En quoi consiste la poursuite de la vérité (2)

Lors de notre dernière réunion, nous avons échangé sur ce en quoi consiste la poursuite de la vérité. Commençons par un rappel : en quoi consiste la poursuite de la vérité ? Avez-vous une réponse à cette question ? Y avez-vous réfléchi après notre échange précédent ? Une fois que nous aurons fini d’échanger sur certains sujets, vous devrez y réfléchir, puis les expérimenter et les parcourir de façon concrète dans votre vie réelle. Ce n’est qu’alors que vous pourrez acquérir la vraie connaissance. Ce n’est qu’alors que vous pourrez vraiment comprendre et apprécier les sujets sur lesquels vous avez réfléchi. Ce n’est qu’alors que vous pourrez offrir une véritable expérience et de véritables connaissances. N’est-ce pas ? (En effet.) Alors, avez-vous réfléchi à cette question ? En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Quels sont les éléments concernés par la poursuite de la vérité ? Quelles sont les principales choses qu’elle implique ? Avez-vous résumé ces choses ? (La dernière fois, Dieu a commencé par échanger sur les diverses idées, opinions et attitudes erronées qu’a l’homme concernant la poursuite de la vérité, puis Dieu a échangé en détail sur les cinq étapes de la poursuite de la vérité.) Notre dernier échange comportait essentiellement deux parties principales : certains états négatifs ou certaines opinions erronées que beaucoup de gens ont par rapport à la poursuite de la vérité, les malentendus de l’homme sur la poursuite de la vérité, ainsi que les excuses et les justifications que les gens donnent pour ne pas poursuivre la vérité : c’était la première partie principale. La seconde était l’échange sur la façon de poursuivre la vérité, laquelle consistait en cinq étapes. Bien qu’il n’y ait eu que deux parties, nous avons abordé de nombreux détails et spécificités dans chacune d’elles. J’ai révélé certaines connaissances et compréhensions fallacieuses de l’homme sur la poursuite de la vérité et J’ai également exposé plusieurs difficultés que l’homme rencontre dans la poursuite de la vérité, ainsi que certaines excuses, certaines justifications et certains prétextes que ceux qui sont dégoûtés de la vérité trouvent pour ne pas la poursuivre. Les attitudes et les cognitions négatives et passives que les gens affichent lorsqu’il s’agit de poursuivre la vérité correspondent aux modes de vie et aux poursuites auxquels ils adhèrent dans leur vie réelle, ainsi qu’aux attitudes qu’ils maintiennent vis-à-vis de la vérité : tout cela est en lien avec les comportements spécifiques et les effusions spécifiques des gens. Ensuite, sur la base des divers comportements de l’homme, J’ai proposé plusieurs méthodes et étapes de pratique spécifiques concernant le chemin de la poursuite de la vérité. Tout cela est-il clair pour vous ? (Oui.) Vraiment ? Pourquoi ne dites-vous rien, alors ? On dirait que ce n’est pas encore très clair pour vous : il y a encore des choses sur lesquelles nous devons échanger.

La plus grande affaire, dans la croyance en Dieu, est la poursuite de la vérité. En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Lorsqu’il s’agit de poursuivre la vérité, toutes les manifestations des gens révèlent bon nombre de leurs problèmes et de leurs difficultés, et les gens trouvent toutes sortes de justifications et d’excuses pour ne pas poursuivre la vérité : les barrières sont tellement grandes. En raison de leurs diverses difficultés, les gens semblent extrêmement pris de court et déconcertés lorsqu’il s’agit de poursuivre la vérité et ils pensent que c’est très difficile. En fait, à la question elle-même, « en quoi consiste la poursuite de la vérité ? », il est facile de répondre, alors pourquoi les gens ne peuvent-ils pas poursuivre la vérité ? Quelle en est la raison ? Chacun se vante d’avoir une conscience et du bon sens, de croire sincèrement en Dieu, de pouvoir remplir son devoir, d’être disposé à souffrir et prêt à payer un prix. Comment se fait-il qu’avec ces bons comportements comme fondement, ils soient incapables de s’engager sur la voie de la poursuite de la vérité ? Ils ont une si bonne humanité, une telle intégrité et une bonne réputation. Ils ont leur volonté, leurs aspirations et leurs souhaits concernant leur poursuite. Ils ont leurs efforts subjectifs, leur volonté d’endurer les souffrances et une attitude positive pour ce qui est de payer un prix. Leur attitude, qui consiste à aspirer à accepter la vérité, est active, positive et tournée vers le haut. Avec ces choses comme fondement, comment se fait-il qu’ils ne puissent pas être considérés comme poursuivant la vérité ? Pourquoi est-ce qu’ils ne peuvent pas réussir à poursuivre la vérité ? Où est la racine du problème ? (L’homme n’aime pas la vérité et en est dégoûté par nature.) C’est une réponse appropriée. La raison la plus fondamentale est que les gens ont des tempéraments corrompus. Le tempérament corrompu de l’homme est de Satan, et tout ce qui est de Satan est antagoniste envers Dieu et la vérité. Par conséquent, demander aux gens de poursuivre la vérité équivaut à leur demander d’abandonner leur vie et leurs attributs inhérents, ainsi que leur mode de poursuite et leur vision de la vie. Abandonner ces choses erronées, abandonner leurs préférences charnelles et plutôt poursuivre et pratiquer les paroles de Dieu et la vérité, que leur chair n’aime pas, qu’ils ne possèdent pas et qu’ils dédaignent, détestent et rejettent, voilà ce qu’ils trouvent difficile. Te demander de poursuivre la vérité équivaut à te demander de laisser tomber ta vie inhérente. N’est-ce pas la même chose que de donner ta vie ? (Si.) C’est toi qui donnes ta propre vie. Les gens donnent-ils volontiers leur vie pour des choses ? (Non.) Au fond de leur cœur, ils se disent « je ne le ferai pas », cent fois, mille fois, dix mille fois : « je ne le ferai pas ». Quoi qu’il en soit, il leur est difficile d’abandonner les choses inhérentes et sataniques qu’ils possèdent. C’est un fait, un fait que vous avez profondément et véritablement expérimenté. Du plus profond de leur cœur, les gens ne veulent pas abandonner la chair, ni abandonner leur vie, dont la nature-essence est de Satan, ni abandonner leurs attributs sataniques inhérents, ni leur nature satanique, afin de poursuivre la vérité. Ainsi, concernant ceux qui ont une nature satanique, qui vivent selon des tempéraments sataniques, aimer et poursuivre la vérité va à l’encontre de leur volonté et ils hésitent à le faire. Quelle est la racine de cela ? C’est que les attributs à l’intérieur de l’homme sont de Satan et qu’ils sont intrinsèquement antagonistes envers Dieu. Ainsi, après que les gens ont entendu et compris la vérité, seuls ceux qui aiment la vérité, qui sont prêts à lutter pour elle et à payer un prix, qui ont cette volonté, cette aspiration et ce souhait, sont capables de mettre la vérité en pratique dès qu’ils la comprennent. Eux seuls sont capables de vivre selon la vérité et de vivre sa réalité. Beaucoup de gens sont prêts à pratiquer la vérité, mais sont entravés par leur nature et leurs tempéraments sataniques : ils sont incapables de pratiquer la vérité, même s’ils le souhaitent. Le fait est que dans la vraie vie, pratiquer la vérité est une chose très difficile à faire. C’est une chose de te demander d’abandonner tes vêtements et tes bijoux préférés, ou les choses que tu apprécies, ou le travail et la carrière que tu aimes, ou tes atouts et tes passe-temps, ou toute autre chose de ce genre. Tu pourrais abandonner un de ces éléments : il est facile de les lâcher. Mais te faire abandonner ta chair et ton tempérament satanique pour en venir à pratiquer la vérité et à te soumettre à Dieu, c’est beaucoup plus difficile. Pour le dire en utilisant une formule inexacte, ce serait comme forcer un canard à monter sur un perchoir ou faire grimper un taureau à un arbre : ces choses seraient bien trop éprouvantes pour eux. Maintenant, il serait facile de faire monter un félin dans un arbre : pour lui, c’est naturel. Mais il serait tout à fait impossible de lui faire manger du foin plutôt que de la viande. Si tu demandes à une personne de souffrir un peu, de payer un petit prix et de vivre humblement pour le reste de sa vie, c’est quelque chose que peut réaliser quiconque en a la volonté. En fait, aucune difficulté physique ne pose de gros problème à quelqu’un qui croit vraiment en Dieu et aspire à la vérité. Ne pas se livrer aux conforts charnels, par exemple, ou réduire chaque jour son temps de sommeil, ou vivre à la dure dix ans d’affilée, ou se contenter d’une nourriture, de vêtements, d’un logement et d’un moyen de transport très modestes… de telles souffrances et de tels prix peuvent être supportés par n’importe qui, tant que la personne a la volonté de le faire, qu’elle est prête à poursuivre la vérité et qu’elle a un peu de maîtrise d’elle-même. Mais si tu demandes à quelqu’un d’abandonner la chair et Satan, d’agir en conformité totale avec les exigences de Dieu et sur la base de Ses paroles, de pratiquer selon la vérité et ainsi, d’atteindre la soumission à Dieu, n’importe qui trouverait cela difficile. C’est là que résident les difficultés de l’homme. Ainsi, en poursuivant la vérité, ce n’est pas comme si les gens pouvaient simplement prendre une résolution et l’essayer, ou faire preuve de retenue et suivre les règles, puis être capables de mettre la vérité en pratique et de posséder la vérité. Poursuivre la vérité est la chose la plus dure et la plus difficile à faire pour l’humanité corrompue. D’où provient la racine de ce problème ? (Cela provient du tempérament de Satan.) C’est vrai. Le tempérament de Satan est la plus grande difficulté de l’homme. On peut avoir un faible calibre, ou un mauvais caractère et une mauvaise personnalité, on peut ne pas avoir de points forts, de talents ou de dons à proprement parler : aucune de ces choses ne représentera une grande difficulté. En fin de compte, le problème trouve son origine dans le tempérament corrompu de l’homme. Un tempérament corrompu maintient les poings et les pieds des gens, leur esprit et leurs idées, leurs pensées, leur façon de raisonner et les profondeurs de leur âme sous l’emprise extrême de son contrôle, de sorte que chaque centimètre franchi sur la voie de la poursuite de la vérité leur est difficile. On pourrait croire en Dieu depuis trois ou cinq ans sans rien gagner. Il y a même des gens qui ont cru pendant dix, vingt ou trente ans sans que cela leur apporte grand-chose. Et certains d’entre eux n’ont rien gagné du tout : comme ils sont pauvres et pitoyables, ces gens aux mains vides ! Ils croient en Dieu depuis trente ans, mais restent pauvres et aveugles, sans rien avoir obtenu en retour. Lorsqu’ils tombent dans la négativité, ils ne savent pas comment en sortir. Lorsqu’ils tombent dans des malentendus au sujet de Dieu, ils ne savent pas comment les dissiper. Confrontés à l’adversité, ils ne savent pas comment y faire face, ni comment résoudre ce genre de difficulté. Les problèmes peuvent-ils être résolus en utilisant une simple volonté subjective pour se réfréner ou en comptant sur sa patience pour persévérer sans fin ? Les gens peuvent traverser des situations étape par étape jusqu’à ce qu’elles soient passées, mais leurs tempéraments corrompus demeurent. Ils n’ont pas été résolus. Ils ont beau avoir maintes fois fait l’expérience de la négativité ou de malentendus à propos de Dieu, ou avoir eu des notions sur Dieu, ou avoir échoué, être tombés et avoir été faibles, ils restent incapables à ce jour d’offrir le moindre témoignage d’expérience et n’ont pas la moindre chose à dire sur leur connaissance, leur expérience ou leur exposition aux paroles de Dieu. Leurs cœurs sont vides ; les profondeurs de leurs âmes sont vides. Ils n’ont aucune compréhension expérientielle de la vérité, ils n’ont aucune véritable connaissance des paroles de Dieu et ils sont encore plus éloignés de la connaissance de Son œuvre et de Son tempérament. Ne sont-ils pas pauvres, aveugles et pitoyables ? (Si.) Si quelqu’un ne poursuit pas la vérité, alors quel que soit le nombre d’années depuis lequel il croit en Dieu, cela ne sert à rien. Pourquoi, alors, une personne se laisserait-elle en arriver là ? Où en réside la cause ? Ici aussi, le problème trouve son origine dans le tempérament corrompu de l’homme. C’en est la cause objective.

Nous avons déjà précisé quelle est la cause objective pour laquelle les gens ne poursuivent pas la vérité. Nous allons maintenant parler un peu de la cause subjective. La cause subjective est que bien qu’ils aient pu apprendre de l’œuvre de Dieu et de toutes Ses paroles, ou de leur vie réelle, qu’ils ont un tempérament corrompu, les gens ne s’évaluent jamais à l’aune des paroles de Dieu et de la vérité, ils n’acquièrent jamais la connaissance de leurs tempéraments corrompus et ne les abandonnent jamais, et ils ne pratiquent jamais selon les paroles de Dieu. C’est que bien qu’ils puissent faire beaucoup d’efforts et beaucoup se dépenser sur le chemin de la croyance en Dieu, bien qu’ils puissent travailler très dur, souffrir énormément et payer un prix bien souvent pour cela, ce ne sont là que des comportements extérieurs. Ils ne prouvent pas que la personne s’est engagée sur la voie de la poursuite de la vérité. Les gens qui ont le plus souffert sont ceux qui ont commencé à suivre Dieu dans les premiers temps, qui ont pris en charge leurs devoirs vers l’âge de vingt ans. Ces gens ont maintenant une cinquantaine d’années et sont toujours célibataires. On pourrait dire qu’ils ont consacré leur jeunesse à leur foi en Dieu et qu’ils ont renoncé à leur famille et au mariage. Est-ce un prix élevé ? (Oui.) Ils ont renoncé à leur jeunesse et ont offert toute leur vie, et qu’en est-il ? Le prix qu’ils ont payé était élevé, mais ce qu’ils gagnent à la fin n’est pas à la mesure de leurs dépenses. Quel est donc le problème ? Sur la base de l’attitude et de la résolution avec lesquelles ils paient un prix et de la durée, du montant et du degré de leurs dépenses, il semble qu’ils devraient comprendre la vérité et être capables de la pratiquer. On pourrait penser qu’ils doivent faire montre d’un témoignage et d’un cœur qui craint Dieu, qu’ils doivent avoir la connaissance de Dieu, qu’ils ont dû déjà s’engager sur le chemin de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal, qu’ils doivent déjà être entrés dans la vérité-réalité. Mais en fait, ce n’est qu’une inférence : ces deux choses n’ont entre elles qu’un rapport logique, cela ne correspond ni aux faits ni à ce que ces gens vivent. Quel est le problème ? Ne devrions-nous pas le soumettre à enquête et à discussion ? N’est-ce pas un problème qui mérite une profonde réflexion ? (Si.) Parmi ceux qui ont accepté cette étape de l’œuvre de Dieu il y a deux ou trois ans, il ne manque pas de gens ayant de l’expérience et du témoignage. Ils témoignent de la façon dont les paroles de Dieu les ont changés et les ont fait devenir des gens honnêtes. Ils témoignent de la façon dont les paroles de Dieu leur ont permis de comprendre la vérité sur le chemin de sa poursuite. Ils témoignent de la façon dont les paroles de Dieu ont résolu leurs tempéraments corrompus, leur arrogance et leur malhonnêteté, leur rébellion, leur soif de statut, leurs ambitions et leurs désirs, etc. Ces personnes sont capables d’avoir de l’expérience et un témoignage au bout de seulement deux ou trois ans de croyance en Dieu. Elles ont une profonde compréhension expérientielle des paroles de Dieu, et elles peuvent ressentir la véracité de Ses paroles. Pourquoi donc certaines personnes croient-elles en Dieu depuis vingt ou trente ans et ont si souvent payé un prix, ont tant souffert et se sont tant démenées, alors que le fond de leur cœur et leur monde spirituel restent vides et creux ? Beaucoup de gens qui se trouvent dans ce genre de situation se sentent souvent perdus. Ils disent sans cesse : « Je suis vraiment perdu. » Je leur dis : « Tu crois en Dieu depuis vingt ou trente ans maintenant. Comment peux-tu encore être perdu ? Il est clair que tu n’as rien gagné. » À ce jour, certains sont encore négatifs et faibles. Ils disent : « Je crois en Dieu depuis tant d’années, et qu’y ai-je gagné ? » Souvent, lorsqu’ils sont négatifs et faibles, ou lorsqu’ils sont privés de leur statut et de leurs avantages, ou lorsque leur vanité n’est pas satisfaite, ils blâment Dieu et regrettent d’avoir cru en Lui pendant tant d’années. Ils regrettent en premier lieu d’avoir cru en Ses paroles, ils regrettent d’avoir résolument renoncé à leur travail, à leur mariage et à leur famille, à leur chance de pouvoir aller à l’université afin de suivre Dieu. Certains d’entre eux songent même à quitter l’Église. Ils sont maintenant tellement remplis de regrets à propos de leur foi : pourquoi s’en sont-ils même souciés en premier lieu ? Ils croient en Dieu depuis vingt ou trente ans, ils ont entendu beaucoup de vérités et ils ont beaucoup expérimenté l’œuvre de Dieu, pourtant les profondeurs de leur cœur sont encore vides et ils sombrent souvent dans des états de chaos, de confusion, de regret, de réticence, voire d’incertitude quant à leur avenir : quelle en est la cause ? Ces gens sont-ils dignes de pitié ? (Non.) Chaque fois que Je les vois, chaque fois que J’ai des nouvelles d’eux et que J’apprends leurs récentes activités, J’ai une prémonition à leur sujet. Une pensée Me vient à leur sujet. Comment se fait-il que leur situation et leur monde intérieur Me paraissent si familiers ? Ils restent même maintenant dans la maison de Dieu, à accomplir des devoirs : sur quoi s’appuient-ils donc ? Sur l’idée d’un salut par la grâce ? Sur l’idée que si quelqu’un suit Dieu jusqu’au bout, cela conduira inévitablement au salut ? Ou est-ce une mentalité basée sur la chance et le hasard ? Ce n’est rien de tout cela. Alors, qu’est-ce que c’est ? C’est exactement comme ce que disait Paul : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée » (2 Timothée 4:7-8). Pour analyser ce passage et pour le dire simplement, ces paroles ont un caractère transactionnel, il y a en elles une attitude, une idée et un plan pour conclure un accord et elles procèdent d’un désir et d’une ambition. Quel fait voyez-vous dans ces paroles ? Que poursuivent les gens dans leur croyance en Dieu ? (Une couronne et des bénédictions.) Oui. Ils poursuivent des bénédictions et une bonne destination. Et qu’échangeraient-ils contre cette bonne destination et ces bénédictions ? Qu’est-ce qu’ils donneraient en échange ? (Leur labeur et leur travail, leurs sacrifices et leurs dépenses, leurs souffrances et le prix qu’ils paient.) Pour reprendre les mots de Paul, ils ont combattu leur combat, ils ont achevé leur course. Ils croient qu’ils ont fait tout ce qu’ils étaient censés faire et qu’ils devraient donc gagner la bonne destination et les bonnes bénédictions que Dieu a préparées pour l’humanité. Ils pensent qu’il va sans dire que c’est ce que Dieu devrait faire – ce qu’il faut qu’Il fasse – et que s’Il ne le faisait pas, Il ne serait pas Dieu. Évidemment, il n’y a là aucune obéissance envers Dieu, aucune attitude de poursuite de la vérité, aucune attitude ni aucun plan pour accomplir le devoir d’un être créé. C’est juste le souhait d’échanger des choses qu’ils sont capables de faire contre les bénédictions que Dieu a promises à l’humanité. Ainsi, les gens dont nous venons de parler sentent souvent qu’il y a un vide dans leur monde intérieur et qu’ils n’ont rien sur quoi s’appuyer au plus profond de leur cœur, pourtant ils continuent comme ils l’ont toujours fait, en payant un prix élevé et en souffrant beaucoup, en persistant à mener leur combat et à poursuivre leur course. Sur quoi s’appuient-ils ? Ce sont ces citations de Paul auxquelles ils s’accrochent et auxquelles ils croient aveuglément qui soutiennent leur « foi ». Ils comptent sur leurs ambitions et leur désir d’être récompensés et couronnés. Ils comptent sur leurs rêves d’utiliser un échange transactionnel pour recevoir de grandes bénédictions. Ils ne s’appuient pas sur la compréhension de l’œuvre de Dieu ni sur l’expérience et les connaissances acquises en poursuivant la vérité tout en se dépensant pour Dieu. Ce n’est pas sur cela qu’ils comptent.

