Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie II) Section 3
C. Attitude et comportement des gens dans leur contact avec le sexe opposé
Notre troisième élément est l’attitude et le comportement des gens dans leur contact avec le sexe opposé dans leur vie quotidienne. C’est un problème auquel tous ceux qui vivent parmi d’autres personnes seront confrontés, quel que soit leur âge. Quel aspect de l’humanité implique-t-il ? Cela implique sa dignité, son sentiment de honte et le style de sa conduite. Certains voient le contact avec le sexe opposé avec beaucoup de désinvolture. Ils pensent que cela ne porte pas à conséquence tant qu’il n’arrive rien et que ce n’est pas non plus un problème d’avoir des pensées lascives ni de manifester quelque passion indigne. Une personne ayant une humanité normale devrait-elle avoir de telles pensées ? Est-ce le signe d’une humanité normale ? Quand tu es assez âgé pour te marier et entrer en contact avec le sexe opposé, et que tu veux être dans une relation, fais-le normalement, et personne ne s’en mêlera. Mais certains ne veulent pas être dans une relation : ils batifolent pendant deux ou trois jours avec quelqu’un qui a attiré leur regard, et aussitôt qu’ils rencontrent quelqu’un qui les attire et correspond à leurs préférences, ils se mettent en valeur. Et comment se mettent-ils en valeur ? Un sourcil levé, un clin d’œil ou un changement du ton de voix quand ils parlent, ou bien ils bougent d’une certaine façon ou font des remarques humoristiques pour se faire remarquer : voilà comment on se met en valeur. Quand une personne qui, normalement, n’est pas comme cela révèle ces comportements, on peut être sûr qu’il y a dans les parages un représentant du sexe opposé qui correspond à leurs préférences. Qui sont ces gens-là ? On pourrait dire qu’ils se comportent de piètre manière ou qu’ils ne maintiennent pas de frontières claires entre les hommes et les femmes, mais ils n’ont manifesté aucune conduite déplorable. Certains diront qu’ils sont simplement frivoles. En d’autres termes, ils se conduisent de façon indigne : les gens frivoles n’ont pas l’idée de se respecter soi-même. Certaines personnes révèlent ces caractéristiques au quotidien, mais l’accomplissement de leurs devoirs n’est pas affecté et cela ne retentit pas non plus sur l’achèvement de leur travail, alors, est-ce réellement un problème ? Certains disent : « Tant que cela n’entrave pas leur poursuite de la vérité, est-ce utile d’en parler ? » De quoi s’agit-il ? De la honte et de la dignité de l’humanité de la personne. L’humanité d’une personne ne peut pas être dépourvue de honte et de dignité, sans lesquelles il n’y a pas d’humanité normale. Certaines personnes sont crédibles, elles sont sincères, responsables et travaillent dur dans tout ce qu’elles font. Elles n’ont pas de problèmes majeurs, mais elles ne prennent simplement pas au sérieux cet aspect de leur vie. Quand tu batifoles avec une personne du sexe opposé, est-ce constructif ou préjudiciable ? Et si la personne avec qui tu batifoles tombe amoureuse de toi ? Tu diras peut-être : « Ce n’est pas ce que je voulais ». Eh bien, si tu batifoles tout de même avec quelqu’un alors que ce n’est pas ce que tu veux, est-ce que tu ne joues pas avec lui ? Tu lui fais du mal ! Cela manque quelque peu de sens moral. Les gens qui agissent ainsi ont un pauvre caractère. En outre, si tu n’as pas l’intention de poursuivre cette relation et que tu ne la prends pas au sérieux, mais que tu lèves quand même les sourcils, que tu fais des œillades au sexe opposé et que tu fais ton intéressant en recourant à l’humour, si tu fais tout pour montrer que tu as du style, que tu es beau ou belle, que tu mets en valeur tes meilleurs côtés, si tu te mets ainsi en valeur, que fais-tu vraiment ? (Séduire les gens.) Il y a là une intention de séduire là-dedans. Maintenant, ce genre de comportement séducteur, est-ce une chose noble