Dorénavant, j’ose faire face à mes problèmes

22 mars 2025

Par Yuxun, Chine

Un jour de septembre 2023, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs, dans laquelle ils disaient que les résultats de différents aspects du travail de notre Église avaient été médiocres, et ils ont demandé comment nous avions suivi le travail et quels problèmes nous avions identifiés dans des domaines comme le travail d’évangélisation, le travail de purge et le travail textuel. Ils demandaient également comment nous avions abordé ces problèmes et quels étaient nos plans pour l’avenir. En lisant les questions dans la lettre, je me suis dit : « Je suis principalement responsable du suivi de certains des travaux dont les dirigeants veulent s’informer, mais j’ai vécu dans un état où je me suis abandonnée au confort. Chaque fois que je pense à faire un travail détaillé ou à résoudre des problèmes concrets et à quel point cela nécessiterait que je cherche la vérité, que je mette des efforts et que je fasse preuve de considération, et tout l’effort intellectuel que cela impliquerait, je suis réticente à dépenser l’effort et l’énergie nécessaires pour résoudre ces choses. Je me contente de suivre et d’accélérer la progression des différents aspects du travail, et j’assure rarement le suivi du travail en détail. Mais si je dis cela dans ma rétroaction aux dirigeants et qu’ils voient que je n’ai aucune compréhension de tel ou tel travail que je supervise, ou que je n’ai pas mis en œuvre telle ou telle tâche, que penseraient-ils de moi ? Ils penseraient sûrement que je manque de sens de fardeau pour mes devoirs et que je ne fais aucun travail concret, et ils pourraient même me renvoyer. Si les frères et sœurs l’apprenaient, je serais humiliée ! Non, je vais plutôt parler davantage du travail que je connais, afin que les dirigeants voient que malgré les résultats médiocres de notre travail, nous avons fait certaines choses. Ainsi, je n’aurais pas à m’inquiéter d’être renvoyée. » Mais ensuite, j’ai pensé : « Certaines tâches ont été laissées inachevées, et c’est juste ce qui s’est passé. Si je ne mentionne que ce qui est bien et jamais ce qui est mauvais, ne suis-je pas fourbe ? Non, je ne peux pas faire ça. » Je me sentais vraiment tiraillée, comme si une lourde pierre m’opressait. Je me suis demandé : « Comment devrais-je répondre à cette lettre ? » Alors j’ai prié Dieu : « Dieu, les dirigeants ont écrit pour se renseigner sur l’avancement de mon travail. Je n’ai pas fait de travail concret et j’ai peur qu’ils me renvoient s’ils le découvrent. Je suis préoccupée par ma réputation et mon statut, ce qui fait que j’hésite à dire la vérité. Je ne sais pas comment je devrais pratiquer. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi. »

Le lendemain matin, je me suis rappelé d’un passage de l’échange de Dieu sur les dirigeants qui supervisent et suivent le travail, alors je l’ai cherché et je l’ai lu. Dieu Tout-Puissant dit : « Si tu peux accepter que la maison de Dieu te supervise, t’observe et essaye de te comprendre, c’est une chose merveilleuse. Cela t’aide à mener à bien ton devoir, à être capable de faire ton devoir de manière à être à la hauteur et à satisfaire les intentions de Dieu. Cela t’est profitable et t’aide, sans présenter aucun inconvénient. Une fois que tu as ce principe, devrais-tu ou non ne plus avoir de sentiments de résistance ou de réserve vis-à-vis de la supervision par des dirigeants, des ouvriers et des élus de Dieu ? Même si quelqu’un peut essayer de te comprendre, de t’observer et de superviser ton travail, ce n’est pas quelque chose à prendre personnellement. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que les tâches qui sont maintenant les tiennes, le devoir que tu accomplis et tout travail que tu effectues ne sont pas les affaires privées ni le travail personnel d’une seule personne : tout cela concerne le travail de la maison de Dieu et se rapporte à une partie de l’œuvre de Dieu. Par conséquent, lorsque quelqu’un passe un peu de temps à te superviser ou à t’observer, ou se renseigne en détail à ton sujet, essayant d’avoir avec toi une conversation franche et de savoir quel a été ton état pendant ce moment, et parfois même lorsque son attitude est un peu plus sévère et qu’il t’émonde quelque peu, te discipline et te réprimande, tout cela est dû à son attitude consciencieuse et responsable vis-à-vis du travail de la maison de Dieu. Il ne faut pas que cela t’inspire de pensées ou d’émotions négatives » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que même si nous faisons nos devoirs, nos tempéraments corrompus n’ont pas changé. Souvent, nous abordons nos devoirs de manière superficielle et faisons les choses selon notre propre volonté. C’est la responsabilité des dirigeants de superviser, de faire le suivi du travail, de découvrir et de résoudre les problèmes en temps voulu, et c’est entièrement dans le but de protéger le travail de l’Église. J’avais été négligente et inattentive dans mes devoirs. Les dirigeants avaient supervisé et fait le suivi de notre travail, et nous avaient demandé de résumer nos écarts et de faire nos devoirs selon les vérités-principes, ce qui était bénéfique pour nos devoirs. Mais je n’ai pas pu traiter cela correctement et je suis restée sur la défensive. Je pensais qu’en examinant mon travail, les dirigeants avaient pour but de trouver mes erreurs et me renvoyer. Pour protéger ma réputation et mon statut, j’ai eu recours à la ruse, je n’ai voulu mentionner que le travail que j’avais accompli et écrire moins sur ce que je n’avais pas fait, dans le but de dissimuler le fait que je n’avais pas fait de travail concret. J’avais été vraiment fourbe ! Je ne pouvais pas faire cela. Je devais clarifier les aspects de mes responsabilités que je maîtrisais actuellement, et ceux que je n’avais pas encore compris ou ceux dont je n’avais pas fait le suivi. Je devais fournir un retour aux dirigeants basé sur la situation concrète, afin que ces derniers puissent fournir un échange et des conseils concernant nos écarts. Cela m’aiderait dans mes devoirs. Ainsi, j’ai rapporté honnêtement la situation de notre travail de suivi et j’ai également expliqué nos projets pour le travail dont nous n’avions pas fait le suivi. Ensuite, je me suis concentrée sur l’examen et le suivi des détails du travail sur lequel je n’avais pas fait de suivi auparavant. Grâce à la communication, certains frères et sœurs ont également réfléchi à leurs écarts et leurs défauts dans leurs devoirs et sont devenus disposés à changer et à s’efforcer d’entrer. Grâce à la supervision et à l’examen du travail par les dirigeants, j’ai découvert certains de mes propres problèmes. J’ai gagné une certaine direction et des objectifs pour mes devoirs, et mon efficacité dans ces derniers s’est améliorée.

Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu, et j’ai gagné une certaine compréhension concernant ma peur que les dirigeants ne supervisent mon travail. Dieu Tout-Puissant dit : « Si vous êtes un dirigeant ou un ouvrier, avez-vous peur que la maison de Dieu se renseigne sur votre travail et le supervise ? Avez-vous peur que la maison de Dieu découvre des lacunes et des erreurs dans votre travail et vous émonde ? Avez-vous peur que le Supérieur, ayant pris connaissance de votre véritable calibre et de votre véritable stature, vous voit sous un jour différent et n’envisage pas de promotion pour vous ? Si tu as ces craintes, cela prouve que tes intentions ne visent pas l’intérêt du travail d’Église, que tu travailles pour la réputation et le statut, ce qui montre que tu as le tempérament d’un antéchrist. Si tu as le tempérament d’un antéchrist, tu vas probablement suivre le chemin des antéchrists et commettre tout le mal qu’ils causent. Si, dans ton cœur, tu ne crains pas que la maison de Dieu supervise ton travail, et que tu es capable d’apporter de vraies réponses aux questions et interrogations du Supérieur, sans rien cacher, et que tu dis tout ce que tu sais, alors, peu importe si ce que tu dis est vrai ou faux, et quelle que soit la corruption que tu as révélée – même si tu as révélé le tempérament d’un antéchrist –, tu ne seras absolument pas défini comme étant un antéchrist. Ce qui est essentiel, c’est de savoir si tu