Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie II)

Supplément : Bref échange sur trois aspects de l’humanité normale

Nous ne raconterons pas d’histoires dans notre échange cette fois-ci. Nous allons commencer par un sujet qui est souvent discuté : qu’est-ce que l’humanité. Nous avons beaucoup parlé de ce sujet dans le passé, et nous le faisons maintenant aussi. C’est un sujet fréquemment évoqué, un problème que l’on rencontre chaque jour dans sa vie quotidienne, un sujet que l’on peut rencontrer et expérimenter tous les jours. Le sujet est : qu’est-ce que l’humanité. L’humanité englobe plusieurs choses importantes. Quelles sont les manifestations communes de l’humanité dans la vie quotidienne ? (L’intégrité et la dignité.) Quoi d’autre ? La conscience et la raison, n’est-ce pas ? (Oui.) Vous en parlez souvent. Y en a-t-il d’autres dont vous ne parlez pas souvent ? En d’autres termes, quels sont les sujets que vous n’abordez pas dans votre discours habituel sur l’humanité ? La conscience et la raison, l’intégrité et la dignité – ces sujets sont de vieilles normes que l’on rencontre régulièrement. Quelle est l’importance du lien entre la conscience, la raison, l’intégrité et la dignité dont vous parlez souvent et votre vraie vie ? Comment ce matériel a-t-il enrichi et aidé votre pratique et l’entrée dans votre vraie vie ? À quel point cela a-t-il été bénéfique ? Quels sont donc les autres éléments qui se rapportent de près à votre vie quotidienne, à la vie humaine normale ? Je vais en citer quelques-uns, et nous verrons s’il s’agit de sujets que vous rencontrez régulièrement. Avec notre matériel qui implique l’humanité, nous mettrons d’abord de côté si le matériel est positif ou négatif, et s’il se rapporte à une humanité normale ou anormale. Au-delà des éléments que nous venons de mentionner, il y a celui de l’attitude des gens dans leur traitement de divers types de personnes, d’évènements et de choses dans leur vie quotidienne. N’est-ce pas celui-là ? Cela ne concerne-t-il pas l’humanité ? (Si.) Il y en a un autre, qui est la gestion par les gens de leur environnement personnel dans leur vie quotidienne, et un autre encore, l’attitude et le comportement des gens dans leurs contacts avec le sexe opposé. Ces trois éléments sont-ils liés à l’humanité ? (Oui.) Ils le sont tous. Pour le sujet dont nous allons discuter maintenant, nous allons mettre de côté les sujets de la poursuite de la vérité par l’homme, comment entrer dans la vérité-réalité dans sa croyance en Dieu, et comment défendre tous les divers principes, et ne parler que de l’humanité. Alors, ces trois éléments – leur lien avec l’humanité est-il substantiel ? (Oui.) Quels sont ces trois éléments ? Reformulez-les. (Le premier est l’attitude des gens par rapport à leur traitement de divers types de personnes, d’évènements et de choses dans leur vie quotidienne. Le second est la gestion par les gens de leur environnement personnel dans leur vie quotidienne. La troisième est l’attitude et le comportement des personnes dans leurs contacts avec le sexe opposé dans leur vie quotidienne.) Et qu’est-ce que ces trois éléments impliquent ? (L’humanité.) Pourquoi disons-nous que ces trois éléments impliquent l’humanité, qu’ils sont liés à elle ? Pourquoi présenterions-nous ces trois-là ? Pourquoi ne parlons-nous pas de la partie conscience et raison ? Pourquoi mettons-nous de côté les aspects dont nous discutons couramment pour parler de ces trois éléments ? Ces trois éléments sont-ils plus avancés ou plus rudimentaires que la conscience, la raison, l’intégrité et la dignité qui se rapportent à l’humanité, dont nous avons déjà discuté avant ? (Ils sont plus rudimentaires.) Est-ce alors vous rabaisser pour discuter de ces choses ? (Non.) Alors, pourquoi en discuterions-nous ? (Elles sont concrètes.) Elles sont concrètes. C’est la raison que vous avez ? Pourquoi allons-nous en parler ? Parce que J’ai trouvé des problèmes ; en ce qui concerne les conditions telles qu’elles sont et les divers comportements qui apparaissent dans la vie quotidienne des gens, J’ai trouvé quelques problèmes qui sont étroitement liés à la vraie vie des gens, et il est nécessaire de les exposer, un par un, pour l’échange. Si les gens mettent de côté la vraie vie et les divers comportements de l’humanité normale et de la vie quotidienne, dans leur croyance en Dieu, et poursuivent avec obstination la vérité – des vérités aussi profondes que celle d’être une personne que Dieu aime – dites-Moi, à quels problèmes cela mènera-t-il ? Quelle est la condition fondamentale pour que quelqu’un puisse entrer dans la vérité-réalité dans sa poursuite de la vérité ? (Il doit le faire dans la vraie vie.) Quoi d’autre ? (Il a besoin d’une humanité normale.) C’est exact – Il doit être doté d’une humanité normale qui, outre la conscience, la raison, l’intégrité et la dignité, se compose des trois éléments que nous venons d’évoquer. Il serait un peu creux pour quelqu’un de parler de poursuite et de recherche de la vérité s’il ne pouvait pas vivre selon les normes ou atteindre la normalité dans ces trois domaines qui touchent à l’humanité. La poursuite de la vérité, l’entrée dans la vérité-réalité, le salut – ceux-ci ne sont pas réalisables par tout le monde, mais seulement par la minorité de personnes qui aiment la vérité et qui ont une humanité normale. Si l’on ne sait pas ce qu’une personne dotée d’une humanité normale devrait posséder, ni ce qu’elle devrait faire, ni quel type d’attitude et de point de vue elle devrait avoir à l’égard de certaines personnes, de certains évènements et de certaines choses, cette personne est-elle capable d’entrer dans la vérité-réalité ? Sa poursuite de la vérité peut-elle produire des résultats ? Malheureusement, non.

A. Attitude des gens dans leur traitement de divers types de personnes, d’évènements et de choses

Nous commencerons par l’échange sur le premier point qui concerne l’humanité : l’attitude des gens dans leur traitement de divers types de personnes, d’évènements et de choses dans leur vie quotidienne. Tout le monde comprend ce que signifie « la vie quotidienne ». Cela n’a pas besoin d’élaboration. Quels sont donc les principales personnes, les principaux évènements et les principales choses qui se rapportent à l’humanité ? Qu’y a-t-il là-dedans qui s’élève au niveau de l’humanité normale, qui est en rapport avec sa portée, qui la touche ? (S’engager avec les gens et les choses.) Cela en fait partie. Il y a aussi les connaissances et les compétences professionnelles qu’il faut acquérir, et il y a des connaissances générales pour la vie quotidienne. Ce sont tous des domaines que quelqu’un avec une humanité normale devrait comprendre et posséder. Certaines personnes, par exemple, apprennent la menuiserie ou la maçonnerie, et d’autres apprennent à conduire ou à réparer des voitures. Il s’agit de compétences, d’artisanat, et connaître un métier manuel, c’est être versé dans le commerce professionnel de ce métier manuel. Alors, à quel degré et à quel niveau quelqu’un doit-il apprendre une compétence pour être compté comme un spécialiste ? Il doit au moins être en mesure de produire un produit fini selon une norme acceptable. Certaines personnes font un travail assez bâclé. Les travaux qu’elles exécutent ne sont pas à la hauteur, voire insupportables à regarder. Quel est le problème ici ? Cela a trait à leur attitude envers leur métier. Certaines personnes n’ont pas une attitude consciencieuse. Elles pensent : « Si ce que je fais atteint le résultat escompté, c’est suffisant. Contentez-vous-en pendant quelques années, puis réparez-le. » Ce genre de point de vue est-il celui que devraient avoir les personnes dotées d’une humanité normale ? (Non.) Certaines personnes ont des attitudes désinvoltes et indifférentes. « Assez bien » est bien pour eux. C’est une attitude irresponsable. Traiter les choses avec tant de désinvolture et d’irresponsabilité est la marque d’un tempérament corrompu : c’est l’abjection dont parlent souvent les gens. Dans tout ce qu’ils font, les gens agissent jusqu’au stade de « c’est à peu près ça » ou « ça ira bien comme ça ». Voilà une attitude qui fait la part belle aux « peut-être », aux « probablement », aux « quatre sur cinq ». Ils font les choses de manière superficielle, se satisfont du minimum et se contentent de s’en sortir en mystifiant les autres ; ils ne voient pas l’intérêt de prendre les choses au sérieux ou d’être méticuleux, et encore moins de rechercher les vérités-principes. Cela ne relève-t-il pas d’un tempérament corrompu ? Cela est-il une manifestation de l’humanité normale ? Pas du tout. On peut à juste titre parler d’arrogance, et l’utilisation du qualificatif « dissolu » est tout aussi approprié. Mais pour désigner parfaitement ce trait, le seul mot qui convienne est celui d’« abject ». Cette abjection est présente chez la plupart des gens, simplement à des degrés divers. En tout, ils souhaitent faire les choses de manière superficielle et brouillonne, et il y a un soupçon de tromperie dans tout ce qu’ils font. Ils dupent les autres quand ils le peuvent, prennent des raccourcis quand ils en ont la possibilité, gagnent du temps quand ils le peuvent. Ils se disent : « Tant que j’évite d’être révélé, que je ne crée pas de problèmes et que je n’ai pas de comptes à rendre, alors je peux me débrouiller avec ça. Je n’ai pas besoin de faire un très bon travail, c’est trop compliqué ! » Quand ils apprennent quelque chose, ces gens ne vont jamais jusqu’à la maîtrise, et ils ne s’appliquent pas, ou ne souffrent pas et ne paient pas de prix, dans leurs études. Ils ne veulent qu’effleurer la surface d’un sujet, puis se déclarent compétents en la matière, croyant avoir appris tout ce qu’il y avait à savoir, et ensuite, ils comptent sur cela pour continuer à prospérer dans l’à-peu-près. N’est-ce pas une attitude répandue vis-à-vis des autres gens, évènements et choses ? Est-ce une bonne attitude ? Ça ne l’est pas. Autrement dit, c’est « faire dans l’à-peu-près ». Une telle abjection existe dans toute l’humanité corrompue. Les gens dont l’humanité est abjecte pensent et agissent « dans l’à-peu-près » dans tout ce qu’ils font. De telles personnes sont-elles capables de faire leur devoir correctement ? Non. Sont-elles capables de faire les choses avec principe ? C’est encore plus improbable.

Certaines personnes ne s’engagent pas dans ce qu’elles font, mais sont désordonnées, superficielles et irresponsables. Certains, par exemple, apprennent à conduire, mais ne demandent jamais aux conducteurs expérimentés à quoi ils doivent faire attention lorsqu’ils conduisent, ou à quelle vitesse ils risquent d’endommager le moteur. Ils ne demandent pas, ils conduisent – et ils cassent donc leur voiture. Ils poussent la voiture et disent : « Cette chose est fragile. Donnez-moi une Mercedes ou une BMW, ce vieille carriole ne fera pas l’affaire – elle est obsolète ! » Quelle est cette attitude ? Ils ne traitent pas les choses matérielles avec amour et ne pensent pas à les garder en bon état, mais les détruisent et les gâchent exprès. Certaines personnes vivent des vies désordonnées et négligentes. Elles font tout, toute la journée, de manière bâclée et négligente. Quel genre de personnes sont-elles ? (Des personnes inattentives.) Des « personnes inattentives » est une façon agréable de le dire – on devrait les appeler des « personnes négligentes », des « personnes méprisables » convient aussi. Est-ce excessif ? Comment faire la différence entre les gens nobles et les gens méprisables ? Regardez simplement leur attitude et leurs actes à l’égard de leurs devoirs, et regardez comment ils traitent les choses et comment ils se comportent quand des problèmes surgissent. Les gens dotés d’intégrité et de dignité sont méticuleux, consciencieux et diligents dans leurs actions, et ils sont prêts à payer un prix. Les gens dépourvus d’intégrité et de dignité sont négligents et peu soignés dans leurs actions, toujours prêts à quelque mauvais coup, toujours disposés à faire dans l’à-peu-près. Quelle que soit la technique qu’ils étudient, ils ne l’apprennent pas avec application, ils sont incapables de l’apprendre, et quel que soit le temps qu’ils passent à l’étudier, ils restent complètement ignorants. Ces gens ont un faible caractère. La plupart des gens sont superficiels dans l’exécution de leurs devoirs. Quel tempérament est en jeu ici ? (Le fait d’être abject.) Comment les gens abjects traitent-ils leur devoir ? Assurément, ils n’ont pas la bonne attitude à son égard, et ils sont certainement superficiels le concernant. Cela signifie qu’ils n’ont pas une humanité normale. Sérieusement, les gens abjects sont comme des animaux. C’est comme garder un chien comme animal de compagnie : si tu ne le surveilles pas, il va mâcher des choses et détruire tous tes meubles et tes appareils électroménagers. Ce serait une perte. Les chiens sont des animaux ; ils ne pensent pas à traiter les choses avec amour, et tu ne peux pas discuter avec eux – il faut que tu t’en occupes. Si tu ne le fais pas, mais laisses un animal se déchaîner et perturber ta vie, cela montre qu’il manque quelque chose dans ton humanité. Tu n’es donc pas très différent d’un animal. Ton QI est trop bas – tu es un bon à rien. Alors, comment les gères-tu correctement ? Tu dois penser à un moyen de les maîtriser selon certains critères, ou de les garder en cage, en les laissant sortir à deux ou trois heures fixes chaque jour, afin qu’ils soient suffisamment actifs. Cela freinera leur mastication gratuite et leur fournira également de l’exercice pour les garder en bonne santé. De cette façon, le chien est bien géré et ton environnement est également protégé. Si une personne ne peut pas gérer les choses auxquelles elle fait face et qu’elle n’a pas la bonne attitude, il lui manque quelque chose dans son humanité. Cela ne peut pas répondre aux critères d’une humanité normale. Ou, en termes de cuisine : les gens ordinaires utilisent juste un peu d’huile lorsqu’ils font un sauté, mais certaines femmes en utilisent beaucoup. Même si tu es riche, tu ne peux pas gaspiller de l’huile – tu dois en utiliser une quantité raisonnable. Mais ces femmes ne s’en soucient pas ; si elles perdent leur emprise et versent trop d’huile dans un sauté, elles retirent simplement le surplus et le jettent par terre. C’est du gaspillage, n’est-ce pas ? Comment appelle-t-on quelqu’un avec cette attitude envers les choses matérielles ? « Quelqu’un d’extravagant » – ou, comme une insulte, un « panier percé. » D’où viennent les choses matérielles ? Elles sont données par Dieu. Certaines personnes disent qu’elles ont gagné leurs biens – mais combien pourrais-tu gagner si cela n’était pas donné par Dieu ? Il t’a donné ta vie. S’Il ne t’avait pas donné ta vie, tu n’aurais rien et tu ne serais rien, alors pourrais-tu encore avoir ces choses matérielles ? Dieu t’a peut-être donné plus que la moyenne des ménages, mais l’attitude et le point de vue avec lesquels tu les gaspillerais sont-ils les bons ? Comment cela doit-il être caractérisé en termes d’humanité ? Une telle personne est d’une humanité pauvre. L’extravagance, le gaspillage de choses, le fait de ne pas savoir traiter les choses avec une attention bienveillante – une telle personne n’a pas une humanité normale. Certaines personnes ne pensent même pas à gérer les choses de la maison de Dieu avec soin. Quelque chose appartient à la maison de Dieu. Elles le voient. Pourtant, s’il était sur le point de pleuvoir, et que ce ne serait pas bien que cette chose soit mouillée, que penseraient-elles ? « Ce n’est pas grave si elle est mouillée. Ce n’est pas comme si c’était à moi. Je ne vais pas m’en préoccuper. » Ensuite, elles s’éloigneraient. Comment s’appelle cette attitude ? L’égoïsme. Sont-elles droites dans leurs pensées ? Si non, que sont-elles ? (Tortueuses.) Si une personne n’est pas droite, alors n’est-elle pas tortueuse ? Les gens qui ne sont pas droits dans leur façon de penser ont-ils une humanité normale ? Certainement pas. Pour notre premier élément, l’attitude des gens dans leur traitement de divers types de personnes, d’évènements et de choses, de combien de choses avons-nous maintenant parlé ? Il y a le fait d’être abject, la racaille. Quoi d’autre ? (Être abject et tortueux.) Un tel langage familier – utilisez-vous des mots comme ceux-ci lorsque vous réfléchissez, apprenez à vous connaître et vous disséquez dans votre vie quotidienne ? (Non.) Personne ne le fait. Alors, quels mots utilisez-vous ? Vous parlez en termes grandioses – personne n’utilise un tel langage familier.

Beaucoup de gens se sentent assez géniaux parce qu’ils croient en Dieu. Ceux qui ont des compétences et un savoir-faire professionnel, ou même des diplômes supérieurs, en particulier, se sentent au-dessus des gens ordinaires. Satisfaits d’eux-mêmes, ils pensent : « J’ai même abandonné la solide carrière que j’avais dans le monde, et je ne suis pas venu à la maison de Dieu pour un repas gratuit. Quelqu’un d’aussi qualifié que moi peut apporter une contribution dans la maison de Dieu. Je me dépense et souffre pour Dieu. Je partage même le gîte et le couvert avec ces gens ordinaires, dans une vie communautaire. Quelle grandeur de qualité je possède ! » Ils pensent qu’ils ont une intégrité particulièrement honorable, qu’ils sont plus nobles que tout le monde. Ils y prennent une joie constante. Le fait est qu’il manque tellement de choses à leur humanité, et non seulement ils ne le savent pas, ils sont sur un nuage, pensant qu’ils sont géniaux, que leur caractère est plus grand que celui des gens ordinaires. En fait, il n’y a rien là-dedans qui correspondrait à la définition du mot « normale » qui qualifie « humanité » dans « humanité normale. » Rien là-dedans n’est à la hauteur de cette norme ; tout est tellement insuffisant. Leur conscience ? Ils n’en ont pas. Leur caractère ? Il n’est pas bon. Leur intégrité et leurs qualités ? Rien de tout cela n’est bon. Dans une vie en communauté, quand certaines personnes ont quelque chose de précieux, elles n’oseront pas le laisser à la vue de tous. Pourquoi cela ? En partie parce qu’elles ne font pas confiance aux autres, et d’autre part parce qu’il y a beaucoup de gens, des personnes peu fiables, et certaines d’entre elles pourraient avoir des tendances kleptomanes – elles pourraient même voler. Ces gens ont un caractère médiocre. Certaines personnes ont entrepris de choisir les meilleurs morceaux quand elles mangent, et elles les mangent pour être rassasiée, peu importe le nombre de personnes derrière elles qui n’ont pas mangé. N’est-ce pas vraiment égoïste ? Certaines personnes considèrent les autres quand elles mangent. Qu’est-ce que cela illustre ? Cela montre que ces dernières sont des personnes raisonnables qui gardent les autres à l’esprit. Elles mangeront un peu moins, afin d’en laisser pour les autres. C’est ce que signifie être quelqu’un de qualité. Dans la maison de Dieu, certaines personnes ont de l’humanité, tandis que d’autres ne sont pas à la hauteur. Elles ne peuvent même pas répondre aux normes de l’humanité normale. En considérant les comportements que J’ai mentionnés, y a-t-il beaucoup de personnes avec une humanité normale parmi vous ? Ou n’y en a-t-il pas beaucoup ? Lorsque vous affichez habituellement de tels comportements, êtes-vous capables de réaliser qu’il s’agit de problèmes ? Lorsque tu révèles un tempérament corrompu, en es-tu conscient ? Si tu en es conscient, que tu peux le ressentir et que tu es prêt à faire un changement, alors tu as un peu d’humanité – la normalité n’est tout simplement pas atteinte. Si tu n’en es même pas conscient, alors peux-tu être considéré comme quelqu’un ayant de l’humanité ? Tu ne peux pas. Ce n’est pas une question de bonne ou de mauvaise humanité, normale ou anormale – tu n’as aucune humanité. Aux repas, par exemple, il y a des gens qui voient une assiette de porc braisé sortir et commencent à la saisir, des morceaux gras et maigres, et ne s’arrêtent pas tant que tout n’est pas parti. Avez-vous déjà vu des animaux se battre pour de la nourriture ? (Oui.) C’est la même scène, mais avec des animaux ; avec des humains, est-ce que combattre fait partie de l’humanité normale ? (Ce n’est pas une humanité normale.) Que feraient les gens d’humanité normale ? (Ils seraient satisfaits de ce qu’ils ont, et non avides.) C’est une façon assez factuelle de le dire. Comment ne pas être gourmand, alors ? Quelles sont les pensées et les considérations sur cette question que les personnes ayant une humanité normale devraient avoir, à travers laquelle on peut continuer à agir avec précision ? Premièrement, ta pensée doit être correcte. Une femme, par exemple, penserait : « Il y a beaucoup de porc braisé aujourd’hui. J’aimerais en avoir plus, mais je suis un peu gênée, vu que je suis entourée de mes frères. Que devrais-je faire ? Je suppose que je vais attendre pour manger jusqu’à ce qu’ils se se soient servis. Je ne voudrais pas que les autres se demandent comment une dame comme moi peut être une telle gloutonne. Comme ce serait humiliant ! » Penser comme ça serait normal pour une femme, car elle est généralement un peu plus subtile. La plupart des hommes penseraient : « Le porc braisé est incroyable. Je vais juste y aller et me servir. » Ils seraient les premiers à l’atteindre avec leurs fourchettes, sans se soucier de ce que les autres pensent. Mais certains hommes sont plus rationnels que cela. Après avoir pris une bouchée, ils y réfléchissent un peu : « Il y a tellement de gens derrière moi qui n’ont pas encore mangé. Je dois m’arrêter et en laisser pour les autres. » Le fait qu’ils puissent penser et agir ainsi montre qu’ils sont une personne raisonnable, qu’ils ont intrinsèquement une humanité normale. Certaines personnes partent sur une tangente absurde : « Dieu ne veut pas que les gens mangent du porc braisé, alors je n’en prendrai même pas une bouchée. Cela signifie que j’ai encore plus d’humanité, n’est-ce pas ? » C’est une pensée absurde. Qu’est-ce que Je démontre avec cet exemple ? Que les gens devraient adopter une attitude correcte envers chaque type de personne, d’évènement et de chose. On arrive à cette attitude correcte par la pensée qui est entreprise du point de vue de la rationalité, de la conscience, de l’intégrité et de la dignité de l’humanité. Si tu pratiques avec ce genre d’état d’esprit, tu seras fondamentalement en phase avec l’humanité normale.

L’attitude que l’on a envers les personnes, les évènements et les choses n’est rien d’autre que la façon dont l’engagement avec les gens et les choses se manifeste dans la vie quotidienne. Ces manifestations peuvent ne pas avoir grand-chose à voir avec le travail que tu as à faire, ou elles peuvent en être éloignées, mais la croyance en Dieu n’est pas creuse : les croyants en Dieu ne vivent pas dans le vide, mais dans la vraie vie. Elles ne doivent pas être détachées de la vraie vie. Quel genre d’attitude et de réflexion les gens devraient-ils avoir, que ce soit envers les compétences professionnelles ou envers la sagesse commune ou la connaissance de quelque chose ? Est-il juste d’avoir toujours un état d’esprit qui pousse à se débrouiller tant bien que mal ? Certaines personnes sont toujours dans la confusion à propos de ces choses – cela fonctionnera-t-il ? N’ont-elles pas un problème avec leur point de vue ? Un problème avec leur point de vue en fait partie ; cela a à voir en plus avec leur caractère. Le grand dragon rouge a régné sur la Chine pendant des milliers d’années, toujours engagé dans des campagnes et des luttes. Il ne développe pas l’économie et ne se préoccupe pas de la vie des gens ordinaires. Finalement, les gens ont nourri une sorte d’abjection en cédant au laisser-aller. Dans tout ce qu’ils font, ils sont superficiels et entretiennent une perspective à courte vue. Ils ne visent l’excellence dans aucune de leurs études ni ne peuvent y parvenir. Ils opèrent toujours avec une perspective à courte vue : ils regardent ce dont le marché a besoin, puis se précipitent pour le produire, sans réfléchir, jusqu’à ce qu’ils aient fait fortune. Ils ne se développent pas davantage à partir de cette fondation, ni ne poursuivent leurs recherches scientifiques, ni ne s’efforcent de se rapprocher de l’excellence, avec pour résultat final que les industries légères, les industries lourdes et tous les autres secteurs de la Chine n’ont pas de produits de pointe sur la scène mondiale. Pourtant, les Chinois se vantent : « Nous avons 5 000 ans de culture traditionnelle de premier ordre ici en Chine. Nous, les Chinois, sommes gentils et travailleurs. » Pourquoi la Chine continue-t-elle alors à faire des contrefaçons pour arnaquer les gens ? Pourquoi n’a-t-elle presque rien qui pourrait rivaliser sur le marché mondial ? Que se passe-t-il ici ? La Chine a-t-elle des produits de pointe ? Les Chinois ont quelque chose « de pointe », et c’est leur habileté à imiter et à contrefaire – à tromper. Le fait d’être abject est présent en cela. Certains diront : « Pourquoi voudrais-Tu nous dépeindre comme ça ? Cela nous rabaisse et nous humilie. » Est-ce le cas ? En regardant certaines des choses que font les Chinois, cela pourrait être vrai. Y a-t-il des Chinois, sur le marché ou parmi les gens ordinaires, qui s’acquittent de leur propre travail ? Très peu, et ceux qui s’y efforcent quand ils voient à quel point l’environnement social est défavorable, et que rien de bien n’arrive à ceux qui s’acquittent de leur travail, ils n’essaient plus et abandonnent.

Ces choses qui ont trait à l’humanité – les attitudes, les pensées et les opinions que les gens révèlent dans leur traitement des autres personnes, des évènements et des choses – sont très révélatrices. Que révèlent-elles ? Elles racontent comment on peut voir le caractère d’une personne, s’il s’agit d’une personne décente et droite. Qu’est-ce que c’est d’être décent et droit ? Est-ce qu’être traditionnel est décent et droit ? Est-ce qu’être civil et bien élevé est décent et droit ? (Non.) Est-ce que suivre les règles à la lettre est décent et droit ? (Non.) Rien de tout cela ne l’est. Alors qu’est-ce que c’est que d’être décent et droit ? Si quelqu’un est une personne décente et droite, alors, peu importe ce qu’elle fait, elle le fait avec une certaine mentalité : « Peu importe si j’aime faire cette chose ou non, ni si cela relève de mes intérêts ou si c’est quelque chose pour lequel j’ai peu d’intérêt – cela m’a été donné pour que je le fasse, et je le ferai bien. Je vais commencer à l’étudier à partir de zéro et avec les pieds sur terre. Je l’entreprendrai une étape à la fois. En fin de compte, peu importe jusqu’où j’irai dans cette tâche, j’aurai fait de mon mieux. » À tout le moins, tu dois posséder une sorte d’attitude et de mentalité terre-à-terre. Si, à partir du moment où tu prends en charge une tâche, et la fais dans la confusion et tu ne t’en soucies pas le moins du monde – si tu ne la traites pas sérieusement, et si tu ne se réfères pas aux ressources pertinentes, ne fais pas de préparatifs détaillés, ni ne cherches et ne consultes les autres, et si, en plus de cela, tu ne passes pas plus de temps à l’étudier afin de pouvoir constamment t’améliorer, atteindre la maîtrise de cette compétence ou profession, mais que tu maintiens une attitude cavalière à son égard et une attitude où tu la traites juste superficiellement, alors il y a un problème dans ton humanité. N’est-ce pas simplement se débrouiller tant bien que mal ? Certains disent : « Je n’aime pas que tu me donnes ce genre de devoir. » Si tu ne l’aimes pas, tu ne l’accepte pas – et si tu ne l’acceptes pas, tu dois l’aborder avec une attitude sérieuse et responsable. C’est le genre d’attitude que tu devrais avoir. N’est-ce pas ce que les gens avec une humanité normale devraient posséder ? C’est être décent et droit. Dans cet aspect de l’humanité normale, tu as besoin, à tout le moins, d’attention, de conscience et d’une volonté de payer un prix, ainsi que d’attitudes terre-à-terre, sérieuses et responsables. Avoir ces choses est suffisant.

Il y a toutes sortes de gens dans l’Église. Ceux qui aiment la vérité sont d’une humanité meilleure, et lorsqu’ils révèlent un tempérament corrompu, ils sont facilement corrigés. Ceux qui ne l’aiment pas sont d’une humanité bien pire. Si une personne ne s’applique pas et est irresponsable concernant la commission de Dieu, n’est-elle pas indigne de crédit ? Une humanité comme celle-là n’est bonne à rien et sans valeur. C’est au plus bas. Tu crois en Dieu. Si tu abordes ta commission avec une attitude superficielle et irresponsable, que ce soit la commission de Dieu pour toi ou celle de l’Église, la tienne est-elle l’attitude que quelqu’un d’humanité normale devrait avoir ? Certains diront peut-être : « Je ne prends pas au sérieux les choses que les frères et les sœurs me donnent à faire, mais je garantis que je réussirai les choses que Dieu me donne à faire. Je les traiterai bien. » Est-ce le bon sentiment ? (Non.) En quoi ne l’est-il pas ? Quelqu’un qui n’est pas digne de mérite et qui manque de vertu, dont l’humanité manque de ces choses – pour qui pourraient-elles être vraies ? Personne. Même avec leurs propres affaires, il triche et les traite superficiellement. Une telle personne n’est-elle pas abjecte et sans valeur ? Si quelqu’un peut s’appliquer et prendre ses responsabilités, et être crédible concernant ce que les autres lui demandent de faire, alors ferait-il bien pire avec une commission qu’il a acceptée de Dieu ? S’il, quelqu’un avec conscience et raison, comprend la vérité, alors il ne devrait pas faire pire avec une commission qu’il a acceptée de Dieu et avec l’accomplissement de son devoir. Il s’en sortira bien mieux, c’est sûr, que ceux qui n’ont pas de conscience et qui manquent de vertu. C’est la différence dans leur caractère. Certains disent : « Je ne le prendrais pas au sérieux si tu me demandais de m’occuper d’un chien ou d’un chat, mais si j’étais chargé d’une affaire importante pour la maison de Dieu, je la ferais bien, c’est sûr. » Est-ce valide ? (Non.) Pourquoi ? Si quelqu’un a le bon point de vue, dans les grandes comme dans les petites affaires, quelle que soit sa commission, et s’il est droit de cœur et qu’il est de noble qualité, et qu’il est intègre, digne de mérite et fait preuve de moralité dans sa conduite, alors c’est précieux, et c’est différent. De telles personnes abordent toute question selon leur moralité et le fait qu’ils soient dignes de confiance. Si quelqu’un d’amoral et indigne de crédit disait : « Si Dieu me commande directement quelque chose, je suis sûr de bien le gérer », serait-ce sincère ? Ce serait un peu exagéré et trompeur. Comment peut-on être digne de confiance envers les autres sans conscience ni raison ? Tes mots sonnent creux – c’est une arnaque. La maison de Dieu avait autrefois deux petits chiens pour garder un endroit. Quelqu’un était prévu pour s’occuper d’eux, et il s’occupait d’eux et les géraient comme s’ils étaient les siens. Cette personne n’aimait pas trop les chiens, mais elle s’occupait bien d’eux. Quand un chien tombait malade, elle le soignait, le baignait et le nourrissait juste à temps. Elle n’aimait peut-être pas les chiens, mais elle prenait soin de ces chiens comme étant sa commission et sa responsabilité. N’y a-t-il pas là quelque chose qui devrait être dans l’humanité ? Elle avait de l’humanité, alors elle a bien fait les choses. Les deux chiens sont ensuite passés sous la garde d’un autre, et au bout d’un mois, ils étaient pitoyablement maigres. Que s’était-il passé ? Personne ne se souciait ou ne remarquait quand les chiens tombaient malades, et leur mauvaise humeur affectait leur appétit. C’est comme ça qu’ils se sont retrouvés si maigres ; c’est comme ça que cette personne s’occupait d’eux. Y a-t-il une différence entre les gens ? (Oui.) Où ? (Dans leur humanité.) Celui qui s’occupait bien des chiens comprenait-il un grand nombre de vérités ? Pas nécessairement. Et celui qui s’occupait mal d’eux n’avait pas nécessairement cru en Dieu depuis moins longtemps. Pourquoi y a-t-il alors une si grande différence entre les deux ? Parce que c’est leur caractère qui est différent. Certaines personnes sont dignes de confiance. Quand elles donnent leur parole à quelqu’un, elles seront en mesure de rendre compte d’elles-mêmes à la fin, qu’elles aiment le faire ou non. Lorsqu’elles prennent en charge une tâche, elles sont sûres de la terminer, un pied après l’autre. Elles sont à la hauteur du mérite que les autres leur accordent, et elles sont à la hauteur de leur propre cœur. Elles ont une conscience, et avec elle, elles mesurent toutes choses. Certaines personnes n’ont pas de conscience. Elles donneront leur parole et ne feront rien pour la confirmer par la suite. Elles ne disent pas : « Ils ont cru en moi. Je dois bien faire les choses, pour garder leur confiance. » Ce n’est pas le cœur qu’elles ont, et ce n’est pas comme ça qu’elles penseraient. N’est-ce pas une différence dans l’humanité ? Dites-Moi, la personne qui a bien réussi a-t-elle trouvé laborieux de le faire ? Elle n’a pas trouvé cela trop fatigant ou laborieux. Elle ne se creusait pas la cervelle en essayant de comprendre comment bien le faire, et elle ne priait pas souvent pour cela. Elle savait au fond de son cœur quelle serait la bonne chose à faire, alors elle a assumé ce fardeau. Celle qui n’était pas disposée à supporter le fardeau a accepté le devoir aussi, et l’a trouvé pénible une fois qu’elle l’a fait. Elle s’énervait quand les chiens aboyaient et les réprimandait : « Tu aboies ? Aboie encore une fois et je te frapperai à mort ! » N’y a-t-il pas une différence d’humanité ici ? Il y en a une et elle est majeure. Avec certaines personnes, lorsque tu leur confies quelque chose, elles trouvent cela énervant, gênant, que tu leur laisses peu de liberté. « Un autre travail ? J’ai déjà beaucoup à faire – je ne me contente pas de flemmarder ici ! » Et donc, elles trouvent toutes sortes d’excuses pour s’en débarrasser, pour se trouver des excuses parce qu’elles n’assument pas leur responsabilité. Elles n’ont ni conscience ni raison, et elles ne s’examinent pas elles-mêmes, donnant au contraire des justifications et des excuses pour se pardonner de leur humanité médiocre. C’est ainsi que se comportent les gens d’humanité médiocre. Une telle personne peut-elle alors entrer dans la vérité-réalité ? (Non.) Pourquoi ? Elle n’aime pas la vérité et elle n’aime pas les choses positives. N’est-ce pas le cas ? Elle ne possède ni l’humanité normale ni la réalité des choses positives. Elle n’a pas cette essence en elle. Alors, quelle est la relation entre la vérité et l’humanité normale ? Que doit-il y avoir à l’intérieur de l’humanité de quelqu’un pour qu’il entre dans la vérité-réalité et la pratique la vérité ? Il doit d’abord avoir une conscience et une raison. Quoi qu’il fasse, il doit avoir la bonne attitude, la pensée correcte et le point de vue correct. Ce n’est qu’avec ceux-ci que l’on peut avoir une humanité normale – et ce n’est qu’en possédant une humanité normale que l’on peut accepter et pratiquer la vérité.

