Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (10) Section 3
La mise en œuvre du travail de rédaction d’articles de témoignage d’expérience implique une étape importante d’inspection, qui ne peut être conduite qu’à la condition que les dirigeants et les ouvriers possèdent la vérité-réalité. En plus d’inspecter les dirigeants et les ouvriers dont le calibre est relativement médiocre, tu dois aussi te renseigner sur ceux dont le calibre est de niveau moyen et les comprendre. Si l’environnement ne s’y prête pas, tu peux envoyer quelqu’un pour se renseigner et comprendre la situation, et tenir des registres détaillés. Si l’environnement le permet, il est préférable d’aller interagir en personne avec le superviseur de ce travail, de lui poser des questions, de s’informer, de comprendre la situation spécifique du travail et de voir si le travail est bien mis en œuvre. En résumé, une fois que l’arrangement de travail pour la rédaction d’articles de témoignage d’expérience est distribué, il ne s’agit pas d’une tâche qui peut être bouclée en un ou deux mois. Il ne s’agit pas d’une tâche temporaire, mais d’un travail à long terme. Les dirigeants et les ouvriers ne doivent pas se contenter de donner des conseils, de superviser, d’exhorter les autres et de mener des inspections au cours du premier ou des deux premiers mois suivant la distribution de l’arrangement de travail et de considérer que l’affaire est close. Ils doivent au contraire assurer un suivi continu de ce travail à long terme. Pour les dirigeants d’Église plus faibles, ils doivent se rendre sur place et fournir des conseils personnels. Pour les dirigeants d’Église capables de mettre en œuvre les arrangements de travail de manière indépendante, ils doivent également procéder à des inspections régulières pour comprendre l’état d’avancement des travaux et résoudre les problèmes qui se posent. Il s’agit là d’une responsabilité qui incombe aux dirigeants et aux ouvriers. Par conséquent, une chose est certaine au sujet des dirigeants et des ouvriers en situation de travail : ils n’ont jamais de temps mort. Certains dirigeants et ouvriers ne cessent de se dire : « Les arrangements de travail ont été distribués et j’ai échangé sur la manière de les mettre en œuvre. J’ai terminé mon travail, il n’y a plus rien à faire. Je vais donc faire quelques tâches utiles de routine, comme aider à la cuisine et à l’hébergement, ou acheter des produits de première nécessité dont les frères et sœurs manquent. » Une fois distribués les arrangements de travail, ils se retrouvent désœuvrés, ils estiment qu’ils ont terminé leur travail et qu’ils n’ont plus rien à faire. Cela montre qu’ils ne savent pas comment faire le travail ou prendre en charge des tâches spécifiques. En réalité, une fois que les divers arrangements de travail de la maison de Dieu sont distribués, tant que le Supérieur n’a pas dit d’arrêter, le travail doit continuer et ne peut pas être suspendu en cours de route. Par exemple, le travail d’écriture d’articles de témoignages d’expérience – est-ce que le Supérieur a dit d’arrêter quoi que ce soit en la matière ? Y a-t-il eu la moindre instruction indiquant qu’il fallait arrêter ce travail ? (Non.) Donc, comment les dirigeants et les ouvriers doivent-ils mener cette tâche ? Ne sois pas uniquement motivé par un enthousiasme de courte durée. Lorsque l’arrangement de travail est distribué pour la première fois, tu es très enthousiaste, tu prends les devants et tu es désireux d’apporter ta contribution à ce travail. Cependant, après un certain temps, si le Supérieur ne t’exhorte pas à travailler, ne donne pas de nouvelles instructions et ne donne pas d’autres directives pour cet arrangement de travail, tu peux en déduire que, puisque le Supérieur n’a donné de nouvelles directives pour cet arrangement de travail, tu peux ignorer ce travail. Ce n’est pas acceptable ; c’est un manquement à tes responsabilités. Peu importe depuis combien de temps ce travail a été mis en œuvre, et peu importe si le Supérieur s’est enquis de ce travail, t’a exhorté à le faire ou l’a mis en avant pendant ce temps, dès lors que ce travail t’a été confié, tu dois l’assumer et le faire continuellement pour le mener à bien. Que signifie « continuellement » ? Cela signifie que tant que le Supérieur ne demande pas d’arrêt, les dirigeants et les ouvriers doivent conseiller, superviser, exhorter les autres à travailler, inspecter et suivre ce