Point 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie III)

Supplément : Cadeaux

Avant d’aborder le sujet principal de cet échange, laissez-Moi vous raconter une histoire. Quel genre d’histoire devrais-Je raconter ? Si elle n’a aucune influence sur les gens, ou si elle n’édifie pas ou ne profite pas à ceux qui croient en Dieu en termes d’entrée dans la vie et de connaissance de Dieu, alors il est inutile de la raconter. Si Je m’apprête à raconter une histoire, cette histoire doit en elle-même être quelque peu édifiante : elle doit avoir de la valeur et du sens. Alors écoutez cette histoire aujourd’hui et voyez si elle peut être édifiante et vous être utile. Certaines histoires sont vraies, tandis que d’autres sont des fabrications inspirées d’événements réels ; elles ne sont pas vraies, mais elles correspondent à des situations courantes et ne sont donc pas déconnectées de la réalité. Qu’elles soient fabriquées ou qu’elles se soient réellement produites, elles sont toutes étroitement liées à la vie des gens. Alors pourquoi vous raconter de telles histoires ? (Pour que nous puissions comprendre la vérité.) C’est exact : pour que vous puissiez en comprendre la vérité ; certaines vérités que les gens ont du mal à discerner dans la vraie vie. Utilisons donc les histoires pour rapprocher de la réalité la connaissance qu’ont les gens de la vérité et de Dieu, et leur faciliter la compréhension de la vérité et de Dieu.

Quand Je rencontre beaucoup de gens sur une longue période, des choses étranges et amusantes se produisent inévitablement. Cela s’est passé au printemps de cette année. Alors que l’hiver s’effaçait pour laisser place au printemps, le temps devenait de plus en plus doux, et toutes sortes de plantes commençaient à bourgeonner et à pousser jour après jour sous le soleil et la pluie. Certaines de ces plantes étaient sauvages, et certaines étaient cultivées ; certaines étaient réservées à la consommation animale, d’autres étaient destinées à l’alimentation humaine, d’autres encore étaient à la fois pour la consommation humaine et animale. C’était un décor printanier : un paysage vert et plein de vitalité. Et c’est là que l’histoire commence. Un jour, J’ai eu la surprise de recevoir un cadeau particulier. Quel genre de cadeau ? Un sac d’herbacées. La personne qui Me l’a donné M’a dit : « C’est de la bourse-à-pasteur, une plante comestible très bonne pour la santé. Tu peux la cuisiner avec des œufs brouillés. » Très bien. Je l’ai ensuite comparée avec la bourse-à-pasteur que J’avais eu l’occasion d’acheter quelque temps auparavant, et J’ai aussitôt constaté un problème. Pouvez-vous deviner lequel ? J’étais face à un « mystère ». Quel mystère ? Cette bourse-à-pasteur était différente de celle qu’on trouve en Chine. Est-ce un problème ? (Oui, c’en est un.) S’il s’était agi de la même chose, elles auraient dû être identiques. Alors quelle est la première chose qui vient à l’esprit en découvrant leurs différences ? Est-ce bien de la bourse-à-pasteur ? Je n’étais vraiment pas sûr. Ne devais-Je pas demander à cette personne de quoi il retournait ? Alors, Je suis allé lui demander plus tard : « Es-tu sûr que c’est de la bourse-à-pasteur ? » L’homme a réfléchi avant de répondre : « Eh bien, je ne suis pas sûr que ce soit bien de la bourse-à-pasteur. » S’il n’était pas sûr, comment avait-il pu M’en faire cadeau ? Comment se fait-il qu’il ait osé Me la donner ? Heureusement, Je n’en avais pas mangé. Deux jours plus tard, J’avais acquis la certitude que ce n’était pas du tout de la bourse-à-pasteur. Et que M’a répondu l’homme ? Il m’a dit : « Comment as-Tu su que ce n’était pas de la bourse-à-pasteur ? Je n’en sais trop rien, mais oublions cela : n’en mange pas. » Est-ce au moins une plante comestible ? (Non.) Non, elle n’est pas comestible. Si J’avais dit : « Tu n’es pas sûr, mais Je vais prendre le risque d’en manger, parce tu es vraiment gentil », cela aurait-il fonctionné ? (Non.) Quelle est la nature d’un tel comportement ? Aurait-ce été insensé ? (Oui.) Oui, c’est de la folie. Heureusement, Je n’en ai pas mangé, Je n’ai pas non plus cherché plus loin. Le sujet était clos.

Quelque temps plus tard, des plantes sauvages de toutes variétés ont commencé à pousser dans les champs : des petites, des grandes, des plantes à fleurs, d’autres non, de toutes les couleurs et de toutes les formes. Elles perçaient partout, plus nombreuses, plus denses et épanouies. Un jour, on M’a fait cadeau d’un autre sac, mais cette fois, il ne contenait pas de bourse-à-pasteur. Cette fois, il contenait de l’armoise chinoise, donnée par le même homme. Il avait eu la gentillesse d’envoyer un autre sac, et y avait joint des instructions : « Essaie ceci. C’est de l’armoise chinoise : elle fait passer le rhume et Tu peux aussi la manger avec des œufs brouillés. » Je l’ai regardée : n’était-ce pas de l’armoise annuelle ? L’armoise chinoise pousse dans de nombreuses régions de Chine, et ses feuilles ont un parfum spécial, mais ce n’était pas ce que l’homme avait envoyé. Comment cela pouvait-il passer pour de l’armoise chinoise ? Les feuilles se ressemblent un peu, mais en était-ce, ou pas ? J’ai demandé à l’homme qui Me l’avait donnée, mais il a dit qu’il ne savait pas : il n’en avait aucune idée et a complètement évité le sujet. Il a même demandé : « Pourquoi n’en as-Tu pas encore mangé ? Même si je ne suis pas sûr de ce que c’est, Tu dois en manger un peu. J’en ai mangé, et c’est vraiment délicieux. » Il n’était pas sûr, mais il me pressait d’en manger. Selon vous, qu’aurais-Je dû faire ? Aurais-Je dû Me forcer à en manger ? (Non.) Il ne fallait certainement pas en manger, car la personne qui l’a envoyée ne savait même pas ce que c’était. Si J’avais pris un risque et l’avais mangée pour essayer quelque chose de nouveau, il ne se serait peut-être rien passé, car la personne qui en avait mangé avait dit que tout irait bien. Mais que dire d’une telle ligne de conduite consistant à penser que tout va bien et à manger sans savoir ? N’est-ce pas agir à l’aveuglette ? Quel genre de personne fait de telles choses à l’aveuglette ? Seule une personne fruste et imprudente le ferait, quelqu’un qui pense : « Peu importe de toute façon ; plus ou moins, c’est suffisant. » Pensez-vous que Je devrais le faire ? (Non.) Pourquoi pas ? Il y a tant de choses à manger ; pourquoi risquer de manger une plante inconnue ? En période de famine, quand il n’y a vraiment plus de nourriture, on peut cueillir diverses herbes sauvages pour les goûter, quitte à prendre des risques. Dans ce genre de situation, on peut manger une plante inconnue. Mais s’agit-il ici de l’une de ces situations ? (Ce n’est pas le cas.) Il y a tant de choses comestibles, pourquoi aller chercher des herbes sauvages ? Est-il nécessaire de prendre un risque juste pour un tout petit bénéfice, invisible, intangible et imaginaire ? (Ce n’est pas nécessaire.) J’ai donc décidé de ne pas en manger. Je n’en ai pas mangé, heureusement ; Je n’ai pas non plus cherché plus loin et cette question a été également abandonnée.

Quelque temps plus tard, l’homme M’a encore donné un autre cadeau ; c’était la troisième fois. Le cadeau cette fois était très spécial : il n’avait pas poussé dans la terre et n’avait pas fructifié sur un arbre. Qu’est-ce que c’était ? Deux œufs d’oiseau, soigneusement emballés dans un sac en papier sur lequel étaient inscrits les mots « Œufs d’oiseau pour Dieu ». C’est drôle, non ? Lorsque j’ai ouvert le sac en papier, j’ai vu que les coquilles des deux œufs étaient magnifiquement colorées. Je n’en avais jamais vu de pareilles auparavant, si bien que Je n’aurais pas su dire quel genre d’oiseau les avait pondus ; J’ai pensé à chercher l’information sur internet, mais Je n’ai trouvé aucune piste, car il y avait de nombreux œufs présentant le même motif et la même couleur ; il était donc impossible de les identifier en fonction de leur taille et de leur couleur. Certains d’entre vous pensent-ils qu’il aurait été utile de demander à cet homme de quel type d’œufs d’oiseau il s’agissait ? (Non.) Pourquoi ? (Il ne l’aurait pas su non plus.) Vous l’avez deviné : il ne l’aurait pas su non plus. Je ne lui ai donc pas demandé. Si Je l’avais fait, j’aurais blessé ses sentiments, et il aurait pensé, « Je suis si bien intentionné et si prévenant, et pourtant Tu doutes de moi. Pourquoi dois-Tu faire une recherche sur internet ? Puisque je Te les donne à manger, mange-les ! » Pensez-vous que J’aurais dû manger les œufs, ou pas ? (Tu n’aurais pas dû.) S’il vous les avait donnés, les auriez-vous mangés ? (Non.) Moi non plus. Ces œufs sont destinés à l’incubation et la reproduction des oiseaux. Ne serait-il pas cruel de les manger ? (Ce le serait.) Je ne pouvais pas faire cela, donc la question des œufs d’oiseau a été abandonnée, mais de telles choses ont continué à se produire.

Un jour, Je suis tombé sur de l’armoise annuelle – qui ressemblait à de l’armoise chinoise – en train de sécher sur une claie quelque part, alors J’ai demandé à une sœur à quoi elle était destinée. « N’est-ce pas la même espèce d’armoise chinoise que cet homme T’a donnée la dernière fois ? » a-t-elle répondu. « L’armoise chinoise a un effet drainant et elle chasse le rhume. N’es-Tu pas sujet aux rhumes ? L’homme a dit qu’une fois séchée, il la garderait pour que Tu puisses l’utiliser dans de l’eau chaude en bain de pieds pour chasser le rhume. » À votre avis, quelle a été Ma réaction en entendant cela ? Un mot. (Sidéré.) C’est exact, J’étais sidéré. Dans des circonstances comme celles-ci, n’aurais-Je pas dû réfléchir à toutes les attentions et tous les efforts que cette personne avait faits pour Moi ? Comment ai-Je pu rester sidéré ? C’est juste que cette personne avait été peu perspicace à plusieurs reprises sur ces sujets, et qu’elle avait ensuite changé d’approche, comme pour dire, « Je T’ai donné des herbacées et des œufs à manger, mais Tu n’en as pas voulu, alors j’ai séché de l’armoise chinoise pour Toi, pour un bain de pieds chaud, afin que mes efforts ne soient pas vains. » Devant ce spectacle, Je suis vraiment resté sidéré. Plus tard, J’ai dit à quelqu’un d’autre que de nombreuses pharmacies proposent désormais de l’armoise chinoise. Tu peux en acheter autant que Tu veux : elle est disponible en différents conditionnements, produite dans différents pays, et est traitée de manière hygiénique. Elle est bien meilleure que celle que l’homme M’a envoyée. N’était-ce donc pas un effort vain que d’en cueillir en bordure de route et de la faire sécher au soleil sur des claies ? S’il en sèche et Me l’offre, penses-tu que J’en veuille ? (Vous n’en voulez pas.) Je n’en veux pas. Après un certain temps, il n’y a plus eu d’armoise sur les claies, car il avait eu vent de ce que J’avais dit, et il avait cessé de M’en envoyer. Plus tard, quand les herbacées ont été plus nombreuses dans les champs, elles ont dû perdre de leur rareté, et plus personne ne M’en a envoyées. Et J’imagine que les œufs d’oiseaux avaient probablement éclos et qu’on n’en trouvait plus à ramasser. À ce jour, Je n’ai donc plus reçu d’œufs d’oiseaux ni d’herbacées. Et c’est la fin de Mon histoire.

En tout, cette histoire compte quatre incidents, tous concernant des choses qui M’ont été envoyées : deux concernaient l’envoi d’herbacées inconnues, un concernait l’envoi d’œufs d’oiseaux inconnus, et un autre concernait le « remède traditionnel chinois » séché au soleil. Cela peut sembler un peu ridicule de parler de ces choses, mais concernant ces incidents en eux-mêmes, quelles ont été vos impressions, le cas échéant, en les entendant ? Y a-t-il quelque chose que vous devriez comprendre ou retenir de ces incidents, des leçons que vous devriez en tirer ? Qu’avez-vous pensé en écoutant ? Les choses que J’ai racontées visaient-elles une personne en particulier ? Certainement pas. Mais alors, si elles ne visaient personne en particulier, pourquoi vous en ai-Je parlé ? Est-ce pertinent ? Ou n’est-ce que du bavardage inconséquent ? (Ce n’est pas le cas.) Puisque vous ne considérez pas cela comme du bavardage, savez-vous pourquoi J’en parle ? Pourquoi cet homme a-t-il fait de telles choses ? Quelle était la nature de son comportement ? Quelle était sa motivation ? Quels problèmes se posent ici ? Ont-ils besoin d’être contextualisés ? C’est en perçant les gens à jour et la nature des incidents eux-mêmes dans leur contexte que vous pourrez comprendre la vérité. Selon vous, l’homme qui a fait ces choses avait-il de bonnes ou de mauvaises intentions ? (De bonnes intentions.) Tout d’abord, une chose est certaine : il était bien intentionné. Qu’est-ce qui n’allait pas avec ses bonnes intentions ? Est-ce que faire des choses avec de bonnes intentions implique que l’on est attentionné ? (Pas nécessairement.) Des actes motivés par de bonnes intentions impliquent-ils nécessairement l’absence d’impureté d’un tempérament corrompu chez cette personne ? Non. Je vous demande donc à tous : si tu respectes tes parents et leur obéis, pourquoi ne leur enverrais-tu pas ces choses à manger ? Ou si tu aimes tes chefs et dirigeants et te soucies d’eux, pourquoi ne leur donnerais-tu pas des choses comme celles-ci à manger ? Pourquoi n’oserais-tu pas le faire ? C’est parce que tu as peur que quelque chose tourne mal. Si tu as peur de nuire à tes parents, à tes dirigeants et à tes chefs, n’as-tu donc pas également peur de nuire à Dieu ? Quelles sont tes intentions ? Quelles sont les implications de ta gentillesse ? Essaies-tu de tromper Dieu ? Essaies-tu de jouer avec Lui ? Oserais-tu faire de telles choses envers Dieu en tant qu’être spirituel ? Aurais-tu un cœur qui craint Dieu si tu voyais que Sa chair est celle de l’humanité normale, et si, au lieu de Le redouter, tu osais faire de telles choses ? Si tu n’avais pas un cœur qui craint Dieu, alors serait-ce vraiment bienveillant de ta part de faire de telles choses ? Ce n’est pas de la bienveillance : c’est tromper Dieu et jouer avec Lui, et c’est extrêmement présomptueux de ta part ! Si tu es vraiment une personne responsable, pourquoi ne pas d’abord manger et goûter quelque chose pour t’assurer qu’il n’y a pas de problème avant de l’offrir à Dieu ? Si tu l’apportes directement à Dieu sans y avoir goûté toi-même, n’est-ce pas jouer avec Dieu ? Ne sens-tu pas que tu offenses le tempérament de Dieu en faisant cela ? Est-ce quelque chose que Dieu peut oublier ? Même si tu l’oublies, Dieu, Lui, ne l’oubliera pas. Lorsque tu fais ce genre de chose, à quoi penses-tu ? Tu n’as pas goûté, et tu n’as aucune preuve scientifique, pourtant tu oses en faire cadeau à Dieu. Est-ce un comportement responsable ? Si tu faisais du mal à Dieu, quelle responsabilité porterais-tu ? Même si la loi ne se chargeait pas de ton cas, Dieu te punirait pour l’éternité. Tu ne jugerais même pas ces choses sans valeur assez bonnes pour les donner à des dirigeants et autorités non croyantes, et tu trouverais cela indigne, alors quelles pourraient être tes intentions en les donnant à Dieu ? Ai-Je si peu de valeur ? Si tu donnais à ton chef un sac d’herbacées, que penserait-il ? « Est-ce ce tout ce que je vaux ? Les gens Me donnent de l’argent et des objets de marque, et vous Me donnez une poignée de mauvaises herbes ? » Serais-tu capable d’aller jusqu’au bout ? Certainement pas. Mais si tu le faisais, de quoi t’inquiéterais-tu ? La première pensée qui doit te venir à l’esprit est : « Qu’est-ce que mon chef apprécie ? A-t-il besoin de cette chose ? S’il n’en a pas besoin et que je la lui donne quand même, va-t-il me mener la vie dure ? Va-t-il me tyranniser ou me tourmenter au travail ? Si les choses empirent, me renverra-t-il en cherchant un prétexte et en me piégeant ? » Ces choses te viennent-elles à l’esprit ? (Oui.) Si tu souhaites faire plaisir à ton chef, quelle est la première chose que tu dois lui donner ? (Quelque chose qu’il aime.) Lui donner simplement une chose qu’il aime n’est pas suffisant. S’il a besoin d’une tasse tout de suite, par exemple, dépenseras-tu 15 ou 20 euros pour lui en offrir une ? (Non.) Il faudra que tu lui offres un objet en or ou en argent, quelque chose de présentable. Pourquoi lui donner ce que tu rechignerais à t’acheter ? (Pour lui faire plaisir.) Quel objectif cherches-tu à atteindre en lui faisant plaisir ? Dans un premier temps, le minimum serait qu’il te prenne sous son aile et qu’il se serve de son pouvoir pour te défendre et te garantir un travail stable et un salaire fixe. La moindre des choses serait qu’il ne te rende pas la vie difficile. Ainsi, tu ne lui ferais jamais cadeau d’un bouquet d’herbacées inconnues, n’est-ce pas ? (C’est vrai.) Tu ne ferais même pas cela à ton chef, alors pourquoi l’homme qui M’a donné ces mauvaises herbes Me ferait-il une telle chose ? A-t-il seulement songé aux conséquences ? Certainement pas. Et pourquoi donc ? D’aucuns diraient : « Parce que Tu ne nous mèneras pas la vie dure. » Est-ce aussi simple ? Parce que Je ne lui mènerai pas la vie dure, c’est tout ? Comment se fait-il qu’il ait osé offrir pareilles choses ? (Il pensait que ses intentions étaient bonnes.) C’est cela : il a dissimulé sa laideur et sa malfaisance derrière de bonnes intentions, pour dire : « J’ai de bonnes intentions envers Toi, mais ce n’est pas le cas de tout le monde ! Regarde donc ces herbacées. Qui les a déterrées pour Toi ? N’était-ce pas moi ? » Quel est ce genre d’attitude ? Quel est ce genre de mentalité ? Ces bonnes intentions sont-elles conformes à l’humanité ? Si elles ne sont pas même conformes à l’humanité, peuvent-elles seulement être conformes à la vérité ? (Elles ne le peuvent pas.) Elles ne pourraient pas en être plus éloignées ! Que sont ces bonnes intentions ? Sont-elles vraiment de bonnes intentions ? (Elles ne le sont pas.) Dans ce cas, quelle sorte d’attitude impliquent-elles ? Quelles impuretés et quelles essences renferment-elles ? Même vous, jeunes gens qui n’avez vu que très peu du monde qui vous entoure, comprenez qu’il n’est pas possible de donner des cadeaux à son chef n’importe comment ; il vous faut penser aux conséquences. Dès lors, si un homme aguerri, d’une quarantaine ou cinquantaine d’années, Me donne ce genre de cadeau, quelle est la nature de ce geste selon vous ? Cela mérite-t-il que nous en discutions ici ? (Oui.) En fin de compte, quelle est la nature de ce geste ? Cet homme M’a donné des herbacées sans réfléchir, Me demandant de les manger sans même savoir de quoi il s’agissait. Lorsque J’ai dit qu’elles ne ressemblaient pas à cette espèce d’herbacées, il s’est empressé de Me dire de ne pas les manger – et ce n’est pas tout. Il M’a donné des herbacées d’une autre espèce en me recommandant de les manger. Je ne les ai pas mangées et il m’a dit : « Prends-en, elles sont délicieuses. Je les ai goûtées. » Quelle attitude est-ce là ? (C’est irrespectueux et irresponsable.) Oui, ça l’est. Comprenez-vous tous cette attitude ? (Nous la comprenons.) Est-elle bien intentionnée ? Il n’y a rien de bien intentionné ici ! Il a choisi quelque chose au hasard sans même que cela lui coûte quoi que ce soit ; puis il l’a mis dans un sachet plastique et Me l’a offert en Me demandant de le manger. Même si tu devais cueillir des herbacées pour nourrir les moutons et les lapins, tu dois te demander : « Les animaux peuvent-ils s’empoisonner en les mangeant ? » N’est-ce pas une éventualité qu’il te faut prendre en compte ? Si tu n’es pas prêt à courir ce risque quand tu nourris le bétail, comment peux-tu prendre un bouquet d’herbacées au hasard et Me le donner à manger ? Quel genre de tempérament est-ce là ? Quelle est la nature du problème ? Le comprenez-vous ? Si une telle personne Me traite de cette manière, comment croyez-vous qu’elle traitera ses subordonnés ou quelqu’un qu’elle considère comme un individu ordinaire dans la rue ? C’est simplement s’amuser avec désinvolture. Quel tempérament est-ce là ? C’est malveillant et vicieux. Peut-on le considérer comme une bonne personne ? (Non, on ne le peut pas.) Cet homme n’est pas considéré comme une bonne personne. Ne pas prendre au sérieux le corps et la vie des autres, parier sur eux et ne rien éprouver ensuite, et n’avoir en fait absolument aucune mauvaise conscience, mais être capable, au contraire, de renouveler l’expérience encore et encore : c’est en effet bien étrange.

Au début du récit, J’ai prononcé quelques mots auxquels vous n’avez probablement pas beaucoup prêté attention. J’ai dit que certaines de ces herbacées étaient propres à la consommation humaine, d’autres à la consommation animale et certaines à la fois à la consommation humaine et animale. Il s’agit d’un « dicton bien connu » pour lequel il existe une source. Savez-vous d’où il vient ? C’est une allusion à une histoire qui concerne, justement, l’homme qui a fait tous ces cadeaux dans cette histoire. Cet homme était responsable des plantations et il avait planté trois variétés de maïs. Lesquelles ? La variété consommée par les humains, la variété destinée à l’alimentation des animaux et la variété consommée à la fois par les humains et les animaux : ces trois-là. Ces trois variétés de maïs étaient assez intéressantes. Avez-vous déjà entendu parler d’elles ? Non, et c’était également la première fois que J’en entendais parler – en raison de leur rareté. Finalement, parce que les personnes qui les avaient plantées étaient vraiment irresponsables, les trois variétés de maïs ont été mélangées : celle destinée à l’alimentation animale a été donnée à manger à des êtres humains, tandis que celle destinée à la consommation humaine a été donnée aux animaux. Après en avoir mangé, tout le monde s’est plaint que le maïs était mauvais, qu’il n’avait pas un goût de céréale mais un léger goût d’herbe. Qu’ont alors fait ceux qui avaient planté le maïs ? Du fait de leur irresponsabilité lorsqu’ils faisaient leur devoir, ils ont mélangé ce qui était destiné à la consommation humaine et ce qui était destiné à l’alimentation animale, jusqu’à ce que plus personne ne soit en mesure de distinguer les deux et qu’on soit contraint d’acheter plus de graines pour les replanter. Vous tous, comment pensez-vous que ce travail a été effectué ? Les personnes de ce genre n’ont-elles aucun principe dans leur action ? (Elles n’ont aucun principe.) Dans leurs actes, cherchent-elles la vérité ? (Elles ne la cherchent pas.) En ayant ce type d’attitude dans leur façon d’agir, en étant si irrespectueuses et irresponsables envers tous, que pensent de telles personnes de la croyance en Dieu ? Quelle est leur approche de la vérité ? Quel est le poids de la vérité dans leurs cœurs ? Quelle importance accordent-elles à l’identité de Dieu ? Le savent-elles ? (Elles ne le savent pas.) Ne devraient-elles pas être au courant de choses si essentielles ? Pourquoi donc ne le sont-elles pas ? Cela a un rapport avec leur tempérament. En quoi consiste ce tempérament ? (C’est de la malveillance.) C’est de la malveillance et de l’aversion pour la vérité. Elles ne sont pas conscientes de la nature de leurs actes, elles n’essaient jamais de s’interroger ou ne cherchent pas à savoir, et elles ne s’examinent pas après avoir agi. Au lieu de cela elles font tout ce qui leur plaît, pensant que tant que leurs intentions sont bonnes et correctes, qu’elles n’ont besoin de personne pour les surveiller ou les critiquer ; elles pensent que leurs responsabilités et leurs obligations ont été menées à bien. Est-ce bien le cas ? Certaines personnes disent : « Nous comprenons l’histoire que Tu nous as racontée, mais ce qui nous préoccupe le plus nous échappe encore, à savoir : quelle est Ton attitude à l’égard de telles situations ? Quelle est Ton attitude à l’égard de la personne qui commet de telles choses ? Est-ce de la colère, de la détestation et de la répulsion ? Ou aimes-Tu ce type de personne ? » (C’est de la détestation.) Ce type de chose ne devrait-il pas être détesté ? (Il devrait l’être.) Que penseriez-vous si ce genre de chose vous arrivait ? Suppose qu’une personne gentille t’offre sans cesse des choses inconnues, en se donnant beaucoup de mal pour te persuader : « Mange, elles sont bonnes pour ta santé ; mange-les, elles te maintiendront en bonne santé ; mange-les, elles te rendront plus beau et te donneront de la vitalité. Tu ferais mieux de m’écouter ! » Que penserais-tu si, après vérification, il s’avérait que ces choses n’avaient en fait aucune valeur ? (Si c’était moi, je ne voudrais probablement plus avoir affaire à une telle personne ; je serais agacé et sidéré, entre autres.) Il convient de détester de telles personnes et d’être révolté par elles. Quoi d’autre ? Faut-il se sentir en colère, triste ou affligé ? (Ce n’est pas la peine.) Ce n’est pas la peine, n’est-ce pas ? N’y a-t-il pas des gens qui disent : « Cette personne a probablement agi ainsi parce qu’elle ne comprend pas la vérité » ? La plupart des gens ne comprennent pas la vérité, mais combien parmi eux sont capables de faire de telles choses ? Les gens ne sont-ils pas tous différents ? (Ils le sont.) Les gens sont tous différents. On le constate justement dans leurs relations : lors d’un échange de biens, certaines personnes recherchent l’équité et la raison. Même si ces personnes laissent l’autre partie prendre un peu l’avantage sur elles, cela leur importe peu : ainsi, leur relation perdure ; elles font preuve d’humanité et ne trouvent pas très difficile d’être légèrement désavantagées. D’autres personnes manquent d’humanité et aiment toujours profiter des autres : les relations qu’elles entretiennent ont uniquement pour but de prendre l’avantage et de rechercher le profit aux dépens d’autrui. Si elles peuvent tirer un certain avantage de toi, elles te feront plaisir et maintiendront leurs liens avec toi, mais si ce n’est pas le cas, elles te chasseront. Elles ne font preuve d’aucune sincérité à ton égard ; ces personnes n’ont pas d’humanité.

Que pensez-vous de ce genre de personne qui offre des cadeaux comme dans l’histoire racontée aujourd’hui ? Pourquoi de telles personnes font-elles des cadeaux ? Ne s’agit-il que d’une coïncidence ? Si cela ne s’était produit qu’une fois en de nombreuses années, il aurait pu ne s’agir que de ça, mais peut-on encore parler de coïncidence si la même chose se produit quatre fois au cours d’une même saison ? (On ne le peut pas.) Ce comportement n’était pas fortuit, et on ne peut pas non plus le considérer comme une révélation et une manifestation de corruption momentanées. Quelle était donc la nature de son comportement ? Comme nous l’avons dit précédemment, son comportement était irrespectueux, irresponsable, imprudent, irréfléchi et impulsif, et relevait d’un tempérament barbare. Alors pourquoi a-t-il agi de la sorte ? Pourquoi n’a-t-il donné ces choses à personne d’autre, mais seulement à Moi ? Mon identité et Mon statut à part Me rendaient qualifié pour recevoir ces cadeaux. Cela rend-il manifeste l’intention de cet homme et la nature de ses actes ? Quel était son objectif ? (S’attirer Tes bonnes grâces.) C’est exact. Quel est le terme le plus précis pour décrire sa flagornerie ? C’est une ruse grossière : de la flagornerie et de l’opportunisme. C’est une manière habile de s’attirer tes bonnes grâces, de te prendre dans les filets qu’il a déployés autour de toi sans que tu t’en rendes compte et de se faire bien voir de toi, alors qu’il n’a pas la moindre once de sincérité – il veut atteindre ses propres objectifs sans en payer le prix. Il a agi sans réfléchir avec précision aux conséquences et t’a simplement donné quelque chose qu’il avait ramassé, sans rien débourser, en te faisant croire qu’il est attentionné et en te berçant de douces illusions. Qu’est-ce que cela signifie réellement ? Cela signifie que, sans même dépenser un centime, il a réussi à te convaincre que tu avais largement profité de lui à ses dépens, ce qui revient sans aucun doute à te prendre pour un imbécile. N’est-ce pas ce que cela signifie ? Il se dit : « Je ne dépense pas un sou et je ne fournis pas d’effort particulier. Je ne suis pas honnête envers Toi. Je vais me contenter de Te donner un souvenir de moi, afin que Tu me penses gentil, attentionné, loyal et que j’ai le cœur plein d’amour pour Toi. » Réussir à se faire passer pour une telle personne auprès de toi est une ruse grossière de sa part, et c’est aussi de l’opportunisme. Faire preuve d’une prétendue gentillesse grossière pour en retirer le plus grand bénéfice et le plus grand avantage, sans rien débourser du tout ni faire preuve de la moindre sincérité, n’est rien d’autre qu’une ruse grossière. Quelqu’un parmi vous agirait-il ainsi ? Tout le monde le fait – c’est juste que vous n’avez pas fait la même chose que lui, mais vous le feriez si vous en aviez l’occasion. C’est la première chose que J’ai conclue en traitant avec ce type de personnes : notamment qu’elles sont très douées pour les ruses grossières. Ce n’est pas en Dieu qu’elles croient ; elles vont plutôt suivre quelqu’un dont elles pensent pouvoir profiter, qui les bénira et qui mérite qu’on le suive. Cet incident a révélé au grand jour la foi de ce type de personnes et la vérité de ce qu’elles sont vraiment. La compréhension de l’amour, de la loyauté et de la soumission à Dieu qu’ont ces personnes est trop simpliste, et elles veulent recourir à une ruse grossière comme méthode pour gagner l’approbation de Dieu et recevoir Ses bénédictions. Sont-elles sincères envers Dieu ? Craignent-elles Dieu d’une manière ou d’une autre ? (Pas du tout.) Alors d’autres choses sont encore plus exclues. C’est la première chose que j’ai conclue. À votre avis, ai-Je raison ? (Tu as raison.) Les qualificatifs que j’utilise pour le décrire sont-ils injustes ? Est-ce que je fais une montagne d’un rien ? Absolument pas. Si on parle de son essence, c’est plus grave encore ; au minimum, il est trompeur et joue avec Dieu.

