En quoi consiste la poursuite de la vérité (1)

L’échange d’aujourd’hui porte sur un sujet que tout le monde connaît. C’est un sujet étroitement lié à la croyance en Dieu de l’homme et à la poursuite de l’homme, un sujet que les gens rencontrent et dont ils entendent parler tous les jours. Alors, de quoi s’agit-il ? Ce sujet est le suivant : en quoi consiste la poursuite de la vérité. Que pensez-vous de ce sujet ? Est-il suffisamment novateur pour vous ? Est-il captivant ? Que ce sujet soit captivant ou non, Je sais qu’il est pertinent pour chacun d’entre vous : il est pertinent pour le salut des gens, pour leur entrée dans la réalité des paroles de Dieu, pour leur changement de tempérament, ainsi que pour leur fin et leur destination. Pour la plupart d’entre vous, vous êtes maintenant disposés à poursuivre la vérité et vous avez commencé à vous éveiller, mais vous ne savez pas avec certitude en quoi consiste la poursuite de la vérité ou comment la vérité doit être poursuivie. C’est pourquoi il est nécessaire que nous échangions aujourd’hui sur ce sujet. La poursuite de la vérité est un sujet que les gens rencontrent souvent dans leur vie quotidienne : c’est un problème concret auquel les gens sont confrontés lorsque des choses leur arrivent au cours de leur vie quotidienne, dans l’accomplissement de leurs devoirs, etc. La plupart des gens, lorsqu’il leur arrive quelque chose, font simplement des efforts déterminés pour lire les paroles de Dieu et ils s’interdisent d’avoir des pensées négatives, espérant ainsi éviter de plonger dans la négativité ou dans des malentendus concernant Dieu, et être capables de se soumettre à Son œuvre. Les gens de meilleur calibre sont capables de chercher de manière positive et proactive tous les aspects de la vérité dans les paroles de Dieu : ils recherchent les principes, les exigences de Dieu et les chemins de pratique. Ou bien, ils sont capables de s’examiner eux-mêmes, de réfléchir et d’acquérir des connaissances grâce à ce qui leur arrive et ainsi, de comprendre les principes vérité et d’entrer dans la réalité vérité. Cependant, cela reste un grand obstacle pour la plupart des gens et il n’est pas certain qu’ils puissent y parvenir. La plupart des gens ne sont pas encore entrés dans cet aspect de la réalité. Il ne vous sera donc pas facile de parvenir à une compréhension pratique, objective et vraie de ce sujet ordinaire, banal et spécifique, même si vous avez le temps d’y réfléchir. Alors, pour revenir à notre sujet principal, échangeons pour savoir en quoi consiste la poursuite de la vérité. Vous n’êtes pas habiles pour ce qui est de réfléchir, mais J’espère que vous êtes doués pour ce qui est d’écouter, pas seulement avec vos oreilles, mais avec votre cœur. J’espère que tu mettras tout ton cœur à comprendre et assimiler cela et que tu prendras à cœur, comme quelque chose d’important, tout ce que tu es capable de comprendre et tout ce qui correspond à ton état, à ton tempérament et à chaque aspect de ta situation. Après cela, J’espère que tu chercheras à résoudre tes tempéraments corrompus et que tu t’efforceras de prendre à cœur tous les principes de la pratique, de sorte que lorsque des problèmes apparentés surgiront, tu auras un chemin à suivre et tu seras capable de traiter les paroles de Dieu comme un chemin de pratique, de les mettre en œuvre et d’y obéir comme telles. Ce serait le mieux.

En quoi consiste la poursuite de la vérité ? C’est peut-être une question conceptuelle, mais c’est aussi la question la plus pratique concernant la croyance en Dieu. Que les gens soient capables de chercher la vérité ou non est directement lié à leurs préférences, à leur calibre et à leur poursuite. La poursuite de la vérité englobe de nombreux éléments pratiques. Nous devons échanger sur eux en les prenant un par un, afin que vous puissiez comprendre la vérité le plus rapidement possible et savoir exactement en quoi consiste la poursuite de la vérité et quels problèmes se rapportent à cette poursuite. Ainsi, vous pourrez finalement comprendre en quoi consiste la poursuite de la vérité. Tout d’abord, discutons de ceci : poursuivez-vous la vérité en écoutant ce sermon ? (Pas vraiment.) Écouter des sermons est simplement une condition préalable et une action pour se préparer à la poursuite de la vérité. Quels éléments sont impliqués dans la poursuite de la vérité ? De nombreux sujets touchent à la poursuite de la vérité et naturellement, il existe également de nombreux problèmes chez les personnes, problèmes dont nous devons discuter ici. Par exemple, certains disent : « Si quelqu’un mange et boit des paroles de Dieu et échange sur la vérité tous les jours, qu’il est capable d’accomplir son devoir normalement, qu’il fait tout ce que l’Église arrange et ne cause jamais de troubles ni de perturbations, et que même s’il peut y avoir des moments où il enfreint les principes vérité, il ne le fait pas consciemment ni intentionnellement, cela ne démontre-t-il pas qu’il poursuit la vérité ? » C’est une bonne question. Une telle pensée est dans l’esprit de beaucoup de gens. Tout d’abord, vous devez savoir si quelqu’un serait capable d’atteindre une compréhension de la vérité et d’obtenir la vérité en pratiquant constamment de la sorte. Qu’en dites-vous ? (Même si pratiquer ainsi est correct, cela ressemble davantage à un rituel religieux, c’est suivre des règles. Cela ne peut pas mener à une compréhension de la vérité ni à l’obtention de la vérité.) Alors, de quels types de comportements s’agit-il vraiment ? (Ce sont des comportements superficiellement bons.) J’aime cette réponse. Ce ne sont que de bons comportements qui émergent après qu’une personne en est venue à croire en Dieu, qui découlent d’un fondement de la conscience et de la raison de cette personne, une fois que celle-ci a été influencée par divers enseignements bons et positifs. Mais ce ne sont rien de plus que de bons comportements, qui sont loin d’être la poursuite de la vérité. Quelle est alors la cause profonde qui sous-tend ces bons comportements ? Qu’est-ce qui les fait naître ? Ils émergent de la conscience et de la raison d’une personne, de sa moralité, des sentiments favorables qu’elle éprouve vis-à-vis de la croyance en Dieu, et de sa retenue. Comme il ne s’agit que de bons comportements, ces comportements n’ont aucun rapport avec la vérité, ce n’est en aucun cas la même chose. Avoir de bons comportements n’est pas la même chose que pratiquer la vérité, et si une personne se comporte bien, cela ne signifie pas qu’elle a l’approbation de Dieu. Les bons comportements et la pratique de la vérité sont des choses différentes, qui n’ont aucune incidence les unes sur les autres. Pratiquer la vérité est l’exigence de Dieu et c’est entièrement conforme à Sa volonté. Un bon comportement provient de la volonté de l’homme et comprend les intentions et les motivations de l’homme. C’est quelque chose que l’homme considère comme bon. Les bons comportements, bien qu’ils ne soient pas de mauvaises actions, vont à l’encontre des principes vérité et n’ont rien à voir avec la vérité. Ces comportements n’ont aucun rapport avec la vérité, peu importe à quel point ils sont bons ou à quel point ils s’accordent avec les notions et l’imagination de l’homme. De sorte qu’aucun bon comportement ne peut recevoir l’approbation de Dieu. Puisqu’un bon comportement est défini de cette façon, il est clair que les bons comportements ne sont pas liés à la pratique de la vérité. Si les gens devaient être classés par types en fonction de leur comportement, alors ces bons comportements seraient, tout au plus, les actions de fidèles exécutants, et pas davantage. Ils n’ont aucun rapport avec la pratique de la vérité ni avec la vraie soumission à Dieu. Ils ne sont qu’une sorte de comportement et n’ont aucun rapport avec le changement de tempérament des gens, avec leur soumission à la vérité et leur acceptation de celle-ci, avec la crainte de Dieu et l’éloignement du mal, ou tout autre élément pratique qui implique vraiment la vérité. Alors, pourquoi les appelle-t-on de bons comportements ? Voici une explication et naturellement, c’est aussi une explication de l’essence de cette question. C’est que ces comportements ne découlent que des notions des gens, de leurs préférences, de leur volonté et de leurs propres efforts déterminés. Ce ne sont pas des manifestations de la repentance qui accompagnent l’obtention de la véritable connaissance de soi quand on accepte la vérité et le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, et ce ne sont pas non plus les comportements ou les actes de la pratique de la vérité qui se manifestent quand les gens essaient de se soumettre à Dieu. Comprenez-vous cela ? Cela signifie que ces bons comportements n’impliquent en aucune façon un changement dans le tempérament d’une personne, ni ce qui découle du fait de subir le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, ni la vraie repentance qui surgit quand on en vient à connaître son propre tempérament corrompu. Ces comportements n’ont assurément aucun rapport avec la véritable soumission de l’homme à Dieu et à la vérité, et ils ont encore moins de rapport avec le fait d’avoir un cœur de crainte et d’amour pour Dieu. Les bons comportements n’ont rien à voir du tout avec ces choses-là : ils sont simplement quelque chose qui vient de l’homme et que l’homme considère comme bon. Pourtant, nombreux sont ceux qui voient dans ces bons comportements le signe qu’une personne pratique la vérité. C’est une grave erreur, une vision et une compréhension absurdes et fallacieuses. Ces bons comportements ne sont qu’un exercice de cérémonie religieuse et une façon de faire les choses pour la forme. Ils n’ont pas le moindre lien avec la pratique de la vérité. Il se peut que Dieu ne les condamne pas purement et simplement, mais Il ne les approuve absolument pas, c’est certain. Vous devez savoir que ces actes apparents qui s’accordent avec les notions de l’homme et ces bons comportements ne sont pas la pratique de la vérité, ni une manifestation de la poursuite de la vérité. Après avoir entendu cet échange, vous avez simplement une petite connaissance conceptuelle pour ce qui est de savoir en quoi consiste la poursuite de la vérité, une compréhension initiale du simple concept de la poursuite de la vérité. Si vous souhaitez vraiment comprendre en quoi consiste la poursuite de la vérité, nous devons échanger davantage.

Pour poursuivre la vérité, il faut la comprendre : ce n’est qu’en comprenant la vérité qu’on peut la pratiquer. Les bons comportements des gens sont-ils liés à la pratique de la vérité ? Les bons comportements sont-ils engendrés par la poursuite de la vérité ? Quelles manifestations et actions relèvent de la pratique de la vérité ? Quelles manifestations sont celles de personnes qui recherchent la vérité ? Il faut que vous compreniez ces questions. Afin d’échanger sur la poursuite de la vérité, nous devons d’abord parler des difficultés et des opinions erronées que les gens ont à son égard. Il est essentiel de résoudre cela en premier lieu. Il y a des gens qui ont une compréhension pure, et un point de vue relativement clair sur ce qu’est la vérité. Ils ont un chemin sur lequel poursuivre la vérité. Il y en a d’autres qui ne comprennent pas ce qu’est la vérité, et bien qu’ils s’y intéressent, ils ne savent pas comment la pratiquer. Ils croient que faire de bonnes choses et bien se comporter, c’est la même chose que pratiquer la vérité : que pratiquer la vérité, c’est faire de bonnes choses. Ce n’est que lorsqu’ils ont lu de nombreuses paroles de Dieu qu’ils s’aperçoivent que faire de bonnes choses et bien se comporter est complètement différent de la pratique de la vérité. Vous pouvez voir à quel point les notions et l’imagination des gens sont absurdes : ceux qui ne comprennent pas la vérité ne peuvent rien voir clairement ! Beaucoup de gens ont accompli leur devoir pendant des années, ils s’occupent tous les jours et ont subi plus d’une épreuve, si bien qu’ils se considèrent comme des personnes qui pratiquent la vérité et qui possèdent la réalité vérité. Néanmoins, ils ne peuvent offrir aucun témoignage basé sur l’expérience. Quel problème est en jeu, ici ? S’ils comprennent la vérité, pourquoi ne peuvent-ils pas parler de leurs expériences réelles ? N’est-ce pas, en quelque sorte, une contradiction ? Certains disent : « Quand j’accomplissais mon devoir auparavant, je ne poursuivais pas la vérité et je ne priais pas, je ne lisais pas attentivement les paroles de Dieu. J’ai perdu beaucoup de temps. J’étais tellement absorbé par mon travail, pensant que m’occuper de mon devoir revenait à pratiquer la vérité et à me soumettre à l’œuvre de Dieu, mais je ne faisais que gaspiller mon temps. » Qu’est-ce qui est sous-entendu ici ? Qu’ils ont remis à plus tard la poursuite de la vérité parce qu’ils étaient tellement occupés à faire leur devoir. Est-ce vraiment le cas ? Certaines personnes ridicules croient que tant qu’elles s’occupent de leur devoir, leur tempérament corrompu n’aura pas le temps de se révéler, qu’elles ne révéleront plus un tempérament corrompu et ne vivront plus dans un état corrompu et que, par conséquent, elles n’ont pas besoin de manger et de boire les paroles de Dieu afin de résoudre leur tempérament corrompu. Cette idée est-elle correcte ? Les gens ne révèlent-ils vraiment pas des tempéraments corrompus lorsqu’ils sont occupés par leurs devoirs ? C’est une idée absurde, c’est un mensonge éhonté. Ils disent qu’ils n’ont pas le temps de poursuivre la vérité parce qu’ils sont occupés par leur devoir. C’est une pure erreur : ils utilisent le fait d’être occupés comme excuse. Nous avons échangé plusieurs fois sur les vérités concernant l’entrée dans la vie et l’accomplissement d’un devoir : ce n’est qu’en cherchant la vérité pour résoudre les problèmes, tout en accomplissant un devoir, que les gens peuvent grandir dans la vie. Par conséquent, si tout ce que quelqu’un fait pendant l’accomplissement de son devoir, c’est s’occuper de tâches, s’il ne cherche pas la vérité pour résoudre les problèmes, alors il ne comprendra jamais la vérité. Certaines personnes qui n’aiment pas la vérité se contentent simplement de rendre service et espèrent échanger cela contre les bénédictions du royaume des cieux. Elles finissent par fournir comme excuse qu’elles sont tellement occupées à accomplir leur devoir qu’elles n’ont pas le temps de poursuivre la vérité : elles disent même qu’elles sont tellement occupées à faire leur devoir qu’elles ne révèlent pas un tempérament corrompu. Cela insinue que parce qu’elles sont occupées par leur devoir, leur tempérament corrompu a disparu, qu’il n’existe plus. C’est un mensonge, n’est-ce pas ? Leur affirmation est-elle conforme aux faits ? Pas du tout : on peut dire que c’est le plus gros de tous les mensonges. Comment un tempérament corrompu pourrait-il ne plus se révéler parce que la personne est occupée par son devoir ? Est-ce que de telles personnes existent ? Un tel témoignage expérientiel existe-t-il ? Certainement pas. Les hommes ont été profondément corrompus par Satan : ils ont tous une nature satanique et ils vivent tous en ayant des tempéraments sataniques. Y a-t-il quoi que ce soit de positif en l’homme, quoi que ce soit hormis de la corruption ? Y a-t-il quelqu’un qui soit né sans tempérament corrompu ? Y a-t-il quelqu’un qui soit né capable d’accomplir un devoir avec loyauté ? Y a-t-il quelqu’un qui soit né capable de se soumettre à Dieu et de L’aimer ? Absolument pas. Parce que les gens ont tous des natures sataniques et qu’ils sont tous emplis de tempéraments corrompus, s’ils ne sont pas capables de comprendre et de pratiquer la vérité, ils ne peuvent vivre que selon leurs tempéraments corrompus. Et donc, c’est une absurdité et une erreur de dire qu’une personne ne révélera pas un tempérament corrompu si elle reste occupée par son devoir. C’est un mensonge éhonté destiné à égarer les gens. Qu’ils soient ou non occupés à accomplir leur devoir, qu’ils aient ou non le temps de lire les paroles de Dieu, les gens qui n’aiment pas la vérité trouveront des raisons et des excuses pour ne pas la poursuivre. Ces gens sont des exécutants, purement et simplement. Si un exécutant ne mange pas et ne boit pas les paroles de Dieu et n’accepte pas la vérité, sera-t-il capable de rendre un bon service ? Certainement pas. Tous ceux qui n’acceptent pas la vérité sont dépourvus de conscience et de raison, ce sont des gens qui vivraient selon leurs tempéraments corrompus et commettraient une multitude d’actes malfaisants. Ce ne sont en aucun cas de loyaux exécutants et même s’ils rendent service, ils n’ont rien de formidable. De cela, vous pouvez être sûr.

Certains ont trop d’obligations familiales et se vautrent souvent dans l’anxiété. Quand ils voient des frères et sœurs plus jeunes qui ont abandonné leur famille et leur carrière pour suivre Dieu et accomplir leurs devoirs, ils les envient et disent : « Dieu a été bon pour ces jeunes. Ils ont commencé à croire en Lui à un jeune âge, avant de se marier et d’avoir des enfants ; ils n’ont aucun lien familial et ils n’ont pas à se soucier de la façon dont ils s’en sortiront. Ils n’ont aucun souci qui les empêche de suivre Dieu et d’accomplir leurs devoirs. Ils sont venus juste à temps pour l’œuvre de Dieu et Son expansion de l’Évangile dans les derniers jours. Dieu leur a fourni des conditions vraiment favorables. Ils peuvent se consacrer corps et âme à l’accomplissement de leurs devoirs. Ils peuvent rechercher la vérité, mais il n’en va pas de même pour moi. Dieu n’a pas arrangé un environnement adapté pour moi : j’ai trop d’obligations avec ma famille et je dois gagner de l’argent pour subvenir à ses besoins. C’est là que se situent mes vrais problèmes. C’est pourquoi je n’ai pas le temps de poursuivre la vérité. La poursuite de la vérité concerne les personnes qui accomplissent leurs devoirs à plein temps et qui n’ont aucun de ces liens. Je suis aux prises avec des obligations familiales et mon cœur est rempli de futilités parce que je dois m’en sortir, je n’ai donc pas de temps ni d’énergie à consacrer à manger et boire les paroles de Dieu ou à accomplir mon devoir. Quel que soit l’aspect de ma situation que vous examinez, je n’ai aucun moyen de poursuivre la vérité. Vous ne pouvez pas me le reprocher. Ce n’est tout simplement pas mon destin de poursuivre la vérité, et ma situation ne me permet pas d’accomplir un devoir. Tout ce que je peux faire, c’est attendre que mes obligations familiales s’amenuisent, que mes enfants deviennent indépendants, que je prenne ma retraite et que je sois libéré de mes soucis matériels : alors je poursuivrai la vérité. » Des telles personnes éprouvent des difficultés dans leur vie quotidienne et peuvent parfois sentir leur tempérament corrompu se répandre dans les questions insignifiantes de leur vie quotidienne. Elles peuvent détecter ces choses, mais parce qu’elles sont prises dans les pièges du monde séculier, elles croient qu’elles se débrouillent bien en vivant, en croyant en Dieu, en écoutant des sermons et en se débrouillant confortablement de cette façon. Elles croient que la recherche de la vérité peut attendre et que dans quelques années, il ne sera pas trop tard pour résoudre leurs tempéraments corrompus. C’est ainsi qu’elles remettent à plus tard la grande question de la poursuite de la vérité et qu’elles la reportent encore et encore. Que disent-elles sans cesse ? « Il n’est jamais trop tard pour poursuivre la vérité. Je vais m’accorder quelques années avant cela. Tant que l’œuvre de Dieu n’est pas terminée, j’ai encore du temps, j’ai encore une chance. » Que pensez-vous de cette idée ? (Elle est erronée.) Ont-elles assumé le fardeau de la poursuite de la vérité ? (Non.) Eh bien, quel fardeau ont-elles assumé, alors ? N’est-ce pas le fardeau qui consiste à faire face, à subvenir aux besoins de leur famille, à élever leurs enfants ? Elles consacrent toute leur énergie à leurs enfants, à leur famille, à leurs propres journées et à leur propre vie, et ce n’est qu’après avoir pris soin de ces choses qu’elles feront des projets pour commencer à poursuivre la vérité. Alors, ces excuses sont-elles valables ? Ne sont-elles pas des obstacles à leur poursuite de la vérité ? (Si.) Bien que ces gens croient à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, ils se plaignent également de l’environnement que Dieu a arrangé pour eux. Ils ne tiennent pas compte des exigences de Dieu et ne coopèrent pas du tout avec elles de manière proactive. Au lieu de cela, ils ne se soucient que de satisfaire leur chair, leur famille et leurs proches. Quelle raison donnent-ils pour expliquer qu’ils ne poursuivent pas la vérité ? « Nous sommes trop occupés et épuisés juste en essayant d’exister. Nous n’avons pas le temps de poursuivre la vérité ; nous ne sommes pas dans le bon environnement pour poursuivre la vérité. » Quelle est leur idée ? (Qu’il n’est jamais trop tard pour rechercher la vérité.) « Il n’est jamais trop tard pour rechercher la vérité. Je le ferai dans quelques années. » N’est-ce pas stupide ? (Si.) C’est insensé : ils se mentent à eux-mêmes avec leurs excuses. L’œuvre de Dieu t’attendra-t-elle ? (Non.) « Je le ferai dans quelques années » : ces « quelques années », qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que tu as moins d’espoir d’être sauvé et que tu auras moins d’années pour faire l’expérience de l’œuvre de Dieu. Plusieurs années passeront ainsi, puis encore quelques années, et sans même que vous vous en aperceviez, dix ans se seront écoulés et vous n’aurez pas du tout compris la vérité ni ne serez entrés dans la réalité vérité, et pas la moindre parcelle de votre tempérament corrompu n’aura été résolue. Prononcer ne serait-ce qu’une parole honnête est une telle lutte pour vous. N’est-ce pas dangereux ? N’est-ce pas dommage ? (Si.) Lorsque les gens présentent toutes ces excuses et ces raisons pour se justifier parce qu’ils ne poursuivent pas la vérité, à qui font-ils du tort, en fin de compte ? (À eux-mêmes.) C’est vrai : en fin de compte, c’est à eux-mêmes qu’ils font du mal. Et quand ils seront sur leur lit de mort, ils se haïront de ne pas avoir gagné la vérité au cours de leurs années de croyance en Dieu, et ils le regretteront toute leur vie !