travail de manière ininterrompue et continue. À moins que tu ne te retires ou que tu sois renvoyé, tant que tu occupes ton poste, ce travail est quelque chose que tu dois bien faire en tant que dirigeant ou ouvrier. C’est aussi une tâche que tu dois continuellement mettre en œuvre et suivre. Comment cela doit-il être pratiqué ? Chaque fois que tu fais une visite dans une Église, tu dois demander à ses dirigeants et au superviseur de ce travail : « Comment se passe la production des articles de témoignage ces derniers temps ? Y a-t-il de bons articles de témoignage, relativement émouvants ? Y a-t-il des articles qui relatent des expériences particulières ? » S’ils disent qu’il y en a, tu dois te pencher sur ces articles. S’ils portent effectivement sur des expériences pratiques et qu’ils édifient vraiment les gens, il faut les soumettre sans tarder. Chaque fois que tu fais une visite dans une Église, tu dois d’abord poser des questions à ce sujet. Il s’agit là d’une tâche spécifique que tu dois mettre en œuvre, d’une obligation à laquelle tu ne saurais te soustraire – telle est ta responsabilité. Que le Supérieur t’exhorte à le faire ou s’enquière de cette question ou non, cette tâche fait partie de ce qui t’incombe. Si les frères et sœurs sont occupés à l’exécution de leurs tâches et n’ont pas le temps d’écrire des articles de témoignage, tu dois les y exhorter en disant : « Écrire de bons articles de témoignage est très bénéfique pour l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, et c’est aussi un devoir important. » Cependant, certains dirigeants disent : « Les frères et sœurs pensent avoir écrit toutes leurs expériences et n’avoir plus rien à dire. » Cette affirmation est-elle exacte ? En réalité, de nombreuses expériences détaillées ne sont pas remarquées par les gens et sont négligées. Ce n’est que lorsqu’ils lisent les témoignages d’expérience écrits par d’autres qu’ils se souviennent qu’ils ont eux aussi vécu des expériences similaires. C’est pourquoi la rédaction d’articles de témoignages d’expérience nécessite une réflexion approfondie et l’exercice de la contemplation. Il existe de nombreuses compréhensions d’expérience qui valent la peine qu’on les écrive. Le fait de ne pas avoir le temps d’écrire est-il une raison valable ? C’est là un devoir que les gens doivent faire. Même s’ils sont très occupés, ils doivent prendre le temps d’écrire. S’ils ne savent pas comment rédiger des articles de témoignage, ils doivent les dicter à quelqu’un d’autre pour qu’il les corrige et produise ainsi un article de qualité. Ainsi, grâce à ton exhortation et à tes instructions, un autre article de témoignage expérientiel de qualité est rédigé. Sais-tu combien de personnes cet article peut édifier ? Combien de personnes peuvent y trouver de l’aide et en tirer bénéfice ? Si tu ne supervises pas et ne fournis pas d’orientation, et si les dirigeants de l’Église locale n’ont pas le sens du fardeau et se disent que les frères et sœurs ont écrit tous leurs témoignages d’expérience et qu’il n’y a plus d’articles à écrire, alors cet article de témoignage d’expérience de qualité ne verra pas le jour. Parfois, lorsque tu fais une visite dans une Église, certains frères et sœurs discutent avec toi et disent : « J’ai subi toutes sortes de difficultés dans ma vie. Depuis que je crois en Dieu, j’ai aussi été beaucoup persécuté. À chaque étape de mon parcours, c’est Dieu qui m’a guidé. J’ai vu les actes merveilleux de Dieu et j’ai réalisé que tout est ordonné par Dieu et que Dieu exerce vraiment Sa souveraineté sur toute chose – c’est tout à fait vrai ! » Après qu’ils t’ont raconté leur expérience, tu leur demandes s’ils l’ont écrite sous forme d’article, et ils te répondent : « Non, j’ai un faible niveau d’instruction et je ne sais pas écrire. De plus, les autres disent que cette expérience n’a pas de valeur. » « Mais comment donc une expérience aussi merveilleuse pourrait-elle ne pas avoir de valeur ? », leur réponds-tu. « À chaque étape de ton expérience, tu as profondément ressenti la souveraineté de Dieu, la direction de Dieu et l’ordre de Dieu. Quelle expérience pourrait avoir plus de valeur que celle-là ? De telles expériences devraient être écrites et ne pas tomber dans l’oubli. » Ensuite, tu t’arranges dès que possible pour que des frères et sœurs plus instruits les aident à la corriger. En l’espace de trois jours, un bon et excellent article de témoignage est