3. Comment discerner les faux dirigeants

Paroles de Dieu Tout-Puissant des derniers jours

Le travail d’un ouvrier qualifié peut amener les gens sur la bonne voie et leur accorder une meilleure entrée dans la vérité. Son travail peut amener les gens devant Dieu. En outre, le travail qu’il fait peut varier d’un individu à l’autre et n’est pas limité par des règles, accordant aux gens la libération et la liberté et la capacité de progresser graduellement dans la vie et d’avoir une entrée plus profonde dans la vérité. Le travail d’un ouvrier non qualifié est loin d’être suffisant ; son travail est stupide. Il n’a que des règlements à donner aux gens et ce qu’il exige des gens ne varie pas d’un individu à l’autre ; il ne travaille pas en fonction des besoins réels des gens. Dans ce type de travail, il y a trop de règlements et trop de doctrines, et cela ne peut pas amener les gens dans la réalité ni dans la pratique normale de la croissance dans la vie. Il ne peut que permettre aux gens d’adhérer à quelques règles sans valeur. Une telle direction ne peut qu’égarer les gens. Il te guide afin que tu deviennes comme lui ; il peut t’amener dans ce qu’il a et ce qu’il est. Les disciples peuvent discerner si les guides sont qualifiés en regardant la voie qu’ils empruntent et les résultats de leur travail, en considérant si les principes qu’ils reçoivent d’eux sont en accord avec la vérité et s’ils reçoivent des moyens de pratique appropriés à leur transformation. Tu devrais faire la distinction entre le travail différent de différents types de gens ; tu ne devrais pas être un disciple stupide. Cela a un rapport avec la question de l’entrée des gens. Si tu es incapable de faire la distinction entre un guide qui a une voie et un autre qui n’en a pas, tu seras facilement induit en erreur. Tout cela a une incidence directe sur ta propre vie.

– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et le travail de l’homme

Qu’est-ce qu’un faux dirigeant ? C’est indubitablement quelqu’un qui ne peut pas faire de travail concret, quelqu’un qui ne s’acquitte pas des devoirs qui sont les siens en tant que dirigeant. Le faux dirigeant ne fait aucun travail réel ou crucial ; il se contente de s’occuper de certaines affaires générales et de quelques tâches superficielles, des choses qui n’ont rien à voir avec l’entrée dans la vie ou la vérité. Quelle que soit la part de ce travail qu’il accomplit, l’accomplir n’est jamais significatif. C’est pourquoi ces dirigeants sont qualifiés de faux. Alors, comment discerner un faux dirigeant, exactement ? Commençons à présent notre dissection. Il faut d’abord préciser que la première responsabilité d’un dirigeant ou d’un ouvrier est d’amener les autres à manger et boire les paroles de Dieu, et d’échanger sur la vérité de manière à ce que les autres puissent la comprendre et entrer dans la vérité-réalité. C’est le critère le plus important pour vérifier si un dirigeant est vrai ou faux. Il faut voir s’il peut amener les autres à manger et boire les paroles de Dieu et à comprendre la vérité, et s’il peut utiliser la vérité pour résoudre les problèmes. C’est le seul critère qui permet de vérifier le calibre et la capacité de compréhension des paroles de Dieu d’un dirigeant ou d’un ouvrier, et s’il peut amener le peuple élu de Dieu à entrer dans la vérité-réalité. Si un dirigeant ou un ouvrier est capable de saisir purement les paroles de Dieu et de comprendre la vérité, il doit résoudre les notions et les produits de l’imagination des gens autour de la foi en Dieu, conformément aux paroles de Dieu, et les aider à comprendre l’aspect concret de l’œuvre de Dieu. Il doit également résoudre les difficultés concrètes rencontrées par le peuple élu de Dieu conformément à Ses paroles, et notamment les opinions erronées qu’il a dans sa foi ou les malentendus qu’il a dans l’accomplissement d’un devoir. Il se doit également d’appliquer les paroles de Dieu pour résoudre les problèmes qui se manifestent lorsque les gens sont confrontés à différentes épreuves et tribulations, et d’être en mesure d’amener le peuple élu de Dieu à comprendre et à pratiquer la vérité, et à entrer dans la réalité de Sa parole. Dans le même temps, il se doit de disséquer les divers tempéraments corrompus des gens à partir des états corrompus révélés dans les paroles de Dieu, afin que le peuple élu de Dieu puisse voir lesquels s’appliquent à lui, qu’il puisse atteindre la connaissance de lui-même et haïr Satan et se rebeller contre lui, permettant ainsi au peuple élu de Dieu de rester ferme dans son témoignage, de vaincre Satan et de rendre gloire à Dieu dans toutes sortes d’épreuves. Tel est le travail que les dirigeants et les ouvriers doivent faire. C’est le travail le plus fondamental, le plus crucial et le plus essentiel de l’Église. Si les personnes qui servent comme dirigeants ont la capacité de saisir les paroles de Dieu et le calibre nécessaire pour comprendre la vérité, elles seront non seulement capables de comprendre les paroles de Dieu et d’entrer dans leur réalité, mais aussi de guider, de diriger et d’aider ceux qu’elles dirigent pour leur permettre de comprendre les paroles de Dieu et d’entrer dans leur réalité. Or, le calibre nécessaire pour saisir les paroles de Dieu et comprendre la vérité est précisément ce qui manque aux faux dirigeants. Ils ne comprennent pas les paroles de Dieu, ils ne connaissent pas les tempéraments corrompus que les gens révèlent dans différentes circonstances et qui sont exposés dans Ses paroles ni les états qui produisent la résistance, la plainte et la trahison contre Dieu, et ainsi de suite. Les faux dirigeants ne sont pas capables de réfléchir sur eux-mêmes ou de relier les paroles de Dieu à eux-mêmes, ils ne comprennent qu’un peu de doctrine et quelques règles à l’issue d’une interprétation littérale des paroles de Dieu. Lorsqu’ils échangent avec les autres, ils se contentent de réciter quelques-unes de Ses paroles, puis d’en expliquer le sens littéral. Et ce faisant, ils pensent qu’ils échangent sur la vérité et qu’ils produisent un travail concret. Lorsque quelqu’un parvient à lire et à réciter les paroles de Dieu comme eux, ils pensent que la personne en question aime et comprend la vérité. Le faux dirigeant ne comprend les paroles de Dieu que dans leur sens littéral ; il ne comprend fondamentalement pas la vérité des paroles de Dieu et s’avère donc incapable de parler de la connaissance qu’il en a par l’expérience. Les faux dirigeants n’ont pas la capacité de saisir les paroles de Dieu ; ils ne peuvent en comprendre que le sens superficiel, et croient néanmoins ainsi saisir Ses paroles et comprendre la vérité. Ils se livrent quotidiennement à une interprétation littérale des paroles de Dieu pour conseiller et aider les autres, et croient que ce faisant, ils produisent du travail, et qu’ils amènent les gens à manger et boire les paroles de Dieu et à entrer dans leur réalité. Le fait est que, bien que les faux dirigeants échangent souvent avec les autres de cette manière autour des paroles de Dieu, ils sont incapables de résoudre le moindre problème réel, et le peuple élu de Dieu est laissé dans l’incapacité de pratiquer ou de faire l’expérience de Ses paroles. Ils ont beau assister aux réunions ou manger et boire les paroles de Dieu, ils ne comprennent toujours pas la vérité, ils n’ont pas non plus d’entrée dans la vie, et aucun d’entre eux n’est capable de parler de sa connaissance par l’expérience. Même s’il y a des personnes malfaisantes et des incrédules qui perturbent l’Église, personne n’est capable de les discerner. Lorsqu’un faux dirigeant voit un incrédule ou une personne malfaisante causer des perturbations, il n’exerce pas son discernement, mais déploie son amour et ses exhortations jusqu’à cet individu, demande aux autres d’être tolérants et patients à son égard, et se montre ainsi indulgent envers une personne qui continue à perturber l’Église. Cette attitude finit par rendre chaque aspect du travail de l’Église tout à fait stérile. Cela est dû à l’incapacité du faux dirigeant à produire un travail concret. Les faux dirigeants sont incapables d’utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, ce qui suffit à démontrer qu’ils n’ont pas la vérité-réalité. Lorsqu’ils parlent, ils se gargarisent de formules et de doctrines, et tout ce qu’ils disent aux autres de pratiquer n’est que doctrines et règles. Par exemple, lorsque quelqu’un se met à avoir une mauvaise compréhension de Dieu, les faux dirigeants lui diront : « Les paroles de Dieu ont déjà abordé tout cela : tout ce que Dieu fait, c’est le salut de l’homme, c’est l’amour. Regarde comme Ses paroles sont claires et explicites. Comment peux-tu encore mal Le comprendre ? » Tel est le genre d’enseignements que les faux dirigeants délivrent aux gens. Ils se gargarisent de formules et de doctrines pour admonester les gens, pour les contraindre et leur faire observer des règles. Ce n’est d’aucune efficacité et cela ne résout aucun problème. Les faux dirigeants ne savent parler qu’avec des formules et des doctrines pour guider les gens, ce qui fait croire à ces derniers que le fait qu’ils sachent prononcer des doctrines est le signe qu’ils sont entrés dans les vérités-réalités. Pourtant, lorsqu’ils rencontrent une difficulté, ils ne savent pas comment pratiquer, ils n’ont pas de chemin, et toutes les formules et les doctrines qu’ils ont comprises ne valent plus rien. Qu’est-ce que cela montre ? Cela montre que la compréhension des doctrines n’est d’aucune utilité et n’a aucune valeur. La doctrine est la seule chose que les faux dirigeants comprennent. Ils sont incapables d’échanger sur la vérité pour résoudre des problèmes ; leurs actes sont dénués de tout principe et, dans leur vie, ils se contentent de suivre quelques règles qu’ils jugent bonnes. Ces gens-là ne possèdent pas les vérités-réalités. C’est la raison pour laquelle, lorsque de faux dirigeants amènent des gens à manger et boire les paroles de Dieu, il n’y a pas d’effet véritable. Ils sont seulement capables de faire comprendre aux gens le sens littéral des paroles de Dieu, mais ne peuvent pas les aider à gagner l’éclairage des paroles de Dieu ou à comprendre les types de tempéraments corrompus qui sont les leurs. Les faux dirigeants ne comprennent pas quels sont les états des gens ou quel est le tempérament-essence que les gens révèlent dans telle ou telle situation, ni laquelle des paroles de Dieu doit être utilisée pour résoudre ces mauvais états et ces tempéraments corrompus, ni ce qui est dit à leur sujet dans les paroles de Dieu, ni les exigences et les principes des paroles de Dieu ou les vérités qui s’y trouvent. Les faux dirigeants ne comprennent rien à ces vérités-réalités. Ils se contentent de conseiller les gens en leur disant : « Mange et bois davantage des paroles de Dieu. Elles renferment la vérité. Tu comprendras quand tu auras lu davantage de Ses paroles. Et si tu ne comprends pas certaines d’entre elles, alors contente-toi de prier davantage, de chercher davantage et de réfléchir davantage. » C’est ainsi qu’ils conseillent les gens, et ils sont incapables de résoudre les problèmes en agissant de la sorte. Quelle que soit la personne qui rencontre un problème et qui vient les consulter, ils disent la même chose. Après quoi, la personne en question ne se connaît toujours pas elle-même et ne comprend toujours pas la vérité. Elle reste incapable de résoudre son propre problème réel, et de comprendre la façon dont elle devrait pratiquer les paroles de Dieu, et elle se contente d’adhérer au sens littéral des paroles de Dieu et aux règles. Elle ne comprend toujours pas les vérités-principes de la pratique des paroles de Dieu ni les réalités dans lesquelles elle devrait entrer. Tel est le produit du travail des faux dirigeants : pas un seul résultat concret.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (1)