Certains sont relativement instruits, mais leur calibre est médiocre et ils ne comprennent pas les questions spirituelles. Ils ont beau écouter de nombreux sermons, ils sont incapables de comprendre la vérité. Ils ont toujours leurs propres ambitions et désirs et se battent sans cesse pour obtenir un statut. S’ils n’ont pas de statut, ils ne poursuivront pas la vérité. Ils disent : « La maison de Dieu n’arrange jamais pour moi que j’accomplisse un devoir qui reflète ma valeur, comme un travail textuel, un travail audiovisuel, un poste de dirigeant d’Église ou un rôle de superviseur de groupe. On ne me donne aucune de ces tâches importantes à faire. La maison de Dieu ne me promeut ni ne me cultive, et chaque fois que l’Église organise une élection, personne ne vote pour moi et personne ne m’aime. N’ai-je vraiment aucune qualité désirable ? Je suis un intellectuel, j’ai de l’instruction, mais la maison de Dieu ne me promeut ni ne me cultive jamais, je n’ai donc aucune motivation pour poursuivre la vérité. Tous les frères et sœurs qui ont commencé à croire en Dieu à peu près au même moment que moi accomplissent des devoirs importants et servent comme dirigeants ou ouvriers. Pourquoi me laisse-t-on dans l’inactivité ? Je ne peux jouer qu’un second rôle en répandant l’Évangile de temps en temps, et on ne me laisse pas non plus témoigner. Chaque fois que la maison de Dieu promeut des gens à des devoirs importants, il n’y a rien pour moi : je n’ai même pas le droit de diriger des réunions et on ne me confie aucune responsabilité. Je me sens vraiment lésé. Tel est l’environnement que Dieu a arrangé pour moi. Pourquoi ne puis-je pas sentir la valeur de mon existence ? Pourquoi Dieu aime-t-Il les autres, mais pas moi ? Pourquoi cultive-t-Il les autres, mais pas moi ? La maison de Dieu devrait me donner un fardeau plus conséquent et faire de moi un superviseur ou quelque chose de ce genre. De cette façon, j’aurais un peu de motivation pour poursuivre la vérité. Comment puis-je poursuivre la vérité sans motivation ? Les gens ont toujours besoin d’un peu de motivation pour poursuivre la vérité : nous devons être en mesure de voir les avantages qu’il y a à la poursuivre. Je sais que les gens ont des tempéraments corrompus qui doivent être changés, et je sais que poursuivre la vérité est une bonne chose, que cela nous permet d’être sauvés et perfectionnés, mais je ne suis jamais utilisé pour quelque chose d’important et je ne ressens aucune incitation à poursuivre la vérité ! Je commencerai à poursuivre la vérité lorsque les frères et sœurs me tiendront en estime et me soutiendront : il ne sera alors pas trop tard. » N’y a-t-il pas des gens de ce genre ? (Il y en a.) Quel est leur problème ? Leur problème est qu’ils veulent un statut et une réputation. De toute évidence, ils n’aiment pas la vérité, mais ils aimeraient avoir du prestige et un siège à la table de la maison de Dieu. N’est-ce pas honteux ? C’est déjà bien que tu sois un exécutant. Que tu puisses t’élever pour devenir un exécutant loyal, cela reste à voir. Pourquoi n’est-ce pas clair pour toi ? Penses-tu que si tu as un statut et une réputation, tu seras sauvé ? Que tu seras quelqu’un qui poursuit la vérité ? Ces sentiments sont-ils valables ? (Non.) Les personnes de ce genre veulent se démarquer, faire sentir leur présence, et quand leurs désirs ne sont pas satisfaits, elles se plaignent que Dieu est injuste, qu’Il est biaisé dans la façon dont Il traite les gens, que Sa maison ne les promeut pas, que les frères et sœurs ne les élisent pas. Ces choses ne sont certainement pas le fondement dont on a besoin pour poursuivre la vérité, n’est-ce pas ? Est-il dit quelque part dans les paroles de Dieu que celui qui poursuit la vérité doit être accepté par tous et tenu en haute estime par ses frères et sœurs ? Ou bien qu’il doit être capable d’assumer un devoir important et de faire un travail important et aussi, d’apporter une grande contribution à la maison de Dieu ? Les paroles de Dieu disent-elles que seules de telles personnes peuvent poursuivre la vérité, qu’elles seules sont aptes à poursuivre la vérité ? Les paroles de Dieu disent-elles que seules ces personnes satisfont aux critères pour poursuivre la vérité, qu’elles seules peuvent entrer dans la réalité vérité, ou qu’en fin de compte, elles seules peuvent être sauvées ? Est-ce écrit quelque part dans les paroles de Dieu ? (Non.) Il est évident que les revendications formulées par ce genre de personnes sont erronées. Alors, pourquoi disent-elles ces choses ? Ne se trouvent-elles pas des excuses pour ne pas poursuivre la vérité ? (Si.) Elles aiment le statut et le prestige. Dans leur croyance en Dieu, elles ne se soucient que de la poursuite de la réputation, du gain personnel et du statut. Comme elles pensent qu’il serait honteux de dire cela à voix haute, elles trouvent une foule de justifications pour se défendre et expliquer pourquoi elles ne poursuivent pas la vérité, rejetant le blâme sur l’Église, sur les frères et sœurs et sur Dieu. N’est-ce pas sinistre ? Ces gens ne sont-ils pas des gens malfaisants qui pointent du doigt la partie innocente ? (Si.) Ils créent des problèmes déraisonnables et harcèlent les autres avec des exigences illogiques : ils sont totalement dénués de conscience et de raison ! Ne pas poursuivre la vérité est un problème suffisamment grave en soi, et pourtant ils essaient aussi de débattre et de faire les difficiles : c’est vraiment déraisonnable, n’est-ce pas ? Poursuivre la vérité est un acte volontaire : si tu aimes la vérité, alors le Saint-Esprit œuvrera en toi. Quand tu aimes la vérité, quand tu pries Dieu et comptes sur Lui, quand tu réfléchis sur toi-même et essaies de te connaître quelles que soient les persécutions ou les tribulations que tu connais, quand tu cherches activement la vérité pour résoudre les problèmes que tu découvres en toi, tu pourras accomplir ton devoir convenablement. Ainsi, tu seras capable de rester ferme dans ton témoignage. Quand les gens aiment la vérité, toutes ces manifestations leur viennent naturellement. Elles se produisent volontairement, avec joie et sans coercition, sans aucune conditions supplémentaires afférentes. Si les gens peuvent suivre Dieu de cette manière, ils gagneront finalement la vérité et la vie ; ils entreront dans la réalité vérité et ils vivront l’image de l’homme. As-tu besoin de remplir des conditions supplémentaires pour poursuivre la vérité ? Non. La croyance en Dieu est volontaire, c’est quelque chose que l’on choisit pour soi-même, et la poursuite de la vérité est parfaitement naturelle et justifiée : elle est approuvée par Dieu. Ceux qui ne poursuivent pas la vérité ne veulent pas renoncer aux plaisirs de la chair et souhaitent encore gagner les bénédictions de Dieu, mais lorsqu’ils sont confrontés à des tribulations ou à des persécutions, ou à un peu de moquerie et de diffamation, ils deviennent négatifs et faibles et ne veulent plus croire en Dieu, ni Le suivre. Ils peuvent même Le blâmer et Le renier. N’est-ce pas déraisonnable ? Ils souhaitent être bénis et pourtant, ils poursuivent toujours les plaisirs de la chair et lorsqu’ils rencontrent des tribulations ou des persécutions, ils blâment Dieu. Voilà à quel point ces gens qui n’aiment pas la vérité sont déraisonnables. Il leur sera difficile de suivre Dieu jusqu’à la fin : dès qu’ils rencontreront des tribulations ou des persécutions, ils seront exposés et chassés. Il y a trop de gens comme cela. Quelle que soit ta raison de croire en Dieu, Dieu déterminera finalement ta fin selon que tu auras ou non gagné la vérité. Si tu n’as pas gagné la vérité, alors aucune des justifications ou des excuses que tu avanceras ne tiendra la route. Essaie de raisonner comme tu le souhaites, enferre-toi comme bon te semble, Dieu S’en souciera-t-Il ? Dieu conversera-t-Il avec toi ? Voudra-t-Il débattre et S’entretenir avec toi ? Te consultera-t-Il ? Quelle est la réponse ? La réponse est non. Il ne le fera absolument pas. Quelle que soit la solidité de ton raisonnement, il ne résistera pas. Tu ne dois pas mal comprendre les intentions de Dieu et penser que si tu présentes toutes sortes de raisons et d’excuses, alors tu n’as pas besoin de poursuivre la vérité. Dieu veut que tu sois capable de chercher la vérité dans tous les environnements et dans toutes les affaires qui se présentent à toi, pour finalement arriver à entrer dans la réalité vérité et à gagner la vérité. Indépendamment des circonstances que Dieu a arrangées pour toi, des personnes et des évènements que tu rencontres, et de l’environnement dans lequel tu te trouves, tu dois prier Dieu et rechercher la vérité afin de faire face à ces circonstances. Voilà précisément les leçons que tu dois tirer de ta poursuite de la vérité. Si tu cherches toujours des excuses pour t’extirper de ces circonstances, y échapper, les refuser ou y résister, alors Dieu t’abandonnera. Il ne te servira à rien de raisonner, d’être intraitable ou difficile : si Dieu ne Se soucie pas de toi, tu perdras ta chance de salut. Pour Dieu, il n’y a aucun problème qui ne puisse être résolu : Il a pris des arrangements pour toutes les personnes, sans exception et Il a Sa façon de gérer ces personnes. Dieu ne discutera pas avec toi pour savoir si tes raisons et tes excuses sont fondées. Dieu n’écoutera pas pour savoir si les arguments que tu utilises pour te défendre sont rationnels. Tout ce qu’Il te demandera, c’est : « Les paroles de Dieu sont-elles la vérité ? As-tu un tempérament corrompu ? Devrais-tu poursuivre la vérité ? » Tu as juste besoin d’être clair sur un fait : Dieu est la vérité, tu es un être humain corrompu, tu dois donc prendre sur toi de chercher la vérité. Aucun problème, aucune difficulté, aucune raison ou excuse ne tiendront : si tu n’acceptes pas la vérité, tu périras. Tout prix qu’une personne paie pour poursuivre la vérité et entrer dans la réalité vérité en vaut la peine. Les gens devraient abandonner toutes leurs excuses, leurs justifications et leurs problèmes pour accepter la vérité et gagner la vie, car les paroles de Dieu et la vérité sont la vie qu’ils doivent atteindre, et c’est une vie contre laquelle rien ne peut être échangé. Si tu rates cette occasion, ce n’est pas seulement que tu le regretteras pour le restant de ta vie – ce n’est pas une simple question de regret – mais tu te seras complètement détruit. Il n’y aura plus de fin ni de destination pour toi, et toi qui es un être créé, tu seras dans une impasse. Tu n’auras plus jamais la possibilité d’être sauvé. Comprenez-vous ? (Oui.) Ne cherchez pas d’excuses ni de raisons pour ne pas poursuivre la vérité. Ce n’est d’aucune utilité : vous ne feriez que vous tromper vous-mêmes.

Certains dirigeants ne respectent jamais les principes dans leur travail, ils n’en font qu’à leur tête et agissent de façon arbitraire et inconsidérée. Les frères et sœurs peuvent le souligner et leur dire : « Tu consultes rarement quelqu’un avant d’agir. Nous ignorons les opinions que tu te fais et les décisions que tu prends avant d’être placés devant le fait accompli. Pourquoi n’en discutes-tu avec personne ? Quand tu prends une décision, pourquoi ne nous en parles-tu pas à l’avance ? Même si ce que tu fais est juste et que ton calibre est supérieur au nôtre, tu devrais toujours nous en informer d’abord. Au moins, nous avons le droit de savoir ce qui se passe. En agissant toujours comme une loi pour toi-même, tu suis le chemin d’un antéchrist ! » Et qu’entendrais-tu le dirigeant répondre à cela ? « Dans ma maison, c’est moi le patron. C’est moi qui décide de toutes les questions, grandes et petites. C’est mon habitude. Quand quelqu’un dans ma famille étendue a un problème, il vient me voir pour que je décide quoi faire. On sait que je suis doué pour résoudre les problèmes. C’est pourquoi c’est moi qui gère les affaires de ma famille. Quand j’ai rejoint l’Église, je pensais que je n’aurais plus à me soucier de ces choses, mais j’ai ensuite été choisi pour être dirigeant. Je ne peux rien y faire, je suis né comme ça, c’est mon destin. C’est Dieu qui m’a donné cette compétence. Je suis fait pour prendre des décisions et décider pour les autres. » L’implication ici est qu’il était destiné à être dirigeant, et que d’autres sont nés pour être des fantassins et des esclaves. Il pense qu’il doit avoir le dernier mot et que les autres doivent l’écouter. Même lorsque les frères et sœurs voient le problème de ce dirigeant et le lui signalent, il ne l’accepte pas et n’accepte pas non plus d’être traité et émondé. Il lutte et résiste jusqu’à ce que les frères et sœurs réclament sa destitution. Pendant tout ce temps, ce dirigeant ne cesse de se dire : « Avec un calibre comme le mien, je suis destiné à diriger où que j’aille. Avec des calibres comme les vôtres, vous serez toujours des esclaves et des serviteurs. C’est votre destin que d’être commandés par d’autres. » Quel genre de tempérament révèle-t-il en disant souvent de telles choses ? De toute évidence, il s’agit d’un tempérament corrompu, c’est de l’arrogance, de la vanité et un égoïsme extrême, mais il le montre et l’affiche sans vergogne comme si c’était un point fort et un atout. Lorsqu’une personne révèle un tempérament corrompu, elle doit réfléchir sur elle-même, connaître son tempérament corrompu, s’en repentir et s’en défaire, et elle doit poursuivre la vérité jusqu’à ce qu’elle puisse agir selon les principes. Mais ce n’est pas ainsi que ce dirigeant pratique. Au lieu de cela, il reste incorrigible et persiste dans ses propres vues et méthodes. Sur la base de ces comportements, vous pouvez voir qu’il n’accepte pas du tout la vérité et qu’il n’est absolument pas quelqu’un qui la poursuit. Il n’écoute pas quiconque le dénonce et le traite et au lieu de cela, il reste plein d’autojustifications : « Peuh, c’est comme ça que je suis ! C’est ce qu’on appelle la compétence et le talent. Est-ce qu’un seul d’entre vous en a ? Je suis fait pour ça, je suis né pour diriger. Où que j’aille, je suis un dirigeant. J’ai l’habitude d’avoir le dernier mot et de prendre des décisions sur tout sans consulter les autres. C’est comme ça que je suis, c’est ce qui fait tout mon charme. » N’est-ce pas là une indécente effronterie ? Il n’admet pas qu’il a un tempérament corrompu et il ne reconnaît clairement pas les paroles de Dieu qui jugent et exposent l’homme. Au contraire, il prend ses propres hérésies et sophismes pour la vérité et essaye de faire en sorte que tout le monde les accepte et les révère. Au fond, il croit que c’est lui qui doit régner dans la maison de Dieu, et non la vérité, que c’est lui qui doit y décider. N’est-ce pas un sans-gêne éhonté ? Il dit qu’il veut poursuivre la vérité, mais son comportement est tout à l’opposé. Il dit qu’il obéit à Dieu et à la vérité, mais veut toujours exercer le pouvoir, avoir le dernier mot, et que tous les frères et sœurs se soumettent à lui et lui obéissent. Il ne permettra pas à d’autres de le superviser ni de le conseiller, que ce qu’il fait soit ou non approprié et conforme aux principes. Au lieu de cela, il croit que ce sont tous les autres qui doivent tenir compte de ses paroles et de ses décisions, et leur obéir. Il ne réfléchit pas du tout à ses actions. Les frères et sœurs ont beau le conseiller et l’aider, et la maison de Dieu a beau l’émonder et le traiter, il ne réfléchit pas à ses problèmes, même s’il est renvoyé plusieurs fois. Dans tous les cas, il s’en tient à sa ligne de conduite : « À la maison, c’est moi le patron. C’est moi qui prends toutes les décisions. Sur toutes les questions, moi seul ai le dernier mot. C’est ce à quoi je suis habitué et il n’y a pas d’autre possibilité. » Il est vraiment outrancier et impénitent ! Il propage ces pratiques négatives comme s’il s’agissait de choses positives, tout en ayant une très haute opinion de lui-même. Il n’a vraiment aucune honte ! De telles personnes n’acceptent pas du tout la vérité et elles sont incorrigibles : vous pouvez donc être certains qu’elles n’aiment pas la vérité et ne la poursuivent pas. Dans leur cœur, elles sont dégoûtées de la vérité et lui sont hostiles. Le prix qu’elles paient et les épreuves qu’elles subissent pour satisfaire leurs désirs et gagner un statut sont tous vains. Dieu n’approuve rien de tout cela, Il déteste cela. C’est une manifestation de leur opposition à la vérité et de leur résistance à Dieu. On peut en être parfaitement sûr et tous ceux qui comprennent la vérité peuvent le discerner.

Il y a aussi des gens qui croient en Dieu depuis des années, mais qui ne possèdent aucune réalité vérité : ils écoutent des sermons depuis des années, mais ne comprennent pas la vérité. Bien qu’ils soient de piètre calibre, ils ont un « talent », un « talent » inégalé, celui de dire des mensonges et de les dissimuler, et de duper et tromper les autres avec des mots fleuris. S’ils prononcent une douzaine de phrases, elles contiendront une douzaine d’adultérations : il y aura dans chaque phrase des impuretés, dans une certaine mesure. Pour le dire précisément, rien de ce qu’ils disent n’est vrai. Mais parce qu’ils ont un calibre médiocre et semblent plutôt bien élevés, ils pensent : « Je suis une personne timide et candide par nature, et mon calibre est médiocre. Je me fais malmener partout où je vais, et quand les gens me malmènent, je dois juste l’endurer et souffrir. Je n’ose pas leur répondre ni lutter contre eux : tout ce que je peux faire, c’est me cacher, céder et supporter cela. Je suis “l’homme honnête, mais ignorant” évoqué par les paroles de Dieu, je suis l’un des Siens. » Si quelqu’un leur demande : « Comment se fait-il que tu mentes, alors ? » Ils diront : « Quand ai-je menti ? Qui ai-je trompé ? Je n’ai pas menti ! Comment pourrais-je dire un mensonge, étant la personne innocente que je suis ? Mon esprit est lent à réagir et je ne suis pas très instruit : je ne sais pas mentir ! Ces gens fourbes, là-bas, peuvent produire quelques idées et complots malveillants en un clin d’œil. Je ne suis pas rusé comme ça et je me fais sans cesse malmener. Je suis donc la personne honnête dont Dieu parle, et vous n’avez aucune raison de me traiter de menteur ou d’escroc. Il n’y a tout simplement pas de raison sérieuse à cela : vous essayez juste de me salir. Je sais que vous me méprisez tous : vous pensez que je suis stupide et que mon calibre est médiocre, alors vous voulez tous me malmener. Dieu est le seul à ne pas me malmener, Il me traite avec grâce. » Les personnes de ce genre n’admettront même pas qu’elles mentent, elles ont l’audace de dire qu’elles sont les gens honnêtes dont Dieu parle. Et avec cette déclaration, elles se hissent directement sur un trône. Elles croient qu’elles sont honnêtes, mais ignorantes par nature et aimées de Dieu. Elles pensent qu’elles n’ont pas besoin de poursuivre la vérité ni de réfléchir sur elles-mêmes. Elles pensent que depuis le moment où elles sont nées, aucun mensonge n’a pu être trouvé dans leur bouche. Elles ne reconnaissent pas qu’elles mentent, quoi qu’on dise, et au lieu de cela, elles ressortent les mêmes vieilles excuses pour argumenter et se défendre. Ont-elles réfléchi sur elles-mêmes ? Dans un certain sens, oui. Qu’est-ce qui leur est venu, au cours de cette « introspection » ? « Je suis l’homme honnête, mais ignorant, dont Dieu parle. Je suis peut-être un peu ignorant, mais je suis une personne honnête. » Ne mettent-elles pas des plumes à leur propre chapeau ? Elles ne savent pas clairement qui elles sont, des personnes ignorantes ou honnêtes, mais elles se considèrent comme honnêtes. Ont-elles conscience d’elles-mêmes ? Si quelqu’un est un imbécile qui se fait malmener et vit comme un lâche, cela signifie-t-il nécessairement qu’il est quelqu’un de bien ? Et si quelqu’un est considéré comme une bonne personne par les autres, cela signifie-t-il qu’il n’a pas besoin de poursuivre la vérité ? Ces gens sont-ils, en quelque sorte, naturellement détenteurs de la vérité ? Certains disent : « Je suis une personne assez candide, j’essaie toujours de dire la vérité, je suis juste un peu ignorant. Je n’ai pas besoin de poursuivre la vérité, je suis déjà une personne bonne et honnête. » En disant cela, n’insinuent-ils pas qu’ils possèdent la vérité et qu’ils n’ont pas un tempérament corrompu ? Toute l’humanité a été profondément corrompue par Satan. Les gens ont tous des tempéraments corrompus et quand quelqu’un possède un tempérament corrompu, il peut mentir, tricher et tromper quand bon lui semble. Ils peuvent même faire étalage de leurs réalisations ou de leurs contributions insignifiantes, et montrer ainsi un tempérament arrogant. Pendant tout ce temps, ils sont pleins de notions sur Dieu et d’exigences extravagantes vis-à-vis de Lui, et ils essaient de raisonner avec Lui. Ne s’agit-il pas là de problèmes ? Ne s’agit-il pas là d’un tempérament corrompu ? Cela ne nécessite-t-il pas un examen ? Si. Pourtant, ces gens se sont déjà désignés comme des personnes honnêtes qui ne mentent jamais ni ne trompent les autres. Ils proclament qu’ils n’ont pas de tempéraments malhonnêtes et qu’ils n’ont donc pas besoin de poursuivre la vérité. Par conséquent, aucune personne qui se comporte de cette manière ne poursuit la vérité et aucun d’entre eux n’est entré dans la réalité vérité. Lorsqu’ils prient Dieu, souvent ils se lamentent amèrement à propos de leur bêtise, des intimidations dont ils sont sans cesse victimes et de leur calibre particulièrement médiocre : « Ô Dieu, Toi seul m’aimes. Toi seul as pitié de moi et me traites avec grâce. Les gens me harcèlent tous et disent que je suis un menteur, mais ce n’est pas le cas ! » Ensuite, ils essuient leurs larmes et se relèvent, et quand ils voient d’autres personnes, ils pensent : « Aucun de vous n’est aimé de Dieu. Je suis le seul. » Ces gens ont une haute estime d’eux-mêmes et n’admettent pas qu’ils affichent une manifestation quelconque des comportements et des tempéraments corrompus dont parle Dieu. Même lorsqu’un problème spécifique leur arrive et produit en eux un état corrompu ou une manifestation de corruption, ils ne l’admettent que verbalement, après un moment de réflexion, puis ils en ont terminé avec cette question. Ils ne cherchent pas du tout la vérité et ils ne reconnaissent pas qu’ils montrent de la corruption et qu’ils sont des êtres humains corrompus. Encore moins, bien sûr, admettraient-ils avoir affiché un tempérament corrompu dans un cas particulier. Quels que soient le nombre de problèmes qu’ils causent et le nombre de tempéraments corrompus qu’ils affichent, ils finissent toujours par dire la même chose : « Je suis l’homme honnête, mais ignorant, dont Dieu parle. Je suis l’objet de Sa pitié et Il me bénira abondamment. » Et ainsi, avec ces paroles, ils ont le sentiment qu’ils n’ont pas à poursuivre la vérité : ces paroles sont l’excuse que ces gens présentent pour ne pas poursuivre la vérité. Ces gens ne sont-ils pas insensés ? (Si.) Ils sont insensés et ignorants. À quel point sont-ils insensés ? Au point qu’ils s’emparent d’une expression tirée des paroles de Dieu qui leur profite et l’utilisent comme un sceau avec lequel contraindre Dieu et se disculper de ne pas poursuivre la vérité, tout en considérant que les paroles de Dieu qui exposent et jugent l’homme ne les concernent pas du tout. Ils ont le sentiment qu’ils n’ont pas besoin de les écouter parce qu’ils sont déjà des personnes honnêtes. Pour être plus précis, ces gens sont des misérables pathétiques. Ils ont un mauvais calibre, ils n’ont aucune raison et n’ont pratiquement honte de rien, mais ils souhaitent malgré tout gagner des bénédictions. Et bien qu’ils soient de piètre calibre, dépourvus de raison et sans honte, ils sont très fiers et méprisent les gens ordinaires. Ils n’ont aucun respect pour les personnes de bon calibre qui sont capables de poursuivre la vérité et qui peuvent échanger sur la réalité vérité. Ils pensent : « À quoi servent vos points forts, de toute façon ? Malgré toute votre poursuite de la vérité et votre connaissance de vous-mêmes, moi, je n’ai pas besoin de faire ce genre de choses. Je suis quelqu’un d’honnête. Je suis peut-être un peu ignorant, mais ce n’est pas vraiment un problème. Et les tempéraments corrompus que j’affiche ne sont pas non plus à craindre. Tant que je m’équipe de bons comportements, tout ira bien. » Qu’exigent-ils d’eux-mêmes ? « Dieu connaît mon cœur, en tout cas, et ma foi en Lui est authentique. Cela suffit. Parler jour après jour de témoignage expérientiel et de connaissance des paroles de Dieu : à quoi servent toutes ces discussions ? En fin de compte, il suffit de croire sincèrement en Dieu. » Peut-on faire plus stupide ? Premièrement, ces gens ne sont pas du tout intéressés par la vérité ; deuxièmement, il est juste de dire qu’ils n’ont aucune capacité de compréhension vis-à-vis de la vérité ou des paroles de Dieu. Et pourtant, ils s’estiment beaucoup eux-mêmes malgré tout, prennent de grands airs et agissent avec beaucoup d’aplomb. Ils cherchent une justification pour expliquer pourquoi ils ne poursuivent pas la vérité, ou une méthode de poursuite ou quelque chose qu’ils perçoivent comme un point fort pour remplacer la poursuite de la vérité. N’est-ce pas stupide ? (Si.)

