9. La vérité ne peut être gagnée dans la religion

Par Millie, Taiwan

Dès l’enfance, j’ai suivi mes parents dans la croyance au Seigneur et j’ai poursuivi ma croyance avec zèle. J’ai participé activement à toutes les activités de l’Église, quelles qu’elles soient. Je donnais la dîme – un dixième de mes revenus, et je participais toujours au ministère de l’Église. Du fait de cela, je suis devenue une diaconesse de l’Église, puis, à 30 ans, une ancienne de l’Église. Mais même après de nombreuses années de croyance, quelque chose me perturbait encore. J’avais lu ces paroles du Seigneur Jésus : « Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui suit la volonté de Mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs Me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par Ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par Ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par Ton nom ? Alors Je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité » (Matthieu 7:21-23). Ces paroles m’avaient troublée. N’étions-nous pas les gens qui prêchaient et travaillaient au nom du Seigneur et qui appelaient « Seigneur, Seigneur » ? Pourquoi le Seigneur disait-Il qu’Il ne connaissait pas ces gens et qu’ils étaient des malfaiteurs ? Qu’on travaille dur pour Lui de cette manière n’était-ce pas là Son intention ? Alors quelle était l’intention du Seigneur ? Je n’avais jamais trouvé de réponse.

Un jour de mars 2020, une sœur m’a invitée à écouter un sermon sur Internet. J’ai pensé : « On ne peut pas aller à l’église pendant la pandémie, il est donc bon que j’écoute. » J’ai accepté avec joie. Pendant cette réunion en ligne, Sœur Maureen a échangé sur ce que signifiait vierges sages et vierges folles, ce qu’était Christ, la question de savoir si le royaume des cieux était au ciel ou sur la terre, et plus encore. J’ai trouvé qu’elle parlait très bien de ces choses. C’étaient des problèmes sur lesquels je n’arrivais pas à échanger clairement dans mes sermons, alors son échange m’a beaucoup intéressée. Elle a aussi dit : « Nous autres croyants au Seigneur espérons tous entrer dans le royaume des cieux, mais quel genre de personne peut y entrer ? » Puis elle a lu ces versets de la Bible : « Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui suit la volonté de Mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs Me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par Ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par Ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par Ton nom ? Alors Je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité » (Matthieu 7:21-23). Elle a ajouté : « Le Seigneur dit que les croyants ne peuvent pas tous entrer dans le royaume des cieux. Seuls ceux qui suivent la volonté de Dieu peuvent y entrer. Alors que signifie suivre la volonté de Dieu ? Beaucoup de gens pensent que tant qu’ils accomplissent leur ministère, lisent la Bible, prient et font beaucoup de bonnes actions, ils suivent la volonté de Dieu et que, lorsque le Seigneur reviendra, ils entreront dans le royaume. Ce point de vue est-il correct ? S’accorde-t-il avec l’intention de Dieu ? Les pharisiens du judaïsme ont parcouru la mer et la terre pour faire un seul converti, et ils faisaient beaucoup de bonnes actions, mais quand le Seigneur Jésus est venu et a exprimé de nombreuses vérités, ils ne L’ont pas reconnu comme étant le Seigneur. Ils Lui ont résisté frénétiquement et L’ont condamné, et L’ont même cloué sur la croix, devenant finalement des malfaiteurs. Nous pouvons voir que suivre la volonté du Père céleste n’est pas seulement prêcher l’Évangile, lire la Bible, prier et faire de bonnes actions, comme nous l’imaginons. Ce n’est qu’un aspect de ce qu’un chrétien doit faire. Alors que signifie suivre la volonté du Père céleste, au juste ? La Bible dit : “Pour que vous soyez saints ; car je suis saint(Lévitique 11:45). “Sans la sanctification, personne ne verra le Seigneur(Hébreux 12:14). Cela nous montre que ce que Dieu exige des gens, c’est qu’ils atteignent la sainteté et se libèrent du péché. Cela signifie, qu’ils soient capables de se soumettre à Dieu, d’écouter Ses paroles, de ne plus pécher, résister à Dieu, ni Le trahir, et qu’ils soient capables de se soumettre à Son œuvre et de l’accepter, même quand elle ne s’accorde pas avec les notions humaines. Seules de telles personnes suivent la volonté de Dieu, et resteront dans le royaume de Dieu. Même si nous croyons au Seigneur, renonçons à des choses et nous dépensons pour Lui, il nous arrive souvent de mentir et de pécher, il y a souvent de la jalousie et des querelles entre collaborateurs. Quand nous sommes confrontés à des désastres et des maladies, nous continuons de nous plaindre de Dieu, de Le juger et même de Le trahir. Est-ce vraiment suivre la volonté de Dieu ? » Après son échange, j’ai eu une révélation soudaine : suivre la volonté n’est pas lié au fait que nous soyons apparemment occupés, mais cela dépend de notre capacité à écouter Ses paroles, à nous soumettre à Lui, et à arrêter de pécher et de Lui résister. Mais on pèche encore souvent, on vit dans un cycle de péchés et de confessions. On n’a pas échappé au péché, et on ne peut pas pratiquer la parole de Dieu et, quand il se passe quelque chose qui ne nous satisfait pas, on en veut au Seigneur et on se plaint de Lui. On ne suit pas du tout la volonté de Dieu.