rédigé, puis adapté en vidéo de témoignage d’expérience. Tous ceux qui la regardent disent : « L’expérience du protagoniste est fantastique ! C’est tellement édifiant à regarder ! Cela montre vraiment que Dieu est souverain sur toute chose – c’est exactement cela ! Cette nouvelle confirmation encore plus étendue de cette réalité n’a fait que renforcer notre foi en Dieu. » D’autres disent : « Cet article de témoignage d’expérience est écrit de manière très pratique et très émouvante. Ce serait encore mieux si on en faisait un film ! » De nombreux frères et sœurs attendent alors avec impatience qu’il soit rapidement adapté en film. Ainsi, c’est parce que les dirigeants et les ouvriers ont traité le travail de l’Église avec responsabilité et loyauté, qu’une conversation banale a pu déboucher sur un article de qualité et un bon matériau pour faire un film. C’est le meilleur témoignage et le meilleur sujet pour témoigner de la souveraineté et de l’ordre de Dieu. De telles histoires peuvent renforcer la foi de tant de personnes et en édifier tant d’autres ! Que pensez-vous des dirigeants et des ouvriers qui travaillent de cette manière ? Ils ne se fixent aucune formalité dans leur travail. Partout où ils vont, ils posent des questions, s’informent et interagissent avec les frères et sœurs, en s’intégrant parmi eux sans prendre de grands airs. Ils ont non seulement un sens du fardeau dans le cœur, mais aussi un sens aigu des responsabilités. En agissant de la sorte, ils obtiennent naturellement des résultats. Dieu ne s’en souviendra-t-Il pas ? Ce sont là de bonnes actions, non ? Dites-Moi, cette petite part de travail est-elle pénible ? Faut-il souffrir pour la faire ? Faut-il escalader des montagnes hérissées d’épées ou plonger dans des mers de feu ? Non. Ce n’est pas difficile. Il suffit d’y mettre du cœur. En mettant du cœur à l’ouvrage, où que tu ailles, tu poses des questions et tu te renseignes : « Comment le travail avance-t-il ? Y a-t-il eu de bons articles de témoignage ces derniers temps ? Pour les frères et sœurs qui ont vécu des expériences, mais n’ont pas encore écrit d’articles, savez-vous comment les guider pour qu’ils racontent leurs expériences ? Savez-vous comment les aider à s’exprimer et les conseiller pour qu’ils les écrivent ? » Où que vous alliez, vous devez toujours échanger à ce sujet, faire des choses en rapport avec ce travail et prononcer des paroles en ce sens. Cette façon de pratiquer ne rend-elle pas le travail des dirigeants et des ouvriers plus prolifiques ? Pourrait-il y avoir une situation où vous seriez oisif sans travail à faire ? (Non.) Les dirigeants et les ouvriers qui travaillent de cette manière peuvent-ils se fatiguer ou mourir d’épuisement ? (Non.) Ils ne se fatigueront pas et ne mourront pas d’épuisement, le travail aura des résultats et Dieu s’en souviendra. Si tu travailles de cette manière, nombreux sont ceux qui en seront édifiés, et les frères et sœurs sentiront que la rédaction d’articles de témoignage d’expérience est précieuse et significative. Auparavant, ils pensaient que leurs expériences n’avaient aucune valeur, mais grâce à tes conseils, ils auront alors compris comment écrire des articles de témoignage d’expérience. Cela va également favoriser leur entrée dans la vie. Ce n’est que lorsque tu travailleras de cette manière que tu t’acquitteras de tes responsabilités de dirigeant ou d’ouvrier.
En échangeant sur la manière dont les dirigeants et les ouvriers doivent inspecter le travail, avez-vous appris à inspecter le travail ? L’inspection du travail ne consiste pas à trouver des fautes ou à chicaner, mais plutôt à voir comment le travail a été fait, s’il a été arrangé, si quelqu’un le prend en charge, la façon dont il progresse, son état d’avancement, s’il se déroule sans heurts, s’il est fait conformément aux principes, s’il donne des résultats et ainsi de suite. Dans le même temps, vous devez observer, examiner et évaluer l’efficacité du travail, puis, à partir de là, trouver des moyens meilleurs et plus appropriés pour le mettre en œuvre. Pour un arrangement de travail, comme l’arrangement de la rédaction d’articles de témoignages d’expérience, tant que le Supérieur n’a pas demandé qu’il s’arrête, ce travail doit être continuellement suivi et mis en œuvre, dans l’intérêt de l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Si certains estiment qu’il y a déjà suffisamment de témoignages d’expérience et que le