ou vilaine ? (C’est une vilaine chose.) C’est là qu’il n’y a plus aucune dignité. Quel genre de personnes dans ce monde séduirait les autres ? Les prostituées, les femmes dévergondées, les fripouilles – ces personnes ne connaissent pas la honte. Qu’est-ce que cela signifie de ne pas connaître la honte ? Cela signifie qu’elles sont insensibles à la disgrâce. L’intégrité, la honte et l’honneur, ainsi que la dignité et la réputation – elles ne se soucient d’aucun d’entre eux. De telles personnes se promènent en frimant et en flirtant. Flirter avec une ou deux personnes ne leur suffit pas, et elles ne trouvent pas que huit ou dix, ce soit excessif. Il en faudrait des milliers et des milliers pour les rendre heureuses. Certaines femmes mariées ont eu deux enfants, et personne en dehors de chez elles ne le sait. Pourquoi ne le font-elles pas savoir aux gens ? Elles ont peur qu’une fois qu’elles disent qu’elles sont mariées et qu’on leur parle, elles ne trouveront plus de succès dans leurs flirts, et qu’elles perdront leur séduction et leur attrait. C’est pourquoi elles ne seront pas ouvertes à ce sujet. De telles personnes ne sont-elles pas insensibles à la disgrâce ? L’humanité de quelqu’un est-elle normale si elle contient de telles choses ? Elle ne l’est pas. Cela implique que si tu as une telle humanité et de tels comportements, alors tu manques d’humanité normale ; elle manque de pudeur et de dignité. Certaines personnes commencent à se caresser les cheveux et à lisser leurs vêtements dès qu’elles côtoient le sexe opposé, ou elles appliquent du rouge et de la poudre, faisant de leur mieux pour se faire belle. Quel est leur but là-dedans ? Leur but est la séduction. C’est quelque chose qui ne devrait pas être dans l’humanité normale. Le fait de pouvoir séduire les gens ainsi et ne rien ressentir, en pensant que c’est tout à fait normal et banal, que ce n’est pas grave, c’est manquer d’un sentiment de honte et ne même pas savoir ce que l’on devrait faire ou ne pas faire. Il y a des gens qui seraient prêts à aller et venir nus dans la rue si on leur donnait dix mille yuans. Quel genre de personnes sont-elles ? Ce sont des personnes qui n’ont pas de sentiment de honte. Elles feront n’importe quoi pour de l’argent, sans honte. L’intégrité, le caractère, le sentiment de honte et la dignité ne signifient rien et ne valent rien pour elles. Elles sentent que leur capacité à s’exhiber et à séduire les autres est un de leurs talents, et leur seule joie vient de gagner la faveur de plus de gens et d’avoir plus de gens qui leur courent après. C’est le plus grand honneur pour une telle femme ; c’est ce qu’elles chérissent. Elles ne chérissent pas la dignité, le sentiment de honte ou le caractère. Est-ce une bonne humanité ? (Non.) Avez-vous manifesté ces comportements ? (Nous les avons manifestés.) Êtes-vous alors capables de les contenir ? Pouvez-vous les contenir la plupart du temps, ou ne pouvez-vous le faire qu’une minorité du temps ? Avez-vous la capacité de vous restreindre ? Les personnes qui peuvent se restreindre sont celles dont le cœur connaît la honte. Tout le monde a des moments passagers d’impulsivité et de dissolution, mais quand celles qui peuvent se restreindre le font, elles sentent que ce qu’elles font n’est pas correct, que cela les dégrade, qu’elles doivent faire demi-tour tout de suite, et qu’elles ne doivent plus le faire. Et plus tard, quand elles rencontrent à nouveau une telle chose, elles sont capables de se contrôler. S’il n’y a même pas ce peu de capacité de maîtrise de soi dans ton humanité, alors contre quoi pourrais-tu te rebeller lorsque tu es appelé à pratiquer la vérité ? Certains ont la chance d’avoir un physique attirant et sont constamment recherchés par le sexe opposé ; plus ils sont recherchés, plus ils sentent qu’ils peuvent se permettre de se mettre en valeur. N’est-ce pas dangereux pour eux ? Que dois-tu faire dans cette situation ? (Reconnaître et éviter cet écueil.) C’est réellement un écueil que tu dois éviter, sinon, tu pourrais très bien t’apercevoir qu’une personne t’a piégé. Il faut que tu évites cet écueil avant d’être piégé : c’est ce qu’on appelle la maîtrise de soi. Les gens qui ont la maîtrise d’eux-mêmes ont le sens de la honte et ils ont de la dignité. Les autres qui n’en ont pas peuvent être égarés par quiconque les séduit : et ils mordent à l’hameçon chaque fois que quelqu’un leur court après, ce qui annonce des problèmes. En outre, ils vont aussi délibérément se mettre en valeur, se faire beaux, bien s’habiller, et quels que soient les vêtements qu’ils peuvent porter pour être plus séduisants, plus attirants et plus beaux, ils choisiront précisément de les porter et les porteront tous les jours. C’est dangereux pour eux et cela montre qu’ils essaient consciemment de séduire les autres. Si tu es trop tape-à-l’œil et trop séduisant dans ces habits, alors tu dois te rebeller contre la chair et renoncer à porter des vêtements comme ceux-ci. Si tu es résolu à le faire, tu peux alors faire ceci. Cependant, si tu n’as pas pris cette résolution et que tu veux rechercher un ou une partenaire, alors vas-y, trouves-en un : interagissez normalement l’un avec l’autre, sans flirter avec l’autre. Si tu ne recherches pas un ou une partenaire mais que tu flirtes toujours avec les gens, on ne peut pas appeler cela autrement qu’être éhonté. Il faut que tu saches précisément ce que tu choisis. Pouvez-vous tous vous conformer aux principes ? (Nous y sommes déterminés.) Si vous y êtes déterminés, alors vous avez l’énergie, la motivation, et il vous sera facile de vous y conformer. Certains sont foncièrement respectables par nature et, par ailleurs, ayant trouvé la foi, ils poursuivent la vérité et empruntent le bon chemin : ils n’ont donc pas ce désir et ne répondent pas à quiconque essaie de flirter avec eux. Certains y sont tout à fait enclins, tandis que d’autres n’y accordent aucune attention ; certains semblent y être déterminés, mais ils ne peuvent même pas dire s’ils le font réellement ou pas. En ce qui concerne l’interaction avec le sexe opposé, c’est quelque chose que tu dois gérer correctement et réexaminer, et identifier comme faisant partie de la dignité et du sentiment de honte de l’humanité normale. En quoi le manque d’un sentiment de honte est-il lié au manque d’humanité ? Il est juste de dire que si l’on n’a aucun sentiment de honte, on n’a aucune humanité. Pourquoi est-ce que tous ceux qui manquent d’humanité n’aiment pas la vérité ? Et pourquoi disons-nous que l’on peut poursuivre la vérité si l’on possède l’humanité ? Dites-Moi, est-ce que les gens qui n’ont pas de sentiment de honte savent ce qui est bien et ce qui ne l’est pas ? (Non.) Alors, quand ils font de mauvaises choses qui résistent à Dieu et Le trahissent et violent la vérité, éprouvent-ils du remords ? (Non.) Peuvent-ils se mettre sur la bonne voie si leur conscience ne les réprimande pas ? Peuvent-ils poursuivre la vérité ? Les gens effrontés et sans vergogne sont insensés ; ils ne peuvent pas distinguer clairement les choses positives des négatives, ou ce que Dieu aime et ce qu’Il déteste. Alors, quand Dieu dit que les gens doivent être honnêtes, ils disent : « Qu’y a-t-il de mal à mentir ? Dire un mensonge n’est pas dégradant ! » Quelqu’un sans vergogne ne dirait-il pas quelque chose comme cela ? Si une personne avec un sentiment de honte ne parvient pas à être honnête et est découverte par tout le monde, son visage ne rougit-il pas ? N’est-elle pas mal à l’aise en son for intérieur ? (Elle l’est.) Et qu’en est-il d’une personne sans gêne ? « Être une personne honnête, ce que les autres pensent, la valeur que j’ai pour eux, ou le poids qu’ils m’accordent – rien de tout cela n’a d’importance pour moi ! » Elle s’en fiche. Peut-elle alors encore poursuivre la vérité ? Si tu lui demandes après qu’elle a