Après cela, Maureen échangeait quelques mots avec moi à chaque réunion. Je trouvais que ce qu’elle disait était bon, et nouveau, et semblait très brillant. Peu à peu, j’ai commencé à adorer ces réunions et à attendre la suivante avec impatience. C’est à ce moment-là que j’ai découvert que les sermons que je prêchais, ainsi que ceux de nombreux pasteurs, n’étaient que des formules et des doctrines dont on se servait pour encourager les gens. En toute honnêteté, on n’avait aucune compréhension de Dieu ni de la vérité. Mais quand je rencontrais des frères et sœurs sur Internet et écoutais leur échange, je l’appréciais vraiment et me sentais nourrie, et j’éprouvais aussi un sentiment de liberté et de libération. Je pouvais poser des questions si je ne comprenais pas les Écritures ou si j’ignorais quelque chose, et on me donnait toujours des réponses. Je n’avais jamais gagné autant dans les réunions de mon église.

Au cours d’une réunion, Maureen m’a envoyé un passage à lire : « J’étais autrefois connu comme l’Éternel. J’ai aussi été appelé le Messie, et les gens M’ont déjà appelé Jésus le Sauveur, avec amour et estime. Aujourd’hui, cependant, Je ne suis plus l’Éternel ou Jésus que les gens ont connu dans le passé ; Je suis le Dieu qui est revenu dans les derniers jours, le Dieu qui mettra fin à l’ère. Je suis le Dieu Lui-même qui Se lève des extrémités de la terre, rempli de tout Mon tempérament et plein d’autorité, d’honneur et de gloire. Les gens ne sont jamais entrés en relation avec Moi, ne M’ont jamais connu et ont toujours ignoré Mon tempérament. Depuis la création du monde jusqu’à aujourd’hui, personne ne M’a vu. C’est le Dieu qui apparaît à l’homme dans les derniers jours, mais qui est caché parmi les hommes. Il vit parmi les hommes, vrai et réel, comme le soleil brûlant et la flamme vive, rempli de pouvoir et débordant d’autorité. Il n’y a pas une seule personne ou chose qui ne sera pas jugée par Mes paroles, et pas une seule personne ou chose qui ne sera pas purifiée par le feu ardent. Finalement, toutes les nations seront bénies grâce à Mes paroles et aussi brisées en pièces à cause de Mes paroles. De cette façon, tous les peuples au cours des derniers jours verront que Je suis le Sauveur revenu et que Je suis le Dieu Tout-Puissant qui conquiert toute l’humanité. Et tous verront que J’ai déjà été le sacrifice d’expiation pour l’homme, mais que dans les derniers jours Je deviens aussi les flammes du soleil qui incinère toutes choses, ainsi que le Soleil de justice qui révèle toutes choses. Telle est Mon œuvre dans les derniers jours. J’ai pris ce nom et J’ai ce tempérament afin que tous les gens puissent voir que Je suis un Dieu juste, le Soleil brûlant et la flamme vive, et afin que tous M’adorent, l’unique vrai Dieu, et afin qu’ils voient Ma vraie face : Je ne suis pas seulement le Dieu des Israélites, et Je ne suis pas seulement le Rédempteur ; Je suis le Dieu de toutes les créatures dans les cieux, sur la terre et dans les mers » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le Sauveur est déjà revenu sur une « nuée blanche »). Après m’avoir fait lire ce passage, Maureen m’a demandé : « Qui a dit ça, à ton avis ? » Je me suis empressée de relire le passage. Je sentais que ces paroles avaient de l’autorité et du pouvoir, et dans les mots « Je suis le Dieu Tout-Puissant qui conquiert toute l’humanité », je percevais la majesté de Dieu. J’étais sûre que Dieu avait prononcé ces paroles, parce qu’aucun humain ne pourrait dire ces choses. Aucune célébrité, aucun grand homme ni aucun dirigeant religieux ne pourrait prononcer ces mots. J’ai répondu à Maureen : « Clairement, c’est Dieu qui a dit ça, parce que seul Dieu Lui-même sait ce que Dieu fera et qu’aucune personne n’oserait dire : “J’étais autrefois connu comme l’Éternel. J’ai aussi été appelé le Messie, et les gens M’ont déjà appelé Jésus le Sauveur, avec amour et estime.” » Alors elle s’est écriée avec enthousiasme : « Amen ! C’est la voix de Dieu ! Ceux qui peuvent reconnaître la voix de Dieu sont des vierges sages et sont bénis. » Comme je n’avais jamais lu ces paroles dans la Bible, je me suis demandé d’où elles venaient. C’est