Point 7 : Ils sont malveillants, insidieux et fourbes (Partie II)

Supplément : Résoudre des malentendus des gens au sujet de la gestion d’une Église au Canada

La dernière fois que nous nous sommes réunis, il s’est passé une chose inhabituelle. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? (Il s’agissait de la gestion d’une Église canadienne.) Ceci s’est produit il y a un mois. Est-ce encore frais dans votre mémoire ? (Oui, en effet.) Cet événement vous a-t-il beaucoup bouleversés ? (Oui.) Quand des problèmes surgissent dans certaines Églises ou avec certaines personnes, Je prends une décision selon les circonstances et Je les gère en suivant des principes ; c’est en fait ce qu’il s’est passé quand J’ai géré la situation de l’Église canadienne. Alors, dites-Moi, pourquoi ai-Je traité le problème de cette façon quand un antéchrist est apparu dans l’Église canadienne et qu’il a induit les gens en erreur ? Quelles sont vos pensées à ce sujet ? Il semble que cela ait effrayé certaines personnes. Pourquoi ces personnes étaient-elles effrayées ? Certains déclarent : « Cette façon d’aborder le problème a vraiment été sévère. Est-ce que c’était si grave ? Comment cela a-t-il pu être géré de cette manière ? Cela a-t-il été traité conformément aux principes ? Cela n’a-t-il pas été géré dans un caprice momentané ? Quelles vont être les conséquences de le gérer de cette façon ? Ce que ces gens ont fait était-il si grave ? Si l’on prend en compte ce qui a été demandé aux gens sur place, et leur attitude, les affirmations et l’information que l’on a entendue de leur part, il semble qu’ils n’auraient pas dû être traités aussi durement, n’est-ce pas ? » C’est ainsi que certains pensent. D’autres disent : « Dieu avait peut-être Ses raisons et Ses idées pour le gérer ainsi. » Mais quelles sont précisément ces idées ? Y avait-il une intention initiale ou une raison pour gérer cette question de cette manière ? Était-il raisonnable de traiter ces personnes de cette façon ? (Oui.) Vous dites tous que c’était raisonnable, alors aujourd’hui, discutons de cette question et voyons exactement pourquoi il était raisonnable de gérer ce problème de cette manière, ce que vous pensez exactement de cette question, quel impact cela pourra-t-il avoir sur vous à l’avenir, si vos idées à cet égard sont correctes ou erronées, et si vos idées comprennent quelque chose d’erroné ou de déformé. Si vous vous retenez en permanence, que vous vous mordez la langue, que vous ne vous exprimez pas, que vous ressentez constamment de l’hostilité, alors les problèmes ne seront jamais vraiment résolus de la meilleure façon, et c’est la raison pour laquelle il faut parvenir à un consensus. Quels sont les principes pour pouvoir atteindre un consensus ? Si vous ne pouvez pas accepter ce jugement que J’ai porté, et que vous avez des idées et des notions à ce sujet, que vous ressentez une certaine résistance à cet égard, que vous entretenez même des malentendus à ce sujet, et que des questions ou de mauvaises idées se présentent, alors, que devrions-nous faire ? Nous devrions discuter de cette question. Si nous avons des divergences d’opinions, alors, il n’y a pas de consensus entre nous. Comment pouvons-nous faire pour parvenir à un consensus ? Est-ce approprié de vouloir trouver un terrain d’entente tout en gardant nos différences ? Si nous réglons nos différends en faisant des compromis, si Je cède un peu de Mon côté, et que vous cédez un peu du vôtre, est-ce que ce serait une bonne chose ? Évidemment, non, ce ne serait pas une bonne chose. Ce n’est pas comme cela que l’on parvient à la compatibilité. Donc, si nous souhaitons trouver un consensus et parvenir à une compréhension et à une décision cohérentes concernant cette question, comment faut-il procéder ? Vous devez chercher la vérité, vous efforcer d’atteindre la vérité et de comprendre la vérité, et il est nécessaire pour Moi d’expliquer toute l’histoire à tout le monde et de faire en sorte qu’elle soit claire. Personne ne devrait garder dans son cœur de malentendus à ce sujet. Ainsi, nous parviendrons à une opinion cohérente sur cette question, et ce sera ensuite terminé et résolu. Si Je rencontre un problème similaire à l’avenir, Je peux le gérer de la même façon, ou peut-être que Je ne le gèrerai pas de cette façon, mais qu’au lieu de cela, Je ferai autrement. Donc, que devriez-vous acquérir de cette question ? (Nous devrions apprendre à chercher la vérité et comprendre pourquoi Dieu a géré ainsi cette question.) Vous avez mentionné deux aspects, excellent. Y en a-t-il d’autres ? (Nous devrions chercher à comprendre les principes des actions de Dieu pour éviter d’offenser le tempérament de Dieu. Ceci représente un avertissement pour nous.) Il s’agit là d’un autre aspect.

Pour expliquer clairement la gestion de l’Église canadienne, il faut commencer par le début. Par quoi devrions-nous commencer ? Nous allons commencer par le moment où ces gens ont quitté la Chine. Est-ce que cela ne remonte pas trop loin dans le passé ? Vous pouvez penser que c’est amusant, mais ce n’est pas un sujet qui prête à rire. S’agit-il de régler de vieux conflits ? Non, pas du tout. Quand vous M’entendrez parler de Mes raisons, vous comprendrez pourquoi Je commence par là. En mettant de côté la question de savoir si tous ceux qui partent à l’étranger viennent avec une commission, une mission et une responsabilité, nous allons commencer par un problème mineur : est-ce un hasard que tout le monde puisse quitter la Chine ? (Non.) Ceci n’arrive pas par accident. En partant de ta détermination et de ta volonté de quitter la Chine pour faire ton devoir jusqu’à ce que tu arrives à l’étranger, tout au long de ce processus, mis à part ta coopération, dites-Moi qui décide que tu puisses partir sans problème de la Chine ? (Dieu.) Exactement. Cela ne dépend pas de ton réseau social, ni de l’argent dont tu disposes, ni des démarches administratives que tu as réglées, tous ceux qui arrivent à l’étranger devraient partager une compréhension et une expérience communes. Quelle expérience font-ils tous ? Dieu règne en souverain sur la question de savoir si quelqu’un peut quitter la Chine sans difficulté ; cela n’a rien à voir avec leur capacité ou si les gens ont une grande compétence. Il ne s’agit pas de passer d’une région à l’autre au sein d’un même pays ; il s’agit de quitter son pays et cela requiert de nombreuses démarches complexes. Surtout dans cette ère, avec l’oppression frénétique du grand dragon rouge et la traque des croyants, surveillant de très près chacun d’entre eux, les démarches pour quitter la Chine ne sont pas si aisées à gérer. Par conséquent, concernant ces personnes, le fait d’arriver sans difficulté à l’étranger était entièrement sous la souveraineté de Dieu et cela démontre la toute-puissance de Dieu. Dieu décide de qui peut quitter la Chine, si les démarches sont gérées sans difficulté ou non, et combien de temps prend cette gestion, et tout ceci est orchestré et arrangé par la main de Dieu. Cela ne marchera pas que tu n’y croies pas ou que tu ne le reconnaisses pas : ce sont des faits. La question est conclue par la coopération des personnes et la souveraineté de Dieu. Si nous devions prendre la décision de ton départ de la Chine, qui a aidé à sa réalisation ? (Dieu.) Dieu l’a fait. Les gens n’ont pas à s’en vanter, mais ils devraient plutôt remercier Dieu. Alors, que dois-tu faire ? (M’efforcer de faire notre devoir.) Tu dois t’efforcer de faire ton devoir et le faire avec un esprit déterminé. D’un point de vue global, pouvons-nous tirer une conclusion finale et affirmer que ton départ de la Chine pour faire ton devoir est attribuable aux arrangements et à la direction de Dieu, et non à tes propres capacités ? (Oui, en effet.) Certaines personnes déclarent : « Comment se fait-il que cela ne dépende pas de mes capacités ? Même en ayant la direction de Dieu, si Dieu ne m’avait pas guidé, dans tous les cas, quitter la Chine n’aurait pas été difficile, car je suis un étudiant de troisième cycle avec une qualification TEM8 en anglais, et passer un examen TOEFL ne serait pas un problème. » Il y a très peu de gens dans cette situation. Par exemple, certaines personnes sont riches et peuvent émigrer avec un visa d’investisseur, mais ces circonstances sont peu nombreuses et rares. Donc, ces personnes quittant la Chine le font-elles sous la souveraineté de Dieu et avec Sa permission ? Oui. Nous n’entrerons pas dans les cas individuels ; nous parlerons seulement de ceux qui peuvent quitter la Chine et qui viennent ensuite faire leur devoir de façon sincère. Cela ne vient pas uniquement de leurs propres intentions. L’un des aspects de ton départ de Chine est que tu possèdes une mission, tandis qu’un autre aspect est que tu as quitté la Chine sous la direction de Dieu. En examinant la question de ce point de vue, que voulais-tu faire en quittant la Chine ? (Faire notre devoir.) Peu importe le temps qu’il te faut pour compléter les procédures des premières phases, la quantité d’argent que tu dois dépenser ou si Dieu règne en souverain sur la question, puisque, de toute façon, tu peux quitter la Chine et faire ton devoir dans la maison de Dieu, nous pouvons affirmer avec certitude que tu as une mission à l’étranger. Tu portes une responsabilité et un lourd fardeau, et ton objectif de départ à l’étranger doit être très clair. D’abord, tu n’es pas un immigrant qui est venu à l’étranger pour jouir de la vie ; deuxièmement, tu n’es pas venu à l’étranger pour chercher un gagne-pain ; troisièmement, tu n’es pas venu à l’étranger pour trouver un autre mode de vie ; et quatrièmement, tu n’es pas venu à l’étranger pour mener une belle vie. N’est-ce pas ainsi ? Tu n’es pas venu à l’étranger pour poursuivre le monde ; tu es venu avec une mission et avec la commission de Dieu, pour faire ton devoir. En voyant cela de ce point de vue, quelle devrait être ta priorité absolue lors de ton voyage à l’étranger ? (Faire notre devoir.) Ta priorité absolue est de venir à la maison de Dieu et d’y trouver ta place, et de faire ton devoir en faisant preuve d’un bon comportement et de stabilité selon les arrangements de la maison de Dieu. N’est-ce pas correct ? (Oui, ça l’est.) Exactement. Par ailleurs, tu n’es pas venu à l’étranger parce que quelqu’un t’a menacé ou kidnappé, tu y es venu de ton propre chef. Quel que soit le point de vue d’où tu le vois, tu es venu à l’étranger, donc tu dois faire ton devoir. C’est correct, n’est-ce pas ? Est-ce une demande exigeante pour les gens ? (Non.) Il ne s’agit pas d’une demande exigeante ni d’une demande excessive. Ce n’est pas déraisonnable. Maintenant, d’après ce que Je viens de dire, comment devrais-tu gérer ton devoir et comment devrais-tu faire ton devoir afin d’être à la hauteur de la commission que Dieu t’a confiée ? Devrais-tu penser à ces choses ? La première chose que tu devrais faire est de penser : « Je ne suis plus une personne ordinaire, je porte désormais un fardeau sur mes épaules. Quel fardeau ? Il s’agit de la commission, du fardeau, que Dieu m’a confié. Dieu m’a guidé pour venir à l’étranger, et je devrais assumer les responsabilités et les obligations qu’un être créé devrait assumer en diffusant l’Évangile de Dieu : ceci est mon devoir. Tout d’abord, je devrais réfléchir au devoir que je peux faire, et deuxièmement, je devrais penser à la façon de bien faire ce devoir afin de ne pas échouer à vivre selon la souveraineté de Dieu et Ses arrangements me concernant. » N’est-ce pas ainsi que vous devriez penser ? Cette façon de penser est-elle excessive ? Est-ce une fausseté ? Non, pas du tout ; il s’agit d’une chose à laquelle une personne dotée de rationalité, d’humanité et de conscience devrait réfléchir. Si certaines personnes disent : « Après mon arrivée à l’étranger, j’ai trouvé cela différent de ce que je pensais, et je regrette d’être venu », quel genre de choses sont-elles ? De telles personnes n’ont aucune humanité et elles ont perdu la foi. Cependant, la plupart des gens qui viennent à l’étranger sont prêts à se consacrer à l’accomplissement de leur devoir. Cela suffit. Revenons maintenant à ce dont nous parlions jusqu’à la question de l’Église canadienne. Les gens dans l’Église canadienne n’en sont pas exemptés. Est-ce par accident qu’ils se sont rendus au Canada ? Ce n’était pas un accident, c’était inévitable. Pourquoi est-ce que Je dis que c’était inévitable ? Je le dis parce que Dieu avait depuis longtemps déterminé quelles personnes devaient aller dans quel pays, et ce qui était « inévitable » était gouverné par Dieu de façon souveraine. Quand Dieu ordonne de façon souveraine que tu te rendes dans un pays, alors c’est ce qui arrive. Les gens de l’Église canadienne avaient également une mission et sont venus à l’étranger grâce à la souveraineté et à l’arrangement de Dieu. Dieu les a guidés jusqu’au Canada et, en se basant sur leurs talents respectifs, leurs compétences professionnelles et leurs points forts, etc., l’Église leur a attribué différents postes de travail et leur a permis de faire leur devoir. Ils ont fait leur devoir de façon assez rigide dès le début. Par « rigide », Je ne veux pas dire qu’ils étaient réticents et lents, mais plutôt que, même si la plupart d’entre eux venaient pour faire leur devoir, ils ne poursuivaient pas la vérité. Pourquoi dis-Je qu’ils ne poursuivaient pas la vérité ? Lorsqu’ils ont rencontré des problèmes, ils n’ont pas cherché la vérité, et ils n’ont pas cherché les principes dans leurs actions. Parfois, quand le Supérieur faisait des arrangements pour eux ou leur disait de faire quelque chose, ils se montraient réticents. Voilà l’attitude qu’ils adoptaient quand ils faisaient leur devoir. Ils continuaient de cette manière superficielle et l’accomplissement de leur devoir a fini par se retrouver dans un état lamentable, un vrai gâchis. Rien n’était bon dans la vie de l’Église de ces personnes ou dans leur entrée dans la vie, l’effet de leur devoir était mauvais, il n’y avait aucune réalité dans leur échange sur la vérité, et ils n’avaient aucun discernement concernant les faux dirigeants et les antéchrists : il n’y avait rien de bon dans tout ce qu’ils faisaient. Avec le temps, un antéchrist du nom de Yan est apparu, et ils ne faisaient plus qu’un avec cet antéchrist. Que signifie « ils ne faisaient plus qu’un » ? Cet antéchrist n’était qu’un jeune homme de 26 ans qui travaillait dans l’Église depuis deux ans et demi. Durant cette période, il avait attiré de nombreuses sœurs, peut-être une dizaine. Il était attiré par certaines de ces personnes, et d’autres ne l’intéressaient pas, et il ignorait ces dernières, pourtant, tous ces gens adoraient cet antéchrist. Il y a deux ans et demi, les gens dans l’Église canadienne n’étaient pas à la hauteur pour accomplir leur devoir et ils étaient dans un état de torpeur inerte. Quel que soit le travail que le Supérieur leur avait assigné, ils le géraient de façon superficielle et se montraient réticents, et il a fallu beaucoup d’effort acharné pour mettre le travail en place. Après que le Supérieur les a émondés, ils étaient abattus, leur moral était au plus bas, ils communiquaient rarement avec le Supérieur, et leur attitude envers le travail démontrait un grand abattement. Après que l’antéchrist du nom de Yan est devenu un dirigeant, leur situation a empiré jour après jour, et la majorité d’entre eux continuait tant bien que mal au fil des jours. Pourquoi ont-ils pu en arriver au point de s’en sortir tant bien que mal ? À quoi cela était-il lié ? Une cause objective pourrait être que cela était lié aux dirigeants. Ils n’avaient pas de bons dirigeants, aucun de leurs dirigeants ne poursuivait la vérité, mais ils cultivaient plutôt les relations interpersonnelles et se livraient à des activités malhonnêtes. Et quelle en était la cause subjective ? Aucun d’entre eux ne poursuivait la vérité. Est-ce facile pour un groupe de personnes qui ne poursuivent pas la vérité de faire leur devoir de façon loyale et en suivant les normes ? (Non.) Toutefois, est-ce facile pour un groupe de personnes qui ne poursuivent tout simplement pas la vérité et pour certains incrédules de s’adonner à des activités malhonnêtes, d’être superficiels et de s’opposer au Supérieur ? (Oui.) Et est-ce facile pour les personnes de ce groupe de devenir décadentes et dégénérées comme les non-croyants ? C’est si facile, et voilà le chemin qu’ils suivaient. En prétendant faire leur devoir, ils mangeaient la nourriture de la maison de Dieu, vivaient dans un logement appartenant à la maison de Dieu, et la maison de Dieu subvenait à leurs besoins. Ils ont escroqué la maison de Dieu en lui prenant de la nourriture et des boissons, pourtant, ils espéraient toujours entrer dans le royaume des cieux et être récompensés : ils vivaient ainsi en misant sur la tromperie. Quand l’antéchrist a perturbé le travail de l’Église, personne parmi eux n’a signalé de problème au Supérieur. Seulement une femme a signalé le problème à un faux dirigeant, et il en a résulté que le problème n’a pas été résolu. Les autres étaient aveugles, et voyant tant de problèmes surgir dans l’Église, ils ne les ont pas signalés. Les arrangements de travail de la maison de Dieu indiquent clairement les principes de remplacement des dirigeants et des ouvriers, mais personne n’y a prêté attention, mais au lieu de cela, ils s’en sortent tant bien que mal au fil des jours avec cet antéchrist. Parmi ces incrédules, il y avait, d’un côté, ceux qui avaient cru en Dieu pendant plus de 20 ans, et à l’opposé, il y avait ceux qui avaient cru durant au moins cinq ans, et personne n’a signalé ces problèmes. Mais quel a été le pire ? De nombreuses cheffes d’équipe et cheffes d’équipe adjointes ont flirté avec cet antéchrist, et elles ont rivalisé pour obtenir son attention. Lorsqu’un homme et une femme commencent à sortir ensemble, les adultes et les personnes âgées s’en aperçoivent d’un seul coup d’œil. Les gens sont sensibles à la question des relations entre hommes et femmes, et en un seul regard, ils peuvent comprendre ce qu’il se passe. Cependant, personne ne l’a signalé, personne n’a réagi pour le leur reprocher ou les dénoncer, et personne n’a été capable de le discerner. Quelqu’un s’est-il manifesté et, voyant qu’il s’agissait d’une bande dirigée par cet antéchrist, s’est-il dit : « Je ne peux pas vous suivre. Je dois le signaler aux dirigeants supérieurs et vous renvoyer, ou bien nous organiser avec des frères et des sœurs ayant le sens de la justice pour vous évincer » ? Non, personne ne l’a fait. Personne ne l’a signalé, jusqu’au moment où ce problème a été révélé. Quel genre de choses étaient ces gens ? Étaient-ils de vrais croyants en Dieu ? Étaient-ils des chercheurs de vérité ? (Non.) Pour que quelque chose d’aussi important se passe juste sous leurs yeux sans en être conscients, ces personnes qui ne poursuivaient pas la vérité étaient-elles capables de bien faire leur devoir ? Quelle était leur attitude envers leur devoir ? Ils n’étaient clairement que des profiteurs, et ils profitaient jour après jour. Ils croyaient qu’ils pourraient facilement s’en sortir tant bien que mal dans la maison de Dieu, que personne ne dirait un mot s’ils remarquaient un problème, que personne n’offenserait personne, et que si quelqu’un offensait « le patron », ce serait alors épouvantable, et les conséquences seraient mauvaises pour cette personne. Si tu as peur d’offenser les gens et que tu n’oses pas le faire, alors, oserais-tu offenser Dieu ? Les conséquences seront-elles bonnes pour toi si tu offenses Dieu ? Comment Dieu va-t-Il S’occuper de toi ? N’y aura-t-il pas des conséquences ? (Oui, il y en aura.) Il y aura des conséquences. Bien sûr, la peur d’offenser quelqu’un n’était pas un facteur principal. Le principal facteur était qu’il s’agissait de personnes malveillantes qui n’aimaient pas la vérité. En plus de ne pas poursuivre la vérité, ils faisaient aussi beaucoup de choses stupides. Il n’y avait pas beaucoup de gens dans l’Église canadienne, pourtant, ils avaient beaucoup d’ambitions audacieuses. Accomplir leur devoir n’avait clairement aucun effet, mais ils voulaient sans cesse élargir la portée de leur travail et étaient occupés avec l’achat de biens immobiliers, mais en fin de compte, ils ont versé un acompte pour une propriété pour rien. Maintenant, la plupart de ces personnes ont été mises à l’isolement. Dites-Moi, quel est ce groupe de choses ? Ne sont-ils pas une bande de bêtes et de misérables ? Ils ne sont clairement rien du tout, et pourtant ils ont gaspillé comme cela des offrandes. Personne ne sauvegardait les intérêts de la maison de Dieu, personne n’avait le sens de la justice : ils n’étaient qu’une bande de démons ! Cela est vraiment horripilant !

Il n’y avait pas beaucoup de gens dans l’Église canadienne, seulement quelques centaines. Ils ne consacraient pas beaucoup d’efforts à leur devoir, ils étaient négligents dans leur devoir et formaient des clans, en s’en sortant tant bien que mal au fil des jours. N’est-ce pas horripilant ? Ils étaient inefficaces dans leur travail et ne faisaient aucun progrès, ils manigançaient les uns contre les autres et ne travaillaient pas ensemble de façon harmonieuse. Les dirigeants se livraient à des activités malhonnêtes avec d’autres, et personne n’a ressenti la nécessité d’agir, personne ne s’est mis en colère, et personne n’a ressenti de la tristesse à cet égard. Personne ne s’est mis à prier pour ce problème ni n’a demandé l’aide du Supérieur. Personne ne l’a fait, et personne n’est venu pour dire : « Ce n’est pas bien de faire notre devoir de cette façon. Le devoir que nous faisons est la commission que Dieu nous a donnée, et nous ne pouvons pas décevoir Dieu ! » Ils ne manquaient de rien, ils avaient assez de personnes, ils avaient assez d’équipement. Qu’est-ce qui leur manquait ? Il leur manquait n’importe quelle personne vertueuse. Personne ne ressentait le fardeau envers le travail de l’Église, et personne ne pouvait protéger le travail de la maison de Dieu, prendre l’initiative et dire les choses, ou échanger sur la vérité concernant le discernement, pour que tout le monde puisse se lever et faire preuve de discernement et exposer au grand jour les faux dirigeants et les antéchrists ; personne ne l’a fait. Était-ce parce que ces misérables étaient aveugles et ne voyaient pas ce qu’il se passait, ou parce qu’ils manquaient de calibre et qu’ils étaient confus à cause de leur âge avancé ? (Ni l’un ni l’autre.) Ce n’était ni l’un ni l’autre. Alors, quelle était la situation réelle ? Ils étaient tous avec l’antéchrist, se protégeant les uns les autres et se léchant les bottes les uns les autres, personne ne dénonçant personne, traînant tout simplement dans ce repaire de démons. N’avaient-ils jamais pensé à leur devoir ou à la commission de Dieu ? (Non.) Ils voulaient juste s’en sortir ainsi tant bien que mal sans aucun sentiment de reproche envers soi-même. Quel est ce phénomène, quand ils n’avaient aucun sentiment de reproche envers soi-même ? Le Saint-Esprit n’agissait pas sur eux et Dieu les avait délaissés. Il y a une autre explication au fait que Dieu les a délaissés : c’est en raison de leur attitude envers leur devoir et envers la vérité et Dieu, ainsi qu’en raison de leurs pensées que Dieu a été écœuré par leur attitude et ils ne méritaient plus de faire ce devoir. C’est la raison pour laquelle ils ne faisaient aucun reproche ou n’avaient aucune discipline ni d’éveil de leur conscience, et encore moins d’éclairage ou d’illumination, d’émondage, de jugement ou de châtiment. Ces choses n’étaient pas pertinentes pour eux, ils étaient tous engourdis, et ils n’étaient pas différents des démons. Pendant des années, ils avaient écouté des sermons dans la maison de Dieu, et avaient également écouté des sermons sur la façon de discerner les antéchrists et de faire son devoir selon les normes, mais ont-ils cherché et accepté la vérité durant cette période ? Ont-ils discerné les antéchrists ? Ont-ils tenu un débat sur les différentes manifestations des antéchrists ? Non, pas du tout. S’ils l’avaient vraiment fait, alors il y aurait sûrement eu une minorité de personnes qui auraient pu se lever et démasquer et dénoncer l’antéchrist, et les choses n’auraient pas autant dégénéré. Ils n’étaient qu’une bande de gens inutiles et à l’esprit confus ! En fonction de leur situation réelle, de leur comportement et de la classification qui leur a été assignée, Je les ai relégués dans le groupe B pour une période d’isolement et de réflexion. Ai-Je été excessif dans la gestion de ce problème ? (Non.) Non, ce n’était pas excessif du tout. Et si ce n’était pas excessif, alors cela ne pourrait-il pas être considéré comme parfaitement approprié ? Je l’ai fait pour leur donner une chance. Quelle chance ? S’ils possèdent vraiment un peu d’humanité et de conscience, s’ils peuvent se repentir et changer de direction, alors ils auront la chance de retourner à l’Église ; s’ils ne souhaitent même pas se repentir, alors ils resteront isolés pour le reste de leurs jours, et seront même exclus par l’Église. C’est ainsi. Ils n’ont pas été immédiatement exclus pour leur offrir une chance de se repentir. Ils diront peut-être : « Nous avons fait cette mauvaise action, et Tu T’es fâché et Tu nous as isolés. Donc, même si auparavant, nous n’avons pas eu de mérite en faisant notre devoir, nous en avons assurément souffert. Pourquoi ne vois-Tu pas cela ? », mais en fait, les isoler montre suffisamment de clémence, et selon leurs actions et leur comportement, ils auraient dû être exclus. Regardez leur attitude : ils sont tellement en danger ! Alors, comment ce problème devrait-il être géré ? Je dois diviser Mon approche en deux étapes : la première étape consiste à les isoler, et la deuxième étape consiste à les gérer comme Je le juge approprié, en Me basant sur leur situation pendant leur période d’isolement et sur leur comportement individuel, et à décider s’il faut les garder dans l’Église ou les en exclure. N’est-ce pas faire preuve d’une indulgence suffisante à leur égard ?

Ces gens de l’Église canadienne ont fait tant de mauvaises choses et les isoler du fait de leur comportement a démontré une grande clémence, alors pourquoi certaines personnes ont-elles encore leurs propres idées sur la façon dont le problème a été géré ? Certaines personnes disent : « Tu as peut-être eu raison de gérer le problème de cette façon, mais il y a encore un léger problème. Ces gens de l’Église canadienne ont causé eux-mêmes cette situation et ils ont eu ce qu’ils méritaient, mais en le gérant de cette façon, ne les punis-Tu pas sévèrement pour que cela serve d’exemple aux autres ? » Est-ce une compréhension correcte ? (Non.) J’ai entendu certaines personnes dire : « C’est la bonne façon de le gérer. Tu dois les punir sévèrement pour que cela serve d’exemple aux autres, faire en sorte que ces gens servent d’avertissement aux autres, et faire une démonstration de force pour envoyer un message aux autres. » N’est-ce pas là ce qu’un non-croyant dirait ? C’est un point de vue sur les choses qu’aurait un non-croyant. Vous n’êtes peut-être pas encore capables de percer à jour l’essence de ce problème, et c’est la raison pour laquelle vous pouvez encore exprimer le point de vue d’un non-croyant. Ne pensez-vous pas que c’est un peu répugnant d’affirmer cela ? Si vous utilisez de telles paroles pour expliquer cette question, alors vous dites des choses qui sont hors de propos, et ce n’est pas ainsi que sont les choses. Alors, comment décririez-vous la manière dont J’ai géré ce problème ? (Tu l’as géré selon les principes.) C’est vrai, Je l’ai géré selon les principes ; c’est une chose concrète à dire. Quelqu’un d’autre ? Ne se sont-ils pas mis eux-mêmes dans cette situation ? (Si.) Et quelle est la manière la plus simple de décrire cela ? (Ils ont eu leur juste mérite.) C’est vrai, d’après la manière dont ils se sont comportés, ils ont simplement eu ce qu’ils méritaient et ils se sont mis eux-mêmes dans cette situation. Dieu agit selon les vérités-principes ; Il exige une rétribution pour les gens en fonction de leur comportement. Par ailleurs, les gens devraient assumer les conséquences de leurs actions, et quand ils font des choses qui sont mauvaises, ils devraient être punis : cela est approprié. Dieu exige une rétribution pour les gens en fonction de leur comportement ; C’est une rétribution exigée pour les gens de l’Église canadienne et, pour utiliser le vocabulaire actuel, ils sont traités selon les principes. Dites-Moi, quelles sont ces choses que J’ai exposées à leur sujet qui ne sont pas des faits ? Lesquelles parmi Mes analyses, Mes définitions et Mes classifications concernant ces questions ne sont pas des faits ? Ce sont tous des faits. Par conséquent, une rétribution est exigée pour eux en fonction de ces manifestations et en fonction de leurs actions et de leur comportement : quel est le problème de ceci ? Donc, faire une démonstration de force pour envoyer un message aux autres, punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres et faire en sorte que la punition de cette personne serve d’avertissement aux autres, est-ce que la nature de ces actions est la même que la façon dont j’ai géré l’Église canadienne ? (Non.) Alors, pourquoi punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres ? Quelle en est la nature ? Punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres, faire une démonstration de force pour envoyer un message aux autres et faire en sorte que la punition d’une personne serve d’avertissement aux autres : la nature de ces trois actions est fondamentalement la même. Quelle est cette nature ? Il s’agit de l’acte d’un gouvernant ou d’une personne puissante qui fait quelque chose dans une situation spécifique qu’il considère nécessaire pour établir son autorité et l’utiliser pour intimider les autres. Cela s’appelle punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres. Quel serait leur but en faisant cela ? Ce serait de faire en sorte que les autres leur obéissent, les craignent et soient intimidés par eux, pour qu’ils ne fassent rien d’impétueux face à eux et qu’ils ne fassent pas ce qu’ils veulent en leur présence. Faire cela serait-il en accord avec les principes ? (Non.) Pourquoi dites-vous que cela ne serait pas en accord avec les principes ? Un gouvernant aurait ses motifs pour agir, et ses motifs seraient de consolider son régime et de sauvegarder son pouvoir. Il voudrait faire des histoires à propos de cette question, et ce serait la nature de son action. La question de la gestion de l’Église canadienne était basée sur les vérités-principes, et non sur les philosophies sataniques des non-croyants. L’antéchrist a induit les gens en erreur, il a interrompu et perturbé le travail de l’Église, il a mis l’Église sens dessus dessous, et la plupart des gens ont continué à le défendre : la nature de leurs actions est vraiment si odieuse ! En s’en sortant ainsi tant bien que mal, il aurait été mieux pour eux de quitter l’Église et de partir vivre leur propre vie. Au moins, les ressources de la maison de Dieu n’auraient donc pas été gaspillées, et cela aurait été une bonne chose. Mais, ont-ils fait cela ? Ils n’avaient pas connaissance de cette prise de conscience, et ils ont gaspillé les ressources financières et matérielles de la maison de Dieu, ils n’ont pas fourni d’efforts pour faire leur devoir, et ils étaient de connivence avec l’antéchrist et ont fait le mal en collaboration avec lui : la nature de ces actions est si grave ! La maison de Dieu les a traités ainsi pour les faire réfléchir et pour qu’ils apprennent à se connaître, afin qu’ils sachent changer de direction et se repentir, et ceci est à leur avantage. S’ils n’avaient pas été gérés, peut-être que dans un an, ils auraient tous trahi Dieu et seraient retournés dans le monde. Heureusement, ils ont été isolés et gérés à temps, ce qui a empêché encore plus de gens de faire le mal et empêché le travail de l’Église de subir des pertes encore plus grandes. Ce faisant, ont-ils été sauvés ou éliminés ? (Ils ont été sauvés.) Ils ont effectivement été sauvés. Cela a été fait pour les aider, pour les avertir, pour tirer une sonnette d’alarme à leur attention, pour leur dire que ce n’était pas bien d’agir ainsi, que s’ils continuaient dans cette voie, ils souffriraient de perdition et périraient et perdraient tout espoir d’atteindre le salut. S’ils peuvent saisir ce point, alors ils ont encore de l’espoir. S’ils ne peuvent même pas saisir ce point, et qu’ils continuent à se sentir déprimés, à dégénérer et à sombrer dans le désespoir, à s’opposer au Supérieur et à exprimer leurs notions avec une humeur négative, alors ils auront des problèmes. Que souhaitez-vous pour eux ? (Qu’ils se repentissent.) Vous souhaitez tous qu’ils aillent mieux et qu’ils se repentissent. Et qu’est-ce que Je leur souhaite ? Est-ce que Je souhaite qu’ils ne se repentissent pas, que Je les renvoie tous, que l’Église se porte mieux sans ces gens ? Est-ce cela que Je veux ? (Non.) Non, ce n’est pas ce que Je veux. Je souhaite qu’ils aillent mieux et qu’ils se repentissent, qu’après qu’ils se soient repentis, qu’ils reviennent à la maison de Dieu, et qu’ils ne fassent plus leur devoir comme ils l’ont fait auparavant. Que dit ce verset ? « Qu’ils reviennent tous de leur mauvaise voie et des actes de violence dont leurs mains sont coupables » (Jonas 3:8). Pour eux, s’ils peuvent obtenir cet effet, alors ce sera un souvenir qui ne pourra jamais être effacé aussi longtemps qu’ils vivront, et une expérience extraordinaire pour eux, cela deviendra un évènement merveilleux. Cela dépend de ce qu’ils poursuivent de façon individuelle.