B. La façon dont les gens gèrent leur environnement personnel

Le deuxième point : la façon dont les gens gèrent leur environnement personnel dans la vie quotidienne. Quel domaine de l’humanité normale ce point implique-t-il ? (Celui de son milieu de vie.) Et en quoi cela consiste-t-il ? Cela comprend principalement deux grands domaines : l’environnement dans lequel on vit qui reste dans les limites de la vie personnelle et les environnements publics avec lesquels on entre fréquemment en contact. Et en quoi consistent précisément ces deux grands domaines ? Le mode de vie de chacun, ainsi que la gestion de l’hygiène et de l’environnement personnels. Pour le décomposer davantage, en quoi consiste le mode de vie de chacun ? Le travail et le repos, l’alimentation, et ce qui concerne la préservation de la santé au quotidien, et les connaissances communes sur la vie quotidienne. Nous commencerons par le premier domaine, le travail et le repos. On devrait simplement travailler et se reposer de manière régulière et planifiée. En dehors de circonstances particulières, comme lorsqu’on est obligé de travailler tard ou de faire des heures supplémentaires, le travail et le repos doivent être le plus souvent réguliers et programmés. C’est la bonne façon. Certains préfèrent rester éveillés la nuit. Ils ne dorment pas le soir, mais s’occupent de toutes sortes de choses. Ils ne s’endorment que lorsque les autres se lèvent et commencent leur travail, tôt le matin, et lorsque les autres se couchent le soir, c’est à ce moment-là qu’ils se lèvent et se mettent au travail. N’y a-t-il pas des gens comme ça ? Toujours en décalage avec les autres, toujours spéciaux – de telles personnes ne sont pas très raisonnables. Dans des circonstances normales, les rythmes de chacun devraient être fondamentalement synchronisés, à l’exception des cas particuliers. Quel est le prochain ? (L’alimentation.) Les besoins alimentaires de l’humanité normale sont faciles à satisfaire, n’est-ce pas ? (Si.) Celui-ci est facile. Cependant, les gens n’ont-ils pas quelques idées fausses sur l’alimentation ? Certains disent : « Nous croyons en Dieu et tout est entre Ses mains. Aucun style d’alimentation ne pourrait nuire à l’estomac. On mangera ce que l’on voudra, à notre guise, librement. Ce n’est pas un problème, avec Dieu qui nous protège. » Existe-t-il des gens avec une telle compréhension ? Quelque chose n’est-il pas un peu déformé ici ? Une telle compréhension est anormale ; ceux qui l’ont ne sont pas normaux dans leur façon de penser. D’autres obtiennent des connaissances normales et de bon sens pour vivre mélangées de la considération pour la chair. Ils croient que prêter attention à la connaissance du bon sens pour vivre, c’est montrer de la considération pour la chair. Existe-t-il des gens qui le croient ? (Oui.) Par exemple, certaines personnes ont des problèmes d’estomac et ne mangent pas de mets épicés et stimulants. Certains leur disent : « C’est une de tes préférences alimentaires ; tu montres de la considération pour la chair. Tu dois te rebeller contre cela. C’est cette nourriture dans des endroits où tu devras aller, et tu devras la manger. Comment ne pourrais-tu pas ? » Existe-t-il des gens qui ont ce genre de compréhension ? (Oui.) Certaines personnes ne peuvent pas manger quelque chose mais insistent pour le manger à leur grand désarroi, afin de se rebeller contre la chair. Je leur dis : « Tu as le droit de ne pas en manger si tu ne le souhaites pas. Personne ne te condamnera si tu ne manges pas. » Elles disent : « Non, il le faut ! » Dans ce cas, leur inconfort est mérité. Elles l’ont provoqué elles-mêmes. Elles établissent des règles pour elles-mêmes, alors ce sont elles qui doivent les respecter. Serait-ce alors mal de ne pas en manger ? (Non.) Certainement pas. D’autres personnes souffrant de problèmes de santé particuliers sont allergiques à certains aliments. Elles doivent éviter ces aliments et ne pas les manger. Certaines sont allergiques aux piments, et ne devraient donc pas en manger, mais insistent pour le faire. Elles continuent à les manger, croyant que c’est ce que cela signifie de se rebeller contre la chair. N’est-ce pas une compréhension déformée ? Ça l’est. Si elles ne sont pas aptes à manger quelque chose, elles ne devraient pas le manger. Pour quoi luttent-elles contre leur corps ? N’est-ce pas imprudent de leur part ? (Ça l’est.) Il n’est pas nécessaire de s’en tenir à cette règle, ni de se rebeller contre leur chair de cette manière. Chacun a sa propre condition physique : certains ont un mauvais estomac ; certains ont un cœur faible ; certains voient moins bien ; certains sont enclins à transpirer ; certains ne transpirent jamais. La condition physique de chacun est différente ; tu dois faire des ajustements en fonction de la tienne. Une seule phrase peut représenter ces cas : apprenez un peu de bon sens dans la vie. Que signifie « bon sens » ici ? Cela signifie que tu dois connaître les aliments qui sont nocifs pour toi et ceux qui ne le sont pas. Si quelque chose n’a pas bon goût mais est bon pour ta santé, alors tu dois le manger, pour ta santé ; si quelque chose est savoureux, mais que tu tombes malade quand tu le manges, alors ne le mange pas. C’est du bon sens. Au-delà de cela, les gens doivent également avoir du bon sens pour rester en bonne santé. Au cours des quatre saisons de l’année, laisse le temps, le climat et la saison dicter les choses que tu manges – c’est un principe majeur. Ne combattez pas votre corps – c’est une pensée et une compréhension que les personnes ayant une humanité normale devraient avoir. Certaines personnes ont une entérite et souffrent de diarrhée lorsqu’elles mangent des aliments stimulants. Alors, ne les mangez pas. Pourtant, certains disent : « je n’ai pas peur. Dieu me protège » et souffrent par conséquent de diarrhée après leurs repas. Ils disent même que c’est Dieu qui les met à l’épreuve et les épure. Ne sont-ils pas insensés ? S’ils ne sont pas insensés, ce sont de terribles gloutons qui mangent sans se soucier des conséquences. Ces personnes ont beaucoup de problèmes. Elles ne peuvent pas contrôler leur appétit, mais disent : « Je n’ai pas peur. Dieu me protège ! » Comment comprennent-ils la question ? Elles la comprennent de façon déformée ; elles ne comprennent pas la vérité, mais essaient aveuglément de l’appliquer. Elles ont une entérite mais mangent sans discernement, et quand elles ont par conséquent la diarrhée, lorsqu’elles disent que c’est Dieu qui les met à l’épreuve et les épure, n’est-ce pas une application aveugle des règles ? Pour une personne aussi insensée, dire de telles bêtises, n’est-ce pas un blasphème contre Dieu ? Le Saint-Esprit œuvrerait-Il chez une personne aussi ridicule ? (Non.) Si tu ne comprends pas la vérité, tu ne dois pas aveuglément appliquer des règles aux choses. Dieu soumettrait-Il aveuglément quelqu’un à des épreuves ? Certainement pas. Tu n’es même pas qualifié pour cela ; ta stature n’est pas là – et donc, Dieu ne te mettra pas à l’épreuve. Quelqu’un qui ne sait pas quels aliments le rendront malade est un idiot avec un intellect douteux. Les gens qui n’ont pas une rationalité et un intellect sains peuvent-ils comprendre les intentions de Dieu ? Peuvent-ils comprendre la vérité ? (Non.) Dieu mettrait-Il alors une telle personne à l’épreuve ? Non, Il ne le ferait pas. Voilà ce que c’est que de manquer de raison et de dire des bêtises. Il existe des principes pour que Dieu mette les gens à l’épreuve ; ceux-ci s’adressent aux gens qui aiment la vérité et la poursuivent, aux gens que Dieu utiliserait et qui pourraient Lui rendre témoignage. Il met à l’épreuve des gens de vraie foi qui peuvent Le suivre et rendre témoignage pour Lui à travers ces épreuves. Celui qui ne cherche que le confort et la jouissance et qui ne poursuit absolument pas la vérité, n’a pas l’œuvre de l’Esprit Saint, et encore moins celui qui a une compréhension déformée. Cela étant, Dieu le soumettrait-Il à des épreuves ? C’est une impossibilité totale.

Certaines personnes ont accès à des plantes médicinales chinoises ou à des aliments pour la santé, qu’elles utilisent frivolement. Certaines femmes barbouillent souvent sur leur visage des choses qui protègent la peau, qui la blanchissent et la raffermissent. Elles passeront deux heures par jour à se maquiller et trois heures à l’enlever, et finiront par ruiner leur peau au point d’être méconnaissables. Elles diront même : « Personne ne peut surmonter la loi naturelle de la beauté qui s’estompe avec l’âge – il suffit de regarder ma peau vieillissante ! » Le fait est qu’elles n’auraient pas l’air si âgées si elles n’avaient pas continué à maltraiter leur visage – c’était badigeonner ces mêmes produits qui les vieillissaient. Qu’est-ce que vous en pensez ? (Elles l’ont provoqué elles-mêmes.) C’est bien fait pour elles ! Il y a des connaissances de bon sens pour vivre dans une humanité normale, et il faut les comprendre, comme les connaissances communes sur la préservation de sa santé et la prévention des maladies : que les pieds froids sont susceptibles de causer des maux de dos, par exemple, ou comment on devrait traiter l’hypermétropie précoce, ou quels sont les inconvénients de rester assis trop longtemps devant l’ordinateur. Il faut comprendre un peu ces mesures de bon sens pour sa santé. Certains peuvent dire : « Pour croire en Dieu, vous êtes seulement censés lire Ses paroles. À quoi sert d’apprendre tout ce truc de santé de bon sens ? La durée de vie d’un homme est déterminée par Dieu ; aucune quantité de connaissances en soins de santé ne fera de bien. Quand il est temps pour toi de mourir, personne ne peut te sauver. » Cela semble juste à première vue, mais en fait, c’est un peu absurde. C’est quelque chose que quelqu’un sans compréhension spirituelle dirait. Il apprend à débiter des formules et des doctrines bien connues et semble spirituel, alors qu’en fait, il n’a aucune compréhension pure. Il essaie aveuglément d’appliquer les règles quand quelque chose lui arrive, en parlant aussi agréablement qu’il le peut, sans pratiquer aucune vérité. Certaines personnes peuvent lui dire que la bouillie de semoule de maïs est nourrissante, par exemple, qu’elle est bonne pour la santé. Ce n’est pas ce qui lui fera comprendre. Pourtant, dès qu’il entend quelqu’un dire que le porc braisé est sain, il en mangera à sa faim la prochaine fois qu’il en verra, disant même en mâchant : « Que puis-je faire ? J’ai besoin de manger ça, c’est pour ma santé ! » N’est-ce pas une chose sournoise à dire ? (Ça l’est.) C’est de la tromperie. Posséder ce que les gens avec une humanité normale devraient posséder, savoir ce que les gens devraient savoir, savoir ce qu’il y a à savoir au stade de la vie qui correspond à ton âge – c’est cela avoir une humanité normale. Certaines personnes dans la vingtaine mangent sans discernement. Elles mangeront des glaçons un jour de gel. Leurs aînés ont peur de voir cela et les exhortent à arrêter, leur disant qu’elles vont avoir mal au ventre. « Un mal de ventre ? Je vais bien », disent-elles, « Regardez-moi : je suis en pleine forme physique ! » Elles ne savent pas de telles choses à leur âge. Attendez qu’elles aient quarante ans ; donnez-leur un glaçon à manger ensuite. Le feraient-elles ? (Non.) Et quand elles auront soixante ans, oubliez le fait de manger de la glace – elles auront peur de s’en approcher. Sa fraîcheur sera trop difficile à supporter pour leur corps. C’est ce qu’on appelle l’expérience – apprendre des leçons de vie. Si quelqu’un à soixante ans ne sait toujours pas que son estomac ne supporte pas un excès de glaçons, que son corps ne peut pas les supporter, qu’ils vont le rendre malade, comment cela s’appelle-t-il ? Sont-ils déficients en humanité normale ? Ils manquent d’expérience vécue. Si quelqu’un qui a une soixantaine d’années ne sait toujours pas que le froid est mauvais pour le dos, que les pieds froids causent des maux de dos, alors comment a-t-il dû vivre pendant cette soixantaine d’années ? Il a juste dû faire dans l’à-peu-près. Certaines personnes comprennent beaucoup de choses de bon sens sur la vie au moment où elles atteignent la quarantaine : des connaissances de santé de bon sens, par exemple ; et elles ont quelques opinions correctes sur les choses matérielles, l’argent et le travail, et sur leurs proches, et les affaires du monde, et la vie, et ainsi de suite. Elles ont une compréhension pure de ces choses, et même si elles ne croient pas en Dieu, elles comprennent toujours ces choses un peu mieux que leurs juniors. Ce sont des personnes qui ont le sens du bien et du mal, dont la pensée est normale. Au cours des deux décennies qu’elles ont vécues depuis leurs vingt ans, elles ont compris beaucoup de choses, dont certaines se rapprochent de la vérité. Cela montre qu’elles sont des personnes avec une capacité de compréhension, des gens de bon calibre. Et si elles sont quelqu’un qui poursuit la vérité, leur entrée dans la vérité-réalité viendra beaucoup plus vite, car elles auront beaucoup expérimenté au cours de ces vingt années et gagné quelques choses positives. Leurs expériences seront cohérentes avec la vérité-réalité dont Dieu parle. Cependant, s’il manque beaucoup d’humanité à cette personne, et qu’elle n’a pas de vues correctes, ou la pensée de l’humanité normale, encore moins l’intelligence de l’humanité normale concernant la vie, et concernant les personnes, les évènements et les choses qui surviennent au cours de ces vingt ans, alors elle aura vécu ces années en vain. Dans plusieurs endroits où Je suis allé, J’ai constaté que certaines des sœurs aînées ne savaient pas cuisiner. Elles ne peuvent même pas planifier un repas équilibré. Elles font de la soupe de ce qui devrait être frit et font frire ce qui devrait aller dans une soupe. Les produits changent avec les saisons, mais ce sont toujours les mêmes quelques plats sur leurs tables. Que se passe-t-il ici ? C’est un vrai manque d’intelligence, non ? Elles n’ont pas le calibre d’une humanité normale. Elles ne peuvent même pas cuisiner les divers aliments qu’elles trouvent dans leur vie quotidienne, comme le chou et la pomme de terre. Elles ne sont pas à la hauteur des tâches les plus simples et ne peuvent pas les accomplir. Comment se sont-elles débrouillées au cours des cinquante ou soixante dernières années ? Se pourrait-il vraiment que leur cœur n’exige rien de leur vie ? Si quelqu’un ne peut pas tirer d’expérience de tout ce qu’il fait, alors quel devoir une telle personne pourrait-elle bien faire ? Le fait est que les gens peuvent apprendre à faire des choses, s’ils s’appliquent simplement et s’entraînent pendant un certain temps. Si quelqu’un ne peut toujours rien faire après plusieurs années d’études, son intellect et son calibre doivent être affreux !

Parlons maintenant un peu de la gestion de l’hygiène. Je suis récemment allé à deux endroits où l’environnement des maisons était un désordre total. Tout y était à l’origine assez ordonné, alors comment ces endroits ont-ils fini par devenir de telles « porcheries » ? La raison en est que les gens là-bas ne savent pas comment rester maîtres de la situation. Ils n’ont pas la conscience et les exigences de l’humanité normale en matière d’hygiène. Ce n’est pas simplement qu’ils sont paresseux ; en plus de cela, ils se sont habitués à vivre dans de telles conditions. Ils répandent les ordures sur le sol et déposent les choses n’importe où, sans règle ni restriction. Quand ils ont nettoyé un endroit, ils peuvent le garder propre pendant seulement un jour ou deux ; quelques jours plus tard, c’est tellement désordonné et sale qu’il est difficile de le regarder. Dites-Moi, comment s’appelle un tel environnement ? Et les gens là-bas peuvent manger de bon cœur et s’endormir dans de telles conditions – de quelles personnes s’agit-il ? Ils sont comme des cochons, n’est-ce pas ? Ils n’ont aucune conscience et ne comprennent rien à l’hygiène, à leur environnement, à la structure, à la gestion. Ils ne le remarquent pas, peu importe à quel point cela devient sale ou désordonné. Cela ne les dérange pas ; ils sont sereins et imperturbables à ce sujet. Ils continuent à vivre comme ils l’ont fait, sans particularité et sans exigences. Dans certains endroits, on prend grand soin de l’hygiène et de l’environnement, et on pourrait penser que les gens là-bas se souciaient de la propreté, qu’ils savaient gérer leur environnement – mais personne ne sait jusqu’à une inspection surprise, qu’ils avaient envoyé des gens avant les inspections pour nettoyer l’endroit. Si tu leur dis à l’avance que tu arrives, l’endroit est garanti d’être propre ; si tu y vas sans les avertir, tu trouveras un environnement différent, qui sera sûrement sale et désordonné. Dans les chambres de certaines des filles, des vêtements et des chaussures sont éparpillés, et à l’extérieur, des outils de commerce comme des binettes et des pioches sont empilés avec des vêtements. Certaines là-bas peuvent dire qu’elles ont été tellement occupées qu’elles n’ont pas eu le temps de nettoyer. C’est dire à quel point elles ont été occupées ? N’ont-elles même pas eu le temps de respirer ? Si elles n’ont pas respiré, alors elles étaient occupées, d’accord – mais elles n’ont sûrement pas été aussi occupées ? Qu’y a-t-il de si difficile à gérer leur espace ? Qu’y a-t-il de si éprouvant à maintenir un environnement propre et ordonné ? Est-ce que cela a quelque chose à voir avec l’humanité ? Pourquoi les gens aimeraient-ils tant vivre dans une « porcherie » ? Pourquoi seraient-ils à l’aise dans un tel environnement ? Comment pourraient-ils être totalement insensibles à un tel environnement ? Que se passe-t-il là ? Quelle est la cause des environnements mal gérés ? Si Je vais quelque part à l’occasion et que Je leur dis à l’avance, ils le rendront nickel, mais ils arrêteront de nettoyer si J’y vais souvent. Ils disent : « Tu es souvent ici, alors nous nous passerons des formalités. C’est exactement comme cela que nous sommes. C’est épuisant de nettoyer tout le temps ! Qui a l’énergie ? Nous sommes tellement occupés par le travail toute la journée que nous n’avons même pas le temps de nous brosser les cheveux ! » Ils donnent des justifications comme celle-ci. Et quoi d’autre ? « Tout cela est temporaire. Nous n’avons pas besoin de le mettre en parfait état. Cela suffira. » En effet, tout est temporaire – mais même si tu vis dans une tente, tu aurais encore à t’en occuper, n’est-ce pas ? C’est l’humanité normale. Si tu n’as même pas ce brin d’humanité normale, à quel point es-tu différent des bêtes ?

Il y a une Église dans la maison de Dieu qui est assez bien située, près des montagnes et de l’eau. Une route y a été construite et des arbres bordent la rivière voisine. Il a même un gazébo, avec des roches ornementales à côté. Vraiment, c’est assez joli. Un jour, J’ai vu de loin une petite chose jaune là-bas sur cette route propre. En M’approchant, J’ai vu que c’était une peau d’orange. Qui sait qui y jetterait ses ordures avec désinvolture. Et dans le gazébo, qui avait également été propre, quelqu’un avait mangé des graines de tournesol et jeté les coquilles partout sur le sol. Dites-Moi, cette personne était-elle quelqu’un qui connaît les règles ? Dans l’humanité normale, y a-t-il des normes requises pour son hygiène et son environnement, ou n’y en a-t-il pas ? Certains peuvent dire : « En quoi n’ai-je pas de normes ? Je me lave les pieds tous les soirs. Certaines personnes ne le font pas. Certaines personnes ne se lavent même pas le visage lorsqu’elles se lèvent le matin. » Tes pieds sont peut-être propres, d’accord, mais pourquoi ton environnement de travail ressemble-t-il à une porcherie ? À quoi correspond ta propreté ? Au mieux, cela montre que tu es terriblement égoïste. Tu aimerais tout gérer – comment pourrais-tu être maître de tout, si tu ne peux même pas gérer une cour ? C’est sans gêne, vraiment ! Ce n’est pas seulement leur environnement que ces personnes ne peuvent pas gérer – elles ne peuvent même pas gérer leur propre hygiène, et elles jettent des déchets par terre. Comment ont-elles développé cette habitude ? Elles peuvent justifier de jeter des pelures de fruits par terre en l’appelant compost. Pourquoi alors ne pas les mettre dans un tas de compost ou une poubelle ? Pourquoi les jeter sur la route ou dans ce gazébo ? Un gazébo est-il un endroit pour conserver du compost ? N’est-ce pas un mépris des règles ? (Ça l’est.) C’est un manque terrible d’humanité, de raison et de morale – ce sont des gens abjects ! Dites-Moi, y a-t-il un moyen de résoudre ce problème ? Comment peut-il être stoppé ? La supervision fera-t-elle l’affaire ? Qui pourrait garder un tel œil sur les choses ? Que faut-il faire ? (Leur donner une amende.) Oui, c’est le dernier recours. Un système approprié doit être mis en place. Plus d’impunité. Ces gens sont tellement méprisables – ils sont incorrigibles ! À certains endroits, il y a des boîtes en carton pourries, des planches pourries et des lambeaux de papier éparpillés partout, et les gens là-bas disent qu’ils les gardent pour les utiliser plus tard. Étant donné que ce sont des choses utiles, pourquoi ne pas les trier par type, en piles soignées ? Cela ne serait-il pas plus joli et ne prendrait-il pas moins de place ? La plupart des gens ne connaissent pas l’entretien. Les choses sont empilées et dispersées au hasard dans leurs espaces, de sorte qu’il n’y a pas d’espace libre. Les piles deviennent de plus en plus désordonnées à mesure qu’elles grandissent, et avec le désordre vient la saleté, jusqu’à ce que l’endroit devienne un dépotoir, repoussant pour tous ceux qui le voient. Les personnes qui vivent dans de tels environnements ont-elles une humanité normale ? Sont-ils des gens de calibre, s’ils ne peuvent même pas rester maître de l’environnement dans lequel ils vivent ? Quelle différence reste-t-il entre de telles personnes et des bêtes ? La raison pour laquelle la plupart des gens ne savent pas comment gérer les espaces dans lesquels ils vivent est en partie que personne n’a conscience de l’hygiène, et que personne ne sait comment gérer son environnement. Ces choses ne leur viennent pas à l’esprit et ils ne savent pas à quoi devrait ressembler l’environnement de vie des gens. Ils sont comme des animaux, inconscients du type d’environnement dans lequel ils devraient vivre. L’autre partie concerne le fait que les responsables ne savent pas comment gérer ces choses. Les responsables ne savent pas comment gérer ces choses, et ceux que le responsable gère ne sont pas proactifs ou conscients de ces choses. Au final, avec la « coopération » de chacun, l’endroit se transforme en « porcherie. » Quand ces gens ont été dans un endroit pendant un certain temps, J’en ressors avec un certain sentiment : « Pourquoi cet endroit n’est-il jamais propre ? Pourquoi ça ne ressemble jamais à un foyer ? » Dites-Moi, est-ce que voir un endroit comme ça pourrait améliorer l’humeur d’une personne ? (Non.) Y aller vous mettrait-il de bonne humeur ? (Nous n’aurions pas beaucoup de sentiment à ce sujet.) Ce serait votre vraie réponse – pas vraiment de sentiment. J’ai établi des plans pour quelques-uns de ces endroits, et lorsque le travail a été terminé et que les choses ont été réorganisées, tout le monde a apprécié la vue. Pourtant, quelques jours plus tard, les choses étaient à nouveau en désordre. Je devais trouver quelqu’un d’approprié pour gérer la tâche, si l’hygiène devait être maintenue. C’est parce que la plupart des gens sont tellement sales, qu’ils salissent tout le travail qu’ils font. Certaines personnes cueillent des légumes et ne savent pas où les laver. Elles insistent pour chercher un endroit propre pour le faire, ce qui rend cet endroit sale en conséquence. Comment te sentirais-tu en voyant cela ? Ces personnes ne sont-elles pas un troupeau de bêtes ? Elles n’ont aucune humanité ! Regarder ces personnes, qui ne se soucient pas de l’hygiène et ne savent pas comment gérer leur environnement – cela te mettrait en colère ! Ces personnes bénéficient d’un environnement agréable dans lequel vivre, où tout est bien arrangé. Toutes sortes de fleurs et d’herbes apparaissent au printemps ; elles ont des montagnes, de l’eau, un gazébo ; elles ont des endroits où travailler, des endroits où vivre et toutes sortes de commodités. Comme c’est agréable ! Mais comment cela s’est-il fini ? Elles l’ont pris pour acquis ; elles n’ont pas apprécié la gentillesse. Elles ont pensé : « C’est un endroit plus agréable que la plupart des autres, mais c’est plus ou moins à la campagne. Le sol n’est rien d’autre que de l’herbe et de la boue. » Avec cet état d’esprit, elles ont saccagé l’endroit sans réfléchir. Elles n’ont pas pensé à gérer leur environnement. Combien de choses sont absentes d’une telle humanité ! Elles ne possèdent pas les choses que l’humanité devrait posséder ; ces personnes ne peuvent même pas gérer les divers aspects de leur environnement de vie de la manière la plus élémentaire. Dites-Moi, comment les gens pourraient-ils ne pas penser à chérir un environnement de vie aussi agréable dans lequel ils vivent ? Comment pourraient-ils ne pas penser à en prendre soin ? Pourquoi ? Est-ce qu’ils sont tellement occupés par leurs devoirs qu’ils manquent de temps ? Ou que se passe-t-il d’autre avec eux ? Quelqu’un n’est-il pas occupé par ses devoirs ? Certains vivent dans des environnements pires que vous mais ils prennent soin de leur espace plutôt bien. Les gens le voient et leur donnent le pouce levé, avec de l’admiration et de l’estime pour eux. Et puis, il y a votre cadre de vie – les autres n’ont même pas besoin d’entrer à l’intérieur ; ils te mépriseraient avec juste un coup d’œil à l’extérieur. N’est-ce pas de ton fait ? Tes actions et comportements ont provoqué cet environnement déplorablement miteux où tu vis. Quand les gens voient l’environnement où tu vis, c’est la même chose pour eux que de voir ton essence. Peux-tu alors leur en vouloir de te mépriser ? Qu’une personne soit élevée ou humble, noble ou abjecte, n’est pas décidé par les évaluations des autres, mais par ce qu’elle vit elle-même. Si tu possèdes les choses de l’humanité normale, tu es capable de vivre selon la vraie ressemblance humaine. Tu es en mesure de démontrer ta noble qualité, et les autres t’apprécieront et t’estimeront naturellement. Si tu ne possèdes pas ces choses, et que tu ne comprends pas l’hygiène de bon sens, et que tu ne sais pas comment prendre soin de ton environnement, vivant tous les jours dans une « porcherie » et en étant très satisfait, cela révèle ta qualité bestiale. Cela signifie que tu es abject et faible. Une personne aussi abjecte et faible, avec une humanité aussi abjecte et faible, sans la moindre parcelle de pensée, de points de vue, d’exigences et de poursuite que l’humanité normale devrait avoir – sans aucun de ceux-ci, une telle personne peut-elle comprendre la vérité ? Peut-elle entrer dans la vérité-réalité ? (Non.) Vous pensez aussi qu’elle ne le peut pas ? Pourquoi ? Certains diront : « Nous nous sommes débarrassés depuis longtemps de toutes ces choses mondaines au cours de nos années de croyance en Dieu. Nous ne nous soucions pas de ce genre de choses ! Vivre une vie de qualité – c’est une chose mondaine ! » N’y en a-t-il pas qui disent cela ? Est-ce que l’air que tu respires est alors une chose mondaine ? Les vêtements que tu portes, toutes les choses matérielles que tu utilises – sont-elles des choses mondaines ? Pourquoi ne trouves-tu aucun endroit à l’air libre pour se réunir ? Pourquoi se réunir dans une pièce ? Les gens qui disent cela ne sont-ils pas insensés ? Je vais te dire un fait : si une telle personne veut entrer dans la vérité-réalité, ce sera difficile pour elle. Si une personne souhaite entrer dans la vérité-réalité, elle doit d’abord posséder une humanité normale ; en plus de cela, elle doit se débarrasser de ces mauvaises habitudes dans sa vie, pour poursuivre quelque chose d’un style et d’un but dans la vie qui a de la qualité, des manières et de la moralité. Est-ce une façon appropriée de le dire ? Eh bien, ces problèmes sont-ils faciles à résoudre ? Combien de temps faut-il pour changer son mode de vie et se débarrasser d’une mauvaise habitude dans sa vie ? Quelle méthode doit être utilisée pour entrer dans ceci le plus rapidement possible ? Quelles méthodes existe-t-il en dehors de la punition ? (La supervision mutuelle.) La supervision mutuelle est une méthode ; il s’agit de savoir si les gens l’acceptent. À Mon avis, imposer des amendes est un geste puissant et vraiment efficace. Dès que tu touches aux amendes en espèces, tu touches aux intérêts des gens. Ils n’ont d’autre choix que d’obtempérer, de peur que leurs intérêts n’en pâtissent. C’est ce qui est obtenu en imposant des amendes. Mais pourquoi rien n’est-il accompli en échangeant sur la vérité avec ces gens ? Parce qu’ils n’ont pas une humanité normale ou les conditions requises pour accepter la vérité. C’est pourquoi échanger la vérité est une méthode inefficace avec eux. Dans n’importe quel environnement de travail, apprenez d’abord à trier les choses par type, ensuite à maintenir la propreté, troisièmement à maintenir l’hygiène et la propreté, puis, en plus de cela, à cultiver l’habitude de nettoyer les ordures. C’est ce que l’humanité normale devrait posséder.