Si l’on regarde ce sur quoi nous venons d’échanger, on peut voir que bien qu’il y ait de nombreux défis pratiques sur le chemin de la poursuite de la vérité, ainsi que les entraves et les contraintes des tempéraments corrompus et un grand nombre de difficultés et d’obstacles, il faut croire qu’aussi longtemps qu’on a la vraie foi, en s’appuyant sur la direction des paroles de Dieu et l’œuvre du Saint-Esprit, on sera tout à fait capable de s’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Pierre en est un exemple. Dans leur foi en Dieu, beaucoup de gens se concentrent uniquement sur le travail pour Dieu, ils se contentent de souffrir et de payer un prix, mais ils ne recherchent pas du tout la vérité. Résultat, ils n’ont pas une véritable connaissance de l’œuvre de Dieu alors qu’ils croient en Lui depuis dix ans, vingt ans, trente ans, et ils ne peuvent parler d’aucune expérience ou connaissance de la vérité ni des paroles de Dieu. Pendant les réunions, quand ils essayent de parler un peu de leur témoignage d’expérience, ils n’ont rien à dire. Ils ignorent totalement s’ils seront sauvés ou non. Quel est le problème ici ? C’est ainsi que sont les gens qui ne recherchent pas la vérité. Ils ont beau être croyants depuis des années, ils sont incapables de comprendre la vérité et encore plus incapables de la pratiquer. Comment quelqu’un qui n’accepte pas du tout la vérité pourrait-il entrer dans la vérité-réalité ? Certains ne peuvent pas cerner ce problème. Ils croient que si les gens qui répètent les paroles et les doctrines pratiquent la vérité, ils peuvent aussi entrer dans la vérité-réalité. Est-ce correct ? Les gens qui répètent les paroles et les doctrines sont intrinsèquement incapables de comprendre la vérité : alors comment pourraient-ils la pratiquer ? Ce qu’ils pratiquent semble ne pas violer la vérité et être de bonnes actions et de bons comportements, mais comment ces bonnes actions et ces bons comportements pourraient-ils être appelés la vérité-réalité ? Les gens qui ne comprennent pas la vérité ne savent pas ce qu’est la vérité-réalité : ils considèrent que leurs bonnes actions et leurs bons comportements sont la pratique de la vérité. C’est absurde, n’est-ce pas ? En quoi est-ce différent des pensées et des opinions des personnes religieuses ? Et comment de tels problèmes de compréhension fallacieuse peuvent-ils être résolus ? Les gens doivent d’abord comprendre la volonté de Dieu à partir de Ses paroles, ils doivent savoir ce qu’est la compréhension de la vérité et ce qu’est la pratique de la vérité, afin de pouvoir regarder les autres et les discerner pour ce qu’ils sont vraiment, et d’être capables de dire s’ils possèdent ou non la vérité-réalité. L’œuvre de Dieu et Son salut de l’homme visent à faire comprendre et pratiquer la vérité aux gens ; ce n’est qu’alors que les gens pourront se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, agir selon les principes et entrer dans la vérité-réalité. Si tu ne poursuis pas la vérité et que tu es simplement satisfait de te dépenser, de souffrir et de payer un prix pour Dieu selon tes propres notions et ton imagination, est-ce que tout ce que tu feras reflétera ta pratique de la vérité et ta soumission à Dieu ? Cela prouvera-t-il que tu as changé ta vie-tempérament ? Cela reflétera-t-il le fait que tu possèdes une vraie connaissance de Dieu ? Non. Et donc, que représentera tout ce que tu fais ? Cela ne peut représenter que tes propres préférences, ta propre compréhension et tes propres vœux pieux. Ce seront purement des choses que tu aimes faire, que tu es prêt à faire : tout ce que tu fais n’est que la satisfaction de tes propres désirs, de ta propre volonté et de tes propres idéaux. De toute évidence, ce n’est pas poursuivre la vérité. Rien de tes actions ni de tes comportements n’a le moindre rapport avec la vérité, ni avec les exigences de Dieu. Toutes tes actions et tous tes comportements, c’est pour toi-même : tu ne fais que travailler, te battre et courir pour tes propres idéaux, ta propre réputation et ton propre statut. Cela ne te rend pas différent de Paul, qui a peiné et travaillé toute sa vie dans le seul but d’être récompensé, couronné et d’entrer dans le royaume des cieux. Cela montre que tu suis clairement le chemin de Paul. Certains disent : « Je peine et travaille de mon plein gré. Je n’ai pas essayé de conclure un accord avec Dieu. » Peu importe, d’une manière ou d’une autre, que tu aies ou non essayé de conclure un accord avec Dieu, que tu aies ou non dans ton esprit ou dans ton attitude une intention explicite de conclure un accord avec Dieu, que tu aies ou non un tel plan et un tel objectif, tu essayes d’échanger ton labeur et ton travail, tes souffrances et les prix que tu as payés contre les récompenses et la couronne du royaume des cieux. L’essence de ce problème est que tu essayes de conclure un marché avec Dieu : c’est juste que tu n’en as pas conscience. Quoi qu’il en soit, tant que quelqu’un subit des épreuves et paie des prix pour obtenir des bénédictions, l’essence de sa poursuite est la même que celle de Paul. En quoi sont-elles identiques ? Ce sont dans les deux cas des tentatives d’échanger ses bons comportements – son travail, les épreuves qu’il traverse, les prix qu’il paie, etc. – contre les bénédictions de Dieu, contre les bénédictions qu’Il promet à l’humanité. Ces choses ne sont-elles pas essentiellement les mêmes ? (Si.) Elles sont essentiellement les mêmes : il n’y a pas de réelle différence. Si tu ne souhaites pas suivre le chemin de Paul, mais celui de Pierre et que tu souhaites gagner l’approbation de Dieu, comment dois-tu pratiquer ? Il n’y a aucun doute : tu dois apprendre à rechercher la vérité. Tu dois être capable d’accepter la vérité, ainsi que le jugement et le châtiment de Dieu, et d’être émondé et traité. Tu dois te concentrer sur la connaissance de toi-même, apporter un changement dans ton tempérament et chercher à pratiquer l’amour de Dieu. Voilà ce que signifie suivre le chemin de la poursuite de la vérité et s’engager sur le chemin de Pierre. Pour suivre le chemin de Pierre, tu dois d’abord comprendre ce que Dieu attend de l’homme et quel chemin Dieu a indiqué à l’homme. Tu dois être capable de discerner le chemin de la croyance en Dieu qui mène au salut du chemin qui mène à la perdition et à la destruction. Tu dois vraiment réfléchir à la raison pour laquelle tu as pu suivre le chemin de Paul, et déterminer exactement quel tempérament te commande de suivre ce chemin. Tu dois discerner les choses les plus importantes et les plus évidentes qui se trouvent dans tes tempéraments corrompus, telles que l’arrogance, la malhonnêteté ou le mal. En partant de ces tempéraments corrompus, réfléchis, analyse et connais-toi toi-même. Si tu peux atteindre la véritable connaissance de toi-même et la haine de toi-même, il te sera facile de te débarrasser de tes tempéraments corrompus et il te sera facile de mettre la vérité en pratique. Alors, comment cela doit-il être pratiqué, en particulier ? Échangeons simplement sur ce sujet, en utilisant l’exemple d’un tempérament arrogant. Dans ta vie quotidienne, lorsque tu parles, lorsque tu conduis et gères des affaires, que tu accomplis ton devoir, que tu échanges avec les autres, etc., quel que soit le sujet en question, où que tu te trouves, quelles que soient les circonstances, tu dois à tout moment te soucier d’examiner quel genre de tempérament arrogant tu as manifesté. Tu dois creuser toutes les effusions, pensées et idées qui découlent de ton tempérament arrogant dont tu as conscience et que tu peux percevoir, ainsi que tes intentions et tes objectifs, en particulier le fait de toujours vouloir sermonner les autres en les prenant de haut, de n’obéir à personne, de te considérer comme meilleur que les autres, de ne pas accepter ce que les autres disent, même s’ils ont raison, d’obliger les autres à accepter et à se soumettre à ce que tu dis, même lorsque tu te trompes, d’avoir constamment tendance à diriger les autres, d’être réfractaire et de présenter des justifications lorsque les dirigeants et les ouvriers t’émondent et te traitent, en les condamnant comme faux, de toujours condamner les autres et t’élever toi-même, de toujours penser que tu es meilleur que tout le monde, de toujours désirer être quelqu’un de renommé et d’éminent, de toujours adorer te mettre en valeur afin que les autres t’estiment et te vénèrent… Grâce à la pratique de la réflexion et de l’analyse de ces effusions de corruption, tu peux découvrir à quel point ton tempérament arrogant est laid et tu peux te détester et t’abhorrer, et haïr encore plus ton tempérament arrogant. Tu seras alors disposé à réfléchir pour savoir si tu as ou non manifesté un tempérament arrogant sur toutes les questions. Il s’agit notamment de réfléchir aux tempéraments arrogants et suffisants qui se manifestent dans ton discours : aux choses vantardes, arrogantes et insensées que tu dis. Il s’agit, d’autre part, de réfléchir aux choses absurdes et insensées que tu fais en agissant selon tes notions, ton imagination, tes ambitions et tes désirs. Seul ce type d’autoréflexion peut produire la connaissance de soi. Une fois que tu as acquis une véritable connaissance de toi-même, tu dois rechercher les voies et les principes de la pratique pour être une personne honnête dans les paroles de Dieu, puis pratiquer, accomplir ton devoir, approcher les autres et interagir avec eux selon les voies et les principes indiqués dans les paroles de Dieu. Lorsque tu auras pratiqué de cette manière pendant un certain temps, peut-être un mois ou deux, ton cœur sera plus éclairé à ce sujet, tu en auras retiré quelque chose et tu auras un sentiment de succès. Tu auras le sentiment d’avoir un chemin pour devenir une personne honnête et sensée et tu te sentiras beaucoup plus enraciné. Bien que tu ne puisses pas encore parler d’une connaissance particulièrement profonde de la vérité, tu en auras acquis une certaine connaissance perceptive, ainsi qu’un chemin de pratique. Bien que tu ne puisses pas l’exprimer clairement avec des mots, tu auras acquis un certain discernement du mal qu’un tempérament arrogant fait aux gens et de la manière dont il altère leur humanité. Par exemple, les personnes arrogantes et vaniteuses disent souvent des choses fanfaronnes et exagérées et mentent pour tromper les autres. Elles prononcent des paroles retentissantes, crient des slogans et débitent de hautes harangues. Ne s’agit-il pas de diverses manifestations d’un tempérament arrogant ? N’est-il pas tout à fait insensé de manifester ces tempéraments arrogants ? Si tu es capable de vraiment comprendre que tu dois avoir perdu ta raison humaine normale pour déployer de tels tempéraments arrogants et que vivre selon un tempérament arrogant signifie que tu vis la diablerie plutôt que l’humanité, alors tu as vraiment reconnu qu’un tempérament corrompu est un tempérament satanique, et tu pourras haïr Satan et les tempéraments corrompus dans ton cœur. Au bout de six mois ou d’un an d’une telle expérience, tu seras capable d’une véritable connaissance de toi-même et si tu manifestes à nouveau un tempérament arrogant, tu en seras immédiatement conscient et tu pourras l’abandonner et y renoncer. Tu auras commencé à changer et tu seras en mesure de te débarrasser progressivement de ton tempérament arrogant et de t’entendre normalement avec les autres. Tu seras en mesure de parler honnêtement et avec le cœur : tu ne diras plus de mensonges ni de choses arrogantes. N’auras-tu donc pas un peu de bon sens et un peu l’air d’une personne honnête ? N’auras-tu pas gagné cette entrée ? C’est à ce moment que tu commenceras à gagner quelque chose. Si tu t’entraînes à être honnête de cette manière, tu seras capable de rechercher la vérité et de réfléchir sur toi-même, quel que soit le type d’arrogance que tu manifestes, et après avoir fait de cette manière l’expérience de l’honnêteté pendant un certain temps, tu comprendras inconsciemment et progressivement les vérités et les paroles pertinentes de Dieu sur l’honnêteté. Et lorsque tu utiliseras ces vérités pour disséquer ton tempérament arrogant, dans les profondeurs de ton cœur, il y aura l’éclairage et l’illumination des paroles de Dieu, et ton cœur commencera à se sentir plus éclairé. Tu verras clairement la corruption qu’un tempérament arrogant apporte aux gens et la laideur qu’il leur fait vivre, et tu pourras discerner chacun des états corrompus dans lesquels les gens se retrouvent lorsqu’ils manifestent un tempérament arrogant. Avec plus d’analyse, tu verras d’autant plus clairement la laideur de Satan et tu le détesteras encore plus. Il te sera ainsi facile de te débarrasser de ton tempérament arrogant. Lorsque ta connaissance atteindra cette mesure, la vérité pertinente dans les paroles de Dieu te sera parfaitement compréhensible et tu sauras que tout ce que Dieu exige de l’homme est ce que les gens ayant une humanité normale devraient posséder et vivre. Avec cela, pratiquer la vérité ne te semblera plus difficile. Au lieu de cela, tu seras convaincu que la pratique de la vérité est parfaitement naturelle et justifiée, que c’est ainsi que l’homme devrait vivre. À ce stade, ta pratique des paroles de Dieu et de la vérité sera entièrement spontanée, positive et proactive, et en même temps, tu aimeras encore plus la vérité. Le nombre de choses positives dans ton cœur augmentera, et la vraie connaissance de Dieu s’y élèvera progressivement. C’est ce que signifie véritablement comprendre la vérité. Tu auras une vision et une perspective correctes sur toutes les questions, et cette vraie connaissance et ces visions correctes prendront progressivement racine dans ton cœur. Voilà ce que signifie être entré dans la vérité-réalité : c’est quelque chose dont personne ne peut te priver ni te déposséder. Après avoir accumulé petit à petit ces choses positives, tu te sentiras grandement enrichi au plus profond de ton cœur. Tu n’auras plus l’impression qu’il ne sert à rien de croire en Dieu, et le sentiment de vide dans ton cœur aura disparu. Lorsque tu auras ressenti à quel point il est merveilleux de comprendre la vérité et que tu auras vu la lumière de la vie humaine, la vraie foi naîtra en toi. Et lorsque tu auras la foi pour faire l’expérience de l’œuvre de Dieu et que tu verras à quel point la poursuite de la vérité et la réalisation du salut sont réelles et pratiques, tu pratiqueras et expérimenteras les paroles de Dieu de manière positive et proactive. Tu échangeras sur ton expérience et tes connaissances véritables, témoignant ainsi de Dieu et aidant davantage de personnes à connaître la puissance des paroles de Dieu et les avantages que la vérité apporte à l’homme. Tu auras alors plus de foi pour pratiquer la vérité et bien accomplir ton devoir – et avec cela, tu te seras vraiment soumis à Dieu. Lorsque tu parleras de ton véritable témoignage d’expérience, ton cœur deviendra de plus en plus éclairé. Tu sentiras que tu as plus de chemin pour pratiquer la vérité, et en même temps, tu constateras que tu as beaucoup de lacunes, qu’il y a beaucoup de vérités que tu dois pratiquer. Un tel témoignage d’expérience n’est pas seulement bénéfique et édifiant pour les autres, tu auras toi aussi le sentiment d’avoir gagné quelque chose dans ta quête de la vérité et d’avoir vraiment reçu les bénédictions de Dieu. Lorsqu’une personne expérimente l’œuvre de Dieu de cette manière jusqu’à ce qu’elle soit capable de témoigner pour Lui, non seulement cela peut amener plus de gens à connaître leurs tempéraments corrompus, à se débarrasser des chaînes, des contraintes et de l’affliction de ces tempéraments, et leur permettre d’échapper au domaine de Satan, mais cela peut aussi lui donner de plus en plus de foi pour emprunter le chemin de la poursuite de la vérité et être rendu parfait. Une telle expérience ne devient-elle pas un vrai témoignage ? Voilà ce qu’est le vrai témoignage. Une personne capable de rendre un tel témoignage pour Dieu aurait-elle l’impression que croire en Lui est ennuyeux, inutile ou creux ? Absolument pas. Quand une personne peut témoigner pour Dieu et quand elle a une véritable connaissance de Dieu, les profondeurs de son cœur sont remplies de paix et de joie et elle se sent enrichie et incroyablement enracinée. Quand les gens vivent dans une telle condition et dans un tel royaume, il est naturel qu’ils ne se forcent pas à souffrir, à payer un prix, à se retenir. Ils ne se contenteraient pas de se contraindre à discipliner leur corps et à abandonner la chair. Ce qu’ils feraient davantage, c’est d’acquérir une connaissance positive de leurs tempéraments corrompus. Ils rechercheraient également la connaissance du tempérament de Dieu, de ce que Dieu a et est, et comprendraient ce que l’on doit faire pour se soumettre à Dieu et Le satisfaire. Ils saisiraient ainsi la volonté de Dieu dans Ses paroles et trouveraient les principes de la pratique de la vérité, plutôt que de s’attarder sur leurs sentiments éphémères. Par exemple, ne pas être capable de se retenir quand les choses se produisent, faire montre d’un mauvais caractère, être de mauvaise humeur, s’être de nouveau mis en colère ce jour-là, avoir fait de nouveau ce jour-là quelque chose de mal ou de pas idéal, ou toute autre chose insignifiante. Tant que ces choses n’empêchent pas ta pratique de la vérité, il n’y a pas lieu de t’en inquiéter. Tu dois rester concentré sur la résolution de tes tempéraments corrompus et chercher comment pratiquer d’une manière qui satisfasse Dieu et s’accorde avec Sa volonté. Pratique la vérité de cette manière, et tu feras des progrès rapides dans la vie, et tu te seras engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité et de la perfection. Ton cœur ne sera plus creux : tu auras une vraie foi en Dieu, tu seras toujours plus intéressé par les paroles de Dieu et la vérité et tu les chériras toujours plus. Tu comprendras de mieux en mieux la volonté de Dieu et Ses exigences. Quand on arrive à ce niveau, on est entièrement entré dans les paroles de Dieu et dans la vérité-réalité.

