8. Comment discerner les philosophies et les diverses hérésies et idées fausses de Satan
Paroles de Dieu Tout-Puissant des derniers jours
Dieu Lui-même est la vérité et Il possède toutes les vérités. Dieu est la source de la vérité. Toute chose positive et toute vérité viennent de Dieu. Il peut porter un jugement sur le bien et le mal de toutes choses et de tous les événements ; Il peut porter un jugement sur des choses qui sont arrivées, des choses qui arrivent maintenant et des choses de l’avenir encore inconnues de l’homme. Dieu est le seul Juge qui peut porter un jugement sur le bien et le mal de toutes choses, et cela signifie que le bien et le mal de toutes choses ne peuvent être jugés que par Dieu. Il connaît les critères pour toutes choses. Il peut exprimer des vérités à tout moment et en tout lieu. Dieu est l’incarnation de la vérité, ce qui signifie qu’Il possède Lui-même l’essence de la vérité. Même si les hommes comprennent beaucoup de vérités et sont perfectionnés par Dieu, auraient-ils alors quelque chose à voir avec l’incarnation de la vérité ? Non. C’est une certitude. Lorsque les hommes sont rendus parfaits, concernant l’œuvre de Dieu aujourd’hui et les diverses normes que Dieu exige de l’homme, ils porteront des jugements précis et auront des pratiques précises, et ils comprendront parfaitement les intentions de Dieu. Ils peuvent faire la différence entre ce qui vient de Dieu et ce qui vient de l’homme, entre ce qui est bien et ce qui est mal. Pourtant, il y a des choses qui restent inaccessibles et obscures à l’homme, des choses qu’il ne peut connaître qu’une fois que Dieu les lui a dites. L’homme pourrait-il connaître ou prédire des choses encore inconnues, des choses que Dieu ne lui a pas encore dites ? Absolument pas. De plus, même si l’homme obtenait la vérité de Dieu, avait la vérité-réalité, et connaissait l’essence de nombreuses vérités et avait la capacité de discerner le bien du mal, aurait-il la capacité de contrôler et de gouverner toutes choses ? Il n’aurait pas cette capacité. C’est la différence entre Dieu et l’homme. Les êtres créés peuvent uniquement obtenir la vérité de la source de la vérité. Peuvent-ils obtenir la vérité de l’homme ? L’homme est-il la vérité ? L’homme peut-il procurer la vérité ? Il ne le peut pas, et là réside la différence. Tu ne peux que recevoir la vérité, non la procurer. Peut-on t’appeler une personne qui possède la vérité ? Peut-on t’appeler l’incarnation de la vérité ? Absolument pas ! Qu’est-ce que l’essence de l’incarnation de la vérité exactement ? C’est la source qui fournit la vérité, la source de la gouvernance et de la souveraineté sur toutes choses, et ce sont aussi le seul critère et la seule norme par lesquels toutes les choses et tous les événements sont jugés. Ceci est l’incarnation de la vérité.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie III)
Dans Son expression de la vérité, Dieu exprime Son tempérament et Son essence : Son expression de la vérité n’est pas basée sur les diverses choses et déclarations positives auxquelles les gens croient et qui sont résumées par le genre humain. Les paroles de Dieu sont les paroles de Dieu ; les paroles de Dieu sont la vérité. Elles sont le fondement et la loi exclusifs par lesquels le genre humain existe, et tous ces soi-disant principes qui proviennent des hommes sont faux, absurdes et condamnés par Dieu. Ils n’ont pas Son approbation, et encore moins sont-ils l’origine ou le fondement de Ses déclarations. Dieu exprime Son tempérament et Son essence à travers Ses paroles. Toutes les paroles exprimées par Dieu sont la vérité, car Il a l’essence de Dieu et Il est la réalité de toutes les choses positives. Quelle que soit la manière dont ce genre humain corrompu positionne ou définit les paroles de Dieu, ou dont il les voit ou les comprend, les paroles de Dieu sont éternellement la vérité, et c’est là un fait qui ne change jamais. Quels que soient le nombre de paroles de Dieu qui ont été prononcées et la mesure dans laquelle ce genre humain corrompu et malveillant les condamne et les rejette, un fait demeure qui sera à jamais inchangé : les paroles de Dieu seront toujours la vérité, et l’homme ne peut jamais changer cela. Au bout du compte, il faut que les hommes admettent que les paroles de Dieu sont la vérité et que la culture traditionnelle et la connaissance scientifique estimées du genre humain ne peuvent jamais devenir des choses positives et qu’elles ne peuvent jamais devenir la vérité. C’est là un fait absolu. La culture traditionnelle et les stratégies de survie du genre humain ne deviendront pas vérité en raison des changements ou du passage du temps, et les paroles de Dieu ne deviendront pas non plus les paroles de l’homme à cause de la condamnation et de l’oubli du genre humain. La vérité est toujours la vérité : cette essence ne changera jamais. Quel fait existe-t-il ici ? C’est que ces dictons courants qui sont résumés par le genre humain trouvent leur origine en Satan et dans l’imagination et les notions humaines, ou ils résultent de l’impétuosité humaine et des tempéraments corrompus des humains, et ils n’ont rien à voir du tout avec des choses positives. Les paroles de Dieu, en revanche, sont des expressions de Son essence et de Son identité. Pour quelles raisons exprime-t-Il ces paroles ? Pourquoi dis-je qu’elles sont la vérité ? La raison à cela est que Dieu est souverain sur toutes les lois, les règles, les sources, les essences, les réalités et les mystères de toutes choses. Tout cela est saisi dans Sa main. Par conséquent, Dieu seul connaît les règles, les réalités, les faits et les mystères de toutes choses. Dieu connaît l’origine de toutes choses, et Dieu sait quelle est exactement la racine de toutes choses. Seules les définitions de toutes choses présentées dans les paroles de Dieu sont les plus exactes, et seules les paroles de Dieu sont les normes et les principes pour la vie des êtres humains et les vérités et les critères par lesquels les êtres humains peuvent vivre, alors que les lois et les théories sataniques sur lesquelles l’homme s’appuie pour vivre depuis qu’il a été corrompu par Satan sont à la fois contraires au fait que Dieu est souverain sur toutes choses et au fait qu’Il est souverain sur toutes les lois et les règles de toutes choses. Toutes les théories sataniques de l’homme sont les notions et l’imagination de l’homme et elles viennent de Satan. Quel genre de rôle joue Satan ? D’abord, il se présente comme la vérité ; ensuite, il perturbe, détruit et piétine toutes les lois et les règles de toutes les choses que Dieu a créées. Par conséquent, ce qui vient de Satan ne correspond que trop bien à l’essence de Satan et est rempli des desseins malveillants de Satan, de contrefaçons et de faux-semblants, et de l’ambition de Satan qui ne change jamais. Peu importe que les humains corrompus puissent discerner ces philosophies et théories de Satan, et peu importe le nombre de personnes qui vantent, promeuvent et suivent ces choses, et peu importe le nombre d’années et d’époques pendant lequel l’humanité corrompue les a admirées, adorées et prêchées, elles ne deviendront pas la vérité. Parce que Satan est leur essence, leur origine et leur source, et qu’il est hostile à Dieu et hostile à la vérité, ces choses ne deviendront donc jamais la vérité – elles seront toujours des choses négatives. Quand il n’y a pas de vérité à laquelle les comparer, elles peuvent passer pour des choses bonnes et positives, mais quand la vérité est utilisée pour les exposer et les disséquer, elles ne sont pas infaillibles, elles ne peuvent pas résister à l’examen, et ce sont des choses qui sont rapidement condamnées et rejetées. La vérité exprimée par Dieu coïncide précisément avec les besoins de l’humanité normale du genre humain que Dieu a créé, alors que les choses que Satan instille dans les gens sont précisément contraires aux besoins de l’humanité normale du genre humain. Elles rendent une personne normale, anormale et celle-ci devient extrême, bornée, arrogante, stupide, malveillante, intransigeante, vicieuse et même insupportablement hautaine. Il y a un stade où cela devient si grave que les gens deviennent déments et ne savent même plus qui ils sont. Ils ne veulent pas être des gens normaux ou ordinaires, et au contraire, ils insistent pour être des surhommes, des gens dotés de pouvoirs spéciaux, ou des êtres humains de haut niveau ; ces choses ont déformé l’humanité des gens et ont déformé leur instinct. La vérité permet aux gens d’exister plus instinctivement selon les règles et les lois de l’humanité normale et toutes ces règles établies par Dieu, alors que ces soi-disant adages communs et dictons trompeurs incitent précisément les gens à se retourner contre l’instinct humain et à se soustraire aux lois ordonnées et formulées par Dieu, au point même de faire dévier les gens de la voie de l’humanité normale et de faire des choses extrêmes que les gens normaux ne devraient pas faire ou auxquelles ils ne devraient pas penser. Ces lois sataniques ne déforment pas seulement l’humanité des gens, mais elles font aussi perdre aux gens leur humanité normale et l’instinct lié à leur humanité normale.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)
Depuis que l’humanité a inventé les sciences sociales, l’esprit de l’homme s’est mis à être occupé par la science et la connaissance. Celles-ci sont ensuite devenues des outils destinés à administrer l’humanité, et il n’y a plus assez de place pour que l’homme adore Dieu ni de conditions favorables pour vénérer Dieu. Sa place a diminué de plus en plus dans le cœur de l’homme. Sans Dieu dans son cœur, le monde intérieur de l’homme est sombre, désespéré et vide. Ensuite, de nombreux spécialistes des sciences sociales, des historiens et des politiciens sont apparus pour développer des théories des sciences sociales, la théorie de l’évolution humaine et d’autres théories contredisant la vérité de la création de l’homme par Dieu, pour remplir le cœur et l’esprit de l’homme. Et de cette façon, ceux qui croient que Dieu a tout créé se sont faits de plus en plus rares et ceux qui croient en la théorie de l’évolution se sont faits de plus en plus nombreux. De plus en plus de gens considèrent les récits de l’œuvre de Dieu et Ses paroles pendant l’ère de l’Ancien Testament comme des mythes et des légendes. Dans leur cœur, les gens deviennent indifférents à la dignité et à la grandeur de Dieu, à la doctrine selon laquelle Il existe et domine sur toutes choses. La survie de l’humanité et le destin des pays et des nations ne sont plus importants pour eux et l’homme vit dans un monde vide qui ne se préoccupe que de manger, boire et rechercher du plaisir… Peu de gens prennent sur eux de rechercher l’endroit où Dieu réalise Son œuvre aujourd’hui, ou de chercher comment Il préside et organise la destination de l’homme. De cette façon, la civilisation humaine devient inconsciemment de plus en plus incapable de se conformer aux aspirations de l’homme, et il y en a même beaucoup qui pensent que, en vivant dans un tel monde, ils sont moins heureux que ceux qui sont déjà partis. Même les peuples des pays qui étaient autrefois très civilisés exhalent de tels griefs. Car sans la direction de Dieu, peu importe à quel point les gouvernants et les sociologues se creusent la tête pour préserver la civilisation humaine, c’est en vain. Personne ne peut combler le vide dans le cœur de l’homme, car personne ne peut être la vie de l’homme, et aucune théorie sociale ne peut le libérer du vide qui l’afflige. La science, la connaissance, la liberté, la démocratie, les loisirs, le confort : cela n’apporte à l’homme qu’une consolation provisoire. Même avec ces choses, l’homme, inévitablement, pèche et déplore les injustices de la société. Ces choses ne peuvent pas réfréner l’envie et le désir d’exploration de l’homme. C’est parce qu’il a été fait par Dieu et les sacrifices inutiles et les explorations inutiles de l’homme ne peuvent que conduire à plus de détresse et ne peuvent que faire en sorte que l’homme existe dans un état constant de peur, sans savoir comment faire face à l’avenir de l’humanité, ni comment affronter le chemin qui l’attend. L’homme en vient même à craindre la science et la connaissance, et craindra encore plus le sentiment de vide. Dans ce monde, que tu vives dans un pays libre ou dans un pays ignorant les droits de l’homme, tu ne pourras pas totalement échapper au destin de l’humanité. Que tu sois le gouvernant ou l’administré, tu ne pourras absolument pas échapper au désir d’explorer le destin, les mystères et la destination de l’humanité, tu pourras encore moins échapper au sentiment déconcertant de vide. De tels phénomènes, qui sont communs à toute l’humanité, sont appelés phénomènes sociaux par les sociologues, mais aucun grand homme ne peut se lever pour résoudre de tels problèmes. L’homme, après tout, est homme, et le statut et la vie de Dieu ne peuvent être remplacés par aucun homme. L’humanité ne demande pas seulement une société juste dans laquelle tout le monde est bien nourri, est égal et libre ; ce dont l’humanité a besoin, c’est du salut de Dieu et de Son approvisionnement de la vie. Ce n’est que lorsque l’homme reçoit l’approvisionnement de la vie et le salut de Dieu que les besoins, le désir d’explorer et le vide spirituel de l’homme peuvent être résolus. Si le peuple d’un pays ou d’une nation est incapable de recevoir le salut et les soins de Dieu, alors un tel pays ou une telle nation suivra le chemin du déclin, des ténèbres, et sera anéanti par Dieu.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité
La connaissance de la culture antique a furtivement volé l’homme de la présence de Dieu et a livré l’homme au roi des démons et à sa progéniture. Les Quatre Livres et les Cinq Classiques[a] ont guidé la pensée et les notions de l’homme dans un autre âge de rébellion, l’amenant à avoir une adulation encore plus grande qu’avant pour les compilateurs des Livres/Documents classiques, et par conséquent, à aggraver encore plus ses notions au sujet de Dieu. Sans pitié, le roi des démons a chassé Dieu du cœur de l’homme et l’a ensuite allègrement occupé lui-même sans que l’homme s’en rende compte. Depuis, l’homme est doué d’une âme laide et de la contenance du roi des démons. La poitrine de l’homme est remplie de haine pour Dieu et l’extrême méchanceté du roi des démons s’est répandue dans l’homme jour après jour jusqu’à ce que l’homme soit complètement consumé. L’homme n’était plus du tout libre et n’avait aucun moyen de se libérer des labeurs du roi des démons. Il n’avait d’autre choix que d’être fait prisonnier sur-le-champ, de se rendre et de se soumettre en sa présence. Il y a longtemps, le démon a semé la graine de l’athéisme, une véritable tumeur, dans le cœur et l’esprit de l’homme encore enfant, enseignant des sophismes à l’homme tels que : « Étudie la science et la technologie, sois au courant des Quatre modernisations, et il n’y a pas de Dieu dans le monde. » Non seulement cela, mais il proclame, dès qu’il en a la chance : « Comptons sur nos efforts laborieux pour construire une belle patrie », demandant à tous d’être prêts à servir leur pays fidèlement dès l’enfance. L’homme a été involontairement porté devant lui qui, sans hésitation, s’est arrogé tout honneur (se référant à l’honneur qui appartient à Dieu puisqu’Il tient toute l’humanité entre Ses mains). Il n’a jamais eu honte ni eu un sentiment de honte. En outre, sans honte, il a attrapé les gens du peuple de Dieu et les a traînés dans sa maison où il a sauté sur la table comme une souris et les a forcés à l’adorer comme Dieu. Quel desperado ! Il proclame des choses scandaleuses, choquantes, telles que : « Il n’y a pas de Dieu dans le monde. Le vent vient de transformations selon les lois naturelles ; il pleut lorsque de la vapeur d’eau rencontre du froid, se condense et tombe en gouttes sur la terre ; un tremblement de terre est l’ébranlement de la croûte terrestre en raison de changements géologiques ; la sécheresse est due à l’air sec causé par des perturbations nucléoniques sur la surface du soleil. Ce sont des phénomènes naturels. Dans tout cela, où y a-t-il un acte de Dieu ? » Certains même proclament ces déclarations éhontées qui ne devraient jamais être prononcées : « L’homme a évolué à partir de singes anciens et le monde d’aujourd’hui est sorti d’une succession de sociétés primitives commençant il y a environ des siècles. Qu’un pays prospère ou décline repose entièrement entre les mains de ses habitants. » Entre temps, il fait en sorte que l’homme l’accroche au mur ou le place sur la table pour lui rendre hommage et lui faire des offrandes. En même temps qu’il proclame : « Il n’y a pas de Dieu. », il se présente comme Dieu, chassant sans ménagement Dieu hors des limites de la terre tout en prenant la place de Dieu et jouant le rôle du roi des démons. Comme c’est insensé ! […]
De haut en bas et du début à la fin, Satan a perturbé l’œuvre de Dieu et a agi en opposition avec Lui. Tous ces discours sur « le patrimoine culturel ancien », la précieuse « connaissance de la culture ancienne », « les enseignements du taoïsme et du confucianisme », « les classiques confucéens et les rites féodaux », ont mené l’homme en enfer. La science et la technologie modernes avancées, ainsi que l’industrie hautement développée, l’agriculture et les affaires ne sont vues nulle part. Au contraire, il ne fait que souligner les rites féodaux propagés par les « singes » des temps anciens pour délibérément perturber et démanteler l’œuvre de Dieu et s’y opposer. Non seulement a-t-il continué d’affliger l’homme jusqu’à ce jour, mais il veut même avaler[1] l’homme complètement. La transmission des enseignements moraux et éthiques du féodalisme, ainsi que de la connaissance de la culture ancienne, a longtemps infecté les hommes, les transformant en démons, petits et grands. Peu nombreux sont ceux qui recevraient Dieu volontiers et accueilleraient Sa venue avec joie. Tous les hommes ont des couteaux dans les yeux et, en tous lieux, la mort est dans l’air. Ils cherchent à chasser Dieu du pays ; couteaux et épées en main, ils se rangent en lignes de bataille pour « anéantir » Dieu.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (7)
Notes de bas de page :
1. « Avaler » se réfère au comportement vicieux du roi des démons qui dérobent complètement les hommes.
a. Les Quatre Livres et les Cinq Classiques sont les livres du confucianisme qui font autorité en Chine.