Certaines femmes se peignent les cheveux et sortent, sans d’abord balayer les mèches tombées. Elles font ça tous les jours. Une telle habitude peut-elle être changée ? Lorsque tu as fini de te peigner les cheveux, tu dois nettoyer et ranger immédiatement. Ne laisse pas les autres le nettoyer – gère bien ton propre environnement toi-même. Si tu souhaites bien gérer ton environnement, tu dois commencer par toi-même. Nettoie d’abord ton propre espace. En dehors de cela, il faut avoir un esprit civique concernant les environnements publics qu’ils habitent. La responsabilité devrait incomber à chacun de gérer les espaces où les gens vivent et se reposent, par exemple. Si tu vois quelques pelures d’orange sur le sol, ramasse-les et jette-les à la poubelle. Sur certains lieux de travail, il y a des copeaux de bois, des chutes de bois, des barres de fer et des clous partout lorsque le travail est terminé. Si tu y vas, tu pourrais facilement marcher sur un clou si tu ne fais pas attention. C’est terriblement dangereux. Pourquoi ne nettoieraient-ils pas et ne feraient-ils pas en sorte que ce soit hygiénique une fois qu’ils ont fait leur travail ? Quel genre de mauvaise habitude est-ce ? En faisant cela, sont-ils capables de s’expliquer ? Que penseraient les gens de voir un lieu de travail aussi désordonné et sale ? N’est-ce pas ainsi que les bêtes font leur travail ? Les personnes qui ont de l’humanité doivent bien nettoyer lorsqu’elles ont terminé leur travail, et les autres sauront en un coup d’œil que le travail a été fait par des humains. Les bêtes ne nettoient pas après avoir fait un travail, comme si le nettoyage ne leur incombait pas et n’avait rien à voir avec elles. De quelle sorte de logique s’agit-il ? J’ai vu pas mal de gens qui ne nettoient pas après avoir fait un travail. Elles ont toutes cette mauvaise habitude. Je leur ai dit que chaque jour, quand leur travail est terminé, elles doivent s’arranger pour que quelqu’un nettoie toutes les ordures. Nettoie tous les jours. De cette façon, le site sera propre. Elles doivent cultiver une habitude comme celle-là. Pour cultiver une habitude de vie, il faut commencer par entretenir un environnement, puis attendre de s’y habituer. Puis un jour, lorsque cet environnement changera, elles se sentiront elles-mêmes mal à l’aise de voir que quelque chose est sale. C’est comme pour certaines personnes qui vivent à l’étranger depuis trois ou cinq ans, qui pensent que tout va mieux là-bas. Le jour vient où elles retournent dans leur ville natale et elles sentent qu’elles sont soudainement devenues sophistiquées. Elles regardent avec mépris les autres qui ne se soucient pas de l’hygiène, les gens dont les maisons sont sales. Elles ne peuvent même pas supporter de passer quelques jours sans douche. N’était-ce pas leur environnement qui dictait cela ? C’est comme cela que ça marche. Tu dois donc commencer par gérer ton hygiène personnelle et ton environnement. C’est ainsi que tu te sens à l’aise de faire ton devoir ; c’est aussi ce que les personnes ayant une humanité normale devraient posséder. Dans plusieurs endroits où Je suis allé, J’ai vu des chambres de filles qui sont en désordre total, sens dessus dessous. Certaines diront peut-être : « Tu veux que nous soyons ordonnées ; cela devrait-il être comme dans un camp d’entraînement ? » Il n’y a pas besoin de tout ça. Fais ton lit et nettoie ta chambre tous les jours. Maintiens la propreté. Fais-en une habitude. Si tu fais ces choses tous les jours, et qu’elles deviennent une habitude, une norme, et aussi automatiques que de manger, alors tu auras cultivé ce genre d’habitude de vie quotidienne, et tes exigences pour ton environnement auront augmenté d’un cran. Et quand elles auront augmenté d’un cran, ton allure, ta perception mentale, tes goûts, ton humanité et ta dignité seront tous améliorés. Mais si tu vis dans une « porcherie », un endroit qui n’est pas pour les humains, mais qui ressemble plus à l’antre d’une bête, tu ne possèdes pas de ressemblance humaine. En entrant dans une pièce, par exemple, certaines personnes, voyant que la pièce et son sol sont propres, racleront la saleté de leurs chaussures pendant un moment à l’extérieur. Elles se sentiront toujours sales, alors elles enlèveront leurs chaussures avant d’entrer dans la pièce. Lorsque le propriétaire de la pièce verra à quel point elles sont propres et respectueuses envers lui, il les respectera aussi. D’autres personnes entreront avec des chaussures recouvertes de boue, et ne pensent qu’à mettre de la boue sur le sol. Elles sont complètement insensibles à cela. Le propriétaire de la pièce voit qu’elles sont intrinsèquement indifférentes aux règles. Il a du ressentiment, et donc, il les méprise, et ne les laissera pas entrer dans la pièce à l’avenir. Il les fera attendre dehors, et voici ce que cela impliquera : « Tu ne mérites pas de venir à l’intérieur – tu gâcherais l’endroit si tu le faisais, et combien de temps je devrais passer à le nettoyer ! » Il ne les respectera pas. Quand il voit qu’elles ne possèdent pas la ressemblance humaine, il ne les respectera même pas. Si quelqu’un arrive à ce stade de sa vie, est-il encore humain ? Un animal de compagnie est meilleur que lui. Ainsi, les gens doivent vivre la ressemblance humaine pour être appelés humains, et ils doivent posséder une humanité normale pour vivre la ressemblance humaine. Où que quelqu’un vive, quel que soit le devoir qu’il fait, il doit respecter les règles. Il doit prendre soin de son espace et de son hygiène, avoir le sens des responsabilités et avoir de bonnes habitudes de vie. Il doit être attentif et sérieux dans tout ce qu’il fait, et continuer jusqu’à ce qu’il ait bien fait les choses et selon les normes. De cette façon, les gens verront dans l’accomplissement de ton devoir et la façon dont tu traites les gens et les choses que tu es droit et décent, une bonne personne. Ils ressentiront de l’admiration pour toi et ils finiront naturellement par te respecter. Ils t’estimeront et te valoriseront aussi, et ainsi ils ne te tromperont pas ou ne t’intimideront pas. Ils te parleront de manière sérieuse, sans moquerie ni mépris. Je ne sais pas comment les gens perçoivent Mon apparence, mais Je le sens : lorsque Je rencontre la plupart des gens, ils ne font pas de blagues ou ne parlent pas de manière frivole. Je n’en connais pas la raison. Il se peut que les gens aient le sentiment : « Tu es une personne tellement sérieuse, et Tu es sérieux dans Ton discours et Tes actions aussi. Tu es une personne droite ; je n’oserais pas faire une blague en interagissant avec Toi. Il est clair à première vue que Tu n’es pas ce genre de personne. » Si, lorsque tu te rends dans un endroit et que tu parles avec des gens, discutes avec des gens, interagis avec des gens, ils sentent qu’il y a quelque chose dans Ton humanité et Ta moralité – ils ne seront peut-être pas en mesure de dire clairement de quoi il s’agit, mais tu sauras à quoi tu penses chaque jour, et tu auras toujours des principes et des normes sur la façon dont tu voies les choses et interagis avec les gens – si c’est ainsi que tu t’engages et interagis avec les autres, alors ils diront que tu es si prudent, si sérieux et prudent dans tout ce que tu fais, ce qui signifie que tu as tellement de principes. Quel sentiment cela va-t-il finalement leur inspirer ? Réfléchis-y lentement. Si tu es équipé dans ton comportement de ce que ceux qui ont une humanité normale devraient avoir, peu importe la façon dont les gens peuvent t’évaluer derrière ton dos. S’ils sentent, au plus profond de leur cœur, que tu es une personne droite et prudente, quelqu’un avec une attitude sérieuse et responsable envers toutes choses, qui est noble de vertu, alors après s’être engagé et avoir interagi avec toi pendant un certain temps, ils en viendront à t’approuver et à t’estimer. Et puis, tu vaux quelque chose en tant que personne. Si, après s’être engagé avec toi pendant un certain temps, ils voient que tu ne fais rien de bien, que tu es paresseux et avide, que tu ne veux rien apprendre, que tes normes dépassent tes capacités, que tu es assez avare et égoïste – et plus, que tu ne te soucies pas de l’hygiène et ne penses pas à prendre soin de ton environnement ; s’ils voient que tu ne connais pas les ficelles de tout ce que tu fais, que tu es d’un calibre assez médiocre et que tu es indigne de mérite, incapable de faire une tâche qui t’est bien confiée – alors tu ne seras d’aucune utilité pour les gens, et tu seras invalidé en tant que personne. N’avoir aucune utilité pour les autres n’est pas grave, tout compte fait – ce qui compte, c’est que si tu es également abject, bas et sans valeur dans le cœur de Dieu, comme une bête, sans cœur ni esprit, alors tu es en difficulté. Tu es encore si loin d’être sauvé ! Pour toute personne dont le caractère n’est pas à la hauteur, dont le discours et les actions sont entièrement non réglementées, qui est comme une bête, y a-t-il un espoir d’être sauvé ? Je vois qu’elle est en danger. Tôt ou tard, elle sera éliminée.

C. Attitude et comportement des gens dans leur contact avec le sexe opposé

Notre troisième élément est l’attitude et le comportement des gens dans leur contact avec le sexe opposé dans leur vie quotidienne. C’est un problème auquel tous ceux qui vivent parmi d’autres personnes seront confrontés, quel que soit leur âge. Quel aspect de l’humanité implique-t-il ? Cela implique sa dignité, son sentiment de honte et le style de sa conduite. Certains voient le contact avec le sexe opposé avec beaucoup de désinvolture. Ils pensent que cela ne porte pas à conséquence tant qu’il n’arrive rien et que ce n’est pas non plus un problème d’avoir des pensées lascives ni de manifester quelque passion indigne. Une personne ayant une humanité normale devrait-elle avoir de telles pensées ? Est-ce le signe d’une humanité normale ? Quand tu es assez âgé pour te marier et entrer en contact avec le sexe opposé, et que tu veux être dans une relation, fais-le normalement, et personne ne s’en mêlera. Mais certains ne veulent pas être dans une relation : ils batifolent pendant deux ou trois jours avec quelqu’un qui a attiré leur regard, et aussitôt qu’ils rencontrent quelqu’un qui les attire et correspond à leurs préférences, ils se mettent en valeur. Et comment se mettent-ils en valeur ? Un sourcil levé, un clin d’œil ou un changement du ton de voix quand ils parlent, ou bien ils bougent d’une certaine façon ou font des remarques humoristiques pour se faire remarquer : voilà comment on se met en valeur. Quand une personne qui, normalement, n’est pas comme cela révèle ces comportements, on peut être sûr qu’il y a dans les parages un représentant du sexe opposé qui correspond à leurs préférences. Qui sont ces gens-là ? On pourrait dire qu’ils se comportent de piètre manière ou qu’ils ne maintiennent pas de frontières claires entre les hommes et les femmes, mais ils n’ont manifesté aucune conduite déplorable. Certains diront qu’ils sont simplement frivoles. En d’autres termes, ils se conduisent de façon indigne : les gens frivoles n’ont pas l’idée de se respecter soi-même. Certaines personnes révèlent ces caractéristiques au quotidien, mais l’accomplissement de leurs devoirs n’est pas affecté et cela ne retentit pas non plus sur l’achèvement de leur travail, alors, est-ce réellement un problème ? Certains disent : « Tant que cela n’entrave pas leur poursuite de la vérité, est-ce utile d’en parler ? » De quoi s’agit-il ? De la honte et de la dignité de l’humanité de la personne. L’humanité d’une personne ne peut pas être dépourvue de honte et de dignité, sans lesquelles il n’y a pas d’humanité normale. Certaines personnes sont crédibles, elles sont sincères, responsables et travaillent dur dans tout ce qu’elles font. Elles n’ont pas de problèmes majeurs, mais elles ne prennent simplement pas au sérieux cet aspect de leur vie. Quand tu batifoles avec une personne du sexe opposé, est-ce constructif ou préjudiciable ? Et si la personne avec qui tu batifoles tombe amoureuse de toi ? Tu diras peut-être : « Ce n’est pas ce que je voulais ». Eh bien, si tu batifoles tout de même avec quelqu’un alors que ce n’est pas ce que tu veux, est-ce que tu ne joues pas avec lui ? Tu lui fais du mal ! Cela manque quelque peu de sens moral. Les gens qui agissent ainsi ont un pauvre caractère. En outre, si tu n’as pas l’intention de poursuivre cette relation et que tu ne la prends pas au sérieux, mais que tu lèves quand même les sourcils, que tu fais des œillades au sexe opposé et que tu fais ton intéressant en recourant à l’humour, si tu fais tout pour montrer que tu as du style, que tu es beau ou belle, que tu mets en valeur tes meilleurs côtés, si tu te mets ainsi en valeur, que fais-tu vraiment ? (Séduire les gens.) Il y a là une intention de séduire là-dedans. Maintenant, ce genre de comportement séducteur, est-ce une chose noble ou vilaine ? (C’est une vilaine chose.) C’est là qu’il n’y a plus aucune dignité. Quel genre de personnes dans ce monde séduirait les autres ? Les prostituées, les femmes dévergondées, les fripouilles – ces personnes ne connaissent pas la honte. Qu’est-ce que cela signifie de ne pas connaître la honte ? Cela signifie qu’elles sont insensibles à la disgrâce. L’intégrité, la honte et l’honneur, ainsi que la dignité et la réputation – elles ne se soucient d’aucun d’entre eux. De telles personnes se promènent en frimant et en flirtant. Flirter avec une ou deux personnes ne leur suffit pas, et elles ne trouvent pas que huit ou dix, ce soit excessif. Il en faudrait des milliers et des milliers pour les rendre heureuses. Certaines femmes mariées ont eu deux enfants, et personne en dehors de chez elles ne le sait. Pourquoi ne le font-elles pas savoir aux gens ? Elles ont peur qu’une fois qu’elles disent qu’elles sont mariées et qu’on leur parle, elles ne trouveront plus de succès dans leurs flirts, et qu’elles perdront leur séduction et leur attrait. C’est pourquoi elles ne seront pas ouvertes à ce sujet. De telles personnes ne sont-elles pas insensibles à la disgrâce ? L’humanité de quelqu’un est-elle normale si elle contient de telles choses ? Elle ne l’est pas. Cela implique que si tu as une telle humanité et de tels comportements, alors tu manques d’humanité normale ; elle manque de pudeur et de dignité. Certaines personnes commencent à se caresser les cheveux et à lisser leurs vêtements dès qu’elles côtoient le sexe opposé, ou elles appliquent du rouge et de la poudre, faisant de leur mieux pour se faire belle. Quel est leur but là-dedans ? Leur but est la séduction. C’est quelque chose qui ne devrait pas être dans l’humanité normale. Le fait de pouvoir séduire les gens ainsi et ne rien ressentir, en pensant que c’est tout à fait normal et banal, que ce n’est pas grave, c’est manquer d’un sentiment de honte et ne même pas savoir ce que l’on devrait faire ou ne pas faire. Il y a des gens qui seraient prêts à aller et venir nus dans la rue si on leur donnait dix mille yuans. Quel genre de personnes sont-elles ? Ce sont des personnes qui n’ont pas de sentiment de honte. Elles feront n’importe quoi pour de l’argent, sans honte. L’intégrité, le caractère, le sentiment de honte et la dignité ne signifient rien et ne valent rien pour elles. Elles sentent que leur capacité à s’exhiber et à séduire les autres est un de leurs talents, et leur seule joie vient de gagner la faveur de plus de gens et d’avoir plus de gens qui leur courent après. C’est le plus grand honneur pour une telle femme ; c’est ce qu’elles chérissent. Elles ne chérissent pas la dignité, le sentiment de honte ou le caractère. Est-ce une bonne humanité ? (Non.) Avez-vous manifesté ces comportements ? (Nous les avons manifestés.) Êtes-vous alors capables de les contenir ? Pouvez-vous les contenir la plupart du temps, ou ne pouvez-vous le faire qu’une minorité du temps ? Avez-vous la capacité de vous restreindre ? Les personnes qui peuvent se restreindre sont celles dont le cœur connaît la honte. Tout le monde a des moments passagers d’impulsivité et de dissolution, mais quand celles qui peuvent se restreindre le font, elles sentent que ce qu’elles font n’est pas correct, que cela les dégrade, qu’elles doivent faire demi-tour tout de suite, et qu’elles ne doivent plus le faire. Et plus tard, quand elles rencontrent à nouveau une telle chose, elles sont capables de se contrôler. S’il n’y a même pas ce peu de capacité de maîtrise de soi dans ton humanité, alors contre quoi pourrais-tu te rebeller lorsque tu es appelé à pratiquer la vérité ? Certains ont la chance d’avoir un physique attirant et sont constamment recherchés par le sexe opposé ; plus ils sont recherchés, plus ils sentent qu’ils peuvent se permettre de se mettre en valeur. N’est-ce pas dangereux pour eux ? Que dois-tu faire dans cette situation ? (Reconnaître et éviter cet écueil.) C’est réellement un écueil que tu dois éviter, sinon, tu pourrais très bien t’apercevoir qu’une personne t’a piégé. Il faut que tu évites cet écueil avant d’être piégé : c’est ce qu’on appelle la maîtrise de soi. Les gens qui ont la maîtrise d’eux-mêmes ont le sens de la honte et ils ont de la dignité. Les autres qui n’en ont pas peuvent être égarés par quiconque les séduit : et ils mordent à l’hameçon chaque fois que quelqu’un leur court après, ce qui annonce des problèmes. En outre, ils vont aussi délibérément se mettre en valeur, se faire beaux, bien s’habiller, et quels que soient les vêtements qu’ils peuvent porter pour être plus séduisants, plus attirants et plus beaux, ils choisiront précisément de les porter et les porteront tous les jours. C’est dangereux pour eux et cela montre qu’ils essaient consciemment de séduire les autres. Si tu es trop tape-à-l’œil et trop séduisant dans ces habits, alors tu dois te rebeller contre la chair et renoncer à porter des vêtements comme ceux-ci. Si tu es résolu à le faire, tu peux alors faire ceci. Cependant, si tu n’as pas pris cette résolution et que tu veux rechercher un ou une partenaire, alors vas-y, trouves-en un : interagissez normalement l’un avec l’autre, sans flirter avec l’autre. Si tu ne recherches pas un ou une partenaire mais que tu flirtes toujours avec les gens, on ne peut pas appeler cela autrement qu’être éhonté. Il faut que tu saches précisément ce que tu choisis. Pouvez-vous tous vous conformer aux principes ? (Nous y sommes déterminés.) Si vous y êtes déterminés, alors vous avez l’énergie, la motivation, et il vous sera facile de vous y conformer. Certains sont foncièrement respectables par nature et, par ailleurs, ayant trouvé la foi, ils poursuivent la vérité et empruntent le bon chemin : ils n’ont donc pas ce désir et ne répondent pas à quiconque essaie de flirter avec eux. Certains y sont tout à fait enclins, tandis que d’autres n’y accordent aucune attention ; certains semblent y être déterminés, mais ils ne peuvent même pas dire s’ils le font réellement ou pas. En ce qui concerne l’interaction avec le sexe opposé, c’est quelque chose que tu dois gérer correctement et réexaminer, et identifier comme faisant partie de la dignité et du sentiment de honte de l’humanité normale. En quoi le manque d’un sentiment de honte est-il lié au manque d’humanité ? Il est juste de dire que si l’on n’a aucun sentiment de honte, on n’a aucune humanité. Pourquoi est-ce que tous ceux qui manquent d’humanité n’aiment pas la vérité ? Et pourquoi disons-nous que l’on peut poursuivre la vérité si l’on possède l’humanité ? Dites-Moi, est-ce que les gens qui n’ont pas de sentiment de honte savent ce qui est bien et ce qui ne l’est pas ? (Non.) Alors, quand ils font de mauvaises choses qui résistent à Dieu et Le trahissent et violent la vérité, éprouvent-ils du remords ? (Non.) Peuvent-ils se mettre sur la bonne voie si leur conscience ne les réprimande pas ? Peuvent-ils poursuivre la vérité ? Les gens effrontés et sans vergogne sont insensés ; ils ne peuvent pas distinguer clairement les choses positives des négatives, ou ce que Dieu aime et ce qu’Il déteste. Alors, quand Dieu dit que les gens doivent être honnêtes, ils disent : « Qu’y a-t-il de mal à mentir ? Dire un mensonge n’est pas dégradant ! » Quelqu’un sans vergogne ne dirait-il pas quelque chose comme cela ? Si une personne avec un sentiment de honte ne parvient pas à être honnête et est découverte par tout le monde, son visage ne rougit-il pas ? N’est-elle pas mal à l’aise en son for intérieur ? (Elle l’est.) Et qu’en est-il d’une personne sans gêne ? « Être une personne honnête, ce que les autres pensent, la valeur que j’ai pour eux, ou le poids qu’ils m’accordent – rien de tout cela n’a d’importance pour moi ! » Elle s’en fiche. Peut-elle alors encore poursuivre la vérité ? Si tu lui demandes après qu’elle a menti si elle est troublée dans son cœur ou si elle se sent coupable, elle dira : « Qu’est-ce que cela signifie d’être en paix ? Qu’est-ce que la culpabilité ? Pourquoi cela doit-il être si gênant ? » Elle n’a pas une telle conscience. Quelqu’un d’une raison aussi douteuse peut-il suivre Dieu ? Peut-il poursuivre la vérité ? Il ne la poursuit pas. Pour lui, il n’y a pas de frontières entre ce qui est positif et ce qui est négatif, entre la vérité et ce qui la viole – tout est pareil. En tout cas, il pense que ce serait bien si tout le monde faisait un effort, faisait son devoir et payait un prix. Il n’a aucun discernement concernant ces choses. Il ne ressent aucune culpabilité lorsqu’il a fait quelque chose qui résiste à Dieu, qui viole les vérités-principes, qui a lésé quelqu’un d’autre, ou qui perturbe le travail de l’Église. Il n’a aucun sentiment de culpabilité. En cela, ne manque-t-il pas d’un sentiment de honte ? Les gens qui n’ont aucun sentiment de honte n’ont pas de discernement concernant de telles choses. Pour eux, il s’agit de faire ce qu’ils veulent. Tout est permis ; il n’est pas nécessaire d’utiliser la vérité pour porter des jugements. Donc, il n’y a aucun moyen pour les personnes qui n’ont pas de sentiment de honte de comprendre ou de pratiquer la vérité. C’est la relation entre n’avoir aucun sentiment de honte et manquer d’humanité. Pourquoi, alors, n’avez-vous pas pu dire cela ? Vous pensez tous : « Ce que Tu prêches n’a pas grand-chose à voir avec la vérité ; c’en est assez éloigné. Nous sommes généralement capables de voir ces choses clairement, alors avons-nous encore besoin que Tu en parles ? » Si vous sentez que cela n’a rien à voir avec la vérité, alors dans quelle mesure êtes-vous entrés dans la vérité-réalité ? Vivez-vous une humanité normale ? Êtes-vous vraiment devenus des gens qui ont la vérité et de l’humanité ? Vous êtes trop petits de stature et vous ne pouvez même pas déterminer ces choses, alors quelle vérité-réalité pourriez-vous avoir ?

L’un des dix décrets administratifs de la maison de Dieu dit : L’homme a un tempérament corrompu et, de plus, il possède des sentiments. En tant que tel, il est absolument interdit à deux membres du sexe opposé de travailler ensemble sans être accompagnés quand ils servent Dieu. Quiconque est découvert le faisant sera expulsé, sans exception. Comment les gens considèrent-ils ce décret administratif ? Si un homme avait des relations inappropriées avec plus de trente femmes, dites-Moi, que penseraient les gens qui en entendraient parler ? (Ils seraient médusés.) Tu serais surpris de l’entendre ; tu serais choqué, « Mon dieu, c’est beaucoup ! C’est dégoûtant, n’est-ce pas ? » Et quel sentiment cet homme aurait-il eu quand il te l’a dit ? (Il aurait agi comme si cela n’avait pas d’importance pour lui.) Cela n’a rien d’exceptionnel pour lui. Demande-lui ce qu’il mange aujourd’hui : « Du riz. » Demande-lui avec combien de femmes il a été : « Trente ou plus. » Il disait les deux choses avec exactement le même ton de voix et le même état d’esprit. Y a-t-il un salut pour une personne avec une telle humanité ? Il n’y en a pas, même s’il croit en Dieu. Comment pourrait-il ne pas savoir être honteux quand il laisse échapper quelque chose comme ça ? C’est une affaire dégradante ! Comment a-t-il pu alors laisser échapper ça ? Dites-Moi, a-t-il encore un sentiment de honte ? Non, il n’en a pas. La perception de la conscience au sein de son humanité est déjà insensible et il n’a plus de perspicacité. Il ne s’agit pas simplement du fait d’être dépravé – les personnes sans honte ni dignité ne sont plus des personnes. En apparence, elles ressemblent toujours à des personnes, mais cela s’effondre dès qu’elles doivent gérer quelque chose. Elles sont capables de tout faire, sans connaissance de la honte – et cela signifie qu’elles ne sont plus des personnes. Terminons notre discussion sur ces questions ici.

Réfléchissez à ces trois aspects de l’humanité normale dont nous avons discuté aujourd’hui – sont-ils importants ? Ces choses dans l’humanité normale sont-elles déconnectées de la poursuite de la vérité ? (Non.) Alors qu’ont-elles à voir avec la poursuite de la vérité ? Si l’humanité d’un croyant en Dieu ne fait pas preuve de méticulosité, n’a pas le sens des responsabilités ni une capacité d’attention dans ses actions – s’il n’a pas une telle humanité, alors que peut-il gagner dans sa croyance en Dieu et sa poursuite de la vérité ? Nous avons échangé sur pas mal de vérités au fil des ans, des vérités dans tous les domaines. Si les gens ne s’appliquent pas ou ne traitent pas ces vérités avec un état d’esprit consciencieux, faisant tout à la va-vite et en ne faisant rien consciencieusement, peuvent-ils ainsi parvenir à une compréhension de la vérité ? Certaines personnes disent : « Si je n’arrive pas à comprendre la vérité, ne puis-je pas simplement mémoriser ces doctrines et ces terminologies ? » Serez-vous finalement en mesure d’obtenir la vérité de cette manière ? Si tu ne possèdes pas ce genre d’humanité normale et ne possèdes pas ces choses au sein de ton humanité, ce qui signifie que tu n’as pas une attitude consciencieuse, méticuleuse, sérieuse et responsable envers les choses, alors pour toi la vérité se transforme en doctrines et slogans – cela se transforme en règlements. Tu ne peux pas gagner la vérité, parce que tu es incapable de la comprendre. Au-delà de cela, si tu ne peux pas bien gérer l’environnement, la routine et le style de ta vie personnelle, serais-tu en mesure d’entrer dans les différents principes et dictons qui impliquent la vérité ? Tu ne le seras pas. De plus, les gens doivent aimer les choses positives de la vie, et concernant les choses négatives et malveillantes, ils doivent maintenir une attitude de dégoût et de répulsion au plus profond de leur cœur. C’est la seule façon d’entrer dans quelques vérités. Cela signifie que dans ta poursuite de la vérité, tu dois avoir la bonne attitude et l’état d’esprit correct ; tu dois être une personne intègre et sérieuse. Seules de telles personnes peuvent gagner la vérité. Si quelqu’un n’a aucun sentiment de honte et reste insensible et inconscient dans son cœur alors qu’il a fait beaucoup de choses malveillantes, beaucoup de choses qui se rebellent contre Dieu et violent la vérité, pensant que ce n’est pas grave – la vérité lui est-elle alors utile ? Cela ne sert à rien du tout. La vérité n’exerce aucun effet sur lui, et elle n’est pas capable de le retenir, de le réprimander, de le guider ou de lui indiquer la direction et le chemin vers elle, ce qui signifie qu’il est en difficulté. Comment une personne sans même un sentiment de honte pourrait-elle comprendre la vérité ? Pour qu’une personne puisse comprendre la vérité, elle doit d’abord être sensible aux choses positives et négatives dans son cœur. Elle est révulsée par la moindre mention ou rencontre quelque chose de négatif ou de malveillant, et si elle fait une telle chose elle-même, elle se sent honteuse et troublée. Elle ressent de l’amour pour la vérité et peut accepter la vérité dans son cœur ; elle peut l’utiliser pour se retenir et renverser ses mauvais états. L’humanité normale ne devrait-elle pas posséder ces choses ? (Si.) Avec la possession de celles-ci, ne devient-il pas facile pour quelqu’un de poursuivre la vérité ? Et si quelqu’un n’en possède aucune, alors parler de poursuivre la vérité n’est qu’un discours vide – comment pourrait-il le faire sans rien de positif dans son cœur ? Ce n’est que lorsque ton humanité normale sera possédée de ces choses que la vérité prendra racine, fleurira et portera des fruits en toi – ce n’est qu’alors qu’elle produira un effet. Lorsque tu auras compris la vérité, tu pourras modifier ta pensée et restreindre ton comportement, et tes pensées corrompues deviendront de moins en moins nombreuses. C’est un vrai changement.

Combien de ces manifestations de l’humanité normale dont nous avons discuté aujourd’hui possédez-vous ? Lesquelles ne possédez-vous pas ? Quelles sont celles que vous possédez ? (Un sentiment de honte.) Un sentiment de honte – c’est une bonne chose. Un sentiment de honte est le minimum que vous devriez posséder. Quoi d’autre ? Avez-vous tous une mentalité et une attitude consciencieuses et méticuleuses à l’égard des personnes, des évènements et des choses ? Je vois que vous êtes négligents dans tout ce que vous faites, juste léthargique et relâché, et quand Je vois ces choses que vous faites, l’anxiété grandit dans Mon cœur. Pouvez-vous détecter ces problèmes par vous-même ? Êtes-vous inquiets lorsque vous les détectez ? (Oui.) De quelle manière ? Parlez-en. (Maintenant que je viens d’entendre l’échange de Dieu, je sens que je n’ai pas beaucoup d’humanité et que j’ai eu une mentalité désinvolte envers mon devoir et les évènements de ma vie. Je suis si loin des normes des exigences de Dieu. C’est un peu effrayant.) Il manque trop de choses dans votre humanité, n’est-ce pas ? Vous sentez que vous croyez en Dieu depuis des années et que vous avez entendu de nombreuses vérités, mais vous n’avez même pas ce qu’il y a de plus fondamental dans l’humanité – comment pourriez-vous ne pas être anxieux ? Certaines personnes ont un peu de compétences techniques, mais tout ce qu’elles font est bâclé. Tout est médiocre, pas à la hauteur, et elles ne se préoccupent pas des méthodes avancées et standard. N’est-ce pas rétrograde de leur part ? Par exemple, on leur a demandé une fois d’installer une porte et elles ont dit : « D’où je viens, la plupart des portes que nous avons sont des portes à un vantail. » Ce petit endroit d’où elles viennent n’établit pas la norme. Elles devraient examiner le style des portes des commerces et des immeubles résidentiels des grandes villes, puis faire leur travail en fonction de la réalité de la situation. Pourtant, ici, elles ont ouvert la bouche et ont dit : « Nous ne fabriquons pas de portes à deux battants chez nous, et il n’y a pas trop de monde ici. Ce ne serait pas grave non plus si c’était le cas – elles peuvent simplement se faufiler. » Quelqu’un d’autre a dit : « Si les gens se serrent les uns contre les autres trop longtemps, cela cassera le chambranle de la porte. Parlons de ça. Faites-en une porte à double face cette fois, à titre exceptionnel, d’accord ? » Puis elles ont dit : « Non ! Je fabrique des portes à un vantail ; je ne peux en fabriquer à deux vantaux. Est-ce moi qui sait comment le faire, ou toi ? C’est moi – alors pourquoi ne m’écoutes-tu pas à ce sujet ? Tu dois m’écouter ! » On leur a dit de travailler en fonction de la situation, mais elles n’ont pas écouté et ont insisté pour faire une petite porte. Ne s’agit-il pas d’ennuis ? Lorsqu’on leur a demandé d’installer une cloison vitrée entre l’intérieur et l’extérieur pour laisser entrer la lumière et éviter que l’espace ne semble pas trop petit, elles ont répondu : « Pourquoi installerions-nous du verre ? Ce serait un risque pour la sécurité, n’est-ce pas ? Je n’installe pas de verre ; ces deux portes feront l’affaire. C’est la seule sorte de porte que nous utilisons d’où je viens. » Elles sortent toujours des choses comme « d’où je viens », « à la maison », « j’ai étudié des trucs techniques » afin de réprimer les autres. Ces choses sont-elles la vérité ? (Elles ne le sont pas.) Pour qu’elles adoptent une telle attitude envers les choses extérieures, qu’est-ce qui doit être déficient à l’intérieur de leur humanité ? La rationalité. Et quel genre de chose, en particulier, doit manquer de rationalité ? La perspicacité. Elles sentent toujours que tout ce qui vient de leur lieu d’origine est juste, que c’est ce qu’il y a de plus élevé, que tout est la vérité. Leur rationalité n’est-elle pas pauvre ? À quoi devrait ressembler la rationalité normale ? Avec une rationalité normale, elles diraient : « Je suis dans ce métier depuis tant d’années, mais je n’ai pas vu grand-chose. C’est ainsi que nous fabriquons tous des portes d’où je viens, alors voyons à quel point les portes sont grandes ici. Nous suivrons ce que font les gens ici. C’est un endroit différent, et dans cette tâche, je devrais rester flexible. » N’est-ce pas de la rationalité ? (Ça l’est.) Une telle personne a-t-elle donc cette rationalité ? Non – elle n’a pas de raison. Et comment cela a-t-il été géré au final ? Le travail a dû être refait. Refaire le travail n’est-il pas une perte ? (Ça l’est.) Oui, ça l’est. Y a-t-il de nombreux cas de ce genre ? Il y en a. Cette personne est têtue, jusqu’au bout des ongles. À quel point est-elle têtue ? Elle n’a pas écouté ce que quelqu’un a dit ; elle n’a même pas écouté ce que J’ai dit, et elle M’a aussi contredit. J’ai dit : « Tu dois la remplacer. Si tu ne le fais pas, ce n’est pas un travail pour toi. » Et elle a eu le courage de dire : « Je vais faire une porte de cette taille même si Tu n’avais pas besoin de moi ! » De quel tempérament s’agit-il ? Est-ce cela l’humanité normale ? (Non.) Ce n’est pas une humanité normale – alors de quelle humanité s’agit-il donc ? À Mon avis, elle est un peu comme une bête. C’est comme quand un bœuf a soif : peu importe le nombre de marchandises ou de personnes qu’il transporte dans le chariot, dès qu’il voit une flaque d’eau ou une rivière, il tire le chariot droit vers là. Même de nombreuses personnes ne peuvent l’éloigner de là. C’est d’un animal dont nous parlons. Est-ce que les gens ont aussi ce genre de tempérament ? Quand ils l’ont, ce n’est pas une humanité normale, et c’est dangereux. Ils trouveront une excuse pour te nier, pour arrêter d’écouter. Ils sont tellement têtus et stupides. Avec de telles questions dans la vie quotidienne, si tu n’as pas une attitude d’acceptation modeste, d’être réceptif aux opinions des autres, si tu n’as pas une attitude d’étude, comment pourrais-tu accepter la vérité ? Comment pourrais-tu la pratiquer ? Tout le monde dit qu’il serait plus approprié de faire une porte à deux battants. Tu ne peux même pas faire cela, et c’est loin de la pratique de la vérité – tu n’écoutes même pas une suggestion judicieuse. Serais-tu capable d’écouter quelque chose qui touche à la vérité ? Tu n’écouterais pas, comme toujours. Cela n’arriverait pas à quelqu’un qui possède un tempérament comme celui-ci, et cela signifie de gros ennuis pour lui. Si son humanité ne possède même pas ce genre de raison, alors quelle vérité peut-il pratiquer ? Pour qui fait-il ces choses avec lesquelles il est occupé tous les jours ? Il les fait entièrement selon ses propres préférences, ses propres désirs égoïstes. Chaque jour, il a ce genre de point de vue envers les personnes, les évènements et les choses qui l’entourent dans la vie quotidienne : « Je ferai ce que je veux, je ferai ce que je pense et je ferai ce que je crois. » Comment cela s’appelle-t-il ? Toute la journée, tout ce qu’il pense est entièrement malfaisant. Et s’il est si malfaisant dans l’âme, qu’en est-il de ses actions ? Existe-t-il une personne dont les pensées sont toutes malfaisantes, mais dont les actions s’alignent toujours sur la vérité ? Ce n’est pas correct – ce serait une contradiction. Ses pensées sont toutes malfaisantes, et d’où elles partent est entièrement malfaisant, donc ce qu’elle fait ne sera pas, à tout le moins, commémoré. Et parmi les choses qui ne sont pas commémorées, certaines sont des interruptions et des perturbations, certaines sont destructrices, tandis que d’autres ne sont pas trop mauvaises. Si ces choses étaient prises au sérieux, elles devraient être condamnées. C’est comme cela que ça marche.