Une fois que la question de l’antéchrist dans l’Église canadienne a été gérée, certaines personnes ont pensé : « Ces gens ont fait leur devoir pendant de nombreuses années, et pourtant, parce qu’un antéchrist est apparu et a créé des perturbations, ils ont été isolés. » Ils ont un sentiment de crise en pensant : « Oh, c’est la première fois que je vois Dieu Se mettre en colère et maudire les gens. Même les associés, les complices et les disciples de l’antéchrist n’ont pas été épargnés. Dieu n’a vraiment aucune considération pour les sentiments de qui que ce soit ! D’habitude, on dit souvent que Dieu aime et a pitié de l’homme, mais cette fois-ci, Sa colère est vraiment insupportable ! » Ils commencent à ressentir un malaise dans leur cœur. Dites-Moi, est-il juste que les gens pensent ainsi ? (Non.) Pourquoi ? Comment les gens devraient-ils aborder cette question ? Depuis combien d’années écoutez-vous des sermons ? Cela ne fait-il pas au moins cinq ans ? Et ne devrions-nous pas être en mesure de parvenir à un consensus sur de nombreuses questions, surtout concernant certaines questions où les principes sont relativement clairs ? (Si.) Que signifie le terme « consensus » ? Cela signifie une sorte de compréhension tacite. Je fais quelque chose sans vous en donner la raison, et vous savez très bien pourquoi, vous pouvez le comprendre, l’accepter et le saisir sous un angle positif : voilà ce que signifie avoir une compréhension tacite. Comment cette compréhension tacite se réalise-t-elle ? Disons que vous avez écouté de nombreux sermons, que vous avez atteint un certain niveau de compréhension de la vérité et que nous avons pu mieux nous connaître. Je vous ai expliqué beaucoup de choses et Je vous ai dit Mes points de vue, Mes idées, Mes principes d’action, ainsi que les choses que vous devez comprendre et faire. Je vous ai dit toutes ces choses et quels étaient Mes points de vue, et vous avez ensuite accepté Mes points de vue et abordé les choses, votre devoir, votre foi, votre vie et autrui selon Mes points de vue. La compréhension tacite entre nous ne se sera-t-elle pas alors de plus en plus développée ? (Oui.) Alors, sommes-nous parvenus à ce genre de compréhension tacite concernant la gestion de l’Église canadienne ? Si Je n’expliquais pas la question selon Moi, à quoi équivaudrait notre compréhension tacite ? « Punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres » et « Faire en sorte que la punition d’une personne serve d’avertissement aux autres » : est-ce notre compréhension tacite ? (Non.) Ces gens ont écouté des sermons pendant de nombreuses années, alors comment Mon action pourrait-elle provoquer une telle réponse de leur part ? Dites-Moi, qu’ai-Je ressenti en les entendant exprimer de telles opinions ? Cela M’a fait sentir à quel point cela est tragique, que les gens puissent dire de telles choses ! Je te le demande : aurais-Je dû ressentir cela ? (Oui.) Pourquoi dis-tu cela ? Parce que ce genre d’affirmation, de perspective, de compréhension, et ce genre de perception n’auraient pas dû exister ou émerger. Maintenant qu’ils ont émergé, ils ont dépassé Mes attentes. Ils sont si éloignés de Mon évaluation et de Mes attentes que J’ai honte de cette question ! Quelqu’un dira : « Est-ce si grave ? N’es-Tu pas juste en train de faire toute une histoire pour rien ? » Laissez-Moi vous dire que ce n’est pas toute une histoire, mais ce n’est pas non plus un problème mineur. À partir du moment où tu commences à croire en Dieu, où tu reconnais que Dieu est ton Dieu et ton Seigneur, où tu veux manger et boire les paroles de Dieu, suivre Dieu, accepter Ses orchestrations et Ses arrangements, et te soumettre à tout ce que Dieu te demande, à partir de ce jour-là, tu as établi une relation avec Dieu. Une fois que tu as établi cette relation, il y a un problème crucial qui existe entre toi et Dieu. Mais de quel problème s’agit-il ? C’est que si tu ne peux pas accepter les choses que Dieu fait et la façon dont Dieu Se comporte, si tu ne peux pas comprendre ces choses, et que tu ne prends pas l’initiative de les chercher et de les saisir, alors ta relation avec Dieu connaîtra un état de crise à tout instant. Et que signifie cet état de crise ? Peu importe combien de paroles de Dieu tu manges et bois, peu importe la façon dont tu envisages de te soumettre à Dieu, tant que cet état de crise est présent même pour une seule journée, alors le fait que tu aies envie de suivre Dieu et que tu veuilles accepter le salut de Dieu peut être détruit, peut devenir intenable et peut devenir simplement un fantasme. Pourquoi dis-Je cela ? Tant que ta relation avec Dieu n’est pas normale et tant que cet état de crise existe, seras-tu capable de garder une relation normale avec Dieu ? Alors quel genre de relation vas-tu avoir avec Dieu ? S’agira-t-il d’une relation de compatibilité ? Une relation familiale, ou bien une relation entre collègues ? De quel genre de relation s’agira-t-il exactement ? Tant que ta relation avec Dieu est en état de crise, alors tu pourras juger et mal interpréter les actes et le comportement de Dieu à tout instant et en tout lieu, et tu seras même capable de t’opposer et de refuser d’accepter les choses faites par Dieu. Ne serais-tu pas donc en danger ? Comment ce danger arrive-t-il ? Cela arrive parce que tu ne connais pas Dieu. Nous ne parlerons pas du côté positif, mais plutôt du côté négatif. Par exemple, tu vois toujours Dieu d’une certaine façon, et tu penses que Dieu est un roi sur terre, un très haut fonctionnaire, une personne suprême qui exerce le pouvoir sur terre. Dans l’œil de ton esprit, tu penses toujours que Dieu est quelqu’un qui a ce genre de position et donc, partant de cela, quelle perspective auras-tu sur ce que Dieu fait et dit ? Laissez-Moi vous donner quelques exemples et vous comprendrez peut-être de quelle perspective Je veux parler. Il existe ce dicton dans le monde : « Être proche d’un roi est aussi dangereux que s’allonger aux côtés d’un tigre. » Alors, y a-t-il des gens qui appliquent ce dicton à leur relation avec Dieu ? (Oui.) Il y en a, et beaucoup de gens adoptent cette perspective sur Dieu. Ensuite, il y a ce dicton que nous avons mentionné plus tôt : « Faire en sorte que la punition d’une personne serve d’avertissement aux autres. » Cela ne fait-il pas aussi de Dieu un roi sur terre ou quelqu’un qui a de l’influence et un statut ? (Oui.) Ils ont cette compréhension de Dieu car ils ont ce point de vue à l’égard de Dieu, et c’est parce qu’ils ont ce genre de relation avec Dieu, parce qu’ils Le voient ainsi, parce que c’est ainsi qu’ils comprennent Son identité et Son statut, qu’ils perçoivent Dieu de la même façon que s’il s’agissait de quelqu’un ayant un statut dans le monde, et c’est naturel. Il y a un autre dicton qui dit : « Comment peut-on tolérer que quelqu’un empiète sur sa sphère d’influence ? » Ceci est une façon de décrire les rois mondains et les personnes qui ont un statut et une influence. Certains parmi vous peuvent connaître ou avoir déjà été associés à ces personnes, et peut-être que vous appliquez également ce dicton à Dieu. C’est-à-dire que quand Dieu fait ou dit quelque chose, tu peux faire un lien entre ces dictons et Lui et percevoir Dieu de cette façon. Si tu perçois Dieu de cette façon et que tu as cette perspective à Son égard, alors comment sera exactement ta relation avec Dieu ? Ce sera une relation d’opposition. Peu importe à quel point tu admires et redoutes le dieu dans l’œil de ton esprit, à quel point tu peux te montrer obéissant et à quel point tu peux t’abandonner à lui, et peu importe ton attitude envers lui, tu auras toujours une relation d’opposition avec Dieu. Vous pensez peut-être qu’en parlant ainsi, Mes paroles paraissent un peu abstraites, mais si vous y réfléchissez avec attention, ne voyez-vous pas que c’est ainsi que les choses se passent ? Une fois que J’ai géré la question de l’antéchrist dans l’Église canadienne, Je ne vous ai pas bien expliqué les choses minutieusement et en détail, et Je ne vous ai pas expliqué les raisons pour lesquelles J’ai géré ces gens, et tant de gens se sont inquiétés de leurs perspectives d’avenir et de leur destin. D’où vient cette inquiétude ? Elle est venue des gens qui avaient mal compris Dieu et qui ne connaissaient pas Dieu, en voilà la cause profonde ! Si votre compréhension de Dieu est conforme à l’essence de Dieu – par exemple, si ta compréhension de la droiture de Dieu, de Son autorité et de Sa sagesse est en accord avec la vérité – alors, peu importe ce que Dieu fait, même si tu ne comprends pas les raisons ni les intentions de Dieu, vas-tu te méprendre sur Dieu ? Non, absolument pas. Une fois que J’ai géré le problème de l’Église canadienne, certaines personnes ont dit : « Cela a été fait pour leur donner un avertissement et pour nous faire peur. » Quel est leur problème ? Ce qu’ils ont dit est-il en accord avec la vérité ? Est-ce que cela montre une compréhension correcte ? (Non.) Pourquoi ? Laissez-Moi vous dire quelque chose d’extrêmement simple : leur compréhension était en désaccord avec la situation réelle, les faits n’étaient pas comme cela, et ils ont mal compris. N’est-ce pas une chose simple à dire ? (Oui.) Donc, pourquoi faites-vous un effort aussi intense pour expliquer ce problème ? Je n’ai jamais pensé cela, et Je n’ai jamais voulu faire peur à personne. La plupart des gens se sont constamment améliorés dans leur devoir au fil des années, alors font-ils désormais leur devoir à hauteur de la norme ? Non, ils ne le font pas, mais ces gens sont en cours d’amélioration pour y parvenir, et si des problèmes mineurs se présentent, Je les tolère. Au cours de ce processus, certaines personnes peuvent causer des perturbations, certaines peuvent procrastiner ou des problèmes mineurs peuvent se présenter avec certaines personnes, mais globalement, ce sont des personnes qui sont plutôt bonnes. Toutefois, il y a une chose que vous ne devriez pas oublier : vous êtes venus pour faire votre devoir. Peu importe à quel point vous travaillez dur, ou à quel point vous souffrez, ou à quel point vous êtes émondés, vous devriez remercier Dieu. Dieu vous a donné cette opportunité afin que vous puissiez vivre toutes sortes de situations différentes et en arriver à avoir toutes sortes d’expériences et de rencontres. Ceci est une bonne chose, et tout est fait pour que vous puissiez comprendre la vérité. Donc, de quoi vous inquiétez-vous ? De qui vous protégez-vous ? Il n’est pas nécessaire d’être ainsi. Vous n’avez qu’à poursuivre la vérité normalement, trouver votre place, et bien faire votre devoir et le travail qui vous incombe, et cela suffit. Ce n’est pas beaucoup vous demander.

À partir du moment où l’antéchrist est apparu dans l’Église canadienne et a commencé à causer des perturbations, jusqu’à ce que ces gens parviennent au niveau où ils sont aujourd’hui, combien de temps les ai-Je tolérés ? Je n’étais pas totalement inconscient de ce qu’il se passait les concernant, Je l’ai longtemps toléré. À quel point l’ai-Je toléré ? Pendant longtemps, ils ont été incapables de produire des travaux finis, ils n’ont fait aucun progrès dans leur travail, et aucun d’entre eux ne s’est occupé de ses propres affaires ; ils avaient tous un comportement arbitraire et imprudent, débauché et débridé, et il aurait fallu s’en occuper il y a longtemps. Si vous êtes, vous aussi, capables de vous montrer arbitraires, imprudents et de ne pas vous occuper de vos propres affaires, n’attendez pas que Je m’occupe de vous. Prenez plutôt l’initiative et démissionnez ; ce serait plus digne. Serait-ce la bonne chose à faire ? Non, ce ne serait pas la bonne chose à faire non plus. Ne pensez pas constamment à partir, vous devez vous concentrer sur l’idée de vous enraciner ici et bien faire votre devoir. Peu importe si vous pouvez bien faire votre devoir ou non, mais mettez-y au moins tout votre cœur, et assurez-vous à la fin de terminer toutes vos tâches. Ne soyez pas un déserteur. Certaines personnes disent : « Mon calibre est médiocre, je ne suis pas très instruit et je n’ai aucun talent. Ma personnalité a des défauts et je rencontre toujours des difficultés dans mon devoir. Que vais-je faire si je ne peux pas bien faire mon devoir et que je suis remplacé ? » De quoi as-tu peur ? Est-ce que tu es le seul à pouvoir terminer ce travail ? Tu viens juste de prendre une fonction, on ne te demande pas de tout assumer. Prends juste ce que tu dois faire, cela suffit. N’auras-tu pas alors rempli tes responsabilités ? Cela est si simple ; pourquoi es-tu toujours si méfiant ? Tu as peur que les feuilles tombantes te frappent la tête et l’ouvrent en deux, et tu penses avant toute chose à tes propres plans de secours, n’est-ce pas ceci qui n’est bon à rien ? Que signifie « bon à rien » ? Cela signifie ne pas essayer de progresser, ne pas être prêt à tout donner, toujours vouloir obtenir un ticket pour un repas gratuit et profiter des bonnes choses, des gens comme cela sont des déchets. Certaines personnes sont trop étroites d’esprit. Comment pouvons-nous décrire ces personnes ? (Elles sont extrêmement mesquines.) Une personne extrêmement mesquine est une personne vile, et toute personne vile peut évaluer le caractère d’un gentleman à partir de ses propres critères vils et considérer les autres comme aussi égoïstes et méprisables qu’eux-mêmes. Ces gens sont des bons à rien, et même s’ils croient en Dieu, il ne leur sera pas facile d’accepter la vérité. Qu’est-ce qui fait qu’une personne a trop peu de foi ? Cela vient du fait qu’ils ne comprennent pas la vérité. Si tu comprends trop peu de vérités et que ta compréhension de ces vérités est trop superficielle, et que tu ne peux donc pas comprendre chaque œuvre que Dieu entreprend, tout ce que Dieu fait, et chaque exigence que Dieu a envers toi, si tu ne peux pas parvenir à cette compréhension, alors toutes sortes de soupçons, d’imagination, d’incompréhensions et de notions surgiront en toi à propos de Dieu. Si ton cœur n’est rempli de rien d’autre que de ces choses, peux-tu avoir une vraie foi en Dieu ? Vous n’avez aucune vraie foi en Dieu, et voilà pourquoi vous vous sentez toujours mal à l’aise, et que vous vous inquiétez de ne pas savoir quand vous pourriez être remplacés. Vous avez peur et pensez : « Dieu peut venir ici à tout instant pour réaliser une inspection. » Détendez-vous simplement. Tant que vous faites bien le travail que la maison de Dieu vous confie, alors même si vous avez quelques lacunes dans votre poursuite de la vérité et de l’entrée dans la vie, Je les laisserai passer. Concernant la façon dont vous assistez aux réunions et écoutez les sermons, votre vie d’Église, et la façon dont vous mangez et buvez les paroles de Dieu, Je ne vais pas surveiller ces choses, et Je ne vous dérangerai pas quand il s’agit de votre travail. Pourquoi est-ce que Je ne vous dérangerai pas ? Il existe plusieurs raisons. L’une d’elle est que vous connaissez mieux que Moi diverses compétences professionnelles. Au cours des dernières années de travail, vous devriez avoir amélioré votre expérience ou vos compétences professionnelles et avoir produit un programme pour votre travail. Que ce soit par écrit ou à l’oral, vous devriez avoir élaboré certaines règles et règlements. Je ne sais pas quel mode de travail vous employez, et Je ne souhaite pas contrarier vos plans et méthodes de travail. Vous pouvez suivre vos propres styles ou modèles, ou règles et règlements, et faire le travail de toutes les façons possibles pour que ce soit facile et pratique, en permettant à chacun de se sentir libre et libéré, et qui se traduit par un niveau élevé d’efficacité. C’est-à-dire que Je vous donne une totale liberté dans votre travail. Bien que Je Me promène parfois dans les Églises, Je Me tiens à l’écart pour que vous ne Me voyiez pas. Je fais de Mon mieux pour que vous vous sentiez libres et libérés. Pourquoi est-ce que Je fais cela ? Aucun d’entre vous ne connait bien les compétences professionnelles ; vous devez progressivement avancer à tâtons comme faisant partie du processus d’apprentissage. Que les gens apprennent des compétences professionnelles ou qu’ils entrent dans la vérité, ils avancent tous à leur propre rythme et ont leur propre niveau d’efficacité. Tu ne peux pas pousser les gens à faire des choses qui sont au-delà de leurs capacités. Les gens doivent passer par un processus, vivre des échecs, des revers ou tirer des leçons de leurs erreurs, puis synthétiser progressivement une direction à suivre et maîtriser certains principes dans tous les domaines. Alors, ils feront ensuite des progrès. Vous avez vos propres styles de travail et vos propres méthodes : il serait inapproprié de Ma part que Je vous dérange à ces égards. Voilà pourquoi Je participe très rarement aux discussions concernant ces questions relatives à votre travail. Ceci est la raison qui vous concerne. Il y a aussi une raison principale qui Me concerne. Je vais être honnête avec vous, ce que vous êtes capables de voir et de penser, que ce soit en termes de compétences professionnelles ou d’art, ou encore plus en termes de vérité, tout cela Me semble très superficiel. Seriez-vous capable de le supporter si J’essayais de vous forcer à progresser plus rapidement ? Non, vous ne le supporteriez pas. Si J’agissais parmi vous comme Je le souhaite, alors, Mes exigences à votre égard dépasseraient votre niveau réel actuel de compétences professionnelles et votre stature réelle concernant l’entrée dans la vie. Je ne souhaite pas faire cela, car ce serait très fatigant pour Moi, et ce serait très pénible pour vous. Nous nous retrouverions tous dans une situation gênante, et ce ne serait pas bon ; ce n’est pas ce que Je souhaite voir. Ce sont Mes pensées sur la question, et les choses sont ainsi. Cela est dû à deux raisons : l’une qui est liée à vous, et l’autre qui est liée au fait que J’ai Mes pensées sur cette question, J’ai géré les choses de cette façon. Gérer les choses de cette façon convient à votre croissance progressive. En termes d’entrée dans la vie, vous avez des livres des paroles de Dieu, il y a toutes sortes de réunions et de sermons, et il y a aussi des dirigeants et des ouvriers qui vous abreuvent et vous soutiennent ; il y a tant de choses desquelles vous pouvez manger, boire et recevoir des provisions. Un autre aspect est le processus de croissance de la vie des gens qui s’apparente à une graine semée dans le sol, arrosée et fertilisée, puis poussant et grandissant progressivement jusqu’à ce qu’elle porte finalement des fruits. C’est un processus très lent. Bien sûr, ce lent processus par lequel vous passez peut être encore plus lent qu’une graine qui pousse, allant de la germination à la production de fruits. Pour quelle raison ? Il y a de nombreuses raisons à la fois pratiques et objectives que l’on retrouve chez les gens. L’une d’entre elles est que les gens ont des tempéraments corrompus, mais nous ne parlerons pas de cela. Une autre est que les gens sont inertes et deviennent souvent négatifs. Ils sont paresseux, et ils sont insensibles et lents concernant la vérité et les choses positives. De plus, les gens n’aiment pas les choses positives. Par conséquent, quand les gens essaient d’entrer dans la vérité et d’atteindre l’entrée dans la vie, ils doivent mener une lutte acharnée et naviguer à contre-courant. Pour les gens, suivre le courant, être un parasite, poursuivre le monde laïque, et suivre les tendances, c’est dériver avec le courant, ce qui est facile, et d’un point de vue subjectif, les gens veulent vraiment agir de cette façon. Cependant, poursuivre la vérité, faire ce qui est juste et être des gens qui ont un sens de la justice, capables de s’occuper de leurs propres tâches, est très pénible pour eux. Ils doivent se rebeller contre leurs désirs subjectifs, leurs propres sentiments, leurs propres notions, et ils doivent aussi se rebeller contre leur paresse et d’autres choses qui sont tout aussi nuisibles et négatives. Quand ils font face à des gens, à des partenaires de travail ou à des environnements qui ne sont pas comme ils l’imaginaient, ou même quand ils entendent des choses bouleversantes ou désagréables, ils doivent compter sur la prière pour surmonter cela, et ils rencontrent donc une très forte résistance sur la voie de la poursuite de la vérité dans leur croyance en Dieu. S’ils sont vraiment déterminés et poursuivent la vérité avec une énergie incroyable, ils verront des progrès en un an ou deux d’expérience. En revanche, s’ils agissent à leur guise et laissent simplement les choses suivre leur cours naturel, alors leurs progrès seront très lents. Peut-être qu’après un certain temps, ils vivront un évènement spécial, qui aura une signification extraordinaire pour eux, et ils apprendront une leçon, ils seront émondés, et au tréfonds de leur cœur, ils souffriront énormément et seront grandement affectés, et ce n’est qu’après cela qu’ils seront en mesure d’opérer un revirement pour le mieux concernant leur entrée dans la vie. Ce revirement peut-il les aider à progresser ? Non, il ne le peut pas. Leurs progrès dépendent de la façon dont ils cherchent la vérité durant cette période. Si ce sont des gens qui ne peuvent faire que des excuses, qui s’adonnent au confort charnel, et qui n’aiment pas vraiment la vérité, alors tout ce qu’ils tireraient de cet évènement ne serait rien de plus qu’une leçon superficielle, et ils ne parviendraient pas à comprendre la vérité. En suivant votre rythme lent de progression de la vie, Je garde cette distance dans Mon association avec vous et J’adopte cette méthode. Pensez-vous que cela est approprié ? (Oui.) C’est tout à votre avantage ; tout du moins, vous êtes détendus. Je ne vous donnerai pas de fardeau supplémentaire, en vous surveillant et en gardant un œil sur vous tout au long de la journée, en ne vous laissant pas vous détendre 24 heures par jour, en vous faisant travailler assidûment et sans relâche. Je ne M’arrangerai pas pour le faire, mais Je permettrai plutôt aux choses de suivre leur cours naturel vous concernant. Cela signifie-t-il que vous pouvez vous laisser aller ? (Non.) Alors, comment puis-Je opter en toute confiance de vous laisser sans surveillance ? Parce qu’il y a l’examen du Saint-Esprit. De plus, si quelqu’un poursuit la vérité, a ce besoin et est prêt à poursuivre la vérité jusqu’au tréfonds de son cœur, alors même si tu ne le regardes pas, il poursuivra toujours la vérité, il s’agit d’une personne décente qui s’occupe de ses propres affaires. Si ce ne sont pas des personnes décentes, alors cela ne servira à rien même de les surveiller. Quand tu les surveilles, ils n’agissent d’une certaine façon qu’en surface, pour te traiter de manière superficielle, et quand durant un instant, tu ne les surveilles pas, ils agissent normalement et retombent dans leur état précédent. La poursuite de la vérité n’est pas quelque chose que les gens peuvent surveiller. Ceci est quelque chose que Je comprends très bien, voilà pourquoi J’adopte cette méthode pour M’associer et interagir avec vous. Il est tout à fait approprié pour Moi de faire cela.

La question de l’Église canadienne n’a-t-elle pas été clairement expliquée maintenant ? Et ce problème ne vous a-t-il pas fait comprendre certaines vérités ? Si vous rencontrez à nouveau un tel problème à l’avenir, direz-vous encore que c’était pour punir sévèrement une personne pour que cela serve d’exemple aux autres et pour faire en sorte que la punition de cette personne serve d’avertissement aux autres ? Avant que cela n’arrive, tu sentais que personne ne pouvait rompre ta relation avec Dieu et que tu étais déjà compatible avec Dieu. Cependant, quand tu as rencontré ce problème, ta petite stature a été révélée. Quelle stature ? Tu pensais que tu pouvais porter de lourds fardeaux et souffrir, que ta détermination et ta foi étaient plus grandes qu’auparavant, et que tu serais bientôt parfait ; ceci était la perception erronée que tu nourrissais dans ton cœur. Et qu’en penses-tu à présent ? Ta réflexion était un peu prématurée ! Regarde-Moi : Je ressemble à cela à l’extérieur, Je peux être touché et vu : Ma personnalité peut-elle être considérée comme ouverte et claire ? À en juger par Ma personnalité, Je ne suis pas quelqu’un qui agit dans votre dos quand survient un problème et qui ne vous dit rien, agissant en secret et vous faisant ensuite deviner quelles sont Mes intentions. Je ne suis pas ce genre de personne. Quel que soit le problème qui apparaît, Je vous l’explique toujours clairement, et pourtant, vous pouvez toujours résumer un tel ensemble de théories et dire : « Ceci est ma plus haute compréhension de Dieu. » Que pensez-vous de cette compréhension ? Vous avez appris une leçon maintenant, n’est-ce pas ? Ne peut-on pas affirmer que cela a été votre plus grand échec dans votre compréhension de Dieu ? Vous pouvez entendre les paroles que Je prononce et voir Mon apparence, et Je suis une personne de chair et de sang qui peut être touchée et vue. J’ai suivi cette ligne de conduite et aucun d’entre vous n’a pu la comprendre, et nous n’avons pas pu parvenir à un consensus, nous n’avions même pas quelques notions de compréhension tacite. Tu es vraiment très loin de Dieu ! Tu es encore loin de la compréhension de Dieu ! Ce sont de vraies paroles ; ceci est la vraie situation. Ne pensez pas que parce que vous pouvez faire un peu votre devoir, que vous croyez en Dieu depuis de nombreuses années et que vous pouvez parler de certaines doctrines, que vous comprenez Dieu. Laisse-Moi te dire que ta réflexion est prématurée ! Ne pense pas que tu sais vraiment une chose ou deux. En réalité, tu es encore loin de comprendre Dieu ; tu n’as même pas effleuré les bords de cette compréhension. Les gens peuvent être révélés dans n’importe quel problème, et certaines personnes ont été révélées par cette question de la gestion de l’Église canadienne. Les gens doivent continuellement grandir et continuellement arriver à se comprendre eux-mêmes et à comprendre Dieu à travers ces différentes situations et évènements afin d’en apprendre davantage sur les actes et le tempérament de Dieu, de comprendre leur rébellion, de comprendre exactement quelle est leur relation avec Dieu et de voir clairement exactement à quel niveau se situent leur compréhension et leur connaissance de la vérité et leur compréhension de Dieu. Grâce à ces questions, ta véritable stature et ton véritable état seront évalués. Avez-vous appris une leçon cette fois ? Efforcez-vous de ne pas avoir ce genre de compréhension la prochaine fois. Ceci est tellement blessant, ceci est tellement incroyable ! Pensez-vous que cette question valait la peine d’être expliquée aussi longtemps ? Cela n’aurait pas dû être nécessaire. Pourquoi est-ce que Je dis que cela n’aurait pas dû être nécessaire ? D’après les formules et les doctrines que vous avez comprises, vous auriez dû pouvoir franchir l’obstacle de cette question ; en y réfléchissant bien vous-mêmes, et en échangeant à ce sujet avec tout le monde, vous auriez dû pouvoir la comprendre de façon relativement pure, sans que votre compréhension devienne si extrême. Mais il s’avère que des compréhensions extrêmes ont émergé, et il est devenu nécessaire pour Moi d’échanger sur certains détails. Votre cœur n’est-il pas lumineux maintenant après avoir écouté cet échange ? Vous ne devriez pas avoir d’autres idées concernant cette question, n’est-ce pas ? Alors, trouvez-vous que la façon dont J’ai géré ces gens est excessive ? (Non.) Terminons ici la discussion sur cette question, et Je commencerai à échanger sur le sujet principal.