Ce que beaucoup de gens pratiquent et ce dans quoi ils entrent maintenant n’est pas la vérité-réalité, mais ils entrent dans une sorte de condition, dans laquelle ils affichent de bons comportements extérieurs, et ils sont prêts à payer un prix, et prêts à souffrir, et prêts à tout dépenser. Les profondeurs de leur cœur, cependant, restent vides, et ils n’ont rien pour les soutenir dans leur monde intérieur. Pourquoi n’ont-ils aucun soutien ? Parce qu’il leur manque un chemin quand il leur arrive quelque chose. Ils s’appuient sur des vœux pieux et n’ont pas les principes pour pratiquer la vérité. Lorsqu’un tempérament corrompu se dégage d’eux, ils ne peuvent que pratiquer la retenue, ils ne sont pas capables de rechercher la vérité pour le résoudre. Heureusement pour eux, leur vieille chair a une capacité instinctive : elle peut souffrir. Il y a un dicton parmi les incroyants qui dit : « Il n’y a pas de souffrances qui ne puissent être endurées, seulement des bénédictions qui ne peuvent être appréciées » La chair de l’homme a une capacité innée et instinctive : elle ne peut pas profiter de trop de bénédictions, mais elle est capable de tout endurer, de le supporter et de se restreindre. Est-ce une bonne chose ? Est-ce une force ou est-ce un défaut, une déficience ? Ce dicton qu’ils ont est-il la vérité ? (Non.) Ce n’est pas la vérité, et si quelque chose n’est pas la vérité, c’est dénué de sens. Ce dicton, ce ne sont que des mots vides de sens, il ne peut résoudre aucun de tes problèmes, ni résoudre tes difficultés pratiques. Pour le dire avec précision, il ne peut pas résoudre tes tempéraments corrompus. Donc, il ne sert à rien de le dire. Bien que tu puisses en avoir une certaine connaissance, en être conscient et en avoir fait l’expérience profondément, cela n’a cependant aucune utilité. Les incroyants ont aussi d’autres dictons, comme : « je n’ai pas peur de mourir, alors pourquoi avoir peur de vivre ? » et « quand l’hiver est déjà là, le printemps peut-il être loin ? » Ce sont des déclarations assez grandioses, non ? Assez inspirantes et philosophiques, n’est-ce pas ? Les incroyants appellent ces dictons « soupe au poulet pour l’âme ». Aimes-tu ce genre de dictons ? (Non.) Pourquoi ? Certains diront : « Nous ne les aimons pas, c’est tout. C’est ce que disent les incroyants. Nous, nous aimons les paroles de Dieu. » Alors, quelle partie des paroles de Dieu aimes-tu ? Quelle formule considères-tu comme la vérité ? Quelle formule as-tu expérimentée, pratiquée et acquise, dans quelle formule es-tu entré ? Il ne sert à rien de ne pas aimer les paroles de ces incroyants : tu ne les aimes peut-être pas, mais tu ne peux pas discerner clairement leur essence. Ces dictons sont-ils justes ? (Non.) Qu’elles soient justes ou non, les paroles des incroyants n’ont rien à voir avec la vérité. Même si les gens les considèrent comme bonnes et justes, elles ne sont pas conformes à la vérité et ne peuvent pas s’élever au niveau de la vérité. Toutes sont en violation de la vérité et en inimitié vis-à-vis d’elle. Les incroyants n’acceptent pas la vérité, il n’est donc pas nécessaire de discuter avec eux de ce qui est bien ou mal. Tout ce que nous pouvons faire, c’est traiter leurs paroles comme dénuées de sens et confuses et en finir avec elles. Que veut dire « dénuées de sens » ? Cela signifie que ces paroles ne sont pas du tout édifiantes ni précieuses pour les gens, pour leur vie, pour les chemins qu’ils suivent ou pour leur salut. Tous ces discours sont dénués de sens : on peut aussi les appeler des paroles creuses. Cela n’a rien à voir avec la vie et la mort des hommes ni avec les chemins qu’ils parcourent, et ce sont des choses dénuées de sens qui ne peuvent avoir aucune fonction positive. Les gens entendent une telle formule et vivent leur vie comme ils veulent, comme ils l’ont toujours fait : une telle formule ne changera aucun fait, car ce n’est pas la vérité. La vérité seule est édifiante pour l’homme : elle est d’une valeur inestimable. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Parce que la vérité peut changer le destin des gens, leurs pensées, leurs opinions et leur monde intérieur. Plus important encore, la vérité peut dissiper les tempéraments corrompus de l’homme : elle peut changer les attributs d’une personne, transformer ses attributs sataniques en attributs de la vérité : elle peut transformer une personne qui vit selon ses tempéraments corrompus et en faire une personne qui vit selon la vérité et les paroles de Dieu. Quand une personne vit la vérité-réalité, avec les paroles de Dieu comme base, sa vie n’est-elle pas ainsi changée ? Lorsque la vie d’une personne change, cela signifie que ses pensées et ses points de vue ont changé ; cela signifie que ses perspectives, ses attitudes et ses points de vue sur les gens et les choses ont changé ; cela signifie que sa position et ses opinions concernant les événements et les choses sont différentes d’avant. Ces dictons des incroyants ne sont que des paroles creuses et dénuées de sens. Ils ne peuvent résoudre aucun problème. Celui que Je viens de citer, « Il n’y a pas de souffrances qui ne puissent être endurées, seulement des bénédictions qui ne peuvent être appréciées », est-ce que ce ne sont pas des paroles dénuées de sens et creuses ? (Si.) Tu peux souffrir : et alors ? Tu ne souffres pas pour obtenir la vérité, tu souffres pour jouir d’un prestige et d’un statut. Ta souffrance n’a absolument aucune valeur et aucune signification. Considère les faits : tu as beaucoup souffert et payé un prix très élevé, mais tu ne te connais toujours pas et tu ne peux même pas saisir les pensées et les idées qui découlent de ton tempérament corrompu, tu ne peux pas non plus les résoudre. Penses-tu alors pouvoir avoir l’entrée dans la vie ? Ta souffrance a-t-elle une valeur ? Elle n’a aucune valeur. La souffrance de certaines personnes a de la valeur. La souffrance que les gens endurent pour gagner la vérité, par exemple, a de la valeur : quand on a gagné la vérité, on peut édifier et approvisionner les autres. Beaucoup de gens souffrent et paient un prix pour répandre l’Évangile, aider à étendre l’œuvre de l’Église et de la maison de Dieu et à répandre l’Évangile du royaume des cieux. À partir de cela, nous pouvons voir que quiconque souffre et paie un prix pour obtenir la vérité et satisfaire Dieu en retirera quelque chose. Ces gens rencontreront l’approbation de Dieu. Mais il y en a qui ne recherchent pas la vérité, et bien qu’ils puissent se dépenser et souffrir pour Dieu, et recevoir Sa bonté, cette bonté n’est rien de plus que la pitié et la tolérance de Dieu et un reflet de la faveur qu’Il montre à l’homme, ainsi que de la grâce qu’Il accorde à l’homme. Quelle sorte de grâce ? Quelques bénédictions matérielles, rien de plus. Est-ce ce que tu veux ? Est-ce ton objectif ultime dans ta croyance en Dieu ? Je ne pense pas. Depuis le jour où tu as commencé à croire en Dieu, as-tu seulement désiré Sa bonté, Sa protection et quelques-unes des bénédictions matérielles qu’Il accorde ? Est-ce que ce sont les choses que tu veux ? Est-ce ce que tu poursuis dans ta croyance ? (Non.) Ces choses peuvent-elles résoudre le problème de ton salut ? (Non.) Il semble que vous pensiez assez clairement. Vous comprenez ce qui est crucial et ce qui est important. Vous n’êtes pas confus. Vous savez ce qui a du poids et ce qui n’en a pas. Néanmoins, reste à savoir si vous pouvez vous engager sur le chemin de la poursuite de la vérité.

Croire en Dieu ne consiste pas à gagner la grâce ou la tolérance et la pitié de Dieu. De quoi s’agit-il alors ? Il s’agit d’être sauvé. Alors, quelle est la marque du salut ? Quelles sont les normes requises par Dieu ? Que faut-il pour être sauvé ? La résolution de son tempérament corrompu. C’est le nœud du problème. Donc, au bout du compte, en définitive, quels que soient ce que tu as souffert et le prix que tu as payé et quelle que soit la mesure dans laquelle tu te proclames vrai croyant, si, à la fin, ton tempérament corrompu n’a pas été résolu du tout, cela signifie que tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité. Ou bien, on peut dire que parce que tu ne poursuis pas la vérité, ton tempérament corrompu n’a pas été résolu. Cela signifie que tu ne t’es pas du tout engagé sur le chemin du salut. Cela signifie que tout ce que Dieu dit et tout le travail qu’Il fait pour sauver l’homme n’a abouti à rien en toi, cela n’a conduit à aucun témoignage de ta part et cela n’a porté aucun fruit en toi. Dieu dira : « Parce que tu as souffert et payé un prix, Je t’ai donné la grâce, les bénédictions, le soin et la protection que tu méritais dans cette vie et dans ce monde. Mais tu n’as aucune part dans ce que l’homme mérite après avoir été sauvé. Pourquoi donc ? C’est parce que Je t’ai déjà accordé ce que tu mérites dans cette vie et dans ce monde ; quant à ce que l’homme mérite après le salut, il n’y a rien pour toi, parce que tu ne t’es pas engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité. » Tu ne fais pas partie de ceux qui seront sauvés, tu n’es pas devenu un véritable être créé et Dieu ne veut pas de toi. Dieu ne veut pas de ceux qui ne font que travailler, courir, souffrir et payer un prix pour Lui, qui croient plus ou moins sincèrement et ont un peu de foi, et rien de plus. On trouve de telles personnes partout au sein des groupes de Ses croyants. En d’autres termes, ils sont très nombreux, ceux qui travaillent pour Dieu et Lui rendent service, leur nombre est incalculable. Si ce sont des personnes que Dieu a prédestinées et choisies, qui ont été ramenées par Dieu dans la maison de Dieu, alors aucune d’elles ne refuserait de travailler pour Lui et de Lui rendre service. Pourquoi donc ? Parce que c’est tellement facile à faire. C’est pourquoi il y a tant de gens qui rendent service et travaillent pour Dieu. Il y a même des antéchrists et des méchants qui sont capables de le faire aussi, comme Paul. N’y a-t-il pas trop de gens comme Paul ? (Si.) Si tu allais dans une Église et que tu prêchais de cette manière : « Tant que tu es disposé à courir partout, à souffrir et à payer un prix pour Dieu, alors une couronne de justice t’attend », ne penses-tu pas que beaucoup de gens répondraient à ton appel ? Énormément de gens le feraient. Mais malheureusement, à la fin, ce ne sont pas ces gens-là que Dieu sauvera ou qui pourront être sauvés. Ces personnes ne font que s’attarder à l’étape de l’exécution d’un service : elles sont seulement disposées à rendre service à Dieu. En d’autres termes, ces personnes sont simplement disposées à échanger leur travail contre la bonne fortune de Dieu, contre Sa grâce et Ses bénédictions. Elles ne souhaitent pas changer leurs méthodes de survie, ni leurs modes de vie, ni les fondements sur lesquels elles s’appuient pour survivre : elles ne veulent pas accepter le jugement et le châtiment de Dieu afin de changer leur tempérament corrompu et de poursuivre la vérité pour obtenir le salut. Naturellement, on pourrait aussi dire que ces gens sont seulement prêts à souffrir et à payer un prix, qu’ils sont seulement prêts à abandonner et à offrir tout ce qu’ils ont, qu’ils dépensent tout ce qu’ils peuvent, quel qu’en soit le prix, et qu’ils sont disposés à travailler de toutes les manières possibles, mais que si tu leur demandes de se connaître eux-mêmes, d’accepter la vérité, de résoudre leurs tempéraments corrompus, d’abandonner la chair, de pratiquer la vérité, de mettre fin à leur malfaisance, de revenir vers Dieu, comme l’ont fait les Ninivites, de tenir compte de Ses paroles et de vivre selon Ses paroles, ce serait extrêmement difficile pour eux. N’est-ce pas ? (C’est le cas.) N’est-ce pas tout à fait gênant ? Dieu a tant œuvré et prononcé tant de paroles, alors pourquoi les gens pensent-ils qu’il est si difficile de poursuivre la vérité ? Pourquoi y sont-ils toujours indifférents ? Même après avoir entendu des sermons pendant des années, ils n’ont toujours pas l’intention de changer. Ils ne se sont jamais repentis sincèrement devant Dieu dans les profondeurs de leur cœur et ils n’ont jamais vraiment reconnu ni accepté le fait qu’ils avaient des tempéraments corrompus. Tant dans leur vision des choses que dans leurs actions, ils n’ont jamais abandonné leurs propres perspectives ni cherché la vérité. Ils n’abordent pas chaque sujet avec une attitude consistant à renverser leurs perspectives et à se repentir devant Dieu. Donc, il y a un grand nombre de gens qui ont beaucoup expérimenté et fait beaucoup de travail, qui sont à leurs devoirs depuis un bon moment, mais qui ne peuvent toujours pas produire de témoignage. Ils n’ont encore aucune connaissance ou expérience des paroles de Dieu et lorsqu’ils parlent de leur expérience et de leur connaissance des paroles de Dieu, ils sont très embarrassés et impuissants et se révèlent extrêmement inaptes. La raison en est qu’ils n’ont aucune connaissance de la vérité ou ne s’y intéressent pas. Le labeur, en revanche, est si simple, si facile. Ainsi, les gens sont tous prêts à rendre service à Dieu, mais ils ne choisissent pas de poursuivre la vérité.

Cela dit, en quoi consiste exactement la poursuite de la vérité ? Nous en avons beaucoup dit : ne devrions-nous pas définir ce en quoi consiste la poursuite de la vérité ? Pouvez-vous le définir ? Cela devrait être une définition assez simple, non ? Cela vous viendra-t-il si vous méditez et ruminez simplement les paroles et délibérez sur elles ? Certains diront peut-être : « La poursuite de la vérité est un sujet important. Cela ne peut pas être exprimé clairement en quelques phrases. Je ne sais pas quoi dire à ce sujet. Quels mots peuvent le décrire ? Poursuivre la vérité est une grande affaire, et il ne faudrait rien de moins que les mots les plus grandioses pour pouvoir la décrire et la définir de manière appropriée. C’est la seule façon de vraiment impressionner tout le monde ! » Pensez-vous que c’est ainsi que cela doit être ? (Non.) Eh bien, dans ce cas, définissez la poursuite de la vérité dans le langage courant. (Poursuivre la vérité signifie utiliser la vérité pour résoudre notre tempérament corrompu.) Cela peut-il être considéré comme une définition ? Tirez-vous une conclusion avec cela ? La poursuite de la vérité est-elle facile à définir ? La définir n’est pas une tâche facile : vous devez consacrer un effort à méditer cela. En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Essayons d’apporter une définition, d’accord ? Le meilleur de tous les langages humains est celui qui est simple, familier et proche de la réalité. Nous ne parlerons pas dans une langue étrangère, ni avec des paroles grandiloquentes. Nous parlerons le langage courant des gens ordinaires, d’une manière fluide, familière et facile à comprendre, afin que les gens puissent comprendre immédiatement ce que nous aurons dit. Hormis les mineurs, ou ceux qui sont trop simples d’esprit ou trop malades mentalement pour le comprendre, tout adulte qui pense normalement sera capable de comprendre, dès qu’il l’entendra, le langage que nous aurons utilisé. Voilà ce que veut dire un langage qui soit familier : c’est ce qu’on appelle le langage courant. Alors, en quoi consiste la poursuite de la vérité ? Voir les gens et les choses, se comporter et agir entièrement en se basant sur les paroles de Dieu, selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère, voilà en quoi consiste la poursuite de la vérité. Voilà à quoi ressemble une définition précise de la poursuite de la vérité. Question : En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Réponse : voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Voilà la définition de la poursuite de la vérité. Simple, non ? Certains d’entre vous diront peut-être : « Tu échanges durant tout ce temps sur ce en quoi consiste la poursuite de la vérité, alors que la définition tient en une seule phrase. C’est aussi simple que ça ? » Oui, c’est aussi simple que ça. C’est une définition si simple, mais elle touche à tant de sujets connexes, et ces sujets connexes touchent tous au sujet de la poursuite de la vérité. Ces sujets incluent les difficultés de l’homme, ses pensées et ses perspectives, ainsi que toutes les excuses, les justifications, les méthodes et les attitudes que l’homme présente face à la poursuite de la vérité. Il y a aussi la résistance de l’homme à poursuivre la vérité et son refus de le faire, qui sont provoqués par les tempéraments corrompus de l’homme. Bien sûr, les choses dont Je vous ai parlé – les différents chemins et les différentes étapes pour poursuivre la vérité, la manière dont on poursuit la vérité, les résultats qui sont obtenus en poursuivant la vérité et la vérité-réalité que l’on peut voir chez les gens qui la vivent – ces choses-là touchent également au sujet de la poursuite de la vérité. Le résultat final est le témoignage d’expérience des paroles de Dieu et de l’œuvre de Dieu pour sauver l’homme qui apparaît lorsque les gens poursuivent la vérité et pratiquent et expérimentent Ses paroles. C’est le meilleur résultat. Une des caractéristiques d’un tel témoignage est qu’il témoigne des résultats de l’œuvre de Dieu ; une autre est qu’il témoigne des effets positifs que l’on peut constater chez les personnes qui ont poursuivi la vérité, c’est-à-dire que leurs tempéraments corrompus ont été résolus dans une plus ou moins grande mesure. Par exemple, quelqu’un qui était très arrogant, qui était arbitraire, irréfléchi et suivait sa propre loi dans ses actions, apprend en lisant les paroles de Dieu qu’il s’agit d’un tempérament corrompu, puis il l’accepte et le reconnaît. Peu à peu, il en vient à connaître le mal que ce tempérament corrompu cause aux autres et à lui-même : d’un point de vue plus étroit, cela nuit aux gens, et d’un point de vue plus large, cela perturbe, interrompt et endommage le travail de l’Église. C’est là une partie des résultats : c’est quelque chose que les gens apprennent quand ils comprennent les paroles de Dieu. De plus, sur la base de la révélation des paroles de Dieu, ils reconnaissent leur tempérament corrompu, puis, dans des situations arrangées par Dieu, ils en viennent progressivement à se repentir et ils abandonnent les modes de vie et les visions de leur comportement et de leurs actions qu’ils conservaient autrefois. Ils trouvent des principes et des voies de pratique parmi les paroles de Dieu et ils traitent les questions selon les principes de pratique que Dieu leur a donnés. C’est le vrai repentir et c’est vraiment se reprendre en main. Ils sont capables de se comporter et d’agir sur la base des paroles de Dieu et finalement, ils en viennent à chercher les vérités-principes chaque fois qu’ils agissent et ils vivent une partie de la réalité de la prise comme base des paroles de Dieu. Voilà un exemple de résolution d’un tempérament arrogant. Le résultat final ainsi obtenu est que cette personne ne vit plus dans l’arrogance. Au lieu de cela, elle a une conscience et une raison, elle est capable de chercher les vérités-principes et elle se soumet vraiment à la vérité. Ce qu’elle pratique et ce qu’elle vit n’est plus dominé par son tempérament corrompu, elle prend plutôt la vérité comme critère et elle vit la réalité des paroles de Dieu : tel est le résultat. Ce résultat n’est-il pas atteint en poursuivant la vérité ? (Si.) C’est le genre de résultat que la poursuite de la vérité produit chez une personne. Et pour Dieu, vivre de cette manière est un vrai témoignage de Lui et de Son œuvre. C’est un résultat qui est atteint lorsqu’un être créé subit le jugement, le châtiment et l’exposition des paroles de Dieu. C’est un vrai témoignage et c’est une chose glorieuse pour Dieu. Pour l’homme, bien sûr, ce n’est pas une chose glorieuse : on ne peut que l’appeler une chose honorable et fière, et c’est le témoignage qu’un être créé doit avoir et vivre après avoir expérimenté l’œuvre de Dieu. C’est un effet positif qui est obtenu chez une personne qui poursuit la vérité. Dieu considère également cette expérience et cette connaissance, et ce que ces gens vivent, comme des résultats obtenus par Son œuvre. Pour Lui, c’est un témoignage qui riposte à Satan avec une grande force. C’est ce que Dieu aime et ce qu’Il chérit.