peuple élu de Dieu ne peut pas tous les lire, peut-on alors arrêter ce travail ? On ne peut pas l’arrêter. Plus il y a de témoignages d’expérience, mieux c’est ; plus il y en aura, plus ils seront abondants ; c’est la meilleure façon d’aider le peuple élu de Dieu à entrer dans la vérité-réalité. Certains des nouveaux croyants, après avoir lu ces témoignages d’expérience, sauront comment faire l’expérience de l’œuvre de Dieu. Après avoir traversé une période d’expérience et obtenu des résultats, ils seront naturellement capables d’écrire des articles de témoignages d’expérience. Certaines des personnes ayant des expériences vécues superficielles pourront également être édifiées par la lecture de ces témoignages d’expérience relativement plus profonds, et pourront acquérir des expériences vécues plus approfondies et écrire de meilleurs articles de témoignage. Ces témoignages profiteront à la fois aux personnes religieuses et au peuple élu de Dieu dans la maison de Dieu. Par conséquent, le travail de rédaction d’articles de témoignages d’expérience ne doit jamais s’arrêter. Les dirigeants et les ouvriers doivent continuellement assurer le suivi de ce travail et ne jamais l’arrêter pour quelque raison ou excuse que ce soit. Il s’agit là d’un point important du travail de l’Église. Les dirigeants et les ouvriers doivent prendre la direction des opérations dans la rédaction des articles de témoignage d’expérience. C’est cette pratique qui révèle le mieux s’ils possèdent la vérité-réalité. S’ils ne peuvent pas écrire d’articles de témoignage d’expérience, ils ne sont pas à la hauteur en tant que dirigeants ou ouvriers et ne peuvent pas faire de travail concret et doivent être renvoyés et éliminés. Après avoir bien exécuté ce travail, les dirigeants et les ouvriers doivent systématiquement visiter diverses Églises pour s’enquérir de l’avancement du travail. Ils peuvent poser des questions et s’informer sur le travail : « Les différents frères et sœurs de votre Église qui sont relativement sérieux dans leur poursuite ont tous un peu d’expérience – pourraient-ils écrire quelques articles de témoignage ? » Ils doivent également demander à ceux qui viennent d’accepter le vrai chemin comment ils ont investigué et sont parvenus à l’accepter, et s’ils peuvent coucher sur le papier leurs impressions à ce sujet. Les dirigeants et les ouvriers doivent non seulement s’informer, se renseigner, suivre et mettre en œuvre ce travail en permanence, mais ils doivent également inspecter pour savoir si la mise en œuvre se déroule bien : « Avez-vous arrangé des personnes pour faire ce travail ces derniers temps ? Combien d’articles de témoignage d’expérience ont été rédigés ? Combien d’entre eux sont à la hauteur ? Quelle est la proportion d’articles qui sont à la hauteur ? » Le superviseur répond : « Suite au dernier échange, certains articles de témoignage d’expérience ont déjà été écrits dans notre Église, et quelques articles qui sont à la hauteur ont été soumis. Nous n’avons pas cessé d’exécuter ce travail. » C’est très bien ; cela signifie que tu as fait cette tâche correctement. En gardant cela à l’esprit, y a-t-il une relation directe entre la capacité d’une Église à produire de véritables articles de témoignage d’expérience et la fonction des dirigeants et des ouvriers ? D’une part, tu dois continuellement échanger sur cet aspect du travail ; d’autre part, tu dois donner l’exemple, en t’informant constamment sur le travail, en y participant et en faisant le suivi. Après avoir assuré le suivi pendant un certain temps et quitté cette Église, tu dois revenir plus tard pour inspecter la mise en œuvre. N’est-ce pas là ce que les dirigeants et les ouvriers doivent faire ? Telle est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers.