Quels que soient votre niveau de connaissance actuel ou vos diplômes et compétences académiques, je parle ici de l’opinion de l’humanité sur la connaissance et de Mon point de vue sur cette dernière. Savez-vous ce que Dieu pense du savoir ? Certains pourraient prétendre que Dieu souhaite que la science se développe en faveur de l’humanité et que celle-ci acquière davantage de connaissances scientifiques, car Il ne veut pas que celle-ci accuse un trop grand retard, qu’elle soit ignorante et dans l’incompréhension. C’est exact, mais Dieu exploite ces éléments pour rendre service et ne les approuve pas. Aussi formidables que puissent sembler ces aspects aux yeux de l’homme, ils ne représentent ni la vérité ni un substitut à celle-ci, et c’est la raison pour laquelle Dieu exprime la vérité pour changer les individus et leur tempérament. Bien que les paroles de Dieu puissent occasionnellement concerner des points de vue ou des façons d’envisager la connaissance comme le confucianisme ou les sciences sociales, ce ne sont que des illustrations de tels points de vue. En lisant entre les lignes de Ses paroles, nous pouvons remarquer que Dieu déteste la connaissance humaine. Cette dernière ne se limite pas à des phrases basiques et à des doctrines simples, mais contient également des pensées et des points de vue, ainsi que l’absurdité humaine, des préjugés et des poisons sataniques. Certaines connaissances peuvent même induire les gens en erreur et les corrompre : c’est le poison et la tumeur de Satan, et dès qu’une personne a accepté ces connaissances et les a assimilées, le poison de Satan se transforme en tumeur dans son cœur. Cette dernière se propagera dans le corps tout entier, entraînant inévitablement la mort si les individus ne sont pas guéris par les paroles de Dieu et soignés par la vérité. Ainsi, plus les gens acquièrent de connaissances, plus ils comprennent de choses, et moins ils sont susceptibles de croire en l’existence de Dieu. Au contraire, ils Le nieront et Lui résisteront vraiment, car la connaissance est une chose qu’ils peuvent voir et toucher, et qui est principalement liée à des aspects de leur vie. Les gens peuvent étudier et acquérir de nombreuses connaissances à l’école, mais ils ignorent la source du savoir et son lien avec le domaine spirituel. La plupart des connaissances que les gens acquièrent et comprennent vont à l’encontre de la vérité des paroles de Dieu ; le matérialisme philosophique, et la théorie de l’évolution en particulier, relèvent des hérésies et des sophismes propres à l’athéisme. Il s’agit sans aucun doute d’un ensemble de sophismes qui résistent à Dieu. Que gagneras-tu à lire des livres d’histoire, des œuvres d’auteurs bien connus, des biographies de personnes extraordinaires, ou peut-être à étudier certains aspects scientifiques ou technologiques ? Par exemple, si tu étudies la physique, tu maîtriseras certains principes physiques, la théorie newtonienne ou d’autres doctrines, mais une fois acquises et apprises par cœur, ces connaissances prendront le contrôle de ton esprit et domineront tes pensées. Lorsque tu liras les paroles de Dieu, tu penseras : « Comment se fait-il que Dieu ne mentionne pas le phénomène de la pesanteur ? Pourquoi n’est-il pas question de l’espace ? Pourquoi Dieu ne précise-t-Il pas si la lune contient une atmosphère ou la quantité d’oxygène présente sur Terre ? Dieu devrait révéler ces informations, car celles-ci doivent vraiment être connues et communiquées à l’humanité. » Si tu nourris ce type de pensées dans ton cœur, alors tu considéreras la vérité et les paroles de Dieu comme secondaires, et tu mettras au premier plan toutes tes connaissances et tes théories. C’est ainsi que tu traiteras la parole de Dieu. En tout état de cause, ces considérations intellectuelles donneront aux gens une vision erronée et les éloigneront de Dieu. Peu importe que vous le croyiez ou non, ou que vous puissiez l’accepter aujourd’hui, un jour viendra où vous admettrez ce fait. Comprenez-vous vraiment la manière dont la connaissance peut conduire les gens à la destruction, à l’enfer ? Certains ne seront peut-être pas prêts à l’accepter, car il y a parmi vous des personnes extrêmement instruites et très bien informées. Je ne suis pas en train de Me moquer de vous ou d’être sarcastique, Je Me contente d’énoncer un fait. Je ne vous demande pas non plus de l’accepter immédiatement, mais de parvenir progressivement à comprendre cet aspect. La connaissance te pousse à utiliser ton esprit et ton intelligence pour analyser et traiter tout ce que Dieu accomplit. Elle deviendra un frein et un obstacle à ta connaissance de Dieu et à l’expérience de Son œuvre, et te conduira à t’éloigner de Dieu et à Lui résister. Mais maintenant que tu as acquis des connaissances, que fais-tu ? Tu dois faire la différence entre les connaissances concrètes et celles qui viennent de Satan et qui relèvent de l’hérésie et du sophisme. Si tu n’acceptes que des connaissances athéistes et absurdes, celles-ci pourraient entraver ta croyance en Dieu, perturber ta relation normale avec Lui et ton acceptation de la vérité, voire bloquer ton entrée dans la vie. Tu dois le savoir, car c’est exact.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le chemin de pratique nécessaire au changement de tempérament
La connaissance, l’expérience, les leçons, rien de tout cela n’est la vérité ; elles n’ont absolument rien à voir avec la vérité. Ces choses vont même à l’encontre de la vérité et sont condamnées par Dieu. Prenons l’exemple de la connaissance : l’histoire est-elle une forme de connaissance ? (Oui.) Comment sont nés la connaissance et les livres d’histoire sur l’histoire humaine, l’histoire de certains pays ou groupes ethniques, l’histoire moderne, l’histoire ancienne, ou même certaines histoires non officielles ? (Ils ont été écrits par des gens.) Alors, ce qui a été écrit par des gens correspond-il à la véritable histoire ? Les idées et les points de vue des gens ne sont-ils pas en contradiction avec les principes, les voies et les moyens d’action de Dieu ? Ces paroles prononcées par l’homme sont-elles liées à la véritable histoire ? (Non.) Il n’y a aucun rapport. Par conséquent, quelle que soit l’exactitude des informations contenues dans les livres d’histoire, il ne s’agit que de connaissance. Quelle que soit l’éloquence de ces historiens et la logique et la clarté avec lesquelles ils racontent ces histoires, quelle est la conclusion à laquelle tu arriveras après les avoir écoutées ? (Nous connaîtrons ces évènements.) Oui, tu connaîtras ces évènements. Mais racontent-ils ces histoires dans le seul but de t’informer sur ces évènements ? Ils ont une certaine idée avec laquelle ils souhaitent t’endoctriner. Et sur quoi est axé leur endoctrinement ? C’est ce que nous devons analyser et disséquer. Laissez-Moi vous donner un exemple afin que vous puissiez comprendre avec quoi ils souhaitent endoctriner les gens. Après avoir passé en revue l’histoire de l’Antiquité à nos jours, les gens ont fini par trouver un dicton ; ils ont observé un fait dans l’histoire de l’humanité, qui est le suivant : « Les gagnants remportent la couronne et les perdants n’obtiennent rien. » S’agit-il d’une connaissance ? (Oui.) Cette connaissance provient de faits historiques. Ce dicton a-t-il un rapport avec les voies et moyens par lesquels Dieu exerce Sa souveraineté sur toutes choses ? (Non.) C’est même le contraire, il les contredit et va à leur encontre. Ainsi, tu as été endoctriné par ce dicton, et si tu ne comprends pas la vérité, ou si tu es un non-croyant, que pourrais-tu penser après l’avoir entendu ? Comment percevrais-tu ce dicton ? Tout d’abord, ces historiens ou livres d’histoire énumèrent tous les évènements de ce type, en utilisant suffisamment de preuves et d’évènements historiques pour étayer l’exactitude du dicton. Au début, il se peut que tu aies appris ce dicton dans un livre et que tu ne connaisses que le dicton lui-même. Il se peut que tu ne comprennes qu’à un certain niveau ou dans une certaine mesure jusqu’à ce que tu prennes conscience de ces évènements. Mais une fois que tu auras pris connaissance de ces faits historiques, ton acceptation et ta reconnaissance du dicton se renforceront. Tu ne diras absolument pas : « Il y a des choses qui ne sont pas comme ça. » Au lieu de cela, tu diras : « C’est ainsi, si l’on regarde l’histoire depuis les temps anciens jusqu’à aujourd’hui, l’humanité s’est développée de cette manière – les gagnants remportent la couronne et les perdants n’obtiennent rien ! » Lorsque tu perçois la question de cette manière, quels seront tes points de vue et tes attitudes à l’égard de ton comportement, de ta carrière et de ta vie quotidienne, ainsi qu’à l’égard des personnes, des évènements et des choses qui t’entourent ? Une telle perception changera-t-elle ton attitude ? (Oui.) Oui, par-dessus tout. Alors, comment cela va-t-il changer ton attitude ? Cela guidera-t-il et changera-t-il la direction de ta vie et tes méthodes pour les relations mondaines ? Peut-être pensais-tu auparavant que « L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie » et « Les bons ont une vie paisible ». Maintenant, tu penseras : « Puisque “les gagnants remportent la couronne et les perdants n’obtiennent rien”, si je veux devenir fonctionnaire, je devrai considérer attentivement Untel. Ils ne sont pas de mon côté, je ne peux donc pas les promouvoir – même s’ils méritent de l’être. » En pensant aux choses de cette manière, ton attitude changera – et elle changera rapidement. Comment ce changement se produira-t-il ? Il se produira parce que tu as accepté l’idée et le point de vue que « les gagnants remportent la couronne et les perdants n’obtiennent rien ». Entendre de nombreux faits ne fera que te confirmer davantage la justesse de ce point de vue dans la vie humaine concrète. Tu seras profondément convaincu que tu dois appliquer ce point de vue à tes propres actions et à ton comportement afin de poursuivre ta vie et tes perspectives d’avenir. Cette idée et ce point de vue ne t’auront-ils pas alors changé ? (Oui.) Et en même temps que cela te changera, cela te corrompra aussi. C’est ainsi. De telles connaissances te changent et te corrompent. Ainsi, si l’on examine le fond du problème, quelle que soit la précision avec laquelle ces histoires sont exposées, elles sont en fin de compte résumées dans ce dicton, et tu es endoctriné par cette idée. Est-ce que cette connaissance est l’incarnation de la vérité ou la logique de Satan ? (La logique de Satan.) C’est exact. Ai-Je expliqué cela suffisamment en détail ? (Oui.) Maintenant c’est clair. Si tu ne crois pas en Dieu, tu ne comprendras toujours pas cela, même après deux vies – plus tu vivras, plus tu auras le sentiment d’être stupide, et tu penseras que tu n’es pas assez impitoyable, et que tu devrais être plus impitoyable, plus rusé, plus sinistre, et une personne plus mauvaise et plus malfaisante. Tu te diras : « S’il peut tuer, alors je dois allumer des feux. S’il tue une personne, je dois en tuer 10. S’il tue sans laisser de trace, alors je ferai du mal aux gens sans qu’ils le sachent – leurs descendants me remercieront même pendant trois générations ! » Telle est l’influence que la philosophie, la connaissance, l’expérience et les leçons de Satan ont exercée sur l’humanité. En réalité, il ne s’agit que de mauvais traitement et de corruption. Par conséquent, quel que soit le type de connaissances prêchées ou propagées dans ce monde, elles t’endoctrineront avec une idée ou un point de vue. Si tu ne peux pas distinguer cela, tu seras empoisonné. En définitive, une chose est sûre aujourd’hui : peu importe que ces connaissances proviennent de personnes ordinaires ou de sources officielles, qu’elles soient admirées par une minorité ou par la majorité, rien de tout cela n’a d’importance pour la vérité. La vérité est la réalité de toutes les choses positives. Sa justesse n’est pas déterminée par le nombre de personnes qui la reconnaissent. La réalité des choses positives est elle-même la vérité. Personne ne peut changer cela, ni le nier. La vérité sera toujours la vérité.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie III)
Tous ceux qui sont du diable vivent pour eux-mêmes. Leur point de vue sur la vie et leurs maximes proviennent principalement des dictons de Satan, tels que : « Chacun pour soi, Dieu pour tous », « L’homme meurt pour la richesse comme les oiseaux le font pour la nourriture » et autres faussetés de ce genre. Toutes ces paroles prononcées par ces diables-rois, ces grands et ces philosophes sont devenues la vie même de l’homme. La plupart des paroles de Confucius, en particulier, encensé comme un « sage » par les Chinois, sont devenues la vie de l’homme. Il y a aussi les célèbres proverbes du bouddhisme et du taoïsme, ainsi que les dictons classiques, souvent cités, de diverses personnalités célèbres. Tout cela est la somme des philosophies de Satan et de la nature de Satan. Tous ces dictons illustrent et expliquent le mieux également la nature de Satan. Ces poisons qui ont été infusés dans le cœur de l’homme viennent tous de Satan, et aucun ne vient de Dieu. De telles paroles diaboliques sont également en opposition directe avec la parole de Dieu. Il est absolument clair que les réalités de toutes les choses positives viennent de Dieu et que toutes les choses négatives qui empoisonnent l’homme viennent de Satan. Donc, tu peux discerner la nature d’une personne et savoir à qui cette personne appartient en regardant sa vision de la vie et ses valeurs. Satan corrompt les hommes par l’éducation et par l’influence de gouvernements nationaux, de célébrités et de grands personnages. Leurs paroles diaboliques sont devenues la vie et la nature de l’homme. « Chacun pour soi, Dieu pour tous » est un dicton satanique bien connu qui a été instillé en tous et c’est devenu la vie de l’homme. Il y a d’autres paroles de philosophies des relations mondaines qui sont aussi comme ça. Satan utilise la belle culture traditionnelle de chaque nation pour éduquer, fourvoyer et corrompre les gens, provoquant la chute et l’engloutissement de l’humanité dans un abîme de destruction sans limites, et à la fin, les hommes sont détruits par Dieu parce qu’ils servent Satan et résistent à Dieu. Certains ont servi comme fonctionnaires dans la société pendant des décennies. Imagine que tu leur poses la question suivante : « Tu as si bien réussi à ce titre, quels sont les principaux dictons célèbres selon lesquels tu vis ? » Il répondrait peut-être : « Il y a une chose que je comprends : “Les fonctionnaires ne rendent pas la vie dure à ceux qui leur apportent des cadeaux et ceux qui n’ont pas recours à la flatterie n’accomplissent rien.” » Telle est la philosophie satanique sur laquelle est fondée leur carrière. Ces mots ne sont-ils pas représentatifs de la nature d’une telle personne ? Utiliser sans scrupule n’importe quel moyen pour obtenir une position est devenu une seconde nature pour elle, une position officielle et la réussite d’une carrière, voilà ses objectifs. Il y a encore beaucoup de poisons sataniques dans la vie des hommes, dans leur conduite et leur comportement. Par exemple, leurs philosophies des relations mondaines, leurs façons d’agir et leurs maximes sont toutes remplies des poisons du grand dragon rouge et toutes viennent de Satan. Ainsi, toutes les choses que les hommes ont dans leurs os et dans leur sang sont des choses de Satan. Tous ces responsables, ceux qui détiennent le pouvoir et ceux qui sont parvenus ont leurs propres voies et secrets de réussite. De tels secrets ne sont-ils pas parfaitement représentatifs de leur nature ? Ils ont fait de si grandes choses dans le monde, et personne ne peut percer à jour les manigances et les intrigues qu’il y a derrière elles. Cela montre tout simplement à quel point leur nature est insidieuse et venimeuse. L’humanité a été profondément corrompue par Satan. Le venin de Satan coule dans le sang de chaque personne et l’on peut dire que la nature de l’homme est corrompue, malveillante, antagoniste et en opposition à Dieu, remplie et imprégnée des philosophies et des poisons de Satan. Elle est entièrement devenue la nature-essence de Satan. C’est pour cela que les gens résistent à Dieu et se tiennent en opposition à Dieu.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment connaître la nature de l’homme
« L’argent fait tourner le monde » est la philosophie de Satan. Elle prévaut dans l’humanité tout entière, dans toutes les sociétés humaines : vous pourriez dire que c’est une tendance. En effet, elle a été instillée à tous les hommes, qui au début n’acceptaient pas ce dicton, mais lui ont ensuite donné leur accord tacite lorsqu’ils sont entrés en contact avec la vie réelle et ont commencé à sentir que ces mots, en fait, étaient vrais. Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? Peut-être que les gens ne comprennent pas ce dicton de la même manière, mais chaque personne a une manière différente de l’interpréter et de le comprendre en se fondant sur des choses qui se sont passées autour d’elle et sur ses expériences personnelles. N’est-ce pas le cas ? Peu importe l’expérience que quelqu’un a de ce dicton, quel est l’effet négatif qu’il peut avoir sur le cœur de quelqu’un ? Quelque chose est révélé par le tempérament humain des gens dans ce monde, y compris chacun d’entre vous. De quoi s’agit-il ? C’est le culte de l’argent. Est-il difficile d’enlever cela du cœur de quelqu’un ? C’est très difficile ! Il semble que la corruption de l’homme par Satan soit profonde, en effet ! Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice dans leur quête d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? Cela n’est-il pas une ruse malveillante ? En passant du refus de ce dicton populaire à son acceptation comme vérité, ton cœur tombe complètement sous l’emprise de Satan, et donc, par inadvertance, tu en arrives à vivre par lui. Jusqu’à quel point ce dicton t’a-t-il affecté ? Tu peux connaître la vraie voie et tu peux connaître la vérité, mais tu restes impuissant à la poursuivre. Tu peux savoir clairement que les paroles de Dieu sont la vérité, mais tu n’es pas prêt à payer le prix ou à souffrir pour gagner la vérité. Au lieu de cela, tu préférerais sacrifier ton propre avenir et ton destin pour résister à Dieu jusqu’à la fin. Peu importe ce que Dieu dit, peu importe ce que Dieu fait, peu importe que tu comprennes la profondeur et la grandeur de l’amour de Dieu pour toi, tu insistes obstinément pour faire les choses à ta façon et payer le prix de ce dicton. Autrement dit, ce dicton a déjà fourvoyé et contrôlé tes pensées, il a déjà régi ton comportement, et tu préfères le laisser diriger ton destin plutôt que de mettre de côté ta quête de richesse. Que les gens puissent agir ainsi, qu’ils puissent être contrôlés et manipulés par les paroles de Satan, cela ne signifie-t-il pas qu’ils ont été fourvoyés et corrompus par Satan ? La philosophie et la mentalité de Satan, et le tempérament de Satan, n’ont-ils pas pris racine dans ton cœur ? Quand tu poursuis aveuglément la richesse et abandonnes la poursuite de la vérité, Satan n’a-t-il pas atteint son objectif qui consiste à te fourvoyer ? C’est exactement le cas. Peux-tu donc le percevoir quand tu es fourvoyé et corrompu par Satan ? Non. Si tu n’es pas à même de voir Satan qui se tient juste devant toi, ou de percevoir Satan qui agit dans l’ombre, seras-tu capable de voir la méchanceté de Satan ? Pourras-tu savoir comment Satan corrompt l’humanité ? Satan corrompt l’homme en tout temps et en tous lieux. Satan fait en sorte qu’il est impossible pour l’homme de se défendre contre cette corruption et rend l’homme impuissant contre elle. Satan te fait accepter ses pensées, ses points de vue et les choses malveillantes qui viennent de lui dans des situations où tu es ignorant et quand tu n’as aucune connaissance de ce qui t’arrive. Les gens acceptent pleinement ces choses et ne s’en offusquent pas. Ils chérissent et gardent ces choses comme un trésor. Ils se laissent manipuler par ces choses, se laissent traiter comme des jouets par ces choses. C’est de cette façon que les gens vivent sous l’emprise de Satan et obéissent inconsciemment à Satan, et la corruption de l’homme par Satan devient toujours plus profonde.
– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V
Maintenant, certaines personnes croient que le dicton « Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez » est utile et correct. Ces personnes ont-elles du discernement ? Comprennent-elles la vérité ? Les pensées et les vues de telles personnes sont-elles problématiques ? Si quelqu’un dans l’Église propage ce dicton, il le fait avec une motivation, il essaie d’induire les autres en erreur. Il tente d’utiliser le dicton « Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez » pour chasser les appréhensions et les doutes à son propos. Implicitement, cela signifie qu’il veut que les autres aient confiance au fait qu’il peut faire le travail, aient confiance au fait qu’il peut être utile. N’est-ce pas son intention et son but ? Cela doit l’être. Il pense en lui-même : « Vous ne me faites jamais confiance et vous doutez toujours de moi. À un moment, vous allez sans doute me trouver quelque problème minime et me renvoyer. Comment suis-je supposé travailler si j’ai toujours cela à l’esprit ? » Alors, il propage cette vue de sorte que la maison de Dieu lui fasse confiance sans douter et le laisse travailler librement, atteignant ainsi son objectif. Si quelqu’un poursuit vraiment la vérité, il devrait traiter de façon appropriée la supervision de la maison de Dieu sur son travail quand il la voit, en sachant que c’est pour sa propre protection et, plus important, que cela est également être responsable du travail de la maison de Dieu. Bien qu’il puisse révéler sa corruption, il peut prier Dieu de demander qu’Il le scrute et le protège ou jurer à Dieu qu’il acceptera Sa punition s’il agit mal. Cela n’apaiserait-il pas son âme ? Pourquoi propager une idée fausse pour induire les gens en erreur et atteindre son propre but ? Certains dirigeants et ouvriers ont toujours une attitude de résistance envers la supervision du peuple élu de Dieu ou envers les efforts des dirigeants supérieurs et des ouvriers pour apprendre sur leur travail. Que pensent-ils ? « “Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez.” Pourquoi me supervisez-vous tout le temps ? Pourquoi m’employez-vous si vous ne me faites pas confiance ? » Si vous leur posez des questions sur leur travail ou si vous enquêtez sur les progrès de celui-ci et qu’ensuite vous vous enquérez de leur état personnel, ils seront toujours plus sur la défensive : « Ce travail m’a été confié ; il relève de ma compétence. Pourquoi interférez-vous dans mon travail ? » Même s’ils n’osent pas le dire à haute voix, ils insinueront : « Comme dit le dicton, “Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez.” Pourquoi es-tu aussi suspicieux ? » Ils te condamneront et te catalogueront même. Et que se passera-t-il si tu ne comprends pas la vérité et que tu n’as aucun discernement ? Après avoir entendu leurs insinuations, tu pourrais dire : « Suis-je suspicieux ? Alors, j’ai tort. Je suis fourbe ! Tu as raison : Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez. » N’as-tu alors pas été induit en erreur ? Le dicton « Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez » est-il en accord avec la vérité ? Non, c’est une bêtise ! Ces gens malveillants sont insidieux et fourbes ; ils présentent ce dicton comme la vérité pour induire en erreur les gens confus. Une personne confuse, entendant ce dicton, est vraiment induite en erreur, elle devient confuse et pense : « Il a raison, j’ai été injuste avec cette personne. Il l’a dit lui-même : “Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez.” Comment ai-je pu douter de lui ? Le travail ne peut pas être fait de cette façon. Je dois l’encourager sans m’immiscer dans son travail. Comme je l’emploie, j’ai besoin de lui faire confiance et de le laisser travailler librement sans le contraindre. Je dois lui donner de l’espace pour qu’il le réalise. Il a la capacité de faire le travail. Et même s’il n’a pas la capacité, il y a toujours le Saint-Esprit à l’œuvre ! » Quelle sorte de logique est-ce ? Y a-t-il une chose en cela qui est conforme à la vérité ? (Non.) Ces mots sonnent juste. « Nous ne pouvons pas contraindre les autres. » « Les gens ne peuvent rien faire ; c’est le Saint-Esprit qui fait tout. Le Saint-Esprit scrute tout. Nous n’avons pas besoin de douter parce que Dieu est pleinement aux commandes. » Mais quelle sorte de paroles est-ce ? Les gens qui parlent ainsi n’ont-ils pas l’esprit confus ? Ils ne peuvent même pas en percevoir et sont induits en erreur par une seule phrase. On peut affirmer que la plupart des gens considèrent l’expression « Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez » comme la vérité, et cela les induit en erreur et les attache. Ils en sont perturbés et influencés lors de la sélection et de l’emploi de personnes, et cette idée dicte même leurs actions. En conséquence, de nombreux dirigeants et ouvriers rencontrent des difficultés et des appréhensions chaque fois qu’ils vérifient l’œuvre de l’Église ou promeuvent et emploient des personnes. En fin de compte, tout ce qu’ils peuvent faire, c’est se réconforter par ces paroles : « Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez. » Chaque fois qu’ils inspectent le travail ou s’en enquièrent, ils pensent : « “Ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez.” Je dois faire confiance à mes frères et sœurs, et après tout, le Saint-Esprit scrute les gens, donc je ne dois pas toujours douter et superviser les autres. » Ils ont été influencés par cette formule, n’est-ce pas ? Quelles sont les conséquences de l’influence qu’exerce cette formule ? Premièrement, si quelqu’un souscrit à cette idée de « ne pas douter de ceux que vous employez ni employer ceux dont vous doutez », inspectera-t-il ou guidera-t-il le travail des autres ? Supervisera-t-il et suivra-t-il le travail des gens ? Si cette personne fait confiance à tous ceux qu’elle emploie et ne les inspecte jamais ou ne les guide jamais dans leur travail, et ne les supervise jamais, fait-elle son devoir loyalement ? Peut-elle réaliser de façon compétente le travail de l’Église et achever la commission de Dieu ? Sont-ils loyaux à la commission de Dieu ? Deuxièmement, ce n’est pas simplement un manquement à la parole de Dieu et à tes devoirs, c’est prendre les intrigues et la philosophie des relations mondaines de Satan pour la vérité, les suivre et les pratiquer. Tu obéis à Satan et tu vis selon une philosophie satanique, n’est-ce pas ? Tu n’es pas une personne qui se soumet à Dieu, encore moins une personne qui respecte les paroles de Dieu. Tu es une parfaite crapule. Laisser de côté les paroles de Dieu pour préférer adhérer à une formule satanique et la pratiquer comme la vérité, c’est trahir la vérité et Dieu ! Tu travailles dans la maison de Dieu, mais les principes de tes actes sont la logique satanique et la philosophie des relations mondaines : quel genre de personne es-tu ? Voilà quelqu’un qui trahit Dieu et qui Lui fait gravement honte. Quelle est l’essence de cet acte ? C’est ouvertement condamner Dieu et nier la vérité. N’est-ce pas là l’essence de la chose ? (Ça l’est.) En plus de ne pas suivre la volonté de Dieu, tu laisses les paroles diaboliques de Satan et les philosophies sataniques des relations mondaines se répandre dans l’Église. En faisant cela, tu deviens le complice de Satan, tu aides Satan à exercer ses activités au sein de l’Église, et tu perturbes et interromps le travail de l’Église. L’essence de ce problème est très grave, n’est-ce pas ?