à ce moment-là qu’elle m’a dit que le Seigneur Jésus était revenu en tant que Dieu Tout-Puissant, le Sauveur. Dieu Tout-Puissant avait déjà ouvert le rouleau et rompu les sept sceaux, ces paroles venaient du rouleau et elles étaient la vérité exprimée par Dieu dans les derniers jours. Cette nouvelle m’a emplie de joie et j’ai pensé : « Le rouleau a été ouvert ? Alors je dois me dépêcher de lire la parole de Dieu ! » Elle a poursuivi son échange en disant : « Le Seigneur Jésus revient dans les derniers jours. Il apparaît et œuvre sous le nom de “Dieu Tout-Puissant”. Il a exprimé de nombreuses vérités et Il accomplit l’œuvre du jugement en commençant par la maison de Dieu, qui consiste à purifier et sauver complètement les gens. Ce n’est qu’en acceptant le jugement et le châtiment dans la parole de Dieu qu’on peut se débarrasser du péché et de la corruption et être purifiés. Ce n’est qu’alors que nous pouvons être sauvés et entrer dans le royaume des cieux. Le nouveau nom de Dieu dans les derniers jours, Dieu Tout-Puissant, accomplit les prophéties de l’Apocalypse : “Je suis l’alpha et l’oméga, […] celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant(Apocalypse 1:8). “Alléluia ! Car le Seigneur notre Dieu tout puissant est entré dans son règne(Apocalypse 19:6). L’Éternel, Jésus et Dieu Tout-Puissant sont les noms de Dieu. Même si Dieu porte un nom différent à chaque ère, Il est un seul Dieu et un seul Esprit. » Je ne me suis rendu compte qu’après avoir entendu cet échange que le nouveau nom de Dieu dans les derniers jours avait été prophétisé dans l’Apocalypse il y a longtemps, ce que je n’avais pas remarqué. Je savais juste que Dieu était intrinsèquement tout-puissant. Il ne m’était jamais venu à l’esprit que « Dieu Tout-Puissant » serait le nom dont Dieu Se servirait quand Il reviendrait dans les derniers jours. J’étais ravie et enthousiaste. Il s’avère que Dieu est déjà revenu et Il est Dieu Tout-Puissant ! Elle m’a aussi dit : « Dieu Tout-Puissant est apparu et a commencé à œuvrer en 1991, il y a 30 ans. Dieu Tout-Puissant a exprimé des millions de paroles de vérité, qui sont toutes postées publiquement sur Internet. Aujourd’hui, Ses paroles se sont répandues d’Est en Ouest, dans de nombreux pays à travers le monde. De plus en plus de gens entendent la voix de Dieu et acceptent l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours. Cela accomplit pleinement la prophétie du Seigneur Jésus : “Comme l’éclair part de l’orient et se montre jusqu’en occident, ainsi sera l’avènement du Fils de l’homme(Matthieu 24:27). » Il se trouvait que l’Éclair Oriental était l’apparition et l’œuvre de Dieu. Quelques années plus tôt, j’avais lu dans le journal que l’Éclair Oriental témoignait du retour du Seigneur. À l’époque, la plupart des pasteurs et des anciens le condamnaient et ne laissaient pas les croyants écouter les prêches de l’Éclair Oriental, j’avais alors pensé que ce n’était pas le vrai chemin. Je ne l’avais ni cherché ni étudié, et je n’avais évidemment pas lu la parole de Dieu Tout-Puissant. Je n’aurais jamais imaginé que Dieu Tout-Puissant était le Seigneur Jésus revenu, qu’Il était apparu et avait œuvré pendant 30 ans. Ça m’a rendue anxieuse et je me suis sentie très en retard, et j’ai donc eu envie de lire davantage la parole de Dieu. Grâce aux réunions et aux échanges sur la parole de Dieu avec Maureen, j’ai mieux compris, au bout d’un certain temps, pourquoi Dieu devait venir incarné pour œuvrer dans les derniers jours. J’ai aussi appris comment Il Se servait de Ses paroles pour accomplir l’œuvre du jugement, comment on devait faire l’expérience de Son jugement pour être purifiés et entrer dans le royaume des cieux, et plus encore. Dieu Tout-Puissant a révélé tous ces mystères et exprimé tant de vérités, ce qui accomplit la prophétie du Seigneur Jésus : « Quand viendra l’Esprit de vérité, Il vous conduira dans toute la vérité » (Jean 16:13). J’ai été encore plus certaine que Dieu Tout-Puissant était la seconde venue du Seigneur Jésus. Après ça, ma sœur m’a envoyé un recueil des paroles de Dieu. J’ai lu la parole de Dieu chaque jour et j’y ai trouvé une nourriture spirituelle.