menti si elle est troublée dans son cœur ou si elle se sent coupable, elle dira : « Qu’est-ce que cela signifie d’être en paix ? Qu’est-ce que la culpabilité ? Pourquoi cela doit-il être si gênant ? » Elle n’a pas une telle conscience. Quelqu’un d’une raison aussi douteuse peut-il suivre Dieu ? Peut-il poursuivre la vérité ? Il ne la poursuit pas. Pour lui, il n’y a pas de frontières entre ce qui est positif et ce qui est négatif, entre la vérité et ce qui la viole – tout est pareil. En tout cas, il pense que ce serait bien si tout le monde faisait un effort, faisait son devoir et payait un prix. Il n’a aucun discernement concernant ces choses. Il ne ressent aucune culpabilité lorsqu’il a fait quelque chose qui résiste à Dieu, qui viole les vérités-principes, qui a lésé quelqu’un d’autre, ou qui perturbe le travail de l’Église. Il n’a aucun sentiment de culpabilité. En cela, ne manque-t-il pas d’un sentiment de honte ? Les gens qui n’ont aucun sentiment de honte n’ont pas de discernement concernant de telles choses. Pour eux, il s’agit de faire ce qu’ils veulent. Tout est permis ; il n’est pas nécessaire d’utiliser la vérité pour porter des jugements. Donc, il n’y a aucun moyen pour les personnes qui n’ont pas de sentiment de honte de comprendre ou de pratiquer la vérité. C’est la relation entre n’avoir aucun sentiment de honte et manquer d’humanité. Pourquoi, alors, n’avez-vous pas pu dire cela ? Vous pensez tous : « Ce que Tu prêches n’a pas grand-chose à voir avec la vérité ; c’en est assez éloigné. Nous sommes généralement capables de voir ces choses clairement, alors avons-nous encore besoin que Tu en parles ? » Si vous sentez que cela n’a rien à voir avec la vérité, alors dans quelle mesure êtes-vous entrés dans la vérité-réalité ? Vivez-vous une humanité normale ? Êtes-vous vraiment devenus des gens qui ont la vérité et de l’humanité ? Vous êtes trop petits de stature et vous ne pouvez même pas déterminer ces choses, alors quelle vérité-réalité pourriez-vous avoir ?
L’un des dix décrets administratifs de la maison de Dieu dit : L’homme a un tempérament corrompu et, de plus, il possède des sentiments. En tant que tel, il est absolument interdit à deux membres du sexe opposé de travailler ensemble sans être accompagnés quand ils servent Dieu. Quiconque est découvert le faisant sera expulsé, sans exception. Comment les gens considèrent-ils ce décret administratif ? Si un homme avait des relations inappropriées avec plus de trente femmes, dites-Moi, que penseraient les gens qui en entendraient parler ? (Ils seraient médusés.) Tu serais surpris de l’entendre ; tu serais choqué, « Mon dieu, c’est beaucoup ! C’est dégoûtant, n’est-ce pas ? » Et quel sentiment cet homme aurait-il eu quand il te l’a dit ? (Il aurait agi comme si cela n’avait pas d’importance pour lui.) Cela n’a rien d’exceptionnel pour lui. Demande-lui ce qu’il mange aujourd’hui : « Du riz. » Demande-lui avec combien de femmes il a été : « Trente ou plus. » Il disait les deux choses avec exactement le même ton de voix et le même état d’esprit. Y a-t-il un salut pour une personne avec une telle humanité ? Il n’y en a pas, même s’il croit en Dieu. Comment pourrait-il ne pas savoir être honteux quand il laisse échapper quelque chose comme ça ? C’est une affaire dégradante ! Comment a-t-il pu alors laisser échapper ça ? Dites-Moi, a-t-il encore un sentiment de honte ? Non, il n’en a pas. La perception de la conscience au sein de son humanité est déjà insensible et il n’a plus de perspicacité. Il ne s’agit pas simplement du fait d’être dépravé – les personnes sans honte ni dignité ne sont plus des personnes. En apparence, elles ressemblent toujours à des personnes, mais cela s’effondre dès qu’elles doivent gérer quelque chose. Elles sont capables de tout faire, sans connaissance de la honte – et cela signifie qu’elles ne sont plus des personnes. Terminons notre discussion sur ces questions ici.