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 1 : Ce qu’est la vérité
Alors que signifie ne jamais s’avouer vaincu ? C’est quand quelqu’un échoue, rencontre des revers, ou s’égare sur le mauvais chemin, mais ne l’admet pas. Il continue simplement avec entêtement. Il échoue, mais n’est pas découragé, il échoue, mais n’admet pas ses erreurs. Peu importe combien de gens le réprimandent ou le condamnent, il ne se retourne pas. Il insiste pour se battre et travailler en suivant sa propre direction et en poursuivant ses propres objectifs et il ne pense pas au coût. C’est à cette sorte de mentalité que cette expression fait référence. Cette mentalité n’est-elle pas très bonne pour inspirer les gens ? Dans quelles situations l’expression « ne jamais s’avouer vaincu » est-elle généralement employée ? Dans toutes sortes de situations. Partout où il existe des humains corrompus, cette expression existe ; cette mentalité existe. Alors, pourquoi les humains de la trempe de Satan ont-ils inventé ce dicton ? Pour que les gens ne se comprennent jamais, ne reconnaissent pas leurs propres erreurs et n’acceptent pas leurs propres erreurs. Pour que les gens ne voient simplement pas le côté d’eux-mêmes qui est fragile, faible et inepte, mais qu’ils voient plutôt le côté d’eux-mêmes qui est capable, leur côté qui est puissant et courageux, ne se sous-estiment pas, mais pensent qu’ils sont compétents. Aussi longtemps que tu penses que tu es capable, tu es capable ; aussi longtemps que tu penses que tu peux réussir, que tu n’échoueras pas et que tu deviendras la crème de la crème, alors tu y parviendras. Aussi longtemps que tu as de la détermination et de la résolution, cette ambition et ce désir, alors, tu peux tout accomplir. Les gens ne sont pas insignifiants ; ils sont puissants. Les non-croyants ont un dicton : « Ta scène est aussi grande que ton cœur. » Certaines personnes aiment ce dicton dès qu’elles l’entendent : « Oh, je veux un diamant de dix carats, donc cela signifie que je l’aurai ? Je veux une Mercedes Benz, alors cela signifie que je l’aurai ? » Ce que tu as correspondra-t-il à l’ampleur du désir de ton cœur ? (Non.) Ce dicton est une fausseté. Pour parler franchement, l’arrogance de ceux qui croient et reconnaissent l’expression « ne jamais s’avouer vaincu » ne connaît pas de limites. Quelles paroles de Dieu sont directement contredites par la façon de penser de ces gens ? Dieu exige que les gens se comprennent et se comportent de façon pragmatique. Les gens ont des tempéraments corrompus ; ils ont des défauts et un tempérament qui résiste à Dieu. Il n’y a pas de gens parfaits parmi les hommes ; personne n’est parfait ; ils ne sont que des gens ordinaires. Comment Dieu exhorte-t-Il les gens à se comporter ? (Consciencieusement.) Se comporter de façon consciencieuse et se tenir fermement à leur place d’être créé, de façon pragmatique. Dieu a-t-Il déjà exigé que les gens ne s’avouent jamais vaincus ? (Non.) Non. Alors qu’est-ce que Dieu dit sur les gens qui suivent le mauvais chemin ou révèlent un tempérament corrompu ? (Il dit de le reconnaître et de l’accepter.) Le reconnaître et l’accepter, puis le comprendre, être capable de se retourner et d’atteindre la pratique de la vérité. Au contraire, « ne jamais s’avouer vaincu » se dit quand les gens ne comprennent pas leurs propres problèmes, ne comprennent pas leurs erreurs, ne les acceptent pas, ne se retournent et ne se repentent en aucun cas et acceptent encore moins la souveraineté ou les arrangements de Dieu. Non seulement ils ne cherchent pas ce qu’est exactement leur destin ou quels sont les orchestrations et les arrangements de Dieu, non seulement ils ne recherchent pas ces choses, mais au contraire, ils tiennent leur destin entre leurs propres mains ; ils veulent avoir le dernier mot. Aussi, Dieu exige des gens qu’ils se comprennent, qu’ils s’évaluent et se jaugent précisément et qu’ils fassent ce qu’ils peuvent bien, de façon pragmatique et consciencieuse, en y mettant tout leur cœur, tout leur esprit et toute leur âme, alors que Satan pousse les gens à faire plein usage de leur tempérament arrogant et à donner les pleins pouvoirs à leur tempérament arrogant. Il pousse les gens à devenir surhumains, géniaux et même à acquérir des super pouvoirs ; cela fait que les gens deviennent des choses qu’ils ne peuvent pas être. Quelle est donc la philosophie de Satan ? C’est que, même si tu as tort, tu n’as pas tort et que, aussi longtemps que tu as la mentalité de ne pas reconnaître ta défaite et aussi longtemps que tu ne t’avoues jamais vaincu, tôt ou tard viendra le jour où tu deviendras la crème de la crème, et tôt ou tard viendra le jour où tes souhaits et tes objectifs se concrétiseront. Alors, y a-t-il un aspect de ne jamais s’avouer vaincu qui signifie que tu utiliseras tous les moyens possibles pour accomplir quelque chose ? Pour atteindre tes objectifs, tu ne dois pas reconnaître que tu es capable d’échouer, tu ne dois pas croire que tu es une personne ordinaire et tu ne dois pas croire que tu es capable de suivre le mauvais chemin. En plus de cela, tu dois utiliser sans scrupule toutes sortes de méthodes ou de stratagèmes secrets pour concrétiser tes ambitions et tes désirs. Y a-t-il quoi que ce soit dans l’expression « ne jamais s’avouer vaincu » qui implique que les gens abordent leur destin avec une attitude d’attente et de soumission ? (Non.) Non. Les gens insistent pour prendre leur destin complètement en main ; ils veulent contrôler leur propre destin. Peu importe le chemin qu’ils emprunteront, s’ils seront bénis ou non ou quel sera leur mode de vie, ils doivent avoir le dernier mot à tout.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 1 : Ce qu’est la vérité
« Sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres » : ce dicton, comme « N’empoche pas l’argent que tu ramasses » et « Trouve du plaisir à aider les autres », est une de ces exigences que la culture traditionnelle présente concernant la conduite morale des gens. De la même manière, pouvoir ou non atteindre ou exercer cette conduite morale n’est encore pas le critère ni la norme pour mesurer l’humanité de quelqu’un. Il se peut que tu sois vraiment capable d’être strict avec toi-même et tolérant envers les autres et que tu te conformes à des normes particulièrement élevées. Il se peut que tu sois blanc comme neige et que tu penses toujours aux autres et leur montres de la considération, sans être égoïste et sans rechercher tes propres intérêts. Tu peux sembler particulièrement magnanime et altruiste et avoir un sens aigu de la responsabilité et de la morale sociale. Ta personnalité et tes qualités nobles peuvent être visibles à tes proches et à ceux que tu rencontres et avec qui tu interagis. Il se peut que ton comportement ne donne jamais aux autres aucune raison de te blâmer ni de te critiquer, mais suscite plutôt des éloges abondants et même de l’admiration. Il se peut qu’on te considère comme quelqu’un qui est vraiment strict avec lui-même et tolérant envers les autres. Cependant, ce ne sont là rien de plus que des comportements externes. Les pensées et les souhaits que tu as au fond de toi sont-ils cohérents avec ces comportements extérieurs, avec ces actions que tu laisses voir extérieurement ? La réponse est non, ils ne le sont pas. La raison pour laquelle tu peux agir de cette manière est qu’il y a une motivation derrière cela. Quelle est cette motivation, exactement ? Pourrais-tu supporter que cette motivation soit mise à la lumière du jour ? Certainement pas. Cela prouve que cette motivation est quelque chose d’inavouable, quelque chose de sombre et de mal. Maintenant, pourquoi cette motivation est-elle inavouable et malfaisante ? C’est parce que l’humanité des gens est gouvernée et dirigée par leurs tempéraments corrompus. Toutes les pensées de l’humanité, que les gens les mettent en mots ou les révèlent, sont indéniablement dominées, contrôlées et manipulées par leurs tempéraments corrompus. En conséquence, les motivations et les intentions des gens sont toutes sinistres et malfaisantes. Indépendamment du fait que les gens soient capables d’être stricts avec eux-mêmes et tolérants envers les autres, ou qu’ils expriment parfaitement ou non cette morale extérieurement, il est inévitable que cette morale n’ait aucun contrôle ni aucune influence sur leur humanité. Alors, qu’est-ce qui contrôle l’humanité des gens ? Ce sont leurs tempéraments corrompus, c’est leur humanité-essence qui se trouve obscurcie sous la morale « sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres » : c’est leur vraie nature. La vraie nature d’une personne est son humanité-essence. Et en quoi consiste son humanité-essence ? Elle se compose principalement de ses préférences, de ce qu’elle poursuit, de sa vision de la vie et de son système de valeurs, ainsi que de son attitude envers la vérité et Dieu, etc. Seules ces choses représentent vraiment l’humanité-essence des gens. On peut affirmer avec certitude que la plupart des gens qui exigent d’eux-mêmes la conformité à la morale d’être « stricts avec eux-mêmes et tolérants envers les autres » sont obsédés par le statut. Poussés par leurs tempéraments corrompus, ils ne peuvent s’empêcher de rechercher le prestige parmi les hommes, la notoriété sociale et le statut aux yeux des autres. Toutes ces choses sont liées à leur désir de statut et sont poursuivies sous le couvert de leur bonne conduite morale. Et comment ces poursuites qui sont les leurs se produisent-elles ? Elles sont entièrement produites et déterminées par leurs tempéraments corrompus. Donc, quoi qu’il arrive, le fait que quelqu’un se conforme ou non à la morale d’être « strict avec soi-même et tolérant envers les autres » et qu’il le fasse à la perfection ou non ne change rien du tout à son humanité-essence. En d’autres termes, cela ne peut en aucune façon changer ses points de vue sur la vie ni son système de valeurs, ni guider son attitude ou sa perspective sur n’importe quelle personne, n’importe quel évènement et n’importe quelle chose. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Plus une personne est capable d’être stricte avec elle-même et tolérante envers les autres, plus elle est apte à jouer un rôle, à se déguiser et à induire les autres en erreur par un bon comportement et des paroles agréables, et plus elle est malhonnête et malveillante par nature. Plus les gens sont ce type de personne, plus leur amour et leur quête du statut et du pouvoir deviennent intenses. Aussi magnifique, glorieuse et correcte que semble être leur conduite morale externe et aussi agréable à voir que ce soit pour les gens, la poursuite tacite qui réside au plus profond de leur cœur, ainsi que leur nature-essence, et même leurs ambitions, peuvent émerger d’eux à tout moment. Par conséquent, aussi bonne que soit leur conduite morale, elle ne peut dissimuler leur humanité-essence intrinsèque, ni leurs ambitions et leurs désirs. Elle ne peut pas cacher leur nature-essence hideuse qui n’aime pas les choses positives et a de l’aversion pour la vérité et la hait. Comme le montrent ces faits, le dicton « sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres » est plus qu’absurde : il expose ces gens ambitieux qui tentent d’utiliser de tels dictons et de tels comportements pour dissimuler leurs ambitions et leurs désirs innommables. Vous pouvez comparer cela à certains antéchrists et à certaines personnes malfaisantes de l’Église. Afin de solidifier leur statut et leur pouvoir au sein de l’Église, et d’acquérir une meilleure réputation parmi les autres membres, ils sont capables d’endurer des souffrances et de payer un prix dans l’accomplissement de leurs devoirs, et ils peuvent même renoncer à leur travail et à leur famille et de vendre tout ce qu’ils possèdent afin de se dépenser pour Dieu. Dans certains cas, le prix qu’ils paient et les souffrances qu’ils endurent en se dépensant pour Dieu dépassent ce qu’une personne ordinaire peut supporter. Ils sont capables d’incarner un esprit d’abnégation extrême afin de maintenir leur statut. Pourtant, quels que soient leurs souffrances ou le prix qu’ils paient, aucun d’eux ne protège le témoignage de Dieu ni les intérêts de la maison de Dieu, ni ne pratique selon les paroles de Dieu. Le but qu’ils poursuivent est simplement d’obtenir statut, pouvoir et les récompenses de Dieu. Rien de ce qu’ils font n’a le moindre rapport avec la vérité. Aussi stricts soient-ils avec eux-mêmes et aussi tolérants soient-ils envers les autres, quelle sera leur issue finale ? Qu’est-ce que Dieu pensera d’eux ? Déterminera-t-Il leur issue sur la base des bons comportements extérieurs qu’ils adoptent ? Certainement pas. Les gens voient et jugent les autres sur la base de ces comportements et manifestations, et parce qu’ils ne peuvent pas voir l’essence des autres, ils finissent par être trompés par eux. Cependant, Dieu n’est jamais trompé par l’homme. Il ne louera absolument pas la conduite morale des gens et ne S’en souviendra pas du tout parce qu’ils ont pu être stricts avec eux-mêmes et tolérants envers les autres. Il les condamnera plutôt pour leurs ambitions et pour les chemins qu’ils ont empruntés dans la poursuite du statut. Par conséquent, ceux qui poursuivent la vérité doivent avoir le discernement de ce critère pour évaluer les gens. Ils doivent complètement renier et abandonner cette norme absurde, et discerner les gens selon les paroles de Dieu et les vérités-principes. Ils doivent principalement regarder si une personne aime les choses positives, si elle est capable d’accepter la vérité et si elle peut se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, ainsi que regarder le chemin qu’elle choisit et suit, et, en se basant sur ces choses, déterminer le genre de personne qu’elle est et le genre d’humanité qu’elle a. Les aberrations et les erreurs ne surviennent que trop facilement lorsque les gens jugent les autres sur la base de la norme « sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres ». Si tu discernes et considères à tort une personne sur la base de principes et de paroles qui viennent de l’homme, alors tu iras à l’encontre de la vérité et tu résisteras à Dieu dans cette affaire. Pourquoi cela ? Parce que la base de tes opinions sur les gens sera erronée et incompatible avec les paroles de Dieu et avec la vérité : elle peut même être en opposition et contraire à celles-ci. Dieu n’évalue pas l’humanité des gens sur la base de la déclaration sur la conduite morale « sois strict avec toi-même et tolérant envers les autres », donc si tu persistes à juger la moralité des gens et à déterminer quel genre de personnes ils sont selon ce critère, alors tu enfreins complètement les vérités-principes et, obligatoirement, tu vas commettre des fautes et provoquer des erreurs et des écarts. N’est-ce pas le cas ? (Si.)
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (6)
Dans les philosophies des relations mondaines, un précepte dit : « Ne pas parler des défauts de bons amis engendre une longue et bonne amitié. » Cela signifie que, pour préserver une relation amicale, il faut garder le silence sur les problèmes de son ami, même si on les voit clairement : on doit respecter le principe selon lequel il ne faut pas frapper les gens au visage ni critiquer leurs défauts. Les gens doivent se tromper les uns les autres, se cacher les uns des autres, se livrer à des intrigues les uns avec les autres ; et bien qu’ils sachent tout à fait clairement quel genre de personne est l’autre, ils ne le disent pas ouvertement, mais emploient des méthodes pleines de ruse pour préserver leur relation amicale. Pourquoi voudrait-on préserver de telles relations ? Il s’agit de ne pas vouloir se faire d’ennemis dans cette société, au sein de son groupe, et donc de ne pas se soumettre souvent à des situations dangereuses. Sachant que quelqu’un deviendra ton ennemi et te fera du mal après que tu as critiqué ses défauts ou que tu l’as blessé, et que tu ne souhaites pas te mettre dans une telle situation, tu emploies le précepte des philosophies des relations mondaines qui se résume ainsi : « Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts. » À la lumière de cela, si deux personnes entretiennent une telle relation, peut-on les considérer comme de vrais amis ? (Non.) Ce ne sont pas de vrais amis, et encore moins des confidents. Alors, de quel genre de relation s’agit-il, exactement ? N’est-ce pas une relation sociale élémentaire ? (Si, en effet.) Dans le cadre de pareilles relations sociales, les gens ne peuvent pas montrer leurs sentiments, ni avoir des échanges profonds, ni parler de tout ce dont ils souhaitent parler. Ils ne peuvent pas dire à haute voix ce qu’ils ont sur le cœur, parler des problèmes qu’ils voient chez l’autre ou dire des choses qui profiteraient à l’autre. Au lieu de cela, ils choisissent des choses gentilles à dire, pour conserver les faveurs de l’autre. Ils n’osent pas dire la vérité ni défendre les principes, de peur que cela ne suscite de l’animosité envers eux de la part des autres. Quand un individu n’est menacé par personne, cet individu ne vit-il pas dans une aisance et une paix relatives ? N’est-ce pas le but des gens en promouvant ce dicton : « Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » ? (Si, en effet.) Il s’agit clairement d’une manière de vivre reposant sur la ruse et la tromperie, avec une attitude défensive, dont le but est l’auto-préservation. Les gens qui vivent ainsi n’ont pas de confidents, pas d’amis proches à qui ils peuvent dire tout ce qui leur plaît. Ils sont sur la défensive les uns vis-à-vis des autres, calculateurs et stratégiques, chacun tirant de la relation ce dont il a besoin. N’est-ce pas ? À la base, le dicton « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » vise à éviter d’offenser les autres et de se faire des ennemis, à se protéger en ne faisant de mal à personne. Il s’agit d’une technique et d’une méthode qu’on adopte pour éviter d’être blessé. Quand on examine les multiples facettes de l’essence de cette exigence vis-à-vis de la conduite morale des gens « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts », celle-ci est-elle une noble exigence ? Est-elle positive ? (Non.) Alors qu’est-ce que cela enseigne aux gens ? Que tu ne dois pas contrarier ni blesser qui que ce soit, sinon c’est toi qui finiras par être blessé ; et aussi, que tu ne dois faire confiance à personne. Si tu blesses l’un de tes bons amis, cette amitié commencera doucement à changer : ton bon ami, ton ami proche deviendra un étranger ou un ennemi. Quels problèmes peuvent être résolus quand on enseigne aux gens à agir de cette manière ? Même si, en agissant ainsi, tu ne te fais pas d’ennemis, et même si tu en perds quelques-uns, est-ce que cela amènera les gens à t’admirer, à t’approuver et à te garder toujours comme ami ? Est-ce que cela respecte pleinement la norme de conduite morale ? Ce n’est rien qu’une philosophie des relations mondaines, tout au plus. Le respect de cette déclaration et de cette pratique peut-il être considéré comme une bonne conduite morale ? Pas du tout. C’est ainsi que certains parents éduquent leurs enfants. Si leur enfant sort et est battu quelque part, ils lui disent : « Tu es une mauviette. Pourquoi n’as-tu pas rendu coup pour coup ? Si on te donne un coup de poing, donne simplement un coup de pied ! » Est-ce la bonne voie ? (Non.) Comment cela s’appelle-t-il ? C’est ce qu’on appelle de l’incitation. Quel est le but de l’incitation ? Éviter les pertes et profiter des autres. Si quelqu’un te donne un coup de poing, cela te fera mal pendant quelques jours, tout au plus ; si tu donnes ensuite un coup de pied à cette personne, n’y aura-t-il pas des conséquences plus graves ? Et qui aura causé cela ? (Les parents, avec leur incitation.) Alors, la nature de la déclaration « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » n’est-elle pas un peu similaire ? Est-il juste d’interagir avec les autres conformément à cette déclaration ? (Non.) Non, ce n’est pas le cas. Vu sous cet angle, n’est-ce pas une façon d’inciter les gens ? (Si, en effet.) Est-ce que cela apprend aux gens à être sages lorsqu’ils interagissent avec les autres, à être capables de différencier les gens, à voir les gens et les choses de la bonne manière et à interagir avec les gens de manière sage ? Cela t’apprend-il que, si tu rencontres de bonnes personnes, des personnes douées d’humanité, tu dois les traiter avec sincérité, leur apporter de l’aide si tu le peux et que, si tu ne le peux pas, tu dois alors être tolérant et les traiter correctement, apprendre à tolérer leurs défauts, supporter leurs incompréhensions et leurs jugements envers toi, et apprendre de leurs points forts et de leurs qualités ? Est-ce cela qui est enseigné aux gens ? (Non.) Alors, quel est le résultat final produit par ce que ce dicton enseigne aux gens ? Est-ce que cela rend les gens plus honnêtes ou plus malhonnêtes ? Il en résulte que les gens deviennent plus malhonnêtes : leurs cœurs s’éloignent encore davantage les uns des autres, la distance entre les gens se creuse et les relations entre les gens se compliquent, ce qui revient à dire que leurs relations sociales se compliquent. La communication à cœur ouvert entre les gens se perd et cela engendre un état d’esprit qui consiste à se méfier les uns des autres. Les relations entre les gens peuvent-elles encore être normales, de cette façon ? Le climat social va-t-il s’améliorer ? (Non.) C’est donc pour cette raison que le dicton « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » est évidemment faux. En enseignant aux gens à agir ainsi, on ne peut pas leur faire vivre une humanité normale. De plus, cela ne peut pas rendre les gens honnêtes, droits ou francs. Cela ne peut absolument pas avoir le moindre effet positif.