Dissection de la manière dont les antéchrists sont malveillants, insidieux et fourbes

La dernière fois, nous avons échangé sur la septième manifestation des antéchrists : ils sont malveillants, insidieux et fourbes. Sur quel aspect avons-nous principalement échangé ? Nous avons parlé de la manière dont les antéchrists sont malveillants. Pourquoi disons-nous qu’ils sont malveillants ? Quels tempéraments, manifestations et caractéristiques spécifiques au sein de leur nature-essence, peuvent les classer comme malveillants, insidieux et fourbes ? Quels sont les traits qui prouvent l’existence de leur malveillance, et qu’elle correspond à leurs véritables circonstances ? Quelles sont les principales caractéristiques de leur nature-essence qui nous donnent une raison d’affirmer que les gens comme cela sont malveillants ? S’il vous plaît, partagez vos réflexions. (Beaucoup d’antéchrists comprennent la vérité, mais ils s’y opposent effrontément. Ils persistent obstinément à choisir de suivre leur propre voie, même s’ils savent clairement ce qui est juste. La malveillance des antéchrists se manifeste aussi dans leur hostilité infondée à l’encontre de ceux qui poursuivent sincèrement la vérité et vis-à-vis des individus positifs.) (Les antéchrists ne veulent pas voir les autres bien faire. Ils souhaitent uniquement jouir des bénéfices que la maison de Dieu apporte aux frères et sœurs – ils ne veulent pas que les frères et sœurs en jouissent, alors ils ne leur transmettent pas ces bénéfices.) (Dieu, Ton dernier échange m’a fait forte impression concernant la manière dont les antéchrists se servent de Dieu et de la vérité comme des outils pour obtenir un statut. J’ai l’impression que c’est particulièrement malveillant.) La plupart d’entre vous se souviennent de certaines choses, c’est-à-dire, de quelques-uns des exemples que J’ai donnés lorsque J’ai échangé sur l’essence malveillante des antéchrists. Vous ne vous souvenez que des exemples, mais vous avez oublié le contenu de Mon échange et la dissection de l’essence malveillante des antéchrists. Combien de vérités que J’ai abordées en échangeant et en disséquant la nature-essence malveillante des antéchrists êtes-vous donc capables de comprendre ? Puisque vous ne pouvez pas vous souvenir de ces choses, cela n’indique-t-il pas que vous n’en avez compris aucune sur le moment ? Si Mon échange vous avait fait forte impression, n’auriez-vous pas été capables de vous en souvenir dans une certaine mesure ? Les choses qui surgissent de votre mémoire ne sont-elles pas celles que vous comprenez ? Les choses que vous ne parvenez pas à vous rappeler ne sont-elles pas celles que vous trouvez très difficiles à comprendre, ou que vous n’arrivez tout simplement pas à comprendre ? Lorsque vous avez entendu ces vérités, sur le moment, vous pensiez qu’elles étaient correctes, et vous vous en êtes souvenus en termes de doctrines, et cela a requis un grand effort de votre part. Cependant, après une nuit de sommeil, vous les avez oubliées. Un mois plus tard, elles se sont complètement évaporées. N’est-ce pas ainsi que les choses se passent ? Pour voir clair dans un sujet ou l’essence d’une personne, tu dois comprendre la vérité. Si tu t’accroches encore aux points de vue de non-croyants, et que tu observes et considères les choses sur la base des affirmations de non-croyants, cela prouve que tu ne comprends pas la vérité. Si tu n’as rien gagné des nombreuses années que tu as passées à écouter des sermons et des échanges, et que lorsque les gens échangent sur la vérité avec toi, tu ne parviens pas à la comprendre, peu importe la manière dont ils l’expliquent. Cela dénote ton incapacité à comprendre la vérité, c’est ce qu’on appelle un faible calibre. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Concernant la malveillance des antéchrists, aucun d’entre vous n’a mentionné l’affirmation la plus cruciale. Pourquoi ne l’avez-vous pas mentionnée ? D’un côté, c’est parce que cela fait un long moment, et vous l’avez oubliée. D’un autre côté, c’est parce que vous ne vous êtes pas rendu compte de l’importance de cette affirmation ; vous ne saviez pas que cette affirmation est la clé qui dévoile et expose l’essence malveillante des antéchrists. Quelle est cette affirmation ? C’est que la malveillance des antéchrists se manifeste avant toute chose dans leur hostilité et leur haine à l’encontre de toutes choses positives et de tout ce qui a trait à la vérité. Pourquoi les antéchrists éprouvent-ils de l’hostilité envers ces choses positives et les détestent-ils ? Ces choses positives leur ont-elles porté atteinte ? Non. Ont-elles affecté leurs intérêts ? Parfois, peut-être que oui, parfois, pas du tout. Alors pourquoi les antéchrists ressentent-ils une hostilité et une haine sans fondement à l’encontre des choses positives ? (C’est leur nature.) Ils ont ce genre de nature, ils ressentent de l’hostilité et de la haine à l’encontre de toutes les choses positives et de toutes les vérités. Cela confirme la nature malveillante des antéchrists. Est-ce là une affirmation importante ou non ? Vous ne vous souvenez pas d’une affirmation si importante ; vous ne vous souvenez que de choses qui ne sont pas cruciales. Pourquoi vous ai-Je posé ces questions ? Pour que vous puissiez parler, et pour que Je puisse voir dans quelle mesure vous comprenez ces choses, ce dont vous pouvez vous souvenir dans votre cœur, et à quel point vous étiez capables de comprendre sur le moment. Comme Je M’y attendais, vous ne vous souvenez que de quelques éléments mineurs. Vous traitez toutes les choses dont J’ai parlé comme de discussions sans intérêt. Je ne suis pas venu ici pour bavarder ; Je suis venu vous dire comment discerner les gens. L’affirmation que J’ai exprimée est la vérité-principe la plus élevée pour discerner la nature malveillante des antéchrists. Si tu ne peux pas mettre en application cette affirmation, alors tu ne seras pas capable de discerner ou de connaître la nature malveillante des antéchrists. Par exemple, lorsqu’un individu est défini comme antéchrist, certains pourraient dire : « Il est bon avec nous, il est aimant, et il nous aide. Pourquoi définir une si bonne personne comme un antéchrist ? » Ils ne comprennent pas que même si les antéchrists peuvent, en surface, paraître aimants envers les autres, ils interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu, et s’opposent spécifiquement à Dieu. Cet aspect insidieux et sournois qui leur est propre échappe à la plupart des gens. Ceux-ci sont totalement incapables de le discerner, et ils comprennent mal Dieu, développent des notions au sujet de Dieu, et vont jusqu’à condamner et se plaindre de Dieu à cause de cela. De tels individus sont tout simplement des scélérats et ils ne peuvent pas recevoir le salut de Dieu. C’est parce qu’ils ne peuvent traiter que des questions superficielles, comme la manière dont les antéchrists piègent, appâtent, et s’attirent les faveurs des gens, et ils ne remarquent pas l’essence malveillante des antéchrists, ni ne voient les méthodes qu’emploient les antéchrists pour résister à Dieu et établir des royaumes indépendants. Pourquoi sont-ils incapables de voir ces choses-là ? Parce qu’ils ne comprennent pas la vérité et ne peuvent discerner les gens. Ils sont toujours induits en erreur par des phénomènes extérieurs et ne peuvent pas voir clair dans l’essence et les conséquences du problème. Ils emploient aussi toujours des notions humaines traditionnelles de moralité et des usages du monde pour évaluer les gens et porter des jugements sur eux. Par conséquent, ils sont induits en erreur par les antéchrists, se tiennent du côté des antéchrists, et des conflits et des affrontements émergent entre eux et Dieu. À qui incombe la faute ? Comment cette erreur est-elle survenue ? Elle découle de leur incompréhension de la vérité, de leur méconnaissance de l’œuvre de Dieu, et du fait qu’ils considèrent toujours les choses et les gens sur la base de leurs notions et de ce qu’ils imaginent.

II. Dissection de l’amour des antéchrists pour les choses négatives

Aujourd’hui, nous allons continuer d’échanger sur la septième manifestation des antéchrists : ils sont malveillants, insidieux et fourbes. Cette manifestation se concentre sur leur malveillance, car la malveillance comprend à la fois le fait d’être insidieux et d’être fourbes. La malveillance est représentative de l’essence des antéchrists, tandis que le fait d’être insidieux et fourbe y est subordonné. La dernière fois, nous avons échangé sur l’essence malveillante des antéchrists et nous l’avons exposée. Nous avons échangé sur des concepts larges et des contenus relativement déterminants, qui abordent certaines paroles concernant l’exposition de cet aspect de l’essence des antéchrists. Aujourd’hui, nous allons poursuivre notre échange sur ce sujet. Il se peut que certains demandent : « Y a-t-il matière à échanger sur ce sujet ? » Oui. Il y a ici certains détails sur lesquels il est encore nécessaire d’échanger. Nous allons aujourd’hui échanger sur ce sujet d’une manière différente et depuis une perspective différente. Quelle était la principale caractéristique et manifestation de la nature malveillante des antéchrists sur laquelle nous avons échangé la dernière fois ? Les gens comme les antéchrists éprouvent de l’hostilité et de la haine à l’encontre de toutes choses positives et de la vérité. Leur hostilité et leur haine vis-à-vis de la vérité et des choses positives ne nécessitent pas une raison. Elles ne résultent pas non plus de l’instigation de quiconque, et elles ne sont certainement pas dues au fait qu’ils seraient possédés par un esprit malfaisant. Ils n’aiment tout simplement pas ces choses-là par nature. Ils ressentent de l’hostilité et de la haine à l’encontre de ces choses ; dans leur vie et dans leur chair, ils éprouvent de la répulsion lorsqu’ils sont confrontés à des choses positives. Si tu témoignes de Dieu ou échanges sur la vérité avec eux, ils vont développer une haine à ton encontre, et pourraient même se mettre en tête de t’attaquer. Lors de notre dernier échange, nous avons déjà traité de cet aspect des antéchrists qui, éprouvent de l’hostilité et de la haine à l’encontre des choses positives. Nous n’allons donc pas, cette fois, en rediscuter. Dans cet échange, nous allons explorer un autre aspect. Quel est cet autre aspect ? Les antéchrists éprouvent de l’hostilité et de la haine à l’encontre des choses positives ; alors qu’aiment-ils ? Aujourd’hui, nous allons analyser et disséquer la nature malveillante des antéchrists de ce côté-là et suivant cette perspective. Est-ce nécessaire ? (Oui.) C’est nécessaire. Pourriez-vous en prendre conscience par vous-mêmes ? (Non.) L’aversion des antéchrists pour les choses positives et la vérité constitue leur nature malveillante. Alors, sur cette base, examinons attentivement ce que les antéchrists aiment, et quel genre de choses ils aiment faire, ainsi que leurs méthodes et moyens de faire les choses, et quel genre de personnes ils aiment. N’est-ce pas là une meilleure perspective, un meilleur point de vue pour examiner leur nature malveillante ? Cela offre un point de vue plus spécifique et objectif. D’abord, les antéchrists n’aiment pas les choses positives, ce qui implique qu’ils sont hostiles à leur encontre et aiment les choses négatives. Qu’y a-t-il comme exemples de choses négatives ? Les mensonges et la tromperie. Ne s’agit-il pas de choses négatives ? Si. Les mensonges et la tromperie sont des choses négatives. Alors, quel est le pendant positif des mensonges et de la tromperie ? (L’honnêteté.) Exactement, c’est l’honnêteté. Satan aime-t-il l’honnêteté ? (Non.) Il aime la tromperie. Quelle est la première chose que Dieu requiert des humains ? Dieu dit : « Si tu veux croire en Moi et Me suivre, quel genre de personne dois-tu être, avant toute autre chose ? » (Une personne honnête.) Alors, quelle est la première chose que Satan enseigne aux gens ? Le mensonge. Quelle est la première preuve de la nature malveillante des antéchrists ? (La tromperie.) Oui, les antéchrists aiment la tromperie, ils aiment les mensonges, et ils détestent et haïssent l’honnêteté. Même si l’honnêteté est une chose positive, ils ne l’aiment pas, et ils éprouvent au contraire de la répulsion et de la haine à son encontre. Par contraste, ils aiment la tromperie et les mensonges. Si quelqu’un parle souvent avec honnêteté devant des antéchrists, et dit quelque chose comme : « Tu aimes diriger le travail depuis une position ayant un statut, et parfois tu es paresseux », comment les antéchrists le prennent-ils ? (Ils ne l’acceptent pas.) Ils ne l’acceptent pas ; c’est là une des attitudes qu’ils adoptent, mais est-ce tout ? Quelle est leur attitude vis-à-vis de cette personne qui parle avec honnêteté ? Ils éprouvent de la répulsion et ne l’aiment pas. Certains antéchrists disent aux frères et sœurs : « Je vous dirige depuis quelque temps maintenant. S’il vous plaît, dites-moi tout ce que vous pensez de moi. » Tout le monde se dit : « Puisque tu es si sincère, nous allons te faire un retour. » Certains disent : « Tu es assez sérieux et appliqué dans tout ce que tu fais, et tu as enduré bien des souffrances. Nous pouvons tout juste supporter de voir cela, et nous sommes bouleversés pour toi. La maison de Dieu aurait besoin de plus de dirigeants comme toi ! Si nous devions souligner une faiblesse, ce serait ton excès de sérieux et d’application. Si tu te surmènes et que tu fais un burn-out, tu ne seras plus capable de continuer à travailler. Ne sera-ce pas alors la fin pour nous ? Qui nous dirigera ? » Lorsque les antéchrists entendent cela, ils se sentent satisfaits. Ils savent que c’est un mensonge, que ces gens essaient d’entrer dans leurs bonnes faveurs, mais ils sont disposés à les écouter. D’ailleurs, les gens qui disent cela se jouent de ces antéchrists comme s’ils étaient idiots, mais ces antéchrists préfèrent endosser le rôle d’idiots plutôt que de révéler la vraie nature de ces paroles. Les antéchrists adorent les gens qui leur lèchent les bottes de cette manière. Ces individus n’évoquent pas les fautes, les tempéraments corrompus, ou les défauts des antéchrists. À la place, ils font secrètement leur éloge et les portent aux nues. Même s’il est clair que ces paroles sont des mensonges et de la flatterie, les antéchrists les acceptent avec joie, et y trouvent du confort et du plaisir. Pour les antéchrists, ces paroles sont meilleures que de savourer les mets les plus exquis. Après avoir entendu ces paroles, ils se sentent imbus d’eux-mêmes. Qu’est-ce que cela illustre ? Cela montre qu’il y a un certain tempérament chez les antéchrists qui aime les mensonges. Supposons que quelqu’un leur dit : « Tu es trop arrogant, et tu traites les gens de manière injuste. Tu es bon avec ceux qui te soutiennent, mais si quelqu’un prend ses distances avec toi ou ne te cire pas les pompes, tu le rabaisses et l’ignores. » Ces paroles ne sont-elles pas fidèles à la vérité ? (Si.) Comment les antéchrists se sentent-ils après avoir entendu cela ? Ils sont mécontents. Ils ne veulent pas l’entendre, et ils sont incapables de l’accepter. Ils essaient de trouver des excuses et des raisons pour justifier ces choses-là et tout arranger. Quant à ceux qui flattent personnellement les antéchrists en permanence, qui prononcent toujours des paroles plaisantes pour faire secrètement leur éloge, et les dupent même clairement avec leurs paroles, les antéchrists ne cherchent jamais à enquêter sur eux. Au lieu de cela, les antéchrists se servent d’eux comme des personnalités importantes. Ils placent même des menteurs invétérés à des postes-clés, et leur assignent certains devoirs majeurs et honorables, tandis qu’ils arrangent pour ceux qui parlent toujours honnêtement, et signalent souvent des problèmes, des devoirs à des postes moins remarquables, les empêchant d’avoir accès aux dirigeants supérieurs, d’être connus ou de s’approcher de la plupart des gens. Peu importe si ces gens ont du talent, peu importe les devoirs qu’ils peuvent faire dans la maison de Dieu, les antéchrists ignorent tout cela. Ils ne se soucient que de ceux qui savent se livrer à des tromperies et qui leur sont avantageux ; ce sont ces individus qu’ils placent à des postes importants, sans prendre en considération le moins du monde les intérêts de la maison de Dieu.

Les antéchrists adorent la tromperie et les mensonges. Par exemple, supposons que les Églises qu’ils supervisent ne prêtent aucune attention au travail d’évangélisation, et ne se concentrent pas sur la formation des gens pour répandre l’Évangile, et qu’en conséquence, le travail d’évangélisation produit de médiocres résultats et que peu de gens sont gagnés. Les antéchrists, cependant, ont peur que les gens puissent signaler la situation réelle. Ils détestent quiconque parle avec honnêteté, et apprécient ceux qui peuvent mentir, se livrer à la tromperie, et balayer toute information défavorable sous le tapis. Alors, quel genre de discours les antéchrists aiment-ils entendre le plus ? « Tous ceux qui répandent l’Évangile dans notre Église sont capables de témoigner, et chacun d’entre eux est un expert pour répandre l’Évangile. » Ces paroles n’ont-elles pas pour vocation de tromper les gens ? Mais les antéchrists aiment entendre de telles choses. Comment les antéchrists réagissent-ils après avoir entendu cela ? Ils disent : « Fantastique, les résultats du travail d’évangélisation de notre Église ne cessent de s’améliorer, ils sont bien meilleurs que ceux d’autres Églises. Les gens qui répandent l’Évangile dans notre Église sont passés maîtres en la matière. » Les antéchrists et ceux qui les flattent chantent mutuellement leurs louanges de la sorte, et les antéchrists n’exposent pas leur flatterie éhontée. Les antéchrists travaillent ainsi : lorsque leurs subordonnés les dupent, ils mordent volontiers à l’hameçon. Les antéchrists s’amusent simplement comme ça. Si quelqu’un connaît la véritable situation et se manifeste pour dire : « Ce n’est pas vrai. Sur dix individus auxquels nous avons répandu l’Évangile, nous avons déterminé que deux d’entre eux n’acceptent pas la vérité, et qu’ils ont déjà abandonné leurs investigations. Seuls trois des huit autres croient honnêtement en Dieu. Faisons de notre mieux pour rallier ces trois-là. » Lorsque la réalité de la situation est exposée, comment les antéchrists réagissent-ils ? Ils pensent : « Je ne savais pas ces choses-là ! » Lorsque quelqu’un parle avec honnêteté du véritable état de fait dont les antéchrists n’avaient pas connaissance, sont-ils d’accord ou en désaccord avec lui ? Sont-ils contents ou mécontents ? Ils sont mécontents. Pourquoi sont-ils mécontents ? Ils sont dirigeants, et pourtant ils n’ont aucune connaissance ni aucune compréhension des détails et des faits concernant le travail de l’Église – ils ont même besoin que quelqu’un qui comprend ce qu’il se passe vraiment leur explique tout cela. Lorsque quelqu’un qui comprend la situation et parle avec honnêteté clarifie ces points-là, quel est le premier sentiment qu’éprouvent les antéchrists ? Ils ont l’impression d’avoir complètement perdu la face, et que leur prestige est sur le point d’être terni. Étant donnée la nature malveillante des antéchrists, que vont-ils faire ? La haine va émerger en eux, et ils se diront : « Espèce de commère ! Si tu n’avais pas parlé de tout cela, personne ne s’en serait rendu compte. Grâce à toi, tous sont au courant, et il se peut qu’ils commencent à t’admirer au lieu de moi. Cela ne me fait-il pas passer pour un incapable, comme si je ne faisais pas de travail concret ? Je me souviendrai de toi. Tu dis la vérité, tu me défies et t’opposes à moi à la moindre occasion. Je vais faire en sorte que tu le regrettes ! » Pensez à ceci : comment voient-ils ceux qui travaillent consciencieusement, parlent avec honnêteté, et font loyalement leurs devoirs ? Ils les voient comme des adversaires. N’est-ce pas déformer les faits ? Non seulement ils échouent à coopérer promptement pour se rattraper de leurs erreurs liées à leur travail, mais ils continuent aussi à négliger leurs devoirs. Ils nourrissent même de la haine à l’encontre de ceux qui parlent avec honnêteté et qui sont scrupuleux et responsables dans leur travail. Il se peut même qu’ils essaient de les tourmenter. N’est-ce pas le comportement des antéchrists ? (Si.) De quel genre de tempérament s’agit-il là ? C’est de la malveillance. La malveillance des antéchrists est exposée de cette manière. Chaque fois qu’une personne honnête apparaît, chaque fois qu’une personne prononce des paroles honnêtes, sincères, et chaque fois qu’une personne adhère aux principes et enquête sur la vraie nature de la question, les antéchrists éprouvent répulsion et dégoût à son encontre, et leur nature malveillante éclate et se révèle. Chaque fois qu’il y a de la tromperie, chaque fois qu’un mensonge est proféré, les antéchrists sont ravis, s’y repaissent, et vont jusqu’à s’oublier. Est-ce que quelqu’un parmi vous a lu Les habits neufs de l’empereur ? Le comportement des antéchrists est de nature quelque peu similaire. Dans ce récit, l’empereur paradait nu dans les rues, et des milliers de personnes s’exclamaient : « Les habits neufs de l’empereur sont vraiment beaux ! L’empereur a l’air si magnifique ! L’empereur est si formidable ! Les habits neufs de l’empereur sont effectivement magiques ! » Tout le monde disait des mensonges. L’empereur le savait-il ? Il était complètement nu, comment pouvait-il ignorer qu’il ne portait aucun vêtement ? C’est ce qu’on appelle de la bêtise. Alors, ces antéchrists malveillants, malgré leur insidiosité et fourberie, manquent de sagesse. Pourquoi dis-Je qu’ils manquent de sagesse ? Parce qu’ils sont comme cet empereur nu. Ils n’avaient aucun discernement des paroles qui avaient pour but de les duper. L’empereur était même capable de se promener nu, exposant sa laideur. N’est-ce pas là de la bêtise ? Alors, qu’est-ce que la malveillance des antéchrists révèle souvent ? Leur bêtise.

Parce que les antéchrists ont une nature malveillante, parce qu’ils aiment la tromperie et les mensonges mais n’aiment pas l’honnêteté, et parce qu’ils détestent les discours honnêtes, par conséquent, dans des Églises qui sont sous la gouvernance d’antéchrists, ces individus qui sont soit honnêtes soit à la poursuite de l’honnêteté, ceux qui pratiquent la vérité et qui ne veulent ni duper ni mentir, sont souvent soumis à des tourments. N’en est-il pas ainsi ? Plus tu parles avec honnêteté, plus un antéchrist te tourmentera, et plus tu parles avec honnêteté, plus il t’exécrera. À l’inverse, ceux qui le flattent et le dupent obtiennent des faveurs et sont bien appréciés par lui. Les antéchrists ne sont-ils pas malveillants ? Êtes-vous entourés de tels antéchrists malveillants ? En avez-vous déjà rencontré ? Ils ne permettent pas aux gens de parler avec honnêteté ; quiconque parle avec honnêteté est réduit au silence. Si jamais tu parviens à mentir et à t’aligner avec leurs propos, devenant leur complice, alors ils ne seront plus ton adversaire. Si tu persistes à parler avec honnêteté et à gérer les choses selon les vérités-principes, tôt ou tard, ils te tourmenteront. Est-ce que l’un d’entre vous a déjà été tourmenté ? Simplement parce que vous avez exposé les méfaits de faux dirigeants et d’antéchrists, vous avez été tourmentés, et au bout du compte, vous avez été tourmentés au point de ne plus oser dire quoi que ce soit, même si vous en aviez envie. Cela s’est-il déjà produit ? Le fait de parler honnêtement et de signaler des problèmes t’a amené à être tourmenté. Dans diverses Églises, quelqu’un parmi vous a-t-il été tourmenté pour avoir signalé des problèmes ? Si une personne qui dit des mensonges et trompe l’Église est émondée, est-elle en train d’être tourmentée ? (Non.) C’est une discipline normale ; ce n’est pas la même chose que le tourment. Cela se produit parce que tu es négligent dans ton devoir, tu violes les principes, et agis avec de mauvaises intentions, que tu mens et trompes les gens, ce qui t’a amené à être émondé. Alors, en présence de Dieu, tu ne vas jamais subir de conséquences négatives pour avoir parlé avec honnêteté. En revanche, en présence de Satan et des antéchrists, tu dois faire plus attention. C’est ce que reflète l’expression : « Être proche d’un roi est aussi dangereux que s’allonger aux côtés d’un tigre. » Lorsque tu leur parles, tu dois toujours faire attention à leur humeur, jauger leur bonheur et si leur expression est maussade ou joyeuse, puis décider de ce que tu dois dire pour t’aligner avec leurs pensées. Par exemple, si un antéchrist dit : « Va-t-il pleuvoir aujourd’hui ? », tu dois répondre : « Les prévisions disent qu’il va pleuvoir aujourd’hui. » En réalité, quand un antéchrist dit qu’il pourrait pleuvoir aujourd’hui, c’est parce qu’il ne veut pas sortir et faire son devoir. Si tu dis : « Les prévisions disent qu’il va faire beau aujourd’hui », il se met en colère. Tu devras t’empresser de dire : « Oh, je me suis trompé. Il va pleuvoir aujourd’hui. » L’antéchrist dit : « Tu viens de dire qu’il ne pleuvrait pas. Comment peux-tu dire maintenant qu’il va pleuvoir ? » Tu devras répondre : « Ce n’est pas parce qu’il y a du soleil maintenant que le beau temps va persister. Comme le disent les anciens : “Le ciel a ses tempêtes inattendues”. Les prévisions météorologiques ne sont pas toujours justes, mais ton jugement est parfait ! » Lorsque les antéchrists entendent cela, ils sont satisfaits et louent ta raison. Vous comportez-vous parfois ainsi ? C’est le cas, n’est-ce pas ? Êtes-vous capables de faire ce que les antéchrists font souvent ? Êtes-vous capables d’empêcher les gens de parler avec honnêteté et de tourmenter quiconque le ferait ? Avez-vous tous regardé des films ou séries traitant d’intrigues de palais ? Quelle est la relation entre l’empereur et ses ministres de la cour ? Leur relation n’est peut-être pas facile à résumer en une phrase, mais il y a un phénomène qu’on retrouve, et c’est que l’empereur ne prend les paroles de personne pour argent comptant. Il analyse et scrute tout ce que disent ses ministres, et ne considère jamais leurs propos comme étant la vérité. C’est le principe d’écoute de ses ministres. Quant aux ministres, ils doivent être versés dans l’art de déceler les implications tacites. Par exemple, lorsque l’empereur dit : « Le Premier Ministre Wang a mentionné quelque chose », et ainsi de suite, tout le monde écoute cela et se dit : « L’empereur semble vouloir promouvoir le Premier Ministre Wang, mais il a très peur que les gens forment des factions, recherchent un gain personnel, et se rebellent, alors je ne peux pas ouvertement soutenir le Premier Ministre Wang. Je dois me tenir au milieu, sans m’opposer à lui ni le soutenir, afin que l’empereur ne puisse discerner mes véritables intentions – mais je ne m’oppose pas non plus à la volonté de l’empereur. » Tu vois, dans leur esprit, même une simple affirmation implique beaucoup de réflexion, avec des détours et des méandres plus complexes que la trajectoire d’un serpent. Le sens profond de ce qu’ils disent demeure insaisissable, nimbé d’ambiguïté. Il faut des années d’expérience accumulées pour analyser quelles affirmations sont vraies ou fausses, et il faut déchiffrer leur signification réelle en se basant sur la manière dont ils se comportent ou parlent habituellement. En somme, il n’y a pas une seule affirmation honnête dans leur discours, et tout ce qu’ils disent, ce sont des mensonges. Le dialogue de tout le monde, que ce soit quelqu’un de haut rang ou de moindre stature, contient sa propre manière de s’exprimer. Ils parlent de leur propre point de vue, mais ce qu’ils disent n’a jamais la signification littérale que tu entends – ce ne sont que des mensonges. Comment surviennent les mensonges ? Parce que les gens nourrissent certains desseins, intentions et motivations dans leur discours et leurs actions, lorsqu’ils parlent, ils choisissent soigneusement leurs mots et les implications de leurs mots, ils tournent autour du pot, et ils ont leur propre manière de s’exprimer. Une fois qu’ils adoptent une méthode, s’agit-il toujours d’un discours honnête ? Non, ce n’est pas un discours honnête. Leurs mots contiennent de nombreuses couches de sens, une combinaison de vérités et de contre-vérités – une partie est vraie, l’autre est fausse – et une partie vise à tromper. Dans tous les cas, ils ne sont pas honnêtes. Prenez l’exemple du Premier Ministre Wang que Je viens de mentionner. Quelqu’un s’oppose ouvertement au Premier Ministre Wang dans la cour. Son opposition n’est pas immédiatement apparente comme vraie ou fausse. Il faut creuser davantage. Dans la scène suivante, il boit dans un salon secret de la maison du Premier Ministre Wang. Il s’avère que ces deux-là travaillent ensemble. Si tu ne regardes que la scène où cette personne s’oppose au Premier Ministre Wang, comment peux-tu voir que ces deux-là travaillent ensemble ? Pourquoi s’est-il opposé à lui ? Pour échapper à tout soupçon et se servir de cela pour amener l’empereur à baisser sa garde, l’empêchant de soupçonner qu’ils sont de mèche. N’est-ce pas une tactique ? (Si.) Ces gens-là vivent dans ce cercle où ils n’osent pas prononcer la moindre parole de vérité. Si proférer des mensonges toute la journée est si éreintant, pourquoi ne partent-ils pas ? Ils vont même se recueillir sur la tombe d’un adversaire qui est mort – que se passe-t-il ici ? Ils aiment simplement lutter contre les autres ; sans cette lutte, ils ont l’impression que la vie est morne. Sans lutte, ils pensent que cette vie est trop tranquille. Avec tous ces complots et ces conspirations dans leur esprit, sans nulle part où les mettre en application, ils ont besoin d’un rival contre lequel lutter, pour voir qui est supérieur. C’est à ce moment-là qu’ils ont l’impression que leur vie a de la valeur. Si leur adversaire meurt, ils ont l’impression que leur vie n’a plus le moindre sens. Dites-Moi, de telles personnes peuvent-elles être réformées ? (Non, elles ne le peuvent pas.) C’est leur nature même. Les antéchrists ont ce genre de nature : ils luttent contre les autres et contre les dirigeants et ouvriers, tous les jours. Ils luttent même contre Dieu, proférant des mensonges et trompant tous les jours, interrompant et perturbant le travail de la maison de Dieu. Ils ne tiennent pas en place un seul instant. Ils sont incapables d’accepter la vérité, peu importe sous quelle forme elle est échangée avec eux. Comme le grand dragon rouge, ils ne se reposeront pas avant d’avoir été complètement détruits.

Les antéchrists n’aiment pas ceux qui parlent sincèrement, ils n’aiment pas les gens honnêtes. Ils aiment la tromperie et les mensonges. Alors, quelle est leur attitude vis-à-vis de Dieu ? Par exemple, quelle est leur attitude vis-à-vis du fait que Dieu requiert que les gens soient honnêtes ? D’abord, ils méprisent cette vérité. Leur capacité à dédaigner les choses positives est très révélatrice de leur problème, et elle prouve déjà que leur nature est malveillante. Cependant, cela ne dresse pas un tableau complet ou intégral. Creusons davantage : comment les antéchrists comprennent-ils l’exigence d’honnêteté de Dieu vis-à-vis des gens ? Ils se disent peut-être : « Être une personne honnête, tout dire à dieu, tout lui raconter, et tout partager ouvertement avec les frères et sœurs, cela ne signifie-t-il pas perdre ma dignité ? Cela signifie n’avoir aucune dignité, aucun égo, et certainement aucune intimité. C’est terrible ; quel genre de vérité est-ce là ? » Ne voient-ils pas les choses ainsi ? Non seulement les antéchrists méprisent profondément, dans leur cœur, les paroles de Dieu et Son exigence d’honnêteté, mais ils peuvent même aller jusqu’à condamner cela. S’ils sont capables de condamner cela, peuvent-ils être des personnes honnêtes ? Absolument pas. Ils ne peuvent absolument pas être honnêtes. Quelle est la réaction des antéchrists lorsqu’ils voient des gens admettre qu’ils ont dit des mensonges ? Au plus profond de leur cœur, ils méprisent et se moquent d’un tel comportement. Ils pensent que les gens qui essaient d’être honnêtes sont vraiment des imbéciles. N’est-ce pas malveillant de leur part de définir les gens honnêtes comme étant des imbéciles ? (Si.) C’est malveillant. Ils pensent : « Qui dit la vérité dans la société d’aujourd’hui ? Dieu te demande d’être honnête, et tu essaies vraiment d’être honnête – tu parles même honnêtement de ces choses-là. Tu es vraiment incroyablement stupide ! » Le mépris qu’ils ressentent, au fond de leur cœur, pour les gens honnêtes prouve qu’ils condamnent et exècrent cette vérité, et qu’ils ne l’acceptent pas ni ne s’y soumettent. N’est-ce pas là, la malveillance des antéchrists ? Cette vérité est clairement une chose positive, et un des aspects de la vie de l’humanité normale que les gens doivent posséder, en termes de comportement, mais les antéchrists condamnent cela. C’est malveillant. Au sein de l’Église, il y a souvent des gens qui se retrouvent « émondés » par certains dirigeants parce qu’ils ont signalé des problèmes ou décrit la réalité des choses au Supérieur – ceux-là, on les tourmente. Parfois, lorsque le Supérieur s’enquiert d’une situation au sein de l’Église, certains dirigeants ne rapportent que des choses positives et omettent les choses négatives. Lorsque certaines personnes apprennent que les rapports de ces dirigeants ne sont pas factuels, et leur demandent de dire la vérité, ces dirigeants les écartent et les empêchent de dire la vérité. Certaines personnes n’acceptent pas la manière dont les antéchrists font les choses. Elles pensent : « Puisque tu ne veux pas parler honnêtement, je ne te traiterai plus comme un dirigeant. Je vais dire la vérité au Supérieur. Je n’ai pas peur d’être émondé par lui. » Alors, elles rapportent fidèlement la situation réelle au Supérieur. Lorsqu’elles font cela, elles étalent les affaires de l’Église au grand jour. Comment cela se fait-il ? Eh bien, ces personnes ont exposé les faits au sujet de ces antéchrists – elles ont exposé la véritable situation. Les antéchrists sont-ils d’accord avec cela ? Peuvent-ils le tolérer ? Ils ne vont absolument pas épargner les personnes qui ont signalé le problème. Que font les antéchrists ? Peu après, ils organisent une réunion à ce sujet, ils demandent aux gens d’en discuter et observent leurs réactions. La plupart des gens, facilement influencés, étudient la question et se disent : « Quelqu’un a rapporté les faits, et maintenant ce dirigeant est en danger. Nous n’avons pas rapporté ce qu’il se passait – si le Supérieur décide de punir ce dirigeant, n’allons-nous pas être impliqués aussi ? » Alors, ces gens trouvent des moyens de défendre les dirigeants, et par conséquent, les gens qui ont rapporté la vérité se retrouvent isolés. De cette manière, les antéchrists peuvent faire ce que bon leur semble, parce que peu importe tous les méfaits qu’ils commettent, personne n’ose rapporter la situation au Supérieur, et ils atteignent ainsi leurs objectifs. Par conséquent, pour certaines personnes, le fait de rapporter la situation au Supérieur pose un grand nombre de problèmes. Ils sont au courant des faits, mais les antéchrists cherchent toujours à les réduire au silence. Par peur et par timidité, ils font des compromis. Mais ce faisant, ne deviennent-ils pas les victimes de la coercition des antéchrists ? Au final, une fois que ces antéchrists sont révélés et remplacés, comment penses-tu que les gens qui ont fait des compromis se sentent ? Le regrettent-ils ? (Oui, ils le regrettent.) Ils se sentent à la fois heureux et pleins de regrets, et se disent : « Si j’avais su que les choses allaient finir ainsi, je n’aurais pas baissé les bras. J’aurais dû continuer à les exposer et signaler leurs problèmes jusqu’à ce qu’ils soient remplacés. » Mais la plupart des gens sont incapables de faire cela ; ils sont trop lâches.