La deuxième chose que j’ai conclue est ce que l’on peut observer chez de telles personnes. Le cœur humain est effroyable ! Dites-Moi, quelle est cette horreur ? Pourquoi dis-Je que le cœur humain est effroyable ? (Cette personne s’attire les faveurs de Dieu dans le but de satisfaire son intention et son désir de gagner des bénédictions, puis elle se montre irresponsable et ne se préoccupe pas de ce qui arrivera au corps de Dieu après qu’Il a mangé ces choses, ou quelles en seront les conséquences. Elle réfléchit toujours aux conséquences de ce qu’elle donne à manger à sa propre famille, mais quand elle offre quelque chose à Dieu, elle ne prend absolument pas en compte les conséquences. Elle le fait uniquement pour atteindre ses propres objectifs en s’attirant les faveurs de Dieu par tous les moyens, qu’ils soient justes ou vils ; on peut voir qu’elle est particulièrement égoïste et méprisable, qu’elle n’a pas de place pour Dieu dans son cœur et qu’elle ne traite pas Dieu comme Dieu.) Par implication, cela ne revient-il pas à ne pas Me traiter comme un être humain ? Peut-on le dire ainsi ? (Oui.) Quelles intentions effroyables ! (Oui, elle ne tromperait pas Dieu, même si elle traitait Dieu comme un parent proche.) Cela est vraiment effroyable. Si quelqu’un était ton ami, te traiterait-il ainsi ? Non. Il te dirait ce qui est bon à manger, et si la consommation d’un aliment avait des effets secondaires, il te dissuaderait avec véhémence d’en manger ; c’est quelque chose que même des amis peuvent faire. Mais cette personne peut-elle agir ainsi ? Non. Puisqu’elle a agi ainsi envers Moi, elle le ferait certainement envers vous. Quelles autres horreurs trouve-t-on chez elle ? (Elle est profondément calculatrice. Elle cache cela derrière une apparence de chaleur, mais à l’intérieur, elle manigance, essayant d’obtenir le plus grand avantage possible pour le moindre coût, et cela est effroyable.) Il est bon de le voir ainsi. Ce que vous avez mentionné plus tôt concerne son côté égoïste, tandis que cela concerne ses conspirations. D’après ce que vous avez tous dit, d’où viennent ces choses qui sont profondément ancrées chez une personne, ces choses qui sont révélées par son humanité, les choses qu’elle peut ou ne peut pas toucher, et que d’autres peuvent ou ne peuvent pas voir ou interpréter ? Leur sont-elles enseignées par leurs parents ? Leur sont-elles enseignées par l’école ? Ou sont-elles nourries par la société ? Comment se développent-elles ? Une chose est certaine : elles sont innées. Pourquoi dis-Je cela ? À quoi les choses innées sont-elles liées ? Elles sont liées à la nature-essence d’une personne. Donc, pour que cette personne pense ainsi, s’agissait-il d’une longue préméditation, ou d’une impulsion soudaine ? A-t-elle été inspirée par quelque chose qu’elle a vu quelqu’un d’autre faire, ou avait-elle besoin de le faire dans certaines circonstances ? Ou lui ai-Je donné l’ordre de le faire ? Rien de cela. Bien que ces petites choses puissent sembler ordinaires de l’extérieur, la nature sous-jacente à chacune de ces choses est extraordinaire. La personne qui a fait ces choses était-elle capable de se rendre compte des conséquences de ses actes ? Non. Pourquoi ? Supposons que tu achètes un objet bon marché sur un étal de rue pour l’offrir à ton patron. Avant de le donner, ne dois-tu pas évaluer la situation et te demander : « Mon patron peut-il trouver cet article sur cet étal de rue ? Peut-il le trouver en ligne et voir combien il coûte ? Quelqu’un peut-il lui révéler son prix ? Que pensera-t-il de moi une fois qu’il l’aura vu ? » Ne sont-ce pas des questions que tu devrais évaluer ? Tu les évaluerais d’abord, puis tu achèterais l’article. Si, après évaluation, tu avais l’impression que faire cadeau de cet objet aurait des conséquences défavorables, l’offrirais-tu toujours ? Certainement pas. Si tu pensais qu’il serait peu coûteux d’offrir cet objet à ton patron et que cela le rendrait heureux, alors tu l’offrirais certainement. Mais l’individu dans l’histoire n’a rien évalué de tout cela, alors à quoi pensait-il ? Tout ce à quoi il pensait, c’est que c’était le seul moyen d’atteindre ses intentions. En l’analysant maintenant, la nature de cette affaire ressort. Que peut-on voir à travers la nature de cette affaire ? Le deuxième résultat observé chez les gens par le contact avec eux est que leur cœur est effroyable. Peut-on tirer une conclusion sur le tempérament corrompu que de telles personnes révèlent, que cela soit intentionnel ou involontaire ? Pour quelle raison le cœur humain est-il aussi effroyable ? Est-ce qu’il est trop insensible ? Une personne insensible est quelqu’un qui manque de perception. Serait-il juste de la décrire comme insensible ? (Non.) Alors est-ce à cause de l’ignorance ? (Ce n’est pas le cas.) Alors à quoi doit-on finalement en attribuer la cause ? Elle doit être attribuée au tempérament malveillant des gens. Je dois vous dire où réside l’horreur des gens : dans le fait que des démons habitent dans leur cœur. Qu’en pensez-vous tous ? Pourquoi dis-Je que des démons habitent dans le cœur des gens ? Quelle est votre compréhension ? Ne pensez-vous pas que c’est une déclaration effroyable ? N’êtes-vous pas effrayés en l’entendant ? Jusqu’ici, vous ne pensiez pas que des démons habitaient dans votre cœur ; vous pensiez juste que vous aviez un tempérament corrompu, mais vous ne saviez pas que des démons habitaient en vous. Maintenant, vous le savez. N’est-ce pas un problème grave ? Pensez-vous que J’ai raison ? (Oui.) Cela ne touche-t-il pas à la racine du problème ? (Si.) Réfléchissez aux raisons pour lesquelles j’ai dit que des démons habitent dans le cœur des gens. Réfléchissez-y : une personne de conscience et de raison tromperait-elle Dieu de cette manière ? Est-ce de la soumission à Dieu ? C’est résister à Dieu les yeux grands ouverts et ne pas Le traiter comme Dieu du tout. Maintenant que Dieu est venu sur terre pour sauver l’humanité, quelle est la relation entre l’homme et Dieu ? Est-ce une relation de supérieur à subordonné ? D’amitié ? De parenté ? De quel type de relation s’agit-il réellement ? Comment gérez-vous et abordez-vous cette relation ? Quelle mentalité devriez-vous avoir lorsque vous interagissez avec Dieu et êtes en relation avec Lui ? Que devriez-vous garder dans votre cœur pour être en relation avec Dieu ? (La crainte.) La crainte semble irréaliste pour tout le monde. (La terreur.) La terreur ne peut pas être atteinte. Si vous Me traitez comme une personne ordinaire, une simple connaissance, sans que nous nous comprenions très bien et que nous nous connaissions suffisamment pour être des amis, alors comment la relation entre nous peut-elle être harmonieuse et amicale ? Une personne dotée d’un sens de la conscience devrait savoir comment faire ces choses de manière appropriée. (Il doit y avoir du respect.) C’est le strict minimum que vous devriez avoir. Supposons que deux personnes se rencontrent : elles ne se connaissent pas encore bien et ne connaissent pas le nom de l’autre. Si l’une d’elles voit que l’autre est candide et veut jouer avec elle, n’est-ce pas jouer les tyrans ? S’il n’y a même pas un minimum de respect, reste-t-il une quelconque humanité ? Pour que les gens s’entendent entre eux, peu importe les différends ou conflits qui peuvent surgir, ils doivent au moins se respecter mutuellement. Le respect est le bon sens élémentaire de ce que signifie être humain, et il y a un minimum de respect entre tous les êtres humains. Alors, ce respect existe-t-il quand les gens interagissent avec Dieu ? Si tu ne peux même pas parvenir à ce point, alors dans ton esprit, quelle est réellement la relation entre Dieu et toi ? Il n’y a aucune relation du tout, alors, même pas celle d’un étranger. Par conséquent, la personne qui a offert les cadeaux a pu traiter Dieu de cette manière : non seulement elle n’a pas respecté Dieu, mais elle a également voulu Le tromper. Dans son cœur, elle ne sentait pas que Dieu devait être respecté, ni que Sa santé et les conséquences du fait qu’Il ait mangé les cadeaux méritaient une attention particulière ; ces aspects ne faisaient pas partie de ses considérations. Pour elle, il suffisait d’utiliser des stratagèmes pour leurrer Dieu afin qu’Il la favorise ; la meilleure chose pour elle était de pouvoir tromper Dieu. Tel était son cœur. N’est-il pas terrible pour l’homme d’avoir un tel cœur ? C’est effroyable !

Certaines personnes croient en Dieu, et en façade, elles semblent Le suivre. Mais au fond de leur cœur, ont-elles déjà réfléchi au chemin qu’elles ont pris et au prix qu’elles ont payé ? Ont-elles examiné et cherché à savoir si elles ont accompli les devoirs que Dieu leur a confiés ? Quelle est exactement l’attitude des gens dans leur manière de traiter Dieu ? À en juger par les diverses choses que les gens montrent et révèlent, et même leurs stratagèmes les plus profonds, sans parler de tous les tempéraments révélés dans les choses qu’ils font lorsqu’ils traitent Dieu, qu’ont-ils fait pour Lui ? Mis à part payer un prix et réfléchir soigneusement à ce qui leur est bénéfique, quelles sont leurs attitudes envers Dieu, et que Lui offrent-ils ? Rien d’autre que des stratagèmes, des calculs, des réserves et une attitude de mépris. Le mépris est une attitude, et quel est le comportement qui découle de cette attitude, si on l’exprime sous la forme d’un verbe ? « Ridiculiser. » Avez-vous déjà entendu ce mot ? (Oui.) « Ridiculiser » est un terme plutôt formel. Comment dirions-nous cela dans le langage courant ? Nous dirions « taquiner », « jouer des tours à quelqu’un », « s’amuser de quelqu’un ». Tu parais insignifiant à aux yeux de cette personne, tu as l’air candide ; à ses yeux, tu n’es rien et elle ose ouvertement te ridiculiser ; quel genre de tempérament est-ce là ? Pour quelqu’un ayant un tel tempérament, son cœur est-il habité par un ange, ou un démon ? (Un démon.) C’est un démon. S’il peut traiter Dieu de cette manière, alors qu’est-il réellement ? Peut-il pratiquer les paroles de Dieu ? Peut-il se soumettre aux paroles de Dieu ? Prenons par exemple l’homme qui M’a envoyé des cadeaux : il ne cherche pas la vérité, et il ne comprend pas les intentions de Dieu. Il n’a pas la moindre idée de ce que Dieu exige de l’homme, de ce que Dieu veut voir, ou de ce que Dieu veut gagner de l’homme. Il ressemble à quelqu’un qui interagit avec son patron, se concentrant sur la manière d’être servile envers lui et de le tromper, en le traitant de manière à atteindre ses objectifs ; sur quoi un tel individu base-t-il réellement sa vie ? Il vit d’obséquiosité, menant une petite vie méprisable en faisant preuve de servilité à l’égard de ses supérieurs. Pourquoi M’a-t-il offert une telle « sollicitude » et une telle « gentillesse » ? Il ne pouvait pas s’en empêcher, n’est-ce pas ? Aurait-il pu prédire ce que J’allais ressentir à ce sujet ? (Non.) C’est exact ; il ne comprenait pas. Il est entièrement dépourvu d’un esprit humain normal. Il ne savait pas comment Je pourrais le percevoir, le définir ou évaluer son comportement et son tempérament, et ne s’y intéressait pas. Qu’est-ce qui l’intéresse ? Se montrer servile envers Moi afin de réaliser ses objectifs et Me laisser une bonne impression de lui. Telle est l’intention de ses actes. Quel genre d’humanité est-ce là ? Est-ce ce qu’une personne réellement douée de conscience et de raison ferait ? Tu as vécu tant d’années, donc tu devrais comprendre : premièrement, je n’ai pas besoin de ta servilité. Deuxièmement, je n’ai pas besoin que tu M’offres quoi que ce soit. Troisièmement, et surtout, tu dois comprendre que peu importe ce que tu fais, quelles que soient tes intentions et tes objectifs, et la nature de ce que tu fais, Je définis tout cela et en tire des conclusions. La question n’est pas de faire quelque chose puis que cela soit terminé ; au contraire, Je dois voir clairement quelles sont tes intentions et tes motivations. Je ne regarde que ton tempérament. Certains diront probablement : « Tu es tellement sévère avec les gens ! » Le suis-Je vraiment ? Je ne le pense pas du tout. C’est parce que je ne suis pas du tout sévère que certaines personnes essaient de tirer parti de la situation. Les choses ne sont-elles pas ainsi ? Dès que certaines personnes entrent en contact avec Moi, elles réfléchissent : « Je te vois simplement comme une personne ordinaire. Il n’est pas nécessaire de te prêter trop d’attention. Tu es pratiquement comme moi : tu manges aussi trois repas par jour, et je ne vois pas que tu aies une quelconque autorité ou un quelconque pouvoir. Peu importe comment je te traite, tu n’auras rien à dire. Que peux-tu faire contre moi ? » Quelle sorte de réflexion est-ce là ? D’où vient-elle ? Elle vient du tempérament de la personne. Pourquoi les gens ont-ils un tel tempérament ? C’est parce qu’il y a des démons qui habitent dans leur cœur. Avec des démons habitant dans leur cœur, peu importe à quel point ils pensent que Dieu est grand, peu importe à quel point ils croient que le statut de Dieu est noble, peu importe comment ils croient que c’est Dieu qui exprime la vérité pour sauver les gens, peu importe combien ils affirment verbalement leur gratitude, et peu importe combien ils expriment leur volonté de souffrir et de payer le prix, lorsque vient le moment d’accomplir leur devoir, ce sont les démons qui sont en charge dans leur cœur, et ce sont les démons qui se mettent à l’œuvre. Quel genre de personne, selon vous, ose tromper et ridiculiser même Dieu ? (Un démon.) C’est un démon, c’est certain.

Dans notre échange précédent, quel dialogue entre Satan et Dieu nous révèle le tempérament de Satan ? Dieu dit : « Satan, d’où viens-tu ? » Que répondit Satan ? (« De parcourir la terre et de m’y promener » [Job 1:7].) Quel genre de discours est-ce là ? (Un discours démoniaque.) C’est un discours démoniaque ! Si Satan traitait Dieu comme Dieu, il dirait : « Dieu m’a posé la question, alors je vais dire d’où je viens de manière convenable. » N’est-ce pas un discours sensé ? (C’en est un.) C’est une phrase conforme à la pensée humaine normale : une phrase complète, grammaticale et immédiatement compréhensible. Est-ce ce que Satan a dit ? (Non.) Qu’a-t-il dit ? « De parcourir la terre et de m’y promener. » Comprenez-vous cette phrase ? (Non.) Aujourd’hui encore, personne ne comprend ce qu’elle signifie. Alors, d’où venait Satan ? Quel trajet parcourait-il ? D’où venait-il, et dans quelle direction allait-il ? Y a-t-il des réponses concluantes à ces questions ? À ce jour, ceux qui interprètent la Bible n’ont pas pu déterminer d’où Satan venait réellement, ni combien de temps il lui avait fallu pour arriver devant Dieu et Lui parler ; aucune de ces choses n’est connue. Alors, comment Satan a-t-il pu répondre à l’interrogation de Dieu avec un tel ton et un tel langage ? Dieu lui a-t-Il posé la question avec sérieux ? (Oui.) Et Satan a-t-il répondu de la même manière ? (Non.) Quelle attitude a-t-il adoptée en répondant à Dieu ? Une attitude qui consistait à Le ridiculiser. C’est comme lorsque tu demandes à quelqu’un : « D’où viens-tu ? » et qu’il te répond : « Devine. » « Je ne peux pas deviner. » Il sait que tu ne peux pas deviner, mais il te fait deviner quand même. Il s’amuse simplement de toi. C’est cette attitude que l’on appelle « jouer avec quelqu’un » ou « le ridiculiser ». Il n’est pas sincère, et il ne veut pas que tu saches ; il veut juste te jouer des tours et s’amuser de toi. Satan a précisément ce genre de tempérament. J’ai dit que certains ont des démons qui habitent dans leur cœur ; n’est-ce pas ainsi qu’ils traitent Dieu ? À en juger par leur apparence extérieure qui consiste à courir en tous sens, à faire des choses et, parfois, à supporter quelques difficultés et payer un petit prix, ils ne semblent pas être de telles personnes ; ils semblent avoir Dieu dans leur cœur. Mais à en juger par leurs attitudes dans leur manière de traiter Dieu et la vérité, on voit que ce qui habite dans leur cœur est un démon, et c’est tout ce qu’il y a à dire. Ils ne peuvent même pas répondre directement aux questions de Dieu ; ce sont des personnes qui tournent en rond comme des serpents, jusqu’à ce que tu ne puisses pas trouver la réponse et que tu ne saches plus comment prendre ce qu’elles disent. Quel genre de personnes sont-elles exactement ? Peuvent-elles être sincères dans leur manière de traiter Dieu ? Avec l’attitude de mépris et de dédain avec laquelle elles traitent Dieu, ces personnes peuvent-elles pratiquer les paroles de Dieu comme étant la vérité ? (Non.) Pourquoi ? Parce que des démons habitent dans leur cœur. N’est-ce pas le cas ? (Si, elles ne traitent pas du tout Dieu comme Dieu.) C’est là la malveillance de ces personnes. Leur malveillance réside dans le fait qu’elles pensent que l’intégrité, l’humilité, la normalité et l’aspect concret de Dieu qu’elles voient ne sont pas ce qui rend Dieu aimable. Mais alors de quoi s’agit-il ? Elles pensent que ce sont des défauts de Dieu ; que ce sont des aspects qui rendent les gens enclins à engendrer des notions ; que ce sont les plus grandes imperfections du Dieu auquel elles croient ; que ce sont des faiblesses, des problèmes et des défauts. Comment doit-on considérer ces personnes ? Voilà la manière et l’attitude avec laquelle elles traitent Dieu ; c’est une honte pour Dieu, mais qu’en est-il pour elles-mêmes ? Tirent-elles quelque avantage de cela ? C’est une insulte à elles-mêmes aussi. Pourquoi dis-Je cela ? En tant que personne ordinaire, si quelqu’un te donnait quelque chose à manger de manière désinvolte, et que tu le prenais et le mangeais comme un imbécile, sans te soucier des faits et sans même poser de questions, cela ne suggérerait-il pas que quelque chose manque à ton humanité ? Une personne à laquelle il manque quelque chose dans son humanité est-elle une personne normale ? Non. Si Christ incarné ne possédait même pas cette humanité normale, serait-Il encore digne de la croyance de quiconque ? Il ne le serait pas. Quels sont les signes de l’humanité de Dieu incarné ? Sa rationalité, sa pensée et sa conscience sont les plus normales. Possède-t-Il la capacité de juger ? (Oui.) Si Je n’avais pas cela, si J’étais simplement un étourdi sans bon sens ni perspicacité, incapable de penser face aux événements, pourrais-Je encore être considéré comme un être humain normal ? Ce serait une humanité défectueuse, pas une humanité normale. Une telle personne pourrait-elle être appelée Christ ? Quand Dieu s’est incarné, aurait-Il choisi une telle chair ? (Non.) Certainement pas. Si J’agissais de cette manière inconsidérée, ce Dieu, Celui que l’on appelle Dieu incarné, vaudrait-il la peine d’être suivi ? Non, et vous seriez sur le mauvais chemin. C’est un aspect, de Mon point de vue. D’un autre côté, de votre point de vue, si tu Le considères comme Dieu, comme l’objet que tu suis, et qu’en tant que disciple, tu Le traites de cette manière, alors où te places-tu ? Cela ne te déshonore-t-il pas ? (Si.) Si le Dieu en qui tu crois est si indigne de respect à tes yeux, mais que tu continues tout de même à croire en Lui, qu’est-ce que cela fait de toi ? Es-tu confus ? Es-tu un suiveur désorienté ? Cela ne vous déshonore-t-il pas ? (Si.) Mais si tu penses qu’Il possède tous ces aspects de l’humanité normale, qu’Il est Dieu incarné, et que tu agis de cette manière malgré tout, ne déshonores-tu pas aussi Dieu ? Les deux perspectives sont valables. On peut voir le problème en adoptant le point de vue de Dieu ou celui de l’homme, et le problème ici est grave ! N’est-ce pas vrai ? (Si.) Du point de vue humain, si tu considères qu’Il est Dieu et que tu Le traites ainsi, alors tu déshonores Dieu ouvertement. Si tu penses qu’Il n’est pas Dieu, mais un être humain, et que tu Le suis tout de même, cela ne serait-il pas contradictoire ? Ne te déshonorerais-tu pas toi-même ? Réfléchis à ces deux aspects ; ai-je raison ? N’est-ce pas vrai ? Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à ces choses ? Pourquoi continuent-ils d’agir de cette manière ? Est-ce simplement parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Ne nous attardons pas trop sur ce point ; simplement en observant cela du point de vue du calibre, ce sont des crétins dépourvus d’esprit. Pourquoi est-ce que je dis qu’ils sont dépourvus d’esprit ? À quel esprit est-ce que je fais référence ? Il s’agit du raisonnement. Agir sans réfléchir, sans savoir peser le pour et le contre, sans savoir considérer la nature de ce que l’on fait ou si on devrait le faire ou pas, c’est être dépourvu d’esprit. Quel genre de créature n’ont pas d’esprit ? Les animaux et les bêtes n’ont pas d’esprit, mais les êtres humains réfléchiraient à ces choses. Les gens peuvent faire des choses stupides sur un coup de tête, mais s’ils refont les mêmes bêtises encore et encore, alors on peut dire qu’ils sont dépourvus d’esprit. Une personne dépourvue d’esprit est quelqu’un dont la raison est altérée ou, en termes familiers, quelqu’un à qui il manque une case. Mais son égoïsme est prononcé, et elle ne manque pas du tout d’astuces rusées, c’est pourquoi je dis que des démons habitent dans le cœur des gens.

Pensez-vous tous que je fais une montagne d’un rien en soulevant la question des cadeaux dans cet échange ? Si Je n’avais pas échangé sur ce sujet et l’avais simplement mentionné de façon désinvolte, aurait-il eu un tel impact sur vous après que vous l’avez écouté ? (Non.) Au mieux, après l’avoir entendu, vous auriez réfléchi : « Comment cet homme a-t-il pu faire une telle chose ? Moi, je ne fais pas de telles choses ; vraiment, il y a toutes sortes de personnes dans ce monde ! » Au mieux, c’est ce que vous auriez pensé. Vous en auriez peut-être parlé un peu, et c’est tout, mais auriez-vous eu une compréhension aussi profonde de cette question ? (Non.) Vous n’auriez pas eu une compréhension aussi profonde. Alors, quels avantages vous apportent Mes paroles ? Quelle vérité avez-vous gagnée ? Tout d’abord, je dois vous rappeler ceci : entre l’homme et Dieu, quel est le meilleur type de relation à établir ? Lorsque quelqu’un s’approche de Dieu, comment devrait-il interagir avec Dieu lorsqu’il est en contact rapproché avec Lui ? N’est-il pas nécessaire de rechercher des principes à cet égard ? (Si.) De plus, croyant en Dieu depuis tant d’années, quels incidents sont survenus dans la vie quotidienne des gens et qui sont de la même nature que ce qu’a fait cet homme dans l’histoire ? Ces questions ne valent-elles pas la peine d’être méditées ? Quelqu’un pourrait-il en tirer une leçon et dire : « Dieu ne tolère même pas les petites erreurs, donc c’est extrêmement grave. Mieux vaut ne pas L’approcher, ne pas avoir de contact rapproché avec Lui, ni avoir affaire à Lui ; Il n’est pas quelqu’un avec qui on plaisante ! Si tu fais une bêtise, Il amplifie l’affaire et tu te retrouveras dans de graves ennuis. Je ne Lui offrirai certainement rien ! » Est-il acceptable de penser ainsi ? (Non.) En fait, vous n’avez pas besoin de vous inquiéter : nous n’avons pas beaucoup d’occasions de contact rapproché, et nous avons encore moins de moments d’interaction, donc ce n’est pas une chose dont vous devez vous soucier. Si un jour J’interagis avec vous, ne vous inquiétez pas ; Je te dirai un secret. Que tu sois en relation avec Moi ou que tu pries et cherches en privé, quel est le secret numéro un ? Peu importe ce que tu fais, ne cherche pas à rivaliser avec Moi au niveau de l’esprit ; si tu as un penchant pour la confrontation, garde tes distances avec Moi. Il y a des gens qui Me parlent avec grande ruse, concoctant plusieurs stratagèmes en un clin d’œil, et chaque phrase qu’ils prononcent est imprégnée d’impureté ; s’ils parlent davantage, tu ne sauras pas quelles paroles sont vraies et lesquelles sont fausses. De telles personnes ne doivent jamais s’approcher de Moi. Quand tu entres en contact avec Dieu et que tu interagis avec Lui, quelle est la chose numéro un à faire et le principe numéro un à respecter ? Avoir un cœur honnête dans ta manière de traiter Dieu. Il faut également apprendre la déférence. La déférence n’est pas la politesse ; ce n’est pas faire preuve de servilité ni chercher à obtenir des faveurs, et ce n’est pas non plus s’attirer des bonnes grâces ou faire preuve d’obséquiosité. Alors, qu’est-ce exactement que la déférence ? (C’est traiter Dieu comme Dieu.) Traiter Dieu comme Dieu est un principe majeur. Et les détails ? (Apprendre à écouter Dieu.) C’est un aspect de la pratique. Certaines personnes entrent en contact avec Moi, et elles commencent à Me couper la parole, donc Je les laisse terminer avant de continuer. Et comment Me traitent-elles lorsque Je parle ? Elles écoutent les yeux fermés. Qu’est-ce que cela implique ? C’est comme dire : « Ce que Tu dis est absurde. Que sais-Tu ? » C’est leur attitude. Je ne prétends pas tout savoir, mais J’ai des principes, et Je te dis ce que J’ai appris, vu et compris, ainsi que les principes que Je connais, et tu peux en retirer beaucoup de choses. Mais si tu Me jettes toujours un coup d’œil, pensant que Je ne sais rien, et que tu ne M’écoutes pas attentivement, alors tu ne gagneras rien ; tu devras simplement découvrir les choses par toi-même. N’est-ce pas le cas ? Alors, vous devez apprendre à écouter les paroles de Dieu. Quand vous écoutez, est-ce que Je vous empêche d’exprimer votre opinion ? Non. Une fois que J’ai fini de parler, Je vous demande si vous avez des questions, et si quelqu’un en a, J’y réponds immédiatement et Je vous explique les principes qui sont en jeu dans ces questions. Parfois, Je ne me contente pas de vous dire les principes, mais Je vous dis directement ce que vous devriez faire, en détaillant chaque aspect. Bien qu’il y ait des domaines que Je ne comprends pas, J’ai mes propres principes, et J’ai mes propres opinions et méthodes pour gérer ces affaires, alors Je vous dispense un enseignement en fonction de ce que Je pense être des opinions et des principes sains. Pourquoi suis-Je capable de vous dispenser un enseignement ? C’est parce que vous ne comprenez même pas ces choses. Une fois que ces questions auront été clarifiées, Je vous demanderai à nouveau s’il y a d’autres questions ; s’il y en a, alors Je répondrai encore une fois sans délai. Je ne veux pas juste que tu M’écoutes ; Je te donne l’occasion de parler, mais ce que tu dis doit être raisonnable : pas de bêtises, et pas de perte de temps. Parfois, J’interromps certaines personnes par impatience. Dans quelles circonstances ? C’est lorsqu’elles sont prolixes, utilisant dix phrases là où cinq suffiraient. En fait, je comprends dès que je les entends ; Je sais ce qui va suivre, donc elles n’ont pas besoin d’en dire plus. Il faut être concis et aller droit au but, sans gaspiller le temps des autres. Une fois que tu as fini de parler, Je te donnerai une réponse, Je te dirai ce que tu dois faire et selon quels principes le faire. Cela devrait clore la question, n’est-ce pas ? Mais certaines personnes ne le comprennent pas, et disent : « Non, Tu dois me respecter ; notre respect est réciproque. Tu as fini de parler, mais je n’ai pas fini d’exprimer mon point de vue. Mon point de vue est le suivant ; je dois recommencer depuis le début. » Elles veulent toujours exprimer leurs opinions, croyant que Je ne les connais pas, alors qu’en réalité, dès qu’elles commencent à parler, je sais ce qu’elles vont dire, alors est-il nécessaire qu’elles continuent ? Non. Certaines personnes ont un QI si bas qu’elles utilisent dix phrases pour quelque chose qui en nécessite deux, et à moins que je ne les interrompe, elles continueront à parler. Tout le monde a compris ; est-ce que Je ne comprends toujours pas ? Mais elles insistent pour s’exprimer, alors ce n’est pas juste leur QI qui est bas ; leur raison est faible aussi ! Avez-vous déjà rencontré de telles personnes ? (Oui.) Elles pensent être intelligentes alors qu’elles manquent de raison et ont un faible QI. N’est-ce pas écœurant ? C’est écœurant et dégoûtant. Quand les gens entrent en contact avec Dieu, la première chose à faire est de Le traiter avec un cœur honnête ; la deuxième est d’apprendre la déférence ; et la troisième chose, qui est la plus importante, est d’apprendre à chercher la vérité. N’est-ce pas le plus important ? (Si.) Quel est l’intérêt de croire en Dieu si tu ne cherches pas la vérité ? Quelle est la valeur de la croyance en Lui ? Quel en est le sens ? Ce point est quelque chose que la plupart des gens peuvent négliger, alors pourquoi l’évoquer ? C’est une préparation pour l’avenir ; vous devez apprendre à pratiquer ainsi lorsque ce genre de situations se présente à vous à l’avenir.

À l’Église, J’ai rencontré beaucoup de gens, dont certains à qui J’ai confié quelques tâches. Quelques jours plus tard, ils M’ont donné un retour, Me montrant qu’ils avaient noté tous les éléments que je leur avais assignés et qu’ils étaient maintenant en train de tous les mettre en œuvre. Lorsqu’ils Me rencontraient, ils Me faisaient un compte rendu de l’avancement de la mise en œuvre, des problèmes nécessitant une recherche, et de ceux en attente de résultats, Me donnant une mise à jour complète. Ils expliquaient les détails très clairement, et bien que parfois ils aient été un peu insignifiants, leur attitude montrait qu’ils prenaient les paroles de Dieu au sérieux et avec responsabilité, et qu’ils savaient quels étaient leurs devoirs, responsabilités et obligations. D’autres personnes étaient différentes : Je leur confiais deux tâches, et elles les notaient dans leur carnet, mais une semaine plus tard, quand elles n’avaient toujours rien mis en œuvre, elles ne s’en souvenaient que lorsque Je les interrogeais à ce sujet, et puis elles les notaient à nouveau dans leur carnet. Une autre semaine passait, et quand Je leur demandais pourquoi le sujet n’était toujours pas clos, elles trouvaient des excuses, invoquant telle ou telle difficulté, avant de consigner tout cela à nouveau dans leur carnet avec diligence. Où avaient-elles consigné toutes ces choses ? (Dans leur carnet.) Mais elles ne les avaient pas consignées dans leur esprit. N’est-ce pas confier une tâche à la mauvaise personne ? Ces gens ne sont pas humains. Tout ce que Je leur confiais entrait par une oreille et ressortait par l’autre ; ils ne prenaient rien de tout cela au sérieux. Toutes les tâches relevant d’une certaine profession ou des affaires générales, ainsi que certaines affaires relatives à l’œuvre de l’Eglise, que J’assigne aux gens rentrent dans leur champ de compétences ; aucune de ces tâches n’était destinée à leur compliquer la vie. Cependant, souvent, lorsque Je confiais des choses à faire aux dirigeants et aux ouvriers, la plupart ne Me faisaient pas de compte rendu après avoir pris la charge de leurs missions, et Je ne savais rien de l’état du travail. Que les choses soient arrangées ou non, la manière dont elles se déroulaient, les erreurs qui avaient été commises, les résultats actuels : ils ne Me faisaient jamais de compte rendu de tout cela ni ne procédaient à des recherches. Ils laissaient simplement de côté leurs missions, et Je n’entendais jamais parler des issues, quelles qu’elles soient. Certaines personnes avaient un problème encore plus grave : en plus de ne pas mettre en œuvre ce que Je leur avais assigné, elles venaient aussi faire preuve de servilité et de tromperie à Mon égard, Me disant où elles étaient allées et ce qu’elles avaient fait la veille, ce qu’elles avaient fait l’avant-veille, et ce qu’elles faisaient à présent. Regardez à quel point elles étaient douées pour les faux-semblants et les sophismes – elles n’avaient fait aucune des choses que Je leur avais spécifiquement assignées, préférant se consacrer à des tâches inutiles tandis que le travail crucial restait dans un état de désordre complet. Quel genre de comportement est-ce là ? Elles négligeaient complètement leurs propres tâches, et elles étaient pleines de mensonges et de tromperie !