Après cela, j’ai participé à un maximum de réunions possibles. Mais les heures de réunions tombaient souvent en même temps que les offices auxquels j’assistais encore dans mon église. Je me suis demandé : « Devrais-je quitter mon église ? » Sauf que j’étais une ancienne depuis 18 ans. C’étaient des mandats de quatre ans et mon mandat actuel devait encore durer plus d’un an. Que penseraient de moi mes frères et sœurs si je quittais l’église au milieu de mon mandat ? Penseraient-ils que je m’en allais avec désinvolture et que je n’avais aucune loyauté envers le Seigneur ? Mais alors je me suis demandé si je devais rester dans la religion dès lors que le Seigneur était revenu. Je savais très bien que ce que les pasteurs disaient en chaire ne pouvait plus nourrir les croyants. Ils discutaient encore et encore des signes et des miracles du Seigneur Jésus, et ils parlaient souvent d’imiter le Seigneur, d’aimer son prochain, de faire preuve de patience, et ainsi de suite. Les pasteurs prêchaient depuis des décennies ces vieilles formules et doctrines usées, et je n’étais pas non plus capable de nourrir mes frères et sœurs. Je savais très bien que le monde religieux était dévasté depuis quelque temps. Alors que je réfléchissais à cela, j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, je veux quitter l’église, mais j’ai encore des doutes. Je m’inquiète de ce que mes frères et sœurs diront de moi. Ô Dieu, que dois-je faire ? Guide-moi, s’il Te plaît. » Après avoir prié, j’ai pensé à ce que dit la Bible : « Les jours viennent, […] Où j’enverrai la famine dans le pays, Non pas la disette du pain et la soif de l’eau, Mais la faim et la soif d’entendre les paroles de l’Éternel » (Amos 8:11). « Et moi, je vous ai refusé la pluie, Lorsqu’il y avait encore trois mois jusqu’à la moisson ; J’ai fait pleuvoir sur une ville, Et je n’ai pas fait pleuvoir sur une autre ville ; Un champ a reçu la pluie, Et un autre qui ne l’a pas reçue s’est desséché » (Amos 4:7). J’ai pensé aux sept ans de famine d’Israël, quand il n’y avait rien à manger et que les frères de Joseph étaient tous allés en Égypte pour lui demander de la nourriture. À présent, le monde religieux tout entier souffrait de la famine, était privé de l’œuvre du Saint-Esprit. Mais dans l’Église de Dieu Tout-Puissant, je mangeais et buvais les paroles actuelles de Dieu, ce que je gagnais était une vraie lumière et la direction claire du Saint-Esprit. Si je ne me dépêchais pas de rattraper, je serais éliminée par l’œuvre du Saint-Esprit. J’avais trouvé l’Église qui avait l’œuvre du Saint-Esprit, j’avais entendu la voix de Dieu et accueilli le Seigneur, alors je ne devais pas rester dans cette religion désolée. Après ça, je ne suis pas allée à l’église, sauf quand elle me planifiait du travail. Mais comme j’étais une ancienne, j’allais y faire mes dévotions de temps à autre.

Un jour, six mois plus tard, j’ai regardé une pièce de théâtre sur Internet, « Un choix judicieux ». L’histoire m’a profondément émue. Le personnage principal, Li Mingzhi, était un fonctionnaire du gouvernement. Après avoir accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours, il avait compris certaines vérités. Il avait réfléchi à ses années passées au service du PCC, et à la manière dont il avait fait le mal en le suivant. Il s’était rendu compte qu’il suivait une voie menant à la ruine, et avait clairement vu qu’il ne pouvait gagner la vérité et la vie qu’en suivant Christ et en se dépensant pour Dieu. Il avait alors prié Dieu, en disant qu’il était bien décidé à démissionner de son poste et à se dévouer à Lui. Quand sa femme l’avait découvert, elle s’y était fermement opposée, puis sa famille avait essayé de le forcer à arrêter de croire en Dieu. Il n’avait pas cédé quand il avait été harcelé ainsi, il avait débattu avec eux et, finalement, il avait résolument démissionné de son poste et choisi de suivre Dieu. Alors j’ai pensé à ma situation. Si je restais dans la religion au lieu de suivre Dieu de tout mon cœur, je ne gagnerais jamais la vérité et je serais éliminée par Dieu. De plus, grâce aux réunions et aux échanges sur les paroles de Dieu au cours de cette période, je voyais de plus en plus clairement le fait que le monde religieux résistait à Dieu. Je sentais que Dieu me guidait et qu’il était temps que je quitte la religion.

L’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours s’était diffusée à Taïwan depuis des années. À cette époque, les paroles de Dieu Tout-Puissant avaient été publiées dans les journaux, mais les cercles religieux de Taïwan avaient déclaré conjointement qu’ils boycottaient l’Éclair Oriental, et beaucoup de pasteurs avaient aussi signé cette déclaration. Ces pasteurs savaient depuis longtemps que le Seigneur était revenu, mais ils n’avaient pas cherché ni étudié, ni n’avaient pas annoncé aux autres la nouvelle du retour du Seigneur. Ils s’étaient même alliés pour résister à Dieu et empêcher la diffusion de l’Évangile du Règne de Dieu à Taïwan. Ҫa m’a rappelé les grands prêtres, les scribes et les pharisiens d’il y a deux mille ans. Ils avaient clairement vu que les paroles et l’œuvre du Seigneur Jésus avaient de l’autorité et du pouvoir, mais ils n’avaient pas admis que le Seigneur Jésus était le Messie, parce qu’ils avaient eu peur que tous les croyants Le suivent, ce qui leur aurait fait perdre leur statut et leurs revenus. Par conséquent, ils avaient inventé des rumeurs pour juger et condamner le Seigneur Jésus. Il se passe la même chose dans le monde religieux d’aujourd’hui. Les pasteurs craignent que tout le monde croie en Dieu Tout-Puissant et arrête d’aller à l’église, que plus personne ne donne d’offrandes et qu’ils n’aient plus de salaire. Alors, pour conserver leur statut et leurs revenus, ils condamnent l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours, tous ensemble, et y résistent. Ҫa m’a rappelé ce que le Seigneur Jésus a dit quand Il a maudit les pharisiens : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. […] Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte ; et, quand il l’est devenu, vous en faites un fils de la géhenne deux fois plus que vous » (Matthieu 23:13-15). Ces pasteurs du monde religieux savent clairement que le Seigneur est revenu et qu’Il a exprimé de nombreuses vérités, mais ils ne font pas de recherche ni n’enquêtent à ce sujet, et ils induisent les autres en erreur, leur interdisent d’explorer la nouvelle œuvre de Dieu et empêchent les croyants d’accueillir le Seigneur. Ces dirigeants religieux sont si haïssables ! Ce ne sont pas de véritables disciples du Seigneur, ce sont des pharisiens modernes.