Comment peut-on juger si un dirigeant s’acquitte des responsabilités des dirigeants et des ouvriers, ou s’il est un faux dirigeant ? Au niveau le plus fondamental, il faut regarder s’il est capable de faire un réel travail, s’il a ce calibre ou non. Ensuite, il faut voir s’il porte le fardeau pour bien faire ce travail. Ignorez à quel point les choses qu’ils disent semblent agréables et à quel point ils semblent comprendre les doctrines, et ignorez à quel point ils sont talentueux et doués lorsqu’ils s’occupent des affaires extérieures – ces choses ne sont pas importantes. Ce qui est le plus essentiel, c’est de savoir s’il est capable de mener à bien les aspects du travail les plus fondamentaux de l’Église, s’il peut résoudre les problèmes à l’aide de la vérité et s’il peut amener les gens à entrer dans la vérité-réalité. Voilà le travail le plus fondamental et essentiel. S’il est incapable de satisfaire ces aspects du travail réel, alors, quelle que soit la qualité de son calibre, la mesure de son talent, ou sa capacité à endurer des difficultés et à payer un prix, il s’agit quand même d’un faux dirigeant. Certains disent : « Tant pis s’il ne fait aucun travail réel actuellement. Il est de bon calibre et compétent. S’il se forme un moment, il deviendra forcément capable de faire un travail réel. De plus, il n’a rien fait de mal, et il n’a pas commis le moindre acte malfaisant ni provoqué d’interruptions ou de perturbations. Comment peux-Tu dire que c’est un faux dirigeant ? » Comment pouvons-nous expliquer cela ? Peu importe ton talent, le niveau de calibre et d’instruction que tu possèdes, le nombre de slogans que tu peux scander, ou le nombre de formules et de doctrines que tu saisis ; que tu sois débordé ou épuisé en fin de journée, quels que soient la distance que tu as parcourue, le nombre d’Églises que tu as visitées, ou les risques que tu prends et les souffrances que tu endures ; rien de tout cela n’a d’importance. Ce qui compte, c’est de savoir si tu accomplis ton travail conformément aux arrangements de travail, si tu mets en œuvre ces arrangements avec précision ; si, tant que tu es dirigeant, tu t’impliques dans chaque travail spécifique dont tu as la responsabilité, et le nombre de problèmes concrets que tu as effectivement résolus ; le nombre d’individus qui est parvenu à comprendre les vérités-principes sous ta direction et grâce à tes conseils, et la mesure dans laquelle le travail de l’Église a progressé et s’est développé. Ce qui compte, c’est de savoir si tu as obtenu ou non ces résultats. Indépendamment du travail spécifique dans lequel tu es engagé, ce qui compte, c’est que tu assures le suivi et l’orientation du travail de manière constante plutôt que de te comporter de façon hautaine et imposante et de donner des ordres. En plus de cela, ce qui compte également, c’est de savoir si tu as une entrée dans la vie lorsque tu fais ton devoir, si tu sais traiter les questions conformément aux principes, si tu possèdes un témoignage de mise en pratique de la vérité, et si tu es capable de gérer et de résoudre les problèmes réels auxquels est confronté le peuple élu de Dieu. Ces éléments, entre autres similaires, sont autant de critères permettant d’évaluer si un dirigeant ou un ouvrier s’est acquitté ou non de ses responsabilités.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (9)