Nous venons de définir ce en quoi consiste la poursuite de la vérité. Grâce à cette définition, votre vision de ce en quoi consiste la poursuite de la vérité s’est-elle rapprochée de la réalité ? (Oui.) Maintenant que nous avons défini la poursuite de la vérité d’une manière que vous comprenez, comment devriez-vous considérer vos anciennes poursuites ? Il est possible que la grande majorité d’entre vous ne soit pas des gens qui poursuivent la vérité. Pour vous, cela peut être un peu déstabilisant à entendre, non ? Relisez encore une fois la définition. (En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Réponse : voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère.) Vous pouvez maintenant le dire avec exactitude. Après réflexion, est-ce correct ? (Oui.) Si vous mesurez vos poursuites et pratiques antérieures en vous basant sur cette définition, quel en sera le résultat ? Vous pourrez savoir si, actuellement, vous possédez ou non la vérité-réalité, et vous pourrez vérifier si votre conduite actuelle est la poursuite de la vérité. Ce n’est pas une façon abstraite de le dire, n’est-ce pas ? C’est un langage assez familier, n’est-ce pas ? (En effet.) C’est un langage ordinaire que toute personne ordinaire peut comprendre. Bien que cela puisse sembler assez facile à comprendre, les gens ont un problème. De quel problème s’agit-il ? Une fois qu’ils ont compris la définition, ils sont mal à l’aise et déstabilisés. Pourquoi sont-ils déstabilisés ? Parce qu’ils ont le sentiment que leurs souffrances passées et les prix qu’ils ont payés ont été condamnés, qu’ils les ont consentis en vain, ce qui les met mal à l’aise. Certains, ayant entendu cela, diront : « Oh, voilà donc la définition de la poursuite de la vérité. Si nous suivons cette définition, alors tous les prix que nous avons payés et toutes nos dépenses passées n’ont-ils pas été gaspillés ? Si Tu n’avais pas défini ce en quoi consiste la poursuite de la vérité, nous aurions continué à penser que tout allait bien dans nos poursuites. Maintenant que Tu as donné cette définition, nos poursuites et les prix que nous avons payés ne sont-ils pas réduits à néant ? Tous nos rêves d’être couronnés et récompensés n’ont-ils pas été ruinés ? Lorsque nous comprenons la vérité, nous devrions être bénis et nos rêves devraient se réaliser, alors pourquoi sommes-nous jugés, maintenant que nous comprenons la vérité ? Pourquoi vivons-nous désespérément dans les ténèbres ? Notre passé et notre présent ont été condamnés et on ne sait pas à quoi ressemblera l’avenir. Il semble que nous n’ayons aucun espoir d’être bénis. » En est-il ainsi ? Que les gens raisonnent de cette façon, est-ce correct ? (Non.) Alors, les gens devraient-ils raisonner de cette façon ? (Non.) Ils ne le devraient pas. Mais il y a une bonne chose à ce sujet : tu peux prier et lire à plusieurs reprises cette définition de la poursuite de la vérité, puis te retourner vers ton passé, regarder ton présent et envisager ton avenir. Tu peux te sentir déstabilisé, mais ce sentiment signifie que tu n’es pas insensible. Tu sais considérer ton passé, ton présent et ton avenir, et tu sais faire des plans pour tes perspectives, y penser, t’en inquiéter et t’agiter à leur sujet. C’est une bonne chose. Cela prouve que tu es encore en vie, que tu es une personne vivante et que ton cœur n’est pas mort. Ce qui est inquiétant, c’est que quelqu’un reste apathique, quoi qu’on lui dise et même si l’on échange clairement avec lui sur le chemin de la poursuite de la vérité. Il se dit : « C’est seulement qui je suis ; qui se soucie de savoir si je suis béni ou si un désastre m’arrive ? Juge-moi, condamne-moi, fais ce que Tu veux ! » Quoi qu’on lui dise, il y est insensible. Cela pose des problèmes. Qu’est-ce que J’entends par problèmes ? Cela signifie que quelle que soit la manière dont tu échanges avec lui sur la vérité, il ne la comprendra pas : c’est une personne morte qui n’a pas d’esprit. Il n’a aucune idée de choses comme la croyance en Dieu, la poursuite de la vérité, le salut ou l’œuvre de Dieu pour sauver l’homme, et il ne comprend pas ces choses. C’est comme essayer d’apprendre à chanter à quelqu’un qui n’a pas l’oreille musicale, ou à mélanger les couleurs à un daltonien : ce n’est tout simplement pas faisable. L’échange sur ces choses est dépourvu de toute signification ou valeur pour lui, car quoi que tu puisses dire, que ce soit profond ou superficiel, que ce soit spécifique ou général, cela ne fera aucune différence : il ne ressentira rien dans tous les cas. Il est comme une personne aveugle portant des lunettes, qu’elle porte ces lunettes ou non n’a aucun effet sur sa vision. Certains disent souvent : « Quand l’hiver est déjà là, le printemps peut-il être loin ? », « je n’ai pas peur de mourir, alors pourquoi avoir peur de vivre ? » et « j’agite les mains, et je n’emporte même pas un fragment de nuage. » Ce sont autant de paroles de morts sans esprit qui se croient très intelligents. Pour le dire en termes spirituels, ils manquent de compréhension spirituelle. Ceux qui manquent de compréhension spirituelle sont des morts, même lorsqu’ils sont vivants. Les morts peuvent-ils comprendre les paroles des vivants ? Ils pensent : « Tout ce discours sur la poursuite de la vérité, et nos opinions sur les gens et les choses, et notre comportement et nos actions, qu’est-ce que cela a à voir avec moi ? Je n’ai pas peur de mourir, alors pourquoi avoir peur de vivre ? » Quiconque suit ce raisonnement est fichu. Il fait partie des morts. Il en est ainsi avec la définition de la poursuite de la vérité. Quels que soient les intentions ou les projets que vous avez pour votre avenir après avoir lu cette définition, ou la façon dont vous allez changer, tout dépend de votre poursuite personnelle. Telles sont les paroles que Je dois dire et le travail que Je dois faire. J’ai dit tout ce que J’avais besoin de dire et J’ai dit tout ce que J’avais à dire. Si vous aimez vraiment la vérité et avez la volonté de la poursuivre, vous feriez bien d’adopter la définition de la poursuite de la vérité que J’ai donnée comme objectif et direction de votre poursuite en ce qui concerne la façon dont vous considérez habituellement les gens et les choses et dont vous vous comportez et agissez, ou adoptez-la comme référence, de sorte que vous puissiez ainsi progressivement entrer dans la réalité des paroles de Dieu et de la vérité-réalité. Si tu fais cela, alors dans un avenir proche, tu gagneras certainement quelque chose sur le chemin de la poursuite de la vérité. Certains diront peut-être : « Il n’est jamais trop tard pour poursuivre la vérité. » C’est inexact : si tu ne poursuis pas la vérité avant la fin de l’œuvre de Dieu, il sera trop tard, en effet. Comment expliquer cette idée ? La poursuite de la vérité doit avoir lieu avant la fin de l’œuvre de Dieu. En d’autres termes, cette déclaration est vraie avant que Dieu ait sonné la cloche pour montrer que Son œuvre est arrivée à son terme. Mais quand l’œuvre de Dieu sera terminée et qu’Il dira : « Je ne ferai plus l’œuvre du salut de l’homme et Je ne dirai plus de paroles pour aider les gens à atteindre le salut ou qui impliquent le salut de l’homme. Je ne parlerai plus de telles choses », alors Son œuvre sera vraiment terminée. Si tu attends jusque-là pour poursuivre la vérité, il sera vraiment trop tard. Quoi qu’il en soit, si tu commences à poursuivre la vérité maintenant, il en sera encore temps pour toi : tu as encore une chance d’obtenir le salut. À partir de maintenant, fais absolument tout ton possible pour progressivement voir les gens et les choses et pour te comporter et agir selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Efforce-toi de lire et de comprendre dans un court laps de temps toutes les paroles de Dieu qui exposent les tempéraments corrompus de l’homme, et pratique l’introspection et la connaissance de toi-même. Faire cela est extrêmement avantageux pour ton entrée dans la vie. Prenons, par exemple, parmi les paroles de Dieu qui exposent les tempéraments corrompus de l’humanité, celles qui touchent au tempérament des antéchrists. Ne sont-elles pas les paroles les plus fondamentales ? (Si.) Et que dois-tu faire avec ces paroles comme base ? Te condamner ? Te maudire ? Te déposséder de ton avenir et de ton destin ? Non, tu dois les utiliser pour connaître ton tempérament corrompu. N’essaye pas d’y échapper. C’est un stade par lequel chaque personne doit passer. Que chaque personne doive passer par là, qu’est-ce que cela signifie ? C’est comme lorsque chaque personne naît d’une mère et d’un père, puis grandit, puis vieillit, puis meurt. Ce sont des moments que chaque personne doit traverser un par un. Quelle importance y a-t-il à poursuivre la vérité ? C’est aussi important que la nourriture et la boisson quotidiennes de l’homme. Si tu cessais de manger et de boire chaque jour, ta chair ne pourrait pas survivre ; ta vie ne pourrait pas continuer. « Selon les paroles de Dieu » signifie que tu dois voir les gens et les choses, te comporter et agir entièrement selon les paroles de Dieu, ce qui donne lieu à tes perspectives, à tes méthodes et à tes pratiques. Bien sûr, « selon les paroles de Dieu » est l’équivalent de « avec la vérité comme critère ». Ainsi, dans la définition de la poursuite de la vérité, « selon les paroles de Dieu » est suffisant en soi. Pourquoi faut-il ajouter « avec la vérité comme critère » ? Parce qu’il y a des problèmes spécifiques qui ne sont pas abordés dans les paroles de Dieu. Dans de tels cas, tu dois chercher les vérités-principes, voir les gens et les choses, te comporter et agir conformément à ces principes. Ce faisant, tu atteindras à coup sûr une exactitude absolue. Avant d’atteindre une exactitude absolue, il faut connaître son tempérament corrompu et reconnaître ses effusions corrompues et son essence corrompue. Après cela, on doit sincèrement se repentir, et donc véritablement se reprendre en main. Chacun des processus de cette série est indispensable, tout comme lorsqu’une personne mange : la nourriture doit être mise dans sa bouche, puis elle doit passer dans l’estomac à travers l’œsophage, après quoi elle est digérée et absorbée. Ce n’est qu’alors qu’elle peut progressivement entrer dans le sang et devenir la nutrition dont le corps a besoin. Les gens poursuivent la vérité et en viennent à la prendre comme critère, ils peuvent alors mettre la vérité en pratique, la vivre et entrer dans la vérité-réalité. Chacun des processus normaux de cette séquence est indispensable : ce sont des étapes obligatoires par lesquelles toute personne qui poursuit la vérité doit passer dans la poursuite de tout élément de la vérité. Certains pourront dire : « Je n’ai pas besoin de ces étapes et de ces processus pour poursuivre la vérité. Je vais simplement chercher la vérité directement, puis la mettre en pratique et en faire ma réalité. » C’est une compréhension simpliste, mais si cela peut donner des résultats, alors bien sûr c’est une meilleure façon. Cela montre que tu as déjà accumulé une certaine quantité de connaissances et de succès tout en apprenant régulièrement à connaître ton tempérament corrompu, de sorte que tu peux te passer des processus d’examen, de connaissance, d’acceptation, de repentir, etc., et t’occuper directement de chercher les vérités-principes. Pour qu’une personne puisse directement aller chercher les vérités-principes, il faut qu’elle possède une certaine stature. Que signifie avoir une telle stature ? Cela signifie qu’elle a une véritable connaissance de son tempérament corrompu et que lorsqu’elle ne comprend pas les vérités concernant quelque chose qui lui arrive, elle n’a plus besoin de se connaître, de se repentir ni d’inverser son parcours. Tout ce qu’elle a à faire est d’atteindre directement la compréhension des vérités-principes, puis de continuer à pratiquer selon ces vérités-principes. C’est suffisant. Ce n’est pas la stature d’une personne ordinaire. Une personne d’une telle stature a au moins expérimenté le processus par lequel elle est sévèrement jugée, châtiée, disciplinée et testée par Dieu. Elle s’est soumise à Lui et est déjà sur la voie de la perfection. De telles personnes n’ont pas besoin de processus tels que connaître leur corruption, puis la reconnaître, se repentir et se reprendre en main. Et vous, alors ? La plupart d’entre vous n’ont-ils pas besoin de commencer par se connaître eux-mêmes ? Si tu ne te connais pas toi-même, tu ne seras pas convaincu, il ne te sera pas facile d’accepter la vérité et tu ne seras pas non plus capable d’un vrai repentir. Si tu ne te repens pas vraiment, peux-tu te soumettre à la vérité ? Peux-tu te soumettre à Dieu ? Certainement pas, et dans ce cas, tu n’es pas une personne qui sera sauvée.

Après cet échange, avez-vous maintenant un peu de chemin pour poursuivre la vérité ? Avez-vous l’assurance nécessaire pour la poursuivre ? (Oui.) C’est bien : ce serait inquiétant si vous ne l’aviez pas. Il se peut que certains d’entre vous se sentent négatifs après le sermon. « Oh, non, j’ai un mauvais calibre. J’ai écouté le sermon, mais je n’y comprends rien. Je comprends juste un peu la doctrine. Il semble que je n’aie pas beaucoup de compréhension spirituelle. Je me sens apathique à l’idée de poursuivre la vérité. Dans l’accomplissement de mon devoir, tout ce que je peux faire, c’est travailler un peu. J’ai trop de défauts et je suis plein de tempéraments corrompus. Je suppose que cela ne peut pas être changé. Il en sera ainsi, voilà tout. Être un simple exécutant me suffit. » Quelqu’un qui a ce genre de pensées négatives peut-il s’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité ? Cela semble un peu dangereux, car ce sont ces pensées négatives qui constituent une grande barrière à la poursuite de la vérité. Celui qui ne les résout pas ne pourra pas s’engager sur ce chemin, aussi bon soit-il. Certaines personnes ont échoué et sont tombées plusieurs fois sur la voie de la poursuite de la vérité, et elles finissent par se décourager : « C’est bon, je n’ai plus besoin de poursuivre la vérité. Ce n’est pas mon destin d’être béni. Dieu ne l’a-t-Il pas dit Lui-même : “As-tu le visage de quelqu’un qui pourrait gagner des bénédictions ?” Un regard dans le miroir me montre que je suis d’apparence moyenne, avec des yeux sans esprit et des traits mal proportionnés, sans le moindre raffinement. Quelle que soit la façon dont on l’envisage, je ne ressemble tout simplement pas à quelqu’un qui est béni. Si Dieu n’a pas prédestiné qu’il en soit ainsi, les gens peuvent poursuivre autant qu’ils veulent, cela ne servira à rien ! » Regardez la mentalité de ces gens : avec tant de choses hideuses dans leur cœur qui restent à résoudre, comment peuvent-ils s’engager sur la voie de la poursuite de la vérité ? La poursuite de la vérité est la plus grande chose dans la vie, et la pire chose que vous puissiez faire, c’est de toujours la lier à l’obtention de bénédictions. Il faut d’abord résoudre leur intention d’obtenir des bénédictions. Après cela, la poursuite de la vérité sera un peu plus facile. Concernant la poursuite de la vérité, le plus important est de ne pas de regarder s’il y a beaucoup de gens sur ce chemin et de ne pas suivre ce que la majorité choisit, mais de se concentrer uniquement sur l’effort pour répondre aux exigences de Dieu, en imitant Pierre. La chose la plus importante est de voir clairement le présent et d’y vivre, de savoir quel est le tempérament corrompu qui se déverse actuellement de toi et de chercher immédiatement et sur-le-champ la vérité pour le résoudre, en l’analysant d’abord et en le connaissant à fond, puis en te repentant devant Dieu. Lorsque tu te repens, mettre la vérité en pratique est de la plus haute importance : c’est le seul moyen d’obtenir de vrais résultats. Si tu dis simplement à Dieu : « Ô Dieu, je suis prêt à me repentir. Je suis désolé. J’ai eu tort. S’il Te plaît, pardonne-moi ! » et que tu penses que c’est tout ce que tu dois faire pour obtenir l’approbation de Dieu, cela marchera-t-il ? (Non.) Si tu es toujours prêt à dire à Dieu : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort » en espérant, comme tu le fais, que Dieu dira : « Ce n’est pas grave. Continue », si tu vis toujours dans ce genre d’état, tu seras incapable d’entrer dans la vérité. Alors, comment dois-tu prier et te repentir devant Dieu ? Y a-t-il un chemin ? Celui qui en a fait l’expérience peut en parler un peu. Personne ? Il semble que normalement, vous ne fassiez jamais de prières de repentance, ni ne confessiez vos péchés et ne vous repentiez devant Dieu. Alors, comment devriez-vous abandonner vos propres souhaits et vos propres intentions ? Comment résoudre votre corruption ? Avez-vous un chemin de pratique ? Pour donner un exemple, si tu n’as pas de chemin pour résoudre un tempérament arrogant, tu dois prier Dieu comme ceci : « Ô Dieu, j’ai un tempérament arrogant. Je me crois plus fort que les autres, meilleur que les autres, plus intelligent que les autres, et je veux que les autres fassent ce que je dis. C’est tellement dépourvu de sens. Pourquoi ne puis-je pas abandonner, même si je sais que c’est de l’arrogance ? Je Te supplie de me discipliner et de me faire des reproches. Je suis prêt à abandonner mon arrogance et ma propre volonté pour chercher Ta volonté à la place. Je suis prêt à écouter Tes paroles et à les accepter comme ma vie et les principes selon lesquels j’agirai. Je suis prêt à vivre Tes paroles. Je Te supplie de me guider, je Te supplie de m’aider et de me conduire. » Y a-t-il une attitude de soumission dans ces paroles ? Y a-t-il un souhait de se soumettre ? (Oui.) Certains diront peut-être : « Prier une seule fois ne marche pas. Quand quelque chose m’arrive, je vis toujours par mon tempérament corrompu et je veux toujours être aux commandes. » Dans ce cas, continue à prier : « Ô Dieu, je suis si arrogant, si rebelle ! Je Te supplie de me discipliner, d’arrêter ma malfaisance dans son élan et de restreindre mon tempérament arrogant. Je Te supplie de me guider et de me conduire, afin que je puisse vivre Tes paroles et agir et pratiquer selon Tes paroles et Tes exigences. » Présente-toi davantage devant Dieu dans la prière et la supplication, et laisse-Le œuvrer. Plus tes paroles seront sincères et plus ton cœur sera sincère, plus ton désir de renoncer à ta chair et à toi-même sera grand. Lorsque cela submergera ton souhait d’agir selon ta propre volonté, ton cœur se reprendra progressivement en main, et lorsque cela se produira, tu auras l’espoir de pratiquer la vérité et d’agir selon les vérités-principes. Lorsque tu prieras, Dieu ne te dira rien, ne t’indiquera rien et ne te promettra rien, mais Il examinera ton cœur et l’intention derrière tes paroles. Il regardera si ce que tu dis est sincère et vrai, et si tu Le supplies et Le pries avec un cœur honnête. Lorsque Dieu verra que ton cœur est honnête, Il te conduira et te guidera, comme tu le Lui as demandé et L’as prié pour qu’Il le fasse et, bien sûr, Il te réprimandera et te disciplinera également. Lorsque Dieu accomplira ce pour quoi tu L’as supplié, ton cœur sera éclairé et quelque peu changé. Inversement, si tes prières et tes supplications envers Dieu ne sont pas sincères et que tu n’as aucun véritable désir de te repentir, mais que tu essayes simplement d’apaiser Dieu de manière superficielle et de Le tromper avec tes paroles, alors quand Dieu aura examiné ton cœur, Il ne fera rien pour toi, et Il te détestera et te rejettera. Dans ces circonstances, tu ne sentiras pas non plus que Dieu te dit quoi que ce soit ou fait quoi que ce soit, ou entreprend la moindre action, mais Dieu ne fera aucune œuvre en toi, parce que tu es malhonnête de cœur. Et si Dieu n’œuvre pas, que se passera-t-il ? Tout comme tu l’avais envisagé, ton cœur n’aura pas le désir de se repentir et il ne se sera pas du tout repris en main. Et donc, dans cet environnement et dans l’événement qui te sera arrivé, ce que tu feras sera toujours dicté par la volonté humaine et les tempéraments corrompus au lieu d’être basé sur les vérités-principes. Tu agiras et pratiqueras toujours selon ce que tu veux et ce que tu désires. Le résultat de tes prières à Dieu sera le même qu’avant ta prière : il n’y aura pas de changement. Tu feras toujours ce que tu voudras, sans jamais te reprendre en main. Cela signifie que, dans le processus de poursuite de la vérité, les efforts subjectifs des gens sont importants, tout comme leur compréhension de la vérité. En même temps, lorsque les gens comprennent la vérité et souhaitent la mettre en pratique, mais ont du mal à le faire, ils doivent se fier à Dieu et offrir leur cœur et leurs prières sincères. C’est aussi très important : ces choses sont toutes indispensables. Si tout ce que tu fais est de prier Dieu d’une manière superficielle, en disant : « Ô Dieu, j’ai eu tort. Je suis désolé », et si tu es aussi superficiel avec Dieu dans ton cœur que tu l’es dans les paroles de ta prière, alors Dieu ne fera aucune œuvre et Il ne fera pas non plus attention à toi. Si tu dis : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort », Dieu ne dira certainement pas : « Ce n’est pas grave. » En raison des paroles hâtives et superficielles que tu Lui auras adressées, Dieu te demandera : « En quoi as-tu eu tort ? Que comptes-tu faire ? Veux-tu te repentir ? Vas-tu abandonner ta malfaisance et te reprendre en main ? Vas-tu abandonner ton propre désir, tes intentions et tes intérêts et te hâter de te reprendre en main ? Peux-tu prendre la résolution de te reprendre en main ? » Il se peut que tu n’entendes pas Dieu te demander quoi que ce soit pendant que cela se produit, mais si tu dis à Dieu : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort », du point de vue de Dieu, Son attitude sera comme Je viens de le dire : Il t’interrogera avec ces paroles. Comment t’interrogera-t-Il ? Il continuera à observer ce que tu fais et les choix que tu fais après avoir dit : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort. » Il ira voir si tu montres une véritable repentance procédant d’une véritable reconnaissance et d’une véritable haine de ta propre corruption. Dieu ira voir quelle est ton attitude envers Lui, quelle est ton attitude envers la vérité, comment tu considères ton propre tempérament corrompu et quelles opinions tu en as, et si tu as l’intention de renoncer à tes opinions erronées et à tes manières erronées. Il examinera tes choix, Il regardera si tu choisis de suivre la voie de la poursuite de la vérité, comment tu dois agir et les principes que tu dois respecter à l’avenir, si tu peux pratiquer la vérité et te soumettre à Lui. Dieu examinera chacun de tes mouvements, chacune de tes intentions et chacun de tes choix, et ce faisant, Il cherchera à voir si les choses que tu fais après avoir fait ces choix sont vraiment des actions de repentance et si tu te reprends en main. Voilà la question cruciale.