Au cours d’une réunion, j’ai lu ces paroles de Dieu Tout-Puissant : « Il y a ceux qui lisent la Bible dans des églises imposantes et la récitent toute la journée, mais pas un seul d’entre eux ne comprend le but de l’œuvre de Dieu. Aucun d’entre eux n’est capable de connaître Dieu et encore moins capable d’être en accord avec Ses intentions. Ils sont tous des gens vils et inutiles, ils se placent en hauteur pour sermonner Dieu. Ils s’opposent à Dieu délibérément même lorsqu’ils portent Sa bannière. Affirmant qu’ils croient en Dieu, ils mangent tout de même la chair de l’homme et boivent son sang. Tous ces gens sont des diables qui dévorent l’âme de l’homme, des chefs démons qui perturbent intentionnellement ceux qui tentent d’emprunter la bonne voie, et des pierres d’achoppement qui entravent le chemin de ceux qui cherchent Dieu. Ils peuvent paraître de “bonne constitution”, mais comment leurs disciples sauront-ils qu’ils ne sont nul autre que des antéchrists qui mènent l’homme à s’opposer à Dieu ? Comment leurs disciples sauront-ils qu’ils sont des démons vivants qui se dévouent à dévorer des âmes humaines ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Tous les gens qui ne connaissent pas Dieu s’opposent à Dieu). En méditant cette parole de Dieu, j’ai pris conscience que les pasteurs du monde religieux étaient payés grâce aux offrandes que les frères et sœurs faisaient à Dieu, mais qu’ils empêchaient les gens de se tourner vers Lui et, du coup, gâchaient leur chance d’accueillir le Seigneur et d’entrer dans le royaume des cieux. Ne sont-ils pas juste des diables qui dévorent les âmes des gens ? J’ai aussi pensé au fait que les églises avaient suspendu tous les offices en raison de la pandémie. Pendant une réunion, les pasteurs avaient suggéré de vendre les récoltes des frères et sœurs devant le bureau de notre comité de manière à les aider à augmenter leurs revenus, de sorte qu’ils puissent continuer à payer leur dîme. Cette idée m’avait mise hors de moi et j’avais objecté fermement. J’avais dit : « En tant que pasteurs, vous devriez vous soucier de la vie des gens. Comment pouvez-vous ne vous intéresser qu’à l’argent ? » Le secrétaire général m’avait répondu : « Quand l’église suspend les réunions, les offrandes des frères et sœurs diminuent, ce qui réduit nettement le revenu de l’église. » J’ai vu que les pasteurs ne se souciaient que de leur salaire et de leur revenu, et non pas d’abreuver les frères et sœurs ni de renforcer leur foi. Ils étaient les pharisiens hypocrites dont le Seigneur Jésus a parlé. Ils convoitaient les offrandes que les frères et sœurs offraient à Dieu et ne se souciaient pas de leur vie. Ils empêchaient aussi les gens d’accueillir le Seigneur et essayaient de conserver une forte emprise sur les croyants. J’ai vu plus clairement le vrai visage des pasteurs. Ces pasteurs religieux n’étaient que des antéchrists qui reniaient Dieu et Lui résistaient. Après de nombreuses années de croyance au Seigneur, je les avais enfin discernés. Je m’étais enfin réveillée. J’ai remercié Dieu pour Sa miséricorde et pour m’avoir offert la chance d’entendre Sa voix et d’accepter Son œuvre dans les derniers jours. Sans ça, j’aurais fait le mal et résisté à Dieu avec les pasteurs, et j’aurais perdu ma chance de salut.

