rebeller contre ta propre chair avec un cœur qui aime vraiment Dieu, à la fin tu te ruineras toi-même et tu endureras une douleur extrême. Si tu cèdes toujours à la chair, Satan t'engloutira progressivement à l'intérieur et te laissera sans vie ou sans contact avec l'Esprit, jusqu'au jour où tu seras dans l'obscurité complète à l'intérieur. Quand tu vivras dans l'obscurité, alors tu auras été fait prisonnier par Satan, tu n'auras plus Dieu, et à ce moment-là, tu nieras l'existence de Dieu et tu Le quitteras. Ainsi, si tu veux aimer Dieu, tu dois payer le prix de la douleur et endurer la difficulté. Tu n'as pas besoin de ferveur externe et de difficulté, de lire plus, de t'affairer plus ; à la place, tu devrais mettre de côté les choses qui sont en toi : les pensées extravagantes, les intérêts personnels et tes propres considérations, conceptions et motivations. Telle est la volonté de Dieu.

– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu

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