Il y avait un homme chargé de la plantation. Je lui ai demandé : « Il y a des légumes qui ont l’air bons cette année. As-tu gardé des graines ? » Il a répondu : « Oui, j’en ai gardé. » J’ai dit : « J’ai entendu dire qu’on avait récolté tous les légumes il y a quelque temps et qu’on n’avait gardé aucune graine. » Il a dit : « On n’a pas encore fini la récolte. Il en reste encore ! » Je lui ai ensuite demandé : « Où sont les légumes restants ? Laisse-Moi les voir. » Il a dit : « Oh ? Eh bien… Laisse-moi vérifier d’abord. » Avait-il vraiment gardé des graines ou non ? Il ne l’avait pas fait. Parmi ces quelques phrases qu’il a prononcées, sa première déclaration : « Oui, j’en ai gardé » était-elle un mensonge ? (Oui.) Et sa deuxième déclaration : « On n’a pas encore fini la récolte. Il en reste encore ! » n’était-elle pas aussi un mensonge ? Il ne savait pas si on avait gardé des graines ou non, et il a dit : « Laisse-moi vérifier d’abord. » Donc, la troisième déclaration était encore un autre mensonge. Les mensonges devenaient de plus en plus graves d’une phrase à l’autre ; il enchaînait mensonge après mensonge, s’enfonçant de plus en plus profondément ; une bouche pleine de mensonges ! Seriez-vous tous disposés à interagir avec quelqu’un dont la bouche est pleine de mensonges ? (Non.) Comment te sens-tu lorsque tu parles ou travailles avec des gens qui mentent constamment ? Est-ce que cela te met en colère ? Il avait le culot de tromper n’importe qui ; il avait tort de penser que Je ne savais pas ! Est-ce que cela vaut la peine de se livrer à la tromperie à ce sujet ? Qu’avait-il à gagner en étant aussi fourbe ? Si vous voyiez cette attitude dans sa manière d’agir, s’il vous traitait ainsi, comment vous sentiriez-vous ? Si, fondamentalement, 99 % de ce qu’une personne dit est un mensonge, qu’il s’agisse de bavardages ou de travail, de sujets sérieux ou d’échanges sur la vérité, alors cette personne est au-delà de tout espoir. Elle peut tromper n’importe qui ; alors qu’est-ce que cela fait d’elle ? Depuis combien de temps croit-elle en Dieu ? Certains non-croyants disent toujours : « D’après ce que je sais », ou « En parlant sincèrement », et avec cette introduction, ils disent quelque chose de véridique. Cet homme croyait en Dieu depuis tant d’années, et il avait écouté tant de sermons, mais il ne pouvait même pas dire un mot de vérité ; tout ce qu’il disait était un mensonge. Quel genre de créature est-il donc ? N’est-ce pas écœurant et détestable ? Y a-t-il beaucoup de gens comme lui ? Êtes-vous comme lui ? Quand vous interagissez avec Moi, dans quelles circonstances Me mentiriez-vous ? Si vous avez causé une catastrophe, et que vous savez que les conséquences sont graves et que vous pouvez être expulsés, alors dès que les autres mentionnent ce sujet, vous mentez pour le dissimuler. N’importe qui peut mentir sur ce genre de sujets. Sur quoi d’autre les gens peuvent-ils mentir ? Ils mentent pour améliorer leur image et être tenus en haute estime par les autres. Il y a aussi ceux qui se savent incompétents dans leur travail, mais qui ne le disent pas explicitement au Supérieur de peur d’être renvoyés. Lorsqu’ils font part de leur travail au Supérieur, ils font semblant de chercher des moyens de résoudre le problème, donnant ainsi aux autres une fausse impression. Tout ce qu’ils disent est un mensonge, et ils sont fondamentalement incapables de travailler. S’ils ne posent pas quelques questions, ils craignent que le Supérieur ne découvre les incohérences et ne les remplace, alors ils se dépêchent de trouver des prétextes. Telle est la mentalité des faux dirigeants et des antéchrists.

Réfléchissez aux trois principes d’interaction avec Dieu sur lesquels Je viens d’échanger. Lequel ne pouvez-vous pas accomplir, et lequel est facile à atteindre pour vous ? En fait, il n’est pas facile de réellement mettre en pratique aucun d’eux, car des démons habitent dans le cœur des gens. Tu ne seras pas en mesure de les accomplir avant d’avoir banni le démon de ton cœur. Tu dois combattre le démon dans ton cœur, et si tu parviens à le vaincre à chaque fois, alors tu pourras accomplir ces principes. Si, à chaque fois, tu échoues et es capturé par lui, alors tu ne pourras pas les accomplir ; tu ne pourras mettre en pratique aucun de ces principes. Si tu peux accomplir ces trois principes, non seulement en interagissant ou en étant en contact avec Moi, mais aussi dans tes interactions régulières avec les frères et sœurs, en suivant ces principes, tout le monde n’en bénéficiera-t-il pas ? (Si.) Maintenant que l’histoire est terminée, passons au sujet principal.

Dissection sur la manière dont les antéchrists sont malveillants, insidieux et fourbes

La dernière fois, nous avons échangé sur la septième manifestation des antéchrists : ils sont malveillants, insidieux et fourbes. Ce point a déjà fait l’objet de deux échanges. La première discussion portait sur la nature malveillante des antéchrists : sur quoi cette discussion mettait-elle l’accent ? (Être hostile à la vérité et la détester.) Les antéchrists sont hostiles à la vérité et la détestent, haïssant toutes les choses positives alignées sur la vérité et sur Dieu, ce qui est la première et principale manifestation de la malveillance des antéchrists. La première discussion portait sur ce que les antéchrists détestent. Les gens ordinaires détestent les choses négatives et les forces malveillantes ; ils détestent les choses qui sont sales, sombres et malveillantes. Cependant, contrairement à cela, la preuve la plus forte de la première manifestation de la nature malveillante d’un antéchrist est qu’il ne déteste pas les choses négatives, mais déteste toutes les choses positives liées à la vérité et à Dieu, ce qui constitue la première preuve évidente de sa malveillance. Notre deuxième discussion portait sur le deuxième élément de preuve solide concernant les manifestations de la malveillance d’un antéchrist. S’il déteste les choses positives, qu’aime-t-il ? (Les choses négatives.) Qu’aiment les gens dotés d’une humanité normale ? Ils aiment l’intégrité, la bonté et la beauté, ainsi que l’amour, la patience et la tolérance liées à l’humanité, ainsi que le bon sens et les connaissances positives et bénéfiques aux gens, et toutes les choses positives provenant de Dieu, y compris les lois et les règles établies par Dieu pour toutes choses, les lois et les décrets administratifs de Dieu, et toutes les vérités et les voies de vie exprimées par Dieu, ainsi que d’autres choses liées à Dieu. La nature malveillante d’un antéchrist va à l’encontre de cela ; il n’aime pas ces choses ; qu’aime-t-il ? (Les mensonges et la tromperie.) Exactement, il aime les mensonges et la tromperie, ainsi que les complots, les stratagèmes, divers moyens de relations mondaines, flatter les gens, lécher les bottes, ainsi que les conflits, le statut et l’autorité. Il aime toutes ces choses négatives qui vont à l’encontre de la vérité et des choses positives, ce qui démontre précisément la nature malveillante des antéchrists. Ces preuves ne sont-elles pas convaincantes ? (Si.) Bien que ces preuves soient toutes convaincantes, il n’y a que deux parties qui ne peuvent pas encore être considérées comme complètes. Aujourd’hui, nous allons continuer à discuter de la troisième partie de la manière dont les antéchrists sont malveillants, insidieux et fourbes. Cette troisième partie est certainement différente des première et deuxième parties, mais elle y est liée. En quoi y est-elle liée ? Les trois parties traitent toutes de cette essence : la nature malveillante de l’antéchrist. En quoi est-elle différente ? Dans cette partie, ce que sa nature malveillante aime et dont elle a besoin, ainsi que ce qu’il déteste, est différent de ce qui a été traité dans les deux parties précédentes : le contenu est différent. Cette différence ne signifie pas que les antéchrists aiment aussi certaines choses positives ou qu’ils détestent aussi certaines choses négatives ; il s’agit plutôt d’une autre partie, qui ne concerne pas seulement ce qu’ils aiment ou ce dont ils ont besoin, mais qui s’élève à ce que cette force malveillante des antéchrists estime ; pour le dire autrement, ce qu’ils vénèrent ou admirent. Certains peuvent dire : « Des termes comme “estimer”, “vénérer” et “admirer” devraient être utilisés pour interpréter des choses positives, alors comment peuvent-ils être appliqués aux antéchrists ? Ces termes sont-ils appropriés ? » Ces termes ne sont ni élogieux ni péjoratifs ; ils sont neutres. Par conséquent, les utiliser ici ne viole aucun principe et est permis.

III. Dissection des choses que les antéchrists vénèrent et admirent

Quelles sont les choses que les antéchrists vénèrent et admirent ? Tout d’abord, il est certain qu’ils ne vénèrent pas la vérité, Dieu, ou quoi que ce soit de beau ou de bon lié à Dieu. Alors, que vénèrent-ils exactement ? Quelque chose vous vient-il à l’esprit ? Laissez-Moi vous donner un indice. Ces gens dans la religion qui croient au Seigneur, comment ont-ils sombré dans le christianisme ? Pourquoi sont-ils maintenant qualifiés de religion, de secte, et non d’Église de Dieu, de maison de Dieu ou d’objet de l’œuvre de Dieu ? Ils ont des enseignements religieux ; ils compilent l’œuvre que Dieu a accomplie autrefois et les paroles que Dieu a prononcées dans un livre, dans des contenus d’enseignement, puis ils ouvrent des écoles et recrutent et forment divers théologiens. Qu’étudient ces théologiens ? Est-ce la vérité ? (Non.) Qu’étudient-ils alors ? (Le savoir théologique.) Ils étudient le savoir et les théories théologiques, qui n’ont rien à voir avec l’œuvre de Dieu ou la vérité exprimée par Dieu. Ils remplacent les paroles de Dieu et l’œuvre du Saint-Esprit par le savoir théologique, et c’est ainsi qu’ils s’enfoncent dans le christianisme ou le catholicisme. Qu’est-ce qui est estimé dans la religion ? Si tu vas dans une église, et que quelqu’un te demande depuis combien de temps tu crois en Dieu, et que tu dis que tu viens de commencer à croire, il ne t’accordera aucune attention. Mais si tu arrives avec une Bible et dis : « Je viens d’obtenir mon diplôme auprès de tel ou tel séminaire théologique », ils t’inviteront à prendre un siège d’honneur. Si tu es un simple croyant, à moins que tu n’aies un statut social élevé, ils ne s’occuperont pas de toi. C’est cela, le christianisme, et c’est ainsi que fonctionne le monde religieux. Ceux dans les églises qui prêchent et ont un statut, une position et du prestige, sont un groupe de personnes formées dans des séminaires théologiques pour posséder des connaissances et des théories théologiques, et ils constituent essentiellement le corps principal qui soutient le christianisme. Le christianisme forme de telles personnes pour monter sur scène et prêcher, pour répandre l’Évangile et travailler partout. Ils croient qu’avec des talents tels que ces étudiants en théologie, ces pasteurs prêcheurs et ces théologiens, l’existence du christianisme est assurée jusqu’à aujourd’hui, et ces personnes deviennent la valeur et le capital de l’existence du christianisme. Si le pasteur d’une église est diplômé d’un séminaire théologique, parle bien de la Bible, a lu quelques livres spirituels et possède un peu de connaissance et d’éloquence, alors la fréquentation de cette église prospérera et elle deviendra beaucoup plus célèbre que d’autres églises. Qu’estiment ces gens dans le christianisme ? Le savoir, le savoir théologique. D’où vient ce savoir ? N’est-il pas transmis depuis les temps anciens ? Des écritures existent depuis les temps anciens, transmises de génération en génération, et c’est ainsi que tout le monde les lit et les étudie jusqu’à aujourd’hui. Les gens divisent la Bible en diverses sections, compilent différentes versions et en encouragent l’étude et l’apprentissage, mais leur étude de la Bible n’a pas pour but de comprendre la vérité afin de connaître Dieu, ni de comprendre les intentions de Dieu afin de craindre Dieu et de s’éloigner du mal ; ils étudient plutôt la connaissance et les mystères de la Bible, pour découvrir quels événements à quels moments ont accompli quelle prophétie de l’Apocalypse, et quand viendront les grandes catastrophes et le millénaire ; ils étudient ces choses. Leur étude est-elle liée à la vérité ? (Non, elle ne l’est pas.) Pourquoi étudient-ils des choses qui n’ont rien à voir avec la vérité ? C’est parce que plus ils étudient, plus ils ont l’impression de comprendre, et plus ils sont équipés de formules et de doctrines, plus leurs qualifications s’élèvent. Plus leurs qualifications sont élevées, plus ils ont l’impression que leurs capacités sont grandes, et plus ils croient qu’ils seront finalement bénis dans leur foi, qu’ils iront au ciel après leur mort, ou que les vivants seront enlevés dans les airs pour rencontrer le Seigneur. Ce sont leurs notions religieuses, qui ne sont pas du tout conformes aux paroles de Dieu.

Les pasteurs et les anciens du monde religieux sont tous des gens qui étudient la connaissance biblique et la théologie ; ce sont des pharisiens hypocrites qui résistent à Dieu. Alors, en quoi sont-ils différents des antéchrists cachés dans l’Église ? Parlons maintenant du lien entre les deux. Ceux qui sont affiliés au christianisme et au catholicisme et qui étudient la Bible, la théologie, et même l’histoire de l’œuvre de Dieu, sont-ils de vrais croyants ? Sont-ils différents des croyants et des disciples de Dieu dont parle Ce dernier ? Sont-ils des croyants aux yeux de Dieu ? Non, ils étudient la théologie, ils étudient Dieu, mais ils ne suivent pas Dieu ni ne Lui rendent témoignage. Leur étude de Dieu est la même que celle de ceux qui étudient l’histoire, la philosophie, le droit, la biologie ou l’astronomie. C’est simplement qu’ils n’aiment pas la science ou d’autres matières ; ils aiment spécifiquement étudier la théologie. Quel est le résultat de leur recherche de fragments épars de l’œuvre de Dieu pour étudier Dieu ? Peuvent-ils découvrir l’existence de Dieu ? Non, jamais. Peuvent-ils comprendre les intentions de Dieu ? (Non.) Pourquoi ? Parce qu’ils vivent dans les paroles, dans la connaissance, dans la philosophie, dans l’esprit humain et dans les pensées humaines ; ils ne verront jamais Dieu ni ne seront éclairés par le Saint-Esprit. Comment Dieu les classe-t-Il ? Comme des incrédules, comme des non-croyants. Ces non-croyants et incrédules se mêlent à la soi-disant communauté chrétienne, agissant comme des croyants en Dieu, comme des chrétiens, mais ont-ils en réalité une véritable adoration pour Dieu ? Ont-ils une véritable soumission ? (Non.) Pourquoi cela ? Une chose est certaine : un nombre considérable d’entre eux ne croient pas en l’existence de Dieu dans leur cœur ; ils ne croient pas que Dieu a créé le monde et qu’il est souverain sur toutes choses, et ils croient encore moins que Dieu peut se faire chair. Que signifie ce manque de foi ? Cela signifie douter et nier. Ils adoptent même une attitude consistant à espérer que les prophéties prononcées par Dieu ne se réaliseront pas, en particulier celles qui concernent les catastrophes. Voilà leur attitude envers la foi en Dieu, et c’est là l’essence et le véritable visage de leur soi-disant foi. Ces personnes étudient Dieu parce qu’elles s’intéressent particulièrement au sujet et à la connaissance de la théologie et aux faits historiques de l’œuvre de Dieu ; il s’agit purement d’un groupe d’intellectuels qui étudient la théologie. Ces intellectuels ne croient pas en l’existence de Dieu, alors comment réagissent-ils quand Dieu vient œuvrer, quand les paroles de Dieu s’accomplissent ? Quelle est leur première réaction lorsqu’ils entendent dire que Dieu s’est fait chair et a commencé une nouvelle œuvre ? « Impossible ! » Ils condamnent toute personne qui prêche le nouveau nom de Dieu et Sa nouvelle œuvre, et ils veulent même la tuer ou l’éliminer. Quel genre de manifestation est-ce là ? N’est-ce pas la manifestation d’un antéchrist typique ? Quelle différence y a-t-il entre eux et les pharisiens, prêtres en chef et scribes d’autrefois ? Ils sont hostiles à l’œuvre de Dieu, au jugement de Dieu dans les derniers jours, à Dieu qui se fait chair, et ils sont encore plus hostiles à l’accomplissement des prophéties de Dieu. Ils croient : « Si tu ne te fais pas chair, si tu prends la forme d’un corps spirituel, alors tu es dieu ; si tu es incarné et que tu deviens une personne, alors tu n’es pas dieu, et nous ne te reconnaissons pas. » Qu’est-ce que cela implique ? Cela signifie que tant qu’ils sont là, ils n’autoriseront pas Dieu à se faire chair. N’est-ce pas typique des antéchrists ? Ce sont de véritables antéchrists. Le monde religieux s’engage-t-il dans ce genre d’argument ? La voix de cet argument est forte et puissante, elle dit : « Il est impossible et erroné que Dieu se fasse chair ! S’il est incarné, alors il doit être faux ! » Il y a aussi des gens qui disent : « Ils croient manifestement en un être humain ; ils sont tout simplement fourvoyés ! » S’ils sont capables de dire cela, alors s’ils avaient été présents à l’époque où le Seigneur Jésus est apparu et a œuvré il y a deux mille ans, ils n’auraient pas cru en Lui. Maintenant, ils croient au Seigneur Jésus, mais en réalité, ils ne croient qu’en Son nom, aux deux mots « Seigneur Jésus », et ils croient en un Dieu vague au ciel. Par conséquent, ce ne sont pas des croyants en Dieu, ce sont des incrédules. Ils ne croient pas en l’existence de Dieu, en l’incarnation de Dieu, en l’œuvre de création de Dieu, et encore moins en l’œuvre de rédemption de Dieu pour toute l’humanité par la crucifixion sur la croix. La théologie qu’ils étudient est une sorte de théorie religieuse ou de thèse, rien de plus que des faussetés plausibles en apparence qui induisent les gens en erreur. Quelle est l’inévitable connexion entre ces soi-disant intellectuels théologiques du christianisme et les antéchrists dans notre Église ? Quel est le lien entre leurs divers comportements et la nature-essence des antéchrists dont nous discutons ? Pourquoi parler d’eux ? Ne parlons pas pour l’instant des gens du christianisme ; examinons plutôt comment ceux qui sont classés parmi les antéchrists traitent la vérité et, à partir de leur attitude envers la vérité, voyons ce qu’ils estiment vraiment. Tout d’abord, une fois qu’ils saisissent certaines vérités, comment les comprennent-ils ? Comment traitent-ils ces vérités ? Quelle est leur attitude envers l’acceptation de ces vérités ? Acceptent-ils ces paroles comme leur chemin de pratique, ou s’en équipent-ils comme une sorte de théorie, qu’ils vont ensuite prêcher aux autres ? (Ils les traitent comme une sorte de théorie à prêcher.) Ils les traitent comme une sorte de théorie à apprendre, analyser et étudier, et, après les avoir étudiées, ils les apprennent dans leur esprit et dans leurs pensées ; ils les mémorisent, peuvent en parler, les énoncent avec fluidité, puis les exhibent partout. Peu importe combien de temps ils parlent, il y a une chose que tu ne peux pas voir, c’est que peu importe la quantité de doctrines qu’ils prononcent, peu importe à quel point ils s’expriment bien, peu importe le nombre de personnes à qui ils parlent et la quantité de contenu exprimé, ou si cela est conforme à la vérité ou non, tu ne vois aucun résultat chez eux ; tu ne vois pas leur pratique. Qu’est-ce que cela indique ? Ils n’acceptent pas la vérité. Qu’ont-ils fait de la vérité ? Ils en ont fait un outil pour se mettre en valeur. Par exemple, Dieu dit aux gens d’être honnêtes et explique les manifestations qu’a une personne honnête, comment une personne honnête doit parler, agir et accomplir son devoir. Après avoir écouté cela, quelle est leur réaction ? Quel impact ces paroles ont-elles sur eux ? Tout d’abord, ils n’acceptent jamais ces paroles. Quelle est leur attitude ? « J’ai compris : Les gens honnêtes ne mentent pas, les gens honnêtes disent la vérité aux autres et peuvent ouvrir leur cœur, les gens honnêtes accomplissent leur devoir avec loyauté et non superficiellement. » Ils retiennent ces paroles comme une théorie dans leur cœur. Une fois enracinée dans leur cœur, ce type de théorie peut-il les changer ? (Non.) Alors, pourquoi s’en souviennent-ils encore ? Ils aiment la justesse de ces paroles, et ils utilisent ces théories justes pour se faire valoir, ce qui leur permet d’être estimés davantage par les autres. Qu’est-ce que les gens estiment grandement chez eux ? Leur capacité à prononcer les paroles justes, avec aisance et de manière prolongée ; c’est ce que ces gens recherchent. Après avoir entendu ces paroles, les ont-ils prises au sérieux ? (Non.) Pourquoi pas ? Comment pouvez-vous le savoir ? (Ils ne les mettent pas en pratique.) Pourquoi ne les mettent-ils pas en pratique ? Dans leur cœur, ils se disent : « Ce sont donc des paroles de Dieu ? C’est simple, je m’en souviens après les avoir entendues une seule fois. Je peux réciter comment une personne honnête doit agir après l’avoir entendu une seule fois ; vous avez tous encore besoin de prendre des notes et de méditer là-dessus, mais pas moi ! » Ils considèrent les paroles de Dieu comme une sorte de théorie ou de connaissance ; ils ne réfléchissent pas dans leur cœur à la manière d’être une personne honnête, ils ne se comparent pas à ces paroles, ils n’examinent pas leurs actions pour voir en quoi ils manquent d’honnêteté, ou pour voir, parmi les actions qu’ils entreprennent, celles qui vont à l’encontre des principes d’une personne honnête, et ils ne se disent jamais : « Ce sont les paroles de Dieu, donc c’est la vérité. Les gens devraient être honnêtes, alors comment doit-on agir pour être une personne honnête ? Comment puis-je agir d’une manière qui satisfasse Dieu ? Qu’est-ce que j’ai fait de malhonnête ? Quels comportements ne sont pas ceux d’une personne honnête ? » Réfléchissent-ils de cette manière ? (Non, ils ne le font pas.) Alors, que se disent-ils ? Ils se disent : « C’est donc ça, une personne honnête ? C’est ça la vérité ? N’est-ce pas juste une théorie, un slogan ? Il suffit d’adopter un ton moralisateur, il n’y a pas besoin de la mettre en pratique. » Pourquoi ne mettent-ils pas cela en pratique ? Ils se disent : « Si je dis aux autres tout ce qui est dans mon cœur, ne vais-je pas m’exposer ? Si je m’expose et que les autres me percent à jour, auront-ils encore une haute opinion de moi ? Si je parle, les autres m’écouteront-ils encore ? Le sens des paroles de Dieu est qu’une personne honnête ne peut pas mentir ; sans mensonge, resterait-il la moindre intimité dans le cœur des gens ? Cela ne permettrait-il pas aux autres de les percer immédiatement à jour ? Vivre ainsi ne serait-il pas stupide ? » Voilà leur point de vue. Cela signifie que lorsqu’ils acceptent une théorie qu’ils jugent correcte, ils se font des idées dans leur cœur. Quelles sont ces idées ? Pourquoi est-ce que je dis qu’elles sont malfaisantes ? Ils analysent d’abord les effets que ces paroles peuvent avoir sur eux, les avantages et les inconvénients qu’elles représentent pour eux. Une fois qu’ils ont analysé les paroles et découvert qu’elles ne leur sont pas avantageuses, ils se disent : « Je ne peux pas pratiquer de cette façon, je ne le ferai pas, je ne suis pas stupide à ce point, je ne serai pas aussi bête et simple que vous ! Peu importe le moment, je dois toujours m’en tenir à mes propres idées et maintenir mes propres points de vue. Tu as peut-être un millier de projets, mais moi j’ai une règle ; je ne peux pas révéler le stratagème dans mon cœur ; être une personne honnête, c’est pour les imbéciles ! » D’une part, ils nient que les paroles de Dieu soient la vérité ; d’autre part, ils se souviennent de quelques phrases relativement essentielles pour se faire valoir, afin que les gens les considèrent davantage comme de véritables croyants en Dieu, davantage comme des personnes spirituelles. Voilà ce qu’ils calculent dans leur cœur.

D’après la réaction que les antéchrists ont face à la vérité après l’avoir entendue, il est évident qu’ils ne s’intéressent pas à la vérité et ne l’aiment pas. Qu’aiment-ils ? Ils aiment la connaissance théorique correcte, fraîche et légèrement plus raffinée qui peut les présenter de manière plus parfaite, plus honorable, avec plus de dignité, et qui incite les gens à les vénérer davantage. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) En quoi cela est-il malveillant ? Peu importe l’aspect de la vérité sur lequel un antéchrist échange, il peut toujours inventer un ensemble de théories apparemment plausibles ou de paroles qui semblent correctes pour induire les gens en erreur et les inciter à les suivre, ce qui est tout aussi malveillant que Satan. La malveillance d’un antéchrist se manifeste dans ses stratagèmes malveillants, ses préméditations, et tout un ensemble de plans, car il veut brandir la bannière de la lecture des paroles de Dieu pour trouver une base théorique afin d’exécuter ses actions malveillantes ; telle est malveillance des antéchrists. Ils citent les paroles de Dieu hors de leur contexte uniquement pour induire les gens en erreur et se mettre en valeur. Lorsqu’ils écoutent des échanges et des sermons et entendent une nouvelle expression qu’ils peuvent utiliser, ils la notent immédiatement. Les gens stupides voient un tel comportement et se disent : « Ils prennent des notes chaque fois qu’ils entendent un sermon : ils ont une telle faim et une telle soif de justice ; ils notent chaque point crucial, ils doivent avoir une si grande compréhension spirituelle ! » Leur manière de prendre des notes est-elle la même que celle des autres ? Non. Certaines personnes prennent des notes parce qu’elles se disent : « C’est une bonne déclaration. Je ne la comprends pas, alors je dois la noter et l’appliquer plus tard dans la pratique, afin d’avoir un chemin et des principes dans ma pratique. » L’antéchrist pense-t-il de cette manière ? Quelle est sa motivation ? Il se dit : « J’ai noté un point de vérité aujourd’hui qu’aucun de vous n’a entendu, et je ne le dirai à personne et n’échangerai pas à ce sujet avec les autres ; je l’ai compris et, un jour, je vous en parlerai et je paraderai pour vous faire savoir que je comprends vraiment la vérité, et tout le monde montrera son approbation. » Tu pourrais penser que les antéchrists aiment la vérité et en ont soif parce qu’ils prennent des notes de cette manière et que leurs notes sont assez précises, mais que se passe-t-il une fois qu’ils ont fini de prendre des notes ? Ils ferment leur carnet, et c’est tout. Un jour, quand ils deviennent prédicateurs et qu’ils ne savent pas quoi prêcher, ils feuillettent rapidement leur carnet, organisent le contenu de leur sermon, le lisent, le mémorisent et l’écrivent de mémoire jusqu’à en avoir une idée tout à fait claire. Ce n’est qu’alors qu’ils se sentent « sûrs d’eux », pensant qu’ils ont enfin « la vérité » et peuvent fanfaronner partout où ils vont. Une caractéristique de ce que ces gens disent est qu’il ne s’agit que de doctrines, d’arguments et de règlements creux. Lorsque tu rencontres des difficultés spécifiques ou découvres des problèmes et cherches des solutions auprès d’eux, ils se contentent de te servir un tas de doctrines, en parlant de manière claire et logique. Si tu leur demandes comment les mettre en pratique, ils ne savent plus quoi dire. S’ils ne peuvent pas l’expliquer, alors il y a un problème sérieux et cela prouve qu’ils ne comprennent pas la vérité. Les personnes qui ne comprennent pas la vérité et qui n’aiment pas la vérité la traitent souvent comme une simple sorte de dicton ou de théorie. Et que se passe-t-il en fin de compte ? Après de nombreuses années à croire en Dieu, lorsque quelque chose leur arrive, ils ne peuvent pas le comprendre, ils ne peuvent pas se soumettre et ils ne savent pas comment chercher la vérité. Lorsque quelqu’un échange avec eux, ils ont un « célèbre dicton célèbre » par lequel ils répondent : « Ne me dis rien, je comprends tout. À l’époque où je prêchais, tu ne savais même pas encore marcher ! » Voilà leur « célèbre dicton ». Ils prétendent tout comprendre, alors pourquoi sont-ils bloqués chaque fois que des problèmes surviennent ? Toi qui comprends les choses, pourquoi ne peux-tu pas agir ? Pourquoi cette affaire te gêne-t-elle et te perturbe-t-elle ? Comprends-tu la vérité ou non ? Si tu la comprends, pourquoi ne peux-tu pas l’accepter ? Si tu la comprends, pourquoi ne peux-tu pas te soumettre ? Quelle est la première chose que les gens devraient faire une fois qu’ils comprennent la vérité ? Ils devraient se soumettre ; il n’y a rien d’autre. Certaines personnes disent : « Je comprends tout ; n’échange pas avec moi, je n’ai pas besoin de l’aide des autres. » C’est bien si elles n’ont pas besoin que les autres les aident, mais ce qui est dommage, c’est que lorsqu’elles sont faibles, ces doctrines qu’elles comprennent ne leur servent à rien. Elles ne veulent même plus accomplir leurs devoirs, et un désir malfaisant d’abandonner leur foi surgit également en elles. Après tant d’années à prêcher des théories théologiques, elles cessent tout d’un coup de croire et, tout d’un coup, elles s’en vont ; ont-elles une quelconque stature ? (Non, elles n’en ont pas.) Sans stature, il n’y a pas de vie. Si tu as la vie, pourquoi ne peux-tu pas surmonter une si petite affaire ? Tu es plutôt éloquent, n’est-ce pas ? Alors, persuade-toi. Si tu ne peux même pas te convaincre, que comprends-tu, exactement ? Est-ce la vérité ? La vérité peut résoudre des difficultés réelles pour les gens et elle peut également résoudre leurs tempéraments corrompus. Pourquoi ces « vérités » que tu comprends ne peuvent-elles même pas résoudre tes propres difficultés ? Que comprends-tu, exactement ? Rien de plus que des doctrines.

Concernant la septième manifestation des antéchrists, à savoir qu’ils sont malveillants, insidieux et fourbes – je viens de parler de la troisième partie de cette manifestation : ils estiment la connaissance et l’érudition. Les antéchrists estiment la connaissance et l’érudition ; qu’est-ce qui, à ce sujet, peut illustrer leur tempérament malveillant ? Pourquoi dit-on que vénérer la connaissance et l’érudition signifie qu’ils ont une essence malveillante ? Nous devons assurément parler des faits ici, car si nous ne faisions que discuter de paroles ou de théories creuses, les gens risquent de se faire une idée partiale et moins approfondie de cette question. Commençons tout d’abord par quelque chose de plus ancien dans l’histoire. Pendant que Je parle, comparez Mes paroles aux actions et aux comportements des antéchrists et comparez-les aux manifestations et à l’essence des antéchrists. Commençons par parler des pharisiens d’il y a deux mille ans. À cette époque, les pharisiens étaient des gens hypocrites. Lorsque Dieu incarné S’est révélé et a œuvré pour la première fois, non seulement les pharisiens n’ont pas accepté une once de la vérité, mais ils ont aussi ardemment condamné et résisté au Seigneur Jésus, et ont donc été maudits par Dieu. Cela confirme que les pharisiens sont des exemples classiques d’antéchrists. « Antéchrists » est devenu un autre nom pour les pharisiens et, en substance, les pharisiens sont le même type de personnes que les antéchrists. Par conséquent, commencer par les pharisiens pour disséquer la nature malveillante des antéchrists est un raccourci. Alors, quels actes des pharisiens ont montré aux gens qu’ils possédaient une nature malveillante d’antéchrist ? Je viens de mentionner que les antéchrists estiment la connaissance et l’érudition ; à quel type de personnes la connaissance et l’érudition sont-elles étroitement liées ? Qui sont les personnifications de ces choses-là ? Font-elles référence aux étudiants en master et en doctorat ? Non, cela serait trop éloigné ; elles font référence aux pharisiens. La raison pour laquelle les pharisiens sont hypocrites, la raison pour laquelle ils sont malveillants, est qu’ils ont de l’aversion pour la vérité mais aiment la connaissance, alors ils ne font qu’étudier les Saintes Écritures et poursuivent la connaissance de ces dernières sans jamais accepter la vérité ni les paroles de Dieu pour autant. Ils ne prient pas Dieu en lisant Ses paroles et ne recherchent pas la vérité ni n’échangent sur elle. Au lieu de cela, ils étudient les paroles de Dieu, ce que Dieu a dit et fait, transformant ainsi Ses paroles en une théorie, une doctrine à enseigner aux autres, ce que l’on appelle une étude savante. Pourquoi s’engagent-ils dans des études savantes ? Qu’étudient-ils ? À leurs yeux, il ne s’agit pas des paroles de Dieu ou de Son expression et encore moins de la vérité. C’est plutôt une forme d’érudition, ou l’on pourrait même dire qu’il s’agit de connaissances théologiques. De leur point de vue, propager cette connaissance, cette érudition, c’est diffuser la voie de Dieu, diffuser l’Évangile ; c’est ce qu’ils appellent prêcher, mais ils ne prêchent rien de plus que des connaissances théologiques.