Les antéchrists aiment la tromperie et les mensonges, et ils exècrent l’honnêteté ; c’est la première manifestation évidente de leur nature malveillante. Tu vois, certains individus parlent toujours d’une manière qui fait qu’il est difficile de vraiment les comprendre. Parfois leurs phrases ont un début mais pas de fin, parfois une fin mais pas de début. Tu ne peux pas du tout savoir ce qu’ils veulent dire, rien de ce qu’ils disent n’a de sens pour toi et si tu leur demandes de te l’expliquer clairement, ils ne le font pas. Ils utilisent souvent des pronoms dans leur discours. Par exemple, lorsqu’ils rapportent un fait, ils disent : « Ce type, euh, il pensait à cela, et puis les frères et sœurs n’étaient pas très… » Ils pourraient continuer pendant des heures sans jamais s’exprimer clairement, en bégayant et en balbutiant, sans finir leurs phrases, sans même prononcer le moindre mot qui ait de lien avec un autre, si bien que tu n’en sais pas plus après avoir entendu cela : tu es même plus anxieux. En fait, ils ont entrepris de nombreuses études et ont de l’instruction : alors pourquoi sont-ils incapables de formuler une phrase complète ? C’est un problème de tempérament. Ils sont si évasifs qu’il leur faut beaucoup d’efforts pour exprimer ne serait-ce qu’une fraction de la vérité. Dans tout ce que les antéchrists disent, il n’y a pas de fil conducteur, il y a toujours un début mais pas de fin : ils laissent échapper la première moitié d’une phrase, puis ravalent la fin, et ils tâtent constamment le terrain, parce qu’ils ne veulent pas que tu comprennes ce qu’ils veulent dire, ils veulent que tu le devines. S’ils te le disaient directement, tu te rendrais compte de ce qu’ils disent et tu les percerais à jour, n’est-ce pas ? Ils ne veulent pas que cela se produise. Que veulent-ils ? Ils veulent que tu devines par toi-même, et ils te laissent volontiers croire que ce que tu devines est vrai : dans ce cas, ils ne l’ont pas dit, donc ils ne portent aucune responsabilité. Au-delà de cela, que gagnent-ils lorsque tu leur dis ce que tu supposes avoir compris de leur propos ? Ta supposition correspond exactement à ce qu’ils veulent entendre, et cela leur indique quels sont tes idées et tes points de vue sur la question. À partir de là, ils vont parler de manière sélective, choisir quoi dire et ne pas dire, et comment le dire, puis passeront à l’étape suivante de leur plan. Chaque phrase se termine par un piège, et tandis que tu les écoutes, si tu continues de finir leurs phrases, tu seras complètement tombé dans le piège. N’est-ce pas fatigant pour eux de toujours parler ainsi ? Leur tempérament est malveillant : ils ne se sentent pas fatigués. Pour eux, c’est tout à fait naturel. Pourquoi veulent-ils élaborer ces pièges pour toi ? Parce qu’ils ne peuvent pas voir clairement quels sont tes points de vue et parce qu’ils craignent que tu ne les perces à jour. En même temps qu’ils essaient de t’empêcher de les comprendre, ils essaient de te comprendre. Ils veulent recueillir tes points de vue, tes idées et tes méthodes. S’ils réussissent, alors leurs pièges auront fonctionné. Certains essaient de gagner du temps en disant souvent « euh » et « ha » : ils n’expriment pas un point de vue précis. D’autres le font en disant « genre… » ou « Eh bien… », dissimulant ainsi ce qu’ils pensent vraiment et utilisant cela à la place de ce qu’ils veulent réellement dire. Il y a dans chacune de leurs phrases beaucoup de mots fonctionnels, d’adverbes et de verbes auxiliaires inutiles. Si tu devais enregistrer leurs paroles et les transcrire, tu découvrirais qu’aucune d’elles ne révèle leur point de vue ni leur attitude vis-à-vis du sujet en question. Toutes leurs paroles contiennent des pièges cachés, des tentations et des incitations. Quel est ce tempérament ? (La malveillance.) C’est très malveillant ! Y a-t-il de la tromperie ? Ces pièges, ces tentations et ces incitations qu’ils créent, cela s’appelle de la tromperie. C’est une caractéristique commune des personnes ayant l’essence malveillante des antéchrists. Comment se manifeste cette caractéristique commune ? Ils rapportent les bonnes nouvelles mais pas les mauvaises, ils parlent exclusivement en termes agréables, ils parlent de manière hésitante, ils cachent partiellement ce qu’ils veulent véritablement dire, ils parlent de manière confuse, ils parlent vaguement et leurs paroles comportent des tentations. Toutes ces choses sont des pièges, et toutes sont des vecteurs de tromperie.

La majorité des antéchrists présentent ces manifestations, et ils parlent et agissent de cette manière. Pourriez-vous discerner cela si vous étiez en contact avec eux pendant une longue période de temps ? Pourriez-vous les percer à jour ? Avant toute chose, tu dois déterminer s’ils sont des gens honnêtes. Peu importe s’ils demandent aux autres d’être honnêtes et de parler sincèrement, tu dois voir s’ils sont, eux-mêmes, des gens honnêtes, s’ils visent à être honnêtes, et quels sont leur point de vue et leur attitude vis-à-vis des gens honnêtes. Vois s’ils sont répugnés par eux, s’ils les exècrent et discriminent les gens honnêtes au fond de leur cœur, ou s’ils veulent aussi eux-mêmes, être des gens honnêtes, mais qu’ils trouvent cela difficile et exigeant, et donc qu’ils ne peuvent y parvenir. Tu dois déterminer laquelle de ces deux situations est la leur. Serais-tu capable de le discerner ? Sur une courte période de temps, tu en serais peut-être incapable, parce que si leurs méthodes sournoises sont astucieuses, tu pourrais ne pas les percer à jour. Cependant, avec le temps, tout le monde sera capable de les percer à jour ; ils ne peuvent pas cacher éternellement la vérité à leur sujet. C’est comme quand le grand dragon rouge affirme souvent qu’il est « au service du peuple » et qu’il « agit comme le serviteur du peuple ». Mais de nos jours, qui croit encore qu’il s’agit du parti du peuple ? Qui croit encore qu’il prend les décisions au nom du peuple ? Personne n’y croit plus, n’est-ce pas ? Initialement, les gens avaient des attentes optimistes, ils pensaient qu’avec le Parti Communiste, ils pourraient changer leur destin et devenir des maîtres, et qu’il servirait le peuple et agirait comme leur serviteur. Mais de nos jours, qui croit encore à ses paroles diaboliques ? Comment les personnes évaluent cela de nos jours ? Il est devenu un ennemi public des gens. Alors, comment est-il passé de serviteur à ennemi public ? À travers ses actions, et en comparant ses actions avec ses paroles, les gens ont découvert que toutes les choses qu’il disait étaient juste des mensonges fourbes, des contre-vérités et des mots qui visaient à se blanchir. Il prononçait des paroles plaisantes, mais commettait les pires choses. Les antéchrists sont comme cela aussi. Par exemple, ils disent aux frères et sœurs : « Tu devrais accomplir tes devoirs loyalement, ne les laisse pas être altérés par des impuretés personnelles. » Mais réfléchis-y, agissent-ils eux-mêmes de cette manière ? Lorsque tu leur suggères quelque chose, dès que tu révèles ne serait-ce qu’une petite partie de ton opinion, ils sont en désaccord ou ne l’acceptent pas. Lorsque leurs intérêts personnels entrent en conflit avec leurs devoirs ou les intérêts de la maison de Dieu, ils luttent pour conserver chaque miette de profit, et ne lâchent rien en retour. Réfléchis à leur comportement, et compare-le avec ce qu’ils disent. Que remarques-tu ? Leurs paroles sonnent bien, mais elles ne sont que des mensonges qui visent à tromper les gens. Lorsqu’ils conspirent et luttent pour leurs intérêts, leur comportement, ainsi que leurs intentions, moyens et méthodes d’actions sont tous authentiques – ils ne sont pas factices. Sur la base de ces choses, tu peux gagner en discernement vis-à-vis des antéchrists.

Les antéchrists adorent les mensonges et la tromperie – qu’est-ce qu’ils aiment d’autre ? Ils aiment les tactiques, les conspirations et les complots. Ils opèrent selon la philosophie de Satan, ne recherchent jamais la vérité, s’appuient entièrement sur les mensonges et la tromperie, et emploient des conspirations et des complots. Peu importe la clarté avec laquelle tu échanges sur la vérité, même s’ils acquiescent en signe d’assentiment, ils n’agiront pas selon les vérités-principes. Au lieu de cela, ils vont se remuer les méninges et agir en utilisant conspirations et complots. Peu importe avec quelle clarté tu échanges sur la vérité, il semble qu’ils soient incapables de la comprendre ; ils font simplement les choses comme ils veulent, de la manière qu’ils veulent, et de n’importe quelle manière qui puisse servir leurs propres intérêts. Ils parlent avec aisance, cachent leur vrai visage, ne se montrent pas sous leur vrai jour, ils dupent et trompent les gens, et lorsque les autres se font avoir, ils se sentent satisfaits, et leurs ambitions et désirs sont comblés. C’est la méthode et l’approche constantes qu’adoptent les antéchrists. Quant à ces gens honnêtes qui parlent de manière directe, qui parlent honnêtement et échangent ouvertement sur leur propre négativité, leur propre faiblesse et leurs propres états rebelles, et qui parlent du cœur, les antéchrists sont secrètement répugnés par eux et les discriminent. Ils aiment les gens qui, comme eux, parlent de manière tortueuse et fourbe et ne pratiquent pas la vérité. Lorsqu’ils rencontrent de telles personnes, ils sont ravis dans leur cœur, comme s’ils avaient trouvé quelqu’un comme eux. Ils ne s’inquiètent plus du fait que les autres soient meilleurs qu’eux-mêmes, ou qu’ils puissent être capables de les discerner. N’est-ce pas là une manifestation de la nature malveillante des antéchrists ? Cela ne peut-il pas démontrer qu’ils sont malveillants ? (Si.) Pourquoi ces questions-là peuvent-elles illustrer la malveillance des antéchrists ? Les choses positives et la vérité constituent ce que tout être créé rationnel doté de conscience devrait aimer. En revanche, les antéchrists, eux, considèrent ces choses positives comme gênantes, comme une épine dans leur pied. Quiconque les respecte ou les pratique devient leur ennemi, et ils considèrent de tels individus avec hostilité. Cela ne ressemble-t-il pas à la nature de l’hostilité de Satan vis-à-vis de Job ? (Si.) C’est la même nature, le même tempérament que celui de Satan, et la même essence. La nature des antéchrists trouve son origine dans Satan, et elle appartient à la même catégorie que Satan. Par conséquent, les antéchrists sont de mèche avec Satan. Cette affirmation est-elle exagérée ? Pas du tout ; elle est parfaitement exacte. Pourquoi ? Parce que les antéchrists n’aiment pas les choses positives. Ils se plaisent à se livrer à la tromperie, ils aiment les mensonges, les apparences illusoires et les faux-semblants. Si quelqu’un expose leur vrai visage, peuvent-ils se soumettre et l’accepter avec joie ? Non seulement ils ne pourraient pas l’accepter, mais ils réagiraient en l’accablant de mauvais traitements. Les gens qui disent la vérité ou exposent leur vrai visage les rendraient furieux et les mettraient dans une rage folle. Par exemple, il se pourrait qu’il y ait un antéchrist qui soit versé dans l’art du faux-semblant. Tout le monde le perçoit comme une bonne personne : aimant, capable d’empathie avec les gens, capable de comprendre les difficultés des autres, et qui se montre souvent d’un grand soutien et serviable pour ceux qui sont faibles et négatifs. Chaque fois que quelqu’un a des difficultés, il est capable de faire preuve de considération et de lui pardonner. Dans le cœur des gens, cet antéchrist est plus grand que Dieu. Concernant cette personne qui se fait passer pour vertueuse, si tu exposes ses faux-semblants et son imposture, si tu lui dis la vérité, est-elle capable de l’accepter ? Non seulement elle ne sera pas capable de l’accepter, mais elle commencera à redoubler d’efforts dans ses faux-semblants et son imposture. Dis-Moi, si tu avais exposé l’imposture des pharisiens lorsqu’ils ont porté les Écritures aux coins des rues pour prier et les lire pour que les autres les entendent, et que tu leur avais dit qu’ils ne faisaient cela que pour les apparences, auraient-ils confessé ce dont tu les accusais ? L’auraient-ils accepté avec joie ? Auraient-ils réfléchi à tes paroles ? Auraient-ils été capables d’admettre que ce qu’ils faisaient était une imposture et de la tromperie ? Auraient-ils été capables de réfléchir, se repentir, et ne plus jamais agir de la sorte ? Absolument pas. Si tu continues en disant : « Tes actions induisent les gens en erreur et tu iras en enfer et seras puni », cela ne reviendrait-il pas à dire la vérité ? (Si.) Il s’agit bien de la vérité. L’accepteraient-ils ? Non, ils deviendraient immédiatement furieux et diraient : « Quoi ? Tu dis que j’irai en enfer et que je serai puni ? C’est la meilleure ! Je crois en dieu, pas en toi ! Tes paroles ne veulent rien dire ! » Est-ce le fin mot de l’histoire ? Que feraient-ils ensuite ? Ils poursuivraient, en disant : « J’ai voyagé partout, j’ai répandu l’Évangile à tant de personnes, produit tant de fruits, porté tant de croix, et j’ai tant souffert en prison – toi, petit enfant, quand j’ai commencé à croire au seigneur, tu étais encore dans le ventre de ta mère ! » Leur nature est exposée, n’est-ce pas ? Ne prêchent-ils pas la patience et la tolérance, alors pourquoi ne peuvent-ils pas tolérer ce petit problème ? Pourquoi ne peuvent-ils pas le tolérer ? Parce que tu as dit la vérité, tu as dévoilé leur vrai visage, et ils n’ont aucune destination. Sont-ils encore capables de tolérer cela ? S’ils ne sont pas des antéchrists, s’ils sont sur la voie des antéchrists mais peuvent accepter la vérité, et qu’ils présentent aussi une manifestation d’imposture, que feront-ils si tu exposes leur imposture ? Il se peut qu’ils ne réfléchiront pas immédiatement sur eux-mêmes, et le fait de dire qu’ils le font peut sembler irréaliste et vide de sens. Cependant, la première réaction de la plupart des gens normaux lorsqu’ils entendent cela, c’est de ressentir un pincement au cœur. Que signifie cette vive douleur ? Elle veut dire qu’ils sont affectés par ce qu’ils entendent ; ils ne s’attendaient pas à ce que quelqu’un ose se comporter de manière si cavalière, leur dise la vérité et les condamne ainsi, en face à face – ces mots, c’était quelque chose auquel ils ne se seraient jamais attendus et qu’ils n’avaient jamais entendus auparavant. De surcroît, ils ont un sens de la honte et veulent sauver la face. Alors qu’ils repensent à ce que tu leur as dit, que de se tenir au coin de la rue pour prier et lire les Écritures, c’est induire les gens en erreur, après introspection, ils découvrent qu’ils avaient effectivement agi pour montrer aux gens à quel point ils étaient dévoués, à quel point ils aimaient le Seigneur, et à quel point ils étaient capables de souffrir ; ils découvrent que c’est une imposture, et que ce que tu as dit était vrai. Ils découvrent que s’ils continuent d’agir ainsi, ils ne seront plus capables de se montrer à d’autres gens. Ils ont un sens de la honte, et grâce à ce sens de la honte, il se peut qu’ils soient capables de se contrôler quelque peu, de cesser leurs méfaits ou leurs actions qui sont éhontés et leur feraient perdre la face. Qu’est-ce que cela signifie, s’ils cessent d’agir ainsi ? Cela implique une once de repentance. Il n’est pas certain qu’ils se repentiront pour de bon, mais au moins, il y a une possibilité de repentance, ce qui est bien meilleur que les antéchrists et les pharisiens. En quoi est-ce meilleur ? Parce qu’ils ont une conscience et un sens de la honte, les paroles d’autres personnes qui les exposent leur causent un pincement au cœur. Même s’ils peuvent ressentir de la honte, et même si leur dignité a été blessée, ils peuvent au moins admettre que ces paroles étaient correctes. Même s’ils ne sont pas capables de sauver la face, au fond, ils ont déjà reconnu ces mots et s’y sont soumis. Ils les acceptent déjà. En quoi les antéchrists sont-ils différents ? Pourquoi disons-nous que les antéchrists sont malveillants ? La malveillance des antéchrists réside dans le fait que lorsqu’ils entendent quelque chose qui est juste, non seulement ils sont incapables de l’accepter, mais au contraire, ils haïssent cela. En outre, ils ont recours à leurs propres manœuvres, cherchent des excuses, des raisons et divers facteurs objectifs pour se défendre et s’expliquer. Quel but essaient-ils d’atteindre ? Ils visent à transformer les choses négatives en choses positives, et les choses positives en choses négatives. Ils veulent inverser la situation. N’est-ce pas malveillant ? Ils pensent : « Peu importe que tu aies raison ou non, ou à quel point tes mots sont conformes à la vérité, peux-tu résister à mon baratin ? Même si toutes les paroles que je prononce sont clairement fausses, trompeuses, et induisent en erreur, je vais malgré tout nier et condamner ce que tu dis. » N’est-ce pas malveillant ? C’est effectivement malveillant. Penses-tu que les antéchrists, lorsqu’ils voient de bonnes personnes, ne les considèrent pas comme étant honnêtes dans leur cœur ? Ils les considèrent comme des personnes honnêtes qui poursuivent la vérité. Mais quelle est leur définition de l’honnêteté et de la poursuite de la vérité ? Ils pensent que les personnes honnêtes sont stupides. Ils sont répugnés par la poursuite de la vérité, ils l’exècrent et y sont hostiles. Ils pensent qu’elle est fausse, que personne ne serait assez stupide pour tout abandonner pour la poursuite de la vérité, de tout dire à tout le monde, et de tout confier à Dieu. Personne n’est si stupide. Ils ont l’impression que tous ces actes sont faux, et ils ne croient à aucun d’entre eux. Les antéchrists croient-ils que Dieu est tout-puissant et juste ? (Non.) Alors, dans leur esprit, ils mettent des points d’interrogation à toutes ces choses. Quelle est ici l’implication ? Comment interprétons-nous toutes ces questions ? Ils ne se contentent pas de s’interroger à ce propos ou d’en douter ; ils le nient également et cherchent à renverser la situation. Qu’est-ce que J’entends par renverser la situation ? Ils se disent : « À quoi bon être si juste ? Si un mensonge est répété mille fois, il devient la vérité. Si personne ne dit la vérité, alors ce n’est pas la vérité et elle n’a aucune utilité – c’est juste un mensonge ! » N’est-ce pas mélanger le vrai et le faux ? C’est là, la malveillance de Satan – il déforme les faits et mélange le vrai et le faux ; voilà ce qu’ils aiment. Les antéchrists excellent dans les faux-semblants et la tromperie. Ce en quoi ils excellent est, naturellement, inhérent à leur essence, et ce qui est inhérent à leur essence est précisément ce que contient leur nature-essence. Et ce n’est pas tout, c’est ce qu’ils désirent et aiment, et c’est aussi la règle selon laquelle ils survivent dans le monde. Ils croient à des expressions comme : « Les bons meurent jeunes tandis que les malfaisants connaissent le grand âge », « Chacun pour soi, Dieu pour tous », « Le destin d’une personne est entre ses propres mains », « L’homme triomphera sur la nature », et ainsi de suite. L’une de ces affirmations est-elle alignée avec l’humanité ou les lois naturelles que les gens normaux peuvent comprendre ? Pas une seule. Alors comment les antéchrists peuvent-ils tant aimer ces expressions démoniaques de Satan, et même les considérer comme leurs devises ? On ne peut que répondre que c’est à cause de leur nature, qui est trop malveillante.

Il y avait un certain dirigeant d’Église avec qui Je suis entré en contact à quelques reprises pendant une année environ. Nous avions eu plusieurs opportunités de nous rencontrer, mais nos conversations étaient limitées parce qu’il n’était pas du genre à parler librement. Qu’est-ce que cela signifie, « pas du genre à parler librement » ? Cela signifie qu’il ne disait pas grand-chose même si tu lui posais des questions. Alors, se comportait-il ainsi dans ses interactions avec les autres au sein de l’Église ? Il y avait deux situations possibles. Avec ceux qui étaient du même état d’esprit, il avait fort à dire. Cependant, avec ceux qui ne l’étaient pas, il devenait méfiant et ne parlait pas aussi librement. Plus tard, J’ai pu conclure que durant Mes interactions avec lui, il prononçait au total cinq phrases « classiques ». Il ne parlait pas librement, alors lorsqu’il prononçait une phrase, elle devenait aussitôt « classique ». De quel genre de personne s’agit-il ? Peut-on dire de lui qu’il est quelqu’un de « distingué » ? Il est tout à fait normal pour des dirigeants d’Église ou des ouvriers d’être en contact avec Moi et de discuter de certaines questions, n’est-ce pas ? Cependant, cet individu était unique en son genre. Il ne prononçait que cinq phrases, cinq phrases incroyablement « classiques ». Écoutez bien ce qui rend ces phrases si « classiques ». Chacune de ses phrases a son propre contexte et sa propre petite histoire. Commençons par l’origine de sa première phrase.

Dans l’Église dirigée par ce dirigeant, il y avait une personne malfaisante qui avait commis plusieurs méfaits et qui perturbait le travail de l’Église. Tout le monde voyait bien que c’était un individu malfaisant, alors ils ont commencé à échanger à son sujet et à discuter de son cas. S’il devait être expulsé et renvoyé, une note devrait être éditée à son sujet au sein de l’Église, afin que tout le monde sache quels méfaits il avait commis et pourquoi il était classé comme une personne malfaisante et pourquoi il était renvoyé. Tandis que certains des méfaits commis par cette personne malfaisante étaient en train d’être exposés, ce dirigeant, qui d’ordinaire ne parlait pas beaucoup, a pris la parole et a dit : « Il pensait bien faire.» Comment considérait-il cette personne malfaisante qui commettait ces méfaits et perturbait le travail de l’Église ? « Ce type pensait bien faire. » Il estimait que les mauvaises choses commises par une personne malfaisante étaient en conformité avec la vérité, du moment que cette personne pensait bien faire. À ses yeux, quelle que soit la nature des actions de cet individu, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, et, quelles que soient les conséquences de ses actions, du moment qu’il pense bien faire, même les interruptions et les perturbations qu’il cause sont en conformité avec la vérité. « Il pensait bien faire. » C’est la première phrase que ce dirigeant a prononcée. Avez-vous déjà entendu de tels propos ? Une personne malfaisante commet clairement de mauvaises actions, et pourtant quelqu’un dit que cette personne nourrissait de bonnes intentions en se livrant à ces méfaits. Tout le monde a-t-il du discernement sur cette phrase ? Je crois que certaines personnes peuvent être induites en erreur par cette phrase, parce que la majorité des gens pensent que du moment qu’une personne pense bien faire, elle ne devrait pas être gérée, et que si quelqu’un fait quelque chose de mal tout en ayant de bonnes intentions, il ne fait pas volontairement le mal. Après avoir été ainsi influencées et induites en erreur par ce dirigeant, il était possible que certaines personnes prennent le parti du dirigeant, et se mettent à sympathiser avec la personne malfaisante. Si ce dirigeant ne les avait pas induits en erreur, la majorité des gens auraient correctement compris cette question et auraient pensé que cette personne malfaisante devait être expulsée et renvoyée pour ses méfaits. Cependant, après avoir été influencées et induites en erreur par ce dirigeant, certaines personnes se sont dit : « Il pensait bien faire, cela a du sens. Parfois, nous sommes ainsi, nous aussi. Alors, si nous faisons quelque chose de mal tout en ayant de bonnes intentions, serons-nous, nous aussi, exclus et renvoyés ? » Par conséquent, ces gens-là prennent le parti de ce dirigeant. Pourquoi ? Parce qu’ils pensent à leur propre avenir. N’a-t-il pas été facile pour eux d’accepter la phrase prononcée par ce dirigeant ? Quelles ont été les conséquences de cette acceptation ? Ils ont développé des doutes au sujet de Dieu, au sujet de Son tempérament juste, et de Ses principes concernant la manière de faire les choses. Ils ont développé des doutes au sujet des principes de la maison de Dieu pour faire les choses, ils les ont remis en question, et les ont ensuite condamnés. Ils ont nourri ces doutes dans leur cœur. En réalité, cette personne malfaisante n’était pas renvoyée parce qu’elle avait commis une seule mauvaise chose. Dans la maison de Dieu, personne n’est renvoyé parce qu’il a commis une erreur ponctuelle, peu importe s’il effectue du travail manuel, un devoir particulier, ou un devoir impliquant des compétences techniques. Tous sont soumis à une classification conjointe de leur comportement régulier par des dirigeants d’Église et les frères et sœurs, et ensuite ils sont gérés. Par exemple, si quelqu’un se montre toujours paresseux alors qu’il devrait être en train de travailler et qu’il se trouve des excuses pour éviter de travailler, est-il approprié de le renvoyer sur la base de ce comportement ? (Oui, c’est approprié.) Exactement, c’est approprié. Par exemple, si on t’a assigné la tâche de faire le ménage, et que, fréquemment tu manges des graines de tournesol, bois du thé, lis le journal, et jettes nonchalamment les cosses de graines par terre, n’es-tu pas en train de négliger tes devoirs ? Non seulement tu ne nettoies pas, mais tu es en plus en train de salir, ce qui signifie que tu négliges tes devoirs. Si tu es incompétent dans ton travail, c’est parfaitement conforme aux principes de te renvoyer, et tu ne devrais pas discuter. Cependant, ce dirigeant d’Église affirmait que cette personne pensait bien faire, ce qui a induit les gens en erreur. Une fois que le dirigeant a influencé et induit les gens en erreur de la sorte, certains d’entre eux ont suivi sa direction et ils sont parvenus à un consensus. Mais où ont-ils placé Dieu et les vérités-principes en agissant ainsi ? Ils sont devenus comme une famille, parlant de « notre Église » et de « notre maison de Dieu. » Comment « Église » et « maison de Dieu » sont-ils définis ? Peut-il y avoir une maison de Dieu là où Dieu n’est pas ? (Non.) Si Dieu n’est pas quelque part, peut-il y exister ou y être établie une Église ? (Non, c’est impossible.) Alors, qu’est-ce que cela signifiait lorsqu’ils disaient « notre » ? Cela signifiait qu’ils s’étaient séparés de Dieu. L’Église est devenue l’Église de ce dirigeant confus, il est devenu le maître de l’Église, tandis que ces soi-disant frères et sœurs et personnes confuses formaient un gang autour de lui et se comportaient vis-à-vis de lui comme des membres de sa famille. Ils ont pris leurs distances avec Dieu, et ainsi Dieu a endossé un rôle hors de la « maison de Dieu ». Voilà les conséquences qui se sont développées lorsque ce dirigeant a prononcé cette première phrase dans ces circonstances. Tout le monde l’a particulièrement approuvé, et s’est dit : « Notre dirigeant d’Église est juste, il est prévenant à notre égard, il pardonne nos faiblesses, et prend même notre défense. Lorsque nous faisons des erreurs, Dieu nous expose et nous émonde toujours. Mais notre dirigeant nous protège constamment, tout comme une poule protège ses poussins. Avec lui, nous ne subirons aucune offense. » Tout le monde lui était très reconnaissant. Voilà les conséquences de la première phrase prononcée par ce dirigeant.

Poursuivons avec la deuxième phrase prononcée par ce dirigeant. Il y avait eu un travail concernant des affaires externes au sein de l’Église, que la plupart des gens ne pouvaient accomplir, ou bien ils étaient trop occupés avec leurs propres devoirs pour s’en occuper. Certains croyants, de nom seulement, étaient doués pour se charger des questions externes, alors la maison de Dieu allouait un peu d’argent pour que quelqu’un comme cela s’occupe de ces tâches, et parfois la maison de Dieu dépensait un peu plus pour qu’il gère un certain nombre de tâches pour le compte de la maison de Dieu. Dites-Moi, cela violait-il les principes de la maison de Dieu de dépenser 200 yuans de plus pour gérer de telles questions ? C’était la seule manière de gérer ces questions, et elle donnait de bons résultats, alors c’est ainsi qu’elles étaient gérées. Donner 200 yuans de plus à cette personne rendait plus pratique la gestion de ces choses pour la maison de Dieu, et de nombreux problèmes ont été résolus. Cela valait-il la peine de dépenser ces 200 yuans supplémentaires ? (Cela valait la peine.) Cela valait tout à fait la peine. Il était approprié de procéder ainsi. Si la maison de Dieu donnait ces 200 yuans à quelqu’un qui ne pouvait pas se charger de ces tâches, ce serait simplement du gâchis. Lui donner ces 200 yuans signifiait que ces tâches seraient bien accomplies ; alors, était-ce aligné avec les principes de la maison de Dieu de gérer les choses de la sorte ? (C’était aligné avec les principes.) Alors, était-ce aligné avec les principes de ne pas en discuter ou communiquer à ce sujet avec les frères et sœurs ? (C’était aligné avec les principes.) Le Supérieur a-t-il le droit de gérer les choses de cette manière ? (Oui.) Oui, c’est certain. Mais ce dirigeant d’Église a dit : « Les frères et sœurs ont dit que cette personne a reçu 200 yuans de plus… je m’enquiers juste à ce sujet au nom des frères et sœurs. Ils ne comprennent pas ce principe, et nous voulons chercher une manière d’échanger sur cet aspect de la vérité. » Il ne s’exprimait qu’avec des moitiés de phrases. C’était la deuxième phrase. De toute évidence, cette phrase était une question, et signifiait : « Tu dis que tout ce que tu fais est aligné avec les principes, mais cette chose-là ne l’est pas, et certains frères et sœurs ont des opinions et des notions à ce sujet, alors j’ai une question à te poser en leur nom. Comment expliques-tu cette affaire ? Donne-moi une explication. » C’est une question, n’est-ce pas ? Alors, analysez combien de messages étaient contenus là-dedans – quel est votre point de vue lorsque vous entendez une telle chose ? Comment considérez-vous cette personne en vous basant, sur cette affaire ? (Dieu, il y avait un ton interrogateur dans sa phrase. Il questionnait Dieu. En réalité, il avait ses propres notions sur ce sujet. Il n’a pas exprimé ses propres pensées véritables. Au lieu de cela, il a dit que c’était les frères et sœurs qui ne pouvaient accepter la décision du Supérieur, qu’ils avaient leurs opinions à ce sujet. En tant que dirigeant d’Église, lorsque les frères et sœurs avaient des notions, il aurait dû échanger sur la vérité avec eux afin de résoudre ce problème. Non seulement il ne l’a pas résolu, mais il est venu questionner Dieu avec ces notions. Il y a un tempérament fourbe et malveillant en lui.) Deux points ont été mentionnés : le premier, c’est qu’il questionnait le Supérieur, et le second, c’est qu’il nourrissait déjà des notions en lui, et pourtant, il a dit : « Les frères et sœurs ne comprennent pas les principes, et ils veulent les chercher. » Y a-t-il un problème avec cette phrase ? Les frères et sœurs étaient-ils si importants à ses yeux ? Puisqu’il considérait que l’entrée des frères et sœurs dans la vie était si importante, lorsqu’ils ont développé des notions fortes comme celles-là, pourquoi ne les a-t-il pas résolues ? N’a-t-il pas été négligent dans son devoir ? Il s’est montré négligent. Il n’a pas résolu le problème, et il a même éhontément porté les notions des frères et sœurs pour questionner le Supérieur. Alors, à quoi servait-il ? Qu’est-ce qui le rendait capable de questionner ? N’avait-il pas lui aussi des notions ? N’avait-il pas lui aussi des opinions sur la décision du Supérieur ? N’avait-il pas lui aussi le sentiment que cette affaire avait été gérée de manière inappropriée ? Ces 200 yuans n’avaient pas été dépensés pour lui, alors il a eu le sentiment qu’il était passé à côté de quelque chose, n’est-ce pas ? Il s’est dit : « J’aurais dû recevoir ces 200 yuans supplémentaires, nous le méritons. Ce type est un incrédule, il n’aurait pas dû les recevoir. Nous croyons vraiment en dieu et nous sommes le peuple de la maison de dieu, pas lui. » N’est-ce pas ce qu’il voulait dire ? (Si.) C’est exactement ce qu’il voulait dire. Et il ne l’a pas dit directement ; il l’a laissé entendre. Après avoir entendu cela, le comprenez-vous ou non ? Quel est votre point de vue sur cette question de dépense d’argent ? La plupart des gens peuvent comprendre ce sujet mineur. Étant donné l’immense travail de la maison de Dieu, ce dirigeant devait-il vraiment relever une dépense supplémentaire de 200 yuans ? De plus, cet argent ne venait pas de sa propre poche, alors pourquoi se sentait-il si ébranlé à ce sujet ? Ne se sentait-il pas tout simplement envieux en voyant d’autres individus être de bonnes personnes ? N’était-ce pas cela qu’il voulait dire ? Êtes-vous capables de comprendre ce que je viens de vous expliquer ? Y en a-t-il parmi vous qui ne sont pas d’accord et qui disent : « Non ! Dépenser 200 yuans supplémentaires à notre insu, c’est terrible que nous n’ayons pas le droit d’être au courant de cela. N’est-ce pas là une dilapidation des offrandes de la maison de Dieu ? » Quel est le concept de la maison de Dieu ? Quel est le concept des offrandes ? Laisse-Moi te le dire. Les offrandes n’appartiennent pas à tous, elles n’appartiennent pas aux frères et sœurs ; s’il n’y avait que des frères et sœurs et pas Dieu, cela ne s’appellerait pas la maison de Dieu. Lorsque Dieu apparaît et œuvre, lorsqu’Il en appelle aux gens devant Lui et établit l’Église – c’est cela, la maison de Dieu. Lorsque les frères et sœurs offrent une dîme, elle n’est pas offerte à la maison de Dieu, ni à l’Église, et elle n’est certainement pas offerte à un individu en particulier. C’est à Dieu qu’ils offrent cette dîme. En termes simples, cet argent est offert à Dieu ; c’est Sa propriété privée. Qu’implique le fait que ce soit Sa propriété privée ? Que Dieu peut l’allouer comme Il le veut, et que le dirigeant n’était pas qualifié pour s’y impliquer. Poser des questions et vouloir chercher la vérité à cause de cette question, laisse-Moi te le dire, c’était un peu excessif et inutile ; c’était une manière d’être faux et de faire semblant ! Il y a eu tant de questions importantes sur lesquelles ce dirigeant n’avait pas cherché la vérité, et pourtant il avait décidé de la chercher sur cette question-là. Pourquoi n’a-t-il pas géré cette personne malfaisante ? Pourquoi n’a-t-il pas cherché et dit : « Cette personne a montré quelques manifestations d’actes malfaisants ; les frères et sœurs sont tous écœurés par elle. Ne devrais-je pas gérer cela ? » Ce dirigeant n’a pas posé de questions à ce sujet ; il était complètement aveuglé par cette personne malfaisante. N’est-ce pas un problème ? Quelle a été la première phrase prononcée par ce dirigeant ? (Il pensait bien faire.) « Il pensait bien faire. » Voyez la « bienveillance » de cet homme ; quel hypocrite ! Il était malveillant, et pourtant ses mots étaient pleins de bienveillance et de moralité ; ses paroles étaient mielleuses, mais il avait des poignards dans le cœur, et il ne s’est pas comporté comme un humain. Quelle a été sa deuxième phrase ? « La maison de dieu a donné 200 yuans supplémentaires à quelqu’un pour accomplir une tâche. Je veux chercher au nom des frères et sœurs sur la manière dont nous devrions comprendre et saisir le principe dans cette question. » Je vous livre cela comme une affirmation complète ; bien évidemment, il n’a pas formulé les choses ainsi. Il a parlé avec hésitation, rendant compliquée la compréhension de ce qu’il voulait dire. C’était juste sa manière de parler. Voilà la deuxième phrase prononcée par ce dirigeant.