Réfléchissez à ces trois aspects de l’humanité normale dont nous avons discuté aujourd’hui – sont-ils importants ? Ces choses dans l’humanité normale sont-elles déconnectées de la poursuite de la vérité ? (Non.) Alors qu’ont-elles à voir avec la poursuite de la vérité ? Si l’humanité d’un croyant en Dieu ne fait pas preuve de méticulosité, n’a pas le sens des responsabilités ni une capacité d’attention dans ses actions – s’il n’a pas une telle humanité, alors que peut-il gagner dans sa croyance en Dieu et sa poursuite de la vérité ? Nous avons échangé sur pas mal de vérités au fil des ans, des vérités dans tous les domaines. Si les gens ne s’appliquent pas ou ne traitent pas ces vérités avec un état d’esprit consciencieux, faisant tout à la va-vite et en ne faisant rien consciencieusement, peuvent-ils ainsi parvenir à une compréhension de la vérité ? Certaines personnes disent : « Si je n’arrive pas à comprendre la vérité, ne puis-je pas simplement mémoriser ces doctrines et ces terminologies ? » Serez-vous finalement en mesure d’obtenir la vérité de cette manière ? Si tu ne possèdes pas ce genre d’humanité normale et ne possèdes pas ces choses au sein de ton humanité, ce qui signifie que tu n’as pas une attitude consciencieuse, méticuleuse, sérieuse et responsable envers les choses, alors pour toi la vérité se transforme en doctrines et slogans – cela se transforme en règlements. Tu ne peux pas gagner la vérité, parce que tu es incapable de la comprendre. Au-delà de cela, si tu ne peux pas bien gérer l’environnement, la routine et le style de ta vie personnelle, serais-tu en mesure d’entrer dans les différents principes et dictons qui impliquent la vérité ? Tu ne le seras pas. De plus, les gens doivent aimer les choses positives de la vie, et concernant les choses négatives et malveillantes, ils doivent maintenir une attitude de dégoût et de répulsion au plus profond de leur cœur. C’est la seule façon d’entrer dans quelques vérités. Cela signifie que dans ta poursuite de la vérité, tu dois avoir la bonne attitude et l’état d’esprit correct ; tu dois être une personne intègre et sérieuse. Seules de telles personnes peuvent gagner la vérité. Si quelqu’un n’a aucun sentiment de honte et reste insensible et inconscient dans son cœur alors qu’il a fait beaucoup de choses malveillantes, beaucoup de choses qui se rebellent contre Dieu et violent la vérité, pensant que ce n’est pas grave – la vérité lui est-elle alors utile ? Cela ne sert à rien du tout. La vérité n’exerce aucun effet sur lui, et elle n’est pas capable de le retenir, de le réprimander, de le guider ou de lui indiquer la direction et le chemin vers elle, ce qui signifie qu’il est en difficulté. Comment une personne sans même un sentiment de honte pourrait-elle comprendre la vérité ? Pour qu’une personne puisse comprendre la vérité, elle doit d’abord être sensible aux choses positives et négatives dans son cœur. Elle est révulsée par la moindre mention ou rencontre quelque chose de négatif ou de malveillant, et si elle fait une telle chose elle-même, elle se sent honteuse et troublée. Elle ressent de l’amour pour la vérité et peut accepter la vérité dans son cœur ; elle peut l’utiliser pour se retenir et renverser ses mauvais états. L’humanité normale ne devrait-elle pas posséder ces choses ? (Si.) Avec la possession de celles-ci, ne devient-il pas facile pour quelqu’un de poursuivre la vérité ? Et si quelqu’un n’en possède aucune, alors parler de poursuivre la vérité n’est qu’un discours vide – comment pourrait-il le faire sans rien de positif dans son cœur ? Ce n’est que lorsque ton humanité normale sera possédée de ces choses que la vérité prendra racine, fleurira et portera des fruits en toi – ce n’est qu’alors qu’elle produira un effet. Lorsque tu auras compris la vérité, tu pourras modifier ta pensée et restreindre ton comportement, et tes pensées corrompues deviendront de moins en moins nombreuses. C’est un vrai changement.