Certaines personnes qui ne poursuivent pas la vérité n’ont pas de problèmes majeurs en termes d’humanité. Elles respectent les règles et se comportent bien. Les femmes qui sont comme ça s’avèrent douces et vertueuses, dignes et décentes, et ne batifolent pas. Ce sont de bonnes filles vis-à-vis de leurs parents, ce sont de bonnes épouses et mères dans leur vie de famille, et elles passent consciencieusement leurs journées à s’occuper de leur maison. Les hommes qui sont comme ça s’avèrent innocents et dévoués, et ils se comportent bien. Ce sont de bons fils, ils ne boivent ni ne fument, ne volent ni n’escroquent, ne jouent ni ne vont voir de prostituées. Ce sont des maris modèles et, en dehors de la maison, il est rare qu’ils se querellent ou se disputent avec les autres pour savoir qui a raison et qui a tort. Certains pensent qu’il suffit d’accomplir ces choses en tant que croyant, et que ceux qui le font sont des gens normaux et acceptables. Ils croient que s’ils sont charitables et serviables, humbles, patients et tolérants depuis qu’ils croient en Dieu, et que s’ils font convenablement et avec diligence tout le travail que l’Église arrange pour eux, sans être négligents ni superficiels, alors ils ont atteint la réalité vérité et sont près de répondre aux exigences de Dieu. Ils pensent que s’ils se retroussent les manches et font un peu plus d’efforts, qu’ils lisent davantage la parole de Dieu, qu’ils se souviennent davantage de ses formules et les prêchent davantage aux autres, alors ils poursuivront la vérité. Mais ils ne reconnaissent pas leurs manifestations de corruption, ils ne savent pas quels tempéraments corrompus ils ont, et encore moins savent-ils comment un tempérament corrompu surgit, ou comment il doit être reconnu et résolu. Ils ne savent rien de tout cela. Y a-t-il des gens comme cela ? (Oui.) Ils considèrent leur « bonté » naturelle comme une norme à atteindre par ceux qui poursuivent la vérité. Si quelqu’un les qualifiait d’arrogants, de malhonnêtes ou de malfaisants, ils ne le contesteraient pas ouvertement et ils afficheraient une attitude d’humilité, de patience et d’acceptation. Mais au fond d’eux-mêmes, au lieu de prendre cela au sérieux, ils y résisteraient : « Je suis arrogant ? Si je suis arrogant, il n’y a pas une seule bonne personne sur terre ! Si je suis malhonnête, alors personne au monde n’est honnête ! Si je suis malfaisant, alors personne au monde n’est convenable ! Est-il facile de trouver quelqu’un d’aussi bon que moi, de nos jours ? Non c’est impossible ! » Il ne convient pas de les traiter de malhonnêtes ou d’arrogants, ni de dire qu’ils n’aiment pas la vérité, et il ne convient certainement pas de les traiter de non-croyants. Ils vont juste taper du poing sur la table et argumenter : « Alors, je suis un non-croyant, dites-vous ? Si je ne peux pas être sauvé, aucun d’entre vous ne le pourra ! » Quelqu’un peut les exposer en disant : « Tu n’acceptes pas la vérité. Lorsque les gens pointent du doigt tes problèmes, tu sembles assez humble et patient, mais au fond de toi, tu résistes vraiment. Ce que tu prêches lorsque tu échanges sur la vérité est correct, mais le fait demeure que tu n’acceptes pas une seule des paroles de Dieu qui exposent et jugent l’essence du tempérament corrompu de l’homme. Tu leur résistes et tu les détestes. Tu as un tempérament vicieux. » Si vous les qualifiez de « vicieux », ils ne peuvent tout simplement pas l’accepter. « Vicieux, moi ? Si j’étais vicieux, je vous aurais foulés aux pieds depuis longtemps ! Si j’étais vicieux, je vous aurais déjà tous détruits ! » Ils ne peuvent pas comprendre quoi que ce soit que vous exposez à leur sujet ou sur lequel vous échangez correctement avec eux. Comprendre les choses correctement, qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que, quels que soient les problèmes que quelqu’un révèle en vous, vous confrontez ces problèmes aux paroles de Dieu pour les comparer, afin d’examiner s’il y a vraiment eu des erreurs dans vos intentions et vos pensées et que, quel que soit le nombre de problèmes révélés en vous, vous les abordez tous avec une attitude d’acceptation et de soumission. C’est ainsi qu’une personne peut vraiment prendre connaissance de ses problèmes. On ne peut pas connaître son tempérament corrompu à partir de ses notions et de son imagination, cela doit être fait sur la base des paroles de Dieu. Alors, quelle est la condition préalable à la connaissance de soi ? Tu dois reconnaître le fait que Satan a trompé et corrompu l’humanité et que les gens ont tous des tempéraments corrompus. Ce n’est qu’en acceptant ce fait que tu peux réfléchir sur toi-même selon la révélation des paroles de Dieu, et au cours de ce processus de réflexion sur toi-même, découvrir progressivement tes problèmes. À ton insu, tes problèmes remonteront à la surface, peu à peu, et tu comprendras alors avec clarté quel est ton tempérament corrompu. Et sur cette base, tu pourras acquérir des connaissances sur le type de personne que tu es et sur ton essence. Tu parviendras ainsi à accepter tout ce que Dieu dit et ce qu’Il révèle, puis tu continueras à trouver dans les paroles de Dieu le chemin de pratique qu’Il a tracé pour l’homme, et tu pratiqueras et vivras selon Ses paroles. Voilà ce que signifie poursuivre la vérité. Mais est-ce ainsi que les individus de ce genre reçoivent les paroles de Dieu ? Non, ils peuvent prétendre reconnaître que les paroles de Dieu sont la vérité et que Ses paroles exposant l’humanité corrompue sont toutes des faits, mais si on leur demande de connaître leur propre tempérament corrompu, ils ne l’accepteront ni ne le reconnaîtront. Ils croient que cela n’a rien à voir avec eux. C’est parce qu’ils pensent qu’ils sont des gens dignes et honnêtes, des gens intègres, des personnes d’honneur. Que quelqu’un soit une personne droite, cela signifie-t-il qu’il possède la vérité ? Être une personne droite n’est qu’une manifestation positive de son humanité : cela ne représente pas la vérité. Donc, ce n’est pas parce que tu as une caractéristique de l’humanité normale que tu n’as pas besoin de poursuivre la vérité, ni que tu as déjà gagné la vérité ; et encore moins cela signifie-t-il que tu es une personne que Dieu aime. N’est-ce pas le cas ? (C’est le cas.) Ces prétendues « personnes d’honneur » croient qu’elles n’ont pas de tempéraments arrogants, malhonnêtes, ni un tempérament de dégoût de la vérité, et qu’elles n’ont certainement pas de tempéraments malfaisants et vicieux. Elles pensent qu’aucun de ces tempéraments corrompus n’existe en elles, parce qu’elles sont des personnes d’honneur, parce qu’elles sont par nature droites et bonnes, parce qu’elles sont toujours malmenées par les autres, et bien qu’elles soient de faible calibre et ignorantes, parce qu’elles sont honnêtes. Cette « honnêteté » n’est pas la vraie honnêteté, c’est la candeur, la timidité et l’ignorance. Ces gens-là ne sont-ils pas de grands imbéciles ? Tout le monde les considère comme de bonnes personnes. Cette vision est-elle correcte ? Ceux que les gens perçoivent comme bons ont-ils des tempéraments corrompus ? La réponse est oui, c’est une certitude. Les gens innocents ne mentent-ils pas ? Ne trompent-ils pas les autres et ne se déguisent-ils pas ? Ne sont-ils pas égoïstes ? Ne sont-ils pas avides ? Ne souhaitent-ils pas de hautes fonctions ? Sont-ils libres de tous désirs extravagants ? Certainement pas. La seule raison pour laquelle ils n’ont rien fait de mal, c’est qu’ils n’en ont pas eu l’occasion. Et ils en sont fiers : ils s’auto-proclament « personnes d’honneur » et croient qu’ils n’ont pas un tempérament corrompu. Donc, si quelqu’un devait souligner une sorte de tempérament, d’effusion ou d’état corrompus en eux, ils le réfuteraient en disant : « Ce n’est pas vrai ! Ce n’est pas ce je suis et ce n’est pas ainsi que j’agis, ni que je pense. Vous m’avez mal compris. Vous voyez tous que je suis innocent, que je suis sot, que je suis timide, alors vous me malmenez. » Que faut-il faire de telles personnes qui rétorqueraient ainsi ? Si quelqu’un osait agacer une telle personne, il serait harcelé par elle pour toujours. Il n’en verrait jamais la fin. Il serait incapable de se débarrasser de cette personne, malgré tous ses efforts. Ces gens déraisonnables et sans cesse contrariants pensent malgré tout qu’ils poursuivent la vérité, qu’ils sont des gens innocents et ignorants qui n’ont pas de tempéraments corrompus. Souvent, ils disent même : « Je suis peut-être ignorant, mais je suis candide, je suis une personne honnête et Dieu m’aime ! » Pour eux, ce sont des choses dont on tire parti. N’est-ce pas quelque peu honteux ? Tu dis que Dieu t’aime. Est-ce exact ? Sur quoi te bases-tu pour le dire ? As-tu l’œuvre du Saint-Esprit ? Dieu a-t-Il dit qu’Il te perfectionnerait ? Dieu envisage-t-Il de Se servir de toi ? Si Dieu ne t’a pas dit ces choses, tu ne peux pas dire qu’Il t’aime, tu peux seulement dire qu’Il a pitié de toi, ce qui est déjà une bonne chose. Si tu dis que Dieu t’aime, c’est juste ta compréhension personnelle : cela ne prouve pas que Dieu t’aime vraiment. Dieu aimerait-Il une personne qui ne poursuit pas la vérité ? Dieu aimerait-Il une personne ignorante et timide ? Dieu a pitié des ignorants et des timides, c’est vrai. Dieu aime ceux qui sont vraiment honnêtes, qui poursuivent la vérité, qui peuvent pratiquer la vérité et se soumettre à Lui, qui peuvent L’exalter et témoigner pour Lui, qui peuvent être attentifs à Sa volonté et L’aimer sincèrement. Seuls ceux qui peuvent vraiment se dépenser pour Dieu et s’acquitter loyalement de leurs devoirs ont l’amour de Dieu ; seuls ceux qui peuvent accepter la vérité, et accepter d’être émondés et traités, ont l’amour de Dieu. Ceux qui n’acceptent pas la vérité, qui n’acceptent pas d’être émondés et traités, sont ceux que Dieu déteste et rejette. Si tu es dégoûté de la vérité et que tu résistes à toutes les paroles prononcées par Dieu, alors Dieu sera dégoûté de toi et te rejettera. Si tu te considères sans cesse comme une bonne personne, comme une personne pathétique, simple et innocente, mais que tu ne poursuis pas la vérité, Dieu t’aimera-t-Il ? C’est impossible : il n’y a aucune base pour cela dans Ses paroles. Dieu ne regarde pas si tu es innocent et Il ne se soucie pas non plus de la sorte d’humanité ni du calibre avec lesquels tu es né : Il regarde si, après avoir entendu Ses paroles, tu les acceptes ou les ignores, si tu t’y soumets ou si tu leur résistes. Il regarde si Ses paroles ont un effet sur toi et portent leurs fruits en toi, si tu peux rendre un vrai témoignage aux nombreuses paroles qu’Il a prononcées. Si, au bout du compte, ce à quoi ton expérience se résume est : « Je suis candide, je suis timide, je me fais malmener par tous ceux que je rencontre, tout le monde me méprise », alors Dieu dira que ce n’est pas un témoignage. Si tu ajoutes : « Je suis l’homme honnête, mais ignorant, dont Dieu parle », Dieu dira que tu es plein de mensonges et qu’on ne peut trouver dans ta bouche une seule parole de vérité. Si, lorsque Dieu a des exigences vis-à-vis de toi, non seulement tu ne leur obéis pas du tout, mais tu essaies aussi de raisonner avec Dieu et de te trouver des excuses, en disant : « J’ai souffert et j’ai payé un prix, et j’aime Dieu », cela n’ira pas. Poursuis-tu la vérité ? Où est ton véritable témoignage expérientiel ? Comment l’amour que tu as pour Dieu se manifeste-t-il ? Personne ne sera convaincu si tu ne peux pas fournir de preuves. Tu dis : « Je suis une personne d’honneur et j’agis avec décence. Je ne me livre pas à la fornication et je suis toutes les règles dans mes actions. Je suis une personne bien élevée. Je ne vais pas boire, voir des prostituées ni jouer. Je ne cause pas de perturbations ni de troubles dans la maison de Dieu, ni ne sème la discorde, j’endure la souffrance et je travaille dur. Ne s’agit-il pas là de signes indiquant que je poursuis la vérité ? Je poursuis déjà la vérité. » Et Dieu dira : As-tu résolu ton tempérament corrompu ? Où est le témoignage de ta poursuite de la vérité ? Peux-tu obtenir l’approbation et l’admiration des élus de Dieu ? Si tu ne peux offrir aucun témoignage expérientiel, mais que tu dis que tu es une personne honnête qui aime Dieu, alors tu es quelqu’un qui séduit les autres avec de fausses paroles : tu es un diable Satan déraisonnable et tu mérites d’être maudit. Il ne te reste plus qu’à être condamné et banni par Dieu.

Certains, dans l’accomplissement de leurs devoirs, agissent souvent de manière arbitraire et irréfléchie. Ils sont extrêmement capricieux : quand ils sont contents, ils font un peu leur devoir et quand ils ne le sont pas, ils boudent et disent : « Je suis de mauvaise humeur aujourd’hui. Je ne mangerai rien et je n’accomplirai pas mon devoir. » D’autres doivent alors négocier avec eux et leur dire : « Ça n’ira pas. Tu ne peux pas être aussi capricieux. » Et qu’auront-ils à répondre à cela ? « Je sais que ça n’ira pas, mais j’ai grandi dans une famille riche et privilégiée. Mes grands-parents et mes tantes m’ont tous gâté, et mes parents étaient encore pires. J’étais leur chéri, la prunelle de leurs yeux, ils me passaient tout et me gâtaient. Cette éducation m’a donné un tempérament capricieux, de sorte que lorsque j’accomplis un devoir dans la maison de Dieu, je refuse d’en parler avec les autres, de chercher la vérité ou de me soumettre à Dieu. Est-ce ma faute ? » Leur compréhension est-elle correcte ? Leur attitude consiste-t-elle à poursuivre la vérité ? (Non.) Chaque fois que quelqu’un évoque un léger défaut chez eux, comme leur façon de se servir les meilleurs morceaux aux repas, le fait qu’ils ne se soucient que d’eux-mêmes et ne pensent pas aux autres, ils diront : « Je suis comme ça depuis que je suis enfant. J’y suis habitué. Je n’ai jamais pensé aux autres. J’ai toujours vécu une vie privilégiée, avec des parents qui m’adoraient et des grands-parents qui étaient fous de moi. Je suis la prunelle des yeux de toute ma famille. » C’est là un tas de bêtises et d’idées fausses. N’est-ce pas un peu indécent et impudent ? Que tes parents t’adorent, cela signifie-t-il que tout le monde doit en faire autant ? Que tes proches t’adorent et raffolent de toi, cela te donne-t-il une raison d’agir de manière irréfléchie et arbitraire dans la maison de Dieu ? Est-ce une raison valable ? Est-ce la bonne attitude à avoir vis-à-vis de ton tempérament corrompu ? Est-ce une attitude de poursuite de la vérité ? (Non.) Quand quelque chose arrive à ces gens, quand ils ont un problème lié à leur tempérament corrompu ou à leur vie, ils cherchent des justifications objectives pour en répondre, pour l’expliquer, pour le justifier. Ils ne cherchent jamais la vérité ni ne prient Dieu, et ils ne se présentent pas devant Dieu pour réfléchir sur eux-mêmes. Sans introspection, peut-on connaître ses problèmes et sa corruption ? (Non.) Et peut-on se repentir sans connaître sa corruption ? (Non.) Si quelqu’un ne peut pas se repentir, dans quel état vivra-t-il invariablement ? Est-ce que ce ne sera pas dans un état de pardon de soi ? Dans le sentiment que même s’il a fait montre de corruption, il n’a pas fait le mal ni enfreint les décrets administratifs, que même si agir ainsi n’était pas conforme aux vérités-principes, ce n’était pas intentionnel, et c’est pardonnable ? (Si.) Eh bien, est-ce le genre d’état d’esprit dans lequel doit être quelqu’un qui poursuit la vérité ? (Non.) Si quelqu’un ne se repent jamais vraiment et a sans cesse ce genre d’état d’esprit, sera-t-il capable de se reprendre en main ? Non, il ne le pourra jamais. Et si une personne ne se reprend pas en main, elle sera incapable de vraiment abandonner sa malfaisance. Que signifie être incapable de vraiment abandonner sa malfaisance ? Cela signifie qu’on ne peut pas vraiment pratiquer la vérité et entrer dans la vérité-réalité. C’est le résultat évident. Si tu ne peux pas abandonner ta malfaisance ni pratiquer la vérité et entrer dans la réalité, alors si tu souhaites faire en sorte que Dieu change d’avis à ton sujet, obtenir l’œuvre du Saint-Esprit, gagner l’éclairage et l’illumination de Dieu et voir Dieu pardonner tes transgressions et résoudre ta corruption, cela sera-t-il possible ? (Non.) Si ce n’est pas possible, alors ta croyance en Dieu peut-elle entraîner ton salut ? (Non.) Si une personne vit dans un état dans lequel elle se pardonne et s’admire, elle est loin de poursuivre la vérité. Les choses dont elle s’occupe, qu’elle examine, qu’elle écoute et qu’elle fait, en courant dans tous les sens, peuvent être vaguement liées à la croyance en Dieu, mais elles n’auront rien à voir avec la poursuite de la vérité ni avec sa pratique. Ce résultat est évident. Et puisqu’elles ne sont pas liées à la poursuite ni à la pratique de la vérité, cette personne n’aura pas réfléchi sur elle-même, ni n’aura de connaissance d’elle-même. Elle ne saura pas à quel point elle a été corrompue et elle ne saura pas comment pratiquer la repentance. Il est donc encore moins probable qu’elle parvienne à une vraie repentance ou qu’elle fasse changer d’avis Dieu à son sujet. Si tu vis dans un tel état et que tu veux que Dieu te reconsidère, te pardonne ou t’approuve, ce sera vraiment difficile. Que veut dire « approuver », ici ? Cela signifie que Dieu reconnaît ce que tu fais, l’approuve et S’en souvient. Si tu ne peux obtenir aucune de ces choses, cela prouve que tu ne poursuis pas la vérité dans ce que tu fais, dans tes efforts, dans tes effusions et ton comportement. Ce que tu penses importe peu : même si tu es capable d’adopter de bons comportements, ces comportements montrent seulement qu’il y a un peu de conscience et de raison dans ton humanité. Mais ces bons comportements ne sont pas une manifestation de la poursuite de la vérité, car ton point de départ, tes intentions et tes motivations ne sont pas ceux de la poursuite de la vérité. Sur quelle base peut-on le dire ? Sur la base qu’aucune de tes pensées, aucun de tes actes et aucune de tes actions ne concernent la poursuite de la vérité et qu’ils n’ont rien à voir avec la vérité. Si rien de ce que l’on fait n’est pour gagner l’approbation et la reconnaissance de Dieu, alors rien de ce que l’on fait ne permettra d’obtenir l’approbation ou la reconnaissance de Dieu, et il est évident que ces comportements et pratiques peuvent seulement être qualifiés de bons comportements humains. Ce ne sont pas des signes que l’on pratique la vérité et ce ne sont certainement pas des signes qu’on la poursuit. Les gens qui sont particulièrement capricieux et qui se comportent souvent de manière irréfléchie et arbitraire n’acceptent pas le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, ni n’acceptent d’être émondés et traités. Ils se trouvent aussi souvent des excuses pour leur incapacité à poursuivre la vérité et à accepter d’être émondés et traités. De quel tempérament s’agit-il ? À l’évidence, c’est un tempérament de dégoût de la vérité : le tempérament de Satan. L’homme possède la nature de Satan et son tempérament, donc sans aucun doute, les gens sont de Satan. Ce sont des démons, la progéniture de Satan et la descendance du grand dragon rouge. Certains se montrent capables d’admettre qu’ils sont des démons, des Satan et la progéniture du grand dragon rouge, et ils parlent très joliment de leur connaissance d’eux-mêmes. Mais s’ils révèlent un tempérament corrompu et que quelqu’un les expose, les traite et les émonde, ils tenteront de toutes leurs forces de se justifier, et ils n’accepteront pas du tout la vérité. Quel est le problème ici ? En cela, ces gens sont complètement exposés. Ils devisent très joliment quand ils parlent de se connaître, alors pourquoi, lorsqu’il s’agit pour eux d’être émondés et traités, ne peuvent-ils pas accepter la vérité ? Il y a ici un problème. Ce genre de chose n’est-il pas assez courant ? Est-ce facile à discerner ? En fait, oui. Il y a pas mal de gens qui admettent qu’ils sont des démons et des Satan quand ils parlent de leur connaissance d’eux-mêmes, mais par la suite, ils ne se repentent pas et ne changent pas. Alors, la connaissance de soi dont ils parlent est-elle vraie ou fausse ? Ont-ils une connaissance sincère d’eux-mêmes, ou est-ce seulement une ruse destinée à tromper les autres ? La réponse est évidente. Par conséquent, pour voir si une personne a une connaissance sincère d’elle-même, vous ne devez pas simplement écouter ce qu’elle en dit : vous devez examiner l’attitude qu’elle a vis-à-vis du fait d’être émondée et traitée et déterminer si elle peut accepter la vérité. C’est la chose la plus fondamentale. Celui qui n’accepte pas d’être émondé et traité possède une essence de non-acceptation de la vérité, de refus de son acceptation, et son tempérament consiste à être dégoûté de la vérité. Cela ne fait aucun doute. Certaines personnes ne permettent pas aux autres de les traiter, quel que soit le degré de corruption qu’elles ont révélé : personne ne peut les émonder ni les traiter. Elles sont autorisées à parler de leur connaissance d’elles-mêmes de la manière qui leur plaît, mais si quelqu’un d’autre les expose, les critique ou les traite, aussi objectivement ou conformément aux faits que cela puisse être, elles ne l’accepteront pas. Quel que soit le genre de manifestation d’un tempérament corrompu qu’une autre personne expose chez elles, elles seront extrêmement antagonistes et ne cesseront pas de se trouver des justifications spécieuses, sans même le plus léger semblant de véritable soumission. Si de telles personnes ne recherchent pas la vérité, il y aura des troubles. Dans l’Église, elles sont intouchables et irréprochables. Quand les gens disent quelque chose de bien à leur sujet, cela les rend heureuses. Quand les gens font remarquer quelque chose de mal à leur sujet, elles se mettent en colère. Si quelqu’un les expose en leur disant : « Tu es quelqu’un de bien, mais tu es très capricieux. Tu agis toujours de manière arbitraire et irréfléchie. Il faut que tu acceptes d’être émondé et traité. Ne vaudrait-il pas mieux que tu te débarrasses de ces insuffisances et de ces tempéraments corrompus ? », elles diront en réponse : « Je n’ai rien fait de mal. Je n’ai pas péché. Pourquoi me traites-tu ? J’ai été adoré à la maison depuis que je suis enfant, à la fois par mes parents et mes grands-parents. Je suis leur amour, la prunelle de leurs yeux. Maintenant, ici dans la maison de Dieu, personne ne m’aime du tout : ce n’est pas amusant de vivre ici ! Vous êtes toujours en train de me trouver tel ou tel défaut et vous essayez de me traiter. Comment puis-je vivre ainsi ? » Quel est le problème, ici ? Les gens clairvoyants peuvent dire immédiatement que ces personnes ont été gâtées par leurs parents et leur famille, et que maintenant encore, elles ne savent pas comment se comporter ni vivre de manière indépendante. Ta famille t’a aimé comme une idole et tu ne connais pas ta place dans l’univers. Tu as développé les vices de l’arrogance, de l’autosatisfaction et des caprices extrêmes, dont tu n’as pas conscience et sur lesquels tu ne sais pas réfléchir. Tu crois en Dieu, mais tu n’écoutes pas Ses paroles et tu ne pratiques pas la vérité. Peux-tu gagner la vérité avec une telle croyance en Dieu ? Peux-tu entrer dans la vérité-réalité ? Peux-tu vivre la vraie ressemblance d’un être humain ? Certainement pas. En tant que croyant, tu dois au moins accepter la vérité et te connaître toi-même. Ce n’est qu’ainsi que tu pourras changer. Si tu te fies sans cesse à tes notions et à ton imagination dans ta foi, si tu ne cherches que la paix et le bonheur, au lieu de poursuivre la vérité, si tu es incapable de véritable repentance et si tu n’opères aucun changement dans ta vie-tempérament, alors ta croyance en Dieu est dénuée de sens. En tant que croyant, tu dois comprendre la vérité. Tu dois faire des efforts pour te connaître toi-même. Tu dois chercher la vérité quoi qu’il t’arrive et tu dois résoudre tout tempérament corrompu qui se manifeste chez toi en échangeant sur la vérité selon les paroles de Dieu. Si quelqu’un souligne ton tempérament corrompu ou si tu prends l’initiative de l’examiner toi-même, que tu peux consciemment le confronter aux paroles de Dieu à des fins de comparaison et faire ton introspection, t’examiner et te connaître toi-même, puis continuer en résolvant ton problème et en pratiquant la repentance, tu seras capable de vivre comme un être humain. Ceux qui croient en Dieu doivent accepter la vérité. Si tu te délectes sans cesse du sentiment d’être adoré par les membres de ta famille, toujours heureux d’être la prunelle de leurs yeux, leur amour, que pourras-tu gagner ? Tu auras beau être la prunelle de leurs yeux et leur amour, si tu n’as pas la vérité-réalité, tu n’es qu’un déchet. Croire en Dieu n’a de valeur que si tu poursuis la vérité. Lorsque tu comprendras la vérité, tu sauras comment te comporter et tu sauras comment vivre afin de connaître le vrai bonheur et d’être une personne qui plaît à Dieu. Aucun environnement familial et aucun point fort, mérite ou don personnel ne peut remplacer la vérité-réalité, et rien de tel ne devrait te servir d’excuse pour ne pas poursuivre la vérité. Gagner la vérité est la seule chose qui peut apporter aux gens le vrai bonheur, leur permettre de vivre une vie qui ait du sens et leur accorder une merveilleuse destination. Tels sont les faits.