Une fois que les gens ont choisi de se repentir, comment doivent-ils faire pour se reprendre en main ? Vous devez renoncer à vos souhaits, à vos pensées et vos points de vue et à vos anciennes façons de faire les choses pour pratiquer la vérité, et vraiment changer. Voilà ce que signifie vraiment se reprendre en main. Si tu prétends simplement vouloir te reprendre en main, mais qu’au fond, tu t’accroches toujours à tes propres souhaits, que tu abandonnes la vérité et conserves tes anciennes habitudes, alors tu ne te reprendras pas vraiment en main. Si tout ce que tu dis à Dieu lorsque tu pries est : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort », mais que dans tout ton comportement après cela, tu continues à faire des choix, à agir, à pratiquer et à vivre selon ton propre désir, allant à l’encontre de la vérité dans toutes ces choses, alors du point de vue de Dieu, comment dois-tu être défini ? Tu ne te seras pas repris en main. À tout le moins, Il dira que tu ne veux pas te reprendre en main. Tu peux dire à Dieu : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort », mais ce ne sont que des paroles superficielles, ce ne sont pas des repentirs et des confessions qui viennent du plus profond de ton cœur. Ils ne reflètent pas une attitude consistant à admettre ta faute et à te repentir : ce ne sont que des paroles creuses. Dieu n’écoute pas ce que tu dis, Il regarde ce que tu penses, planifies et manigances. Et quand Dieu verra que la base et les principes de tes actions sont toujours contraires à la vérité, Il rendra un verdict vrai, réel et précis sur toi. Il te dira : « Tu ne t’es pas repris en main, et tu ne te reprends pas en main. » Et quand Dieu aura dit cela, quand Dieu aura prononcé sur toi ce verdict, Il ne Se préoccupera plus de toi. Et quand Dieu ne Se souciera plus de toi, ton cœur sera sombre dans les jours qui suivront et tu manqueras d’éclairage et d’illumination dans tout ce que tu feras, et tu ne seras pas du tout conscient lorsque tu manifesteras un tempérament corrompu, et tu ne seras pas discipliné pour cela. Tu continueras, insensible et terne, et tu te sentiras creux, et tu auras le sentiment que tu n’as rien sur quoi compter. Pire que tout, tu continueras à te laisser aller à ton comportement arbitraire et irréfléchi, et tu continueras à laisser ton tempérament corrompu enfler et grandir sans contrôle. Voilà ce qui arrivera. Quelle sera la conséquence ultime, pour une personne agissant de cette manière ? Quand une personne renonce à la vérité, la conséquence qu’elle s’attire est que Dieu ne Se soucie plus d’elle. Bien que Dieu ne dise rien et ne t’indique rien de façon claire, tu pourras le ressentir. Sur la base de tes pensées et de tes idées, de tes états réels et de ton attitude vis-à-vis de la vérité, il sera clair que ton état général est un état d’insensibilité, de lourdeur d’esprit, d’intransigeance et autres manifestations de ce genre. Ces choses se reflètent chez les gens. Ainsi, après avoir comparé à cela votre vie réelle et les choses que vous pratiquez, vous voudrez peut-être étudier ou enquêter sur ce qui suit : lorsque tu ne t’es pas du tout retourné vers Dieu, tu peux Lui adresser beaucoup de paroles agréables et mielleuses, mais dans quel état et dans quelle condition te trouves-tu quand tu fais cela ? Et lorsque tu t’es vraiment repris en main, même si tu ne pries pas Dieu avec des mots doux et agréables et que tu parles juste un peu avec ton cœur, dans quel genre d’état et de condition es-tu alors ? Ces deux états sont totalement différents. Dieu peut ne rien indiquer clairement aux gens dans leur vie quotidienne et ne pas leur parler avec des paroles évidentes, mais les gens doivent être capables de ressentir dans leur quotidien l’œuvre du Saint-Esprit, tout ce qu’Il fait et chaque volonté qu’Il souhaite exprimer. Naturellement, les observateurs peuvent également détecter ces choses. Une personne qui était insensible et lente d’esprit peut soudainement devenir intelligente et une personne habituellement intelligente peut soudainement devenir insensible, stupide et vaine. Ces deux conditions ou états peuvent se produire en même temps chez une personne ou chez des personnes différentes : c’est quelque chose qui arrive assez souvent. À partir de là, on peut voir que dans de nombreux cas, être une personne intelligente ou stupide n’est pas une question de cerveau, de pensées ou de calibre : c’est déterminé par Dieu. Est-ce clair ? (Oui.) Tu ne comprendras jamais ces choses tant que tu ne les auras pas expérimentées. Une fois que tu les auras expérimentées, tu sauras : plus ton expérience sera profonde, plus ta compréhension sera complète et plus ton appréciation sera profonde. La volonté de Dieu est dans Ses actions : Il ne t’en donnera pas une indication évidente, ni ne l’abordera avec toi explicitement, ni ne t’en parlera, mais cela ne signifie pas qu’Il n’a aucune position te concernant. Cela ne signifie pas que Dieu n’a aucune opinion sur tes pensées, tes idées, tes états ou tes attitudes. Lorsque quelqu’un a ses intentions et ses plans personnels quand il lui arrive quelque chose, lorsqu’il manifeste clairement un tempérament corrompu, ce sont précisément les moments où il doit réfléchir sur lui-même et poursuivre la vérité, et ce sont aussi des moments critiques où Dieu examine cette personne. Par conséquent, lorsqu’il s’agit de savoir si tu es capable de poursuivre la vérité, d’accepter la vérité et de te repentir vraiment, ce sont les moments qui révèlent le plus ta personne. Dans de tels moments, tu dois admettre que tu as un tempérament corrompu et être disposé à te repentir sincèrement. Tu dois adresser à Dieu une déclaration sincère, plutôt que d’être désinvolte avec Lui en Lui disant : « Ô Dieu, je suis désolé. J’ai eu tort. » Ce que Dieu attend de toi, ce n’est pas ta désinvolture, mais une attitude de repentance sincère. Si tu as des difficultés, Dieu t’aidera, te guidera et te conduira pas à pas dans ta reprise en main, vers le chemin de l’acceptation et de la poursuite de la vérité. Bien sûr, si ton repentir n’existe qu’en paroles ou si tu as l’intention de te repentir et souhaites renoncer à tes intentions et à tes désirs, mais que tu n’es pas sincère à ce sujet et que tu n’as pas la volonté de le faire, Dieu ne va pas te forcer. Quand il s’agit de Dieu, il n’y a pas d’obligations dans Son attitude envers l’homme : Dieu te donne la liberté et Dieu te donne le choix, et Il attend. Qu’est-ce qu’Il attend ? Il attend de voir quel choix tu vas faire et si tu as l’intention de te repentir. Si tu as l’intention de te repentir, quand vas-tu le faire ? Comment ton repentir se manifestera-t-il ? Si tu as l’intention de te repentir et que tu es prêt à le faire, mais que tu essayes toujours de protéger tes propres intérêts lorsque tu agis et que tu désires toujours ne pas perdre ton statut, alors il est clair que tu n’es pas sincèrement repentant, que tu n’es pas sincère à ce sujet. Tu désires juste un peu te repentir, mais tu n’es pas vraiment repentant. Dieu œuvrera-t-Il en toi si tu as simplement l’intention de te repentir, mais que tu ne te repens pas sincèrement ? Non. Il dira : « Eh bien, quand as-tu l’intention de te repentir ? » Tu ne le sauras pas. Dieu te le redemandera-t-Il ? Non. Il te dira : « Donc, tu n’es pas sincèrement repentant. Je vais juste attendre, alors. » Il se peut que tu n’aies pas l’intention de te repentir, que tu ne veuilles pas te repentir ou renoncer à ton statut et à tes intérêts. Très bien. Dieu te donne la liberté et tu peux faire le choix qui te plaît. Dieu ne te forcera pas. Mais il y a un fait que tu dois considérer, comme les Ninivites, si tu ne te reprends pas en main et ne te repens pas, qu’adviendra-t-il ? Tu seras détruit. Si, actuellement, tu as simplement l’intention de te repentir, mais que tu n’as pris aucune mesure réelle pour te repentir, alors Dieu ne Se souciera pas de toi. Pourquoi ne Se souciera-t-Il pas de toi ? Dieu dit : « Tu n’es pas sincère, tu ne déclares pas où tu te positionnes et ton cœur vacille encore. » Après un moment de réflexion, tu peux dire que tu es prêt à te repentir, mais ce n’est qu’une pensée de ta part, une déclaration creuse, sans aucune action ni aucun plan concret. C’est pourquoi Dieu dit : « Je vais simplement écarter les gens comme toi. Tu ne M’intéresses pas. Fais ce que tu veux ! » Quand un jour, tu prendras conscience : « Oh non, je dois me repentir », comment devras-tu t’y prendre ? Dieu ne Se laissera pas berner par tes paroles et n’ira pas œuvrer aveuglément en Se disant : « Il a l’intention de se repentir, alors maintenant Je dois le bénir, n’est-ce pas ? » Dieu ne fera pas cela. Que fera-t-Il ? Il t’examinera. Tu as l’intention de te repentir, tu désires te repentir et ton exigence de repentir est un peu plus forte qu’auparavant, mais qui sait combien de temps il te faudra avant que tu le fasses réellement ? Si tu n’as pas entrepris une démarche concrète et si tu n’as pas de plan concret pour pratiquer la repentance, ce n’est pas une vraie repentance. Tu dois également prendre des mesures concrètes. Une fois que tu auras pris des mesures concrètes, l’œuvre de Dieu suivra. N’y a-t-il pas des principes à l’œuvre de Dieu et à Son traitement des gens ? Lorsque Dieu Se met à œuvrer, la personne gagne l’éclairage, ses yeux brillent, elle est capable de comprendre la vérité et d’entrer dans sa réalité et ses gains sont multipliés par cent, par mille. Une fois que cela se produit, tu es vraiment béni. Alors, sur quelle base les gens doivent-ils s’appuyer pour réaliser ces choses ? (Sur la capacité de vraiment se repentir.) C’est vrai. Lorsque les gens renonceront vraiment à leurs propres intérêts et à leurs désirs, lorsqu’ils se repentiront sincèrement devant Dieu, ce qui signifie qu’ils arrêteront leurs méfaits dans leur élan, abandonneront leur malfaisance, leurs désirs et leurs intentions, se confesseront devant Dieu et accepteront Ses exigences et Ses paroles, alors ils commenceront à entrer dans la réalité de leur reprise en main. Cela seul est la vraie repentance.

Nous venons d’échanger sur des problèmes fréquemment rencontrés au cours de la poursuite de la vérité par l’homme, et sur des problèmes que ceux qui poursuivent la vérité peuvent reconnaître et apprendre à connaître. Ce sont ces mêmes problèmes qui devraient être résolus. Nous n’avons peut-être pas trop expliqué ou disséqué ces problèmes dans le passé, nous n’avons peut-être même pas tiré de conclusions claires à leur sujet, mais concernant chacune des étapes que les hommes expérimentent dans le processus de poursuite de la vérité et les différents comportements et états qu’ils ont au cours de ce processus, Dieu a une œuvre et des paroles connexes, et Il a des moyens et des méthodes pertinents pour les aborder et les résoudre. Les gens peuvent expérimenter et comprendre un peu de toutes ces choses : ils ne doivent pas se méprendre sur Dieu, ni entretenir des notions ou des imaginations sur Dieu qui ne correspondent pas à la réalité. De plus, Dieu donne aux gens une liberté et un libre arbitre suffisants pour faire des choix concernant chaque étape, chaque façon d’agir et chaque façon de pratiquer qui interviennent dans la poursuite de la vérité : Il ne contraint pas les gens. Et bien que ces paroles et ces exigences soient imprimées dans le texte et dites dans un langage clair et précis, il appartient malgré tout à chacun de faire, en toute liberté, son propre choix quant à la manière dont il abordera ces vérités. Dieu ne force pas les gens. Si tu es prêt à poursuivre la vérité, alors tu as l’espoir d’être sauvé. Si tu ne veux pas poursuivre la vérité, si tu ne te soucies pas de ces vérités et que tu les dédaignes, si tu n’es pas du tout intéressé par ces façons de pratiquer la poursuite de la vérité, c’est très bien aussi. Dieu ne te forcera pas. C’est bien aussi si tu es simplement disposé à travailler pour Dieu. Tant que tu n’enfreins pas les principes, la maison de Dieu te laissera faire ton propre choix. Bien que la poursuite de la vérité soit inextricablement et étroitement liée à l’obtention du salut, il n’y a cependant pas pénurie de personnes qui ne sont pas intéressées à poursuivre la vérité, qui n’ont aucune pensée à ce sujet ni l’intention de le faire, ni aucun projet de le faire. Ces personnes sont-elles donc condamnées ? Pas exactement. Si ces personnes satisfont aux exigences de la maison de Dieu dans l’accomplissement de leurs devoirs, elles peuvent continuer à les accomplir. La maison de Dieu ne te privera pas de ton droit d’accomplir un devoir parce que tu ne poursuis pas la vérité. Mais jusqu’à ce jour, accomplir son devoir de cette manière est classé comme un « labeur ». « Labeur » est une belle façon de le dire, c’est le terme que la maison de Dieu utilise, mais en fait, cela pourrait aussi simplement être appelé « accomplir un travail ». Certains d’entre vous disent peut-être : « Quand tu fais un travail, tu perçois un salaire. » Oui, vous pouvez obtenir un salaire pour faire un travail. Alors, quel est ton salaire ? Toutes les grâces que Dieu t’a accordées, voilà ton salaire. Et quant à la poursuite de la vérité, quoi que tu aies l’intention de faire, ou que tu projettes de faire, ou que tu souhaites faire, Je peux te le dire clairement maintenant que tu es libre. Tu peux poursuivre la vérité, c’est bien ; si tu ne le fais pas, c’est bien aussi. Mais la dernière chose que Je vais vous dire, c’est qu’on ne peut être sauvé qu’en poursuivant la vérité. Si vous ne poursuivez pas la vérité, votre espoir d’être sauvés est nul. C’est le fait dont il faut que Je t’informe. Vous devez être informés de ce fait, afin qu’il soit clairement, expressément, précisément et distinctement gravé dans votre cœur : afin que vous sachiez clairement dans votre cœur sur quel fondement repose l’espérance du salut. Si tu te contentes de travailler, en te disant : « Tout va bien si je peux simplement accomplir mon devoir et ne pas être expulsé de la maison de Dieu. Je n’ai pas à m’embêter avec quelque chose d’aussi difficile que de poursuivre la vérité », ce point de vue que tu as est-il viable ? Même si tu crois toujours en Dieu maintenant et même si tu accomplis un devoir, es-tu sûr de pouvoir suivre Dieu jusqu’à la fin ? Quoi qu’il en soit, poursuivre la vérité est une grande affaire dans la vie, c’est plus important que se marier et avoir des enfants, qu’élever ses fils et ses filles, que vivre sa vie et faire fortune. C’est encore plus important que d’accomplir un devoir et de poursuivre un avenir dans la maison de Dieu. En fin de compte, la poursuite de la vérité est la chose la plus importante sur le chemin de vie d’une personne. Si vous n’avez pas encore développé un intérêt pour la poursuite de la vérité, personne ne prononcera un verdict sur vous ni ne dira que vous ne poursuivrez pas la vérité à l’avenir. Moi non plus, Je ne rendrai pas de verdict sur vous ni ne dirai que si vous ne poursuivez pas la vérité maintenant, vous ne le ferez jamais à l’avenir. Ce n’est pas ce qui se passe. Il n’y a pas une telle relation logique. Ce n’est pas la réalité. Quoi qu’il en soit, J’espère que dans un avenir proche, ou même en ce moment même, vous pourrez vous engager sur le chemin de la poursuite de la vérité, devenir des gens qui poursuivent la vérité et compter parmi ceux qui peuvent espérer le salut.

La poursuite de la vérité est directement liée à l’obtention du salut, donc le sujet de la poursuite de la vérité n’est pas mince. Bien qu’il s’agisse d’un sujet courant, il touche à de très nombreuses vérités. En fait, ce sujet est étroitement lié aux perspectives et au destin de l’homme, et bien que nous échangions souvent à ce sujet, les gens ne sont toujours pas très au clair sur les diverses vérités et les divers problèmes qu’ils doivent comprendre concernant la poursuite de la vérité. Au lieu de cela, de manière confuse, ils adoptent simplement divers comportements et diverses approches qui, à leurs yeux, sont bons, ainsi que certaines pensées et opinions qui sont considérées comme relativement actives, optimistes et positives, et ils les poursuivent comme la vérité. C’est une grave erreur. Il y a beaucoup de choses que les gens considèrent comme bonnes, justes et correctes, mais qui, pour le dire avec précision, ne sont pas la vérité. Certaines d’entre elles peuvent, tout au plus, s’accorder avec la vérité, mais on ne peut pas dire qu’elles sont la vérité. La plupart des gens ont de profondes incompréhensions quant à la recherche de la vérité, et ils entretiennent un certain nombre de compréhensions erronées et de préjugés à son égard. C’est pourquoi il est nécessaire que nous échangions clairement là-dessus et que nous fassions comprendre aux gens les vérités qu’ils doivent comprendre et les problèmes qu’ils doivent résoudre. Avez-vous des idées sur le contenu spécifique relatif à la poursuite de la vérité sur lequel nous venons d’échanger ? Avez-vous des projets ou des intentions ? Maintenant que nous avons donné à travers notre échange une définition plus précise de ce en quoi consiste la poursuite de la vérité, beaucoup de gens sont un peu perplexes sur les choses qu’ils faisaient et manifestaient, ainsi que sur ce qu’ils ont l’intention de faire à l’avenir. Ils sont déstabilisés, et certains ont même le sentiment qu’ils n’ont aucun espoir et qu’ils risquent d’être bannis. Si l’on a échangé clairement sur la vérité et que les gens se sentent pourtant apathiques, leur état est-il correct ? Est-il normal ? (Non, il n’est pas normal.) Si tu avais poursuivi la vérité auparavant et en avais reçu la confirmation en écoutant cet échange, ne te sentirais-tu pas plus dynamisé ? (Si.) Alors pourquoi les gens se sentiraient-ils apathiques ? Quelle est la racine de cette apathie ? Plus l’échange sur la vérité est transparent et clair, plus les gens devraient avoir un chemin : alors pourquoi, si les gens possèdent plus un chemin, se sentiraient-ils plus apathiques ? N’y a-t-il donc pas un problème ? (Si.) Quel problème ? (Si quelqu’un sait qu’il est bon de poursuivre la vérité, mais ne veut pas la poursuivre, c’est parce qu’il n’aime pas la vérité.) Les gens n’aiment pas la vérité ou n’ont pas l’intention de la poursuivre, c’est pourquoi ils se sentent apathiques. Et qu’en est-il de leurs actions antérieures ? (Elles sont condamnées.) « Condamnées » n’est pas tout à fait le bon mot : pour le dire précisément, leurs actions antérieures n’ont pas été reconnues. Quel genre de résultat est-ce, de ne pas voir ses actions reconnues ? Que se passe-t-il lorsque les actions de quelqu’un ne sont pas reconnues ? Qu’est-ce que cela veut dire ? C’est simple : si les actions d’une personne ne sont pas reconnues, cela montre qu’elle ne poursuit pas la vérité, qu’elle poursuit plutôt des choses que l’homme considère comme justes et bonnes et qu’elle vit toujours selon ses notions et son imagination. N’est-ce pas ce qui se passe ? (Si.) C’est ce qui se passe. Lorsque les actions des gens ne sont pas reconnues par Dieu, ils sont bouleversés. Dans ces moments-là, n’ont-ils rien d’un chemin de pratique positif et correct ? Serait-il juste que quelqu’un devienne négatif, abandonne son devoir et s’abandonne comme étant sans espoir simplement parce que ses actions n’ont pas été reconnues ? Est-ce le bon chemin de pratique ? (Non.) Ce n’est pas le bon chemin de pratique. Quand il arrive ce genre de chose à une personne et qu’elle découvre ses propres problèmes, elle doit rapidement en inverser le cours. Si tu découvres, grâce à notre échange sur ce en quoi consiste la poursuite de la vérité, que tes actions et tes comportements antérieurs n’ont rien à voir avec la poursuite de la vérité, alors, que cela te dérange ou non, la première chose que tu dois faire est d’inverser tes anciennes manières et méthodes de pratique erronées, ainsi que le chemin incorrect de ta poursuite. Tu dois inverser ces choses tout de suite. Lorsque leurs actions précédentes sont rejetées et non reconnues par Dieu, lorsque Dieu dit que ces actions n’étaient que du travail et qu’elles n’ont rien à voir avec la poursuite de la vérité, certaines personnes se disent : « Oh, nous les humains, nous sommes en effet insensés et aveugles. Nous ne comprenons pas la vérité et ne pouvons pas voir les choses pour ce qu’elles sont ; et durant tout ce temps, nous avons cru que nous pratiquions la vérité, que nous poursuivions la vérité et que nous satisfaisions Dieu. Ce n’est que maintenant que nous apprenons que les choses que nous avons faites dans notre prétendue “poursuite de la vérité” n’étaient que de bons comportements humains. Ce n’étaient que des choses que les gens font en fonction des diverses capacités instinctives, des divers calibres et des divers talents de leur chair. Elles sont très éloignées de l’essence, de la définition et des exigences de la poursuite de la vérité : elles n’ont tout simplement rien à voir avec cela. Que devons-nous faire à ce sujet ? » C’est un problème majeur et qui doit être résolu. Quel est le moyen de le résoudre ? La question a été soulevée : étant donné que les comportements et les approches que les gens considéraient auparavant comme bons ont été uniformément rejetés, que Dieu ne S’en souvient pas et qu’Il ne les a pas non plus définis comme la poursuite de la vérité, qu’est-ce donc que la poursuite de la vérité ? Pour répondre à cela, il faut prier et lire attentivement la définition de la poursuite de la vérité, et trouver un moyen de pratiquer à partir de cette définition et de la transformer en réalité de sa vie. Les gens ne pratiquaient pas la poursuite de la vérité dans le passé, ils doivent donc désormais prendre la définition de la poursuite de la vérité comme base et comme fondement de leur comportement. Alors, quelle est la définition de la poursuite de la vérité ? La voici : voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Cela ne pourrait pas être dit plus clairement ni plus explicitement. Quels étaient toutes les actions et tous les comportements antérieurs de l’homme ? Étaient-ils conformes aux paroles de Dieu, avec la vérité comme critère ? Pensez-y, l’étaient-ils ? (Non.) On peut dire que de telles actions et de tels comportements ne se rencontrent pratiquement jamais, qu’ils sont pratiquement introuvables. Alors, l’homme n’a-t-il vraiment rien accompli du tout pendant tant d’années de croyance en Dieu, de lecture de Ses paroles et d’échange sur Ses paroles ? Les gens n’ont-ils pas pratiqué une seule chose selon les paroles de Dieu ? À quoi tend la définition, « voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère », dont nous avons parlé ici ? Quel problème est-elle censée résoudre ? Quels problèmes de l’homme et quels aspects de l’essence du tempérament de l’homme concerne-t-elle ? Les gens peuvent maintenant comprendre la définition de la poursuite de la vérité, mais lorsqu’il s’agit de savoir pourquoi leurs actions antérieures n’ont pas été reconnues et pourquoi elles ont été définies comme n’étant pas la poursuite de la vérité, ces choses restent floues, incompréhensibles et obscures pour eux. Certains diront : « Nous avons tant abandonné depuis que nous avons accepté le nom de Dieu : nous avons abandonné nos familles et notre travail, et nous avons abandonné nos perspectives. Certains d’entre nous ont démissionné de bons emplois. Certains d’entre nous ont abandonné des familles heureuses. Certains d’entre nous faisaient de magnifiques carrières bien rémunérées avec des perspectives illimitées et ont tout laissé tomber. Ce sont des choses auxquelles nous avons renoncé. Depuis que nous croyons en Dieu, nous avons appris à être humbles, patients et tolérants. Nous ne nous disputons pas avec les autres lorsque nous interagissons avec eux, nous faisons de notre mieux pour gérer toutes les questions qui surviennent dans l’Église et nous faisons tout notre possible pour aider avec amour nos frères et sœurs chaque fois qu’ils ont des difficultés. Nous évitons de faire du mal aux autres et nous évitons autant que possible de nuire aux intérêts des autres. Ces approches n’ont-elles vraiment rien à voir avec la poursuite de la vérité ? » Maintenant, réfléchissez : à quoi sont liés les renoncements, les dépenses, les efforts, la tolérance, la patience et même la souffrance des hommes ? Comment ces choses sont-elles réalisées ? Sur quoi sont-elles basées ? Quelle force de motivation pousse les gens à faire ces choses ? Réfléchissez-y. Ces choses ne méritent-elles pas une profonde réflexion ? (Si.) Eh bien, puisqu’elles méritent une profonde réflexion, explorons-les et étudions-les aujourd’hui. Voyons si, oui ou non, ces choses que l’homme a toujours considérées comme bonnes, justes et nobles ont quelque chose à voir avec la poursuite de la vérité.