Combien de ces manifestations de l’humanité normale dont nous avons discuté aujourd’hui possédez-vous ? Lesquelles ne possédez-vous pas ? Quelles sont celles que vous possédez ? (Un sentiment de honte.) Un sentiment de honte – c’est une bonne chose. Un sentiment de honte est le minimum que vous devriez posséder. Quoi d’autre ? Avez-vous tous une mentalité et une attitude consciencieuses et méticuleuses à l’égard des personnes, des évènements et des choses ? Je vois que vous êtes négligents dans tout ce que vous faites, juste léthargique et relâché, et quand Je vois ces choses que vous faites, l’anxiété grandit dans Mon cœur. Pouvez-vous détecter ces problèmes par vous-même ? Êtes-vous inquiets lorsque vous les détectez ? (Oui.) De quelle manière ? Parlez-en. (Maintenant que je viens d’entendre l’échange de Dieu, je sens que je n’ai pas beaucoup d’humanité et que j’ai eu une mentalité désinvolte envers mon devoir et les évènements de ma vie. Je suis si loin des normes des exigences de Dieu. C’est un peu effrayant.) Il manque trop de choses dans votre humanité, n’est-ce pas ? Vous sentez que vous croyez en Dieu depuis des années et que vous avez entendu de nombreuses vérités, mais vous n’avez même pas ce qu’il y a de plus fondamental dans l’humanité – comment pourriez-vous ne pas être anxieux ? Certaines personnes ont un peu de compétences techniques, mais tout ce qu’elles font est bâclé. Tout est médiocre, pas à la hauteur, et elles ne se préoccupent pas des méthodes avancées et standard. N’est-ce pas rétrograde de leur part ? Par exemple, on leur a demandé une fois d’installer une porte et elles ont dit : « D’où je viens, la plupart des portes que nous avons sont des portes à un vantail. » Ce petit endroit d’où elles viennent n’établit pas la norme. Elles devraient examiner le style des portes des commerces et des immeubles résidentiels des grandes villes, puis faire leur travail en fonction de la réalité de la situation. Pourtant, ici, elles ont ouvert la bouche et ont dit : « Nous ne fabriquons pas de portes à deux battants chez nous, et il n’y a pas trop de monde ici. Ce ne serait pas grave non plus si c’était le cas – elles peuvent simplement se faufiler. » Quelqu’un d’autre a dit : « Si les gens se serrent les uns contre les autres trop longtemps, cela cassera le chambranle de la porte. Parlons de ça. Faites-en une porte à double face cette fois, à titre exceptionnel, d’accord ? » Puis elles ont dit : « Non ! Je fabrique des portes à un vantail ; je ne peux en fabriquer à deux vantaux. Est-ce moi qui sait comment le faire, ou toi ? C’est moi – alors pourquoi ne m’écoutes-tu pas à ce sujet ? Tu dois m’écouter ! » On leur a dit de travailler en fonction de la situation, mais elles n’ont pas écouté et ont insisté pour faire une petite porte. Ne s’agit-il pas d’ennuis ? Lorsqu’on leur a demandé d’installer une cloison vitrée entre l’intérieur et l’extérieur pour laisser entrer la lumière et éviter que l’espace ne semble pas trop petit, elles ont répondu : « Pourquoi installerions-nous du verre ? Ce serait un risque pour la sécurité, n’est-ce pas ? Je n’installe pas de verre ; ces deux portes feront l’affaire. C’est la seule sorte de porte que nous utilisons d’où je viens. » Elles sortent toujours des choses comme « d’où je viens », « à la maison », « j’ai étudié des trucs techniques » afin de réprimer les autres. Ces choses sont-elles la vérité ? (Elles ne le sont pas.) Pour qu’elles adoptent une telle attitude envers les choses extérieures, qu’est-ce qui doit être déficient à l’intérieur de leur humanité ? La rationalité. Et quel genre de chose, en particulier, doit manquer de rationalité ? La perspicacité. Elles sentent toujours que tout ce qui vient de leur lieu d’origine est juste, que c’est ce qu’il y a de plus élevé, que tout est la vérité. Leur rationalité n’est-elle pas pauvre ? À quoi devrait ressembler la rationalité normale ? Avec une rationalité normale, elles diraient : « Je suis dans ce métier depuis tant d’années, mais je n’ai pas vu grand-chose. C’est ainsi que nous fabriquons tous des portes d’où je viens, alors voyons à quel point les portes sont grandes ici. Nous suivrons ce que font les gens ici. C’est un endroit différent, et dans cette tâche, je devrais rester flexible. » N’est-ce pas de la rationalité ? (Ça l’est.) Une telle personne a-t-elle donc cette rationalité ? Non – elle n’a pas de raison. Et comment cela a-t-il été géré au final ? Le travail a dû être refait. Refaire le travail n’est-il