Plus tard, j’ai vu une vidéo de lecture de la parole de Dieu Tout-Puissant : « À ce jour, comprenez-vous vraiment ce que sont la croyance en la religion et la foi en Dieu, en réalité ? Y a-t-il une différence entre la croyance en la religion et la foi en Dieu ? Où est la différence ? Avez-vous fait toute la lumière sur ces questions ? Quel genre d’individus sont ceux qui croient habituellement en la religion ? Sur quoi se concentrent ces gens ? Comment la croyance en la religion doit-elle être définie ? La croyance en la religion est la reconnaissance qu’il y a un Dieu, et ceux qui croient en la religion apportent certains changements à leur comportement : ils ne frappent pas les gens et ils ne les insultent pas, ils ne font pas de mauvaises choses qui nuisent aux gens, ils ne commettent pas de crimes, quels qu’ils soient, et ils n’enfreignent pas la loi. Le dimanche, ils vont à l’Église. Ces gens-là sont des croyants en la religion. Cela signifie que bien se conduire et assister souvent aux assemblées est la preuve que l’on croit en la religion. Quand quelqu’un croit en la religion, il reconnaît qu’il y a un Dieu, et il pense que croire en Dieu, c’est être une bonne personne. Tant qu’il ne pèche pas et n’agit pas mal, il pourra aller au ciel quand il mourra et il aura une bonne fin. Sa foi constitue pour lui une nourriture sur le plan spirituel. En tant que telle, la croyance en la religion peut aussi être définie ainsi : croire en la religion, c’est reconnaître, dans son cœur, qu’il y a un Dieu, c’est croire qu’on pourra aller au ciel quand on mourra, c’est avoir dans le cœur un pilier spirituel, c’est changer un peu son comportement et être une bonne personne. Cela ne va pas plus loin. Quant à savoir si le Dieu auquel ces gens croient existe ou non, s’Il peut ou non exprimer la vérité, ce qu’Il leur demande, ces gens n’en ont aucune idée. Ils déduisent et imaginent tout cela en se basant sur les enseignements de la Bible. C’est cela, la croyance en la religion. La croyance en la religion est principalement la poursuite des changements comportementaux et de la nourriture spirituelle. Mais le chemin que suivent de telles personnes – le chemin de la poursuite des bénédictions – n’a pas changé. Leurs points de vue erronés, leurs notions et leur imagination au sujet de la foi en Dieu n’ont pas changé. Le fondement de leur existence, les objectifs et la direction qu’ils poursuivent dans leur vie, sont basés sur les idées et les opinions de la culture traditionnelle et n’ont absolument pas changé. Tel est l’état de tous ceux qui croient en la religion. Alors, qu’est-ce que la foi en Dieu ? Quelle définition Dieu donne-t-Il de la foi en Dieu ? (C’est la croyance en la souveraineté de Dieu.) C’est la croyance en l’existence de Dieu et en Sa souveraineté. C’est cela qui est le plus fondamental. Croire en Dieu, c’est écouter les paroles de Dieu, c’est exister, vivre, accomplir son devoir et se livrer à toutes les activités d’une humanité normale, comme les paroles de Dieu le demandent. Cela implique que croire en Dieu, c’est suivre Dieu, faire ce que Dieu demande, vivre comme Il le demande. Croire en Dieu, c’est suivre la voie de Dieu. Les objectifs et la direction de la vie des gens qui croient en Dieu ne sont-ils pas complètement différents de ceux des gens qui croient en la religion ? Qu’implique la foi en Dieu ? Elle implique de savoir si, oui ou non, les gens sont capables d’écouter les paroles de Dieu, d’accepter la vérité, de se débarrasser des tempéraments corrompus, de tout abandonner pour suivre Dieu, et d’être loyaux dans leurs devoirs. Ces choses ont un rapport direct avec le fait de savoir si ces gens peuvent ou non être sauvés. Vous connaissez maintenant la définition de la foi en Dieu. Alors, comment doit-on pratiquer la foi en Dieu ? Que demande Dieu à ceux qui croient en Lui ? (Qu’ils soient des gens honnêtes et qu’ils poursuivent la vérité, la transformation de leur tempérament et la connaissance de Dieu.) Quelles exigences Dieu a-t-Il en ce qui concerne le comportement apparent des gens ? (Il demande que les gens soient pieux, qu’ils ne soient pas dissolus et qu’ils vivent une humanité normale.) Les gens doivent avoir la bienséance élémentaire d’un saint et vivre une humanité normale. Alors, que doit-on posséder pour avoir une humanité normale ? Ceci est lié à de nombreuses vérités que l’on doit pratiquer en tant que croyant. Ce n’est qu’en possédant toutes ces vérités-réalités que l’on a une humanité normale. Quelqu’un croit-il en Dieu s’il ne pratique pas la vérité ? Quelles sont les conséquences quand on ne pratique pas la vérité ? Comment, au juste, les gens doivent-ils croire en Dieu pour atteindre le salut, se soumettre à Dieu et L’adorer ? Toutes ces choses sont liées à la pratique