Le dicton « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » fait référence à deux actes : l’un étant celui de frapper, l’autre celui de critiquer. Dans les interactions normales des gens avec les autres, frapper quelqu’un est-il bien ou mal ? (Mal.) Frapper quelqu’un est-il une démonstration et un comportement d’humanité normale dans ses interactions avec les autres ? (Non.) Frapper les gens est assurément mal, que tu les frappes au visage ou ailleurs. Donc, la déclaration « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage » est intrinsèquement incorrecte. Selon ce dicton, il n’est apparemment pas juste de frapper quelqu’un au visage, mais il est juste de le frapper ailleurs, car lorsque le visage est frappé, il devient rouge, enflé et meurtri. Cela donne une mauvaise image de la personne et la fait paraître peu présentable, et cela montre également que tu traites les gens d’une manière très grossière, fruste et ignoble. Alors, est-il noble de frapper les gens ailleurs ? Non, ce n’est pas noble non plus. En fait, ce dicton ne porte pas sur la partie du corps où on frappe quelqu’un, mais sur le mot « frapper » lui-même. Lorsque tu interagis avec les autres, si tu les frappes sans cesse, dans le but d’affronter et de résoudre les problèmes, ta méthode elle-même est mauvaise. On fait cela par impétuosité et ce n’est pas basé sur la conscience et la raison de son humanité, et bien sûr, c’est encore moins la pratique de la vérité et l’adhésion aux vérités-principes. Certaines personnes n’attaquent pas la dignité des autres en leur présence, elles font attention à ce qu’elles disent et s’abstiennent de frapper les autres au visage, mais elles leur jouent sans cesse de sales tours dans leur dos, échangeant une poignée de main au-dessus du bureau, mais leur donnant des coups de pied par-dessous, leur disant de bonnes choses en face, mais conspirant contre eux dans leur dos, leur trouvant des défauts et attendant l’occasion de se venger, montant des coups et complotant, répandant des rumeurs ou créant des conflits, et utilisant d’autres personnes pour les atteindre. Ces méthodes insidieuses valent-elles beaucoup mieux que de frapper quelqu’un au visage ? Ne sont-elles pas encore plus graves que de frapper quelqu’un au visage ? Ne sont-elles pas encore plus insidieuses, vicieuses et dépourvues d’humanité ? (Si.) Alors, la déclaration « si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage » est par nature dénuée de sens. Ce point de vue est lui-même une erreur, avec une pointe de faux-semblants. C’est une méthode hypocrite, ce qui la rend d’autant plus odieuse, dégoûtante et détestable. Maintenant, nous savons que le fait même de frapper les gens est dû à l’impétuosité. Sur quelle base frappes-tu quelqu’un ? Est-ce autorisé par la loi, ou est-ce ton droit divin ? Ce n’est rien de tout cela. Alors, pourquoi frapper les gens ? Si tu peux t’entendre normalement avec quelqu’un, tu peux employer des moyens corrects pour t’entendre avec lui et interagir. Si tu n’arrives pas à t’entendre avec lui, vous pouvez vous séparer sans avoir à agir avec impétuosité et à en venir aux mains. Dans le cadre de la conscience et de la raison de l’humanité, cela devrait être quelque chose que les gens font. Dès que tu agis avec impétuosité, même si tu ne frappes pas la personne au visage, mais que tu la frappes ailleurs, c’est un problème grave. Ce n’est pas une façon normale d’interagir. C’est ainsi que les ennemis interagissent, ce n’est pas la manière normale dont les gens interagissent. Cela dépasse les limites du bon sens de l’humanité. Le terme « critiquer », dans le dicton « si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts », est-il bon ou mauvais ? Le terme « critiquer » a-t-il un niveau de signification qui fait référence au fait que les gens sont révélés ou exposés dans le cadre des paroles de Dieu ? (Ce n’est pas le cas.) Selon Ma compréhension du terme « critiquer », tel qu’il existe dans le langage humain, ce n’est pas cela qu’il signifie. Son essence est celle d’une forme d’exposition quelque peu malveillante. Cela signifie révéler les problèmes et insuffisances des gens, ou certaines choses et certains comportements inconnus des autres, ou certaines intrigues, idées ou opinions opérant à l’arrière-plan. Tel est le sens du terme « critiquer » dans le dicton « si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts ». Si deux personnes s’entendent bien, se confient l’une à l’autre sans qu’il y ait de barrières entre elles, et qu’elles espèrent chacune pouvoir bénéficier à l’autre et l’aider, alors il vaudrait mieux qu’elles se réunissent et présentent clairement leurs problèmes respectifs, de façon ouverte et sincère. C’est approprié et ce n’est pas critiquer les défauts des autres. Si tu découvres les problèmes d’une autre personne, mais que tu vois que cette personne n’est pas encore en mesure d’accepter tes conseils, alors ne dis rien, tout simplement, afin d’éviter une querelle ou un conflit. Si tu veux aider cette personne, tu peux d’abord lui demander son avis et lui dire : « Je vois que tu as un petit problème et j’espère pouvoir te donner des conseils. Je ne sais pas si tu pourras les accepter. Si c’est le cas, je vais te les donner. Sinon, je les garderai pour moi, pour l’instant, et je ne dirai rien. » Si elle te répond : « Je te fais confiance. Rien de ce que tu as à dire ne sera hors limites, je peux l’accepter », cela signifie que tu en as reçu l’autorisation et que tu peux alors lui indiquer ses problèmes, un par un. Non seulement elle acceptera entièrement ce que tu dis, mais elle en tirera également profit et vous pourrez malgré tout poursuivre une relation normale. N’est-ce pas se traiter avec sincérité ? (Si, en effet.) C’est la bonne méthode pour interagir avec les autres, ce n’est pas « critiquer » les défauts des autres. Que signifie ne pas « critiquer les défauts des autres », comme le dit le dicton en question ? Cela signifie ne pas parler des insuffisances des autres, ne pas parler de leurs problèmes qui sont les plus tabous, ne pas exposer l’essence de leurs problèmes et ne pas critiquer tout cela de manière trop flagrante. Cela signifie faire simplement quelques remarques superficielles, dire des choses que tout le monde dit couramment, dire des choses que la personne elle-même est déjà capable de percevoir et ne pas révéler les erreurs que la personne a commises auparavant ou des questions sensibles. Si tu procèdes de cette manière, en quoi cela profite-t-il à l’autre personne ? Peut-être ne l’auras-tu pas offensée et ne t’en seras-tu pas fait un ennemi, mais ce que tu as fait ne l’aide ni ne lui profite en aucune façon. Par conséquent, l’expression « ne critiquez pas les défauts des autres » est elle-même évasive, et c’est une forme de supercherie qui ne permet pas aux gens de se traiter les uns les autres avec sincérité. On pourrait dire que procéder ainsi, c’est nourrir des intentions malfaisantes : ce n’est pas la bonne façon d’interagir avec les autres. Les non-croyants voient même l’expression « si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts » comme un principe qu’une personne de noble moralité doit suivre. Il s’agit clairement d’une manière trompeuse d’interagir avec les autres, que les gens adoptent pour se protéger. Ce n’est pas du tout un mode d’interaction approprié.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (8)
Le dicton sur la conduite morale « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible », auquel fait référence la culture traditionnelle chinoise, est une doctrine qui restreint et éclaire les gens. Cela ne peut résoudre que des différends mineurs et des conflits insignifiants, mais n’a aucun effet lorsqu’il s’agit de personnes qui nourrissent une haine profonde. Les personnes qui mettent en avant cette exigence comprennent-elles vraiment l’humanité de l’homme ? On pourrait dire que les personnes qui mettent en avant cette exigence n’ignorent nullement l’étendue de la marge de tolérance de la conscience et de la raison humaines. C’est juste que mettre en avant cette théorie peut les faire paraître raffinées et nobles et leur faire gagner l’approbation et la flatterie des gens. Le fait est qu’elles savent très bien que si quelqu’un porte atteinte à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, nuit à ses intérêts ou même exerce une incidence sur ses perspectives d’avenir et sur sa vie tout entière, alors du point de vue de la nature humaine, celui qui est offensé doit riposter. Quels que soient sa conscience et sa raison, il n’en restera pas là. Tout au plus, seuls le degré et la méthode de sa vengeance différeront. […]
Pourquoi est-ce que les gens peuvent abandonner la haine ? Quelles en sont les principales raisons ? D’une part, ils sont influencés par ce dicton sur la conduite morale : « Les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible. » D’autre part, ils sont inquiets à l’idée que s’ils ont de petits griefs, haïssent constamment les gens et sont intolérants envers les autres, ils ne pourront pas s’intégrer dans la société et seront condamnés par l’opinion publique et moqués, aussi doivent-ils ravaler leur colère à contrecœur et contre leur gré. D’une part, compte tenu de l’instinct humain, les gens qui vivent dans ce monde ne peuvent pas supporter toute cette oppression, ces blessures insensées et ce traitement injuste. C’est-à-dire qu’il n’est pas dans l’humanité des gens de pouvoir supporter ces choses. Par conséquent, il est injuste et inhumain d’imposer à quiconque l’exigence « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible ». D’autre part, il est évident que ces idées et points de vue affectent ou déforment également les points de vue et les perspectives des gens sur ces questions, de sorte qu’ils sont incapables de traiter ces questions correctement et considèrent plutôt les dictons tels que « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible » comme des choses correctes et positives. Lorsque des gens sont soumis à un traitement injuste, afin d’éviter la condamnation de l’opinion publique, ils n’ont d’autre choix que de refouler les insultes et les traitements discriminatoires qu’ils ont subis et d’attendre une occasion de riposter. Même s’ils disent à haute voix des choses agréables comme : « “Les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible.” Peu importe, il ne sert à rien de riposter, c’est le passé », l’instinct humain les empêche d’oublier le mal que cet incident leur a occasionné, c’est-à-dire que le mal qu’il a causé à leur corps et à leur esprit ne pourra jamais s’effacer ni s’estomper. Quand les gens disent : « Oublions la haine, cette affaire est finie, c’est le passé », ce n’est qu’une façade formée uniquement par la contrainte et l’influence d’idées et de points de vue tels que « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible ». Bien sûr, les gens sont aussi confinés par de telles idées et opinions, dans la mesure où ils pensent que s’ils n’arrivent pas à les mettre en pratique, s’ils n’ont pas le cœur ni la générosité qui leur permettraient d’être cléments dans toute la mesure du possible, alors ils seront méprisés et condamnés par tous, et discriminés davantage encore dans la société ou au sein de leur communauté. Quelle est la conséquence, quand on est victime de discrimination ? C’est que, lorsque tu entreras en contact avec des gens et que tu t’occuperas de tes affaires, les gens diront : « Ce type est petit d’esprit et vindicatif. Soyez prudent lorsque vous traitez avec lui ! » Cela devient effectivement un obstacle supplémentaire lorsque tu t’occupes de tes affaires au sein de la communauté. Pourquoi y a-t-il cet obstacle supplémentaire ? Parce que la société dans son ensemble est influencée par des idées et des points de vue tels que « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible ». Les mœurs de la société dans son ensemble honorent une telle façon de penser et l’ensemble de la société est confinée, influencée et contrôlée par cela, donc si tu ne peux pas le mettre en pratique, il te sera difficile de t’intégrer dans la société et de survivre au sein de ta communauté. Par conséquent, certaines personnes n’ont d’autre choix que de se soumettre à de telles mœurs sociales, de suivre des dictons et des opinions tels que « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible » et de vivre une vie pathétique. À la lumière de ces phénomènes, ces soi-disant moralistes n’avaient-ils pas certains buts et certaines intentions en avançant ces dictons sur les idées et les points de vue moraux ? L’ont-ils fait pour que les humains puissent vivre plus librement et que leur corps, leur mental et leur esprit soient plus libérés ? Ou bien, était-ce pour que les gens puissent vivre une vie plus heureuse ? Non, bien évidemment. Ces dictons sur la conduite morale ne répondent pas du tout aux besoins de l’humanité normale des gens, et encore moins ont-ils été mis en avant pour faire vivre aux gens une humanité normale. Au contraire, ils servent entièrement l’ambition de la classe dirigeante qui est de contrôler le peuple et de stabiliser son propre pouvoir. Ils rendent service à la classe dirigeante et ont été mis en avant pour que la classe dirigeante puisse contrôler l’ordre social et les mœurs sociales, en utilisant ces choses pour contraindre chaque personne, chaque famille, chaque individu, chaque communauté, chaque groupe et la société que forment tous ces différents groupes. C’est dans de telles sociétés, sous l’endoctrinement, l’influence et l’inculcation de telles idées et opinions morales, que les idées et opinions morales dominantes de la société émergent et prennent forme. Cette prise de forme de la morale sociale et des mœurs sociales n’est pas plus propice à la survie de la race humaine, ni plus propice au progrès et à la purification de la pensée humaine, ni plus propice à l’amélioration de l’humanité. Au contraire, en raison de l’émergence de ces idées et points de vue moraux, la pensée humaine est confinée dans une plage contrôlable. Alors, qui en profite au final ? Est-ce la race humaine ? Ou la classe dirigeante ? (La classe dirigeante.) C’est vrai, c’est la classe dirigeante qui finalement en profite. Avec ces écritures morales comme base de leur pensée et de leur conduite morale, les humains sont plus faciles à gouverner, plus susceptibles d’être des citoyens obéissants, plus faciles à manipuler, plus facilement gouvernés par les divers dictons des écritures morales dans tout ce qu’ils font et plus facilement régis par les systèmes sociaux, la morale sociale, les mœurs sociales et l’opinion publique. De cette façon, dans une certaine mesure, les personnes qui sont subordonnées aux mêmes systèmes sociaux, au même environnement moral et aux mêmes mœurs sociales ont des idées et des points de vue fondamentalement unanimes et une ligne de fond unanime sur la façon dont ils doivent se comporter, parce que leurs idées et leurs points de vue ont subi une transformation et une standardisation par ces soi-disant moralistes, penseurs et éducateurs. Que signifie ce mot d’« unanimité » ? Cela signifie que tous ceux qui sont gouvernés – y compris leurs pensées et leur humanité normale – ont été assimilés et confinés par ces paroles des écritures morales. Les pensées des gens sont restreintes, et leur bouche et leur cerveau sont également restreints en même temps. Chacun est obligé d’accepter ces idées morales et ces points de vue de la culture traditionnelle, en les utilisant pour juger et contraindre son propre comportement d’une part, et pour juger les autres et cette société d’autre part. Bien sûr, en même temps, les gens sont également contrôlés par l’opinion publique, qui est centrée sur ces dictons des écritures morales. Si tu penses que ta façon de faire contrevient au dicton « les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible », tu es très contrarié et mal à l’aise et tu as vite fait de te dire : « Si je ne parviens pas à être clément dans toute la mesure du possible, si je suis aussi mesquin et étroit d’esprit qu’un lilliputien avec des œillères et que je ne peux pas abandonner ne serait-ce que la moindre haine, mais que je la porte en moi tout le temps, ne va-t-on pas se moquer de moi ? Ne serai-je pas victime de discrimination de la part de collègues et d’amis ? » Alors, tu dois faire semblant d’être particulièrement magnanime. Si les gens ont ces comportements, cela ne signifie-t-il pas qu’ils sont contrôlés par l’opinion publique ? (Si.) Objectivement parlant, au plus profond de ton cœur, il y a des chaînes invisibles, c’est-à-dire que l’opinion publique et la condamnation de la part de toute la société sont comme des chaînes invisibles pour toi.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (9)
Ce qu’implique le dicton « n’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même », c’est que vous ne devriez donner ou fournir aux autres que les choses que vous-même, vous aimez et qui vous procurent du plaisir. Or quelles sont les choses que les gens corrompus aiment et qui leur procurent du plaisir ? Des choses corrompues, des choses absurdes et des désirs extravagants. Si vous donnez et fournissez aux gens ces choses négatives, toute l’humanité ne deviendra-t-elle pas de plus en plus corrompue ? Il y aura de moins en moins de choses positives. N’est-ce pas un fait ? C’est un fait que l’humanité est profondément corrompue. Les humains corrompus aiment rechercher la renommée, le gain, le statut et les plaisirs de la chair. Ils veulent être des célébrités, être puissants et surhumains. Ils veulent une vie confortable et répugnent à travailler dur. Ils veulent que tout leur soit remis. Très peu d’entre eux aiment la vérité et les choses positives. Si les gens donnent et fournissent aux autres leur corruption et leurs prédilections, que se passera-t-il ? C’est exactement ce que vous imaginez : l’humanité ne fera que devenir de plus en plus corrompue. Ceux qui sont partisans de cette idée, « n’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même », demandent que les gens donnent et fournissent aux autres leur corruption, leurs prédilections et leurs désirs extravagants, incitant les autres à rechercher le mal, le confort, l’argent et l’avancement. Est-ce le bon chemin dans la vie ? Il est clair que « n’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même » est un dicton très problématique. Les trous et les lacunes qu’il contient sont flagrants : ce n’est même pas la peine de le disséquer, ni de le cerner. Au moindre examen, ses erreurs et son ridicule sautent aux yeux. Cependant, nombreux sont ceux parmi vous qui se laissent facilement persuader et influencer par ce dicton et l’acceptent sans discernement. Lorsque vous interagissez avec les autres, vous utilisez souvent ce dicton pour vous faire la morale et exhorter les autres. Ce faisant, vous pensez que votre caractère est particulièrement noble et que votre comportement est très raisonnable. Mais sans que tu t’en rendes compte, ces mots ont révélé le principe selon lequel tu vis et ta position face aux problèmes. En même temps, tu as induit les autres en erreur et tu les as fourvoyés en leur faisant adopter vis-à-vis des gens et des circonstances la même opinion et la même position que toi. Tu as agi véritablement comme quelqu’un qui est des deux côtés à la fois et tu as pris la voie médiane. Tu te dis : « Quel que soit le problème, il n’est pas nécessaire de le prendre au sérieux. Ne rends pas les choses difficiles pour toi-même ni pour les autres. Si tu rends les choses difficiles pour les autres, tu les rends difficiles pour toi-même. Être gentil avec les autres, c’est être gentil avec toi-même. Si tu es dur avec les autres, tu l’es avec toi-même. Pourquoi te mettre dans une situation difficile ? Ne pas imposer aux autres ce que tu ne désires pas toi-même, c’est la meilleure chose que tu puisses faire pour toi-même, et la plus attentionnée. » Cette attitude est évidemment celle qui consiste à ne pas être rigoureux en quoi que ce soit. Tu n’as aucune position ou perspective correcte sur une question, tu as une vision confuse de tout. Tu n’es pas rigoureux et tu fermes simplement les yeux sur les choses. Quand tu te tiendras finalement devant Dieu et rendras compte de toi-même, ce sera aussi une grande confusion. Pourquoi donc ? Parce que tu dis toujours que tu ne dois pas imposer aux autres ce que tu ne désires pas toi-même. Cela te donne un grand réconfort et un grand plaisir, mais en même temps, cela te causera de gros problèmes, cela t’empêchera d’avoir une vision ou une position claire sur de nombreux sujets. Bien sûr, cela te rend également incapable de comprendre clairement quelles sont les exigences et les normes de Dieu te concernant lorsque tu rencontres ces situations, ou quel résultat tu devrais obtenir. Ces choses arrivent parce que dans tout ce que tu fais, tu n’es pas rigoureux. Elles sont dues à ton attitude et à ton opinion confuses. Ne pas imposer aux autres ce que tu ne désires pas toi-même, n’est-ce pas l’attitude tolérante que tu dois avoir envers les gens et les choses ? Non. C’est simplement une théorie qui semble juste, noble et gentille de l’extérieur, mais qui est en fait une chose complètement négative. De toute évidence, c’est encore moins une vérité-principe à laquelle les gens devraient adhérer. Dieu n’exige pas que les gens n’imposent pas aux autres que ce qu’eux-mêmes ne désirent pas, Il leur demande plutôt d’être clairs sur les principes qu’ils doivent observer lorsqu’ils gèrent différentes situations. Si c’est correct et conforme à la vérité des paroles de Dieu, alors tu dois t’y tenir. Et non seulement tu dois t’y tenir, mais tu dois réprimander les autres, les persuader et échanger avec eux, afin qu’ils comprennent exactement quelles sont les intentions de Dieu et quels sont les vérités-principes. C’est ta responsabilité et ton obligation. Dieu ne te demande pas de prendre la voie médiane, et encore moins de montrer à quel point ton cœur est grand. Tu dois t’en tenir aux choses dont Dieu t’a averti et qu’Il t’a enseignées, et à ce dont Dieu parle dans Ses paroles : aux exigences, aux critères et aux vérités-principes que les gens doivent respecter. Non seulement tu dois t’y tenir, et t’y tenir pour toujours, mais tu dois également pratiquer ces vérités-principes en donnant l’exemple, ainsi qu’en persuadant, en supervisant, en aidant et en guidant les autres pour qu’ils s’en tiennent à ces vérités-principes, qu’ils les observent et les pratiquent de la même manière que toi. Dieu exige que tu fasses cela, c’est ce qu’Il te confie. Tu ne peux pas avoir des exigences pour toi-même tout en ignorant les autres. Dieu exige que tu adoptes la bonne position sur les questions, que tu t’en tiennes aux bons critères, que tu saches précisément quels sont les critères contenus dans les paroles de Dieu et que tu comprennes précisément quelles sont les vérités-principes. Même si tu ne peux pas accomplir cela, même si tu ne le veux pas, si tu n’aimes pas cela, si tu as des notions ou si tu y es réticent, tu dois traiter cela comme ta responsabilité, comme ton obligation. Tu dois échanger avec les gens sur les choses positives qui viennent de Dieu, sur les choses qui sont justes et correctes, et les utiliser pour aider, influencer et guider les autres, afin qu’ils puissent en bénéficier et en être édifiés, et suivre le bon chemin dans la vie. C’est ta responsabilité, et tu ne dois pas t’accrocher obstinément à l’idée de « ne pas imposer aux autres ce que tu ne désires pas toi-même » que Satan t’a mise dans la tête. Aux yeux de Dieu, ce dicton n’est qu’une philosophie des relations mondaines. C’est une façon de penser qui contient la tromperie de Satan. Ce n’est pas du tout le bon chemin, ni une chose positive. Tout ce que Dieu exige de toi, c’est que tu sois une personne droite qui comprenne clairement ce qu’elle doit et ne doit pas faire. Il ne te demande pas d’être une personne complaisante ni de faire le conciliateur. Il ne t’a pas demandé de suivre la voie médiane. Lorsqu’une question concerne les vérités-principes, tu dois dire ce qui doit être dit et comprendre ce qui doit être compris. Si quelqu’un ne comprend pas quelque chose, mais que toi tu le comprends, et que tu peux lui donner des conseils et l’aider, alors tu dois absolument t’acquitter de cette responsabilité et de cette obligation. Tu ne dois pas simplement rester au bord du chemin à regarder, et encore moins t’en tenir aux philosophies que Satan t’a mises dans la tête, comme ne pas imposer aux autres ce que tu ne désires pas toi-même. Comprends-tu ? (Oui.) Ce qui est juste et positif l’est même si tu ne l’aimes pas, que tu n’es pas disposé à le faire, que tu n’es pas capable de le faire et d’y parvenir, que tu y résistes ou développes des notions à son encontre. L’essence des paroles de Dieu et la vérité ne changeront pas simplement parce que l’humanité a des tempéraments corrompus et a certaines émotions, certains sentiments, certains désirs et certaines notions. Jamais l’essence des paroles de Dieu et la vérité ne changeront, jamais. Dès que tu connais les paroles de Dieu et la vérité, que tu les comprends, que tu les expérimentes et que tu les obtiens, il t’incombe d’échanger avec les autres sur tes témoignages d’expérience. Cela permettra à encore plus de gens de comprendre les intentions de Dieu, de comprendre et d’obtenir la vérité, de comprendre les exigences et les normes de Dieu et de saisir les vérités-principes. En faisant cela, ces personnes gagneront un chemin de pratique lorsqu’elles rencontreront des problèmes dans leur vie quotidienne et elles ne seront pas confuses ou enchaînées par les diverses idées et opinions de Satan. Le dicton sur la conduite morale « n’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même » est vraiment et véritablement le stratagème rusé de Satan pour contrôler l’esprit des gens. Si tu maintiens toujours cela, alors tu es quelqu’un qui vit selon des philosophies sataniques, une personne qui vit uniquement selon un tempérament satanique.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (10)