Tous les faux dirigeants peuvent prêcher des formules et des doctrines, ils sont tous pseudo-spirituels, ils ne peuvent faire aucun travail concret, et ils ne comprennent pas la vérité alors même qu’ils croient en Dieu depuis de nombreuses années – on peut dire qu’ils n’ont aucune compréhension spirituelle. Ils pensent qu’être un dirigeant d’Église signifie qu’ils doivent simplement prêcher quelques formules et doctrines, scander quelques slogans, et expliquer un peu les paroles de Dieu pour que les gens comprendront alors la vérité. Ils ne savent pas ce que signifie travailler, ils ne savent pas quelles sont exactement les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, et ils ne savent pas pourquoi exactement la maison de Dieu choisit tel ou tel pour être dirigeant ou ouvrier, ni quels problèmes exactement cela est censé résoudre. Ainsi, la maison de Dieu a beau échanger sur le fait que les dirigeants et les ouvriers doivent assurer le suivi du travail, l’inspecter et le superviser, qu’ils doivent rapidement découvrir et résoudre les problèmes dans le travail, et ainsi de suite, ils n’assimilent rien de tout cela et ne le comprennent pas. Ils ne sont pas capables de répondre ou de satisfaire les exigences de la maison de Dieu envers les dirigeants et les ouvriers, et ils ne peuvent pas comprendre les problèmes liés aux compétences professionnelles propres à l’accomplissement des devoirs, ni ce qui a trait au principe de sélection des superviseurs, et ainsi de suite, et quand bien même ils ont connaissance de ces problèmes, ils ne sont toujours pas en mesure de s’en occuper. Par conséquent, sous la direction de ces faux dirigeants, toutes sortes de problèmes qui surviennent dans le travail de l’Église ne peuvent pas être résolus. Non seulement les problèmes liés aux compétences professionnelles que le peuple élu de Dieu rencontre en faisant ses devoirs, mais aussi les difficultés relatives à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, restent sans résolution pendant une période prolongée, et lorsque certains dirigeants et ouvriers ou superviseurs de divers travaux ne sont pas capables de faire un réel travail, ils ne sont pas rapidement renvoyés ou réaffectés, et ainsi de suite. Aucun de ces problèmes n’est résolu rapidement, si bien que l’efficience des diverses dimensions du travail dans l’Église ne cesse de diminuer et que l’efficacité du travail ne cesse de se dégrader. Pour ce qui est du personnel, ceux qui sont quelque peu doués et bons orateurs deviennent dirigeants et ouvriers, tandis que ceux qui aiment la vérité, qui sont capables de se plonger dans le dur labeur et de travailler sans relâche sans se plaindre, ceux-là ne sont pas promus ni cultivés, et sont traités comme des exécutants et certains membres du personnel technique qui possèdent des compétences spécifiques ne sont pas utilisés à bon escient. De plus, certaines personnes qui font leur devoir avec sincérité ne reçoivent pas la provision de vie, ce qui les fait sombrer dans la négativité et la faiblesse. De plus, quel que soit le mal commis par les antéchrists et les personnes malfaisantes, c’est comme si les faux dirigeants n’avaient rien vu. Lorsque quelqu’un expose une personne malfaisante ou un antéchrist, les faux dirigeants lui disent même qu’elle doit traiter cette personne avec amour et lui donner une chance de se repentir. En faisant cela, ils laissent les personnes malfaisantes et les antéchrists faire le mal et causer des perturbations dans l’Église, ce qui retarde beaucoup l’exclusion et l’expulsion de ces personnes malfaisantes, de ces incrédules et de ces antéchrists, qui peuvent alors continuer à faire le mal dans l’Église et à perturber le travail de l’Église. Les faux dirigeants sont incapables de gérer et de résoudre le moindre de ces problèmes ; ils sont incapables de traiter les gens équitablement ou d’arranger le travail de façon raisonnable, bien au contraire, ils se montrent imprudents, ils ne font que des tâches inutiles, si bien qu’ils sèment le désordre et le chaos dans le travail de l’Église. La maison de Dieu a beau échanger sur la vérité et souligner l’importance des principes qui doivent être respectés dans l’exécution du travail de l’Église – restreindre ceux qui doivent être restreints et exclure ceux qui doivent être exclus parmi les différentes sortes de malfaiteurs et d’incrédules, et promouvoir et cultiver les personnes dotées d’un bon calibre et d’une bonne capacité de compréhension, ainsi que les personnes capables de poursuivre la vérité qui doivent être promues et cultivées – elle a beau échanger d’innombrables fois sur ces choses, les faux dirigeants ne les comprennent pas ou ne les saisissent pas et s’accrochent continuellement à leurs points de vue pseudo-spirituels et à leurs approches « aimantes ». Les faux dirigeants croient que sous leur instruction patiente, chaque type de personne remplit sa propre fonction, de manière ordonnée, sans chaos, et que tout le monde a beaucoup la foi, que tout le monde est prêt à faire ses devoirs, que personne n’a peur d’aller en prison et d’affronter le danger, que chaque personne est déterminée à endurer la souffrance et n’est pas prête à être un Judas. Ils croient que faire régner une bonne atmosphère dans la vie de l’Église signifie qu’ils ont fait un bon travail. Que des personnes malfaisantes causent des perturbations, ou que des incrédules répandent leurs hérésies et leurs idées fausses dans l’Église, ils ne considèrent pas ces choses comme des problèmes et ne ressentent pas le besoin de les résoudre. Pour ce qui est d’une personne à laquelle ils ont confié un travail qui se montre imprudente, n’agit que selon son envie et perturbe le travail d’évangélisation, les faux dirigeants sont encore plus aveugles. Ils disent : « J’ai expliqué les principes du travail que je suis censé expliquer, et j’ai dit encore et encore à cette personne ce qu’elle devait faire. Si d’autres problèmes se présentent, ce n’est absolument pas de mon fait. » Cependant, ils ne savent pas si cette personne est une personne correcte, cela ne les préoccupe pas, et ils ne savent pas si ce qu’ils ont dit lorsqu’ils expliquaient et disaient à cette personne ce qu’elle devait faire peut produire des résultats positifs, ou les conséquences qui en découleront. Chaque fois que les faux dirigeants organisent une réunion, ils se lancent dans un flot ininterrompu de formules et de doctrines, mais il s’avère qu’ils sont incapables de résoudre le moindre problème. Et pourtant, ils croient toujours qu’ils font un excellent travail, ils sont toujours satisfaits d’eux-mêmes et se pensent formidables. En réalité, les formules et les doctrines qu’ils prononcent ne peuvent leurrer que les personnes confuses, stupides et idiotes qui sont ignorantes et de piètre calibre. Ces gens se sentent déroutés après avoir entendu ces paroles et sont persuadés que ce que les faux dirigeants ont dit est juste, que rien de ce qu’ils ont dit n’est faux. Les faux dirigeants ne peuvent satisfaire que ces personnes confuses, et demeurent fondamentalement incapables de résoudre les problèmes concrets. Bien sûr, les faux dirigeants sont encore moins capables de traiter les problèmes liés aux compétences et aux connaissances professionnelles – ils sont totalement impuissants dans ces domaines. Prenons par exemple le travail textuel de la maison de Dieu. C’est le travail qui cause le plus de maux de tête aux faux dirigeants. Ils sont incapables d’identifier précisément quelles personnes sont dotées d’une compréhension spirituelle et d’un bon calibre et qui sont aptes à faire le travail textuel, et ils considèrent toute personne dotée de lunettes et d’un haut niveau de diplôme comme dotée d’un bon calibre et d’une compréhension spirituelle, si bien qu’ils s’arrangent pour que ce soient ces gens-là qui le fassent, en leur disant : « Vous êtes tous doués pour le travail textuel. Je ne comprends pas ce travail, alors il repose entièrement sur vos épaules. Tout ce qu’exige de vous la maison de Dieu, c’est de mettre en pratique vos talents, de tout donner et mobiliser tout ce que vous avez appris. Vous devez apprendre à être reconnaissants et remercier Dieu de vous avoir élevés. » Après avoir prononcé quelques paroles inefficaces et superficielles, les faux dirigeants pensent que le travail a été organisé et qu’ils ont fait tout ce qu’ils avaient à faire. Ils ne savent pas si les personnes qu’ils ont prévues pour faire ce travail conviennent ou non, ni quelles sont les lacunes de ces personnes en matière de connaissances professionnelles, ni comment ils devraient y remédier. Ils ne savent pas comment voir et discerner les gens, ils ne comprennent pas les problèmes professionnels ni les connaissances liées à l’écriture – ils sont parfaitement ignorants de ces choses. Ils disent qu’ils ne comprennent pas ou ne saisissent pas ces choses, mais dans leur cœur, ils se disent : « N’êtes-vous pas un peu plus instruits et savants que moi ? Même si je ne peux pas vous guider dans ce travail, je suis plus spirituel que vous, je fais de meilleurs sermons que vous, et je comprends mieux les paroles de Dieu que vous. C’est moi qui vous dirige, je suis votre supérieur. Je dois être votre responsable, et vous devez faire ce que je dis. » Les faux dirigeants se considèrent comme supérieurs, alors qu’ils sont incapables de faire la moindre suggestion pertinente pour le moindre travail lié à des compétences professionnelles, et qu’ils ne sont pas non plus en mesure de donner des conseils en la matière. Au mieux, ils s’avèrent capables de bien arranger le personnel ; ils sont incapables de faire le moindre travail supplémentaire. Ils ne cherchent pas à acquérir de connaissances professionnelles et ils n’assurent pas le suivi du travail. Tous les faux dirigeants sont pseudo-spirituels ; tout ce qu’ils savent faire, c’est prêcher quelques formules et doctrines, se dire qu’ils comprennent la vérité et se vanter en permanence devant le peuple élu de Dieu. À chaque réunion, ils prêchent pendant des heures, et pourtant il s’avère qu’ils sont incapables de résoudre le moindre problème. Ils sont tout à fait ignorants devant les problèmes liés aux connaissances professionnelles rattachées aux devoirs des gens ; ce sont clairement des profanes, mais ils n’en prétendent pas moins être spirituels, dirigeant le travail des professionnels – comment peuvent-ils faire du bon travail dans ces conditions ? Les faux dirigeants qui ne cherchent pas à acquérir de connaissances professionnelles et qui ne sont pas capables de faire un réel travail dégoûtent déjà les gens, et par-dessus le marché, ils prétendent ensuite être des personnes spirituelles en faisant étalage de leurs paroles spirituelles, ce qui est un manque de raison ! Ce n’est pas différent des pharisiens. Là où les pharisiens manquaient le plus de raison, c’est que Dieu les détestait, et pourtant ils n’en étaient pas du tout conscients et se considéraient toujours comme des gens excellents et très spirituels. Les faux dirigeants sont eux aussi dépourvus de conscience de soi ; ils ne peuvent manifestement pas faire le moindre travail concret, et prétendent néanmoins être spirituels, ils deviennent des pharisiens hypocrites. Ce sont exactement ces gens-là que Dieu déteste, abandonne et élimine.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)

L’une des caractéristiques des faux dirigeants est leur incapacité à expliquer en profondeur ou à clarifier toute question liée aux vérités-principes. Si quelqu’un se présente à eux en recherche, ils ne peuvent lui dire que des formules et des doctrines creuses. Lorsqu’ils sont confrontés à des problèmes qui appellent une résolution, ils répondent souvent par une déclaration du genre : « Vous êtes tous des experts pour ce qui est de faire ce devoir. Si vous avez des problèmes, vous devez les résoudre par vous-mêmes. Ne me demandez rien ; je ne suis pas un spécialiste, et je ne comprends pas. Réglez cela par vous-mêmes. » Certaines personnes pourraient rétorquer : « Nous te demandons parce que nous ne pouvons pas résoudre le problème ; nous ne te demanderions rien si nous le pouvions. Nous ne comprenons pas ce problème lié aux vérités-principes. » Les faux dirigeants répondent : « Ne t’ai-je pas déjà dit les principes ? Fais bien tes propres devoirs, et ne provoque pas d’interruptions ou de perturbations. Qu’est-ce que tu demandes encore ? Occupe-t’en comme tu l’entends ! Les paroles de Dieu ont déjà été prononcées : Donne la priorité aux intérêts de la maison de Dieu. » Ces personnes sont ainsi abandonnées dans une confusion totale, et elles se disent : « Ce n’est pas là une solution au problème ! » Voilà la façon dont les faux dirigeants abordent le travail ; ils se contentent de l’inspecter, de le faire pour la forme, et ne s’attaquent jamais aux problèmes. Quels que soient les problèmes soulevés par les gens, les faux dirigeants leur disent de chercher la vérité par eux-mêmes. Ils demandent souvent aux gens : « As-tu des problèmes ? Comment se passe ton entrée dans la vie ? Est-ce que tu accomplis tes devoirs de manière superficielle ? » Alors, la personne répond, en disant : « De temps en temps, je me trouve dans un état superficiel, et par la prière, je le résous et j’inverse la situation, mais je ne comprends toujours pas les vérités-principes de l’exécution de mon devoir. » Les faux dirigeants disent : « N’ai-je pas échangé avec toi sur les principes en question lors de la dernière réunion ? Je t’ai même transmis plusieurs passages des paroles de Dieu. Ne devrais-tu pas avoir compris maintenant ? » En fait, ces gens comprennent toute la doctrine, mais ils n’en restent pas moins incapables de résoudre leurs problèmes. Les faux dirigeants se gargarisent même de paroles ronflantes : « Pourquoi n’arrives-tu pas à résoudre le problème ? Tu n’as tout simplement pas lu les paroles de Dieu assez attentivement. Si tu pries et lis davantage les paroles de Dieu, tous tes problèmes seront résolus. Vous devez apprendre à discuter et à trouver une solution ensemble, et vos problèmes finiront par être résolus. Pour ce qui est des questions professionnelles, ne me demandez rien, ma responsabilité est d’inspecter le travail. J’ai rempli ma tâche, et le reste porte sur des affaires professionnelles que je ne comprends pas. » Les faux dirigeants recourent souvent à des raisons et des excuses telles que « je ne comprends pas, je ne l’ai jamais appris, je ne suis pas un spécialiste », afin de se débarrasser des gens et d’esquiver les questions. Ils peuvent avoir l’air très humbles ; mais cela révèle en réalité un sérieux problème avec les faux dirigeants : ils n’ont aucune compréhension des difficultés liées aux connaissances professionnelles propres à certaines tâches, ils se sentent impuissants et se montrent extrêmement gênés et embarrassés. Que font-ils alors ? Ils ne peuvent que rassembler quelques passages des paroles de Dieu autour desquelles échanger avec tout le monde dans les réunions, et parler de certaines doctrines pour encourager les gens. Les dirigeants qui font preuve d’un peu de gentillesse peuvent se soucier des gens et leur demander de temps en temps : « Avez-vous rencontré des difficultés dans votre vie récemment ? Avez-vous assez de vêtements pour vous habiller ? Y en a-t-il parmi vous qui se sont mal comportés ? » Si tout le monde répond qu’aucun de ces problèmes ne se pose, ils répondent à leur tour : « Alors il n’y a pas de problème. Continuez votre travail, j’ai d’autres choses à faire », et s’en vont précipitamment, craignant que quelqu’un ne soulève des questions et ne leur demande d’y répondre, et les mette ainsi dans une situation embarrassante. C’est ainsi que fonctionnent les faux dirigeants ; ils ne peuvent résoudre aucun problème concret. Comment peuvent-ils effectuer efficacement le travail de l’Église ? En conséquence, l’accumulation de problèmes non résolus finit par entraver le travail de l’Église. C’est là une caractéristique et une manifestation remarquables du mode de fonctionnement des faux dirigeants.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)