Les dirigeants et les ouvriers doivent prendre au sérieux et mettre en œuvre sérieusement tous les arrangements de travail publiés par la maison de Dieu. Tu dois régulièrement recourir aux arrangements de travail pour comparer et inspecter tout le travail que tu as fait. Tu dois également examiner et réfléchir aux tâches que tu n’as pas bien faites ou que tu n’as pas mises en œuvre correctement au cours de cette période. Tu dois rapidement rattraper et te renseigner sur toute tâche assignée et requise par les arrangements de travail qui aurait été négligée. Si tu es occupé à une tâche spécifique et ne peux pas te libérer, tu peux confier à d’autres personnes le soin d’inspecter et de faire le suivi du travail qui n’a pas été bien fait. Ne te contente pas de donner des ordres et de te dire que ta tâche est accomplie une fois assigné et arrangé le travail, puis de rester les bras croisés. En tant que dirigeant, tu es responsable de l’ensemble du travail, et non d’une seule tâche. Si tu estimes qu’une tâche est particulièrement importante, tu peux la superviser, mais tu dois également trouver le temps d’inspecter, de diriger et d’assurer le suivi des autres tâches. Si tu te contentes de ne bien faire qu’une seule tâche, que tu considères que tout est terminé et que tu confies d’autres tâches à d’autres personnes sans t’en préoccuper ou sans leur poser de question sur le sujet, il s’agit d’un comportement irresponsable et d’un manquement à tes responsabilités. Si tu es un dirigeant, quel que soit le nombre de tâches dont tu es responsable, il est de ta responsabilité de poser constamment des questions à leur sujet et de te renseigner, tout en inspectant les choses et en résolvant les problèmes rapidement lorsqu’ils surviennent. Tel est ton travail. Ainsi, que tu sois dirigeant régional, dirigeant de district, dirigeant d’Église, chef d’équipe ou superviseur, une fois que tu connais l’étendue de tes responsabilités, tu dois examiner régulièrement si tu fais du travail concret, si tu as rempli les responsabilités qui doivent être remplies par un dirigeant ou un ouvrier, ainsi que les tâches que tu n’as pas faites parmi celles qui t’ont été confiées, que tu ne veux pas faire, qui ont donné de mauvais résultats et dont tu n’as pas saisi les principes. Ce sont là autant de choses que tu dois examiner régulièrement. Dans le même temps, tu dois apprendre à échanger avec d’autres personnes et à leur poser des questions, et tu dois apprendre à identifier, dans les paroles de Dieu et les arrangements de travail, un plan, des principes et un chemin pour la pratique. Devant tout arrangement de travail, qu’il soit lié à l’administration, au personnel, à la vie d’Église ou à tout autre type de travail professionnel, s’il touche aux responsabilités des dirigeants et des ouvriers, il s’agit alors d’une responsabilité que les dirigeants et les ouvriers sont censés remplir, située dans le cadre de ce dont les dirigeants et les ouvriers sont responsables – ce sont là des tâches dont tu dois t’occuper. Naturellement, les priorités doivent être fixées en fonction de la situation ; aucun travail ne doit prendre du retard. Certains dirigeants et ouvriers diront : « Je n’ai pas trois têtes et six bras. Il y a tant de tâches dans l’arrangement de travail que je ne peux vraiment pas m’en sortir si on me les confie toutes. » S’il y a des tâches dans lesquelles tu ne peux pas t’impliquer personnellement, as-tu arrangé quelqu’un d’autre pour qu’il s’en charge ? Après avoir procédé à cet arrangement, en as-tu assuré le suivi et t’es-tu renseigné à son sujet ? As-tu contrôlé le travail effectué ? As-tu eu le temps de te renseigner et de procéder à un contrôle ? Tu l’as résolument ! Certains dirigeants et ouvriers diront : « Je ne peux faire qu’un travail à la fois. Si l’on me demande de procéder à des vérifications, je ne peux vérifier qu’une tâche à la fois ; il m’est impossible d’en faire plus. » Si tel est le cas, tu es un bon à rien, ton calibre est extrêmement faible, tu n’as aucune capacité de travail, tu n’es pas fait pour être dirigeant ou ouvrier et tu devrais te retirer. Fais simplement un travail qui te convient – ne retarde pas le travail de l’Église et le développement de la vie du peuple élu de Dieu du fait de ton calibre trop faible qui t’empêche de travailler ; si tu es dépourvu de cette raison, c’est que tu es égoïste et vil. Si tu es d’un calibre ordinaire, mais capable de faire preuve de considération envers les intentions de Dieu, si tu es prêt à te former, mais que tu n’es pas sûr de pouvoir bien faire le travail, alors tu dois chercher deux ou trois personnes de bon calibre pour coopérer avec toi dans le travail. C’est là une bonne approche qui a valeur de raison. Si ton calibre est trop médiocre et que tu es réellement incapable d’assumer ce travail, mais que tu souhaites tout de même continuer à occuper ce poste et à profiter des avantages qu’il procure, alors tu es quelqu’un d’égoïste et de vil. Les dirigeants et les ouvriers doivent être dotés de conscience et de raison – c’est de la plus haute importance. Sans