Nous commencerons par examiner les renoncements de l’homme, ses efforts et le prix que l’homme paie. Indépendamment du contexte ou de l’environnement de ces renoncements, de ces efforts et de ce prix, d’où vient la force de motivation initiale pour ces choses ? Dans Mon résumé, il y a deux sources. La première, c’est lorsque les gens, dans leurs idées et leurs notions, pensent : « Si vous croyez en Dieu, vous devriez renoncer, vous dépenser et payer un prix pour Lui. Dieu aime quand les gens font cela. Il n’aime pas que les gens s’adonnent au confort et poursuivent les choses mondaines, ou qu’ils restent indifférents et continuent à vivre leur propre vie après avoir prétendu accepter Son nom et devenir Ses disciples. Dieu n’aime pas quand les gens font cela. » En termes de volonté subjective des gens, cette pensée est une certitude. Quelle que soit la raison pour laquelle quelqu’un accepte Dieu et Sa nouvelle œuvre, sa volonté subjective accepte d’agir de cette manière, croyant qu’il ne plaît à Dieu que de voir les gens agir ainsi et qu’ils ne recevront le bonheur et la satisfaction de Dieu qu’en agissant de cette manière. Ils pensent que tant que les gens luttent assidûment, font des efforts et se donnent du mal sans rien demander en retour et tant qu’ils ne tiennent pas compte de leur propre bonheur ou malheur pour payer un prix et continuent à se donner du mal, à payer un prix, à se dépenser et à s’offrir à Dieu, alors Dieu sera certainement heureux. Et donc, une fois que quelqu’un croit cela, il incline la tête sans arrière-pensée et indépendamment de tout le reste, il renonce à tout ce à quoi il peut renoncer, offre tout ce qu’il peut offrir et endure toutes les souffrances qu’il peut endurer. Les gens adoptent ces approches, mais l’un d’entre eux a-t-il levé la tête pour demander à Dieu : « Ô Dieu, les choses que je fais sont-elles ce dont Tu as besoin ? Ô Dieu, reconnais-Tu mes dépenses, mes efforts, mes souffrances et le prix que j’ai payé ? » Les gens ne demandent jamais cela à Dieu, et sans savoir quelle est la réaction de Dieu ou Son attitude, ils continuent avec optimisme à faire des efforts, à s’offrir et à se dépenser, croyant que Dieu ne sera heureux et satisfait que s’ils souffrent de cette façon. Certaines personnes vont jusqu’à renoncer à manger des boulettes, craignant que Dieu ne soit mécontent s’ils en mangent. Au lieu de cela, ils mangent du pain de maïs cuit à la vapeur, croyant que manger des boulettes, c’est se livrer au confort. Ils ne se sentent à l’aise que lorsqu’ils mangent du pain de maïs cuit à la vapeur, des pains plats rassis et des légumes marinés, et lorsqu’ils se sentent à l’aise, ils pensent que Dieu doit sûrement être satisfait. Ils confondent leurs propres sentiments, leur propre joie, leur propre chagrin, leur propre colère et leur propre bonheur avec les sentiments de Dieu, avec Sa joie, Son chagrin, Sa colère et Son bonheur. N’est-ce pas absurde ? Beaucoup de gens traitent comme la vérité les choses que l’homme considère comme correctes et ils les imposent à Dieu, les décrivant comme les exigences de Dieu envers l’homme, parce que c’est ce que tout le monde croit. Et tant que les gens ont une telle croyance, il est très probable et naturel qu’ils caractérisent inconsciemment ces déclarations, ces comportements et ces approches comme la vérité. Et comme les gens auront déterminé que ces choses sont la vérité, ils penseront qu’elles doivent être les principes de pratique auxquels l’homme est tenu de se conformer et que si quelqu’un les pratique et s’y conforme de cette manière, il pratique les paroles de Dieu, poursuit la vérité et, bien sûr, accomplit Sa volonté. Et puisque les gens « accomplissent la volonté de Dieu », leurs souffrances n’en valent-elles pas la peine ? Ne paient-ils pas ce prix correctement ? N’est-ce pas quelque chose dont Dieu est satisfait et dont Il Se souvient ? Les gens penseraient que c’est certainement le cas. C’est la distance et la distinction entre ce que l’homme croit être la « vérité » et les paroles de Dieu. Les gens catégorisent uniformément comme la vérité tout ce qui, dans leurs notions et leur imagination, s’accorde avec le caractère moral humain et est bon, noble et correct, puis ils agissent et s’efforcent de pratiquer dans cette direction, tout en se faisant des exigences strictes. Ils croient qu’ils poursuivent ainsi la vérité, qu’ils ne sont rien de moins que des personnes qui poursuivent la vérité et que, bien sûr, ils sont aussi absolument des gens qui peuvent être sauvés. Le fait est que les paroles de Dieu et la vérité n’ont rien à voir avec ces choses que les gens, selon leurs notions, considèrent comme bonnes, justes et positives. Pourtant, même si les gens lisent et tiennent les paroles de Dieu entre leurs mains, ils prennent pour la vérité, pour des choses positives, tout ce qui – selon leurs notions – est bon, juste, beau, gentil, positif et préconisé par l’homme, et ils poursuivent toutes ces choses inlassablement, exigeant non seulement d’eux-mêmes qu’ils les poursuivent et les réalisent, mais exigeant aussi que les autres les poursuivent et les réalisent. Les gens confondent inlassablement avec la vérité les choses que l’homme considère comme bonnes, puis ils poursuivent selon les normes et la direction exigées par ces choses et croient ainsi qu’ils poursuivent déjà la vérité et vivent déjà la vérité-réalité. C’est là un aspect de la compréhension erronée que les gens ont de la poursuite de la vérité. Cette compréhension erronée fait que les gens considèrent comme leurs normes ce qu’ils croient – selon leurs notions – être bon, juste et positif, supplantant les exigences de Dieu envers l’homme, ainsi que les exigences et les normes de Ses paroles. Les gens confondent avec la vérité ces choses qu’ils croient être justes et bonnes selon leurs notions, et pas seulement cela : ils respectent ces choses et les poursuivent aussi. N’est-ce pas un problème ? (Si.) C’est un problème avec les pensées et les opinions de l’homme. Qu’est-ce qui motive les gens lorsqu’ils font ces choses ? Quelle est la cause profonde qui les amène à avoir ces idées et ces compréhensions erronées ? La cause profonde est que les gens croient que Dieu aime ces choses, alors ils les Lui imposent. Par exemple, la culture traditionnelle dit aux gens d’être assidus et économes ; l’assiduité et l’économie sont des mérites humains. « Il faut endurer de grandes souffrances pour arriver au sommet », voilà un autre mérite de ce type, tout comme « faites ce que votre maître ordonne, ou vous ne gagnerez rien, même de vos efforts les plus acharnés », et d’autres idées similaires. Dans chaque race et dans chaque groupe, les gens croient que tout ce qu’ils considèrent comme bon, juste, positif, actif et optimiste est la vérité et ils traitent ces choses comme la vérité, supplantant toutes les vérités que Dieu a exprimées. Ils confondent les choses auxquelles l’homme croit fermement, qui sont de Satan, avec la vérité et les normes des exigences de Dieu. Ils dirigent leur poursuite vers les idéaux, les directions et les objectifs qu’ils imaginent et croient être justes. C’est une grave erreur. Ces choses qui viennent des notions et de l’imagination de l’homme ne sont pas du tout conformes aux paroles de Dieu et elles sont entièrement contraires à la vérité.

Je donnerai quelques exemples de personnes confondant avec la vérité des choses que, dans leurs notions, elles tiennent pour bonnes et justes, afin que cette idée ne soit pas si abstraite et que vous puissiez la comprendre. Par exemple, certaines femmes arrêtent de se maquiller et de porter des bijoux une fois qu’elles croient en Dieu. Elles ont laissé de côté leur maquillage et leurs bijoux, pensant que les croyantes doivent se comporter correctement et ne peuvent pas se maquiller ni bien s’habiller. Certaines personnes possèdent des voitures, mais ne les utilisent pas, elles se déplacent plutôt à vélo. Elles pensent que conduire, c’est se livrer au confort. Certains ont les moyens de manger de la viande, mais ne le font pas, pensant que s’ils mangeaient toujours de la viande et que venait un temps où les circonstances ne leur permettraient plus d’en manger, ils deviendraient négatifs et faibles et trahiraient Dieu. Ainsi, ils apprennent à souffrir en s’en privant de manière préventive. D’autres pensent qu’en tant que croyants, ils doivent avoir l’air bien élevés, alors ils font le point sur leurs défauts et leurs mauvaises habitudes, travaillent dur pour changer leur ton de parole, retiennent leur tempérament et font de leur mieux pour être raffinés et ne pas être vulgaires. Ils pensent qu’à partir du moment où une personne croit en Dieu, elle doit se restreindre et se retenir, qu’elle doit être une bonne personne aux yeux des autres et bien se comporter. Ils pensent qu’en agissant ainsi, ils paient un prix, satisfont Dieu et pratiquent la vérité. Certaines personnes s’habillent bien et vont faire du shopping de temps en temps, mais se sentent coupables quand elles le font. Elles pensent que maintenant qu’elles croient en Dieu, elles ne peuvent plus se maquiller ni s’arranger et qu’elles ne peuvent plus porter de beaux vêtements. Elles croient que si elles se maquillent, s’arrangent et portent de beaux vêtements, Dieu détestera cela et aura cela en horreur. Elles croient que Dieu aime l’humanité primitive, que Dieu n’aime pas l’industrie, ni la science moderne, ni aucune tendance. Elles pensent qu’elles ne poursuivent la vérité que si elles abandonnent la poursuite de ces choses. N’est-ce pas une compréhension déformée ? (Si.) Ces personnes ont-elles lu attentivement les paroles de Dieu ? Ont-elles considéré Ses paroles pour la vérité ? (Non.) Et puisqu’elles n’ont pas considéré les paroles de Dieu comme la vérité, poursuivent-elles la vérité ? (Non.) C’est pourquoi ces approches et ces manifestations, ce sont simplement des gens qui confondent avec la vérité des choses qu’ils tiennent dans leurs notions comme étant justes et bonnes et qui utilisent ces choses pour supplanter la vérité. Ils pratiquent ces choses avec optimisme, après quoi ils pensent qu’ils poursuivent la vérité, et qu’ils sont des gens qui possèdent la vérité-réalité. Par exemple, il y a des gens qui n’ont pas regardé d’émission de télévision, ni les informations, ni même fait de shopping depuis qu’ils croient en Dieu. Ils ont dormi de nombreuses nuits dans des meules de foin et ont passé de nombreux jours à côté de chenils parce qu’ils ont répandu l’Évangile et accompli leurs devoirs. Ils ont eu beaucoup de maux d’estomac en mangeant des aliments froids, ils ont perdu beaucoup de kilos et ont beaucoup souffert du manque de sommeil et d’une alimentation maigre. Ils connaissent très bien toutes ces choses, ils les comptabilisent une à une. Pourquoi tiennent-ils des registres aussi clairs de ces choses ? La raison en est qu’ils croient que ces comportements et ces approches pratiquent la vérité et satisfont Dieu et que s’ils parviennent à avoir tous ces bons comportements, Dieu les approuvera. Et donc, les gens ne se plaignent pas et ils pratiquent ces choses sans hésitation. Ils ne se lassent pas d’y faire allusion dans leur cœur, de les reproduire et de les rappeler, et ils se sentent un cœur débordant. Et pourtant, lorsqu’ils rencontreront les épreuves de Dieu, lorsque l’environnement qu’Il arrangera ne sera pas comme ils le souhaitent, lorsque ce qu’Il exigera d’eux et Ses actions ne seront pas conformes à leurs notions, alors les choses que ces gens tiennent pour justes, ainsi que le prix qu’ils paient et leurs pratiques, ne serviront à rien. Ces choses ne les aideront pas, même de la moindre manière, à se soumettre à Dieu ni à Le connaître dans les environnements auxquels ils sont confrontés. Au contraire, elles deviendront des pierres d’achoppement et des obstacles à leur entrée dans la réalité des paroles de Dieu et à leur soumission à Dieu. La raison en est que les gens n’ont jamais appris que les choses qu’ils croient être justes ne sont fondamentalement pas la vérité et que ce qu’ils pratiquent n’est pas la poursuite de la vérité. Qu’est-ce que les gens ont alors à gagner de ces choses ? Simplement une sorte de bon comportement. Les gens n’en obtiendront pas la vérité et la vie. Et pourtant, ils croient à tort que ces bons comportements sont la vérité-réalité et ils se sentent encore plus résolus dans leur détermination que ces choses qu’ils tiennent pour justes dans leurs notions sont la vérité et sont des choses positives, et par conséquent, cette détermination prend racine dans leur cœur. Plus les gens adorent et croient aveuglément en ces choses qu’ils considèrent comme justes dans leurs notions, plus ils rejettent la vérité et plus ils s’éloignent des exigences de Dieu et de Ses paroles. Et en même temps, plus les gens paient un prix, plus ils pensent qu’ils gagnent du capital et plus ils croient qu’ils sont qualifiés pour être sauvés et recevoir la promesse de Dieu. N’est-ce pas un cercle vicieux ? (Si.) Quelle est la racine de ce problème ? Quel est le principal coupable ? (Les gens confondent leurs notions avec des choses positives et remplacent les paroles de Dieu par elles.) Les gens remplacent les paroles de Dieu par leurs propres notions, ils mettent les paroles de Dieu de côté et ils les ignorent essentiellement. En d’autres termes, ils ne considèrent pas du tout les paroles de Dieu comme la vérité. On peut dire sans risque de se tromper que les gens, une fois qu’ils croient en Dieu, peuvent lire les paroles de Dieu, mais que ce qu’ils poursuivent, choisissent et pratiquent est toujours basé sur les notions et l’imagination de l’homme, et qu’ils ne se sont pas engagés sur le chemin de la croyance en Dieu selon Ses paroles et Ses exigences. D’où vient exactement le problème des gens qui croient en Dieu sur la base de leurs propres notions et imaginations ? D’où viennent les notions et les imaginations de l’homme ? D’où proviennent-elles ? On peut dire qu’elles proviennent principalement de la culture traditionnelle et de l’héritage de l’homme, ainsi que du conditionnement et de l’influence du monde religieux. Les notions et les imaginations de l’homme sont directement liées à ces choses.