Quels que soient l’époque et le groupe ethnique où il est utilisé, ce dicton sur la conduite morale, « je prendrais une balle pour un ami », tient assez bien la route. C’est-à-dire qu’il s’accorde relativement bien avec la conscience et la raison de l’humanité. Plus précisément, ce dicton s’accorde avec le concept de « fraternité » auquel les gens adhèrent dans leur conscience. Les gens qui valorisent la fraternité seraient prêts à recevoir une balle pour un ami. Peu importe la difficulté et la dangerosité de la situation dans laquelle se trouve leur ami, ils s’avanceraient et prendraient une balle pour lui. C’est l’esprit de sacrifice de ses propres intérêts pour le bien des autres. Ce que le dicton sur la conduite morale « je prendrais une balle pour un ami » inculque aux gens, c’est essentiellement de valoriser la fraternité. La norme qu’il demande à l’humanité de respecter est qu’il faut valoriser la fraternité : c’est l’essence de ce dicton. […]
Qu’est-ce qui ne va pas avec des idées et des points de vue tels que « prendre une balle pour un ami » ? Cette question est en fait assez simple et pas difficile. Personne dans le monde ne jaillit d’une fissure d’un rocher. Tout le monde a des parents et des enfants, tout le monde a une famille, personne n’existe indépendamment dans ce monde humain. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? Je veux dire que tu vis dans ce monde humain et que tu as tes propres obligations à remplir. Premièrement, tu dois subvenir aux besoins de tes parents et deuxièmement, tu dois élever tes enfants. Ce sont tes responsabilités au sein de la famille. Dans la société, tu as également des responsabilités et des obligations sociales à remplir. Tu dois jouer un rôle dans la société, par exemple en tant qu’ouvrier, agriculteur, homme d’affaires, étudiant ou intellectuel. Entre la famille et la société, il y a de nombreuses responsabilités et obligations que tu dois remplir. Autrement dit, en plus de ta nourriture, de tes vêtements, de ton logement et de tes déplacements, il y a de nombreuses choses que tu es obligé de faire, ainsi que de nombreuses choses que tu devrais faire et de nombreuses obligations que tu dois remplir. En laissant de côté ce droit chemin de la croyance en Dieu que les gens suivent, en tant qu’individu, tu as de nombreuses responsabilités familiales et obligations sociales à remplir. Tu n’existes pas de façon indépendante. La responsabilité qui pèse sur tes épaules n’est pas seulement de te faire des amis et de passer un bon moment, ou de trouver quelqu’un à qui tu peux parler et qui peut t’aider. La majorité de tes responsabilités, et les plus importantes, concernent ta famille et la société. Ce n’est que si tu t’acquittes bien de tes responsabilités familiales et de tes obligations sociales que ta vie, en tant que personne, sera considérée comme complète et parfaite. Alors, quelles sont les responsabilités que tu dois assumer dans la famille ? En tant qu’enfant, tu dois assumer tes devoirs filiaux envers tes parents et les soutenir. Chaque fois que tes parents sont malades ou en difficulté, tu dois faire tout ce qui est en ton pouvoir. En tant que parent, tu dois transpirer et faire des efforts, travailler dur et endurer des difficultés pour subvenir aux besoins de toute ta famille, et assumer la lourde responsabilité d’être parent, d’élever tes enfants, de leur apprendre à suivre le bon chemin et de leur faire comprendre les principes du comportement. Ainsi, tu as de nombreuses responsabilités dans ta famille. Tu dois soutenir tes parents et assumer la responsabilité d’élever tes enfants. Il y a beaucoup de choses de ce genre qui doivent être faites. Et quelles sont tes responsabilités dans la société ? Tu dois respecter les lois et les règlements, tu dois avoir des principes pour traiter les autres, tu dois faire de ton mieux au travail et bien gérer ta carrière. Quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de ton temps et de ton énergie doivent être consacrés à ces choses. C’est-à-dire que quel que soit le rôle que tu joues dans ta famille et dans la société, quel que soit le chemin que tu empruntes, quelles que soient tes ambitions et tes aspirations, chaque personne doit assumer des responsabilités qui sont très importants pour elle personnellement et qui occupent la quasi-totalité de son temps et de son énergie. Du point de vue des responsabilités familiales et sociales, quelle est ta valeur en tant que personne et quelle est la valeur de ta vie quand tu viens dans ce monde humain ? C’est de remplir les responsabilités et les missions qui te sont confiées par le Ciel. Ta vie n’appartient pas à toi seul, et bien sûr elle n’appartient pas aux autres. Ta vie existe pour tes missions et tes responsabilités et pour les responsabilités, obligations et missions que tu dois remplir dans ce monde humain. Ta vie n’appartient pas à tes parents, ni à ton conjoint, et bien sûr elle n’appartient pas à tes enfants. Encore moins appartient-elle à tes descendants. Alors, à qui ta vie appartient-elle ? En parlant du point de vue d’une personne du monde, ta vie appartient aux responsabilités et aux missions qui te sont confiées par Dieu. Mais du point de vue d’un croyant, ta vie doit appartenir à Dieu, car c’est Lui qui organise et détient la souveraineté sur tout ce qui te concerne. Par conséquent, en tant que personne vivant dans le monde, tu ne dois pas promettre ta vie à d’autres de manière arbitraire et tu ne dois pas arbitrairement sacrifier ta vie pour qui que ce soit au nom de la fraternité. C’est-à-dire que tu ne dois pas déprécier ta propre vie. Ta vie est sans valeur pour quiconque, en particulier pour Satan, pour cette société et pour cette race humaine corrompue, mais pour tes parents et tes proches, ta vie est de la plus haute importance, car il y a une relation indissociable entre tes responsabilités et leur survie. Bien sûr, ce qui est encore plus important, c’est qu’il existe une relation inséparable entre ta vie et le fait que Dieu détient la souveraineté sur toutes choses et sur toute la race humaine. Ta vie est indispensable parmi les nombreuses vies sur lesquelles Dieu détient la souveraineté. Peut-être n’accordes-tu pas autant d’importance à ta vie et peut-être ne dois-tu pas lui accorder autant d’importance, mais le fait est que ta vie est très importante pour tes parents et tes proches, avec qui tu as des liens étroits et une relation inséparable. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Parce que tu as des responsabilités envers eux, ils ont aussi des responsabilités envers toi, tu as des responsabilités envers cette société et tes responsabilités envers la société sont liées à ton rôle dans cette société. Le rôle de chaque personne et chaque entité vivante sont indispensables à Dieu, et ce sont autant d’éléments indispensables de la souveraineté de Dieu sur l’humanité, sur ce monde, sur cette terre et sur cet univers. Aux yeux de Dieu, toute vie est encore plus insignifiante qu’un grain de sable et encore plus méprisable qu’une fourmi ; néanmoins, parce que chaque personne est une vie, une vie vivante et respirante, de ce fait, dans la souveraineté de Dieu, même si le rôle que cette personne joue n’est pas central, elle est aussi indispensable. Donc, vu sous cet angle, si une personne prendrait volontiers une balle pour un ami et que non seulement elle pense à le faire, mais qu’elle est prête à le faire à tout moment, à donner sa propre vie sans tenir compte de ses responsabilités familiales, de ses responsabilités sociales et même, des missions et des devoirs que Dieu lui a confiés, n’est-ce pas incorrect ? (Si.) C’est une trahison ! La chose la plus précieuse que Dieu accorde à l’homme est ce souffle qui s’appelle la vie. Si tu promets négligemment ta vie à un ami à qui tu penses pouvoir la confier, n’est-ce pas trahir Dieu ? N’est-ce pas manquer de respect à la vie ? N’est-ce pas un acte de rébellion contre Dieu ? Est-ce un acte de trahison à l’encontre de Dieu ? (Oui.) C’est clairement renoncer aux responsabilités que tu dois assumer dans ta famille et dans la société, et te soustraire aux missions que Dieu t’a confiées. C’est une trahison. Les choses les plus importantes dans la vie d’une personne ne sont rien de plus que les responsabilités que l’on doit assumer dans cette vie : les responsabilités familiales, les responsabilités sociales et les missions que Dieu t’a confiées. Les choses les plus importantes sont ces responsabilités et ces missions. Si tu perds ta vie en l’abandonnant avec désinvolture pour une autre en raison d’un sentiment de fraternité momentané et d’un moment d’impétuosité, tes responsabilités existent-elles toujours ? Comment parler de missions alors ? Il est clair que tu ne chéris pas la vie que Dieu t’a accordée comme la chose la plus précieuse, mais que tu la promets à d’autres avec désinvolture, que tu abandonnes ta vie pour les autres, en ignorant ou en abandonnant complètement tes responsabilités envers ta famille et la société, ce qui est immoral et injuste. Alors, qu’est-ce que J’essaie de vous dire ? Ne renoncez pas à votre vie avec désinvolture et ne la promettez pas aux autres. Certaines personnes disent : « Puis-je la promettre à mes parents ? Et la promettre à la personne que j’aime, est-ce que cela convient ? » Cela ne convient pas. Pourquoi cela ne convient-il pas ? Dieu t’accorde la vie et permet que ta vie continue afin que tu puisses assumer tes responsabilités envers ta famille et la société et remplir les missions qui te sont confiées par Dieu. Ce n’est pas à toi de traiter ta propre vie comme une blague en la promettant avec désinvolture aux autres, en la livrant aux autres, en la dépensant pour les autres et en la dédiant aux autres. Si une personne perd la vie, peut-elle encore assumer ses responsabilités familiales et sociales et ses missions ? Cela peut-il encore être fait ? (Non.) Et quand les responsabilités familiales et sociales d’une personne ne sont plus, est-ce que les rôles sociaux qu’elle assumait existent encore ? (Non.) Lorsque les rôles sociaux qu’une personne remplissait ne sont plus, les missions de cette personne existent-elles encore ? Non. Quand les missions et les rôles sociaux d’une personne ne sont plus, alors ce sur quoi Dieu règne souverain existe-t-il encore ? Ce sur quoi Dieu règne souverain, ce sont les êtres vivants, les êtres humains vivants, et lorsque leurs responsabilités sociales et leurs vies ne sont plus et que leurs rôles sociaux se réduisent tous à néant, n’est-ce pas essayer de réduire à néant l’humanité, sur laquelle Dieu règne souverain, et le plan de gestion de Dieu ? Si tu fais cela, n’est-ce pas une trahison ? (Si.) C’est en effet une trahison. Ta vie n’existe que pour tes responsabilités et tes missions, et la valeur de ta vie ne peut se refléter que dans tes responsabilités et tes missions. De plus, prendre une balle pour un ami n’est pas ta responsabilité ni ta mission. En tant que personne dotée de la vie par Dieu, remplir les responsabilités et les missions qui te sont confiées par Dieu est ce que tu dois faire. Alors que prendre une balle pour un ami n’est pas une responsabilité ni une mission que Dieu t’a confiée. C’est plutôt ta façon d’agir sur un sentiment de fraternité, ton propre vœu pieux, ta pensée irresponsable sur la vie et, bien sûr, c’est aussi une sorte de pensée que Satan inculque aux gens pour accumuler le mépris sur eux et piétiner leur vie.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (10)
Dans cette société, les principes des gens pour faire face au monde, leurs méthodes pour vivre et exister, et même leurs attitudes et leurs notions à l’égard de la religion et de la croyance, ainsi que leurs diverses notions et opinions à l’égard des personnes, des évènements et des choses, toutes ces choses sont inévitablement conditionnées par la famille. Avant que les gens en viennent à comprendre la vérité, quels que soient leur âge, leur sexe, le métier qu’ils exercent ou le genre d’attitude qu’ils ont envers toutes choses, que cette attitude soit extrême ou rationnelle, en bref, dans toutes sortes de domaines, les pensées et les opinions des gens, ainsi que leurs attitudes à l’égard des choses sont grandement influencées par la famille. Autrement dit, les divers effets conditionnants que la famille a sur une personne déterminent, dans une large mesure, l’attitude de cette personne envers les choses et la manière dont elle les gère, ainsi que sa vision de l’existence, et ces effets ont même une incidence sur sa foi. Étant donné que la famille conditionne et affecte les gens de manière aussi significative, la famille est inévitablement à la racine des méthodes et des principes selon lesquels les gens gèrent les choses, ainsi que de leur vision de l’existence et de leurs opinions sur la foi. Parce que le foyer familial lui-même n’est pas un lieu où surgit la vérité, ni la source de la vérité, il n’y a concrètement qu’une seule force motivante ou un seul objectif qui pousse ta famille à te conditionner à avoir toute idée, tout point de vue ou toute méthode pour exister : il s’agit d’agir au mieux de tes intérêts. Ces choses qui sont dans ton intérêt, d’où qu’elles viennent – que ce soit de tes parents, de tes grands-parents ou de tes ancêtres – sont toutes, en bref, destinées à te permettre de défendre tes propres intérêts au sein de la société et aux côtés des autres, à t’éviter d’être malmené et à te permettre de vivre au milieu des gens d’une manière moins contrainte et plus diplomatique, et d’une manière qui vise à protéger au maximum tes propres intérêts. Le conditionnement que tu reçois de ta famille est destiné à te protéger, à t’éviter d’être victime d’intimidations ou de subir une humiliation, et à faire de toi quelqu’un qui est un cran au-dessus, même si cela signifie intimider les autres ou nuire aux autres, à condition que tu ne subisses pas toi-même de préjudices. Voilà quelques-unes des choses les plus importantes que ta famille conditionne en toi, et ces choses constituent également l’essence et le but principal qui sous-tendent toutes les idées qui sont conditionnées en toi. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Si tu considères le but et l’essence de tout ce que ta famille a conditionné en toi, y a-t-il quoi que ce soit de conforme à la vérité ? Même si ces choses sont conformes à l’éthique ou aux droits et intérêts légitimes de l’humanité, ont-elles le moindre lien avec la vérité ? Est-ce la vérité ? (Non.) On peut dire avec certitude qu’il ne s’agit absolument pas de la vérité. Peu importe que l’homme croie que les choses que sa famille conditionne en lui puissent être positives et légitimes, humaines et éthiques, elles ne sont pas la vérité, elles ne peuvent pas non plus représenter la vérité et bien entendu, elles ne peuvent pas remplacer la vérité. Par conséquent, s’agissant du thème de la famille, ces choses sont un autre aspect que les gens devraient abandonner. Quel est précisément cet aspect ? Il s’agit des effets conditionnants que la famille a sur toi. C’est le deuxième aspect que tu dois abandonner pour ce qui est du thème de la famille. Puisque nous discutons des effets conditionnants que la famille a sur toi, parlons d’abord de ce que sont exactement ces effets conditionnants. Si nous les différencions selon la conception que les gens ont du bien et du mal, certains sont relativement corrects, positifs et présentables, et peuvent être mis sur la table, tandis que d’autres sont relativement égoïstes, méprisables, vils, relativement négatifs, et rien de plus. Mais, quoi qu’il en soit, ces effets conditionnants par la famille sont comme une couche de vêtements de protection qui préserve collectivement les intérêts charnels d’une personne, qui préserve sa dignité au milieu des autres et l’empêche d’être malmenée. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Parlons alors des effets conditionnants que ta famille a sur toi. Par exemple, lorsque les aînés de ta famille te disent souvent : « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce », c’est pour t’inciter à accorder de l’importance au fait d’avoir une bonne réputation, de vivre une vie fière et de ne pas faire de choses qui te couvriraient de honte. Alors, ce dicton guide-t-il les gens de manière positive ou négative ? Peut-il te guider vers la vérité ? Peut-il t’amener à comprendre la vérité ? (Non.) Tu peux dire en toute certitude : « Non ! » Penses-y, Dieu dit que les gens doivent se comporter comme des personnes honnêtes. Lorsque tu as transgressé ou fait quelque chose de mal, ou quelque chose qui se rebellait contre Dieu et s’opposait à la vérité, tu dois admettre ton erreur, gagner une compréhension de toi-même et continuer à te disséquer afin de parvenir à une véritable repentance, et par la suite, agir conformément aux paroles de Dieu. Donc, si les gens doivent se comporter comme des personnes honnêtes, est-ce en contradiction avec le dicton : « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce » ? (Oui.) En quoi y a-t-il contradiction ? Le dicton : « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce » vise à inciter les gens à accorder de l’importance au fait de vivre leur côté brillant et haut en couleur et de faire davantage de choses qui donnent une bonne image d’eux, au lieu de faire des choses qui sont mauvaises ou déshonorantes ou d’exposer leur côté laid, et à leur éviter de vivre sans fierté ni dignité. Au nom de sa réputation, de sa fierté et de son honneur, on ne peut pas tout dénigrer à son propre sujet, et encore moins parler aux autres de son côté sombre et de ses aspects honteux, car il faut vivre avec fierté et dignité. Pour avoir de la dignité, il faut avoir une bonne réputation, et pour avoir une bonne réputation, il faut faire semblant et se déguiser. Cela n’est-il pas incompatible avec le fait de se comporter en personne honnête ? (Si.) Lorsque tu te comportes comme une personne honnête, ce que tu fais est complètement en contradiction avec le dicton « un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce ». Si tu veux te comporter comme une personne honnête, n’accorde pas d’importance à la fierté : la fierté d’une personne ne vaut pas un centime. Face à la vérité, il faut s’exposer, ne pas faire semblant ni donner une fausse image de soi. Il faut révéler à Dieu ses vraies pensées, les erreurs que l’on a commises, les aspects qui violent les vérités-principes, et ainsi de suite, et aussi dévoiler ces choses à ses frères et sœurs. Il ne s’agit pas de vivre pour sa réputation, mais plutôt de vivre pour se comporter comme une personne honnête, de vivre pour poursuivre la vérité, de vivre pour être un véritable être créé et de vivre pour satisfaire Dieu et être sauvé. Mais lorsque tu ne comprends pas cette vérité et que tu ne comprends pas les intentions de Dieu, les choses qui sont conditionnées en toi par ta famille ont tendance à dominer. Donc, quand tu fais quelque chose de mal, tu le dissimules et tu fais semblant, pensant : « Je ne peux rien dire à ce sujet et je ne permettrai à personne d’autre qui est au courant de dire quoi que ce soit non plus. Si l’un d’entre vous dit quelque chose, je ne le laisserai pas s’en tirer facilement. Ma réputation passe avant tout. Vivre ne sert à rien si ce n’est pour le bien de sa réputation, car c’est plus important que toute autre chose. Si une personne perd sa réputation, elle perd toute sa dignité. Tu ne peux donc pas dire les choses telles qu’elles sont, tu dois faire semblant, tu dois dissimuler les choses, sinon tu perdras ta réputation et ta dignité et ta vie ne vaudra rien. Si personne ne te respecte, alors tu ne seras qu’un déchet bon marché qui ne vaut rien du tout. » Est-il possible de se comporter comme une personne honnête en pratiquant de cette façon ? Est-il possible d’être complètement ouvert et de se disséquer ? (Non.) De toute évidence, en faisant cela, tu te conformes au dicton « un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce » que ta famille a conditionné en toi. Cependant, si tu abandonnes ce dicton pour poursuivre la vérité et mettre en pratique la vérité, il cessera de t’affecter et d’être ta devise ou ton principe pour faire des choses, et au lieu de cela, ce que tu feras sera exactement le contraire de ce dicton : « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce. » Tu ne vivras pas pour ta réputation, ni pour ta dignité, mais tu vivras plutôt pour poursuivre la vérité, pour te comporter comme une personne honnête, pour chercher à satisfaire Dieu et vivre comme un véritable être créé. Si tu adhères à ce principe, tu auras abandonné les effets conditionnants que ta famille avait sur toi.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
La famille ne conditionne pas les gens simplement avec un ou deux dictons, mais avec toute une série de citations et d’aphorismes bien connus. Par exemple, les aînés de ta famille et tes parents mentionnent-ils souvent le dicton « un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole » ? (Oui.) Ils te disent : « Les gens doivent vivre pour leur réputation. Au cours de leur vie, les gens cherchent uniquement à se forger une bonne réputation auprès des autres et à faire bonne impression. Où que tu ailles, sois plus généreux en distribuant salutations, propos aimables et compliments, et dis davantage de mots gentils. N’offense pas les gens, au contraire, fais plus de bonnes actions et d’actes bienveillants. » Cet effet conditionnant particulier exercé par la famille a un certain impact sur le comportement ou les principes de conduite des gens, avec pour conséquence inévitable qu’ils attachent une grande importance à la renommée et au gain. Autrement dit, ils attachent une grande importance à leur propre réputation, à leur prestige, à l’impression qu’ils créent dans l’esprit des autres et à l’appréciation que les autres ont de tout ce qu’ils font et de chaque opinion qu’ils expriment. En accordant une grande importance à la renommée et au gain, tu accordes à ton insu peu d’importance à la question de savoir si le devoir que tu accomplis est conforme à la vérité et aux principes, si tu satisfais Dieu et si tu fais ton devoir de manière adéquate. Tu considères ces choses comme étant de moindre importance et de moindre priorité, tandis que le dicton « un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », que ta famille a conditionné en toi, devient extrêmement important pour toi. Cela t’amène à prêter une grande attention à la façon dont chaque détail te concernant est perçu par l’esprit des gens. En particulier, certains accordent une attention particulière à ce que les autres pensent réellement d’eux dans leur dos, au point d’écouter à travers les murs, d’écouter derrière les portes entrouvertes et même de jeter un coup d’œil à ce que les autres écrivent à leur sujet. Dès que quelqu’un prononce leur nom, ils pensent : « Je dois me dépêcher d’écouter ce qu’il dit de moi pour savoir s’il a une bonne opinion de moi. Oh mon Dieu, il a dit que j’étais paresseux et que j’aimais manger de bonnes choses. Alors il faut que je change, je ne peux pas être paresseux à l’avenir, il faut que je sois assidu. » Après avoir été assidus pendant un moment, ils se disent : « J’ai écouté si tout le monde disait que j’étais paresseux, et personne ne semble l’avoir dit ces derniers temps. » Mais ils sont tout de même mal à l’aise, alors ils en parlent, l’air de rien, dans leurs conversations avec ceux qui les entourent, en disant : « Je suis un peu paresseux. » Et les autres leur répondent : « Tu n’es pas paresseux, tu es beaucoup plus assidu maintenant qu’auparavant. » Ils sont instantanément rassurés, ravis et réconfortés : « Regardez ça, l’opinion de tout le monde à mon sujet a changé. Il semble que tout le monde ait remarqué l’amélioration de mon comportement. » Tout ce que tu fais, ce n’est pas pour pratiquer la vérité, ni pour satisfaire Dieu, c’est plutôt dans l’intérêt de ta propre réputation. De ce fait, qu’est-il advenu, en réalité, de tout ce que tu fais ? C’est devenu, en réalité, un acte religieux. Qu’est devenue ton essence ? Tu es devenu l’archétype du pharisien. Qu’est devenu ton chemin ? Il est devenu le chemin des antéchrists. C’est ainsi que Dieu le définit. Donc, l’essence de tout ce que tu fais est entachée, elle n’est plus la même. Tu ne pratiques pas la vérité et ne la poursuis pas, au lieu de cela, tu poursuis la renommée et le gain. En fin de compte, aux yeux de Dieu, l’accomplissement de ton devoir, en un mot, est inadéquat. Pourquoi cela ? Parce que tu ne te consacres qu’à ta propre réputation, plutôt qu’à ce que Dieu t’a confié ou à ton devoir en tant qu’être créé. Que ressens-tu dans ton cœur lorsque Dieu propose une telle définition ? Que ta croyance en Dieu pendant toutes ces années a été vaine ? Cela signifie-t-il donc que tu n’as pas du tout poursuivi la vérité ? Tu n’as pas poursuivi la vérité, tu as préféré prêter une attention particulière à ta propre réputation, et à l’origine de tout cela se trouvent les effets conditionnants qui proviennent de ta famille. Quel est le dicton principal avec lequel tu as été conditionné ? Le dicton : « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole » s’est profondément enraciné dans ton cœur et est devenu ta devise. Tu as été influencé et conditionné par ce dicton depuis que tu es jeune, et même maintenant que tu as grandi, tu continues souvent à répéter ce dicton pour influencer la génération suivante dans ta famille et les personnes qui t’entourent. Bien sûr, ce qui est encore plus grave, c’est que tu as adopté ce dicton comme méthode et comme principe pour te conduire et gérer les choses, et même comme objectif et comme direction que tu poursuis dans ta vie. Ton objectif et ta direction sont erronés et le résultat final sera donc nécessairement négatif. Parce que, par essence, tout ce que tu fais, tu le fais uniquement pour ta réputation et uniquement afin de mettre en pratique le dicton « un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole ». Tu ne poursuis pas la vérité, et pourtant tu ne le sais pas toi-même. Tu penses que ce dicton ne pose aucun problème, car les gens ne devraient-ils pas vivre pour leur réputation ? Comme le dit ce dicton commun : « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole. » Ce dicton semble tout à fait positif et légitime, donc tu acceptes inconsciemment son effet conditionnant et tu le considères comme une chose positive. Une fois que tu considères ce dicton comme une chose positive, tu le poursuis et tu le mets en pratique sans t’en apercevoir. En même temps, sans t’en apercevoir, et confusément, tu l’interprètes à tort comme la vérité et comme un critère de la vérité. Lorsque tu le considères comme un critère de vérité, tu n’écoutes plus ce que Dieu dit et tu ne peux pas non plus le comprendre. Tu mets aveuglément en pratique cette devise : « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », et tu agis en accord avec elle, et ce que tu en retires finalement, c’est une bonne réputation. Tu as gagné ce que tu voulais gagner, mais ce faisant, tu as violé et abandonné la vérité et raté l’occasion d’être sauvé. Étant donné qu’il s’agit là du résultat final, tu devrais lâcher prise et abandonner l’idée selon laquelle « un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », que ta famille a conditionnée en toi. Ce n’est pas quelque chose auquel tu dois t’accrocher, ni un dicton ou une idée que tu dois mettre en pratique en y consacrant toute une vie d’efforts et d’énergie. Cette idée et cette opinion qui te sont inculquées et qu’on t’a conditionné à avoir sont fausses, tu devrais donc les abandonner. La raison pour laquelle tu devrais les abandonner n’est pas seulement qu’il ne s’agit pas de la vérité, mais aussi que cela t’égarera et mènera finalement à ta destruction. Les conséquences en sont donc très graves. Pour toi, il ne s’agit pas d’un simple dicton, mais d’un cancer, d’un moyen et d’une méthode qui corrompent les gens. Parce que, selon les paroles de Dieu, parmi toutes Ses exigences envers les gens, Dieu ne leur a jamais demandé de poursuivre une bonne réputation, ni de chercher le prestige, ni de faire bonne impression, ni de gagner l’approbation des autres, ni d’obtenir d’eux une validation. Il n’a jamais non plus fait vivre les gens pour la gloire, ni pour qu’ils laissent derrière eux une bonne réputation. Dieu veut seulement que les gens fassent bien leur devoir, qu’ils se soumettent à Lui et à la vérité. Par conséquent, en ce qui te concerne, ce dicton est un type de conditionnement émanant de ta famille que tu dois abandonner.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