même cette humanité, ils ne peuvent en aucun cas être dirigeants ou ouvriers, et même s’ils font un peu de travail, ils n’en seront pas moins de faux dirigeants qui ne feront que nuire au peuple élu de Dieu et compromettre le travail de l’Église. Les dirigeants et les ouvriers doivent faire preuve de considération envers les intentions de Dieu ; ils ne doivent en aucun cas faire preuve d’autoritarisme en prenant tout en charge par eux-mêmes, et finalement ne bien faire aucun travail et retarder tout le travail de l’Église, ainsi que l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Ne serait-ce pas là une grande transgression ? Par conséquent, les gens d’un calibre trop faible ne peuvent en aucun cas être dirigeants ou ouvriers. Ceux qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu et qui sont incapables de considérer les intentions de Dieu ne peuvent d’autant moins être dirigeants ou ouvriers ; ils ne sauraient être chargés d’une quelconque tâche. En tant que dirigeant et ouvrier, il est important d’avoir une conscience de soi. Si tu ne peux pas faire de travail concret, mais que tu veux quand même tout prendre en charge par toi-même, et que tu aimes profiter des avantages du statut, tu réponds à la définition même du faux dirigeant et tu dois être renvoyé et éliminé.
Après cet échange sur les responsabilités que les dirigeants et les ouvriers doivent assumer en matière d’arrangements de travail dans la maison de Dieu, avez-vous désormais un chemin de la manière dont les dirigeants et les ouvriers doivent traiter et mettre en œuvre les arrangements de travail ? (Oui.) Y a-t-il des difficultés ? Parmi les diverses tâches décrites dans les responsabilités des dirigeants et des ouvriers sur lesquelles nous avons échangé, certaines personnes peuvent se concentrer sur un ou deux aspects seulement, tandis que d’autres peuvent ne pas être même en mesure d’accomplir un ou deux aspects. Les dirigeants et les ouvriers qui peuvent se concentrer sur un ou deux aspects du travail, dès lors qu’ils ont un calibre suffisant et qui peuvent aussi apprendre à assurer le suivi d’autres aspects du travail, ceux-là sont fondamentalement à la hauteur. Cependant, s’ils se contentent de prêcher des doctrines et d’organiser des réunions, mais qu’ils ne peuvent pas effectuer de travail spécifique et si, lorsqu’on leur demande de participer à l’inspection et au suivi de tâches spécifiques, ils se montrent inquiets, dépourvus de plans, d’étapes ou de chemin à suivre, ne sachant pas quoi faire, cela indique qu’ils sont de calibre médiocre. Les personnes de calibre médiocre peuvent-elles mettre en œuvre les arrangements de travail ? (Non.) Ces dirigeants et ces ouvriers ne sont pas à la hauteur. Comment devriez-vous traiter ces dirigeants et ces ouvriers ? Dites-leur ceci : « Les arrangements de travail ont été distribués, et nous avons une compréhension claire des tâches à accomplir et des principes à respecter, mais tu ne sais pas quoi faire ni quel chemin suivre. Et pourtant, tu as encore le culot d’échanger et de nous prêcher des sermons. Tu devrais te retirer immédiatement ! Tu n’es pas apte à être dirigeant ou ouvrier, tu ne peux pas assumer cette responsabilité. Transmets-la sans tarder à quelqu’un de compétent ! Arrête de scander des slogans, personne ne veut entendre cela ! » Est-ce là une façon appropriée de gérer la situation ? (Oui.) Si tu ne peux pas faire le travail, à quoi bon scander aveuglément des slogans ! Tout le monde peut lire le contenu des arrangements de travail ; tout le monde peut énoncer des doctrines – tout dépend de la façon dont tu le fais concrètement. Si tu es incapable de le faire, alors tu n’es pas apte à être dirigeant ou ouvrier. Aucune tâche n’est aussi simple qu’un plus un font deux. Chaque tâche exige des dirigeants et des ouvriers qu’ils élaborent des plans de mise en œuvre spécifiques dans le cadre des principes, en fonction de chaque situation. Simultanément, ils doivent savoir comment superviser, inspecter et assurer le suivi du travail jusqu’à ce qu’il soit correctement mis en œuvre, qu’il réponde pleinement aux exigences des arrangements de travail, qu’il porte ses fruits et qu’il produise des résultats. Ce n’est qu’alors qu’ils se seront acquittés de leurs responsabilités de dirigeants et d’ouvriers ; ce n’est qu’alors qu’ils seront à la hauteur en tant que dirigeants et ouvriers.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.