Comment les aspects malveillants des pharisiens se manifestent-ils ? Commençons d’abord notre discussion par la manière dont les pharisiens ont traité Dieu incarné, peut-être alors comprendrez-vous un peu mieux. En parlant de Dieu incarné, nous devons d’abord parler du genre de famille et de milieu dans lesquels Dieu incarné est né il y a deux mille ans. Tout d’abord, le Seigneur Jésus n’est pas du tout né dans une famille riche ; Sa lignée n’était pas très distinguée. Son père adoptif, Joseph, était charpentier, et Sa mère, Marie, était une croyante ordinaire. L’identité et le statut social de Ses parents représentent le milieu familial dans lequel le Seigneur Jésus est né et il est clair qu’Il est né dans une famille ordinaire. Que signifie « ordinaire » ? Cela se réfère aux masses populaires, à un ménage moyen au bas de l’échelle sociale, qui n’a rien à voir avec des familles nobles et n’est n’a pas le moindre lien avec un statut élevé, et certainement pas aristocratique. Né dans une famille ordinaire, de parents ordinaires, sans statut social illustre ni milieu familial distingué, il est clair que le cadre et la famille dans lesquels le Seigneur Jésus est né étaient des plus ordinaires. La Bible indique-t-elle que le Seigneur Jésus a reçu une éducation spéciale ? A-t-Il reçu une éducation dans un séminaire ? A-t-Il été formé par un grand prêtre ? A-t-Il lu de nombreux livres comme Paul l’a fait ? A-t-Il eu des contacts étroits ou des relations avec les élites sociales ou les grands prêtres du judaïsme ? Cela n’a pas été le cas. En examinant le statut social de la famille du Seigneur Jésus, il est clair qu’Il n’aurait pas eu de contact avec la classe supérieure des scribes et pharisiens juifs ; Il était essentiellement limité une vie parmi les Juifs ordinaires. Il allait occasionnellement à la synagogue et les personnes qu’Il rencontrait étaient toutes des gens du commun. Qu’est-ce que cela montre ? Tandis que le Seigneur Jésus grandissait, avant de commencer officiellement Son œuvre, le milieu dans lequel Il a été élevé n’a pas changé. Passé l’âge de douze ans, Son ménage n’a pas commencé à prospérer et Il n’est pas devenu riche, encore moins a-t-Il eu la chance d’interagir avec des gens des classes supérieures dans les cercles sociaux ou religieux et Il n’a pas non plus eu l’occasion de recevoir une éducation supérieure pendant Son enfance. Quel message cela donne-t-il aux générations suivantes ? Cette personne ordinaire et normale, qui était Dieu incarné, n’a eu ni l’opportunité ni les conditions de recevoir une éducation supérieure. Il était comme les gens ordinaires, Il vivait dans un environnement social modeste, dans une famille ordinaire, et il n’y avait rien de spécial à Son sujet. C’est précisément pour cette raison qu’après avoir entendu parler des sermons et des actions du Seigneur Jésus, ces scribes et pharisiens ont osé se lever et ouvertement Le juger, blasphémer contre Lui et Le condamner. Sur quelle base se fondait leur condamnation ? Elle reposait sans aucun doute sur les lois et règlements de l’Ancien Testament. Premièrement, le Seigneur Jésus incitait Ses disciples à ne pas observer le sabbat ; Il continuait à œuvrer le jour du sabbat. De plus, Il n’observait pas les lois et règlements et n’allait pas au temple et, lorsqu’Il rencontrait des pécheurs, certaines personnes Lui demandaient comment les traiter, mais Il ne les traitait pas selon la loi et leur montrait plutôt de la miséricorde. Aucun de ces aspects des actions du Seigneur Jésus n’était conforme aux notions religieuses des pharisiens. Comme ils n’aimaient pas la vérité et détestaient donc le Seigneur Jésus, ils ont saisi le prétexte de la violation de la loi par Ce dernier pour L’accuser avec ardeur et ont décidé qu’Il devait être mis à mort. Si le Seigneur Jésus était né dans une famille importante et distinguée, s’Il avait été très érudit et s’Il avait eu des relations étroites avec ces scribes et pharisiens, alors, à cette époque, les choses se seraient peut-être passées différemment pour Lui par la suite ; elles auraient peut-être changé. C’est précisément parce qu’Il était ordinaire, qu’il était normal, et en raison du contexte de Sa naissance, qu’Il a été condamné par les pharisiens. Sur quelle base ont-ils condamné le Seigneur Jésus ? C’étaient ces règlements et lois auxquels ils s’accrochaient, qu’ils croyaient immuables pour toute l’éternité. Les pharisiens considéraient les théories théologiques qu’ils maîtrisaient comme des connaissances et un outil pour évaluer et condamner les gens, allant même jusqu’à les utiliser contre le Seigneur Jésus. C’est ainsi que le Seigneur Jésus a été condamné. La manière dont ils évaluaient ou traitaient une personne ne dépendait jamais de l’essence de la personne, ni de la vérité de ce qu’elle prêchait, et encore moins de la source des paroles que la personne prononçait ; la manière dont les pharisiens évaluaient ou condamnaient une personne dépendait uniquement des règlements, paroles et doctrines qu’ils maîtrisaient dans l’Ancien Testament de la Bible. Même si les pharisiens savaient dans leur cœur que ce que le Seigneur Jésus disait et faisait n’était ni un péché ni une violation de la loi, ils L’ont tout de même condamné, car les vérités qu’Il exprimait et les signes et prodiges qu’Il accomplissait poussaient de nombreuses personnes à Le suivre et à Le louer. Les pharisiens devenaient de plus en plus haineux à Son égard et voulaient même Le supprimer. Ils ne reconnaissaient pas que le Seigneur Jésus était le Messie à venir, ni que Ses paroles contenaient la vérité et encore moins que Son œuvre était conforme à la vérité. Ils jugeaient que le Seigneur Jésus prononçait des paroles présomptueuses et chassait les démons via le pouvoir de Belzébuth, le prince des démons. Qu’ils aient pu attribuer ces péchés au Seigneur Jésus montre à quel point ils Le haïssaient. Par conséquent, ils se sont ardemment employés à nier que le Seigneur Jésus avait été envoyé par Dieu, qu’Il était le Fils de Dieu et qu’Il était le Messie. Ce qu’ils entendaient par-là, c’était : « Dieu ferait-il les choses de cette manière ? Si dieu était incarné, il serait né dans une famille au statut formidable et il devrait accepter la tutelle des scribes et des pharisiens. Il devrait étudier les Saintes Écritures de manière systématique, avoir une maîtrise des connaissances scripturaires, et être équipé de toutes les connaissances dans les Saintes Écritures avant de pouvoir porter le nom de “Dieu incarné” ». Mais le Seigneur Jésus n’était pas doté de cette connaissance, alors ils L’ont condamné en disant : « Premièrement, tu n’es pas qualifié de cette manière, donc tu ne peux pas être dieu ; deuxièmement, sans cette connaissance scripturaire, tu ne peux pas accomplir l’œuvre de dieu, encore moins être dieu ; troisièmement, tu ne dois pas œuvrer en dehors du temple ; tu n’œuvres pas dans le temple actuellement, au lieu de cela, tu es toujours parmi les pécheurs, donc l’œuvre que tu accomplis dépasse le cadre des Saintes Écritures, ce qui rend encore moins probable que tu sois dieu. » D’où venait le fondement de leur condamnation ? Des Saintes Écritures, de l’esprit humain et de l’éducation théologique qu’ils avaient reçue. Comme les pharisiens étaient gonflés de notions, de produits de l’imagination et de connaissances, ils croyaient que cette connaissance était correcte, qu’elle était la vérité, qu’elle était une base valable et que Dieu ne pouvait en aucun cas contrevenir à ces choses. Cherchaient-ils la vérité ? Non. Que cherchaient-ils ? Un Dieu surnaturel qui apparaissait sous la forme d’un corps spirituel. Par conséquent, ils ont déterminé les paramètres de l’œuvre de Dieu, nié Son œuvre et jugé si Dieu avait raison ou tort selon les notions, les produits de l’imagination et les connaissances humaines. Et quel en a été le résultat final ? Non seulement ils ont condamné l’œuvre de Dieu, mais ils ont cloué Dieu incarné sur la croix. Voilà ce qui a résulté de leur recours à leurs notions, aux produits de leur l’imagination et à leurs connaissances pour évaluer Dieu, voilà ce qui est malveillant chez eux.

Si l’on en juge d’après l’estime que les pharisiens portent à la connaissance et au savoir, où réside leur malveillance ? Comment se manifeste-t-elle ? Comment pouvons-nous nous plonger dans la nature malveillante de ces personnes et la disséquer ? La révérence des pharisiens pour la connaissance et le savoir est bien connue, il n’est donc pas nécessaire d’entrer dans les détails. Alors, quelle est exactement la nature malveillante révélée ici ? Comment pouvons-nous la disséquer et la percer à jour ? Que quelqu’un prenne la parole. (Ils utilisent des connaissances théoriques pour s’opposer à l’essence de Dieu ; c’est l’une de leurs manifestations de malveillance.) L’opposition est une action, alors pourquoi se sont-ils opposés ? L’opposition porte un tempérament quelque peu vicieux, mais vous n’avez toujours pas abordé la malveillance. Pourquoi se sont-ils opposés ? La question réside-t-elle dans le fait qu’ils L’aiment ou ne L’aiment pas ? Ils n’aimaient pas ce genre de Dieu, croyant : « Dieu devrait être au ciel, au troisième ciel même, admiré de tous, inaccessible aux humains, insondable pour eux, celui que toute l’humanité, tous les êtres créés et même tous les êtres vivants de l’univers devraient admirer – voilà ce qu’est dieu ! Maintenant dieu est venu, mais tu es né dans la maison d’un charpentier, tes parents ne sont que des gens ordinaires, et tu es même né dans une étable. L’origine de ta naissance n’est pas seulement ordinaire, elle est un cran en dessous de l’ordinaire et du commun ; comment les gens pourraient-ils accepter cela ? Si dieu devait réellement venir, il ne pourrait pas venir ainsi ! » N’est-ce pas ainsi que les gens délimitent Dieu ? Tout le monde délimite Dieu de cette manière. En réalité, au fond d’eux-mêmes, ils ressentaient aussi vaguement que le Seigneur Jésus n’était pas une personne ordinaire, que ce que disait le Seigneur Jésus était vrai, et que les divers péchés dont on L’accusait ne correspondaient en fait pas à la réalité. Le Seigneur Jésus pouvait guérir les malades et bannir les démons, et ils ne pouvaient trouver aucune faute ni saisir quoi que ce soit dans les paroles et les sermons qu’Il prononçait et délivrait, mais ils ne pouvaient quand même pas l’accepter, et ils doutaient encore dans leur cœur : « Est-ce vraiment à cela que ressemble dieu ? Dieu est si grand dans le ciel, donc s’il prend chair et vient sur terre, il devrait être encore plus grand, admiré de tous, passant parmi des familles nobles, parlant avec éloquence, et ne révélant jamais le moindre défaut humain ou la moindre faiblesse humaine. De plus, il devrait d’abord utiliser sa connaissance, son savoir et ses compétences pour soumettre le clergé dans le temple. Il devrait conquérir ces gens en premier ; telle serait l’intention de dieu. » Concernant ce que le Seigneur Jésus faisait, ils n’y croyaient pas, et ils ne voulaient ni accepter ni reconnaître ce fait. Ne pas vouloir reconnaître ce fait n’est pas un grand problème ; au plus profond d’eux, ils portaient quelque chose d’encore plus mortel : si une telle personne était dieu, alors tout le clergé pourrait être dieu, tous ses membres étaient plus semblables à dieu que Dieu Lui-même, et tous étaient plus qualifiés pour être christ que le Seigneur Jésus. Cela n’est-il pas problématique ? (Si.) Alors qu’ils condamnaient le Seigneur Jésus, ils s’opposaient également à chaque aspect du contexte lié à l’endroit où Dieu incarné avait choisi de s’incarner cette fois-ci, et méprisaient chacun de ces aspects. Nous n’avons pas encore discuté d’où vient la malveillance des pharisiens ; poursuivons notre échange.

Dieu prend chair en tant que personne ordinaire, ce qui signifie que Dieu S’humilie en quittant une image, une identité et une position élevées au-dessus de toutes choses pour devenir une personne complètement ordinaire. Lorsqu’Il devient une personne ordinaire, Il ne choisit pas de naître dans une famille distinguée et riche ; le contexte de Sa naissance est très commun, même misérable. Si nous examinons cette question du point de vue d’une personne ordinaire, d’une personne dotée de conscience, de rationalité et d’humanité, tout ce que fait Dieu mérite la vénération et l’amour des gens. Comment les gens devraient-ils le traiter ? (Avec vénération.) Une personne ordinaire et normale qui suit Dieu devrait louer l’amabilité de Dieu pour le fait que Dieu S’humilie en passant d’un statut élevé à celui d’une personne extraordinairement ordinaire ; l’humilité et le caractère caché de Dieu sont trop aimables ! C’est quelque chose qu’aucune personne corrompue ni aucun démon ou Satan ne peut accomplir. Est-ce quelque chose de positif ou de négatif ? (Quelque chose de positif.) Qu’est-ce que cette chose positive, ce phénomène et ce fait illustrent précisément ? L’humilité et le caractère caché de Dieu, l’amabilité et la tendresse de Dieu. Un autre fait est que Dieu aime les gens ; l’amour de Dieu est authentique, il n’est pas faux. L’amour de Dieu n’est pas un discours creux, un slogan ni une illusion, mais il est concret et factuel. Dieu Lui-même prend chair et endure les malentendus de l’humanité, ainsi que ses quolibets, calomnies et blasphèmes. Il S’humilie et devient une personne ordinaire, non élevée en apparence, sans talents particuliers, et certainement sans connaissance ou savoir approfondi ; dans quel but ? C’est pour s’approcher du peuple qu’Il a choisi et qu’Il a l’intention de sauver, avec cette identité et une apparence humaine qui lui seront le plus accessibles. Tout cela que Dieu fait ne constitue-t-il pas le prix qu’Il a payé ? (Si.) Quelqu’un d’autre peut-il faire cela ? Personne ne le peut. Par exemple, certaines femmes qui aiment particulièrement la beauté se maquillent toujours et ne sortent pas sans maquillage. Si tu demandais à une telle femme de sortir sans maquillage ou d’apparaître sur scène sans maquillage, pourrait-elle le faire ? Elle ne pourrait pas. Elle n’a même pas été humiliée dans ce cas ; le simple fait de sortir sans maquillage lui est impossible, elle ne peut même pas renoncer à ce petit peu de vanité, à ce petit profit charnel. Alors qu’en est-il de Dieu ? Lorsque Dieu S’humilie pour naître parmi les plus modestes de la société en tant que personne des plus ordinaires, à quoi renonce-t-Il ? Il renonce à Sa dignité. Pourquoi Dieu est-Il capable de renoncer à Sa dignité ? (Pour aimer et sauver les gens.) C’est pour aimer les gens et les sauver, ce qui révèle le tempérament de Dieu. Alors, comment cela implique-t-il la perte de dignité ? Comment cette question doit-elle être envisagée ? Certaines personnes disent : « Quelle dignité Dieu perd-Il ? N’as-Tu pas toujours l’identité de Dieu même après avoir pris chair ? N’as-Tu pas encore des gens qui Te suivent et écoutent Tes sermons ? N’es-Tu pas encore en train d’accomplir l’œuvre propre de Dieu – quelle dignité perds-Tu ? » Cette « perte de dignité » comprend plusieurs aspects. D’une part, la motivation de Dieu pour faire tout cela, ce sont les gens, mais ces derniers peuvent-ils la comprendre ? Même ceux qui Le suivent ne peuvent pas la comprendre. Qu’y a-t-il dans ce manque de compréhension ? Il y a des malentendus, des interprétations erronées, et des regards étranges ou des regards de mépris de la part de certaines personnes. Dieu est dans le domaine spirituel, au milieu de toutes choses, et toute l’humanité est sous les pieds de Dieu, mais maintenant que Dieu a pris chair, c’est comme s’Il vivait dans le même environnement que les gens, sur un pied d’égalité avec eux. Il doit faire face aux quolibets, calomnies, malentendus et sarcasmes de l’humanité, ainsi qu’à leurs notions, leur hostilité et leur jugement ; voilà ce à quoi Il doit faire face. Alors qu’Il fait face à ces choses, pensez-vous qu’Il ait une quelconque dignité ? D’après l’identité de Dieu, Il ne devrait pas subir ces choses, les gens ne devraient pas traiter Dieu de cette manière, et Il ne devrait pas supporter ces choses ; ce ne sont pas des choses que Dieu devrait supporter, mais lorsque Dieu prend chair, Il doit les accepter, Il doit supporter tout cela, et rien n’est laissé de côté. Les membres de l’humanité corrompue peuvent dire de nombreuses choses agréables à Dieu au ciel, mais ils n’ont aucun égard pour Dieu incarné. Ils pensent : « Dieu qui prend chair ? Tu es si ordinaire et normal, sans rien d’exceptionnel ; on dirait que tu ne peux rien me faire ! » Ils osent dire n’importe quoi ! Lorsque cela touche à leur propre profit ou à leur réputation, ils osent prononcer n’importe quel jugement ou condamnation. Par conséquent, lorsque Dieu prend chair, bien qu’Il ait ce statut et jouisse de cette identité lorsqu’Il interagit avec les humains et vit avec l’humanité corrompue, en même temps, Il doit en fait endurer toutes sortes d’humiliations provoquées par Son identité. Il perd toute Sa dignité ; c’est la première chose que Dieu doit endurer, face à toute la confusion, toute l’incompréhension, tout le doute, tout le test, toute la rébellion, tout le jugement, toute la duplicité, etc., dont l’humanité corrompue fait preuve à Son égard. Il doit endurer tout cela ; c’est la perte de Sa dignité. Qu’y a-t-il d’autre ? Il n’y a fondamentalement aucune différence entre l’incarnation et l’Esprit ; est-ce correct ? (Oui.) Il n’y a fondamentalement aucune différence, mais il y a un aspect : la chair ne peut jamais remplacer l’Esprit. C’est-à-dire que la chair est limitée dans Ses nombreuses fonctions. Par exemple, l’Esprit peut voyager dans l’espace, n’est pas affecté par le temps, le climat ou divers environnements, et est omniprésent, tandis que la chair est soumise à ces limitations. Quelle perte a été infligée à la dignité de Dieu ? Quel est la difficulté dans cette affaire ? Dieu Lui-même possède cette capacité, mais parce qu’Il est limité par la chair, pendant la période de Son œuvre, Il doit s’en tenir à l’œuvre de la chair consciencieusement, calmement et avec obéissance jusqu’à ce que l’œuvre soit terminée. Pendant que Dieu œuvre dans la chair, ce que les gens peuvent voir de Dieu, et ce qu’ils peuvent comprendre de Lui dans leurs notions, c’est cette chair que leurs yeux peuvent voir. Alors, dans les produits de leur l’imagination et leurs notions, la grandeur, la toute-puissance, la sagesse et même l’autorité de Dieu ne sont-elles pas soumises à certaines limitations ? (Si.) Dans une large mesure, ces choses sont soumises à certaines limitations. Quelle est la cause de ces limitations ? (Le fait d’être incarné.) Ces limitations sont causées par le fait qu’Il est incarné. On peut dire que l’incarnation cause une sorte de problème à Dieu Lui-même. Bien sûr, il est un peu imprécis d’utiliser le mot « problème » ici, mais il est approprié de le dire de cette façon ; cela ne peut être dit autrement. Ce problème a-t-il un certain impact sur la compréhension qu’ont les gens de Dieu et sur l’association et l’interaction véritables des gens avec Dieu afin de L’aimer et de se soumettre à Lui ? (Oui.) Il a un certain effet. Tant qu’une personne a vu la chair de Dieu, tant qu’elle a eu des relations avec la chair de Dieu, tant qu’elle a entendu la chair de Dieu parler, il est possible qu’à vie, l’image de Dieu, la sagesse de Dieu, l’essence de Dieu et le tempérament de Dieu restent à jamais dans ce qu’elle reconnaît, voit et comprend dans cette chair. Cela est injuste pour Dieu. N’est-ce pas le cas ? (Si.) C’est injuste pour Dieu. Alors pourquoi Dieu continue-t-Il de faire cela ? Parce que seul le fait que Dieu prenne chair peut produire les meilleurs résultats pour purifier et sauver les gens ; Dieu choisit ce chemin. Dieu prend chair et vit face à face parmi les gens, permettant aux gens d’entendre Ses paroles, de voir chacun de Ses gestes, et de voir Son tempérament, même Sa personnalité, et Ses joies et peines. Bien que ce tempérament et ces joies et peines puissent engendrer des notions lorsque les gens en sont témoins, affectant leur compréhension de l’essence de Dieu et limitant leur compréhension, Dieu préfère être mal compris par les gens et choisir tout de même cette méthode pour atteindre les meilleurs résultats dans le salut des gens. Par conséquent, du point de vue de la compréhension par les gens du visage originel de Dieu ainsi que de l’identité, du statut et de l’essence véritables de Dieu, Il a sacrifié Sa dignité. Ne pourrait-on pas dire cela ? C’est de ce point de vue. Réfléchissez-y attentivement : dans les divers aspects de ce que Dieu a payé et fait, selon la compréhension des gens, y a-t-il quoi que ce soit qui équivaut à ces théories et slogans des pharisiens et des antéchrists ? Il n’y a rien. Par exemple, lorsque les pharisiens disaient : « Dieu est honorable », comment comprenaient-ils cette honorabilité ? Comment, selon eux, l’honorabilité de Dieu devrait-elle être réalisée ? C’est simplement qu’Il est élevé. N’est-ce pas une doctrine de dire « Dieu est honorable, dieu est tellement honorable » ? (Si.) Qu’est-ce qui, à leurs yeux, constitue l’honorabilité de Dieu ? C’est que si Dieu venait au monde, Il aurait une position éminente, une connaissance et un talent de premier ordre, une capacité de premier ordre, une éloquence de première classe et une apparence de première classe et de choix. Quelle est cette honorabilité à laquelle ils croyaient ? C’est ce que les gens voient. N’est-ce pas ce genre d’honorabilité que Satan manifeste ? (Si.) Dieu ne fait pas cela ! Regarde quel genre de personnes Dieu a choisies pour ce peuple élu de Dieu, et regarde quel genre de personnes sont les élites exceptionnelles du monde de Satan. En les faisant ainsi contraster, tu sauras quel genre de personnes Dieu sauve et quel genre de personnes ne peut pas être sauvé. Ceux qui sont particulièrement arrogants, présomptueux, doués et talentueux sont les moins susceptibles d’accepter la vérité. Leur discours est rempli de connaissances, extrêmement éloquent, et pousse les gens à les vénérer et les admirer, mais leur point faible est leur refus d’accepter la vérité ; ils ont de l’aversion pour la vérité et la détestent, ce qui détermine qu’ils prendront le chemin de la destruction. En revanche, aucun des membres du peuple élu de Dieu n’a de dons ou de talents particuliers, mais ils peuvent accepter la vérité, se soumettre à Dieu, renoncer à leur renommée, à leurs gains et à leur statut pour suivre Dieu, et ils sont disposés à accomplir leur devoir. Ce sont les genres de personnes qui sont sauvées par Dieu. Qui les non-croyants vénèrent-ils ? Ils vénèrent tous des intellectuels de haut niveau et des personnes de statut familial éminent. En ce qui concerne les dons, les spécialités et le statut familial, nous n’avons rien de tout cela ; nous sommes pareils. Qu’en pensez-vous ? Dieu ne fait pas de telles choses ; est-ce aussi simple ? Pourquoi Dieu n’a-t-Il pas arrangé les choses de cette manière ? L’intention de Dieu se trouve dans cela. Il est beaucoup trop facile pour Dieu d’arranger dans quelle famille une personne naît et quelles connaissances elle peut acquérir. Dieu peut-il agir de cette manière ? (Oui.) Il le peut, en effet ! Alors, pourquoi Dieu n’a-t-Il pas arrangé que nous naissions dans des familles riches et éminentes ? Voilà l’amabilité de Dieu, voilà la révélation de l’essence de Dieu, et seuls ceux qui comprennent la vérité peuvent percer cette question à jour. Après que Dieu a pris chair, peu importe à quel point les notions des gens peuvent être grandes, à quel point les difficultés que Dieu rencontre dans Son œuvre sont grandes, à quel point les obstacles qu’Il affronte sont grands, à quel point les quolibets et calomnies dont Il fait l’objet sont nombreux, et peu importe combien de Sa dignité est perdue après qu’Il a pris chair de cette manière, cela Lui importe-t-Il ? Cela ne Lui importe pas. Alors, qu’est-ce qui Lui importe ? Si vous pouvez comprendre ce point, alors vous savez vraiment que Dieu est aimable. Qu’est-ce qui importe à Dieu ? Quelle est l’intention méticuleuse de Dieu lorsqu’Il paie ce prix et fait tant d’efforts ? Pourquoi exactement a-t-Il fait cela ? (Pour que ce groupe choisi par Dieu puisse mieux comprendre Dieu, avoir un meilleur contact avec Dieu à travers Sa chair incarnée, et ensuite avoir une véritable compréhension de Dieu.) Avoir une compréhension de Dieu ; est-ce donc toujours bénéfique pour Dieu ? Dieu a-t-Il payé un prix si grand uniquement pour cet objectif unique ? Oui ou non ? Dieu a-t-Il œuvré avec tant de soin pendant 6 000 ans uniquement pour que les gens puissent Le comprendre ? Dites-Moi, après que Dieu a créé les gens, après que l’humanité S’est éloignée de Dieu et a suivi Satan, et que chaque être humain a commencé à mener sa vie comme un démon vivant, qui est le plus heureux ? (Satan.) Qui est la victime ? (Les gens.) Alors qui est le plus triste ? (Dieu.) Est-ce vous qui êtes les plus tristes ? (Non.) En réalité, personne ne peut percer à jour ces choses. Aucun des individus ne sait ces choses par lui-même : ils acceptent quoi qu’ils deviennent dans la vie. Quand tu leur demandes de pratiquer la vérité, ils ne pensent pas que cela apportera quoi que ce soit de bon. Ils continuent de vivre selon leurs notions et les produits de leur imagination, et ils se sont toujours rebellés contre Dieu. Celui qui est le plus triste et le plus affligé, en réalité, c’est Dieu. Dieu a créé l’humanité ; pensez-vous que Dieu Se soucie de l’état immédiat de l’existence des humains, ou de savoir si leur vie est bonne ou mauvaise ? (Il s’en soucie.) Dieu est Celui qui S’en soucie le plus, et peut-être que les personnes impliquées ne le ressentent pas, et ne le comprennent pas vraiment elles-mêmes. En vivant dans ce monde, l’humanité était ainsi il y a cent ans, et aujourd’hui elle est toujours ainsi, se multipliant génération après génération, vivant de cette manière génération après génération, certaines personnes réussissant bien, d’autres étant pauvres ; la vie est pleine de hauts et de bas. Génération après génération, les gens arrivent, portent des vêtements différents, mangent les mêmes aliments, mais la structure et les systèmes sociaux changent peu à peu ; les gens arrivent à leur insu jusqu’à l’époque actuelle ; sont-ils conscients de cela ? Non. Alors, qui est le plus conscient ? (Dieu.) C’est Dieu qui Se soucie le plus de cette question. Une des choses que Dieu n’oublie pas est comment vivent les gens qu’Il a créés, quel est l’état actuel de leur vie, s’ils vivent bien, ce que les gens mangent et portent, ce que sera leur avenir, et ce que les gens pensent chaque jour dans leur cœur. Si tout ce à quoi les gens pensent chaque jour est malfaisant, ne concerne que la manière de changer et de s’opposer aux lois de la nature, la manière de lutter contre le Ciel, la manière de suivre la tendance malfaisante du monde, Dieu voit-il cela et Se sent-Il bien ? (Non.) Donc, Dieu ne Se sent pas bien, et c’est tout ? Ne doit-Il pas faire quelque chose à ce sujet ? (Si.) Il doit trouver un moyen de faire en sorte que ces gens vivent bien, de leur faire comprendre les principes de conduite, leur apprendre à vénérer Dieu, à se soumettre à toutes les lois de la nature, à l’orchestration et aux arrangements de Dieu, afin que les gens puissent vivre avec la ressemblance humaine, et Dieu en sera soulagé. Même si Dieu quitte ces gens, ils pourront encore vivre dans un tel environnement normalement, sans souffrir de rien de la part de Satan ; telle est l’intention de Dieu. Lorsque Satan voit que les gens peuvent se soumettre à Dieu et vivre la ressemblance humaine, il est complètement déshonoré et échoue, donc il abandonne complètement ces gens et ne leur prête plus jamais attention. Alors, de qui Satan se soucie-t-il ? Il ne se soucie que de ceux qui croient en Dieu mais ne poursuivent pas la vérité, ceux qui ne lisent pas les paroles de Dieu et ne prient pas Dieu, ceux qui accomplissent leur devoir sans enthousiasme, et ceux qui cherchent toujours à trouver quelqu’un avec qui se marier et fonder une famille et une carrière. Il veut séduire ces personnes, les induire en erreur pour qu’elles s’éloignent de Dieu, ne fassent pas leur devoir et trahissent Dieu, jusqu’à ce qu’elles soient éliminées par Lui ; alors il est profondément satisfait. Moins tu poursuis la vérité, plus il devient heureux, plus tu poursuis la renommée, le gain et le statut, et plus tu es superficiel dans l’exécution de ton devoir, plus il devient heureux. Si tu t’éloignes de Dieu et Le trahis, il devient encore plus heureux ; n’est-ce pas la mentalité de Satan ? La mentalité des antéchrists n’est-elle pas ainsi ? Ceux de l’acabit de Satan ont tous cette mentalité. Ils veulent séduire toute personne qu’ils voient ne pas croire en Dieu sincèrement, toute personne qui se concentre sur l’acquisition de la connaissance et la poursuite de la renommée, du gain et du statut, et toute personne qui ne s’acquitte pas de la tâche qui lui revient dans l’exécution de son devoir. Lorsqu’ils rencontrent de telles personnes, ils partagent un langage commun avec elles, ils ont beaucoup de choses à dire lorsqu’ils sont ensemble, et ils disent le fond de leur pensée librement, sans scrupules. Comment Dieu Se sent-Il lorsqu’Il voit ces gens ne pas poursuivre la vérité ? Il ressent de l’anxiété ! Par conséquent, quelle est la cause de tout ce prix que Dieu a payé ? C’est à cause de Ses préoccupations, de Ses soins et de Ses inquiétudes pour l’humanité. Dieu porte ces préoccupations, ces soins et ces inquiétudes pour les gens dans Son cœur, et parce que Dieu a une telle attitude envers les gens, Son œuvre progresse étape par étape. Peu importe si, aux yeux des gens, Dieu est humble et caché, Il aime vraiment les gens, Il est fidèle, ou Il est grand, Dieu croit que tous ces coûts en valent la peine et peuvent être récompensés. Que signifie cette récompense ? Elle signifie que les choses dont Il s’inquiète dans Son cœur ne se produiront plus, et que les gens dont Il se préoccupe dans Son cœur peuvent vivre conformément à Ses intentions, au chemin et à la direction qu’Il leur a enseignés et sur lesquels Il les a guidés, et que ces gens ne seront plus corrompus par Satan ; ils ne vivront plus dans la souffrance, et les inquiétudes de Dieu disparaîtront et Dieu sera soulagé. Donc, en ce qui concerne tout ce que Dieu a fait, peu importe quelle est Sa motivation première, peu importe à quel point Son plan est grand ou petit, toutes ces choses ne sont-elles pas positives ? (Si.) Ce sont toutes des choses positives. Peu importe si la manière dont Dieu œuvre est discrète aux yeux des gens, si elle mérite d’être mentionnée ou non, peu importe la façon dont les gens jugent la manière dont Dieu œuvre pour juger et sauver les gens, à en juger par toutes les choses que Dieu a faites et par tout le prix qu’Il peut payer, Dieu n’est-Il pas digne de louange ? (Si.) Alors, Dieu est-Il grand ou petit ? (Il est grand.) Si grand ! Personne parmi l’humanité ne peut payer un tel prix. Certaines personnes disent que « l’amour maternel est le plus grand parmi l’humanité ». L’amour maternel est-il aussi grand que cela ? En général, après que les enfants vivent leur propre vie de manière indépendante, leurs mères ne se tracassent simplement pas pour eux, tant qu’ils s’en sortent. En fait, elles ne peuvent plus se tracasser pour leurs enfants même si elles le souhaitent. Alors, comment Dieu traite-t-Il cette humanité ? Depuis combien de milliers d’années endure-t-Il cela ? Dieu endure cela depuis six mille ans et n’a pas abandonné, même maintenant. Uniquement pour ce petit souci et cette petite préoccupation, Dieu a payé un prix aussi grand. À quoi ressemble un prix si énorme aux yeux des pharisiens et des antéchrists ? Ils le condamnent, ils le jugent, ils le blasphèment même. De ce point de vue, ces antéchrists ne sont-ils pas malveillants par nature ? (Si.) Dieu a fait des choses si dignes de louange, et l’essence de Dieu et ce qu’Il possède et est sont si dignes de louange de la part des gens. Non seulement ils ne Le louent pas, mais ils utilisent même diverses excuses et théories pour Le condamner et Le juger, et refusent même de reconnaître qu’Il est Christ. Ces personnes ne sont-elles pas détestables ? (Si.) Ne sont-elles pas malveillantes ? À en juger par leur comportement malveillant, n’adorent-elles pas la connaissance et l’érudition ? N’adorent-elles pas le pouvoir et le statut ? (Si.) Plus il y a de choses positives, plus elles sont dignes de louange, de souvenir et de diffusion par les gens, plus elles seront condamnées par les antéchrists. Voilà une révélation de la nature malveillante des antéchrists. Il faut dire que le degré de malveillance des antéchrists dépasse celui de la plupart des gens dotés de tempéraments corrompus.