Les faux dirigeants sont fondamentalement incapables de faire le travail essentiel et crucial de l’Église. Ils se contentent de gérer les plus simples des affaires courantes ; leur propre travail n’est ni déterminant ni décisif dans le travail de l’Église dans son ensemble, et il ne produit pas de résultats concrets. Leur échange ne traite en réalité que de banalités et de lieux communs, uniquement fait de formules et de doctrines répétées à l’envi, il est incroyablement creux, vague et imprécis. Leur échange ne contient que des choses que les gens pourraient comprendre eux-mêmes grâce à une simple lecture littérale. Ces faux dirigeants ne peuvent en aucun cas résoudre les problèmes réels que le peuple élu de Dieu rencontre dans son entrée dans la vie, et ils sont notamment encore moins capables de résoudre les notions, les produits de l’imagination et les révélations des tempéraments corrompus des gens. L’important est que les faux dirigeants ne peuvent tout simplement pas assumer le travail vital arrangé par la maison de Dieu, tel que le travail d’évangélisation, le travail de production de film ou le travail textuel. En particulier, lorsqu’il s’agit d’un travail qui implique des connaissances professionnelles, quand bien même les faux dirigeants sauraient parfaitement qu’ils sont novices en la matière, ils n’étudient pas, ils ne font pas de recherches, et ils sont encore moins capables de fournir aux autres une direction spécifique ou de résoudre les moindres problèmes liés à ces autres personnes. Pourtant, ils continuent sans vergogne à tenir des réunions, à parler sans cesse de théories creuses et à énoncer des formules et des doctrines. Les faux dirigeants savent très bien qu’ils ne peuvent pas faire ce genre de travail, mais ils prétendent tout de même être des experts, ils agissent avec prétention et recourent toujours à de belles doctrines pour réprimander les autres. Ils sont incapables de répondre aux questions de qui que ce soit, mais ils n’en trouvent pas moins des prétextes et des excuses pour réprimander les autres, en leur demandant pourquoi ils n’apprennent pas la profession, pourquoi ils ne cherchent pas la vérité et pourquoi ils sont incapables de résoudre leurs propres problèmes. Ces faux dirigeants, qui sont novices en la matière, et qui ne peuvent résoudre aucun problème, continuent à faire la leçon aux autres du haut de leur position. En apparence, ils semblent très occupés aux yeux des autres, comme s’ils étaient capables de faire beaucoup de travail et qu’ils étaient très compétents, mais en réalité, ils ne sont rien. Les faux dirigeants sont manifestement incapables de faire un travail réel, mais ils vont et viennent avec enthousiasme et disent toujours les mêmes platitudes dans les réunions, se répétant sans cesse, sans être capables de résoudre un seul problème concret. Les gens en ont assez et ne parviennent pas à en tirer la moindre édification. Ce genre de travail est terriblement inefficace et ne donne aucun résultat. C’est ainsi que les faux dirigeants travaillent et cela retarde le travail de l’Église. Pourtant, les faux dirigeants ont toujours l’impression de faire un travail important et d’être très compétents, alors qu’en réalité, ils n’ont pas bien fait un seul aspect du travail de l’Église. Ils ne savent pas si les dirigeants et les ouvriers placés sous leur responsabilité sont à la hauteur, ni si les dirigeants et les superviseurs des différentes équipes sont capables d’assumer leur travail, et ils ne se soucient pas ni ne demandent si des problèmes sont survenus dans l’accomplissement des devoirs des frères et sœurs. Bref, bien que les faux dirigeants ne puissent résoudre aucun problème dans leur travail, ils s’emploient à s’affairer avec énergie. Du point de vue des autres, les faux dirigeants sont capables d’endurer des souffrances, ils sont disposés à payer un prix et passent leurs journées à courir dans tous les sens. À l’heure du repas, il faut les appeler à table et ils se couchent très tard. Pourtant, les résultats de leur travail ne sont tout simplement pas bons. Si l’on ne regarde pas attentivement, on pourrait croire en apparence que toutes les tâches sont faites et que tout le monde est occupé à accomplir ses devoirs, mais si l’on observait soigneusement les choses de plus près, et si l’on inspectait sérieusement le travail, alors la situation réelle serait révélée. Toutes les dimensions du travail dont ils sont responsables sont un véritable fouillis, sans structure ni ordre. Dans chaque dimension du travail, on trouve des problèmes, voire des oublis. L’apparition de ces problèmes tient au fait que les faux dirigeants ne comprennent pas les vérités-principes et agissent à l’aune de leurs notions, des produits de leur imagination et de leur enthousiasme. Les faux dirigeants n’échangent jamais sur les vérités-principes et ne cherchent jamais la vérité pour résoudre les problèmes. Ils manquent manifestement de compréhension spirituelle et ne sont pas capables de faire un travail de direction, ils ne font que se gargariser de formules et de doctrines sans comprendre le moins du monde la vérité, le tout, en prétendant savoir des choses qu’ils ne savent pas et en essayant de se faire passer pour des spécialistes. Le travail qu’ils accomplissent n’est qu’un travail de routine. Lorsqu’un problème se présente, ils appliquent des règles aveuglément. Ils courent dans tous les sens, sans but et sans produire de résultats concrets. C’est parce que ces faux dirigeants ne comprennent pas les vérités-principes, parce qu’ils ne font que se gargariser de formules et de doctrines et conseiller aux autres de se plier aux règles, que l’avancement de chaque tâche du travail de l’Église est ralenti et qu’aucun résultat clair n’est atteint. La conséquence la plus évidente de la présence au travail d’un faux dirigeant depuis un certain temps est que la plupart des gens sont incapables de comprendre la vérité, qu’ils ne savent pas discerner à quel moment quelqu’un révèle de la corruption ou développe des notions, et qu’ils ne comprennent absolument pas les vérités-principes qui devraient être appliqués dans l’exécution de leurs devoirs. Ceux qui accomplissent leurs devoirs comme ceux qui ne les accomplissent pas sont tous paresseux, dénués de retenue, indisciplinés et dans une confusion sans nom. La plupart d’entre eux sont sans doute capables d’énoncer quelques formules et doctrines, mais dans l’exécution de leurs devoirs, ils ne font qu’observer les règles ; ils ne savent pas comment chercher la vérité pour résoudre les problèmes. Dans la mesure où les faux dirigeants ne savent pas eux-mêmes comment chercher la vérité pour résoudre les problèmes, comment pourraient-ils amener les autres à le faire ? Quoi qu’il arrive aux autres, les faux dirigeants ne peuvent que les encourager en disant : « Nous devons faire preuve de considération envers les intentions de Dieu ! » « Nous devons faire preuve de loyauté dans l’accomplissement de nos devoirs ! » « Quand il nous arrive quelque chose, nous devons savoir prier et chercher les vérités-principes ! » Les faux dirigeants scandent souvent ces slogans et ces doctrines, mais cela ne donne aucun résultat. Après les avoir entendus, les gens ne comprennent toujours pas ce que sont les vérités-principes, et ils n’ont pas de chemin de pratique. En apparence seulement, les gens prient lorsque des choses leur arrivent, ils souhaitent être loyaux dans l’exécution de leurs devoirs – mais ils manquent tous de compréhension sur divers sujets, tels que ce qu’ils devraient faire pour être loyaux, ou la façon dont ils devraient prier pour comprendre les intentions de Dieu, et la façon dont ils devraient chercher lorsqu’ils rencontrent un problème afin de gagner la compréhension des vérités-principes. Lorsque les gens posent la question aux faux dirigeants, ces derniers leur disent : « Lorsque quelque chose vous arrive, lisez davantage les paroles de Dieu, priez davantage, et échangez davantage sur la vérité. » Alors, les gens leur demandent : « Quels principes ce travail concerne-t-il ? », et ils leur répondent : « Les paroles de Dieu ne disent rien sur les questions professionnelles, et je ne comprends pas non plus cet aspect du travail. Faites vos propres recherches si vous souhaitez comprendre – ne me demandez rien. Je vous guide dans la compréhension de la vérité, pas dans le domaine professionnel. » C’est pour esquiver les questions que les faux dirigeants ont recours à ce genre de paroles. En conséquence, bien que la plupart des gens aient le désir brûlant de faire leurs devoirs, ils ne savent pas comment agir conformément aux vérités-principes, ni comment adhérer aux principes dans l’accomplissement de leurs devoirs. En regardant les résultats obtenus dans chaque dimension du travail dont les faux dirigeants ont la responsabilité, la plupart des gens s’appuient sur leurs connaissances, leurs apprentissages et leurs dons pour faire leur travail, et ils sont ignorants quand il s’agit de questions comme celle de savoir quelles sont les exigences spécifiques de Dieu, quels sont les principes de l’exécution d’un devoir, ou comment s’y prendre pour parvenir à témoigner de Dieu et comment diffuser l’Évangile plus efficacement, afin que tous ceux qui aspirent à l’apparition de Dieu entendent Sa voix, enquêtent sur le vrai chemin, et reviennent à Lui au plus vite. Comment se fait-il qu’ils ignorent ces choses ? C’est directement lié à l’incapacité des faux dirigeants à faire un travail réel. La cause principale en est que les faux dirigeants eux-mêmes ne savent pas ce que sont les vérités-principes, ni quels sont les principes que les gens devraient comprendre et suivre. Ils agissent sans principes et n’amènent jamais les gens à rechercher des principes et des chemins de pratique dans leurs devoirs. Lorsqu’un faux dirigeant trouve un problème, il ne peut pas le résoudre lui-même, et il n’échange ni ne cherche avec les autres, si bien que certaines tâches doivent souvent être refaites dans chaque dimension du travail. Il s’agit non seulement d’un gaspillage de ressources financières et matérielles, mais aussi d’énergie et de temps. Ces conséquences sont directement liées au très mauvais calibre et à l’irresponsabilité des faux dirigeants. Bien que l’on ne puisse pas dire que les faux dirigeants font du mal et causent des perturbations délibérément, on peut dire qu’ils ne cherchent pas du tout les vérités-principes dans leur travail, qu’ils agissent toujours selon leur propre volonté. Cela ne fait aucun doute. Les faux dirigeants ne comprennent pas les vérités-principes et ne peuvent pas non plus échanger à leur sujet avec les autres de manière claire ; à l’inverse, ils laissent tout simplement les gens agir à leur guise. Cela conduit sans le vouloir à ce qu’un certain nombre de personnes chargées d’un travail donné se comportent de façon arbitraire et obstinée, et agissent à leur guise en ne faisant que ce qui leur plaît. En conséquence, non seulement il y a peu de résultats concrets, mais c’est aussi le désordre qui règne dans le travail de l’Église. Lorsqu’un faux dirigeant est renvoyé, non seulement il ne réfléchit pas sur lui-même et ne se connaît pas lui-même, mais il se met aussi à argumenter en sa faveur avec des sophismes, et il n’accepte pas le moins du monde la vérité et n’a pas du tout l’intention de se repentir. Il peut même demander à la maison de Dieu de lui donner une deuxième chance, en disant qu’il est certain de pouvoir bien faire le travail. Le croiriez-vous ? Il ne se connaît pas du tout lui-même et n’accepte pas la vérité. Peut-il alors changer de méthode ? S’il n’a pas la vérité-réalité, peut-il bien faire le travail ? Est-ce possible ? Il n’a pas fait le travail correctement cette fois-ci – sera-t-il capable de le faire correctement si on lui donne une deuxième chance ? Ce n’est pas possible. On peut dire avec certitude que les faux dirigeants n’ont pas de capacité de travail ; parfois, ils peuvent trimer dur et être très occupés, mais c’est une agitation aveugle qui ne porte aucun fruit. Cela suffit à montrer que les faux dirigeants sont de très mauvais calibre, qu’ils ne comprennent pas du tout la vérité, et qu’ils ne peuvent pas faire de travail réel. De ce fait, de nombreux problèmes se présentent dans le travail, mais ils sont incapables de les résoudre par l’échange sur la vérité, et se contentent d’encourager les gens à se plier aux règles à l’aide de quelques doctrines creuses, si bien qu’ils sèment un terrible désordre dans le travail. Telle est la façon de travailler des faux dirigeants, et telles en sont les conséquences. Tous les dirigeants et les ouvriers doivent prendre cela comme un avertissement.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)