Il existe un autre effet conditionnant que ta famille a sur toi. Par exemple, quand tes parents ou tes aînés t’encouragent, ils te disent souvent : « Il faut endurer de grandes souffrances pour arriver au sommet. » En disant cela, leur objectif est de t’apprendre à endurer les souffrances, à être assidu et persévérant, et à ne pas avoir peur de la souffrance, quoi que tu fasses, car seuls ceux qui endurent des souffrances, résistent à l’adversité, travaillent dur et possèdent un esprit combatif peuvent arriver au sommet. Que signifie « arriver au sommet » ? Cela signifie ne pas être malmené, méprisé, ou ne pas souffrir de discrimination. Cela signifie avoir un prestige et un statut élevés au milieu des gens, avoir le pouvoir de parler et d’être entendu, et le pouvoir de prendre des décisions. Cela signifie être capable de mener une vie meilleure et de meilleure qualité parmi les autres, et être estimé, admiré et envié. Cela signifie essentiellement que tu es à l’échelon supérieur du genre humain tout entier. Que signifie « échelon supérieur » ? Cela signifie qu’il y a beaucoup de gens à tes pieds et que tu n’as pas à tolérer le moindre mauvais traitement de leur part : voilà ce que c’est « arriver au sommet ». Pour arriver au sommet, tu dois « endurer de grandes souffrances », ce qui signifie qu’il faut que tu sois capable d’endurer des souffrances que d’autres ne peuvent pas endurer. Avant de pouvoir arriver au sommet, tu dois donc être capable de supporter les regards dédaigneux, les ricanements, les sarcasmes, les calomnies des autres, ainsi que leur manque de compréhension et même leur mépris, et ainsi de suite. En plus de la souffrance physique, il faut être capable de supporter les sarcasmes et les moqueries de l’opinion publique. Ce n’est qu’en apprenant à être ce genre de personne que tu pourras sortir du lot et trouver ta place dans la société. Le but de ce dicton est de faire en sorte que les gens deviennent des chefs, plutôt que des sous-fifres, car être un sous-fifre est vraiment pénible, il faut supporter les mauvais traitements, on se sent inutile et on n’a ni dignité ni prestige. Il s’agit aussi d’un effet conditionnant dont ta famille use sur toi dans le but d’agir au mieux de tes intérêts. Ta famille fait cela pour que tu n’aies pas à supporter de mauvais traitements de la part des autres, pour que tu aies renommée et autorité, pour que tu manges bien et que tu en profites, et pour que, où que tu ailles, personne n’ose te malmener et que tu puisses au contraire agir comme un tyran et mener le jeu, et que tout le monde s’incline devant toi et te fasse des courbettes. D’une part, quand tu cherches à être au-dessus des autres, tu le fais dans ton propre intérêt et d’autre part, tu le fais aussi pour rehausser le statut social de ta famille et faire honneur à tes ancêtres, pour que tes parents et les membres de la famille puissent également trouver avantage à t’être associés et ne pas subir de mauvais traitements. Si tu as enduré de grandes souffrances et que tu as réussi à devenir un haut fonctionnaire possédant une belle voiture, une maison luxueuse et disposant d’une cohorte de gens qui s’affairent autour de toi, ta famille trouvera également avantage à t’être associée, et les membres de ta famille pourront, eux aussi, conduire de belles voitures, bien manger et mener grand train. Tu pourras déguster les mets raffinés les plus chers si tu le souhaites, aller où bon te semblera, avoir tout le monde à ton service, faire ce qui te plaît, vivre à ta guise et avec arrogance, sans avoir besoin de faire profil bas ni de vivre la queue entre les jambes, faire tout ce que tu veux, même si c’est au-dessus des lois, et vivre avec audace et témérité. C’est dans ce but que ta famille te conditionne de cette façon, pour éviter qu’on te fasse du tort et pour te faire arriver au sommet. Pour parler franchement, leur objectif est de faire de toi quelqu’un qui guide les autres, qui dirige les autres et commande aux autres, quelqu’un qui n’est capable que de malmener les autres et qui n’est jamais celui qui subit, quelqu’un qui arrive au sommet, plutôt que quelqu’un qui est dirigé. N’est-ce pas le cas ? (Si.) […] Alors, qu’exige Dieu à cet égard ? Dieu exige-t-Il que les gens arrivent au sommet et qu’ils ne soient pas médiocres, sans intérêt, quelconques ou ordinaires, mais au contraire éminents, célèbres et nobles ? Est-ce ce que Dieu exige des hommes ? (Non.) Il est très clair que le dicton que ta famille t’a conditionné à suivre, « il faut endurer de grandes souffrances pour arriver au sommet », ne te guide pas dans une direction positive, et bien entendu, il n’a pas non plus le moindre lien avec la vérité. Les objectifs de ta famille, en te faisant endurer des souffrances, sont loin d’être innocents, ils reposent sur des intrigues et sont donc méprisables et sournois. Dieu fait endurer aux gens des souffrances parce qu’ils ont des tempéraments corrompus. Si les gens veulent être purifiés de leurs tempéraments corrompus, ils doivent subir des souffrances, il s’agit là d’un fait objectif. De plus, Dieu exige que les gens endurent des souffrances : c’est ce qu’un être créé devrait faire, c’est aussi ce qu’une personne normale devrait supporter, et c’est l’attitude qu’une personne normale devrait avoir. Cependant, Dieu n’exige pas que tu arrives au sommet. Il exige seulement que tu sois une personne ordinaire et normale qui comprend la vérité, qui écoute Ses paroles, qui se soumet à Lui, et voilà tout. Dieu n’exige jamais que tu Le surprennes, ni que tu fasses quoi que ce soit de stupéfiant, et Il n’a pas non plus besoin que tu sois une célébrité ou un personnage éminent. Il a juste besoin que tu sois une personne ordinaire, normale et réelle, et quelles que soient les souffrances que tu peux endurer, que tu puisses ou non endurer des souffrances, si tu es finalement capable de craindre Dieu et de t’éloigner du mal, alors c’est là la meilleure personne que tu puisses être. Ce que Dieu veut, ce n’est pas que tu arrives au sommet, mais que tu sois un véritable être créé, une personne capable d’accomplir le devoir d’un être créé. Une telle personne est quelqu’un de banal et d’ordinaire, quelqu’un avec une humanité, une conscience et une raison normales, et non quelqu’un de noble ou d’éminent aux yeux des non-croyants ou des êtres humains corrompus. Nous avons déjà beaucoup échangé sur cet aspect, donc nous n’en discuterons pas davantage maintenant. Ce dicton, « il faut endurer de grandes souffrances pour arriver au sommet », est clairement quelque chose que tu dois abandonner. Que dois-tu abandonner exactement ? La direction que ta famille t’a conditionné à poursuivre. Autrement dit, tu dois changer la direction de ta poursuite. Ne fais rien simplement pour arriver au sommet, sortir du lot et être remarquable, ou pour être admiré par les autres. Au lieu de cela, tu dois abandonner ces intentions, ces buts et ces motivations, et tout faire de manière terre-à-terre afin d’être un véritable être créé. Qu’est-ce que J’entends par « d’une manière terre-à-terre » ? Le principe le plus fondamental est qu’il faut tout faire conformément aux voies et aux principes que Dieu a enseignés aux hommes. Supposons que ce que tu fais n’époustoufle pas ou n’impressionne pas tout le monde, ou n’est même pas loué ou apprécié par qui que ce soit. Néanmoins, s’il s’agit de quelque chose que tu devrais faire, alors tu dois persister et continuer dans cette voie, en traitant cela comme le devoir qu’un être créé doit accomplir. Si tu le fais, tu seras un être créé acceptable aux yeux de Dieu, c’est aussi simple que cela. Ce que tu dois changer, c’est ta poursuite en ce qui concerne ton comportement et ta vision de la vie.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
La famille te conditionne et t’influence d’une autre manière, par exemple avec ce dicton : « L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie. » Souvent, les membres de ta famille t’enseignent ceci : « Sois aimable, ne te dispute pas avec les autres et ne te fais pas d’ennemis, car si tu te fais trop d’ennemis, tu ne pourras pas prendre pied dans la société et si trop de gens te haïssent et veulent t’attaquer, alors tu ne seras pas en sécurité dans la société. Tu seras constamment menacé et ta survie, ton statut, ta famille, ta sécurité personnelle, et même tes perspectives de promotion professionnelle, seront mis en péril et entravés par des personnes malveillantes. Il faut donc que tu apprennes que “l’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie”. Sois aimable avec tout le monde, ne porte pas atteinte aux bonnes relations, ne dis rien que tu ne pourrais pas retirer plus tard, évite de blesser la fierté des gens et n’expose pas leurs défauts. Évite ou arrête de dire des choses que les gens ne veulent pas écouter. Fais simplement des compliments, car ça ne fait jamais de mal de faire un compliment à quelqu’un. Tu dois apprendre à te montrer patient et à faire des compromis, sur les sujets importants comme sur les sujets secondaires, car “les compromis permettent de résoudre un conflit bien plus facilement” ». Réfléchis-y, ta famille t’inculque deux idées et deux opinions à la fois. D’une part, elle te dit que tu dois être aimable avec les autres et d’autre part, elle veut que tu sois indulgent, que tu ne parles pas à tort et à travers et si tu as quelque chose à dire, tu dois rester bouche cousue jusqu’à ce que tu rentres à la maison, puis le dire à ta famille. Ou mieux encore, n’en parle même pas à ta famille, car les murs ont des oreilles : si jamais ce secret était divulgué, les choses ne se passeraient pas bien pour toi. Pour prendre pied et survivre dans cette société, les gens doivent apprendre une chose : à ménager la chèvre et le chou. En termes familiers, tu dois te montrer fuyant et rusé. Tu ne peux pas simplement dire ce que tu penses. Si tu dis ce que tu penses, cela s’appelle être stupide, cela ne s’appelle pas être intelligent. Certains n’en font qu’à leur tête et disent ce qu’ils veulent. Imagine un type qui fait cela et qui finit par offenser son patron. Le patron lui rend alors la vie difficile, annule sa prime et s’emploie toujours à lui chercher querelle. En fin de compte, il ne supporte plus de rester à son poste. S’il quitte son emploi, il n’a plus aucun moyen de gagner sa vie. Mais s’il ne le quitte pas, tout ce qu’il peut faire, c’est endurer un travail qu’il ne supporte plus de faire. Comment appelle-t-on cela, quand on est entre le marteau et l’enclume ? Être « coincé », être dans le pétrin. Sa famille le réprimande alors, en lui disant : « Tu mérites d’être maltraité, tu aurais dû te souvenir que “l’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie” ! C’est bien fait pour toi, tu n’avais qu’à pas n’en faire qu’à ta tête et parler à tort et à travers ! On t’a dit de faire preuve de tact et de bien réfléchir à ce que tu dis, mais tu n’as pas voulu le faire, il a fallu que tu sois direct. Pensais-tu que tu pouvais embêter ton patron aussi facilement ? Pensais-tu qu’il était si facile que ça de survivre en société ? Tu considères toujours que tu es simplement direct. Eh bien, maintenant tu dois en supporter les pénibles conséquences. Que cela te serve de leçon ! À l’avenir, tu feras bien de te souvenir du dicton “L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie” ! » Une fois qu’on lui a donné une bonne leçon, il s’en souvient, et pense : « Mes parents ont vraiment eu raison de m’éduquer. C’est une expérience de vie enrichissante, une véritable pépite de sagesse, je ne peux pas continuer à l’ignorer. J’ignore mes aînés à mes risques et périls, donc je m’en souviendrai à l’avenir. » Après avoir commencé à croire en Dieu et rejoint la maison de Dieu, il se souvient encore de ce dicton : « L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie », c’est pourquoi il salue ses frères et sœurs chaque fois qu’il les voit et fait de son mieux pour leur adresser de belles paroles. Le dirigeant déclare : « Je suis dirigeant depuis un certain temps, mais je n’ai pas assez d’expérience professionnelle. » Alors il intervient avec un compliment : « Tu fais un excellent travail. Si tu ne nous dirigeais pas, nous aurions l’impression de n’avoir nulle part où aller. » Quelqu’un d’autre dit : « J’ai acquis une compréhension de moi-même et je pense que je suis assez malhonnête. » Il lui répond alors : « Tu n’es pas malhonnête, en réalité tu es honnête, c’est moi qui suis malhonnête. » Quelqu’un d’autre lui fait une remarque désagréable, et il se dit : « Inutile d’avoir peur de remarques désagréables comme celle-là, je peux supporter bien pire. Aussi désagréables que tes remarques puissent être, je ferai simplement semblant de ne pas les avoir entendues et je continuerai à te complimenter et à faire de mon mieux pour gagner tes faveurs, car cela ne fait jamais de mal de te complimenter. » Chaque fois que quelqu’un lui demande de donner son avis ou de s’ouvrir pendant un échange, il ne parle pas franchement et maintient cette façade joyeuse et enjouée devant tout le monde. Quelqu’un lui demande : « Comment se fait-il que tu sois toujours aussi joyeux et enjoué ? Es-tu vraiment un tigre souriant ? » Et il se dit : « Cela fait des années que je suis un tigre souriant et pendant tout ce temps, on n’a jamais profité de moi, c’est donc devenu mon principe primordial pour faire face au monde. » N’est-il pas comme une pierre glissante ? (Si.) Certains se sont laissés aller de cette façon au sein de la société pendant de nombreuses années et ils continuent de le faire après leur entrée dans la maison de Dieu. Ils ne disent jamais un mot honnête, ils ne parlent jamais avec leur cœur et ils ne discutent pas de la compréhension qu’ils ont d’eux-mêmes. Même lorsqu’un frère ou une sœur met son cœur à nu devant eux, ils ne parlent pas franchement et personne ne peut comprendre ce qui se passe réellement dans leur esprit. Ils ne révèlent jamais ce qu’ils pensent ou quelles sont leurs opinions, ils entretiennent de très bonnes relations avec tout le monde et on ne sait pas quel genre de personnes ou quel type de personnalité ils aiment réellement, ni ce qu’ils pensent vraiment des autres. Si quelqu’un leur demande quel genre de personne est untel ou untel, ils répondent : « Il est croyant depuis plus de dix ans et il est très bien. » Quelle que soit la personne au sujet de laquelle tu les interroges, ils te répondront que la personne en question est quelqu’un de très bien, ou de plutôt bien. Si quelqu’un leur demande : « As-tu découvert les moindres lacunes ou défauts chez elle ? », ils répondront : « Je n’en ai pas trouvé jusqu’à présent, je la surveillerai de plus près à l’avenir », mais au fond, ils pensent : « Tu me demandes d’offenser cette personne, ce que je ne ferai certainement pas ! Si je te dis la vérité et qu’elle l’apprend, ne deviendra-t-elle pas simplement mon ennemi ? Les membres de ma famille me disent depuis longtemps de ne pas me faire d’ennemis, je n’ai pas oublié leurs paroles. Penses-tu que je sois stupide ? Penses-tu que j’oublierais l’éducation et le conditionnement que j’ai reçus de ma famille simplement parce que tu as échangé deux phrases de vérité ? Cela n’arrivera pas ! Ces dictons : “L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie” et “Les compromis permettent de résoudre un conflit bien plus facilement” ne m’ont jamais déçu et ce sont mes talismans. Je ne parle des défauts de personne et si quelqu’un me provoque, je fais preuve de patience envers lui. N’as-tu pas vu ce caractère imprimé sur mon front ? C’est le caractère chinois qui veut dire “tolérance”. Il se compose du caractère qui signifie “couteau”, au-dessus du caractère qui veut dire “cœur”. Je fais preuve de patience envers quiconque dit des remarques désagréables. Je me montre patient envers quiconque m’émonde. Mon objectif est de rester en bons termes avec tout le monde, de maintenir les relations à ce niveau. Ne t’en tiens pas aux principes, ne sois pas si stupide, ne sois pas inflexible, il faut apprendre à céder selon les circonstances ! Pourquoi penses-tu que les tortues vivent aussi longtemps ? C’est parce qu’elles se cachent dans leur carapace quand les choses se compliquent, n’est-ce pas ? De cette façon, elles peuvent se protéger et vivre des milliers d’années. C’est ainsi que l’on peut vivre longtemps et c’est aussi comme ça qu’on fait face au monde. » Tu n’entends pas ces gens dire quoi que ce soit de véridique ou d’authentique, et leurs véritables points de vue et la base de leur comportement ne sont jamais révélés. Ils ne font que penser à ces choses et ils les contemplent dans leur cœur, mais personne d’autre ne les connaît. Les personnes de ce genre sont, en apparence, gentilles avec tout le monde, elles semblent faciles à vivre, ne blessent personne et ne font de mal à personne. Mais ce sont en réalité des personnes qui ménagent la chèvre et le chou, et ce sont des pierres glissantes. Les gens de ce genre sont toujours appréciés par certains dans l’Église, parce qu’ils ne font jamais de grosses erreurs, parce qu’ils ne se trahissent jamais, et parce que l’évaluation que font d’eux les dirigeants d’Église et les frères et sœurs est qu’ils s’entendent très bien avec tout le monde. Ils sont tièdes face à leur devoir, ils font juste ce qu’on leur demande. Ils sont particulièrement obéissants et bien élevés, ils ne blessent jamais les autres dans une conversation ou lorsqu’ils traitent des questions, et ils ne profitent jamais injustement de qui que ce soit. Ils ne disent jamais du mal des autres et ne jugent jamais les gens derrière leur dos. Cependant, personne ne sait s’ils sont sincères dans l’accomplissement de leur devoir, et personne ne sait ce qu’ils pensent des autres ni quelle opinion ils ont à leur sujet. Après mûre réflexion, on a même l’impression que ces gens sont vraiment un peu bizarres et difficiles à comprendre, et que les garder pourrait entraîner des problèmes. Que dois-tu faire ? C’est une décision difficile, n’est-ce pas ? Lorsqu’ils accomplissent leur devoir, tu peux les voir s’affairer, mais ils ne se soucient jamais des principes que la maison de Dieu leur a communiqués. Ils font les choses comme bon leur semble, de façon machinale, et en restent là, essayant seulement d’éviter de commettre de grosses erreurs. Par conséquent, tu ne peux pas leur trouver le moindre défaut, ni identifier les moindres vices. Ils font les choses parfaitement, mais que pensent-ils intérieurement ? Veulent-ils accomplir leur devoir ? S’il n’y avait pas de décrets administratifs de l’Église, ni de supervision de la part du dirigeant d’Église ou de ses frères et sœurs, cette personne pourrait-elle s’associer à des gens malfaisants ? Pourrait-elle faire de mauvaises choses et commettre le mal avec des gens malfaisants ? C’est tout à fait possible, et elle est capable de le faire, mais elle ne l’a pas encore fait. Une personne de ce genre est ce qu’il y a de plus problématique, et elle est l’archétype de la pierre glissante ou du vieux renard rusé. Elle n’en veut à personne. Si quelqu’un dit quelque chose qui lui fait du mal ou révèle un tempérament corrompu qui porte atteinte à sa dignité, que pense-t-elle ? Elle se dit : « Je ferai preuve de patience, je ne t’en tiendrai pas rigueur, mais un jour viendra où tu te ridiculiseras ! » Lorsque son interlocuteur est effectivement traité ou qu’il se ridiculise, elle en rit secrètement. Elle se moque volontiers des autres, des dirigeants et de la maison de Dieu, mais elle ne se moque pas d’elle-même. Elle ne sait tout simplement pas elle-même quels problèmes ou quels défauts elle a. Les gens comme elle font attention à ne pas révéler quoi que ce soit qui puisse blesser les autres, ou quoi que ce soit qui permette aux autres de les percer à jour, même s’ils pensent à ces choses au fond d’eux-mêmes. En revanche, lorsqu’il s’agit de choses qui peuvent engourdir les autres ou les induire en erreur, ils les expriment librement et les laissent voir. Ces gens sont les plus insidieux et les plus difficiles à gérer. Alors, quelle attitude la maison de Dieu adopte-t-elle envers de telles personnes ? La maison de Dieu utilise ces personnes si elles peuvent l’être, et elle les exclut dans le cas contraire, tel est le principe. Pourquoi donc ? La raison en est que ces gens-là sont destinés à ne pas poursuivre la vérité. Ce sont des incrédules qui se moquent de la maison de Dieu, des frères et sœurs et des dirigeants quand les choses tournent mal. Quel rôle jouent-ils ? Est-ce le rôle de Satan et des démons ? (Oui.) Lorsqu’ils font preuve de patience envers leurs frères et sœurs, cela ne constitue ni une véritable tolérance ni un véritable amour. Ils le font pour se protéger et pour éviter d’attirer des ennemis ou des dangers. Ils ne tolèrent pas leurs frères et sœurs pour les protéger, ils ne le font pas non plus par amour, et encore moins parce qu’ils poursuivent la vérité et pratiquent conformément aux vérités-principes. Leur attitude est entièrement centrée sur le fait d’aller à la dérive et d’induire les autres en erreur. Ces personnes sont des gens qui ménagent la chèvre et le chou et ce sont des pierres glissantes. Ils n’aiment pas la vérité et ne la poursuivent pas, au contraire, ils se contentent de dériver. Il est clair que le conditionnement que ces gens reçoivent de la part de leur famille affecte grandement la manière dont ils se comportent et traitent les choses. Naturellement, il faut dire que ces méthodes et principes de gestion du monde sont indissociables de leur humanité-essence. De plus, les effets conditionnants venant de leur famille ne font que rendre leurs actes encore plus prononcés et concrets, et révéler encore plus complètement leur nature-essence. Par conséquent, quand ils sont confrontés aux questions cardinales du bien et du mal, et dans des domaines qui ont une incidence sur les intérêts de la maison de Dieu, s’ils peuvent faire des choix appropriés et abandonner les philosophies des relations mondaines qu’ils abritent dans leur cœur, comme « l’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie », afin de défendre les intérêts de la maison de Dieu, de réduire leurs transgressions et d’atténuer leurs actes malfaisants devant Dieu, en quoi cela leur sera-t-il bénéfique ? À tout le moins, lorsque Dieu déterminera le sort de chaque personne à l’avenir, cela allégera leur punition et diminuera le châtiment de Dieu à leur égard. En pratiquant de cette façon, ces gens n’ont rien à perdre et tout à gagner, n’est-ce pas ? Si on leur fait abandonner complètement leurs philosophies des relations mondaines, ce ne sera pas facile pour eux, car cela implique leur humanité-essence, et ces pierres glissantes, ces gens qui ménagent la chèvre et le chou n’acceptent pas du tout la vérité. Il n’est pas si simple, ni si facile pour eux d’abandonner les philosophies sataniques que leur famille les a conditionnés à suivre, parce que, même si l’on met de côté ces effets conditionnants par leur famille, ils croient eux-mêmes de façon obsessionnelle à des philosophies sataniques, ils aiment cette approche pour faire face au monde, et c’est là une approche très individuelle et subjective. Mais si ces gens sont intelligents, s’ils abandonnent certaines de ces pratiques pour défendre de manière appropriée les intérêts de la maison de Dieu, tant que leurs propres intérêts ne sont pas menacés ni lésés, alors c’est en fait une bonne chose pour eux parce que cela pourrait, au minimum, atténuer leur culpabilité, diminuer le châtiment de Dieu à leur égard, et même renverser la situation, de telle sorte qu’au lieu de les châtier, Dieu les récompense et Se souvienne d’eux. Comme ce serait merveilleux ! Ne serait-ce pas une bonne chose ? (Si.)