pas une perte ? (Ça l’est.) Oui, ça l’est. Y a-t-il de nombreux cas de ce genre ? Il y en a. Cette personne est têtue, jusqu’au bout des ongles. À quel point est-elle têtue ? Elle n’a pas écouté ce que quelqu’un a dit ; elle n’a même pas écouté ce que J’ai dit, et elle M’a aussi contredit. J’ai dit : « Tu dois la remplacer. Si tu ne le fais pas, ce n’est pas un travail pour toi. » Et elle a eu le courage de dire : « Je vais faire une porte de cette taille même si Tu n’avais pas besoin de moi ! » De quel tempérament s’agit-il ? Est-ce cela l’humanité normale ? (Non.) Ce n’est pas une humanité normale – alors de quelle humanité s’agit-il donc ? À Mon avis, elle est un peu comme une bête. C’est comme quand un bœuf a soif : peu importe le nombre de marchandises ou de personnes qu’il transporte dans le chariot, dès qu’il voit une flaque d’eau ou une rivière, il tire le chariot droit vers là. Même de nombreuses personnes ne peuvent l’éloigner de là. C’est d’un animal dont nous parlons. Est-ce que les gens ont aussi ce genre de tempérament ? Quand ils l’ont, ce n’est pas une humanité normale, et c’est dangereux. Ils trouveront une excuse pour te nier, pour arrêter d’écouter. Ils sont tellement têtus et stupides. Avec de telles questions dans la vie quotidienne, si tu n’as pas une attitude d’acceptation modeste, d’être réceptif aux opinions des autres, si tu n’as pas une attitude d’étude, comment pourrais-tu accepter la vérité ? Comment pourrais-tu la pratiquer ? Tout le monde dit qu’il serait plus approprié de faire une porte à deux battants. Tu ne peux même pas faire cela, et c’est loin de la pratique de la vérité – tu n’écoutes même pas une suggestion judicieuse. Serais-tu capable d’écouter quelque chose qui touche à la vérité ? Tu n’écouterais pas, comme toujours. Cela n’arriverait pas à quelqu’un qui possède un tempérament comme celui-ci, et cela signifie de gros ennuis pour lui. Si son humanité ne possède même pas ce genre de raison, alors quelle vérité peut-il pratiquer ? Pour qui fait-il ces choses avec lesquelles il est occupé tous les jours ? Il les fait entièrement selon ses propres préférences, ses propres désirs égoïstes. Chaque jour, il a ce genre de point de vue envers les personnes, les évènements et les choses qui l’entourent dans la vie quotidienne : « Je ferai ce que je veux, je ferai ce que je pense et je ferai ce que je crois. » Comment cela s’appelle-t-il ? Toute la journée, tout ce qu’il pense est entièrement malfaisant. Et s’il est si malfaisant dans l’âme, qu’en est-il de ses actions ? Existe-t-il une personne dont les pensées sont toutes malfaisantes, mais dont les actions s’alignent toujours sur la vérité ? Ce n’est pas correct – ce serait une contradiction. Ses pensées sont toutes malfaisantes, et d’où elles partent est entièrement malfaisant, donc ce qu’elle fait ne sera pas, à tout le moins, commémoré. Et parmi les choses qui ne sont pas commémorées, certaines sont des interruptions et des perturbations, certaines sont destructrices, tandis que d’autres ne sont pas trop mauvaises. Si ces choses étaient prises au sérieux, elles devraient être condamnées. C’est comme cela que ça marche.
Il existe chez certaines personnes une sorte de point de vue erroné, que d’autres trouvent assez dégoûtant. Ces personnes ont quelques dons ou forces, ou peut-être un métier, une certaine compétence ou une capacité spéciale dans certains domaines, et après qu’elles en sont venues à croire en Dieu, elles se considèrent comme des gens distingués. Cette attitude est-elle correcte ? Que pensez-vous de ce point de vue ? Est-ce que cela appartient à la pensée de l’humanité normale ? Non. De quel genre d’idée s’agit-il alors ? Est-ce que cela ne manque pas de raison ? (Si.) Elles croient : « Je suis plus élevé que les gens ordinaires parce que je connais ce métier, et je suis meilleur que le commun des mortels dans la maison de Dieu. Je suis un homme, doté de savoir-faire et de capacités, et je suis un bon orateur et talentueux. Je me suis fait plutôt remarquer dans la maison de dieu. Je suis meilleur que tout le monde. Personne ne peut me donner des ordres, personne ne peut me diriger, et personne ne peut me commander de faire quoi que ce soit. J’ai cette compétence, donc je ferai ce que je veux. Je n’ai pas à réfléchir aux principes – tout ce que je fais est juste et conforme à la vérité. » Que pensez-vous de ce point de vue ? N’y a-t-il pas des gens comme ça ? De telles personnes ne sont pas en minorité, et elles