Il existe chez certaines personnes une sorte de point de vue erroné, que d’autres trouvent assez dégoûtant. Ces personnes ont quelques dons ou forces, ou peut-être un métier, une certaine compétence ou une capacité spéciale dans certains domaines, et après qu’elles en sont venues à croire en Dieu, elles se considèrent comme des gens distingués. Cette attitude est-elle correcte ? Que pensez-vous de ce point de vue ? Est-ce que cela appartient à la pensée de l’humanité normale ? Non. De quel genre d’idée s’agit-il alors ? Est-ce que cela ne manque pas de raison ? (Si.) Elles croient : « Je suis plus élevé que les gens ordinaires parce que je connais ce métier, et je suis meilleur que le commun des mortels dans la maison de Dieu. Je suis un homme, doté de savoir-faire et de capacités, et je suis un bon orateur et talentueux. Je me suis fait plutôt remarquer dans la maison de dieu. Je suis meilleur que tout le monde. Personne ne peut me donner des ordres, personne ne peut me diriger, et personne ne peut me commander de faire quoi que ce soit. J’ai cette compétence, donc je ferai ce que je veux. Je n’ai pas à réfléchir aux principes – tout ce que je fais est juste et conforme à la vérité. » Que pensez-vous de ce point de vue ? N’y a-t-il pas des gens comme ça ? De telles personnes ne sont pas en minorité, et elles viennent à la maison de Dieu pour se montrer. Si elles utilisaient leurs forces ou leurs compétences pour faire un devoir dans la maison de Dieu, ce serait bien, mais si elles veulent se montrer, c’est un problème d’une nature différente. Pourquoi cela s’appelle-t-il « se montrer » ? Elles voient les croyants en Dieu comme stupides, comme s’ils n’étaient rien. Quelque chose n’a-t-il pas mal tourné avec leur façon de penser ? N’y a-t-il pas quelque chose qui cloche dans leur rationalité ? Est-ce ainsi que les choses sont réellement ? Les gens qui croient en Dieu sont-ils vraiment sans valeur ? (Non.) Alors pourquoi ces personnes les verraient-elles comme tels ? Pourquoi auraient-elles une telle pensée ? Qu’est-ce qui donne lieu à une telle pensée ? L’apprennent-elles des non-croyants ? Elles pensent que les gens qui croient en Dieu ne sont rien, que ce sont tous des femmes au foyer et des maris au foyer, que ce sont tous des paysans et qu’ils appartiennent aux couches inférieures de la société. Leur point de vue est celui du grand dragon rouge. Elles pensent que les gens qui croient en Dieu sont incapables, qu’ils ne pouvaient pas se frayer un chemin dans la société, et qu’ils n’en sont venus à croire en Dieu que parce qu’il n’y avait aucun chemin pour eux là-bas, nulle part vers où se tourner. Elles pensent que parce qu’elles ont des capacités, qu’elles connaissent un peu une profession ou qu’elles ont un savoir-faire technique, cela fait d’elles une personne de talent dans la maison de Dieu. Cette pensée est-elle correcte ? (Non.) Qu’est-ce qui ne va pas à ce sujet ? Elles croient qu’il n’y a pas de personnes capables dans la maison de Dieu, et avec leur peu de savoir-faire professionnel, elles aimeraient exercer le pouvoir et avoir le dernier mot sur les choses. Y a-t-il de telles personnes là-dehors ? Y a-t-il des personnes comme ça à côté de vous, ou parmi celles avec lesquelles vous êtes familiers ou que vous connaissez ? Il y a un certain nombre de personnes qui sont qualifiées dans un certain domaine, et lorsque vous les faites agir en tant que chef de groupe ou superviseur, elles ont l’impression d’avoir gagné un poste officiel. Elles sentent qu’elles ont le dernier mot dans la maison de Dieu, que personne d’autre ne veille aux intérêts de la maison de Dieu comme elles le font ou ne protège ses intérêts plus qu’elles, et que personne n’est aussi loyal qu’elles. Elles veulent tout gérer et participer à tout, mais elles ne gèrent rien de bien, et elles ne cherchent pas non plus les vérités-principes. Elles n’écoutent même pas ce que Je dis. Y a-t-il de telles personnes là-dehors ? (Oui.) Il y a de telles personnes. Sous la bannière de la compétence certaine qu’elles ont, elles souhaitent gérer tout le monde et exercer leur fonction. Par exemple, lorsque certains frères et sœurs font quelque chose qui ne leur plaît pas, elles diront : « Nous devons maîtriser ces gens – ils sont délirants ! » Lorsque les croyants en Dieu ont un problème, la vérité doit être échangée avec eux. Ce n’est pas un camp militaire où le contrôle militaire doit être pratiqué. En ce qui concerne les affaires dans l’Église, les problèmes ne peuvent être résolus qu’en échangeant sur les paroles de Dieu et en amenant les gens à comprendre la vérité. Ceux qui n’acceptent pas la vérité et agissent de manière arbitraire et capricieuse peuvent être émondés – seuls ceux qui sont déterminés à ne pas accepter la vérité peuvent être disciplinés. Il y a des gens qui ont servi en tant que superviseurs ou en tant que dirigeants et ouvriers qui n’ont clairement pas la vérité-réalité, mais qui souhaitent toujours exercer le pouvoir et avoir le dernier mot dans la maison de Dieu. Ces gens ont-ils une conscience et une raison ? Ils connaissent simplement quelques astuces d’un métier et ne comprennent pas la vérité le moins du monde. Ils se croient utiles et capables, pensant qu’ils sont meilleurs que la personne moyenne dans la maison de Dieu, et ils souhaitent faire ce qu’ils veulent dans l’Église à partir d’une position de pouvoir – avoir le seul et dernier mot. Ils ne cherchent pas les vérités-principes mais agissent selon ce qu’ils souhaitent, selon leurs préférences. Quel est le problème ici ? N’est-ce pas là le tempérament d’un antéchrist ? Est-ce que des gens comme ça ont la raison de l’humanité normale ? Ils n’en ont pas la moindre trace. Nous mettrons fin à notre échange sur l’humanité normale ici.

Dissection de la manière dont les antéchrists voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu

III. Dissection du fait que les antéchrists interdisent aux autres d’interférer, de s’informer ou de les superviser dans leur travail

En continuant sur le sujet de notre dernier échange, nous trouvons le huitième point inclus dans les diverses manières dont les antéchrists se manifestent : ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu. Nous avons divisé ce point en quatre sous-sections. Nous avons discuté de deux d’entre eux lors de notre dernière réunion : la première était qu’ils sont incapables de coopérer avec qui que ce soit ; la seconde était qu’ils ont le désir et l’ambition de contrôler et de conquérir les gens. Quelle est la troisième ? Interdire aux autres d’intervenir, de s’informer ou de les superviser dans tout travail qu’ils ont entrepris. Que pourrait inclure tout travail qu’ils ont entrepris ? Cela comprend tout programme de travail dont un dirigeant ou un ouvrier peut être responsable, ainsi que le travail dont un superviseur de groupe ou un chef de groupe peut être responsable ; il peut également s’agir d’un travail professionnel dans un certain domaine ou du travail d’une seule personne. Cette personne qui a accepté un travail peut être un dirigeant ou un ouvrier, ou elle peut être un frère ou une sœur ordinaire. Si elle interdit aux autres d’intervenir, de s’informer ou de la superviser, dans quel état est-elle ? Quels comportements sont liés à cette interdiction ? C’est un autre comportement qui s’inscrit dans la huitième manifestation des antéchrists, une autre révélation de leur essence. Chaque type de devoir est soit un travail professionnel soit un travail qui concerne directement l’entrée dans la vie. Le travail professionnel implique tous les aspects tels que la technique, la connaissance, l’apprentissage et le personnel. Tous ces éléments sont inclus. Certaines personnes, après avoir accepté un travail, commencent à travailler seules. Elles n’en discutent pas avec les autres, et lorsqu’elles sont confrontées à des difficultés, elles ne veulent pas demander l’avis des autres ; elles veulent être les seules arbitres et avoir le dernier mot. D’autres personnes peuvent proposer leurs idées et leur contribution, dans l’espoir de les aider un peu – mais l’acceptent-elles ? (Non.) Non, elles ne peuvent pas. De quel genre de tempérament s’agit-il ? Quel tempérament les gouverne pour qu’elles interdisent aux autres d’intervenir, de s’informer, ou de superviser l’accomplissement de leur devoir ? Elles pensent : « Je connais ce métier et je connais la théorie. L’Église m’a confié ce travail. Alors, je vais le faire tout seul. » Elles prétendent souvent qu’elles comprennent la profession et qu’elles sont des initiées pour justifier leur refus de divulguer toute information liée au travail ou à son avancement à d’autres personnes. Elles ne veulent même pas faire part aux autres des bévues, des erreurs ou des contretemps qui surviennent dans le cadre de leur travail. Lorsque quelqu’un d’autre apprend l’existence d’une telle chose et souhaite s’informer, s’impliquer ou en savoir plus, elles refusent de répondre, mais disent : « Les choses qui relèvent de mon travail sont ma chasse gardée. Tu n’as pas le droit de t’informer. L’Église ne t’a pas chargé de cela, elle m’en a chargé, et je dois en préserver la confidentialité. » Est-ce une justification raisonnable ? Est-ce juste de leur part de « garder le secret » ? (Non.) Pourquoi ? Cela constituerait-il une violation de l’information que d’échanger avec d’autres personnes sur l’état d’un travail, des bévues et des problèmes qui sont apparus, ainsi que de son plan et de sa direction ? (Non.) Ce n’est pas le cas, sauf pour certains détails particuliers qui constitueraient un risque pour la sécurité de l’Église s’ils étaient révélés, et qu’il serait inapproprié de révéler à d’autres. Dans ce cas, il vaut mieux ne pas en parler. Mais si elles utilisent leur confidentialité comme justification, et ne laissent rien savoir aux autres de ce qui s’inscrit dans le cadre de leur travail, et résistent et refusent les demandes, les questions ou les sollicitations des frères et des sœurs ordinaires ainsi que des dirigeants et des ouvriers, quel est alors le problème ici ? Elles peuvent vouloir faire quelque chose d’une certaine manière, par exemple. Quelqu’un d’autre leur dit : « Si tu agis de la sorte, cela entraînera une perte aux intérêts de la maison de Dieu et tu feras fausse route. Et si on faisait plutôt comme ça ? » Elles se disent : « Si je fais comme tu le dis, cela montrera aux autres que ma façon de faire n’est pas bonne, n’est-ce pas ? Et alors, le mérite du travail te reviendra alors, n’est-ce pas ? Cela ne marchera pas ; je préfère faire fausse route que de suivre ta voie. Je dois m’en tenir à ma voie. Je me fiche de savoir si cela entraîne une perte pour les intérêts de la maison de Dieu ; c’est ma réputation et mon statut qui comptent – c’est mon prestige qui compte ! » Même si ce qu’elles font est erroné, elles auront tort et ne permettront à personne d’intervenir. N’est-ce pas là un tempérament d’antéchrist ? (Si.) Quelle est l’essence de ne pas permettre aux autres d’intervenir ? C’est s’engager dans sa propre entreprise. Les intérêts de la maison de Dieu ne sont pas ce qui leur importe, et son œuvre n’est pas leur centre d’intérêt. Elles ne fonctionnent pas selon ce principe. Au lieu de cela, elles travaillent en se concentrant sur leurs intérêts personnels, leur statut et leur prestige ; le travail et les intérêts de la maison de Dieu doivent servir leur propre statut et leurs propres intérêts. C’est pourquoi elles ne laissent pas les autres intervenir ou s’informer sur leur travail. Elles pensent que dès que quelqu’un intervient dans leur travail, leur statut et leurs intérêts sont menacés, que leurs lacunes et leurs déficiences, ainsi que les problèmes et les aberrations de leur travail, risquent d’être exposés. Elles sont donc déterminées à interdire aux autres d’intervenir dans leur travail et n’acceptent ni la coopération ni la supervision de qui que ce soit d’autre.

Quel que soit le travail dans lequel un antéchrist est engagé, il craint que le Supérieur en entende parler et s’informe. Si le Supérieur s’informe sur l’état du travail ou la dotation en personnel, il se contentera de donner un compte rendu superficiel de quelques banalités, de quelques éléments selon lui qu’il est bon que le Supérieur sache, et dont la connaissance n’aurait aucune conséquence. Si le Supérieur insiste sur le fait d’être informé sur le reste, l’antéchrist pensera que le Supérieur s’immisce dans son devoir et dans ses « affaires internes. » Il ne lui dira plus rien, mais il fera l’innocent, il le trompera et il dissimulera les choses. Ne refuse-t-il pas la supervision de la maison de Dieu ? (Il la refuse.) Et que fera-t-il si quelqu’un découvre un de ses problèmes et qu’il l’expose et le dénonce au Supérieur ? Il le bloquera, l’interceptera et le menacera même : « Si tu dis ceci et que cela nous amène à nous faire émonder par le Supérieur, c’est toi qu’il faut blâmer. Si quelqu’un doit être émondé, c’est toi ! » N’essaie-t-il pas d’établir un royaume indépendant ? (Il essaie.) Il ne permet même pas au Supérieur de s’informer, et personne n’a le droit de savoir ce qui s’inscrit dans le cadre de son travail, ni de l’interroger à ce sujet, et encore moins de faire des recommandations. S’il a mis la main sur un programme de travail, lui seul peut avoir le dernier mot sur les questions qui s’inscrivent dans le cadre de ce travail ; seulement lui peut arbitrer ; seulement lui peut agir et parler comme bon lui semble, et peu importe la façon dont il agit, il a une justification pour ça. Quel plan d’action emploie-t-il une fois que quelqu’un s’informe ? La superficialité et les dissimulations. Et quoi d’autre ? (La supercherie.) C’est juste : la supercherie – il te présentera même une fausse façade. Dans certaines Églises, par exemple, un dirigeant ou un diacre d’évangélisation peut clairement avoir gagné seulement trois personnes dans l’Église dont il est responsable en l’espace d’un mois, ce qui est considérablement moins que dans d’autres Églises. Il a l’impression qu’il n’y a pas moyen d’en rendre compte au Supérieur – que fait-il alors ? Lorsqu’il rend un rapport de son travail, il ajoute un zéro après ce trois et dit qu’il a gagné trente personnes. Quelqu’un d’autre l’apprend et l’interroge : « N’est-ce pas de la supercherie ? » « De la supercherie ? », répond-t-il. « Pourquoi, cela ira bien quand nous aurons gagné trente personnes le mois prochain pour compenser, n’est-ce pas ? » Pour cela, il a une justification. Si quelqu’un d’autre prend l’affaire au sérieux et souhaite rapporter les faits au Supérieur, il pense que cette personne lui cause des ennuis, qu’elle en a après lui. Alors, il la réprimera et s’occupera d’elle – il lui créera des ennuis. En cela, ne punit-il pas les gens ? Ne fait-il pas le mal ? Il ne cherche jamais les vérités-principes dans son travail, alors quel est son objectif en faisant le travail ? Il s’agit de sécuriser son statut et ses moyens de subsistance. Quelles que soient les mauvaises choses qu’il fait, il ne dit pas aux gens l’intention et le motif de ce qu’il fait. Il doit garder ces informations strictement confidentielles ; ce sont des informations secrètes pour lui. Quel est le sujet le plus sensible pour de telles personnes ? C’est lorsque tu lui demandes : « Qu’as-tu fait récemment ? L’accomplissement de ton devoir a-t-il donné des résultats ? Y a-t-il eu des interruptions ou des perturbations dans la zone couverte par ton travail ? Comment t’en es-tu chargé ? Es-tu là où tu devrais être dans ton travail ? As-tu fait ton devoir loyalement ? Les décisions que tu as prises en matière de travail ont-elles entraîné des pertes pour les intérêts de la maison de Dieu ? Les dirigeants non qualifiés ont-ils été remplacés ? Les personnes de bon calibre qui poursuivent relativement la vérité ont-elles été promues et formées ? As-tu réprimé des personnes qui ont été insubordonnées à ton égard ? Quelle connaissance as-tu de ton tempérament corrompu ? Quel genre de personne es-tu ? » Ce sont les sujets les plus sensibles pour elle. Le fait qu’on lui pose ces questions est ce qu’elle craint le plus, alors, au lieu d’attendre que tu lui poses, elle s’empresse de trouver un autre sujet avec lequel les dissimuler. Elle aimerait t’induire en erreur par tous les moyens, en t’empêchant de savoir ce qu’est réellement la situation à ce stade. Elle ne te dit rien, elle t’empêche toujours de savoir jusqu’où elle est allée dans son travail. Il n’y a pas la moindre transparence sur ce point. Ces personnes ont-elles une vraie foi en Dieu ? Ont-elles la crainte de Dieu ? Non. Elles ne font jamais de rapport proactif sur le travail, ni sur les bévues rencontrées dans leur travail ; elles ne demandent jamais, ne cherchent jamais, ne s’ouvrent jamais sur les défis et la confusion auxquels elles ont fait face dans leur travail, mais vont jusqu’à dissimuler ces choses, bernant et trompant les autres. Il n’y a aucune transparence dans leur travail, et ce n’est que lorsque le Supérieur les presse de fournir un rapport et un compte rendu factuels qu’elles acceptent à contrecœur d’en parler un peu. Elles préfèrent mourir plutôt que de parler de questions qui touchent à leur réputation et à leur statut – elles mourraient avant de dire un seul mot à ce sujet. Au lieu de cela, elles font semblant de ne pas avoir compris. N’est-ce pas là un tempérament d’antéchrist ? Quel genre de personne est-ce ? Ce type de problème se résout-il facilement ? Si le Supérieur doit les guider dans leur travail, quelle est leur attitude à cet égard ? La superficialité. Elles semblent acquiescer et vont même prendre un cahier ou un ordinateur et prendre vigoureusement des notes – mais une fois qu’elles l’auront fait, auront-elles compris la guidance et se mettront-elles au travail ? (Non.) Elles se donnent des airs pour que tu puisses les voir, elles se donnent en spectacle pour t’induire en erreur. Que pensent-elles vraiment ? « Puisque ce travail m’a été confié, ce que je dis s’applique. Personne ne peut se mêler de ce que je veux faire. “Un officiel de comté ne peut pas mener les gens à la baguette comme un officiel local”, donc j’ai ce droit. Si ce n’est pas le cas, ne me demandez pas de m’en charger. Virez-moi. » C’est ce qu’elles pensent et c’est ainsi qu’elles agissent. Quelle est ce tempérament ? N’est-ce pas là un tempérament d’antéchrist ? (Ça l’est.) Cela signifie qu’il y a des problèmes. Tu n’es pas autorisé à intervenir ou à t’informer, ni à interroger et à poser des questions. Elles y sont très sensibles. Elles pensent : « Est-ce que c’est le supérieur qui essaie de garder un œil sur mes problèmes et de surveiller mon travail ? Qui a vendu la mèche ? » Prises de panique, elles font un effort concerté pour comprendre qui les a compromises. En fin de compte, leurs doutes se réduisent à deux personnes et elles les envoient promener. De quel problème s’agit-il ? C’est le tempérament d’un antéchrist.

Quelle est la caractéristique principale du tempérament d’un antéchrist ? S’accrocher à un statut et contrôler les autres. Elles gagnent un statut afin de contrôler les autres. Tant qu’elles ont un statut, elles peuvent légitimement placer des personnes sous leur contrôle. Pourquoi dis-Je qu’elles le feront en toute légitimité ? Parce que leur travail leur a été confié par la maison de Dieu ; elles ont été choisies par les frères et sœurs pour l’accomplir. Ne se sentiront-elles pas ainsi légitimes à le faire ? (Oui.) Cela leur sert donc à capitaliser, avec ceci à l’esprit : « Vous m’avez choisi, n’est-ce pas ? Si vous m’avez choisi, vous devez me faire confiance. Il y a ce dicton des non-croyants : “Ne doute pas de ceux que tu emploies et n’emploie pas ceux dont tu doutes.” » Ici, elles emploient même une maxime satanique. Est-ce la vérité ? (Non.) C’est une hérésie satanique et une idée fausse. Si tu t’informes sur leur travail, elles sortiront une telle théorie : « “Ne doute pas de ceux que tu emploies et n’emploie pas ceux dont tu doutes” Si tu m’utilises, tu ne peux pas me suspecter. Si tu ne sais pas quel genre de personne je suis, si tu ne peux pas voir à travers moi, alors ne m’utilise pas. Mais tu te sers de moi, et c’est pourquoi je dois rester ferme sur ce point. Ce que je dis doit s’appliquer. » Ce qu’elles disent doit s’appliquer dans toutes les affaires professionnelles ; il ne servira à rien de ne pas les laisser faire, ou de leur trouver un partenaire ou de les faire superviser et guider par d’autres. Si quelqu’un vient vérifier leur travail, elles refusent simplement – elles ont l’impression qu’elles n’ont rien fait de mal et qu’elles n’ont pas besoin d’être contrôlées. Elles exploitent leur statut et leur autorité de plein droit pour prendre le contrôle des autres, du lieu de travail et de l’œuvre de l’Église. Ne sont-elles pas en train d’établir un royaume indépendant ? Ne s’agit-il pas d’un antéchrist ? La maison de Dieu peut leur demander de faire tel travail et d’accomplir tel devoir, mais pas d’exercer un pouvoir de dictateur. Une telle personne n’a-t-elle pas mal compris l’intention de Dieu et les arrangements de Sa maison ? Pourquoi est-elle toujours à la recherche d’un statut et d’un pouvoir au lieu de bien faire son devoir ? (Elle est gouvernée par le tempérament d’un antéchrist.) C’est exact – tel est le tempérament d’un antéchrist. Pourquoi interprète-t-elle mal lorsque l’Église organise du travail pour elle ? Parce qu’elle aime intrinsèquement contrôler les gens. C’est sa nature-essence – c’est ce qu’elle est. Organisez le travail pour elle et elle aura l’impression maintenant d’avoir du pouvoir et un statut, et donc de contrôler son territoire. Si tu te rends sur son territoire, tu dois faire ce qu’elle dit. Par exemple, la maison de Dieu a pris des dispositions pour qu’un dirigeant aille vérifier le travail d’un antéchrist. Ce dirigeant et l’antéchrist étaient tous deux des dirigeants d’Église ; ils étaient du même rang. L’antéchrist a dit : « Tu es un dirigeant d’Église, et je suis un dirigeant d’Église. Nous avons le même rang. Tu ne dois pas te mêler de mes affaires, et je ne me mêlerai pas de tes affaires. N’échange pas avec moi – tu n’es pas en position de le faire ! Et tu aimerais demander comment les choses se passent dans notre Église – est-ce que le supérieur t’a demandé de le faire ? Montre-moi les preuves. » Le dirigeant a répondu : « Le Supérieur m’a demandé de transmettre un message. Va lui demander si tu ne me crois pas. » L’antéchrist a dit : « Qu’est-ce qui te donne le droit d’échanger avec moi et de m’accuser ? Qu’est-ce qui te donne le droit de t’informer sur des choses qui s’inscrivent dans le cadre de mon travail ? Tu n’as pas le droit de le faire ! » Ces paroles sont-elles conformes à la vérité ? (Non.) De quel type d’action s’agit-il ? Une action que seul un antéchrist pourrait faire. Il y a un dicton parmi les non-croyants : « La force fait le droit. » Ils rivalisent pour savoir qui est le plus gradé, qui est le plus fort, qui est le plus compétent. Ils rivalisent pour savoir qui est responsable du plus grand nombre de personnes. Et dans la maison de Dieu, les antéchrists rivalisent avec d’autres pour ces mêmes choses. Ne sont-ils pas venus au mauvais endroit ? Une personne qui possède des tempéraments corrompus, mais qui n’est pas un antéchrist, pensera-t-elle normalement de cette manière lorsqu’elle rencontrera un dirigeant d’Église du même rang qu’elle ? Elle révélera quelque chose, mais elle pourra échanger avec ce dirigeant d’Église normalement. Elle ne dira absolument pas : « Es-tu dans une position qui te permette de t’informer sur mon travail ? » Elle ne le dira pas parce qu’elle a une raison normale et qu’elle a un cœur qui craint Dieu. Comment se comportera une personne dotée d’une raison normale ? Elle se dira : « Dieu qui nous a élevés pour que nous puissions diriger l’Église, c’est Sa mission et c’est notre devoir. Si Dieu ne nous avait pas chargés de cette mission, nous ne serions rien. Il ne s’agit pas d’une sorte de poste officiel. Je peux échanger avec toi au sujet du travail de l’Église, de la façon dont les choses se passent avec les frères et sœurs, et de mon expérience professionnelle. » L’antéchrist échangera-t-il avec d’autres au sujet de ces choses ? Non – il ne les révélera absolument pas. C’est pourquoi l’une des caractéristiques des antéchrists est un désir de statut et de pouvoir qui dépasse celui des gens ordinaires, et c’est pourquoi, au-delà de cela, ils sont plus rusés et plus insidieux que les gens ordinaires. Où se manifestent leur ruse et leur sournoiserie ? (Ils ne te disent rien. Ils ne te disent rien directement.) C’est qu’ils ont l’impression que chaque chose est un secret, quelque chose dont ils ne doivent pas parler aux autres. Dans tous les domaines, ils se protègent des autres ; ils gardent tout camouflé, couvert et dissimulé. Peuvent-ils alors avoir une interaction et une communication normales dans leurs relations avec les autres ? Peuvent-ils dire quelque chose du fond du cœur ? Non. Ils se contentent d’offrir quelques platitudes superficielles et des mots agréables, pour t’empêcher de prendre la mesure de la situation sous-jacente. Après avoir été en contact avec cette personne pendant un certain temps, tu penseras : « En apparence, cette personne ne semble pas malfaisante, mais pourquoi ai-je toujours l’impression que son cœur est si éloigné des autres ? Pourquoi est-ce toujours si gênant d’être en contact avec elle ? J’ai toujours l’impression qu’elle est insondable. » As-tu ce sentiment ? (Oui.) C’est le tempérament d’un antéchrist : elle se méfie de tout le monde. Et pourquoi se protège-t-elle ? Parce qu’à ses yeux, n’importe qui est susceptible de représenter une menace pour son statut. Si elle ne fait pas attention, si elle baisse sa garde, elle peut permettre aux autres de savoir ce qui se passe réellement en elle, son vrai moi – et elle ne pourra pas maintenir son statut. Ainsi, lorsqu’elle est confrontée à quelqu’un qui lui demande l’état de son travail et de son devoir, ou qui lui demande son état personnel, elle dissimule ce qu’elle peut et camoufle ce qu’elle peut. Ce qu’elle ne peut pas camoufler, elle trouvera un moyen de l’aplanir, ou elle se cachera de toi. Certains antéchrists ont un tempérament bizarre : bien qu’ils vivent parmi les autres, tu ne les verras pas avoir des interactions normales avec qui que ce soit, et ils n’ont pas de communications normales avec les autres. Chaque jour, ils se tiennent à l’écart, apparaissent à l’heure du repas et disparaissent ensuite. Ils sont toujours en train de disparaître. Pourquoi n’interagissent-ils pas avec les autres ? Ils diront n’importe quoi à leur famille, alors pourquoi n’ont-ils rien à dire à leurs frères et sœurs ? Les non-croyants ont un dicton : « Qui parle beaucoup se trompe beaucoup. » Ces personnes sont attachées à ce principe ; elles ne se laisseront pas aller à des propos négligents, car ce qu’elles disent pourrait bien dévoiler leur jeu, exposer une de leurs faiblesses. Il n’est pas possible de savoir quel mot pourrait inciter les autres à les regarder de haut et à informer d’autres personnes de ce qui se passe réellement en elles, c’est pourquoi elles font tout ce qu’elles peuvent pour échapper aux autres. Leur attitude fuyante est-elle involontaire ou y a-t-il quelque chose en elle qui la contrôle ? Il y a quelque chose là qui la contrôle. Cette chose est-elle juste et honorable, ou est-elle douteuse ? (C’est douteux.) Bien sûr que c’est douteux. Ce n’est pas la seule façon dont les antéchrists se comportent – la plupart du temps, ils ne communiquent pas et n’interagissent pas normalement avec les autres ; parfois, cependant, ils s’expriment bien et sont capables de parler – mais de quoi parlent-ils ? Quel est le contenu ? Ils prêchent les formules et les doctrines en se mettant en valeur. Ils disent qu’ils peuvent effectuer un travail réel et résoudre des problèmes réels, alors qu’en fait, ils n’ont aucune compétence réelle. Demandez-leur quelles sont leurs déficiences, s’ils ont un tempérament arrogant, et ils répondront : « Qui, parmi l’humanité corrompue n’est pas arrogant ? » Regardez là – même leur arrogance est fondée. Cela englobe tout le monde, comme si leur arrogance était tout à fait appropriée. Ils ne chercheront jamais la vérité et ne semblent pas percevoir qu’il y a des problèmes ou des difficultés dans le travail. Et tu ne comprendras pas la situation réelle en leur demandant. Lorsqu’ils n’ont rien à faire, ils seront juste assis là silencieux, et lorsqu’ils prendront la parole, ils parleront de leurs qualifications. Ils ne s’ouvrent jamais, ils ne disent jamais quels sont les rébellions ou les désirs extravagants qui les habitent, ni comment ils essaient de parvenir à un accord avec Dieu, ni à qui ils ont menti, ou quelles sont leurs ambitions concernant le travail à faire. Ils ne soulèvent jamais ces questions, et lorsque d’autres le font, ils sont indifférents. Même lorsqu’il s’agit de questions abordant des sujets dans le cadre de leur travail, ils en parleront juste un peu d’une manière sommaire. En bref, toute personne qui entre en contact avec eux, pour quelque durée que ce soit, aura de grandes difficultés si elle souhaite en savoir plus sur quelque chose dans le cadre de leur devoir, qu’il s’agisse du personnel, de la pratique professionnelle ou de l’avancement du travail. Quel que soit l’angle de ton approche – que tu essaies de glisser ta question indirectement, que tu la poses directement ou que tu la poses à quelqu’un proche d’elles – tu n’auras pas facilement des résultats. C’est tellement laborieux. N’est-ce pas insidieux ? (Si.) Pourquoi est-il si laborieux d’obtenir d’eux des informations sur les choses telles qu’elles sont ? Pourquoi gardent-ils les choses si fermement camouflées ? Quel est leur but ? Ils veulent s’assurer de leur statut et de leurs moyens de subsistance. Ils croient : « Ça n’a pas été une chose facile d’obtenir ce statut, d’arriver là où je suis aujourd’hui – cela ne me causerait-il pas des ennuis si je me ridiculisais en commettant une erreur dans un moment d’insouciance ? Et en plus, si la maison de Dieu savait tout ce que j’ai fait de mal, qui peut dire ce qu’ils me feraient ? » Tu aurais beau parler d’être ouvert, d’être une personne honnête et de faire un devoir loyalement, cela serait-il compris par eux ? Non, cela ne le serait pas. Pour eux, il n’y a qu’un seul credo : « Les langues bien pendues coulent des navires. » Si tu dis tout aux autres, tu es incompétent – un bon à rien ! C’est leur credo. Tel est le tempérament des antéchrists.