Maintenant, écoutez la troisième phrase prononcée par ce dirigeant. Tout le monde travaillait ensemble à creuser. Chaque personne avait été chargée de remplir de terre un panier. Il y avait une personne qui travaillait vite et qui a terminé la première, puis qui s’est assise pour boire un peu d’eau et se reposer, en attendant tous les autres. Puis, quelque chose est allé de travers. Qu’est-ce qui est allé de travers ? Le troisième problème est apparu. Ce dirigeant est de nouveau allé demander au Supérieur : « Nous avons ici quelqu’un qui travaille vite et qui fait les choses rapidement, mais il y a une chose qui ne va pas chez lui. Une fois qu’il a terminé le travail, il se contente de s’asseoir et n’aide personne d’autre, alors tout le monde commence à se faire une opinion de lui. » Le frère Supérieur a demandé : « Est-il généralement paresseux lorsqu’il travaille ? » Ce dirigeant a répondu : « Non, il n’est pas paresseux. Il travaille vite, c’est tout, et après avoir terminé, il s’assoit simplement et attend, sans aider personne, alors les frères et sœurs se forgent une opinion à son sujet. Ils disent qu’il manque de compassion. » Lorsque les frères et sœurs ont mentionné cela, le dirigeant en a été ébranlé. Il a pensé : « Oh, voyez comme cette personne est cruelle ! Mes frères et sœurs sont éreintés par le travail, ils progressent lentement, et personne ne les aide. » Tout le groupe s’est senti bouleversé, alors il s’est lui aussi senti bouleversé. Quelle « empathie » de sa part ! Il a emporté avec lui ce « fardeau » pour le signaler au Supérieur. La première chose qu’il a demandée, c’est : « Une telle personne peut-elle être punie ? » Dites-Moi, pensez-vous qu’une telle personne peut être punie ? (Non.) Alors, quelle est votre réaction après avoir entendu cela ? Avez-vous des sentiments contradictoires à ce sujet ? Vous sentez-vous bouleversés ? (Oui.) La maison de Dieu a toujours échangé sur le fait que les gens doivent comprendre la vérité et traiter les autres équitablement, mais il n’était même pas capable de cette petite chose-là. Le dirigeant pensait qu’il était juste de punir cette personne. N’est-ce pas malveillant ? (Si, ça l’était.) Il a pensé : « Mes frères et sœurs souffrent, et ils m’ont signalé que cette personne manquait de compassion. En tant que dirigeant, comment puis-je rallier ces gens, les apaiser, les protéger, les empêcher d’être lésés ou d’avoir le sentiment d’être traités injustement ? » Sa première réaction a été de punir cet individu. Il s’est dit qu’en le punissant, la colère de tout le monde serait apaisée, et que tout serait juste et équitable. Ne voulait-il pas faire cela ? (Si.) Il a pensé : « Nous mangeons tous la même nourriture, nous vivons tous au même endroit, et nous sommes tous traités de la même manière. De quel droit travailles-tu si vite ? Si tu travailles vite, pourquoi n’aides-tu pas les autres ? » Dites-Moi, que pensent les gens après avoir entendu cela ? « Travailler vite est un péché. Il semblerait que nous ne devrions jamais travailler vite. Cela ne nous rendra pas service, entre les mains de ce dirigeant. Travailler vite n’est pas bien, et être proactif non plus. Il est légitime d’être lent ! » Le Supérieur a demandé au dirigeant : « Et qu’en est-il de ceux qui travaillent lentement ? Est-ce que tu les récompenses ? » Le dirigeant est resté perplexe, mais il n’était pas distrait. Il a dit : « Non, je ne peux pas les récompenser. Cependant, ce type qui travaille rapidement devrait être puni. Les frères et sœurs disent tous qu’il doit être puni. » Voilà la phrase qu’il a prononcée. Dites-Moi, cette phrase représente-t-elle vraiment les frères et sœurs, ou représente-t-elle le dirigeant lui-même ? (Elle représente le dirigeant lui-même.) Mettons de côté les frères et sœurs – parmi eux, il y a toutes sortes de personnes confuses : ceux qui n’aiment pas la vérité, ceux qui parlent de manière détournée, ceux qui sont égoïstes et qui ne servent que leurs intérêts, ceux qui attisent des disputes, ceux qui parlent sans principes, et ceux qui agissent sans fondement moral. Quel genre de personne ne peut-on trouver parmi eux ? Alors, quelle était sa responsabilité en tant que dirigeant d’Église ? Était-ce sa responsabilité de parler au nom des frères et sœurs influents, de défendre ces tendances malveillantes et ces pratiques malfaisantes ? (Non.) Alors quelle était sa responsabilité ? Lorsqu’il a découvert des problèmes de distorsion et de divergence parmi les frères et sœurs, sa responsabilité était de résoudre ces problèmes en se servant de la vérité, afin que ces personnes puissent comprendre où se situaient les problèmes, et les problèmes relatifs à leurs états, de les conduire à se connaître elles-mêmes et à comprendre la vérité, et de les amener devant Dieu. N’est-ce pas là la responsabilité d’un dirigeant d’Église ? (Si.) L’a-t-il assumée ? Non seulement il a échoué à l’assumer, mais il a même nourri ces tendances malveillantes et ces pratiques malfaisantes, il a protégé, incité, et toléré leur émergence et leur propagation au sein de l’Église. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) Dites-Moi, une fois que le Supérieur émonde et expose une personne dotée de ce genre de tempérament malveillant, sera-t-elle réfractaire dans son cœur ? (Oui.) Elle sera certainement réfractaire. Traitera-t-elle les gens équitablement, conformément aux principes qui lui ont été donnés par le Supérieur ? Absolument pas. Tu peux voir à travers les paroles qu’il a prononcées qu’il était profondément sournois. Plus tard, Je Me suis dit : « Si ceux qui travaillent vite sont punis, qui osera travailler vite ? Tout le monde deviendra aussi lent qu’une tortue, incapable de remonter sur la berge, même après avoir paressé pendant trois jours. » N’est-ce pas ainsi que les choses vont se passer ? Au-delà de son incapacité à traiter les gens équitablement, l’aspect le plus grave et le plus fatal de ce dirigeant, et celui qui pouvait le plus induire les gens en erreur, c’était que quels que soient les mauvaises choses que faisaient les frères et sœurs, ou les points de vue absurdes et erronés qu’ils propageaient, non seulement il échouait à les discerner et à les corriger, mais il y cédait, les défendait, et essayait même de les satisfaire. N’était-il pas un individu dangereux ? (Si.) Il était extrêmement dangereux ! C’était la troisième phrase prononcée par ce dirigeant.

Poursuivons avec la quatrième phrase. J’ai fréquemment visité l’Église dont ce dirigeant était responsable. Cette Église élevait quelques poules, et chaque fois que Je M’y rendais, le dirigeant tuait une poule. Un jour, un poulet mijotait dans un bouillon clair ; le jour suivant, un poulet était braisé au vin rouge ; le surlendemain, un poulet était fumé. Je Me suis dit que si Je continuais de M’y rendre tous les jours, le poulailler serait décimé en quelques jours. Pourquoi en était-il ainsi ? Lorsqu’un poulet était cuit, parfois J’en prenais un morceau, et parfois Je n’en voulais pas, mais quoi qu’il en soit, ces gens-là en mangeaient, et un poulet entier était consommé à chaque fois. Plus tard, J’ai réfléchi à cela : si un poulet entier était consommé chaque fois que Je leur rendais visite, peu importe le nombre de poulets qu’ils possédaient, ils ne feraient pas long feu en étant mangés à ce rythme. Alors, J’ai dit au dirigeant qu’il ne pourrait plus tuer de poules. N’était-ce pas la bonne chose à faire ? (Si.) À ce moment-là, cela l’a vraiment mis dans l’embarras. Il a lancé cette question : « Si nous ne pouvons pas tuer de poules, alors… » Tu n’as aucune idée de ce qu’il a demandé ensuite. Qu’est-ce qu’il a fini par lâcher ? « Alors, que veux-tu que nous mangions ? » J’ai dit : « N’y a-t-il rien à manger à part des poulets ? Le potager n’est-il pas plein de légumes ? Je peux bien manger n’importe lesquels d’entre eux. » Il voulait dire que s’ils n’avaient pas le droit de tuer des poulets, Je devrais tout de même avoir de la viande. Il était « attentionné », n’est-ce pas ? J’ai répondu : « De la viande ! Si vous avez des légumes, alors, Je ne vais pas manger de viande. Si Je ne te dis pas de tuer de poules, n’en tue pas ! » Cela aurait dû être facile à comprendre, n’est-ce pas ? (Oui.) Mais dans ce cas, c’est devenu un dilemme. Le fait de ne pas pouvoir tuer de poules l’a mis très mal à l’aise ; il s’est mis à se comporter de manière très étrange, comme un homme possédé. Comme il ne pouvait pas manger de poulet cette fois-là, lors de Ma visite suivante, il a posé une autre question, ce qui nous amène à la cinquième phrase. Écoutez la manière dont ses questions sont devenues de plus en plus risibles. Quelle a été sa question ? Il a dit : « Puisque nous ne pouvons pas tuer de poules, et que nous élevons aussi des lapins – voudrais-tu en manger à la place ? » Cela M’a vraiment mis en colère. J’ai dit : « Les petits lapins que nous élevons sont si mignons, avec leurs yeux rouge vif et leur pelage blanc si pur. Ils passent de bons moments à jouer. Pourquoi ne penses-tu qu’à manger de la viande ? Ne peux-tu pas te passer de viande ? » Je ne comprenais pas. Leur cuisine ne manquait jamais de viande ; il y avait d’énormes quantités de cuisses de poulet et de côtes de porc. Ce n’est pas comme s’il n’avait pas de viande à se mettre sous la dent, alors pourquoi posait-il sans cesse des questions sur le fait de tuer des lapins et de manger leur viande ? J’ai juste rétorqué : « Tu n’as pas le droit de les tuer ! Quelle est la raison de tous ces abattages ? » Lorsqu’il M’a vu répondre ainsi, il a soudain eu peur d’être émondé et n’a pas osé poser davantage de questions. Quels repas a-t-il préparés par la suite ? Pendant les mois de juin et juillet, il y avait toutes sortes de choses dans le jardin ; les légumes-feuilles et les légumes-fruits étaient abondants. Un jour, le dirigeant a dressé une table, elle était couverte de mets. Qu’avait-il préparé ? Des germes de soja sautés, une soupe de germes de soja, du tofu mijoté avec du poisson, des petits pois sautés et des œufs, champignons noirs sautés – il n’y avait pas un seul légume à feuilles sur la table. J’ai jeté un coup d’œil à tous ces plats secs. En cette saison, il fallait quelque chose de frais, mais ces mets qu’il avait préparés n’étaient absolument pas de saison. J’ai pensé, n’est-il pas en train d’être malveillant ? Il y avait toutes sortes de légumes dans le jardin ; pourquoi n’a-t-il pas préparé des légumes à feuilles ? Au bout du compte, J’ai dit qu’il devrait être rapidement renvoyé. Avec quelqu’un comme lui en charge de la cuisine, les gens n’auraient jamais l’occasion de manger des plats de saison. Au lieu de cela, ils mangeraient toujours des mets qui n’étaient pas de saison. Est-ce normal ? Ce n’est absolument pas normal !

À travers les questions posées par ce dirigeant, et sa manière de cuisiner, J’ai observé, premièrement, qu’il était de piètre caractère ; deuxièmement, il avait un tempérament malveillant et insidieux ; et troisièmement, il ne poursuivait pas la vérité. Cependant, il y avait une chose en particulier qui était inattendue ; on pourrait même la qualifier de bizarre. Dans le passé, chaque fois qu’il y avait une élection au sein de cette Église, il recevait le plus de votes, et même lors de réélections, il recevait toujours le plus de votes. Que se passait-il pour qu’une telle personne reçoive à maintes reprises le plus grand nombre de votes ? N’y avait-il pas, des deux côtés, des raisons pour cela ? (Si.) Il y avait des raisons pour cela des deux côtés. Quelles étaient les principales raisons ? D’un côté, la plupart des frères et sœurs ne poursuivaient ou ne comprenaient pas la vérité, et ils manquaient de discernement vis-à-vis des gens. D’un autre côté, le dirigeant d’Église était tout à fait capable d’induire les gens en erreur. Vous ne savez pas qui est cet individu, vous n’avez pas vu ce qu’il a fait, et vous ne savez pas quel genre de personne il était dans la sphère privée. Mais sur la seule base des questions que J’ai abordées, ainsi que des cinq phrases qu’il a prononcées, quel genre de personne diriez-vous qu’il était ? Était-il qualifié pour être un dirigeant d’Église ? (Non.) Alors pourquoi ces frères et sœurs continuaient-ils de l’élire ? Parce qu’il avait des stratégies et induisait ces gens en erreur. Il n’était absolument pas aussi candide et terre-à-terre qu’il n’y paraissait en surface ; il avait indubitablement des stratégies. Plus tard, J’ai dit qu’il n’y avait personne au sein de cette Église qui était qualifiée pour intervenir en tant que dirigeant, et que quelqu’un d’autre devrait être envoyé pour occuper ce poste. Mais certaines personnes n’ont pas compris ; elles ont eu le sentiment que ce dirigeant n’était pas choisi par les frères et sœurs. Comment devrions-nous définir « les frères et sœurs » ? Les frères et sœurs représentent-ils la vérité ? Est-ce ainsi qu’on les définit ? (Non.) Lorsque les frères et sœurs génèrent collectivement une demande, un règlement, ou une opinion et un argument, ces choses-là sont-elles nécessairement alignées avec la vérité ? Dieu devrait-Il prendre en compte leurs problèmes et S’en occuper en premier ? Dieu peut-Il faire cela ? (Non.) Alors, comment ces problèmes devraient-ils être traités ? Comment ces frères et sœurs devraient-ils être définis ? La plupart d’entre eux sont disposés à faire leurs devoirs, leur labeur et leur travail, mais ils ne poursuivent pas la vérité. La capacité et le calibre pour comprendre la vérité leur font défaut ; ils sont stupides, indifférents, et lents d’esprit. Ils sont incapables de discerner les gens ou de percer à jour les problèmes, et ils sont égoïstes et égocentriques. Même s’ils ont de bonnes intentions et sont disposés à renoncer à des choses, à se dépenser, et à trimer pour Dieu, quel est leur vice fatal ? Ils ne comprennent pas ou n’acceptent pas la vérité. Ils adhèrent à l’adage : « Quiconque me nourrit est ma mère, et quiconque me donne de l’argent est mon père. » Quiconque se montre bon avec eux, ou leur est favorable, quiconque parle en leur faveur et les protège sera la personne qu’ils choisiront. Si on laissait de tels individus choisir leur propre dirigeant, pourraient-ils élire un bon dirigeant ? Non, ils en seraient incapables. Pourraient-ils faire le moindre progrès dans leur entrée dans la vie ? Si le Supérieur leur permettait d’être si entêtés, et de continuer de se comporter de manière si imprudente, ne serait-ce pas irresponsable ? (Si.) Ils se sont montrés confus, mais le Supérieur ne l’est pas, et le dirigeant que ces gens avaient choisi a été destitué et remplacé par quelqu’un d’autre. Même si ces gens n’étaient pas disposés à accepter le nouveau dirigeant, du moment que cette personne pouvait effectuer un peu de réel travail, elle était bien meilleure que ce faux dirigeant qui a induisait les gens en erreur. Même si ces frères et sœurs n’ont pas compris l’arrangement du Supérieur, viendra un jour où ils saisiront quelques vérités et auront une certaine compréhension des choses, et alors ils sauront qui était bon et qui était mauvais. En agissant de la sorte, le Supérieur les prenait totalement en charge. Est-ce que faire cela était approprié ? (C’était approprié.) Même s’ils ne comprenaient pas, on ne pouvait pas leur permettre de simplement agir à leur guise en élisant qui ils voulaient. Veulent-ils se rebeller ? S’ils veulent faire le mal, devenir les complices de Satan, ils seront complètement détruits. Alors, le Supérieur a pris une décision à leur place et a choisi un autre dirigeant. Mais ils n’ont pas accepté cela ; ils ont maintenu que la personne qu’ils avaient choisie était convenable. N’est-ce pas là de la malveillance ? Pourquoi ont-ils continué de penser qu’il était bien ? Qu’y avait-il de si bien chez lui ? Pourquoi étaient-ils si déterminés à le garder ? Il y avait ici un problème : ils avaient été induits en erreur et blessés par ce faux dirigeant sans s’en rendre compte. Ils étaient vraiment une bande d’imbéciles. J’ai terminé de parler de cette question. Nous considérons les gens qui sont à l’image de ce faux dirigeant comme étant un cas typique à disséquer et à analyser dans le cadre de ce sujet. Il est approprié de faire cela. Après tout, la malveillance de leurs tempéraments est elle-même typique.

Quant à notre échange sur la malveillance au sein de la septième manifestation des antéchrists, à travers l’intégration de ces exemples spécifiques, et en les analysant et en les comparant, ce sujet est-il plus clair pour vous ? Que cette personne dont Je viens de traiter soit capable, à l’avenir, de poursuivre la vérité, cela est incertain, c’est difficile à dire, et nous nous garderons de tirer la moindre conclusion pour le moment. Cependant, une chose est sûre : son tempérament, son essence et sa nature étaient tous malveillants. Alors, qu’aimait cet individu ? Aimait-il l’équité et la droiture ? Aimait-il les différentes vérités prononcées par Dieu ? Aimait-il être une personne honnête, traiter les autres justement, agir avec principes, et chercher la vérité ? Aimait-il ces choses-là ? Il n’aimait aucune de ces choses – c’est sûr et certain. À travers ces quelques phrases qu’il a prononcées et ces quelques questions qu’il a posées, les choses qu’il aimait au fond de son cœur et jusque dans ses os ont été exposées. Il n’y avait pas une seule chose parmi elles qui était alignée avec des choses positives. Qui étaient les gens qu’il aimait et qu’il se sentait prêt à protéger ? Il protégeait ceux qui commettaient le mal, qui perturbaient le travail de l’Église, qui manquaient totalement de loyauté et qui se livraient à de nombreux méfaits dans l’accomplissement de leurs devoirs. Il ne considérait pas de telles personnes avec colère ou haine ; il allait même jusqu’à parler en leur faveur et prendre leur défense. Qu’est-ce que cela indique ? Qu’ils étaient du même type : ils partageaient des intérêts communs et une essence commune. Ils étaient naturellement en accord, et ils étaient de la même sale espèce. Lorsque certains frères et sœurs ont continué de nourrir des notions et des incompréhensions au sujet des paroles et des actes de Dieu, qu’a éprouvé ce dirigeant ? A-t-il porté un fardeau lorsqu’il s’est agi de résoudre ces problèmes ? (Non.) Il n’a pas porté ce fardeau ; il ne s’est pas occupé de ces problèmes et n’a pas accordé d’attention à ces questions – il a fermé les yeux sur cela. Lorsque quelqu’un a humilié le nom de Dieu, ou interrompu et perturbé le travail de la maison de Dieu, lorsque quelqu’un a manqué de loyauté et s’est montré négligent dans ses devoirs, ou a nui aux intérêts de la maison de Dieu et a causé perturbation et destruction en effectuant son devoir, ou a répandu de la négativité et a fait circuler des notions, a-t-il été en mesure d’identifier une seule de ces choses comme étant un problème ? Il n’a pas pu les identifier comme étant des problèmes. Il s’est dit : « C’est normal que ces problèmes existent ; qui n’a pas de révélations de corruption ? » Qu’insinuait-il ? Il insinuait que ces gens devaient agir de cette manière, et qu’il n’aurait ainsi pas l’air si mauvais – il pouvait « dissimuler » et être « protégé ». N’est-ce pas malveillant ? Ces personnes ont continuellement causé interruptions et perturbations, et il ne les a pas gérées. Dites-moi, sur la base de ces faits, avait-il un sens de la justice ? Aimait-il la vérité ? Pour quel genre d’endroit prenait-il la maison de Dieu ? Il ne voulait pas que la maison de Dieu soit remplie de personnes honnêtes, de personnes qui soient loyales à Dieu, de personnes qui suivent la voie de Dieu et qui connaissent leur place en effectuant leurs devoirs. Il ne voulait pas que tout le monde s’ouvre aux autres et échangent sur les paroles de Dieu, se soumette à Dieu et Lui porte témoignage. Il ne voulait pas que tout le monde soit ainsi dans la maison de Dieu. Alors, qu’est-ce qu’il voulait ? Il voulait que tout le monde entretienne des liens intéressés, chacun protégeant ses propres intérêts, sans nuire à quiconque, et sans exposer les squelettes dans le placard des autres. Il voulait que tout le monde se protège et se couvre mutuellement, dissimulant aux gens venant de l’extérieur toute mauvaise chose que les autres faisaient, et faisant front uni. Voilà ce qu’il voulait. Lorsque quelqu’un dévoilait les méfaits et les véritables circonstances d’un autre, et les rendait publiques, en parlait directement et mettait tout le monde au courant, il haïssait et détestait de telles actions. Il aimait que les méfaits demeurent dissimulés et cachés, il aimait que les mensonges ne soient pas révélés, et que quiconque se livrant à de la tromperie ou nuisant aux intérêts de la maison de Dieu ne soit pas géré conformément aux principes. Au sein de l’Église qu’il supervisait, que sont devenues les paroles de Dieu, que sont devenus les décrets administratifs et les arrangements de travail de la maison de Dieu ? Ils sont devenus des paroles creuses, et ils n’ont pas pu être mis en œuvre. Pourquoi n’ont-ils pas pu être mis en œuvre ? Parce qu’il y faisait obstruction ; il est devenu un mur qui les isolait. C’est le tempérament malveillant que les antéchrists révèlent en déformant les faits, en employant certaines tactiques et en se livrant à certaines conspirations et ruses pour duper et tromper les autres, afin d’atteindre leurs propres objectifs.

Dans les Églises où les antéchrists exercent du pouvoir, les arrangements de travail de la maison de Dieu ne peuvent pas être mis en œuvre. Dans le même temps, un étrange phénomène survient au sein de ces Églises, où le seul travail qui est effectué n’a rien à voir avec les arrangements du travail de la maison de Dieu ou va à l’encontre de ceux-ci, ce qui provoque l’émergence de différentes opinions et arguments parmi les frères et sœurs, et apporte du chaos dans l’Église. Comment les faux dirigeants agissent-ils ? Ils ne travaillent pas en conformité avec les arrangements de travail de la maison de Dieu ; c’est comme s’ils n’avaient rien à faire, et ils ne répondent pas aux arrangements de travail du tout. Les gens au-dessous de ces dirigeants sont désemparés ; ils sont comme un tas de sable, il n’y a personne pour les coordonner – tout le monde fait ce qu’il veut, comme il veut. Les faux dirigeants ne font aucune déclaration et n’endossent pas cette responsabilité. Les antéchrists, en revanche, agissent différemment. Non seulement ils ne mettent pas en œuvre les arrangements de travail, mais ils inventent également leurs propres affirmations et pratiques. Certains prennent les arrangements de travail du Supérieur et les altèrent, et en font leurs propres déclarations, qu’ils mettent ensuite en œuvre, tandis que d’autres n’agissent pas du tout en conformité avec les arrangements de travail du Supérieur, et se contentent de tracer leur propre chemin. Ils retiennent les arrangements de travail du Supérieur et ne les font pas suivre à leurs subalternes. Ils maintiennent dans l’ombre ceux qui sont au-dessous d’eux tout en agissant à leur guise, allant même jusqu’à concocter leurs propres théories et affirmations pour induire en erreur et duper leurs subordonnés. Alors, ne regardez pas tout ce que les antéchrists peuvent abandonner, ou quelles souffrances ils peuvent endurer en apparence. Mettez de côté leurs actions et comportements superficiels, et regardez l’essence de ces choses qu’ils font. Quel genre de relation entretiennent-ils avec Dieu ? Ils s’opposent à tout ce que Dieu a dit et fait, tout ce que Dieu requiert que les frères et sœurs comprennent, et tout ce qu’Il demande à voir mis en œuvre en aval au sein de l’Église – ils s’opposent à toutes ces choses. Certains pourraient demander : « Est-ce que le fait d’échouer à mettre ces choses en œuvre revient au même que de s’y opposer ? » Pourquoi ne mettent-ils pas ces choses-là en œuvre ? Parce qu’ils sont en désaccord avec elles. Et sachant qu’ils ne sont pas d’accord avec elles, sont-ils au-dessus de la maison de Dieu ? Sachant qu’ils ne sont pas d’accord avec ces choses, ont-ils un meilleur plan ? Non, ce n’est pas le cas. Alors pourquoi osent-ils ne pas mettre en œuvre ces choses juste parce qu’ils sont en désaccord avec elles ? Parce qu’ils veulent dominer et contrôler l’Église. Ils pensent que s’ils mettaient en œuvre des choses qui sont en parfaite conformité avec les arrangements de travail et les exigences du Supérieur, leurs contributions pourraient passer inaperçues, ne pas se démarquer, et n’être vues par personne. Pour les antéchrists, ce serait un désastre. Si tout le monde portait témoignage de Dieu et échangeait régulièrement sur la vérité, si tout le monde pouvait comprendre la vérité, gérer les affaires en conformité avec les principes, chercher la vérité, et prier et faire appel à Dieu lorsqu’ils font face à des problèmes, quelle serait leur fonction ? Les antéchrists ne poursuivent pas la vérité, alors ils n’auraient aucune fonction ; ils deviendraient de simples décorations. S’ils devenaient des décorations, et si personne ne leur prêtait plus attention, l’accepteraient-ils ? Non, ils ne l’accepteraient pas. Ils réfléchiraient à des moyens de rattraper la situation. Les antéchrists possèdent un tempérament malveillant et une essence malveillante – peuvent-ils anticiper le fait qu’ils seraient révélés si les frères et sœurs poursuivaient tous la vérité ? Les antéchrists sont si mauvais, et ils ne poursuivent pas la vérité ; ils sont malveillants, fourbes et insidieux, et ils n’aiment pas les choses positives. Si tout le monde comprenait la vérité, ils auraient un discernement des antéchrists. Les antéchrists le savent-ils ? Oui, ils le savent. Ils peuvent sentir cela dans leur esprit. C’est comme quand tu vas quelque part et que tu fais face à un esprit malfaisant. Lorsque l’esprit malfaisant te regarde, il te trouve déplaisant, et il te suffit d’un regard pour trouver l’esprit malfaisant répugnant, et tu n’as pas envie de lui parler. En fait, il ne t’a pas offensé ni n’a fait quoi que ce soit pour te nuire, mais tu le trouves dégoûtant à regarder, et l’écouter parler te cause un dégoût encore plus grand. En réalité, il ne te connaît pas, et tu ne le connais pas. Que se passe-t-il ici ? Tu sens bien dans ton esprit que vous deux, vous n’êtes pas du même genre. Les antéchrists sont les ennemis du peuple élu de Dieu. Si tu n’as aucune perception ou conscience lorsque tu interagis avec eux, alors n’es-tu pas complètement insensible ? Disons que lorsqu’un antéchrist qui ne parle pas beaucoup, et qui ne dit que quelques mots lorsqu’il exprime un argument, présente un point de vue ou nourrit une certaine attitude dans ses actions, tu ne peux pas voir ces choses clairement. Si tu interagis avec lui pendant longtemps, et que tu n’as toujours pas cette attention, et qu’un jour le Supérieur le définit comme étant un antéchrist, et que ce n’est qu’à ce moment que tu as enfin cette épiphanie et que tu éprouves de la peur, et que tu te dis : « Comment ai-je pu ne pas discerner un antéchrist si notoire ! Il s’en est fallu de peu ! », qu’est-ce que tu peux être lent et insensible !

