Pratiquer la vérité est la clé d’une coordination harmonieuse
Par Dongfeng, États-Unis En août 2018, j’avais le devoir de fabriquer des accessoires de cinéma avec Frère Wang. J’ignorais beaucoup de...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2018, je réalisais des vidéos dans l’Église. Comme mes compétences professionnelles s’amélioraient rapidement, et que j’aidais habituellement les frères et sœurs à résoudre certains problèmes et certaines difficultés, tout le monde avait une bonne image de moi et les dirigeants me confiaient certaines tâches importantes. Recevoir la reconnaissance des dirigeants et l’estime des frères et sœurs m’a donné un fort sens d’accomplissement et a accru mon enthousiasme. Même si je n’étais pas le chef d’équipe, j’identifiais et analysais rapidement les problèmes dans notre travail. Je faisais toujours de mon mieux pour terminer les tâches que les dirigeants et les chefs d’équipe m’avaient assignées, j’avais donc l’impression d’avoir vraiment un fardeau dans mon devoir et d’être relativement obéissant. Surtout lorsque je voyais certains frères et sœurs autour de moi devenir négatifs, se laisser aller dans leurs devoirs, et ne pas faire correctement leurs devoirs car ils étaient mécontents des tâches que l’Église leur avait assignées, je pensais que si je me retrouvais dans une telle situation, je n’agirais pas comme eux, que je serais toujours obéissant.
Un jour de 2022, le chef de groupe m’a dit qu’il y avait une pénurie de personnes pour le travail textuel. Comme la charge de travail dans notre groupe n’était pas lourde, que j’avais certaines compétences rédactionnelles et que je pouvais généralement échanger sur la vérité pour résoudre certains problèmes, après une évaluation complète, les dirigeants ont pris des dispositions pour que je fasse du travail textuel. Quand j’ai appris la nouvelle, je ne pouvais simplement pas en croire mes oreilles. Je me suis dit : « Vont-ils ajuster mon devoir ? Je suis très bien dans ce groupe. Les frères et sœurs m’apprécient et les personnes des autres groupes viennent même me demander conseil. Cela me met vraiment en valeur ! Si je pars pour faire du travail textuel, que je ne comprends pas les principes et qu’il me faut je ne sais combien de temps pour rattraper les autres, car je commence à peine, cela ne signifie-t-il pas que je serai le plus mauvais du groupe ? Je n’arrive tout bonnement pas à comprendre : pourquoi fallait-il qu’ils me choisissent ? » J’ai pensé à certaines sœurs que je connaissais et qui avaient des bonnes compétences rédactionnelles. Peu après avoir commencé à faire du travail textuel, elles ont été réaffectées car elles ne convenaient pas pour le travail. J’avais le sentiment que je n’étais pas aussi bon qu’elles et que, si je ne pouvais pas faire ce travail correctement, ce serait humiliant. J’avais beau comparer les deux, je sentais que mon devoir actuel était plus stable et plus prestigieux. Plus je pensais de cette manière, plus j’avais le sentiment que les dirigeants avaient été trop hâtifs dans leur réflexion, qu’ils n’avaient pas bien compris mes points forts avant de me transférer. Je me suis plaint auprès de la cheffe d’équipe : « Les dirigeants n’ont-ils pas évalué cette question avec soin ? Je suis plus doué pour réaliser des vidéos. Le travail textuel n’est pas mon point fort. Si je dois y aller, je ne le ferai pas bien. Ne devraient-ils pas reconsidérer la question en se basant sur mes points forts ? » Je pensais que la cheffe d’équipe comprendrait mon point de vue, et qu’elle parlerait peut-être avec les dirigeants pour reconsidérer mon ajustement. Mais elle a échangé et dit que je devais d’abord prendre les besoins de l’Église en considération. Je me suis rendu compte que je ne devais pas argumenter et que je devais d’abord obéir.