La principale caractéristique du travail des faux dirigeants est qu’ils bavardent sur la doctrine et répètent des slogans. Ayant donné leurs instructions, ils s’en lavent les mains tout simplement. Ils ne posent aucune question sur le développement ultérieur du travail ; ils ne demandent pas si des problèmes, des déviances ou des difficultés ont surgi. Ils considèrent leur tâche comme terminée aussitôt qu’ils ont assigné le travail. En réalité, en tant que dirigeant, après avoir organisé le travail, tu dois assurer le suivi de l’avancement du travail. Même si tu n’es pas familier de ce domaine de travail, même si tu n’y connais rien, tu peux trouver un moyen de faire ton travail. Tu peux trouver quelqu’un qui saisit véritablement le travail, qui comprend la profession en question, pour que cette personne procède à des vérifications et fasse des suggestions. Tu peux identifier les principes appropriés à partir de ses suggestions, et ainsi tu seras capable d’assurer le suivi du travail. Que tu sois familiarisé ou non avec la profession en question, que tu la comprennes ou non, tu dois, à tout le moins, présider aux travaux, en assurer le suivi, et sans cesse te renseigner et poser des questions quant à son avancement. Tu dois entretenir la maîtrise de ces choses : c’est ta responsabilité, cela fait partie de ton travail. Ne pas assurer le suivi du travail, ne rien faire de plus une fois qu’il a été assigné, s’en laver les mains, voilà la manière dont les faux dirigeants font les choses. Ne pas assurer le suivi du travail ou ne pas donner d’instructions concernant ce travail, ne pas se renseigner sur les problèmes qui se posent ou ne pas les résoudre, et ne pas se faire une idée des progrès ou de l’efficacité du travail – tout cela aussi est la manifestation des faux dirigeants.

Comme les faux dirigeants ne s’informent pas de l’avancement du travail et qu’ils sont incapables d’identifier rapidement les problèmes qui surviennent dans le travail, et à plus forte raison de les résoudre, cela conduit souvent à des retards à répétition. Pour certains travaux, parce que les gens ne saisissent pas les principes et que personne n’est apte à en être responsable ou à présider à ces travaux, ceux qui effectuent le travail sont souvent dans un état de négativité, de passivité et d’attente, ce qui affecte sérieusement l’avancement du travail. Si les dirigeants s’étaient acquittés de leurs responsabilités, s’ils avaient présidé au travail, fait avancer et supervisé ce travail, s’ils avaient trouvé quelqu’un qui comprenne ce domaine pour diriger le travail, alors celui-ci aurait progressé plus rapidement au lieu de souffrir de retards répétés. Pour les dirigeants, il est donc vital de comprendre et saisir l’état du travail. Bien entendu, il est aussi vraiment nécessaire que les dirigeants comprennent et saisissent l’avancement du travail, étant donné que cet avancement est lié à l’efficacité du travail et aux résultats que ce dernier est censé produire. Si les dirigeants et les ouvriers ne maîtrisent pas la manière dont le travail de l’Église progresse et s’ils n’assurent aucun suivi ou ne supervisent rien, alors les progrès du travail de l’Église seront forcément lents. Cela est dû au fait que la majorité des gens qui font des devoirs sont tout à fait méprisables, qu’ils n’ont aucun sens du fardeau, et qu’ils sont souvent négatifs, passifs, et négligents. S’il n’y a personne qui ait un sens du fardeau et des capacités de travail pour endosser la responsabilité du travail de manière concrète, en se renseignant en temps et en heure sur l’avancement du travail, en guidant, en supervisant, en disciplinant et en émondant le personnel qui fait des devoirs, alors, naturellement, le niveau d’efficacité du travail sera très faible et les résultats du travail seront très mauvais. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont même pas capables de voir cela clairement, ils sont stupides et aveugles. Et donc, les dirigeants et les ouvriers doivent promptement examiner, suivre et saisir l’avancement du travail, étudier quels problèmes rencontrés par ceux qui font des devoirs nécessitent d’être résolus, et comprendre quels problèmes il faut résoudre pour obtenir de meilleurs résultats. Toutes ces choses sont extrêmement cruciales, une personne ayant un rôle de dirigeant doit les comprendre clairement. Pour bien faire votre devoir, vous ne devez pas être comme ces faux dirigeants, qui font un travail superficiel, puis qui se disent qu’ils ont bien fait leur devoir. Les faux dirigeants sont négligents et brouillons dans leur travail, ils n’ont aucun sens des responsabilités, ils ne résolvent pas les problèmes quand ils surgissent, et quel que soit le travail qu’ils font, ils n’en effleurent que la surface et ne l’abordent que pour la forme. Ils se contentent de proférer des paroles ronflantes, ils se gargarisent de doctrines et de discours vides de sens, et font leur travail machinalement. En général, c’est dans cet état que travaillent les faux dirigeants. Même si, comparés aux antéchrists, les faux dirigeants ne font rien d’ouvertement malfaisant et ne font pas le mal délibérément, quand vous examinez l’efficacité de leur travail, il est juste de les décrire comme des gens négligents, qui ne portent aucun fardeau, qui sont irresponsables et dénués de loyauté envers leur travail.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)