La malveillance des antéchrists possède une caractéristique évidente, et Je vais partager avec vous le secret pour la discerner : c’est que dans leur discours comme dans leur action, tu ne peux sonder leurs profondeurs ni voir ce qu’il y a dans leur cœur. Lorsqu’ils te parlent, leurs yeux sont toujours fuyants, et tu ne peux pas définir quel genre de conspirations ils sont en train d’échafauder. Parfois, ils te donnent l’impression qu’ils sont loyaux ou assez sincères, mais ce n’est pas le cas – tu ne peux jamais les percer à jour. Tu as une sensation particulière dans ton cœur, une impression qu’il y a une subtilité profonde à leurs pensées, une profondeur insondable, qu’ils sont sournois. C’est la première caractéristique de la malveillance des antéchrists, et elle indique que les antéchrists possèdent un attribut de malveillance. Quelle est la deuxième caractéristique de la malveillance des antéchrists ? C’est que tout ce qu’ils disent et font induit fortement en erreur. Comment cela se manifeste-t-il ? Dans leur adresse particulière à se faire une idée de la psychologie des gens, à dire des choses qui correspondent aux notions et à l’imagination des gens et qui sont faciles à accepter. Cependant, il y a une chose que tu devrais discerner : ils n’incarnent jamais les choses plaisantes qu’ils disent. Par exemple, ils prêchent une doctrine aux autres, en leur disant comment être des gens honnêtes, et comment prier et laisser Dieu être leur maître lorsque quelque chose leur arrive, mais quand quelque chose survient aux antéchrists eux-mêmes, ils ne pratiquent pas la vérité. Tout ce qu’ils font, c’est agir selon leur propre volonté, et réfléchir à d’innombrables manières de tirer des bénéfices, forçant tous les autres à les servir et à gérer leurs affaires. Ils ne prient jamais Dieu ni ne Le laissent être leur maître. Ils disent des choses qui sont agréables à entendre, mais leurs actions ne sont pas alignées avec ce qu’ils disent. La première chose qu’ils prennent en considération lorsqu’ils agissent, c’est le bénéfice qu’ils vont en tirer ; ils n’acceptent pas les orchestrations et les arrangements de Dieu. Les gens voient bien qu’ils ne sont pas obéissants lorsqu’ils font des choses, qu’ils cherchent toujours un moyen de servir leurs intérêts et une voie à suivre. C’est l’aspect fourbe et malveillant des antéchrists que les gens peuvent voir. Lorsqu’ils travaillent, parfois les antéchrists peuvent supporter des difficultés et payer un prix, jusqu’à sacrifier leur sommeil et leur alimentation de temps à autre, mais ils ne font cela que pour gagner du statut ou se faire un nom. Ils endurent des difficultés dans l’intérêt de leurs ambitions et objectifs, mais ils sont négligents avec les travaux importants que la maison de Dieu arrange pour eux, qu’ils effectuent à peine. Alors, font-ils preuve de soumission aux arrangements de Dieu dans tout ce qu’ils font ? Effectuent-ils leurs devoirs ? Il y a un problème ici. Il y a aussi une autre sorte de comportement, qui est le suivant : lorsque les frères et sœurs avancent des opinions différentes, les antéchrists les rejetteront de manière détournée, tournant en rond, faisant croire aux gens que les antéchrists ont échangé et discuté de ces choses avec eux, mais au bout du compte, tout le monde doit faire ce qu’ils disent. Ils cherchent toujours des moyens de rejeter les suggestions d’autres personnes, afin que les gens suivent leurs idées et fassent comme ils disent. Est-ce là chercher les vérités-principes ? Certainement pas. Alors, quel est le principe de leur travail ? C’est que tout le monde doit les écouter et leur obéir, que personne ne mérite davantage l’attention qu’eux, et que leurs idées sont les meilleures et les plus nobles. Les antéchrists amènent tout le monde à penser que ce qu’ils disent est vrai, qu’ils sont la vérité. N’est-ce pas malveillant ? C’est la deuxième caractéristique de la malveillance des antéchrists. La troisième caractéristique de la malveillance des antéchrists, c’est que lorsqu’ils portent témoignage d’eux-mêmes, ils témoignent souvent de leurs contributions, des difficultés qu’ils ont endurées, et des choses bénéfiques qu’ils ont faites pour tout le monde ; ils l’impriment dans l’esprit des gens, de sorte que ces gens se souviennent qu’ils sont baignés de la lumière des antéchrists. Si quelqu’un complimente ou remercie un antéchrist, il se peut même qu’il prononce des paroles très spirituelles, comme « Merci, dieu. Tout cela est l’œuvre de dieu. La grâce de dieu nous suffit », afin que tout le monde voie qu’ils sont assez spirituels, et qu’ils sont de bons serviteurs de Dieu. En réalité, ils font leur propre éloge et témoignent d’eux-mêmes, et il n’y a aucune place dans leur cœur pour Dieu. Dans l’esprit de tout le monde, le statut de l’antéchrist a déjà largement excédé celui de Dieu. N’est-ce pas la preuve réelle du fait que les antéchrists témoignent d’eux-mêmes ? Au sein des Églises où un antéchrist détient le pouvoir et où il est aux commandes, il dispose du plus haut statut dans le cœur des gens. Dieu ne vient qu’en deuxième ou troisième. Si Dieu va dans une Église où un antéchrist détient le pouvoir, et dit quelque chose, est-ce que ce qu’Il dit parviendra aux gens, là-bas ? L’accepteront-ils dans leur cœur ? C’est difficile à dire. Cela suffit à prouver tous les efforts que les antéchrists déploient dans le fait de témoigner d’eux-mêmes. Ils ne témoignent pas du tout de Dieu, mais ils saisissent toutes les opportunités de témoigner pour Dieu afin de témoigner d’eux-mêmes à la place. Cette tactique qu’emploient les antéchrists n’est-elle pas insidieuse ? N’est-elle pas incroyablement malveillante ? À travers les trois caractéristiques qui ont été échangées ici, il est facile de discerner les antéchrists.

Les antéchrists ont une caractéristique supplémentaire, et c’est aussi une manifestation majeure de leur tempérament malveillant. C’est que peu importe si la maison de Dieu échange sur la vérité, si le peuple élu de Dieu échange sur sa connaissance de soi, ou accepte le jugement, le châtiment et l’émondage, les antéchrists n’y prêtent pas attention. Ils continuent de poursuivre la gloire, le gain et le statut, et n’abandonnent jamais leur intention et leur désir d’obtenir des bénédictions. Dans l’esprit des antéchrists, tant que quelqu’un est capable d’effectuer son devoir, de payer un prix et d’endurer des difficultés, il doit être béni par Dieu. Ainsi, après avoir fait du travail d’Église pendant un temps, ils commencent à examiner les travaux qu’ils ont réalisés pour l’Église, les contributions qu’ils ont apportées à la maison de Dieu et ce qu’ils ont fait pour les frères et sœurs. Ils conservent tout cela solidement dans leur esprit, attendant de voir quelles grâces et bénédictions de Dieu cela leur apportera, de sorte qu’ils puissent déterminer si ce qu’ils font en vaut la peine. Pourquoi se préoccupent-ils toujours de ces choses-là ? Que poursuivent-ils au plus profond de leur cœur ? Quel est le but de leur foi en Dieu ? Dès le départ, leur croyance en Dieu est liée au fait d’obtenir des bénédictions. Et peu importe depuis combien d’années ils écoutent des sermons, peu importe le nombre de paroles de Dieu qu’ils mangent et boivent, peu importe le nombre de doctrines qu’ils comprennent, ils ne renonceront jamais à leur désir et à leur intention d’être bénis. Si tu leur demandes d’être des êtres créés consciencieux et d’accepter la souveraineté et les arrangements de Dieu, ils diront : « Cela n’a rien à voir avec moi. Ce n’est pas cela que je dois viser. Voilà ce que je dois viser : quand j’aurai livré bataille, quand j’aurai fourni les efforts requis et enduré les difficultés nécessaires, – dès lors que j’aurai accompli cela selon ce que dieu requiert –, dieu devrait me récompenser et me permettre de rester, et d’être couronné dans le royaume, et d’occuper une position plus élevée que le peuple de dieu. Je devrais être en charge de deux ou trois cités, au moins. » Voilà ce qui intéresse le plus les antéchrists. La maison de Dieu a beau échanger sur la vérité, leur intention et leur désir d’obtenir des bénédictions ne peuvent être dissipés ; ils sont de la même espèce que Paul. Une transaction pure et simple comme celle-ci ne recèle-t-elle pas une sorte de tempérament malveillant et méchant ? Certaines personnes religieuses disent : « Notre génération suit dieu sur le chemin de la croix. Dieu nous a choisis, alors nous sommes en droit d’être bénis. Nous avons souffert et payé un prix, et nous avons bu de la coupe amère. Certains d’entre nous ont même été arrêtés et condamnés à des peines de prison. Après avoir enduré toutes ces difficultés, écouté tant de sermons et tant appris sur la Bible, si un jour nous ne sommes pas bénis, nous irons au troisième ciel et nous nous querellerons avec dieu. » Avez-vous déjà entendu une telle chose ? Ils disent qu’ils iront au troisième ciel pour se quereller avec Dieu : n’est-ce pas effronté ? Le simple fait d’entendre cela ne vous emplit-il pas de crainte ? Qui ose essayer de se quereller avec Dieu ? Heureusement, le Jésus auquel ils croient est monté au ciel depuis longtemps. Si Jésus était toujours sur terre, n’essaieraient-ils pas de Le crucifier de nouveau ? Bien sûr, certaines personnes pourraient, dans un premier temps, trouver que de telles paroles sont puissantes et impressionnantes lorsqu’elles commencent à croire en Dieu, pensant que les gens doivent avoir ce genre de courage et de détermination. Mais vous qui avez cru jusqu’à maintenant, comment voyez-vous ces paroles ? De telles personnes ne sont-elles pas des archanges ? Ne sont-elles pas des Satans ? Tu peux te quereller avec n’importe qui, mais pas avec Dieu. Tu ne devrais pas faire une telle chose, ou même envisager de le faire. Les bénédictions viennent de Dieu : Il les donne à ceux qu’Il le souhaite. Même si tu remplis les conditions pour recevoir les bénédictions et que Dieu ne te les accorde pas, tu devrais tout de même ne pas te quereller avec Dieu. L’univers tout entier et toute l’humanité sont sous la souveraineté de Dieu ; Dieu fait la loi. Comment toi, un minuscule être humain, pourrais-tu oser te quereller avec Dieu ? Comment peux-tu surestimer tes capacités à ce point ? Pourquoi ne te regardes-tu pas dans un miroir pour voir qui tu es ? En osant vociférer contre le Créateur et L’affronter de la sorte, ne courtises-tu pas la mort ? « Si un jour nous ne sommes pas bénis, nous irons au troisième ciel et nous nous querellerons avec dieu » est une déclaration qui vocifère ouvertement à l’encontre de Dieu. Quel genre d’endroit est le troisième ciel ? C’est là que Dieu réside. Oser aller au troisième ciel et se quereller avec Dieu équivaut à essayer de « renverser » Dieu ! N’est-ce pas le cas ? Certains demanderont peut-être : « En quoi cela concerne-t-il les antéchrists ? » Cela les concerne par bien des aspects, parce que tous ceux qui veulent aller au troisième ciel pour se quereller avec Dieu sont des antéchrists. Seuls les antéchrists sont capables de dire de telles choses. De telles paroles sont la voix que les antéchrists nourrissent au plus profond de leur cœur. C’est leur malveillance. Si les antéchrists ne prononcent pas ouvertement ces mots, ils nourrissent en effet ces choses dans leur cœur, ils n’osent simplement pas les révéler, et ne permettent à personne de les connaître. Cependant, leurs désirs et ambitions au fond de leur cœur brûlent comme un feu inextinguible. Pourquoi cela ? Parce que les antéchrists n’aiment pas la vérité. Ils n’aiment pas l’équité et la justice de Dieu, le jugement et le châtiment de Dieu, et ils n’aiment certainement pas la toute-puissance de Dieu, Sa sagesse, et Sa souveraineté sur toute chose. Ils n’aiment aucune de ces choses – ils les haïssent. Alors, qu’aiment-ils ? Ils aiment le statut et se soucient des récompenses. Ils disent : « J’ai des compétences, des talents et des capacités. J’ai rendu service à l’Église, alors dieu doit me rétribuer et me donner des récompenses ! » N’ont-ils pas des ennuis ? Cela ne revient-il pas à courtiser la mort ? N’est-ce pas un défi direct à Dieu ? N’est-ce pas défier le Créateur ? Oser pointer sa lance directement à Dieu, le Créateur, c’est quelque chose que seul l’archange, Satan, est capable de faire. S’il existe réellement des gens avec de tels points de vue, qui sont capables de tels actes, alors cela ne fait aucun doute : ce sont des antéchrists. Sur terre, seuls les antéchrists osent s’opposer ouvertement à Dieu et porter un jugement sur Lui de la sorte. Certains diront peut-être : « Les antéchrists que nous avons vus n’étaient pas aussi audacieux ou éhontés. » Cela doit être considéré selon le contexte et l’environnement dans lequel se trouvent les antéchrists. Comment pourraient-ils oser faire étalage de leur arrivisme alors qu’ils n’ont pas encore pleinement gagné le pouvoir et ne se sont pas complètement établis ? Les antéchrists savent attendre leur heure, le moment opportun pour surgir. Lorsqu’ils se seront imposés, le fait qu’ils font étalage de leur arrivisme se trouvera pleinement exposé. Même si les antéchrists cachent relativement bien leur vrai visage tant qu’ils manquent de statut, et même si en apparence aucun problème ne peut être discerné chez eux, dès qu’ils gagnent du statut et se sont établis, leur malveillance et leur laideur sont entièrement mises à nu. C’est comme certains individus à qui il manque la vérité-réalité. Aussi longtemps qu’ils n’ont aucun statut, ils ne peuvent se soumettre à l’émondage qu’avec réticence, et ne sont pas réfractaires dans leur cœur. Cependant, s’ils deviennent dirigeants ou ouvriers et gagnent un certain prestige parmi le peuple élu de Dieu, lorsqu’ils sont émondés, il y a de grande chance qu’ils exposent leur vraie nature, et commencent à se quereller avec Dieu et vociférer à Son encontre. C’est comme certains individus qui font correctement leurs devoirs et, en temps normal, ne se plaignent pas, mais qui, face à un cancer et une mort imminente, vont très probablement exposer leur vraie nature. Ils vont commencer à se plaindre de Dieu, se quereller avec Lui, et vociférer à Son encontre. Les antéchrists, ce groupe de gens, ont une aversion pour la vérité et la haïssent, et ils ne pratiquent jamais la vérité. Pourquoi, dans ce cas, même après avoir été exposés et révélés, sont-ils toujours disposés à rendre service au sein de l’Église, et même à être les plus petits des disciples ? Que se passe-t-il ici ? Ils ont un objectif : ils n’abandonnent jamais leur intention d’obtenir des bénédictions. Leur état d’esprit est le suivant : « Je vais saisir cette toute dernière chance. Si je ne peux pas obtenir de bénédictions, je n’accorderai jamais de repos à dieu. Si je ne peux pas obtenir de bénédictions, alors dieu n’est pas dieu ! » De quel genre de tempérament s’agit-il ? Oser renier éhontément Dieu et vociférer à Son encontre, c’est de la malveillance. Tant qu’ils ont ne serait-ce qu’un infime espoir d’obtenir des bénédictions, ils resteront dans la maison de Dieu et attendront ces bénédictions. Comment cela peut-il être observé ? Ils sont comme les pharisiens, ils font toujours semblant d’être bons. L’intention et l’objectif derrière cela ne sont-ils pas évidents ? Peu importe à quel point leur comportement apparent peut sembler bon, peu importe à quel point ils peuvent souffrir en apparence, ils ne pratiquent jamais la vérité, ils ne cherchent pas la vérité lorsqu’ils agissent, ni ne prient Dieu ou cherchent Ses intentions. Ils ne font jamais ce que Dieu aime. À la place, ils font ce qu’ils sont prêts à faire, et ce qu’ils veulent, ne visant qu’à satisfaire leur propre ambition et leur propre désir de bénédictions. Cela ne leur causera-t-il pas des ennuis ? Cela n’expose-t-il pas l’essence des antéchrists ? Ce que les antéchrists aiment et poursuivent ne représente que leur tempérament satanique. Ils considèrent ce qu’ils aiment et poursuivent comme des choses positives agréables à Dieu, et ils essaient de L’amener à les accepter et à les bénir. Est-ce en conformité avec les vérités-principes ? Cela ne revient-il pas à s’opposer à Dieu et à se dresser contre Lui ? Les antéchrists essaient de négocier avec Dieu à la moindre occasion. Ils utilisent leur propre souffrance et les prix qu’ils ont payés pour demander des récompenses et des couronnes à Dieu, en échange d’une bonne destination. Mais n’ont-ils pas fait une erreur de calcul ? En résistant à Dieu de la sorte, comment ne peuvent-ils pas recevoir la punition de Dieu ? C’est ce qu’ils méritent pour leurs péchés. C’est la rétribution.

Il y avait un jour un antéchrist qui était un peu versé dans l’art de la chanson et de la danse, et à cette époque, il avait été prévu qu’il dirigerait les frères et sœurs de la chorale et leur enseignerait cet art. Ces frères et sœurs étaient jeunes, et la plupart d’entre eux ne croyaient pas en Dieu depuis très longtemps. Ils étaient simplement passionnés et disposés à effectuer leurs devoirs, voilà tout, mais ils ne comprenaient pas la vérité, et certains d’entre eux n’avaient même pas encore posé de fondement. Pendant que l’antéchrist travaillait, il les amenait à faire l’expérience de la sensation de l’œuvre du Saint-Esprit, en leur faisant expérimenter la différence entre la sensation de la présence de Dieu et celle de Son absence – il les poussait toujours à s’appuyer sur leurs sensations. Il ne comprenait pas la vérité ni ne possédait la moindre expérience réelle, mais il induisait en erreur les frères et sœurs et les faisait s’égarer de la sorte, sur la base de ses notions et de son imagination. Le Supérieur savait qu’il n’avait pas la moindre vérité-réalité, et lui demandait seulement d’enseigner et d’expliquer son art. L’accomplissement de cet aspect de son devoir aurait déjà été considéré adéquat, et un accomplissement de ses responsabilités. Mais il voulait malgré tout « échanger au sujet de la vérité » et amener les gens à comprendre leurs sensations et à compter sur elles. En agissant de la sorte, n’aurait-il pas été facile pour lui d’amener les gens dans la sensation surnaturelle du travail d’un esprit malfaisant ? C’est trop dangereux ! Une fois qu’un esprit malfaisant saisit une opportunité comme celle-ci et possède une personne, cette personne est fichue. Durant la période de formation, il faisait prier ces gens, et après la prière, il leur faisait voir comment le Saint-Esprit œuvrait, et s’ils transpiraient, s’ils pleuraient, ou s’ils avaient d’autres sensations dans leurs corps. Il insistait sur ces choses, mais en réalité, ces choses avaient déjà été clairement expliquées. Il y a tant de vérités, mais il n’a pas échangé à leur sujet, ni n’a amené ces gens à manger et boire les paroles de Dieu, et il a échoué à s’occuper de son propre travail. Il n’a pas permis aux frères et sœurs de chorégraphier des danses, et à la place il laissait danser tout le monde sur scène selon leur bon plaisir, improvisant à leur guise, et allait jusqu’à dire : « C’est bon, dieu nous guide, alors n’ayez pas peur, le saint-esprit est à l’œuvre ! » Cet antéchrist ne comprenait pas la vérité, alors il faisait sans cesse des choses stupides. Les frères et sœurs n’avaient aucun discernement, alors ils l’écoutaient et commençaient à prier : « Dieu, s’il Te plaît, œuvre, Dieu, s’il Te plaît, œuvre… » Ils faisaient de leur mieux pour prier « de tout leur cœur », et pleuraient même après avoir prié, et ensuite ils montaient sur scène et improvisaient des danses. Ceux qui regardaient depuis le devant de la scène avaient l’impression que l’atmosphère était formidable et que le Saint-Esprit faisait un acte puissant ! Ils pleuraient en regardant les autres danser, comme s’ils avaient senti l’œuvre du Saint-Esprit. À la fin, ces gens ont filmé toutes ces choses et ont pris des photos pour que Je les voie. Certains des gens sur les photos pleuraient, les yeux fermés, et au milieu de l’hiver, leur visage était rougi par la chaleur. J’ai vu que des problèmes se préparaient, et que ces personnes allaient être ruinées par cet individu. On lui avait seulement demandé d’enseigner son art, et il ne comprenait rien de la vérité. Il agissait juste aveuglément sur la base de son imagination, cherchant à éprouver la sensation de l’œuvre du Saint-Esprit. L’œuvre du Saint-Esprit est-elle une question de sensations ? Tu dois comprendre la vérité – c’est réel. Les sensations, seules, sont vides et inutiles. Peux-tu comprendre la vérité et les intentions de Dieu sur la base de tes sensations ? Absolument pas. Tu n’as pas besoin de chercher une sensation. Il suffit de chercher les principes et les intentions de Dieu sur la base des paroles de Dieu, puis de les comparer avec les choses qui t’arrivent – c’est très concret, et tu parviendras lentement à comprendre la vérité. Lorsque tu pratiques en conformité avec les paroles de Dieu, le Saint-Esprit Se mettra naturellement à œuvrer. Même si le Saint-Esprit n’œuvre pas, puisque tu as pratiqué en conformité avec les paroles de Dieu, Dieu te reconnaîtra comme Son disciple – c’est si concret, c’est la vérité même. Cet antéchrist n’a pas échangé de cette manière, mais a continuellement encouragé ces gens à chercher des sensations, des choses comme des signes et des merveilles, et des rêves. C’était un profane qui manquait de compréhension spirituelle, et qui a amené un groupe d’enfants stupides et ignorants à faire des choses ridicules. Les gens sur les photos pleuraient et sanglotaient. Qu’est-ce que cela représente ? Ça ne représente rien du tout, mais il y a quelque chose qui explique la nature de ce qu’il était en train de faire. Cet antéchrist a pris des photos de toutes ces choses avec pour légende : « détails de l’œuvre de Dieu. » Quels étaient ces « détails » ? Ces gens ne comprenaient pas la vérité, ils cherchaient la sensation de l’œuvre du Saint-Esprit et improvisaient sans aucune bonne raison, et chaque fois qu’ils dansaient c’était différent, parce que chaque fois la sensation était différente, et la « direction » de Dieu était différente – voilà ce qu’étaient les « détails ». Qu’est-ce que ces « détails » incluaient d’autre ? L’antéchrist a aussi dit qu’ils étaient le résultat de l’œuvre du Saint-Esprit. Lorsqu’il a dit cela, les frères et sœurs se sont enthousiasmés, comme si leur foi et leur stature avaient tout à coup grandi de manière significative. Pourquoi a-t-il dit « détails » ? D’où venait le mot « détails » ? J’ai déjà mentionné les détails de l’œuvre de Dieu. À quoi ces détails font-ils référence ? Ils sont le résultat de l’œuvre de Dieu sur les gens, qui peut être vue et saisie par l’homme, et ils ne sont ni surnaturels ni vagues. Ce sont des choses que tu peux sentir. C’est quand Dieu a beaucoup œuvré en toi, qu’Il t’a adressé beaucoup de paroles, qu’Il a déployé d’inlassables efforts, et a ainsi changé ta manière d’exister, ton point de vue sur les choses, l’attitude que tu nourris lorsque tu agis, ton attitude vis-à-vis de Dieu, ainsi que d’autres aspects de toi. Autrement dit, ils sont les gains et le fruit de l’œuvre de Dieu ; voilà ce que l’on veut dire par détails. Cet antéchrist aussi appelait les choses qu’il faisait des « détails ». Mettons de côté la nature de ces choses pour le moment. Qu’est-ce que vous pouvez voir juste en analysant cette phrase ? Dieu œuvre en les gens, et Il a dit que les gens verront les détails de l’œuvre qu’Il a faite en eux, mais cet antéchrist amenait tout le monde à faire n’importe quoi, et gâchait tout, et pourtant il appelait aussi cela des « détails ». Qu’essayait-il de faire ? (Il voulait être l’égal de Dieu.) C’est exact. D’où vient son utilisation du terme « détails » ? De son désir d’être l’égal de Dieu et d’imiter Dieu. En utilisant ce terme, il voulait dire : « Dieu œuvre dans les détails, et ce que j’amène ce groupe de personnes à faire est aussi dans le détail. » Le postmodificateur pour « dans les détails » est « l’œuvre de Dieu », mais en réalité, dans son cœur, il attribuait les résultats des détails de l’œuvre du Saint-Esprit à lui-même, et c’est ce que font les antéchrists. Chaque fois qu’il y a une occasion d’entrer sous le feu des projecteurs, chaque fois qu’il y a une once d’opportunité, ils ne la laissent pas filer ; ils se disputeront des personnes avec Dieu. Quel genre de personnes se disputent-ils ? Certains d’entre eux ne comprennent pas la vérité, ils sont incapables de discerner les gens selon les vérités-principes, et ils sont stupides et ignorants ; certains d’entre eux ne poursuivent pas la vérité, et ils aiment faire comme tout le monde et agir en apparence aveuglément ; puis il y en a certains qui sont de nouveaux croyants et dont le fondement est superficiel – ils ne comprennent pas encore ce que croire en Dieu veut dire, et les antéchrists les induisent en erreur. Plus tard, on a mis un terme à ce comportement, juste à temps. Le fait qu’on y ait mis un terme n’est pas vraiment extraordinaire, mais cela signifiait bien que les choses stupides que l’antéchrist a faites ont été tout à coup exposées. Alors que tout le monde échangeait et se souvenait de tout cela, ils ont dit : « Avant l’arrivée de cet antéchrist, même si nous ne pouvions parfois pas trouver notre voie en ce qui concerne les aspects techniques et professionnels du chant, lorsque nous chantions, nous avions l’impression que nous pouvions le prendre à cœur, et que nous pouvions chanter chaque mot avec notre cœur. Une fois qu’il est arrivé et qu’il a parlé de certaines théories professionnelles, nous nous sommes tous sentis asséchés et nous ne voulions plus chanter, parce que nous ne pouvions pas savourer ce que Dieu disait dans chacune des paroles – nous ne pouvions pas sentir Dieu. » Ces gens-là n’avaient-ils pas des ennuis ? Dès que les antéchrists lèvent la main pour agir, les conséquences qu’ils engendrent font que les gens ne peuvent plus sentir où est Dieu, et ne savent plus comment se comporter convenablement. Ils perdent leurs repères. Une fois que les gens sont incapables de sentir Dieu, peuvent-ils encore mener à bien leurs devoirs ? Peuvent-ils encore faire les choses avec loyauté afin de témoigner pour Dieu ? Après que les humains ont été corrompus par Satan, ils ont développé une certaine caractéristique : ils aiment faire comme les autres. Ils sont comme des mouches : il n’est pas nécessaire d’avoir un objectif clair, du moment qu’il y a un dirigeant, d’autres personnes vont s’y joindre aveuglément et faire n’importe quoi, parce que c’est plus gai ainsi, et lorsqu’ils agissent de cette manière, ils n’ont pas besoin de se restreindre, il n’y a aucun point de repère à leurs actions, et personne n’agit selon les principes. Ils n’ont pas besoin de prier ou de chercher, ils n’ont pas besoin d’être pieux ou silencieux ; du moment qu’ils ont une tête et qu’ils peuvent respirer, ils peuvent agir de la sorte. N’est-ce pas plus ou moins similaire aux animaux ? Parce que les humains corrompus possèdent cette caractéristique, on les induit facilement en erreur, mais si tu comprends la vérité et que tu peux discerner ces choses, tu ne seras pas si facilement induit en erreur. Une fois que cet antéchrist a été exposé, tout le monde a disséqué les choses qu’il avait dites qui induisaient les gens en erreur, et les tactiques qu’il avait employées pour agir de la sorte, en les comparant aux paroles de Dieu. Ils se sont rendu compte que ce type était très fort pour induire les gens en erreur, qu’il avait causé du désordre, et que même si ce qu’il les avait amenés à faire était assez impressionnant, et qu’il leur avait semblé ressentir l’œuvre puissante du Saint-Esprit, en réalité, ils n’avaient pas du tout été capables de ressentir Dieu. En apparence, il avait semblé que tout le monde était possédé par une grande ferveur, et que leur foi et leur stature avaient soudainement grandi ; mais en réalité, c’était une illusion, l’œuvre d’un esprit malfaisant. Ces circonstances surnaturelles sont apparues, et donc le Saint-Esprit n’a pas agi. Pendant un certain temps après cela, à travers l’échange sur la vérité, tout le monde a été capable de discerner l’antéchrist, et leurs états sont peu à peu revenus à la normale. L’antéchrist avait induit ces gens en erreur, et ils s’étaient éloignés de Moi. Lorsque Je parlais, ces gens Me regardaient comme si J’étais une personne inconnue, ils ne voulaient pas répondre à Mes questions, et nous sommes immédiatement devenus comme des étrangers. Ils attendaient que l’antéchrist parle avant d’obéir à quoi que ce soit ; ils écoutaient tout ce que disait l’antéchrist, et quoi qu’il dise, cela les représentait. Alors, ces gens n’avaient pas leur mot à dire sur quoi que ce soit, mais ils étaient disposés à cela ; ils attendaient qu’il parle, et ils étaient sous son contrôle. Les esprits malfaisants et les antéchrists font ce genre de choses pour induire les gens en erreur.

Certaines choses malveillantes peuvent être exprimées clairement par des mots et disséquées, mais concernant d’autres choses, on ne peut que dire que des esprits malfaisants sont à l’œuvre en leur sein, et qu’elles ne peuvent pas être exprimées clairement par des mots. Elles ne peuvent être discernées que sur la base de tes sentiments ou sur la base des vérités que tu comprends et de tes expériences. Cet antéchrist a été rapidement discerné et on s’est promptement occupé de son cas, et la vie d’Église est revenue à la normale. Après cela, tout le monde a ressenti une peur latente lorsqu’ils échangeaient autour de cet incident. Ils disaient : « C’était vraiment dangereux ! Les soi-disant "détails" de cet antéchrist nous ont si gravement nui que nous avons presque été ruinés par lui. » De fait, vous devez apprendre à discerner les antéchrists. Si tu ne prends jamais au sérieux le discernement des antéchrists, tu seras en danger, et qui sait à quel moment ou à quelle occasion ils t’induiront en erreur. Tu pourrais même suivre confusément un antéchrist sans savoir ce qu’il se passe. Tu ne ressentiras pas qu’il y a le moindre problème, sur le moment, et tu auras même l’impression que ce que dit cet antéchrist est correct – de cette manière, tu auras été induit en erreur sans t’en être rendu compte. Le fait que tu aies été induit en erreur montre que tu as trahi Dieu, et alors Dieu n’aura aucun moyen de te sauver. Il y a des gens qui sont d’ordinaire performants, mais pendant une période, ils sont dupés par des antéchrists, et l’Église les ramène en son sein, au bout du compte, par la dissuasion et l’échange. Cependant, il y en a qui ne reviennent pas, peu importe à quel point la vérité est échangée avec eux, et ils deviennent fermement résolus à suivre les antéchrists – ne sont-ils pas complètement ruinés ? Ils refusent catégoriquement de rebrousser chemin, et Dieu n’œuvre plus en eux. Certaines personnes manquent de discernement, et ont de la peine pour ce genre d’individus. Elles disent : « Cet individu est relativement convenable : il a cru en Dieu pendant tant d’années, il a sacrifié des choses et s’est dépensé. Il effectuait ses devoirs plutôt loyalement, sa foi en Dieu était grande, et il était un vrai croyant. Ne devrions-nous pas lui donner une seconde chance ? » Ce point de vue est-il correct ? Est-il en conformité avec la vérité ? Les gens ne peuvent voir que la surface d’une autre personne, mais ils ne peuvent pas voir ce qu’il y a dans son cœur ; ils ne peuvent pas voir clairement quel genre de personne elle est vraiment, ou le genre d’essence qu’elle possède. Ils doivent être en contact avec elle ou l’observer pendant un certain temps, et cette personne doit faire face à des événements qui la révèlent pour que les gens soient capables de la percer à jour. De plus, si tu essaies d’aider ces gens par bonté de cœur, mais qu’ils ne font pas marche arrière, peu importe à quel point tu échanges avec eux, tu ne connaîtras pas la raison derrière tout cela. En réalité, Dieu a déjà percé ces gens à jour et les a éliminés. Pourquoi Dieu les a-t-Il éliminés ? La raison la plus simple est que certains antéchrists sont évidemment des esprits malfaisants, et peuvent être classés comme des antéchrists au sein desquels travaillent des esprits malfaisants. Si les gens les suivent pendant un certain temps, leur cœur s’assombrira, et ils deviendront si faibles qu’ils s’effondreront, ce qui prouve que Dieu les a abandonnés depuis longtemps. Dieu a un tempérament juste, et Il déteste Satan. Puisque ces personnes suivent Satan et les esprits malfaisants, Dieu peut-Il les reconnaître comme Ses disciples ? Dieu est saint et Il exècre le mal. Il ne veut pas de ceux qui ont suivi les esprits malfaisants ; même si d’autres pensent que ce sont de bonnes personnes, Il n’en veut pas. Que signifie : « Dieu exècre le mal » ? Qu’est-ce que « exècre le mal » indique ? Écoutez ce que Je dis à présent, et vous comprendrez. Commençons par le fait que lorsque Dieu choisit une personne, jusqu’à ce que cette personne accepte que Dieu est vérité, justice, sagesse et toute-puissance, qu’Il est le seul et unique ; une fois qu’ils ont compris ces choses, et après avoir eu quelques expériences, ils auront, au plus profond de leur cœur, une compréhension élémentaire du tempérament, de l’essence de Dieu, de ce qu’Il a et de ce qu’Il est, et cette compréhension élémentaire deviendra leur foi. Elle les poussera aussi à suivre Dieu, à se dépenser pour Dieu, et à faire leur devoir. Une fois qu’ils auront de l’expérience, qu’ils comprendront la vérité, et que leur compréhension du tempérament de Dieu et leur connaissance de Dieu auront pris racine dans leur cœur – quand ils seront en possession de cette stature – ils ne renieront pas Dieu. Mais s’ils n’ont pas une vraie connaissance de Christ, du Dieu concret, et s’ils sont susceptibles de vénérer et de suivre un antéchrist, alors ils sont toujours en danger. Ils pourraient encore tourner le dos à Christ dans la chair pour suivre un antéchrist malveillant. Cela reviendrait à renier ouvertement Christ et à couper les ponts avec Dieu. Le sous-texte de cela est le suivant : « Je ne suis plus en train de suivre Dieu, je suis en train de suivre Satan. J’aime Satan et je suis prêt à le servir ; je suis prêt à suivre Satan. Peu importe comment il me traite, me ruine, me piétine, me corrompt, je suis plus que prêt. Peu importe à quel point Dieu est juste et saint, peu importe dans quelles proportions Il exprime la vérité, je ne suis pas prêt à Le suivre. Je n’aime pas la vérité. J’aime la gloire, le statut, les récompenses et les couronnes ; même si je ne peux pas les obtenir, je les aime. » C’est ainsi qu’ils ont suivi une personne qui n’a rien à voir avec eux, ils ont fui avec un antéchrist qui est opposé à Dieu. Dieu voudrait-Il toujours d’une telle personne ? Certainement pas. Est-il raisonnable pour Dieu de ne pas les vouloir ? C’est extrêmement raisonnable. Grâce à la doctrine, tu sais que Dieu est un Dieu qui exècre le mal, et qu’Il est saint. Tu comprends cette doctrine, mais sais-tu comment Dieu traite de telles personnes ? Si Dieu déteste et abandonne quelqu’un, Il l’abandonnera sans hésitation. Ce que Je dis n’est-il pas un état de fait ? (Si.) C’est ainsi que sont les choses. Alors, le fait que Dieu abandonne une telle personne signifie-t-il qu’Il a un cœur cruel ? (Non.) Dieu a des principes dans Ses actions. Si tu sais qui est Dieu, mais que tu n’aimes pas Le suivre – si tu sais qui est Satan, et que tu persistes pourtant à le suivre – alors Dieu ne te forcera pas. Va et suis Satan pour toujours. Ne reviens pas ; Dieu t’a abandonné. Comment quelqu’un peut-il comprendre le tempérament de Dieu ? Le tempérament de Dieu est juste et saint, et il y a un élément dans Son tempérament qui exècre le mal. En d’autres termes, si en tant qu’être créé tu es prêt à être dépravé, qu’est-ce que Dieu peut dire d’autre ? Dieu ne peut jamais forcer les gens à faire des choses qu’ils ne sont pas prêts à faire. Il ne force jamais les gens à accepter la vérité. Si tu désires être dépravé, c’est ton choix personnel – au bout du compte, c’est toi qui en assumeras les conséquences, et tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même. Les principes de Dieu pour gérer les gens sont immuables, donc si tu te satisfais de la dépravation, ton issue inévitable est d’être puni. Peu importe depuis combien d’années tu as pu suivre Dieu, si tu désires être dépravé, Dieu ne te forcera pas à te repentir. Si tu es prêt à suivre Satan, à être induit en erreur et ruiné par Satan, alors, au bout du compte, c’est toi qui dois en assumer les conséquences. Certaines personnes prennent en pitié ce genre d’individus et gaspillent leur bonté en leur venant en aide, mais peu importe à quel point on les exhorte, ils ne font pas marche arrière. Que se passe-t-il ici ? Le fait est que Dieu ne sauve pas une telle personne ; Il n’en veut pas. Qu’est-ce que l’homme peut faire de cela ? C’est la raison sous-jacente. Mais lorsque les gens ne peuvent pas voir une situation clairement, ils devraient faire ce qu’ils sont censés faire, et remplir les obligations et responsabilités qui leur incombent. Quant à ce qui résultera de l’accomplissement de ces tâches, ils doivent s’en remettre à la direction de Dieu. N’êtes-vous pas parvenu à comprendre, dans une certaine mesure, la phrase « Dieu est un Dieu qui exècre le mal » à travers ces détails dont J’ai parlé ? C’est un des aspects de cela, que Dieu ne veut pas de ceux qui ont été souillés par des esprits malfaisants. Pour quelle raison Dieu ne veut-Il pas d’eux ? Si tu as choisi Satan, comment Dieu pourrait-Il toujours vouloir de toi ? Si tu as choisi Satan, comment Dieu pourrait-Il encore avoir pitié et émouvoir ton cœur pour t’amener à revenir ? Dieu est-Il capable d’une telle chose ? Il en est plus que capable, mais Il choisit de ne pas œuvrer de la sorte parce que Son tempérament est juste, et parce qu’Il est un Dieu qui exècre le mal.