Plus tard, j’ai recherché les principes relatifs à l’ajustement des devoirs. Les paroles de Dieu disent : « La maison de Dieu s’arrange pour que les gens accomplissent certains devoirs qui ne sont pas basés sur leurs préférences, mais sur les besoins du travail et sur la condition qu’une personne puisse obtenir des résultats en accomplissant ce devoir. Diriez-vous que la maison de Dieu devrait arranger les devoirs en se basant sur les préférences de chacun ? Devrait-on utiliser les personnes en fonction de la satisfaction de leurs préférences personnelles ? (Non.) Laquelle de ces propositions concorde avec les principes de la maison de Dieu lorsqu’elle utilise des gens ? Laquelle concorde avec les vérités-principes ? Celle qui consiste à choisir les gens selon les besoins du travail dans la maison de Dieu et les résultats obtenus dans l’accomplissement de leurs devoirs » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris ceci : dans l’Église, répartir les devoirs en fonction des points forts de chacun n’est qu’un aspect. Le plus important est de le faire en se basant sur les besoins du travail de l’Église. Aujourd’hui, il y a une pénurie de personnes pour le travail textuel, et la charge de travail dans mon groupe n’est pas lourde. Même si je ne suis pas là, cela ne retardera pas l’avancement. Je devais d’abord prendre le travail de l’Église en considération et mettre de côté mes choix et mes exigences personnels. Si je ne satisfais que mes propres préférences, c’est trop égoïste. Quand j’ai pris conscience de cela, je me suis senti moins réfractaire dans mon cœur.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Si l’on croit en Dieu, mais qu’on n’écoute pas Ses paroles, qu’on n’accepte pas la vérité ou qu’on ne se soumet pas à Ses arrangements et à Ses orchestrations, si on ne fait qu’afficher certains bons comportements, mais que l’on est incapable de se rebeller contre la chair et que l’on ne renonce en rien à son orgueil ou à ses intérêts, et même si, selon les apparences, on accomplit son devoir, on vit encore selon ses tempéraments sataniques et on n’a pas le moins du monde abandonné ni changé ses philosophies et ses modes de vie sataniques. Alors, comment pourrait-on vraiment croire en Dieu ? […] Quel que soit leur nombre d’années de croyance, ils n’ont pas établi une relation normale avec Dieu. Quoi qu’ils fassent, ou quoi qu’il leur arrive, la première chose à laquelle ils pensent, c’est : “Qu’est-ce que je veux faire, qu’est-ce qui peut être dans mon intérêt, et qu’est-ce qui ne l’est pas, que se passerait-il si je faisais ceci ou cela ?” Voilà les choses qu’ils considèrent en premier lieu. Ils ne se demandent pas, de quelque façon que ce soit, quelle sorte de pratique glorifie Dieu et Lui rend témoignage, ou satisfait les intentions de Dieu, pas plus qu’ils ne prient pour chercher quelles sont les exigences de Dieu et ce que Ses paroles disent. Ils ne prêtent jamais attention à ce que sont les intentions ou les exigences de Dieu, et ils ne se demandent pas comment les gens doivent pratiquer afin de satisfaire Dieu. Même s’il peut leur arriver de prier devant Dieu et d’échanger avec Lui, ils ne font que se parler à eux-mêmes, sans chercher sincèrement la vérité. Quand ils prient Dieu et lisent Ses paroles, ils ne relient pas ces paroles aux problèmes qu’ils rencontrent dans la vie réelle. Et donc, dans l’environnement arrangé par Dieu, comment traitent-ils Sa souveraineté, Ses arrangements et Ses orchestrations ? Confrontés à des choses qui ne satisfont pas leurs désirs, ils évitent ces choses et ils leur résistent dans leur cœur. Confrontés à des choses qui font subir des pertes à leurs intérêts ou qui empêchent que leurs intérêts soient satisfaits, ils essaient par tous les moyens de trouver une porte de sortie, en s’efforçant de maximiser leurs bénéfices et en luttant pour éviter la moindre perte. Ils ne cherchent pas à satisfaire les intentions de Dieu, mais seulement à satisfaire leurs propres désirs. S’agit-il là de foi en Dieu ? De tels individus ont-ils une relation avec Dieu ? Non, pas du tout. Ils vivent de façon vile, sordide, intransigeante et laide. Non seulement ils n’ont aucune relation avec Dieu, mais, à la moindre occasion, ils s’opposent aussi à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Ils disent souvent : “Puisse Dieu exercer Sa souveraineté sur toutes choses dans ma vie et gouverner toutes choses dans ma vie. Je suis prêt à laisser Dieu monter sur le trône et régner et gouverner dans mon cœur. Je suis prêt à me soumettre aux arrangements et aux orchestrations de Dieu.” Cependant, quand les choses auxquelles ils sont confrontés nuisent à leurs intérêts, ils ne peuvent pas se soumettre. Au lieu de chercher la vérité dans un environnement arrangé par Dieu, ils cherchent à inverser cet environnement et à le fuir. Ils ne veulent pas se soumettre aux arrangements et aux orchestrations de Dieu, mais faire les choses selon leur propre volonté, pour autant que leurs intérêts n’en pâtissent pas. Ils ignorent complètement les intentions de Dieu, ne se souciant que de leurs propres intérêts, de leur propre situation, de leur propre humeur et de leurs propres sentiments. Est-ce là croire en Dieu ? (Non.) » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut être sauvé par la croyance en la religion ou par la participation aux cérémonies religieuses). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que quand des croyants en Dieu sincères rencontrent des choses qui ne sont pas en accord avec leurs notions et que leurs intérêts subissent des pertes, ils cherchent activement la vérité pour résoudre leur corruption, trouvent des réponses dans les paroles de Dieu et attendent l’éclairage et la direction de Dieu. Ceux qui ne cherchent pas la vérité et sont déraisonnables seront uniquement obnubilés par les gens ou les situations quand ils rencontrent des choses qui ne sont pas en accord avec leurs notions et ils pourront même se plaindre de Dieu et refuser de se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. En ce qui me concerne, chaque fois que je pensais au fait de ne pas pouvoir être estimé par les autres quand je faisais du travail textuel et d’être révélé comme inutile, j’essayais de me justifier et de me trouver des excuses, me cachant derrière mon manque de compétences, soulignant sciemment mes faiblesses et espérant que la cheffe d’équipe compatirait avec moi et me comprendrait de sorte que je pourrais rester dans ce groupe et conserver mon statut. Quand rien ne m’arrivait et que je jouissais de mon prestige, je prétendais me soumettre à Dieu et accepter des choses de Sa part. Cependant, quand j’étais confronté à des choses qui ne s’accordaient pas avec mes notions ou qui portaient atteinte à mes intérêts personnels, j’argumentais et résistais, me sentais réfractaire envers les orchestrations de Dieu et en étais mécontent. En outre, je cherchais des fautes chez les autres, prétendant que les arrangements des dirigeants étaient déraisonnables. En y réfléchissant attentivement, les dirigeants faisaient clairement des ajustements raisonnables en fonction des besoins du travail, et j’avais en effet certaines compétences rédactionnelles. Ce n’est pas comme si j’étais parfaitement incompétent. Mais comme j’avais le sentiment que cet ajustement porterait atteinte à ma réputation et à mon statut, je m’étais plaint et j’avais résisté. C’était vraiment déraisonnable de ma part ! J’ai donc prié Dieu, disposé à accepter cela de Sa part, à me soumettre, et à faire de mon mieux pour faire le travail textuel.
Après l’ajustement de mon devoir, j’ai vu que la plupart des frères et sœurs là-bas avaient de meilleures compétences rédactionnelles que moi. Certains avaient été dirigeants auparavant, et certains faisaient du travail textuel depuis des années. Ils avaient une bonne compréhension des principes, discutaient des problèmes et exprimaient leurs opinions de façon claire et perspicace. Je me suis senti très envieux. Sans m’en apercevoir, je suis devenu un peu frustré, et, en pensant au fait que je venais tout juste de commencer et que j’étais déjà loin derrière eux. Je me suis demandé : « Quand serais-je capable d’atteindre leur niveau ? » Mais je ne me suis pas complètement découragé. Sachant que j’avais des lacunes en termes de principes, de profession et d’autres aspects, je passais du temps à me familiariser avec les principes, cherchais des conseils et apprenais des frères et sœurs quand il y avait quelque chose que je ne comprenais pas. Mais comme j’étais nouveau dans ce devoir, je n’avais pas de bonnes idées quand nous discutions des problèmes avec les frères et sœurs. Parfois, quand j’exprimais certaines opinions, elles étaient inappropriées et je me sentais assez gêné. À ce rythme, plus je travaillerais, plus j’aurais l’air mauvais, sans parler d’obtenir l’estime des gens. Je craignais que les frères et sœurs pensent que mon calibre était trop médiocre et que je ne valais pas la peine d’être cultivé. En voyant à quel point ce travail était important et éprouvant, j’ai eu encore plus peur de ne pas réussir à bien le faire ni à m’adapter. Ce serait vraiment humiliant. À partir de ce moment-là, j’ai toujours fait mon devoir sans enthousiasme. Je fixais l’écran de mon ordinateur, l’esprit vide. Je manquais d’intérêt et de motivation pour apprendre la profession. J’avais un sentiment inexplicable et constant de découragement dans le cœur. Parfois, je rêvais même du moment où les dirigeants pourraient changer d’avis et me renvoyer là-bas. Je me disais que ce serait mieux que d’être révélé comme inutile et de passer inaperçu ici. Plus tard, la sœur qui m’encadrait dans la profession a identifié certains problèmes avec les principes dans mon devoir. Lorsqu’elle les a analysés, elle a même souligné ces problèmes et ces écarts dans le groupe. Je me suis senti très embarrassé. Inconsciemment, des souvenirs de l’époque où je réalisais des vidéos me sont venus à l’esprit. À l’époque, j’étais prestigieux. Les gens venaient me voir avec des questions et, la plupart du temps, c’était moi qui signalais aux autres leurs erreurs. À présent, en revanche, j’étais devenu un exemple négatif et mes erreurs étaient constamment signalées. C’était tout simplement deux extrêmes ! Ce contraste m’a rendu encore plus négatif. J’ai même envisagé de dire aux dirigeants que j’étais incapable de faire ce travail et que je voulais retourner réaliser des vidéos. Mais je craignais que les autres disent que je n’étais pas obéissant, alors j’ai fait mes devoirs à contrecœur.