Les faux dirigeants ne s’enquièrent jamais des situations de travail des différents superviseurs d’équipe ou n’en assurent jamais le suivi. Ils ne s’enquièrent pas non plus de l’entrée dans la vie des superviseurs des différentes équipes et du personnel chargé des diverses tâches importantes, ni de leurs attitudes à l’égard du travail de l’Église et de leurs devoirs, ni non plus à l’égard de la foi en Dieu, de la vérité et de Dieu Lui-même. Ils n’en assurent pas le suivi et n’en ont aucune compréhension. Ils ne savent pas si ces personnes ont fait une quelconque transformation ou des progrès, et ils ne connaissent pas non plus les divers problèmes qui peuvent exister dans leur travail ; en particulier, ils ne connaissent pas l’impact des erreurs et des déviations survenues à divers stades du travail sur le travail de l’Église et l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, ni si ces erreurs et ces déviations ont été corrigées. Ils sont totalement ignorants de toutes ces choses. En ne sachant rien de ces conditions bien précises, ils deviennent passifs chaque fois que des problèmes se présentent. Cependant, les faux dirigeants ne s’inquiètent absolument pas de ces problèmes bien précis lorsqu’ils font leur travail. Ils croient qu’après avoir désigné les différents superviseurs d’équipe et assigné les tâches, leur travail est terminé : il a valeur de travail bien fait, et si d’autres problèmes surviennent, ce n’est pas leur affaire. En ne supervisant pas, en ne dirigeant pas et en n’assurant pas le suivi des divers superviseurs d’équipe comme il se doit, et en n’assumant pas leurs responsabilités dans ces domaines, les faux dirigeants sèment le désordre dans le travail de l’Église. Ce sont là des dirigeants et des ouvriers qui manquent à leurs responsabilités. Dieu peut scruter les profondeurs du cœur de l’homme ; c’est là une capacité dont sont dénués les humains. C’est pourquoi, lorsqu’ils travaillent, les gens doivent se montrer plus diligents et attentifs, se rendre régulièrement sur leur lieu de travail pour suivre, superviser et diriger le travail, afin de s’assurer de l’avancement normal du travail de l’Église. Il est manifeste que les faux dirigeants sont tout à fait irresponsables dans leur travail, et qu’ils ne supervisent jamais, ne suivent jamais et ne dirigent jamais les différentes tâches. Si bien que certains superviseurs ne savent pas comment résoudre les différents problèmes qui se posent dans le travail, et restent à leur poste de superviseurs alors même qu’ils ne sont pas assez compétents pour l’occuper. Au bout du compte, le travail ne cesse de prendre du retard et ils désorganisent tout. Voilà ce que provoquent les faux dirigeants qui ne s’informent pas, ne supervisent pas et n’assurent pas le suivi de la situation des superviseurs, un résultat qui ne se doit qu’au manquement de responsabilité des faux dirigeants. Comme les faux dirigeants n’inspectent pas le travail, n’en assurent pas le suivi, ne posent pas de questions à son sujet et sont incapables de saisir rapidement la situation, ils ne savent pas si les superviseurs font un travail réel, si le travail avance et s’il a produit des résultats concrets. Lorsqu’on leur demande à quoi les superviseurs sont occupés ou quelles sont les tâches spécifiques qu’ils accomplissent, les faux dirigeants répondent : « Je ne sais pas, mais ils participent à toutes les réunions et chaque fois que je communique avec eux au sujet du travail, ils ne font jamais état du moindre problème ou de la moindre difficulté. » Les faux dirigeants croient que tant que les superviseurs n’abandonnent pas leur poste de travail et qu’ils sont toujours là quand ils les cherchent, c’est que ces superviseurs n’ont absolument aucun problème. C’est ainsi que fonctionnent les faux dirigeants. N’est-ce pas là une manifestation de « fausseté » ? Ne s’agit-il pas d’un échec à assumer leurs responsabilités ? C’est un grave manquement de responsabilité !

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)

Dans le cadre du travail dont les faux dirigeants sont responsables, il arrive souvent que certaines personnes qui poursuivent vraiment la vérité et qui répondent aux critères de promotion et de culture soient tenues à l’écart. Certaines de ces personnes prêchent l’Évangile, et d’autres sont chargées de faire des devoirs d’hébergement. Le fait est qu’ils ont tous du calibre, qu’ils comprennent certaines vérités et qu’ils sont dignes d’être cultivés pour être dirigeants et ouvriers, c’est simplement qu’ils n’aiment pas s’afficher ou être au centre de l’attention. Et pourtant, les faux dirigeants ne remarquent même pas ces personnes. Ils ne leur adressent pas la parole et ne s’informent pas à leur sujet, et ils ne cultivent jamais les personnes talentueuses pour la maison de Dieu. La seule chose qui les intéresse systématiquement, c’est de prendre au piège les personnes qui les flattent, afin de satisfaire leurs propres désirs égoïstes. Si bien que ces personnes qui poursuivent vraiment la vérité ne sont pas promues et cultivées, alors que celles qui aiment être au centre de l’attention, qui s’expriment bien, qui savent comment flatter les gens, et qui aiment la célébrité, le gain et le statut, celles-là sont toutes promues, et même celles qui ont été fonctionnaires, PDG d’entreprise, ou qui ont étudié la gestion d’entreprise dans la société, sont affectées à des postes importants. Peu importe que ces personnes soient de vrais croyants ou non, ou qu’elles poursuivent la vérité ou non, dans tous les cas, ce sont elles qui sont promues et utilisées dans le cadre du travail dont les faux dirigeants sont responsables. Est-ce là utiliser les gens conformément aux principes ? Le fait que les faux dirigeants ne promeuvent que ces personnes-là ne correspond-il pas exactement à ce qu’est une société de non-croyants ? Pendant la période où les faux dirigeants travaillent, ceux qui peuvent réellement faire avancer les choses en faisant leur devoir, qui ont le sens de la justice, et qui aiment la vérité et les choses positives, tous ceux-là ne sont pas promus ou cultivés, et il est difficile pour eux d’avoir des occasions de se former. À l’inverse, ce sont bien plutôt ceux qui s’expriment bien, qui aiment s’afficher et qui savent comment flatter les gens, ainsi que ceux qui aiment la célébrité, le gain et le statut, qui sont affectés aux postes importants. Ces personnes semblent plutôt intelligentes, mais en réalité, elles n’ont aucune capacité de compréhension, elles ont un très mauvais calibre et une piètre humanité, elles ne portent aucun fardeau réel envers leurs devoirs, et elles ne sont pas du tout dignes d’être cultivées. Pourtant, ce sont elles qui occupent les postes de dirigeants et d’ouvriers dans l’Église. Il en résulte qu’une grande partie du travail de l’Église ne peut pas démarrer sans heurts et rapidement, ou ne progresse que lentement, et que les arrangements de travail de la maison de Dieu prennent trop de temps à être mis en œuvre. Tels sont les impacts et les conséquences sur le travail de l’Église causés par les faux dirigeants qui utilisent les gens de manière inappropriée.