La dernière fois, notre échange s’est concentré sur la manière dont la principale manifestation de l’essence malveillante des antéchrists était leur hostilité et leur détestation vis-à-vis de toutes les choses positives et de toutes les vérités. Aujourd’hui, J’échange depuis une autre perspective, qui est que les antéchrists aiment tout ce qui est contraire aux choses positives. Et de quoi s’agit-il ? (Des choses négatives.) Oui, il s’agit des choses négatives, c’est-à-dire, tout ce qui va à l’encontre de la vérité, la contredit, et ne s’accorde pas avec elle. Les antéchrists n’aiment pas les choses positives, alors il doit bien y avoir quelque chose qu’ils aiment, n’est-ce pas ? Et qu’aiment-ils ? Ils aiment la tromperie et les mensonges, ainsi que les conspirations, les complots et les tactiques. Y a-t-il des antéchrists qui lisent Les Trente-six stratagèmes pendant leur temps libre ? J’imagine que c’est le cas. Pensez-vous que Je lis Les Trente-six stratagèmes ? Je ne le lis pas. Je ne l’étudie pas. Quel intérêt y a-t-il à le lire ? Le simple fait de le lire Me donne la nausée et Me retourne les tripes. Comment vous sentez-vous après avoir lu Les Trente-six stratagèmes ? Ne ressentez-vous pas encore plus de dégoût vis-à-vis de l’humanité malveillante ? Éprouvez-vous ce sentiment ? Plus vous le lisez, plus vous vous sentez écœurés. Vous avez l’impression que cette personne est si mauvaise ! Cela vaut-il la peine de devoir utiliser des stratagèmes pour chaque petite chose, de se donner tant de mal, d’être incapable de dormir le soir ou de manger le jour, et de se remuer les méninges pour trouver comment lutter ? Certains antéchrists étudient peut-être Les Trente-six stratagèmes pendant leur temps libre, et exercent leur esprit contre celui d’une autre personne et contre celui de Dieu. Ils apprécient les mensonges, les tromperies, les complots, les conspirations, ainsi que les tactiques et les stratégies, mais aiment-ils l’équité et la justice de Dieu ? Quels sont les antonymes de l’équité et de la justice ? (La malveillance et la laideur.) La malveillance et la laideur. Ils aiment les choses laides, tout ce qui est inique et inéquitable, tout ce qui est injuste et indécent. Par exemple, le fait que les gens poursuivent la vérité est une cause juste – comment les antéchrists définissent-ils cela ? Ils disent : « Ceux qui poursuivent la vérité sont des imbéciles ! À quoi bon vivre une vie, si on ne la vit pas selon son désir ? Les gens doivent vivre pour eux-mêmes, et quant à ceux qui vivent pour la vérité et pour la justice, ces gens-là sont tous des imbéciles ! » Voilà leur point de vue. Alors, sont-ils capables de faire des choses justes ? Ils en sont incapables. Sont-ils capables de se dresser et de s’exprimer lorsque des choses surviennent au sein de l’Église et perturbent et interrompent le travail de l’Église ? Non seulement ils ne se dressent pas, mais ils sont secrètement amusés et éprouvent de la joie dans cette infortune – ce sont de mauvaises graines. Ils ne sont jamais préoccupés par des questions qui ont trait au travail de la maison de Dieu, ni ne se dressent jamais et font quoi que ce soit pour protéger le peuple élu de Dieu. Ceux qui se sentent secrètement amusés, et qui se moquent de la maison de Dieu lorsqu’ils voient des personnes malfaisantes commettre des méfaits, et de mauvaises personnes tyranniser l’Église, quel genre de personnes sont-ils ? Ce sont des individus malveillants. Alors, quel genre de personnes sont des dirigeants qui sont capables de protéger ces personnes malfaisantes ? Ce sont des antéchrists. Ils ne laissent rien nuire à leurs propres intérêts, mais ils ne cillent pas lorsque l’on nuit aux intérêts de l’Église, et ils n’éprouvent pas la moindre tristesse. En secret, ils sont même contents de ne rien avoir perdu. C’est là la malveillance des antéchrists.

Nous venons de parler du fait que les antéchrists ont de l’aversion pour la vérité, et qu’ils aiment les choses iniques et malveillantes, poursuivent leurs intérêts et les bénédictions, n’abandonnent jamais leur intention et leur désir de gagner des bénédictions, et essaient sans cesse de négocier avec Dieu. Alors, comment cette question peut-elle être discernée et classée ? Si nous devions appeler ça « mettre le profit avant tout le reste », ce serait trop faible. C’est comme lorsque Paul a reconnu qu’il avait une épine dans la chair, et qu’il devait travailler afin d’expier ses péchés, mais au bout du compte, il voulait toujours obtenir une couronne de justice. Quelle est la nature de cela ? (La méchanceté.) C’est une sorte de tempérament méchant. Mais quelle est la nature de cela ? (La négociation avec Dieu.) Cela possède cette nature. Il cherchait du profit dans tout ce qu’il faisait, considérait chaque chose comme une transaction. Il y a une expression parmi les non-croyants : « Les déjeuners gratuits n’existent pas. » Les antéchrists nourrissent aussi cette logique, et se disent : « Si je travaille pour toi, que me donneras-tu en retour ? Quels bénéfices pourrai-je obtenir ? » Comment cette nature devrait-elle être résumée ? C’est être animé par les profits, c’est mettre le profit avant tout le reste, c’est être égoïste et méprisable. C’est la nature-essence des antéchrists. Ils ne croient en Dieu que dans le but d’obtenir du profit et des bénédictions. Même s’ils endurent quelque souffrance ou paient quelque prix, tout cela a pour objectif de négocier avec Dieu. Leur intention et leur désir d’obtenir des bénédictions et des récompenses sont immenses, et ils s’y accrochent avec fermeté. Ils n’acceptent aucune des nombreuses vérités exprimées par Dieu, dans leur cœur ils ne cessent de penser que croire en Dieu se résume à obtenir des bénédictions et à s’assurer une bonne destination, que c’est là le principe le plus élevé, et que rien ne peut le surpasser. Ils pensent que les gens ne devraient pas croire en Dieu à part pour gagner des bénédictions, et qu’à moins que ce soit pour obtenir des bénédictions, la croyance en Dieu n’aurait aucune signification ni valeur, qu’elle perdrait sa signification et sa valeur. Ces idées ont-elles été inculquées aux antéchrists par quelqu’un d’autre ? Proviennent-elles de l’éducation ou de l’influence de quelqu’un d’autre ? Non, elles sont déterminées par la nature-essence inhérente des antéchrists, qui est une chose que personne ne peut changer. Bien que Dieu incarné ait prononcé tant de paroles aujourd’hui, les antéchrists n’en acceptent aucune, et au lieu de cela, ils y résistent et les condamnent. La nature de leur aversion pour la vérité et de leur haine de la vérité ne pourra jamais changer. S’ils ne peuvent pas changer, qu’est-ce que cela indique ? Cela indique que leur nature est malveillante. Ce n’est pas une question de poursuivre ou non la vérité ; c’est un tempérament malveillant, c’est vociférer éhontément à l’encontre de Dieu et contrarier Dieu. C’est la nature-essence des antéchrists ; c’est leur vrai visage. Puisque les antéchrists sont capables de vociférer éhontément à l’encontre de Dieu et de s’opposer à Lui, quel est leur tempérament ? Leur tempérament est malveillant. Pourquoi dis-Je qu’il est malveillant ? Les antéchrists osent résister à Dieu et vociférer à Son encontre dans le but d’obtenir des bénédictions, et pour la gloire, le gain, et le statut. Pourquoi osent-ils faire cela ? Au plus profond de leur cœur, il y a une force, un tempérament malveillant qui les gouverne, et ils sont donc capables de se comporter sans le moindre scrupule, de se quereller avec Dieu, et de vociférer à Son encontre. Avant même que Dieu ait dit qu’Il ne leur donnerait pas une couronne, avant que Dieu ne leur arrache leur destination, leur tempérament malveillant jaillit du fond de leur cœur, et ils disent : « Si tu ne me donnes pas une couronne et une destination, j’irai au troisième ciel et je me querellerai avec toi ! » S’il ne s’agissait pas de leur tempérament malveillant, où trouveraient-ils une telle énergie ? La plupart des gens sont-ils capables de mobiliser une telle énergie ? Pourquoi les antéchrists ne croient-ils pas que les paroles de Dieu sont la vérité ? Pourquoi s’accrochent-ils avec ténacité à leur désir de bénédictions ? N’est-ce pas une fois de plus leur malveillance ? (Si.) Ce sont précisément les bénédictions que Dieu promet d’accorder aux gens qui sont devenues l’ambition et le désir des antéchrists. Ils sont déterminés à les obtenir, mais ils ne veulent pas suivre la voie de Dieu, et ils n’aiment pas la vérité. Au lieu de cela, ils poursuivent les bénédictions, les récompenses, et les couronnes. Avant même que Dieu n’ait dit qu’Il ne leur accorderait pas ces choses, ils veulent affronter Dieu. Quelle est leur logique ? « Si je ne peux pas obtenir de bénédictions et de récompenses, je me querellerai avec toi, je m’opposerai à toi, et je dirai que tu n’es pas dieu ! » Ne menacent-ils pas Dieu en disant de telles choses ? N’essaient-ils pas de Le renverser ? Ils osent même renier la souveraineté de Dieu sur toute chose. Du moment que les actions de Dieu ne sont pas alignées avec leur volonté, ils osent nier que Dieu est le Créateur, le seul vrai Dieu. N’est-ce pas le tempérament de Satan ? N’est-ce pas là, la malveillance de Satan ? Y a-t-il une quelconque différence entre la manière dont les antéchrists agissent et l’attitude de Satan vis-à-vis de Dieu ? Ces deux approches peuvent être parfaitement équivalentes. Les antéchrists refusent de reconnaître la souveraineté de Dieu sur toute chose, et ils veulent arracher aux mains de Dieu des bénédictions, des récompenses et des couronnes. De quel genre de tempérament s’agit-il ? Sur quelle base souhaitent-ils agir et s’emparer de telles choses ? Comment peuvent-ils mobiliser une telle énergie ? La raison pour cela peut maintenant être résumée ainsi : c’est la malveillance des antéchrists. Les antéchrists n’aiment pas la vérité, et pourtant ils veulent toujours obtenir des bénédictions et des couronnes, et arracher ces récompenses des mains de Dieu. N’est-ce pas courtiser la mort ? Se rendent-ils compte qu’ils courtisent la mort ? (Ils ne s’en rendent pas compte.) Ils ont peut-être aussi le vague sentiment qu’obtenir des récompenses est impossible, alors ils commencent par déclarer des choses comme : « Si je ne peux pas obtenir de bénédictions, j’irai au troisième ciel et je me querellerai avec dieu ! » Ils anticipent déjà le fait qu’il leur sera impossible d’obtenir des bénédictions. Après tout, Satan a vociféré à l’encontre de Dieu en plein ciel pendant de nombreuses années, et qu’est-ce que Dieu lui a donné ? La seule déclaration de Dieu par rapport à cela a été : « Une fois que le travail sera terminé, Je te jetterai dans un gouffre sans fond. Tu appartiens à un gouffre sans fond ! » C’est la seule « promesse » que Dieu a faite à Satan. N’est-ce pas tordu qu’il désire toujours des récompenses ? C’est de la malveillance. L’essence inhérente des antéchrists est hostile à Dieu, et les antéchrists eux-mêmes ne savent même pas pourquoi il en est ainsi. Leur cœur est uniquement concentré sur le fait de gagner des bénédictions et des couronnes. Chaque fois que quelque chose concerne la vérité ou Dieu, la résistance et la colère émergent en eux. C’est de la malveillance. Les gens normaux ne peuvent probablement pas comprendre les sentiments profonds des antéchrists ; c’est assez difficile pour les antéchrists. Les antéchrists possèdent des ambitions si immenses, ils nourrissent une énergie malveillante si immense en eux, et un désir si grand de bénédictions. Ils peuvent être décrits comme brûlants de désir. Mais la maison de Dieu échange continuellement sur la vérité – ce doit être très douloureux et difficile pour eux de l’entendre. Ils se font du mal à eux-mêmes et font tellement semblant afin de l’endurer. N’est-ce pas là une sorte d’énergie malveillante ? Si les gens ordinaires n’aimaient pas la vérité, ils ne trouveraient pas d’intérêt à la vie d’Église et éprouveraient même de la répulsion à son encontre. En lisant les paroles de Dieu et en échangeant sur la vérité, ils éprouveraient plus de souffrance que de plaisir. Alors, comment les antéchrists peuvent-ils endurer cela ? C’est parce que leur désir de bénédictions est si immense qu’il les pousse à se faire du mal et à l’endurer avec réticence. De plus, ils s’infiltrent dans la maison de Dieu pour agir comme des laquais de Satan, et se consacrent à causer des perturbations et des interruptions au travail de l’Église. Ils pensent que c’est leur mission, et jusqu’à ce qu’ils aient accompli leur tâche de résistance à Dieu, ils se sentent mal à l’aise et ont l’impression d’avoir déçu Satan. C’est déterminé par la nature des antéchrists.

Les antéchrists ont un penchant évident pour le statut, et tout le monde le sait. Dans quelle mesure aiment-ils le statut ? Quelles en sont les manifestations ? Avant toute chose, ils saisissent la moindre opportunité d’évoluer dans la hiérarchie, que ce soit en s’attirant les faveurs ou en employant des méthodes sournoises, ou en faisant de bonnes choses pour rallier le cœur des gens. Dans tous les cas, chaque fois qu’il y a une opportunité de s’élever dans la hiérarchie, ils la saisissent. Une fois qu’ils ont obtenu du statut, ils le chérissent encore plus qu’avant. Quand des gens normaux obtiennent du statut, ils éprouvent un sentiment de honte et se restreignent un peu. De plus, la position d’un dirigeant ou d’un ouvrier au sein de la maison de Dieu est un devoir. Ce n’est pas un statut ou un titre officiel, c’est un devoir. Parfois, il se peut que ces personnes normales révèlent un peu de leurs tempéraments corrompus en se mettant en valeur, pensant qu’elles occupent maintenant une position officielle. Les gens normaux trouvent cela relativement acceptable de se comporter ainsi à cette occasion, mais s’ils le font régulièrement, ils éprouvent du dégoût vis-à-vis d’eux-mêmes et craignent que les frères et sœurs ne le remarquent. Ils ont de la dignité et un sens de la honte, alors ils se restreignent un petit peu. Après avoir compris la vérité, ils en viennent à accorder moins d’importance au statut. Quel impact positif cela aura-t-il, et quels bons résultats cela générera-t-il ? Cela leur permettra d’effectuer leur devoir l’esprit tranquille. Peu importe leur poste actuel, ils le considèrent comme un devoir. Puisqu’ils ont été choisis pour diriger, et que le fait de diriger est à la fois un fardeau et un devoir pour l’homme, ils doivent d’abord comprendre ce qui leur incombe dans le cadre de ce devoir. Lorsque tu n’occupes pas un rôle de dirigeant, tu n’as pas à te préoccuper de certaines questions, et tu ne portes pas vraiment de fardeaux. Mais lorsque tu endosses un rôle de dirigeant, tu dois comprendre comment accomplir tes tâches correctement, et comment faire ton devoir conformément aux principes et aux arrangements de travail de la maison de Dieu. Ceux qui poursuivent la vérité peuvent progresser dans une direction positive de ce genre. Alors, quelle est la différence entre les antéchrists et ceux qui poursuivent la vérité en ce qui concerne leur manière d’aborder le statut ? Les antéchrists éprouvent de la passion, poursuivent, chérissent, et gèrent leur statut. Ils pensent à leur statut à la moindre occasion. Le statut est comme leur énergie vitale. Si les autres ne les portent pas en estime, ou s’ils disent accidentellement quelque chose de mal et que les autres les dédaignent, et qu’ils perdent leur place dans le cœur des gens, ils seront constamment anxieux au sujet de leur statut, et deviendront extrêmement précautionneux dans leur manière d’agir et de parler. Peu importe à quel point tu échanges sur la poursuite de la vérité, ils seront incapables de la comprendre. Quelle est la seule chose qu’ils sont capables de comprendre ? « Comment puis-je occuper ce “rôle” correctement et agir comme un fonctionnaire ? » Il y a certaines manifestations spécifiques de cela. Par exemple, lorsqu’un dirigeant d’Église prend une photo de groupe avec plus de vingt frères et sœurs, à quelle place quelqu’un doté de dignité et d’un sens de la honte choisirait-il de s’asseoir ? Il trouverait un coin sur le côté pour s’asseoir. Où les antéchrists s’assoient-ils généralement ? (Au milieu.) S’assoient-ils au milieu parce que c’est ce que tout le monde veut, ou est-ce leur désir personnel ? (C’est leur désir personnel.) Parfois, il peut arriver que tout le monde leur laisse une place au milieu, les obligeant à occuper une place centrale, et dans leur cœur, ils sont très satisfaits d’eux-mêmes : « Regardez le soutien que tout le monde m’apporte ! Je dois m’asseoir ici. Je vois bien, à travers cela, que j’occupe une place dans le cœur de tout le monde. Ils ne pourraient pas se passer de moi ! » Ils se sentent très heureux et satisfaits. S’ils n’aimaient pas l’idée que tout le monde leur laisse une place au milieu, pourquoi iraient-ils la prendre ? Il est évident qu’ils aiment profondément leur place à cet instant précis et le sentiment que cela leur procure. Ils ont vraiment besoin du sentiment de ce moment-là et le chérissent, et c’est pour cela qu’ils ne déclinent pas la place. Ce dirigeant s’assoit juste au milieu, entouré de dizaines d’autres personnes, et il utilise même un coussin pour se faire remarquer. Il pense : « Cela ne me suffit pas d’être à la même hauteur que tout le monde. Comment cela peut-il mettre en valeur ma distinction en tant que dirigeant ? J’ai besoin de me redresser un petit peu, de m’asseoir au milieu, et alors je serai bien voyant. Il s’agit de savoir quel est le bon endroit pour s’asseoir. Lorsque les gens regarderont la photo, la première chose qu’ils verront, ce sera moi. Ils diront : "C’est notre dirigeant Untel". Quelle gloire ! Cette photo existera pendant tant d’années. Si les gens ne peuvent pas me voir, et qu’ils m’oublient peu à peu, alors à quoi bon être dirigeant ? » Voilà à quel point ils chérissent leur statut.

Un jour, J’ai cherché quelques personnes d’une Église pour connaître la situation là-bas. Une fois qu’elles ont allumé leur webcam, elles se sont toutes assises devant la caméra, laissant un espace au milieu. Je n’ai pas compris pourquoi et J’ai suggéré qu’elles se rapprochent du centre car le cadre de la caméra n’était pas très large, et qu’elles avaient l’air un peu maladroites avec seulement la moitié de leur visage apparent. Après cela, ils se sont un petit peu rapprochés du centre, mais laissaient toujours un siège libre au milieu. J’ai pensé tout bas : « Pourquoi personne ne s’assoit-il au milieu ? C’est comme s’il y avait là une sorte de Bouddha sacré – pourquoi personne n’ose-t-il se mettre là ? » Puis, un homme assez corpulent est venu et s’est lourdement laissé tomber juste au milieu, et il avait précisément l’air d’un « Bouddha » sacré, tout rond et grassouillet. Il se trouvait que le siège du milieu lui était réservé. Pouvez-vous deviner qui était cette personne ? (Le dirigeant.) C’est exact, et il s’est assis exactement au milieu. C’est un symbole de statut. Lorsque ce démon est arrivé, ressemblant à un Bouddha, et s’est assis là, il a occupé cette place tout naturellement, comme si elle lui revenait de droit. Tout le monde était plus que content de s’asseoir de part et d’autre de lui, et le regardait avec une tendresse particulière, comme si ces gens le « comprenaient » immensément. On aurait dit une bande de lèche-bottes, qui disaient : « Ah, tu es enfin arrivé. Nous t’avons attendu si longtemps. » Pendant que J’avais parlé, personne n’y avait prêté attention ; ils attendaient le dirigeant. Ce « Bouddha » sacré devait d’abord se montrer. S’il ne s’était pas montré, Je n’aurais pas pu continuer à parler. Comment était-il capable de s’asseoir là, qui plus est si naturellement ? Cela a-t-il quoi que ce soit à voir avec ses préférences, ses priorités, et ses poursuites habituelles ? (Oui.) Quel genre de scène ce genre de personnes forment-elles d’ordinaire ? Utilisez votre imagination et réfléchissez-y. Lorsque ce dirigeant préside une réunion ou entre dans une pièce où les gens sont en train de faire leurs devoirs, comment le traitent-ils ? C’est comme s’il était un aïeul ou un Bouddha : ils s’empressent de lui offrir un siège, et le siège principal doit lui être réservé. Serait-il acceptable pour lui qu’ils ne le lui réservent pas ? Sur la base du phénomène que J’ai vu à travers la webcam à ce moment-là, cela n’aurait sans doute pas été convenable s’ils ne lui avaient pas laissé le siège principal – c’était devenu une règle, une règle tacite. Lorsque le « Bouddha » arrive, il doit immédiatement se voir offrir le siège principal. Si le « Bouddha » n’est pas là, le siège principal doit rester vacant. C’est ce que l’on appelle du statut. Est-ce que l’un d’entre vous agit ainsi, et considère le statut comme étant au-dessus de tout le reste ? Que pouvez-vous relever de la scène que Je viens de décrire ? Différentes personnes considèrent le statut différemment. Ceux qui aiment la vérité considèrent leur statut comme étant un devoir, et chérissent le mandat de Dieu dans leur cœur. Ils acceptent leur devoir mais ne revendiquent pas leur statut. Certaines personnes voient le statut comme quelque chose d’encombrant, elles estiment que c’est un fardeau supplémentaire qui leur occasionne pression, contraintes, et même des ennuis. Cependant, ceux qui révèrent le statut le considèrent comme étant quelque chose d’officiel, et ils jouissent toujours de ses bénéfices. Ils sont incapables de vivre sans statut. Une fois qu’ils l’atteignent, ils sont prêts à tout sacrifier pour lui, y compris leur vie et leur estime de soi – ils sont même prêts à vendre leur propre corps pour lui. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) C’est ce que l’on appelle de la malveillance. Qu’est-ce que le statut, à leurs yeux ? C’est une voie et un moyen de l’emporter, et une méthode pour changer leur identité, leur destinée, et leur position parmi les gens. Ainsi, ils accordent au statut une très grande importance. Une fois qu’ils l’atteignent, et que les gens les écoutent, leur obéissent, leur donnent satisfaction, et s’attirent leurs faveurs dans toute chose, au lieu de se sentir écœurés par tout cela, ils en tirent un plaisir extrême. Tout comme ce dirigeant qui a pris la place du milieu – sa posture était très détendue et confortable, et il éprouvait un plaisir et une jouissance vraiment immenses. N’est-ce pas malveillant ? Si une personne apprécie particulièrement tous les sentiments de supériorité et tous les avantages qu’apporte le statut, et qu’elle poursuit et chérit particulièrement ces choses-là, étant incapable de les laisser partir, alors cette personne est extrêmement malveillante. Pourquoi dis-Je qu’elle est malveillante ? Quant à ceux qui flattent, prononcent de belles paroles, et offrent des compliments aux personnes de statut, qu’est-ce qu’ils sont en train de dire ? Ils prononcent de fausses paroles, des paroles dénuées de honte, des paroles écœurantes et répugnantes, et des paroles de tromperie, et même des choses qui sont offensantes à entendre. Par exemple, prenons quelqu’un de statut qui a un fils vraiment très laid, avec un visage pointu et des joues simiesques, est-ce que ces flatteurs disent qu’il est laid ? Que disent-ils ? (Il est vraiment beau.) Cela suffit-il, pour eux, de dire simplement « il est vraiment beau » ? Ils ressentent le besoin de dire quelque chose d’écœurant, comme : « Il a un front intelligent et une mâchoire large et ronde. Il a le visage de quelqu’un qui sera riche et qui aura un statut élevé à l’avenir ! » Même s’il est clair que ce n’est pas le cas, ils oseront malgré tout proférer ces mensonges. Lorsque ce fonctionnaire entend cela, il est ravi, il adore entendre de telles choses – il se plaît à les écouter. À quel point aime-t-il les écouter ? Si personne ne disait ces paroles hypocrites, ces paroles flatteuses, et ces paroles trompeuses devant lui, et si personne ne prononçait une quelconque parole fausse et écœurante pour le rendre heureux et le satisfaire, il trouverait la vie inintéressante. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) C’est extrêmement malveillant. Lorsqu’ils profèrent eux-mêmes des mensonges, c’est déjà assez écœurant, mais ils se repaissent également de la présence d’autres menteurs qui leur tournent autour comme un essaim de mouches puantes, et ils ne s’en lassent jamais. Ils aiment quiconque sait bien parler, est versé dans la flatterie et l’art de s’attirer des faveurs, et s’exprime de manière détournée – ils gardent ces personnes sous leur giron et les placent à des postes importants. Ces dirigeants-là ne sont-ils pas en danger ? Quel genre de travail peuvent-ils accomplir ? L’Église ne serait-elle pas condamnée si elle tombait sous leur contrôle ? Pourrait-elle encore avoir l’œuvre du Saint-Esprit ?