es capable de connaître ton propre tempérament d’antéchrist, et si tu es capable de chercher la vérité pour résoudre ce problème. Si tu es quelqu’un qui accepte la vérité, ton tempérament d’antéchrist peut être corrigé. Si tu sais parfaitement bien que tu as un tempérament d’antéchrist, et que, pourtant, tu ne cherches pas la vérité pour le corriger, si tu essaies même de dissimuler les problèmes qui surviennent et de fuir les responsabilités, ou de mentir à ce propos, et si tu n’acceptes pas la vérité quand tu es soumis à l’émondage, alors il s’agit là d’un sérieux problème, et tu n’es guère différent d’un antéchrist. Sachant que tu as le tempérament d’un antéchrist, pourquoi n’oses-tu pas y faire face ? Pourquoi ne peux-tu pas aborder le sujet franchement et te dire : “Si le Supérieur s’enquiert de mon travail, je dirai tout ce que je sais, et même si les mauvaises choses que j’ai faites sont révélées et que le Supérieur ne se sert plus de moi quand il le saura, et que je perds mon statut, je dirai toujours clairement ce que j’ai à dire” ? Ta peur de la supervision et des enquêtes sur ton travail par la maison de Dieu prouve que tu chéris ton statut plus que la vérité. N’est-ce pas le tempérament d’un antéchrist ? Chérir le statut par-dessus tout est le tempérament d’un antéchrist » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie II)). Dieu dit que les gens ont peur d’exposer leurs défauts et leurs problèmes, et qu’ils refusent donc d’accepter la supervision du Supérieur, et au nom de leur réputation et leur statut, ils cachent même des problèmes, dissimulent leurs défauts et cherchent à tromper la maison de Dieu. Cela révèle le tempérament d’un antéchrist. Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que ma méfiance envers la supervision et le suivi du travail par les dirigeants venait de ma préoccupation excessive pour ma réputation et mon statut. Je craignais que, si les dirigeants savaient que je n’avais pas accompli de travail concret et que je manquais de sens du fardeau dans mes devoirs, ils ne me renvoient, et j’avais peur de ce que mes frères et sœurs penseraient de moi. Pour protéger ma réputation et mon statut, j’ai tout fait pour cacher le fait que je n’avais pas accompli de travail concret, et j’avais même envisagé de recourir au mensonge et à la fourberie pour le dissimuler, uniquement pour préserver mon image aux yeux des dirigeants. J’ai réfléchi au fait que les personnes honnêtes peuvent être simples et ouvertes, et à la façon dont elles sont capables d’exprimer sincèrement tout écart ou défaut dans leurs devoirs et d’accepter la supervision des dirigeants, et même si ces derniers découvrent leurs problèmes et les émondent, tant que le travail de l’Église peut avancer sans heurts, elles l’acceptent sans difficulté. Mais moi, je n’avais pas pensé au travail de l’Église, je ne m’étais souciée que de ma réputation et de mon statut. J’avais été véritablement égoïste et méprisable ! Je n’avais pas fait de compte rendu honnête de mon travail ou dit la vérité aux dirigeants, et même si je n’étais pas renvoyée pour l’instant et que j’arrivais à les duper, Dieu scrute le tréfonds des cœurs humains, et nul ne peut Le tromper, et les choses que les gens font en secret seront inévitablement révélées tôt ou tard. À l’image de ces antéchrists qui, pour protéger leur réputation et leur statut, ils ne rapportent que de bonnes nouvelles et jamais les mauvaises, ne mentionnent jamais les écarts et les problèmes dans leurs devoirs, et vont même jusqu’à mentir et user de fourberie, causant ainsi de graves préjudices au travail. Finalement, ils sont exposés et éliminés. J’avais vécu dans un état où je m’abandonnais au confort, je n’étais pas disposée à souffrir ou à payer un prix dans mes devoirs, et je n’avais fait les choses que pour sauver les apparences, ce qui avait retardé le travail. J’aurais dû rendre compte de la situation concrète de mes devoirs aux dirigeants, mais pour protéger mon statut, j’avais voulu mentir et tromper. J’avais été vraiment fourbe ! Si je ne me repentais pas et ne changeais pas, je serais finalement révélée et éliminée.