Certains, après être devenus dirigeants ou ouvriers dans l’Église, se croient talentueux et pensent avoir enfin la possibilité de briller. Ils sont contents d’eux-mêmes et commencent à exploiter leurs points forts. Ils laissent libre cours à leurs ambitions et démontrent toutes leurs capacités. Ces personnes ont de la classe et de l’éducation, des compétences organisationnelles et les manières et l’allure d’un dirigeant. Ils étaient premiers de la classe et à la tête du syndicat étudiant à l’université, ils étaient le directeur ou le président de l’entreprise dans laquelle ils travaillaient et lorsqu’ils ont commencé à croire en Dieu et sont venus dans Sa maison, ils ont été élus dirigeants, si bien qu’ils se disent : « Le ciel ne me laisse jamais tomber. Il serait difficile pour quelqu’un d’aussi capable que moi de faire profil bas. Dès que j’ai quitté mon poste de PDG de l’entreprise, je suis venu dans la maison de Dieu et j’y ai assumé un rôle de dirigeant. Je ne pourrais pas être une personne ordinaire, même si j’essayais. C’est Dieu qui m’a exalté, c’est ce qu’Il a arrangé pour moi, alors je vais m’y soumettre. » Devenus dirigeants, ils mettent à profit leur expérience, leurs connaissances, leurs compétences organisationnelles et leur style de direction. Ils pensent qu’ils sont capables et audacieux, qu’ils sont des individus vraiment habiles et talentueux. Il est donc dommage que cela pose un problème. Ces dirigeants habiles et talentueux, qui sont nés avec la capacité de diriger, qu’est-ce qu’ils font le mieux dans l’Église ? Établir un royaume indépendant, s’arroger tout pouvoir et dominer les discussions. Devenus dirigeants, ils ne font rien d’autre que travailler, courir à droite et à gauche, subir des épreuves et payer un prix pour leur prestige et leur statut. Ils ne se soucient de rien d’autre. Ils croient que leur affairement et leur travail sont conformes à la volonté de Dieu, qu’ils n’ont pas de tempérament corrompu, que l’Église a toujours besoin d’eux et que les frères et sœurs ont également besoin d’eux. Ils croient qu’aucun travail ne pourrait se faire sans eux, qu’ils peuvent entièrement s’en charger eux-mêmes et monopoliser le pouvoir. Et ils trouvent assez facilement le moyen d’établir leur royaume indépendant. Ils sont capables de toutes sortes de choses inventives et novatrices, ils sont particulièrement habiles à agir comme des personnages officiels et à prendre de grands airs et ils ont l’habitude de sermonner les autres en les prenant de haut. Il y a juste une chose importante qu’ils ne peuvent pas faire : devenus dirigeants, ils ne sont plus capables de parler aux autres avec leur cœur, de se connaître eux-mêmes, de remarquer leur propre corruption ni d’écouter les suggestions des frères et sœurs. Si certains soulèvent des idées différentes lors des discussions de travail, ces dirigeants ne se contenteront pas de les rejeter, ils le justifieront en leur disant : « Vous n’avez pas réfléchi sérieusement à cette proposition. Je suis dirigeant d’Église, si je fais ce que vous dites et que rien ne tourne mal, ça me va, mais si quelque chose de grave se produit, la responsabilité en incombera à moi seul. Donc, la plupart du temps, vous pouvez exprimer vos opinions, nous pouvons respecter cette formalité, mais en fin de compte, ce doit être moi seul qui fais le choix et décide comment les choses sont faites. » Au fil du temps, la plupart des frères et sœurs cessent de participer aux discussions ou d’échanger sur le travail, et ces dirigeants ne prendront pas la peine de discuter avec eux de quelque problème que ce soit lié au travail. Ils continueront à prendre des décisions et à porter des jugements sans en dire un mot à personne, et ils resteront emplis de leurs justifications. Ils croient ceci : « L’Église est l’Église du dirigeant, le dirigeant trace la voie. C’est le dirigeant qui a le dernier mot sur la direction que prennent les frères et sœurs et sur le chemin qu’ils empruntent. » Naturellement, ces dirigeants prennent alors le contrôle de l’entrée dans la vie des frères et sœurs, du chemin qu’ils parcourent et de la direction de leur poursuite. Une fois qu’on les a faits « capitaines », ils monopolisent le pouvoir et établissent un royaume indépendant. Il n’y a aucune transparence dans leurs actions et sans s’en rendre compte, ils répriment quelques personnes et excluent certains frères et sœurs qui poursuivent la vérité et ont la capacité de comprendre. Pendant tout ce temps, ils pensent néanmoins qu’en agissant ainsi, ils protègent le travail de l’Église et les intérêts des élus de Dieu. Ils font tout avec des raisonnements très précis, avec une pléthore de justifications et d’excuses, et qu’en est-il, finalement ? Tout ce qu’ils font, c’est pour protéger leur statut et leur monopole du pouvoir. Ils introduisent dans la maison de Dieu les principes, les voies et les moyens de comportement de la société laïque et de la vie de famille, et pensent que ce faisant, ils protègent les intérêts de la maison de Dieu. Pourtant, ils ne se connaissent jamais eux-mêmes et ne réfléchissent jamais sur eux-mêmes. Même si quelqu’un soulignait qu’ils enfreignent les vérités-principes, même s’ils devaient recevoir l’éclairage, la discipline et le châtiment de Dieu, ils n’en auraient aucune conscience. Où est le problème ? Depuis le jour où ils ont pris leur poste de dirigeant, ils ont traité leur devoir comme une carrière et c’est cela qui les condamne à suivre le chemin des antéchrists et fait qu’ils sont incapables de poursuivre la vérité. Et pourtant, au cours de cette « carrière », ils croient que tout ce qu’ils font est la poursuite de la vérité. Comment voient-ils la poursuite de la vérité ? Ils préservent leur propre statut et leur autorité sous prétexte de protéger les intérêts des frères et sœurs et de la maison de Dieu, et ils croient que c’est une manifestation de leur poursuite de la vérité. Ils ne savent absolument rien du tempérament corrompu qui se manifeste en eux et qu’ils répandent pendant qu’ils sont à ce poste. Même s’ils ont parfois le vague sentiment qu’il s’agit d’un tempérament corrompu, que celui-ci est détesté par Dieu, que c’est un tempérament vicieux, intransigeant, ils changent rapidement d’avis en se disant : « Ça ne va pas. Je suis le dirigeant et je dois en avoir la dignité. Je ne peux pas laisser les frères et sœurs me voir déverser un tempérament corrompu. » Et donc, bien qu’ils se rendent compte qu’ils ont manifesté beaucoup de corruption et qu’afin de sauvegarder leur statut et leur autorité, ils ont fait beaucoup de choses qui contreviennent aux principes, quand quelqu’un les expose, ils recourent aux sophismes ou essaient de le bloquer pour que personne d’autre ne l’apprenne. Dès qu’ils ont acquis autorité et statut, ils se sont mis dans une position sacro-sainte et inviolable, se croyant éminents, corrects, irréprochables et incontestables. Et ayant occupé une telle position, ils résistent à toutes voix dissidentes et à toutes suggestions ou tous conseils qui pourraient être bénéfiques à l’entrée dans la vie des frères et sœurs et au travail de l’Église et ils les rejettent, de manière constante. Quelle excuse donnent-ils pour ne pas poursuivre la vérité ? Ils disent : « J’ai un statut, je suis une personne respectée, cela signifie que j’ai de la dignité et que je suis sacro-saint et inviolable. » Peuvent-ils poursuivre la vérité, ayant trouvé de telles raisons et de telles excuses ? (Non.) Ils ne le peuvent pas. Ils parlent et agissent toujours depuis leur position élevée, tout en profitant des privilèges de leur statut. Ce faisant, ils se tiennent au-dessus d’un feu et obligent à ce qu’on les expose. Ces gens ne sont-ils pas pitoyables ? Ils sont pitoyables et détestables, et odieux aussi : ils sont écœurants ! En tant que dirigeants, ils s’habillent à l’image d’un saint. Un saint, une personne grande, glorieuse et juste : quels sont ces titres ? Ce sont des chaînes, et celui qui les met ne peut plus poursuivre la vérité. Si quelqu’un porte ces chaînes, cela signifie qu’il n’a plus aucun lien avec la poursuite de la vérité. Quelle est la principale raison pour laquelle ces gens ne poursuivent pas la vérité ? En fait, la raison en est qu’ils ont été contraints par le statut. Ils se disent toujours : « Je suis le dirigeant. Je suis responsable, ici. Je suis une personne qui a une réputation et un statut. Je suis une personne digne. Je ne peux pas avoir un tempérament arrogant ou malfaisant. Je ne peux pas m’ouvrir et échanger sur mon tempérament corrompu : je dois préserver ma dignité et mon prestige. Je dois faire en sorte que les gens m’admirent et me vénèrent. » Ils sont toujours contraints par ces choses, ils sont donc incapables de s’ouvrir, ou de réfléchir et de se connaître eux-mêmes. Ils sont détruits par ces choses. Leurs points de vue et leur état d’esprit sont-ils en accord avec la vérité ? Il est bien évident que non. Les comportements qu’ils affichent habituellement dans leurs devoirs – leur arrogance et leur autosatisfaction, leur façon d’agir selon leurs propres règles, leurs faux-semblants, leur ruse, etc. – sont-ils la poursuite de la vérité ? (Non.) Très clairement, aucun de ces comportements n’est la poursuite de la vérité. Et quelle est la justification ou la raison qu’ils donnent pour ne pas poursuivre la vérité ? (Ils croient que les dirigeants sont des personnes avec un statut et une dignité, et que même s’ils ont un tempérament corrompu, cela ne peut pas être exposé.) N’est-ce pas un point de vue absurde ? Si une personne admet avoir un tempérament corrompu, mais ne permet pas qu’on l’expose, est-elle quelqu’un qui accepte la vérité ? Si, en tant que dirigeant, tu ne peux pas accepter la vérité, comment feras-tu l’expérience de l’œuvre de Dieu ? Comment seras-tu purifié de ta corruption ? Et si tu ne peux pas être purifié de ta corruption et que tu continues à vivre selon ton tempérament corrompu, alors tu es un dirigeant qui ne peut pas faire de travail concret : tu es un faux dirigeant. En tant que dirigeant, tu as effectivement un statut, mais cela signifie simplement avoir un travail différent, un devoir différent : cela ne signifie pas que tu es devenu une personne respectée. Tu ne deviens pas plus digne que les autres, ni une personne de rang distingué parce que tu as acquis ce statut et accompli un devoir différent. S’il y a vraiment des gens qui pensent ainsi, ne sont-ils pas effrontés ? (Si.) Comment le dire de façon plus familière ? Ils sont effrontément insolents, n’est-ce pas ? Quand ils ne sont pas dirigeants, ils traitent les gens avec sincérité, ils sont capables de s’ouvrir quant à leurs effusions de corruption et d’analyser leurs tempéraments corrompus. Une fois qu’ils assument un poste de dirigeant, ils deviennent une toute autre personne. Pourquoi dis-Je qu’ils deviennent une autre personne ? Parce qu’ils mettent un masque et que la vraie personne reste derrière. Le masque ne trahit absolument aucune expression, ni pleurs ni rires, ni plaisir ni colère, ni chagrin ni joie, ni émotions ni désirs, et certainement aucun tempérament corrompu. À tout moment, son expression et sa condition restent les mêmes, tandis que tous les véritables états, pensées et idées personnelles du dirigeant restent cachés derrière le masque, là où personne ne peut les voir. Certains dirigeants et ouvriers se considèrent toujours comme des gens qui ont une réputation et un statut. Comme ils sont terrifiés à l’idée de perdre leur dignité, si quelqu’un devait les émonder et les traiter, ils n’acceptent pas la vérité. Ils tirent parti de leur statut et de leur autorité pour prononcer des paroles mielleuses et fausses et dissimuler leur tempérament corrompu. En même temps, ils croient à tort qu’ils sont plus distingués et plus saints que les autres, en raison de leur statut, et qu’ils n’ont donc pas besoin de poursuivre la vérité, que c’est aux autres qu’il revient de poursuivre la vérité. Cette façon de penser est erronée et elle est quelque peu indécente et insensée. C’est ainsi que se comporte ce genre de personne. D’après l’essence du comportement de ces gens-là, on voit clairement qu’ils ne poursuivent pas la vérité. Au lieu de cela, ils poursuivent le statut et le prestige. Pendant qu’ils travaillent, ils protègent leur statut et leur autorité et s’illusionnent en pensant qu’ils poursuivent la vérité. Ils sont exactement comme Paul, faisant des résumés fréquents du travail qu’ils ont abattu et des devoirs qu’ils ont accomplis, des tâches qu’ils ont réalisées en faisant du travail d’Église et des succès qu’ils ont atteints en faisant le travail de la maison de Dieu. Ils tiennent fréquemment des comptes de ces choses, comme Paul quand il disait : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée » (2 Timothée 4:7-8). Par cela, il voulait dire qu’après qu’il avait terminé son parcours et combattu le bon combat, il était temps de calculer quelle chance de salut il avait, quelle avait été sa contribution, quelle serait sa récompense, et de demander à Dieu de récompenser ses apports. Il voulait dire qu’il ne penserait pas que Dieu était un Dieu juste s’Il ne le récompensait pas avec une couronne, qu’il refuserait de se soumettre et se plaindrait même de l’injustice de Dieu. Une telle personne, avec ce genre d’état d’esprit et de tempérament, poursuit-elle la vérité ? Est-elle vraiment soumise à Dieu ? Peut-elle se mettre à la merci des orchestrations de Dieu ? N’est-ce pas clair au premier coup d’œil ? Elle pense que son parcours et son combat sont la poursuite de la vérité, elle ne cherche pas du tout la vérité et ne possède pas les manifestations d’une véritable poursuite : elle n’est donc pas quelqu’un qui poursuit la vérité.

Lequel des problèmes de l’homme notre échange vient-il d’exposer principalement ? Plus précisément, lequel des tempéraments corrompus de l’homme a-t-il principalement exposé ? L’un des plus fondamentaux est que l’homme est dégoûté de la vérité et refuse de l’accepter : c’est un type de comportement très spécifique. Un autre, d’importance aussi, est quelque chose qui existe dans l’essence du tempérament de chaque personne : l’intransigeance. Cela se manifeste aussi de manière assez concrète et évidente, n’est-ce pas ? (En effet.) Voilà deux des principales façons dont le tempérament corrompu de l’homme se manifeste et se répand. Ces comportements spécifiques, ces points de vue spécifiques, ces attitudes, etc., illustrent véritablement et précisément la présence d’un élément de dégoût de la vérité dans le tempérament corrompu de l’homme. Bien sûr, ce qui est le plus visible dans le tempérament de l’homme, ce sont les manifestations de l’intransigeance : quoi que Dieu dise et quels que soient les tempéraments corrompus de l’homme exposés au cours de l’œuvre de Dieu, les gens refusent obstinément de le reconnaître et y résistent. Au-delà de la résistance évidente et du rejet méprisant, il y a bien sûr un autre type de comportement, celui des gens qui ne se préoccupent pas de l’œuvre de Dieu, comme si l’œuvre de Dieu n’avait rien à voir avec eux. Que signifie ne pas se préoccuper de Dieu ? C’est le fait d’une personne qui déclare : « Dis ce que Tu veux, ça n’a rien à voir avec moi. Aucun de Tes jugements et aucune de Tes expositions n’a quoi que ce soit à voir avec moi. Je ne l’accepte pas et ne le reconnais pas. » Peut-on qualifier une telle attitude d’« intransigeante » ? (Oui.) C’est une manifestation de l’intransigeance. Ces gens disent : « Je vis comme je veux, de la manière qui me met à l’aise et de la manière qui me rend heureux. Les comportements dont Tu parles, comme l’arrogance, la tromperie, le dégoût de la vérité, le mal, la méchanceté, etc., même si je les ai, et alors ? Je ne les examinerai pas, ni ne les connaîtrai, ni ne les accepterai. C’est ainsi que je crois en Dieu, que vas-Tu faire à ce sujet ? » C’est une attitude intransigeante. Lorsque les gens ne se préoccupent pas des paroles de Dieu ou n’y prêtent pas attention, ce qui signifie qu’ils ignorent constamment Dieu, indépendamment de ce qu’Il dit, qu’Il parle sous forme de rappels, d’avertissements ou d’exhortations, quelle que soit la manière de parler qu’Il emploie et quels que soient la source et les buts de Son discours, alors leur attitude est intransigeante. Cela signifie qu’ils ne prêtent aucune attention à la volonté pressante de Dieu, et encore moins à Son désir sincère et bien intentionné de sauver l’homme. Quoi que Dieu fasse, les gens n’ont pas le cœur à coopérer et ils ne veulent pas s’efforcer d’atteindre la vérité. Même s’ils reconnaissent que le jugement et la révélation de Dieu sont entièrement factuels, il n’y a aucun remords dans leur cœur et ils continuent à croire comme ils le faisaient auparavant. Au bout du compte, après avoir entendu de nombreux sermons, ils disent la même chose : « Je suis un vrai croyant, en tout cas, mon humanité n’est pas médiocre, je ne ferais pas délibérément le mal, je suis capable de renoncer aux choses, je peux supporter les épreuves et je suis prêt à payer le prix de ma foi. Dieu ne m’abandonnera pas. » N’est-ce pas exactement comme ce que Paul a dit : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée » ? Voilà le genre d’attitude que les gens ont. Quel est le tempérament qui sous-tend une telle attitude ? L’intransigeance. Un tempérament intransigeant est-il difficile à changer ? Y a-t-il un chemin pour le faire ? La méthode la plus simple et la plus directe consiste à transformer ton attitude envers les paroles de Dieu et envers Dieu Lui-même. Comment peux-tu transformer ces choses ? En analysant et en apprenant à connaître les états et les mentalités qui découlent de ton attitude intransigeante et en cherchant à voir à quelles actions et paroles, quels points de vue et intentions auxquels tu te raccroches, et même précisément quelles pensées et idées que tu répands sont sous l’emprise de ton tempérament intransigeant. Examine et résous ces comportements, effusions et états, un par un, puis inverse-les : dès que tu as examiné et détecté quelque chose, dépêche-toi de l’inverser. Par exemple, nous parlions justement d’agir en fonction de ses préférences et de ses humeurs, ce qui relève du caprice. Un tempérament capricieux comporte par nature le dégoût de la vérité. Si tu te rends compte que tu es ce genre de personne, avec ce genre de tempérament corrompu, et que tu ne réfléchis pas sur toi-même et ne cherches pas la vérité pour le résoudre, pensant obstinément que tout va bien pour toi, c’est de l’intransigeance. Après ce sermon, tu te diras peut-être soudainement : « J’ai dit des choses comme ceci, et j’ai des opinions comme cela. Mon tempérament est un tempérament qui est dégoûté de la vérité. Puisque c’est le cas, je vais me mettre à résoudre ce tempérament. » Comment donc vas-tu t’y prendre pour le résoudre ? Commence par abandonner ton sentiment de supériorité, ton caractère capricieux et ton arbitraire. Que tu sois de bonne ou de mauvaise humeur, regarde quelles sont les exigences de Dieu. Si tu peux renoncer à la chair et pratiquer conformément aux exigences de Dieu, comment va-t-Il te voir ? Si tu peux vraiment commencer à résoudre ces comportements corrompus, c’est un signe que tu coopères de manière positive et proactive avec l’œuvre de Dieu. De façon consciente, tu abandonneras et résoudras ce tempérament de dégoût de la vérité, et en même temps, tu résoudras ton tempérament intransigeant. Lorsque tu auras résolu ces deux tempéraments corrompus, tu seras en mesure d’obéir à Dieu et de Le satisfaire, et cela Lui plaira. Si vous avez compris le contenu de cet échange et que vous pratiquez le renoncement à la chair de cette manière, J’en serai très content. Alors Je n’aurai pas prononcé ces paroles en vain.