Un jour, je me suis soudain souvenu des paroles de Dieu qui disaient : « Si tu ne résous pas les problèmes en temps opportun lorsqu’ils surviennent, une fois que ces problèmes qui sont en toi s’accumuleront et deviendront de plus en plus graves, et que ton enthousiasme et ta détermination ne seront alors plus suffisants pour te soutenir dans l’accomplissement de tes devoirs, tu sombreras dans la négativité, au point même que tu risqueras de quitter Dieu, et tu ne pourras certainement pas tenir bon » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (11)). Je me suis rendu compte qu’il était très dangereux de ne pas s’occuper de cet état négatif. Même si je faisais apparemment mon devoir, mon cœur n’y était pas. Je me remémorais souvent l’époque où j’étais estimé et loué par les autres alors que je ne faisais jamais de mon mieux. Je me suis rendu compte que ce problème devait être résolu, que je ne pouvais pas continuer à être négligent et à me duper moi-même ainsi. Plus tard, en réfléchissant, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Que personne ne se croie parfait, distingué, noble ou différent des autres : tout cela est provoqué par le tempérament arrogant des hommes et de leur ignorance. Se croire toujours à part, cela est dû à un tempérament arrogant. N’être jamais capable d’accepter ses insuffisances ni de regarder en face ses erreurs et ses échecs, cela est dû à un tempérament arrogant. Ne jamais permettre aux autres d’être plus élevés ou plus forts que soi, cela est dû à un tempérament arrogant ; ne jamais permettre que les qualités des autres surpassent les siennes, cela est dû à un tempérament arrogant ; ne jamais permettre aux autres d’avoir de meilleures pensées, de meilleures suggestions ou de meilleurs points de vue que soi et, quand on découvre que les autres sont meilleurs que soi, devenir négatif, ne pas vouloir parler, être affligé, découragé et troublé, tout cela est dû à un tempérament arrogant. Un tempérament arrogant peut te pousser à protéger ta réputation et te rendre incapable d’accepter les corrections des autres, de confronter tes défauts et d’accepter tes propres échecs et tes erreurs. En outre, quand quelqu’un est meilleur que toi, cela peut faire émerger de la haine et de la jalousie dans ton cœur et tu peux te sentir contraint, au point de ne plus avoir envie de faire ton devoir et de devenir superficiel en l’accomplissant. Un tempérament arrogant peut faire émerger en toi ces comportements et ces pratiques » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Les principes que l’on devrait suivre dans son comportement). Ces paroles de Dieu m’ont aidé à trouver la raison de ma négativité. J’ai toujours pensé que j’étais compétent et je me tenais en haute estime, je voulais être dans une position prééminente, que les gens m’encerclent et me louent partout où j’allais. Quand je ne pouvais pas gagner l’estime des autres ou me placer sous le feu des projecteurs, je devenais négatif et voulais échapper à la situation. Tout cela était dû à ma nature trop arrogante. Je venais juste de commencer à faire du travail textuel et il y avait tellement de choses que je ne comprenais pas ou ne savais pas faire. Aucun principe ne peut être appris simplement en l’écoutant ou le lisant quelques fois. Cela exige une période d’apprentissage concret. Pendant cette période, les erreurs et les échecs sont inévitables. Les gens qui sont vraiment dotés de raison peuvent tous aborder ces choses correctement. Mais je n’avais aucune conscience de moi-même. Partout où j’allais, je voulais montrer que j’étais spécial. Je venais clairement tout juste de commencer, mais j’étais impatient d’accomplir quelque chose pour montrer mes capacités afin que mes frères et sœurs voient que j’avais un bon calibre. Quand je ne pouvais pas bien faire, que je n’y arrivais pas ou que je n’étais pas sous le feu des projecteurs, je devenais négatif et me laissais aller, perdant la motivation d’apprendre la profession. J’ai même pensé à abandonner mon devoir et partir. Je me suis rendu compte que j’étais vraiment arrogant et que je me prenais pour quelqu’un de très important. La souffrance que j’endurais était purement auto-infligée.