Puis, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Certaines personnes ne croient pas que la maison de Dieu puisse traiter les gens avec justice. Ils ne croient pas que Dieu règne dans Sa maison et que la vérité y règne. Ils croient que, quel que soit le devoir accompli par une personne, si un problème se produit à cause de cette personne, la maison de Dieu s’occupera immédiatement de cette personne en lui retirant le droit d’accomplir ce devoir, la renverra ou ira même jusqu’à l’exclure de l’Église. Est-ce vraiment comme cela que fonctionnent les choses ? Certainement pas. La maison de Dieu traite chaque personne selon les vérités-principes. Dieu est juste dans Sa façon de traiter chaque personne. Il ne regarde pas seulement comment une personne se comporte dans un seul cas. Il regarde sa nature-essence, ses intentions, son attitude et Il cherche surtout à savoir si elle peut réfléchir sur elle-même quand elle commet une erreur, si elle a des remords et si elle peut pénétrer l’essence du problème en se basant sur Ses paroles, parvenir à comprendre la vérité, à se détester et à se repentir sincèrement. Si elle n’a pas cette attitude correcte et si elle est entièrement dévoyée par ses intentions personnelles, si elle est remplie de manigances rusées et de révélations de tempéraments corrompus, et, quand les problèmes se manifestent, si elle recourt aux faux-semblants, aux sophismes et à l’autojustification, si elle refuse obstinément de reconnaître ses actions, alors, une telle personne ne peut pas être sauvée. Elle n’accepte pas du tout la vérité et a été complètement révélée. Les gens qui n’ont pas raison et qui ne peuvent pas du tout accepter la vérité sont par essence des incrédules et ne peuvent qu’être éliminés. […] Dites-Moi, si quelqu’un a fait une erreur, mais qu’il est capable d’une véritable compréhension et prêt à se repentir, la maison de Dieu ne lui donnerait-elle pas une autre chance ? Alors que le plan de gestion de six mille ans de Dieu tire à sa fin, il y a énormément de devoirs à accomplir. Mais si tu n’as ni conscience ni raison et ne t’occupes pas de ton propre travail, si tu as gagné l’occasion d’accomplir un devoir, mais que tu ne sais pas la chérir, ne recherches pas le moins du monde la vérité et laisses passer le meilleur moment, alors tu seras révélé. Si tu es constamment superficiel dans l’accomplissement de ton devoir et que tu ne te soumets pas du tout quand tu es émondé, la maison de Dieu t’utilisera-t-elle encore pour accomplir un devoir ? Dans la maison de Dieu, c’est la vérité qui règne, pas Satan. Dieu a le dernier mot sur tout. C’est Lui qui accomplit l’œuvre de salut de l’homme, c’est Lui qui exerce Sa souveraineté sur tout. Il ne t’est pas nécessaire d’analyser ce qui est bien et mal : tu n’as besoin que d’écouter et de te soumettre. Quand il s’agit pour toi d’être émondé, tu dois accepter la vérité et être capable de corriger tes erreurs. Si tu le fais, la maison de Dieu ne te privera pas de ton droit à accomplir un devoir. Si tu as toujours peur d’être éliminé, que tu fournis toujours des excuses et que tu ne cesses de te justifier, c’est un problème. Si tu laisses les autres voir que tu n’acceptes pas le moins du monde la vérité et que tu es insensible à la raison, tu as des ennuis. L’Église sera obligée de s’occuper de toi. Si tu n’acceptes pas du tout la vérité dans l’accomplissement de ton devoir et que tu as toujours peur d’être révélé et éliminé, alors ta peur est entachée d’intention humaine, d’un tempérament satanique corrompu et de suspicion, de circonspection et d’incompréhension. Aucune de ces attitudes n’en est une qu’une personne devrait avoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris pourquoi j’avais peur d’être renvoyée. C’est parce que je ne comprenais pas le tempérament juste de Dieu. La maison de Dieu est régie par la vérité. Dieu ne juge pas les gens uniquement sur leur performance dans un seul domaine, mais Il considère plutôt leur attitude constante envers la vérité et le chemin qu’ils suivent, ainsi que leur véritable repentance lorsqu’ils commettent des erreurs. Si une personne peut se haïr elle-même et est disposée à se repentir, alors la maison de Dieu lui offre encore des opportunités de se repentir. Je n’avais fait aucun travail concret et j’avais voulu être rusée pour dissimuler mes défauts, mais lorsque j’ai pu me réfléchir sur moi-même et me connaître et que j’étais disposée à changer, la maison de Dieu m’a quand même donné une chance de me repentir, et les dirigeants n’ont pas dit qu’ils allaient me renvoyer. En revanche, si une personne ne poursuit pas du tout la vérité, et cause des interruptions et des perturbations sans se repentir, elle finira par perdre l’opportunité de faire ses devoirs. C’est comme un frère que je connais. Il faisait ses devoirs de manière superficielle, il était négligent, et il avait tendance à accomplir ses devoirs selon sa propre volonté. Les dirigeants et les ouvriers avaient échangé et l’avaient aidé de nombreuses fois, et bien qu’il ait fait de belles promesses et qu’il ait dit qu’il était disposé à se repentir, il a continué à faire ses devoirs de la même manière, et à la fin, il a été renvoyé. Certains frères et sœurs peuvent également avoir des écarts pendant qu’ils font leurs devoirs, mais lorsque les dirigeants soulignent des problèmes, ils peuvent les accepter, chercher la vérité, et consciemment corriger et résoudre ces problèmes. Ces personnes ne sont pas renvoyées. J’ai vu que faire des erreurs n’est pas effrayant, mais vivre dans un tempérament corrompu et ne pas se repentir est ce qui est vraiment effrayant. J’ai pensé à la façon dont les gens honnêtes sont simples et ouverts et acceptent la vérité, et comment ils peuvent se soumettre et tirer des leçons dans les situations arrangées par Dieu et ainsi gagner et grandir. Puis je me suis regardée, et j’ai vu que, face à des problèmes, je n’avais pas un cœur simple et soumis, mais au contraire, j’étais remplie de suspicions et de doutes, et j’avais mes propres méthodes rusées, et cela a rendu très difficile pour moi de gagner la vérité.