L’intransigeance est un problème de tempérament corrompu : c’est quelque chose qui fait partie de la nature de quelqu’un et qui n’est pas facile à résoudre. Quand quelqu’un a un tempérament intransigeant, cela se manifeste principalement par une propension à offrir des justifications et des arguments spécieux, à s’en tenir à ses propres idées et à ne pas accepter facilement de nouvelles choses. Il y a des moments où les gens savent que leurs idées sont fausses, pourtant ils s’y tiennent par vanité et par orgueil, en s’obstinant jusqu’au bout. Un tempérament aussi intransigeant est difficile à transformer, même si l’on en est conscient. Pour résoudre le problème de l’intransigeance, il faut connaître l’arrogance, la malhonnêteté et la méchanceté de l’homme, le dégoût de la vérité et d’autres tempéraments similaires. Si quelqu’un connaît sa propre arrogance, sa propre malhonnêteté, sa propre méchanceté, son dégoût de la vérité, qu’il sait qu’il ne veut pas renoncer à la chair bien qu’il veuille pratiquer la vérité, qu’il présente toujours des excuses et explique ses difficultés bien qu’il veuille obéir à Dieu, il lui sera facile de reconnaître qu’il a un problème d’intransigeance. Pour résoudre ce problème, il faut d’abord posséder une raison humaine normale et commencer par apprendre à écouter les paroles de Dieu. Si tu souhaites être la brebis de Dieu, il faut que tu apprennes à écouter Ses paroles. Et comment dois-tu les écouter ? En écoutant tous les problèmes que Dieu expose dans Ses paroles et qui te concernent. Si tu en trouves un, tu dois l’accepter, tu ne dois pas croire que c’est un problème que les autres ont, que c’est le problème de tout le monde ou le problème de l’humanité, et que cela n’a rien à voir avec toi. Ce serait mal pour toi d’avoir une telle croyance. Tu dois réfléchir, grâce à la révélation des paroles de Dieu, pour savoir si tu as les états corrompus ou les vues erronées que Dieu expose. Par exemple, lorsque tu entends les paroles de Dieu révélant les manifestations d’un tempérament arrogant qui émanent de quelqu’un, tu dois te dire : « Est-ce que je présente des manifestations d’arrogance ? Je suis un être humain corrompu, je dois donc présenter certaines de ces manifestations. Je dois réfléchir pour savoir en quoi je fais cela. Les gens disent que je suis arrogant, que je prends sans cesse de grands airs, que je contrains les gens quand je parle. Est-ce vraiment mon tempérament ? » En réfléchissant, tu t’apercevras enfin que la révélation des paroles de Dieu est tout à fait exacte, que tu es une personne arrogante. Et comme la révélation des paroles de Dieu est tout à fait exacte, comme elle correspond parfaitement à ta situation, sans la moindre divergence, et qu’elle semble encore plus exacte après réflexion, tu dois accepter le jugement et le châtiment de Ses paroles, et discerner et arriver à connaître l’essence de ton tempérament corrompu selon elles. Alors tu pourras éprouver de vrais remords. Dans ta croyance en Dieu, ce n’est qu’en mangeant et en buvant Ses paroles de cette manière que tu pourras en venir à te connaître toi-même. Afin de résoudre tes tempéraments corrompus, tu dois accepter le jugement et l’exposition des paroles de Dieu. Si tu ne peux pas le faire, tu n’auras aucun moyen de te débarrasser de tes tempéraments corrompus. Si tu es une personne intelligente qui voit que la révélation des paroles de Dieu est généralement exacte, ou si tu peux admettre que la moitié de celle-ci est correcte, alors tu dois l’accepter immédiatement et te soumettre devant Dieu. Tu dois aussi Le prier et réfléchir sur toi-même. Ce n’est qu’alors que tu comprendras que toutes les paroles de révélation de Dieu sont exactes, qu’elles sont toutes des faits et rien de moins. C’est seulement en se soumettant devant Dieu avec un cœur qui craint Dieu que les gens peuvent vraiment réfléchir sur eux-mêmes. Ce n’est qu’alors qu’ils pourront voir la grande variété de tempéraments corrompus qui existent en eux et constater qu’ils sont effectivement arrogants et suffisants, dépourvus de toute raison. Quelqu’un qui aime la vérité pourra se prosterner devant Dieu, admettre devant Lui qu’il a été profondément corrompu et avoir la volonté d’accepter Son jugement et Son châtiment. De cette façon, il peut développer un cœur de remords, commencer à se renier et à se haïr, et regretter de ne pas avoir poursuivi la vérité auparavant, en se disant : « Pourquoi ai-je été incapable d’accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu quand j’ai commencé à les lire ? Cette attitude que j’ai eue vis-à-vis de Ses paroles était une attitude d’arrogance, n’est-ce pas ? Comment ai-je pu être aussi arrogant ? » Après avoir fréquemment réfléchi sur lui-même de cette manière pendant un certain temps, il reconnaîtra qu’il est en effet arrogant, qu’il n’est pas entièrement capable d’admettre que les paroles de Dieu sont la vérité et les faits, et qu’il n’a vraiment pas la moindre raison. Mais c’est une chose difficile de se connaître soi-même. Chaque fois qu’une personne réfléchit, elle ne peut qu’acquérir une connaissance un peu plus grande et un peu plus profonde d’elle-même. Acquérir une connaissance claire d’un tempérament corrompu n’est pas quelque chose qui peut être accompli en peu de temps : on doit lire davantage les paroles de Dieu, prier davantage et réfléchir davantage sur soi-même. Ce n’est qu’ainsi qu’on pourra progressivement en venir à se connaître soi-même. Tous ceux qui se connaissent vraiment ont échoué et trébuché à plusieurs reprises dans le passé, après quoi ils ont lu les paroles de Dieu, ils L’ont prié et ont réfléchi sur eux-mêmes, et ils en sont ainsi venus à voir clairement la vérité de leur propre corruption et à sentir qu’ils étaient en effet profondément corrompus et absolument privés de la vérité-réalité. Si tu fais l’expérience de l’œuvre de Dieu de cette façon, que tu Le pries et que tu cherches la vérité quand il t’arrive des choses, tu parviendras progressivement à te connaître toi-même. Puis un jour, ton cœur sera enfin clair : « J’ai peut-être un peu plus de calibre que les autres, mais cela m’a été donné par Dieu. Je suis sans cesse vantard, j’essaie de surpasser les autres quand je parle et d’amener les gens à faire les choses à ma façon. Je manque vraiment de raison : c’est de l’arrogance et de l’autosatisfaction ! Par la réflexion, j’ai appris mon propre tempérament arrogant. C’est l’éclairage et la grâce de Dieu, et je L’en remercie ! » Est-ce une bonne ou une mauvaise chose d’apprendre ton propre tempérament corrompu ? (Une bonne chose.) À partir de là, tu dois chercher comment parler et agir avec raison et obéissance, comment te tenir sur un pied d’égalité avec les autres, comment traiter les autres équitablement sans les contraindre, comment considérer correctement ton calibre, tes dons, tes points forts, et ainsi de suite. De cette façon, comme une montagne réduite en poussière, un coup à la fois, ton tempérament arrogant sera résolu. Après cela, lorsque tu interagiras avec les autres ou quand tu travailleras avec eux pour accomplir un devoir, tu seras en mesure de traiter leurs points de vue correctement et d’y prêter une attention particulière et attentive en les écoutant. Et lorsque tu les entendras exprimer un point de vue correct, tu feras cette découverte : « Il semble que mon calibre ne soit pas le meilleur. Le fait est que chacun a ses propres points forts, ces gens ne me sont pas du tout inférieurs. Avant, j’étais persuadé que j’avais un meilleur calibre que les autres. C’était de l’admiration de moi-même et de l’ignorance bornée. J’avais une vision très limitée, comme une grenouille au fond d’un puits. Penser comme cela manquait vraiment de raison : c’était éhonté ! J’étais rendu sourd et aveugle par mon tempérament arrogant. Les paroles des autres ne me parvenaient pas et je pensais que j’étais meilleur qu’eux, que j’avais raison, alors qu’en fait, je ne vaux pas mieux qu’eux ! » Dès lors, tu auras une véritable pénétration et une véritable connaissance de tes insuffisances et de ta faible stature. Et après cela, lorsque tu échangeras avec les autres, tu écouteras attentivement leurs points de vue et tu auras cette prise de conscience : « Il y a tellement de gens qui sont meilleurs que moi. Mon calibre et ma capacité de compréhension sont médiocres l’un et l’autre, au mieux. » T’étant rendu compte de cela, n’auras-tu pas acquis un peu de conscience de toi-même ? En faisant cette expérience et en réfléchissant fréquemment sur toi-même selon les paroles de Dieu, tu pourras acquérir une véritable connaissance de toi-même qui s’approfondira de plus en plus. Tu seras capable d’y voir clair et d’accéder à la vérité de ta corruption, de ta pauvreté et de ta misère, de ta déplorable laideur et à ce moment-là, tu seras écœuré par toi-même et tu haïras ton tempérament corrompu. Il te sera alors facile de renoncer à toi-même. C’est ainsi que tu fais l’expérience de l’œuvre de Dieu. Tu dois réfléchir à tes effusions de corruption conformément aux paroles de Dieu. En particulier, après avoir révélé un tempérament corrompu dans n’importe quel type de situation, tu dois fréquemment réfléchir sur toi-même et te connaître toi-même. Il te sera alors facile de voir clairement ton essence corrompue et tu pourras haïr ta corruption, ta chair et Satan du fond du cœur. Et du fond du cœur, tu pourras aimer la vérité et t’efforcer de l’atteindre. De cette façon, ton tempérament arrogant ne cessera de s’atténuer et tu le rejetteras progressivement. Tu gagneras de plus en plus de raison et il te sera plus facile de te soumettre à Dieu. Aux yeux des autres, tu paraîtras plus stable et plus ancré, et tu sembleras parler plus objectivement. Tu seras capable d’écouter les autres et tu leur laisseras le temps de parler. Lorsque les autres auront raison, il te sera facile d’accepter leurs paroles, et tes interactions avec les gens ne seront plus aussi éprouvantes. Tu pourras coopérer harmonieusement avec n’importe qui. Si c’est ainsi que tu accomplis ton devoir, n’auras-tu pas alors de la raison et de l’humanité ? Voilà comment résoudre ce genre de tempérament corrompu.

Maintenant, échangeons un peu sur la manière de résoudre les tempéraments corrompus à travers la question du tempérament intransigeant que Je viens de mentionner. Pour résoudre un tempérament corrompu, il faut d’abord être capable d’accepter la vérité. Accepter la vérité, c’est accepter le jugement et le châtiment de Dieu ; c’est accepter Ses paroles qui exposent l’essence de la corruption de l’homme. Si tu arrives à connaître et à analyser tes manifestations de corruption, tes états corrompus et tes intentions et comportements corrompus sur la base des paroles de Dieu, et que tu es capable de découvrir l’essence de tes problèmes, alors tu auras pris connaissance de ton tempérament corrompu et tu auras mis en branle le processus pour le résoudre. Par contre, si tu ne pratiques pas de cette manière, non seulement tu seras incapable de résoudre ton tempérament intransigeant, mais tu n’auras également aucun moyen d’éradiquer tes tempéraments corrompus. Chaque personne possède de multiples tempéraments corrompus. Par où commencer pour les résoudre ? Premièrement, il faut résoudre son intransigeance, car un tempérament intransigeant empêche les gens de se rapprocher de Dieu, de chercher la vérité et de se soumettre à Dieu. L’intransigeance est la plus grande pierre d’achoppement à la prière et à l’échange de l’homme avec Dieu : c’est ce qui interfère le plus avec la relation normale entre l’homme et Dieu. Une fois que tu auras résolu ton tempérament intransigeant, les autres seront faciles à résoudre. Résoudre un tempérament corrompu commence par l’introspection et la connaissance de soi. Résous tous les tempéraments corrompus dont tu as conscience : plus ces tempéraments sur lesquels tu acquiers des connaissances sont nombreux, plus tu peux en résoudre ; plus la connaissance que tu en as est approfondie, plus tu peux les résoudre complètement. Voilà le processus de résolution des tempéraments corrompus, cela se fait en priant Dieu, en réfléchissant sur soi-même, en se connaissant soi-même et en analysant l’essence de son tempérament corrompu grâce aux paroles de Dieu, jusqu’à ce que l’on soit capable de renoncer à la chair et de pratiquer la vérité. Connaître l’essence de ton tempérament corrompu n’est pas une tâche simple. Se connaître soi-même, ce n’est pas dire en gros : « Je suis une personne corrompue, je suis un diable, je suis la progéniture de Satan, le descendant du grand dragon rouge, je suis résistant et hostile envers Dieu, je suis Son ennemi. » Un tel discours ne signifie pas nécessairement que tu as une véritable connaissance de ta propre corruption. Peut-être as-tu appris ces paroles de quelqu’un d’autre et ne sais-tu pas grand-chose sur toi-même. La véritable connaissance de soi n’est pas basée sur l’apprentissage ou les jugements de l’homme, elle est basée sur les paroles de Dieu : c’est voir les conséquences des tempéraments corrompus et la souffrance que tu as endurée en conséquence, c’est ressentir à quel point un tempérament corrompu nuit non seulement à toi-même, mais aussi aux autres. C’est te rendre compte du fait que les tempéraments corrompus proviennent de Satan, que ce sont les poisons et les philosophies de Satan, et qu’ils sont entièrement hostiles à la vérité et à Dieu. Lorsque tu auras percé à jour ce problème, tu auras réussi à connaître ton tempérament corrompu. Après que certaines personnes reconnaissent qu’elles sont le diable Satan, elles n’acceptent pourtant pas d’être émondées et traitées. Elles n’admettent pas qu’elles ont fait quoi que ce soit de mal ni qu’elles ont enfreint la vérité. Que leur arrive-t-il ? Elles ne se connaissent toujours pas. Certaines personnes disent qu’elles sont le diable Satan, mais si tu leur demandais : « Pourquoi dis-tu que tu es le diable Satan ? », elles seraient incapables de répondre. Cela montre qu’elles ne connaissent pas leur tempérament corrompu, ni leur nature-essence. Si elles pouvaient voir que leur nature est la nature du diable, que leur tempérament corrompu est le tempérament de Satan, et admettre qu’elles sont donc le diable, Satan, elles connaîtraient alors leur propre nature-essence. La véritable connaissance de soi est atteinte par l’exposition, le jugement, la pratique et l’expérience des paroles de Dieu. Elle est atteinte par la compréhension de la vérité. Si une personne ne comprend pas la vérité, alors quoi qu’elle dise sur sa connaissance d’elle-même, c’est creux et peu concret, car elle ne peut pas trouver ni saisir ces choses qui sont à la racine et qui sont essentielles. Pour se connaître, il faut reconnaître quels tempéraments corrompus on a révélés dans des cas spécifiques, savoir quelle était son intention, comment on s’est comporté, par quoi on a été contaminé et pourquoi on ne pouvait pas accepter la vérité. On doit être capable d’énoncer ces choses clairement, alors seulement on peut se connaître soi-même. Certaines personnes, lorsqu’elles sont confrontées à l’émondage et au traitement, admettent qu’elles sont dégoûtées de la vérité, qu’elles ont des soupçons et des incompréhensions à propos de Dieu, et qu’elles se méfient de Lui. Elles reconnaissent également que toutes les paroles de Dieu qui jugent et exposent l’homme sont factuelles. Cela montre qu’elles ont un peu de connaissance d’elles-mêmes. Mais parce qu’elles n’ont pas de connaissance de Dieu ni de Son œuvre, parce qu’elles ne comprennent pas Sa volonté, leur connaissance d’elles-mêmes est assez superficielle. Si quelqu’un reconnaît seulement sa propre corruption, mais n’a pas trouvé la racine du problème, ses soupçons, ses incompréhensions et sa méfiance concernant Dieu peuvent-ils être résolus ? Non, ce n’est pas possible. C’est pourquoi la connaissance de soi est davantage qu’une simple reconnaissance de sa corruption et de ses problèmes : il faut également comprendre la vérité et résoudre le problème de son tempérament corrompu à sa racine. C’est le seul moyen de percer à jour la vérité de sa corruption et d’atteindre la vraie repentance. Lorsque ceux qui aiment la vérité parviennent à se connaître, ils sont également capables de chercher et de comprendre la vérité pour résoudre leurs problèmes. Seule cette sorte de connaissance de soi donne des résultats. Chaque fois qu’une personne qui aime la vérité lit une phrase des paroles de Dieu qui révèle et juge l’homme, avant toute autre chose, elle croit que les paroles de Dieu qui révèlent l’homme sont réelles et factuelles, que les paroles de Dieu qui jugent l’homme sont la vérité, et qu’elles représentent la justice de Dieu. Ceux qui aiment la vérité doivent au moins être capables de le reconnaître. Si quelqu’un ne croit même pas aux paroles de Dieu et ne croit pas que les paroles de Dieu exposant et jugeant l’homme soient des faits et la vérité, peut-il se connaître à travers Ses paroles ? Certainement pas : même s’il le voulait, il ne le pourrait pas. Si tu peux être ferme dans ta conviction que toutes les paroles de Dieu sont la vérité et si tu peux les croire toutes, quoi que Dieu dise et quelle que soit Sa manière de parler, si tu es capable de croire et d’accepter les paroles de Dieu, même si tu ne les comprends pas, il te sera facile de réfléchir sur toi-même et de te connaître à travers elles. L’introspection doit être basée sur la vérité. Cela ne fait aucun doute. Seules les paroles de Dieu sont la vérité. Aucune des paroles de l’homme et aucune des paroles de Satan n’est la vérité. Satan corrompt l’humanité depuis des millénaires avec toutes sortes d’apprentissages, d’enseignements et de théories, et les gens sont devenus si insensibles et lents d’esprit que non seulement ils n’ont pas la moindre connaissance d’eux-mêmes, mais ils soutiennent même des hérésies et des idées fausses, et refusent la vérité. De tels êtres humains ne peuvent être rachetés. Ceux qui ont une vraie foi en Dieu croient que seules Ses paroles sont la vérité, ils sont capables de se connaître eux-mêmes sur la base des paroles de Dieu et de la vérité, et d’atteindre ainsi une véritable repentance. Certaines personnes ne poursuivent pas la vérité : elles basent leur introspection uniquement sur l’apprentissage de l’homme et n’admettent rien de plus qu’un comportement pécheur, et pendant tout ce temps, elles sont incapables de percer à jour leur propre essence corrompue. Une telle connaissance de soi est une entreprise futile et elle ne donne aucun résultat. Il faut baser son introspection sur les paroles de Dieu et, après réflexion, arriver progressivement à connaître les tempéraments corrompus qu’on révèle. Il faut être capable de mesurer et de connaître ses lacunes, son humanité-essence, ses opinions sur les choses, sa vision de la vie et ses valeurs, en se basant sur la vérité, puis parvenir à une évaluation et à un verdict précis sur toutes ces choses. De cette façon, on peut progressivement atteindre la connaissance de soi-même. Mais la connaissance de soi s’approfondit au fur et à mesure que l’on acquiert davantage d’expérience de la vie et avant d’avoir gagné la vérité, il est impossible de voir entièrement sa nature-essence. Si une personne se connaît vraiment, elle peut constater que les êtres humains corrompus sont effectivement la progéniture et l’incarnation de Satan. Elle aura alors le sentiment qu’elle ne mérite pas de vivre devant Dieu, qu’elle est indigne de Son amour et de Son salut, et elle pourra se prosterner complètement devant lui. Seuls ceux qui sont capables d’un tel degré de connaissance se connaissent vraiment eux-mêmes. La connaissance de soi est une condition préalable pour entrer dans la vérité-réalité. Si quelqu’un veut pratiquer la vérité et entrer dans la réalité, il doit se connaître. Les gens ont tous des tempéraments corrompus et, malgré eux, ils sont toujours entravés et contrôlés par ces tempéraments corrompus. Ils sont incapables de pratiquer la vérité et d’obéir à Dieu. Donc, s’ils souhaitent faire ces choses, ils doivent d’abord se connaître et résoudre leurs tempéraments corrompus. Ce n’est qu’à travers le processus de résolution d’un tempérament corrompu que l’on peut comprendre la vérité et gagner la connaissance de Dieu. Alors seulement peut-on se soumettre à Dieu et témoigner pour Lui. C’est ainsi qu’on gagne la vérité. Le processus d’entrée dans la vérité-réalité consiste à résoudre son tempérament corrompu. Alors, que faut-il faire pour résoudre son tempérament corrompu ? Tout d’abord, il faut connaître son essence corrompue. Plus précisément, cela signifie savoir comment son tempérament corrompu est apparu et quels mensonges et quelles idées fausses de Satan qu’on a acceptés l’ont provoqué. Une fois que l’on parviendra à comprendre pleinement ces causes profondes sur la base des paroles de Dieu et qu’on en aura le discernement, on ne sera plus disposé à vivre selon son tempérament corrompu, on ne voudra plus que se soumettre à Dieu et vivre selon Ses paroles. Chaque fois qu’on révèlera un tempérament corrompu, on pourra reconnaître et rejeter ce tempérament, et renoncer à sa propre chair. En pratiquant et en expérimentant de cette manière, on se débarrassera lentement de tous ses tempéraments corrompus.