Poursuivons avec une discussion à propos de Paul. Dans quel genre de famille Paul est-il né ? Il est né dans une famille d’intellectuels, une famille instruite. Il est né dans une telle famille, et le contexte de sa naissance était considéré comme bon. Il a reçu une haute éducation. Selon les normes actuelles, il aurait pu être le genre de personnes à étudier la théologie ou aller à l’université. Alors, sa connaissance et son érudition étaient-elles supérieures à celles de la plupart des gens ? (Oui.) À en juger par la connaissance et l’érudition de Paul, lui aurait-il été facile de reconnaître que le Seigneur Jésus était Christ ? (Oui, cela aurait été facile.) Très facile. Mais pourquoi n’a-t-il pas reconnu que le Seigneur Jésus était Christ ? (Il adorait la connaissance et avait l’impression que le Seigneur Jésus n’était pas aussi savant que lui, donc il ne L’a pas reconnu.) Il est trop simple de le formuler ainsi. Si le Seigneur Jésus n’était pas aussi savant que lui, il n’aurait pas été capable de Le reconnaître. S’Il avait vraiment eu la connaissance, il aurait pu Le reconnaître. C’est en quelque sorte une demi-déduction. Maintenant, nous disons simplement que les antéchrists adorent la connaissance ; c’est-à-dire que lorsqu’ils écoutent les gens et qu’ils ont affaire à des gens et à des situations, ils ont un point de vue qui permet aux autres de voir qu’ils vénèrent la connaissance et l’érudition. Par exemple, si tes paroles sont très logiques, de haut niveau, intelligentes, insondables et abstraites, c’est exactement ce qu’ils aiment. Abstraites et conformes à la logique, à la philosophie, et même à une certaine érudition ; c’est exactement ce qu’ils recherchent. Le Seigneur Jésus est l’incarnation de Dieu, et tout ce qu’Il énonce sont les paroles et les vérités de Dieu. Alors, comment les personnes possédant la connaissance et l’érudition évaluent-elles ces paroles et ces vérités ? « Les paroles que tu prononces sont trop vulgaires et superficielles. Elles ne sont que des choses triviales sur le fait de croire en dieu. Elles ne sont ni profondes ni insondables. Il n’y a pas de mystères. Pourtant, tu dis qu’elles sont la vérité. Qu’est-ce qui est si élevé dans la vérité ? Je peux aussi dire ces choses ! » Les antéchrists ne croient-ils pas cela ? (Si.) Ils pèsent tout ainsi, pensant : « Laisse-moi voir si les choses que tu dis sont plus élevées ou plus basses que ma connaissance après tout. » Dès qu’ils entendent ces choses, ils les défient, disant : « Tu parles comme un écolier. Moi, je suis un étudiant universitaire, alors tu ne me vaux pas ! » Puis ils trouvent quelques défauts dans les paroles de Dieu, disant : « On dirait que tu ne maîtrises pas la grammaire, et parfois les mots que tu utilises ne sont pas appropriés. Tu ne sembles pas être dieu. » Ils examinent Son apparence pour savoir s’Il est Dieu ou non ; ils n’écoutent pas la teneur de Ses paroles, ils n’écoutent pas si ce qui est exprimé est la vérité ou si les paroles viennent de Dieu. Cela n’équivaut-il pas à manquer de compréhension spirituelle ? (Si.) Par conséquent, les antéchrists ont également une autre caractéristique : ils manquent de compréhension spirituelle. Parce qu’ils accordent de l’importance à la connaissance et à l’érudition, ils ne comprennent pas la vérité. Ils ne pourront jamais comprendre la vérité. Ces personnes sont destinées à être les types qui manquent de compréhension spirituelle. Elles utilisent leur savoir pour peser chaque phrase que Dieu prononce. Peuvent-elles comprendre la vérité ? Peuvent-elles savoir qu’il s’agit de la vérité ? Peuvent-elles finalement arriver à une conclusion et dire que toutes ces paroles prononcées par Dieu sont la vérité ? Peuvent-elles le reconnaître ? Elles ne peuvent pas le reconnaître. Alors, à leurs yeux, comment voient-elles Dieu incarné ? Elles pensent : « Peu importe comment j’envisage les choses, c’est un être humain. Peu importe comment j’envisage les choses, je ne vois pas de qualité divine. Peu importe comment j’écoute, je suis incapable de dire lesquelles de ses paroles sont conformes à la vérité et lesquelles sont la vérité. » Par conséquent, au fond de leur cœur, elles pensent : « Si tu as quelque chose de nouveau et de frais, et que je peux en tirer une théorie et amasser du capital sur ton dos, alors je te suivrai pour l’instant et je verrai quel sera le résultat. » Mais peuvent-elles accepter le Seigneur Jésus du fond de leur cœur ? (Non.) Elles ne L’accepteront absolument pas. Pourquoi ne L’acceptent-elles pas ? Quelle en est la cause ? C’est qu’elles apprécient trop la connaissance. Leur appréciation et la connaissance dont elles sont équipées et qu’elles ont acquise leur aveuglent les yeux et l’esprit, les empêchant de voir tout ce que Dieu a fait. Même si ce que Dieu dit est évidemment la vérité, même si l’œuvre accomplie par Dieu exprime clairement l’identité et l’essence de Dieu, elles ne peuvent pas le voir. Pourquoi ne peuvent-elles pas le voir ? Parce que leur savoir et leur érudition les remplissent de notions, de produits de l’imagination et de verdicts sur Dieu. En fin de compte, peu importe comment elles écoutent des sermons ou entrent en contact avec Dieu, elles ne peuvent pas comprendre ce que Dieu dit, encore moins accepter que ce que cette personne a dit puisse changer les gens ou que cela soit la vérité, le chemin et la vie. C’est quelque chose qu’elles ne peuvent jamais accepter. Elles ne peuvent jamais l’accepter, ce qui les destine à ne pas être sauvées, tout comme Paul. Paul a-t-il confessé que le Seigneur Jésus était Christ ? Il ne l’a pas admis, même à la fin. Certains disent : « N’a-t-il pas appelé le Seigneur quand il a été terrassé sur le chemin de Damas ? Il aurait dû se confesser. Comment peut-on dire qu’il ne s’est pas confessé ? » Un fait prouve que Paul n’a jamais reconnu que le Seigneur Jésus-Christ était son Sauveur. C’est que, même après avoir été terrassé, il a continué à essayer de devenir Christ. Est-ce que Christ est quelqu’un que les gens peuvent devenir avec désinvolture ? Christ est Dieu incarné en être humain. Il est Dieu et personne ne peut Le devenir par sa seule volonté. Qui ne veut pas devenir Christ, mais est-ce quelque chose que les humains peuvent faire ? Ce n’est pas une question de volonté. Paul voulait même être Christ. À en juger par la poursuite de Paul, pouvait-il reconnaître que le Seigneur Jésus était Christ et le Seigneur ? (Non.) Alors, comment plaçait-il l’identité et le statut du Seigneur Jésus ? Comme le Fils de Dieu. Qu’est-ce que le Fils de Dieu ? C’est la chose suivante : « Tu n’es pas dieu, tu es un fils de dieu, tu es plus petit que dieu, tu es comme nous ; nous sommes les fils de dieu, et tu es aussi un fils de dieu, mais dieu t’a donné une commission différente et tu as fait un travail différent. Si dieu me confiait ce travail, je pourrais aussi l’accomplir et le supporter. » Cela ne signifie-t-il pas que Paul n’a pas reconnu le fait que le Seigneur Jésus-Christ est Dieu ? (Si.) Il croyait que le dieu de sa foi était au ciel, que ce Christ n’était pas dieu, et que l’identité et le statut de dieu n’avaient rien à voir avec ce Christ. Comment sa compréhension et son attitude envers le Seigneur Jésus se sont-elles développées ? Elles ont été déduites de sa connaissance et des produits de son imagination. Comment les a-t-il déduites ? Dans quelle phrase les a-t-il vues ? Le Seigneur Jésus a dit : « Mon Père est ainsi ou ainsi », et « Je fais ceci ou cela par Mon Père au ciel », et il a entendu cela et a pensé : « Tu fais aussi référence à dieu comme dieu ? Tu fais aussi référence à dieu au ciel comme le père ? Dans ce cas, tu es un fils de dieu ? » N’est-ce pas un produit de l’imagination de l’esprit humain ? Voilà une conclusion tirée par des personnes instruites : « Si tu appelles père le dieu au ciel, et que nous l’appelons aussi père, alors nous sommes frères. Tu es le fils aîné, nous sommes les fils puînés, et le dieu au ciel est notre dieu commun. Donc tu n’es pas dieu, et nous sommes tous sur un pied d’égalité. Par conséquent, ce n’est pas le seigneur Jésus-christ qui décide finalement qui sera récompensé, qui sera puni, et quelle sera l’issue des gens ; ce n’est pas le seigneur Jésus-christ, mais dieu au ciel. » Paul a formulé l’ensemble de ces conclusions et points de vue absurdes de Paul en ayant recours à son esprit pour juger et analyser après avoir étudié la théologie et la connaissance. Tel en a été le résultat.

Paul considérait la connaissance comme une bouée de sauvetage, comme son capital, et plus encore comme le but de sa poursuite. Si Paul n’avait pas vénéré la connaissance, mais avait pu abandonner les connaissances acquises auparavant, s’il avait reconnu le Seigneur Jésus comme le Seigneur, comme Celui qui peut être suivi, Celui qui peut exprimer la vérité, et s’il avait considéré les paroles du Seigneur Jésus comme la vérité à laquelle obéir et à mettre en pratique, le résultat aurait été différent. Le fait que Pierre ait pu renier le Seigneur trois fois était dû d’une part à sa crainte, et d’autre part à son constat que le Seigneur Jésus était un homme ordinaire qui a été arrêté et souffrait. Il avait la faiblesse dans son cœur, mais ce n’était pas la faille fatale. Ce n’était pas non plus une faille fatale qu’il ait pu Le renier pendant un instant. Cela ne constitue pas une preuve pouvant déterminer, en fin de compte, l’issue d’une personne. Qu’est-ce qui détermine, en fin de compte, son issue ? C’est de savoir si elle traite les paroles de Dieu comme des paroles de Dieu, si elle peut accepter les paroles de Dieu, leur obéir et les mettre en pratique comme la vérité. Paul et Pierre sont deux exemples complètement différents. Pierre a été faible une fois, il a renié le Seigneur une fois, et il a douté du Seigneur une fois, mais le résultat final a été que Pierre a été perfectionné. Paul a travaillé pour le Seigneur et a souffert pendant de nombreuses années. Il semble logique qu’il aurait dû pouvoir recevoir une couronne, mais pourquoi a-t-il fini par être puni par Dieu ? Pourquoi l’issue de Pierre et de Paul a-elle été différente ? Cela dépend de la nature-essence d’une personne et du chemin qu’elle poursuit. Quelle était la nature-essence de Paul ? Il y a tout au moins un élément de malveillance. Il poursuivait frénétiquement la connaissance et le statut, il poursuivait les récompenses et une couronne, et il courait en tous sens, travaillait et payait le prix pour cette couronne, sans poursuivre la vérité du tout. De plus, au cours de son travail, il n’a jamais témoigné des paroles du Seigneur Jésus, ni témoigné du fait que le Seigneur Jésus est Christ, qu’Il est Dieu, ou qu’Il est Dieu incarné, que le Seigneur Jésus représente Dieu, et que toutes les paroles qu’Il prononce sont les paroles prononcées par Dieu. Paul ne pouvait pas comprendre ces choses. Alors, quel chemin Paul a-t-il pris ? Il a poursuivi obstinément la connaissance et la théologie, défié la vérité, refusé d’accepter celle-ci, et utilisé ses dons et sa connaissance pour accomplir un travail visant à gérer, maintenir et stabiliser son statut. Quelle a été son issue finale ? Peut-être que tu ne peux pas voir de l’extérieur quelle punition il a reçue avant sa mort, ou s’il a eu une manifestation anormale, mais son issue finale a été différente de celle de Pierre. De quoi dépendait cette « différence » ? La première chose est la nature-essence d’une personne, et l’autre est le chemin qu’elle emprunte. Concernant l’attitude et le point de vue de Paul envers le Seigneur Jésus, en quoi sa résistance était-elle différente de celle des gens normaux ? Par ailleurs, quelle est la différence entre le fait que Paul ait nié et rejeté le Seigneur, et le fait que Pierre ait nié le nom de Dieu et n’ait pas reconnu le Seigneur trois fois par faiblesse et par crainte ? Paul s’est servi de la connaissance, de l’érudition et de ses dons pour accomplir son travail. Il n’a pas du tout pratiqué la vérité, ni suivi la voie de Dieu. Par conséquent, as-tu pu voir sa faiblesse au cours de la période qu’il a passée à courir en tous sens et à travailler, ou dans ses lettres ? Non, n’est-ce pas ? Sans cesse, il a enseigné aux gens ce qu’ils devaient faire et les a encouragés à poursuivre l’obtention de récompenses, de couronnes et d’une bonne destination. Il n’avait aucune expérience, compréhension ou appréciation de la pratique de la vérité. Cependant, Pierre était très discret dans ses actions. Il n’avait pas ces théories profondes ou ces lettres qui n’étaient que trop célèbres. Il possédait une compréhension et une pratique de la vérité authentiques. Bien qu’il ait vécu des moments de faiblesse et de corruption dans sa vie, après de nombreuses épreuves, la relation qu’il a établie avec Dieu était celle entre un homme et Dieu, ce qui était complètement différent de Paul. Bien que Paul ait travaillé, rien de ce qu’il faisait n’avait quoi ce soit à voir avec Dieu. Il ne témoignait pas des paroles de Dieu, de Son œuvre, de Son amour ou de Son salut de l’humanité, et encore moins des intentions de Dieu envers les gens ou de Ses exigences. Il disait même souvent aux gens que le Seigneur Jésus était le Fils de Dieu, ce qui finalement conduit les gens à considérer Dieu comme une Trinité. Le terme « Trinité » provenait de Paul. Si « Père et Fils » est une chose qui n’existe pas, peut-il y avoir une « Trinité » ? Non, c’est impossible. Les produits de l’imagination humaine sont simplement trop « riches ». Si tu n’es pas en mesure de comprendre l’incarnation de Dieu, ne porte pas de jugements aveuglément. Écoute simplement les paroles du Seigneur Jésus et considère-Le comme Dieu, comme Dieu apparaissant dans la chair et devenant un être humain. Il est plus objectif de traiter cela de cette façon.

Lorsque le témoignage fut pour la première fois rendu à propos de Dieu étant incarné en tant que femme dans cette étape de Son œuvre, beaucoup de gens ne pouvaient pas l’accepter et ont bloqué sur ce point. Ils pensaient : « Les paroles qui sont prononcées sont toutes des vérités, le travail qui est accompli est celui du jugement par les paroles ; ces choses semblent être l’œuvre de Dieu, et je peux admettre que cette personne est Dieu incarné ; c’est juste que ce genre n’est pas facile à accepter. » Mais étant donné que ces paroles sont toutes la vérité, ils L’acceptent tout de même à contrecœur, et ils se disent dans leurs cœurs : « Je vais d’abord suivre le mouvement pour voir s’Il est vraiment Dieu » ; beaucoup de gens ont suivi de cette manière. La création de l’humanité par Dieu est dans les deux genres, masculin et féminin, et l’incarnation de Dieu ne fait pas exception, soit c’est un homme, soit c’est une femme. Un jour, quelqu’un M’a soudain demandé : « Comment comprendre que cette fois, l’incarnation soit féminine ? » J’ai répondu : « Eh bien, comment le vois-tu ? Dieu n’agit pas en fonction des notions des gens : si tu es sûr que cela est accompli par Dieu, alors tu ne dois pas faire de recherches sur ce que Dieu fait, et si tu ne le comprends pas, alors tu dois attendre. Si tu cherches et n’obtiens toujours pas de résultats, alors vois simplement si tu peux te soumettre. Si tu peux te soumettre, alors tu es rationnel, mais si tu es bloqué à cause de cela et nies tout ce que Dieu a accompli, alors tu n’es pas rationnel, tu n’es pas un véritable croyant en Dieu. Dieu fait dix choses que tu considères comme bonnes et en accord avec tes notions, mais si une chose ne correspond pas à tes notions, tu les renverses toutes les dix ; quel genre de misérable est-ce ? N’est-ce pas un démon ? » Lorsque j’ai échangé ainsi, la personne a dit : « Oui, je devrais donc l’accepter maintenant. » Après que J’ai conclu Mon échange, elle a immédiatement compris et accepté ; son calibre n’est-il pas plutôt bon ? Disons que c’est le cas. Elle a ensuite ajouté : « Dieu a créé l’homme et la femme, et la première fois que dieu est devenu chair, il était un homme, un fils de dieu. Cette fois, il est devenu chair en tant que femme ; cela ne serait-il pas une fille de dieu ? Dis-moi si ma façon de comprendre est correcte. Quand les gens ont des enfants, ils souhaitent avoir un fils et une fille ; est-ce que dieu veut aussi avoir les deux ? » Comment aurais-Je dû lui répondre et expliquer cette question ? Cette question ne doit-elle pas être prise au sérieux ? Ne doit-elle pas être corrigée ? Y a-t-il un problème dans ce que cette personne disait ? Il y a un problème. Elle a dit : « Dieu a un fils, le seigneur Jésus, et cette fois l’incarnation est féminine, donc dans ce cas, c’est sa fille. Donc, dieu a un fils et une fille, il a les deux, donc il n’y a pas besoin du saint-esprit. Il y a le saint-père, le saint-fils et la sainte-fille, cette Trinité ; comme c’est convenable et digne ! Sans fille, elle ne serait pas complète. » Comment te sens-tu après avoir entendu cela ? Tu ne sais pas si tu dois en rire ou en pleurer. Dis-Moi, cela n’est-il pas une plaisanterie ? (Si.) Y a-t-il une différence entre sa compréhension de l’incarnation et celle de Paul ? (Non.) Il n’y a pas de différence. Si les gens s’appuient toujours sur leur intelligence, les produits de leur imagination et leurs notions pour faire des inférences et des déductions sur les questions de la compréhension de Dieu, en particulier en ce qui concerne les questions de l’identité et de l’essence de Dieu, et qu’ils les appliquent avec certains points de vue, cela posera problème, et ils feront des erreurs et rencontreront des difficultés. Alors, quelle est la manière la plus appropriée de traiter cette question ? Certaines questions sont plus profondes et abstraites, elles ne sont pas faciles à comprendre pour les gens, et il n’est pas facile de percer à jour l’essence et la cause profonde de ce problème ; si ces choses n’impliquent pas la vérité, ou n’affectent pas ta poursuite de la vérité, alors que dois-tu faire ? Commence par les abandonner. À quoi bon mener des recherches à leur sujet ? Ce n’est pas à toi de le faire. Tout ce que tu as à faire, c’est de te concentrer sur l’entrée dans la vie et d’être capable de bien accomplir ton devoir. Un jour, tu comprendras naturellement ces questions. Certains disent qu’ils ne peuvent pas les abandonner et veulent mener des recherches à leur sujet, ce qui est problématique. Tu ne dois pas mener des recherches à leur sujet. Les gens ne doivent pas aborder les questions concernant l’identité, l’essence et le statut de Dieu avec une attitude de recherche. Si tu continues à les mener des recherches à leur sujet, cela entraînera de graves conséquences. Dans les cas graves, tu blasphémeras contre Dieu. Comment les gens doivent-ils traiter les questions concernant l’identité et l’essence de Dieu ? Soyez simples, et même si vous n’êtes pas tout à fait clairs sur ces questions, une chose est certaine : Il peut représenter Dieu, Il est l’apparition de Dieu, ce qu’Il exprime est la vérité, ce que les gens doivent accepter est la vérité, et obtenir la vérité est suffisant.

Considérant la nature-essence des antéchrists, qu’est-ce qu’ils vénèrent le plus ? Des théories élevées, vides et abstraites dites théologiques. Pour eux, ces théories ont une très grande valeur. Ils valorisent et aiment tellement ces choses qu’ils trouvent toutes sortes de moyens pour les acquérir, dans le but de se démarquer de la foule. Ils consignent ces choses dans leur cœur et les considèrent comme un capital, comme des tremplins pour réaliser leurs propres objectifs de vie, sans savoir que ces choses ne sont fondamentalement pas la vérité. Mais ils aiment s’équiper de ces théories théologiques, qui finissent par s’enraciner, et ils les considèrent comme la vérité. Ils utilisent cette connaissance théologique pour étudier les paroles de Dieu et les vérités que Dieu exprime. Lorsqu’ils voient que les paroles de Dieu et les vérités que Dieu exprime ne sont pas conformes aux théories théologiques qu’ils défendent, ils ne peuvent s’empêcher de juger et de condamner les paroles de Dieu. Ils n’éprouvent aucune crainte dans leur cœur, croyant qu’ils ont une base biblique pour le faire. Certains d’entre eux condamnent même les paroles de Dieu, disant : « Les paroles de dieu sont trop ennuyeuses. Certaines ne sont pas logiques, certaines ne sont pas grammaticales, et même une partie du vocabulaire qu’il utilise ne fonctionne pas tout à fait. » Ils vivent simplement dans leur tête et dans leurs pensées, utilisant les connaissances et le savoir qu’ils possèdent pour analyser et étudier les paroles de Dieu. Beaucoup d’entre eux utilisent même les produits de leur imagination et leur jugement pour découvrir, dans les paroles de Dieu, comment Dieu définit certaines personnes ou quelles destinations Il décide pour certaines personnes, puis ils analysent et condamnent ces choses conformément à ce que dit la Bible, commençant ainsi à nier les paroles de Dieu. En analysant et en condamnant les paroles de Dieu, quelque chose de terrible se produit. Savez-vous ce que c’est ? Lorsque les gens analysent et étudient Dieu, et qu’un esprit de condamnation surgit chez eux, le Saint-Esprit les déteste et les abandonne, et n’œuvre pas en eux. Cela n’est-il pas terrible ? Et savez-vous ce que cela présage lorsque le Saint-Esprit n’œuvre pas ? Quand le Saint-Esprit n’œuvre pas, Il reste à l’écart de ces personnes, ce qui équivaut à leur abandon. En d’autres termes, Dieu ne les sauvera pas. Nous pouvons analyser la raison. D’où viennent ces théories théologiques avec lesquelles ils se sont fortifiés pendant la moitié de leur vie ? Qui représentent-elles ? Ils ne sont pas clairs sur ce point dans leur cœur. En réalité, ces choses ne viennent pas du tout de Dieu, ni ne sont une compréhension humaine pure. Ce sont des interprétations fallacieuses des gens, et en tant que telles, on peut dire qu’elles viennent de Satan et représentent complètement Satan. Qu’inclut encore cette connaissance théologique ? En dehors des interprétations fallacieuses de la Bible, elle inclut la logique et le raisonnement des gens, les notions et les produits de l’imagination des gens, ainsi que leurs expériences, leur éthique, leur morale et leurs idées philosophiques. Lorsqu’ils utilisent ces choses pour évaluer ce que Dieu dit et évaluer Son œuvre, ils se tiennent évidemment du côté de Satan dans leur traitement de Dieu. Par conséquent, Dieu cache Son visage devant eux, et le Saint-Esprit les abandonne. Avez-vous déjà vécu cela ? Dans le passé, certaines personnes ont parlé de leurs expériences à cet égard, disant : « Lorsque j’ai commencé à croire en Dieu, j’étais impatient d’étudier Dieu ; j’étudiais ce qu’Il dit, Son usage des paroles, comment Il traite les gens, envers qui Il est bon, et quel genre de personne Il aime ou hait. En résultat de toutes ces études, mon cœur est devenu sombre, je n’arrivais plus à sentir Dieu dans mes prières, la condition de liberté et de libération dans mon cœur avait disparu, et je ne ressentais plus la paix ni la joie. C’était comme si une pierre pesait sur mon cœur. » Avez-vous déjà vécu une telle expérience ? (Oui.) Ceux qui étudient constamment Dieu ne reçoivent aucun éclairage ou aucune illumination du Saint-Esprit. Même lire les paroles de Dieu ne leur apporte aucune lumière. Les antéchrists sont doués pour l’étude de Dieu, mais ils n’acceptent pas du tout la vérité. Dans l’Église, ils n’ont aucune relation interpersonnelle normale, se positionnant toujours au-dessus des autres pour leur faire la leçon. Ils se vantent souvent de leur connaissance et regardent de haut les frères et sœurs ordinaires. Si un antéchrist interagit avec toi et découvre que tu n’es pas cultivé, il ne perdra pas son temps avec toi. Même si tu remplis les critères pour être un dirigeant d’église ou un dirigeant d’équipe, il ne t’utilisera pas. Quel genre de personnes utilise-t-il ? Il recherche des personnes ayant un statut social, du pouvoir, des connaissances et des dons qui peuvent parler éloquemment ; il a les yeux rivés sur de telles personnes, et entreprend de les utiliser. Si c’est à lui de choisir et d’utiliser des personnes, il ne sélectionne que des individus éloquents, très éduqués, instruits et ayant un statut dans la société. Même si ces personnes ne poursuivent pas la vérité ou ne peuvent accomplir aucun travail, il les apprécie quand même. Qu’est-ce que cela indique ? Ils appartiennent à la même catégorie. Après tout, qui se ressemble s’assemble. Certains antéchrists comprennent certaines formules et doctrines et réfléchissent ensuite à toutes les façons possibles pour eux de pratiquer la prédication des sermons. Jusqu’à quel point pratiquent-ils ? Jusqu’au point où ils peuvent parler éloquemment et longuement, prenant la parole sans notes et parlant pendant des heures d’affilée. Ils pensent que c’est faire un travail, c’est leur moment le plus glorieux, le moment où ils peuvent le mieux se mettre en valeur. Ils s’emparent de telles opportunités et n’y renoncent jamais. Cependant, concernant les sujets sur lesquels Dieu échange souvent, les choses liées à l’humanité normale, à la conscience et à la raison des gens, et aux éléments les plus proches de l’humanité dans la vie réelle des gens normaux – bien que ces choses puissent sembler petites et insignifiantes aux yeux des gens, en réalité, elles sont étroitement liées à l’entrée dans la vérité-réalité. Comment les antéchrists considèrent-ils ces choses ? Ils les méprisent dans leur cœur, ne prennent pas ces paroles au sérieux, et condamnent ces questions dans leur cœur, estimant qu’elles sont insignifiantes. Peu importe comment tu échanges à propos de la vérité-réalité, comme le fait d’être une personne honnête, une personne loyale, ou une personne terre-à-terre et consciencieuse dans son devoir, peu importe comment tu échanges à propos de cela, leur point de vue reste inchangé. Ils veulent être quelqu’un qui peut parler éloquemment, qui semble déborder de talent et avoir des capacités spéciales, ou même être quelqu’un doté de capacités surnaturelles, comme parler dans plusieurs langues, être capable de lire avec une rapidité extraordinaire, avoir une mémoire photographique, et ainsi de suite. S’ils possédaient également ces capacités, alors leur cœur serait rempli de joie. Au fond de leur cœur, ils poursuivent et estiment ces choses. Par exemple, Je viens de finir de dire quelque chose, et après un moment, Je l’oublie. Quand Je demande à tout le monde, personne ne s’en souvient non plus. Tu vois, nos mémoires sont toutes assez similaires, n’est-ce pas ? (Oui.) Mais quand les antéchrists voient cela, ils disent : « Ta mémoire n’est pas bonne non plus ! Regarde telle ou telle personne spirituelle ; elle peut lire rapidement et a une mémoire photographique. Tu es christ : combien de lignes peux-tu lire d’un coup d’œil ? » Je dis : « Je n’ai pas cette capacité surnaturelle. Parfois, Je ne me souviens pas d’une phrase après l’avoir lue, et Je dois la relire. » Ils disent : « Dieu n’est-il pas censé être tout-puissant ? » C’est ainsi qu’ils commencent à former des notions. Au fond de leur cœur, comment voient-ils le Dieu incarné ? « Le dieu n’est qu’une personne totalement ordinaire et complètement normale. Sa mémoire n’est pas bonne, sa constitution n’est pas si grande ; il ne ressemble en rien à dieu. » Par conséquent, quand ils entendent quelqu’un prêcher sur l’amour de Dieu, ils pensent : « Si telle ou telle personne spirituelle ou telle ou telle personne célèbre était dieu, alors je pourrais l’accepter et l’aimer. Mais si ce christ actuel est dieu, je ne peux pas l’aimer parce qu’il ne ressemble pas du tout à dieu. » Dans leur cœur, pour être dieu, quelqu’un doit ressembler à dieu ; il doit parler comme dieu, agir comme lui et avoir son apparence, pour que lorsque les gens le voient, ils n’aient aucune notion ; c’est ce qu’ils pensent. Pourquoi ? Ils pensent : « D’abord, tu ne possèdes pas de capacités surnaturelles. Deuxièmement, tu n’as pas de talents particuliers. Troisièmement, tu n’as pas les dons de ces personnes dans le monde qui accomplissent de grandes choses. Tu n’es exceptionnel d’aucune manière, alors pourquoi devrais-je écouter ce que tu dis ? Pourquoi devrais-je te respecter ? Pourquoi devrais-je me soumettre à toi ? Je ne peux pas me soumettre. » Quel est ce problème ? De quel genre de tempérament s’agit-il ? Même s’ils ne comprennent pas la vérité, ils devraient tout de même avoir la conscience et la raison d’une personne normale. Les gens ont des notions, et Dieu ne les condamne pas pour cela, mais lorsque les gens entretiennent des notions et qu’ensuite, volontairement, ils résistent à Dieu et le condamne, cela offense facilement le tempérament de Dieu. Le fait que les antéchrists puissent librement condamner Dieu et Lui résister est causé par leur nature malveillante. Après avoir acquis des connaissances, ils ont des produits de l’imagination plus riches, plus étendus et plus complets sur Dieu et Sa noblesse, Son essence, Son autorité et Sa toute-puissance. Ensuite, ils essaient de faire correspondre ces produits de l’imagination avec le Dieu qu’ils peuvent voir et avec lequel ils peuvent interagir. Peuvent-ils les faire correspondre ? Ils ne peuvent jamais les faire correspondre. Plus ils étudient Dieu, plus ils nient Dieu dans leur cœur, et peuvent condamner Dieu et Lui résister ; c’est inévitable.