Quelles autres choses les gens, dans leurs pensées et leurs opinions, croient-ils bonnes, justes et positives ? Vous pouvez en nommer quelques-unes à titre d’exemples, allez-y. Les gens disent souvent : « Les bons ont une vie paisible » et « Les gens candides l’emportent toujours. » Ce sont là quelques exemples, non ? (Si.) Et il y a aussi : « Le bien est récompensé par le bien, le mal par le mal, si ce n’est aujourd’hui, cela ne va pas tarder », « Persister dans le mal entraîne l’autodestruction », « Dieu commence par rendre fou celui qu’Il veut détruire », « Il faut endurer de grandes souffrances pour arriver au sommet », « Les autres poursuites sont petites, les livres les surpassent toutes », et ainsi de suite. Toutes ces sottises sont écœurantes. Je suis saisi de fureur quand J’entends de telles paroles, et pourtant les gens les disent si facilement. Pourquoi peuvent-ils dire ces paroles si facilement ? Pourquoi est-ce que Je n’arrive pas à les dire ? Je n’aime pas ces paroles, ces dictons. Le fait que vous les ayez à portée de main, qu’ils sortent directement de votre bouche et la façon dont vous les récitez si couramment prouvent que vous adorez et vénérez particulièrement ces choses. Vous vénérez ces choses vides, illusoires, irréelles, et en même temps, vous les prenez comme devises et comme principes, critères et base de vos actions. Et puis, vous pensez même que Dieu croit aussi ces choses et que Ses paroles sont simplement une approche différente de ces mêmes idées, et que ces choses sont le sens général de Ses paroles : un appel à la bonté. Cette idée est-elle correcte ? Ces choses sont-elles le sens des paroles de Dieu et les vérités qu’Il exprime ? Pas du tout : ce que Dieu veut dire n’a rien à voir avec ces choses. Par conséquent, l’attitude des gens envers la vérité doit être inversée et la façon dont ils reconnaissent la vérité doit être corrigée, ce qui signifie que la norme par laquelle ils positionnent la vérité doit être corrigée et inversée. Sinon, il leur sera difficile d’accepter la vérité et ils n’auront aucun moyen de s’engager sur le chemin de sa poursuite. Quelle est la vérité ? D’une manière générale, toutes les paroles de Dieu sont la vérité. Plus précisément, alors, qu’est-ce que la vérité ? Je vous l’ai déjà dit. Qu’ai-Je dit ? (« La vérité est le critère du comportement, des actes et de l’adoration de Dieu par l’homme » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 8 (Partie III)).) C’est vrai. La vérité est le critère du comportement, des actes et de l’adoration de Dieu par l’homme. Alors, la vérité a-t-elle quelque chose à voir avec les choses que les gens, dans leurs notions, croient être justes et bonnes ? (Non.) D’où proviennent ces choses humaines ? (De la philosophie de vie de Satan et de certaines pensées inculquées à l’homme par la culture traditionnelle.) C’est vrai. Pour être exact, ces choses proviennent de Satan. Et qui sont les personnes éminentes et célèbres qui ont inculqué ces choses à l’homme ? Ne sont-ils pas Satan ? (Si.) Tous vos patriarches sont Satan : ils sont Satan, vivant et respirant. Il suffit de regarder ces dictons que les Chinois épousent : « Quelle joie, quand un ami vient de loin », « Une fois arrivé, autant rester », « Ne voyagez pas loin tant que vos parents vivent encore », « La piété filiale est une vertu à pratiquer avant tout », « Des trois impiétés filiales, ne pas avoir d’héritier est la pire », « Les morts sont grands aux yeux des vivants », « Quand une personne approche de la mort, ses paroles sont vraies et gentilles. » Analysez attentivement ces paroles : en est-il qui soient la vérité ? (Non.) Ce sont toutes des absurdités et des idées fausses. Dites-Moi, à quel point les gens doivent-ils être stupides pour confondre ces idées fausses et ces absurdités avec la vérité après avoir accepté l’œuvre de Dieu ? Ces personnes ont-elles la capacité de comprendre la vérité ? (Non.) De telles personnes sont des types absurdes et elles sont totalement incapables de comprendre la vérité. Et vous, après avoir lu tant de paroles de Dieu, ne possédez-vous pas une certaine connaissance de la vérité ? (Si.) D’où vient la vérité ? (Elle vient de Dieu.) La vérité vient de Dieu. Ne croyez aucune parole qui n’est pas prononcée par Dieu. Ces philosophies de vie sataniques et ces idées issues de la culture traditionnelle ne sont pas la vérité, et il ne faut pas voir les gens et les choses, ni se comporter et agir selon elles, ni avec de telles choses comme critère, parce que tout cela ne vient pas de Dieu. Tant que quelque chose vient de l’homme, que cela provienne de la culture traditionnelle ou d’une personne célèbre, ou que ce soit le produit du savoir ou de la société, ou que cela vienne d’une quelconque dynastie ou race de personnes, ce n’est pas la vérité. Pourtant, ce sont précisément les choses que les gens prennent pour la vérité, qu’ils recherchent et pratiquent à la place de la vérité. Et pendant tout ce temps, ils pensent qu’ils pratiquent la vérité et qu’ils sont sur le point de satisfaire la volonté de Dieu alors qu’en fait, c’est exactement le contraire : lorsque tu poursuis et pratiques sur la base de ces choses, tu t’éloignes sans cesse davantage des exigences de Dieu et de la vérité.

Il est intrinsèquement absurde pour les gens de confondre avec la vérité des choses que l’homme considère comme bonnes et positives et de les poursuivre comme si elles étaient la vérité. Comment se fait-il que des gens qui ont accepté l’œuvre de Dieu et lu nombre de Ses paroles puissent encore persister à confondre avec la vérité ces choses que l’homme considère comme bonnes, et à les poursuivre comme si elles étaient la vérité ? Quel est donc le problème ? Cela suffit à montrer que les gens ne comprennent pas ce qu’est la vérité et qu’ils n’ont aucune connaissance réelle de la vérité. C’est un facteur dans la question que Je viens de poser : « Étant donné que ces choses ne sont pas la vérité, comment les gens peuvent-ils continuer à les pratiquer et penser qu’ils pratiquent la vérité ? » Je vais parler d’un autre facteur, d’un facteur qui touche au tempérament corrompu de l’homme. Les gens croient que les choses qu’ils tiennent pour bonnes, justes et positives dans leurs notions sont la vérité et sur cette base, ils manigancent, croyant que lorsqu’ils auront satisfait Dieu et que Dieu sera heureux, Il leur accordera les bénédictions qu’Il a promises à l’homme. Cette manigance n’est-elle pas une tentative de conclure un marché avec Dieu ? (Si.) D’un côté, les gens maintiennent et poursuivent ces choses tout en nourrissant une compréhension incorrecte et absurde, et en même temps, ils essaient de conclure un accord avec Dieu avec leurs propres désirs et ambitions. N’est-ce pas là un autre facteur ? (Si.) Nous avons souvent échangé à propos de ce facteur dans le passé, nous n’en parlerons donc pas en détail maintenant. Donc, Je vous demande : lorsque quelqu’un qui croit en Dieu renonce, souffre, se dépense et paie un prix pour Dieu, n’a-t-il pas, ce faisant, une intention et un but ? (Si.) Y a-t-il quelqu’un qui dise : « Je ne désire rien et ne demande rien. Je vais renoncer, me dépenser et payer un prix, quelles que soient les circonstances. C’est tout ce qu’il y a à faire. Je n’ai pas de désirs et d’ambitions personnels. Quelle que soit la façon dont Dieu me traite, c’est bien. Il peut me récompenser, Il peut ne pas le faire. En tout cas, j’ai agi conformément à Ses exigences, je me suis offert, j’ai renoncé à tout, j’ai payé un prix et j’ai souffert » ? Existe-t-il de telles personnes ? (Non.) Une telle personne n’est pas encore née. Certains diront peut-être : « Une telle personne ne pourrait vivre que dans une bulle. » Même si une personne vivait dans sa bulle, elle ne serait pas comme cela : elle aurait toujours un tempérament corrompu, des ambitions et des désirs, et elle essaierait toujours de conclure un marché avec Dieu. Donc, le deuxième facteur dans cette question est qu’une fois que les gens traitent des choses que, dans leurs notions, ils croient être justes comme la vérité, ils se mettent à manigancer. Et en quoi consiste cette manigance ? À pratiquer ces choses afin de les échanger contre les bénédictions que Dieu a promises à l’homme, et contre une belle destination. Ils croient que tant que quelque chose est considéré par l’homme comme positif, cela doit être juste, alors ils font et poursuivent ce qu’ils croient être juste et ils pensent qu’en pratiquant de cette manière, ils seront nécessairement bénis par Dieu. C’est la manigance de l’homme. Ce deuxième facteur concerne uniquement les personnes qui essayent de satisfaire leurs propres ambitions et leurs propres désirs et de conclure un accord avec Dieu. Si tu ne le crois pas, essaye d’interdire aux gens de conclure des marchés et de les dépouiller de leurs désirs et de leurs ambitions : fais-leur abandonner leurs désirs et leurs ambitions. Ils perdront immédiatement l’énergie nécessaire pour souffrir et payer un prix. Pourquoi perdront-ils l’énergie nécessaire pour faire ces choses ? Parce qu’ils auront le sentiment qu’ils ont perdu leurs perspectives et leur destin, qu’il n’y a plus d’espoir d’être bénis et qu’ils n’ont rien à gagner. Ce qu’ils pratiquent n’est pas la vérité et ce qu’ils poursuivent n’est pas la vérité, mais des choses qu’ils imaginent positives, et pourtant, lorsque leurs désirs et leurs ambitions sont anéantis, ils ne sont même plus disposés à payer ces choses. Dis-Moi, qu’est-ce que les gens ont ? Ont-ils une vraie foi ? (Non.) Pour aller plus loin, les gens sont-ils loyaux ? Certains peuvent dire : « Quoi que Dieu dise maintenant, nous Le suivons. Quoi qu’Il dise, nous ne devenons pas négatifs ni découragés et nous ne reculons pas, et nous abandonnons encore moins. Même si Dieu ne veut pas de nous et qu’Il dit que nous sommes des exécutants et des tâcherons, que nous ne sommes pas des gens qui poursuivent la vérité et que nous n’avons aucun espoir d’être sauvés, nous Le suivrons toujours sans hésitation et persisterons dans l’accomplissement de nos devoirs. N’est-ce pas de la loyauté ? N’est-ce pas avoir la foi ? Est-ce qu’être loyal et avoir la foi n’est pas la même chose que poursuivre la vérité ? Cela ne signifie-t-il pas que nous poursuivons la vérité, dans une certaine mesure ? » Dis-Moi, est-ce là la poursuite de la vérité ? (Non.) Qu’est-ce que cela signifie, de dire que ce n’est pas la poursuite de la vérité ? Cela signifie que toutes les « bouées de sauvetage » de l’homme ont été scellées, qu’il n’a même pas le moindre brin de paille auquel s’accrocher. Que faire alors ? Y a-t-il quelque chose qui puisse être fait ? Indépendamment du fait qu’ils puissent faire quelque chose à ce sujet ou non, comment les gens se sentent-ils quand ils entendent cela ? Ils se sentent extrêmement déçus : « Cela signifie-t-il vraiment que je n’ai aucun espoir d’être béni ? Mais que se passe-t-il donc ? » Les gens perdent complètement leurs repères dans ces circonstances. Maintenant que Mes paroles vous ont dépouillés de toutes vos « bouées de sauvetage », Je vais voir ce que vous comptez faire. Certains disent : « Ce n’est pas bien de travailler, ou d’essayer de conclure des marchés, ou d’avoir des compréhensions faussées, ou de souffrir et de payer un prix. Alors quelle est donc la bonne chose à faire ? Quoi que Dieu dise, nous ne Le quitterons pas. Nous continuerons à accomplir nos devoirs. Cela ne revient-il pas à pratiquer la vérité ? » Cette question doit être comprise clairement. Parce que les gens ne comprennent pas la vérité et ont toujours une compréhension déformée de ce que signifie pratiquer la vérité, ils croient que renoncer, se dépenser, souffrir et payer un prix, c’est pratiquer la vérité et se soumettre à Dieu. C’est une grave erreur. Pratiquer la vérité, c’est pratiquer les paroles de Dieu, mais les gens doivent les pratiquer avec des principes : ils ne doivent absolument pas le faire en se basant sur les notions et les imaginations de l’homme. Ce que Dieu veut, c’est un cœur sincère, un cœur qui L’aime, un cœur qui Le satisfasse. Seule la pratique des paroles de Dieu de cette manière est la pratique de la vérité. Si quelqu’un souhaite sans cesse conclure un accord avec Dieu lorsqu’il se dépense pour Lui et satisfaire ses propres ambitions et ses propres désirs, il ne pratique pas la vérité, il joue avec elle et la piétine, et c’est un hypocrite. Donc, si quelqu’un est capable d’accepter les paroles de jugement de Dieu, ne quitte pas Dieu et persiste à accomplir son devoir, bien que ses intentions et ses désirs de gagner des bénédictions soient anéantis et qu’il n’ait rien à en attendre, ni rien pour le motiver, est-ce que cela ne revient pas à poursuivre et à pratiquer la vérité ? Selon Moi, si nous mesurons cela à l’aune de la définition de ce en quoi consiste la poursuite de la vérité, alors ce n’est toujours pas poursuivre la vérité et c’est totalement en deçà de la norme de la poursuite de la vérité. Maintenant que nous avons une définition précise de la poursuite de la vérité, nous devons nous y tenir strictement lors de l’évaluation des actions des gens, de leur conduite et de leurs manifestations. Quelle évaluation peut être faite sur la base de la capacité de quelqu’un à rester avec Dieu et à persister dans l’accomplissement de son devoir, même s’il n’a aucune bénédiction à espérer ? Que les gens, en tant qu’êtres créés, naissent avec deux choses louables dans leur humanité et que si tu peux les utiliser, cela garantira que tu suis Dieu, au degré le plus minimal. Savez-vous ce que sont ces deux choses ? (La conscience et la raison.) Exact. Il y a deux choses qui ont le plus de valeur dans l’humanité de l’homme. Quand les gens ne comprennent pas la vérité, qu’ils ont un très faible calibre, qu’ils sont dépourvus de toute connaissance ou entrée concernant les exigences de Dieu et la vérité et qu’ils peuvent encore tenir bon dans leur position, quelle est la condition préalable de base qui leur permet d’y parvenir ? Ils doivent avoir la conscience et la raison d’une humanité normale. La réponse est donc claire. Puisque les gens ne poursuivent pas la vérité et n’ont aucun désir ni aucune ambition d’être bénis, puisqu’ils ont été dépouillés de leur désir d’être bénis, s’ils peuvent encore suivre Dieu et s’acquitter de leurs devoirs, sur quelle base le font-ils ? Qu’est-ce qui les motive ? Il n’y a aucune base et aucune motivation pour leurs actions : tant que les gens possèdent la conscience et la raison d’une humanité normale, ils peuvent faire ces choses. Voici comment les choses se présentent maintenant : tu ne comprends pas la vérité, c’est un fait, et ta compréhension des doctrines est inutile, elle ne signifie pas que tu es entré dans la vérité-réalité. Tu sais que tenter de conclure un accord avec Dieu afin de poursuivre des perspectives et un destin pour toi-même est une erreur, mais ce qui serait vraiment remarquable, ce serait que tu sois toujours heureux de suivre Dieu et d’accomplir ton devoir quand ta poursuite des perspectives et d’un destin et ton désir d’être béni ont été condamnés et que tu en as été dépouillé. Si tu pouvais suivre Dieu sans avoir gagné la vérité, de quoi cela dépendrait-il ? Cela dépendrait de ta conscience et de ta raison. La conscience et la raison d’une personne peuvent soutenir son existence, sa vie et son traitement normaux des personnes et des choses. Alors, quel est l’écart entre l’accomplissement de ton devoir basé sur ta conscience et ta raison et la pratique de la vérité ? La manifestation d’une personne qui poursuit la vérité est qu’elle voit les gens et les choses, et se comporte et agit, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère, alors que ceux qui agissent simplement en fonction de leur conscience et de leur raison peuvent ne pas poursuivre la vérité, mais ils peuvent tout de même travailler, accomplir leurs devoirs et rester dans la maison de Dieu, sans aucune mauvaise note sur leur dossier. De quoi cela dépend-il ? Ils voient les gens et les choses, et ils se comportent et agissent selon les critères de leur conscience et de leur raison, plutôt que de le faire selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Donc, avec cela à l’esprit, si tu accomplis simplement ton devoir en te basant sur ta conscience et ta raison, n’y a-t-il pas un écart entre cela et la poursuite de la vérité ? (Il y en a un.) Accomplir un devoir fondé sur sa conscience et sa raison, c’est se contenter de travailler. C’est prendre comme normes des choses telles que bien travailler, ne pas causer de perturbations ni de dérangements, obéir et se soumettre, avoir de bons comportements et de bonnes relations avec les autres, et n’avoir aucune mauvaise note sur son dossier. Cela s’élève-t-il au niveau de la poursuite de la vérité ? Non. Quel que soit le nombre de bons comportements qu’une personne possède, si elle n’a aucune connaissance de ses tempéraments corrompus ni de sa rébellion, de ses notions, de ses idées fausses sur Dieu et de ses divers états négatifs et s’il lui est impossible de résoudre ces choses, qu’il lui est impossible de comprendre les principes de la pratique de la vérité, que pas une de ses manifestations de tempéraments corrompus n’a été résolue, qu’elle est sans cesse arrogante et suffisante, arbitraire et irréfléchie, tortueuse et malhonnête et qu’il y a des moments où elle devient même négative et faible et doute de Dieu, et ainsi de suite, si ces choses existent toujours en elle, peut-elle parvenir à une véritable soumission à Dieu ? S’il y a encore ces tempéraments corrompus en elle, pourra-t-elle vraiment expérimenter l’œuvre de Dieu ? Si une personne possède simplement de bons comportements, est-ce une manifestation de la poursuite de la vérité ? (Non.) Quelles sont les meilleures choses chez l’homme ? Simplement la conscience et la raison de l’homme : ce sont les deux seules choses positives, et c’est ce qu’il y a de louable chez l’homme. Cependant, aucune n’est liée à la vérité : ce ne sont rien de plus que les conditions préalables les plus élémentaires à la poursuite de la vérité par l’homme, ce qui signifie que si tu possèdes la conscience et la raison normales de l’humanité et que tu es capable de comprendre la vérité, tu pourras faire les bons choix quand il t’arrivera des choses. Voici la conscience et la raison que l’homme possède : Dieu est le Seigneur de la création, et tu es un être créé ; Dieu t’a choisi, il n’est donc que juste que tu te consacres à Dieu et que tu te dépenses pour Lui, et il n’est que juste que tu écoutes Ses paroles. Ce qui n’est « que juste » ici est déterminé par ta conscience et ta raison, mais as-tu écouté les paroles de Dieu ? Quels sont les principes et les méthodes qui sous-tendent tes actions ? Tu as un tempérament corrompu : l’as-tu abandonné ? L’as-tu résolu ? De telles choses n’ont rien à voir avec ce qui n’est « que juste ». Si tu ne vas pas plus loin que ce fondement de ce qu’il n’est que juste de faire et de la manière dont il n’est que juste d’agir, et que tu vis au milieu des paramètres de ce qui n’est « que juste », n’est-ce pas un effet de ta conscience et de ta raison ? (Si.) Ta conscience te dit : « Dieu m’a sauvé, donc je dois me dépenser pour Lui. Dieu m’a sauvé la vie et m’en a donné une seconde, il n’est donc que juste que je Lui rende Son amour. Dieu est le Seigneur de la création et je suis un être créé, je dois donc me soumettre à Ses arrangements. » N’est-ce pas un effet de ta conscience et de ta raison ? (Si.) Les divers comportements et modes de pratique et les diverses attitudes et opinions qui surgissent chez les gens sous l’effet de leur conscience et de leur raison ne vont pas plus loin que les paramètres de ce dont leur conscience et leur raison sont naturellement capables, et ils ne parviennent pas à pratiquer la vérité. N’est-ce pas ? (En effet.) Certaines personnes peuvent dire, par exemple : « La maison de Dieu m’a exalté en me permettant d’accomplir un devoir et la maison de Dieu me nourrit, m’habille et s’occupe de me loger. La maison de Dieu prend soin de tous les aspects de ma vie. J’ai beaucoup joui de la grâce de Dieu, donc je dois Lui rendre Son amour. Je ne dois pas tromper Dieu en étant superficiel dans mon devoir, encore moins devrais-je faire quoi que ce soit de perturbateur ou de dérangeant. Je suis prêt à me soumettre à tout ce que la maison de Dieu arrange pour moi. Quoi que la maison de Dieu me demande de faire, je ne me plaindrai pas. » Ce genre de déclaration convient. N’est-il pas facile, pour quelqu’un doué de conscience et de raison, de faire cela ? (Si.) Cela peut-il élever au niveau de la pratique de la vérité ? (Non.) Ce n’est pas la pratique de la vérité. Par conséquent, quelqu’un aura beau être noble de par sa conscience et avoir une raison normale ou être capable de tout faire sous la gouvernance de sa conscience et de sa raison, ses actions auront beau être appropriées et décentes ou être admirées, ce ne seront rien d’autre que de bons comportements humains. On ne peut classer cela que dans le domaine des bons comportements humains : c’est fondamentalement loin d’être la pratique de la vérité. Si tu bases tes interactions avec les autres sur ta raison, tu seras un peu plus doux dans tes paroles et tu n’attaqueras pas les autres, tu ne te mettras pas en colère, tu ne réprimeras pas les autres, tu ne les contrôleras pas, tu ne les harcèleras pas, tu n’essayeras pas d’avoir une emprise sur eux, etc. : ce sont autant de choses qui peuvent être obtenues par la raison de l’humanité normale, mais sont-elles liées à la pratique de la vérité ? Non. Ce sont des choses qui peuvent être obtenues par la raison de l’homme, et il existe une certaine distance entre ces choses et la vérité.