Certains disent : « Quand j’ai lu les paroles d’exposition et de jugement de Dieu, j’ai réfléchi sur moi-même et je me suis rendu compte que j’étais arrogant, malhonnête, égoïste, malfaisant, intransigeant et dépourvu d’humanité. » Certains disent même qu’ils sont extrêmement arrogants, qu’ils sont des bêtes, qu’ils sont le diable Satan. Est-ce là une vraie connaissance de soi ? S’ils parlent avec leur cœur et pas seulement en copiant quelque chose, cela montre qu’ils ont au moins une certaine connaissance d’eux-mêmes, la seule question étant de savoir si celle-ci est superficielle ou profonde. S’ils copient quelque chose, qu’ils répètent les paroles de quelqu’un d’autre, alors ce n’est pas une véritable connaissance de soi. La connaissance de son tempérament corrompu doit être concrète, jusqu’à la moindre question et au moindre état, ce qui implique des détails tels que les états, les effusions, les comportements, les pensées et les idées qui se rapportent au tempérament corrompu. Ce n’est qu’alors que l’on peut vraiment se connaître. Et quand une personne se connaît vraiment, son cœur s’emplira de remords et elle deviendra capable d’un vrai repentir. Quelle est la première chose que l’on doit pratiquer pour se repentir ? (Il faut admettre ses erreurs.) « Admettre ses erreurs » n’est pas la bonne façon de l’exprimer : il s’agit plutôt de reconnaître et de savoir que l’on a un certain tempérament corrompu. Si quelqu’un dit que son tempérament corrompu est une sorte d’erreur, il se trompe. Un tempérament corrompu est quelque chose qui fait partie de sa nature, quelque chose qui contrôle la personne. Ce n’est pas la même chose qu’une erreur ponctuelle. Certaines personnes, après avoir révélé de la corruption, prient Dieu : « Ô mon Dieu, j’ai fait une erreur. Je suis désolé. » C’est inadéquat. « Admettre un péché » serait plus approprié. La manière spécifique dont les gens pratiquent la repentance consiste à se connaître et à résoudre leurs problèmes. Lorsqu’une personne révèle un tempérament corrompu ou commet une transgression et se rend compte qu’elle résiste à Dieu et invoque Sa haine, elle doit alors réfléchir sur elle-même et se connaître dans les paroles pertinentes de Dieu. C’est ainsi qu’elle acquerra une certaine connaissance de son tempérament corrompu et reconnaîtra qu’il provient des poisons et de la corruption de Satan. Après cela, lorsqu’elle aura trouvé les principes pour pratiquer la vérité et aura été capable de mettre la vérité en pratique, ce sera la vraie repentance. Quelle que soit la corruption qu’une personne révèle, si elle est capable de connaître d’abord son tempérament corrompu, de rechercher la vérité pour le résoudre et d’arriver à pratiquer la vérité, c’est la vraie repentance. Certaines personnes se connaissent un peu, mais ne manifestent aucun signe de repentance, ni aucun témoignage de leur pratique de la vérité. Si elles restent inchangées après avoir acquis la connaissance d’elles-mêmes, c’est loin d’être une vraie repentance. Pour atteindre la vraie repentance, il faut résoudre ses tempéraments corrompus. Alors, comment, spécifiquement, doit-on pratiquer et entrer afin de résoudre ses tempéraments corrompus ? Voici un exemple. Les gens ont des tempéraments malhonnêtes, ils mentent et trichent sans arrêt. Si tu t’en rends compte, alors le principe de pratique le plus simple et le plus direct pour résoudre ta malhonnêteté est d’être une personne honnête, de dire la vérité et de faire des choses honnêtes. Le Seigneur Jésus a dit : « Que votre parole soit oui, oui, non, non. » Pour être une personne honnête, il faut suivre les principes des paroles de Dieu. Cette pratique simple est la plus efficace, elle est facile à comprendre et à mettre en pratique. Cependant, parce que les gens sont si profondément corrompus, parce qu’ils ont tous des natures sataniques et vivent selon des tempéraments sataniques, il leur est assez difficile de pratiquer la vérité. Ils aimeraient être honnêtes, mais ils ne le peuvent pas. Ils ne peuvent s’empêcher de dire des mensonges et de se livrer à des ruses, et bien qu’ils puissent ressentir des remords après l’avoir reconnu, ils resteront incapables de se débarrasser des contraintes de leur tempérament corrompu et ils continueront à mentir et à tricher comme ils le faisaient auparavant. Comment ce problème doit-il être résolu ? En partie en sachant que l’essence de son tempérament corrompu est laide et méprisable, et en étant capable de haïr cela du fond du cœur ; une autre partie de la résolution du problème consiste à s’entraîner à pratiquer selon la vérité-principe : « Que votre parole soit oui, oui, non, non. » Lorsque tu pratiques ce principe, tu es en train de résoudre ton tempérament malhonnête. Naturellement, si tu es capable de pratiquer conformément aux vérités-principes tout en résolvant ton tempérament malhonnête, c’est une manifestation de ta transformation et le début de ton vrai repentir, et Dieu approuve cela. Cela signifie que lorsque tu te reprends en main, Dieu change d’avis à ton sujet. En fait, quand Dieu fait cela, c’est une sorte de pardon pour les tempéraments corrompus et la rébellion de l’homme. Il pardonne aux gens et ne Se souvient pas de leurs péchés ni de leurs transgressions. Est-ce suffisamment précis ? Avez-vous compris ? Voici un autre exemple. Supposons que tu aies un tempérament arrogant et que quoi qu’il t’arrive, tu sois très volontaire : que tu veuilles toujours prendre les décisions et faire en sorte que les autres t’obéissent et fassent ce que tu veux les voir faire. Un jour vient alors où tu te rends compte que c’est la conséquence d’un tempérament arrogant. Quand tu reconnais qu’il s’agit d’un tempérament arrogant, c’est le premier pas vers la connaissance de toi-même. À partir de là, tu dois rechercher quelques passages des paroles de Dieu qui exposent un tempérament arrogant auquel te comparer et tu dois réfléchir sur toi-même et te connaître toi-même. Si tu trouves que la comparaison est tout à fait juste et que tu admets que le tempérament arrogant que Dieu expose existe en toi, et qu’alors tu discernes et découvres d’où vient ton tempérament arrogant, pourquoi il surgit et quels poisons, quelles hérésies et quels sophismes de Satan le gouvernent, alors, ayant examiné de toutes ces questions en profondeur, tu auras creusé jusqu’à la racine de ton arrogance. C’est là la vraie connaissance de soi. Lorsque tu auras une définition plus précise de la façon dont tu révèles ce tempérament corrompu, cela te permettra d’avoir une connaissance plus profonde et plus pratique de toi-même. Que dois-tu faire ensuite ? Tu dois rechercher les vérités-principes dans les paroles de Dieu et comprendre quels comportements et discours humains sont des manifestations de l’humanité normale. Après avoir trouvé le chemin de pratique, tu dois pratiquer selon les paroles de Dieu et lorsque ton cœur se sera retourné, tu te seras vraiment repenti. Non seulement il y aura des principes dans ton discours et tes actions, mais tu vivras également une ressemblance humaine et tu te débarrasseras progressivement de ton tempérament corrompu. Les autres te verront comme une nouvelle personne : tu ne seras plus l’ancienne personne corrompue que tu étais autrefois, mais une personne née à nouveau dans les paroles de Dieu. Une telle personne est une personne dont la vie-tempérament a été changée.

Se connaître soi-même n’est pas chose facile. On y parvient en acceptant la vérité, ainsi qu’en pratiquant et en expérimentant les paroles de Dieu, et la véritable connaissance de soi ne peut être atteinte qu’en acceptant le jugement et le châtiment de Dieu. Ceux qui n’ont pas fait l’expérience du jugement et du châtiment peuvent, tout au plus, admettre les erreurs qu’ils ont commises et ce qu’ils ont fait de mal. Il leur sera très difficile de voir clairement leur nature-essence. Pourquoi les croyants de l’ère de la Grâce, même s’ils ont cessé de commettre certains péchés et changé leur comportement pour le mieux, n’ont-ils jamais réussi à transformer leurs vies-tempéraments ? Pourquoi, alors qu’ils croyaient en Dieu, Lui ont-ils résisté et L’ont-ils même trahi ? Il est difficile pour l’humanité corrompue de reconnaître la source de ce problème. Pourquoi les gens ont-ils tous des tempéraments sataniques ? C’est parce que Satan a corrompu l’humanité et que les gens ont accepté ses mensonges et ses philosophies. C’est ce qui a donné naissance aux tempéraments corrompus, et c’est ainsi que le tempérament de Satan est devenu la source de la résistance de l’homme à Dieu. C’est la chose la plus difficile à reconnaître pour les gens. Dieu accomplit Son œuvre du jugement dans les derniers jours pour sauver l’humanité de l’influence de Satan et pour résoudre la source du péché et de la résistance de l’humanité à Dieu. Satan a corrompu l’humanité pendant des millénaires et sa nature a pris racine dans le cœur de l’homme. Par conséquent, aucun tempérament corrompu d’aucune sorte ne peut être résolu et rejeté après seulement une ou deux tentatives d’introspection et de connaissance de soi. Les tempéraments corrompus se déversent constamment et à maintes reprises, de sorte que les gens doivent accepter la vérité et mener une longue bataille contre leurs tempéraments sataniques jusqu’à ce qu’ils vainquent Satan. Ce n’est qu’alors qu’ils pourront complètement se débarrasser de leurs tempéraments corrompus. Les gens doivent donc sans cesse prier Dieu, chercher la vérité, réfléchir sur eux-mêmes, se connaître et pratiquer la vérité, jusqu’à ce que la corruption ne se manifeste plus chez eux, que leurs vies-tempéraments changent et qu’ils parviennent à se soumettre à Dieu. Ce n’est qu’alors qu’ils obtiendront l’approbation de Dieu. Le résultat de chaque bataille peut ne pas être immédiatement apparent et il se peut que tu révèles encore des tempéraments corrompus par la suite. Tu peux te sentir un peu négatif et découragé, mais ne pas vouloir abandonner, et tu peux malgré tout continuer à faire des efforts, à me tourner vers Dieu et à te fier à Lui. Si tu persévères dans cette voie pendant deux ou trois ans, tu pourras vraiment mettre la vérité en pratique et il y aura de la paix et de la joie dans ton cœur. Ensuite, tu verras clairement que chacun de tes échecs, chaque effort et chaque gain que tu as réalisés étaient un bon signe indiquant que tu te dirigeais vers une transformation de ton tempérament et que tu amenais Dieu à changer d’avis à ton sujet. Bien que chaque changement soit imperceptible à la conscience humaine, la transformation de tempérament qui accompagne chaque redirection ne peut être réalisée par aucune autre action ou chose. C’est le chemin qu’il faut emprunter dans son changement de tempérament et son entrée dans la vie. C’est ainsi que la poursuite du changement de tempérament doit être pratiquée. Bien sûr, il faut que les gens aient une compréhension précise de la façon dont le changement de tempérament se produit : ce n’est pas un changement soudain et bouleversant qui surprend et ravit, comme ils l’imaginent. Ce n’est pas ainsi que cela se passe. Il s’agit de changer inconsciemment, lentement, petit à petit. Celui qui sera capable de mettre la vérité en pratique verra les fruits de son travail. Lorsque tu regarderas en arrière après avoir suivi ce chemin pendant trois, cinq, dix ans, tu seras surpris de constater que ton tempérament a considérablement changé au cours de ces dix années, que tu es entièrement différent. Il se peut que ta personnalité et ton humeur n’aient pas changé ou que ton style de vie, etc., n’ait pas changé, mais les tempéraments, les états et les comportements que tu manifestes seront diamétralement opposés, comme si tu étais vraiment devenu une personne différente. Pourquoi un tel changement se produira-t-il ? Parce que, pendant ces dix années, tu auras été jugé et châtié, émondé et traité, testé et épuré par les paroles de Dieu à maintes reprises et tu auras compris de nombreuses vérités. Cela commencera par un changement dans ton point de vue sur les choses, un changement dans ta vision de la vie et de tes valeurs, qui sera suivi par un changement dans ta vie-tempérament, un changement dans les bases sur lesquelles tu comptes pour survivre… et au fur et à mesure que ces changements se produiront, tu deviendras progressivement une autre personne, une nouvelle personne. Ta personnalité, ton humeur, ton style de vie et même ton discours et ton comportement resteront peut-être les mêmes, mais tu auras transformé ta vie-tempérament, et rien que cela est un changement fondamental et essentiel. Quels sont les signes d’un changement de tempérament ? Comment cela se manifeste-t-il concrètement ? Cela commence par un changement dans les points de vue de la personne sur les choses : c’est lorsque les nombreux points de vue d’incroyant sur les choses que la personne avait changent, à mesure qu’elle acquiert une compréhension de la vérité, et que ces points de vue se rapprochent de la vérité des paroles de Dieu. C’est la première étape du changement de tempérament. Par ailleurs, grâce à l’introspection et à la connaissance de soi, les gens peuvent se concentrer sur la pratique de la vérité. En réfléchissant aux diverses intentions, motivations, pensées et idées, aux notions, points de vue et attitudes qui surgissent en eux, ils peuvent repérer leurs problèmes et commencer à éprouver des remords à leur sujet. Ensuite, ils peuvent renoncer à la chair et mettre la vérité en pratique. Et ce faisant, ils en viendront à chérir encore plus les paroles de Dieu et la vérité, et reconnaîtront que Christ est la vérité, le chemin et la vie. Ils seront plus disposés à suivre Christ et à se soumettre à Lui, et ils sentiront que Dieu exprime des vérités pour exposer, juger et châtier l’homme, et pour changer les tempéraments corrompus des gens, et qu’en faisant cela, Dieu sauve et perfectionne l’homme d’une façon vraiment concrète. Ils auront le sentiment que sans le jugement et le châtiment de Dieu et sans la provision et la direction de Ses paroles, ils n’auraient aucun moyen d’obtenir le salut, ni ne pourraient récolter de telles récompenses. Ils commenceront à aimer les paroles de Dieu et sentiront qu’ils en dépendent dans leur vie réelle, qu’ils ont besoin que Ses paroles subviennent à leurs besoins, les guident et leur ouvrent la voie. Leur cœur sera empli de paix et quand il leur arrivera quelque chose, ils chercheront inconsciemment les paroles de Dieu pour qu’elles leur servent de base et ils chercheront en elles les principes et le chemin de pratique. C’est là un résultat obtenu grâce à la connaissance de soi. Il y en a un autre : les gens ne traiteront plus leurs débordements de tempéraments corrompus avec une attitude intransigeante comme ils le faisaient auparavant. Au lieu de cela, ils pourront apaiser leur cœur et écouter les paroles de Dieu avec une attitude d’honnêteté, et ils pourront accepter la vérité et les choses positives. Cela signifie que lorsqu’ils manifesteront un tempérament corrompu, ils ne seront plus comme ils étaient avant : intransigeants, difficiles à apprivoiser, follement agressifs, arrogants, insolents et vicieux. Au lieu de cela, ils réfléchiront de manière proactive sur eux-mêmes et gagneront une connaissance de leurs vrais problèmes. Ils ne sauront peut-être pas quelle est l’essence de leur tempérament corrompu, mais ils pourront se calmer, prier Dieu et chercher la vérité, après quoi ils admettront leurs problèmes et leur tempérament corrompu et se repentiront devant Dieu, et ils décideront de se comporter différemment à l’avenir. C’est tout à fait une attitude de soumission. De cette façon, ils gagneront un cœur de soumission à Dieu. Quoi que Dieu dise, quoi qu’Il exige d’eux, quelle que soit l’œuvre qu’Il fait ou quels que soient les environnements qu’Il arrange pour eux, il sera facile aux gens de s’y soumettre. Leurs tempéraments corrompus ne représenteront pas un si grand obstacle pour eux, ils seront faciles à résoudre et à surmonter. À ce stade, mettre la vérité en pratique ne leur demandera aucun effort et ils pourront parvenir à la soumission à Dieu. Tels sont les signes d’un changement de tempérament. Quand quelqu’un peut mettre la vérité en pratique et se soumettre vraiment à Dieu, il est juste de dire que sa vie-tempérament a déjà subi un changement : un vrai changement, entièrement opéré par la poursuite de la vérité. Et tous les comportements qui se manifestent chez les gens au cours de ce processus, qu’il s’agisse de comportements positifs ou de négativité et de faiblesse normales, sont indispensables et inexorables. Puisqu’il y a des comportements positifs, il doit aussi y avoir des comportements de négativité et de faiblesse, mais la négativité et la faiblesse sont temporaires. Une fois qu’une personne possèdera une certaine stature, elle présentera de moins en moins d’états négatifs et faibles, ses comportements et son entrée seront de plus en plus positifs, et ses actions seront de plus en plus basées sur des principes. Une telle personne est celle qui obéit à Dieu et dont la vie-tempérament a changé après que son tempérament corrompu a été purifié. On peut dire que ce sont les résultats que ceux qui poursuivent la vérité obtiennent en faisant l’expérience du jugement et du châtiment des paroles de Dieu et en étant à maintes reprises émondés et traités, testés et épurés.

Puisque désormais les gens ont tous entendu et compris les processus spécifiques et normaux de la poursuite de la vérité, ils ne devraient plus inventer différentes justifications ou excuses pour expliquer pourquoi ils sont dégoûtés par la vérité, ou pourquoi ils y résistent ou ne la poursuivent pas. Ayant compris ces vérités et vu ce problème clairement, discernez-vous maintenant les justifications et les excuses que les gens donnent pour expliquer qu’ils ne poursuivent pas la vérité ? Si une personne âgée dit : « Je suis vieux. Je ne suis pas motivé ni enthousiaste comme un jeune. Avec l’âge, je perds l’agressivité et l’ambition de la jeunesse, et je ne deviens plus arrogant. Donc, quand tu dis que je suis arrogant, c’est absurde, je ne le suis pas ! », est-ce correct ? (Non.) Non, évidemment. Vous avez tous le discernement de telles paroles maintenant. Vous pourriez révéler cette personne en lui disant : « Même si tu es vieux, tu as encore un tempérament arrogant. Tu as été arrogant toute ta vie sans jamais résoudre ce problème. Veux-tu donc continuer à être arrogant ? » Certaines personnes plus jeunes disent : « Je suis si jeune, je n’ai pas connu les aspects chaotiques de la société ni lutté et dérivé au sein de différents groupes. Je n’ai pas fait les mêmes expériences que les gens qui ont parcouru le monde, et plus important encore, bien sûr, je ne suis pas aussi fuyant ni aussi déloyal que ces vieux renards. Étant jeune, il est normal que j’aie un tempérament un peu arrogant ; au moins, je ne suis pas aussi calculateur, malhonnête et malfaisant qu’une personne âgée. » Est-il approprié de dire cela ? (Non.) Toute personne a un tempérament corrompu. Cela n’a rien à voir avec l’âge ou le sexe. Tu as ce que les autres ont, et ils ont ce que tu as. Il n’y a pas lieu de pointer du doigt quiconque. Bien sûr, il ne suffit pas de simplement reconnaître que tout le monde a un tempérament corrompu. Puisque tu as reconnu que tu avais un tempérament corrompu, tu dois chercher la vérité pour le résoudre : tu n’auras pas atteint ton objectif tant que tu n’auras pas gagné la vérité et que ton tempérament n’aura pas changé. Résoudre un tempérament corrompu dépend en fin de compte de ton acceptation de la vérité, de l’abandon de tes justifications et de tes excuses, et de ta capacité à faire face correctement à ton tempérament corrompu. Tu ne dois pas l’éviter ni le fuir à l’aide d’excuses, et tu ne dois certainement pas le rejeter. Ce sont des choses faciles à réaliser. Quelle est la chose la plus difficile à faire ? Je pense à quelque chose. Il y a des gens qui déclarent : « Tu peux dire que je poursuis la vérité ou que je ne la poursuis pas, tu peux dire que je n’aime pas la vérité ou que j’en suis dégoûté, tu peux révéler que j’ai un tempérament corrompu : je me contenterai de t’ignorer. Je fais tout ce que la maison de Dieu me demande de faire ou tout travail qui doit être fait. Je suis à l’écoute pendant les sermons et les réunions, je lis comme les autres quand tout le monde mange et boit les paroles de Dieu, je regarde des vidéos de témoignage d’expérience, assis à vos côtés, et je mange quand vous mangez. Je suis en phase avec vous. Qui parmi vous pourrait dire que je ne poursuis pas la vérité ? C’est ainsi que je crois, alors vous pouvez faire ou dire ce que vous voulez, je m’en fiche ! » Ce genre de personne fait semblant de ne pas produire d’excuses ni de justifications, mais n’a pas non plus l’intention de poursuivre la vérité. C’est comme si l’œuvre de salut de Dieu n’avait rien à voir avec cette personne, comme si elle n’en avait pas besoin. Ces gens-là ne disent pas explicitement : « Mon humanité est bonne, je crois vraiment en Dieu, je suis prêt à renoncer à des choses, je suis capable de souffrir et de payer un prix. Dois-je accepter le jugement et le châtiment de Dieu, en plus de cela ? » Ils ne le disent pas explicitement, ils n’ont pas une attitude claire vis-à-vis de la vérité et ils ne condamnent pas ouvertement l’œuvre de Dieu. Cependant, comment Dieu traite-t-Il de telles personnes ? Si elles ne poursuivent pas la vérité, si elles sont très indifférentes aux paroles de Dieu et les ignorent, alors l’attitude de Dieu envers elles est très claire. C’est exactement comme dans ce verset de la Bible : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, Je te vomirai de ma bouche » (Apocalypse 3:16). Dieu ne veut pas d’elles, et c’est synonyme de problèmes. Y a-t-il de telles personnes dans l’Église ? (Oui.) Alors, comment doivent-elles être classées ? Où doivent-elles être classées ? Il n’est pas nécessaire de les classer. En bref, ces gens ne poursuivent pas la vérité. Ils n’acceptent pas la vérité, ne réfléchissent pas et ne se connaissent pas eux-mêmes, et ils n’ont pas un cœur de repentance. Au lieu de cela, ils ont une foi en Dieu embrouillée et confuse. Ils font tout ce que la maison de Dieu leur demande de faire, sans causer de troubles ni de perturbations. Demandez-leur : « As-tu des notions ? » « Non. » « As-tu des tempéraments corrompus ? » « Non. » « Souhaites-tu obtenir le salut ? » « Je ne sais pas. » « Reconnais-tu que les paroles de Dieu sont la vérité ? » « Je ne sais pas. » Demandez-leur n’importe quoi, et ils répondent qu’ils ne savent pas. De telles personnes posent-elles problème ? (Oui.) Elles posent problème, pourtant elles estiment qu’il n’y a pas de problème et qu’il n’y a rien à résoudre. La Bible dit : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, Je te vomirai de ma bouche. » Cette expression, « Je te vomirai de ma bouche », est le principe selon lequel on s’occupe de ces personnes, c’est le résultat qui leur échoit. N’être ni froid ni chaud signifie que ces personnes n’ont aucune opinion, cela signifie que quelle que soit la façon dont tu échanges avec elles sur les questions de salut ou de changement de tempérament, elles restent indifférentes. Que veut dire « indifférentes », ici ? Cela signifie qu’elles ne sont pas intéressées par ces questions et qu’elles ne veulent pas en entendre parler. Certains diront peut-être : « Qu’y a-t-il de si mal à ne pas avoir d’avis ou d’effusions de corruption ? » Quel radotage absolu ! Ce sont des morts sans âme, ni froids ni bouillants, et Dieu n’a aucun moyen d’œuvrer en eux. En ce qui concerne les gens qui ne peuvent pas être sauvés, Dieu les vomit simplement et en a fini avec eux. Il n’œuvre pas en eux et nous ne ferons aucune sorte d’évaluation de ces personnes, nous les ignorerons simplement. S’il y a de telles personnes dans l’Église, elles peuvent rester tant qu’elles ne provoquent pas de perturbations, mais dans le cas contraire, elles doivent être exclues. C’est facile à résoudre. Mes paroles s’adressent à ceux qui peuvent accepter la vérité, qui souhaitent la poursuivre et qui ont une attitude claire à son sujet, qui reconnaissent qu’ils ont des tempéraments corrompus et peuvent être sauvés. Elles s’adressent à ceux qui peuvent comprendre les paroles de Dieu et entendre Sa voix, elles s’adressent aux brebis de Dieu : voilà les personnes auxquelles les paroles de Dieu sont destinées. Les paroles de Dieu ne s’adressent pas à ceux qui ne sont ni froids ni chauds envers Lui. De telles personnes ne s’intéressent pas à la vérité et ne sont ni froides ni chaudes vis-à-vis des paroles et de l’œuvre de Dieu. La façon de gérer ces personnes consiste à leur dire : « Pars. Ce que tu es n’a rien à voir avec Moi », à les ignorer et à ne pas gaspiller le moindre effort avec elles.