J’ai commencé à penser : « Pourquoi étais-je aussi motivé quand je réalisais des vidéos dans le passé, mais que, maintenant que je fais un travail textuel, je n’arrive jamais à faire preuve d’enthousiasme ? » Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu et j’ai gagné une certaine compréhension de mon état. Les paroles de Dieu disent : « Si les gens ont un cœur qui aime la vérité, ils auront la force de poursuivre la vérité et pourront travailler dur à la pratique de la vérité. Ils pourront abandonner ce qui doit être abandonné et renoncer à ce à quoi il faut renoncer. En particulier, les choses qui concernent ta renommée, ton gain et ton statut doivent être abandonnées. Si tu n’y renonces pas, cela signifie que tu n’aimes pas la vérité et que tu n’as pas la force de poursuivre la vérité. Quand il t’arrive quelque chose, tu dois chercher la vérité et la pratiquer. Si, à ces moments où tu as besoin de pratiquer la vérité, tu as toujours un cœur égoïste et que tu ne peux pas renoncer à ton intérêt personnel, tu seras incapable de mettre la vérité en pratique. Si tu ne cherches et ne pratiques la vérité en aucune circonstance, tu n’es pas une personne qui aime la vérité. Quel que soit le nombre d’années depuis lequel tu crois en Dieu, tu n’obtiendras pas la vérité. Certaines personnes recherchent toujours la gloire, le gain et l’intérêt personnel. Quel que soit le travail que l’Église leur destine, elles délibèrent toujours, pensant : “Est-ce que cela me sera bénéfique ? Si oui, je le ferai ; sinon, je ne le ferai pas.” Une telle personne ne pratique pas la vérité, alors peut-elle bien accomplir son devoir ? Certainement pas. Même si tu n’as pas fait le mal, tu n’es tout de même pas une personne qui pratique la vérité. Si tu ne poursuis pas la vérité, que tu n’aimes pas les choses positives et que quoi qu’il t’arrive, tu ne te soucies que de ta réputation et de ton statut, de ton intérêt personnel et de ce qui est bon pour toi, alors tu es une personne qui n’est motivée que par son intérêt personnel, et qui est égoïste et méprisable » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Ces paroles de Dieu disent que si les gens ont un cœur qui aime la vérité, lorsque des choses qui touchent à leur vanité, leur statut et leurs intérêts leur arrivent, ils peuvent s’en libérer et se rebeller contre leur chair pour pratiquer la vérité. J’ai réfléchi au fait qu’à l’époque où je faisais des vidéos, je pensais porter un fardeau et être obéissant et je me considérais comme une personne qui poursuivait la vérité. Ce n’est que confronté à la réalité que je me suis rendu compte que ce que j’avais fait auparavant n’était pas essayer de satisfaire Dieu, c’était uniquement accomplir un peu de travail quand cela n’impliquait pas mes propres intérêts. Maintenant, je voulais sans cesse retourner réaliser des vidéos non pas parce que j’aimais ce devoir, mais parce que je ne pouvais pas renoncer au soutien et à l’estime de mes frères et sœurs. Même si, en apparence, je n’avais pas le titre de chef d’équipe, mes frères et sœurs avaient une bonne image de moi dans leur cœur. Chaque fois que je résolvais un problème ou que je faisais quelque chose de bien, je recevais leur estime et leurs louanges, ce que j’appréciais énormément. Par conséquent, peu importe le prix que je payais ou la souffrance que j’endurais, je ne me plaignais pas. En revanche, je me sentais humilié quand je faisais du travail textuel. Ici, je devais repartir de zéro et tout apprendre, et personne ne faisait attention à moi. Il m’était impossible d’être un professeur pour les autres comme je l’étais auparavant. Non seulement je devais me mettre à l’écart et poser des questions élémentaires aux autres, mais en plus, j’étais tellement médiocre dans cette profession que je devais constamment accepter d’être guidé. Je ne voulais pas affronter mes insuffisances. Je voulais uniquement savourer les fleurs et les applaudissements et jouir de l’estime et des louanges des autres. J’ai même fantasmé qu’un jour les dirigeants me laisseraient recommencer à réaliser des vidéos, afin que je puisse continuer à être entouré et loué par les gens. Mais ce n’est jamais arrivé. Au lieu de cela, c’est la révélation continue de ma corruption et de mes défauts qui est arrivée. Par conséquent, je suis devenu négatif et contrarié et j’ai perdu ma motivation à faire mon devoir. À ce stade, je me suis rendu compte que, par le passé, je n’avais fait mon devoir que pour la réputation et le statut et que je n’avais pas du tout considéré mon devoir comme une responsabilité.