Plus tard, j’ai cherché à réfléchir sur les problèmes que j’avais dans mes devoirs pendant cette période et j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « On doit apprendre à accomplir son devoir en y mettant du cœur, et une personne qui a une conscience peut y parvenir. Si quelqu’un accomplit son devoir sans jamais y mettre du cœur, cela signifie qu’il n’a pas de conscience, et ceux qui n’ont pas de conscience ne peuvent pas obtenir la vérité. Pourquoi est-ce que Je dis qu’ils ne peuvent pas obtenir la vérité ? Ils ne savent pas prier Dieu ni rechercher l’éclairage du Saint-Esprit, ni faire preuve de considération pour les intentions de Dieu, ni mettre leur cœur à contempler les paroles de Dieu, et ils ne savent pas non plus rechercher la vérité, chercher à comprendre les exigences de Dieu et Ses désirs. Voilà ce que c’est que de ne pas pouvoir rechercher la vérité. Faites-vous l’expérience d’états où, quoi qu’il arrive ou quel que soit le type de devoir que vous accomplissez, vous êtes capables de vous taire fréquemment devant Dieu, de mettre tout votre cœur à contempler Ses paroles, à rechercher la vérité et à réfléchir à la manière dont vous devez accomplir ce devoir pour vous conformer aux intentions de Dieu, et aux vérités que vous devriez posséder pour pouvoir accomplir ce devoir de manière satisfaisante ? Vous arrive-t-il souvent de chercher la vérité de cette manière ? (Non.) Accomplir son devoir en y mettant du cœur et savoir assumer des responsabilités demande de souffrir et de payer un prix. Il ne suffit pas de parler de ces choses. Si vous ne mettez pas du cœur dans votre devoir et que vous préférez seulement trimer, votre devoir risque fort de ne pas être bien accompli. Vous agirez simplement pour la forme, guère plus, et vous ne saurez pas si votre devoir a été correctement fait. Si tu y mets du cœur, tu en viendras peu à peu à comprendre la vérité. Sinon, elle t’échappera. Lorsque tu mets ton cœur dans l’accomplissement de ton devoir et dans la poursuite de la vérité, tu en arrives petit à petit à comprendre les intentions de Dieu, à découvrir ta propre corruption et ce qui te fait défaut, ainsi qu’à maîtriser chacun de tes états. Lorsque tu te concentres uniquement sur l’effort et que tu ne mets pas du cœur à réfléchir sur toi-même, tu es incapable de découvrir les véritables états de ton cœur, ainsi que tes myriades de réactions et tes manifestations de corruption dans différents environnements. Si tu ne sais pas quelles seront les conséquences lorsque des problèmes ne sont pas résolus, alors tu as de gros ennuis. C’est pourquoi il n’est pas bon de croire en Dieu de façon confuse. Il faut que tu vives devant Dieu en tout temps, en tous lieux ; quoi qu’il t’arrive, tu dois toujours chercher la vérité, et en même temps, tu dois aussi réfléchir sur toi-même et savoir quels problèmes se posent dans ton état, en cherchant immédiatement la vérité pour les résoudre. Ce n’est qu’ainsi que tu pourras bien accomplir ton devoir et éviter de retarder le travail. Non seulement tu pourras bien accomplir ton devoir, mais le plus important, c’est que tu auras aussi une entrée dans la vie et tu seras capable de résoudre tes tempéraments corrompus. Ce n’est qu’ainsi que tu pourras entrer dans la vérité-réalité » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que les personnes responsables peuvent mettre leur cœur dans leurs devoirs et avoir une attitude assidue et responsable envers chaque tâche, tandis qu’une personne qui est dépourvue de sens de responsabilité fait ses devoirs sans conviction, et fait les choses machinalement. Elle est réticente à souffrir ou à payer un prix dans ses devoirs, et au final, non seulement elle échoue à gagner l’entrée dans la vie, mais elle retarde aussi le travail de l’Église. Mon attitude envers mes devoirs avait été exactement celle que Dieu avait exposée. Je pensais que résoudre les problèmes de mes frères et sœurs nécessiterait une réflexion approfondie et une recherche de la vérité pour trouver une solution, ce qui me semblait trop contraignant et demandait trop d’efforts, alors je n’ai pas voulu payer un prix, et je m’étais contentée de suivre superficiellement l’avancement et de faire un travail simple, et lorsque je rencontrais