Nous venons d’échanger sur quelques exemples négatifs liés au thème de la poursuite de la vérité. Souvent, les gens imaginent inconsciemment diverses justifications, diverses excuses et divers prétextes pour nier leurs manifestations de tempéraments corrompus : bien sûr, souvent aussi, ils cachent l’existence de leurs tempéraments corrompus, se leurrant eux-mêmes et leurrant les autres. Ce sont les manières ridicules et stupides de l’homme. D’une part, les gens reconnaissent que toutes les paroles de Dieu qui jugent l’homme sont la vérité ; d’autre part, ils nient l’existence de leurs propres tempéraments corrompus, ainsi que leurs comportements erronés qui enfreignent la vérité. C’est le signe clair qu’ils n’acceptent pas la vérité. Que tu nies avoir un tempérament corrompu ou que tu le reconnaisses, ou que tu présentes des excuses, des justifications ou des arguments spécieux pour expliquer tes manifestations de comportement corrompu, bref, si tu n’acceptes pas la vérité, tu ne peux pas obtenir le salut de Dieu. C’est incontestable. Quiconque ne poursuit pas du tout la vérité sera finalement exposé et chassé, quel que soit le nombre d’années depuis lequel il est croyant. Ce résultat est terrifiant. Il ne faudra pas longtemps pour que les désastres s’abattent et que tu sois révélé et quand les désastres viendront, tu auras peur. Tu as peut-être de nombreuses justifications et de nombreuses excuses, ou bien il se peut que tu sois bien déguisé et bien dissimulé, mais il y a un fait qui ne peut être nié : ton tempérament corrompu est intact, il n’a pas changé du tout. Tu es incapable de te connaître vraiment, tu es incapable d’une véritable repentance, et en fin de compte, tu ne pourras pas vraiment te ressaisir ni te soumettre à Dieu, et Dieu ne changera pas d’avis à ton sujet. N’auras-tu pas de graves ennuis, alors ? Tu seras en danger d’être banni. C’est pourquoi une personne intelligente laisserait tomber ces excuses imprudentes et ces justifications stupides, et se débarrasserait de ses déguisements et de ses camouflages. Elle ferait face comme il se doit aux tempéraments corrompus qu’elle manifeste et emploierait les bonnes méthodes pour les gérer et les résoudre, en s’efforçant de faire de tout ce qu’elle accomplit de bonnes actions, afin que Dieu change d’avis à son sujet. Si Dieu change d’avis à ton sujet, cela prouve qu’Il t’a vraiment absous de ta rébellion et ta résistance passées. Tu ressentiras la paix et la joie et tu ne te sentiras plus réprimé, comme si on t’avait enlevé un poids. Ce sentiment est la confirmation de ton esprit : tu as maintenant un espoir de salut. Cet espoir est ce contre quoi tu as échangé le prix que tu as payé dans ta poursuite de la vérité et tes bonnes actions. C’est le résultat que tu as obtenu en poursuivant la vérité et en préparant de bonnes actions. À l’inverse, tu te crois peut-être déjà suffisamment intelligent et tu peux peut-être trouver de nombreuses justifications pour te défendre et te disculper chaque fois que tu manifestes de la corruption. Tu peux peut-être déguiser et habiller ton tempérament corrompu, et ainsi éviter habilement d’avoir à y réfléchir et à le connaître, comme si tu n’avais manifesté aucune corruption. Tu te crois peut-être très intelligent en évitant, maintes et maintes fois, d’être exposé par les divers environnements que Dieu a arrangés. Tu n’auras pas réfléchi sur toi-même et ne te seras pas connu toi-même, tu n’auras pas gagné la vérité et tu auras manqué de nombreuses occasions d’être rendu parfait par Dieu. Quelles en seront les conséquences ? Laissons de côté pour l’instant la question de savoir si tu es capable de te repentir et d’atteindre le salut, et disons simplement que si Dieu te donne des chances de te repentir encore et encore, et qu’aucune d’entre elles ne t’amène à changer d’avis, alors tu auras de gros problèmes. Qu’importe que tu te défendes bien, que tu te présentes bien, que tu te déguises bien, que tu t’excuses et te justifies bien ? Si Dieu t’a offert des occasions maintes et maintes fois et que cela ne t’a même pas amené à changer d’avis, alors tu es en danger. Sais-tu de quel danger il s’agit ? Tu continues obstinément à trouver des excuses à ton tempérament corrompu, à présenter des excuses et des justifications pour ne pas poursuivre la vérité, à résister au jugement de Dieu et à Son œuvre et à les rejeter, et pourtant, tu penses que tout va bien pour toi et tu crois avoir la conscience tranquille. Tu refuses d’être supervisé, émondé et traité par la maison de Dieu, évitant encore et encore le jugement, le châtiment et le salut de Dieu avec un cœur plein de rébellion contre Lui : Dieu te déteste déjà et Il t’a déjà abandonné et pourtant, tu penses que tu peux encore être sauvé. Ne sais-tu pas que tu es déjà allé de plus en plus loin sur le mauvais chemin et que tu es déjà au-delà de la rédemption ? Dieu règne dans la maison de Dieu. Penses-tu être hors de portée de Dieu lorsque tu Lui résistes et commets ton assortiment de méfaits ? Tu n’acceptes pas le jugement et le châtiment de Dieu, tu n’as pas gagné la vérité et la vie, et tu n’as aucun témoignage d’expérience. Pour cela, Dieu te condamne. Tu attires sur toi-même la catastrophe. Il n’y a rien d’intelligent là-dedans, c’est de la stupidité, une stupidité extrême ! C’est catastrophique ! Nous l’avons expliqué ici : si tu n’y crois pas, attends de voir. Tu ferais mieux de ne pas penser que si tu as ton lot de justifications pour ne pas poursuivre la vérité, si tu as ton éloquence et tes intrigues, si personne ne peut te contredire, si les frères et sœurs ne peuvent pas t’exposer et si l’Église n’a aucune raison de t’exclure, alors la maison de Dieu ne peut rien te faire du tout. Tu as tort à ce sujet. Tu continues à lutter contre Dieu : Je verrai bien combien de temps tu pourras rivaliser avec Lui ! Seras-tu capable de rivaliser avec Lui jusqu’au jour où, Son œuvre étant accomplie, Il récompensera les bons et punira les méchants ? Peux-tu t’assurer que tu ne mourras pas dans les désastres, que tu leur survivras ? As-tu vraiment la souveraineté sur ton propre destin ? Tes justifications et tes excuses te permettront peut-être d’échapper à l’enquête de la maison de Dieu pendant un certain temps. Elles te permettront peut-être de prolonger un moment ton ignoble existence. Tu pourras peut-être aveugler temporairement les gens, continuer à te déguiser et à tromper les autres dans l’Église, et à y occuper un siège, mais tu ne pourras pas échapper à l’inspection ni à l’examen minutieux de Dieu. Dieu décide du sort d’une personne selon qu’elle a ou non la vérité. Il fait Sa propre œuvre et Son propre battage. Quel que soit le genre de personne ou de diable que tu es, tu ne peux pas échapper au jugement et à la condamnation de Dieu. Dès que les élus de Dieu comprendront la vérité et gagneront en discernement, personne ne pourra y échapper, c’est à ce moment-là que tu seras exclu de l’Église. Certaines personnes peuvent ne pas être convaincues et se plaindre : « J’ai couru dans tous les sens pour Dieu, fait tant de travail pour Lui et payé un tel prix. J’ai abandonné ma famille et mon mariage. J’ai donné ma jeunesse pour Dieu et Son œuvre. J’ai renoncé à ma carrière et dépensé l’énergie de la moitié de ma vie, pensant que j’étais sûr d’obtenir les bénédictions qu’Il accorde. Je n’aurais jamais imaginé que je serais banni pour ne pas avoir poursuivi la vérité et ne l’avoir jamais pratiquée ! » Ne sais-tu pas que la vérité règne dans la maison de Dieu ? Ne sais-tu pas clairement qui Dieu récompense et qui Il bénit ? Si ton renoncement et tes dépenses ont conduit à un véritable témoignage d’expérience et qu’ils témoignent également de l’œuvre de Dieu, alors Dieu te récompensera et te bénira. Si ton renoncement et tes dépenses ne sont pas un véritable témoignage d’expérience, et encore moins un témoignage de l’œuvre de Dieu, s’ils sont plutôt un témoignage de toi-même, une demande à Dieu de reconnaître tes réalisations, alors tu suis le même chemin que Paul. Ce que tu fais est mal, c’est résister à Dieu et Dieu te dira : « Éloigne-toi de Moi, malfaiteur ! » Et qu’est-ce que cela signifiera ? Ce sera la preuve que tu es brisé, condamné à tomber dans les désastres et à être puni. Tu rencontreras la catastrophe. Paul était supérieur à la personne moyenne de son époque en termes de statut, de travail qu’il accomplissait, de compétence et de dons, mais qu’est-ce que cela a donné ? Du début à la fin, dans sa croyance en Dieu, Paul a essayé de conclure un accord avec Dieu, de poser des conditions. Il a voulu obtenir de Dieu une récompense et une couronne. En fin de compte, il ne s’est pas vraiment repenti et n’a pas préparé beaucoup de bonnes actions et naturellement, il était loin de posséder beaucoup de véritable témoignage d’expérience. Aurait-il pu obtenir le pardon de Dieu sans même s’être vraiment repenti ? Aurait-il pu amener Dieu à changer d’avis à son sujet ? Cela aurait été impossible. Paul a consacré toute sa vie au Seigneur, mais parce qu’il a suivi le chemin d’un antéchrist et qu’il a absolument refusé de se repentir, non seulement il n’a pas été récompensé, mais il a été puni par Dieu. Il va sans dire que les conséquences qu’il a subies ont été catastrophiques. Donc, Je te dis maintenant clairement que si tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité, alors tu devrais, au moins, avoir un peu de raison et ne pas discuter avec Dieu ni mettre en jeu ta fin et ta destination comme une mise, comme si tu pariais. C’est tenter de conclure un marché avec Dieu, ce qui est une façon de Lui résister. Quelle bonne fin peuvent connaître ceux qui croient en Dieu mais Lui résistent ? Les gens deviennent sages face à la mort : ceux qui sont imperméables à la raison n’abandonneront pas leurs façons de faire avant d’être aux portes de la mort. Afin d’être sauvé, la méthode la meilleure, la plus simple et la plus sage est de mettre de côté toutes tes excuses, justifications et conditions et d’accepter de poursuivre la vérité, les pieds fermement sur terre, amenant ainsi Dieu à changer d’avis à ton sujet. Lorsque Dieu change d’avis à ton sujet, tu as l’espoir d’être sauvé. L’espoir de salut de l’homme est donné par Dieu, et la condition préalable pour que Dieu te donne cet espoir est que tu abandonnes tout ce que tu chéris et que tu renonces à tout pour Le suivre et poursuivre la vérité, sans essayer de conclure un marché avec Lui. Que tu sois vieux ou jeune, homme ou femme, instruit ou non, et quel que soit l’endroit où tu es né. Dieu ne regarde aucune de ces choses. Tu diras peut-être : « J’ai bon caractère. Je suis patient, tolérant et compatissant. Si je continue à être patient jusqu’à la fin, cela amènera Dieu à changer d’avis à mon sujet. » Ces choses sont inutiles. Dieu ne regarde pas ton caractère, ta personnalité, ton instruction ou ton âge. Et combien tu as souffert ou combien de travail tu as effectué ne compte pas non plus. Dieu te demandera : « Au cours de toutes tes années de foi, ton tempérament a-t-il changé ? Selon quoi vis-tu ? As-tu poursuivi la vérité ? As-tu accepté les paroles de Dieu ? » Tu diras peut-être : « Je les ai écoutées et acceptées. » Dieu te demandera alors : « Puisque tu les as écoutées et que tu les as acceptées, ton tempérament corrompu a-t-il été résolu ? T’es-tu vraiment repenti ? T’es-tu vraiment soumis aux paroles de Dieu et les as-tu vraiment acceptées ? » Tu diras : « J’ai souffert et j’ai payé un prix. Je me suis dépensé et j’ai renoncé à des choses, et j’ai fait des sacrifices : j’ai même consacré mes enfants à Dieu. » Tous tes sacrifices sont inutiles. De telles choses ne peuvent être échangées contre les bénédictions du royaume des cieux ni utilisées pour faire changer d’avis Dieu à ton sujet. La seule façon d’amener Dieu à changer d’avis à ton sujet est de t’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Il n’y a pas d’autre option. L’homme ne doit pas être opportuniste ni rusé quand il s’agit du salut, et il n’y a pas de porte dérobée. Comprends-tu ? Il faut que tu sois clair là-dessus. Ne t’embrouille pas à ce sujet : même si tu le fais, Dieu ne le fera pas. Alors, que dois-tu faire à partir de maintenant ? Inverser ton attitude et changer ton point de vue, et laisser les paroles de Dieu être ton fondement, quoi que tu fasses. Aucune « bonté » créée par l’homme, aucune excuse humaine, aucune philosophie, aucune connaissance, aucune morale, aucune éthique et même aucune conscience humaine, ni la soi-disant intégrité et la soi-disant dignité de l’homme ne peuvent remplacer la vérité. Mets ces choses de côté, fais taire ton cœur et trouve le fondement de tout ton comportement et de toutes tes actions dans les paroles de Dieu. Et ce faisant, trouve la révélation par Dieu des divers aspects du tempérament corrompu de l’homme dans Ses paroles. Mesure-toi à leur aune et résous tes tempéraments corrompus. Efforce-toi de te connaître le plus tôt possible, débarrasse-toi de la corruption et hâte-toi de te repentir et de te ressaisir. Abandonne ta malfaisance et cherche les vérités-principes dans ton comportement et tes actes, en les basant tous sur les paroles de Dieu : tu ne dois absolument pas baser ces choses sur des notions et sur l’imagination humaines. Tu ne dois absolument pas essayer de conclure un marché avec Dieu : tu ne dois pas tenter d’échanger tes souffrances et tes sacrifices insignifiants contre les récompenses et les bénédictions de Dieu. Cesse de faire des choses aussi stupides, de peur que Dieu ne Se fâche contre toi, ne te maudisse et ne t’éradique. Est-ce clair ? Avez-vous compris ? (Oui.) Eh bien, réfléchissez-y attentivement à l’avenir.

Tout ce sur quoi nous venons d’échanger était lié à la poursuite de la vérité, et même si nous n’avons pas fourni de réponse spécifique à la question conceptuelle de ce que signifie poursuivre la vérité, nous nous sommes engagés dans un échange qui ciblait les divers malentendus et les diverses connaissances fallacieuses de l’homme concernant la poursuite de la vérité, ainsi que les diverses difficultés et les divers problèmes que l’on rencontre quand on poursuit la vérité. Pour finir, Je voudrais résumer ce que signifie poursuivre la vérité, les manières dont la poursuite de la vérité se manifeste et ce qu’est exactement le chemin de pratique pour poursuivre la vérité. Alors, que signifie poursuivre la vérité ? Poursuivre la vérité, c’est commencer à pratiquer et à vivre les paroles de Dieu, puis atteindre une compréhension de la vérité et entrer dans la réalité vérité grâce au processus d’expérience des paroles de Dieu, et devenir quelqu’un qui connaît vraiment Dieu et qui Lui obéit. Tel est le résultat final qui est obtenu en poursuivant la vérité. Bien sûr, la poursuite de la vérité est un processus par étapes, qui est divisé en plusieurs phases. Lorsque tu auras lu les paroles de Dieu et constaté qu’elles sont la vérité et la réalité, tu commenceras à réfléchir sur toi-même dans le cadre des paroles de Dieu et à te connaître toi-même. Tu verras que tu es vraiment rebelle et que tu manifestes beaucoup de corruption. Tu aspireras à pouvoir mettre la vérité en pratique et à te soumettre à Dieu, et tu commenceras à t’efforcer d’atteindre la vérité. Voilà précisément le résultat produit par l’introspection et la connaissance de soi. C’est à partir de ce moment que ton expérience de vie commence. Lorsque tu te mets à investiguer et que tu examines les états et les problèmes qui découlent de ton tempérament corrompu, cela prouve que tu as commencé à poursuivre la vérité. Tu seras en mesure de réfléchir de manière proactive et d’examiner tout problème qui survient et toute corruption que tu manifestes. Et lorsque tu te rendras compte qu’il s’agit en effet de manifestations de corruption et d’un tempérament corrompu, tu chercheras naturellement la vérité et tu commenceras à résoudre ces problèmes. L’entrée dans la vie commence par l’introspection : c’est la première étape de la poursuite de la vérité. Juste après cela, grâce à l’introspection et à la connaissance de toi-même, tu verras que toutes les paroles d’exposition de Dieu s’accordent avec les faits. Tu pourras alors t’y soumettre de tout ton cœur et accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu. C’est la deuxième étape de la poursuite de la vérité. La plupart des gens sont capables d’accepter les paroles de Dieu qui révèlent les comportements corrompus de l’homme, mais ils ne peuvent pas facilement accepter les paroles de Dieu qui exposent l’essence corrompue de l’homme. Après avoir lu les paroles de Dieu, ils ne reconnaissent pas la grande profondeur de leur propre corruption : ils ne reconnaissent que les paroles de Dieu qui révèlent les comportements corrompus de l’homme. À cause de cela, ils ne peuvent pas accepter avec leur cœur le jugement et le châtiment de Dieu. Au contraire, ils écartent cela. Certains disent : « J’ai juste quelques comportements corrompus, mais je peux faire de bonnes choses. Je suis une bonne personne, je ne suis pas de Satan. Je crois en Dieu, donc je devrais être de Dieu. » Ne sont-ce pas là des balivernes ? Tu es né dans le monde humain, tu as vécu sous le pouvoir de Satan et tu as reçu l’éducation de la culture traditionnelle. Ton héritage inné et les connaissances que tu as acquises viennent de Satan. Toutes les personnalités remarquables et célèbres que tu vénères sont de Satan. Dire que tu n’es pas de Satan te permettra-t-il d’échapper à sa corruption ? C’est exactement comme la façon dont les petits enfants sont capables de mentir et d’insulter les autres dès qu’ils ouvrent la bouche. Qui leur apprend à le faire ? Personne. Qu’est-ce que cela pourrait être, sinon une conséquence de la corruption de Satan ? Ce sont les faits. Les gens ne peuvent pas voir Satan et les esprits malfaisants du monde spirituel, mais les démons vivants et les rois des démons sont partout dans le monde humain. Tous sont des incarnations de Satan. Voilà un fait que tout le monde doit reconnaître. Ceux qui comprennent la vérité ne se laissent pas abuser par ces choses et ils peuvent reconnaître que toutes les paroles d’exposition de Dieu sont des faits. Certaines personnes peuvent parler de se connaître elles-mêmes, mais elles ne reconnaissent jamais que les corruptions révélées par les paroles de Dieu sont factuelles, ni que Ses paroles sont la vérité. Cela équivaut à être incapable d’accepter la vérité. Si l’on ne reconnaît pas le fait qu’on a un tempérament corrompu, on ne pourra pas vraiment se repentir. Bien sûr, il faut faire l’expérience de l’œuvre de Dieu pendant un certain temps pour pouvoir reconnaître et accepter le fait que tous les gens ont des tempéraments corrompus. Après avoir manifesté de nombreux tempéraments corrompus, les gens baisseront naturellement la tête en signe de soumission devant ce fait. Ils n’auront d’autre choix que de reconnaître que toutes les paroles de Dieu qui révèlent, jugent et condamnent l’homme sont des faits et sont la vérité, et de les accepter complètement. C’est ce que signifie être conquis par les paroles de Dieu. Lorsque les gens sont capables de connaître leurs tempéraments corrompus et leur essence corrompue sur la base des paroles de Dieu et qu’ils admettent qu’ils ont un tempérament satanique et que leur corruption est profonde, ils peuvent alors pleinement accepter le jugement et le châtiment de Dieu et s’y soumettre. Ils seront prêts à se soumettre aux paroles de Dieu qui révèlent et jugent l’humanité, aussi dures ou pénétrantes soient-elles. Quand tu auras compris et que tu sauras un peu comment les paroles de Dieu définissent, classent et condamnent l’humanité corrompue et comment elles jugent et révèlent l’humanité corrompue, quand tu auras vraiment accepté le jugement et le châtiment des paroles de Dieu et que tu auras commencé à connaître ton propre tempérament corrompu et ta propre essence corrompue, quand tu auras commencé à haïr ton tempérament corrompu, à haïr Satan et ta propre chair, et quand tu désireras ardemment gagner la vérité, vivre comme un être humain est censé le faire et devenir quelqu’un qui se soumet vraiment à Dieu, c’est à ce moment-là que tu commenceras à te concentrer sur la poursuite d’un changement dans ton tempérament. Voilà la troisième étape de la poursuite de la vérité.