D’après ce que vous avez vu dans la Bible et dans toutes les déclarations actuelles de Dieu, Dieu préconise-t-Il les dons, l’érudition et la connaissance ? (Non.) Au contraire, Dieu dissèque la connaissance et l’érudition humaines. Comment Dieu définit-Il les dons ? Comment définit-Il les capacités surnaturelles et les talents particuliers ? Vous devriez comprendre que les dons, les capacités surnaturelles et les talents particuliers ne représentent en rien la vie. Qu’est-ce que cela signifie qu’ils ne représentent pas la vie ? Cela signifie que ces choses ne sont pas le résultat de l’acquisition de la vérité par les gens. D’où viennent réellement ces choses ? Viennent-elles de Dieu ? Non, Dieu ne transmet pas la connaissance ou l’érudition aux gens, et Il ne donne certainement pas plus de dons aux gens pour qu’ils puissent poursuivre la vérité. Dieu n’agit pas de cette manière. Vous comprenez cela maintenant que Je vous l’ai expliqué ainsi, n’est-ce pas ? Alors, où se manifeste la malveillance des antéchrists ? Comment considèrent-ils les dons, l’érudition et la connaissance ? Ils estiment, suivent et même désirent ces choses, en particulier les dons et les capacités surnaturelles. Si tu dis à un antéchrist : « Si tu as des capacités surnaturelles, tu attireras des esprits malfaisants », il répondra : « Je n’ai pas peur ! » Tu rétorqueras : « Alors, il n’y aura aucun espoir de salut pour toi dans l’avenir, tu seras jeté au dix-huitième niveau de l’enfer, dans l’étang de feu et de soufre », et il dira encore : « Je n’ai pas peur ! » Si on pouvait le faire parler dans dix langues différentes et se vanter devant les autres pour qu’ils l’admirent, il serait d’accord et le voudrait. Dieu parle si ordinairement et œuvre de façon si pratique au sein dans l’humanité normale, et il n’accepte ni la méthode, ni la forme, ni le contenu de cette œuvre ; il la méprise. Comment les gens doivent-ils discerner ces questions ? Par exemple, certaines personnes savent parler différentes langues. Peux-tu accepter ce fait ? Penses-tu que cela soit normal ou étrange ? (Étrange.) Par conséquent, dans le cadre rationnel de l’humanité normale, cela est inacceptable. Quelqu’un qui se souvient de tout, comme des couleurs, des formes, des visages et des noms, et qui peut se remémorer des centaines de pages d’un livre après l’avoir lu, en le récitant du début à la fin : après avoir interagi avec une telle personne, n’aurais-tu pas l’impression d’avoir rencontré quelque chose d’aberrant ? (Si.) Mais les antéchrists aiment ces choses. Dis-Moi, quand tu entres en contact avec ceux de la communauté religieuse, les soi-disant évangélistes, prédicateurs et pasteurs, collectivement appelés les pharisiens, as-tu le sentiment que ces personnes sont ce dont ton cœur a besoin, ou est-ce le Dieu concret dont ton cœur a besoin ? (Le contact avec Dieu est ce dont notre cœur a besoin.) Le Dieu normal et concret est plus proche de tes besoins intérieurs, n’est-ce pas ? Alors, parlez de ce que vous ressentez lorsque vous interagissez avec les pharisiens, des avantages et des inconvénients, et de si cela apporte des bénéfices. (Quand je parle avec des pharisiens, cela me paraît faux et distant. Les choses dont ils parlent sont trop creuses et fausses ; les écouter trop longtemps devient écœurant, et je n’ai plus envie d’interagir avec eux.) Les points de vue exprimés par les pharisiens sont-ils corrects ou absurdes ? (Absurdes.) La nature de leurs points de vue est absurde. De plus, les choses qu’ils disent sont-elles en majorité concrètes ou creuses ? (Creuses.) La plupart des gens détestent-ils ou apprécient-ils d’entendre les choses absurdes et creuses, ainsi que les choses pleines de notions et de produits de l’imagination qu’ils disent ? (La plupart des gens détestent entendre ces choses.) La plupart des gens ne les aiment pas et ne veulent pas écouter. Après avoir entendu leurs points de vue et leurs paroles, et observé leur tempérament ainsi que leur comportement faux et hypocrite, qu’est-ce que tu ressens dans ton cœur ? Es-tu disposé à en entendre davantage ? Es-tu prêt à te rapprocher d’eux, à avoir des interactions approfondies avec eux et à en apprendre davantage sur eux ? (Non.) Tu n’es pas disposé à interagir avec eux. Le problème clé est que leurs paroles sont trop creuses, pleines de théories et de slogans ; après les avoir écoutées pendant des heures, tu n’as toujours aucune idée de ce qu’ils disent. De plus, leur tempérament est faux et prétentieux ; ils prétendent être humbles, patients et aimants, avoir l’attitude d’un croyant aguerri, quelqu’un qui est particulièrement « dévot ». Lorsque tu vois enfin leur vrai visage, tu te sens dégoûté. Vous n’avez pas eu beaucoup d’interactions approfondies avec Moi ; comment trouvez-vous les sermons que J’ai délivrés ? Y a-t-il une différence entre eux et ce dont parlent les pharisiens ? (Oui.) Quelle est la différence ? (Les sermons de Dieu sont concrets.) C’est l’élément de base. En outre, ce dont Je parle concerne votre pratique, vos expériences, et divers aspects des questions rencontrées dans le processus d’exécution de vos devoirs et dans la vie réelle. C’est concret et ce n’est pas vague. De plus, chaque vérité dont Je discute ou chaque point de vue que J’adopte sur des questions est-il concret ou creux ? (Concret.) Pourquoi dites-vous que c’est concret ? Parce que cela ne s’écarte pas de la vie réelle, il ne s’agit pas de débiter des théories creuses au-dessus de la vie réelle. Tout est lié au discernement des gens, à leur compréhension, et à leur pratique dans la vie réelle, ainsi qu’aux états qui se manifestent en eux lorsqu’ils rencontrent divers problèmes dans l’exécution de leurs devoirs. En bref, cela implique des sujets liés à la façon dont les gens pratiquent leur foi en Dieu, à leurs vies de croyance en Dieu, et à leurs divers états lorsqu’ils accomplissent leurs devoirs. Nous ne sortons pas la Bible pour expliquer de façon creuse la Genèse ou Ésaïe, ni pour parler vainement de l’Apocalypse. Je déteste lire l’Apocalypse par-dessus tout et ne veux pas en parler. À quoi bon en parler ? Si Je te disais quel fléau s’est produit, qu’est-ce que cela aurait à voir avec toi ? C’est l’œuvre de Dieu. Même si l’œuvre de Dieu est accomplie, en quoi cela t’affecterait-il ? Ne serais-tu toujours pas toi-même ? Si Je te disais quel fléau s’est produit, serais-tu alors capable de te débarrasser de ton tempérament corrompu ? Cela serait-il miraculeux ? Non. Par conséquent, lorsque les gens suivent jusqu’à la fin, ils seront chacun séparés selon leur espèce. Ceux qui peuvent accepter la vérité, qui aiment lire les paroles de Dieu et qui peuvent pratiquer la vérité resteront fermes. Ceux qui ne veulent pas lire les paroles de Dieu ou écouter les sermons, qui refusent constamment d’accepter la vérité et ne veulent pas accomplir leurs devoirs seront finalement révélés et éliminés. Bien qu’ils assistent à des réunions et écoutent des sermons, ils ne pratiquent jamais la vérité, ils restent inchangés, et ils ont de l’aversion pour l’écoute des sermons ; ils ne veulent pas les écouter. Ainsi, même lorsqu’ils accomplissent leurs devoirs, c’est de manière superficielle, sans jamais changer. Ces gens ne sont rien d’autre que des incrédules. Si les gens qui croient sincèrement en Dieu, souvent, s’associaient et vivaient avec des incrédules, comment se sentiraient-ils ? Non seulement ils n’en tireraient aucun bénéfice ou et ne seraient pas édifiés, mais ils ressentiraient aussi de plus en plus de répulsion envers eux dans leur cœur. Supposons que tu sois en contact avec des pharisiens et que tu les entendes parler, et que tu constates qu’ils parlent de manière claire et logique, qu’ils expliquent l’ensemble des différents règlements et règles de manière compréhensible, et que leurs paroles semblent contenir des théories profondes, cependant, après une analyse minutieuse, rien de tout cela n’est la vérité-réalité, et tout cela ne se résume qu’à une théorie creuse. Par exemple, ils discutent de la théorie de la Trinité, de la théologie, des théories sur Dieu, de ce à quoi ressemble Dieu au ciel avec les anges, de la situation concernant l’incarnation de Dieu et le Seigneur Jésus. Comment te sentirais-tu après avoir entendu tout ce discours ? Le résultat serait semblable à l’écoute de récits mythologiques. Alors, pourquoi les antéchrists aiment-ils écouter ces sujets et en discuter, et pourquoi sont-ils disposés à fréquenter de telles personnes ? N’est-ce pas leur malveillance ? (Si.) Que peut-on observer de leur malveillance ? Au fond d’eux-mêmes, ils ont un certain besoin qui les conduit à vénérer cette connaissance et cette érudition, ainsi que les choses que les pharisiens possèdent. Alors, quel est leur besoin ? (D’être tenus en haute estime par les autres.) Non seulement ils ont besoin que les autres les tiennent en haute estime, mais au fond de leur cœur, ils veulent toujours être des surhommes, être des individus supérieurs ou des célébrités instruites ; ils ne veulent tout simplement pas être des gens ordinaires. Qu’implique leur désir d’être des surhommes ? En termes familiers, cela signifie qu’ils sont déconnectés de la réalité. Par exemple, la plupart des gens pourraient, au plus, souhaiter : « Si seulement je pouvais voler haut dans le ciel à bord d’un avion. » Ils pourraient avoir un tel souhait, n’est-ce pas ? Mais quel est le souhait des antéchrists ? « Un jour, je veux qu’il me pousse des ailes pour m’envoler vers un endroit lointain ! » Ils ont de telles aspirations ; et toi ? (Non.) Pourquoi pas toi ? Parce que ce n’est pas réaliste. Même si tu étais équipé de deux grandes ailes, pourrais-tu voler ? Tu n’es pas ce genre de créature, n’est-ce pas ? (C’est vrai.) Les gens comme les antéchrists s’appuient toujours sur les produits de leur imagination, poursuivant constamment leurs désirs. Peuvent-ils être sauvés ? (Non.) Ils ne sont pas le genre de personnes que Dieu sauve. Dieu sauve ceux qui aiment la vérité, se concentrent sur la réalité et poursuivent la vérité de manière ancrée. Ceux qui désirent constamment être des surhommes ou des individus supérieurs sont dérangés mentalement, ils ne sont pas des personnes normales, et Dieu ne les sauvera pas.

Quand les antéchrists entrent en contact avec le Dieu incarné, ils ont tendance à poser des questions étranges. Le fait qu’ils puissent poser de telles questions reflète leurs besoins profondément enracinés et ce qu’ils adorent dans leurs cœurs. Initialement, lorsqu’elles témoignaient de Dieu incarné, certaines personnes demandaient toujours : « Est-ce que dieu lit la Bible chez lui ? Ce n’est pas que je pose la question pour moi-même, en fait, je ne suis pas curieux à ce sujet ; je demande simplement pour le compte des frères et sœurs. Beaucoup d’entre eux ont aussi cette pensée. Ils envisagent dans leur cœur que si dieu lit effectivement la Bible fréquemment, alors être capable de parler de la Bible et d’exprimer la vérité est tout à fait normal. Cependant, si dieu ne lit pas la Bible et peut quand même l’expliquer, ce serait un miracle, alors il serait vraiment dieu ! » Bien sûr, ils ne l’ont pas formulé exactement de cette manière ; ils ont directement demandé : « Est-ce que dieu lit la Bible chez lui ? » Qu’en pensez-vous ? Dois-Je la lire ou non ? La lisez-vous ? Si vous n’avez jamais cru en Jésus, il serait tout à fait normal de ne pas la lire. Les gens qui croient depuis longtemps la lisent-ils ? (Oui.) Ceux qui se sont mis à croire la lisent certainement. J’ai commencé avec la foi en Jésus, alors comment aurais-Je pu ne pas lire la Bible ? Et si Je ne la lisais pas ? (C’est normal aussi.) Lire la Bible est normal, ne pas la lire est bien sûr aussi normal. Qu’est-ce que cela détermine, de la lire ou de ne pas la lire ? Si Je n’étais pas dans cette position, quelqu’un se soucierait-il de savoir si J’ai lu la Bible ou non ? (Non.) Personne ne poserait de questions sur ce que J’ai lu. Puisque Je suis dans cette position particulière, certains individus étudient cette question. Ils fourrent toujours leur nez dedans, demandant : « A-t-il lu la Bible quand il était jeune ? » Qu’est-ce qu’ils veulent savoir exactement ? Il y a deux explications possibles, selon que Je l’ai lue ou non. Si Je l’ai lue, ils pensent qu’être capable d’expliquer la Bible n’est pas un grand exploit. Cependant, si Je n’ai pas lu la Bible et que Je peux quand même l’expliquer, c’est quelque peu divin. C’est le résultat qu’ils désirent. Ils veulent tirer cela au clair ; ils pensent : « Si tu n’as pas lu la Bible et que tu peux quand même en parler à un si jeune âge, alors cela mérite d’enquêter. C’est dieu ! » C’est leur point de vue, et ils étudient Dieu de cette manière. Maintenant, considérez ces pharisiens qui sont versés dans les Écritures. Comprenaient-ils vraiment les paroles des Écritures ? Ont-ils découvert la vérité dans les Écritures ? (Non.) Maintenant, quelqu’un qui M’a demandé si J’ai lu la Bible a-t-il réfléchi à cela ? Si les gens y avaient réfléchi, ils ne s’interrogeraient pas constamment sur cette question, ils ne feraient pas quelque chose d’aussi stupide. Les gens qui ne saisissent pas la vérité ou qui n’ont pas de compréhension spirituelle, et qui ne peuvent pas sonder l’essence et l’identité de Dieu, recourent à une telle méthode pour résoudre en fin de compte cette question. Cette méthode peut-elle résoudre la question ? Non. Elle ne peut que résoudre une petite curiosité. En fait, Je lis aussi la Bible. Qui parmi les croyants ne lit pas la Bible ? J’en fais une lecture basique. Au minimum, Je lis les Quatre Évangiles du Nouveau Testament, Je feuillette l’Apocalypse et la Genèse, et Je jette un coup d’œil à Esaïe. D’après vous, qu’est-ce que Je préfère lire ? (Le Livre de Job.) Exactement. L’histoire de Job est complète et spécifique, les paroles sont faciles à comprendre, et de plus, cette histoire est précieuse et peut être utile et édifiante pour les gens d’aujourd’hui. Les faits ont désormais montré que l’histoire de Job a effectivement eu un immense impact sur les générations suivantes. Elles ont saisi de nombreuses vérités à travers Job – de son attitude envers Dieu, ainsi que de l’attitude de Dieu à son égard et de la définition qu’Il a faite de lui, elles ont saisi l’intention de Dieu et le genre de chemin qu’elles devraient suivre après s’être mises à croire en Dieu. J’utilise le Livre de Job comme contexte pour échanger sur certaines façons dont les gens craignent Dieu et s’éloignent du mal, ainsi que sur certaines manières de se soumettre à Dieu – cette histoire est vraiment précieuse. C’est quelque chose qu’on devrait lire pendant son temps libre. Certaines personnes, lorsqu’elles voient Dieu prendre chair et portent témoignage de l’aspect concret et de la normalité de Dieu, peuvent ne pas être pleinement capables de déterminer s’Il est vraiment Dieu ou ce qui se passera à l’avenir. Cependant, après avoir compris certaines vérités, elles abandonnent ces questions. Elles cessent de faire des recherches sur ces questions ou de s’en préoccuper et se concentrent sur le fait de bien accomplir leurs devoirs, de suivre correctement le chemin à suivre et de bien accomplir le travail qu’elles doivent faire. Mais certaines personnes n’abandonneront jamais cela ; elles insistent pour l’étudier. Que pensez-vous, devrais-Je m’occuper de cette question ? Devrais-Je y prêter une quelconque attention ? Il n’est pas nécessaire d’y prêter attention. Ceux qui acceptent la vérité cessent naturellement de faire des recherches à son sujet, tandis que ceux qui n’acceptent pas la vérité continuent à le faire. Qu’indique ces recherches ? Les recherches sont une forme d’opposition. Dans les paroles de Dieu, il y a un dicton. Quel est le résultat de l’opposition ? (La mort.) S’y opposer, c’est mourir.

Certains antéchrists, bien qu’ils aient accepté cette étape du travail, se préoccupent souvent de savoir si les paroles prononcées et l’œuvre accomplie par le Dieu incarné ont un élément surnaturel, s’il y a des éléments qui dépassent le cadre de l’humanité normale, et s’il y a des éléments qui peuvent être extraits pour prouver Son identité en tant que Dieu. Ils font souvent des recherches ces questions, étudiant inlassablement la façon dont Je parle, Ma manière et Mon apparence quand Je parle, ainsi que les principes de Mes actions. Qu’utilisent-ils pour ces recherches ? Ils mesurent et étudient ces aspects à l’aune de l’image ou de la norme des hommes éminents et grands qu’ils ont compris. Certains demandent même : « Puisque tu es le dieu incarné, ton identité et ton essence doivent certainement être différentes de celles des gens ordinaires. Alors, à quoi es-tu bon ? Quelles qualités spéciales as-tu de manière suffisante pour nous faire te suivre et t’obéir, et pour nous faire t’accepter comme notre dieu ? » Cette question M’a vraiment pris au dépourvu. Honnêtement, Je ne suis bon à rien. Je n’ai pas des yeux capables de voir dans toutes les directions ni des oreilles capables d’entendre de tous les côtés. Quand il s’agit de lire des textes, Je ne peux pas lire dix lignes d’un coup, et un moment après avoir lu, J’oublie ce que j’ai lu. Je connais un peu la musique, mais Je ne peux pas lire les partitions. Si quelqu’un chante une chanson deux fois, Je peux chanter avec lui, mais est-ce que cela équivaut à être bon dans ce domaine ? Ai-Je des talents spéciaux, comme parler couramment l’anglais ou parler une certaine langue ? Je ne sais faire aucune de ces choses. Alors, à quoi suis-Je bon ? Je connais un peu la musique, les beaux-arts, la danse, la littérature, le cinéma et le design. J’ai une compréhension superficielle de ces domaines. Quand Je discute de théories avec des experts, tout cela est du jargon pour Moi, mais je peux comprendre ce que Je vois. Par exemple, dans le design architectural, s’il implique des données techniques et professionnelles, Je ne le comprends pas. Cependant, s’il concerne les tons de couleur et l’harmonie des styles, J’ai quelques connaissances et J’ai une certaine perspicacité. Mais savoir si Je peux étudier pour devenir un expert ou un talent dans ce domaine, c’est difficile à dire car Je ne l’ai pas étudié. Compte tenu de ce à quoi les gens peuvent actuellement accéder, la musique, la littérature, la danse et le cinéma, les choses relevant du travail professionnel de notre Église, un petit apprentissage peut Me donner une compréhension de base. Certains peuvent dire : « Maintenant je connais tes antécédents ; tu n’as qu’une compréhension de base. » Je ne parle pas faussement ; en effet, Je n’ai qu’une compréhension de base. Cependant, il y a une chose que vous ne saisissez peut-être pas, et c’est peut-être Mon expertise. De quelle expertise s’agit-il ? Je comprends ce qu’est le métier lié à un certain domaine, comment un certain art est exprimé, et quelles sont le cadre et les principes impliqués. Après avoir maîtrisé ces éléments, Je sais comment appliquer ces choses utiles au travail de l’Église, faisant en sorte qu’elles soient utiles au travail de l’Évangile et qu’elles soient efficaces dans la diffusion de l’Évangile de Dieu des derniers jours. Est-ce une expertise ? (Oui.) En ce qui concerne ce qui manque le plus à l’humanité de nos jours, si l’on peut utiliser les bonnes méthodes et transmettre ensuite la vérité pertinente, permettant ainsi aux gens de la voir et de l’accepter, c’est ce qui est le plus efficace. Si tu adoptes une méthode que les gens peuvent accepter et que tu peux présenter clairement la vérité et d’expliquer l’œuvre de Dieu, tout cela d’une manière que la pensée humaine normale peut accepter et qu’elle est capable d’atteindre : cela est immensément bénéfique pour les gens. Si nous utilisons la connaissance superficielle que nous possédons et appliquons toutes ces choses utiles, alors il est suffisant de posséder ce genre d’expertise. J’excelle dans une chose, avez-vous deviné laquelle ? (Dieu excelle dans l’échange sur la vérité.) L’échange sur la vérité compte-t-il comme une compétence ? N’est-ce pas une expertise ? Alors, à quoi suis-Je bon ? J’excelle à découvrir l’essence corrompue qui est en chacun de vous. Si Je n’étais pas bon à cela, dites-Moi, comment pourrais-Je œuvrer à chaque fois que des problèmes surgissent chez vous et que Je ne savais pas quel tempérament corrompu ou quelle nature-essence ils révèlent ? Ce serait impossible. Peut-on dire sans risque que découvrir votre essence corrompue est ce pour quoi Je suis le meilleur ? (Oui.) Cela doit être ce pour quoi Je suis le meilleur. Je suis le meilleur pour identifier le tempérament corrompu des personnes et leur nature-essence. J’excelle à discerner le chemin qu’une personne emprunte et son attitude envers Dieu en fonction de sa nature-essence. Puis à travers ses manifestations, ses comportements et son essence, J’échange sur la vérité avec elle, abordant des problèmes spécifiques et l’aidant à résoudre ses problèmes et à en sortir. En réalité, ce n’est pas une compétence ; c’est Mon ministère, c’est un travail qui entre dans le cadre de Ma responsabilité. Êtes-vous doués pour cela ? (Non.) Alors, pour quoi êtes-vous doués ? (Pour manifester la corruption.) Il n’est pas exact de dire que vous êtes doués pour manifester la corruption. Vous êtes doués pour rester indifférents à la vérité après l’avoir entendue et pour la traiter à la légère, et excellents pour agir de manière superficielle en accomplissant votre devoir sans le prendre au sérieux. N’est-ce pas vrai ? (Si.) Je vous dis ces choses ouvertement ; les pharisiens et les antéchrists peuvent-ils vous parler de cette manière ? (Non.) Ils ne parlent absolument pas de cette manière. Pourquoi ? Ils considèrent cela comme honteux, une déficience de l’humanité, une affaire de vie privée et d’antécédents. Ils disent : « Comment pourrais-je laisser les autres connaître mes antécédents ? Si cela arrivait, ne perdrais-je pas tout : la face, ma dignité et mon statut ? Comment pourrais-je me conduire ensuite ? » Selon eux, ils pourraient aussi bien cesser de vivre ! Donc, après avoir partagé Ma situation si ouvertement avec vous, cela affecte-t-il votre foi en Dieu ? (Non.) Même si vous avez quelques idées à ce sujet, je n’ai pas peur. Pourquoi n’ai-je pas peur ? Avoir des idées est normal ; c’est temporaire. Les gens peuvent parfois avoir des illusions visuelles et auditives. Il y a toujours la possibilité d’une compréhension temporaire et déformée ou d’un malentendu passager. Cela signifie-t-il que les gens vont faire leurs bagages pour cette raison ou devenir négatifs et faibles ? Mais si tu es vraiment quelqu’un qui poursuit la vérité, peux-tu nier Dieu ou quitter Dieu en raison de notions passagères ? Non, tu ne peux pas partir. Les gens qui poursuivent authentiquement la vérité peuvent aborder et comprendre ces questions correctement, ils peuvent inconsciemment accepter ces faits normalement et progressivement les transformer en une vraie connaissance de Dieu, une connaissance objective et exacte : c’est une compréhension authentique de la vérité. Un jour, quelqu’un pourrait dire : « Le dieu incarné est tellement pitoyable ; il ne sait rien faire d’autre que dire la vérité. » De quel genre de ton s’agit-il ? C’est le ton d’un antéchrist. Êtes-vous d’accord avec cette personne ? (Je ne suis pas d’accord.) Pourquoi n’êtes-vous pas d’accord ? (Ce qu’elle dit n’est pas factuel.) Ce qu’elle dit est factuel. Le Dieu incarné, en dehors de pouvoir exprimer la vérité par Sa parole, ne sait rien faire d’autre ; Il n’a aucune compétence particulière. Est-ce pitoyable ? Pensez-vous cela ? (Non.) Alors, qu’en pensez-vous ? Certaines personnes disent : « C’est précisément parce que Dieu est ordinaire et normal, accomplissant une œuvre concrète, que nous, en tant qu’humanité corrompue, avons la possibilité d’obtenir le salut. Sinon, nous finirions tous en enfer. Nous recevons un grand avantage maintenant, alors profitons-en en secret ! » Avez-vous ce sentiment ? (Oui.) Mais certaines personnes sont différentes. Selon elles, « dieu ne fait que parler ; il n’y a rien de surnaturel chez lui. Qu’est-ce que j’y gagne ? J’ai mes propres notions et idées sur dieu, et je juge dieu derrière son dos, mais dieu ne m’a pas discipliné. Je n’ai pas souffert ni été puni. » Progressivement, leur audace grandit, et elles osent dire n’importe quoi. Certaines personnes disent : « C’est ainsi que l’on doit connaître le dieu incarné : quand il parle, œuvre et exprime la vérité, c’est l’esprit de dieu qui travaille en lui, et la chair n’est qu’une coquille, un outil. La véritable essence est l’esprit de dieu ; c’est l’esprit de dieu qui parle. Sans l’esprit de dieu, la chair pourrait-elle prononcer ces paroles ? » Ces paroles semblent correctes quand on les écoute, mais quelle signification portent-elles en elles ? (Le blasphème.) Correct, elles sont du blasphème ; quel tempérament vicieux ! Que ces personnes veulent-elles dire ? « Tu es une personne si insignifiante. Tu n’as pas une apparence noble, tu n’as pas l’air si impressionnant. Tes paroles ne sont pas éloquentes ni sophistiquées sur le plan théorique ; tu dois réfléchir avant de dire quoi que ce soit. Comment pourrais-tu être le dieu incarné ? Pourquoi es-tu si béni et si chanceux ? Pourquoi ne suis-je pas le dieu incarné ? » En fin de compte, ils disent : « C’est tout l’esprit de dieu qui est à l’œuvre et parle ; la chair n’est que l’exutoire de l’esprit, c’est un outil. » Dire cela les fait se sentir à égalité. C’est de la jalousie, qui mène à la haine. L’implication est : « Comment se fait-il que tu sois le dieu incarné ? Pourquoi es-tu si chanceux ? Comment as-tu obtenu cet avantage ? Pourquoi ne l’ai-je pas obtenu ? Je ne pense pas que tu sois meilleur que moi. Tu n’es pas assez éloquent, tu n’es pas hautement instruit, tu n’es pas aussi beau que moi, et tu n’es pas aussi grand en taille que moi. Comment es-tu meilleur que moi en un quelconque aspect ? Comment se fait-il que tu sois le dieu incarné ? Pourquoi pas moi ? Si tu es le dieu incarné, alors beaucoup d’autres personnes le sont aussi. Je dois me battre pour ça aussi. Tout le monde dit que tu es dieu ; je ne peux rien y faire, mais je te jugerai quand même. Parler comme cela apaise ma haine ! » N’est-ce pas vicieux ? (Si.) Ces personnes osent dire n’importe quoi pour rivaliser pour une position ; n’est-ce pas chercher la mort ? Si tu ne veux pas accepter qu’Il est Dieu, qui te force ? Est-ce que Je t’ai forcé ? Je ne t’ai pas forcé, n’est-ce pas ? Premièrement, Je ne t’ai pas supplié d’accepter. Deuxièmement, Je n’ai pas utilisé de moyens extrêmes pour te forcer à accepter. Troisièmement, l’Esprit de Dieu n’est pas intervenu en disant que tu dois accepter, sinon tu seras puni. Dieu a-t-Il fait cela ? Non. Tu as le droit de choisir librement ; tu peux choisir de ne pas accepter. Alors, pourquoi, si tu ne veux pas accepter, finis-tu par accepter quand même ? Ne cherches-tu pas simplement des bénédictions ? Ces personnes désirent des bénédictions, mais ne peuvent accepter ni obéir, ou elles éprouvent encore de la réticence, alors que font-elles ? Elles prononcent de telles paroles malintentionnées. Avez-vous déjà entendu ces genres de paroles ? Je les ai entendues plus d’une ou deux fois parmi certaines personnes. Certaines personnes pensent : « Nous avons commencé à croire en dieu avec toi. À cette époque, tu étais jeune, notant souvent les paroles de dieu. Plus tard, tu as commencé à prêcher. Tu es juste une personne ordinaire ; nous connaissons tes antécédents. » Quels sont Mes antécédents ? Je suis juste une personne ordinaire ; c’est la vérité Me concernant. Le seul fait que Je sois ordinaire et normal, et que Je puisse avoir tant de gens qui Me suivent aujourd’hui, n’est-il pas la raison pour laquelle tu es réticent ? Si tu es réticent, alors ne crois pas. C’est l’œuvre de Dieu ; Je ne peux pas Me dérober à Ma responsabilité, Je n’ai pas d’excuse, et Je n’ai rien fait de blessant ou de néfaste. Alors, pourquoi M’abordes-tu avec ce point de vue ? Si tu es réticent, alors ne crois pas. Crois en qui tu veux croire ; ne Me suis pas. Je ne t’ai pas forcé. Pourquoi Me suis-tu ? Certains sont même venus chez Moi pour enquêter. Sur quoi enquêtaient-ils ? Ils M’ont demandé : « Est-ce que tu rentres chez toi ? Comment va ta situation économique à la maison en ce moment ? Que font les membres de ta famille ? Où sont-ils ? Comment sont leurs vies ? » Certaines personnes ont même scruté un édredon ou une couverture supplémentaire dans Ma maison. Ces gens ne sont absolument pas disposés à croire en Dieu ! Pourquoi n’y sont-ils pas disposés ? Parce qu’ils pensent : « Dieu ne devrait pas être ainsi. Dieu ne devrait pas être si petit, si normal et concret, et si commun et ordinaire. Il est trop commun, commun au point qu’il nous est difficile de le reconnaître comme dieu. » Tes yeux dépourvus de compréhension spirituelle peuvent-ils reconnaître Dieu ? Même si Dieu descendait du ciel pour te dire cela, tu ne pourrais toujours pas Le reconnaître. Es-tu digne de voir la véritable personne de Dieu ? Même si Dieu te disait clairement qu’Il est Dieu, tu ne l’accepterais pas. Pourrais-tu Le reconnaître ? De quelle sorte de personnes s’agit-il ? Quelle est leur nature ? (La malveillance.) Ces gens « élargissent vraiment Mes horizons ».

Depuis que J’ai pris en charge l’œuvre de Dieu, alors que Je mène Mon œuvre avec cette identité et cette position, Je suis entré en contact avec certains individus. Face à cette diversité de « talents », J’ai observé que deux mots sont inséparables du tempérament corrompu des humains : « malfaisant » et « malveillant » : les deux englobent cela. Pourquoi M’étudient-ils chaque jour ? Pourquoi sont-ils réticents à reconnaître Mon identité ? N’est-ce pas parce que Je suis une personne très ordinaire et normale ? Si J’étais sous la forme d’un corps spirituel, oseraient-ils ? Ils n’oseraient pas M’étudier de cette manière. Si J’avais un certain statut social, combiné à des capacités spéciales, l’image et l’apparence d’un grand homme, ainsi qu’un tempérament quelque peu malfaisant, dominant et impitoyable, ces personnes oseraient-elles venir chez Moi pour enquêter et M’étudier ? Elles n’oseraient absolument pas ; elles M’éviteraient, elles se cacheraient en Me voyant venir, et elles n’oseraient assurément pas M’étudier, n’est-ce pas ? Alors pourquoi sont-elles capables de M’étudier de cette manière ? Elles Me considèrent comme une cible facile. Qu’implique le fait d’être une cible facile ? Cela signifie que Je suis trop ordinaire. Qu’implique « ordinaire » ? « Tu es juste une personne ; comment pourrais-tu être dieu ? Tu es entièrement dépourvu de la connaissance, de l’érudition, des dons, des talents et des capacités que dieu devrait avoir. En quoi es-tu comme dieu ? Tu n’es pas comme lui ! Par conséquent, il est difficile pour moi d’accepter que tu es dieu, de te suivre, d’écouter tes paroles, et de me soumettre à toi. Je dois procéder à une enquête rigoureuse : je dois te surveiller, garder un œil sur toi, et t’empêcher de faire quoi que ce soit d’inapproprié. » Que ces personnes essaient-elles de faire ? Si J’avais un statut social et un certain niveau de renommée, par exemple, si J’étais un chanteur de premier plan, et qu’un jour Je rendais témoignage pour dire que Je suis Dieu, Christ, est-ce qu’au moins certaines personnes ne seraient pas convaincues ? Le nombre de personnes qui M’étudieraient serait relativement moindre. C’est uniquement le fait que Je suis ordinaire, normal, concret, et trop commun, qui révèle de nombreuses personnes. Que cela révèle-t-il d’elles ? Cela révèle leur malveillance. Jusqu’où va cette malveillance ? Elle va jusqu’au point où, quand Je passe devant elles, elles M’étudient longuement, cherchant la ressemblance de Dieu dans Mon dos, vérifiant si des miracles accompagnent Mon discours. Elles spéculent souvent dans leur cœur, « D’où viennent ces paroles ? Ont-elles été apprises ? Cela ne semble pas probable : il n’a pas l’air d’avoir le temps d’étudier. Il a tellement changé au cours des dernières années ; cela ne semble pas être quelque chose d’appris. Alors, d’où viennent ces paroles ? C’est difficile à sonder ; je dois être prudent », et elles continuent à étudier. Ceux qui M’étudient constamment ne dialoguent pas, n’interagissent pas, et ne conversent pas avec Moi en face à face ; ils réfléchissent toujours derrière Mon dos, cherchant toujours des fautes dans Mes paroles, espérant avoir une quelconque prise sur Moi. Ils peuvent étudier une phrase qui ne correspond pas à leurs notions pendant des jours, et une remarque légèrement sévère peut leur faire développer une notion. D’où viennent ces choses ? Elles viennent des esprits et de la connaissance des gens. Quel genre de personnes sont celles qui peuvent étudier Dieu, qui peuvent constamment utiliser leurs pensées pour spéculer sur Dieu ? Peut-on les catégoriser comme des gens ayant un tempérament malveillant ? Absolument ! Puisque tu as le temps et l’énergie, ce serait formidable si tu pouvais réfléchir à la vérité ! Quelle vérité ne nécessiterait pas que tu prennes du temps pour échanger à son sujet et y réfléchir ? Il y a tant de vérités que tu ne pourrais peut-être pas réfléchir à toutes dans cette vie. Il y a trop de vérités qu’une personne doit comprendre. Les personnes ne ressentent aucun fardeau à ce sujet, pourtant elles n’oublient jamais ces questions externes et superficielles, et les étudient constamment. Dès que Je parle, elles clignent des yeux, regardant fixement Mon apparence, scrutant Mes actes et expressions, et spéculant dans leur cœur : « Ressemble-t-il à dieu dans cet aspect ? Son discours ne ressemble pas à celui de dieu, son apparence ne correspond pas vraiment. Comment puis-je le sonder ? Comment puis-je voir ce qu’il pense de moi au fond de son cœur ? Que pense-t-il de telle affaire ou de telle autre affaire ? Comment me définit-il ? » Elles nourrissent toujours ces pensées. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) C’est au-delà du salut : c’est trop malveillant !