Quel que soit le travail qu’un antéchrist fasse, il interdit aux autres d’intervenir ou de s’informer, et plus encore il interdit à la maison de Dieu de le superviser. Quel est son objectif en faisant cela ? Il souhaite surtout contrôler le peuple élu de Dieu, afin d’assurer son statut et son pouvoir, ce qui signifie qu’il assure ses moyens de subsistance. C’est son objectif principal. Si vous êtes un dirigeant ou un ouvrier, avez-vous peur que la maison de Dieu se renseigne sur votre travail et le supervise ? Avez-vous peur que la maison de Dieu découvre des lacunes et des erreurs dans votre travail et vous émonde ? Avez-vous peur que le Supérieur, ayant pris connaissance de votre véritable calibre et de votre véritable stature, vous voit sous un jour différent et n’envisage pas de promotion pour vous ? Si tu as ces craintes, cela prouve que tes intentions ne visent pas l’intérêt du travail d’Église, que tu travailles pour la réputation et le statut, ce qui montre que tu as le tempérament d’un antéchrist. Si tu as le tempérament d’un antéchrist, tu vas probablement suivre le chemin des antéchrists et commettre tout le mal qu’ils causent. Si, dans ton cœur, tu ne crains pas que la maison de Dieu supervise ton travail, et que tu es capable d’apporter de vraies réponses aux questions et interrogations du Supérieur, sans rien cacher, et que tu dis tout ce que tu sais, alors, peu importe si ce que tu dis est vrai ou faux, et quelle que soit la corruption que tu as révélée – même si tu as révélé le tempérament d’un antéchrist –, tu ne seras absolument pas défini comme étant un antéchrist. Ce qui est essentiel, c’est de savoir si tu es capable de connaître ton propre tempérament d’antéchrist, et si tu es capable de chercher la vérité pour résoudre ce problème. Si tu es quelqu’un qui accepte la vérité, ton tempérament d’antéchrist peut être corrigé. Si tu sais parfaitement bien que tu as un tempérament d’antéchrist, et que, pourtant, tu ne cherches pas la vérité pour le corriger, si tu essaies même de dissimuler les problèmes qui surviennent et de fuir les responsabilités, ou de mentir à ce propos, et si tu n’acceptes pas la vérité quand tu es soumis à l’émondage, alors il s’agit là d’un sérieux problème, et tu n’es guère différent d’un antéchrist. Sachant que tu as le tempérament d’un antéchrist, pourquoi n’oses-tu pas y faire face ? Pourquoi ne peux-tu pas aborder le sujet franchement et te dire : « Si le Supérieur s’enquiert de mon travail, je dirai tout ce que je sais, et même si les mauvaises choses que j’ai faites sont révélées et que le Supérieur ne se sert plus de moi quand il le saura, et que je perds mon statut, je dirai toujours clairement ce que j’ai à dire » ? Ta peur de la supervision et des enquêtes sur ton travail par la maison de Dieu prouve que tu chéris ton statut plus que la vérité. N’est-ce pas le tempérament d’un antéchrist ? Chérir le statut par-dessus tout est le tempérament d’un antéchrist. Pourquoi chéris-tu autant le statut ? Quels avantages peux-tu obtenir du statut ? Si le statut t’apportait le désastre, des difficultés, de l’embarras et de la souffrance, le chérirais-tu encore ? (Non.) Il y a tant d’avantages qui proviennent d’avoir un statut : les autres vous envient, vous respectent, vous estiment et vous flattent, ils vous admirent et vous vénèrent également. Il y a aussi le sentiment d’être supérieur et privilégié, que ton statut t’apporte, qui te confère de la fierté et te donne une grande estime de toi. En outre, tu peux profiter d’autres avantages, auxquels les autres n’ont pas accès, comme les avantages du statut et un traitement de faveur. Voilà ce à quoi tu n’oses même pas penser, et ce que tu désires ardemment dans tes rêves. Chéris-tu ces choses ? Si le statut est simplement dérisoire, sans véritable importance, et que le défendre est sans utilité réelle, n’est-ce pas stupide de le chérir ? Si tu peux renoncer à des choses telles que les intérêts et les plaisirs de la chair, alors la réputation, le gain et le statut ne te contraindront plus. Et donc, qu’est-ce qui doit être résolu d’abord afin de résoudre les problèmes liés au fait de chérir et de poursuivre le statut ? D’abord, tu dois te rendre compte de la nature du problème quand on fait le mal et que l’on s’adonne à la tromperie, à la dissimulation et à l’occultation, de même que lorsqu’on refuse la supervision, les interrogations et l’investigation de la maison de Dieu, afin de profiter des avantages du statut. Ne s’agit-il pas là de résistance et d’opposition manifestes à Dieu ? Si tu peux voir clair dans l’essence et les conséquences du fait de convoiter les avantages du statut, le problème de la poursuite du statut se trouvera résolu. Et si tu n’as pas la capacité de voir clair dans l’essence du fait de convoiter les attributs du statut, ce problème ne sera jamais résolu.

Est-ce que vous vous associez pour travailler et accomplir vos devoirs ? Acceptez-vous la supervision ? Avez-vous fait quelque chose pour empêcher les autres d’intervenir ou de s’informer ? Si quelqu’un s’informe, est-ce que tu lui résistes et lui dis : « Pour qui te prends-tu, pour t’immiscer dans mes affaires ? Je suis d’un rang supérieur au tien en termes de statut, et ce que j’ai à dire s’applique à mon travail. Le Supérieur ne s’est pas informé, alors qu’est-ce qui te donne le droit ? » Quelque chose comme ça ? Quel est le principal tempérament des antéchrists ? Occuper un statut et essayer de saisir le pouvoir ; ne rien faire qui profite au travail de la maison de Dieu, rien qui ne soit pas de la considération pour leurs intérêts, mais être superficiels et trompeurs, et faire les choses machinalement. En apparence, ils semblent être tout à fait occupés avec énergie à leurs tâches, mais regardez ce qu’ils font : premièrement, ils ne progressent pas ; deuxièmement, ils sont inefficaces ; et troisièmement, ils n’ont pas beaucoup d’effet – ils sont transformés en une épave totale. Il n’y a qu’une chose qu’ils ne lâchent pas, c’est d’utiliser l’opportunité que leur offre leur travail pour s’emparer du pouvoir et ne pas le lâcher. Tout va bien tant qu’ils ont du pouvoir. Quel que soit le travail qu’ils accomplissent, fassent, qu’il s’agisse d’une profession, d’affaires extérieures, de compétences techniques ou d’autres aspects, il n’y a aucune transparence dans cela, à tous les niveaux. Ce manque de transparence est-il non intentionnel ? Non – ce qui est non intentionnel n’est pas lié à un tempérament, mais il s’agit d’un manque de calibre et de ne pas savoir comment faire le travail. Pourquoi donc dis-Je que ce tempérament est celui d’un antéchrist ? Il agit intentionnellement. Il a une intention en lui : il t’empêche consciemment de savoir ces choses, et se cache consciemment de toi et évite de te voir. Il minimise son discours et sa communication avec toi ; il minimise ses échanges avec toi. Il minimise son exposition à ces choses, afin que tu ne sois pas toujours en train de le blâmer et de t’informer sur lui, afin que tu n’en saches pas trop sur ce qui se passe réellement, afin que tu ne perçoives pas son vrai visage. N’est-ce pas intentionnel ? N’y a-t-il pas là une intention là-dedans ? Quels sont son intention et son objectif ? Il veut te piéger, se frayer un chemin en bluffant ; il te donne une fausse impression et t’empêche de savoir comment les choses sont vraiment. De cette manière, il aura ainsi assuré son statut, ce qui le satisfait. N’est-ce pas là sa nature ? (Si.) C’est le tempérament des antéchrists, tromper délibérément, berner et dissimuler les choses. Tout est fait consciemment. Dites-Moi, quel est le programme de travail qui occupe tellement les gens qu’ils n’ont pas le temps de rencontrer les autres ? Aucun, n’est-ce pas ? Aucun programme de travail n’occupe quelqu’un au point qu’il n’a pas le temps de manger ou de dormir, ni le temps de rencontrer les autres. Les choses n’ont pas encore pris une telle ampleur. Du temps pour ces choses peut être trouvé. Alors, pourquoi ces personnes n’ont-elles pas le temps ? Elles ne veulent pas te rencontrer ; elles ne veulent pas que tu t’informes sur leur travail. N’est-ce pas là le tempérament d’un antéchrist ? (Si.) Quelle sorte de personnes sont-elles ? Ne sont-elles pas des incrédules ? Elles le sont – chaque antéchrist est un incrédule. Si elles ne l’étaient pas, elles n’exproprieraient pas l’œuvre de la maison de Dieu ou ne contrôleraient pas ceux qui suivent Dieu sous leur propre pouvoir. Elles ne feraient pas de telles choses. Le premier comportement des incrédules est que leur cœur ne craint absolument pas Dieu. Ils complotent pour leurs propres intérêts, sous prétexte de croire en Dieu ; ils sont impudents et irréfléchis, sans aucune crainte. Leur croyance en Dieu n’est pas une vraie foi mais un slogan. Ils n’ont aucune crainte de Dieu dans leur cœur.

Quelle est l’attitude que certaines personnes adoptent dès qu’elles entendent que quelqu’un a l’intention d’intervenir dans leur travail et le superviser ? « La supervision est une bonne chose et je l’accepte. S’informer est également une bonne chose – mais si tu me supervises vraiment, il n’y aura pas moyen de faire avancer mon travail. J’aurai les mains liées. Si tu as toujours le dernier mot et que tu fais de moi un homme de main, je ne pourrai pas travailler. “Il ne peut y avoir qu’un seul mâle alpha.” » N’est-ce pas une théorie ? C’est une théorie des antéchrists. Quel est le tempérament d’une personne qui dit cela ? Est-ce le tempérament d’un antéchrist ? Qu’est-ce que cela signifie, « Il ne peut y avoir qu’un seul mâle alpha » ? Il ne tolérera même pas les demandes d’informations de la part du Supérieur. Si le Supérieur ne s’est pas informé, tes actions ne violeraient-elles pas alors la vérité ? Ferais-tu des erreurs du fait des demandes d’informations ? Est-ce que le Supérieur compromettrait ton travail ? Dites-Moi, est-ce que le Supérieur donne des conseils concernant le travail, s’en informe et le supervise afin qu’il soit mieux fait ou moins bien fait ? (Mieux fait.) Bon, pourquoi certains n’acceptent-ils pas ces résultats améliorés ? (Ils sont gouvernés par le tempérament d’un antéchrist.) C’est exact. C’est leur tempérament d’antéchrist – ils ne peuvent pas s’en empêcher. Dès que quelqu’un s’informe sur le travail dont ils sont responsables, cela les contrarie. Ils ont le sentiment que leurs intérêts seront assignés à d’autres, de même que leur statut et leur pouvoir. Ils sont donc décontenancés. Ils ont l’impression que leurs plans et leurs procédures ont été chamboulés. Et cela fonctionnera-t-il pour eux ? Si le Supérieur promeut quelqu’un et que cette personne coopère avec eux, ils se disent : « Je n’avais pas l’intention de me servir de cette personne, mais le Supérieur insiste sur le fait qu’elle est douée et l’a promue. Je n’ai pas un bon sentiment concernant cela. Comment vais-je travailler en coopération avec elle ? Si le Supérieur se sert d’elle, je démissionnerai simplement ! » Ils le disent ainsi, mais seront-ils réellement capables de renoncer à leur statut ? Ils ne renonceront pas – ce qu’ils font est conflictuel. Accepteraient-ils que quelqu’un fasse un travail qui menace leur statut, qui ne les mette pas en valeur, qui sabote leur scénario actuel ? Non, ils ne l’accepteraient pas. Lorsque le Supérieur promeut ou remplace quelqu’un, par exemple, qu’en pensent-ils ? « Quelle gifle ! Ils ne m’ont même pas consulté. Tout le reste mis à part, je suis toujours un dirigeant – pourquoi ne me disent-ils rien à l’avance ? Pourquoi, c’est comme si je ne comptais pas du tout ! » Qui es-tu de toute façon ? Est-ce ton travail ? Premièrement, ce n’est pas ton secteur, et deuxièmement, ces personnes ne te suivent pas, alors pourquoi dois-tu avoir autant d’importance pour elles ? Est-ce conforme à la vérité ? Quelle vérité ? Des principes existent pour la promotion d’une personne ou son remplacement par le Supérieur. Pourquoi le Supérieur promeut-il quelqu’un ? Parce qu’il est nécessaire au travail. Pourquoi le Supérieur remplace-t-il quelqu’un ? Parce qu’on n’a plus besoin de lui pour le travail – il ne peut pas faire le travail. Si tu ne le remplaces pas, et même si tu ne laisses pas le Supérieur le faire, n’es-tu pas insensible à la raison ? (Si.) Certains disent : « Lorsque le supérieur renvoie quelqu’un – de quoi ai-je l’air, quelle disgrâce ! S’il veut remplacer quelqu’un, il doit me le dire en privé et je le ferai. C’est mon travail ; cela fait partie de ce qui m’incombe. Si je le remplace, cela montrera à tout le monde à quel point je suis perspicace à l’égard des gens et que je peux faire du vrai travail. Quel honneur ce serait ! » Pensez-vous comme cela ? Certaines personnes veulent une bonne réputation et être fières, et elles donnent des justifications comme celle-ci. Est-ce que cela fonctionnera ? Est-ce que cela a du sens ? D’une part, la maison de Dieu travaille selon les vérités-principes ; d’autre part, elle travaille selon les circonstances telles qu’elles sont. Le contournement d’un niveau de commandement n’existe pas, surtout lorsqu’il s’agit des promotions et des remplacements venant du Supérieur, ou de ses conseils et instructions pour un projet de travail – dans de tels cas, il s’agit encore moins du contournement d’un niveau de commandement. Alors, pourquoi l’antéchrist recherche-t-il ces « failles » ? Une chose est sûre : il ne comprend pas la vérité et évalue le travail de la maison de Dieu avec son cerveau humain et les processus qui existent dans le monde. À part cela, son objectif principal reste l’auto-préservation, et il doit avoir sa fierté. Il est lisse et glissant dans tout ce qu’il fait ; il ne peut pas permettre aux gens de voir qu’il a des défauts ou des lacunes. Dans quelle mesure va-t-il sauver les apparences ? À tel point que les autres le verront comme parfait, sans aucune corruption ni aucune déficience. D’autres considéreront qu’il est approprié que le Supérieur se serve de lui et que les frères et sœurs le choisissent – c’est une personne parfaite. N’est-ce pas ainsi qu’il aimerait que les choses se passent ? N’est-ce pas là le tempérament d’un antéchrist ? (Ça l’est.) Oui, c’est le tempérament d’un antéchrist.

Notre échange de tout à l’heure portait sur l’un des principaux comportements des antéchrists – ils interdisent aux autres d’intervenir, de s’informer ou de les superviser dans leur travail. Quels que soient les arrangements pris par la maison de Dieu pour suivre leur travail, en savoir plus à leur sujet ou les superviser, ils emploieront toutes sortes de techniques pour les contrecarrer et les refuser. À titre d’exemple, lorsque certaines personnes se voient confier un projet par le Supérieur, un certain temps s’écoule sans qu’il n’y ait aucun progrès. Ils ne disent pas au Supérieur s’ils y travaillent, ni comment cela se passe, ni s’il y a eu des difficultés ou des problèmes entre-temps. Ils ne donnent aucun retour d’information. Une partie du travail est urgente et ne peut être retardée, mais ils traînent des pieds, la prolongent longtemps sans terminer le travail. Le Supérieur doit alors s’informer. Lorsque le Supérieur fait cela, ces personnes trouvent les demandes insupportablement embarrassantes, et elles y résistent de tout leur cœur : « Cela ne fait que dix jours que l’on m’a confié ce travail. Je n’ai même pas encore pris mes marques que déjà, le Supérieur s’informe. Ses exigences à l’égard des personnes sont tout simplement exagérées ! » Il est là, cherchant des failles avec ses demandes. Quel est le problème ici ? Dites-Moi, n’est-il pas normal que le Supérieur s’informe ? Il s’agit en partie d’un souhait d’en savoir plus sur l’état d’avancement du travail, ainsi que sur les difficultés qui restent à résoudre ; en outre, il s’agit d’un souhait d’en savoir plus sur le calibre des personnes à qui l’on a confié ce travail, et de savoir si elles seront réellement capables de résoudre les problèmes et de bien faire le travail. Le Supérieur veut connaître les faits tels qu’ils sont, et la plupart du temps, il s’informe dans de telles circonstances. N’est-ce pas quelque chose qu’il devrait faire ? Le Supérieur craint que tu ne saches pas comment résoudre les problèmes et que tu ne sois pas en mesure de te charger du travail. C’est pourquoi il s’informe. Certaines personnes y sont très réticentes et sont répugnées par de telles demandes. Elles ne veulent pas permettre aux gens de s’informer, et tant que les gens le font, elles sont réticentes et ont des doutes, ruminant en permanence : « Pourquoi s’informent-ils et cherchent-ils sans cesse à en savoir plus ? Est-ce qu’ils ne me font pas confiance et me méprisent ? S’ils ne me font pas confiance, ils ne devraient pas m’utiliser ! » Ils ne comprennent jamais les demandes et la supervision du Supérieur, mais y résistent. Ces personnes ont-elles de la raison ? Pourquoi ne permettent-elles pas au Supérieur de s’informer et de les superviser ? D’ailleurs, pourquoi sont-elles résistantes et défiantes ? Quel est le problème ici ? Elles ne se soucient pas de savoir si l’accomplissement de leur devoir est efficace ou s’il entrave l’avancement du travail. Elles ne cherchent pas les vérités-principes dans l’exécution de leur devoir, mais font ce qu’elles veulent. Elles ne se préoccupent pas des résultats ou de l’efficacité du travail, et elles ne se préoccupent pas du tout des intérêts de la maison de Dieu, et encore moins des intentions et des exigences de Dieu. Leur raisonnement est le suivant : « J’ai mes propres méthodes et routines pour faire mon devoir. N’exigez pas trop de moi et ne me demandez pas trop de détails. C’est déjà bien que je puisse faire mon devoir. Je ne peux pas trop me fatiguer ni trop souffrir. » Elles ne comprennent pas les demandes et les tentatives du Supérieur d’en savoir plus sur leur travail. Que manque-t-il à leur incompréhension ? Ne manque-t-il pas la soumission ? N’est-ce pas manquer de sens des responsabilités ? De loyauté ? Si elles étaient vraiment responsables et loyales dans l’exécution de leur devoir, rejetteraient-elles les demandes du Supérieur concernant leur travail ? (Non.) Elles seraient capables de les comprendre. Si elles ne peuvent vraiment pas les comprendre, il n’y a qu’une seule possibilité : elles considèrent leur devoir comme leur métier et leur gagne-pain, et elles en tirent profit, considérant leur devoir comme une condition et une monnaie d’échange leur permettant d’obtenir une récompense pendant tout ce temps. Elles se contentent de faire un peu de travail de prestige pour s’en sortir avec le Supérieur, sans tenter de prendre le mandat de Dieu comme leur devoir et leur obligation. Ainsi, lorsque le Supérieur s’informe sur leur travail ou le supervise, elles se mettent dans un état d’esprit de répulsion et de résistance. N’en est-il pas ainsi ? (Si.) D’où vient ce problème ? Quelle est son essence ? C’est que leur attitude à l’égard du projet de travail est erronée. Elles ne pensent qu’à l’aisance et au confort charnels, à leur propre statut et à leur fierté, au lieu de penser à l’efficacité du travail et aux intérêts de la maison de Dieu. Elles ne cherchent absolument pas à agir selon les vérités-principes. Si elles avaient vraiment un peu de conscience et de raison, elles pourraient comprendre les demandes et la supervision du Supérieur. Elles pourraient dire, du fond du cœur : « C’est une bonne chose que le Supérieur s’informe. Sinon, j’agirais toujours en fonction de ma propre volonté, ce qui nuirait à l’efficacité du travail, ou voire je le bâclerais. Le Supérieur échange et vérifie, et cela a résolu des problèmes concrets – ce qui est une excellente chose ! » Cela leur montrerait que c’est une personne responsable. Elles craignent que si elles prennent en charge le travail par elles-mêmes, s’il venait à y avoir une erreur ou un incident, et que cela cause une perte pour le travail de la maison de Dieu qu’il n’y aurait aucun moyen de réparer, ce serait une responsabilité qu’elles ne pourraient pas supporter. N’est-ce pas là un sens des responsabilités ? (Si.) C’est un sens des responsabilités et c’est un signe qu’elles font preuve de loyauté. Que se passe-t-il dans l’esprit des personnes qui ne laissent pas les autres s’informer sur leur travail ? « Ce travail est mon affaire, puisque c’est à moi qu’il a été confié. C’est moi qui dirige mes propres affaires ; je n’ai pas besoin que quelqu’un d’autre ne s’en mêle ! » Elles considèrent les choses par elles-mêmes et font ce qu’elles veulent, dictées par leur personnalité. Elles font tout ce qui leur est profitable et personne n’est autorisé à poser des questions, ni à connaître l’état réel des affaires. Si tu leur demandes : « Comment se passe cette tâche ? », elles diront : « Attends. » Si tu lui demandes ensuite : « Comment cela avance-t-il ? », elles diront : « C’est presque fini. » Quoique tu leur demandes, elles ne diront qu’un mot ou deux. Elles ne sortiront que quelques mots à la fois, et pas plus – elles n’émettront pas une seule phrase précise et spécifique. Ne trouves-tu pas qu’il est écœurant de parler avec de telles personnes ? Il est évident qu’elles ne veulent plus rien te dire. Si tu poses davantage de questions, elles s’impatientent : « Tu continues à poser des questions sur cette chose sans importance, comme si je n’étais pas capable d’être efficace, comme si je n’étais pas fait pour la tâche ! » Elles sont simplement réticentes au fait que les gens posent des questions. Si tu continues à les interroger, elles diront : « Que suis-je pour toi, un âne ou un cheval à qui l’on donne des ordres ? Si tu ne me fais pas confiance, ne m’utilise pas ; si tu m’utilises, tu dois me faire confiance – et me faire confiance signifie que tu ne dois pas t’informer en permanence ! » C’est le genre d’attitude qu’elles ont. Traitent-elles le programme de travail comme un devoir qui leur incombe ? (Non.) Les antéchrists ne considèrent pas le travail comme un devoir, mais comme une monnaie d’échange pour obtenir des bénédictions et une récompense. Elles se contentent simplement de rendre service, c’est ce qu’elles voudraient échanger contre des bénédictions. C’est pourquoi elles travaillent avec une attitude superficielle. Elles ne veulent pas que d’autres interviennent dans leur travail, en partie pour préserver leur dignité et leur fierté. Elles pensent que le devoir qu’elles accomplissent et le travail qu’elles font leur appartiennent personnellement et qu’il s’agit de leurs affaires privées. C’est pourquoi elles ne permettent pas aux autres d’intervenir. D’autre part, si le travail est bien fait, elles peuvent s’en attribuer le mérite et demander à être récompensées. Si quelqu’un intervenait, le mérite ne leur reviendrait plus à elles seules. Elles ont peur que d’autres leur en enlèvent le crédit. C’est pourquoi elles ne consentent absolument pas à ce que d’autres interviennent dans leur travail. De telles personnes en tant qu’antéchrists ne sont-elles pas égoïstes et viles ? Quel que soit le devoir qu’elles accomplissent, c’est comme si elles s’occupaient de leurs affaires privées. Elles ne permettront pas aux autres d’intervenir ou de participer, quelle que soit la façon dont cela se passe lorsqu’elles font quelque chose par elles-mêmes. Si elles le font bien, elles n’accorderont de mérite qu’à elles seules, afin de ne pas laisser quelqu’un d’autre revendiquer une part du mérite et les résultats du travail. N’est-ce pas problématique ? De quel tempérament s’agit-il ? C’est le tempérament de Satan. Quand Satan agit, il ne permet à personne d’intervenir. Il souhaite avoir le dernier mot dans tout ce qu’il fait, et tout contrôler. Personne ne peut le superviser ou lui poser des questions. Si quelqu’un s’en mêle ou intervient, il l’accepte encore moins. C’est ainsi qu’un antéchrist agit. Quoi qu’il fasse, personne n’a le droit de lui poser des questions. Quelle que soit la façon dont il opère en coulisses, personne n’a le droit d’intervenir. Voilà le comportement d’un antéchrist. Il agit ainsi parce que, d’une certaine façon, il a un tempérament extrêmement arrogant, et qu’en plus, il manque cruellement de raison. Il manque totalement de soumission et ne permet à personne de le superviser ou d’inspecter son travail. Ce sont vraiment les actes d’un démon, actes qui sont complètement différents de ceux d’une personne normale. Tous ceux qui travaillent ont besoin que les autres coopèrent avec eux, ils ont besoin de l’aide, des suggestions et de la coopération d’autrui, et même lorsque quelqu’un les supervise ou les surveille, ce n’est pas une mauvaise chose, c’est nécessaire. Si des erreurs sont commises dans une partie du travail, et que ces erreurs sont identifiées par les personnes qui surveillent et rapidement corrigées, et que cela évite que l’œuvre subisse des pertes, n’est-ce pas d’une grande aide ? Et donc, quand des personnes intelligentes agissent, elles aiment être surveillées, observées, et qu’on leur pose des questions. Si jamais une erreur est commise, et que ces personnes sont capables de la signaler, et que l’erreur est promptement corrigée, n’est-ce pas un résultat tout à fait souhaitable ? Personne dans ce monde ne peut se passer de l’aide des autres. Seules les personnes souffrant d’autisme ou de dépression aiment être seules et ne pas être en contact ou communiquer avec les autres. Les personnes souffrant d’autisme ou de dépression ne sont plus normales. Elles ne peuvent plus se contrôler. Si l’esprit et la raison des gens sont normaux, mais que ces gens ne veulent tout simplement pas communiquer avec les autres, qu’ils ne veulent pas que les autres sachent ce qu’ils font, qu’ils veulent agir en secret, en privé, et opérer en coulisses, qu’ils n’écoutent rien de ce qu’on leur dit, alors ce sont des antéchrists, n’est-ce pas ? Oui, ce sont des antéchrists.

Une fois, J’ai vu le dirigeant d’une Église et Je lui ai demandé ce qui se passait concernant l’accomplissement des devoirs des frères et des sœurs. J’ai demandé : « Y a-t-il quelqu’un dans l’Église actuellement qui perturbe la vie de l’Église ? » Peux-tu deviner ce qu’il a dit ? « Tout va bien, tout va bien. » J’ai demandé : « Comment cette sœur fait-elle son devoir ? » Il a dit : « Assez bien. » J’ai alors demandé : « Depuis combien d’années croit-elle en Dieu ? » Il a dit : « Tout va bien. » J’ai dit : « Cette table ne devrait pas être là, il faut la déplacer. » Il a dit : « Je vais y réfléchir. » J’ai dit : « Cette parcelle de terre n’a-t-elle pas besoin d’être arrosée ? » Il a dit : « Nous échangerons sur ça. » J’ai dit : « Voici la culture que tu as plantée sur cette parcelle cette année. Vas-tu planter la même chose l’année prochaine ? » Il a dit : « Notre groupe de prise de décision a un plan. » Voilà le genre de réponses qu’il a données. Quel sentiment cela te procure-t-il de les entendre ? Comprends-tu quelque chose dans ces réponses ? Gagnes-tu des informations ? (Pas du tout.) Tu peux tout de suite voir qu’il t’abuse, qu’il te prend pour un idiot, une personne de l’extérieur. Il ne sait pas exactement qui est une personne de l’extérieur ; les non-croyants appellent cela « un invité qui joue le rôle d’hôte. » Il ne connaît pas sa propre identité. J’ai dit : « Vous avez tant de gens qui vivent ici et l’air ne circule pas bien. Vous devriez installer un ventilateur, sinon il va faire trop chaud ici, et les gens risquent d’avoir des coups de chaleur. » Il dit : « Nous en parlerons. » Tout ce que Je lui disais, il devait en parler, échanger à ce sujet et y réfléchir aussi. Quels que soient les arrangements que J’ai pris, peu importe ce que J’ai dit, cela n’avait aucune importance pour lui. Il ne les considérait pas comme des arrangements ou des ordres, et il ne les a pas mis en œuvre. Qu’a-t-il donc compris de Mes paroles ? (Des suggestions à prendre en considération.) Est-ce que Je lui donnais des suggestions à prendre en considération ? Non, Je lui disais ce qu’il aurait dû faire, ce qu’il devait faire. Était-ce parce qu’il ne comprenait pas ce que Je disais ? S’il ne comprenait pas, cela signifiait qu’il était un imbécile qui n’avait pas connaissance de son identité ni du devoir qu’il faisait. Il y avait tant de gens qui vivaient là, sans climatisation intérieure ni courant d’air transversal. Comment peut-il être intelligent puisqu’il n’a pas installé de ventilateur ? Il devrait rentrer chez lui immédiatement – c’est un déchet, et la maison de Dieu n’a pas besoin de déchets. Les gens ne savent pas tout sur tout, mais ils peuvent apprendre. Il y a des choses que Je ne comprends pas, alors J’en discute avec d’autres : « Quelle est, selon vous, une bonne façon de procéder ? Vous êtes libres de faire des suggestions. » Si certaines personnes pensent qu’une certaine façon serait meilleure, Je dis : « Très bien, faisons ce que tu dis. En tout cas, Je n’ai pas encore bien réfléchi à ce que nous devrions faire. Nous ferons ce que tu dis. » N’est-ce pas là la pensée de l’humanité normale ? C’est ce que signifie s’entendre avec les autres. Pour s’entendre avec les autres, il ne faut pas faire de distinction entre la supériorité et l’infériorité, entre ceux qui se mettent en valeur et ceux qui ne le font pas, ou ceux qui ont le dernier mot. Il n’y a pas lieu de faire ces distinctions : celui dont la façon est juste et conforme aux vérités-principes, c’est lui qu’il faut écouter. Êtes-vous capables de faire cela ? (Oui.) Il y a des gens qui ne le peuvent pas. Les antéchrists ne le peuvent pas – ils insistent pour avoir le dernier mot. De quel genre de chose s’agit-il ? Ce que les autres proposent ne leur convient pas, même si c’est raisonnable ; ils savent que c’est juste et raisonnable, mais ils n’acceptent rien de ce qui est proposé par quelqu’un d’autre – ils sont contents tant que ce sont eux qui ont proposé quelque chose. Même sur ce petit problème, ils se battent pour la prééminence. Quel est ce tempérament ? Le tempérament d’un antéchrist. Ils accordent une valeur excessive au statut, à la renommée et à la fierté. Quelle valeur ? Ces choses sont plus importantes pour eux que leur vie – ils préserveront leur statut et leur renommée, même si cela leur coûte la vie.