Se connaître vraiment, c’est réfléchir à son tempérament corrompu et le connaître, en se basant sur les paroles de Dieu, et acquérir ainsi la connaissance de son essence corrompue et du fait de sa corruption. Lorsqu’une personne y parvient, elle voit la grande profondeur de la corruption de l’humanité avec une clarté totale : elle voit que l’humanité ne vit pas comme les gens sont censés le faire, que l’humanité ne vit que selon des tempéraments corrompus et que le genre humain est dépourvu de la moindre conscience et de la moindre raison. Elle voit que les opinions des gens sur les choses sont toutes de Satan et qu’aucune n’est correcte ni conforme à la vérité, que les préférences des gens, les poursuites et les chemins qu’ils choisissent sont tous adultérés par les poisons de Satan et que dans tout cela, il y a les désirs extravagants de l’homme et son intention d’obtenir des bénédictions. Elle voit que les tempéraments que l’homme manifeste sont précisément le tempérament et l’essence nature de Satan. Se connaître à ce point n’est pas chose aisée : on ne peut y parvenir qu’en se basant sur les paroles de Dieu. Si cela se fait sur la base des théories morales, des déclarations et des pensées de la culture traditionnelle, sera-t-on capable d’acquérir une véritable connaissance de soi ? Absolument pas. Ton tempérament corrompu provient de ces philosophies et théories sataniques. Ne serait-il pas absurde de baser ta connaissance de toi-même sur ces choses qui appartiennent à Satan ? Ne serait-ce pas un non-sens aveugle ? Par conséquent, la connaissance de soi doit être basée sur les paroles de Dieu. Seules les paroles de Dieu sont la vérité et seules les paroles de Dieu sont la norme selon laquelle toutes les personnes, les questions et les choses sont mesurées. Si tu vois vraiment que les paroles de Dieu sont la vérité et qu’elles sont la seule base correcte sur laquelle mesurer toutes les personnes, les questions et les choses, alors tu peux aller de l’avant. Tu peux alors vivre dans la lumière, c’est-à-dire vivre devant Dieu. Quand les gens acquièrent une véritable connaissance de leur propre essence corrompue dans le cadre des paroles de Dieu, comment se comportent-ils et pratiquent-ils par la suite ? (Ils se repentent.) C’est vrai. Lorsqu’une personne a acquis la connaissance de son essence nature, des remords surgissent naturellement dans son cœur et elle commence à se repentir. Cela signifie qu’elle va chercher à se débarrasser de ses tempéraments corrompus et à ne plus vivre selon des tempéraments sataniques. Au lieu de cela, elle va vivre et se comporter selon les paroles de Dieu et sera capable de se soumettre aux orchestrations et arrangements de Dieu. Voilà le vrai repentir. C’est la quatrième étape de la poursuite de la vérité. Maintenant, vous comprenez tous clairement ce qu’est la vraie repentance, alors comment devez-vous la pratiquer ? Entraînez-vous à vous ressaisir. Cela signifie abandonner les choses auxquelles vous vous accrochez et que vous pensez être justes, ne pas vivre selon un tempérament satanique et être disposé à pratiquer la vérité selon les paroles de Dieu. Voilà ce que signifie se ressaisir. Plus précisément, vous devez d’abord vous renier et définir, sur la base des paroles de Dieu, si vos pensées, vos idées, vos actes et vos actions sont conformes à la vérité et comment ils sont apparus. Si vous déterminez que ces choses sont liées à un tempérament corrompu et nées de philosophies sataniques, alors vous devez adopter une attitude de condamnation et de malédiction vis-à-vis d’elles. Cela conduit à renoncer à la chair et à Satan. De quel genre de comportement s’agit-il ? N’est-ce pas le reniement, l’abandon, le renoncement et la renonciation à votre tempérament corrompu ? Renier les choses que vous croyez être justes, abandonner vos intérêts, renoncer à vos intentions incorrectes et parvenir ainsi à inverser votre parcours n’est pas si simple, et cela comporte de nombreux détails spécifiques. Si tu es prêt à te repentir, mais que tu ne fais que le dire et que tu ne renies pas, n’abandonnes pas ton tempérament corrompu, que tu n’y renonces pas et ne t’en défais pas, alors ce n’est pas une manifestation de repentir et tu n’es pas encore entré dans la repentance de façon concrète. Comment se manifeste la vraie repentance ? Premièrement, tu renies les choses que tu crois être justes, par exemple tes notions et tes exigences vis-à-vis de Dieu, ainsi que tes opinions sur les choses, tes méthodes et tes façons de gérer les problèmes, ton expérience humaine, etc. Renier toutes ces choses est une manière d’être repentant dans ton cœur et de te tourner vers Dieu. Tu ne peux abandonner les choses erronées que lorsque tu les as percées à jour et que tu les as reniées. Si tu ne renies pas ces choses et que tu crois toujours qu’elles sont bonnes et justes, alors tu ne pourras pas les abandonner, même si d’autres te disent de le faire. Tu diras : « Je suis très instruit et j’ai une vaste expérience. Je crois que ces choses sont correctes, pourquoi devrais-je les abandonner ? » Si tu t’accroches à tes habitudes et que tu persistes à le faire, seras-tu capable d’accepter la vérité ? Ce ne sera pas facile du tout. Si tu veux gagner la vérité, tu dois d’abord renier ces choses que tu pensais être justes et positives, puis tu dois voir clairement qu’elles sont négatives par essence, qu’elles proviennent de Satan, qu’elles sont toutes des erreurs spécieuses et que t’accrocher à des choses sataniques ne t’amènera qu’à faire le mal, à résister à Dieu et, finalement, à être puni et détruit. Si tu peux voir clairement que les pensées et les poisons avec lesquels Satan corrompt l’homme sont capables de conduire à la destruction de l’homme, tu pourras les abandonner complètement. Bien sûr, le reniement, l’abandon, le renoncement, le désaveu, et ainsi de suite, sont autant d’approches et de méthodes que l’on adopte contre les forces et la nature de Satan, ainsi que contre les philosophies, la logique, les pensées et les opinions que Satan utilise pour égarer les gens. Par exemple, abandonner les intérêts de sa chair, abandonner les préférences et les poursuites de sa chair, renoncer aux philosophies, pensées, hérésies et idées fausses de Satan, tourner le dos à l’influence de Satan et à ses forces malfaisantes. Toute cette série de pratiques, ce sont autant de méthodes et de chemins grâce auxquels les gens peuvent pratiquer la repentance. Pour entrer dans la vraie repentance, il faut comprendre un grand nombre de vérités, alors seulement on peut complètement se renier et renoncer à sa chair. Disons, par exemple, que tu penses être instruit et expérimenté, et que tu devrais être un atout pour la maison de Dieu et lui être d’une grande utilité. Et pourtant, après avoir entendu des sermons sur la vérité pendant plusieurs années et compris certaines vérités, tu as le sentiment que tes connaissances et ton savoir sont sans valeur et sans la moindre utilité pour la maison de Dieu. Tu te rends compte que ce sont la vérité et les paroles de Dieu qui peuvent sauver les gens, et que c’est la vérité qui peut être la vie d’une personne. Tu en viens à penser que, quel que soit le degré de connaissance ou d’expérience d’une personne, cela ne signifie pas qu’elle possède la vérité et que, quelle que soit la mesure dans laquelle les choses humaines sont conformes aux notions humaines, elles ne sont pas la vérité. Tu t’aperçois que toutes ces choses viennent de Satan et qu’elles sont toutes négatives, sans rapport avec la vérité. Ton instruction, tes connaissances et ton expérience, quelles qu’elles soient, ne te servent guère si tu ne comprends pas les questions spirituelles et que tu ne peux pas comprendre la vérité. Si tu devais servir en tant que dirigeant, tu n’aurais pas la réalité vérité et tu serais incapable de résoudre les problèmes. Si tu devais rédiger un article de témoignage expérientiel, tu serais incapable de trouver les mots. Si tu devais témoigner de Dieu, tu n’aurais aucune connaissance de Lui. Si tu devais répandre l’Évangile, tu ne serais pas en mesure d’échanger sur la vérité pour résoudre les notions des gens. Si tu devais abreuver les nouveaux arrivants, tu ne serais pas clair sur la vérité des visions et tu ne serais capable de prêcher que les paroles et les doctrines. Si tu ne peux pas résoudre tes propres notions, comment peux-tu résoudre les notions des nouveaux arrivants ? Tu ne peux pas faire du tout ce travail, alors que peux-tu faire ? Si l’on te demandait de travailler dur, tu penserais que c’est un gaspillage de ton talent. Tu dis que tu as du talent, mais tu ne peux gérer aucune tâche ni accomplir le moindre devoir correctement : alors, qu’est-ce que tu peux faire, exactement ? Ce n’est pas que la maison de Dieu ne souhaite pas t’utiliser, c’est que tu n’as pas accompli le devoir que tu étais censé faire. Tu ne peux pas blâmer l’Église pour cela. Pourtant, tu penses peut-être : « Dieu n’attend-Il pas trop de l’homme ? Ces exigences me dépassent. Pourquoi m’en demande-t-on tant ? » Si quelqu’un nourrit une si grande incompréhension vis-à-vis de Dieu, cela prouve qu’il ne Le connaît pas et qu’il ne comprend pas la moindre parcelle de vérité. Si tu as le sentiment que tes opinions sont justes et qu’il n’est pas nécessaire d’en changer, et que tu reconnais qu’en théorie les paroles de Dieu sont la vérité, mais que tu ne peux pas te débarrasser des stupidités auxquelles tu t’accroches, cela démontre que tu ne comprends pas encore la vérité. Tu dois te présenter devant Dieu et chercher davantage la vérité, et tu dois lire davantage de Ses paroles et écouter plus de sermons et d’échanges, alors tu parviendras progressivement à comprendre que les paroles de Dieu sont la vérité. En tant que personne, c’est avant tout avec obéissance que tu dois traiter la vérité et Dieu. C’est le devoir impérieux de l’homme. Si tu es capable de comprendre ces choses, cela signifie que tu es en train d’inverser ton parcours. Inverser ton parcours, c’est le chemin de pratique de la repentance ; c’est abandonner entièrement ces choses que tu pensais autrefois être justes, et qui viennent de Satan, et choisir à nouveau la route que tu vas prendre. C’est mettre les paroles de Dieu en pratique selon Ses exigences et selon les principes vérité, et suivre la route de la poursuite de la vérité. Voilà ce que signifie inverser son parcours. C’est être vraiment venu devant Dieu et être entré dans la réalité de la repentance. Quand on peut mettre la vérité en pratique, il va sans dire qu’on a commencé à entrer dans la réalité vérité et qu’on s’est vraiment repenti. Ce n’est que lorsque l’homme s’est vraiment repenti qu’on peut dire qu’il a pris la route qui mène au salut. Faire cela, c’est être passé à la quatrième étape de la poursuite de la vérité.

Lorsqu’une personne s’est vraiment repentie, elle s’est engagée sur la route de la poursuite de la vérité. Elle n’entretiendra fondamentalement aucune notion et aucun malentendu sur l’œuvre de Dieu, elle sera disposée à se soumettre au jugement et au châtiment de Dieu et elle commencera formellement à faire l’expérience de l’œuvre de Dieu. Il y a une longue période de transition entre le moment où une personne commence à croire en Dieu et celui où elle subit formellement le jugement et le châtiment de Dieu. Cette période de transition est la phase qui va du moment où la personne se met à croire en Dieu jusqu’au moment où elle se repent vraiment. Si quelqu’un n’aime pas la vérité, il n’acceptera pas la moindre partie du jugement et du châtiment de Dieu, ni la moindre partie de la vérité, et il ne sera jamais capable de se connaître lui-même. De telles personnes seront bannies. Si quelqu’un aime la vérité, alors, en lisant les paroles de Dieu et aussi en écoutant des sermons, il pourra vraiment gagner quelque chose, savoir que l’œuvre de Dieu consiste à sauver l’homme, réfléchir sur lui-même et se connaître à travers les vérités qu’il comprend. Il en arrivera à haïr de plus en plus ses propres tempéraments corrompus et à s’intéresser de plus en plus à la vérité. Il gagnera, à son insu, une véritable connaissance de lui-même et il aura vraiment des remords et se repentira. Lorsque les gens qui aiment la vérité lisent les paroles de Dieu ou écoutent des sermons, ils obtiennent naturellement de tels résultats. Peu à peu, ils arrivent à se connaître eux-mêmes et à se repentir véritablement. Une fois que l’on est vraiment repentant, comment doit-on pratiquer ? On doit chercher la vérité en toutes choses. Quoi qu’il leur arrive, les gens doivent être capables de trouver les principes et les chemins de pratique en se basant sur les paroles de Dieu, puis commencer à pratiquer la vérité. C’est la cinquième étape de la poursuite de la vérité. Quel est le but de la poursuite de la vérité ? Pratiquer la vérité et parvenir à la soumission à Dieu. Mais pour pratiquer la vérité, il faut le faire selon les principes vérité. Cela seul est la pratique exacte de la vérité. Cela seul permet d’obtenir l’approbation de Dieu. Donc, être capable d’agir selon les principes vérité est ce que la poursuite de la vérité est censée accomplir. Atteindre cette étape signifie que l’on est entré dans la réalité de la pratique de la vérité. La poursuite de la vérité vise à résoudre les tempéraments corrompus de l’homme. Lorsqu’une personne est capable de mettre la vérité en pratique, ses tempéraments corrompus disparaissent naturellement et sa pratique de la vérité atteint le résultat que Dieu exige. Tel est le processus qui mène de la vraie repentance à la pratique de la vérité. Avoir vécu auparavant au milieu de tempéraments corrompus, c’était vivre sous le pouvoir de Satan, voir toutes ses actions et tous ses comportements condamnés et détestés par Dieu. Maintenant, être capable d’accepter la vérité, s’être vraiment repenti, être capable de pratiquer la vérité, de se soumettre à Dieu et de vivre selon Ses paroles, cela, bien sûr, reçoit l’approbation de Dieu. Ceux qui poursuivent la vérité devraient souvent réfléchir sur eux-mêmes. Ils devraient reconnaître leurs tempéraments corrompus et accepter le jugement et le châtiment de Dieu, ils devraient acquérir une véritable connaissance de leur essence corrompue et développer un cœur de remords ; ils devraient se mettre à chercher la vérité en toutes choses après s’être repentis, pratiquer selon les principes vérité et parvenir à la soumission à Dieu. C’est ce que la poursuite de la vérité et l’approfondissement progressif de l’entrée dans la vie peuvent accomplir. Si quelqu’un ne se connaît pas vraiment, il lui est impossible de se soumettre au jugement et au châtiment de Dieu et de se repentir vraiment. Et si quelqu’un ne se repent pas vraiment, il continuera à vivre selon un tempérament satanique. Un vrai changement ne se produira pas en lui, quel que soit le nombre d’années depuis lequel il croit en Dieu. Son comportement changera un peu, et c’est tout. Il est impossible à ceux qui ne poursuivent pas la vérité d’accepter la vérité comme leur vie, il est donc certain que leurs actes et comportements seront encore des effusions d’un tempérament corrompu, que ces choses seront incompatibles avec la vérité et qu’elles résisteront à Dieu. Ceux qui poursuivent la vérité peuvent accepter la vérité comme leur vie, ils peuvent se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, mettre la vérité en pratique et parvenir à une véritable soumission à Dieu. Ceux qui poursuivent la vérité la rechercheront quand des choses qui se produisent ne sont pas claires pour eux. Ils ne comploteront plus dans leur propre intérêt et ils éviteront tout mal, avec un cœur compatible avec Dieu. Ceux qui poursuivent la vérité se soumettent de plus en plus à Dieu et ils peuvent craindre Dieu et fuir le mal, vivant de plus en plus comme l’homme est censé le faire. De tels changements sont impossibles chez ceux qui ne poursuivent pas la vérité. Que poursuivent ceux qui ne poursuivent pas la vérité ? Ils poursuivent le prestige, le gain et le statut, ils poursuivent des bénédictions et des récompenses. Leurs ambitions et leurs désirs sont de plus en plus grands et ils n’ont pas le bon objectif dans la vie. Quoi qu’ils aiment poursuivre, ils n’abandonneront pas s’ils n’arrivent pas à atteindre leur but, et encore moins changeront-ils d’avis. Dès que les circonstances le permettront et que le cadre sera favorable, ils seront capables de faire le mal et de résister à Dieu, et ils essaieront peut-être d’établir un royaume indépendant. C’est parce qu’ils n’ont pas un cœur qui craint Dieu et se soumet à Lui et à la fin, ils ne peuvent qu’être anéantis par Dieu pour avoir commis de multiples méfaits et L’avoir trahi. Tous ceux qui ne poursuivent pas la vérité sont des gens qui sont dégoûtés de la vérité, et tous ceux qui sont dégoûtés de la vérité aiment le mal. Dans leur esprit, leur sang et leurs os, tout ce qu’ils vénèrent, c’est le prestige, le gain, le statut et l’influence. Ils sont contents de vivre selon des tempéraments sataniques et de lutter contre le ciel, la terre et l’homme pour atteindre leurs objectifs. Ils pensent qu’une telle vie est joyeuse. Ils souhaitent vivre en tant qu’individus exceptionnels et mourir en héros. De toute évidence, ils suivent la route satanique de la destruction. Plus ceux qui poursuivent la vérité la comprennent, plus ils aiment Dieu et sentent à quel point la vérité est précieuse. Ils sont disposés à accepter le jugement et le châtiment de Dieu, et quel que soit le nombre d’épreuves qu’ils endurent, ils sont résolus à poursuivre la vérité et à l’obtenir. Cela signifie qu’ils se sont engagés sur le chemin du salut et de la perfection, et qu’ils sont capables d’atteindre la compatibilité avec Dieu. Surtout, ils sont capables de se soumettre à Dieu, ils sont revenus à leur condition d’origine en tant qu’êtres créés et ils ont un cœur qui craint Dieu. Ils peuvent légitimement gagner la direction, l’orientation et les bénédictions de Dieu, et Dieu ne les déteste plus et ne les rejette plus. Comme c’est merveilleux ! Ceux qui ne poursuivent pas la vérité ne peuvent pas se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, si bien que leur cœur s’éloigne de plus en plus de Dieu et qu’ils sont dégoûtés de la vérité et la rejettent. En conséquence, ils résistent de plus en plus à Dieu et prennent une route qui s’oppose à Lui. Ils sont exactement comme Paul, ils demandent ouvertement à Dieu leur récompense. S’ils ne la reçoivent pas, ils essaieront d’argumenter avec Dieu et s’opposeront à Lui, et en fin de compte, ils deviendront des antéchrists, exposant entièrement le visage hideux de Satan, après quoi Dieu les maudira et les détruira. Ceux qui suivent la route de la poursuite de la vérité, par contre, peuvent accepter la vérité et s’y soumettre. Ils peuvent rejeter le tempérament corrompu de Satan, ils sont prêts à tout abandonner pour bien accomplir leurs devoirs et rendre à Dieu Son amour, et ils sont capables de devenir des gens qui obéissent à Dieu et Le vénèrent. Une personne qui est disposée à se soumettre à Dieu, et qui le fait absolument, est complètement revenue à la condition d’origine d’un être créé et elle est capable de se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu en tout. Cela signifie qu’elle possède une ressemblance humaine fondamentale. À quoi se réfère la vraie ressemblance humaine ? À une personne qui obéit au Créateur et Le craint, comme Job et Pierre l’ont fait. Tels sont ceux que Dieu bénit vraiment.

Les principales étapes de la poursuite de la vérité sur lesquelles nous avons échangé aujourd’hui sont aussi simples que cela. Répétez-Moi quelles sont ces étapes. (Premièrement, réfléchir sur vous-même selon les paroles de Dieu ; deuxièmement, reconnaître et accepter les faits que les paroles de Dieu révèlent ; troisièmement, connaître votre propre tempérament corrompu et votre essence corrompue et commencer à haïr votre tempérament corrompu et Satan ; quatrièmement, pratiquer la repentance et rejeter toutes vos mauvaises actions ; cinquièmement, rechercher les principes vérité et pratiquer la vérité.) Voilà les cinq étapes. Pratiquer chacune de ces étapes est très difficile pour les personnes qui vivent au milieu de tempéraments corrompus, il y a de multiples obstacles et difficultés impliqués dans chacune d’elles, et elles nécessitent toutes de faire des efforts rigoureux pour pratiquer et réussir, et bien sûr, on ne peut éviter de subir des échecs et des revers en cours de route, mais Je vous dirais ceci : ne te décourage pas. Bien que d’autres te condamneront peut-être, en disant : « Tu es fichu », « Tu n’es bon à rien » ou « C’est ainsi que tu es et tu ne peux rien y changer », aussi déplaisantes que soient leurs paroles, tu dois être clair dans ton discernement. Ne te décourage pas et n’abandonne pas, car seul le chemin de la poursuite de la vérité, seules l’entrée et la pratique de ces étapes te permettront véritablement d’échapper à ta catastrophe. Les gens intelligents choisiront de mettre toutes leurs difficultés de côté. Ils n’éviteront pas les échecs et les revers et ils persévéreront, quelle que soit la difficulté. Même si tu en restes à l’étape de l’examen et de la connaissance de toi-même pendant trois ou cinq ans, ou qu’au bout de huit ou dix ans tu sais simplement quels sont tes tempéraments corrompus mais tu restes incapable de comprendre la vérité et de te débarrasser de ton tempérament corrompu, Je te dirais, malgré tout, la même chose : ne te décourage pas. Même si tu n’es pas encore capable de faire véritablement volte-face, tu as déjà franchi les trois premières étapes, alors pourquoi t’inquiéter de ne pas pouvoir franchir les deux autres ? Ne t’inquiète pas : travaille plus dur, fais plus d’efforts et tu y arriveras. Il peut aussi y en avoir qui arrivent à la quatrième étape de la repentance, mais qui ne parviennent pas à chercher les principes vérité et ne peuvent pas entrer dans cette étape. Que faire alors ? Toi non plus, tu ne dois pas te décourager. Tant que tu as la volonté de le faire, tu dois persister dans ta poursuite de la recherche de la vérité en toutes choses et prier davantage Dieu : c’est souvent fructueux. Poursuis aussi bien que tu le peux, en fonction de ton calibre et de ta situation, et travaille dur pour réaliser ce que tu peux. Tant que tu feras tout ce que tu peux, ta conscience sera tranquille et tu pourras certainement réaliser de plus grands gains. Même comprendre une vérité de plus est une bonne chose : ta vie en deviendra un peu plus heureuse et un peu plus joyeuse grâce à cela. En résumé, la poursuite de la vérité n’est pas quelque chose de creux. Il y a un chemin de pratique spécifique pour chacune de ses étapes, et cela oblige les gens à souffrir et à payer un certain prix. La vérité n’est pas un domaine d’étude universitaire, ni une théorie, ni un slogan, ni un argument : elle n’est pas creuse. Chaque vérité nécessite que les gens l’expérimentent et la pratiquent pendant plusieurs années avant de pouvoir la comprendre et la connaître. Mais quels que soient le prix que tu paies et les efforts que tu fais, tant que ton approche, ta méthode, ton chemin et ta direction sont corrects, tôt ou tard, le jour viendra où tu récolteras une grande récompense, tu gagneras la vérité et tu seras capable de connaître Dieu et de te soumettre à Lui : et avec cela, tu seras parfaitement satisfait.

Le 8 janvier 2022

Suivant: En quoi consiste la poursuite de la vérité (2)

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