Un véritable être humain aime et poursuit les choses qui sont en phase avec l’humanité, la conscience, la pensée humaine normale et la vie réelle, les choses qui sont normales et concrètes, exemptes de distorsion et d’étrangeté, non abstraites, non creuses, et non surnaturelles. Concernant ces choses, une personne normale pourra les chérir, les gérer correctement, et accepter ces choses de manière coutumière, les traitant comme des choses positives. Au contraire, certaines personnes, lorsqu’elles sont confrontées à ces vérités étroitement liées à divers aspects de la vie réelle, comme l’alimentation, l’habillement, le logement, le transport, le comportement et la conduite personnelle, minimisent, ignorent et négligent ces choses. Quel est le problème ici ? C’est un problème lié à leurs préférences et à leur nature-essence. Plus une chose est positive, plus elle est une chose que Dieu aime, une chose qu’Il veut et une chose qu’Il fait, et plus elle correspond à ce que, dans Ses intentions, Dieu espère que les gens réalisent et acceptent, plus ces gens la remettent en cause, l’étudient, s’y opposent et la condamnent ; n’est-ce pas malveillant ? C’est excessivement malveillant ! Les antéchrists sont très populaires parmi les non-croyants. Si j’étais parmi les non-croyants, entre les antéchrists et Dieu incarné, lequel serait le plus facilement accepté par les non-croyants ? (Les antéchrists.) Pourquoi ? Est-ce que les non-croyants préfèrent les gens intègres ou les gens malveillants ? (Les gens malveillants.) Préfèrent-ils ceux qui flattent et sont serviles, ou ceux qui sont honnêtes ? (Ceux qui flattent et sont serviles.) Exactement, ils favorisent ces individus. Si tu ne sais pas user de tactiques pour gérer diverses relations interpersonnelles dans un groupe, et que tu ne sais pas manipuler ou contrôler les différentes personnes par des stratégies, ce groupe peut-il t’accepter ? Si tu es trop intègre, que tu dis toujours la vérité, que tu peux percer à jour l’essence de nombreux problèmes, et que tu exposes ensuite les vérités que tu as perçues et comprises, quelqu’un peut-il l’accepter ? Non, personne dans ce monde ne peut l’accepter. Dans ce monde, n’espère pas dire la vérité ; le faire apportera des ennuis ou entraînera une catastrophe. N’espère pas être une personne honnête ; il n’y a aucun avenir à être honnête. Qu’en est-il des antéchrists ? Ils excellent dans l’art de mentir, savent habilement se déguiser et se mettre en valeur, se présentant sous un jour grandiose, digne et vertueux, amenant les gens à les vénérer. Ils excellent dans ces choses, et ce qu’ils apprécient est similaire ; ils aiment discuter de connaissances et d’érudition vides, ainsi que comparer les dons et les stratégies. Par exemple, dans une entreprise ou un groupe de personnes, avoir les connaissances et l’érudition les plus grandes n’est pas l’élément le plus important, ni le principal facteur qui détermine la position d’une personne dans cette entreprise. Quel est le facteur principal ? (Les stratégies et le talent.) Exactement, ce sont les stratégies et le talent. Sans ceux-ci, posséder une vaste érudition est inutile. Par exemple, supposons que tu sois revenu de l’étranger, et que tu sois complètement ignorant des règles du jeu dans ce groupe de personnes chez toi. Si tu appliques les règles, règlements et principes de conduite des entreprises étrangères, tu te heurteras à un mur. N’est-ce pas ainsi ? (Si.) C’est ainsi. Tu dois avoir des stratégies, et tu dois être malfaisant et malveillant pour t’élever à une position plus élevée. C’est comme certaines femmes : même si elles ont un mari pour subvenir à leurs besoins, elles ne sont pas satisfaites. Pour se démarquer et obtenir la renommée, le gain et le statut, elles recourent à tous les moyens nécessaires. Elles se livrent même à la flatterie, et, lorsque nécessaire, proposent des services d’escort, tout cela sans aucune trace de gêne après coup ni sentiment de culpabilité ou de dette envers leurs maris ou leurs familles. Pourrais-tu faire cela ? Cela te semble répugnant, et tu ne peux pas le faire. Alors, comment peux-tu t’élever à une position plus élevée parmi eux ? Il n’y a aucun moyen. Tout cela s’accomplit en vendant son âme et en recourant à diverses méthodes malveillantes. Aimes-tu cette manière de faire les choses ? (Non.) Tu dis que tu ne l’aimes pas maintenant, mais lorsque tu seras poussé à une certaine limite un jour, tu en viendras à l’aimer. Si les gens te malmènent et te tourmentent toute la journée, te rendent les choses difficiles, te trouvent des défauts et veulent te jeter dehors, tu pourrais devoir vendre ton corps pour conserver ton emploi. Tu devras apprendre toutes les ruses malveillantes qu’ils utilisent, et à la fin, tu deviendras exactement comme eux. En ce moment, tu déclares sévèrement : « Je n’aime pas cet ensemble de tactiques. Je ne veux pas être ce genre de personne. Je ne suis pas aussi malveillant. Je ne veux pas vendre mon corps. Je n’aime pas l’argent ; avoir assez pour manger et m’habiller me suffit. » Quelle sorte de personne es-tu ? Tu n’es rien. Tu es ce que la corruption de Satan t’a destiné à être. Crois-tu que tu peux être maître de toi-même ? Les gens changent en fonction de leur environnement, ils ont un tempérament corrompu, et tu ne peux tout simplement pas surmonter la renommée, le gain, le statut, l’argent, et toutes sortes de tentations. Si tu te trouvais dans cet environnement, tu serais tout aussi incapable de te contrôler. La scène des non-croyants, à l’heure actuelle, est comme un hachoir à viande. Une fois qu’une personne y a été hachée, il est impossible de survivre. Maintenant, en accomplissant ton devoir dans la maison de Dieu, avec la protection de Dieu, et sans que personne ne te malmène, tu peux vivre paisiblement dans la présence de Dieu. Tu es grandement béni, alors profites-en silencieusement ! Si tu n’accomplis pas ton devoir correctement et que tu fais face à un peu d’émondage, tu ne dois pas te sentir lésé. Tu as obtenu de grandes bénédictions ; ne le sais-tu pas ? (Si.) Dis-Moi, à quoi cela ressemble-t-il pour les non-croyants d’être dans le « hachoir à viande » ? Il vaudrait mieux qu’ils soient morts. La petite souffrance que tu endures dans la maison de Dieu est ce que les gens doivent endurer ; ce n’est pas du tout trop douloureux. Cependant, les gens ne sont pas satisfaits, et ils sont réticents à l’idée de se repentir, peu importe à quel point ils sont émondés. Mais quand ils sont renvoyés chez eux, ils sont réticents à l’idée de retourner chez les non-croyants parce qu’ils ont le sentiment qu’ils sont trop malfaisants et mauvais. Lorsqu’ils sont vraiment confrontés à la mort, les gens ne veulent pas mourir ; tout le monde chérit la vie et suit le principe selon lequel « une mauvaise vie vaut mieux qu’une bonne mort ». Dès qu’ils voient leur cercueil, ils éclatent en larmes. Les gens savent maintenant qu’il n’est pas facile de survivre parmi les non-croyants. Si tu veux vivre avec dignité et gagner ta vie en fonction de tes capacités, il n’y a aucun moyen d’y parvenir. Avoir des compétences seules ne suffit pas ; tu dois aussi être malveillant, malfaisant, et assez méchant pour réussir. Que possèdes-tu ? Certains disent : « Je possède un peu de malveillance maintenant, mais pas assez de malfaisance. » C’est facile. Mets-toi dans le « hachoir à viande », et en moins d’un mois, tu deviendras malfaisant. Si tu es une bonne personne, ils voudront te tuer ; tu les épargnes, mais ils ne t’épargneront pas, donc tu devras riposter pour survivre. Une fois que tu es devenu malfaisant, il n’y a pas de retour en arrière, et tu deviens aussi un démon. C’est ainsi que la malveillance se forme. Le monde des non-croyants est si sombre et malveillant. Comment les gens peuvent-ils se libérer de l’influence satanique des ténèbres et de la malveillance ? Ils ont besoin de comprendre la vérité pour parvenir au salut. Maintenant que tu crois en Dieu, si tu veux être sauvé et libéré de l’influence de Satan, ce n’est pas une mince affaire. Tu dois apprendre à te soumettre à Dieu, avoir un cœur qui craint Dieu, percer à jour de nombreuses choses, et, de plus, tes principes de conduite doivent, d’une part, être sages et, d’autre part, ne pas offenser Dieu. En outre, ne t’évertue pas sans cesse à obtenir la renommée et le gain, ou ne cherche pas constamment à jouir des avantages du statut. Le simple fait d’avoir de quoi manger et de ne pas mourir de faim est suffisant. Tu dois prier Dieu, en demandant que la grâce soit accordée de cette manière, pour qu’on t’accorde la protection. Si tu nourris toujours des désirs extravagants, ce n’est pas raisonnable, et Dieu ne prêtera pas attention à tes prières.

Concernant la nature malveillante des antéchrists, aujourd’hui, nous échangeons principalement sur la troisième manifestation, à savoir ce que les antéchrists vénèrent. Que vénèrent les antéchrists ? (La connaissance et l’érudition.) La connaissance et l’érudition, ainsi qu’une autre chose : les dons. Qu’incluent la connaissance et l’érudition ? Elles incluent ce que l’on trouve dans les livres étudiés dans le monde, l’expérience acquise en travaillant dans des domaines liés à la connaissance, ainsi que les divers restrictions, règles et règlements prêchés dans la société concernant la moralité, l’humanité, le comportement, etc. Elles incluent également les connaissances issues de divers domaines scientifiques. Par exemple, certaines personnes ne croient pas en la réincarnation mentionnée dans les paroles de Dieu. Mais si un jour, une étude scientifique découvre que les humains ont une âme parce qu’après la mort, quelque chose quitte le corps et que le poids de la personne diminue d’une certaine quantité, ce qui pourrait potentiellement être le poids de l’âme, alors elles pourraient y croire. Peu importe comment Dieu parle, elles ne croient pas, mais dès que les scientifiques mesurent quelque chose basé sur le poids, elles y croient. Elles ne font confiance qu’à la science. Certains individus ne croient qu’en la nation, le gouvernement, et les interprétations des informations, théories et figures renommées associées. Ils ne font confiance qu’à cela. Ils ne prennent pas au sérieux les paroles, l’enseignement, la direction ou les déclarations de Dieu. Mais dès qu’ils entendent une célébrité parler, immédiatement, ils l’acceptent, et même la vénèrent, et diffusent ses paroles. Par exemple, Dieu a dit que la manne qu’Il envoyait chaque jour pour les gens ne pouvait être stockée et ne devait pas être mangée le jour suivant car elle ne serait plus fraîche, mais ils n’ont pas cru les paroles de Dieu. Ils pensaient : « Et si Dieu n’envoie pas la manne, et que nous commençons à avoir faim ? » Alors, ils ont trouvé un moyen de la récupérer et de la stocker. Dieu a envoyé la manne le deuxième jour, et ils ont continué à la récupérer. Dieu a envoyé la manne le troisième jour, et ils ont continué à la récupérer. Dieu a prononcé les mêmes paroles chaque jour, et ils ont constamment agi contre ce que Dieu leur avait commandé. Ils n’ont jamais cru ni écouté les paroles de Dieu. Un jour, un scientifique a fait des recherches et a dit : « Si la manne n’est pas mangée le jour même et est laissée pour le lendemain, même si elle semble fraîche de l’extérieur, elle contient des bactéries qui peuvent causer un trouble gastrique si elle est consommée. » À partir de ce jour-là, ils ont arrêté de la récupérer. Pour eux, une déclaration d’un scientifique a plus de poids que dix déclarations de Dieu. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) Ils reconnaissaient verbalement que les paroles de Dieu sont la vérité, et ils reconnaissaient Dieu, suivaient Dieu, et souhaitaient recevoir des bénédictions de Dieu. Dans le même temps, ils jouissaient de la grâce et des bénédictions données par Dieu, se délectant des soins et de la protection de Dieu, mais à part cela, ils n’écoutaient pas une seule phrase de ce que Dieu disait, de ce qu’Il ordonnait, commandait ou les chargeait de faire. Si une personne instruite et savante dotée d’une autorité et d’une position disait quelque chose ou énonçait une fausseté, ils l’acceptaient immédiatement, qu’elle soit vraie ou fasse. Que se passe-t-il ici ? C’est malveillant, excessivement malveillant ! Par exemple, J’ai dit à certaines personnes de ne pas manger de patates douces avec des œufs, car cela peut provoquer une intoxication alimentaire. Sur quoi repose Mon affirmation ? Je n’invente rien ; il y a eu des cas de personnes ayant eu une intoxication alimentaire en mangeant les deux en même temps. Après avoir entendu cela, quelle serait la réaction normale d’une personne ? Elle penserait : « À l’avenir, je ne mangerai pas d’œufs lorsque je consomme des patates douces, du moins pas dans les deux ou trois heures suivantes. » Elle prendrait cela au sérieux et changerait ses habitudes alimentaires. Cependant, certaines personnes n’y croiraient pas. Elles diraient : « Une intoxication alimentaire en mangeant des œufs et des patates douces ensemble ? C’est impossible. Je vais les manger ensemble, et tu verras si j’ai une intoxication alimentaire ou non ! » Quel genre de personne est-ce ? (Malveillante.) Je trouve cette personne un peu vile ! Je dis une chose, et elle insiste pour les manger ensemble ; n’est-ce pas vil ? Spécifiquement, elle s’oppose à ce qui est correct, juste et positif, le conteste et lutte spécifiquement contre : c’est malveillant. L’humanité corrompue valorise la malveillance et le pouvoir. Peu importe quelle fausseté les démons et les Satans mettent en avant, les gens peuvent l’accepter sans question, tandis que Dieu exprime de nombreuses vérités, mais les gens sont réticents à les accepter et forment même de nombreuses notions. Voici un autre exemple. Dans de nombreuses zones rurales des États-Unis, il existe des forêts primitives où les animaux sauvages rôdent souvent. Il est conseillé de ne pas sortir seul, et il vaut mieux ne pas sortir la nuit sauf en cas de nécessité. Si on doit sortir, il faut prendre des précautions, sortir avec quelqu’un ou porter des armes d’auto-défense ; mieux vaut prévenir que guérir. Certaines personnes disent : « Il ne se passera rien ; Dieu me protégera. » N’est-ce pas tester Dieu ? Prendre ces précautions est ce que les gens devraient faire. Tu as une tête, un cœur et un esprit, alors pourquoi insister sur la protection de Dieu ? Ne teste pas Dieu. Fais ce que tu devrais faire. Si, par hasard, tu rencontres un animal sauvage féroce que même un groupe de quatre ou cinq personnes ne peut gérer, tu pourrais tout de même survivre ; c’est la protection de Dieu. Certaines personnes ont en effet vu des loups et entendu des loups et des ours hurler, confirmant l’existence de ces animaux sauvages. Alors, quand je dis de ne pas sortir la nuit parce qu’on peut facilement rencontrer des animaux sauvages, est-ce que j’invente des choses ? (Non.) Je n’essaie pas de faire peur aux gens. Certaines personnes, après avoir entendu cela, disent : « Je devrais être plus prudent. Je trouverai quelqu’un pour m’accompagner lorsque je sors, ou je porterai une arme d’auto-défense, juste au cas où je rencontrerais des animaux sauvages. » Certaines personnes, après avoir entendu cela, le prennent au sérieux, le croient et l’acceptent, puis mettent en pratique ce que J’ai dit. Cela relève de l’acceptation simple ; cela ne pourrait pas être plus facile. Cependant, il y a un certain type de personnes qui refusent d’écouter. Elles disent : « Pourquoi n’ai-je jamais vu d’animal sauvage ? Où sont-ils ? Que l’un d’entre eux se montre ; je l’affronterai et verrai qui est le plus féroce. Qu’y a-t-il de si effrayant chez les animaux sauvages ? Vous tous n’êtes que des timorés avec peu de foi. Regardez ma foi ; je n’ai pas peur des ours ! » Elles sortent intentionnellement seules, marchant tranquillement sans raison. Après les repas, elles doivent sortir marcher dehors et insistent pour y aller seules. Lorsque d’autres suggèrent de trouver un compagnon pour les accompagner, elles répondent : « Pas question, pourquoi aurais-je besoin d’un compagnon ? Avoir un compagnon me ferait paraître sans valeur ! Je sortirai tout seul ! » Elles doivent essayer. Quel genre de personnes est-ce ? Ne parlons même pas de savoir si elles rencontrent ou non des animaux sauvages ; leur attitude envers de telles questions n’est-elle pas problématique ? (Si.) Quel est le problème ? (Le tempérament d’une telle personne est malveillant.) Tu essaies de lui parler de choses sérieuses, et elle les traite comme une plaisanterie. Est-il utile de parler à de telles personnes ? Les gens comme ça sont pires que des bêtes ; il n’est pas nécessaire de perdre son temps avec eux.

Nous venons juste de parler du fait que les personnes dotées du tempérament malveillant des antéchrists sont particulièrement sensibles à la connaissance, à l’érudition, aux dons et à certains talents spéciaux ; elles admirent et estiment particulièrement ceux qui possèdent des talents spéciaux ; et elles sont totalement en admiration devant ce qu’ils disent, et y obéissent. Quelle est leur attitude face aux connaissances communes, aux idées et à l’érudition authentique qui sont bénéfiques aux gens et que ceux pourvus d’une humanité normale doivent posséder, ou aux choses concrètes et positives qui sont compréhensibles dans la pensée humaine normale ? Elles les méprisent, n’y prêtant aucune attention. Chaque fois que ces paroles et vérités font l’objet d’un échange lors des réunions, que font-elles ? Elles se grattent la tête, certaines ont les yeux à moitié fermés, paraissent engourdies et lentes d’esprit, et d’autres semblent perdues dans leurs pensées. Plus la maison de Dieu discute de questions sérieuses, moins elles deviennent intéressées. Plus elle échange sur la vérité, plus elles s’assoupissent et somnolent. Il est évident que ces gens n’ont absolument aucun intérêt pour la vérité. Ces incrédules ne sont-ils pas au-delà de la rédemption ? Quand elles étaient dans la religion, certaines personnes n’appréciaient que d’entendre les autres parler dans des langues ou d’être témoins des choses étranges, et voir des choses incroyables leur remontait immédiatement le moral. Certaines personnes, en Me voyant, aiment dire : « J’ai obtenu une licence et ma matière principale était la philosophie. Qu’as-tu étudié ? » Je dis : « Je n’ai étudié aucune matière en particulier ; je comprends simplement quelques caractères et je peux lire des livres. » Elles disent : « Eh bien, tu n’es pas à la hauteur. » Je réponds : « Faire cette comparaison est inutile, mais échangeons un peu : as-tu des difficultés actuelles ? » Comment répondent-elles ? « Mmh, quelles difficultés aurais-je ? Je n’ai aucune difficulté. J’accomplis très bien mes devoirs ! » Lorsqu’on échange avec elles sur la vérité, elles perdent tout intérêt, bâillent et versent des larmes, comme si elles étaient possédées par un fantôme. Si Je continue à exposer leur tempérament corrompu, elles prennent simplement leur tasse et partent, ne voulant plus écouter. Plus J’essaie de M’entendre avec elles et de converser avec elles sur un pied d’égalité, plus elles Me méprisent. N’est-ce pas un manque d’appréciation de la bonne volonté ? Il y avait quelqu’un qui savait conduire. Je lui ai demandé : « Depuis combien d’années conduis-tu ? » Il a dit : « J’ai acheté une voiture au bout de deux ans de travail après avoir obtenu mon diplôme universitaire. » J’ai dit : « Donc, tu conduis depuis plusieurs années. Je ne sais toujours pas conduire. » Dire cela n’est-il pas se mettre sur un pied d’égalité ? N’est-ce pas la conversation de personnes ayant une humanité normale ? (Si.) Après avoir entendu cela, il a dit : « Hein ? Tu ne sais toujours pas conduire ? Alors, que sais-tu faire ? » J’ai dit : « Je ne sais pas faire grand-chose. Je sais juste monter à bord d’une voiture. » Je lui ai demandé : « Quel devoir accomplis-tu actuellement ? » Il a dit : « Je travaille dans la finance et la comptabilité. Mon esprit est rempli de chiffres. À l’université, j’excellais en mathématiques et j’étais le meilleur en sciences. J’avais le potentiel pour aller à l’Université de Tsinghua ou à l’Université de Pékin. » J’ai dit : « Je suis très mauvais en mathématiques. Les chiffres Me donnent mal à la tête. Je préfère étudier les mots, apprendre le vocabulaire, des choses comme ça. » Il a dit : « Apprendre cela ne sert à rien. Les gens qui étudient les lettres n’ont généralement pas d’avenir. » Regardez ce qu’il a dit. Cela possède-t-il une raison humaine normale ? (Non.) Quand J’ai parlé et interagi avec lui de manière si calme et amicale, il n’a pas su gérer correctement la situation. Au lieu de cela, il M’a méprisé et M’a rabaissé. S’il rencontrait quelqu’un possédant un statut ou des connaissances, cela pourrait être différent. Après avoir passé un peu de temps avec cette personne, il commencerait à penser : « Je me suis familiarisé avec dieu, j’ai eu une conversation avec lui, et j’ai eu des relations avec lui. » Il penserait alors disposer désormais d’un certain capital. Par conséquent, son ton changerait. Une fois, je lui ai demandé : « J’ai entendu dire que quelqu’un ne voulait plus accomplir ses devoirs et souhaitait rentrer chez lui. Cette personne est-elle rentrée chez elle ? » Il a répondu : « Oh, cette personne ? Elle n’a jamais eu l’intention de rentrer chez elle ! » Quel genre de ton est-ce là ? A-t-il changé ? Lorsque je l’ai rencontré pour la première fois, il avait l’impression de ne pas pouvoir Me comprendre : il était respectueux et se comportait bien, sans se faire remarquer. Maintenant qu’il Me connaît mieux, il se montre arrogant. Quel genre de ton est-ce ? Il porte un peu de défiance, de nonchalance, de mépris et une attitude condescendante et dédaigneuse avec lui quand il Me parle. Quel genre de tempérament est-ce ? C’est de la malveillance. Est-ce une personne pourvue d’une humanité normale ? (Non.) Une personne ordinaire et normale peut communiquer et converser avec toi de manière normale ; c’est la chose la plus normale. Si elle t’intimide, te réprime, ou te rabaisse, quel effet cela fait-il ? Te traiter de cette manière montre-t-il une humanité normale chez cette personne ? Dis-Moi, si quelqu’un comme cela rencontre une figure de renommée mondiale, une personne possédant un statut et une réputation, ou son patron ou supérieur, ose-t-il l’aborder de cette manière ? Il n’oserait pas. Il se prosternerait avec empressement, en devant prendre des titres comme subordonné, subalterne, serviteur, homme humble, roturier, ou plébéien pour se désigner et converser avec ces personnes. Parmi les non-croyants, les hauts responsables écrasent ceux qui sont en dessous d’eux, et étant la personne insignifiante que tu es, qui converserait avec toi de manière calme et amicale ? Même s’ils te parlent occasionnellement quand ils sont de bonne humeur, ils n’ont aucune considération pour toi ; ils te traitent comme moins qu’un être humain, te bousculant sans raison. Lorsque Je parle et discute avec cette personne de manière calme et amicale, non seulement Je ne reçois pas de réponse positive, mais Je fais aussi face au dédain, au rabaissement, au mépris et aux moqueries. Est-ce parce qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans Ma façon d’interagir avec cette personne ou un problème avec son tempérament ? (C’est parce que le tempérament de cette personne est trop arrogant.) Correct, c’est aussi ce à quoi Je pensais. Je traite tout le monde de la même manière, alors pourquoi certains réagissent correctement, tandis que d’autres non ? Les gens peuvent généralement être divisés en deux catégories : ceux dotés d’une humanité, qui savent respecter les autres, comprennent leur relation avec Dieu et savent qui ils sont, et ceux qui sont malveillants et arrogants, dépourvus de connaissance d’eux-mêmes. Dites-Moi, comment appelle-t-on une chose qui porte une peau humaine mais qui ne sait même pas qui elle est ? C’est une bête dépourvue de rationalité. Une autre fois, Je lui ai demandé : « Comment s’est passée l’affaire que je t’ai donné l’ordre de traiter il y a quelques jours ? L’as-tu gérée ? » Il a répondu : « De quoi parles-tu ? » J’ai dit : « Ces quelques choses, les as-tu traitées ? Ont-elles été réglées ? » Je lui ai rappelé deux fois, et il s’en est finalement souvenu : « Oh, tu parles de ces choses ? Elles ont été réglées il y a longtemps. » Quel genre de ton transmet le premier mot, « Oh » ? Encore une fois, c’est un ton de dédain, sa nature diabolique émergeant une fois de plus. Sa nature est restée inchangée ; voilà simplement le genre de misérable qu’il est. J’ai continué à lui demander comment il l’avait gérée, et il a répondu : « Certaines personnes l’ont examinée et s’en sont occupées de cette façon », sans plus de détails. Si J’essayais de lui demander plus de précisions, même si Je le critiquais, Je n’obtenais rien. Je lui ai donné l’ordre d’accomplir une tâche ; n’ai-Je pas le droit d’être informé ? (Si.) Alors, quelle était sa responsabilité ? Après avoir accepté la tâche de Ma part, n’était-il pas tenu de faire un compte rendu sur la manière dont il l’a gérée ? (Si.) Mais il n’a pas fait de compte rendu, et Je n’ai pu obtenir de mise à jour à aucun moment. J’ai dû envoyer quelqu’un pour se renseigner sur la façon dont cette affaire a été traitée, mais Je n’ai toujours eu aucune réponse. Dans Mon cœur, J’ai pensé : « D’accord, Je me souviendrai de toi. Tu n’es pas digne de confiance. Je ne peux rien te confier. Tu manques trop de crédibilité ! » Quel genre de démon est-ce ? Quel est le tempérament d’une telle personne ? La malveillance. Lorsque tu le traites comme un égal, discutes avec lui poliment et essaies d’être amical, comment le perçoit-il ? Il le voit comme ton incompétence et ta faiblesse, comme si tu étais quelqu’un qui se laisse faire. N’est-ce pas de la malveillance ? (Si.) C’est de la pure malveillance. Bien que ce type de personnes malveillantes ne soit pas largement répandu, il en existe dans chaque église. Leur cœur est endurci, arrogant, avec de l’aversion pour la vérité, et leur tempérament est vicieux. Ce sont précisément ces tempéraments et ces comportements qui confirment que les personnes de ce type sont malveillantes. Non seulement elles n’aiment pas les aspects positifs de l’humanité normale, comme la gentillesse, la tolérance, la patience et l’amour, mais, au contraire, elles nourrissent de la discrimination et du mépris dans leurs cœurs. Qu’est-ce qui se cache au plus profond du cœur de ces personnes ? De la malveillance. Elles sont extrêmement malveillantes ! C’est une autre manifestation de la malveillance des antéchrists.

Aujourd’hui, le contenu de notre échange sur les manifestations malveillantes des antéchrists est quelque peu différent des deux précédents échanges, et chacun met l’accent sur un aspect. Dites-Moi, au plus profond du cœur des antéchrists, ils estiment la connaissance, l’érudition, les dons et les talents spéciaux – ils ressentent une profonde estime pour ces choses – alors, ont-ils une véritable foi en Dieu ? (Non.) Certains pourraient dire qu’avec le temps, ils pourraient changer. Changeront-ils ? Non, ils ne changeront pas, ils en sont incapables. C’est dans leur nature de mépriser l’humilité et le caractère caché de Dieu, Son amour véritable, Sa fidélité, et Sa miséricorde et Son soin envers l’humanité. Quoi d’autre ? Ils méprisent la normalité et l’aspect concret de Dieu vivant parmi les humains et, encore plus, méprisent toutes les vérités qui n’ont aucun rapport avec la connaissance, l’érudition, la science et les dons. De telles personnes peuvent-elles être sauvées ? (Non.) Pourquoi ne peuvent-elles pas être sauvées ? Parce qu’il ne s’agit pas d’une révélation momentanée de quelque tempérament corrompu ; c’est une révélation de leur nature-essence. Peu importe comment les autres les conseillent ou quelle part de vérité est échangée avec eux, rien de tout cela ne peut les changer. Ce n’est pas un passe-temps passager, mais un besoin profondément ancré en eux de ces choses. Précisément parce qu’ils ont besoin de connaissance, d’érudition, de dons et de talents spéciaux, cela les autorise à ces choses. Que signifie « estimer » ? Cela signifie être disposé à suivre et à obtenir ces choses à tout prix, c’est ce qu’implique « estimer ». Dans le but d’obtenir ces choses, ils sont disposés à souffrir et à payer n’importe quel prix pour les avoir, parce que ce sont les choses qu’ils estiment. Certains disent même : « Tout ce que dieu me demande de faire me convient. Je peux satisfaire dieu, tant qu’il ne me demande pas de poursuivre la vérité. » Ils espèrent cela. Ces personnes n’accepteront jamais les paroles de Dieu comme la vérité ; même si elles sont assises là calmement, écoutant les sermons et lisant les paroles de Dieu, ce qu’elles en retirent n’est pas la vérité. C’est parce qu’elles mesurent toujours les paroles de Dieu à l’aune des notions et des produits de l’imagination humains, étudiant les paroles de Dieu en s’appuyant sur la connaissance théologique, ce qui fait qu’il est impossible pour elles d’obtenir la vérité. Elles espèrent acquérir la connaissance, l’érudition, et un certain genre d’information ou de mystère à partir des paroles de Dieu ; une sorte d’érudition à laquelle elles aspirent et qu’elles recherchent, et qui est inconnue des masses. Après avoir obtenu cette érudition qui est inconnue des gens, elles vont en faire étalage, espérant vainement s’armer et se parer de cette érudition et de cette connaissance afin de vivre une vie plus respectable et plus épanouissante, d’avoir plus de prestige et de statut parmi les gens, et d’amener les gens à croire davantage en elles et à les vénérer davantage. Par conséquent, elles se vantent sans relâche de certaines grandes choses qu’elles ont faites, des choses qu’elles considèrent comme glorieuses, ainsi que des choses qu’elles pensent impressionnantes, dont elles peuvent se vanter et qu’elles peuvent utiliser pour faire étalage de leur propre capacité et unicité. Où qu’elles aillent, elles prêchent le même ensemble de théories. Ces personnes, peu importe comment elles lisent les paroles de Dieu ou assistent aux réunions et écoutent des sermons, ne peuvent pas comprendre la vérité. Même si elles saisissent un peu la vérité, elles ne la mettront absolument pas en pratique. C’est l’essence de telles personnes, et c’est quelque chose que personne ne peut changer. C’est parce qu’elles sont intrinsèquement dotées de quelque chose que les autres ne possèdent pas, et que ce qu’elles aiment est lié à leur essence malveillante ; c’est leur faille fatale. Elles sont destinées à ne pas accepter la vérité, destinées à suivre le chemin de Paul, et destinées à s’opposer à la vérité et à Dieu jusqu’à la fin. Pourquoi cela ? Parce qu’elles n’aiment pas la vérité ; elles ne l’accepteront jamais.