Les antéchrists interdisent l’intervention, les demandes d’informations ou la supervision des autres dans tout ce qu’ils font. Cette interdiction se manifeste de plusieurs façons. L’une est le refus pur et simple. « Cesse d’interférer, de poser des questions et de me superviser quand je travaille. Tout travail que j’accomplis est ma responsabilité, je sais comment faire et je n’ai pas besoin qu’on me gère ! » C’est un refus direct. Une autre manifestation consiste à donner l’impression d’être réceptif, en disant : « D’accord, échangeons pour voir comment le travail doit être fait », mais quand les autres commencent vraiment à poser des questions et à essayer d’en savoir plus sur le travail de l’antéchrist, ou quand ils pointent quelques erreurs et font des suggestions, quelle est son attitude ? (Il n’est pas réceptif.) En effet, il refuse simplement de l’accepter, trouve des prétextes et des excuses pour rejeter les suggestions d’autrui. Il change le faux en vrai et le vrai en faux. Mais en fait, dans son cœur, il sait qu’il tord la logique, qu’il prononce des paroles grandiloquentes, que ce qu’il dit n’est que théorique, que ses paroles n’ont pas la réalité de celles des autres. Et pourtant, pour protéger son statut – tout en sachant très bien qu’il a tort et que les autres ont raison –, il tourne malgré tout ce qui est correct des autres en erreurs, et tourne ses propres erreurs en quelque chose de correct, et continue à procéder de la sorte, sans permettre l’introduction ou la mise en œuvre de choses correctes ou en accord avec la vérité là où il se trouve. Ne considèrent-ils pas le travail de l’Église comme un jeu, une plaisanterie ? Ne refusent-ils pas d’accepter les demandes d’informations et d’être supervisés ? Ils n’expriment pas cette « interdiction » effrontément, en te disant : « Tu n’as pas le droit d’interférer avec mon travail. » Ce n’est pas l’impression qu’ils donnent, mais c’est leur état d’esprit. Ils utilisent certaines astuces et semblent très pieux en apparence. Ils diront : « Ça tombe bien que nous ayons besoin d’aide, alors maintenant que tu es là, échange un peu avec nous ! » Leur dirigeant de haut niveau croira qu’ils sont sincères et échangera donc avec eux, en leur parlant des circonstances telles qu’elles sont. Une fois qu’ils auront entendu le dirigeant, ils se mettront à réfléchir : « C’est comme ça que tu vois les choses – eh bien, je vais devoir en débattre avec toi, pour réfuter et démentir ton point de vue. Je vais te faire honte. » S’agit-il d’une attitude d’acceptation ? (Non.) De quelle attitude s’agit-il alors ? Il s’agit d’un refus d’accepter que d’autres interviennent, s’informent ou les supervisent dans le travail qu’ils font. Étant donné que les antéchrists agissent de la sorte, pourquoi, dans ce cas, se présentent-ils sous un faux jour et affectent-ils une attitude d’acceptation ? Le fait qu’ils trompent les gens de cette manière montre à quel point ils sont rusés. Ils ont peur que les gens voient clair à travers eux. Actuellement, certaines personnes en particulier sont dotées d’un certain discernement, de sorte que si un antéchrist devait refuser directement d’être supervisé et l’aide des autres, les gens seraient en mesure de le distinguer et de voir clair à travers lui. Ils perdraient alors leur fierté et leur statut, et il ne leur serait pas facile d’être élus dirigeants ou ouvriers à l’avenir. Ainsi, lorsqu’un dirigeant de haut niveau vérifie leur travail, ils font semblant de l’accepter, en disant des choses agréables et complaisantes, ce qui fait penser à tout le monde : « Regardez comme notre dirigeant est dévoué, comme il cherche la vérité ! Notre dirigeant veille sur nos vies et sur le travail de l’Église. Il prend la responsabilité de faire son devoir. Nous le choisirons à nouveau lors des prochaines élections. » Ce que personne ne voit venir, c’est qu’une fois le dirigeant de haut niveau parti, l’antéchrist dira ce genre de chose : « Ce que la personne qui a contrôlé le travail a dit était correct, mais cela ne correspond pas nécessairement aux conditions de notre Église. Les choses sont différentes dans chaque Église. Nous ne pouvons pas nous contenter de ce qu’elle a dit dans son intégralité – nous devons le considérer à la lumière de notre situation réelle. Nous ne pouvons pas nous contenter d’appliquer les règlements par cœur ! » Et tout le monde en sort en pensant que c’est juste. N’ont-ils pas été induits en erreur ? Une partie du travail de l’antéchrist consiste à prononcer des paroles agréables et à faire semblant d’accepter la supervision des autres ; immédiatement après, il commence le travail de fourvoiement et de lavage de cerveau intérieurement. Ils mettent en œuvre simultanément les deux volets de cette approche. Ont-ils des astuces ? Beaucoup, en effet ! Extérieurement, ils parlent gentiment et feignent l’acceptation, faisant croire à tout le monde qu’ils se sentent tout à fait responsables du travail, qu’ils peuvent abandonner leur position et leur statut, qu’ils ne sont pas autoritaires, mais qu’ils peuvent accepter la supervision du Supérieur ou d’autres personnes – et ce faisant, ils « précisent » aux frères et sœurs le pour et le contre des choses, et « clarifient » les diverses situations. Quel est leur objectif ? Ne pas accepter que d’autres personnes interviennent, s’informent ou supervisent, et faire croire aux frères et sœurs que leur action est justifiée, correcte, conforme à l’organisation du travail de la maison de Dieu, et en accord avec les principes d’action, et qu’en tant que dirigeant, ils respectent les principes. En réalité, seules quelques personnes dans l’Église comprennent la vérité ; la majorité est sans doute incapable de discernement, ne peut pas voir cet antéchrist pour ce qu’il est vraiment, et est naturellement induite en erreur par lui. Certaines personnes, par exemple, perdent une nuit de sommeil pour une raison particulière. Elles passent des nuits entières sans dormir. Il existe deux types de personnes, chez qui le manque de sommeil se manifeste de deux manières différentes. Les premières trouvent une occasion de dormir un peu pendant la journée dès qu’elles le peuvent. Elles ne disent pas aux autres qu’elles n’ont pas dormi. C’est une situation, une façon de faire. Il n’y a pas d’intention derrière cela. L’autre type de personne s’assoupit pendant les repas et dit à tout le monde : « Je n’ai pas dormi cette nuit ! » Quelqu’un demande : « Pourquoi ? » et elles répondent : « Il y a eu une réunion en ligne et j’ai trouvé des problèmes dans le travail. Je suis resté debout toute la nuit pour les résoudre. » Elles continuent sans relâche, annonçant qu’elles n’ont pas dormi de la nuit. Ont-elles répugné à rester debout toute la nuit ? Pourquoi l’expliquent-elles au groupe ? Y a-t-il quelque chose dans cette explication ? Quel est leur objectif ? Elles veulent informer le monde entier de ce qu’elles ont fait, de peur que d’autres ne le sachent pas. Elles veulent que tout le monde sache qu’elles ont souffert, qu’elles sont restées debout toute la nuit, qu’elles sont prêtes à payer le prix de leur croyance en Dieu, qu’elles ne recherchent pas le confort. Avec cela, elles veulent ainsi gagner la sympathie et l’approbation des frères et sœurs. Elles soudoient le cœur des gens par cet accomplissement superficiel et, ce faisant, elles obtiennent l’estime des autres et gagnent du prestige dans le cœur des gens. Une fois qu’elles ont un statut, elles sont ensuite sûres de pouvoir parler avec autorité. Et une fois qu’elles auront parlé avec autorité, ne pourront-elles pas bénéficier du traitement spécial qui accompagne le statut ? (Si.) Penses-tu qu’elles ont bien saisi cette opportunité ? Dites-vous aux autres que vous n’avez pas dormi ou que vous vous êtes couchés tard ? (Nous le disons.) Lorsque vous l’avez dit, était-ce non intentionnel ou y avait-il quelque intention derrière cela ? L’avez-vous dit à quelqu’un spontanément, ou avez-vous fait une grande proclamation, vous êtes-vous donnés en spectacle ? (C’était spontané.) Il n’y a pas d’intention derrière le fait de le dire de manière désinvolte ; cela ne suggère pas un problème de tempérament. Cela ne relève absolument pas de la même nature que de le dire intentionnellement ou involontairement. Lorsqu’un antéchrist agit, quel est le motif derrière ce qu’il fait, qu’il semble en apparence accepter l’intervention et les demandes des autres, ou qu’il les refuse catégoriquement – quel que soit le cas ? Il s’accroche à un statut et à un pouvoir, et il ne veut pas le lâcher. N’est-ce pas là sa motivation ? (Ça l’est.) C’est exact – il ne laissera absolument pas son pouvoir, son statut et son prestige durement acquis disparaître de manière aussi désinvolte, dans un moment d’inattention ; il ne laissera personne affaiblir ses forces et son influence en intervenant dans son travail ou en s’informant à son sujet. Il croit ceci : faire un devoir, prendre en charge un programme de travail, n’est pas vraiment un devoir, et il n’a pas besoin de le faire en tant qu’obligation ; au lieu de cela, c’est plutôt être en possession d’un certain pouvoir, avoir quelques personnes sous son commandement. Il pense qu’avec le pouvoir, il n’a plus besoin de consulter qui que ce soit, mais qu’il a maintenant l’opportunité et le pouvoir d’être responsable. C’est le genre d’attitude qu’il a à l’égard du devoir.

Il y en a d’autres qui, lorsque le Supérieur s’informe sur leur travail, se contentent de faire les choses sans y penser. Ils donnent une représentation superficielle et posent des questions sur quelques sujets futiles, comme s’ils étaient quelqu’un qui cherche la vérité. Si par exemple, un incident constituant clairement une interruption et une perturbation survient, ils demanderont au Supérieur si la personne qui a causé l’incident doit être prise en charge. Une telle chose ne fait-elle pas partie de leur travail ? (Si.) Qu’est-ce qu’ils cherchent en interrogeant le Supérieur à ce sujet ? Ils veulent te donner une façade d’eux, te montrer que même s’ils posent des questions sur de tels sujets, c’est la preuve qu’ils ne sont pas inactifs, qu’ils travaillent. Ils ne font que fabriquer une façade pour t’induire en erreur. Le fait est qu’ils ont des problèmes réels dans leur cœur, et qu’ils ne savent pas comment échanger sur la vérité pour les résoudre, ni ne connaissent les principes qu’ils devraient pratiquer. Certaines choses sont obscures pour eux, tant dans la gestion des personnes que dans celle des affaires, mais ils ne posent jamais de questions sur ces sujets ni ne cherchent à les connaître. Étant donné qu’ils ne sont pas sûrs de ces choses dans leur cœur, ne devraient-ils pas alors interroger le Supérieur à leur sujet ? (Si.) Ils ne comprennent pas bien ces choses et ils ne les connaissent pas mais continuent à agir aveuglément – quelles en seront les conséquences ? Peuvent-ils prédire ce qui va se passer ? Seront-ils capables d’en assumer les conséquences ? Non, ils n’en seront pas capables. Alors, pourquoi ne posent-ils pas de questions sur ces choses ? Il y a des considérations dans leur non-demande. L’une d’entre elles est la crainte que le Supérieur ne les perce à jour : « Si je ne suis même pas capable de gérer cette chose insignifiante et que je dois poser des questions à ce sujet, le Supérieur pensera que mon calibre n’est pas très bon. Cela ne va-t-il pas permettre au Supérieur de voir clair dans mon jeu ? » Il y a aussi la considération que s’ils posent la question et que la décision du Supérieur est en conflit avec leur propre point de vue et diffère de celui-ci, ils seront fortement influencés dans leur choix. S’ils ne font pas ce que dit le Supérieur, celui-ci dira qu’ils violent les principes de travail ; s’ils le font, cela entraînera une perte de leurs propres intérêts. Ils ne demandent donc rien. N’est-ce pas réfléchi ? (Si.) En effet. Quel type de personnes réfléchissent à ces choses ? (Les antéchrists.) Ce sont en effet des antéchrists. Pour toute chose, qu’ils posent des questions sur elle ou non, qu’ils l’expriment ou qu’ils y pensent seulement, ils ne cherchent pas la vérité et ne considèrent pas cette chose selon les principes ; en toutes choses, ils font passer leurs propres intérêts en premier. Ils ont dans leur cœur une liste de choses au sujet desquelles ils peuvent permettre au Supérieur de s’informer et d’être au courant, et d’autres qu’ils ne veulent absolument pas que le Supérieur sache. Ils ont délimité ces zones et les ont divisées en deux catégories. Ils parleront superficiellement avec le Supérieur sur les questions insignifiantes qui ne constitueront pas une menace pour leur statut, afin de s’en sortir avec le Supérieur ; mais pour ce qui est des choses qui pourraient menacer leur statut, ils n’en diront pas un mot. Et si le Supérieur s’en informe, que font-ils ? Ils diront quelques mots pour se débarrasser de lui ; ils diront : « Très bien, nous en discuterons… nous continuerons à chercher… » – une bouche pleine d’affirmations pour toi, sans rien qui puisse être interprété comme une résistance. En apparence, ils sont plutôt soumis – mais le fait est qu’ils ont leurs propres calculs. Ils n’ont pas l’intention de laisser le Supérieur mener le jeu ; ils n’ont pas l’intention de solliciter les suggestions du Supérieur et de le laisser prendre les décisions, ou de chercher un chemin auprès du Supérieur. Ils n’ont pas de telles intentions. Ils ne veulent pas permettre au Supérieur d’intervenir ou de savoir ce qui se passe vraiment. Une fois que le Supérieur le sait, quelle menace cela représente-t-il alors pour eux ? (Leur statut sera incertain.) Ce n’est pas seulement le fait que leur statut sera incertain – mais leurs plans et leurs objectifs ne seront plus réalisables et leurs méfaits ne seront plus légitimés ; ils ne pourront plus suivre leurs propres plans en toute légitimité, ouvertement et impudemment. C’est le problème auquel ils seront confrontés. Sont-ils donc en mesure de déterminer la façon d’agir qui leur soit bénéfique ? Ils ont certainement leurs idées et leurs calculs à ce sujet. Est-ce que vous êtes également confrontés à de telles choses ? Qu’en pensez-vous alors ? Comment les traitez-vous ? Je vais donner un exemple. Il était une fois un homme qui devint un dirigeant et qui se laissa emporter par cela ; il aimait toujours se mettre en valeur devant les autres pour gagner leur estime. Il tomba sur un non-croyant qu’il connaissait et qui voulait emprunter de l’argent. Le non-croyant plaida sa cause de manière si pitoyable que le dirigeant, sous l’impulsion, dans l’excitation du moment, consentit, après quoi il pensa, calme et sans scrupules, « Je suis le dirigeant de l’Église – je devrais avoir le dernier mot sur l’argent de l’Église. En ce qui concerne les choses qui appartiennent à la maison de dieu, à l’Église et aux offrandes – j’ai la fonction, donc ce que je dis s’applique. C’est à moi de gérer les finances et c’est aussi à moi de gérer les affaires du personnel – j’ai le dernier mot sur tout cela ! » Et donc, il prêta l’argent de la maison de Dieu à un non-croyant. Une fois qu’il l’eut fait, il se sentit un peu mal à l’aise et considéra s’il devait en parler au Supérieur. S’il le faisait, le Supérieur pourrait ne pas consentir à l’affaire – il commença donc à inventer des mensonges et à trouver des excuses pour tromper le Supérieur. Le Supérieur échangea avec lui sur les vérités-principes, mais il n’y prêta pas attention. C’est ainsi qu’il commit l’acte malfaisant de détourner les offrandes à titre privé. Pourquoi une telle personne oserait-elle avoir des intentions sur des offrandes ? Tu n’es qu’un simple dirigeant d’Église – as-tu le droit de gérer les offrandes ? As-tu le dernier mot en matière d’offrandes et de finances ? Comment dois-tu considérer les offrandes de Dieu, si tu es une personne avec une humanité et une raison normales, quelqu’un qui poursuit la vérité ? Les questions relatives aux offrandes ne devraient-elles pas être renvoyées au Supérieur pour voir ce que la maison de Dieu décide ? Le Supérieur n’a-t-il pas le droit d’être au courant d’un problème aussi sérieux ? Si. C’est quelque chose sur lequel tu devrais avoir à cœur d’être clair ; c’est la raison que tu devrais posséder. Lorsqu’il s’agit de questions financières, qu’elles soient sérieuses ou mineures, le Supérieur a le droit de savoir. C’est une chose si le Supérieur ne pose pas de questions – mais s’il le fait, tu dois répondre honnêtement et te soumettre à ce que le Supérieur décide. N’est-ce pas le genre de raison que tu devrais avoir ? (Si.) Mais les antéchrists sont-ils capables de cela ? (Non.) C’est la différence entre les antéchrists et les gens normaux. S’ils pensent qu’il y a cent pour cent de chances que le Supérieur n’y consente, et qu’ils subiront la perte de leur fierté, ils imagineront toutes sortes de moyens pour garder le secret, pour empêcher le Supérieur de le savoir. Ils interviendront même auprès de leurs subordonnés, et diront : « Si quelqu’un le divulgue, il est contre moi. Il aura de mes nouvelles. Je m’en occuperai, quoi qu’il arrive ! » Et du fait de leurs paroles redoutables, personne n’ose signaler l’affaire au Supérieur. Pourquoi le feraient-ils ? Ils pensent : « Cela relève de mon autorité. J’ai le droit de déployer et de répartir les personnes, l’argent et le matériel qui sont dans le domaine de ma compétence ! » Quels sont leurs principes de déploiement et de répartition ? Ils font des arrangements comme bon leur semble, ils utilisent et distribuent l’argent et les matériaux de manière arbitraire sans adhérer à aucun principe, ils dilapident et gaspillent ces choses sans distinction, et personne d’autre n’a le droit d’intervenir – ils doivent avoir le dernier mot sur tout cela. N’est-ce pas ainsi qu’ils pensent ? Bien sûr, ils ne le diront pas à haute voix, en des termes aussi explicites – mais dans leur cœur, c’est absolument ce qu’ils pensent : « À quoi bon avoir un bureau ? N’est-ce pas une question d’argent, d’être nourri et vêtu ? Aujourd’hui, j’ai la fonction ; j’ai ce statut. Ne serait-il pas stupide de ma part de ne pas exploiter mon pouvoir pour faire ce que je veux ? » N’est-ce pas ce qu’ils croient ? (Si.) C’est parce qu’ils ont un tel tempérament, et qu’ils le croient, qu’ils osent dissimuler une telle affaire sans le moindre scrupule, sans se soucier des conséquences, par tous les moyens qu’ils peuvent concevoir. N’en est-il pas ainsi ? (Si.) Ils n’évaluent pas si la chose est juste ou non, ni ce qu’il convient de faire, ni quels sont les principes. Ils ne tiennent pas compte de ces éléments ; leur seule considération est de savoir qui va veiller à leurs intérêts. Un antéchrist est une personne insidieuse, égoïste et vile ! À quel point sont-ils vils ? Cela tient en deux mots : ils sont sans gêne ! Ces personnes ne t’appartiennent pas, pas plus que ces choses, et cet argent est encore moins le tien – mais tu veux te l’approprier, en disposer comme bon te semble. Les autres n’ont même pas le droit de le savoir ; même si tu dilapides et gaspilles ces choses, les autres n’ont pas le droit de s’informer. Jusqu’où es-tu allé ? Tu es allé jusqu’à l’indécence ! N’est-ce pas sans gêne ? (Si.) C’est un antéchrist. Quel genre de ligne la personne moyenne ne veut pas franchir lorsqu’il s’agit d’argent ? Elle pense qu’il s’agit des offrandes de Dieu, et que les offrandes sont données à Dieu par Son peuple élu, qu’elles appartiennent donc à Dieu – ce sont Ses « biens personnels », comme certains peuvent dire. Ce qui appartient à Dieu n’appartient pas aux biens communs, ni à personne. Qui est le Maître de la maison de Dieu ? (Dieu.) Oui, c’est Dieu. Qu’est-ce que la maison de Dieu implique ? Elle implique Son peuple élu dans chaque Église, ainsi que toutes les fournitures et tous les biens de chaque Église. Toutes ces choses appartiennent à Dieu. Elles n’appartiennent absolument pas à une seule personne et personne n’a le droit de se les approprier. Un antéchrist penserait-il cela ? (Non.) Il pense que les offrandes appartiennent à celui qui les gère, à celui qui a l’opportunité d’en tirer profit, et que si quelqu’un est un dirigeant, il a le droit d’en profiter. C’est pourquoi il poursuit constamment le statut de toutes leurs forces. Une fois qu’il l’a obtenu, tous ses espoirs se réalisent enfin. Pourquoi poursuit-il un statut ? S’il dirigeait scrupuleusement le peuple élu de Dieu, avec des principes derrière leurs actions, mais sans leur permettre de toucher aux biens de l’Église ou aux offrandes de Dieu, seraient-ils toujours aussi proactifs dans leur ruée vers le haut ? Absolument pas. Il attendrait passivement et laisserait les choses suivre leur cours. Il se dirait : « Si je suis élu, je ferai le travail et je ferai bien mon devoir ; si je ne le suis pas, je ne serai servile avec personne. Je ne dirai ni ne ferai rien à ce sujet. » C’est précisément parce qu’un antéchrist pense qu’en tant que dirigeant, il a le droit de dicter et de profiter de tous les biens de l’Église, qu’il se creuse les méninges pour tenter de viser haut, jusqu’à l’indécence, afin d’obtenir un statut et de profiter de tout ce que ce statut apporte. Qu’est-ce que cela signifie d’être sans gêne ? Cela signifie faire des choses honteuses – c’est ce que signifie être sans gêne. Si quelqu’un lui disait : « Ce que tu fais est honteux ! », il ne s’en soucierait pas, mais penserait : « Qu’y a-t-il de honteux là-dedans ? Qui n’aime pas le statut ? Sais-tu ce que l’on ressent lorsqu’on a un statut ? Le fait d’avoir le contrôle de l’argent ? Connais-tu cette joie ? Connais-tu ce sentiment de privilège ? L’as-tu goûté ? » C’est ainsi que les antéchrists voient le statut, dans les recoins de leur cœur. Une fois qu’un antéchrist gagne un statut, il voudra tout contrôler. Il prendra aussi les offrandes de Dieu sous son contrôle. Il souhaite avoir le dernier mot sur toute partie du travail de l’Église qui coûte de l’argent, sans jamais consulter le Supérieur. Il devient le maître de l’argent de la maison de Dieu, et la maison de Dieu devient la sienne. Il a le droit d’avoir le dernier mot dessus, de dicter ce qu’il en advient, de le donner à telle ou telle personne comme bon lui semble, de dicter la façon dont chaque partie de l’argent est dépensée. Avec les offrandes de Dieu, il n’agit jamais avec soin et prudence, selon les principes ; au contraire, c’est un dépensier excessif, et ce qu’il dit est appliqué. Une telle personne est un véritable antéchrist.

Il était une fois quelqu’un qui détournait secrètement les offrandes de Dieu, ce qui est un problème grave. Il ne s’agit pas d’une transgression ordinaire ; c’est un problème avec sa nature-essence. Lorsqu’il interagissait avec des non-croyants en s’occupant de certaines affaires, il continuait à se mettre en valeur pour faire croire aux gens qu’il avait de l’argent et du pouvoir. Par conséquent, les gens demandèrent à lui emprunter de l’argent. Non seulement cette personne ne leur refusa pas, elle s’engagea en fait à leur prêter de l’argent, ce qu’elle fit en employant des tactiques trompeuses à l’égard de la maison de Dieu. Cette personne avait un sérieux problème. Dans le cas d’une affaire aussi importante, tu dois faire un rapport au Supérieur et expliquer les faits ; tu ne peux pas t’occuper de gens en utilisant les offrandes de Dieu pour ton propre crédit et ta propre fierté. C’est ainsi qu’une personne rationnelle avec un cœur craignant Dieu traiterait ces questions lorsqu’elle y est confrontée. Mais est-ce là ce que font les antéchrists ? Pourquoi sont-ils appelés antéchrists ? Parce qu’ils n’ont pas le moins du monde un cœur qui craint Dieu ; ils font ce qu’ils veulent, repoussant Dieu, la vérité et les paroles de Dieu dans un coin de leur tête. Ils n’ont aucune véritable soumission à Dieu, mais donnent une place de choix à leurs propres intérêts, à leur propre gloire, leur propre gain et leur propre statut. Ils emploient des moyens trompeurs pour induire en erreur les dirigeants et les ouvriers de l’Église, et prêtent ainsi de l’argent à des non-croyants. S’agit-il de leur argent ? En quelques mots, ils le prêtent – n’est-ce pas faire un cadeau avec les offrandes de Dieu ? C’est une chose que les antéchrists font, et certains ont vraiment agi de la sorte. Pour qu’ils puissent faire une telle chose, il faut que leur tempérament soit audacieux, terriblement arrogant et assez insidieux aussi. Il est également évident qu’ils sont stupides, aussi stupides qu’il est possible de l’être – ils seront forcément pris à leur propre piège. Dites-Moi, comment devrait-on s’occuper de ces personnes ? (Elles devraient être expulsées.) C’est tout ? L’expulsion ? Qui compensera les pertes ? On doit les faire verser un dédommagement, et puis les expulser. Les antéchrists capables de faire une telle chose ne sont-ils pas effrontés ? En quoi sont-ils différents de l’archange ? L’archange dira effrontément : « C’est moi qui ai fait les cieux, la terre et toutes les choses – c’est à moi de contrôler l’humanité ! » Il piétine et corrompt l’humanité à volonté. Une fois qu’un antéchrist a pris le pouvoir, il dit : « Vous devez tous croire en moi et me suivre. C’est moi qui gouverne ici, et c’est moi qui ai le dernier mot. Tournez-vous vers moi dans tous les cas, et apportez-moi l’argent de l’Église ! » Certaines personnes disent : « Pourquoi devrions-nous te donner l’argent de l’Église ? » et l’antéchrist dit : « Je suis le dirigeant. C’est mon droit de gérer cela. Je dois tout gérer, y compris les offrandes ! » Et ensuite, il prend tout en charge. Les antéchrists ne se soucient pas des problèmes ou des difficultés que les frères et sœurs rencontrent dans leur entrée dans la vie, ni des livres de sermons et des paroles de Dieu qui leur manquent. Ce qui les intéresse, c’est de savoir qui conserve l’argent de l’Église en lieu sûr, sa quantité, et la façon dont il est utilisé. Si le Supérieur s’informe de l’état des finances de l’Église, non seulement les antéchrists ne remettront pas l’argent de l’Église – ils ne permettront même pas au Supérieur de connaître les faits. Pourquoi ne le permettront-ils pas ? Parce qu’ils veulent détourner et prendre l’argent de l’Église pour eux. Les antéchrists ont le plus grand intérêt pour les biens matériels, l’argent et le statut. Ils n’ont certainement rien à voir avec ce qu’ils disent en apparence : « Je crois en dieu. Je ne poursuis pas le monde et je ne convoite pas l’argent. » Ils ne sont absolument pas tels qu’ils le disent. Pourquoi poursuivent-ils et maintiennent-ils un statut de toutes leurs forces ? Parce qu’ils souhaitent posséder, ou contrôler et s’emparer, de tout ce qui relève de leur compétence – en particulier l’argent et les biens matériels. Ils profitent de cet argent et de ces biens matériels comme s’il s’agissait des avantages de leur statut. Ce sont de véritables descendants de l’archange, avec la nature-essence de Satan de nom et de fait. Tous ceux qui poursuivent un statut et accordent de l’importance à l’argent ont certainement un problème concernant leur tempérament-essence. Il ne s’agit pas simplement du fait qu’ils aient un tempérament d’antéchrist : ils sont très ambitieux. Ils veulent contrôler l’argent de la maison de Dieu. S’ils sont rendus responsables d’un élément de travail, tout d’abord, ils ne laisseront pas les autres intervenir, ni n’accepteront de demandes ou de supervision de la part du Supérieur ; en plus de cela, lorsqu’ils sont responsables d’un élément de travail quel qu’il soit, ils trouveront des moyens de se mettre en valeur, de se protéger et de s’élever. Ils souhaitent toujours arriver en tête, devenir des personnes qui dominent et contrôlent les autres. Ils souhaitent également exercer un statut supérieur et rivaliser pour celui-ci, et même contrôler toutes les parties de la maison de Dieu – en particulier son argent. Les antéchrists ont un amour particulier pour l’argent. Lorsqu’ils le voient, leurs yeux s’illuminent ; dans leur esprit, ils pensent sans cesse à l’argent et font des efforts à cet égard. Ce sont tous des signes et des signaux d’antéchrists. Si tu échanges avec eux sur la vérité, ou essayes de connaître l’état des frères et sœurs, en posant des questions telles que combien d’entre eux sont faibles et négatifs, les résultats que chacun d’entre eux obtient dans son devoir, et ceux qui ne sont pas adaptés à leur devoir, les antéchrists ne seront pas intéressés. Mais lorsqu’il s’agit des offrandes de Dieu – le montant de l’argent, ceux qui le protègent, l’endroit où il est conservé, ses codes d’accès, etc. – c’est ce qui leur importe le plus. Un antéchrist a une maîtrise exceptionnelle de ces choses. Ils les connaissent sur le bout des doigts. Cela aussi est le signe d’un antéchrist. Les antéchrists sont les meilleurs pour prononcer de belles paroles, mais ils ne font pas de travail concret. Au contraire, ils sont toujours préoccupés par l’idée de profiter des offrandes de Dieu. Dites-Moi, les antéchrists ne sont-ils pas immoraux ? Ils n’ont aucune humanité – ce sont des démons jusqu’au bout des ongles. Dans leur travail, ils interdisent toujours l’intervention, les demandes et la supervision d’autrui. C’est le troisième comportement que la huitième manifestation des antéchrists montre.

Il y a quelque temps, une Église d’un pays a acheté un bâtiment, et elle devait le rénover, et il se trouve que le responsable de l’Église de ce pays était un antéchrist qui n’avait pas encore montré son vrai visage. Cet antéchrist a utilisé quelqu’un que personne ne connaissait bien pour les rénovations, et personne ne savait quel type de relation il entretenait avec elle. Par conséquent, cette personne malveillante a profité de la situation et beaucoup d’argent qui n’aurait pas dû être dépensé a été gaspillé pendant les rénovations. Il y avait du mobilier utilisable qui venait avec la maison, qui a été entièrement débarrassé et remplacé par du nouveau. Le vieux mobilier qui a été débarrassé a ensuite été vendu par cette personne malveillante pour de l’argent. Il n’était pas réellement cassé – il pouvait encore être utilisé – mais cette personne malveillante a dépensé une somme d’argent supplémentaire pour en acheter du nouveau afin de gagner de l’argent, afin d’exploiter la situation. L’antéchrist était-il au courant de ces choses ? Il l’était. Pourquoi, alors, a-t-il toléré qu’elle agisse de la sorte ? Parce qu’ils devaient avoir une relation anormale. Certaines personnes ont vu le problème et allaient suivre et vérifier la construction, pour voir comment cela se déroulait. Dès qu’elles ont dit qu’elles allaient regarder la construction, cet antéchrist est devenu inquiet et anxieux, et il a dit : « Non ! La date limite n’est pas encore arrivée – personne n’a le droit de regarder ! » Sa réaction était si forte, si sensible – y avait-il quelque chose qui se passait là-dedans ? (Oui.) Ces personnes, maintenant un peu alarmées, ont discuté de la question : « Ça n’ira pas du tout. Il ne veut pas nous laisser jeter un coup d’œil à la construction. Il y a certainement un problème ici ; nous devons aller jeter un coup d’œil sur le site. » Mais l’antéchrist ne permettra pas que le site soit vu avant que le travail ne soit livré. Dites-Moi, ces personnes n’avaient-elles pas l’esprit confus ? Le fait que l’antéchrist ne permette pas de voir la construction prouvait qu’il se passait quelque chose. Elles devaient se dépêcher d’en rendre compte au Supérieur, ou de le renvoyer conjointement, ou encore d’aller voir et vérifier de force la construction. C’était leur responsabilité. Si elles ne pouvaient pas assumer cette responsabilité, cela signifiait qu’elles étaient lâches, inutiles et incompétentes. Ces lâches incompétents n’ont pas persisté. Ce n’était pas un problème dans leurs propres maisons, alors ils l’ont simplement ignoré. C’est dire à quel point ils étaient égoïstes et irresponsables. Et lorsque le travail a été livré, J’ai vu sur une vidéo qu’il y avait un problème. Quel problème ai-Je vu ? Il y avait une table au milieu d’une salle de conférence, et tout autour d’elle, des chaises en cuir comme celles utilisées dans les bureaux chics. Les chaises sur lesquelles Je M’assois sont toutes des chaises ordinaires, alors est-ce que ces gens ordinaires devraient utiliser des choses aussi chics ? (Non.) C’est le type de mobilier que ces deux-là ont installé, et les gens étaient très contents de s’asseoir sur ces sièges. Lorsque J’ai découvert le problème, J’ai appelé ce vaurien et J’ai commencé à enquêter sur la question. Partout, dans chaque pièce, un contrôle a révélé de nombreux problèmes et beaucoup de pertes financières. Une partie du mobilier d’origine de la maison était utilisable, mais cette personne malveillante l’a emportée et l’a vendue pour se faire de l’argent avec ; de plus, elle a gagné de l’argent en achetant ce nouveau mobilier à un prix élevé ; qui plus est, elle a installé des équipements qui n’auraient pas dû se trouver dans une Église. Cette personne malveillante a fait cela sans consulter personne. Lorsqu’elle a fait cela, l’antéchrist était-elle au courant ? Elle l’était probablement. Elle se rendait tous les jours sur le chantier et, après l’avoir vu, elle n’a pas fait de rapport, mais a fermé les yeux sur son gaspillage. Quel culot ! Croit-elle en Dieu ? Après 20 ans de croyance en Dieu, elle était aussi détestable et a fait ceci – quel genre de personne est-elle ? Ce n’est pas une personne ! Même les bonnes personnes parmi les non-croyants ne font pas cela ; quelle immoralité ! Chaque fois que le Supérieur lui posait des questions sur les travaux de construction, elle faisait l’idiote pour embobiner le Supérieur, dissimulant et cachant des choses, et finalement beaucoup de problèmes sont apparus. Serait-il donc excessif de l’expulser et de lui permettre de trouver un travail pour gagner de l’argent afin de compenser les pertes ? (Non.) Dites-Moi, même si cet antéchrist pouvait rendre l’argent, trouverait-elle la paix dans cette vie ? Pourrait-elle avoir la vie facile ? Je crains qu’elle ne doive passer toute sa vie dans le tourment. Si elle savait que ses actions aboutiraient à cela, pourquoi a-t-elle agi de la sorte à l’époque ? Pourquoi a-t-elle fait cela en premier lieu ? Ce n’est pas comme si elle n’avait cru en Dieu que pendant un an ou deux et qu’elle ne connaissait pas les règles de Sa maison, ou ce que c’est que d’avoir un cœur craignant Dieu, ou ce qu’est la loyauté – après toutes ces années de croyance en Lui, elle n’avait pas changé du tout, et bien qu’elle ait été capable de rendre un peu service, elle a encore fait un tel mal ! Pour être aussi détestable, elle devrait être éliminée et maudite !