Souvent, au cours de cette période, je cherchais mon état et y réfléchissais. J’ai lu ces paroles de Dieu qui disaient : « Pour les antéchrists, le statut et la réputation sont leur vie. Peu importe comment ils vivent, peu importe l’environnement dans lequel ils vivent, leur travail, ce qu’ils poursuivent, leurs objectifs, la direction de leur vie, tout tourne autour d’une bonne réputation et d’un statut élevé. Et ce but ne change pas : ils ne peuvent jamais mettre de côté de telles choses. C’est là le vrai visage des antéchrists et leur essence. Vous pourriez les mettre dans une forêt vierge au fond des montagnes, et ils ne mettraient toujours pas de côté leur poursuite de la réputation et du statut. Vous pouvez les mettre dans n’importe quel groupe de gens, et tout ce à quoi ils pourront penser, ce seront toujours la réputation et le statut. Bien que les antéchrists croient aussi en Dieu, ils voient la poursuite de la réputation et du statut comme équivalente à la foi en Dieu et lui accordent le même poids. C’est-à-dire qu’en marchant sur le chemin de la foi en Dieu, ils poursuivent aussi leur propre réputation et leur propre statut. On peut dire qu’au fond d’eux-mêmes, les antéchrists croient que la poursuite de la vérité dans leur foi en Dieu est la poursuite de la réputation et du statut ; la poursuite de la réputation et du statut est aussi la poursuite de la vérité, et obtenir réputation et statut, c’est gagner la vérité et la vie. S’ils sentent qu’ils n’ont ni réputation, ni gains, ni statut, que personne ne les admire, ne les estime ni ne les suit, alors ils sont très déçus, ils croient qu’il n’y a aucun intérêt à croire en Dieu, aucune valeur à cela, et ils se disent : “Une telle foi en dieu est-elle un échec ? Est-ce sans espoir ?” Ils réfléchissent souvent à de telles choses dans leur cœur, ils réfléchissent à la façon dont ils peuvent se tailler une place dans la maison de Dieu et avoir une haute réputation dans l’Église, afin que les gens les écoutent quand ils parlent, les soutiennent quand ils agissent et les suivent partout où ils vont, afin qu’ils aient le dernier mot dans l’Église, ainsi que de la gloire, du gain et du statut ; ils se concentrent vraiment sur de telles choses dans leur cœur. C’est là ce que ces gens poursuivent. Pourquoi pensent-ils toujours à de telles choses ? Après avoir lu les paroles de Dieu, après avoir entendu des sermons, ne comprennent-ils vraiment pas tout cela, ne sont-ils vraiment pas capables de discerner tout cela ? Les paroles de Dieu et la vérité ne sont-elles vraiment pas capables de changer leurs notions, idées et opinions ? Ce n’est pas du tout le cas. Le problème réside en eux, c’est entièrement parce qu’ils n’aiment pas la vérité, parce que, dans leur cœur, ils ont une aversion pour la vérité, et par conséquent, ils n’acceptent aucunement la vérité – ce qui est déterminé par leur nature-essence » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie III)). Ces paroles de Dieu exposent que les antéchrists aiment particulièrement la réputation et le statut. Ils croient en Dieu, renoncent à des choses et se dépensent, tout cela pour la réputation et le statut. Lorsqu’ils perdent leur statut, c’est comme si la vie leur était enlevée. Ils perdent tout intérêt et toute motivation. En réfléchissant à mon propre comportement, je me suis rendu compte que j’étais exactement comme un antéchrist, avide d’admiration et d’adoration de la part des autres, et considérant même la poursuite de la réputation et du statut comme une chose positive. Pendant des années, j’avais couru après tout cela. À la maison, mon père me disait souvent : « Se distinguer des autres » et « Fais honneur à la famille » et que la réussite personnelle était le seul moyen d’avoir un avenir. À l’école, les enseignants m’ont inculqué l’idée que : « L’homme lutte pour s’élever ; l’eau coule vers l’aval. » Ces choses ont continuellement été insufflées dans mes pensées. Résultat, j’ai de plus en plus adoré la réputation et le statut et j’étais disposé à endurer n’importe quelle difficulté pour cela. Pendant ma scolarité, afin d’obtenir de bonnes notes et de gagner les louanges et l’admiration de mes professeurs et de mes camarades, je buvais du café afin de veiller jusque tard pour faire mes devoirs et j’allais en classe même quand j’étais malade. Ces dernières années dans l’Église, alors que je réalisais des vidéos, en apparence, j’endurais des difficultés et payais un prix, j’apprenais des compétences et faisais plus de travail, tout cela avec l’objectif de gagner l’admiration des autres. Quand mon devoir a été changé, que je ne recevais plus l’admiration des autres et que je révélais même mes propres défauts et insuffisances à cause de mes erreurs, je suis devenu découragé et j’ai mal compris les circonstances que Dieu avait arrangées, j’ai éprouvé du ressentiment à leur égard et j’ai perdu toute motivation à faire mon devoir. J’ai vu que je vivais pour la réputation et le statut, pensant constamment à la manière de gagner l’admiration des autres. Ce que je poursuivais était complètement contraire aux exigences de Dieu. J’ai pensé aux paroles de Dieu qui disent : « Dieu haïe plus que tout les gens qui poursuivent le statut, et pourtant, tu rivalises encore avec entêtement pour le statut, tu chéris et protèges immanquablement le statut, en essayant sans cesse de te l’accaparer. Et par nature, tout cela n’est-il pas hostile à Dieu ? » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie III)). Même si je ne m’étais pas encore résolu à gagner les gens, à m’établir ou à créer un royaume indépendant pour le statut, comme un antéchrist, et que je n’avais pas encore commis d’acte malfaisant évident, mes intentions et mes opinions sur la poursuite était erronées. Je cherchais constamment à avoir une place dans le cœur des gens. Poursuivre dans cette voie est dangereux et détestable à Dieu. Prenant conscience de cela, j’ai été très reconnaissant que Dieu me protège.