J’ai entendu dire que certains dirigeants avaient un penchant pour la nourriture. Lorsqu’ils vivaient avec des frères et sœurs qui n’avaient pas de talent pour la cuisine et ne préparaient pas de bons repas, ils trouvaient un hôte qui savait être servile envers eux et leur lécher les bottes, et qui préparerait de délicieux repas spécialement pour eux tous les jours. Chaque jour, les dirigeants mangeaient et buvaient tout leur soûl, disant : « Que les grâces soient rendues à dieu, nous pouvons jouir chaque jour du banquet de dieu. C’est véritablement la grâce de dieu ! » De tels individus sont en danger. Même s’ils ne sont pas encore des antéchrists, leur comportement a déjà exposé qu’ils ont la nature-essence et le tempérament malveillant d’un antéchrist, et qu’ils sont donc en train de suivre le chemin d’un antéchrist. Qu’ils puissent devenir des antéchrists, ou qu’ils soient des antéchrists, dépend de la voie qu’ils choisiront par la suite. Il est assez évident qu’ils sont en train de suivre la voie d’un antéchrist et que leur tempérament-essence s’aligne sur celui d’un antéchrist, et c’est à cause de leur penchant pour les choses négatives et leur détestation des choses qui sont positives. Ils ont du mépris pour les choses positives, et les condamnent et rejettent dans leur cœur. Qu’acceptent-ils ? La duplicité, les mensonges, et tout ce qui a trait aux choses négatives. Lorsque J’arrive dans quelques lieux, certaines personnes me disent : « Tu n’as pas l’air bien ; repose-toi un moment. » Si Je me sens bien ou non, et quand J’ai besoin de reposer, ce sont là des choses que Je sais Moi-même. Tu n’as pas besoin de faire semblant d’être intelligent, et tu n’as pas besoin de mettre en avant à quel point tu l’es. Je n’accepte pas cela ; cela provoque en Moi de la répulsion. Quel genre d’individus est-ce que J’aime ? Ceux qui peuvent échanger promptement lorsque quelque chose survient et qui Me disent le fond de leur pensée. J’échange avec toi pour résoudre les difficultés que tu rencontres, et tu peux entretenir des rapports étroits avec Moi. Ne te donne pas la peine de t’attirer Mes faveurs et d’essayer de Me satisfaire – c’est terriblement répugnant ! Les gens comme cela devraient garder leurs distances avec Moi, car Je les trouve répugnants. Je te catégorise comme une mouche agaçante ou un nuisible. Garde tes distances ! Certains diront : « N’as-Tu pas besoin de quelqu’un à Tes côtés pour Te servir ? » D’après toi, conformément à Mon identité et Mon statut, il devrait exister un traitement et un service correspondants. Mais Je n’ai pas besoin de cela. Tu ne dois pas faire ces choses, c’est compris ? J’éprouve du dégoût et de la détestation vis-à-vis de ces choses-là. Si tu as réellement à cœur d’être attentionné envers Moi et de t’occuper de Moi, il y a de nombreuses manières appropriées de le faire. Par exemple, si Je te dis de faire quelque chose, tu le mènes à bien docilement, et lorsque tu rencontres des difficultés, tu peux en discuter promptement avec Moi. Cependant, quoi que tu fasses, n’imite pas la manière dont les non-croyants s’attirent les bonnes grâces des gens qui sont en exercice, prononçant beaucoup de flatteries plaisantes à l’oreille – Je n’aime pas les entendre. Je ne suis clairement pas grand de taille, et pourtant tu insistes pour dire : « Tu n’es peut-être pas grand, mais Tu es plus grand que nous. » Je n’aime pas entendre cela, alors quoi que tu fasses, ne Me le dis pas ; tu le dis à la mauvaise personne. Les antéchrists aiment entendre ce genre de paroles. Par exemple, ils demandent aux frères et aux sœurs au-dessous d’eux : « Ai-je l’air gros ? » Et certaines personnes disent : « Même si tu es gros, tu es plus beau que nous. » « Alors je suis mince ? » « Même si tu es mince, tu es splendide. Dans un cas comme dans l’autre, tu ressembles à un mannequin ; tout te va. » Lorsque les antéchrists entendent cela, ils sont ravis et te considèrent comme leur partenaire et allié. Toutes ces choses que les antéchrists apprécient sont répugnantes et malveillantes – sinon, comment ceux-ci pourraient-ils être définis comme malveillants ? Les antéchrists aiment-ils les éléments de l’humanité normale, comme la conscience, la raison, le sens de la honte et la dignité, ainsi que le discernement du bien et du mal, du blanc et du noir, du bon et du mauvais, entre autres choses de l’humanité normale ? Les antéchrists aiment-ils les gens qui ont un sens de la honte ? Aiment-ils les gens qui sont pourvus de dignité ? Ils aiment ceux qui n’ont aucune honte, qui sont capables de parler d’une manière mièvre, sans la moindre conscience de soi et sans être embarrassés. Ne sont-ils pas dépourvus du sens de la honte ? Plus tes paroles sont mièvres, plus ils deviennent heureux. Quand on se penche sur les préférences des antéchrists et leurs attitudes vis-à-vis de diverses choses, ainsi que sur leurs choix et orientations, il est évident que leur malveillance est sans limite. Laissons de côté ceux qui comprennent la vérité – même les gens qui ont une once de sens de la justice dans la société n’apprécient pas ce genre de comportement. Vois-tu, certains individus dans des cercles officiels s’attirent désespérément les faveurs de ceux qui sont en exercice. Ils accordent à ceux qui sont en exercice tout ce dont ils ont besoin, allant jusqu’à renoncer à leur propre femme – ne sont-ils pas dépourvus de dignité ? (Si.) De plus, certains officiels se livrent à des relations homosexuelles, et certains individus du même sexe que ces officiels ont des relations intimes avec eux, et le font alors même qu’ils n’en ont pas personnellement envie. Seriez-vous capables de faire de telles choses ? (Non.) Mais eux, si. Ils n’ont aucune base morale, aucun sens de la honte, aucune conscience, aucune rationalité – c’est pour cela qu’ils font ces choses. Tu ne pourrais même pas proférer les choses qu’ils disent si devais les réciter comme des répliques de théâtre ; ces gens-là sont encore plus mièvres que des comédiens. Qu’est-ce que J’entends par « comédiens » ? Je veux parler de ceux que ça ne dérange pas et qui ne cillent même pas lorsqu’ils sont vus ou qu’on leur rend visite alors qu’ils sont complètement nus. Voilà ce que l’on appelle des « comédiens ». Ainsi, ces flatteurs, avec leurs paroles écœurantes et repoussantes et une préférence pour les choses malveillantes, sont encore pires que ces comédiens. Ces derniers ne vendent que leur corps, mais que vend cette bande d’individus malveillants connus sous le nom d’antéchrists ? Ils vendent leur âme. Ce ne sont que des démons, au-delà de toute rédemption. C’est pour cela que dire la vérité à ces gens revient à donner de la confiture aux cochons – il leur est impossible d’aimer la vérité. C’est ainsi qu’ils abordent le statut, jouissant des différents sentiments de supériorité et des autres sentiments agréables qui l’accompagnent. Quels sont les différents sentiments qui dérivent de cette jouissance ? Sont-ils des choses positives ou négatives ? Tous sont des choses négatives. Lorsqu’ils atteignent un statut, ces gens s’attendent à ce qu’on les flatte, à ce qu’on s’occupe d’eux, à ce qu’on cède à leurs caprices qui visent à la défense de leurs intérêts. Ils veulent aussi jouir d’un traitement de faveur – leur gîte, leur couvert, et les choses qu’ils utilisent doivent tous être spéciaux, et ils doivent se distinguer des autres en toutes choses. Ton corps physique est-il vraiment différent de celui des autres ? Une fois que les antéchrists s’assurent un statut, ils se croient nobles et extraordinaires, comme s’il n’y avait plus aucun endroit sur Terre qui pouvait leur convenir – ils doivent jouir d’une situation des plus confortables, et obtenir des offrandes de la part des gens. N’est-ce pas le cas ? Dîtes-Moi, les gens normaux nourrissent-ils généralement ces idées-là ? Peu importe qu’ils aient du statut ou non, les gens normaux peuvent avoir une certaine aspiration et la désirer, mais parce qu’ils possèdent un sens de la honte, une conscience et une rationalité, en plus de posséder à présent une certaine compréhension de la vérité, leur attachement au statut s’amenuise et s’estompe. En outre, ils sont capables d’accorder moins d’importance aux bénéfices que le statut octroie, et s’ils peuvent considérer les avantages qu’il apporte comme étant peu importants, ils peuvent aussi se sentir rebutés par la flatterie et les paroles mielleuses des gens, leur flagornerie et autres comportements de ce type, et peuvent prendre leurs distances par rapport à ces choses, voire leur tourner le dos et y renoncer. Mais les antéchrists sont-ils capables de renoncer à ces choses-là et de les abandonner ? Absolument pas. Si tu leur demandes d’abandonner ces choses, c’est comme si tu leur demandais d’abandonner leur propre vie. Autrement, pourquoi certains individus diraient : « Je ne croirai plus, je ne continuerai pas à vivre, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue » dès qu’ils perdent leur statut ? Ne se passe-t-il pas quelque chose ici ? Pourquoi le statut est-il si important pour eux ? Ils sont incapables de vivre une vie tranquille et ordinaire ; ils doivent avoir du statut, ils doivent se démarquer du lot et se délecter de la vénération, de l’adoration et de l’exaltation des autres, ainsi que des mensonges qui ont pour but de céder à leurs caprices, de les leurrer et de les flatter. Ils veulent jouir de ces choses-là. Est-ce que les gens qui possèdent une humanité normale jouissent volontiers de telles choses ? Certainement pas ; elles les mettent mal à l’aise. Pourquoi les antéchrists aiment-ils jouir de ces choses-là ? C’est parce qu’ils portent en leur sein un tempérament satanique. Seuls ceux qui sont du même acabit que Satan poursuivent ces choses et ont de telles exigences. Les gens normaux peuvent peut-être apprécier ces choses pendant un temps, mais ils finissent par les trouver insignifiantes et même agaçantes, et ils restent alors à distance de celles-ci. Mais certains individus refusent obstinément de les abandonner. Par exemple, pourquoi certains acteurs célèbres ne prennent-ils jamais leur retraite du monde du cinéma, alors même qu’ils avancent en âge ? C’est parce que sans ce halo, sans ces gens qui les entourent, ils trouvent la vie insipide. Ils ont l’impression que le ciel n’est pas aussi bleu, que leur vie est dénuée de direction, et qu’elle a perdu sa signification et sa valeur. Ils ont l’impression que leur vie tout entière est devenue morne, alors ils doivent retourner dans le secteur du cinéma pour revivre le sentiment d’être une célébrité. Les antéchrists partagent avec eux cette qualité : ils possèdent une essence et un tempérament tout aussi malveillants. Lorsque les antéchrists gagnent du statut, ils en font partout l’étalage, allant jusqu’à endosser un rôle autoritaire au sein de leur foyer et à forcer les membres de leur famille à leur obéir. Les antéchrists possèdent une essence et un tempérament malveillants, et ils traitent le statut avec une affection particulière, déployant tous leurs efforts pour le montrer et en faire l’étalage. Qu’est-ce que cela nous montre ? Ces gens-là ont-ils un sens de la honte ? Non. Ils obtiennent du statut et pensent que leur identité a changé, et même leur relation avec leurs parents en est altérée. N’y a-t-il pas un problème ici ? C’est pervers ! Leur capacité à adopter une telle attitude vis-à-vis du statut est un des types de preuves qui expose leur essence malveillante.

Dieu est le Créateur et Son identité et Son statut sont suprêmes. Dieu détient autorité, sagesse et pouvoir, Il a Son propre tempérament, Ses biens et Son être. Quelqu’un sait-il depuis combien d’années Dieu œuvre au milieu de l’humanité et de toute la création ? Le nombre spécifique d’années depuis lesquelles Dieu œuvre et gère toute l’humanité est inconnu. Personne ne peut donner un chiffre précis et Dieu ne rend pas compte de ces questions à l’humanité. Par contre, si Satan devait faire quelque chose de ce genre, en rendrait-il compte ? Certainement. Satan veut s’afficher pour induire davantage de gens en erreur et faire prendre conscience de ses contributions à davantage de gens. Pourquoi Dieu ne rend-Il pas compte de ces questions ? Parce que l’essence de Dieu a un aspect humble et caché. Quel est le contraire d’être humble et caché ? C’est être arrogant et s’afficher. Peu importe à quel point l’œuvre qu’accomplit Dieu est grande, Il se contente de dire aux gens ce qu’ils peuvent saisir et comprendre, satisfait de laisser les gens gagner de la connaissance, connaître Son essence à travers l’œuvre qu’Il accomplit. Quels avantages cela apporte-t-il aux gens ? Quels résultats cela produit-il ? Est-ce le fait que les gens doivent connaître ces choses pour vénérer Dieu ? Ce n’est pas cela, en réalité. Le fait que les gens soient capables de vénérer Dieu est l’issue objective finale, mais quelle est l’intention originale de Dieu lorsqu’il informe les gens de ces choses ? C’est de leur permettre, après qu’ils ont connaissance de ces choses, après qu’ils ont une compréhension de la gestion de l’humanité par Dieu, et de comment Il arrange l’humanité et exerce Sa souveraineté sur elle, d’être capables de se soumettre à la souveraineté de Dieu, de ne plus se livrer à une résistance futile, et de ne plus dévier de Sa voie – de cette manière, les gens souffriront beaucoup moins. En vivant de manière naturelle et en existant en conformité avec les voies et les lois que Dieu fournit, et en conformité avec Ses exigences et les principes qu’Il donne, tu ne tomberas plus entre les griffes de Satan, ni ne seras corrompu et piétiné une seconde fois. À la place, tu vivras pour toujours dans le cadre des règles établies par Dieu, tu vivras avec une ressemblance humaine et en tant qu’être créé, et tu recevras le soin et la protection de Dieu. C’est l’intention et l’objet originaux de l’œuvre de Dieu. Alors, cette œuvre immense que Dieu a accomplie, l’a-t-Il déjà mise en valeur ? A-t-Il déjà dit aux gens ce qu’Il a accompli ? Non, jamais. Nombreux sont ceux qui ne savent pas ce que Dieu a accompli, ou quels genres de choses ont été accomplies par Dieu et lesquels ne l’ont pas été. En réalité, Dieu a accompli beaucoup de choses, mais Il n’a jamais déclaré ces choses à l’humanité. Dieu ne les déclare pas à l’humanité ; tout ce que tu as à faire, c’est d’être au clair avec ce que tu devrais savoir. Dans le futur, l’humanité sera capable d’exister sur Terre normalement et d’accepter la gouvernance de Dieu, et lorsque Dieu arrivera parmi l’humanité, les gens seront capables d’avoir des interactions normales avec Dieu, de Le recevoir, de Le vénérer, d’écouter Ses paroles, et de ne plus cheminer avec Satan. De cette manière, le royaume de Dieu apparaîtra sur Terre, et sur Terre il y aura un groupe de personnes capable de Le vénérer, un groupe de personnes qui pourra écouter Ses paroles et les mettre en pratique. L’œuvre de Dieu sera ainsi accomplie ; la réalisation de ce résultat est suffisante. Alors, quand Dieu fait quelque chose, si tu ne le comprends pas ou n’en as pas conscience, Dieu ne te l’expliquera pas. Pourquoi ne l’explique-t-Il pas ? Parce qu’il est inutile de le faire. Il y a bien des choses que tu ne comprends pas, et Dieu ne te révèlera pas certains mystères afin de faire en sorte que tu saches ces choses ou que tu comprennes Son identité et Son essence, ou que tu comprennes Son pouvoir. Dieu n’accomplit pas cette œuvre-là. Sur quelle tâche Dieu est-Il en ce moment concentré ? Il est concentré sur le fait d’amener les gens à comprendre la vérité. Une fois que tu comprendras la vérité, tu parviendras à connaître Dieu, à posséder un fondement pour ta vie, et à être capable de te soumettre à Dieu et de Le vénérer à l’avenir, et tu seras aussi en mesure de discerner et d’abandonner Satan, de ne plus être induit en erreur par lui ou le suivre – alors, Son œuvre sera complète. Quant à ces mystères, l’humanité aura la possibilité de les comprendre à l’avenir, mais les mystères des actions de Dieu sont incroyablement vastes, et même si Dieu te les révèle, cela ne signifie pas nécessairement que tu les comprendras. Même si tu les rencontres, tu ne seras peut-être pas capable de les comprendre ou de les saisir. Pourquoi cela ? Parce qu’il existe une distance et les êtres créés et Dieu, entre les pensées humaines et les idées de Dieu. Par exemple, tu sais peut-être que l’arc-en-ciel est un signe de l’alliance entre Dieu et l’humanité, mais sais-tu comment un arc-en-ciel est formé ? Si Dieu en venait à t’expliquer ce mystère, le comprendrais-tu ? Tu ne le comprendrais pas ; alors Dieu ne te l’explique pas. Ce serait un poids pour toi s’Il le faisait, puisque tu devrais l’étudier et l’analyser, ce qui te causerait des ennuis. Ainsi, Dieu dévoile peu des mystères. Mais l’homme, qui appartient à Satan, peut-il se taire s’il a connaissance de ces mystères ? Absolument pas. C’est là que leur essence diffère. Dieu explique-t-il les nombreuses choses qu’Il a révélées à l’humanité pendant des années, mais que l’humanité ne pourra jamais comprendre ? Accomplit-Il des choses surnaturelles ? Non. L’humanité est créée par Dieu, et Dieu sait la quantité de choses que les gens peuvent comprendre et dans quelle mesure ils peuvent le comprendre. Ces choses sont placées devant les yeux des gens, mais il n’est pas nécessaire qu’ils les comprennent, il n’y a pas besoin de les éclairer ou d’imposer ces choses aux gens et d’en faire des fardeaux pour eux, alors Dieu n’œuvre pas de cette manière. Ainsi, les actes de Dieu suivent des principes. La façon dont Dieu aborde l’humanité repose sur le fait de chérir, sur la considération et sur l’amour. Dieu veut ce qu’il y a de mieux pour les gens, voilà la source et l’intention initiale derrière tous les actes de Dieu. Par contre, Satan s’affiche, il impose des choses aux gens, il amène les gens à le vénérer et à être induits en erreur par lui, et il les fait devenir des dégénérés, de sorte qu’ils se transforment peu à peu en démons vivants et se dirigent vers la destruction. Mais quand tu crois en Dieu, si tu comprends et gagnes la vérité, tu peux alors échapper à l’influence de Satan et parvenir au salut, et ta fin ne sera pas d’être détruit. Satan ne supporte pas de voir les gens aller bien et il lui est égal que les gens vivent ou meurent. Il ne se soucie que de lui-même, de son propre profit, de son propre plaisir, et il n’a ni amour, ni miséricorde, ni tolérance, ni pardon. Satan ne possède pas ces qualités, seul Dieu possède ces choses positives. Dieu a œuvré de façon significative chez les êtres humains, mais en a-t-Il jamais parlé ? L’a-t-Il jamais expliqué ? L’a-t-Il jamais annoncé ? Non. Les gens ont beau se méprendre sur Dieu, Dieu n’explique rien. Du point de vue de Dieu, peu importe si tu as soixante ou quatre-vingts ans, ta compréhension de Dieu est très limitée, et sur la base du peu que tu connais, tu es encore un enfant. Dieu n’en tient pas rigueur ; tu es encore un enfant immature. Peu importe si certaines personnes vivent depuis de longues années et que leur corps porte les signes de l’âge ; leur compréhension de Dieu est encore très puérile et superficielle. Dieu ne t’en tient pas rigueur – si tu ne comprends pas, tu ne comprends pas. C’est ton calibre et ta capacité, et cela ne peut être changé. Dieu ne t’imposera rien. Dieu exige que les gens Lui rendent témoignage, mais Lui, S’est-Il rendu témoignage à Lui-même ? (Non.) D’un autre côté, Satan a peur que les gens ne connaissent même pas la plus petite chose qu’il fait. Les antéchrists ne sont pas différents : ils se vantent de chaque petite chose qu’ils font devant tout le monde. En les entendant, on dirait qu’ils témoignent de Dieu, mais si vous écoutez attentivement, vous découvrirez qu’ils ne témoignent pas de Dieu mais friment et se donnent de l’importance. L’intention et l’essence de ce qu’ils disent sont de rivaliser avec Dieu pour Son peuple élu et pour le statut. Dieu est humble et caché, et Satan s’exhibe. N’y a-t-il pas une différence ? La vantardise contre l’humilité et le caractère caché : qu’est-ce qui est positif ? (L’humilité et le caractère caché.) Satan pourrait-il être décrit comme humble ? (Non.) Pourquoi ? À en juger par sa nature-essence méchante, c’est un déchet sans valeur ; il serait anormal que Satan ne s’affiche pas. Comment Satan pourrait-il être appelé « humble » ? L’« humilité » est ce qui qualifie Dieu. L’identité, l’essence et le tempérament de Dieu sont nobles et honorables, mais Il ne se montre jamais. Dieu est humble et caché, de sorte que les gens ne voient pas ce qu’Il a fait, mais à mesure qu’Il œuvre dans une telle obscurité, l’humanité est sans cesse pourvue, nourrie et guidée – et tout cela est arrangé par Dieu. N’est-ce pas en vertu de Son caractère caché et de Son humilité que Dieu ne déclare jamais ces choses, ne les mentionne jamais ? Dieu est humble précisément parce qu’Il est capable de faire ces choses, mais qu’Il ne les mentionne ni ne les déclare jamais, et qu’Il ne Se dispute pas à propos de ces choses avec les gens. De quel droit peux-tu parler d’humilité quand tu es incapable de telles choses ? Tu n’as accompli aucune de ces choses et cependant, tu persistes à t’en attribuer le mérite : c’est ce qu’on appelle être sans vergogne. En guidant l’humanité, Dieu accomplit un très grand travail, et Il préside à l’univers entier. Son autorité et Son pouvoir sont tellement vastes, et pourtant Il n’a jamais dit : « Mon pouvoir est extraordinaire. » Il reste caché parmi toutes choses, présidant à tout, nourrissant et pourvoyant à l’humanité, permettant à toute l’humanité de perdurer génération après génération. Prenons l’air et le soleil, par exemple, ou toutes les choses matérielles nécessaires à l’existence humaine sur terre : elles circulent toutes sans cesse. Que Dieu pourvoie aux besoins des hommes, la question ne se pose pas. Si Satan faisait quelque chose de bien, le tairait-il et resterait-il un héros méconnu ? Jamais. De même, il y a dans l’Église des antéchrists qui ont déjà entrepris un travail dangereux, qui ont abandonné des choses et enduré des souffrances, qui sont peut-être même allés en prison. Il y a aussi ceux qui ont autrefois contribué à un aspect du travail de la maison de Dieu. Ils n’oublient jamais ces choses, ils pensent qu’ils méritent de la reconnaissance à vie pour cela, ils pensent que ces choses sont le capital de leur vie, ce qui montre à quel point les gens sont petits ! Les gens sont vraiment petits, et Satan est sans vergogne.

Dites-Moi, si les antéchrists avaient un statut égal à celui de Dieu, que mangeraient-ils et que porteraient-ils ? Il leur faudrait manger la meilleure nourriture et porter les meilleures marques, n’est-ce pas ? Alors, en ce qui concerne leurs exigences pour les choses matérielles, dites-Moi, n’ont-ils pas certains prérequis ? Lorsqu’ils vont quelque part, il faut qu’ils prennent l’avion. Lorsqu’ils arrivent à destination, est-ce que les frères et sœurs ordinaires peuvent les accueillir chez eux ? Même s’ils le pouvaient, ces antéchrists ne séjourneraient pas chez eux – il faudrait qu’ils dorment dans un hôtel haut de gamme. Les antéchrists n’ont-ils pas des prérequis très particuliers ? Quant à l’honneur, aux plaisirs et à l’orgueil que ce statut leur confèrerait, sont-ils capables d’abandonner ces choses ? Tant qu’ils disposent des bonnes conditions et opportunités, ils se saisissent de ces choses par poignées et en jouissent. Quels sont leurs principes ? Tant qu’ils ont du statut, ils peuvent mettre la main sur de l’argent et porter des vêtements et des accessoires de grandes marques. Ils ne veulent pas porter des choses ordinaires ; il faut qu’ils portent des marques célèbres. Leurs cravates, leurs costumes, leurs chemises, leurs boutons de manchettes, leurs colliers en or et leurs ceintures – tout doit être de grande marque. Ce n’est pas bon signe, et les frères et sœurs n’en souffrent-ils pas ? L’argent que les frères et sœurs donnent en offrande est souvent utilisé par ces antéchrists pour acheter des biens de grandes marques. N’est-ce pas un grand mal qu’ils ont commis ? N’est-ce pas causé par leur malveillance ? Voilà le genre de choses qu’ils sont capables de faire. Il y a quelqu’un qui s’habillait modestement lorsqu’il a endossé un rôle de dirigeant pour la première fois, avec seulement trois à cinq tenues qui n’étaient ni de grandes marques ni haut de gamme. Après plusieurs années en tant de dirigeant, parce qu’il n’avait fait aucun vrai travail, il a été remplacé. Lorsqu’il est parti, il a pris avec lui tout un lot de choses : des vêtements de grandes marques, des sacs, toutes sortes de belles choses. Il n’avait gagné aucun argent tant que dirigeant, alors d’où provenaient toutes ces choses ? Elles provenaient de son statut. S’il avait opposé son refus lorsque les autres lui avaient acheté ces choses, les frères et sœurs auraient-ils malgré tout insisté pour les lui acheter ? Ce genre de choses se serait-il produit ? S’il ne voulait pas de ces choses, les frères et sœurs ne les lui auraient pas achetées. Quel est le problème ici ? Par la force, et avec cupidité, il s’est emparé de ces biens. À un égard, il a extorqué ces biens aux frères et sœurs, et à un autre, il les a activement achetés lui-même. En outre, il a laissé les frères et sœurs lui acheter ces choses, et si quelqu’un refusait, il le tourmentait et lui causait du tort. Toutes ces différentes raisons sont entrées en jeu. Au bout du compte, il a bénéficié d’une « récolte exceptionnelle » et il est devenu aisé. Enviez-vous ce genre de dirigeant ? Si vous en aviez la possibilité, pourriez-vous aussi gagner ce genre de richesse ? Laisse-Moi te le dire : il n’est pas bon de devenir riche comme cela – il y a des conséquences ! Lorsque certaines personnes deviennent dirigeantes, elles ont peur que ces choses-là leur arrivent. Elles pensent que les tentations seraient trop grandes, qu’il serait difficile d’éviter ou de gérer ces tentations, et qu’il serait facile pour elles d’y succomber. Mais certaines personnes s’en moquent, et pensent : « C’est normal. Qui entre en fonction sans jouir de telles choses ? Pourquoi entrer en fonction, en premier lieu ? C’est tout l’intérêt ! » Quel genre de voix est-ce là ? C’est la voix des antéchrists, et ces personnes sont en danger.

Voilà presque trente ans que J’œuvre à présent. Ai-Je déjà extorqué quoi que ce soit à quelqu’un ? Par exemple, si J’ai vu quelqu’un porter un beau bijou, est-ce que Je le lui ai extorqué en lui envoyant un message de ce type : « Donne-Moi ton bijou ; il ne te va pas. Les bijoux en argent et en or sont destinés à des gens de statut, et ceux qui n’ont pas de statut ne devraient pas en porter » ? Cela s’est-il déjà produit ? Non. Même lorsque certains frères et sœurs avaient un peu d’argent et M’ont acheté une veste en cuir ou quelque chose du même type, Je l’ai toujours rendu. Ce n’est pas tant que Je ne l’aimais pas ; c’est juste que Je n’avais pas l’usage de telles choses. Plus tard, J’y ai réfléchi : « Comment devrais-Je gérer ces choses convenablement ? Que devrais-Je faire pour éviter de blesser ceux qui me les ont achetées ? » J’ai apporté ces choses à l’Église afin que les frères et sœurs puissent les distribuer en conformité avec les principes. Si quelqu’un souhaitait acheter ces objets de valeur, l’Église le lui vendrait au rabais. L’objectif n’était pas de générer des revenus ; c’était de gérer les choses d’une manière qui conviendrait à toutes les parties. Personne ne devrait recevoir ces choses gratuitement parce qu’elles ne t’étaient pas destinées à l’origine. Ces articles étaient limités et ne pouvaient pas être distribués équitablement entre tous, et il n’était pas approprié qu’on les offre à quiconque. Par conséquent, la seule option était que ceux qui avaient l’argent et qui étaient disposés à les acheter le fassent. Ils étaient assurément moins chers que ce qui était vendu sur le marché, alors c’était une faveur de la maison de Dieu. J’avais le droit de faire les choses ainsi. C’est parce qu’une fois qu’une chose M’avait été donnée, elle devenait Mienne, et J’avais le droit de la gérer comme bon il me semblait. Cela n’avait plus rien à voir avec la personne qui l’avait achetée en premier lieu. En gérant la question de cette manière, J’avais déjà fait attention à la fierté de cette personne. Il n’y aurait pas dû y avoir la moindre objection, dans la mesure où cette approche était tout à fait appropriée. De nombreux frères et sœurs M’ont acheté des choses. Je ne leur ai pas confié la tâche de M’acheter des choses, et J’ai encore moins exigé qu’ils le fassent. Ils avaient à cœur de faire cela, ce que J’ai apprécié, mais il y avait bien des choses que Je ne pouvais accepter parce que Je n’en avais pas besoin. C’est une question pratique. Ce que J’ai dit est-il approprié ? (Oui.) La manière dont J’ai géré la question était-elle également appropriée ? (Oui.) Certains frères et sœurs qui savaient que J’étais sensible au froid et que Je ne mangeais pas de nourriture froide M’avaient acheté un médicament pour les « coups de froid à l’estomac. » Cependant, Je ne me suis pas senti très bien après avoir pris ces médicaments – Mon corps ne peut pas supporter ce genre d’expériences, alors il y a de nombreux médicaments avec lesquels Je dois être prudent. Vous devez comprendre cela. Certains frères et sœurs ont aussi acheté des compléments alimentaires, comme du ginseng des montagnes, du ginseng rouge et d’autres types de tonifiants. Je n’ai pu prendre aucun d’entre eux. Pourquoi ? Parce qu’Ils ne Me convenaient pas. Ce n’est pas parce que Je dédaignais ce que les frères et sœurs M’avaient acheté ou l’endroit où ils se l’étaient procuré ; c’est juste que je ne pouvais pas l’utiliser ; je n’étais pas capable de le faire. Toutes les bonnes choses ne conviennent pas à tout le monde. Il y a de nombreuses bonnes choses dans le monde, et si tu prends quelque chose de bon et que cela te cause une réaction allergique ou des effets secondaires négatifs, alors ce n’est pas une bonne chose pour toi. Alors, comment cela devrait-il être géré ? Il vaut mieux laisser ceux à qui elles conviennent les utiliser. Alors, laissez-Moi vous dire que peu importe qui dépense de l’argent pour M’acheter des choses, souvenez-vous de ces paroles – ne les achetez pas. Si J’ai besoin de quelque chose, Je te le dirai directement, et Je ne ferai pas tellement de politesses à ce sujet. C’est compris ? Mais lorsque vous M’apportez ces choses, et que Je dis que Je n’en ai pas besoin où qu’elles ne Me conviennent pas, ce n’est pas une politesse de Ma part non plus. Ce n’est pas de la fausseté ou de l’hypocrisie. Tout ce que Je dis est réel ; tout est vrai. S’il vous plaît, ne lisez pas entre les lignes quand Je parle. Lorsque Je dis que je n’en ai pas besoin, cela signifie que Je n’en ai pas besoin. Lorsque Je dis que Je ne peux pas l’utiliser, cela signifie que Je ne peux pas l’utiliser. Quoi que vous fassiez, ne perdez pas votre temps à songer à acheter des choses ou à dépenser inutilement de l’argent. Ne pense pas que toutes les bonnes choses devrait être donnée à Dieu – sais-tu seulement si J’en ai besoin ou non ? Si Je n’en ai pas besoin, ne les as-tu pas achetées en vain ? Si tu veux vraiment M’acheter quelque chose, laisse-Moi te le dire – ne M’achète rien. Si tu dis que tu l’as acheté pour que Je le partage avec tout le monde, alors très bien, Je peux le distribuer. En ce qui concerne la manière dont Je traite de telles choses, et dont Je traite les possessions matérielles que le statut et la position confèrent, c’est là Mon attitude. Les antéchrists traitent-ils de ces questions de la même manière ? (Non.) En premier lieu, ils ne refusent assurément rien – plus ils possèdent, mieux ils se portent. Peu importe qui leur envoie des présents et de quoi il s’agit, ils les acceptent. Deuxièmement, ils extorquent indubitablement certaines choses à des gens. Et enfin, ils s’emparent de certaines choses pour eux-mêmes. C’est ce qu’ils cherchent et c’est ce qu’ils veulent ; c’est ce que le statut qu’ils poursuivent leur confère.

Concernant l’essence malveillante des antéchrists, sur la base de l’échange de la dernière fois mais aussi celui d’aujourd’hui, pouvez-vous Me donner un résumé en une phrase qui dévoile au grand jour cette essence malveillante ? La plus grande caractéristique de la malveillance chez les antéchrists est la suivante : ils condamnent tout ce qui est positif, tout ce qui est juste et conforme à la vérité, et tout ce qui est considéré comme beau au sein de l’humanité. Ils exècrent ces choses et ont de l’aversion pour elles. Inversement, toute chose négative, et toute chose condamnée et méprisée par les gens dotés d’une conscience, d’une raison et d’un sens de la justice est précisément ce qui ravit les antéchrists. Ce sont les choses qu’ils poursuivent et qu’ils chérissent. Il y a également une autre phrase qui peut résumer cela : les antéchrists exècrent toute chose positive qui vient de Dieu et exècrent tout ce que Dieu aime ; à la place, ils aiment précisément ce que Dieu déteste et condamne. Telle est la malveillance chez les antéchrists. Quelle est la caractéristique première de cette malveillance ? C’est qu’ils ont un penchant particulier pour tout ce qui est laid et négatif, tandis qu’ils détestent tout ce qui est beau, positif, et conforme à la vérité, et montrent de l’hostilité vis-à-vis de cela. Voilà ce qu’est la malveillance. Vous comprenez, n’est-ce pas ? L’échange d’aujourd’hui englobait le sujet de « ce qu’aiment les antéchrists. » Nous avons aussi donné quelques exemples, certains plus typiques que d’autres, mais qui peuvent tous être employés comme preuve pour expliquer la nature-essence malveillante des antéchrists. Ensuite, ce que vous devez faire après cela, c’est réfléchir et échanger sur les choses malveillantes ou positives que vous voyez et comprenez, les choses négatives qu’aiment les antéchrists, les choses positives qu’ils exècrent, et ce que vous pouvez comprendre, ainsi que ce que vous pouvez voir et dont vous pouvez faire l’expérience. Les antéchrists et les humains ordinaires corrompus partagent certains problèmes dans leurs tempéraments et essences, et tandis que la sévérité de ces similarités peut différer, l’essence de leurs tempéraments est la même. Les chemins qu’ils empruntent et les objectifs qu’ils poursuivent peuvent eux aussi varier, mais ils révèlent beaucoup des mêmes tempéraments-essences corrompus. Par conséquent, exposer les différents aspects de l’essence des antéchrists est utile à toute personne corrompue. Si le peuple élu de Dieu peut discerner l’essence des antéchrists, il peut garantir qu’il ne sera pas induit en erreur par eux, et ne les vénérera et ne les suivra pas non plus.

Le 7 août 2019

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