Les antéchrists ont un point commun dans leur façon de travailler : quel que soit le travail qu’ils font, ils interdisent aux autres d’intervenir ou de s’informer. Ils veulent toujours cacher les choses et les dissimuler. Ils doivent manigancer quelque chose : ils ne permettent pas aux gens de découvrir les problèmes de leur travail. S’ils faisaient les choses de façon honnête et irréprochable, d’une façon qui soit conforme à la vérité et aux principes, en toute bonne conscience, de quoi auraient-ils à s’inquiéter ? Qu’y a-t-il d’inavouable là-dedans ? Pourquoi ne permettent-ils pas à d’autres de s’informer et d’intervenir ? De quoi s’inquiètent-ils ? De quoi ont-ils peur ? Il est clair qu’ils manigancent quelque chose – c’est tellement évident ! Les antéchrists travaillent sans aucune transparence. Lorsqu’ils ont fait quelque chose de mal, ils trouvent des moyens de le cacher et de le dissimuler, en fabriquant de fausses apparences, voire en s’engageant dans une tromperie flagrante. Quels en sont les résultats ? Dieu scrute tout, et même si d’autres personnes ignorent quelque chose pendant un moment, et peuvent être induites en erreur pendant un temps, le jour viendra où Dieu le révélera. Aux yeux de Dieu, tout est manifeste, tout est révélé. Il est inutile que tu caches quelque chose à Dieu. Il est tout-puissant et lorsqu’Il décidera de te révéler, tout sera mis à nu à la lumière du jour. Seuls les antéchrists, ces idiots qui n’ont pas de compréhension spirituelle et qui possèdent la nature de l’archange, croiraient : « Tant que je garderai le silence sur les choses, que je ne te laisserai pas interférer ou t’informer, et que je ne te laisserai pas superviser les choses, tu ne sauras rien – et je contrôlerai complètement cette église ! » Ils pensent que s’ils gouvernent comme des rois, ils pourront contrôler la situation. Est-ce vraiment ainsi que sont les choses ? Ils ne savent pas que Dieu est tout-puissant ; leur intelligence est autoproclamée. Dieu les scrute tous. Par exemple, disons que tu as fait le mal aujourd’hui. Dieu le scrute, mais Il ne te révélera pas – Il te donne une chance de te repentir. Demain, tu fais encore le mal, et tu n’en rends toujours pas compte ni ne te repens ; Dieu te donne encore une chance et attend que tu te repentes. Mais si tu restes impénitent, Dieu ne voudra pas te donner cette chance. Il sera dégoûté de toi et te détestera, et au fond de Son cœur, Il ne souhaitera pas te sauver et Il t’abandonnera complètement. Dans ce cas, ce n’est qu’une question de quelques minutes avant qu’Il ne te dévoile, et même si tu essaies d’étouffer l’affaire ou d’y faire obstacle, ce sera en vain. Quelle que soit la taille de ta main, peux-tu masquer le ciel avec ? Peu importe à quel point tu es capable, peux-tu couvrir les yeux de Dieu ? (Non.) Ce sont des idées insensées de l’homme. Pour ce qui est de la toute-puissance de Dieu, les gens peuvent déjà la ressentir un peu dans Ses paroles. De plus, tous les membres de cette humanité corrompue qui ont fait beaucoup de mal et se sont opposés directement à Dieu ont subi diverses punitions, et tous ceux qui voient cela sont entièrement convaincus et reconnaissent qu’il s’agit d’une rétribution. Même les non-croyants peuvent voir que la justice de Dieu ne tolère pas l’offense, alors ceux qui croient en Lui devraient pouvoir le voir d’autant plus. La toute-puissance et la sagesse de Dieu sont incommensurables. L’homme n’a aucun moyen de les voir clairement. Il y a cette chanson – comment dit-on ? (« Les actes de Dieu sont insondables ») C’est l’essence de Dieu, la véritable révélation de Son identité et de Son essence. Tes suppositions ou tes spéculations ne sont pas nécessaires. Il suffit que tu croies ces paroles – tu ne feras alors pas de telles choses insensées. Les gens se croient tous intelligents ; ils se couvrent les yeux d’une feuille et disent : « Tu me vois ? » Dieu dit : « Non seulement Je te vois dans ton intégralité, mais Je vois aussi ton cœur et combien de fois tu as été dans le monde des humains », et les gens sont abasourdis. Ne te crois pas malin ; ne pense pas que « Dieu ne sait pas ceci et qu’Il ne sait pas cela. Aucun des frères et sœurs ne l’a vu. Personne ne le sait. J’ai mon propre plan. Regarde comme je suis intelligent ! » Personne dans ce monde qui ne comprend pas la vérité ou qui ne croit pas que Dieu est souverain sur tout, n’est intelligent. Quoi qu’ils disent ou fassent, en fin de compte, tout est erreur, tout est en violation de la vérité, tout résiste à Dieu. Il n’y a qu’un type de personne qui soit intelligente. De quel type s’agit-il ? Le genre qui croit que Dieu scrute tout, qu’Il peut tout voir et qu’Il est souverain sur tout. De telles personnes sont extrêmement intelligentes, car dans tout ce qu’elles font, elles sont soumises à Dieu ; tout ce qu’elles font est conforme à la vérité, approuvé par Dieu, et reçoit la bénédiction de Dieu. L’intelligence d’une personne dépend de sa capacité à se soumettre à Dieu ; cela dépend si ce qu’elle dit ou fait est conforme à la vérité. Si tu as cette idée : « Voici ce que je pense de cette question, et c’est ce que j’aimerais faire, parce que cela me serait bénéfique – mais je ne veux pas confier cela à d’autres, ni leur permettre de le savoir » – est-ce la bonne façon de penser ? (Non.) Que devrais-tu faire lorsque tu te rends compte que ce n’est pas la bonne façon de penser ? Tu devrais te donner une bonne gifle pour te donner une leçon. Tu penses que si tu ne le dis pas, Dieu ne le saura pas ? Le fait est que pendant que tu as cette pensée, Dieu connaît ton cœur. Comment sait-Il ? Dieu a vu à travers la nature-essence de l’homme. Alors pourquoi ne t’expose-t-Il donc pas dans cette affaire ? Même sans qu’Il l’expose, tu pourras progressivement le comprendre par toi-même, parce que tu as mangé et bu tant de Ses paroles. Tu as une conscience et une raison, un esprit et une pensée normale ; tu devrais être en mesure de réfléchir par toi-même à ce qui est bien et ce qui est mal. Dieu te donne du temps et une chance de bien y réfléchir lentement, pour voir si tu es insensé ou non. Après quelques jours de réflexion, tu verras les résultats : tu sauras alors que tu es insensé et stupide, et que tu ne dois pas essayer de cacher cette question à Dieu. En toutes choses, tu devrais tout mettre à nu devant Dieu et tu devrais être franc – c’est la seule condition et le seul état qui devrait être maintenu devant Dieu. Même lorsque tu ne t’ouvres pas, tu es ouvert devant Dieu. Du point de vue de Dieu, Il connaît les faits, que tu te confies à ce sujet ou non. N’es-tu pas vraiment insensé si tu ne vois pas clair dans tout cela ? Alors, comment devenir une personne intelligente ? En se confiant à Dieu. Tu sais que Dieu scrute et connaît tout, alors ne te crois pas malin et ne pense pas qu’Il pourrait ne pas savoir ; puisqu’il est certain que Dieu observe secrètement le cœur des gens, les personnes intelligentes devraient être un peu plus franches, un peu plus pures, et être honnêtes – il est sage de le faire. Avoir toujours l’impression d’être intelligent, vouloir garder ses propres petits secrets, essayer de préserver un peu de sa vie privée – est-ce la bonne façon de penser ? C’est bien d’être ainsi avec les autres, car certaines personnes n’ont pas un caractère positif et n’aiment pas la vérité. On peut se retenir un peu avec ce genre de personnes. Ne mets pas ton cœur à nu devant elles. Disons, par exemple, qu’il y a quelqu’un que tu détestes et dont tu as dit du mal dans son dos. Devrais-tu lui en parler ? Ne le fais pas – il suffit de ne pas recommencer. Si tu en parles, cela nuirait à votre relation. Tu sais dans ton cœur que tu n’es pas bon, que tu es immonde et malveillant à l’intérieur, que tu es jaloux des autres, que par goût de la gloire et du gain, tu as dit du mal de quelqu’un derrière son dos pour le salir – comme c’est vil ! Tu reconnais que tu es corrompu ; tu sais que ce que tu as fait est mal et que ta nature est malveillante. Tu te présentes alors devant Dieu et Le pries : « Ô Dieu, ce que j’ai fait en secret était une chose malveillante et vile – je Te supplie de me pardonner, je Te supplie de me guider et je Te supplie de me faire des reproches. Je m’efforcerai de ne plus refaire une telle chose. » Faire cela est bien. Tu peux utiliser certaines techniques dans tes interactions avec les gens, mais le mieux est de t’ouvrir purement à Dieu, et si tu nourris des intentions et utilises des techniques, tu auras des problèmes. Dans ton esprit, tu penseras toujours : « Que puis-je dire pour que Dieu pense beaucoup de bien de moi, sans savoir ce que je pense intérieurement ? Quelle est la bonne chose à dire ? Je dois le garder plus pour moi, je dois avoir un peu plus de tact, je dois avoir une méthode ; peut-être qu’alors Dieu pensera beaucoup de bien de moi. » Penses-tu que Dieu ne le saura pas si tu penses toujours ainsi ? Dieu sait ce que tu penses. C’est épuisant de penser comme ça. Il est tellement plus simple de parler honnêtement et sincèrement, et cela te facilite la vie. Dieu dira que tu es honnête et pur, que tu as le cœur ouvert, et c’est infiniment précieux. Si tu as un cœur franc et une attitude honnête, même si parfois tu vas trop loin et agis de manière insensée, pour Dieu ce n’est pas une transgression ; c’est mieux que d’être si calculateur, et mieux que de réfléchir et de traiter sans cesse. Les antéchrists sont-ils capables de ces choses ? (Non, ils ne le sont pas.)

Tous ceux qui suivent le chemin des antéchrists ont un tempérament d’antéchrist, et ces personnes qui ont un tempérament d’antéchrist suivent le chemin des antéchrists – mais il y a une petite différence entre les personnes ayant un tempérament d’antéchrist et les antéchrists. Si quelqu’un a un tempérament d’antéchrist et suit le chemin des antéchrists, cela n’indique pas nécessairement qu’il est un antéchrist. Mais s’il ne se repent pas et n’accepte pas la vérité, il pourrait devenir un antéchrist. Les gens qui suivent le chemin des antéchrists ont encore l’espoir et une chance de se repentir, parce qu’ils ne sont pas encore des antéchrists. S’ils font des choses malfaisantes de toutes sortes et sont classés comme antéchrists, et qu’ils sont donc directement exclus et expulsés, ils n’auront plus l’occasion de se repentir. Si quelqu’un qui suit le chemin des antéchrists n’a pas encore commis beaucoup de méfaits, cela montre au moins que ce n’est pas encore une personne malfaisante. S’il peut accepter la vérité, il y a une lueur d’espoir pour lui. S’il n’accepte pas la vérité, quoi qu’il arrive, il aura alors beaucoup de mal à être sauvé, même s’il n’a pas commis toutes sortes de méfaits. Pourquoi un antéchrist ne peut-il pas être sauvé ? Parce qu’il n’accepte absolument pas la vérité. Cependant, la maison de Dieu échange sur le fait d’être une personne honnête – de la nécessité d’être ouvert et franc, de dire ce que l’on a à dire et de ne pas s’engager dans la fourberie – il ne peut tout simplement pas l’accepter. Il a constamment l’impression que les gens perdent à être honnêtes et qu’il est stupide de dire la vérité. Il est résolu à ne pas être une personne honnête. Telle est la nature des antéchrists, qui ont de l’aversion pour la vérité et la haïssent. Comment quelqu’un peut-il être sauvé s’il n’accepte absolument pas la vérité ? Si quelqu’un qui suit le chemin des antéchrists peut accepter la vérité, il y a une nette différence entre lui et un antéchrist. Tous les antéchrists sont des gens qui n’acceptent en rien la vérité. Quel que soit le nombre de choses mauvaises ou malfaisantes qu’ils ont faites, quelles que soient les pertes qu’ils ont occasionnées au travail de l’Église et aux intérêts de la maison de Dieu, ils ne réfléchiront jamais sur eux-mêmes et ne se connaîtront jamais. Même s’ils sont émondés, ils n’acceptent aucune vérité ; c’est pourquoi l’Église les classe parmi les personnes malfaisantes, en tant qu’antéchrists. Un antéchrist, tout au plus, admettra seulement que ses actions violent les principes et ne sont pas conformes à la vérité, mais il n’admettra absolument jamais qu’il fait le mal délibérément, ou qu’il résiste à Dieu délibérément. Il reconnaîtra juste ses erreurs, mais il n’acceptera pas la vérité ; et ensuite, il continuera à faire le mal comme avant, sans pratiquer la moindre vérité. Le fait qu’un antéchrist n’accepte jamais la vérité montre que la nature-essence de l’antéchrist est d’avoir une aversion pour la vérité et de la haïr. Ils restent des gens qui résistent à Dieu pour toujours, quel que soit le nombre d’années pendant lesquelles ils ont cru en Lui. Les hommes ordinaires et corrompus, en revanche, peuvent tous avoir un tempérament d’antéchrist, mais il y a une différence entre eux et les antéchrists. Il y a un certain nombre de personnes qui peuvent prendre à cœur les paroles de Dieu sur le jugement et l’exposition après les avoir entendues, y avoir réfléchi à maintes reprises et avoir réfléchi sur elles-mêmes. Elles peuvent alors se rendre compte : « Voilà donc le tempérament d’un antéchrist, c’est cela suivre le chemin des antéchrists. Quel grave problème ! J’ai ces états et ces comportements ; j’ai cette sorte d’essence – je suis cette sorte de personne ! » Elles réfléchissent ensuite à la manière dont elles peuvent se débarrasser de ce tempérament d’antéchrist et vraiment se repentir, et avec cela, elles peuvent poser l’intention de ne pas suivre le chemin des antéchrists. Dans leur travail et leur vie, dans leur attitude envers les personnes, les évènements et les choses et envers la mission de Dieu, elles peuvent réfléchir à leurs propres actions et comportements, aux raisons pour lesquelles elles ne peuvent pas se soumettre à Dieu, pourquoi elles vivent en permanence selon un tempérament satanique, pourquoi elles ne peuvent pas se rebeller contre la chair et Satan. Ainsi, elles prieront Dieu, accepteront Son jugement et Son châtiment, et imploreront Dieu de les sauver de leur tempérament corrompu et de l’influence de Satan. Le fait qu’elles aient la résolution de le faire prouve qu’elles peuvent accepter la vérité. Elles révèlent également un tempérament corrompu et agissent selon leur propre volonté ; la différence est qu’un antéchrist n’a pas seulement des ambitions et des désirs d’établir un royaume indépendant – il n’accepte pas non plus la vérité, quoi qu’il arrive. C’est le talon d’Achille de l’antéchrist. Si, d’autre part, une personne ayant un tempérament d’antéchrist peut accepter la vérité, prier Dieu et s’en remettre à Lui, et si elle souhaite se débarrasser du tempérament corrompu de Satan et suivre le chemin de la poursuite de la vérité, alors de quelle manière cette prière et cette résolution seront-elles bénéfiques à son entrée dans la vie ? Cela l’amènera au moins à réfléchir sur elle-même et à se connaître dans l’accomplissement de son devoir, et à utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, de sorte qu’elle puisse accomplir son devoir selon les normes. C’est une façon qui lui sera bénéfique. Au-delà, grâce à la pratique que lui offre son devoir, elle pourra s’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Quelles que soient les difficultés auxquelles elle fait face, elle pourra chercher la vérité, se concentrer sur l’acceptation de la vérité et sa pratique ; elle pourra progressivement se débarrasser de son tempérament satanique, et en venir à se soumettre à Dieu et à Le vénérer. Elle peut atteindre le salut de Dieu avec une telle pratique. Les personnes ayant un tempérament d’antéchrist peuvent révéler leur corruption à l’occasion, et elles peuvent encore parler et agir dans l’intérêt de leur gloire, de leur gain et de leur statut, malgré elles, et elles peuvent encore agir selon leur propre volonté – mais dès qu’elles se rendent compte qu’elles révèlent leur tempérament corrompu, elles éprouveront des remords et prieront Dieu. Cela prouve que ce sont des personnes capables d’accepter la vérité et qui se soumettent à l’œuvre de Dieu ; cela prouve qu’elles poursuivent l’entrée dans la vie. Quel que soit le nombre d’années d’expérience d’une personne, et quel que soit le degré de corruption qu’elle révèle, elle sera finalement capable d’accepter la vérité, et d’entrer dans la vérité-réalité. Ce sont des personnes qui se soumettent à l’œuvre de Dieu. Et en faisant tout cela, cela démontre qu’elles ont déjà posé leurs fondations sur le vrai chemin. Mais certaines, qui suivent le chemin des antéchrists, ne peuvent pas accepter la vérité. Pour elles, le salut sera aussi difficile à obtenir que pour les antéchrists. Ces personnes ne ressentent rien lorsqu’elles entendent les paroles de Dieu qui exposent les antéchrists, mais elles sont indifférentes et impassibles. Lorsque l’échange aborde le sujet du tempérament d’antéchrist, elles admettent qu’elles ont un tempérament d’antéchrist et qu’elles suivent le chemin des antéchrists. Elles parleront très bien à ce sujet. Mais lorsqu’il s’agira de pratiquer la vérité, elles refuseront encore de le faire ; elles agiront encore de leur propre chef, en se fondant sur leur tempérament d’antéchrist. Si tu leur demandes : « Est-ce que tu batailles dans ton cœur lorsque tu révèles un tempérament d’antéchrist ? Ressens-tu de la culpabilité lorsque tu parles pour préserver ton statut ? Réfléchis-tu et apprends-tu à te connaître lorsque tu révèles un tempérament d’antéchrist ? Es-tu vraiment plein de remords après avoir connu ton tempérament corrompu ? Est-ce que tu te repens ou changes ne serait-ce qu’un peu par la suite ? », elles sont sûres de ne pas avoir de réponse, parce qu’elles n’ont pas eu de telles expériences et n’y ont pas été confrontées. Elles seront incapables de dire quoi que ce soit. De telles personnes sont-elles capables d’un véritable repentir ? Ce ne sera certainement pas facile. Celles qui poursuivent vraiment la vérité seront peinées par toute révélation d’un tempérament d’antéchrist en elles, et deviendront anxieuses ; elles se mettront à penser : « Pourquoi ne puis-je pas simplement me débarrasser de ce tempérament satanique ? Pourquoi est-ce que je révèle toujours un tempérament corrompu ? Pourquoi ce tempérament corrompu qui est le mien est-il si obstiné et inextricable ? Pourquoi est-il si difficile d’entrer dans la vérité-réalité ? » Cela montre que leur expérience de la vie est superficielle et que leur tempérament corrompu n’a absolument pas été bien résolu. C’est pourquoi la bataille dans leur cœur fait rage avec acharnement lorsque quelque chose leur arrive, et c’est aussi pour cela qu’elles font les frais de ce tourment. Bien qu’elles soient résolues à se débarrasser de leur tempérament satanique, elles ne peuvent certainement pas se passer de la bataille qu’elles mènent contre celui-ci dans leur cœur – et cet état assiégé s’intensifie de jour en jour. Et au fur et à mesure que leur connaissance d’elles-mêmes s’approfondit et qu’elles voient à quel point elles sont profondément corrompues, elles aspirent encore plus à gagner la vérité et la chérissent encore plus, et elles seront capables d’accepter et de pratiquer la vérité de manière ininterrompue au cours de leur connaissance d’elles-mêmes et de leur tempérament corrompu. Elles développeront peu à peu leur stature et leur tempérament-vie commencera à changer véritablement. Si elles continuent d’expérimenter de cette manière, leur situation s’améliorera de plus en plus, année après année, et au bout du compte, elles seront capables de vaincre la chair et de se débarrasser de leur corruption, de pratiquer fréquemment la vérité et de parvenir à se soumettre à Dieu. L’entrée dans la vie n’est pas facile ! C’est comme réanimer quelqu’un qui est sur le point de mourir : la responsabilité que l’on peut assumer est celle d’échanger sur la vérité, de les soutenir, de pourvoir à leurs besoins ou de les émonder. Si elles peuvent l’accepter et se soumettre, il y a de l’espoir pour elles ; elles peuvent avoir la chance de s’échapper, et les choses s’arrêteront à moins de mourir. Mais si elles refusent d’accepter la vérité et ne savent rien d’elles-mêmes, elles sont en danger. Certains antéchrists restent un ou deux ans après leur élimination sans se connaître et ne reconnaissent pas leurs erreurs. Dans ce cas, il n’y a plus aucun signe de vie en eux, et c’est la preuve qu’ils n’ont plus d’espoir d’être sauvés. Pouvez-vous accepter la vérité quand vous êtes émondés ? (Oui.) Il y a donc de l’espoir – c’est une bonne chose ! Si vous pouvez accepter la vérité, vous avez l’espoir d’être sauvés.

Si vous voulez être sauvés, vous devez franchir de nombreux obstacles. Quels sont ces obstacles ? Le combat incessant contre votre tempérament corrompu, et le combat contre le tempérament de Satan et des antéchrists : il veut te contrôler, et tu veux t’en libérer ; il veut t’induire en erreur, et tu veux le rejeter. Si tu constates que tu ne peux pas te libérer de ton tempérament corrompu, même après l’avoir découvert, tu seras ébranlé et tu souffriras, et tu prieras. Parfois, lorsque tu vois que cela fait un certain temps et que tu n’as toujours pas réussi à te défaire du contrôle du tempérament de Satan, tu auras l’impression que c’est sans espoir, mais tu ne voudras pas céder et tu sentiras que tu ne peux pas continuer à être si négatif et si découragé – que tu dois continuer à te battre. Dans le processus d’accomplissement d’un devoir et dans le processus d’expérience de l’œuvre de Dieu, les personnes ont des réponses internes différentes, par degrés. En bref, ceux qui ont la vie sont ceux qui poursuivent la vérité, et ils changent constamment à l’intérieur. Il y aura un revirement constant dans leur pensée et leurs opinions, dans leur comportement et leurs pratiques, et même dans les intentions, les idées et les pensées qui sont au plus profond de leur esprit. En outre, ils distingueront de plus en plus clairement ce qui est bien et ce qui est mal, les mauvaises choses qu’ils ont faites, si une certaine façon de penser est bonne ou mauvaise, si un certain point de vue est conforme à la vérité, si les principes qui sous-tendent une certaine façon d’agir sont conformes aux intentions de Dieu, et s’ils sont des personnes qui se soumettent à Dieu, des personnes qui aiment la vérité. Ces choses deviendront progressivement de plus en plus claires dans leur cœur. Sur quelles bases repose donc la réalisation de ces résultats ? La base de la pratique et de l’entrée des vérités telles qu’elles les comprennent. Pourquoi les antéchrists ne parviennent-ils pas à les changer ? Sont-ils capables de comprendre la vérité ? (Oui.) Ils peuvent la comprendre, mais ils ne la pratiquent pas, et ils ne la pratiquent pas quand ils l’entendent. Il se peut qu’ils la comprennent et l’acceptent comme une doctrine, mais peuvent-ils mettre en pratique les éléments de doctrine et de règles qu’ils sont en mesure de comprendre ? Non, pas du tout ; même si tu les forçais, même s’ils s’épuisaient à essayer, ils ne pourraient toujours pas les mettre en pratique. C’est pourquoi, pour eux, le fait d’entrer dans la vérité reste un vide éternel. L’antéchrist a beau parler d’être une personne honnête, peu importe ses gros efforts, il ne peut pas faire une seule déclaration honnête ; et il a beau dire qu’il tient compte des intentions de Dieu, il ne peut pas se défaire de ses motivations égoïstes et viles. Il agit d’un point de vue égoïste. Lorsqu’il voit quelque chose de bien, quelque chose qui lui profiterait, il dit : « Donnez-le-moi – c’est à moi ! » Il dit tout ce qui peut être bénéfique à son statut et fait tout ce qui peut être bénéfique pour lui-même. C’est l’essence des antéchrists. Ils peuvent, dans un élan momentané de passion, avoir l’impression d’avoir compris une part de vérité. Un zèle s’empare d’eux et ils crient quelques devises : « J’ai besoin de pratiquer, de changer et de satisfaire Dieu ! » Pourtant, quand vient le moment de pratiquer la vérité, le font-ils ? Ils ne le font pas. Quoi que Dieu dise, quel que soit le nombre de vérités et de faits qu’Il prêche, avec toutes sortes d’exemples réels, cela ne peut pas émouvoir un antéchrist, ni influencer son ambition. C’est une caractéristique et un signe d’un antéchrist. Il ne pratique simplement aucune vérité ; lorsqu’il parle gentiment, c’est pour que les autres l’entendent, et même s’il parle gentiment, ce n’est qu’une forme de discours grandiloquent et vide de sens – pour eux, c’est de la théorie. Comment de telles personnes positionnent-elles en réalité la vérité dans leur cœur ? Qu’est-ce que Je vous ai déjà dit qui est une nature-essence d’antéchrist ? (La haine de la vérité.) C’est exact. Elles détestent la vérité. Elles croient que leur malveillance, leur égoïsme et leur vilenie, leur arrogance, leur méchanceté, leur usurpation de statut et de richesse, et leur contrôle sur les autres sont la plus haute vérité, la plus haute philosophie, et que rien d’autre n’est aussi élevé que ces choses. Une fois qu’elles ont acquis un statut et qu’elles peuvent contrôler les gens, elles peuvent faire tout ce qu’elles veulent, et toutes leurs ambitions et tous leurs désirs sont alors réalisables. C’est le but ultime d’un antéchrist.

Les antéchrists ont une aversion pour la vérité et la haïssent. Est-il possible pour toi de faire accepter et pratiquer la vérité à quelqu’un qui a de l’aversion pour elle ? (Non.) Cela équivaut à faire grimper une vache à un arbre ou à faire manger du foin à un loup – ne serait-ce pas lui demander l’impossible ? Tu verras parfois un loup s’infiltrer dans un troupeau pour être là avec les moutons. Il joue une ruse, attendant l’occasion de manger les moutons. Sa nature ne changera jamais. De même, qu’un antéchrist pratique la vérité équivaut à ce qu’un loup mange du foin et abandonne son instinct de mangeur de moutons : c’est impossible. Les loups sont des carnivores. Ils mangent des moutons – ils mangent toutes sortes d’animaux. C’est leur nature, et on ne peut pas la changer. Si quelqu’un dit : « Je ne sais pas si je suis un antéchrist, mais chaque fois que j’entends un échange sur la vérité, mon cœur s’enflamme de rage et je la hais – et quiconque veut m’émonder, je le hais encore plus. » Cette personne est-elle un antéchrist ? (Oui.) Quelqu’un dit : « Quand quelque chose t’arrive, tu dois te soumettre et chercher la vérité », et cette première personne dit : « Se soumettre, mon œil ! Tais-toi ! » Quel genre de chose est-ce ? S’agit-il d’un mauvais caractère ? (Non.) De quel tempérament s’agit-il ? (La haine de la vérité.) Ils ne supportent même pas d’en parler, et dès que tu échanges sur la vérité, leur nature surgit et ils montrent leur vraie forme. Ils n’aiment entendre aucune allusion à la recherche de la vérité ou à la soumission à Dieu. Jusqu’à quel point ? Lorsqu’ils entendent de tels propos, ils explosent. Leur civilité s’évapore ; ils n’ont pas peur de vendre la mèche. C’est dire à quel point leur haine va loin. Alors, peuvent-ils pratiquer la vérité ? (Non.) La vérité n’est pas destinée aux personnes malfaisantes ; elle est destinée aux personnes dotées de conscience et de raison, qui aiment la vérité et les choses positives. Cela exige de ces personnes qu’elles l’acceptent et la pratiquent. Et quant aux personnes malveillantes qui ont une essence d’antéchrist, qui sont extrêmement hostiles à la vérité et aux choses positives, elles n’accepteront jamais la vérité. Elles ont beau croire en Dieu depuis des années, écouter beaucoup de sermons, elles n’acceptent pas la vérité et ne la pratiquent pas. Ne supposez pas qu’elles ne pratiquent pas la vérité parce qu’elles ne la comprennent pas, et qu’elles la comprendront quand elles en auront entendu davantage. C’est impossible, car toutes celles qui ont de l’aversion pour la vérité et la haïssent sont de l’espèce de Satan. Elles ne changeront jamais, et personne d’autre ne peut les changer. C’est comme l’archange, après avoir trahi Dieu : avez-vous déjà entendu Dieu dire qu’Il sauverait l’archange ? Dieu n’a jamais dit cela. Alors, qu’est-ce que Dieu a fait à Satan ? Il le jette dans les airs et fait en sorte qu’il Lui rende service sur la terre, en faisant ce qu’il doit faire. Et lorsqu’il aura fini de rendre service, et que le plan de gestion de Dieu sera achevé, Il le détruira, et ce sera tout. Dieu y ajoute-t-Il quelque chose ? (Non.) Pourquoi ? Parce que cela serait, en un mot, inutile. Il serait superflu de lui dire quelque chose. Dieu l’a percé à jour : une nature-essence d’antéchrist ne peut jamais changer. C’est ainsi que cela se passe.

Lorsque vous rencontrez un antéchrist, comment devriez-vous le traiter ? Il y a certains dirigeants qui ont été qualifiés de faux dirigeants ou d’antéchrists et ont été remplacés. Dans le cas de l’un d’eux, les frères et sœurs ont rapporté quelque temps après qu’il était encore capable de travailler, qu’il s’était repenti entre-temps et qu’il travaillait bien. Il n’est pas tout à fait expressément clair s’il s’est bien comporté, s’il a parlé d’une manière agréable, ou s’il est devenu plus discipliné dans son rôle. Comme les frères et sœurs disaient qu’il travaillait bien et qu’il y avait un manque de main d’œuvre pour une partie du travail, il a été décidé qu’il devait faire un peu de travail. Et par conséquent, même pas deux mois plus tard, les frères et sœurs ont fait un rapport : « Remplacez-le tout de suite – il nous opprime de façon insupportable. S’il n’est pas remplacé, nous ne pourrons pas faire nos devoirs. » Ils ne consentiraient pas à l’utiliser, quoi qu’il arrive ; quel que soit le dirigeant qu’ils éliraient, ce ne serait pas lui. C’était le même vieux réprouvé – il parlait bien, mais en fait, il n’avait pas changé d’un iota. Que se passait-il ? Sa nature avait été totalement exposée. Comment penses-tu que cette question devait être traitée ? Le fait que les frères et sœurs aient eu une réaction aussi forte prouve qu’ils ont effectivement fait preuve d’un peu de discernement. Certaines personnes avaient été induites en erreur par lui, et après que le Supérieur s’en est chargé, certains prirent sa défense, et plus tard certains dirent qu’il s’était repenti. Il fût donc promu une nouvelle fois et, après un moment, il fût entièrement révélé. Les frères et sœurs avaient maintenant vu clair en lui, et ils se regrouperaient pour le destituer. Le Supérieur vit que ces gens étaient maintenant capables de discernement. Ils n’avaient pas été abreuvés pour rien. Ainsi, étant donné qu’ils ne consentirent pas tous à ce qu’il soit utilisé, le Supérieur le remplaça. D’où venait leur discernement ? (Une compréhension de la vérité.) Oui – ils avaient compris la vérité. Le discernement vient de la compréhension de la vérité. La vérité et Dieu n’y régnaient-ils pas encore ? (Si.) Leur discernement était opportun : après son renvoi, les frères et sœurs ne subirent plus son contrôle. Les gens ont tant souffert sous son oppression. Il n’avait aucune humanité. Il n’avait pas fait son propre travail, mais il perturba les frères et les sœurs dans l’accomplissement de leurs devoirs – il les a foulés aux pieds, il les a abusés par son pouvoir. Qui consentirait à cela ? Un crétin – voilà qui ! Lorsque de telles personnes sont remplacées, éprouvent-elles ensuite des sentiments à ce sujet ? La dernière fois, cette personne avait été démise de ses fonctions par le Supérieur ; cette fois-ci, elle a été destituée par les frères et sœurs, chassée de la scène sous les huées – pas une façon glorieuse de partir ! À l’origine, elle avait voulu chercher un poste. Il s’est avéré qu’elle n’en avait pas trouvé, mais elle chuta d’un seul coup et fut ramenée à sa position initiale. N’aurait-elle pas dû réfléchir sur elle-même ? (Si.) Si elle avait été une personne normale, mais avec un tempérament sérieusement corrompu, n’aurait-elle pas également dû réfléchir sur elle-même ? (Si.) Il y a un type de personne qui ne réfléchit pas. Elle pense qu’elle a raison, que tout ce qu’elle fait est juste ; elle n’accepte pas les faits, elle n’accepte pas les choses positives et elle n’accepte pas les évaluations des autres à son égard. Ce sont des gens qui ont le tempérament-essence d’un antéchrist. Seuls les antéchrists ne savent pas réfléchir sur eux-mêmes. Que ruminent-ils à la place ? « Pfff ! Le jour viendra où mon étoile se lèvera à nouveau. Attendez que vous soyez sous mon emprise – et vous verrez comment je vais vous tourmenter ! » Auront-ils l’occasion de le faire ? (Non.) Ils n’ont plus aucune chance. Au fur et à mesure que les frères et sœurs comprennent de plus en plus de vérités, et qu’ils peuvent discerner tous les états des différentes personnes, et en particulier, discerner les antéchrists, l’espace restant à un antéchrist pour faire le mal rétrécira de plus en plus, et il aura de moins en moins d’occasions de le faire. Il ne sera pas facile pour lui d’essayer de faire son grand retour. Il espère que le Supérieur prêchera un peu moins sur le discernement et ne discernera plus qui il est. Lorsqu’il entend de telles vérités échangées, il sait que c’est fini pour lui et pense qu’il n’y a plus d’espoir pour son retour. Ses ruminations ne sont pas celles-ci : « Ce qu’il expose et discerne est correct – cela reflète complètement mon état. Comment dois-je changer ? Si je continue à me comporter de la sorte, ne serait-ce pas la fin de ma vie ? Je serai radié. Quel bien y a-t-il à suivre le chemin de l’archange et à contrarier Dieu ? » Aurait-il de telles réflexions ? (Non.) Il ne méditerait pas, et il ne réfléchirait certainement pas sur lui-même et n’essaierait pas de se connaître ; au lieu de cela, il mourrait avant de se repentir. C’est sa nature. Quelle que soit la façon dont tu échanges sur la vérité, cela ne le réveillera pas et ne le fera pas se repentir. Y a-t-il une échappatoire sans repentance ? (Non.) Il ne se repent pas. Il suit son chemin jusqu’au bout, jusqu’à sa propre ruine, ce qui est dicté par la nature des antéchrists.