des paroles de Dieu et à la pratique de nombreuses vérités. Donc, on doit croire en Dieu conformément aux paroles et aux exigences de Dieu, et on doit pratiquer conformément à Ses exigences. Seul cela est la vraie foi en Dieu. Cela permet d’aller au fond de la question. Pratiquer la vérité, suivre les paroles de Dieu et vivre selon les paroles de Dieu : c’est cela, le bon chemin de la vie humaine. La foi en Dieu se rapporte au chemin de la vie humaine. La foi en Dieu se rapporte à de nombreuses vérités, et les disciples de Dieu doivent comprendre ces vérités. Comment pourraient-ils suivre Dieu s’ils ne comprenaient pas et n’acceptaient pas la vérité ? Les gens qui croient en la religion ne font que reconnaître qu’il y a un Dieu et croire en l’existence d’un Dieu, mais ils ne comprennent pas ces vérités et ils ne les acceptent pas, de sorte que les gens qui croient en la religion ne sont pas des disciples de Dieu. Pour croire en la religion, il suffit de bien se comporter en apparence, d’être modéré, de respecter les règlements et d’avoir une nourriture spirituelle. Si une personne se comporte bien et qu’elle dispose d’un pilier et de nourriture pour son esprit, son chemin dans la vie change-t-il ? (Non.) Certaines personnes disent que la croyance en la religion et la foi en Dieu sont la même chose. Ces personnes suivent-elles Dieu, alors ? Croient-elles en Dieu conformément à Ses exigences ? Ont-elles accepté la vérité ? Si quelqu’un ne croit à aucune de ces choses, alors il ne croit pas en Dieu et il n’est pas un disciple de Dieu. La façon la plus évidente dont cette croyance en la religion se manifeste chez quelqu’un, c’est par un manque d’acceptation de l’œuvre actuelle de Dieu et de la vérité qu’Il exprime. Voilà le trait qui caractérise ceux qui croient en la religion. Ce ne sont pas du tout des disciples de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut être sauvé par la croyance en la religion ou par la participation aux cérémonies religieuses). Ces paroles de Dieu sont si vraies ! J’ai pensé à moi, dans la religion, sans l’œuvre du Saint-Esprit ni l’abreuvement et l’approvisionnement des paroles actuelles de Dieu. Je n’avais pu que me conformer à des règles et des rites religieux, et faire quelques bonnes actions superficielles. Quand je voyais qu’un frère ou une sœur étaient négatifs, je les soutenais et j’apposais souvent les mains sur eux et priais, et je participais activement au ministère, estimant que c’était conforme à l’intention de Dieu. Je n’ai compris qu’après avoir lu les paroles de Dieu que c’était croire en la religion, et non croire en Dieu. Ce n’étaient que de bonnes actions apparentes ; je ne pratiquais pas les paroles de Dieu et ne me soumettais pas à Lui, et ça ne changerait pas mon tempérament. Je pensais que nous pouvions échanger notre dur travail contre une bonne destination et contre notre salut, mais ce n’était qu’une douce illusion, et cela ne s’accordait pas avec l’intention de Dieu. Je me suis aussi souvenue que j’avais souvent dit à mes frères et sœurs de poursuivre et de travailler dur pour le Seigneur, que lorsque nous irions au ciel, nous gérerions cinq ou dix villes. Après avoir lu la parole de Dieu, j’ai compris que mes prêches étaient absurdes et irréalistes. Aucun de nous n’avait éprouvé le jugement de Dieu dans les derniers jours, nous n’avions pas été purifiés de nos tempéraments corrompus, et nous n’étions absolument pas dignes d’entrer dans le royaume de Dieu. L’idée selon laquelle lorsque nous irions au ciel, nous gérerions cinq ou dix villes n’est que pure imagination. Pour les croyants en Dieu, les bonnes actions apparentes ne suffisent pas. La clé, c’est de faire l’expérience de l’œuvre et des paroles de Dieu, de changer notre tempérament, de nous soumettre à Dieu et de Le vénérer. Voilà ce qui s’accorde avec l’intention de Dieu. J’ai compris que ma croyance au Seigneur avait été confuse, et que ce n’était pas quelque chose que Dieu louerait. Si je continuais à croire en Dieu et à participer à des réunions dans la religion, je ne gagnerais jamais la vérité. Mais alors j’ai pensé que j’avais un poste en tant qu’ancienne, que je devais donc toujours aller à l’église. Si je quittais l’église, je serais sûrement rejetée et méprisée, les autres ne me respecteraient pas et penseraient que je n’étais pas loyale envers le Seigneur. Cette pensée m’a fait hésiter. J’ai aussi songé à leur dire que j’avais accueilli le Seigneur et accepté Dieu Tout-Puissant, mais je savais que dès que je le dirais, je serais persécutée et entravée par les pasteurs et les autres collaborateurs. J’ai longuement réfléchi. Je savais que je quitterais la religion tôt ou tard, mais je ne savais pas comment présenter ma démission. J’ai souvent prié et cherché avec Dieu à ce sujet.

Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu Tout-Puissant : « Dieu cherche ceux qui désirent ardemment qu’Il apparaisse. Il cherche ceux qui sont capables d’entendre Ses paroles, ceux qui n’ont pas oublié Sa commission et Lui offrent leur cœur et leur corps. Il cherche ceux qui sont aussi soumis que des enfants devant Lui et ne Lui résistent pas. Si tu te consacres à Dieu sans être empêché par aucune puissance ni aucune force, alors Dieu te regardera avec faveur et t’accordera Ses bénédictions. Si tu as une haute position, une réputation honorable, possédant de grandes connaissances, détenteur d’actifs abondants et soutenu par beaucoup de gens, ces choses ne t’empêchent pas pour autant de venir devant Dieu pour accepter Son appel et Sa commission, ni de faire ce qu’Il te demande, alors tout ce que tu feras relèvera de la cause la plus significative sur terre et de l’entreprise la plus juste de toute l’humanité. Si tu rejettes l’appel de Dieu pour ton statut et tes propres objectifs, tout ce que tu fais sera maudit et même méprisé par Lui » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que j’avais hésité plusieurs fois à quitter l’église parce que je n’arrivais pas à renoncer à ma position d’ancienne. En raison de mon statut, mes frères et sœurs m’admiraient et me respectaient. Ils me traitaient différemment et ils pensaient toujours à moi quand il y avait quelque chose dont je pouvais tirer profit. L’idée de perdre tout ça en quittant l’église m’inquiétait. Je désirais le statut et convoitais ses bénéfices. Ce n’était pas le bon chemin et ça déplaisait à Dieu. J’ai clairement compris que je devais me délivrer des chaînes du statut. Si je ne changeais pas les choses, j’emprunterais le chemin de la résistance à Dieu. Ce n’était pas le résultat que je voulais. Je ne pouvais plus convoiter l’estime de mes frères et sœurs. Que les autres aient une haute opinion de moi ne comptait pas. Ce qui comptait, c’était que je puisse gagner l’approbation de Dieu. Je devais être loyale envers Dieu, pas envers le statut. Cette prise de conscience a renforcé ma détermination à quitter l’église.

Un dimanche, je suis allée à l’église comme d’habitude et, après l’office, j’ai dit à tout le monde que je quittais mon poste d’ancienne. Tous ont été surpris et ont essayé de me convaincre de rester. Après ça, certains pasteurs m’ont appelée, et dit qu’être une ancienne était un engagement auprès de Dieu qui ne pouvait être rompu. J’ai pensé : « Le Seigneur est revenu, Il a exprimé de nombreuses vérités et accompli une nouvelle œuvre. Dois-je quand même respecter cet engagement et ne pas accueillir le Seigneur ? » Je me suis souvenue que les grands prêtres, les scribes et les pharisiens servaient Dieu au temple toute l’année, mais quand le Seigneur Jésus était venu œuvrer, ils avaient condamné le Seigneur et Lui avaient résisté, et L’avaient cloué sur la croix. Était-ce là de la loyauté envers Dieu ? Ils n’étaient pas du tout loyaux envers Dieu. En réalité, ils Lui résistaient. Aujourd’hui, le Seigneur Jésus est revenu et a exprimé de nouvelles paroles. Si je respectais ce soi-disant engagement et restais dans l’église, si je ne suivais pas l’œuvre et les paroles actuelles de Dieu, alors je ne serais pas loyale envers Dieu ! J’ai pensé à cette parole du Seigneur Jésus : « Mes brebis entendent Ma voix ; Je les connais, et elles Me suivent » (Jean 10:27). Les brebis de Dieu doivent écouter Ses paroles et Le suivre sans hésiter. Alors, les pasteurs ont eu beau essayer de me convaincre, je n’ai pas vacillé. Je suis très reconnaissante à Dieu de m’avoir guidée hors de la religion, de m’avoir laissée manger et boire Ses paroles actuelles et de m’avoir accordé l’œuvre du Saint-Esprit, ce qui m’a permis d’éprouver du soulagement comme jamais auparavant. Délivrée de mon statut d’ancienne, j’ai cessé de prononcer des formules et des doctrines creuses depuis la chaire. À la place, je me suis concentrée sur le fait de m’équiper de la parole de Dieu Tout-Puissant, et j’ai trouvé chaque journée épanouissante et mon cœur était empli de joie.

La nouvelle selon laquelle j’avais quitté l’église s’est vite répandue. Deux mois plus tard, une sœur a posté une vidéo de l’Église de Dieu Tout-Puissant dans un groupe religieux en ligne, alors les pasteurs avaient commencé à verrouiller l’église. Ils avaient même diffusé un message disant que parce que quelqu’un avait quitté l’église, cette dernière devait prendre des précautions contre l’Éclair Oriental. J’ai été contrariée de l’apprendre et triste pour les pasteurs. J’ai été plus certaine que jamais que la plupart des pasteurs, dans la religion, n’aimaient pas la vérité. Par nature, ils ont de l’aversion pour la vérité et la haïssent. Ils croient connaître la Bible et Dieu mais, en réalité, ils sont les aveugles qui conduisent les aveugles dans le fossé. Il y a encore beaucoup de brebis de Dieu qui errent et n’accueillent pas le retour du Seigneur. Je devais leur prêcher l’Évangile du Règne, remplir mes responsabilités et rendre à Dieu Son amour. J’ai alors commencé à prêcher l’Évangile de Dieu des derniers jours. J’ai vu que ceux qui croyaient vraiment en Dieu retournaient vers Lui, les uns après les autres, ce qui m’a rendue très heureuse et enthousiaste. Je sens aussi que chaque journée est riche et pleine de sens. Je remercie Dieu de m’avoir guidée hors de la religion et de m’avoir laissée suivre Ses pas. Pour ça, je me sens vraiment bénie.

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