Pourquoi dis-Je qu’agir selon sa conscience et sa raison est sans rapport avec la pratique de la vérité ? Je vais donner un exemple. Supposons qu’une personne ait été gentille avec toi, que tu sois en bons termes avec elle et qu’elle accepte l’œuvre de Dieu des derniers jours, puis te prêche l’Évangile, ce qui revient à dire que Dieu l’utilise pour te transmettre l’Évangile. Une fois que tu as accepté la nouvelle œuvre de Dieu, tu es encore plus reconnaissant envers elle et tu souhaites toujours lui rendre la pareille. Tu lui laisses alors un peu de latitude dans tout ce que tu fais, et dans tout ce que tu lui dis, tu restes toujours particulièrement poli. Tu es particulièrement respectueux, déférent et tolérant envers elle et, quelles que soient les mauvaises choses qu’elle fait, quel que soit son caractère, tu te montres patient et accommodant vis-à-vis d’elle, à tel point que chaque fois qu’elle sollicite ton aide lorsqu’elle est confrontée à une difficulté, tu l’aides de façon inconditionnelle. Pourquoi ferais-tu cela ? Qu’est-ce qui affecte tes actions ? (Ma conscience.) Cela se produit comme un effet de ta conscience. Cet effet de ta conscience ne peut être qualifié de positif ou de négatif : tout ce qu’on peut dire, c’est que tu as une conscience et un peu d’humanité et que lorsque quelqu’un est bienveillant à ton égard, tu lui en es reconnaissant et tu le lui rends. De ce point de vue, tu es quelqu’un de bien. Mais si nous devions mesurer cela en utilisant la vérité, nous pourrions arriver à une conclusion différente. Supposons qu’un jour, cette personne fasse le mal et soit exclue par l’Église et que, l’évaluant toujours en utilisant ta conscience, tu te dises : « C’est elle qui m’a prêché l’Évangile. Je n’oublierai pas sa bonté, aussi longtemps que je vivrai. Sans elle, je ne serais pas là où je suis maintenant. Même si elle a fait le mal aujourd’hui, je ne peux pas la dénoncer. Même si j’ai vu que ce qu’elle a fait était mal, je ne peux pas le dire, car elle m’a beaucoup aidé. Je ne pourrai peut-être pas le lui revaloir, mais je ne peux pas l’attaquer. Si quelqu’un d’autre veut la signaler, il peut y aller, mais moi je ne le ferai pas. Je ne peux pas remuer le couteau dans la plaie : si je le faisais, quel genre de personne cela ferait-il de moi ? Cela ne ferait-il pas de moi une personne sans conscience ? Une personne sans conscience n’est-elle pas simplement une bête ? » Qu’en penses-tu ? Quelle incidence exerce la conscience dans de telles circonstances ? Cette incidence de la conscience n’est-elle pas contraire à la vérité ? (Si.) Cela nous montre que parfois, les effets de la conscience de quelqu’un sont contraints et influencés par ses émotions et qu’en conséquence, ses décisions entrent en conflit avec les vérités-principes. De ce fait, il est une réalité que nous pouvons voir clairement : l’incidence de la conscience est inférieure à la norme de la vérité, et parfois les gens vont à l’encontre de la vérité en agissant sur la base de leur conscience. Si tu crois en Dieu mais ne vis pas selon la vérité et agis plutôt sur la base de ta conscience, ne peux-tu pas faire le mal et résister à Dieu ? Tu pourras vraiment commettre des méfaits : on ne peut absolument pas dire que ce n’est jamais un tort que d’agir selon sa conscience. Cela montre que si l’on désire satisfaire Dieu et se conformer à Sa volonté, agir uniquement en se basant sur sa conscience est largement insuffisant. On doit agir en se basant sur la vérité pour remplir les exigences de Dieu. Lorsque tu considères ta conscience comme la vérité et comme supérieure à tout le reste, où as-tu placé la vérité, alors ? Tu l’as remplacée par ta conscience : n’est-ce pas résister à la vérité ? N’est-ce pas s’opposer à la vérité ? Si tu vis selon ta conscience, tu peux aller à l’encontre de la vérité ; or aller à l’encontre de la vérité, c’est résister à Dieu. Il y a beaucoup de gens qui prennent leur conscience comme norme pour leur discours et leurs actions à partir du moment où ils croient en Dieu, et se comportent également en fonction de leur conscience. Agir en fonction de sa conscience, est-ce ou non pratiquer la vérité ? La conscience peut-elle se substituer à la vérité ? Agir selon sa conscience, en quoi exactement est-ce différent d’agir selon la vérité ? Certaines personnes persistent sans cesse à agir en fonction de leur conscience et pensent être des personnes qui poursuivent la vérité. Cette idée est-elle correcte ? (Non.) Les sentiments de la conscience d’une personne peuvent-ils remplacer la vérité ? (Non.) Quelle erreur commettent ces gens ? (Ils vont à l’encontre de la vérité, ce qui revient à résister à Dieu.) C’est vrai. Ils assimilent les sentiments de leur conscience à la vérité, ce qui les rend susceptibles d’aller à l’encontre de la vérité. Ce genre de personne, sans cesse, considère les gens et les choses, se comporte et agit en fonction de la norme de sa conscience, avec sa conscience comme critère. Elle est entraînée et contrôlée par sa conscience et en même temps, sa raison est également contrôlée par elle. Si quelqu’un est contrôlé par sa conscience, peut-il tout de même chercher la vérité et pratiquer selon elle ? Il ne le peut pas. La conscience peut-elle alors se substituer à la vérité ? Non. Certains pourront demander : « Puisque nous ne pouvons pas utiliser notre conscience pour juger de la façon dont nous traitons les autres et que nous ne pouvons pas considérer notre conscience comme la vérité, est-il correct d’utiliser les normes de notre conscience pour mesurer la façon dont nous traitons Dieu ? » Cette question mérite réflexion. Dans tous les cas, la conscience d’une personne ne peut pas se substituer à la vérité. Si tu ne possèdes pas la vérité et que tu approches Dieu en te basant sur ta conscience, cela serait considéré comme acceptable selon les normes humaines, mais tu ne seras pas en mesure d’atteindre l’amour pour Dieu ni la soumission à Dieu en te fiant à cette norme : tout au plus pourras-tu éviter d’aller à l’encontre de la vérité et de résister à Dieu, ce qui est assez bon en soi. Certains pourront dire : « Vous n’avez pas besoin d’utiliser votre conscience avec d’autres personnes, et vous n’avez pas non plus besoin d’utiliser votre conscience avec Dieu. » Est-ce juste, ou non ? Du point de vue des doctrines et de la théorie, cela semble faux, n’est-ce pas ? Ensuite, utilise la vérité pour évaluer cela : cela te semble-t-il juste ? Dieu dit-Il aux gens de L’approcher en utilisant leur conscience ? Qu’est-ce que Dieu exige de l’homme ? Comment exige-t-Il que l’homme s’approche de Lui ? Tu as peut-être une conscience, mais es-tu sincère ? Si tu as une conscience, mais que tu n’es pas sincère, cela ne suffira pas. Ce que Dieu exige, c’est que l’homme s’approche de Lui avec sincérité. Il est écrit dans la Bible : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force » (Marc 12:30). Qu’est-ce que Dieu exige ? (Que les gens aiment Dieu de tout leur cœur, de tout leur esprit et de toute leur âme.) Qu’est-ce que Dieu attend des gens ? (Leur sincérité.) Correct. Dieu a-t-Il dit : « vous devez m’aimer avec votre conscience et votre raison, et vos instincts » ? Dieu a-t-Il dit cela ? (Non.) Pourquoi Dieu ne dit-Il pas cela ? (Parce que la conscience n’est pas la vérité.) Qu’est-ce que la conscience ? (La norme la plus basse de l’humanité.) C’est vrai, la conscience et la raison sont les normes les plus basses et les plus rudimentaires de l’humanité. Comment savoir si une personne est bonne et si elle a de l’humanité ? Comment peux-tu mesurer cela ? Avec quoi mesures-tu cela ? La norme la plus basse et la plus rudimentaire est de savoir si cette personne a une conscience et une raison. C’est la norme par laquelle tu peux évaluer si une personne possède l’humanité. Quelle est alors la norme pour évaluer si une personne poursuit la vérité ? Tu peux dire si une personne poursuit la vérité ou non selon qu’elle a une conscience et une raison : ces paroles sont-elles la vérité ? Sont-elles justes ? (Non.) Alors qu’est-ce que Dieu attend de l’homme ? (La sincérité.) Dieu veut la sincérité de l’homme. De quoi est faite cette sincérité ? Que faire pour faire preuve de sincérité ? Si quelqu’un dit simplement, lorsqu’il prie, qu’il offre sa sincérité à Dieu, mais qu’après, il ne se dépense pas sincèrement pour Dieu ou n’accomplit pas loyalement son devoir, est-ce de la sincérité ? Ce n’est pas de la sincérité, c’est de la tromperie. Alors, quel comportement est une manifestation de sincérité ? Quelle est la pratique spécifique ? Le sais-tu ? N’est-ce pas une attitude de soumission envers Dieu ? (Si.) Une personne n’est sincère que si elle a une attitude de soumission. N’est-ce pas bien supérieur à la conscience ? La conscience et la raison de l’homme ne sont même pas proches de la sincérité, il y a une distance entre elles. La conscience et la raison des personnes ne sont que les conditions les plus élémentaires pour maintenir leur existence, leur vie normale et leurs relations avec les autres. Si les gens devaient perdre leur conscience et leur raison, ils ne seraient pas capables d’exister, ni d’avoir une vie normale, ni des relations avec d’autres personnes, même au niveau le plus élémentaire. Regarde simplement ces gens qui n’ont ni conscience ni raison, ces gens pervers : est-ce que quelqu’un dans un groupe interagirait volontairement avec eux ? (Non.) Personne n’interagirait volontairement avec eux. Que ressentent les gens lorsqu’ils interagissent avec eux ? Du dégoût, de la répugnance : ils peuvent même se sentir effrayés, contraints et liés par eux. De telles personnes ne possèdent même pas la conscience et la raison d’une humanité normale, et personne n’interagirait volontairement avec elles. Dis-Moi, est-ce que Dieu sauverait ces gens ? (Non.) Si une personne malfaisante, lorsque quelqu’un l’offense, réagit en lui disant : « Si jamais les circonstances le permettent, je te tuerai, je te détruirai ! », alors, indépendamment du fait qu’elle soit ou non réellement capable de passer à l’acte, le fait qu’elle puisse dire de telles choses ne fait-il pas d’elle une personne malfaisante ? (Si.) Alors, quel genre de personne est-elle, celle dont les paroles suscitent la peur chez les autres ? Est-ce quelqu’un ayant conscience et raison ? (Non.) Et ceux qui n’ont ni conscience ni raison ont-ils de l’humanité ? (Non.) Qui oserait interagir avec ce genre de personne maléfique qui n’a pas d’humanité ? Ces gens pervers ont-ils des relations normales avec les autres ? (Non.) Quelle est la condition de leurs relations avec les autres ? Tout le monde les craint, tout le monde est limité et contraint par eux : ils souhaitent intimider chaque personne qu’ils rencontrent et punir tout le monde. Ces gens ont-ils une humanité normale ? Personne n’ose interagir avec ce genre de gens qui n’ont ni conscience ni raison. Ils ne peuvent même pas vivre une vie humaine normale, ils ne sont donc pas différents des démons et des bêtes. En groupe, ils s’en prennent toujours aux autres, punissant une personne, puis une autre. Au final, tout le monde garde ses distances avec eux, tout le monde les évite. Comme ils doivent être effrayants ! Ils sont même incapables de relations humaines normales et ils ne peuvent pas s’implanter au sein d’un groupe. Quel genre de chose sont-ils ? De telles personnes ne possèdent même pas d’humanité : peuvent-elles poursuivre la vérité ? (Non.) Quel genre de personne n’a pas d’humanité ? Les bêtes, les démons. Dieu accorde les vérités qu’Il exprime à l’humanité, pas aux bêtes et aux démons. Seuls ceux qui ont conscience et raison sont dignes d’être appelés humains. Redis-Moi : est-ce que la conscience et la raison sont suffisantes pour qu’une personne vive complètement une humanité normale ? On peut dire qu’il reste un écart, parce que les gens ont des tempéraments corrompus. Ils doivent poursuivre la vérité avant de pouvoir se débarrasser de leurs tempéraments corrompus et vivre une humanité normale. Certains diront peut-être : « J’ai une conscience et une raison. Tant que je m’assurerai de ne pas faire le mal, je posséderai la vérité-réalité. » Est-ce correct ? Si quelqu’un a une conscience et une raison, cela ne veut pas dire qu’il recherche déjà la vérité, et le fait qu’il vit selon sa conscience et sa raison non plus. Alors, qu’est-ce exactement que la conscience et la raison ? La conscience et la raison de l’homme ne sont que les marqueurs et les qualités les plus rudimentaires de l’humanité que les gens doivent posséder pour rechercher la vérité. Vivre selon ces deux choses ne signifie pas qu’une personne recherche la vérité, et cela prouve encore moins qu’elle possède la vérité-réalité. D’après l’exemple dont je viens de parler, on peut voir que lorsqu’on regarde les gens et les choses et qu’on se comporte et qu’on agit en fonction de sa conscience et de sa raison, on est susceptible d’enfreindre la vérité et les principes. On est loin de la norme selon laquelle ces choses seraient faites conformément aux paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Par conséquent, quel que soit ton niveau de conscience et aussi normale que soit ta raison, si tu ne peux pas voir les gens et les choses, te comporter et agir selon les paroles de Dieu avec la vérité comme critère, tu ne poursuis pas la vérité. De même, tu as beau souffrir et travailler dans le cadre des instincts de ta conscience et de ta raison, on ne peut pas dire que tu poursuives la vérité.

Nous venons d’analyser trois choses, qui étaient toutes les trois des préjugés et des malentendus que les gens ont à propos de la poursuite de la vérité. Dites-moi, quelles étaient ces trois choses ? (La première était que les gens confondent les choses qu’ils tiennent dans leurs notions comme étant bonnes, justes et positives pour la vérité, et les utilisent comme leurs normes, supplantant les exigences de Dieu envers l’homme et les exigences et les normes de Ses paroles, après quoi ils poursuivent et pratiquent ces choses. La seconde était que, sur la base de gens accrochés à des compréhensions fallacieuses, ils essaient de conclure des accords avec Dieu tout en nourrissant des désirs et des ambitions. Les gens croient qu’une fois qu’ils ont satisfait Dieu et que Dieu est content, Dieu leur accordera Sa promesse. La troisième était que les gens croient qu’en se comportant et en agissant en fonction de leur conscience et de leur raison, ils pratiquent déjà la vérité.) En mettant ces trois choses de côté, en quoi consiste exactement la poursuite de la vérité ? Revenons à notre définition de la poursuite de la vérité : « voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère ». Ces mots suffisent à faire comprendre aux gens en quoi consiste la poursuite de la vérité et comment la poursuivre. Nous avons déjà beaucoup parlé de ce en quoi consiste la poursuite de la vérité. Comment, alors, la poursuit-on ? Nous avons beaucoup échangé à ce sujet, à la fois maintenant et par le passé : que tu regardes les gens et les choses ou que tu te comportes et agisses, cela doit être conforme aux paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Voilà ce qu’est la poursuite de la vérité. Tout ce qui est sans lien avec ces paroles n’est pas la poursuite de la vérité. Bien sûr, si « voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère » n’est pas dirigé contre les tempéraments corrompus de l’homme, cela concerne certaines pensées, opinions et notions de l’homme. Et si cela fait référence à ces choses et que c’est destiné à atteindre l’objectif de permettre à l’homme de pratiquer selon les vérités-principes et de se soumettre aux paroles de Dieu et à la vérité, alors naturellement, ce sera l’effet ultime. « Voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère », c’est tout à fait clair et explicite. Le chemin que cela ouvre finalement aux gens leur permet de se débarrasser de leurs préjugés dans leurs pratiques et de renoncer à leurs désirs et à leurs ambitions. En même temps, les gens ne doivent pas vivre en se cachant derrière la croyance qu’ils sont supérieurs, qu’ils possèdent l’humanité, la conscience et la raison, et utiliser cela pour supplanter le principe de la pratique consistant à prendre les paroles de Dieu comme base et la vérité comme critère. Quelles que soient tes justifications, quels que soient tes atouts et tes avantages, ils ne sont pas suffisants pour supplanter le fait de voir les gens et les choses, te comporter et agir selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. C’est une certitude absolue. En revanche, si le point de départ de tes opinions sur les gens et les choses, de ton comportement et de tes actions est entièrement conforme aux paroles de Dieu, avec la vérité comme principes de pratique, alors tu pratiques la vérité. Sinon, tu ne la pratiques pas. En somme, vivre au milieu de notions et d’imaginations humaines, agir avec l’intention de conclure des marchés ou supplanter constamment la poursuite de la vérité et sa pratique avec la conviction de posséder énormément de bonne conduite morale… de telles approches sont toutes insensées. Aucune d’entre elles n’est une manifestation de la poursuite de la vérité et, en fin de compte, le résultat de ces approches insensées est que les gens ne comprennent pas la vérité, qu’ils sont incapables de comprendre la volonté de Dieu et qu’ils sont incapables de s’engager sur la route du salut. Comprends-tu ? (Oui.) Bien sûr, parmi ceux qui ne poursuivent pas la vérité, à part ceux qui ne peuvent pas être sauvés, il y en a qui sont prêts à être des exécutants qui survivront. C’est très bien, cela peut être considéré comme une bonne alternative au fait de ne pas poursuivre la vérité. Le chemin que vous choisissez en particulier dépend de vous. Peut-être que certaines personnes diront : « Après tout cet échange, Tu ne nous as toujours pas dit comment voir les gens et les choses, ni comment nous comporter et agir. » Ne l’ai-Je pas dit ? (Si.) Selon quoi doit-on voir les gens et les choses, se comporter et agir ? (Selon les paroles de Dieu.) Et avec quoi comme critère ? (Avec la vérité comme critère.) Quelles sont donc les paroles de Dieu ? Où est la vérité ? (Les paroles de Dieu sont la vérité.) Il y a tellement de paroles de Dieu, elles disent aux gens tous les aspects de la façon de voir les gens et les choses et de la façon de se comporter et d’agir, nous n’entrerons donc pas dans les détails de ces choses maintenant. Lisez encore une fois ce en quoi consiste la poursuite de la vérité. (En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère.) Vous devez inscrire ces mots dans votre cœur et les utiliser comme devise de votre vie. Sortez-les souvent afin de pouvoir y réfléchir et les méditer. Comparez-les avec votre comportement, votre attitude dans la vie, vos opinions sur les choses, vos intentions et vos objectifs. Tu pourras alors ressentir clairement quel est ton véritable état et quelle est l’essence des tempéraments que tu manifestes. Compare-les à ces paroles et considère ces paroles comme tes principes de pratique, et comme le chemin et la direction de ta pratique. Lorsque tu poursuivras de cette manière, lorsque tu seras capable d’entrer entièrement dans ces paroles et de les vivre, tu comprendras en quoi consiste la poursuite de la vérité. Naturellement, lorsque tu entreras dans la réalité de ces paroles, tu te seras déjà engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité. Lorsque tu t’engageras sur le chemin de la poursuite de la vérité, qu’en résultera-t-il ? La détresse causée par la perturbation, le contrôle et les contraintes de ton tempérament corrompu deviendra de plus en plus légère. Pourquoi donc ? Parce que tu auras le sentiment que tu as un chemin pour résoudre ton tempérament corrompu et qu’il y a de l’espoir pour toi d’être sauvé. Ce n’est qu’alors que tu auras le sentiment qu’une vie dans laquelle tu crois sincèrement en Dieu et dans laquelle tu manges et bois Ses paroles est épanouissante, paisible et joyeuse. Au bout de nombreuses années de croyance en Dieu, ceux qui n’aiment pas la vérité ont encore l’impression que la vie est très creuse et qu’il n’y a rien sur quoi s’appuyer. Souvent, ils ont même le sentiment qu’il est vraiment douloureux de vivre dans un tempérament corrompu, et bien qu’ils souhaitent s’en débarrasser, ils ne le peuvent pas. Ils restent à jamais contraints, enchaînés et liés par leur tempérament corrompu, ce qui leur cause une grande détresse, mais ils n’ont aucun chemin à suivre. Ces jours amers sont sans fin. S’ils pouvaient accepter la vérité et atteindre le salut, alors ces jours amers passeraient. Cependant, les résultats de tout cela dépendent de votre poursuite et de votre entrée futures.

Le 29 janvier 2022

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