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
De quelle autre manière ta famille t’a-t-elle conditionné ? Par exemple, tes parents te disent souvent : « Si tu as une grande gueule et que tu parles de manière inconsidérée, tôt ou tard cela te vaudra des ennuis ! N’oublie pas : “Qui parle beaucoup se trompe beaucoup” ! Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que si tu en dis trop, tu finiras certainement par mettre les pieds dans le plat. Quelle que soit l’occasion, ne parle pas de manière inconsidérée. Avant de dire quoi que ce soit, vois ce que disent les autres. Si tu suis la majorité, tu n’auras aucun problème. Mais si tu essaies sans cesse de te démarquer et que, de façon constante, tu parles inconsidérément et donnes ton point de vue sans savoir ce que pensent ton chef, ton patron ou tout le monde autour de toi et qu’ensuite, il s’avère que ton chef ou ton patron ne pensent pas la même chose, alors ils te donneront du fil à retordre. Peut-il en résulter quoi que ce soit de bon ? Jeune idiot, il faut que tu sois prudent à l’avenir. Qui parle beaucoup se trompe beaucoup. N’oublie pas cela, et ne parle pas de façon inconsidérée ! Une bouche sert à manger et à respirer, à flatter tes supérieurs et à essayer de plaire aux autres, pas à dire la vérité. Tu dois choisir judicieusement tes mots, tu dois employer des ruses et des méthodes, et tu dois utiliser ton cerveau. Juste avant que les mots ne s’échappent de ta bouche, ravale-les et revois-les mentalement plusieurs fois, en attendant le bon moment pour les prononcer. Ce que tu dis réellement doit aussi dépendre de la situation. Si tu commences à donner ton opinion, mais que tu remarques ensuite que les gens ne l’apprécient pas ou que leur réaction n’est pas très bonne, arrête tout de suite et demande-toi comment l’exprimer d’une manière qui puisse satisfaire tout le monde avant de continuer. C’est ce que ferait un enfant intelligent. Si tu fais cela, tu éviteras les ennuis et tu plairas à tout le monde. Et si tu plais à tout le monde, cela ne jouera-t-il pas en ta faveur ? Cela ne créera-t-il pas davantage d’opportunités pour toi à l’avenir ? » Ta famille te conditionne, non seulement en te disant comment acquérir une bonne réputation, comment arriver au sommet et comment établir une position stable parmi les autres, mais aussi en te disant comment tromper les autres par ton apparence extérieure et en ne disant pas la vérité, et surtout en évitant de dire tout ce que tu as en tête. Certains ont été malheureux après avoir dit la vérité et ils se souviennent que leur famille leur avait cité le dicton : « Qui parle beaucoup se trompe beaucoup », et ils en tirent une leçon. Par la suite, ils sont de plus en plus disposés à mettre en pratique ce dicton et à en faire leur devise. D’autres n’ont pas été malheureux, mais ils acceptent sincèrement le conditionnement de leur famille à cet égard et mettent continuellement ce dicton en pratique, en toute occasion. Plus ils le mettent en pratique, plus ils se disent : « Mes parents et mes grands-parents sont si bons avec moi, ils sont tous sincères envers moi et veulent ce qu’il y a de mieux pour moi. J’ai tellement de chance qu’ils m’aient appris ce dicton : “Qui parle beaucoup se trompe beaucoup”, sinon je serais souvent malheureux à cause de ma grande gueule et beaucoup de gens me donneraient du fil à retordre, ou me jetteraient des regards dédaigneux, me ridiculiseraient ou se moqueraient de moi. Ce dicton est vraiment utile et bénéfique ! » Ils tirent de nombreux avantages tangibles de la mise en pratique de ce dicton. Bien sûr, quand, ils viennent ensuite devant Dieu, ils continuent à penser que ce dicton est le plus utile et le plus bénéfique. Chaque fois qu’un frère ou une sœur échange ouvertement sur son état personnel, sur sa corruption, ou sur son expérience et ses connaissances, ils veulent eux aussi échanger et être des personnes franches et ouvertes, et eux aussi veulent parler honnêtement de ce qu’ils pensent ou savent dans leur cœur, afin de soulager temporairement leur état d’esprit, étouffé depuis tant d’années, ou de gagner un certain degré de liberté et de soulagement. Mais dès qu’ils se souviennent de ce que leurs parents ne cessent de leur répéter, à savoir : « “Qui parle beaucoup se trompe beaucoup.” Ne parle pas de façon inconsidérée, écoute au lieu de parler, et apprends à écouter les autres », ils ravalent tout ce qu’ils voulaient dire. Quand tout le monde a fini de parler, ils n’ajoutent rien et se disent : « Formidable, ce n’est pas plus mal que je n’aie rien dit cette fois, parce qu’une fois que j’aurais dit ce que j’avais à dire, tout le monde aurait pu se faire une opinion sur moi, et j’aurais peut-être perdu quelque chose. C’est très bien de ne rien dire, peut-être qu’ainsi tout le monde continuera à penser que je suis honnête et pas très fourbe, que je suis simplement une personne naturellement taciturne, et donc que je ne suis pas quelqu’un d’intrigant ni quelqu’un de très corrompu, et surtout que je ne suis pas quelqu’un qui a des notions sur Dieu, mais plutôt quelqu’un de simple et ouvert. Ce n’est pas une mauvaise chose que les gens pensent cela de moi, alors pourquoi devrais-je dire quoi que ce soit ? En réalité, je vois des résultats en adhérant à ce dicton : “Qui parle beaucoup se trompe beaucoup”, et je vais donc continuer à agir ainsi. » Adhérer à ce dicton leur donne un sentiment agréable et gratifiant, et donc, ils restent silencieux une fois, deux fois, et ainsi de suite, jusqu’au jour où ils ont en eux tout un tas de paroles refoulées et ont envie de s’ouvrir à leurs frères et sœurs, mais tout se passe comme si leur bouche était scellée et bâillonnée, et ils ne peuvent pas prononcer une seule phrase. Comme ils ne peuvent pas parler à leurs frères et sœurs, ils décident d’essayer de parler à Dieu à la place, alors ils s’agenouillent devant Lui et disent : « Mon Dieu, j’ai quelque chose à Te dire. Je suis… » Mais même s’ils y ont bien réfléchi dans leur cœur, ils ne savent pas comment le dire, ils ne peuvent pas l’exprimer. C’est comme s’ils étaient devenus tout bonnement muets. Ils ne savent pas comment choisir les bons mots ni même comment enchaîner une phrase. Toutes ces années de sentiments refoulés font qu’ils se sentent complètement étouffés, qu’ils vivent une vie sombre et sordide, et quand ils se décident à dire à Dieu ce qu’ils ont sur le cœur et à déballer leurs sentiments, ils sont à court de mots et ne savent pas par où commencer, ni comment le dire. Ne sont-ils pas misérables ? (Si.) Alors, pourquoi n’ont-ils rien à dire à Dieu ? Ils se contentent de se présenter. Ils veulent dire à Dieu ce qu’ils ont sur le cœur, mais ils ne trouvent pas les mots et finalement, tout ce qui sort, c’est : « Mon Dieu, s’il Te plaît, donne-moi les mots que je dois dire ! » Et Dieu leur répond : « Il y a tant de choses que tu devrais dire, mais tu ne veux pas les dire et tu ne les dis pas quand on t’en donne l’occasion, alors Je reprends tout ce que Je t’ai donné. Je ne te le donnerai pas, tu ne le mérites pas. » C’est à ce moment-là seulement qu’ils ont le sentiment d’avoir laissé passer beaucoup de choses ces dernières années. Bien qu’ils aient le sentiment d’avoir mené une vie très digne, de s’être bien dissimulés, de s’être parfaitement mis en valeur, lorsqu’ils voient que leurs frères et sœurs ont fait des progrès pendant tout ce temps, lorsqu’ils voient leurs frères et sœurs parler de leurs expériences sans aucune hésitation et s’ouvrir quant à leur corruption, ces gens se rendent compte qu’eux-mêmes ne peuvent pas dire une seule phrase et ne savent pas comment faire. Ils croient en Dieu depuis de nombreuses années et ont envie de parler de la connaissance qu’ils ont d’eux-mêmes, de discuter de leur expérience des paroles de Dieu et de leur exposition à ces paroles, d’obtenir de Dieu un éclairage et un peu de lumière, et de gagner quelque chose. Mais malheureusement, parce qu’ils s’accrochent trop souvent à l’opinion selon laquelle « qui parle beaucoup se trompe beaucoup », et parce qu’ils sont souvent entravés et contrôlés par cette idée, ils ont vécu pendant de nombreuses d’années pour ce dicton, ils n’ont reçu aucun éclairage et aucune illumination de Dieu, et ils sont toujours pauvres, pitoyables et les mains vides en matière d’entrée dans la vie. Ils ont mis en pratique à la perfection ce dicton et cette idée et y ont obéi à la lettre, mais bien qu’ils croient en Dieu depuis de nombreuses années, ils n’ont rien acquis de la vérité et restent pauvres et aveugles. Dieu leur a donné une bouche, mais ils n’ont en aucune façon la capacité d’échanger sur la vérité, ni la moindre aptitude à parler de leurs sentiments et de leurs connaissances, et encore moins la capacité de communiquer avec leurs frères et sœurs. Ce qui est encore plus pitoyable, c’est qu’ils n’ont même pas la capacité de parler à Dieu et qu’ils ont perdu cette capacité. Ne sont-ils pas misérables ? (Si.) Misérables et lamentables. N’est-il pas vrai que tu n’aimes pas parler ? N’as-tu pas constamment peur, te disant que qui parle beaucoup se trompe beaucoup ? Alors tu devrais ne jamais rien dire. Tu dissimules tes pensées les plus intimes et ce que Dieu t’a donné, en réprimant, en scellant et en empêchant ces choses de s’échapper. Tu as constamment peur de perdre la face, peur de te sentir menacé, peur que les autres te percent à jour et constamment peur de ne plus être une personne parfaite, honnête et bonne aux yeux des autres, alors tu te dissimules et tu ne laisses rien filtrer de tes véritables pensées. Et que se passe-t-il en fin de compte ? Tu deviens une personne muette dans tous les sens du terme. Qui t’a fait tant de mal ? À la racine, c’est d’avoir été conditionné par ta famille qui t’a fait du mal. Mais de ton point de vue personnel, c’est aussi parce que tu aimes vivre selon des philosophies sataniques, donc tu choisis de croire que ton conditionnement par ta famille est correct et tu ne crois pas que les exigences que Dieu a vis-à-vis de toi soient positives. Tu choisis de considérer l’effet conditionnant que ta famille a sur toi comme une chose positive et de considérer les paroles de Dieu, Ses exigences et Sa provision, Son aide et Son enseignement comme des choses dont il faut se méfier, comme des choses négatives. Par conséquent, quoi que Dieu t’ait accordé au début, à cause de ta méfiance et de ton refus pendant toutes ces années, le résultat final est que Dieu reprend tout et ne te donne rien, parce que tu n’en es pas digne. Alors, avant d’en arriver là, tu dois abandonner l’effet conditionnant que ta famille a sur toi à cet égard et tu ne dois pas accepter l’idée erronée selon laquelle « qui parle beaucoup se trompe beaucoup ». Ce dicton te rend plus fermé, plus sournois et plus hypocrite. C’est complètement antithétique et contraire à l’exigence de Dieu selon laquelle les gens doivent être honnêtes, et à Son exigence selon laquelle ils doivent être francs et ouverts. En tant que croyant et disciple de Dieu, tu dois être absolument déterminé à poursuivre la vérité. Et quand tu es absolument déterminé à poursuivre la vérité, tu dois être absolument déterminé à abandonner ce que tu imagines être les bons effets conditionnants que ta famille a sur toi. Il n’y a pas à choisir. Quels que soient les effets conditionnants que ta famille a sur toi, aussi bons ou aussi bénéfiques qu’ils puissent être pour toi, et quelle que soit la protection qu’ils t’apportent, ils viennent des gens et de Satan, et tu dois les abandonner. Même si les paroles de Dieu et Ses exigences envers les gens peuvent entrer en conflit avec les effets conditionnants de ta famille, ou même nuire à tes intérêts et te priver de tes droits, et même si tu penses qu’elles ne te protègent pas et qu’elles sont plutôt destinées à te ridiculiser et à te faire passer pour un imbécile, tu dois toujours les considérer comme des choses positives, car elles viennent de Dieu, elles sont la vérité et tu dois les accepter. Si les choses que ta famille a conditionnées en toi ont une incidence sur ta pensée et ton comportement, sur ta vision de l’existence et sur le chemin que tu empruntes, alors tu dois les abandonner et ne pas t’y accrocher. Au lieu de cela, tu dois les remplacer par les vérités correspondantes issues de Dieu et ce faisant, tu dois également discerner et reconnaître constamment les problèmes inhérents et l’essence de ces choses que ta famille a conditionnées en toi, puis agir et pratiquer en suivant les paroles de Dieu de façon plus précise, plus concrète et plus vraie. Accepter des idées, des points de vue sur les personnes et les choses et des principes de pratique qui viennent de Dieu, telle est la responsabilité qui incombe à un être créé, c’est ce qu’un être créé doit faire et il s’agit aussi de l’idée et de l’opinion qu’un être créé doit avoir.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
La famille a une autre sorte d’effet conditionnant. Par exemple, les membres de ta famille te disent sans cesse : « Ne sois pas quelqu’un qui se démarque trop de la foule, tu dois te maîtriser et faire preuve d’un peu de retenue dans tes paroles et dans tes actes, ainsi qu’en ce qui concerne tes talents personnels, tes aptitudes, ton QI, et ainsi de suite. Ne sois pas cette personne qui sort du lot. Comme le disent ces dictons : “L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus” et “Le chevron qui dépasse est le premier à pourrir.” Si tu veux te protéger et avoir une place durable et stable dans le groupe dont tu fais partie, ne sois pas l’oiseau qui sort la tête, tu dois te maîtriser et ne pas aspirer à t’élever au-dessus de tout le monde. Pense au paratonnerre, la première chose qui est frappée lors d’un orage, car la foudre frappe le point le plus élevé ; et quand le vent souffle fort, l’arbre le plus haut est le premier à être touché et à être renversé ; et quand il fait froid, la montagne la plus haute est la première à geler. Il en va de même avec les gens : si tu te démarques sans cesse des autres et attires l’attention, et que le Parti communiste chinois te remarque, il envisagera sérieusement de te punir. Ne sois pas l’oiseau qui sort la tête, ne vole pas en solitaire. Tu dois rester au sein de la nuée. Sans quoi, si un mouvement de protestation sociale se formait autour de toi, tu serais le premier à être puni, étant l’oiseau qui sort la tête. Ne sois pas dirigeant ni chef de groupe dans l’Église. Sinon, en cas de pertes ou de problèmes liés au travail dans la maison de Dieu, en tant que dirigeant ou superviseur, tu serais le premier à être montré du doigt. Alors, ne sois pas l’oiseau qui sort la tête, car l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus. Tu dois apprendre à rentrer la tête dans ta carapace comme une tortue. » Tu te souviens de ces paroles prononcées par tes parents, et quand vient le moment de choisir un dirigeant, tu refuses le poste, en disant : « Oh, je ne peux pas faire ça ! J’ai une famille et des enfants, je suis trop occupé à cause d’eux. Je ne peux pas être dirigeant. Vous devriez vous en charger, ne me choisissez pas. » En supposant que tu sois élu dirigeant malgré tout, tu restes réticent à faire ce travail. Tu dis : « J’ai peur de devoir démissionner. À vous d’être dirigeants, je vous en offre l’occasion à tous. Je vous laisse prendre le poste, je cède ma place. » Dans ton cœur, tu te dis : « Hum ! L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus. Plus tu grimpes haut, plus dure est la chute et on se sent bien seul au sommet. Je te laisse être le dirigeant, et quand tu auras été choisi, le jour viendra où tu te donneras en spectacle. Je ne veux pas être dirigeant, je ne veux pas gravir les échelons, ce qui veut dire que je ne tomberai pas d’une grande hauteur. Penses-y, untel n’a-t-il pas été démis de son poste de dirigeant ? Après avoir été démis, il a été expulsé, il n’a même pas eu la possibilité d’être un croyant ordinaire. C’est la parfaite illustration de ces proverbes : “L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus” et “Le chevron qui dépasse est le premier à pourrir.” N’ai-je pas raison ? N’a-t-il pas été puni ? Les gens doivent apprendre à se protéger, sinon à quoi bon avoir un cerveau ? Si tu as un cerveau, tu dois l’utiliser pour te protéger. Certains ne comprennent pas ce problème clairement, mais il en va ainsi au sein de la société et dans n’importe quel groupe de gens : “L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus.” Tu seras très bien vu pendant que tu sors la tête, jusqu’au moment où tu te feras tirer dessus. Tu te rendras alors compte que les gens qui se mettent dans la ligne de mire reçoivent tôt ou tard ce qu’ils méritent. » Voilà les grands enseignements de tes parents et de ta famille, et c’est aussi la voix de l’expérience, la sagesse distillée de toute leur vie, qu’ils murmurent à ton oreille sans réserve. Qu’est-ce que Je veux dire par « murmurer à ton oreille » ? Je veux dire qu’un jour, ta mère te glisse à l’oreille : « Laisse-moi te dire que s’il y a une chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est que “l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus”, ce qui signifie que si quelqu’un sort trop du lot ou attire trop l’attention, il a des chances d’être puni pour cela. Vois comme ton père est silencieux et réservé maintenant, c’est parce qu’il a été puni lors d’une campagne de répression. Ton père a un talent littéraire, il sait écrire et prononcer des discours, il a des qualités de dirigeant, mais il s’est trop démarqué de la foule et a fini par être puni lors de cette campagne. Comment se fait-il que, depuis, ton père ne parle plus jamais d’être fonctionnaire ou personnalité de premier plan ? C’est à cause de ça. Je te parle avec mon cœur et je te dis la vérité. Il faut que tu l’écoutes et que tu t’en souviennes bien. N’oublie pas, tu dois garder cela à l’esprit où que tu ailles. C’est la meilleure chose que je puisse faire pour toi en tant que mère. » Par la suite, tu te souviens des paroles de ta mère, et chaque fois que tu te souviens du dicton « l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus », cela te rappelle ton père, et chaque fois que tu penses à lui, tu penses à ce dicton. Ton père a été un jour l’oiseau qui a sorti la tête et s’est fait tirer dessus, et maintenant, son air abattu et démoralisé a profondément marqué ton esprit. Donc, chaque fois que tu as envie de sortir la tête, chaque fois que tu as envie de dire ce que tu penses, chaque fois que tu as envie de mener à bien sincèrement ton devoir dans la maison de Dieu, le conseil que ta mère t’a glissé à l’oreille, en parlant du fond du cœur, « l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus », te revient à l’esprit. Alors, une fois de plus, tu recules, en pensant : « Je ne peux pas montrer mes talents ni mes aptitudes particulières, je dois me retenir et les réprimer. Quant à l’exhortation de Dieu qui demande aux gens de mettre tout leur cœur, tout leur esprit et toutes leurs forces dans l’accomplissement de leur devoir, je dois mettre en pratique ces paroles avec modération et ne pas me démarquer en faisant trop d’efforts. Si je me démarque en faisant trop d’efforts et que je sors la tête en dirigeant le travail de l’Église, que se passera-t-il si quelque chose va de travers dans le travail de la maison de Dieu et que j’en suis tenu responsable ? Comment dois-je assumer cette responsabilité ? Vais-je être exclu ? Vais-je devenir le bouc émissaire, l’oiseau qui a sorti la tête ? Dans la maison de Dieu, il est difficile de savoir comment ces choses tourneront. Donc, quoi que je fasse, je dois absolument me ménager une issue de secours, je dois absolument apprendre à me protéger et m’assurer de parer à toutes éventualités avant de parler et d’agir. C’est la ligne de conduite la plus sage, car, comme le dit ma mère : “L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus.” » Ce dicton est profondément ancré dans ton cœur et il exerce également une profonde influence sur ta vie quotidienne. Bien sûr, plus gravement, il affecte ton attitude vis-à-vis de l’accomplissement de ton devoir. N’y a-t-il pas là de sérieux problèmes ? C’est pourquoi, chaque fois que tu accomplis ton devoir et que tu as envie de te dépenser sincèrement et d’utiliser pleinement toutes tes forces, ce dicton, « l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus », t’arrête toujours dans ton élan et en fin de compte, tu choisis toujours de te laisser une certaine liberté d’action et une certaine marge de manœuvre, et de n’accomplir ton devoir de manière mesurée qu’après avoir prévu une issue de secours. N’ai-Je pas raison ? Le conditionnement de ta famille à cet égard te protège-t-il dans toute la mesure du possible contre le risque d’être exposé et traité ? Pour toi, il s’agit d’un talisman de plus, n’est-ce pas ? (En effet.)