Avez-vous vécu la malveillance des antéchrists ? Y a-t-il des personnes comme cela autour de vous ? Avez-vous eu des contacts avec de telles personnes ? Pourquoi avons-nous consacré du temps à discuter de ce sujet lors de plusieurs réunions ? D’habitude, quand les gens parlent de la connaissance de soi, Je les entends souvent mentionner les tempéraments d’arrogance, de présomption et de fourberie. Cependant, il est rare d’entendre les gens parler de malveillance. Maintenant, étant donné que nous échangeons sur un tempérament malveillant, J’entends souvent des gens dire que le tempérament de quelqu’un est malveillant. Il semble que vous ayez acquis une certaine compréhension. Par le passé, quand les gens parlaient de connaissance de soi, ils évoquaient toujours le sujet de l’arrogance. En y réfléchissant maintenant, quel tempérament est le plus grave, l’arrogance ou la malveillance ? (La malveillance.) Correct. Par le passé, les gens ne reconnaissaient pas la gravité du problème de la malveillance. En réalité, le tempérament et l’essence de la malveillance sont plus graves que l’arrogance. Si le tempérament et la nature-essence d’une personne sont férocement malveillants, laisse-Moi te dire, tu dois éviter tout contact avec elle ; garde tes distances. De telles personnes ne marcheront pas sur le bon chemin. Quels avantages peux-tu tirer de l’association et du maintien d’un contact avec des personnes malveillantes ? S’il n’y a aucun avantage, mais que tu as les « anticorps » pour résister à leur malveillance, alors tu peux interagir avec elles. As-tu cette assurance ? (Non.) Pourquoi devrais-tu éviter de telles personnes si tu n’as pas cette assurance ? Parce que derrière la malveillance, il y a deux autres choses : l’insidiosité et la fourberie. La plupart des gens qui manquent de compréhension de la vérité, d’expérience et de perspicacité sont facilement induits en erreur. Tu peux seulement être assujetti par eux, et à la fin, tu deviens leur captif. Devenir leur captif peut se produire de deux façons : soit tu ne peux pas les battre, et tu te sens sceptique dans ton cœur, mais par nécessité, tu dois te soumettre à eux verbalement ; soit il y a une autre manière par laquelle tu es complètement assujetti par eux. C’est parce que dans la nature malveillante des antéchrists, il y a quelque chose que les gens ne savent pas : ils peuvent utiliser divers moyens, discours, méthodes, stratégies, façons de faire, et faussetés pour te persuader de les écouter, pour te faire croire qu’ils ont raison, qu’ils sont justes et positifs, et même s’ils font le mal, violent les vérité-principes et révèlent des tempéraments corrompus, en fin de compte, ils retourneront les choses et feront croire aux gens qu’ils ont raison. Ils ont cette aptitude. Quelle est cette aptitude ? C’est celle d’avoir une grande capacité à induire en erreur. C’est cela, leur malveillance, qu’ils ont une grande capacité à induire en erreur. Dans leur cœur, les choses qu’ils aiment, qu’ils n’aiment pas, pour lesquelles ils ont de l’aversion, qu’ils estiment et qu’ils vénèrent sont formées par certains points de vue déformés. Ces points de vue comportent un ensemble de théories, toutes constituées de faussetés plausibles qui sont difficiles à réfuter pour les personnes ordinaires parce qu’ils n’acceptent pas la vérité du tout et peuvent même présenter des arguments sophistiqués pour leurs propres erreurs. Sans la vérité-réalité, tu ne peux pas les convaincre en échangeant sur la vérité avec eux. Le résultat ultime est qu’ils utilisent leurs théories creuses pour te réfuter, te laissant sans voix, et tu finis par succomber à eux progressivement. La malveillance de telles personnes réside dans le fait qu’elles ont une grande capacité à induire en erreur. Clairement, elles ne sont rien et gâchent tous les devoirs qu’elles accomplissent ; pourtant, en fin de compte, elles peuvent toujours induire en erreur certaines personnes pour qu’elles les vénèrent, qu’elles « se prosternent » à leurs pieds, et qu’elles deviennent obéissantes à leur égard. Ce genre de personnes peut faire passer le mal pour le bien, le noir pour le blanc. Elles peuvent inverser le vrai et le faux, attribuer les erreurs qu’elles ont commises aux autres, et s’attribuer le crédit des bonnes actions des autres comme si elles étaient les leurs. Avec le temps, tu finis par être confus, ne sachant pas qui elles sont vraiment. À en juger par leurs paroles, leurs actions et leur apparence, tu pourrais penser : « Cette personne est extraordinaire ; nous ne pouvons pas faire le poids face à elle ! » N’est-ce pas être induit en erreur ? Le jour où tu tombes dans la tromperie est le jour où tu tombes dans le danger. Une telle personne, qui induit en erreur les autres, n’est-elle pas tout simplement trop malveillante ? Quiconque écoute ses paroles peut être induit en erreur et perturbé, trouvant difficile de s’en remettre pendant un certain temps. Certains frères et sœurs peuvent la discerner et voir qu’elle est une personne qui induit les autres en erreur ; ils peuvent l’exposer et la rejeter, mais d’autres qui sont induits en erreur peuvent même la défendre, disant : « Non, la maison de Dieu est injuste envers elle ; je dois la défendre. » Quel est le problème ici ? Clairement, ils sont induits en erreur, mais ils défendent et justifient celui qui les a induits en erreur. Ces individus ne sont-ils pas des gens qui croient en dieu mais suivent un être humain ? Ils affirment croire en Dieu, mais pourquoi vénèrent-ils cette personne ainsi et la défendent-ils particulièrement ? Si ils ne peuvent pas repérer une affaire aussi évidente, n’ont-ils pas été induits en erreur dans une certaine mesure ? L’antéchrist a induit en erreur les gens au point qu’ils ne ressemblent plus à des humains, qu’ils n’ont plus un esprit pour suivre Dieu ; au lieu de cela, ils vénèrent et suivent l’antéchrist. Ces personnes ne trahissent-elles pas Dieu ? Si tu crois en Dieu, mais qu’Il ne t’a pas gagné, et que l’antéchrist a gagné ton cœur, et que tu le suis de tout ton cœur, cela prouve qu’il t’a éloigné de la maison de Dieu. Une fois que tu t’éloignes du soin et de la protection de Dieu, de la maison de Dieu, l’antéchrist peut te manipuler et jouer avec toi à sa guise. Quand il aura fini de jouer avec toi, il ne voudra plus de toi ; il induira alors en erreur d’autres personnes. Si tu continues à écouter ses paroles et que tu as encore une valeur à exploiter à ses yeux, il pourrait te laisser suivre le mouvement un peu plus longtemps. Cependant, s’il ne voit plus aucune valeur à exploiter en toi, s’il n’a plus aucun égard pour toi, alors il te rejettera. Peux-tu encore revenir à la croyance en Dieu ? (Non.) Pourquoi ne peux-tu plus croire ? Parce que ta foi initiale est partie ; elle s’est dissipée. C’est ainsi que les antéchrists induisent les gens en erreur et leur nuisent. Ils utilisent la connaissance et l’érudition que les gens vénèrent, associées à leurs dons, pour induire en erreur et contrôler les gens, exactement comme Satan a induit en erreur Adam et Ève. Peu importe la nature-essence des antéchrists, peu importe ce qu’ils aiment, détestent et estiment dans leur nature-essence, une chose est certaine : ce qu’ils aiment et ce qu’ils utilisent pour induire en erreur les gens va à l’encontre de la vérité, n’a rien à voir avec la vérité, et est hostile à Dieu – cela est certain. Souviens-toi de ceci : les antéchrists ne peuvent jamais être compatibles avec Dieu.

Dites-Moi, quel genre de personnes manifestent les signes et marques de la malveillance des antéchrists ? (Les personnes qui ont des dons.) Qui d’autre ? (Celles qui aiment se vanter.) Celles qui aiment se vanter, ce n’est pas assez malveillant. Même si elles aiment se vanter, elles n’ont pas le désir de contrôler les autres, elles ne sont pas allées aussi loin ; cela relève d’un tempérament corrompu. Réfléchissez-y en détail : quels individus montrent des signes et des marques qui te permettent de découvrir précocement, à partir des divers comportements et indications chez eux que ces misérables sont des antéchrists ? (Les personnes arrogantes qui aiment le statut.) L’arrogance et l’amour du statut sont partiellement pertinents, mais cela ne va pas assez loin. Laissez-Moi vous parler de quelque chose et écoutez et voyez si ce point est crucial ou non. Certaines personnes soulèvent constamment des points de vue qui diffèrent de la vérité et des choses positives. De l’extérieur, il pourrait sembler qu’elles veulent toujours épater la galerie et se démarquer des autres, mais ce n’est pas nécessairement le cas. Il se peut que leurs points de vue donnent lieu à ce genre de comportement extérieur. En fait, si elles adhèrent véritablement à de tels points de vue, il y aura un sérieux problème. Par exemple, lorsque tout le monde échange ensemble en disant : « Nous devons accepter cette affaire comme venant de Dieu. Si nous ne comprenons pas, nous devons d’abord nous soumettre », et que tout le monde est d’accord avec cela, ce point de vue est-il correct ? (Oui.) Ce principe de pratique fait-il fausse route ? (Non.) Alors, quel type de paroles les gens prononcent-ils les gens qui montrent qu’ils ont les signes et les marques du tempérament malveillant d’un antéchrist ? « La soumission est une chose, mais tu dois comprendre ce qui se passe, pas vrai ? Tout traiter sérieusement, pas vrai ? Tu ne peux pas te soumettre avec l’esprit confus ; dieu ne nous demande pas de nous soumettre avec désinvolture. » N’est-ce pas une sorte d’argument ? (Si.) Certaines personnes disent : « S’il y a quelque chose que nous ne comprenons pas, nous pouvons attendre patiemment, en cherchant à échanger avec quelqu’un qui comprend. Pour le moment, aucun de nous ne comprend, et nous ne parvenons à trouver aucune personne dotée de compréhension avec qui échanger. Alors, soumettons-nous d’abord. » Quel est le point de vue des antéchrists ? « Bande de mauviettes, vous vous soumettez à tout et écoutez dieu en toutes choses. Écoutez-moi ! Pourquoi personne ne m’a mentionné ? Laisse-moi te présenter une opinion profonde ! » Ils veulent partager leurs nobles points de vue. Ils s’opposent à ce que les gens pratiquent la vérité et à ce qu’ils respectent les vérité-principes. Ils veulent toujours se donner de grands airs, provoquer des disputes, recourir à des ruses malfaisantes, partager des points de vue élevés et amener les gens à les regarder différemment. N’est-ce pas un signe du tempérament malveillant des antéchrists ? N’est-ce pas leur marque de fabrique ? En quoi est-ce mal si tout le monde se soumette ? Même s’ils se soumettent bêtement : est-ce mal ? Dieu condamnerait-Il cela ? (Non.) Dieu ne le condamnerait pas. Quel droit ont-ils de faire entrave et de tout bouleverser ? Lorsqu’ils voient des gens se soumettre à Dieu, ressentent-ils de la colère dans leur cœur ? Lorsqu’ils sont témoins du fait que des gens se soumettent à Dieu, leur cœur développe du ressentiment, ils sont insatisfaits de ne pas en retirer de bénéfices, du fait que les gens ne leur obéissent pas, ne les écoutent pas, ne cherchent pas leurs conseils, et ils deviennent mécontents ; ils résistent dans leur cœur et se disent : « À qui te soumets-tu ? Te soumets-tu à la vérité ? Se soumettre à la vérité, c’est bien, mais nous devons l’étudier. Alors, quelle est la vérité ? Te soumets-tu de la bonne manière ? Ne devrais-tu pas au moins comprendre les tenants et aboutissants ? » N’est-ce pas là leur argument ? Que cherchent-ils à faire ? Ils veulent bouleverser les choses, fourvoyer les gens. Certaines personnes insensibles, lentes d’esprit et stupides, sont induites en erreur après avoir entendu cela, tandis que ceux qui ont du discernement réfutent ces idées en disant : « Qu’est-ce que tu fais ? Es-tu jaloux et envieux que je me soumette à Dieu ? Tu es mécontent quand je me soumets à Dieu, mais satisfait quand je t’obéis ? Est-ce correct uniquement si tout le monde t’obéit, t’écoute et fait tout ce que tu dis ? Ce que tu dis est-il conforme à la vérité ? » En voyant cela, ces gens se disent : « Certaines personnes ont du discernement ; je vais attendre pour l’instant. » En bref, lorsque tout le monde pratique conformément aux vérités-principes, ils n’ont qu’une hâte, c’est de quitter le navire. Plus tout le monde obéit à Dieu, se soumet aux arrangements de la maison de Dieu, pratique conformément aux paroles de Dieu, gère les affaires conformément aux arrangements de travail et aux principes, plus ils deviennent mal à l’aise, contrariés et inquiets. C’est là un signe de l’essence malveillante des antéchrists. Tant que tout le monde écoute les paroles de Dieu, pratique la vérité et gère les affaires conformément aux principes, ils se sentent mal à l’aise et agités. N’est-ce pas un problème ? (Si.) Si personne ne lit les paroles de Dieu, ou si quelqu’un les lit et n’échange pas à leur sujet, si les gens n’écoutent que les antéchrists, alors ces derniers sont ravis. Quel problème cela illustre-t-il ? Ils n’échangent jamais sur les paroles de Dieu. Tant que tout le monde échange calmement sur les paroles de Dieu et que les antéchrists voient que personne ne fait attention à eux, qu’on ne les écoute pas, qu’ils ne peuvent pas obtenir leur vénération, leur statut est menacé et ils sont en danger ; c’est alors qu’ils font entrave pour tout bouleverser, proposant une hérésie ou une idée fausse pour t’induire en erreur et te perturber, te laissant incertain quant à savoir si ce dont tu viens de discuter est bon ou mauvais. Juste au moment où tout le monde a enfin compris quelque chose grâce à l’échange, ils disent quelques paroles diaboliques pour semer la zizanie. N’est-ce pas là le tempérament malveillant des antéchrists ? À quelle manifestation ce tempérament malveillant correspond-il ? (L’hostilité envers la vérité.) Exactement. Plus tout le monde comprend la vérité, plus ils se sentent contrariés. N’est-ce pas de l’hostilité envers la vérité ? Cela n’y correspond-il pas ? (Si.) Avez-vous rencontré de telles personnes ? Pendant que tout le monde échange sur quelque chose, elles restent silencieuses pendant un long moment. Enfin, lorsqu’une certaine clarté apparaît dans l’échange, elles émergent et, après avoir émergé, elles posent une question difficile pour compliquer la tâche à ces gens. Leur intention est de dire : « Laissez-moi vous montrer, je vais vous montrer ce que je peux faire ! Vous échangez sur la vérité, vous ne m’écoutez pas, vous m’ignorez, vous ne vous souciez pas de moi et vous ne faites pas attention à moi, alors je vais poser une question difficile pour que vous échangiez dessus et que vous soyez tous embrouillés ! » N’est-ce pas là un démon ? (Si.) C’est un démon, un authentique antéchrist.

Certaines personnes se sentent particulièrement heureuses chaque fois qu’elles apprennent que quelqu’un est négatif ou faible. Elles se sentent particulièrement ravies lorsqu’elles voient quelqu’un perturber la vie de l’Église ou commettre des méfaits pour semer le chaos dans le travail de l’Église, ou encore lorsqu’elles sont témoins du fait que quelqu’un sème le trouble inconsidérément : elles ne demandent alors qu’à allumer des feux d’artifice et à fêter l’événement. Qu’est-ce qui ne va pas chez ces gens ? Pourquoi se réjouissent-ils tant du malheur des autres ? À ce moment crucial, pourquoi ne peuvent-ils pas se tenir du côté de Dieu, en défendant les intérêts de la maison de Dieu ? Ces personnes ne sont-elles pas des incrédules ? Ne sont-elles pas des laquais de Satan ? Vous vous demandez si vous manifestez de tels comportements et également vérifier s’il y a des personnes de ce genre autour de vous et voir comment discerner de tels individus, surtout lorsque vous voyez des personnes malfaisantes commettre des actes malfaisants : quelle est votre attitude ? Êtes-vous un simple badaud qui profite du spectacle, ou pourriez-vous aussi suivre ce chemin ? Êtes-vous une telle personne ? Certaines personnes refusent de réfléchir ainsi sur elles-mêmes. Elles n’aiment pas voir le bien chez les autres ; elles préfèrent que tout le monde soit pire qu’elles ; c’est à ce moment-là qu’elles ressentent de la joie. Par exemple, lorsqu’elles voient quelqu’un qui se dépense pour Dieu être émondé, ou lorsqu’une personne qui croit sincèrement en Dieu se livre à une transgression, elles se réjouissent secrètement et disent : « Ah, ton jour est venu aussi. Tu t’es dépensé pour dieu : qu’est-ce que ça donne pour toi ? Tu as été lésé, n’est-ce pas ? Tu as subi des pertes, n’est-ce pas ? À quoi bon te dépenser ? Tu dis toujours la vérité, et maintenant tu te fais émonder, pas vrai ? Tu le mérites ! » Pourquoi sont-elles si ravies ? Ne se réjouissent-elles pas du malheur des autres ? De telles personnes ne sont-elles pas malintentionnées ? Quand elles voient quelqu’un causer des perturbations dans le travail de la maison de Dieu, elles sont contentes. Quand elles voient le travail de la maison de Dieu subir des pertes, elles sont contentes. Qu’est-ce qui les réjouit ? Elles se disent : « Enfin, quelqu’un qui, comme moi, n’aime pas la vérité, a causé une perte aux intérêts de la maison de dieu, et il ne ressent absolument aucune culpabilité. » Voilà ce qui les réjouit. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) C’est extrêmement malveillant ! Y a-t-il des personnes comme cela parmi vous ? Il y a des personnes qui ne fredonnent jamais un air pas la plupart du temps, mais qui, dès qu’elles voient quelqu’un faire une erreur, commencent soudain à chanter, à balancer leur corps avec un air extrêmement satisfait, en se disant : « Aujourd’hui, j’ai enfin de bonnes nouvelles. Je suis tellement content, je vais prendre quelques bols de riz de plus ! » Quel genre de tempérament est-ce là ? C’est de la malveillance. Elles ne verseront pas une larme et ne ressentiront pas une seconde de tristesse au vu des pertes subies par la maison de Dieu. Elles ne ressentent aucune culpabilité, aucun chagrin ni aucune douleur. Au lieu de cela, elles se sentent heureuses et satisfaites parce que l’erreur de quelqu’un a conduit à des pertes pour les intérêts de la maison de Dieu et a fait honte au nom de Dieu. N’est-ce pas de la malveillance ? N’est-ce pas un signe du fait de posséder la nature malveillante des antéchrists ? C’est également un signe.

On dit que certains membres des équipes d’évangélisation sont des orateurs éloquents. Ils écoutent des sermons depuis des années et ont résumé un ensemble de doctrines, ils parlent beaucoup pour ne rien dire, ne manquant jamais de mots quand ils prêchent, ce qui montre pleinement leurs dons et leur éloquence. Certaines personnes considèrent ces individus comme très compétents et décident de les suivre. Que disent-elles finalement ? « Nous écoutons l’échange de cette personne, nous n’avons donc pas besoin d’écouter les sermons du supérieur ; nous n’avons pas besoin d’écouter non plus les paroles de dieu. L’échange de cette personne les remplace. » Ces personnes ne sont-elles pas en danger ? (Si.) Ces personnes sont en grand danger. Elles aiment les actions et comportements des antéchrists, ainsi que leur insolence, leur barbarie et leur malveillance. Elles aiment ce que les antéchrists aiment et ont de l’aversion pour les choses pour lesquelles les antéchrists ont de l’aversion. Elles aiment la connaissance, l’érudition, les doctrines, et les diverses théories théologiques, hérésies et idées fausses que prêchent les antéchrists. Elles vénèrent ces choses. Dans quelle mesure les vénèrent-elles ? Même dans leurs rêves la nuit, elles récitent ces paroles. Est-ce grave ? Lorsque leur vénération atteint ce niveau, ces personnes peuvent-elles encore suivre Dieu ? Certains pourraient dire : « C’est faux. Elles sont toujours dans l’Église, elles croient toujours en Dieu. » Elles n’en ont pas encore eu l’occasion. Une fois qu’elles trouvent la personne ou l’objet qu’elles veulent vénérer, elles peuvent quitter Dieu à tout moment. N’est-ce pas un signe de possession de l’essence malveillante des antéchrists ? (Si.) Pouvez-vous discerner de telles personnes quand vous les voyez ? (Oui.) Par le passé, vous ne connaissiez peut-être pas la gravité de telles questions. Maintenant, lorsque vous rencontrez à nouveau de telles personnes, auriez-vous encore dans votre esprit des questions à leur sujet ? Les ignoreriez-vous ? (Non.) Alors, as-tu acquis un certain discernement concernant ces personnes ? (Oui.) Ce sont quelques-uns des signes et des informations qu’elles révèlent. C’est-à-dire qu’une fois que ces personnes ont une opportunité ou un statut, ou que quelqu’un les induit en erreur, elles peuvent trahir Dieu à tout moment, n’importe où. Les gens peuvent-ils voir leurs révélations et leur essence malveillante ? Y a-t-il certaines traces que les gens peuvent voir ? (Oui.) Il devrait y en avoir. Si Je n’avais pas mentionné ces points, vous pourriez penser : « Qui manifeste ces marques ? Qui révèle ces signes ? Personne, je n’ai vu personne. » Grâce à Ma discussion sur ces signes, n’avez-vous pas découvert que de tels individus existent ? Certains d’entre eux sont des suiveurs, et certains sont des dirigeants et des ouvriers. C’est le troisième signe de possession de l’essence malveillante des antéchrists.

Les personnes qui possèdent l’essence malveillante des antéchrists ont un autre signe distinctif, quelque chose qu’elles ont toutes en commun. Ces personnes, sous couvert d’aimer la vérité et d’aspirer à la véritable voie, viennent assister aux sermons, apprennent divers connaissances et contenus liés à la vérité, et s’équipent de théories et de connaissances théologiques, utilisant ensuite ces théories et connaissances pour mener des batailles verbales avec les dirigeants et les ouvriers, les employant pour condamner certaines personnes, pour induire en erreur et persuader d’autres, et même pour donner des prétendus ravitaillement, assistance et abreuvement à certaines personnes. Cependant, un point lève toute ambigüité sur le fait qu’elles ne sont pas amatrices de la vérité. Quel est ce point ? C’est que peu importe comment ces personnes s’équipent et prêchent, elles se contentent de parler et dire des choses, ne faisant que s’armer, mais elles ne gèrent jamais les affaires selon les vérité-principes. Que signifie « jamais » ? Cela signifie qu’elles ne peuvent pas prononcer une seule parole vraie, n’ont jamais été honnêtes et n’ont jamais payé le prix du renoncement aux avantages du statut. Quelle que soit l’occasion, lorsqu’elles parlent et agissent, elles font toujours le maximum d’efforts pour le bien de leur propre gloire, profit et statut. Malgré la manière dont, de l’extérieur, elles semblent payer le prix et aimer la vérité, leur essence malveillante reste inchangée. Quel est le problème ici ? D’un côté, ces personnes ne cherchent jamais les vérité-principes dans leurs actions. D’un autre côté, même si elles connaissent les vérités-principes et le chemin de la pratique, elles ne les mettent pas en application. C’est un signe qu’elles possèdent l’essence malveillante des antéchrists. Peu importe qu’elles aient ou non un statut, et qu’elles fassent leur devoir de propager l’Évangile ou qu’elles soient des dirigeants et des ouvriers, quelle est leur caractéristique ? Elles peuvent seulement exprimer les bonnes doctrines, mais elles ne font jamais les bonnes choses. C’est leur caractéristique. Elles prononcent des doctrines plus clairement que quiconque, mais elles agissent de manière pire que quiconque ; n’est-ce pas malveillant ? C’est le quatrième signe de possession de l’essence malveillante des antéchrists. Vérifiez par vous-mêmes et évaluez s’il y a beaucoup de personnes autour de vous ayant l’essence malveillante des antéchrists. Après que J’ai dressé cette liste, vous pouvez évaluer s’il y a beaucoup de telles personnes autour de vous. Quel pourcentage représentent-elles ? Y a-t-il plus de dirigeants ou de croyants ordinaires ? Certains d’entre vous ne pensaient-ils pas auparavant que seuls les dirigeants avaient la possibilité de devenir des antéchrists ? (C’était ce que nous pensions auparavant.) Alors, ce point de vue a-t-il changé maintenant ? Les antéchrists ne deviennent pas des antéchrists parce qu’ils ont un statut ; ils étaient ces misérables même lorsqu’ils n’avaient pas de statut. C’est simplement que, par chance, ils se retrouvent dans une position de direction, et leurs véritables caractéristiques en tant qu’antéchrists sont rapidement révélées, un peu comme un champignon qui, avec la bonne température et le bon sol, fermente rapidement, révélant son vrai visage. S’il n’y a pas un environnement adéquat, il peut falloir un peu plus de temps pour que leur nature-essence soit révélée, mais cette révélation plus lente ne signifie pas qu’ils ne possèdent pas cette nature. Avec une telle nature, les gens, inévitablement, agiront et révéleront des choses, et ces comportements révélés sont des signes et des marques de l’essence malveillante des antéchrists. Une fois qu’ils possèdent ces signes et marques, ils peuvent être classés comme des antéchrists.

Dites-Moi, est-ce que pratiquer la vérité et gérer les affaires selon les vérités-principes nécessite diverses excuses et justifications ? (Non.) Tant qu’une personne a un cœur sincère, elle peut mettre la vérité en pratique. Les personnes qui ne pratiquent pas la vérité trouvent-elles diverses excuses ? Par exemple, lorsqu’elles font quelque chose de mal, vont à l’encontre des principes, et que quelqu’un les corrige, peuvent-elles écouter ? Elles n’écoutent pas. N’y a-t-il rien de plus que le fait qu’elles n’écoutent pas ? En quoi sont-elles malveillantes ? (Elles trouvent une excuse pour te persuader, te faisant penser qu’elles ont raison.) Elles trouveront une interprétation qui correspond à tes notions et produits de l’imagination, puis elles utilisent un ensemble de théories spirituelles que tu peux reconnaître et accepter, et qui sont conformes à la vérité, pour te convaincre, pour t’amener à les suivre, et pour te faire croire sincèrement qu’elles ont raison, tout cela dans le but d’induire les gens en erreur et de les contrôler. N’est-ce pas de la malveillance ? (Si.) C’est en effet de la malveillance. Clairement, elles ont fait quelque chose de mal, sont allées à l’encontre des principes et de la vérité dans leurs actions, et n’ont pas pratiqué la vérité, et pourtant elles trouvent un ensemble de justifications théoriques. C’est vraiment malveillant. C’est comme un loup qui mange un mouton ; il est dans la nature du loup de manger le mouton, et Dieu a créé ce type d’animal pour manger des moutons : le mouton est sa nourriture. Mais après en avoir mangé, le loup trouve encore diverses excuses. As-tu des réflexions à ce sujet ? Tu te dis : « Tu as mangé mon mouton, et maintenant tu veux que je pense que tu devais l’avoir mangé, que c’était raisonnable et approprié que tu le manges, et je devrais même te remercier. » Ne te sens-tu pas en colère ? (Si.) Pendant que tu es en colère, quelles pensées as-tu ? Tu te dis : « Ce type est trop malveillant ! Si tu veux le manger, vas-y, c’est ce que tu es ; manger mon mouton est une chose, mais tu trouves même tout un tas de raisons et d’excuses, et tu me demandes de me sentir reconnaissant envers toi en retour. N’est-ce pas confondre le bien et le mal ? » C’est de la malveillance. Quand un loup veut manger un mouton, quelles excuses trouve-t-il ? Le loup dit : « Petit agneau, aujourd’hui je dois te manger parce que je dois me venger de toi pour m’avoir insulté l’an passé. » L’agneau, se sentant lésé, dit : « Je n’étais même pas né l’an passé. » Quand le loup se rend compte qu’il s’est trompé et a mal calculé l’âge de l’agneau, il dit : « Bon, on ne comptera pas ça alors, mais je dois quand même te manger parce que la dernière fois, quand j’ai bu de l’eau de cette rivière, tu as sali l’eau, donc je dois me venger de toi. » L’agneau dit : « Je suis en aval de la rivière, et toi en amont. Comment pourrais-je salir l’eau en amont ? Si tu veux me manger, vas-y, mange-moi. Ne cherche pas diverses excuses. » C’est la nature du loup. N’est-ce pas de la malveillance ? (Si.) La malveillance du loup est-elle la même que celle du grand dragon rouge ? (Oui.) Cette description convient surtout au grand dragon rouge. Le grand dragon rouge veut arrêter les gens qui croient en Dieu ; il veut accuser ces gens de crimes. Alors, il crée d’abord certaines façades, il fabrique certaines rumeurs, puis les diffuse dans le monde afin de faire en sorte que le monde entier se soulève et te condamne. Il porte plusieurs accusations à l’encontre de ceux qui croient en Dieu, comme « perturbation de l’ordre public », « divulgation de secrets d’État », et « subversion du pouvoir de l’État ». Il répand aussi des rumeurs selon lesquelles tu as commis diverses infractions criminelles et porte ces accusations contre toi. Est-il acceptable que tu refuses de les admettre devant lui ? Est-ce une question de savoir si tu les admets devant lui ou non ? Non, ce n’est pas le cas. Une fois qu’il a décidé de t’arrêter, alors exactement comme un loup décidé à manger un mouton, il cherche diverses excuses. Le grand dragon rouge crée certaines façades, affirmant que nous avons fait quelque chose de mal alors qu’en réalité, ce sont d’autres personnes qui l’ont fait. Il rejette la faute et accuse l’Église à tort. Peux-tu discuter avec lui ? (Non.) Pourquoi ne peux-tu pas discuter avec lui ? Peux-tu avoir une discussion claire avec lui ? Penses-tu qu’en discutant avec lui et en expliquant la situation, il ne t’arrêtera pas ? Tu as une trop haute idée de lui. Avant que tu aies pu finir de parler, il t’attrapera par les cheveux, te frappera la tête contre le mur, puis te demandera : « Sais-tu qui je suis ? Je suis un démon ! » Ensuite, il y aura une raclée sévère, avec des jours et des nuits d’alternance entre interrogatoires et tortures, et à ce moment-là, tu commenceras à bien te comporter. À ce moment-là, tu te rendras compte : « Il n’y a pas de place pour le raisonnement ici ; c’est un piège ! » Le grand dragon rouge ne discute pas avec toi ; penses-tu qu’il crée ces façades involontairement, par hasard ? Il y a une conspiration derrière cela, et il a déjà planifié le prochain coup. Ce n’est qu’un prélude à ses actions. Certaines personnes pourraient encore penser : « Ils ne comprennent pas les questions liées à la croyance en Dieu ; si je leur explique, tout ira bien. » Peux-tu expliquer cela clairement ? Il t’a accusé à tort de quelque chose que tu n’as pas fait : peux-tu encore expliquer les choses clairement ? Lorsqu’il t’a accusé à tort, ne savait-il pas que tu ne l’avais pas fait ? Ignore-t-il qui l’a fait ? Il le sait très bien ! Alors, pourquoi t’en attribue-t-il la faute ? Tu es la personne qu’il capture. Penses-tu que lorsqu’il t’accuse, il ne sait pas que tu es traité injustement ? Il veut te traiter injustement et t’arrêter et te persécuter. Cela est de la malveillance.

Toute personne ayant l’essence malveillante des antéchrists a de l’aversion pour la vérité et la hait dans son essence. Dans son cœur, elle n’accepte pas la vérité le moins du monde et n’a aucune intention de la pratiquer. Si tu penses qu’elle manque de compréhension de la vérité et essaies d’échanger avec elle à ce sujet, que se passera-t-il en conséquence ? Tu te heurteras à un mur ; tu as trouvé la mauvaise personne. Elle n’est pas une personne qui accepte la vérité, et tu ne devrais pas échanger avec elle ; au lieu de cela, tu devrais lui donner une leçon et être sévère avec elle, en disant : « Depuis combien de temps fais-tu ton devoir ? Comment peux-tu traiter ton devoir comme une affaire insignifiante ? Est-ce ton propre travail ? Qui défies-tu ? Tu n’es pas contre moi ; tu es contre Dieu et la vérité ! » Ne faut-il pas lui donner une leçon ? Est-il utile d’échanger sur la vérité avec elle ? Non. Pourquoi cela n’est-il pas utile ? C’est un loup, pas une brebis perdue ou égarée. Un loup peut-il pratiquer la vérité ? Non. Quelle est la nature d’un loup ? (La malveillance.) Dès qu’il voit un mouton, il commence à baver, ses yeux remplis d’images de nourriture délicieuse, et le mouton est destiné à être son ravitaillement. C’est sa nature ; c’est la malveillance. Si tu lui dis : « Les moutons sont si pitoyables et doux ; s’il te plaît, ne les mange pas. Choisis un autre animal féroce à manger, d’accord ? » Peut-il comprendre ? Il en est incapable. C’est sa nature. Certaines personnes ne pratiquent pas la vérité et trouvent diverses excuses : c’est leur nature. Quelle est cette nature ? C’est la malveillance. Peu importe à quel point leurs actions sont basses, rebelles ou opposées de façon flagrante aux principes, elles veulent quand même sauver la face ; même si elles vont à l’encontre de la vérité, elles veulent le faire d’une manière grandiose et digne. N’est-ce pas de la malveillance ? Violer la vérité est-il quelque chose de positif ou de négatif ? (Négatif.) Comment quelque chose de négatif peut-il être fait de manière grandiose, digne et honorable ? N’est-ce pas un peu étrange d’essayer de combiner ces deux aspects ? C’est la malveillance : c’est le comportement et la manifestation de ceux qui possèdent l’essence malveillante des antéchrists. Cela peut sembler contradictoire, mais c’est exactement comme cela qu’ils fonctionnent, c’est leur tempérament et ce qu’ils révèlent. Ils nourrissent une haine pour la vérité, ne l’acceptant jamais ; ce sont des antéchrists, et c’est la nature-essence malveillante des antéchrists. Combien de points comporte l’essence malveillante des antéchrists ? (Quatre points.) Il y en a quatre en tout. Ces quatre signes ne sont-ils pas suffisants pour vous permettre de procéder à un discernement ? La malveillance contient intrinsèquement des éléments insidieux et fourbes, et lorsque ces éléments insidieux et fourbes atteignent leur paroxysme, ils sont classés comme un tempérament malveillant. Les antéchrists incarnent ce type de tempérament malveillant.

Le 3 septembre 2019

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