des problèmes, je ne voulais ni y réfléchir, ni trouver des solutions, ni je ne résumais mes écarts ou mes lacunes, ce qui entraînait des retards dans le travail. Je vivais selon les poisons sataniques tels que « La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux » et « Apprends à être gentille avec toi-même ». Je considérais que m’adonner au plaisir physique était d’une grande importance, et dans tout ce que je faisais, je me demandais d’abord si cela me causerait une souffrance ou de la fatigue physique. J’abordais toujours mes devoirs de manière superficielle, sans tenir compte de mes responsabilités, de mes obligations, ou du travail de l’Église, et chaque jour, je faisais mes devoirs dans un état d’égarement et de confusion, je ne fournissais même pas les efforts requis, encore moins une dévotion sincère. Dieu connaissait mes défauts et a utilisé la supervision des dirigeants pour révéler ma corruption, ce qui m’a incité à chercher la vérité pour résoudre mon état de superficialité et d’indulgence au confort dans mes devoirs, afin que je puisse être consciencieuse et me concentrer sur les détails dans mes devoirs. Les intentions minutieuses de Dieu étaient dans cela, et c’était Son salut pour moi.

Plus tard, en lisant les paroles de Dieu, j’ai fini par mieux comprendre l’importance du travail de supervision des dirigeants. Dieu Tout-Puissant dit : « Ceux qui sont capables d’accepter la supervision, l’examen et l’inspection des autres sont les plus raisonnables de tous, ils ont une tolérance et une humanité normale. Lorsque tu t’aperçois que tu fais quelque chose de mal ou que tu as une révélation de tempérament corrompu, si tu es capable de t’ouvrir et de communiquer avec les gens, cela permettra à ceux qui t’entourent de garder un œil sur toi. Il est certes nécessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant à un examen constant. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point d’agir ou de décider de quelque chose seul, et que quelqu’un à proximité le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hâter de réfléchir sur toi-même, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antéchrists. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas protégé sans le savoir ? Tu l’es : c’est ta protection » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopération harmonieuse). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai fini par comprendre qu’une personne dotée d’une humanité normale peut accepter la supervision et l’examen des autres, et lorsqu’elle découvre qu’elle a commis des erreurs ou qu’elle a révélé de la corruption dans ses devoirs, elle peut ouvrir son cœur et échanger avec tout le monde. En fait, pouvoir accepter la supervision de tout le monde est bénéfique pour nous dans nos devoirs, car cela nous aide à éviter d’emprunter le mauvais chemin et nous protège. Auparavant, je ne comprenais pas la signification du travail de supervision des dirigeants, et je vivais toujours dans un état de méfiance et de malentendu, mais maintenant, je suis capable de le traiter correctement. Grâce à la supervision et au suivi du travail par les dirigeants, j’ai gagné une certaine direction sur la manière d’apporter des améliorations dans mes devoirs, et j’ai pu considérer le travail de suivi de manière plus globale, ainsi que comprendre les difficultés et les états de mes frères et sœurs pour échanger des solutions aux problèmes réels. En suivant réellement le travail de cette manière, mon efficacité dans mes devoirs s’est améliorée, et je me suis sentie beaucoup plus à l’aise. Aujourd’hui, je ne m’inquiète plus autant de la supervision et du suivi du travail par les dirigeants comme je le faisais auparavant, et pour tout travail que je n’ai pas accompli ou pour tout écart que j’ai dans un certain aspect du travail, je suis capable de le rapporter honnêtement et de le traiter correctement. Lorsque les dirigeants soulignent mes écarts et mes défauts dans mes devoirs, je me soumets d’abord, je reconnais ces choses, je les accepte, et j’essaie consciemment de changer et d’assumer mes responsabilités. Depuis que j’ai commencé à pratiquer ainsi, je me sens beaucoup plus à l’aise. Dieu soit loué !

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