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (12)
Le conditionnement familial implique très probablement de nombreuses autres règles du jeu quant au comportement et à la manière d’aborder le monde. Par exemple, les parents disent souvent : « Une personne ne doit jamais chercher à faire du mal aux autres, mais doit toujours se préserver du mal que les autres pourraient lui faire ; tu es trop stupide et crédule. » Les parents répètent souvent ce genre de paroles, et même les anciens te font souvent des remarques telles que : « Sois une bonne personne, ne fais pas de mal aux autres, mais préserve-toi toujours du mal que les autres pourraient te faire. Tout le monde est mauvais. Quelqu’un peut te dire des choses gentilles, mais tu ne sais pas ce qu’il pense réellement. Le cœur des gens est caché sous leur peau et quand tu dessines un tigre, on voit sa peau, mais pas ses os ; quand tu connais quelqu’un, tu vois peut-être son visage, mais pas son cœur. » Y a-t-il quelque chose de correct dans ces expressions ? En les regardant toutes les deux littéralement, il n’y a rien d’incorrect dans ces expressions. On ne peut pas savoir ce qu’une personne pense vraiment au fond d’elle et si son cœur est mauvais ou bon. Il est impossible de voir l’âme d’une personne. La signification de ces expressions est apparemment correcte, mais il ne s’agit que d’un genre de doctrine. Quel principe pour aborder le monde les gens tirent-ils au final de ces deux expressions ? C’est que : « Une personne ne doit jamais chercher à faire du mal aux autres, mais doit toujours se préserver du mal que les autres pourraient lui faire. » C’est ce que dit la génération précédente. Les parents et les anciens le disent souvent et ils te conseillent constamment en disant : « Sois prudent, ne sois pas stupide au point de révéler tout ce qu’il y a dans ton cœur. Apprends à te préserver et à être vigilant. Même avec les bons amis, ne révèle pas qui tu es vraiment et ne mets pas ton cœur à nu devant eux. Ne risque pas ta vie pour eux. » Cet avertissement de la part de tes anciens est-elle correcte ? (Non, elle enseigne des voies malhonnêtes aux gens.) En théorie, c’est un bon but premier : te protéger, t’empêcher de te retrouver dans des situations dangereuses, éviter que tu sois blessé ou trompé par les autres, préserver tes intérêts physiques, ta sécurité personnelle et ta vie. C’est pour t’éviter les ennuis, les poursuites judiciaires et les tentations, et pour te permettre de mener une vie quotidienne paisible, sans problème et heureuse. Le but premier des parents et des anciens est simplement de te protéger. Cependant, la manière dont ils te protègent, les principes qu’ils te conseillent de suivre et les pensées qu’ils t’inculquent ne sont pas du tout corrects. Bien que leur but premier soit correct, les pensées qu’ils t’inculquent te conduisent inconsciemment vers un extrême. Les pensées qu’ils t’inculquent deviennent les principes et les bases avec lesquels tu abordes le monde. Lorsque tu interagis avec des camarades de classe, des collègues, des partenaires de travail, des supérieurs et tout type de personnes dans la société, des gens de tous horizons, ces pensées protectrices qui t’ont été inculquées par tes parents deviennent inconsciemment ton talisman et ton principe les plus basiques lorsque tu gères des problèmes liés aux relations interpersonnelles. Quel est ce principe ? Il est le suivant : je ne te ferai pas de mal, mais je dois rester sur mes gardes à ton encontre à tout instant pour éviter que tu ne me trompes ou me déçoives, pour éviter les ennuis ou les poursuites judiciaires, pour éviter que la fortune de ma famille ne soit dilapidée et que les personnes de ma famille ne trépassent, et pour m’éviter de finir en prison. En vivant sous le contrôle de telles pensées et de tels points de vue, ou en vivant parmi un groupe social abordant le monde avec une telle attitude, tu ne peux que devenir plus déprimé, plus épuisé, exténué aussi bien au niveau mental que physique. Suite à cela, tu deviens plus résistant et opposé au monde et à l’humanité, tu les méprises davantage. Tout en méprisant les autres, tu commences à avoir une opinion plus négative de toi-même, tu as l’impression de ne pas vivre la vie d’une personne normale, mais plutôt une vie dans laquelle tu es déprimé et fatigué. Afin d’éviter que les autres ne te fassent du mal, tu dois constamment être sur tes gardes, faire et dire des choses contre ton gré. Dans ton désir de protéger tes propres intérêts et ta sécurité personnelle, tu portes un faux masque dans tous les aspects de ta vie et tu te déguises, n’osant jamais dire une parole de vérité. Dans cette situation, dans ces conditions de survie, ton moi intérieur ne peut trouver ni relâchement ni liberté. Tu as souvent besoin de quelqu’un qui ne te veut aucun mal et qui ne menacera jamais tes intérêts, quelqu’un avec qui tu peux partager tes pensées intimes et évacuer tes frustrations sans porter la responsabilité de tes paroles, t’exposer aux sarcasmes, aux critiques, aux moqueries ou en subir les conséquences. Dans les situations où la pensée et le point de vue « une personne ne doit jamais chercher à faire du mal aux autres, mais doit toujours se préserver du mal que les autres pourraient lui faire » sont le principe sur lequel tu t’appuies pour aborder le monde, ton moi intérieur est plein de peur et d’insécurité. Naturellement tu te sens déprimé, incapable de te relâcher et tu as besoin de quelqu’un pour te réconforter, quelqu’un à qui tu peux te confier. Ainsi, à en juger par ces aspects, même si le principe pour aborder le monde que t’ont enseigné tes parents, « une personne ne doit jamais chercher à faire du mal aux autres, mais doit toujours se préserver du mal que les autres pourraient lui faire », peut réussir à te protéger, c’est une épée à double tranchant. Bien que cela protège tes intérêts physiques et préserve ta sécurité personnelle jusqu’à un certain point, cela te déprime également et te rend malheureux, incapable de te relâcher, et cela te rend encore plus désabusé par rapport au monde et à l’humanité. En même temps, au fond de toi, tu commences aussi vaguement à en avoir assez d’être né à une époque aussi malfaisante, parmi un groupe de gens aussi malfaisants. Tu n’arrives pas à comprendre pourquoi les gens doivent vivre, pourquoi la vie est aussi épuisante, pourquoi ils doivent porter un masque et se déguiser où qu’ils aillent, ou pourquoi tu dois toujours être sur tes gardes envers les autres pour le bien de tes propres intérêts. Tu aimerais pouvoir dire la vérité, mais tu ne peux pas à cause des conséquences. Tu veux être une vraie personne, parler et te comporter de manière ouverte et éviter d’être une personne méprisable ou de faire des choses viles et honteuses en secret, ne vivant que dans les ténèbres, mais tu ne peux faire aucune de ces choses. Pourquoi ne peux-tu pas vivre de manière droite ? Tandis que tu réfléchis à tes actions passées, tu ressens un léger dédain. Tu détestes et exècres cette tendance malfaisante et ce monde malfaisante, et en même temps, tu te hais profondément et tu détestes la personne que tu es devenue. Pourtant, tu ne peux rien y faire. Bien qu’à travers leurs paroles et leurs actes, tes parents t’aient transmis ce talisman, cela te donne tout de même l’impression qu’il manque à ta vie le bonheur et un sentiment de sécurité. Lorsque tu ressens ce manque de bonheur, de sécurité, d’intégrité et de dignité, tu es à la fois reconnaissant à tes parents de t’avoir donné ce talisman et amer à cause des chaînes qu’ils ont posées sur toi. Tu ne comprends pas pourquoi tes parents t’ont dit de te comporter ainsi, pourquoi tu dois te comporter ainsi afin de t’ancrer dans la société, de t’intégrer dans ce groupe social et de te protéger. Bien que ce soit un talisman, c’est aussi comme des chaînes qui te donnent l’impression de ressentir à la fois de l’amour et de la haine dans ton cœur. Mais que peux-tu faire ? Tu n’as pas le bon chemin dans la vie, personne ne te dit comment vivre ou comment gérer les choses qui t’arrivent, et personne ne te dit si ce que tu fais est bien ou mal, ou comment tu devrais avancer sur le chemin qui est devant toi. Tu ne peux que traverser confusion, hésitations, souffrance et malaise. Ce sont là les conséquences de la philosophie des relations mondaines que t’ont inculquée tes parents et ta famille, qui font que ton souhait le plus simple d’être quelqu’un de simple, c’est-à-dire ton désir d’être capable de te comporter de manière droite sans avoir recours à ces moyens d’aborder le monde, ne peut se réaliser. Tu ne peux vivre que de manière avilie, en faisant des compromis et en ne vivant que pour ta réputation, tout en étant particulièrement féroce lorsqu’il s’agit de te préserver des autres, en faisant semblant d’être féroce, grand et puissant, imposant et extraordinaire pour éviter d’être malmené par les autres. Tu ne peux vivre ainsi que contre ton gré, ce qui te donne un sentiment de haine envers toi-même, mais tu n’as pas le choix. Parce que tu n’as pas la capacité ou le chemin pour t’échapper de ces voies et de ces stratégies pour aborder le monde, tu ne peux que te laisser manipuler par les pensées dans lesquelles ta famille et tes parents t’ont conditionné. Les gens se font avoir et contrôler par les pensées que leur ont inculquées leur famille et leurs parents au cours de ce processus inconscient, parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ou la manière dont ils devraient vivre, alors ils ne peuvent que laisser cela entre les mains du destin. Même si leur conscience possède encore un peu de sentiments ou qu’ils ont même un petit désir de vivre à la ressemblance humaine, de bien s’entendre avec les autres et de rivaliser avec eux de manière juste, quels que soient leurs souhaits, ils ne peuvent pas échapper au conditionnement et au contrôle des divers points de vue et pensées qui viennent de leur famille. Et à la fin, ils ne peuvent que revenir à la pensée et au point de vue conditionnés par leur famille, « une personne ne doit jamais chercher à faire du mal aux autres, mais doit toujours se préserver du mal que les autres pourraient lui faire », parce qu’ils n’ont pas d’autre chemin à emprunter, ils n’ont pas le choix. Tout cela vient du manque de compréhension de la vérité et de l’échec des gens à obtenir la vérité.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (14)
Pourquoi ces cultures traditionnelles ne sont-elles pas la vérité ? Ce à quoi tout cela se résume, c’est qu’il s’agit d’idées qui sont nées après la corruption de l’humanité par Satan. Elles ne viennent pas de Dieu. Elles sont altérées par l’imagination et les notions des gens et de plus, ce sont les conséquences qui découlent de la corruption de l’humanité par Satan. Satan exploite les idées, les points de vue, et toutes sortes de dictons et d’arguments de l’humanité corrompue afin de lier la pensée des gens et de la corrompre. Si Satan utilisait des choses manifestement absurdes, grotesques et erronées pour fourvoyer les gens, alors les gens auraient du discernement ; ils pourraient distinguer entre le bien et le mal, et utiliseraient ce discernement pour nier et condamner ces choses. Ainsi, ces enseignements ne résisteraient pas à un examen. Cependant, lorsque Satan, pour conditionner et influencer les gens et leur inculquer des choses, utilise des idées et des théories qui correspondent aux notions et à l’imagination des gens et qui, pense-t-il, résistent à l’examen lorsqu’elles sont prononcées à haute voix, l’humanité est facilement fourvoyée et ces dictons sont également facilement acceptés et répandus par les gens, de sorte que ces dictons perdurent de génération en génération, jusqu’à aujourd’hui. Prenons par exemple certaines histoires sur les héros chinois, telles que les histoires sur Yue Fei, les généraux de la famille Yang, et Wen Tianxiang. Comment se fait-il que ces idées aient été transmises jusqu’à nos jours ? Si l’on se place du point de vue des gens, à chaque époque, il y a un type de personne ou de dirigeant qui utilise constamment ces exemples et se sert des idées et de l’esprit de ces personnages pour enseigner génération après génération, de sorte que génération après génération les gens acceptent docilement et avec conciliation leur règne, et ainsi qu’ils puissent facilement gouverner génération après génération, et rendre leur règne plus stable. En évoquant le dévouement simiesque de Yue Fei et des généraux de la famille Yang, ainsi que l’esprit patriotique de Wen Tianxiang et de Qu Yuan, ils éduquent leurs sujets et leur inculquent une règle, à savoir qu’il faut se comporter avec loyauté, c’est ainsi que doit agir une personne de noble moralité. Être loyal jusqu’à quel point ? Jusqu’au point que « Quand l’empereur ordonne à ses fonctionnaires de mourir, ils n’ont d’autre choix que de mourir », et « Un sujet loyal ne peut pas servir deux rois » – c’est un autre dicton qu’ils vénèrent. Ils vénèrent aussi ceux qui aiment leur pays. Aimer son pays, c’est aimer quoi, ou qui ? Aimer la terre ? Aimer les gens qui l’habitent ? Et qu’est-ce qu’un pays ? (Les dirigeants.) Les dirigeants sont les représentants du pays. Si tu dis : « Mon amour pour mon pays est en fait de l’amour pour ma ville natale et mes parents. Je ne vous aime pas, vous, les dirigeants ! », ils se fâcheront. Si tu dis : « Mon amour pour mon pays est en fait un amour pour les dirigeants, du plus profond de mon cœur », ils l’accepteront et approuveront un tel amour ; si tu leur fais comprendre et que tu fais en sorte que ce soit clair, que ce n’est pas eux que tu aimes, ils ne l’approuveront pas. Qui représentent les dirigeants à travers les âges ? (Satan.) Ils représentent Satan, ils sont membres de la bande de Satan, et ce sont des démons. Ils ne peuvent pas apprendre au peuple à adorer Dieu, à adorer le Créateur. Ils ne peuvent absolument pas faire cela. Au lieu de cela, ils disent au peuple que le dirigeant est le fils du ciel. Que signifie « fils du ciel » ? Cela signifie que le Ciel accorde le pouvoir à quelqu’un, et cette personne est alors appelée « fils du ciel » et a le pouvoir de régner sur tous les peuples sous le ciel. Est-ce une idée inculquée au peuple par les dirigeants ? (Oui.) Lorsqu’une personne devient le fils du ciel, cela est décidé par le Ciel, et la volonté du Ciel est avec elle, de sorte que le peuple doit accepter le règne de cette personne sans condition, quel que soit le type de règne. Ce qu’ils inculquent aux gens, c’est cette idée, qui te pousse à accepter cette personne en tant que fils du ciel, basée sur ta reconnaissance de l’existence du Ciel. Quel est le but de te faire accepter le fait que cette personne est le fils du ciel ? Ce n’est pas pour te faire reconnaître qu’il y a un Ciel, ou qu’il y a un Dieu, ou qu’il y a un Créateur, mais pour te faire accepter le fait même que cette personne est le fils du ciel et que parce qu’elle est le fils du ciel, grâce à l’existence de la volonté du Ciel, le peuple doit accepter son règne ; voilà le genre d’idées qu’ils instillent. Derrière toutes ces idées qui se sont développées depuis le début de l’humanité jusqu’à nos jours – que nous disséquions des phrases et expressions idiomatiques qui contiennent des allusions, ou des proverbes populaires et dictons courants qui sont totalement dépourvus d’allusions – se cachent les liens et le fourvoiement de Satan envers l’humanité, ainsi que la définition fallacieuse de ces idées par l’humanité corrompue. Quelle influence cette définition fallacieuse a-t-elle sur l’humanité dans les périodes ultérieures ? Est-elle bonne, positive ou négative ? (Négative.) Elle est fondamentalement négative. Prenons, par exemple, les dictons « Dormir sur des broussailles et lécher du fiel », « Cacher sa lumière et rassembler ses forces dans l’obscurité », « Endurer l’humiliation et supporter un lourd fardeau », « Ne jamais s’avouer vaincu », ainsi que « Feindre une chose tout en en faisant une autre ». Quelle influence ces dictons ont-ils sur l’humanité dans les périodes ultérieures ? En l’occurrence, une fois que les gens acceptent ces idées de la culture traditionnelle, chaque génération successive s’éloigne de plus en plus de Dieu, et s’éloigne de plus en plus de la création de Dieu et du salut des gens par Dieu, et de Son plan de gestion. Une fois que les gens acceptent ces points de vue erronés de la culture traditionnelle, ils ont de plus en plus le sentiment que la destinée humaine devrait être entre leurs mains, que le bonheur doit être créé de leurs propres mains, et que les opportunités sont réservées à ceux qui sont préparés, ce qui conduit l’humanité à nier de plus en plus Dieu, à nier la souveraineté de Dieu, et à vivre sous le pouvoir de Satan. Si vous comparez ce dont les gens de l’ère moderne aiment parler et ce dont les gens d’il y a deux mille ans aimaient parler, le sens de la pensée derrière ces choses est en fait le même. C’est juste que les gens d’aujourd’hui parlent de ces choses de manière plus spécifique et sont plus directs à ce sujet. Non seulement ils nient l’existence et la souveraineté de Dieu, mais ils résistent et condamnent Dieu à un degré de plus en plus grave.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)
Quelle est la différence substantielle entre les paroles de Dieu et les paroles de l’homme et entre la vérité et la doctrine ? Les paroles de Dieu font grandir les gens en matière de raison et de conscience, les font agir avec principe et font que ce qu’ils vivent devient de plus en plus empreint de la réalité des choses positives. Les paroles de l’homme, d’autre part, peuvent sembler parfaitement convenir aux goûts et aux notions des gens, mais elles ne sont pas la vérité, elles sont bourrées d’écueils, de tentations, d’hérésies et d’idées fausses, si bien que si les gens agissent en fonction de ces paroles, ce qu’ils vivent s’écartera de plus en plus de Dieu et des normes de Dieu. Plus grave encore, la manière de vivre des gens deviendra de plus en plus maléfique et semblable à Satan. Quand les gens vivent et agissent entièrement selon les hérésies et les idées fausses de l’homme, quand ils adhèrent complètement à ces arguments, ils vivent comme Satan. Or vivre comme Satan n’implique-t-il pas que ce sont des Satans ? (Si.) Ils ont donc « réussi » à devenir des Satans vivants. Certains disent : « Je n’y crois pas. Je veux juste être une personne candide qui est appréciée par les autres. Je veux être une personne que la plupart des gens trouvent gentille, ensuite, je verrai bien si je fais ou non les délices de dieu. » Si tu ne crois pas ce que Dieu dit, va voir, et regarde si Ses paroles sont la vérité ou si les notions de l’homme sont la vérité. Voilà en substance la différence entre les paroles de Dieu et les paroles de l’homme. C’est la distinction essentielle entre la vérité et les hérésies et idées fausses. Qu’importe à quel point les hérésies et les idées fausses de l’homme semblent correspondre aux goûts des gens, elles ne pourront jamais devenir leur vie ; dans le même temps, qu’importe à quel point les paroles de Dieu paraissent simples, vernaculaires, en décalage avec les notions des gens, leur essence est la vérité, et si ce que font et vivent les hommes est en accord avec les principes des paroles de Dieu, un jour, ils finiront par devenir des êtres créés authentiques et qualifiés et seront capables de craindre Dieu et de s’éloigner du mal. À l’inverse, si les gens ne pratiquent pas conformément aux paroles de Dieu et n’agissent pas conformément aux exigences de Dieu, ils ne peuvent pas devenir des êtres créés qualifiés. Leurs actions et le chemin qu’ils arpentent seront uniquement détestés et abandonnés par Dieu ; c’est un fait.
– La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie V)
Bon nombre de gens croient en Dieu et Le louent verbalement, mais dans leur cœur, ils n’aiment pas les paroles que Dieu prononce. Ils ne s’intéressent pas à la vérité. Ils croient toujours que vivre selon les philosophies de Satan ou selon diverses théories mondaines, c’est ce que les gens normaux font, que c’est de cette façon que l’on peut se protéger et que c’est ainsi que l’on vit avec valeur dans ce monde. S’agit-il là de gens qui croient en Dieu et qui Le suivent ? Non, pas du tout. Les paroles des grands personnages et des gens célèbres semblent particulièrement avisées et peuvent facilement induire les autres en erreur. Il se peut que tu t’accroches à leurs paroles comme s’il s’agissait de vérités ou de devises à respecter. Mais quand il s’agit des paroles de Dieu, d’une exigence ordinaire que Dieu a à l’égard des gens, comme le fait d’être une personne honnête, ou de rester à sa place en se montrant docile et scrupuleux, en accomplissant son devoir en tant qu’être créé et en ayant un comportement stable et honnête, si tu ne peux pas mettre ces paroles en pratique et que tu ne les considères pas comme des vérités, alors tu n’es pas un disciple de Dieu. Tu affirmes que tu pratiques la vérité, mais comment t’expliquerais-tu si Dieu te demandait : « Les “vérités” que tu pratiques sont-elles les paroles de Dieu ? Les principes que tu respectes sont-ils basés sur les paroles de Dieu ? » Si tu ne te bases pas sur les paroles de Dieu, alors tu te bases sur celles de Satan. Tu vis les paroles de Satan et tu affirmes pourtant que tu pratiques la vérité et que tu satisfais Dieu. N’est-ce pas là blasphémer contre Dieu ? Dieu donne l’instruction aux gens d’être honnêtes, par exemple, pourtant certains individus ne se demandent pas ce qu’implique vraiment le fait d’être une personne honnête, ni comment pratiquer le fait d’être une personne honnête, ni quelles choses sont malhonnêtes dans ce qu’ils vivent et révèlent, ni quelles choses sont honnêtes dans ce qu’ils vivent et révèlent. Au lieu de réfléchir à l’essence de la vérité dans les paroles de Dieu, ces individus se tournent vers les livres des non-croyants. Ils pensent : « Les dictons des non-croyants ne sont pas mauvais, eux non plus, ils apprennent également aux gens à être bons ! Par exemple, “Les bons ont une vie paisible”, “Les gens candides l’emportent toujours” et “Pardonner aux autres n’est pas stupide, cela procure des avantages, par la suite”. De plus, ces déclarations sont justes et elles s’alignent sur la vérité ! » Par conséquent, ils adhèrent à ces paroles. En respectant ces adages des non-croyants, quel genre de personnes peuvent-ils être ? Peuvent-ils vivre la vérité-réalité ? (Non, ils ne le peuvent pas.) N’y a-t-il pas de nombreux individus comme ça ? Ils acquièrent une certaine connaissance, ils ont lu quelques livres et quelques œuvres célèbres, ils ont gagné une certaine perspective et ils ont entendu quelques dictons et proverbes populaires connus, puis ils prennent tout cela pour la vérité et ils agissent et accomplissent leur devoir conformément à ces paroles, les appliquant à leur vie en tant que croyants en Dieu et pensant qu’ils satisfont le cœur de Dieu. N’est-ce pas là remplacer la vérité par le mensonge ? N’est-ce pas là se livrer à la tromperie ? Pour Dieu, c’est là du blasphème ! Ces choses se manifestent chez tout individu, en grand nombre. Quelqu’un qui traite les paroles agréables et les doctrines correctes émanant du peuple comme des vérités à respecter, tout en mettant de côté les paroles de Dieu et en les ignorant, sans parvenir à les intérioriser, quel que soit le nombre de fois où il les lit, ou sans parvenir à considérer les paroles de Dieu comme la vérité, est-il un croyant en Dieu ? Est-il un disciple de Dieu ? (Non.) Les gens comme ça croient en la religion, ils suivent encore Satan ! Ils croient que les paroles prononcées par Satan sont philosophiques, qu’elles sont extrêmement profondes et classiques. Ils considèrent qu’elles sont des dictons célèbres de la plus haute vérité. Peu importe à quoi d’autre ils renoncent, ils sont incapables de se passer de ces paroles. Abandonner ces paroles serait comme perdre le fondement de leur vie, comme se creuser un trou dans le cœur. De quel genre de personnes s’agit-il ? Ce sont des disciples de Satan et c’est pour cette raison qu’ils acceptent les célèbres dictons de Satan comme s’il s’agissait de la vérité. Pouvez-vous disséquer et reconnaître les divers états dans lesquels vous vous trouvez au sein de différents contextes ? Par exemple, certains croient en Dieu et lisent souvent Ses paroles, mais quand il leur arrive quelque chose, ils déclarent toujours : « Ma mère disait… », « Mon grand-père disait… », « Telle ou telle célébrité a dit un jour… » ou « Tel ou tel livre dit que… » Ils ne disent jamais : « La parole de Dieu dit ceci… », « Les exigences de Dieu à notre égard sont ainsi… », « Dieu dit cela… » Ils ne prononcent jamais ces mots. Suivent-ils Dieu ? (Non.) Les gens peuvent-ils facilement découvrir ces états ? Non, mais l’existence de ces états chez les gens est à leur grand détriment. Tu crois peut-être en Dieu depuis trois, cinq, huit ou dix ans, mais tu ne sais toujours pas comment te soumettre à Dieu ni mettre Ses paroles en pratique. Quoi qu’il t’arrive, tu te bases toujours sur des paroles sataniques, tu cherches toujours un fondement dans la culture traditionnelle. S’agit-il là de foi en Dieu ? Ne suis-tu pas Satan ? Tu vis selon des paroles sataniques et tu vis selon des tempéraments sataniques, alors, n’es-tu pas en train de résister à Dieu ? Puisque tu ne pratiques pas la parole de Dieu et que tu ne vis pas selon elle, que tu ne suis pas les pas de Dieu, que tu ne peux pas écouter, quoi que Dieu dise, et que tu ne peux pas te soumettre, quoi que Dieu orchestre ou exige de toi, tu ne suis pas Dieu. Tu suis encore Satan. Où est Satan ? Satan est dans le cœur des gens. Les philosophies, la logique et les règles, ainsi que les diverses paroles diaboliques de Satan, ont depuis longtemps pris racine dans le cœur des gens. C’est là le problème le plus grave. Si tu ne peux pas résoudre ce problème dans ta foi en Dieu, alors tu ne pourras pas être sauvé par Dieu. Par conséquent, tu dois toujours comparer aux paroles de Dieu tout ce que tu fais, tes pensées et tes opinions, ton fondement pour faire les choses, et tu dois disséquer les choses dans tes pensées. Il faut que tu saches quelles choses en toi sont des philosophies concernant les relations mondaines, des adages populaires, de la culture traditionnelle, et quelles choses en toi sont issues de la connaissance intellectuelle. Il faut que tu saches quelles choses tu considères encore comme étant justes et conformes à la vérité, quelles choses tu respectes comme si elles étaient la vérité, et quelles choses tu laisses remplacer la vérité. Vous devez disséquer ces choses. En particulier, si tu considères comme la vérité les choses que tu crois justes et précieuses, il n’est pas facile de les tirer au clair, mais si tu y parviens, tu auras franchi un obstacle majeur. Ces choses empêchent les gens de comprendre les paroles de Dieu, de pratiquer la vérité et de se soumettre à Dieu. Si tu es dérouté et désœuvré toute la journée, et que tu ne prêtes aucune attention à ces choses ou que tu ne t’attaches pas à résoudre ces problèmes, alors là est la source de ton malaise, là est le poison dans ton cœur. Faute d’éliminer ces choses, tu seras incapable de vraiment suivre Dieu et de pratiquer la vérité ou de te soumettre à Dieu, et il te sera impossible d’obtenir le salut.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut être sauvé par la croyance en la religion ou par la participation aux cérémonies religieuses
Quoi qu’il arrive, est-ce que tu te fies à des philosophies sataniques et tu as recours à des méthodes humaines pour résoudre la situation ? Ou est-ce que tu cherches plutôt la vérité, et à résoudre la situation conformément aux paroles de Dieu ou adoptes-tu une approche de juste milieu visant un compromis ? Tes choix révèlent parfaitement si tu es quelqu’un qui aime et poursuit la vérité. Si tu choisis toujours de résoudre les problèmes en t’en remettant à des philosophies sataniques et des méthodes humaines, la conséquence sera que tu ne pourras pas gagner la vérité, pas plus que l’éclairage, l’illumination, et la guidance du Saint-Esprit. En outre, tu seras envahi par des notions et des conceptions erronées concernant Dieu, et Il finira par te détester et t’abandonner et t’éliminer. Mais si tu arrives à chercher la vérité en toutes choses et que tu résous les situations conformément aux paroles de Dieu, alors tu auras accès à l’éclairage, à l’illumination et à la guidance du Saint-Esprit. Ta compréhension de la vérité deviendra de plus en plus limpide, et tu connaîtras Dieu de mieux en mieux ; de cette façon tu pourras réellement te soumettre à Dieu et L’aimer. Après avoir pratiqué et expérimenté ainsi pendant un certain temps, tes tempéraments corrompus s’en trouveront purifiés, et tu auras de moins en moins d’occasions de te rebeller à l’égard de Dieu, jusqu’à être en parfaite compatibilité avec Lui. Si tu choisis toujours l’option de compromis du juste milieu, tu t’appuies encore sur des philosophies sataniques pour gérer les problèmes. Vivre comme ça ne te gagnera jamais l’approbation de Dieu, tu seras seulement révélé et éliminé. Si tu as choisi la mauvaise façon de croire en Dieu, la façon religieuse, tu dois rapidement faire marche arrière, t’éloigner du précipice, et adopter la bonne façon de faire. Alors tu auras peut-être encore une chance d’atteindre le salut. Si tu veux acquérir la bonne façon de croire en Dieu, tu dois la chercher, à tâtons, tout seul. Quelqu’un qui a une compréhension spirituelle trouvera le bon chemin après avoir une période d’expérience.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, C’est seulement en poursuivant la vérité que l’on peut résoudre ses notions et ses incompréhensions au sujet de Dieu
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