Grâce à cet ajustement dans mes devoirs, j’ai été amené à réfléchir sur le mauvais chemin que j’empruntais et à revenir en arrière. C’est, pour moi, le salut de Dieu. Même si je n’avais plus l’opportunité de me distinguer et d’être sous les feux de la rampe, j’étais capable de me soumettre sincèrement. J’ai également regretté quelque peu d’avoir perdu autant de temps au cours des dernières années. Si j’avais fourni autant d’efforts pour poursuivre la vérité et me connaître moi-même que pour chercher le statut, je serais plus raisonnable, plus obéissant à Dieu, et pas aussi rebelle et corrompu que je ne le suis aujourd’hui. Pour aborder ces problèmes, j’ai lu deux autres passages des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Si tu souhaites consacrer toute ta loyauté en toutes choses pour satisfaire les intentions de Dieu, tu ne peux pas le faire en te contentant d’accomplir un devoir ; tu dois accepter n’importe quelle commission que Dieu te confie. Que ce soit à ton goût et en lien avec tes intérêts, ou que ce soit quelque chose que tu n’apprécies pas, que tu n’as jamais fait auparavant ou qui est difficile, tu dois quand même l’accepter et te soumettre. Non seulement tu dois l’accepter, mais tu dois aussi coopérer de manière proactive et apprendre sur le sujet pendant que tu en fais l’expérience et que tu y entres. Même si tu endures des difficultés, que tu es fatigué, humilié ou ostracisé, tu dois tout de même y consacrer toute ta loyauté. Ce n’est qu’en pratiquant les choses de cette manière que tu pourras consacrer toute ta loyauté en toutes choses et satisfaire les intentions de Dieu. Tu dois le considérer comme un devoir à accomplir et non comme une affaire personnelle. Comment dois-tu considérer les devoirs ? Comme quelque chose que le Créateur – Dieu – donne à faire à quelqu’un ; c’est comme ça que les devoirs de chacun arrivent. La commission que Dieu te donne est ton devoir et il est parfaitement naturel et justifié que tu accomplisses ton devoir tel que l’exige Dieu. S’il est clair à tes yeux que ce devoir est la commission de Dieu, et que c’est l’amour de Dieu et Sa bénédiction qui descendent sur toi, alors tu seras capable d’accepter ton devoir avec un cœur qui aime Dieu, tu pourras faire preuve de considération envers les intentions de Dieu pendant que tu accompliras ton devoir et tu seras capable de surmonter toutes les difficultés pour satisfaire Dieu. Ceux qui se dépensent réellement pour Dieu ne pourraient jamais refuser la commission de Dieu ; ils ne pourraient jamais refuser le moindre devoir. Quel que soit le devoir que Dieu te confie, peu importe les difficultés qu’il comporte, tu ne dois pas le refuser, tu dois l’accepter. C’est le chemin de pratique qui consiste à mettre la vérité en pratique et à consacrer toute ta loyauté en toutes choses dans le but de satisfaire Dieu. Sur quoi est mis l’accent ici ? Il est mis sur les mots “en toutes choses”. “Toutes choses” ne signifie pas forcément les choses que tu aimes ou pour lesquelles tu es doué, et encore moins les choses que tu connais bien. Parfois, il s’agira de choses pour lesquelles tu n’es pas doué, des choses que tu devras apprendre, des choses difficiles, ou des choses pour lesquelles tu devras souffrir. Cependant, peu importe de quoi il s’agit, à partir du moment où Dieu te l’a confié, tu dois l’accepter de Sa part. Tu dois l’accepter et accomplir ton devoir correctement, y consacrer toute ta loyauté et satisfaire les intentions de Dieu. C’est le chemin de pratique » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Te ridiculiser toi-même est une bonne chose. Cela t’aide à voir tes propres lacunes et ton amour de la vanité. Cela te montre où se situent tes problèmes et cela t’aide à comprendre clairement que tu n’es pas une personne parfaite. Il n’y a pas de personnes parfaites, et se ridiculiser est tout à fait normal. Toutes les personnes vivent des moments où elles se ridiculisent ou sont embarrassées. Tout le monde échoue, connaît des revers et a des faiblesses. Se ridiculiser n’est pas une mauvaise chose. Lorsque tu te ridiculises mais que tu ne te sens pas embarrassé et que tu ne te sens pas déprimé au fond de toi, cela ne signifie pas que tu es insensible : cela signifie que tu ne te soucies pas de savoir si te ridiculiser affectera ta réputation et cela signifie que ta vanité n’occupe plus tes pensées. Cela signifie