viennent à la maison de Dieu pour se montrer. Si elles utilisaient leurs forces ou leurs compétences pour faire un devoir dans la maison de Dieu, ce serait bien, mais si elles veulent se montrer, c’est un problème d’une nature différente. Pourquoi cela s’appelle-t-il « se montrer » ? Elles voient les croyants en Dieu comme stupides, comme s’ils n’étaient rien. Quelque chose n’a-t-il pas mal tourné avec leur façon de penser ? N’y a-t-il pas quelque chose qui cloche dans leur rationalité ? Est-ce ainsi que les choses sont réellement ? Les gens qui croient en Dieu sont-ils vraiment sans valeur ? (Non.) Alors pourquoi ces personnes les verraient-elles comme tels ? Pourquoi auraient-elles une telle pensée ? Qu’est-ce qui donne lieu à une telle pensée ? L’apprennent-elles des non-croyants ? Elles pensent que les gens qui croient en Dieu ne sont rien, que ce sont tous des femmes au foyer et des maris au foyer, que ce sont tous des paysans et qu’ils appartiennent aux couches inférieures de la société. Leur point de vue est celui du grand dragon rouge. Elles pensent que les gens qui croient en Dieu sont incapables, qu’ils ne pouvaient pas se frayer un chemin dans la société, et qu’ils n’en sont venus à croire en Dieu que parce qu’il n’y avait aucun chemin pour eux là-bas, nulle part vers où se tourner. Elles pensent que parce qu’elles ont des capacités, qu’elles connaissent un peu une profession ou qu’elles ont un savoir-faire technique, cela fait d’elles une personne de talent dans la maison de Dieu. Cette pensée est-elle correcte ? (Non.) Qu’est-ce qui ne va pas à ce sujet ? Elles croient qu’il n’y a pas de personnes capables dans la maison de Dieu, et avec leur peu de savoir-faire professionnel, elles aimeraient exercer le pouvoir et avoir le dernier mot sur les choses. Y a-t-il de telles personnes là-dehors ? Y a-t-il des personnes comme ça à côté de vous, ou parmi celles avec lesquelles vous êtes familiers ou que vous connaissez ? Il y a un certain nombre de personnes qui sont qualifiées dans un certain domaine, et lorsque vous les faites agir en tant que chef de groupe ou superviseur, elles ont l’impression d’avoir gagné un poste officiel. Elles sentent qu’elles ont le dernier mot dans la maison de Dieu, que personne d’autre ne veille aux intérêts de la maison de Dieu comme elles le font ou ne protège ses intérêts plus qu’elles, et que personne n’est aussi loyal qu’elles. Elles veulent tout gérer et participer à tout, mais elles ne gèrent rien de bien, et elles ne cherchent pas non plus les vérités-principes. Elles n’écoutent même pas ce que Je dis. Y a-t-il de telles personnes là-dehors ? (Oui.) Il y a de telles personnes. Sous la bannière de la compétence certaine qu’elles ont, elles souhaitent gérer tout le monde et exercer leur fonction. Par exemple, lorsque certains frères et sœurs font quelque chose qui ne leur plaît pas, elles diront : « Nous devons maîtriser ces gens – ils sont délirants ! » Lorsque les croyants en Dieu ont un problème, la vérité doit être échangée avec eux. Ce n’est pas un camp militaire où le contrôle militaire doit être pratiqué. En ce qui concerne les affaires dans l’Église, les problèmes ne peuvent être résolus qu’en échangeant sur les paroles de Dieu et en amenant les gens à comprendre la vérité. Ceux qui n’acceptent pas la vérité et agissent de manière arbitraire et capricieuse peuvent être émondés – seuls ceux qui sont déterminés à ne pas accepter la vérité peuvent être disciplinés. Il y a des gens qui ont servi en tant que superviseurs ou en tant que dirigeants et ouvriers qui n’ont clairement pas la vérité-réalité, mais qui souhaitent toujours exercer le pouvoir et avoir le dernier mot dans la maison de Dieu. Ces gens ont-ils une conscience et une raison ? Ils connaissent simplement quelques astuces d’un métier et ne comprennent pas la vérité le moins du monde. Ils se croient utiles et capables, pensant qu’ils sont meilleurs que la personne moyenne dans la maison de Dieu, et ils souhaitent faire ce qu’ils veulent dans l’Église à partir d’une position de pouvoir – avoir le seul et dernier mot. Ils ne cherchent pas les vérités-principes mais agissent selon ce qu’ils souhaitent, selon leurs préférences. Quel est le problème ici ? N’est-ce pas là le tempérament d’un antéchrist ? Est-ce que des gens comme ça ont la raison de l’humanité normale ? Ils n’en ont pas la moindre trace. Nous mettrons fin à notre échange sur l’humanité normale ici.
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