La plupart des faux dirigeants sont de faible calibre. Même s’ils semblent éloquents, ils n’ont aucune capacité à comprendre la vérité, au point qu’ils n’ont pas de compréhension spirituelle. Ils sont aveugles des yeux et de l’esprit, ne saisissent aucun sujet et ne comprennent pas du tout la vérité, ce qui est déjà un problème fatal. Ils ont un autre problème plus grave encore, à savoir que lorsqu’ils ont compris et maîtrisé certaines formules et doctrines et qu’ils peuvent scander des slogans, ils pensent qu’ils ont la vérité-réalité. De ce fait, quel que soit le travail qu’ils font et les personnes qu’ils choisissent d’utiliser, ils ne cherchent pas les vérités-principes, n’échangent pas avec les autres, et encore moins respectent-ils les arrangements de travail et les principes de la maison de Dieu. Ils sont très confiants, ils croient toujours que leurs idées sont justes et ne font que ce qui leur chante. Il en résulte que lorsqu’ils sont confrontés à quelque difficulté ou à une situation exceptionnelle, ils sont perdus. Souvent, en outre, ils croient aussi, à tort, que comme ils ont travaillé pendant de nombreuses années dans la maison de Dieu, ils y ont suffisamment d’expérience en tant que dirigeants, qu’ils savent comment faire pour que le travail de l’Église fonctionne et avance. Ils semblent avoir compris ces choses, mais en réalité, ils ne savent absolument pas comment faire un quelconque travail. Ils font le travail de l’Église de la manière qui leur plaît, à partir de leurs propres notions et des produits de leur imagination, de leur expérience, de leurs habitudes et de leurs règles. Cela crée le désordre et le chaos dans les différents aspects du travail de l’Église, qui se trouvent alors empêchées de produire de réels résultats. Si dans une équipe, quelques personnes comprennent la vérité et peuvent faire un peu de travail concret, elles sont en mesure de maintenir le travail de l’équipe dans la normalité. Cela n’a cependant absolument rien à voir avec leur faux dirigeant. Si le travail a pu être bien fait, c’est parce qu’il y avait quelques bonnes personnes dans l’équipe, capables de faire un peu de travail concret et de maintenir le travail sur la bonne voie ; cela ne veut pas dire que leur faux dirigeant ait fait un travail réel. Aucun travail ne peut être effectué sans que quelques bonnes personnes de ce genre le prennent en charge. Les faux dirigeants sont tout simplement incapables de faire leur travail et ne remplissent aucune fonction. Pourquoi les faux dirigeants sèment-ils le désordre dans le travail de l’Église ? La première raison, c’est que les faux dirigeants ne comprennent pas la vérité, ils sont incapables d’échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes, et ils ne cherchent pas comment résoudre les problèmes, si bien que les problèmes s’accumulent et paralysent le travail de l’Église. La deuxième raison, c’est que les faux dirigeants sont aveugles, ils sont incapables d’identifier les personnes talentueuses. Ils ne savent pas changer de façon appropriée les devoirs des superviseurs d’équipe, si bien que certaines tâches n’avancent plus faute de responsable approprié. La troisième raison, c’est que les faux dirigeants se comportent trop comme des officiels. Ils ne supervisent ni ne dirigent le travail, et là où il y a un maillon faible dans le travail, ils ne participent pas de manière proactive ou ne fournissent pas d’orientation sur les spécificités du travail. Disons, par exemple, que dans un certain aspect du travail, plusieurs personnes effectuant le travail sont de nouveaux croyants qui n’ont pas de fondement très solide, qui ne comprennent pas la vérité, qui ne sont pas très familiers avec le domaine du travail en question, et qui n’ont pas tout à fait saisi les principes du travail. Un faux dirigeant, étant aveugle, ne peut pas voir ces problèmes. Il croit que tout va bien tant qu’il y a quelqu’un qui fait le travail ; peu importe que ce soit bien ou mal fait. Il ne sait pas que, là où il y a un maillon faible dans le travail de l’Église, il devrait assurer un suivi, faire des inspections et fournir une direction, s’impliquer personnellement dans la résolution des problèmes et aider ceux qui font leurs devoirs jusqu’à ce qu’ils comprennent la vérité, jusqu’à ce qu’ils puissent agir selon les principes et entrer dans la bonne voie. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il n’aurait plus besoin de s’inquiéter autant. Les faux dirigeants ne fonctionnent pas de cette manière. Lorsqu’ils voient que quelqu’un est là pour faire le travail, ils n’y prêtent plus attention. Ils ne se renseignent pas, quelle que soit la façon dont le travail se déroule. Lorsqu’il y a un maillon faible dans le travail, ou un superviseur de faible calibre, ils ne fournissent pas de direction sur le travail et ne participent pas non plus eux-mêmes au travail. Et lorsqu’un superviseur est en mesure d’assumer le travail, les faux dirigeants en font encore moins pour vérifier personnellement les choses ou fournir une orientation ; ils prennent ça avec désinvolture, et même si quelqu’un signale un problème, ils ne posent pas de questions – ils pensent que ce n’est pas nécessaire. Les faux dirigeants ne font rien de ce travail spécifique. En résumé, les faux dirigeants sont des dégénérés qui ne font pas le moindre travail concret. Ils croient que pour n’importe quel travail, tant que quelqu’un s’en charge et que tout le monde est sur le pont à effectuer le travail, il n’y a plus rien à faire, tout est réglé. Ils pensent que tout ce qu’ils ont à faire, c’est organiser une réunion de temps en temps, et demander des informations si un problème se pose. Tout en travaillant de cette manière, les faux dirigeants croient quand même qu’ils font du bon travail et ils sont assez satisfaits d’eux-mêmes. Ils se disent : « Il n’y a aucun problème dans aucun des aspects du travail. Tout le personnel est à son poste et les superviseurs sont en place. Je suis tellement bon dans ce travail, tellement doué ! » N’est-ce pas là de l’effronterie ? Ils sont tellement aveugles des yeux et de l’esprit qu’ils ne voient aucune des tâches à accomplir et ne découvrent aucun problème. En certains endroits, le travail est au point mort, mais ils sont là, satisfaits, pensant : « Les frères et sœurs sont tous jeunes, c’est du sang neuf. Ils s’appliquent à leurs devoirs avec une énergie débordante, ils peuvent sans aucun doute bien faire le travail. » En réalité, ces jeunes gens sont des débutants qui ne comprennent aucune compétence professionnelle. Ils doivent apprendre au fur et à mesure. On peut dire qu’ils ne savent encore faire aucun travail : certains comprennent peut-être un peu, mais ce ne sont pas des experts, ils ne saisissent pas les principes, et lorsqu’ils ont effectué une tâche, celle-ci doit être corrigée à plusieurs reprises, voire refaite fréquemment. Il y a aussi de jeunes gens qui ne sont pas formés et qui n’ont encore jamais été émondés. Ils sont excessivement méprisables et indolents, avides de confort ; ils n’acceptent pas la moindre vérité, et dès qu’ils souffrent un tant soit peu, ils se lancent dans d’interminables jérémiades. La plupart d’entre eux sont des dégénérés négligents qui convoitent le confort. Avec ce genre de jeunes, il faut absolument échanger régulièrement avec eux sur la vérité, et encore plus les émonder. Ces jeunes gens doivent avoir quelqu’un qui les prenne en charge et qui les surveille. Il faut qu’un dirigeant ou un ouvrier assume personnellement la responsabilité de leur travail, et qu’il les supervise et les dirige personnellement. Ce n’est qu’à cette condition que leur travail pourra porter quelques fruits. Si le dirigeant ou l’ouvrier quitte le lieu de travail sans s’occuper de leur travail ou les questionner à ce sujet, ces personnes s’éparpillent de façon désordonnée, et l’accomplissement de leur devoir ne portera aucun fruit. Or, les faux dirigeants n’ont aucune idée de cela. Ils considèrent tout le monde comme des frères et sœurs, comme des gens obéissants et soumis, si bien qu’ils placent une grande confiance en eux, leur assignent des tâches, puis ne leur accordent plus aucune attention – c’est là la meilleure preuve de l’aveuglement des yeux et de l’esprit des faux dirigeants. Les faux dirigeants ne comprennent rien à la vérité, ne voient pas clairement les difficultés, sont incapables de découvrir le moindre problème, et pensent pourtant qu’ils font tout comme il faut. À quoi pensent-ils pendant toute la journée ? Ils réfléchissent à la manière d’agir comme un fonctionnaire pour profiter des avantages du statut. Les faux dirigeants, tout comme les gens irréfléchis, n’ont pas la moindre considération pour les intentions de Dieu. Ils ne font aucun travail concret, mais ils n’en attendent pas moins que la maison de Dieu fasse leurs louanges et leur accorde des promotions. Vraiment, ils n’ont aucune honte !

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (5)