que tu as mûri dans ton humanité. C’est merveilleux ! N’est-ce pas une bonne chose ? C’est une bonne chose. Ne pense pas que tu n’as pas été bon ou que tu as de la malchance, et ne cherche pas les causes objectives derrière cela. C’est normal. Tu peux te ridiculiser, d’autres peuvent se ridiculiser, tout le monde peut se ridiculiser : tu découvriras finalement que tout le monde est pareil, que les gens sont tous des gens ordinaires, que tous sont mortels, que personne n’est plus grand que qui que ce soit d’autre et personne n’est meilleur. Il arrive à tout le monde de se ridiculiser parfois, donc personne ne devrait se moquer d’autrui. Une fois que tu as fait l’expérience de nombreux échecs, tu mûris progressivement dans ton humanité. Ainsi, chaque fois que tu rencontreras à nouveau ces choses, tu ne seras plus contraint et elles n’auront pas d’incidence sur l’accomplissement normal de ton devoir. Ton humanité sera normale, et lorsque ton humanité sera normale, ta raison sera normale aussi » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (2)). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai trouvé un chemin pour pratiquer dans cette situation. Que les autres m’admirent ou non, que j’aie l’opportunité de me distinguer ou non, je dois me soumettre à l’environnement arrangé par Dieu et traiter mon devoir avec sincérité, y mettant mon cœur et mes forces. C’était ma responsabilité et ce que je devais faire. Plus tard, même si le travail que j’avais achevé comportait encore parfois des erreurs, que les autres soulignaient plusieurs problèmes et que je me sentais mal, je ne réagissais plus de façon négative. Plus je rencontrais d’erreurs et d’échecs, plus cela me poussait à revenir à Dieu à temps pour connaître ma corruption, à analyser mes écarts et mes manques et à y réfléchir. Cela a également approfondi ma mémoire de certains principes, ce qui a été bénéfique à la fois pour l’accomplissement de mon devoir et pour mon entrée dans la vie. Avec cette compréhension, mon état d’esprit s’est amélioré, et je ne me préoccupais plus autant de la façon dont les autres me voyaient. En ce qui concerne la profession, j’ai analysé mes déviations et mes problèmes, cherché de l’aide auprès des frères et sœurs quand il y avait quelque chose que je ne comprenais pas, et cherché et appliqué des principes pertinents. J’ai également appris des bonnes pratiques des autres. En ce qui concerne mon état, j’ai utilisé mon temps libre pour réfléchir, m’interroger et me connaître moi-même en me basant sur les paroles de Dieu à propos des corruptions que j’avais révélées. Après avoir pratiqué cela pendant un certain temps, j’ai commencé à apprécier mon devoir actuel, et les résultats de mon devoir se sont améliorés par rapport à avant. En repensant à ce processus, j’ai pris conscience des intentions sincères de Dieu. Faire mon devoir dans cet environnement m’a apporté de nombreux gains. C’est grâce à ces échecs et ces révélations que j’ai pu voir clairement mes lacunes et ma vraie stature, apprendre à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu et chercher davantage les principes dans mes devoirs. En outre, être constamment modéré dans cet environnement a fait mûrir mon humanité, me rendant moins impulsif et fragile, plus à même de traiter correctement mes manques et de commencer à apprendre à chercher les intentions de Dieu et les vérités-principes. Tout cela constitue un entraînement et un perfectionnement pour moi.
En faisant l’expérience de cet ajustement dans mes devoirs, je suis parvenu à comprendre que peu importe le devoir que nous faisons, que notre réputation soit maintenue ou que nous soyons admirés par les autres, ces choses ne sont pas importantes. Ce qui importe, c’est que nous puissions nous soumettre à Dieu et avoir des témoignages de pratique de la vérité. Par le passé, quand je voyais d’autres personnes devenir négatives et désobéissantes après l’ajustement de leurs devoirs, je les méprisais et pensais être meilleur. En faisant face aux faits aujourd’hui, j’ai vu que ma nature était trop arrogante et que je n’étais pas plus soumis à Dieu que les autres. Grâce aux situations arrangées par Dieu, j’ai gagné une certaine connaissance de moi-même et j’ai effectué certains changements. Du fond du cœur, je suis vraiment reconnaissant envers le salut de Dieu !
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