Nous avons parlé pendant tout ce temps de la question du discernement des antéchrists. Quel sentiment pensez-vous que les antéchrists éprouvent en écoutant ? Au moment de se rassembler, ils ressentent un tourment insupportable, et ils sont résistants dans l’âme. Ne sont-ils pas des antéchrists ? (Ils le sont.) Quand une personne normale avec un tempérament corrompu sait qu’elle a un tempérament d’antéchrist, elle désire ardemment entendre et comprendre davantage, car une fois qu’elle a compris, c’est alors qu’elle sera capable de poursuivre le changement. Elle pense que si elle ne comprend pas, elle s’égarera, et qu’un jour viendra où elle s’engagera sur la voie des antéchrists, où elle commettra un grand mal, ouvrant les vannes, et perdra ainsi sa chance de salut, et sera détruite. Elle a peur de cela. Un état d’esprit d’antéchrist est différent. Il ne veut rien de moins qu’empêcher tous les autres de parler et d’entendre de tels sermons sur le discernement ; il souhaite ardemment que tout le monde soit confus et dépourvu de discernement, et que les gens soient induits en erreur par lui. C’est ce qui le rendrait heureux. Quel est le plus grand souhait de l’antéchrist ? Prendre le pouvoir. Aimeriez-vous prendre le pouvoir ? (Non.) Pas avec votre cœur, mais cela vous vient parfois à l’esprit comme quelque chose que vous aimeriez, et c’est donc, en fait, quelque chose que vous aimeriez faire. Tu peux avoir un souhait subjectif au fond de toi, un désir profond de ne pas être ce genre de personne, de ne pas prendre ce chemin, mais lorsque quelque chose t’arrive, ton tempérament corrompu te fait basculer et te pousse à agir. Tu te creuses la tête en pensant à la façon dont tu vas protéger ton statut et ton influence, au nombre de personnes que tu peux contrôler, à la façon de parler avec autorité pour gagner l’estime des autres. Lorsque tu penses à ces choses en permanence, ton cœur n’est plus sous ton contrôle. Qu’est-ce qui le contrôle ? (Un tempérament corrompu.) Oui – il est sous le contrôle du tempérament corrompu de Satan. On rumine toute la journée les préoccupations de ses intérêts charnels ; on est toujours en lutte avec les autres, et dans ces luttes, on ne gagne rien, et c’est si douloureux pour soi – on ne vit que pour la chair et Satan. On se résout donc à bien faire son devoir et à vivre pour Dieu, pour ensuite lutter à nouveau pour son statut et ses intérêts lorsque les choses se présentent : une lutte de va-et-vient qui épuise jusqu’à l’os, et dont on ne tire aucun profit. Dites-Moi, n’est-ce pas une façon épuisante de vivre ? (Ça l’est.) Il vit ainsi jour après jour, et avant qu’il ne s’en rende compte, des décennies se sont écoulées. Certaines personnes croient en Dieu depuis dix ou vingt ans – quelle part de vérité ont-elles gagnée ? Dans quelle mesure leur tempérament corrompu a-t-il changé ? Pour qui vivent-elles chaque jour ? Dans quel but s’occupent-elles ? Pourquoi se creusent-elles la tête ? Tout cela pour la chair. Dieu a dit que « toutes les pensées du cœur de l’homme se portaient chaque jour uniquement vers le mal ». Y a-t-il une erreur dans ces paroles ? Goûte-les, savoure-les. Lorsque tu penses à ces paroles, lorsque tu en fais l’expérience, n’as-tu pas peur ? Tu dis peut-être : « Je ressens une certaine peur. En apparence, je paie un prix toute la journée ; je renonce, je me dépense et je souffre. C’est ce que fait mon corps charnel – mais toutes les pensées de mon cœur sont malfaisantes. Elles vont toutes à l’encontre de la vérité. Dans beaucoup de choses que je fais, mes origines, mes motivations et mes objectifs ne visent qu’à faire le mal de ma propre imagination. » Que résulte du fait d’agir de la sorte ? Des actes malfaisants. Dieu Se souviendra-t-Il alors d’eux ? Certains peuvent dire : « Je crois en Dieu depuis vingt ans. J’ai tout abandonné – et pourtant, Dieu ne S’en souvient pas. » Ils sont attristés et souffrent. Qu’est-ce qui leur fait mal ? Si Dieu Se montrait vraiment sévère avec l’homme, celui-ci n’aurait pas de quoi se vanter. Tout cela est la grâce de Dieu, Sa miséricorde – Dieu est si tolérant avec l’homme. Pensez-y : Dieu est si saint, si juste, si tout-puissant, et Il regarde simplement ceux qui Le suivent avoir des pensées entièrement mauvaises, tout au long de la journée, des pensées qui vont à l’encontre de la vérité, et des pensées qui portent entièrement sur des questions d’intérêt pour leur propre statut, leur propre gloire et leur propre gain. Dieu tolérera-t-Il que Ses disciples s’opposent à Lui et Le trahissent de la sorte ? Absolument pas. Dominés par ces idées, ces pensées, ces intentions et ces motifs, les gens font ouvertement des choses en rébellion et en opposition à Dieu, tout en se vantant de faire leur devoir et de coopérer à l’œuvre de Dieu. Tout cela, Dieu le voit, et pourtant, Il doit l’endurer. Comment le supporte-t-Il ? Il fournit la vérité ; Il abreuve et expose ; Il éclaire et illumine, Il donne des conseils, Il châtie et discipline – et lorsque la discipline est sévère, Il doit même rassurer. Comme Dieu doit être patient pour faire tout cela ! Il a l’œil sur les divers tempéraments corrompus de ces gens, sur le fait que toutes leurs révélations, leurs comportements et leurs idées sont malfaisants – et pourtant, Il peut le supporter. Dites-Moi, l’homme en serait-il capable ? (Non.) La patience des parents à l’égard de leurs enfants est réelle, mais ils peuvent toujours les abandonner ou même rompre les relations avec eux lorsque les choses deviennent insupportables. Qu’en est-il alors de la patience que Dieu accorde à une personne ? Chaque jour que tu vis est un jour où Dieu t’accorde Sa patience. C’est dire s’Il est patient. Qu’y a-t-il dans cette patience ? (De l’amour.) Pas seulement de l’amour – Il a une attente à ton égard. Quelle est cette attente ? Pour qu’Il voie un résultat et une récompense à travers l’œuvre qu’Il accomplit, et qu’Il permette à l’homme de goûter à Son amour. L’homme a-t-il un tel amour ? Il ne l’a pas. Avec juste un peu d’apprentissage et d’éducation, juste un peu de don ou de talent, une personne se sent plus noble que les autres et pense que les gens ordinaires ne peuvent en aucun cas l’approcher. C’est le caractère détestable de l’homme. Est-ce ainsi que Dieu agit ? C’est tout le contraire : tels sont les hommes profondément corrompus et immondes que Dieu sauve ; de plus, Il vit avec eux, parle avec eux et les soutient, face à face. L’homme ne peut pas faire cela.

Ce qui suit est un autre échange sur un problème supplémentaire. Certaines personnes, lorsqu’elles portent témoignage, disent : « Chaque fois que quelque chose m’arrive, je pense à l’amour de Dieu et à Sa grâce, et je suis ému. J’arrête de révéler mon tempérament corrompu chaque fois que je pense à ces choses. » La plupart des gens pensent que cette affirmation est bonne, qu’elle peut vraiment résoudre le problème des révélations d’un tempérament corrompu. Ces propos tiennent-ils vraiment la route ? Non. L’amour de Dieu, Sa toute-puissance, Sa tolérance pour l’homme et toute Son œuvre en l’homme ne peuvent qu’émouvoir quelqu’un – sa part d’humanité, sa part de conscience et de rationalité ; cependant, cela ne peut pas résoudre le tempérament corrompu de l’homme, ni changer le but et la direction de la poursuite de l’homme. C’est pourquoi Dieu met en œuvre le jugement des derniers jours : Il exprime et procure la vérité afin de résoudre le problème du tempérament corrompu de l’homme. Que fait Dieu de plus essentiel ? Il exprime et procure la vérité, et juge et châtie l’homme. Il ne souhaite pas t’émouvoir avec Ses actions ou avec ce qu’Il fait, pour changer la direction et le but de ta poursuite. Il n’œuvrerait pas comme ça. Quoi que Dieu dise à propos de l’étendue de Sa patience à l’égard de l’homme, ou à propos de la façon dont Il sauve l’homme, quel que soit le prix, peu importe ce qu’Il dit, Dieu souhaite seulement faire comprendre à l’homme Son intention de sauver les gens. Il ne dit pas ces choses pour adoucir le cœur des gens et leur permettre de faire demi-tour parce qu’ils sont émus de L’avoir entendu. Cela ne peut pas être fait. Pourquoi ? Le tempérament corrompu de l’homme est sa nature-essence, et cette nature-essence est le fondement sur lequel les gens comptent pour survivre. Ce n’est pas une mauvaise coutume ou habitude qui changera avec un peu d’encouragements ; elle ne changera pas dès qu’une personne est heureuse, ou par l’acquisition d’une certaine quantité de connaissances ou la lecture d’un certain nombre de livres. Ce serait impossible. Personne ne peut changer la nature de l’homme. On ne peut changer qu’en acceptant et en gagnant la vérité – la vérité seule est ce qui peut changer les gens. Si tu veux réaliser un changement dans ta vie-tempérament, tu dois poursuivre la vérité, et pour poursuivre la vérité, tu dois commencer par avoir une compréhension claire de toutes les diverses vérités que Dieu dit. Certaines personnes croient que si quelqu’un a compris la doctrine, alors il a compris la vérité. Cela ne pourrait pas être plus faux. Ce n’est pas parce que tu comprends la doctrine de la croyance en Dieu et que tu peux parler de quelques théories spirituelles que tu auras alors compris la vérité. Réfléchis-y, maintenant : à quoi se réfère la vérité exactement ? Pourquoi est-ce que Je dis toujours qu’il y a tant de gens qui ne comprennent pas la vérité ? Ils supposent : « Si je peux comprendre le sens des paroles de Dieu, cela signifie que j’ai compris la vérité », et que « Toutes les paroles de Dieu sont justes ; elles sont toutes prononcées dans nos cœurs, et donc elles sont notre langage commun. » Dis-Moi, cette affirmation est-elle juste ou pas ? Que signifie réellement comprendre la vérité ? Pourquoi disons-nous qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Nous allons d’abord parler un peu de ce qu’est la vérité. La vérité est la réalité de toutes les choses positives. Alors, comment la réalité de ces choses positives se rapporte-t-elle à l’homme ? (Si je comprends bien, Dieu, la façon dont cela se manifeste lorsqu’une personne comprend la vérité est que pour toute personne, tout évènement et toute chose auxquels elle est confrontée, elle a des principes, elle sait comment les traiter et a un chemin de pratique ; la vérité est capable de résoudre ses difficultés et de devenir réalité dans sa vie. Dieu disait simplement que le fait qu’une personne comprenne la doctrine n’est pas une compréhension de la vérité – elle a l’impression d’avoir compris la vérité, mais elle ne peut résoudre aucun des problèmes et difficultés auxquels elle est confrontée dans la vraie vie. Elle n’a pas de chemin pour cela ; elle ne peut pas relier les choses à la vérité.) C’est ce que c’est de ne pas comprendre la vérité. Une partie de ce qui vient d’être dit a mis le doigt sur le problème : Qu’est-ce que la vérité ? (La vérité peut permettre aux gens d’avoir un chemin pour pratiquer et d’agir avec des principes ; elle peut résoudre les difficultés des gens.) C’est vrai. Se comparer aux vérités-principes et pratiquer selon elles – c’est le chemin. Cela prouve que c’est une compréhension de la vérité. Si tu ne fais que comprendre la doctrine, et quand quelque chose t’arrive, tu ne peux pas l’appliquer, et tu ne peux pas trouver les principes, alors ce n’est pas une compréhension de la vérité. Qu’est-ce que la vérité ? La vérité comprend les principes et les critères pour faire toutes choses. N’est-ce pas ainsi ? (Si.) Quand Je dis que vous ne comprenez pas la vérité, Je dis que vous vous éloignez des sermons en ne connaissant que la doctrine. Vous ne savez pas quels sont les principes et les critères de la vérité qui s’y trouvent, ou en quoi ce qui vous arrive implique cet aspect de la vérité, ou les états qui l’impliquent, et vous ne savez pas non plus comment appliquer cet aspect de la vérité. Vous ne connaissez aucune de ces choses. Disons, par exemple, que vous avez posé une question. Que vous posiez la question signifie que vous ne comprenez pas la vérité pertinente. La comprendrez-vous après avoir échangé à ce sujet ? (Oui.) Vous pouvez comprendre un peu après l’échange mais si vous ne parvenez pas à la comprendre quand une chose similaire vous arrive à nouveau, ce n’est pas une vraie compréhension de la vérité. Tu ne connais pas les principes et les critères de cette vérité ; tu ne les saisis pas. Il y a peut-être une vérité que tu penses avoir comprise – mais quant aux réalités auxquelles elle s’adresse et aux états de l’homme qu’elle vise, si tu l’as comprise, peux-tu alors mesurer ton propre état à l’aune de la vérité ? Si tu ne le peux pas, et que tu ne sais jamais quel est ton véritable état, alors est-il une compréhension de la vérité ? (Non.) Ce n’est pas une compréhension de la vérité. Quand il s’agit d’un aspect de la vérité et des principes, si tu connais les questions et les états qui impliquent cette vérité, et les types de personnes ou lesquels de tes propres états se rapportent à cette vérité, et tu es également capable d’utiliser cette vérité pour les résoudre, alors cela signifie que tu comprends la vérité. Si tu sens que tu comprends un sermon pendant que tu l’entends, mais que lorsque tu es invité à échanger, tu ne fais que répéter les mots que tu as entendus, incapable d’en parler et d’expliquer en termes d’états et de situations réelles, as-tu une compréhension de la vérité ? Non, ce n’est pas cela. Alors, comprenez-vous la vérité la plupart du temps ou pas ? (Nous ne la comprenons pas.) Pourquoi ? Parce qu’avec la plupart des vérités, vous vous éloignez du fait de les entendre en ayant seulement compris la doctrine. Tout ce que vous pouvez faire est de vous y conformer en tant que règlement ; vous ne savez pas comment l’appliquer de manière flexible. Quand quelque chose t’arrive, tu es stupéfait ; quand quelque chose t’arrive, tu ne peux pas utiliser ce peu de doctrine que tu as compris sur le terrain – c’est inutile. Est-ce une compréhension de la vérité ou pas ? (Ça ne l’est pas.) Ceci n’est pas comprendre la vérité. Si tu ne comprends pas la vérité, que devrais-tu faire alors ? Tu dois t’efforcer de t’élever et de prendre la peine de la comprendre. Il y a certaines choses qui doivent être là dans ton humanité : tu dois être consciencieux et méticuleux dans ce que tu apprends et dans ce que tu fais. Si tu aimerais poursuivre la vérité mais que tu n’as pas la conscience et la raison des gens normaux, alors tu ne pourras jamais comprendre la vérité, et ta foi est confuse. Cela ne dépend pas de ton calibre ; cela dépend seulement du fait que tu possèdes ou non ce genre d’humanité. Si tu le fais, alors même si ton calibre est moyen, tu peux toujours comprendre des vérités rudimentaires. Cela touche au moins à la vérité. Et si tu es de très bon calibre, alors ce que tu comprends peut concerner des niveaux profonds de la vérité, auquel cas tu pourras y entrer plus profondément. Ceci est lié à ton calibre. Mais s’il n’y a pas d’attitude de soin et de minutie dans ton humanité, et que tu es toujours vague et incertain, confus, toujours dans une condition obscure – trouble, floue et superficielle concernant toutes les questions, alors pour toi, la vérité sera toujours les règlements et la doctrine. Tu ne seras pas capable de la gagner. En M’entendant dire cela, pensez-vous maintenant qu’il est difficile de poursuivre la vérité ? Il y a un degré de difficulté, mais cela peut être un grand degré ou un petit degré. Si tu réfléchis et que tu fais l’effort, le degré de difficulté diminuera, et tu gagneras quelques vérités ; si tu ne fais aucun effort pour la vérité, mais seulement pour la doctrine et les pratiques extérieures, alors tu ne pourras pas gagner la vérité.

Avez-vous compris l’essentiel grâce à Mon échange systématique sur ces vérités ? Êtes-vous arrivés à quelques réalisations ? N’y a-t-il pas plus de détails sur les choses dans une souche de la vérité qu’il n’y en a dans le corpus de connaissances de n’importe quel cours universitaire ? (Si.) Il y a tellement de détails. Les gens peuvent saisir la substance de l’apprentissage avec seulement quelques années d’efforts, grâce à une pratique constante et à une expérience pratique, à condition qu’ils puissent les mémoriser et les comprendre. En apprenant une matière académique, on peut progressivement la maîtriser simplement en y consacrant du temps et de l’énergie, et en y réfléchissant un peu. Mais pour comprendre la vérité, il ne suffit pas d’utiliser ton cerveau – tu dois utiliser ton cœur. Si tu ne réfléchis pas aux paroles de Dieu avec ton cœur ou ne les expérimentes pas avec ton cœur, tu ne seras pas capable de comprendre la vérité. Seules les personnes qui ont une compréhension spirituelle, qui sont consciencieuses et qui ont une capacité de compréhension peuvent atteindre la vérité ; celles qui n’ont pas de compréhension spirituelle, qui sont de mauvais calibre et qui manquent de capacité de compréhension ne pourront jamais l’atteindre. Êtes-vous des gens inattentifs ou êtes-vous méticuleux ? (Nous sommes des gens inattentifs.) N’est-ce pas dangereux ? Pouvez-vous être méticuleux ? (Nous le pouvons.) C’est une bonne chose ; J’aime l’entendre. Ne dites pas en permanence que vous ne le pouvez pas – comment le saurez-vous tant que vous n’aurez pas essayé ? Vous devriez en être capables. Avec votre détermination et votre attitude actuelles dans votre poursuite, il y a de l’espoir que vous compreniez les vérités fondamentales. C’est réalisable. Tant qu’une personne est disposée à utiliser son cœur et à payer un prix, et qu’elle travaille dur vers la vérité dans son cœur, le Saint-Esprit Se mettra à l’œuvre et la perfectionnera. Si elle ne travaille pas dur vers la vérité dans son cœur, alors le Saint-Esprit n’œuvrera pas. Rappelez-vous : pour qu’une personne comprenne la vérité, elle doit faire des efforts de manière proactive et payer un prix, mais cela ne peut réaliser que la moitié des résultats souhaités ; cela ne peut réaliser que la partie avec laquelle les gens devraient coopérer. L’autre moitié est la partie cruciale de la compréhension de la vérité où les gens échouent, et où ils doivent compter sur l’œuvre et le perfectionnement du Saint-Esprit pour y parvenir. Vous ne devez pas oublier que, même s’il suffit de compter sur le fait de fournir des efforts quand il s’agit d’acquérir des connaissances et d’apprendre la science, comprendre la vérité ne fonctionne pas ainsi. Il est inutile de compter uniquement sur l’esprit – il faut utiliser son cœur et il faut en payer le prix. Qu’est-ce qui est atteint en payant un prix ? L’œuvre du Saint-Esprit. Mais quel est le fondement de l’œuvre du Saint-Esprit ? L’esprit d’une personne doit être suffisamment méticuleux ; son cœur doit être suffisamment calme et posé, et suffisamment sincère, avant que Dieu n’œuvre. L’œuvre du Saint-Esprit est subtile, et ceux qui y ont goûté le savent. Les gens qui font fréquemment des efforts vers la vérité peuvent souvent ressentir l’éclairage du Saint-Esprit, de sorte que leur chemin de pratique dans l’accomplissement de leur devoir soit fluide et qu’il y ait une clarté de plus en plus grande dans leur cœur. Les gens sans expérience ne peuvent pas sentir l’œuvre du Saint-Esprit et ne peuvent jamais voir le bon chemin. Toutes les questions sont floues et obscures pour eux ; ils ne savent pas ce qu’est la bonne méthode. En fait, il n’est pas difficile de parvenir à une compréhension de la vérité et de voir clairement le chemin de pratique : si l’on a dans son cœur ces conditions, le Saint-Esprit œuvrera. Mais si ton cœur sort de ces conditions, tu ne seras pas capable de détecter l’œuvre du Saint-Esprit. Ce n’est pas abstrait ou vague. Si tu es dans ces états et que ton cœur est dans ces conditions, si tu cherches, fais des efforts, réfléchis et pries, le Saint-Esprit œuvrera en toi. Mais si tu es distrait, toujours désireux de poursuivre un statut et de lutter pour la gloire et le gain, toujours désireux de faire des histoires et d’appliquer tes efforts pour la forme – si tu esquives, te caches, évites et rejettes Dieu en permanence, en n’étant pas sincère, avec un cœur qui ne Lui est pas ouvert, le Saint-Esprit n’œuvrera pas, Il ne fera pas attention à toi, et Il ne te réprimandera même pas. Quelle vérité peut comprendre quelqu’un qui n’a même pas expérimenté la réprimande du Saint-Esprit ? Parfois, le Saint-Esprit te réprimande pour que tu saches la bonne et la mauvaise façon de faire quelque chose. Quand Il te donne un sentiment comme celui-là, qu’est-ce que tu en retires finalement ? Tu auras acquis la capacité de discerner le bien du mal, et tu seras tout à fait lucide à ce sujet, en un coup d’œil : « Cette voie est erronée – ce n’est pas conforme aux principes. Je ne peux pas faire ça. » Avec cela, tu sauras clairement ce que sont les principes, et l’intention de Dieu, et ce qu’est vraiment la vérité, et ainsi, tu sauras ce que tu dois faire. Mais si le Saint-Esprit n’œuvre pas, s’Il ne te donne pas une telle discipline, tu seras à jamais dans un état confus, sans clarté, quand il s’agit de telles choses. Quand elles t’arriveront, tu seras abasourdi ; quand elles t’arriveront, tu ne sauras pas ce qui se passe, et dans ton cœur, tu seras très confus – tu ne sauras pas clairement ce qu’il faut faire. Tu débordes peut-être d’anxiété – mais pourquoi le Saint-Esprit ne Se met-Il pas à l’œuvre ? Peut-être que certains états en toi ne sont pas corrects et que tu résistes. Avec quoi résistes-tu ? Si tu t’accroches à une opinion ou une notion erronée, Dieu n’œuvrera pas, mais Il attendra que tu réalises que cette notion ou cette opinion est fausse. Le Saint-Esprit n’œuvrera qu’à partir de cette fondation. Lorsque le Saint-Esprit œuvre, Il ne Se contente pas de te faire savoir, consciemment, ce qui est bien et ce qui est mal. Au lieu de cela, Il te permet de voir clairement ce que sont le chemin, la direction et le but, et à quel point ta compréhension est éloignée de la vérité. Il te le fait savoir clairement. Avez-vous eu de telles expériences ? Si quelqu’un a cru en Dieu pendant dix ou vingt ans sans avoir été confronté à de telles expériences spécifiques, quel genre de personne est-il ? Une personne inattentive. Il ne peut offrir que quelques doctrines et devises souvent répétées verbalement, et ne peut résoudre les problèmes qu’avec ses quelques stratégies et ses techniques simples. Pour cela, il est destiné à faire peu de progrès – il ne comprendra jamais la vérité et le Saint-Esprit n’œuvrera pas en lui. Avec des gens aussi inattentifs, pour qui la vérité est entièrement hors de portée, ils ne peuvent pas la comprendre, même si le Saint-Esprit les éclaire. Et ainsi, le Saint-Esprit n’œuvrera pas en eux. Pourquoi ? Dieu a-t-Il Ses favoris ? Non. Quelle est alors la raison ? Parce que leur calibre est trop pauvre, et c’est hors de leur portée. Ils ne comprennent pas la vérité, même si le Saint-Esprit œuvre ; si on leur disait que quelque chose est un principe, auraient-ils la capacité de le comprendre ? Non. Alors, Dieu ne le fera pas. Avez-vous été confrontés à cela ? La vérité est impartiale. Au fur et à mesure que tu la poursuis, au fur et à mesure que tu y plonges, le Saint-Esprit œuvrera, et tu la gagneras. Mais si tu es paresseux et que tu convoites le réconfort, et que tu es réticent à faire un effort avec la vérité, le Saint-Esprit n’œuvrera pas et tu ne pourras pas gagner la vérité, qui que tu sois. Tu comprends maintenant ? Êtes-vous actuellement à la poursuite de la vérité ? Quiconque la poursuit la gagne, et ceux qui gagnent finalement la vérité deviendront des trésors. Ceux qui ne peuvent pas la gagner peuvent les envier, en vain : s’ils ratent cette chance, elle disparaîtra.

Quelle est la meilleure période pour poursuivre la vérité ? Il s’agit de la période où Dieu accomplit une œuvre dans la chair, parle et échange avec toi face à face, te conseille et t’aide. Pourquoi est-ce que Je dis que c’est la meilleure période ? Parce que l’œuvre et la parole de Dieu incarné peuvent complètement te permettre de comprendre les intentions du Saint-Esprit et de connaître la façon dont le Saint-Esprit œuvre. Dieu incarné est capable de comprendre les principes, les modèles, les voies et les moyens de l’œuvre du Saint-Esprit dans son intégralité, et Il t’en parle, de sorte que tu n’aies pas à les chercher toi-même à tâtons. Prends ce raccourci et tu seras capable de les atteindre immédiatement. Lorsque Dieu incarné cessera de parler et qu’Il aura terminé Son œuvre, tu devras toi-même chercher cela à tâtons. Il n’y a personne qui pourrait remplacer cette chair incarnée, qui pourrait explicitement te dire ce qu’il faut faire, et où te diriger, et le genre de route à prendre. Il n’y a personne qui pourrait te dire ces choses ; aussi spirituel que quelqu’un puisse être, il ne pourrait pas le faire. Il y a des exemples de cela. C’est exactement comme avec les croyants en Jésus, qui croient depuis deux mille ans : certains d’entre eux font maintenant un pas en arrière pour lire l’Ancien Testament et observer la loi ; et certains portent des croix, accrochent encore les dix commandements dans leur chambre, et observent les règlements et les commandements. Qu’ont-ils gagné au bout du compte ? Le Saint-Esprit a œuvré, mais sans paroles explicites, on les a laissés avancer à tâtons. Que signifie l’absence de mots explicites ? Cela signifie que ce que les gens cherchent à tâtons et ce qu’ils obtiennent n’est pas concluant. Il n’y a personne qui puisse te donner la certitude, en disant que c’est bien pour toi de faire ceci et mal de faire cela. Il n’y a personne qui puisse te le dire. Même si le Saint-Esprit t’éclaire et que tu crois que c’est juste, Dieu approuve-t-Il alors ? Tu n’es pas certain non plus, n’est-ce pas ? (Non.) Ces paroles du Seigneur Jésus, qu’Il a laissées derrière Lui il y a deux mille ans et qui ont été consignées dans la Bible – maintenant, deux mille ans plus tard, ceux qui croient au Seigneur ont offert des explications de toutes sortes sur la question de Son retour, et personne ne connait réellement l’explication exacte. C’est donc une grande pression pour eux d’accepter cette étape de l’œuvre. Qu’est-ce que cela montre ? Qu’avec ces mots équivoques qui ne sont pas explicitement donnés, dix personnes ont dix explications, et cent personnes en ont cent. Chacun a ses propres justifications et arguments. Quelle explication est exacte ? Tant que Dieu ne parle pas ou n’offre pas de conclusion, rien de ce que l’homme dit n’a d’importance. Quelle que soit la taille de ta confession, le nombre de ses membres, est-ce que cela compte pour Dieu ? (Non.) Dieu ne regarde pas ta force. Même si personne au monde ne peut accepter ce que Dieu fait, c’est juste, et c’est la vérité. C’est un fait éternel et immuable ! Toutes religions et confessions l’expliquent de différentes manières, et que se passe-t-il au bout du compte ? Ton explication est-elle d’une quelconque utilité ? (Non.) Dieu la réfute d’une seule phrase. Cependant, tu continues à l’expliquer, Dieu te remarquera-t-Il ? (Non.) Pourquoi Dieu ne te remarquera pas ? Dieu a commencé une nouvelle œuvre, qui dure maintenant depuis près de trente ans. Fera-t-Il attention à ces gens, peu importe la façon dont ils vocifèrent avec arrogance ? (Non.) Il n’y prêtera aucune attention. Les gens dans la religion diraient : « Sans que Tu ne fasses attention à eux, ces gens ne peuvent-ils pas être sauvés ? » Le fait est que les paroles de Dieu ont depuis longtemps tout clarifié, et ce qu’Il dit va de soi. Peu importe combien de membres compte le monde religieux, cela ne servira à rien ; aussi nombreux soient-ils, cela ne prouve pas qu’ils détiennent la vérité. Dieu fait ce qu’Il devrait ; là où Il devrait commencer, c’est là qu’Il commence ; celui qu’Il devrait choisir, c’est celui qu’Il choisit. Est-Il influencé et contraint par le monde religieux ? (Non.) Pas le moins du monde. C’est l’œuvre de Dieu. Et pourtant, l’humanité corrompue veut raisonner avec Dieu et Lui offre des explications toute la journée – est-ce utile ? Ils s’emparent même des paroles de la Bible pour les interpréter à leur guise – ils les sortent clairement de leur contexte et veulent même s’y accrocher toute leur vie, attendant que Dieu les réalise. Ils rêvent ! Si quelqu’un ne cherche pas la vérité dans les paroles de Dieu et souhaite toujours demander à Dieu de faire telle ou telle chose, cette personne a-t-elle encore de la raison ? Qu’essaie-t-elle de faire ? Veut-elle se révolter ? Veut-elle lutter avec Dieu ? Quand le grand désastre s’abattra, tout le monde sera abasourdi ; ils pleureront et hurleront, en vain. N’est-ce pas ainsi que cela va se passer ? Si.

La meilleure période, c’est maintenant – c’est le moment où Dieu sauve les gens et les perfectionne. N’attendez pas le jour où vous aurez manqué cette période, puis réfléchirez : « Que signifie ce que Dieu a dit ? Il aurait mieux valu demander à l’époque, maintenant je ne peux plus demander. Alors, je prierai simplement ; le Saint-Esprit œuvrera, c’est la même chose. » En sera-t-il de même ? (Non.) Si c’était le cas, alors les gens qui ont cru au Seigneur pendant ces deux mille ans ne seraient pas comme ils sont. Regardez simplement les paroles écrites par les soi-disant saints au cours de la première moitié du deuxième millénaire – comme elles sont superficielles, comme elles sont pitoyables ! Il y a maintenant un livre épais d’hymnes que les gens de toutes les religions et confessions chantent, et ces hymnes ne parlent que de la grâce de Dieu et du fait d’être bénis – seulement ces deux choses. Est-ce la connaissance de Dieu ? Non, ça ne l’est pas. Y a-t-il un peu de vérité là-dedans ? (Non.) Ils savent simplement que Dieu aime les gens du monde. Il y a un dicton qui est toujours là dans le monde, qui ne change jamais : « Dieu est amour. » C’est la seule phrase qu’ils connaissent. Eh bien, comment Dieu aime-t-Il les gens ? Dieu les abandonne maintenant et les élimine – est-Il toujours amour ? Comme ils le voient, non – plus maintenant. Ils Le condamnent ainsi. Que cet homme ne poursuive pas la vérité et ne puisse pas la comprendre, c’est la chose la plus pitoyable. Il y a une si bonne opportunité à l’heure actuelle. Dieu S’est incarné pour exprimer la vérité et sauver les gens personnellement. Ce serait tellement dommage, si tu ne poursuivais pas la vérité et ne la gagnais pas. Si tu l’avais poursuivie, et que tu l’avais fait avec énergie, mais que tu n’avais pas réussi à la comprendre en fin de compte, tu aurais la conscience tranquille – au moins tu n’auras pas renoncé à toi-même. Avez-vous maintenant commencé votre poursuite ? L’accomplissement d’un devoir compte-t-il comme la poursuite de la vérité ? Cela compte comme une sorte de coopération, mais en termes de réalisation d’une poursuite de la vérité, de compter comme une poursuite de la vérité, ce n’est pas encore ça. C’est simplement une forme de comportement, une sorte d’action – c’est posséder une attitude de poursuite de la vérité. Alors, comment quelque chose peut-il donc compter comme une poursuite de la vérité ? Tu dois commencer par comprendre la vérité. Si tu ne comprends pas la vérité, et ne prends rien au sérieux, et que tu te débrouilles dans ton devoir, et fais tout ce que tu veux, sans jamais chercher la vérité ou prêter attention aux vérités-principes, seras-tu alors capable de comprendre la vérité ? Si tu ne comprends pas la vérité, comment peux-tu la poursuivre ? N’est-ce pas correct ? (Ça l’est.) Quel genre de personnes sont celles qui ne poursuivent pas la vérité ? Ce sont des idiots. Alors, comment poursuit-on donc la vérité ? On doit commencer par la comprendre. Est-ce ardu de comprendre la vérité ? Non, ça ne l’est pas. Commencez par les environnements avec lesquels vous entrez en contact et le devoir que vous accomplissez, et pratiquez et entraînez-vous selon les vérités-principes. Faire cela montre que tu as commencé à suivre la route de la poursuite de la vérité. Tout d’abord, à partir de ces principes, commence à chercher, à réfléchir, à prier et à gagner un éclairage petit à petit – cet éclairage que tu gagnes est la vérité que tu devrais comprendre. Cherche d’abord la vérité dans l’accomplissement de ton devoir et poursuis l’action selon les vérités-principes. Toutes ces choses sont inséparables de la vie réelle : les personnes, évènements et choses que tu rencontres dans la vie, et les questions qui relèvent de ton devoir. Commence par ces questions et parviens à une compréhension des vérités-principes – tu auras alors l’entrée dans la vie.

Le 23 octobre 2019

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