Les faux dirigeants peuvent-ils percer à jour et saisir les principes et les normes qui sont requis par les arrangements de travail ? (Non.) Pourquoi ? Parce qu’ils ne peuvent pas percer à jour ce que sont les principes de ce travail et qu’ils ne peuvent pas le vérifier. Quand des situations particulières se présentent durant la mise en œuvre spécifique du travail, ils ne savent pas comment les résoudre. Quand les frères et sœurs leur demandent ce qu’ils doivent faire dans l’une de ces situations, les faux dirigeants sont perdus : « Ce n’est pas mentionné dans les arrangements de travail, comment saurais-je y faire face ? » Si tu ne le sais pas, comment peux-tu mettre en œuvre ce travail ? Tu ne le sais même pas, mais tu demandes quand même aux autres de le mettre en œuvre, est-ce réaliste ? Est-ce raisonnable ? Quand de faux dirigeants et de faux ouvriers mettent en œuvre des arrangements de travail, d’une part, ils n’ont aucune idée des étapes et des plans nécessaires à cette mise en œuvre, et d’autre part, quand des problèmes surviennent, ils ne peuvent pas procéder à des vérifications conformément aux principes requis par ces arrangements de travail. Par conséquent, quand d’innombrables problèmes de toutes sortes émergent durant la mise en œuvre des arrangements de travail, ils sont absolument incapables de les résoudre. Parce qu’aux premiers stades, les faux dirigeants ne peuvent pas identifier ou anticiper les problèmes, qu’ils ne peuvent pas échanger à l’avance, et qu’aux stades ultérieurs, quand des problèmes émergent, ils ne peuvent pas les résoudre, mais seulement prêcher vainement des doctrines et appliquer des règlements de manière rigide, ces problèmes ne cessent de se répéter ou de perdurer, certains travaux subissant des retard dans leur mise en œuvre et d’autres tâches n’étant pas mises en œuvre dans une mesure suffisante. Par exemple, en ce qui concerne l’arrangement de travail de la maison de Dieu sur l’exclusion et l’expulsion des gens, quand de faux dirigeants mettent ce travail en œuvre, ils excluent seulement les gens manifestement malfaisants, les antéchrists et les esprits malfaisants qui provoquent des interruptions et des perturbations, ainsi que les incrédules que les frères et sœurs trouvent tous répugnants et détestables. Cependant, il reste des personnes qui devraient être exclues, autrement dit, des gens malfaisants qui se dissimulent, insidieux, rusés, et des antéchrists. Les frères et sœurs ne peuvent pas les percer à jour, pas plus que les faux dirigeants n’en sont capables. En fait, selon les arrangements de travail de la maison de Dieu, ces gens ont déjà atteint un niveau qui justifie leur exclusion. Cependant, comme les faux dirigeants ne peuvent pas les percer à jour, ils les considèrent malgré tout comme des gens bien, et ils vont jusqu’à les promouvoir, les cultiver et les utiliser pour des tâches importantes, ce qui leur permet d’avoir du pouvoir et d’occuper des postes importants dans l’Église. L’arrangement de travail de la maison de Dieu concernant l’exclusion et l’expulsion des gens pourra-t-il alors être mis en œuvre ? Les divers problèmes pourront-ils être complètement résolus ? Le travail de diffusion de l’Évangile pourra-t-il se poursuivre normalement ? Clairement, les arrangements de travail de la maison de Dieu ne pourront pas être mis en œuvre complètement, de sorte que nombre de tâches importantes ne pourront pas être bien faites. Comme les gens que les faux dirigeants utilisent n’ont absolument aucune vérité-réalité et qu’ils peuvent même commettre des actes malfaisants, cela empêchera que divers travaux d’Église soient bien réalisés. Les faux dirigeants utilisent ces gens malfaisants en les laissant faire des devoirs importants et entreprendre des tâches importantes dans l’Église, en leur permettant même de gérer les offrandes. Cela interrompra-t-il et perturbera-t-il le travail de l’Église ? Cela fera-t-il subir des pertes aux offrandes destinées à Dieu ? (Oui.) Il s’agit là d’une conséquence très grave. Comme les faux dirigeants ne peuvent pas percer à jour ces gens, qu’ils sont incapables de les détecter, et qu’ils laissent ces gens malfaisants prendre en charge des tâches importantes, le travail se trouve complètement saboté. En faisant leurs devoirs, ces gens malfaisants agissent toujours superficiellement, ils trompent leurs supérieurs et cachent des choses à leurs subalternes, et ne font pas de travail concret. Ils agissent avec une inconséquence délibérée, induisent les gens en erreur et commettent toutes sortes d’actes malfaisants. Cependant, les faux dirigeants ne les percent pas à jour, et quand ils remarquent les problèmes, un grand désastre s’est déjà produit. Par exemple, dans la bucolique région du Hénan, certains individus malfaisants qui étaient devenus dirigeants ont employé divers moyens méprisables pour voler des offrandes destinées à Dieu. Ils en ont volé d’énormes quantités, qui n’ont jamais été récupérées. Cela a-t-il quoi que ce soit à voir avec les dirigeants et les ouvriers qui choisissent et utilisent les mauvaises personnes ? (Oui.) Selon les arrangements de travail, si l’on ne peut pas percer à jour les personnes sélectionnées, celles-ci peuvent d’abord être chargées de faire un travail simple, et on peut ensuite assurer un suivi de leur travail et les observer pendant un certain temps. Les gens que l’on ne peut pas percer à jour ne doivent absolument pas être chargés de faire la moindre tâche importante, en particulier si cela présente des risques. Ce n’est qu’après une observation de longue durée et après avoir percé à jour leur essence que l’on devrait prendre des décisions quant à la façon dont ils doivent être traités et gérés. Les faux dirigeants ne travaillent pas conformément aux arrangements de travail et ne peuvent pas saisir les principes. Plus encore, ils ne peuvent pas percer les gens à jour et ils utilisent les mauvaises personnes. Cela fait subir des pertes à la fois au travail d’Église et aux offrandes destinées à Dieu. Voilà la calamité provoquée par les faux dirigeants.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (10)

Les faux dirigeants feignent souvent d’être spirituels, en émettant des idées fausses spécieuses pour fourvoyer et égarer les gens. Bien que ces sophismes puissent sembler ne pas poser de problème, en apparence, ils ont une influence néfaste sur l’entrée des gens dans la vie, car ils les perturbent, les induisent en erreur et les empêchent de prendre le chemin de la poursuite de la vérité. Du fait de ces paroles pseudo-spirituelles, certaines personnes développent des doutes et une résistance à l’égard des paroles de Dieu, elles produisent des notions et même des malentendus à propos de Dieu et une méfiance à l’égard de Dieu, puis s’éloignent de Lui. Tel est l’impact des paroles pseudo-spirituelles des faux dirigeants sur les gens. Lorsque les membres d’une église sont fourvoyés et influencés par un faux dirigeant, cette église devient une religion, tout comme le christianisme ou le catholicisme, dans laquelle les gens ne font qu’observer les dires et les enseignements de l’homme. Tous vénèrent les enseignements de Paul, allant jusqu’à recourir à ses paroles à la place de celles du Seigneur Jésus, et au lieu de suivre la voie de Dieu. Tant et si bien qu’ils deviennent tous des pharisiens hypocrites et des antéchrists. Ils sont alors maudits et condamnés par Dieu. Tout comme Paul, les faux dirigeants s’exaltent et témoignent d’eux-mêmes, ils induisent les gens en erreur et les perturbent. Ils les égarent et les entraînent dans des rituels religieux, et la manière dont ces personnes croient en Dieu devient exactement la même que celle des personnes religieuses, ce qui retarde leur entrée sur la bonne voie dans leur foi en Dieu. Les faux dirigeants induisent les gens en erreur et les perturbent constamment, si bien que ces derniers produisent alors toutes sortes de théories et de dictons pseudo-spirituels. Ces théories, dictons et pratiques sont diamétralement opposés à la vérité et n’ont absolument rien à voir avec elle. Pourtant, alors que les faux dirigeants fourvoient et égarent les gens, ces derniers prennent ces choses pour des choses positives, pour la vérité. Ils croient à tort que ces choses sont la vérité, et pensent que tant qu’ils croient en ces choses dans leur cœur et qu’ils peuvent les dire avec éloquence, et que tant que ces choses sont approuvées par tout le monde, alors ils ont gagné la vérité. Égarés par ces pensées et ces opinions, les gens sont non seulement incapables de comprendre la vérité, mais aussi de pratiquer ou de faire l’expérience des paroles de Dieu, et encore moins d’entrer dans la vérité-réalité. Au contraire, ils s’éloignent de plus en plus des paroles de Dieu et encore plus de l’entrée dans la vérité-réalité. Sur le papier, il n’y a rien de faux dans les paroles des faux dirigeants et les slogans qu’ils scandent, ils sont tous corrects. Pourquoi, alors, ne parviennent-ils à rien du tout ? C’est parce que ce que les faux dirigeants comprennent et saisissent manque tout simplement de profondeur. Ce n’est là que de la doctrine qui n’a rien à voir avec la vérité-réalité dans les paroles de Dieu, des exigences de Dieu ou de Ses intentions. Le fait est que toutes les doctrines prêchées par les faux dirigeants sont loin de la vérité-réalité – et plus exactement, elles n’ont rien à voir avec la vérité ni rien à voir avec les paroles de Dieu. Donc, lorsque de faux dirigeants débitent régulièrement ces formules et ces doctrines, à quoi cela est-il lié ? Pourquoi sont-ils toujours incapables d’entrer dans la vérité-réalité ? Cela est directement lié au calibre des faux dirigeants. Il ne fait absolument aucun doute que les faux dirigeants sont de mauvais calibre et n’ont pas la capacité de saisir la vérité. Quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient en Dieu, ils ne comprendront pas la vérité ou n’auront pas d’entrée dans la vie, et on peut également dire que, quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient en Dieu, il ne leur sera pas facile d’entrer dans la vérité-réalité. Si un faux dirigeant n’est pas renvoyé et qu’on lui permet de conserver sa position, quelles seraient les conséquences ? Sa direction attirerait de plus en plus de gens vers des rituels et des règlements religieux, vers des formules et des doctrines, vers de vagues notions et produits de l’imagination. Contrairement aux antéchrists, les faux dirigeants ne conduisent pas les gens à venir devant eux ou devant Satan, mais s’ils sont incapables de conduire le peuple élu de Dieu dans la vérité-réalité de Ses paroles, le peuple élu de Dieu sera-t-il capable d’atteindre Son salut ? Pourra-t-il être perfectionné par Dieu ? Absolument pas. Si le peuple élu de Dieu ne peut pas entrer dans la vérité-réalité, ne vit-il pas toujours sous l’emprise de Satan ? Ne demeure-t-il pas dégénéré en étant maintenu sous l’emprise de Satan ? Cela ne signifie-t-il pas qu’il courra à sa perte entre les mains de faux dirigeants ? C’est pourquoi les conséquences du travail des faux dirigeants et des antéchrists sont fondamentalement les mêmes. Ni l’un ni l’autre ne peut faire comprendre la vérité au peuple élu de Dieu, lui permettre d’entrer dans la réalité et d’atteindre le salut. Ils nuisent tous deux au peuple élu de Dieu et le mènent à sa perte. Les conséquences sont exactement les mêmes.

– La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)

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Question 2 : Nous croyons, en ayant la foi et en suivant le Seigneur, nous pouvons obtenir la vie éternelle. La parole du Seigneur confirme ceci : Jésus lui dit : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » (Jean 11:25-26). « Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » (Jean 4:14). Ces versets sont la promesse du Seigneur Jésus. Le Seigneur Jésus peut nous accorder la vie éternelle, le chemin du Seigneur Jésus est le chemin vers la vie éternelle. Et la Bible dit aussi : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean 3:36). Le Seigneur Jésus, pas le Fils de l’homme, n’est-Il pas Christ ? En croyant en le Seigneur Jésus, Mais tu certifies que le Christ des derniers jours nous amènera sur le chemin vers la vie éternelle. Je ne comprends pas bien ceci, nous suivons tous le Seigneur Jésus-Christ. Pourquoi n’est-ce pas suffisant pour obtenir le chemin vers la vie éternelle ? Pourquoi donc devons-nous aussi accepter les paroles et l’œuvre de Christ des derniers jours ?

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